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JOURNAL DE L’ARRONDISSEMENT de SENLiS Paraissant r^ iu a n o &e -<v 33 o isr tst : t-.- t " h : isr t a Un a n .... Six mois. A nos Bunaaux 10 6 Pr Posta 12 7 On s'aboiroe nax mu&âx do Jonmaï datî?» Yoaît it?» bureaux de poste. - L'aoonuemcnt est pajabie n dvanro rt rontiaue de plein droit jasqXf é ’^cepboa* d'avis contraire. Jktfsî partent du t/e ûh&yu# mot* BL'REAL'X. Hfuv ^VMÏNISTRATÏON »BïSr't.IS 11, FMacse ^ b f f lP v 8. il - TÉLÉPHONÉ N 0 S --— i... ■ Directeur Coœmerciîl - E. YIGNON ]=* J& .X 2£L I O 122 fc3 X IST S ^ 3Æ O? X ô es Annonces légales ................................................. I fr. 50 la ügnô Ventes volontaires. — Publicités commerciales. — Demandes et offres d’emplois (Pour tous renseignements écrire au journal) Les manuscrits, insérés ou non, ne sont pas rendus. LES M IP T S ETLÀPOLITIE /ty Les Commerçants « font-ils de la politique » ou n’en font- 40 ils pas ? » Réponse : C’est leur affaire. Les Commerçants sont des citoyens comme les autres. Ils ont les mêmes droits et les mêmes libertés que les autres citoyens. Or, Déclara tion des Droits de l’Homme, article 14 : « Tous les Citoyens ont le droit de constater par eux-mêmes ou. par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d ’e n suivre l’emploi, et d’en déterminer la quotité, l’assiet te , LE RECOUVREMENT ET LA DURÉE ». Cet article a l’air de conférer pas mal de droits aux contribuables en général et aux commerçants en parti culier qui sont eux-aussi des contri buables. Il ne faut pas dire que le fait d’avoir délégué ces droits à leurs re présentants dispense pour autant les citoyens d’en surveiller l’usage qu’on en fait en leur nom. Il peut se rencontrer des cas où des catégories entières de citoyens se trou vent mal représentées, ou le sont insuf fisamment, ou même ne le sont pas du tout, et cela amène ces catégories de citoyens « à faire de la politique ». Qui peut leur interdire de souhaiter un représentant qui les représente ? Qu’entend-on d’ailleurs par ce mot de « politique ? » On en anuse. Vous ne pouvez elever la voix pour dénoncer une injustice, pour signaler un abus, vous ne pouvez parler ou écrire pour saisir l’opinion d une question suscep tible d’intéresser tous les usagers de l’Etat, vous ne pouvez surtout essayer de vous g|® per ou de vous organiser sans être^Tuimédiatement taxés de « faire de fît politique ». Les malheureux citoyens que la du reté des circonstances, une législation mal faite ou insuffisante mettent dans la nécessité de faire campagne pour sortir d’une situation qui les ruine ou les excède deviennent pour autant sus pects de « faire de la politique ». Ils ont beau s’en défendre et dire : « Nous ne faisons pas de politique, — nous ne voulons pas faire de politi que... » — « Vous en faites quand même, leur répond-on, et vous en fai tes, de plus, à une heure mal choisie, à une heure où le gouvernement est aux prises avec de grosses et nombreu ses difficultés ». Certainement le Gouvernement a à faire face à de très grosses, à de très nombreuses difficultés, et même à des difficultés si grosses, si nombreuses et si inextricables qu’il ferait bien d’écou- ter les conseils de la Nation, voire mê me de les solliciter, de les accueillir. Nous ne reprochons pas au Gouverne ment actuel d’être radical et cartelli- sant, nous lui reprochons son orgueil, sa suffisance, sa prépotence, toutes prétentions qui en fait soulignent son impuissance devant les difficultés ac tuelles. Nous ne dirons pas que les hommes qui nous gouvernent ne se rendent pas compte de ces difficultés, mais, avides du pouvoir, ils l’exercent goulûment, si l’on peut dire, en s’appuyant exclusi vement sur leur parti. C’est tout seuls qu’ils prétendent résoudre tous les problèmes. Ces politiciens ont perdu le contact entre le Gouvernement et les gouvernés. La critique les irrite. Ils se sont fait un monopole de la « po litique ». Toute politique est pour eux une politique de parti, la politique de leur parti, une politique pour ou contre leur parti. * * Cette manière de voir est périmée. A l’heure présente, tous les partis sont à mettre au rancart, aucun des partis qui ont exercé le pouvoir depuis cin quante ans, n’a la conscience nette au regard des difficultés présentes, il a péché par action ou par omission, il a fait ou laissé faire... Il y a seulement cette différence en tre les partis que ceux-là ont la cons cience plus chargée et les mains les moins propres qui ont plus souvent exercé le pouvoir. Ceux donc qui demandent aux grands Groupements économiques, professionnels voire même confession nels qui se forment aujourd’hui, — de ne point faire de la politique de parti, ont infiniment raison. Mais si ces conseilleurs sont eux-mêmes, com me il arrive, les hommes d’un parti, ils se condamnent eux-mêmes parce qu’ils déclarent ainsi qu’en devenant un partisan on cesse d’être intéressant pour l’ensemble de la collectivité — voire même, on lui devient suspect. — Assurément les Commerçants ont mieux à faire. Il s’agit pour eux non pas de faire de la politique mais d’avoir ime politique ; non pas d’être un parti, mais une force. Ils n’ont pour cela qu’à prendre conscience de ce qu’ils sont et à s’organiser sur le terrain profes sionnel et corporatif, dans le cadre régional. Nous n’avons pas à donner ici aux Commerçants des conseils techniques; ils sont à même de se les donner eux- mêmes. A eux donc de voir les reven dications qu’ils entendent poursuivre auprès des pouvoirs publics, de les préciser, et d’envisager les méthodes qu’ils pensent devoir leur procurer un résultat. A nous en tenir sur le terrain social, il nous semble que la campagne entre prise par les Commerçants, mérite d’être soutenue et encouragée par l’opinion, A une condition toutefois, c’est que les commerçants profitent de l’occa sion pour étudier les moyens de res taurer le lien social de commerçant à client. Tous les avantages qu’ils peu vent tirer de leurs interventions auprès de l ’E t a t doivent, semble-t-il, être ordonnés vers cet objectif : restaura tion du lien social qui existait autrefois entre le fournisseur consciencieux et le client sérieux et fidèle et qui faisait du commerce un service social. Ceci ne veut pas dire que chacun doive travailler vaille que vaille à se faire une clientèle quelconque. Bien des commerçants n’y ont été que trop portés. Ils ont abusé de la libre concur- i ence. Mais il ne saurait leur échapper que, grâce à la facilité des transports, ils sont aujourd’hui lourdement han dicapés par des firmes formidables, par les grands magasins, par les mar chés eux-mêmes qui ne sont plus au jourd’hui des débouchés de produits locaux ou régionaux, mais des arriva ges et des déballages massifs de mar chandises lointaines, de provenance difficilement contrôlable et souvent bradées à bas prix. Cependant, par leur participation ix charges locales, par l’emploi d’une main-d’œuvre souvent locale, par la nécessité où ils se trouvent souvent de vendre à crédit, les Commerçants lo caux demeurent toujours, et de beau coup, socialement les plus intéressants. Ce sont des gens du pays et qui méri tent d’être encouragés. Malheureuse ment, étant données leurs charges, ils sont obligés de pratiquer des prix plus élevés et que l’on trouve excessifs quand on ne tient compte ni de la qualité de certains produits et de leur prix de revient, ni justement des frais généraux qui incombent au Commer çant local. Socialement plus intéres sant, le commerce local apparaît ainsi économiquemejnt inférieur ou désa vantagé aux yeux d’une clientèle flot tante plus portée à contenter sa fan taisie qu’à satisfaire ses véritables be soins. Dans son ensemble, le commerce local périclite et s’en inquiète. On comprend qu’il s’agite. Il cherche sa voie. Cette voie, il ne la trouvera cer tainement pas dans une politique par tisane, mais dans la restauration de la profession sur le plan corporatif, dans la rééducation de l’acheteur et du ven deur qui est une œuvre de longue ha leine et de collaboration confiante. Il faut bien le dire, le commerce local est aujourd’hui menacé de dispa rition par le développement des firmes à gros capitaux. Cependant il mérite d’être sauvé parce que les conditions de la production et de l’échange y sont moins anonymes, plus humaines, plus aisément contrôlables, parce qu’il peut s’y intercaler moins d’intermédiaires entre le consommateur et le produc teur, parce qu’il s’y établit plus de rapports directs de personnes à per sonnes. Toutes ces conditions humai nes de la production et de la consom mation, ainsi que du travail en général engagent au plus haut point la respon sabilité de l’acheteur. Il faut rétablir et maintenir le contact et le contrôle entre la production et la consomma tion, il faut personnaliser les relations commerciales. Ce n’est peut-être pas le moyen de faire fortune en cinq on dix ans, mais c’est celui d’éyiter au bout du fossé la culbute, c’est faire œuvre hautement sociale et humainement bienfaisante. Que les Commerçants prennent donc la tête de ce mouvement social ; pro fessionnellement ils n’auront pas à s’en repentir, humainement, ils y trou veront une raison de s’estimer et de se faire estimer davantage. A. Chenet. Union Départementale des Sociétés de Secours-Mutuels de l’Oise Le Conseil d’Administration de l’Union a l’honneur d’informer les Pré sidents des Sociétés adhérentes, que l’Assemblée Générale annuelle se tien dra à Creil, le dimanche 18 juin, en une salle de la Mairie, à 14 heures 30. Le Congrès de la Fédération Républicaine deFrance Nous publierons dans notre prochain numéro, Pordre du jour qui a été voté à l’issue de la clôture du Congrès qui s’est tenu à Paris, sous la présidence de M. Louis Marin, député, ancien mi nistre, Président de la Fédération. Ém issiond’ob ligations 5 nj„ des Compagnies de Chemins de Fer de l’Est, du Midi, du Nord, du P. L. M., du P. 0. et de l’Administration des Chemins de Fer de l’Etat Marquons un premier [oint « L’Echo Républicain » du 3 juin 1933, consacre une grande colonne à ma publicité personnelle, ce dont je le remercie. Le prétexte de cette attaque ? . . La campagne de conférences que mè ne actuellement le Groupement Répu blicain d’Action Anticollectiviste, avec le concours éloquent de M. Legendre, campagne qui remporte un magnifique succès. M. Robert Monguillon, auteur de l’ar ticle, recherche la tactique à suivre pour annihiler notre action. « Ou por ter la contradiction, ou bien laisser ces « Messieurs » mijoter dans leur jus. J’opine, quant à moi pour la deuxième solution », dit-il. Tiens, Tiens ! Je croyais que les so cialistes recherchaient les débats de doctrine ; je croyais — c’est du moins ce qu’ils affirment — qu’ils ne crai gnaient aucun de nos arguments ! Or nous leur offrons l’acoasinn in.psoéï’M'Ç au cours de réunions courtoises, de confronter leurs idées avec les nôtres, nous leur assurons pleinement la li berté de parole, et... Ils se dégonflent sous de fallacieux prétextes. Quand on prétend détenir la vérité intégrale, on ne la garde pas pour soi ; on ne la cloître pas dans de petites parlotes confidentielles, mais on Létale au grand jour des assemblées publi ques, on la défend devant le peuple, souverain juge. C’est ce que nous faisons, en vérita bles républicains et démocrates ; c’est ce que vous vous refusez à faire, Mes sieurs les Socialistes. Je connais, d’ailleurs la véritable rai son qui motive l’attitude de M. Mon guillon. Il est venu apporter une contradic tion courtoise à notre ami Legendre, à Villers-Saint-Frambourg, et de l’avis de tous les auditeurs de bonne foi, M. Le gendre l’a... écrasé. M. Monguillon reconnaît d’ailleurs dans son article que notre ami est « très bon conférencier... ainsi que j’ai pu m’en rendre compte ». C’est pour avoir fait cette constata tion à ses dépens que M. Mîonguillon ne tient pas à recommencer. Voîia i.,* vérité. Ainsi, nous marquons un point. Dans une discussion libre et courtoise, nos adversaires ne se sentent pas de taille. Qu’importe d’ailleurs leur mot d’or dre d’abstention. Les républicains sincères, les ou vriers de bonne foi et tous ceux qui ne reçoivent de directives que de leur conscience et conservent leur libre ar bitre, tous ceux épris de vérité vien dront à nos réunions encourager l’œu vre d’éducation politique que nous poursuivons aujourd’hui, et que nous poursuivrons demain. Comme par le passé, nous inviterons chaque fois nos adversaires, et plus particulièrement leur chef, M. Vassal, et, si l’occasion s’en présente, nous fe rons constater au peuple leur carence. P. BILLAUX. Leur Premier Nos Parlementaires Ricemmcnt, le Parlement a dû se proioncer sur le dégrèvement des ta- xes frappant les installations réeep- tiâfiSs de radiodiffusion, en faveur des éiaflissements hospitaliers ou d’ensei gne je n t. Le principe de l’exonération fut voté sans difficulté, mais il s’agissait une foisle plus d’établir si l’on devait tou jours considérer tous les enfants fran- çaisjsur le même pied d’égalité : sa- voirsi les enfants des écoles libres se raient traités comme les enfants des ccolis de l’Etat. L’floquence, inspirée dé bon sens, d’ortteurs comme M. le Chanoine Des- grafees et M. Philippe Henriot, ne sut préialoir et la Chambre a décidé que les pstes, de T. S. F. des écoles commu nales ne paieraient pas de taxe, mais quefceux des écoles libres (Oh ! com bien libres) devraient l’acquitter. .Ainsi, après les années si cruelle- fraternellement vécues de la ÎT ' CltîVCXXll» le apoCbCUDlCi li’-iA iT . V I n i verstsecoué par les problèmes les plus angoissants, malgré l’exemple de pays vraiment libéraux, comme l’Angleterre, hi Hollande, la Belgique et d’autres ■— comprise l’Allemagne hitlérienne elle- même — nos parlementaires ont encore le cerveau coincé par un sectarisme aussi périmé et d’une si humiliante in digence d’esprit ! Et — bien entendu — parmi ces no bles cœurs qui n’osent le moindre geste public en faveur des libertés les plus élémentaires, nous relevons pour notre département, les noms de MM. Vas- soux et Decroze, au Sénat ; de MM. Dupuis, Aubaud, Schmidt, Uhry et Vas sal, à la Chambre. Traitez la question avec ces Mes sieurs dans un entretien privé : ils tomberont d’accord avec vous sur l’in famie et la pauvreté de pareilles déci sions, mais leur courage civique se mue en défaillance dégradante à la première escarmouche publique. Les électeurs ont les élus que leur insouciance mérite. Un Abonné. Nets de tous impôts présents et fu turs à l’exception de la taxe de trans mission, qui, ainsi que les droits de transfert et de conversion, restera à la charge des porteurs. Le prix d’émission est fixé à 847 fr. 50 La Basoche de l’Oise M. Radscoque et Mme Esefiote ont l’honneur de vous faire part de la nais sance de leur petit : Budget, survenue le 1" juin 1933 avec 5 mois de retard, après une gestation aussi pénible que laborieuse. De l’avis des méchantes langues, l’enfant se présente plutôt mal. Sa constitution déficiente fait présager bien des inquiétudes pour l’avenir, mais cependant les médecins : Dala- dier, Lamoureux, Renaudel, par optù misme professionnel se déclarent sa tisfaits. Vraiment, ils ne sont pas difficiles. Après avoir tant critiqué la progéni ture des « Républicains Nationaux », la famille Radscoque-Esefiote, dite « Cartel » réussit encore moins bien qu’eux. La marraine du nouveau-né : 'Ma rianne veut lui donner le prénom de : Déficit, bien que ses père et mère s’obs tinent à le baptiser : Equilibre. Les médecins ne quittent pas son chevet et on parle d’une intervention énergique de leur part, vers le mois de juin, pour donner au petit malade plus de vigueur. Ajoutons que Mme Esefiote donne des inquiétudes à sa famille. Sa santé fortement compromise va faire l’objet d’un congrès médical qui se tiendra à Paris le 14 juillet ! On parle même de la nécessité de faire intervenir les chi rurgiens ! Après ce premier essai désastreux, la famille Cartel fera bien désormais d® s’abstenir, car on ne sait plus très bien ce que donnerait une seconde mater nité. Signalons que ces pauvres gens sont dans une misère noire et qu’il convient au plus tôt de les aider. On pense s’adresser à quelqu’un qui pourrait sans doute faire un geste en leur fa veur ; c’est un homme d’une bonté et d’une générosité sans égale ! Il s’appelle « Contribuable ». LEGENDRE. 1 Joindre à toute, demande de I changement d’adresse la dernière I I bande du journal et / franc pour j frais de nouvelles bandes. | —m .. i 1 ——— m . 1 L’Association Syndicale et profes sionnelle des clercs de notaire et d’avoué du département de l’Oise a tenu son assemblée générale annuelle à Creil, sous la présidence de M. Baillet, son président. L’assemblée se tint à l’Hôtel de Ville, en présence des basochiens. Au cours de lalecture de son rapport, M. Baillet donna connaissance de ce qui avait été fait par la Basoche et sa situation actuelle. La situation financière au premier janvier 1933, accuse un actif de 12.129 fr. 87. Depuis la création de la Basoche de l’Oise, il a été distribué en secours .................................. 2.200 fr. 00 En bonificaion aux re traités ...................................... 11.195fr.95 Quant à la retraite servie par MM. les Officiers ministériels, il a été distribué une somme annuelle de 23 à 24.000 francs. Cette situation très prospère fait le plus grand honneur à tous ceux qui à un titre quelconque y participent. , - MM. Finot, Hermand, Durussel, Was- |CTÏnann, sortants, ont été réélus admi nistrateurs. M. Pecqueur, de Creil a été élu en la même qualité en remplace ment de son frère de Chantilly qui ne sollicitait pas le renouvellement de son mandat. A l’unanimité, la Basoche a approu- -vé diverses décisions présentées par le Conseil d’Administration. A midi, un banquet amical fut servi dans les salons de l’Hôtel du Chemin de fer, sous la présidence de M. Baillet. Autour de lui avaient pris place : MM. Recullet, notaire, président de la Cham bre des notaires de Beauvais ; Vallée, notaire, président de la Chambre des notaires de Clermont ; Louât, notaire, représentant ,M. Barbier, président de la Chambre des notaires de Senlis ; M. Dubut, notaire, président de la Cham bre des notaires de Compiègne ; Pi- sier et Michaux, avoués à Clermont ; Loir, avoué à Senlis ; Debail, notaire à Maignelay ; Toussaint, notaire à Beau vais ; Boilet, notaire à Pont-Sainte- Maxence ; Laratte, notaire à Beauvais ; Voyez, huissier à Beauvais, etc., les membres du Conseil d’administration de la Basoche, etc. Menu excellent et bien servi qui mé rita les compliments de tous à l’Hôtel du Chemin de Fer. Au champagne, M. Baillet, ouvrit la feü-Hes discours. M. le Président remercia tout d’abord MM. les Officiers ministériels présents fiui ont compris l’intérêt qu’il y a dans une collaboration intense entre patrons et clercs. Il présenta ensuite les regrets et les excuses de MM. Moysan, Gala- hert, Mouret, Delahoutre, Colliaux, De- dreux, Chéreau, Têtard, Gazeau, Chas- taing, Langlois, Crampon. Mous connaissez dit-il, ce nouveau P.ro.jet de suppression du notariat, j’en ai déjà connu deux qui firent l’effet d’un coup d’épée dans l’eau, celui de Pournière et celui de Clémenceau. Mais les temps sont changés. Le secret désir de cèux qui tiennent les destinées de la France étant d’appauvrir ceux qui travaillent et qui sont créateurs de n- chesse et par là alimentent le produit des études, afin de leur offrir comme une panacée heureuse, la socialisation de la terre et des richesses qui fera que notaires et avoués n’auront plus de rai son d’exister, Or ei les études dispa raissent, que deviendront les clercs ! Cette transformation ne sera pas pour demain, mais avec le vent actuel, la bise peut devenir rapidement une tem pête. Il faudra résister à l’ouragan et pour cela l’étroite solidarité entre pa trons et clercs devra s’affirmer davan tage et ne sera jamais trop forte pour s’opposer au monopole de l’Etat. Au nom des aînés, M. Baillet remercia les, patrons de leurs précieux efforts pour' la retraite dont ils font bénéficier les clercs de l’Oise et demanda à MM. les Présidents des Chambres de notaires et d’avoués de transmettre à leurs con frères l’expression des respectueux sentiments de reconnaissance pour leur œuvre et pour leur attention mon nayée. A la Basoche, a-t-il ajouté, on ne re garde pas le patron comme un adver saire, chaque clerc — eût-il des griefs à faire valoir — est trop attaché à son étude pour avoir la moindre pensée d’hostilité ou d’incorrection. M. le Pré sident leva son verre à la bonne union qui règne et doit régner dans les élu- «..îo», eu Itx eetritô xlei iiv_>bcei.'io.L o t do la, lia - soche de l’Oise, des maîtres et de leurs clercs, et franchissant la vallée, gravis sons la colline et près Dubut, au nom de la Louât, sonnons le ralliement pour l’an prochain, non pas à Séville, mais à Creil, puisque Me Barbier est absent. Au nom de la Compagnie des Notai res de l’arrondissement de Compiègne, M. Dubut, remercia la Basoche de son aimable invitation. « Dans la vie, telle qu’elle se présente actuellement, tout travailleur doit pouvoir trouver une lé gitime rémunération de ses efforts lui permettant d’avoir une existence con venable, d’élever une famille et de trouver des ressources pour le temps où l’âge ne lui permettra plus de tra vailler. Après avoir montré la colla boration qui doit exister entre patrons et clercs, M. Dubut ajouta : C’est par des mesures adoptées d’un commun accord entre patrons et clercs q u ’il faut rechercher la solution, mutuelle ment consentie des différents problè mes qui se posent et particulièrement celui des retraites. Me Vallée, au nom de la Compagnie des notaires de l ’a r r o n d i s s e m e n t de Clermont, exprima sa joie de se trouver à ce banquet corporatif où.se trouvent réunis dans une affectueuse union, des notaires, des avoués et leurs collabora teurs. C’est la véritable alliance du ca pital et du travail. Vous, MM. les clercs, vous n’êtes pas des employés, vous êtes des collaborateurs, c’est-à-dire l’aristo cratie véritable du monde des travail leurs, aristocratie intellectuelle autant que morale. Vous êtes mêlés à toutes nos affaires. Dans toutes les commu nes, vos noms sont connus et quand les clients les prononcent, ils y mêlent un peu d’affection. D’un autre côté, vous avez des revendications ; loin d’être injustes, elles sont le plus sou vent, marquées du sceau du bon sens. Croyez, qu’à leur sujet, nous serons vos interprètes pour les faire triompher. L’amélioration de la vie sociale qui a touché les. diverses classes de la so ciété, ne doit pas vous être épargnée, bien au contraire, car dépensant sans compter vos efforts et votre temps, il serait d’une injustice criante que l’on ne vous en tînt pas compte. Hélas ! Je le sais, il est parfois des impossibilités matérielles, la rigueur des temps et le déficit actuel entravent, pour une pé riode que j’espère momentanée, l’avan ce désirable de vos progrès sociaux. En m’associant à vos justes demandes, ce n’est pas faire acte d’un communisme révolutionnaire, mais bien plutôt d’un socialisme intelligent, le socialisme qui a pour but, non d’être démagogue, mais d’être humain. En terminant, M” Vallée leva son verre à la Basoche de l’Oise, à tous ceux qui ont été les fondateurs, à son dévoué Président, à MM. les avoués, à ses confrères, à l’union cor diale du capital et du travail, à l’union des Français. M" Pisier, avoué à Clermont, dans une courte allocution se fit l’interprète de ses confrères MM05 Michaux et Loir pour remercier la Basoche de l’Oise de son aimable invitation. Signalant que c’était la dernière fois qu’en qualité d’avoué, il prenait la parole au ban quet annuel, il dit l’affection et la re connaissance envers la Basoche de l’Oise qui, se plaçant sous l’égide cor poratif donne* satisfaction, autant que cela est possible, aux membres de ce Syndicat si uni. Il leva son verre aux convives, à leurs familles et forma les meilleurs vœux pour la prospérité de la Basoche de l’Oise. Me Louât, au nom de Me Barbier, président de la Chambre, excusé, dit sa joie de se trouver à ce banquet très amical, il rappela l’assemblée générale qui se tint à Senlis, il y a quelques an nées, et la promenade à travers la ville et la visite des monuments faites par la plupart des congressistes. Il souligna à son tour l’étroite collaboration qui exis te entre le patron et les clercs qui font de ces derniers des amis de tous les instants sur lesquels on peut compter. .La Chambre des Notaires de Senlis s’est toujours intéressée à la bonne marche de ia Basoche, et au nom de la Compa gnie des Notaires représentée au ban quet par M' Boilet et lui, Me Louât pro mit que tous ses efforts tendront à col laborer à cette œuvre sociale à laquelle il souhaite prospérité. Il leva son verre au Président Baillet, aux convives et à leura familles. Inutile d’ajouter que tous ces dis cours furent l’objet de nombreux ap plaudissements. Puis ce fut le tour des diseurs et des chanteurs, qui firent passer un bon mo ment à tous. Un Ancien de la Basoche de l’Oise. llb ASSEMBLÉE ËXÉBAIE dss CaiMiquiss lie l’Oise LASSIGNY, 28 MAI 1933 Poursuivant le cycle de ses pérégri nations à travers le département — cycle qui ne sera achevé qu’en 1900, —• l’Assemblée Générale des Catholiques de l’Oise s’est tenue cette année à Las- signy, cet ancien bourg du front dévas té par la guerre et aujourd’hui entiè rement rebâti. Si près du Piémont et du Plessier-dc- Roye, lieux immortalisés par les héroï ques journées d’août et septembre 1914, de mars et avril 1918, d’une part, tout près aussi du cachot de Jeanne d’Arc, de Beaulieu-les-Fontaines, l’assemblée des Catholiques de l’Oise ne pouvait manquer de recevoir de ce double voi sinage un caractère particulièrement émouvant de grandeur et de générosité.- La journée s’est déroulée dans le cal me, avec un ordre parfait. neuf Iicurva tint, ooxnme il eivctib été prévu, l’Assemblée plénière du Co mité diocésain, des "bureaux cantonaux et des Présidents paroissiaux. Présidée par Son Excellence Mgr Le Senne, et M. Jules Pisier, président diocésain, animée par le Secrétaire Général, M. René Simon, et par l’Aumônier diocé sain, M. le Chanoine Bellanger, cette réunion fut très vivante et très utile. On y a fait son « examen de conscien ce », dressé le bilan complet de l’année écoulée et pris les directives de la pro chaine campagne. A 11 heures 30, dans la belle église toute ïieuve et d’un style très actuel eut lieu la Messe du Congrès, célébrée par M. le Chanoine Magne, supérieur de l’Ecole Sainte-Marie du Moncel. Ser mon très substantiel et très opportun de M. le Doyen de Lassigny. Après quoi, déjeuner par groupes, — rassemblement et défilé par cantons, celui de Senlis en tête, avec cliques et fanfares auxquelles il convient d’adres ser un cordial merci. Le temps, un ins tant maussade, finit par se mettre de la fête et c’est sous un soleil vainqueur, très opportunément voilé de temps à autre par de légers nuages, que les 7.000 catholiques qui étaient là s’instal lèrent confortablement dans une ma gnifique prairie verdoyante pour ouïr de beaux discours. D’abord le Salut cordial, les remer- cîments, les félicitations et les conseils du Président Pisier. Celui-ci présente les excuses de M. le Marquis de l’Aigle, député de Compiègne qui a dû se ren dre à Pierrefonds, "et les Congressistes- sont heureux d’apprendre de sa bouche que l’Union diocésaine compte, cette année, 19.500 adhérents. Elle est donc en pleine prospérité. C’est le meilleur encouragement à l’action.’ Vient ensuite le discours de M° Gé rard Feillet, avocat à la Cour d’Appel de Paris, délégué à la Propagande de ia Fédération Nationale Catholique. Cet orateur jeune et sympathique « tombait littéralement du ciel » puisqu’il arri vait directement de Casablanca en avion. Il a entretenu son auditoire de l’ac tion catholique en ce qui concerne la Famille, Celle-ci doit être stable, fé conde, et ordonnée. Les catholiques seuls ont une doctrine sociale qui per mette d’atteindre ces résultats. Cette doctrine, il faut que les Catholiques la connaissent et s’en inspirent pour lut ter contre les doctrines de haine et d’asservissement. Ils n’ont pas le droit de s’arrêter, ils n’ont pas le. droit do se décourager, il leur faut aller de l’avant avec la grâce de Dieu et l’humi lité de l’âme. Après Me Gérard Feillet, M. l’abbé Roblot, plus connu sous le pseudo nyme significatif de Jacques Debout, à la fois poète romancier et apôtre, a pris la parole. Il a développé magni fiquement deux idées très simples, mais réconfortantes : l’Union fait la force et — la force fait l’Union. Il a exhalté le « geste immense et fraternel » des catholiques de France qui doivent être à la fois le nombre et la valeur. La Force, les catholiques de vront la puiser demain dans leurs con victions et dans la pratique religieuses. Un catholique militant doit être avant tout un catholique pratiquant. Il faut faire tout ce que l’on peut faire, — être tout ce que l’on peut être, — vouloir tout ce-que l’on peut vouloir... Discours des plus réconfortants. Son Excellence Mgr Le Senne a ter miné la journée par les remerciements d’usage en invitant les membres de l’union diocésaine à se montrer des soldats instruits — disciplinés et ac tifs. Après l’acclamation de l’ordre du jour, le chant du « Credo » et un bref Salut, eut lieu la dislocation et le part. Journée d’amitié et de réconfort dont chacun gardera, nous l’espérons, un excellent souvenir — souvenir qui sera d’autant meilleur qu’il sera davantage générateur d’énergie et de réalisations fécondes. ^ ç -♦ - M. de Selves Conservateur du Musée Coudé L’Académie des beaux-arts a, comme nous l’avions fait prévoir, désigné M. de Selves pour la représenter à Chantilly comme conservateur du Musée Condé, à côté de M. Paul Bourget et du maréchal Pétain, qui y représenteront l’Académie française et celle des sciences morales et politiques. Cette proposition sera sou mise à la prochaine assemblée plénière des cinq Académies, qui, sans aucun doute, l’odoptera d’Hn vote unanime.

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A nos Bunaaux 10 6

Pr Posta 12 7

On s'aboiroe nax m u & â x do Jonm aï datî?» Yoaît it?» bureaux de poste. - L 'aoonuemcnt est pa jab ie n dvanro r t ron t iaue de plein droit jasqXf é ’̂ cepboa* d'avis contraire.

Jktfsî p a rten t du t/e ûh&yu# m ot*

BL'REAL'X. H fuv ^ V M ÏN IS T R A T ÏO N» B ï S r ' t . I S — 1 1 , F M a c se ^ b f f l P v 8. i l -

T É L É P H O N É N 0 S--—i... ■D irecteur Coœm erciîl - E. YIGNON

]=* J & .X 2£L I O 122 fc3 X IST S ^ 3Æ O? X ô e sA nnonces légales................................................. I fr. 5 0 la ügnô

Ventes volontaires. — Publicités com m erciales. — Dem andes et offres d ’em plois(P o u r tous renseignem ents écrire au jo u rn a l)

Les manuscrits, insérés ou non, ne sont pas rendus.

LES M IPTS ET LÀ POLITIE/ t y L es C om m erçan ts « fon t-ils

de la p o litiq u e » ou n ’en fo n t- 4 0 ils p a s ? » R éponse : C’est leu r

affaire . Les C om m erçan ts son t des c itoyens com m e les au tre s . Ils ont les m êm es d ro its e t les m êm es libertés que les a u tre s c itoyens. O r, D é c l a r a ­t i o n d e s D r o i t s d e l ’H o m m e , a rtic le 14 : « T o u s l e s C i t o y e n s o n t le dro it de co n sta ter p ar e u x -m êm es ou. par leurs rep résen ta n ts , la n écessité de la co n tr ib u tio n p u b liq u e , de la c o n s e n t i r l i b r e m e n t , d ’e n s u i v r e l ’e m p l o i , e t d ’e n d é t e r m i n e r l a q u o t i t é , l ’a s s i e t ­t e , LE REC O U V R E M EN T ET LA D U R É E » .

Cet a rtic le a l ’a ir de c o n fé re r pas m a l de d ro its a u x co n tr ib u ab le s en gén éra l e t au x co m m erçan ts en p a r t i ­cu lie r qu i so n t eu x -au ss i des c o n tr i­b u a b l e s . I l ne fa u t pas d ire que le fa it d ’av o ir délégué ces d ro its à le u rs re ­p ré s e n ta n ts d ispense p o u r a u ta n t les citoyens d ’en su rv e ille r l ’usage q u ’on en fa it en le u r nom .

Il p e u t se re n c o n tre r des cas où des ca tégories e n tiè re s de c itoyens se t ro u ­v en t m al rep ré sen tées , ou le son t in s u f ­fisam m en t, ou m êm e ne le so n t p as du to u t, e t cela am ène ces ca tégo ries de c itoyens « à fa ire de la p o litiq u e ». Q ui p e u t le u r in te rd ire de so u h a ite r un re p ré se n ta n t qu i les rep ré se n te ?

Q u ’en ten d -o n d ’a illeu rs p a r ce m ot de « p o litiq u e ? » O n en anuse . V ous ne pouvez elever la voix p o u r dén o n cer u n e in ju s tic e , p o u r s ig n a le r u n abus, v o u s ne pouvez p a r le r ou éc rire p o u r sa is ir l ’op in ion d une q u es tio n suscep ­tib le d ’in té re sse r to u s les u sag e rs de l ’E ta t, vous ne pouvez s u r to u t essay erde vous g |® p e r ou de vous o rg an ise r san s ê tre ^ T u im é d ia te m e n t tax és de « fa ire de f î t p o litiq u e ».

Les m a lh e u re u x citoyens que la d u ­re té des c irco n stan ces , u n e lég is la tio n m al fa ite ou in su ffisa n te m e tte n t d an s la nécessité de fa ire cam pagne p o u r so r tir d ’u n e s itu a tio n qu i les ru in e ou l e s e x c è d e d e v i e n n e n t p o u r a u t a n t s u s ­pec ts de « fa ire de la p o litiq u e ».

Ils o n t b eau s’en d é fen d re e t d ire :« N ous ne fa iso n s p as de p o litiq u e , — n o u s ne v ou lons p as fa ire de p o lit i­que... » — « V ous en fa ite s q u a n d m êm e, le u r rép o n d -o n , et vous en fa i­tes, de p lu s , à u n e h e u re m a l choisie, à u n e h e u re où le g o u v ern em en t est a u x p rise s avec de g rosses e t n o m b re u ­ses d ifficu ltés ».

C erta in em en t le G ou v ern em en t a à fa ire face à de trè s grosses, à de trè s n o m b reu ses d ifficu ltés, e t m êm e à des d ifficu ltés si g rosses, si n o m b reu ses et si in ex tricab le s q u ’il fe ra it b ien d ’écou- te r les conseils de la N ation , vo ire m ê­m e de les so llic ite r, de les accueillir. N ous ne rep ro ch o n s p as au G ouverne­m en t ac tu e l d ’ê tre ra d ic a l e t ca rte lli- san t, n o u s lu i re p ro ch o n s son o rgue il, sa su ffisance , sa p rép o ten ce , to u te s p ré te n tio n s qu i en fa i t so u lig n en t son im p u issan ce dev an t les d ifficu ltés ac­tu e lle s .

N ous ne d iro n s p as que les hom m es qu i nous g o u v e rn en t ne se re n d e n t p as com pte de ces d ifficu ltés, m ais, avides du pouvo ir, ils l ’ex e rcen t g o u lû m en t, si l ’on p e u t d ire , en s’a p p u y a n t exclusi­v em en t s u r le u r p a r ti. C’est to u t seu ls q u ’ils p ré te n d e n t ré so u d re to u s les p rob lèm es. Ces po litic ien s o n t p e rd u le co n tac t e n tre le G ouvernem en t et les gouvernés. L a c ritiq u e les ir r ite . Ils se son t fa it u n m onopo le de la « po ­litiq u e ». T ou te p o litiq u e est p o u r eu x u n e p o litiq u e de p a rti, la p o litiq u e de le u r p a r ti, u n e p o litiq u e p o u r ou con tre le u r p a r ti.

* *C ette m an iè re de vo ir e s t périm ée.

A l ’h e u re p ré sen te , to u s les p a r tis son t à m e ttre au ra n c a r t , au c u n des p a r tis qu i o n t exercé le pou v o ir d ep u is c in ­q u a n te ans, n ’a la conscience n e tte au re g a rd des d ifficu ltés p résen tes , il a péché p a r ac tion ou p a r om ission , il a fa it ou la issé fa ire ...

Il y a seu lem en t ce tte d ifférence en ­tr e les p a r tis que ceux-là on t la cons­cience p lu s ch arg ée et les m a in s les m o ins p ro p re s qu i o n t p lu s souven t exercé le p ouvo ir.

C eux d onc q u i d e m a n d e n t au x g ra n d s G ro u p em en ts économ iques, p ro fe ss io n n e ls vo ire m êm e co n fess io n ­ne ls qu i se fo rm e n t a u jo u rd ’h u i, — de ne p o in t fa ire de la p o litiq u e de p a r ti , on t in fin im en t ra iso n . M ais si ces co n se illeu rs so n t eux-m êm es, com ­m e il a rriv e , les h o m m es d ’u n p a r ti , ils se c o n d a m n e n t eux-m êm es p a rce q u ’ils d é c la re n t a in s i q u ’en d e v e n a n t u n p a r t is a n on cesse d ’ê tre in té re s sa n t p o u r l’ensem ble de la co llectiv ité — vo ire m êm e, on lu i dev ien t suspect.

— A ssu rém en t les C om m erçan ts o n t m ieu x à fa ire . Il s ’ag it p o u r eux non p as de fa ire de la po litiq u e m ais d ’avoir im e p o litiq u e ; n o n p as d ’ê tre u n p a r ti, m a is u n e force. Ils n ’on t p o u r cela q u ’à p re n d re conscience de ce q u ’ils so n t e t à s’o rg a n ise r su r le te r ra in p ro fe s­sionnel e t co rp o ra tif , d a n s le cad re rég ional.

N ous n ’avons p a s à d o n n e r ici au x C om m erçan ts des conseils te c h n iq u e s ; ils so n t à m êm e de se les d o n n e r eux- m êm es. A eux d onc de v o ir les rev en ­d ica tio n s q u ’ils e n te n d e n t p o u rsu iv re a u p rè s des p o u v o irs pub lics, de les p réc ise r, et d ’en v isag er les m éthodes q u ’ils p e n se n t d ev o ir le u r p ro c u re r u n ré su lta t.

A n o u s en te n ir su r le te r ra in social, il n o u s sem ble que la cam pagne e n tre ­p rise p a r les C om m erçan ts , m érite d ’ê tre so u ten u e e t encouragée p a r l’opinion,

A une cond itio n to u te fo is , c’est que les co m m erçan ts p ro fiten t de l’occa­sion p o u r é tu d ie r les m oyens de re s ­ta u re r le lien social de co m m erça n t à clien t. T o u s les av an tag es q u ’ils p eu ­ven t t ire r de le u rs in te rv e n tio n s au p rè s de l’E ta t do iven t, sem ble-t-il, ê tre o rd o n n és vers c e t o b jec tif : r e s ta u ra ­tio n du lien social qu i e x is ta it au tre fo is e n tre le fo u rn is se u r consciencieux et le c lien t sé rieu x et fidèle e t qu i fa isa it du com m erce u n service social.

Ceci ne v eu t p as d ire que ch acu n doive tra v a ille r va ille que vaille à se fa ire u n e clien tè le que lconque . B ien des c o m m erçan ts n ’y o n t été que tro p p o rtés . Ils o n t ab u sé de la lib re concu r- i ence. M ais il ne s a u ra it le u r éch ap p er que, g râce à la fac ilité des tra n sp o rts , i l s s o n t a u jo u rd ’h u i l o u r d e m e n t h a n ­d icapés p a r des firm es fo rm id ab les , p a r les g ran d s m ag asin s , p a r les m a r­chés eux-m êm es qu i ne so n t p lu s a u ­jo u r d ’h u i des débouchés de p ro d u its locau x ou rég io n au x , m ais des a r r iv a ­ges e t des déballages m assifs de m a r­ch an d ises lo in ta in es , de p rovenance d iffic ilem en t co n trô lab le e t souven t b rad ées à b as p rix .

C ependan t, p a r le u r p a r tic ip a tio n ix ch a rg es locales, p a r l ’em plo i d ’une

m a in -d ’œ uvre sou v en t locale, p a r la n écessité où ils se tro u v e n t so u v en t de v en d re à c réd it, les C o m m erçan ts lo ­caux d em eu ren t to u jo u rs , e t de b e a u ­coup, soc ia lem en t les p lu s in té re ssa n ts . Ce so n t des gens du p a ys e t qu i m é ri­te n t d ’ê tre en co u rag és. M alh eu reu se ­m en t, é ta n t do n n ées le u rs charges, ils so n t obligés de p ra t iq u e r des p r ix p lu s élevés et que l’on tro u v e excessifs q u a n d on ne t ie n t com pte n i de la q u a lité de c e rta in s p ro d u its e t de leu r p r ix de rev ien t, n i ju s te m e n t des fra is g én é rau x q u i in co m b en t au C om m er­ç a n t local. Socia lem ent p lu s in té re s ­san t, le com m erce local a p p a ra ît a in si économ iquem ejn t in fé r ie u r ou d é sa ­v an tag é a u x y eux d ’u n e clien tè le flo t­ta n te p lu s p o rtée à c o n te n te r sa fa n ­ta is ie q u ’à sa tis fa ire ses v é ritab les be­s o i n s . D a n s s o n e n s e m b l e , l e c o m m e r c e local péric lite et s ’en in q u iè te . O n co m p ren d q u ’il s ’agite . Il ch erch e sa voie. C ette voie, il ne la tro u v e ra ce r­ta in e m e n t p as d an s u n e p o litiq u e p a r ­tisan e , m a is d a n s la r e s ta u ra tio n de la p ro fessio n su r le p la n co rp o ra tif , dan s la rééd u ca tio n de l’a c h e te u r e t d u v en ­d e u r qu i es t u n e œ uvre de longue h a ­le ine et de co llab o ra tio n confian te .

Il fa u t b ien le d ire , le com m erce local es t a u jo u rd ’h u i m enacé de d isp a ­r it io n p a r le d éve loppem en t des firm es à gros cap itau x . C ep en d an t il m érite d ’ê tre sauvé p a rce que les co n d itions de la p ro d u c tio n et de l’échange y son t m o ins an o n y m es, p lu s h u m a in es , p lu s a isé m e n t co n trô lab les, pa rce q u ’il p eu t s ’y in te rc a le r m o ins d ’in te rm é d ia ire s e n tre le c o n so m m ateu r e t le p ro d u c ­te u r, p a rce q u ’il s’y é tab lit p lu s de ra p p o r ts d irec ts de p e rso n n es à p e r­sonnes. T o u te s ces co n d itio n s h u m a i­n es de la p ro d u c tio n et de la consom ­m atio n , a in s i que du tra v a il en g énéra l en g ag en t au p lu s h a u t p o in t la re sp o n ­sab ilité de l ’ac h e te u r. Il fa u t ré ta b lir e t m a in te n ir le co n tac t e t le con trô le e n tre la p ro d u c tio n et la con so m m a­tio n , il fa u t perso n n a liser les re la tio n s com m ercia les. Ce n ’est p e u t-ê tre p as le m oyen de fa ire fo r tu n e en c in q on dix an s, m ais c ’e s t celu i d ’éy ite r au b o u t du fossé la cu lb u te , c ’est fa ire œ uvre h a u te m e n t sociale e t h u m a in e m e n t b ien fa isan te .

Q ue les C o m m erçan ts p re n n e n t donc la tê te de ce m o u v em en t social ; p ro ­fe ss io n n e llem en t ils n ’a u ro n t p a s à s ’en re p e n tir , h u m a in e m e n t, ils y t ro u ­v e ro n t u n e ra iso n de s’e s tim e r e t de se fa ire e s tim er dav an tag e .

A. C h e n e t .

Union D épartem entale des Sociétés de Secours-M utuels de l’Oise

Le Conseil d ’A d m in is tra tio n de l’U nion a l’h o n n eu r d ’in fo rm er les P ré ­s iden ts des Sociétés ad h éren tes , que l ’A ssem blée G énérale an n u e lle se tie n ­d ra à Creil, le d im anche 18 ju in , en une salle de la M airie, à 14 h eu res 30.

Le Congrèsde la Fédération Républicaine deFrance

Nous p u b lie ro n s dan s no tre p ro ch a in num éro , Pordre du jo u r qui a été voté à l ’issue de la c lô tu re du C ongrès qui s ’e s t te n u à P a ris , sous la p résidence de M. Louis M arin , dépu té , anc ien m i­n is tre , P ré s id e n t de la F édération .

Émission d’obligations 5 nj„des Compagnies de Chemins de Fer

de l’Est, du Midi, du Nord, du P. L. M., du P. 0. et de l’Adm inistration

des Chemins de Fer de l’Etat

M arquons un prem ier [o in t« L’Echo R épub lica in » du 3 ju in

1933, consacre une g ran d e colonne à m a pub lic ité personnelle , ce don t je le rem ercie.

Le p ré tex te de cette a ttaq u e ? .. L a cam pagne de conférences que m è­

ne ac tue llem en t le G roupem ent R épu­b lica in d’Action A nticollectiv iste , avec le concours éloquen t de M. L egendre, cam pagne qui rem porte u n m agnifique succès.

M. R obert M onguillon, a u te u r de l’a r ­ticle, recherche la tac tiq u e à su iv re p o u r a n n ih ile r no tre action . « Ou p o r­te r la con trad ic tion , ou b ien la isse r ces « M essieurs » m ijo te r dan s le u r jus. J ’opine, q u a n t à moi p o u r la deuxièm e solution », dit-il.

T iens, T iens ! Je croyais que les so­cia listes re c h e rch a ie n t les débats de doctrine ; je croyais — c’est du m oins ce q u ’ils a ffirm en t — q u ’ils ne c ra i­g n a ie n t au cu n de nos a rg u m en ts ! Or nous le u r offrons l ’acoasinn in.psoéï’M'Ç au cours de réu n io n s courto ises, de co n fro n te r leu rs idées avec les nô tres, nous le u r a ssu ro n s p le in em en t la li­b e rté de paro le , et... Ils se dégonflent sous de fallacieux prétextes.

Q uand on p ré ten d d é ten ir la v é r ité intégrale, on ne la garde pas p o u r soi ; on ne la c lo ître pas dan s de petites p arlo tes confidentielles, m ais on Létale au g ra n d jo u r des assem blées p ub li­ques, on la défend d ev an t le peuple, souvera in juge.

C’est ce que nous faisons, en v é rita ­bles rép u b lica in s et dém ocrates ; c’est ce que vous vous refusez à faire, Mes­sieurs les Socialistes.

Je connais, d ’a illeu rs la v éritab le ra i­son qui m otive l ’a ttitude de M. Mon­guillon.

Il est venu a p p o rte r une con trad ic ­tion courto ise à no tre am i Legendre, à V ille rs-S a in t-F ram b o u rg , et de l’avis de tous les au d iteu rs de bonne foi, M. Le­gendre l ’a... écrasé.

M. M onguillon reco n n a ît d ’ailleu rs dans son a rtic le que no tre am i est « très bon conférencier... a in s i que j ’ai pu m ’en ren d re com pte ».

C’est p o u r avo ir fa it cette co n sta ta ­t i o n à ses dépens q u e M. M îonguillon ne t i e n t pas à r e c o m m e n c e r . V o î i a i.,* vérité .

A insi, nous m arq u o n s un point. Dans une d iscussion lib re et courto ise, nos ad v ersa ires ne se sen ten t pas de taille.

Qu’im porte d ’a illeu rs le u r m ot d’o r­d re d ’absten tion .

Les rép u b lica in s s incères, les ou­v rie rs de bonne foi et tous ceux qui ne reço ivent de d irectives que de leu r conscience et conserv en t leu r lib re a r ­b itre , tous ceux ép ris de v érité v ien ­d ro n t à nos réu n io n s en co u rag e r l ’œ u­vre d ’éducation po litique que nous pou rsu ivons a u jo u rd ’hui, e t que nous p o u rsu iv ro n s dem ain.

Comme p a r le passé , nous inv iterons chaque fois nos ad v ersa ires , e t p lus p a rticu liè rem en t le u r chef, M. V assal, et, si l ’occasion s ’en p résen te , nous fe­rons co n sta te r au peup le le u r carence.

P. BILLAUX.

Leur Premier N é

Nos ParlementairesRicemmcnt, le P a rlem en t a dû se

proioncer su r le dégrèvem ent des ta - xes f ra p p a n t les in s ta lla tio n s réeep- tiâfiSs de radiodiffusion, en fav eu r des éiaflissem ents h o sp ita lie rs ou d ’en se i­gne je n t.

Le p rin c ip e de l’exonération fu t voté sans difficulté, m ais il s ’ag issa it une foisle p lu s d ’é tab lir si l’on devait to u ­jours co n sid é re r tous les en fan ts f ra n - çaisjsur le m êm e pied d ’égalité : sa- voirsi les en fan ts des écoles lib res se­raient tra ité s comme les en fan ts des ccolis de l ’Etat.

L’floquence, in sp irée dé bon sens, d ’ortteurs comme M. le C hanoine Des- grafees e t M. P h ilip p e H enriot, ne su t préialoir e t la C ham bre a décidé que les pstes, de T. S. F. des écoles com m u­nales ne p a ie ra ie n t pas de taxe, m ais quefceux des écoles lib res (Oh ! com ­bien lib res) d ev ra ien t l’acqu itte r.

.Ainsi, ap rè s les années si c rue lle - fra te rn e llem en t vécues de laÎT' CltîVCXXll» le apoCbCUDlCi li’-iAiT. VI n i

verstsecoué p a r les problèm es les p lus angoissants, m alg ré l’exem ple de pays vraim ent lib é rau x , com m e l’A ngle terre , hi Hollande, la B elgique e t d ’au tre s ■— comprise l’A llem agne h itlé rien n e elle- même — nos p a rlem en ta ire s on t encore le cerveau coincé p a r u n sec tarism e aussi périm é e t d ’une si h u m ilian te in ­digence d’e sp r it !

Et — bien en ten d u — p a rm i ces no­bles cœ urs qui n ’osen t le m oindre geste public en fav eu r des libertés les p lus élém entaires, nous relevons po u r no tre départem ent, les nom s de MM. V as- soux et Decroze, au S én a t ; de MM. Dupuis, A ubaud, Schm idt, U hry et V as­sal, à la Cham bre.

Traitez la question avec ces M es­sieurs dans u n e n tre tien p rivé : ils tom beront d’accord avec vous s u r l ’in ­famie et la p au v re té de pa re ille s déci­sions, m ais le u r courage civ ique se mue en défa illance d ég rad an te à la prem ière escarm ouche publique.

Les é lec teurs on t les élus que leu r insouciance m érite .

Un Abonné.

N ets de tous im pôts p ré sen ts e t fu­tu rs à l’exception de la taxe de t r a n s ­m ission , qui, a in s i que les d ro its de tra n s fe r t e t de conversion , re s te ra à la ch arg e des p o rteu rs.

Le prix d’ém ission est fixé à 847 fr. 50

La Basoche de l’Oise

M. R adscoque et Mme Esefiote ont l ’h o n n eu r de vous fa ire p a r t de la n a is ­sance de le u r p e tit : B udget, su rvenue le 1" ju in 1933 avec 5 m ois de re ta rd , ap rè s une g esta tio n au ssi pén ib le que laborieuse.

De l’avis des m échan tes langues, l ’en fan t se p ré sen te p lu tô t m al. Sa constitu tion déficiente fa it p résag er b ien des in q u ié tudes p ou r l ’avenir, m ais cep en d an t les m édecins : Dala- d ier, L am oureux , R enaudel, p a r op tù m ism e p ro fessionnel se d éc la ren t s a ­tisfa its.

V raim ent, ils ne son t pas difficiles.A près avoir ta n t c ritiq u é la p ro g én i­

tu re des « R épub lica in s N ationaux », la fam ille R adscoque-Esefiote, dite « C artel » ré u ss it encore m oins bien qu’eux.

La m arra in e du nouveau-né : 'Ma­r ia n n e veut lui d o n n er le p rénom de : Déficit, b ien que ses père e t m ère s ’obs­tin en t à le b a p tise r : E quilibre.

Les m édecins ne q u itten t pas son chevet et on p a rle d ’une in terven tion énerg ique de le u r p a rt, vers le mois de ju in , p o u r d o n n er au p e tit m alade p lus de v igueur.

A joutons que Mme Esefiote donne des inqu ié tudes à sa fam ille. S a san té fo rtem en t com prom ise va fa ire l’objet d ’un congrès m édical qui se tie n d ra à P a ris le 14 ju ille t ! On p a rle m êm e de la nécessité de fa ire in te rv e n ir les ch i­ru rg ie n s !

A près ce p rem ie r essa i désastreux , la fam ille C artel fe ra b ien désorm ais d® s ’ab s ten ir, c a r on ne sa it p lus trè s bien ce que d o n n e ra it u n e seconde m ater­nité.

S ignalons que ces pauvres gens sont d an s une m isère no ire e t q u ’il convient au p lu s tô t de les a ider. On pense s ’ad re sse r à qu e lq u ’un qui p o u rra it san s doute fa ire un geste en leu r fa­v eu r ; c’est un hom m e d’une bonté et d ’une générosité san s égale !

Il s ’appelle « C ontribuable ».LEGENDRE.

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Joindre à toute, demande de I changement d ’adresse la dernière I

I bande du journal et / franc pour j frais de nouvelles bandes. |

—m .. i 1 ——— m . 1

L’A ssociation S ynd icale e t p ro fes­sionnelle des clercs de n o ta ire et d ’avoué du d ép a rtem en t de l’Oise a ten u son assem blée gén éra le an n u e lle à Creil, sous la p résidence de M. B aillet, son p résiden t.

L’assem blée se t in t à l’Hôtel de Ville, en présence des basochiens.

Au cours de la le c tu re de son rap p o rt, M. B aille t donna conna issance de ce qui ava it été fa it p a r la B asoche et sa situation actuelle.

La situ a tio n financière au p rem ie r janv ier 1933, accuse u n actif de 12.129 fr. 87.

Depuis la créa tion de la B asoche de l ’Oise, il a été d is tribué ensecours .................................. 2 .2 0 0 fr. 00

En bonificaion au x re ­traités ...................................... 11.195 fr. 95

Quant à la re tra ite servie p a r MM. les Officiers m in istérie ls , il a été d is trib u é une somme annuelle de 23 à 24.000 francs.

Cette situ a tio n très p ro sp è re fa it le plus g ran d h o n n eu r à tous ceux qui à un titre quelconque y p a rtic ip en t., - MM. F inot, H erm and, D urussel, W as- |CTÏnann, so rtan ts , o n t été réé lu s ad m i­n istra teu rs. M. P ecqueur, de Creil a été élu en la m êm e q ualité en rem p lace­m ent de son frère de C han tilly qu i ne sollicitait pas le renouvellem en t de son m andat.

A l’u n an im ité , la B asoche a a p p ro u - -vé diverses décisions p résen tées p a r le Conseil d ’A dm in istra tion .

A midi, u n b an q u e t am ical fu t serv i dans les salons de l’Hôtel du Chem in de fer, sous la p résidence de M. B aillet. Autour de lu i av a ien t p ris p lace : MM. Recullet, no ta ire , p ré s id en t de la C ham ­bre des n o ta ires de B eauvais ; Vallée, notaire, p ré s id en t de la C ham bre des notaires de C lerm ont ; Louât, n o ta ire , rep résen tan t ,M. B arb ie r, p ré s id e n t de la Chambre des n o ta ires de Senlis ; M. Dubut, no ta ire , p ré s id en t de la C ham ­bre des n o ta ires de Com piègne ; P i- sier et M ichaux, avoués à C lerm ont ; Loir, avoué à Senlis ; D ebail, n o ta ire à M aignelay ; T oussain t, n o ta ire à B eau­vais ; Boilet, n o ta ire à P o n t-S a in te - Maxence ; L ara tte , n o ta ire à B eauvais ; Voyez, h u iss ie r à B eauvais, etc., les membres du Conseil d ’ad m in is tra tio n de la Basoche, etc.

Menu excellen t e t b ien serv i qui m é­rita les com plim en ts de tous à l ’Hôtel du Chem in de Fer.

Au cham pagne , M. B aillet, ouv rit la feü-Hes d iscours.

M. le P ré s id e n t rem erc ia to u t d ’abord MM. les Officiers m in is té rie ls p ré sen ts fiui ont com pris l’in té rê t q u ’il y a dan s une co llaboration in ten se en tre p a tro n s et clercs. Il p ré se n ta ensu ite les reg re ts et les excuses de MM. M oysan, G ala- hert, M ouret, D elahoutre , Colliaux, De- dreux, C héreau, T ê ta rd , Gazeau, C has- ta ing, L anglois, C ram pon.

Mous connaissez d it-il, ce nouveau P.ro.jet de su p p ressio n du n o ta ria t, j ’en ai déjà connu deux qui f iren t l’effet d ’un coup d ’épée dan s l’eau , celu i de Pournière e t celui de C lém enceau. M ais les tem ps son t changés. Le sec re t d ésir de cèux qui tie n n e n t les destinées de la F rance é ta n t d ’a p p a u v r ir ceux qui travaillent et qui son t c réa teu rs de n - chesse et p a r là a lim en ten t le p ro d u it des études, afin de le u r o ffrir comme une p anacée heureuse , la socia lisa tion de la te rre e t des richesses qui fera que notaires et avoués n ’a u ro n t p lus de rai­son d’exister, Or ei les études dispa­

ra issen t, que d ev ien d ro n t les c lercs ! Cette tran sfo rm a tio n ne se ra pas p ou r dem ain , m ais avec le v en t actuel, la bise p eu t deven ir rap id em en t une tem ­pête. Il fa u d ra ré s is te r à l’o u rag an et p o u r cela l’étro ite so lid arité en tre p a ­trons et clercs d ev ra s ’affirm er d av a n ­tage e t ne se ra jam ais tro p forte po u r s ’opposer au m onopole de l’E tat. Au nom des a înés, M. B aille t rem erc ia les, p a tro n s de leu rs p réc ieu x efforts p o u r ' la re tra ite don t ils font bénéfic ier les clercs de l’Oise e t d em an d a à MM. les P ré s id en ts des C ham bres de no ta ires et d ’avoués de tra n sm e ttre à leu rs con­frè res l’exp ression des respectueux sen tim en ts de reco n n a issan ce po u r le u r œ uvre et po u r le u r a tten tio n m on­nayée.

A la Basoche, a-t-il a jou té , on ne re ­garde pas le p a tro n comme un ad v er­sa ire , chaque clerc — eû t-il des griefs à fa ire v a lo ir — est trop a ttach é à son étude p o u r avo ir la m o ind re pensée d ’hostilité ou d’incorrec tion . M. le P ré ­s id e n t leva son ve rre à la bonne un ion qui règ n e e t do it ré g n e r dan s les élu-«..îo», eu Itx eetritô xlei iiv_>bcei.'io.L ot do la, lia -soche de l’Oise, des m a ître s et de leu rs clercs, et f ra n c h issa n t la vallée, g ra v is ­sons la colline et p rès D ubut, au nom de la Louât, sonnons le ra lliem en t pour l’an p ro ch a in , non p as à Séville, m ais à Creil, pu isque Me B a rb ie r es t absen t.

Au nom de la C om pagnie des N otai­res de l ’a rro n d issem en t de C om piègne, M. D ubut, rem erc ia la B asoche de son a im ab le inv ita tion . « D ans la vie, telle qu ’elle se p ré sen te ac tuellem en t, tou t tra v a ille u r doit pouvoir tro u v e r une lé ­gitim e rém u n éra tio n de ses efforts lu i p e rm e tta n t d ’avo ir une ex istence con­venable, d ’élever une fam ille e t de tro u v e r des resso u rces p o u r le tem ps où l’âge ne lu i p e rm e ttra p lu s de t r a ­vailler. A près av o ir m o n tré la co lla­b o ra tio n qui do it ex is te r en tre p a tro n s e t clercs, M. D ubut a jo u ta : C’est p a r des m esu res adoptées d ’u n com m un accord en tre p a tro n s e t c lercs q u ’il fau t re c h e rch e r la so lu tion , m u tue lle ­m ent consen tie des d ifféren ts p ro b lè ­m es qui se p osen t e t p a rticu liè rem en t celui des re tra ite s .

Me Vallée, au nom de la Com pagnie des n o ta ire s de l’a rro n d issem en t de C lerm ont, ex p rim a sa joie de se trouver à ce b an q u e t co rp o ra tif o ù .se tro u v en t réu n is dans une affectueuse un ion , des no ta ires, des avoués et leu rs co llabora­teurs. C’est la v é ritab le a llian ce du ca­p ita l et du trav a il. Vous, MM. les clercs, vous n ’êtes pas des em ployés, vous êtes des co llabo ra teu rs , c’e s t-à -d ire l’a ris to ­c ra tie v é ritab le du m onde des tra v a il­leu rs , a ris to c ra tie in te llec tuelle a u ta n t que m orale. Vous êtes m êlés à toutes nos affaires. D ans tou tes les com m u­nes, vos nom s so n t connus e t quand les c lien ts les p ro n o n cen t, ils y m êlen t un peu d ’affection. D’un a u tre côté, vous avez des rev en d ica tio n s ; loin d ’ê tre in ju stes , elles so n t le p lu s sou­vent, m arquées du sceau du bon sens. Croyez, q u ’à le u r su je t, nous serons vos in te rp rè te s p o u r les fa ire triom pher. L’am élio ra tion de la vie sociale qui a touché les. d iverses c lasses de la so ­ciété, ne doit pas vous ê tre ép arg n ée , b ien au co n tra ire , c a r d ép en san t sans com pter vos efforts e t vo tre tem ps, il s e ra it d ’une in ju stice c ria n te que l ’on ne vous en t în t pas com pte. Hélas ! Je le sais, il e s t parfo is des im possib ilités m atérie lles, la r ig u e u r des tem ps e t le déficit ac tuel en trav en t, p o u r une p é ­riode que j ’espère m om entanée, l ’a v a n ­ce d ésirab le de vos p ro g rès sociaux. En m ’asso c ian t à vos ju s te s dem andes, ce n ’est pas fa ire acte d ’un com m unism e rév o lu tio n n a ire , m ais b ien p lu tô t d ’un socialism e in te lligen t, le socialism e qui a po u r bu t, non d ’être dém agogue, m ais d ’ê tre h um ain . En te rm in a n t, M” Vallée leva son v e rre à la Basoche de l ’Oise, à tous ceux qui on t été les fonda teu rs, à son dévoué P rés id en t, à MM. les avoués, à ses confrères, à l ’un ion cor­diale du cap ita l et du trav a il, à l ’union des F ran ça is .

M" P is ie r, avoué à C lerm ont, dan s une courte allocu tion se fit l ’in te rp rè te de ses confrères MM05 M ichaux e t Loir p o u r rem erc ie r la B asoche de l’Oise de son a im ab le in v ita tion . S ig n a la n t que c’é ta it la d e rn iè re fois q u ’en qualité d ’avoué, il p re n a it la p aro le au b a n ­quet an n u el, il d it l ’affection e t la re ­co n n a issan ce envers la Basoche de l ’Oise qui, se p la ç a n t sous l’égide cor­p o ra tif donne* sa tisfac tion , a u ta n t que cela est possib le, au x m em bres de ce S y n d ica t si un i. Il leva son v e rre aux convives, à leu rs fam illes et fo rm a les m eilleu rs vœ ux p o u r la p ro sp é rité de la Basoche de l’Oise.

Me Louât, au nom de Me B arb ie r, p ré s id e n t de la C ham bre, excusé, d it sa joie de se tro u v e r à ce b a n q u e t très am ical, il ra p p e la l’assem blée g énéra le q u i se t i n t à S e n l i s , i l y a q u e l q u e s a n ­n é e s , e t l a p r o m e n a d e à t r a v e r s l a v i l l ee t la v isite des m onum en ts fa ites p a r la p lu p a r t des congressistes. Il sou lig n a à son to u r l’é tro ite co llabora tion qui ex is­te en tre le p a tro n et les c lercs qu i font de ces d e rn ie rs des am is de tous les in s ta n ts su r lesquels on p eu t com pter. .La C ham bre des N otaires de Senlis s ’est to u jo u rs in té ressée à la bonne m arche de ia B asoche, e t au nom de la Com pa­gnie des N otaires rep résen tée au b a n ­q u e t p a r M ' B oilet e t lui, Me L ouât p ro ­m it que tous ses efforts te n d ro n t à col­lab o re r à cette œ uvre sociale à laquelle il souhaite p ro sp érité . Il leva son verre au P ré s id e n t B aillet, au x convives e t à le u ra fam illes.

In u tile d ’a jo u te r que tous ces d is­cours fu re n t l ’ob je t de n o m breux a p ­p lau d issem en ts .

P u is ce fu t le to u r des d iseu rs e t des ch an teu rs , qui firen t p a sse r un bon m o­m en t à tous.

Un A ncien de la Basoche de l ’Oise.

Là l lb ASSEMBLÉE ËX ÉBA IE d ss C aiM iquiss lie l’OiseLASSIGNY, 28 MAI 1933

P o u rsu iv a n t le cycle de ses p é ré g ri­n a tio n s à tra v e rs le d ép artem en t — cycle qui ne se ra achevé q u ’en 1900, —• l ’A ssem blée G énérale des C atholiques de l ’Oise s ’es t tenue cette année à L as- signy , cet an c ien bou rg du fron t dévas­té p a r la g u e rre et a u jo u rd ’hu i e n tiè ­rem en t rebâti.

Si p rès du P iém on t e t du P lessie r-d c- Roye, lieux im m orta lisés p a r les h é ro ï­ques jo u rn ées d’ao û t e t sep tem bre 1914, de m ars et av ril 1918, d ’une p a r t , to u t p rès au ss i du cachot de Je a n n e d’Arc, de B eau lieu -les-F on ta ines, l’assem blée des C atholiques de l ’Oise ne pouvait m an q u er de recevoir de ce double voi­s in ag e un ca rac tè re p a rticu liè rem en t ém ouvan t de g ra n d e u r et de g én éro sité .-

La jo u rn ée s ’e s t déroulée dans le ca l­me, avec un o rd re p arfa it.

n e u f I i c u r v a t i n t , o o x n m e i l eivctibété p révu , l ’A ssem blée p lén iè re du Co­m ité diocésain , des "bureaux can to n au x e t des P ré s id en ts paro iss iau x . P résidée p a r Son E xcellence M gr Le Senne, et M. Ju les P is ie r, p ré s id en t d iocésain , an im ée p a r le S ecré ta ire G énéral, M. R ené S im on, et p a r l’A um ônier diocé­sa in , M. le C hanoine B ellanger, cette réu n io n fu t très v ivan te et trè s utile. On y a fa it son « exam en de conscien ­ce », d ressé le b ilan com plet de l’année écoulée et p r is les d irectives de la p ro ­cha ine cam pagne.

A 11 h eu res 30, dan s la belle église toute ïieuve et d ’u n sty le trè s actuel eu t lieu la M esse du C ongrès, célébrée p a r M. le C hanoine M agne, su p é rie u r de l’Ecole S ain te-M arie du M oncel. S e r­m on trè s su b s tan tie l et trè s o p p o rtu n de M. le Doyen de L assigny.

A près quoi, d é jeu n e r p a r g roupes, — rassem b lem en t et défilé p a r can tons, celu i de Senlis en tête, avec cliques et fan fa res auxquelles il convien t d ’a d re s ­se r u n cord ial m erci. Le tem ps, u n in s ­ta n t m aussade , fin it p a r se m ettre de la fête e t c’e s t sous u n soleil v a in q u eu r, très o p p o rtu n ém en t voilé de tem ps à a u tre p a r de légers nuages, que les 7.000 ca tho liques qui é ta ien t là s ’in s ta l­lè re n t con fo rtab lem en t dans une m a­gnifique p ra ir ie verdoyan te p o u r ou ïr de beaux discours.

D’abord le S a lu t cord ial, les rem er- cîm ents, les fé lic ita tions et les conseils du P ré s id e n t P isier. Celui-ci p résen te les excuses de M. le M arquis de l’Aigle, dépu té de Com piègne qui a dû se re n ­d re à P ie rre fo n d s, "et les Congressistes- son t h eu reu x d ’ap p re n d re de sa bouche que l’U nion diocésaine com pte, cette année , 19.500 ad h éren ts . Elle est donc en p leine p rospérité . C’est le m eilleu r en co u rag em en t à l ’a c tio n .’

V ient ensu ite le d iscours de M° Gé­ra rd Feillet, avocat à la Cour d ’A ppel de P a ris , délégué à la P ro p ag an d e de ia F édéra tion N ationale Catholique. Cet o ra te u r jeu n e et sy m path ique « tom bait litté ra lem en t du ciel » p u isq u ’il a r r i ­v a it d irec tem en t de C asab lanca en avion.

Il a e n tre te n u son aud ito ire de l ’ac­tion catho lique en ce qui concerne la F am ille , Celle-ci doit ê tre s tab le , fé­conde, e t ordonnée. Les catho liques seu ls on t une doctrine sociale qui p e r­m ette d ’a tte in d re ces ré su lta ts . Cette doctrine , il fau t que les C atholiques la co n n a issen t e t s ’en in sp ire n t p o u r lu t­te r con tre les doc trines de h a in e et d ’asserv issem en t. Ils n ’o n t p as le d ro it de s ’a r rê te r , ils n ’on t pas le. d ro it do se décourager, il leu r fau t a lle r de l ’a v an t avec la g râce de Dieu et l ’h u m i­lité de l’âm e.

A près Me G érard Feillet, M. l’abbé Roblot, p lu s connu sous le pseudo­nym e sign ifica tif de Jacq u es Debout, à la fois poète ro m an c ie r et apô tre , a p r is la paro le . Il a développé m ag n i­fiquem ent deux idées trè s sim ples, m ais réco n fo rtan tes : l ’Union fait la force — et — la force fait l ’Union.

Il a exha lté le « geste im m ense et f ra te rn e l » des catho liques de F ran ce qu i do iven t ê tre à la fois le nom bre et la va leu r. La Force, les catho liques de­v ro n t la p u ise r dem ain dan s leu rs con­v ictions et dan s la p ra tiq u e re lig ieuses. U n catho lique m ilita n t do it ê tre a v an t tou t u n ca tho lique p ra tiq u a n t. Il fau t fa ire to u t ce que l’on p eu t fa ire , — être to u t ce que l’on p e u t être , — vou lo ir tou t ce-que l’on p eu t vouloir... D iscours des p lu s récon fo rtan ts .

Son E xcellence M gr Le S enne a te r ­m iné la jo u rn ée p a r les rem erc iem en ts d ’usage en in v ita n t les m em bres de l ’un io n d iocésaine à se m o n tre r des so ldats in s tru its — d isc ip linés e t ac ­tifs. A près l’acc lam ation de l’o rd re du jo u r, le c h a n t du « Credo » et un b re f S a l u t , e u t l i e u l a d i s l o c a t i o n e t l e dé­p art.

Jo u rn ée d ’am itié et de réconfort dont chacun g a rd e ra , nous l’espérons, un excellen t so u v en ir — souven ir qui se ra d ’a u ta n t m eilleu r q u ’il se ra d av an tag e g é n é ra te u r d ’énerg ie et de réa lisa tio n s fécondes. ^ ç -♦ -

M . de S e lv e sC onservateur du Musée Coudé

L’Académie des beaux-arts a, comme nous l ’avions fait prévoir, désigné M. de Selves pour la représen ter à Chantilly comme conservateur du Musée Condé, à côté de M. Paul Bourget et du m aréchal Pétain, qui y représenteront l’Académie française et celle des sciences morales et politiques. Cette proposition sera sou­mise à la prochaine assemblée plénière des cinq Académies, qui, sans aucun doute, l’odoptera d’Hn vote unanim e.

Page 2: LES MIPTS ET LÀ POLITIE dss CaiMiquiss lie l’Oisebmsenlis.com/data/pdf/js/1933-1934/bms_js_1933_06_11_MRC.pdfI fr. 5 0 la ügnô Ventes volontaires. — Publicités commerciales

m l ' I o i s ê- JK&Q+

U Congrès départemental de i l). H.C. de l'Oise

Ce* C ongrè" s 'e s t tenu à P orm erie , la Vùle s 'é ta i t p a rée coque ttem en t po u r recevoir les- co n g ressis te s venus a u nom bre de p rès do 500.

L’assem blée g 'énérale s ’ouv rit sous la p résid en ce de M. D ésiré T ritsch , vice- p ré s id e n t du G roupe de l’Oise et de p e rso n n a lité s : M. D audré, m em bre du Comité d irec teu r, p ré s id e n t du G roupe de la Som m e ; M. H ubert, m aire de P or- m erie ; P etit, p ré s id e n t de la F éd é ra ­tion des A. G. e t p ré s id e n t de PU. M. R. A. G.

En l ’absence du p ré s id e n t du Groupe, M. A. de P o n ta lb a , c o n tra in t de g a rd e rla. c h a m b r e , M . T r i t s c h p r ô s e n l a l e s r x -

. r u s e s e t r e m e r c i a l e s a u t o r i t é s p r é s e n ­t e s .

M. Letouze, p ré s id e n t de la Section de F orm erie fit u n exposé des trav au x accom plis, M. G ira rd p ré sen ta la s i ­tua tion gén éra le de la Caisse A utono­me. Celle-ci com pte 2.083 m em bres qui on t versé en 1932 2.071.087 fran cs de co tisations.

M. D arg en t d o n n a en su ite lec tu re du ra p p o r t de la C om m ission de contrôle de la Caisse A utonom e e t des fé lic ita ­tions fu re n t votées à MM. G érard et Seym and.

M. Saelens, sec ré ta ire g én éra l du G roupe p rocéda à la lec tu re de son ra p p o r t m oral s u r l ’ac tiv ité du Groupe p e n d an t l’exercice 1932-33.

A près avo ir ren d u un hom m age m é­rité au ch e r P ré s id e n t M. de P o n ta lb a qui a su co n q u é rir p a r sa sim plicité so u rian te et son cord ial accueil tous ceux q u ’u n h eu reu x so rt a p lacés sous sa boulette de b e rg e r expérim en té , M. S aelens tra ç a en su ite le tab leau de l’ac­tiv ité du G roupe que les A nciens Com­b a tta n ts tro u v e ro n t d an s le « T ra it d ’U nion ».

M. L onguet d o n n a lec tu re du ra p p o r t de la C om m ission de con trô le des com p­tes de la tré so re rie du G roupe U. N. G. co n c lu an t à l’accep ta tion p u re e t sim ple des com ptes p résen tés .m arq ii"o ïo trav a il lè T îé fa lf ’cfès q u a tre sous-com ptes en lesquels se su b d iv i­se n t les com ptes d u G roupe. Le trav a il du tré so rie r g én éra l fu t adopté à l ’u n a ­n im ité.

M. B oilct li t le ra p p o r t s u r les vœ ux.Voici quels so n t ces vœ ux :R évision des p en sions co n sen ties a u x

m alades de l ’a rr iè re , non titu la ire s de la ca rte du C om battan t, (œ uvre de M. de P o n ta lb a , qui le fit a d o p te r p a r la C onfédération N ationale) ;

A ffichage d an s les m a irie s des nom s des titu la ire s de la ca rte du C om bat­ta n t ;

E x tension au x A nciens C om battan ts du bénéfice de l’ap p lica tio n de la loi su r les em plois réservés au x m utilés ;

Po u le p ro m p t ré tab lissem en t de n o ­tre P ré s id e n t du G roupe, M. de P o n ta l­ba :

Enfin u n vœ u p ré sen té au cours de l ’A ssem blée p a r M. D om m ery, (de Greil) p o u r que la m obilisa tion in d u s­trie lle fasse a v a n t to u t ap p e l au x com ­pétences requ ises dan s les m ilieux A n­ciens C om battan ts et ne se liv re n t p lus au x débordan tes fan ta is ie s de celle de 1914 qui ra ssem b la a u to u r des m ach i­nes q u ’ils voyaien t p o u r la p rem ière fois d ’é to n n an ts o p é ra teu rs a rm és, si l ’on peu t d ire , de p lu s de bonne volonté e t de frousse que de réel savoir. Cela no do it p lu s ê tre e t no tre cam arad e fu t h eu reu sem en t in sp iré de nous le r a p ­peler.

T ous ces vœ ux fu re n t adop tés à l ’u n a ­n im ité,• Une causerie fam ilière e t m ag is tra le de M. D audré ex p o sa le p o in t de vue du Comité d ire c te u r de l’A ssociation en p résence des g raves questions ac tu e l­les qu i p réo ccu p en t tous les A nciens C om battan ts.

A près une récep tion p a r la M un ic ipa­lité à, l ’Hôtel de Ville du Comité de Di­rection d u G roupe, il fu t p rocédé à la rem ise so lennelle des d éco ra tions de la Légion d ’h o n n eu r, à M. Le B ihan , de F orm erie et C audron , de M oyenneville.

Un défilé eu t lieu en su ite ; en téte m a rc h a it la fan fa re du 5" rég im en t de C u irassie rs . A 13 h eu res , u n b a n q u e t p résid é p a r M. H ubert, m aire de F o r­m erie, com m ença. Au d esse rt, MM. T ritsch , P e tit, H ubert, D audré, Rosier, chef de cab in e t du P ré fe t de l’Oise, t i ­rè re n t les conclusions a tten d u es de ce t­te réco n fo rtan te jou rnée . P u is, il fu t fa it rem ise de déco ra tio n s.

O nt reçu la d iplôm e de M érite de l’U. N. C. :

MM. Buée, de F o rm erie , sec ré ta ire g én éra l du C ongrès ; H ennebert, de L ian co u rt, se c ré ta ire de la Section ; B rigand , de P récy , tré so r ie r de la Sec­tion ; B erger, de Creil, p ré s id e n t de la Section.

O nt reçu la M édaille de B ronze de la M utualité :

MM. Héno E ugène, tré so r ie r de la Caisse A utonom e ; V iolet H enri, tré so ­r ie r de la Caisse A utonom e.

L ’ap rès-m id i fu t consacrée au d é la s­sem ent. Une séan ce récréa tiv e o b tin t un g ra n d succès e t le so ir, un g ra n d bal eu t lieu d a n s la sa lle des fêtes.

VIENT DE PARAITRE

La Véritiite JUtM Tiüiud ’ap rè s des d ocum en ts inéd its

p a r le B aron A ndré de M aricourt

« D ans ce p e tit volum e, je n ’ai pas « d it l’au teu r, la p ré ten tio n de révo lu - « tio n n e r l ’h isto ire de la belle T allien . « Ce se ra it là une sotte ou trecu idance.

« H me sem ble toutefois q u ’en éclaî- « r a n t des faib les ray o n s de s a la n te rn e « ce rta in s po in ts de cette h isto ire , on « p o u rra it m ieux s itu e r cotte héro ïne « en son tem ps.

« P o u r ce fa ire , il conv ien t de se g a r- « d e r de la passion po litique q u ’on a « ra re m e n t évitée à son su je t et à celui « de T allien .

« E n tre l ’excès de louanges e t celu i « des in ju res , n ’est-il pas un ju s te p lan « s u r lequel il se fa u t p lace r p o u r p a r- « 1e r de ceux qu i v écu ren t en des« temps exceptionnels ?

« En un m ot, le ro m an de la Vie de « M adam e T allien , c’es t l ’é ternelle h is- « to ire de la M adeleine qu i v ieillit. Elle « p e u t tou jou rs in té re sse r ceux qui a i- « m en t à re g a rd e r les âm es e t à sa is ir « les m ouvem ents com plexes et sub tils « de la fem m e ».

*• •Ce trè s in té re ssa n t volum e e s t édité

PIvq^ 0 ? Uef ’ U,A’ avenue des C ham ps- Elysées et est m is en vente dans toutes les L ib ra irie s de Senlis

A t r a v e r s S e n l i s------------ —5=3£I<IJ=~~£ —

Une grandiose Manifestation Agricole et IndustrielleLE CONCOURS AGRICOLE DE 1 9 3 3

Discours de M. GoréPrésident de la S. A. O.

(S u ite et F in)

Jd dois dire aussi ma .gratitude :A l ’O f f lo e a g r i c o l e d é p a r t e m e n t a l , q u e

p r é s i d e m o n e x c e l l e n t c o l l è g u e et a m i Vasseux, qui p rend à sa charge les pri- mtes à d istribuer à, nos éleveurs,

Au Syndicat des V étérinaires de l’Oise, représenté ici p a r son Vice-Président M. Quentin, qui nous attribue quelques mé­dailles.

A MM. les Exposants de m achines agri­coles, fidèles habitués de nos concours, à leur président honoraire, M. Lcfèvre-Al- baret et au Commissaire spécial de cette section, M. B ernard Lefèvre-Albaret, dont la collaboration dévouée nous est des plus précieuse.

A MM. les H orticulteurs, grâce à qui un coin de notre exposition s’est trans­formé en un magnifique ja rd in du plus bel effet décoratif.

A MM. les Eleveurs, dont l ’exposition ne le cède en rien à celle des concours antérieurs, surtout pour 1’espèce bovine, où la race hollandaise notam m ent est magnifiquement représentée, et pour l’es­pèce ovine dont le concours spécial réu­nit l ’élite des éleveurs de teette race.

Je félicite tous les lauréats, et plus particulièrem ent : MM. Orens Raymond, Hanquiez, D urât, Gagniage, la Ferme- Ecole de Rouvroy-les-Mcrles, Orens Hen­ri, Boisseau, Allais, Rimbert, Durand Saint—Léger, lauréats de p rix de cham­pionnat et de p rix d ’ensemble que nousJ' — . - —̂ •-«•V» .»*»» * V i LW n 1 ex X ilC-LI» V_ .

Je rem ercie les m embres du Jury , tous éleveurs ém inents, qui s’acquittèrent à la satisfaction de tous, d ’une tâche p a r­fois difficile.

Je rem ercie MM. Chardeaux, d irecteur des Servides vétérinaires, et Lépinuy, qui assurèrent la surveillance sanitaire du concours.

Je n ’aurai garde d ’oublier le groupe sym pathique des Commissaires : Kérel, Guillemot, Bouton, Lecointe, Diry, Gri- zel, Patin , Dubois, Zègre, Bau(bloque, Buiret, Billet, Marie, organisateur de l’exposition d’horticulture, qui apportè­rent, comme à l’o rd inaire , à notre ami M. Barbut, com m issaire général, une col­laboration dévouée, grâce à quoi notre concours ne le cède en rien à ceux des années antérieures.

Je dois u-nje m ention partic'ulière aux organisateurs de l’Exposition de chasse et de pêche, à M. le baron d ’E ichtal, p ré­sident de la Fédération des chasseurs de l ’Oise, dont je salue la présence à notre table, à M. P rière , com m issaire de cette section, spécialiste de ces expositions, à M. Demoinet, p résident du Syndicat d’i ­nitiative de Senlis; M. P ie rra rd , à M. B ernard Lefèvre, à qui en revient, en grande partie, l ’initiative, et à tous ceux qui ont bien voulu envoyer des trophées, œuvres d’art, etc.

Nous leu r devons une exposition très réussie qui attirera , je l’espère, la foule des visiteurs.

Enfin, je rem ercie mes collègues du Bureau dont le dévouement à la collec­tivité agricole facilite ma tâche, et aussi les 6.000 membres de notre Société, dont la forte cohésion est indispensable aux succès de notre action.

Qu’ils me perm ettent de leur dire, que s’il est nécessaire dans les circonstances actuelles que nous soyons soutenus par le Pouvoir publics, nous aurions tort de croire que l’action parlem entaire et gou­vernem entale puisse à elle seule nous so rtir d ’em barras. Nous devons de notre côté abandonner ce t esp rit individualiste qui fait notre faiblesse, et constituer des groupem ents coopératifs puissants qui nous perm ettent de nous défendre et de réaliser, pour l’achat ou la vente de nos produits, des progrès com parables à deux réalisés ces dernières années dans le domaine de la production.

Messieurs, je term ine en levant mon verre en l ’honneur de nos hôtes et tout particulièrem ent de M. le Sous-Préfet de Senlis, et de M. le D irecteur Souriau, re ­présentant M. le M inistre de l ’Agricul­ture.

M. Louât, m a ire de Sen lis su ccéd a à M. Goré e t p ro n o n ça u n d iscou rs que nous nous en voudrions de ne pas p u b lie r en en tie r , c a r il fu t trè s goûté des convives.

D iscours de M. LouâtM aire de Senlis.

M onsieur le D irecteur,M onsieur le S ous-P réfe t,M onsieur le P rés id en t,M essieurs les P a rlem en ta ires , M esdam es,M essieurs,

Le rôle d u M aire d ’une Ville, siège d ’un m agn ifique concours com m e ce­lu i-ci, e s t de rem erc ie r, — ce rô le est doux e t ag réab le , m ais difficile e t com­plexe aussi, ta n t de p e rso n n es a y a n t con trib u é p a r le u r trav a il, le u r dévoue­m ent, le u r ta len t, .leu r in fluence à la m ise en œ uvre e t a u succès de cette en trep rise .

J e rem ercie to u t d ’abo rd la Société des A g ricu lteu rs de l ’Oise e t son ém i­n e n t P ré s id en t, M. le S é n a te u r Goré, d ’av o ir b ien voulu p e rm e ttre que Sen lis g a rd e s a p lace d an s le cycle des Con­cours A gricoles e t de l ’avo ir choisi p o u r y p la c e r la belle m an ifesta tio n de cette année , m a lg ré l ’a léa des rece ttes e t le so u v en ir de dem i - réu ss ite s d an s le passé.

J ’ose e sp é re r q u ’ils ne re g re tte ro n t p as le u r décision e t q u ’ils se ro n t s a ­tisfa its au c o n tra ire d ’av o ir ren d u ju s ­tice à no tre labo rieuse rég ion e t de l’av o ir fa it b énéfic ier de cette re m a r­quab le leçon de choses.

Je les rem ercie a u ss i de le u r a im a­ble inv ita tio n à ce su ccu len t b a n q u e t ; un m aire n ’est pas exem pt de g o u rm an ­d ise, e t en p a s s a n t je félicite le p ro ­p rié ta ire du G rand Cerf p o u r ce rep as au ssi v ivem ent serv i que b ien p ré ­p aré .

Je rem ercie tous ceux qu i o n t eu la pensée de jo in d re à l’exposition des p ro d u its ag rico les, cette o rig in a le ex­position de chasse et de pêche e t qui l’on t réa lisée ; fo restière a u ta n t q u ’a g r i­cole, la région de Sen lis é ta it b ien qualifiée p o u r offrir au x ch asseu rs , to u t ce qu i co ncourt à l ’exercice fécond

de le u r sp o rt favori, j ’a lla is presque di­re à la sa tisfac tio n de le u r ardente p as­sion. Que les P ré s id en ts e t les Mem­bres des associa tions de chasse et pèche so ien t rem erciés e t JjéMcA s a n s o u b l i e r M. D e m o in e t , ppôJW rcilPuV (Syndicat d ’in itia tiv e do Sen lis qui M* a si b ien aidés d ans le u r tâche... e t qib en sa qua lité de p ré s id en t de la S o c if té d ’H o rticu ltu re (il cum ule les présiden­ces) nous a dotés d ’une exposition hor­ticole.

Je rem ercie tous les exposan ts, agri­cu lteu rs , éleveurs, in d u strie ls , piscicul­teu rs , ja rd in ie rs , com m erçants, maîtres d ’équ ipages de chasse qui o n t dolné ta n t d ’éc la t à ce concours e t à c e s ex­positions.

Je rem ercie tou t particu lièrem ent et je félicite M. B arbu t, la cheville îou­v rière , l ’âm e de cette vaste organisa­tion, et qui, en sa qualité de commis­sa ire g én éra l a to u t su , to u t vu, tout p rév u et to u t mené, à b ien .

Je rem ercie tous les hô tes de Senlis qui o n t b ien voulu fav o rise r no trev ille de le u r p résen ce e t en particu lier les p e rso n n a lité s assises à cette table,

Je sa lue et rem ercie M essieurs les S én a teu rs et D éputés, nous sommes ho­norés p a r le u r p résence et ils peuvent ê tre sû rs que la vieille cité de Senlis a conservé ses trad itio n s de cordiale hos­p ita lité .

Une om bre à no tre sa tisfac tio n et un reg re t, l ’absence de M. le P réfe t qui nous a tou jo u rs tém oigné ta n t de bien­veillance et de so llic itude ; je sa lueson d is tin g u é re p ré se n ta n t, no tre dévouéSous-P réfe t, M. D a u p e y r o u x L l a . M unieiD afité de Son-p E f r t d e M t a f a S S e t o S r a q * P . ? î ™ ? t e s 4

Je rem ercie enfin M. P o u riau , repré

H p ré sen ta les excuses de M, Jfc P ré ­fet. don t on co n n a ît tou t l ’i n t é m po u r les choses de l ’A g ricu ltu re ; il sa lu a le re p ré se n ta n t du M in istre , rem erc ia M. le M aire e t la M u n ic ipalité , fé lic ita les o rg an isa teu rs , M. B a rb u t et ses col­lab o ra teu rs, la Société d ’H orticu ltu re , les J a rd in s O uvriers, le S y n d ica t d ’in i ­tiative. M ais, d it-il, tou t le succès re ­v ien t aux a g ric u lte u rs eux-m êm es : l’a g ricu lteu r de l’Oise a g a rd é sa foi dans la te rre de F ran ce , a in s i il a r r iv e ­r a à su rm o n te r les difficultés p ré se n ­tes.

M. le S o u s-P réfe t leva son v e rre aux A gricu lteu rs de l ’Oise, à l ’A g ricu ltu re F ran ça ise , à M. A lbert L eb run , P ré s i­den t de la R épublique.

■ U iso o u rs de M. P o u riauA près avo ir p ré sen té les excuses de

M. Queuille, M. P o u ria u sa lu a M. le S én a teu r Goré, qui p réside avec ta n t de d istin c tio n la Société des A gricu l­teurs de l ’Oise.

Les p récéd en ts o ra teu rs , d it-il, ont sou ligné la s itu a tio n difficile, dan s la ­quelle se trouve l’A gricu ltu re . Le Gou­vern em en t a rech erch é des rem èdes, ou du m oins des pa llia tifs au x m aux don t nous souffrons. Il én u m éra ce que l’on a fa it ou ten té de fa ire e t d éc la ra que l 'A d m in is tra tio n é ta it p rê te à é tu d ie r la c réa tion du bon de com pensation : c’est au P a rlem en t q u ’il a p p a r tie n d ra de dé­cider.

Le re p ré se n ta n t du M inistre conçoit les inqu ié tudes que re sse n te n t les cu l­tiv a teu rs au su je t de la trêve douan ière et de la conférence économ ique de Lon­dres. La question ne se ra pas perdue de vue a u M in istère , où l’on tie n d ra com pte des ap p réh en sio n s des ru rau x . Ceux-ci p eu v en t co m p ter s u r tou t l ’in ­té rê t que le u r po rte M. Q ueuille.

A près avo ir félicité M. B arbu t, le re ­p ré se n ta n t du M in istre s a lu a M. le

S o u s-P réfe t D aupeyroux don t il co n n a ît tout le dévouem ent et la com pétence. 11 sa lu a les p a rle m e n ta ire s p résen ts ; MM. Goré, Decroze, V asseux, sén a teu rs ; le M arquis de l ’Aigle e t D upuis, d ép u ­tés ; tous réso lus à défendre les in té -

se n ta n t de M. le M in istre de l ’Agricul­tu re ; il y a s ix ans, M. Escavy, mon p réd écesseu r e x p rim a it au représen­ta n t de M. Q ueuille, les reg re ts de la Ville de S en lis e t les s ien s de n’avoir pu accu e illir M. le M in istre ; je re­nouvelle a u jo u rd ’hu i au distingué re ­p ré se n ta n t de M. Q ueuille, les mêmes reg re ts , to u t en lu i a d re s sa n t person­n e llem en t de resp ec tu eu x souhaits de b ienvenue en no tre ville.

Le tem ps do it ê tre rem ercié aussi ; cap ric ieu x comme une .jolie femme, il a m o n tré h ie r q u ’il po u v ait ê tre fran­chem en t m auvais, p u is m eilleur, puis p assab le , sach o n s-lu i g ré de ce bon vouloir. Gomme c e rta in s e sp rits en ce m om ent, il es t u n peu nerveux , mais bon d iab le au fond.

Je tiens à d ire m a in te n a n t toute la consid éra tio n que j ’a i p o u r l'agricul­tu re , non seu lem en t p arce q u ’elle reste la m am elle de la F ran ce , m ais parce que c ’est une p ro fession noble et qui exige a no tre époque les connaissances les p lus é tendues. Elle se trouve liée à l’in d u s tr ie ch im ique e t à l’industrie m écan ique qu i lu i a p p o rte n t chaque jo u r le u r a ide p u issan te p r i n c i p a l m en t dan s no tre rég ion de g ran d es ex­p lo ita tio n s ; elle n ’a p as le caractère com m ercial, m ais elle es t tr ib u ta ire du com m erce : n ’est-ce p as la baisse ou la h au sse des cours, qui fa it chaque jo u r l’ob je t de bon nom bre de ses préoc­cupations.

L’A g ricu ltu re est encore différente des au tre s pro fessions p a r ce qü ’elle a à com pter avec des forces m ystérieuses qui fon t à la fois s a g ra n d e u r et sa faib lesse.

Elle trouve d ’abord s u r sa route l ’âm e (dans le sens du m ot la tin anima) des sa isons qu i d ispense les richesses ou p rod igue les fléaux, qu i fa it parfois co u rb er le fro n t du p lu s fo rt e t du plus stoïque.

Elle do it com pter avec l’âm e de la te rre , p lus douce, p lu s souple , plus gé­néreu se , p lu s facile à co n n aître , mais qui se d resse souven t d ev an t les au­dacieux e t ne to lère que les expérien­ces q u ’elle accepte. L’âm e de la terre ne se la isse pas v io len ter.

E lle doit te n ir com pte de l’âme, pas­sez-m oi ce m ot d ’a p p a re n te irrévéren­ce, de l ’âm e des an im au x d o n t les tem­p éram en ts , les hab itu d es e t l ’intelligen- ce, ob ligen t les a g r ic u lte u rs e t surtout les é leveurs à se l iv re r à des patienlés» é tudes e t à de n o m breux m énagem ents : : là non p lu s on ne v io lente p as impu­n ém en t la n a tu re .

Enfin, elle doit re sp ec te r l ’âme de l ’hom m e des cham ps, la com prendre, s ’en fa ire une am ie e t u n e alliée.

Vous devez, M essieurs, développer chez vos co llab o ra teu rs et vos ouvriers l’am o u r de la te rre s ’ils l’on t déjà et le fa ire n a ître , s ’ils ne l’on t p as encore : c’ost là u n grave problèm e économique e t social : ren d re le tra v a il agricole aus­si ré m u n é ra te u r que possib le, pour les ouv riers , ren d re la vie à la cam pagne au ss i ag réab le et confortab le que pos­sible, ra m e n e r à la te rre ceux qui l’ont qu ittée ; in sen sib lem en t y in téresser les chôm eurs des villes. Voici une des tâches e t non la m oindre des agricul­teu rs .

Je su is s û r que vous la rem plissez à m erveille , m ais au m ilieu des crises v io len tes e t si longues que nous tra ­versons, il fau t red o u b ler d ’activité et de v ig ilance.

Je souhaite que les jou rs m eilleurs a r r iv e n t vite e t qu ’une ère de prospéri­té com m ence b ien tô t p o u r récom penser vo tre tra v a il e t vos efforts.

J e bois à la réu ss ite com plète de ce concours, à la Société des A griculteurs de l’Oise e t son b u reau , à son prési­dent, au x botes de S en lis , a 1M. la . i » ! j p o Rîjijfl'pp nil înnç îpq nrl?Préfe t, à M. le D irec teu r P o u ria u et l ï ï BURPS OU lOÜS IBS JMla p ro sp érité de l’A gricu ltu re . I ' ,p ro sp érité de l’Agriculture

Discours de M. V asseuxAu nom des p a rle m e n ta ire s et du

Conseil g én éra l, M. V asseux salua le re p ré se n ta n t du M in istre v enu présU d er le C oncours e t M. le Sous-Préfet, fi sa lu a la g ran d e Société des Agricul­te u rs de l ’Oise qui p eu t ê tre assurée de toute la so llic itude du Conseil général • il fit un éloge m érité de M. B arbut, di­rec teu r des Serv ices A gricoles ; il leva son v e rre à l’A g ricu ltu re F rança ise , au re to u r de la p ro sp é rité à laqueije l ’A gricu ltu re a d ro it p a r son labeur.

Discours de M. le Sous-PréfetM. D aupeyroux , so u s-p ré fe t d it qu’j]

a un devoir à rem p lir ,_celui de rem er­c ie r et de fé lic ite r le si dévoué et le si ac tif p ré s id en t de la Société^ des Agri­cu lteu rs de l ’Oise, M. le sén a teu r A. Goré.

M. Louât. Il fé lic ita unè fois de p lu s, la Société des A g ricu lteu rs de l’Oise de son beau succès et leva son v e rre aux A gricu lteurs de l’Oise, d o n t le lab eu r in te lligen t f in ira b ien p a r tr io m p h e r de la crise actuelle .

REMISE DE DECORATIONS Officiers du Mérite AgricoleMM.

P apeguay , a g ricu lteu r, m aire du M es- n il-en-T helle.

Gaston B oulanger, ag ricu lteu r, m aire d ’A n theu il-P o rtes, conseille r g én é ra l de l’Oise.

A im able F o n ta in e , a g r ic u lte u r à P ronleroy .

Chevaliers du Mérite Agricole MM.

G abriel Cailleux, h o rtic u lte u r à Au- m ont.

B enoit d ’Hecre, a g r ic u lte u r à Réez- Fosse-M artin .

Joseph Lelong, a g r ic u lte u r à Grisol­les.

M élaye, o u v rie r agrico le à C répy-en- Valois.

M échard R éaum e, c h a rre tie r , à Réez- -vosse-M artin, 61 an s de serv ices dans la m êm e ferm e.

Le C oncours fu t v isité d im anche p a r une foule considérab le e t les exposan ts firen t des affaires.

L’ap rès-m id i, vers 4 h eu res, la m usi­que m un ic ipa le , sous la d irec tion de M. Mouche, fit en ten d re u n beau p ro g ra m ­me au kiosque, d ev an t un p ub lic nom ­breux.

L’Exposition de chasse et de pêche de son côté, reçu t ég a lem en t de nom breux v isiteu rs e t ceux-ci a ss is tè re n t au x ex­périences in té re ssan te s des ch iens de défense.

En résum é, m an ifesta tio n agricole, exposition horticole, exposition de chasse e t de pêche, trè s réussies, dont il conv ien t de fé lic ite r tous les o rg a ­n isa teu rs qui v o udron t b ien nous ex­cu se r si nous ne p u b lions pas ici leu rs noms.

Le service d ’o rd re a ssu ré p a r la g en ­darm erie e t la police -locale a été en tous po in ts p a rfa it e t au cu n in c id en t ou acciden t n ’est su rvenu .

P a rm i les n o m breux exposan ts, il convien t de s ig n a le r encore : la M ai­son P illo t, de S en lis, re p ré se n ta n t « B u tane » gaz n a tu re l en bouteilles ; les h a n g a rs G riard , de V erberie ; P e r- r in , d ’O rrouy ; les expositions des M ai­sons M orvan, B ourgogne, B attefort, Cerri, de S enlis, etc.

L.

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UNE JOURNEE A LA MERLe B ureau des P oilus d ’O rient de la

Section de S enlis, o rg an ise po u r le d i­m anche 25 ju in , une excursion de S en ­tis à Dieppe et re to u r, p o u r ses m em bres et leu r fam ille, m em bres h o n o ra ires e tsym p ath isan ts .

Le p rix de ce voyage en c a r es t de42 francs.

D épart de Sen lis a 6 heu res 30, a r r i ­vée à D ieppe vers 10 heures.

Les ex cu rsio n n is tes se ro n t lib res ju s ­qu ’au so ir, 2 0 heu res, p o u r le re tour.

P our p a r tic ip e r à ce voyage, p riè re de se fa ire in sc rire chez Mme Sim one Lenoir, m odiste, p lace de la Halle et chez M. Je n n e q u in , sec ré ta ire , 0, rue S a in t-F ram b o u rg , en a jo u ta n t le p rix du voyage. .

Les in sc rip tio n s ont lieu dès m a in te ­nant.

aOÜSSRIPTIQN u s a v ic t im e s c iv il e s

du 2 Septem bre 1314S1- L iste

M. M oquet P ie rre , C onseiller m u ­n ic ip a l ............ 50

M. T h irio n , C onseiller m u n ic ip a l 20M. Lobbé, 8 , ru e de P a r i s . . 5M lles Denise e t M auriçe tte R i-

gau lt, 4, rue des V ignes ......... 10M. le Comte A rn au ld Doria, d é ­

légué g én éra l du S ouven irF ra n ç a is .................................. 20

S o uven ir F ra n ç a is de l’Oise . . . 30A ssociation des A nciens Elèves, ,

de S a in t-V in c c i i t .......................... 100M. D clvienne père , A venue Félix

Yom ois ............................................ 25

T o t a l .............................. 260Total de la 7e liste ................. 1.995

Total 2.255

M. L A Q O S T I N AE X P E R T - C O M P T A B L E

près le Tribunal de Commerce de Senlis■•■■■■■■■■■■««■■■ai

Organisations et Tenues de Comptabiltés Bilans - Inventaires - Vérifications

Déclarations et Lois Fiscales Conseil de Sociétés

Route de Creil, S E N L I SMardi et Vendredi, le matin,

de 9 heures à midiet sur rendez-vous

TÉL. 3-487-3

MANIFESTATION PATRIOTIQUEUne m an ifesta tio n p a trio tiq u e s’est

déroulée d im anche d e rn ie r, vers 10 h eu res du m atin .

Les m em bres de la section de l ’U nion des M utilés, Réform és et A nciens Com­b a tta n ts du can ton de V anves, accom ­p ag n és de leu rs fam illes, e t conduits p a r le u r p résid en t, M. L acroix , on t été r e ç u s à l e u r d e s c e n t e d ’a u t o b u s , " à l a porte Com piègne, p a r un g roupe im ­p o rta n t de la S ection do l ’U. N. C. de Senlis, avec son d rap eau , a y a n t à sa tête M. Ga.zeau, p ré s id en t e t la p lu p a r t des m em bres du b u reau , e t p a r M. F. Louât, m aire de Senlis.

A près les p ré sen ta tio n s , u n cortège de 400 p erso n n es précédé de la N ouba du â 6 rég im en t de S pah is m aro ca in s , s ’est ren d u au M onum ent aux M orts, où deux jeu n es filles de m em bres de l’U nion de V anves on t déposé une g e r­be. Puis, la N ouba s ’est fa it en tend re .

D ans un silence im p ress io n n an t, M. L acroix, p ré s id en t de l ’U nion de V an ­ves e t M. Louât, m aire de S enlis, on t p rononcé des a llocu tions qu i o n t vive­m en t im p ressio n n é l’a ss is tan ce re ­cueillie.

Le « S a lu t au x M orts » a été exécuté p a r la m usique rég im en ta ire , e t à la dem ande dé M. Lacroix , une m inu te de silence a été observée.

F élic itons les m em bres de l ’U nion des M utilés, Réform és et A nciens Com bat­tan ts du can ton de V anves de leu r beau geste p a trio tiq u e , d ’avo ir ten u à leu r p assag e à Senlis, d ’h o n o re r nos v ic ti­m es civiles e t m ilita ire s de la g u erre .

T ous ceux qui on t ass is té à cette m a­n ifesta tion on t été v ivem ent touchés de cette m arq u e du so u v en ir envers nos m orts glorieux.

l i t II O B I31, place de la Halle, SENLIS

flODVEflUX fJODÈbESR ob es - M an teau x - T a illeu rs

C om plets pour MM. et Jeunes Gens G rand choix de Robes, Costumes

et accessoires pour 1 ™ Communion C hem iserie - L in g er ie

Nos p r ix son t a ju s té s aux c i r c o n s t a n c e s , s a n s q u e r i e n soit s a c r i f i é de la q u a li té e t de l’é lé g a n c e de nos vê tem en ts .

8299

DANS LES P. T. T.M. C auzard, receveu r de 3” c lasse est

p roposé p o u r le g rad e de 2 ° classe.Il figure aü tab leau d ’av an cem en t de

1933.

LA FANTASIA DU 9 JUILLETG’est une date qu ’il ne fa u t pas p e r ­

dre de vue.Tous ceux qui, il y a quelques a n ­

nées, o n t ass is té à la F an ta s ia , o rg a n i­sée dans les p ra ir ie s de Mme la B a ro n ­ne de F o rest p a r le 4° rég im en t de S pah is m aro ca in s se ra p p e lle n t com ­b ien cette fête fu t suivie.

Cette année , nous croyons savoir, que le p ro g ram m e se ra encore p lus im p o rtan t, c’est d ire q u ’il fau t s ’a tte n ­d re à un succès encore p lu s g ran d .

L ecteurs ! R etenez bien la date du 9 ju ille t !

>>o«-

CAIS SE D’EPARGNE de l ’Arrondissem ent de Senlis

Le Conseil des D irecteurs de la Caisse dTîpargne de l’arrondissem ent de Senlis, ayant décidé que dans une période ne devant pas dépasser c in q années, tous les livrets des dix succursales de la Caisse d’Epargne, devront être communiqués à la Caisse Centrale pour être collationnés e t le c a s é c h é a n t y i n s c r ir e l e s in t é r ê t s d e s a y a n t s - d r o it , à c e t e f fe t c h a q u e a n n é e deux s u c c u r s a le s s e r o n t tirées au s o r t .

Pour l ’année 1933 le sort a désigné les succursales de Betz et Chantilly.

En conséquence, le Conseil des Direc­teurs invite très instam m ent les titu lai­res de livrets ressortissant actuellem ent à l’une de ces deux succursales du y ayant effectué des versem ents ou des retraits à une date quelconque, à rem ettre leur livret avant le 30 juin au plus ta rd entre les m ains du Sous-Caissier de leur suc­cursale actuelle. Un reçu leur sera rem is par ce dernier.

FETE DE LA PLACE SAINT-MARTINLe Comité es t h eu reu x de co n sta te r

le très g ran d nom bre de so u sc rip teu rs qui on t rép o n d u à son appel.

B ain t-M artin se ra to u jo u rs trè s b ien e t cette année encore, le p rog ram m e se ra em belli.

Le Comité.

SEHLISIENS ! FLEURISSEZ-VOUS 1Le ju ry p a sse ra vers la fin du m ois

de ju in p o u r fixer u n choix s u r les fe­n ê tres e t les balcons les m ieux fleuris.

N ’oubliez p as de vous p ré p a re r à cet­te visite.

Vous m on tre rez a in s i à nos v isiteur? que la Ville de S enlis, in té re ssan te pa t ses m onum ents, s a it au ssi accu e illir les to u ris te s avec des fleurs.

Vous trouverez actuellem ent chez

H . V I N C E N TChem isier-Chapelier

13, p’ace de la Halle, SEIMLIS

L E S DERNIÈRES NOUVEAUTÉS D’ÉTÉU N G R A N D CHOIX

E T D E S PR IX T R È S B A S8249 Téléphone

SOCIETE DES JARDINS OUVRIERS DE SENLIS

L’assem blée gén éra le e s t fixée au d i­m anche 18 ju in JL933, à 14 h eu res 30, en la salle du J a rd in d ’H orticu lture .

C onférence p a r M. le P ro fesseu r Ba- ro tte , elle se ra suiv ie d ’une d is tr ib u ­tion de p la n ts au p ro fit des m em bres p résen ts , ou rep ré sen té s p a r la carte .

Le S ecré ta ire ,0. C arré.

PREMIERES COMMUNIONS

C’est dem ain q u ’a u ro n t lieu en la Ca­théd ra le de Senlis, p o u r les en fan ts de la paro isse , les cérém onies tou jo u rs si to u ch an tes de la p rem ière com m union.

A 7 heu res , m esse de P rem ière Com • m un ion so lennelle .

A 10 heu res , G ran d ’M esse.A 15 h eu res, V êpres, Serm on de p e r ­

sévérance, P rocession au x fon ts, Ré­novation des vœ ux du B aptêm e, C onsé­cration et S a lu t solennel.

L und i 12 ju in , à 8 heu res 30, M esse d’ac tions de g râces.

tVav« ^xjp*’ un seul appareil

L E c h a u f f e -ea uau

Vous permet d'avoir de l'©(€ h a u c le .€ O u r a f i l e ^eccaomiqyemeoî ̂ _Pose g ra tu ite -U rim o is à l’e s s a iDemandez tous renseiqnements

■j- A COM PAGNIE mt f ,4 7

Renseignements au magasin d’exposition 3, rue de l’A pport-au-Pain

S E N L I Sou par Téléphone : Senlis 1-74

8273

6 e CAMPAGNE

DU TIMBRE ANTITUBERCULEUX

Le succès de la vente du T im bre A n­titu b e rcu leu x d ans la rég ion de Senlis a été des p lus b rilla n ts . L’a rro n d isse ­m ent, le can to n et le Comité do Senlis a rr iv e n t en tê te du p a lm arès du d é p a r­tem en t de l ’Oise.

Voici quelques chiffres d o n n a n t la m oyenne (p a r h a b ita n t) de tim bres vendus.

A rro n d issem en t de S e n l i s 13,32A rro n d isem en t de C om piègne . . 9,13A rro n d issem en t de B eauvais . . . 8,79

C anton de Senlis ......................... 22,55C anton de C lerm ont ................... 12,28C anton de M o u y .............................. 12,17C anton de Greil .............................. 12,11

etc., etc...

Comité de Senlis .......................... 21,22Comité de M ouy ........................... 13,53Comité de Greil................................ 12,73Comité de Gham bly .................... li,91

etc., etc...

M oyennes ob tenues dan s les Com­m unes ra tta ch ées au D ispensaire ; de S en lis :

C anton de Senlis

A um ont : 20,99 ; A v illy -Sain t-L éo- n a rd : 11,68 ; B arb e ry : 10,37 ; Chô­m a n t : 47,46 ; La C hapelle-en-S erva! : 6,84 ; C ourteuil : 27,15 ; M ontépilloy : 10,17 ; M ontlévêque : 12,15 ; M ortefon- ta in e : 21,14 ; O gnon : 20,13 ; P la illy : 9,92 ; P o n ta rm é : 12,04 ; Sen lis ; 33,89 ; T h iers : 25,27 ; V ille rs-S a in t-F ram - b o u rg : 1 0 ,0 2 .

Canton de N an teu il-le -H audou in

B aron : 10, ; B orcst ; 16,74 ; Fjrme- nonville ; 18,66 ; Eve : 8,94 ; F o n ta in e - C haâlis : 9,11 ; F resn o y -le -L u at : 21,15; M ontagny-S te-F élic ité : 10,76 ; M ont- lognon : 10,20 ; R ozières : 10,10 ; V er : 9,97 ; V ersig n y : 9,04.

Canton de P o n t-S ain te-M axence

B rasseuse : 9,78 ; F leu rin es : 11,88 ; R a ra y : 12,50 ; R oberval : 4,78 ; R ully : 7,33 ; V illeneuve-su r-V erberie : 8,95. (R ésu lta t incom plet).

Le B u reau de ven te de S enlis, in fin i­m ent touché du m agnifique effort qui a été réa lisé en ces m om ents p a r tic u ­liè rem en t difficiles, ad resse :

— à MM. les M aires, Curés e t In s ti­tu te u rs , à M mes les In s titu tr ic e s des com m unes ra ttach ées au D ispensaire de Senlis,

— à tous ses délégués com m unaux— à MM. les R eceveurs des Postes et

des F inances,— à la Caisse d ’E pargne, à l’Union

des C om m erçants, au S y n d ica t de la B oucherie, au 4° rég im en t de S pah is, à la Confrérie de Sain t-E lo i,

— à la L igue des Jeu n es , au x Scouts,— aux si dévoués v endeurs de tou t

âge qui on t a ssum é la tâche in g ra te et fa tig an te d ’a lle r de po rte en po rte p ro ­po ser ca rn e ts e t tim bres au to s-v itri- nes,

— aux ch a ritab les ach e teu rs de vi­gnettes,

— aux p erso n n es généreuses qui ont offert des lots p o u r la tom bola,

— en un m ot, à tous ses co llabo ra­teurs, l’exp ression de sa profonde re ­connaissance»

Page 3: LES MIPTS ET LÀ POLITIE dss CaiMiquiss lie l’Oisebmsenlis.com/data/pdf/js/1933-1934/bms_js_1933_06_11_MRC.pdfI fr. 5 0 la ügnô Ventes volontaires. — Publicités commerciales

pas outre-ipesure, leur naturelle philosq- phie leur perm ettrait de recom m encer continiuellement. Merci à eux 1 C’est après tout, avec le garde qui (balaye si m agistralem ent les allées, les seids qui se soucient encore de la p ropreté du « Bois Bourillon ». Les autres semblent s’ingénier à y faire des ravages et sous les verts ombrages un peu froissés on p arod iera it facilem ent au soir des cour­ses les vers de Victor Hugo :Le T U R F ” esl passé là : Tout sen t l'ail ou pue l’aie Le Buis an tre (les vans ” n’est qu’une som bre écn e lle ...

Ventres affamés, que voulez-vous, m’ont pas d’oreilles pour entendre les règle­ments. N’en ayez pas davantage d’ail­leurs pour lire ces « vers ».

L e D e rb yV o ic i la ig ra n d e é p re u v e p a r ex ee l-

le n c e , c e lle q u i c o n s a c re o r d in a i r e m e n tle m eilleur poulain de la génération : le Derby dont l'allocation bien que bais­sée reste -encore -avec1 250.000 respecta­bles francs qui feront d ’ailleurs des pe­tits.

Le cham p est assez peu fourni et les pronostics restent cependant difficiles. Les partants, en effet, se sont entre-bat­tus. Nos préférences iront tout de même à l’écurie de Lady G ranard -dont le meil­leur représen tan t Cappiello bénéficiera de la monte de S. Donoghue; Bleu-Hori­zon et Camping .appartiennent à un éta­blissem ent dont les chevaux sont en for­me; enfin Jumbo, bête magnifique et l ’outsider « Traghetto » pourraien t bien régler tout le lot. A vrai dire nous n’en savons rien, d ’autant que le départ de Rodosto rend ra it la course encore plus ouverte. Que le m eilleur gagne et que nos lecteurs -— s’ils sacrifient à la chance — soient récom pensés par la Fortune.

iÉLïSÉE-CHANTILLïi19, avenue du Alarèchal-JoJJre

T é l é p h o n e 4 5 4

Du Jeudi 8 au Dimanclifi 11 Juin 1933SOIRÉES A 3 0 H . (45

I Dimanche, MATINÉE A l 1!- II. <45[ ■■■■■■■■■■■■■■■■■■■■•■■■BaaaaaaaaaacaBaaaaaaaaBa| DEUX GRANDS FILMS PARLANTS

au même programme• ■ ■ ■ ■ ■ ■ a

LA C H A N S O ND ’U N E N U I T

• • - ■ - ■ ■ ■' ... ;avec le célèbre Ténor

J A N K I E P U R ALucien BAROUX, P i e r r e BRASSEUR

C h a r le s LAMY, C lara TAISBOUR e t C h a r lo t te LYSÈS

De la gaîté, de la musique Un film c o m p le t to u r n é d a n s le s m e r v e ille u x s i t e s I ta l ie n s \

dansDORVILLEC I R C U L E Z !un désopilant

vaudeville militaire

j LES ACTUALITÉS PÂULINTESles plus récentes

■■■■■■■BBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBBB; L o c a t i o n ouverte les Jeudi, Vendredi

et Samedi de 17 à 19 heures S Les -places prises en location

bénéficieront d’une réductionde o fr , 2 5 par place

MariageNous apprenions le prochain mariage

de Mlle Suzanne Dureau, fille de Mme et de M. Dureau, ex-directeurs de l’Elysée, avec M. André Vacca, de Marseille.

La bénédiction nuptiale leur sera don­née le m ardi 13 juin, à m idi, en l’église Saint-Vi ncent-de-Paul, rue Lafay-ette.

Nos vœux de bonheur aux jeunes époux et nos félicitations à leurs sym pa­thiques parents.

CAISSE D’EPARGNE de l’Arrondissem ent de Senlis

Le Conseil des D irecteurs de la Caisse d ’Epargne de l’arrondissem ent de Senlis, ayant décidé que dans une période ne devant pas dépasser c inq années, tous les livrets des dix succursales de la Caisse d 'Epargne, devront être communiqués à la -Caisse Centrale pour être coflationnés et le cas échéant y inscrire les intérêts des ayants-droit, à cet effet chaque année deux succursales seront tirées au sort.

Pour l’année 1933 le sort a désigné les succursales de Betz et Chantilly.

En conséquence, le Conseil des D irec­teurs invite très instam m ent les titu la i­res de livrets ressortissant actuellem ent à Tune de ces deux succursales ou y ayant effectué des versem ents ou des re tra its à une date quelconque, à rem ettre leur livret avant le 30 juin au plus ta rd entre les m ains du Sous-Caissier de leur suc­cursale actuelle. Un reçu leur sera rem is p a r ce dernier. 8188

Société des Rallyes de Chantilly

Réunion du 3 juin. Rendez-vous et a r­rivée poteau des Vignettes. Comme nous le lirons il y avait beaucoup de cava­liers et de personnes suivant en automo­bile p a r cette belle journée, favorisée p ar un- tem ps superbe. Le parcours pas­sait au château de Pontarm é, le ca rre ­four Laversin, le passage de la ligne, la route du Héquet, le layon des 3 poteaux, le poteau Neuf, la route neuve, revenait sauter le passage de la ligne, la Croix de Pontarm é où après quelques instants de repos, les cavaliers reprenaient la route des Houx, le carrefour du C h a p i t r e , le poteau Saint-Léonard, le poteau des Bruyères et revenaient ailx Vignettes où le saut d ’un oxer term inait l ’épreuve. Les flots ont été rem is p a r M. Lazard, tan t pour la correction -du passage des nom­breux obstacles pendant le parcours que sur l’obstacle final. M. Tony -Roussel, ga­gnant le rallye ayant accom pli le p a r­cours sans aucune faute, à Mme Reinach m ontant avec une correction parfaite, au com te de Lastours, capitaine Chapuis, M. J. de Saint-Sauveur, M. Marceron, M. Gou- lin, Tony Roussel, Stéphane Desmarais. E taient encore à cheval : M. Paul Des­m arais, Mme Blanehet, comtesse de Mar- cé, Mlle O. Lazard, M. P. de Saint-Sau­veur, M. Lazard, M. Normand, M. Dupuy, M. Rommetin, comte de Corny et so-n fils, com te Roman.

Ont suivi en voiture : Mme Goulin,Mme et Mlle Alépée, Mme Vetier, M. Sal- veton, M., Mme et Mlle Bied-Charreton, JÆme Marceron et Mlle, M. Paillard , M. et

Mme Gorch Chacou, M. Guyot, Mme La- flèche, Dr -et Mme Roussel, capitaine, Mme et Mlle Rousseau, Mme Lazard, M., Mme et Mlle Le Brasseur, Mme Dupuy, M., Mme et Mlle Sauvage, Mme Bach.

Samedi prochain, rendez-vous à Mai- soinÆJanche (forêt -d’Erm enonville, à 15 h. 30.

: O . L A Z A R D :12, rue d’O rgem ont

Leçons de M anège. — Prom enades A cha t. — Vente

Chevaux pour chasses et rallyes

J^e cicimbriolaye d ’une villa Le C o u r r i e r de l’Oise a relaté en son

temps, l ’im portant cam briolage commis nuitam m ent dans la villa de M. Guille-minot, et les déclarations faites par Jean Moisy, com m is la itie r à -Chantilly, qui avait avoué avoir opéré dans cette af­faire avec la com plicité de quatre per­sonnes qui, après in terrogatoire au cours duquel elles protestèrent de leur inno­cence, fu ren t laissées en liberté.

Récemment, devant M. Marquiset, l ’ho­norable juge -d’instruction- de Senlis, Moi­sy en présence de son avocat M6 G. Le- vasseur revint sur ses déclarations, af­firm ant qu’il n ’était pour rien dans ce cam briolage, pas plus d’ailleurs que scs pseudo-complices, ajoutant que s’il avait fait des aveux, -c’était p a r crainte des gendarmes, puis, après, je n ’ai pas osé reven ir sur mes -déclarations.

Le m agistrat instructeur tenant à faire la plus complète lum ière sur cette affaire a fait procéder à la vérification des em­prein tes digitales qui avaient été rele­vées sur une bouteille et sur des meubles touchés p a r les cam brioleurs. Or, aucune des em preintes -examinées ne -correspond à celles des 'parties en -cause.

Dans ces conditions, nous croyons sa­voir que M. le M agistrat instructeur sera ameqé a rendre une ordonnance de non- i-eu, mais en attendant il a inculpé Moi­sy d’outrages par paroles à agents dépo­sitaires de la force publique.

Moisy pourra apprendre à ses dépens qu’il ne faut jam ais jouer avec la jus­tice, au risque -de m ettre -en cause des personnes qui ne sont pour rien dans une instruction judiciaire.

Rendons hommage à M. Marquiset, juge, d’instruction, qui, dans une affaire aussi embrouillée que celle-ci, a su dé­ployer toute son activité, et toute sa scienjce d’excell-ent m agistrat à diriger cette enquête avec la plus parfaite mé­thode.

Un vol à la gare tfk ■Le tribunal correctionnel de Senlis

dans sa dernière audi-ence vient de sta­tuer sur une affaire assez embrouillée condernjant le -vol -d’un-e caisse de bou­teilles d’apéritifs à la gare de Chantilly.

Quatre personnes -étaient inculpées : Emile Dehon-, 34 ans, chauffeur-mécani­cien, quai de la Canardière; Georges Bar- bat, 37 ans, -employé de chem in de fer au passage à niveau de Vineuil; Henri Lambin, 33 ans, m anouvrier, 17, quai de la Canardière, à Chantilly; et Eugène Ruin, 37 ans, employé de chemin de fer à Vineuil.. Après des débats mouvementés, le t r i ­

bunal a rendu son jugement : Barbat a bénéficié d’un- acquittem ent, Dehon a été -condamné à deux mois de prison, Lam­bert -et Ruin chacun à 25 francs; d ’a­mende.

BEAUREPAIREA l’Académie des sciences. — L’Aca­

démie des (Sciences avait à élire le suc­cesseur du regretté Mesnager, dans la section de m écanique et, -comme nous l’avons dit, cette section présentait en prem ière ligne le prince Louis de Bro- glie, p rix Nobel de physique et grand p rix Albert de Monaco.

Ce fut une élection: à peu près una­nime et -comme on n’en avait pas vue depuis longtemps à l’Académie. Le jeune et célèbre savant fut élu p ar 43 suffrages sur 45 votants.

On sait -que le frère aimé du prince, le duc de Broglie, lui-même savant physi­cien), est m embre de l ’Académie des Sciences depuis 1924.

Le nouvel académ icien, physicien aux in tuitions profondes et m athém aticien prodigieux, a tenté en divers ouvrages et m-otamment « la Mécanique ondula­toire » et « la Quantification -dans la Mécanique ondulatoire », d’établir une vaste synthèse de la m ultitude de phé­nomènes nouveaux qui -comstituent l’ato- m istique m oderne.

Ses ouvrages oint eu dans les milieux savants du inonde entier un énorme re­tentissement.

BETZCaisse d ’Epargne de l’arrondissement

de Senlis. — Le Comité des D irecteurs de la Caisse d’Epargne -de l’arrondissem ent de Senlis, ayant -décidé que dans une pé­riode ne devant pas dépasser cinq années, tous les livrets des dix succursales de la Caisse d’Epargne, devrom-t être com m uni­qués à la Caisse Centrale pour être colla- tionnés et le -cas échéant, y inscrire les in térêts des ayants-droit, à cet effet cha­que année deux succursales seront tirées au sort.

P o u r l’année 1933, le sort a désigné les Succursales de Betz e t Chantilly.

E n conséquence le Conseil des D irec­teurs invite très instam m ent les titu lai­res de livrets ressortissant actuellement à l’une de -ces deux Succursales ou y ayant effectué des versem ents ou des re tra its à une date quelconque, à rem ettre leur li­vret avant le 30 juin au plus tard , entre les m-ains du Sous-Caissier de leur Suc­cursale actuelle. Un reçu leur sera rem is par ce dern ier. 8188

BORANCompagnie d ’arc. — Le 11 juin pro­

chain, fa Compagnie d ’arc de Boran-sur- Oise organise la -fête de la famille de l’Oise. Tout perm et d ’espérer dès m ainte­nant une -complète réussite de cette fête.

Toutes les compagnies d’arc locales et régionales sont courtoisem ent invitées à cette m anifestation. L’accueil le plus cha­leureux est réservé à toutes. Nous espé­rons qu’elles viendront nombreuses. Tou­tes mesures utiles sont prises pour assu­re r le ravitaillem ent dans des conditions favorables. Les com m erçants établiront des p rix spéciaux pour les archers.

Doné, Capitaines de com pagnie, mes amis décidez votre groupem ent à venir à Bofan, le 11 juin. Tout le m onde en sera charm é, vos chevaliers qui se dis-- puteront nos. p rix aussi nom breux que variés, qui adm ireront l ’élégance et le confort d ’une plage modenne dont les travaux seront presque term inés, et nous surtout que votre présence encouragera et récom pensera de tous nos soucis d ’or­ganisation.

CHAINANTPèlerinage de Bon-Secours. — I-a a“

ditionnelle Neuvaine de Bon-Secours, s’ouvrira cette année-ci, par exception, le samedi p rem ier juillet, à G heures t u matin. Cette exception perm ettra a » . ( chanoine Dupuis, curé-archiprêtre de a Cathédrale de Senlis, de pouvoir accom­pagner les fidèles de sa Paroisse a 1 on Secours -et ainsi, -de présider lui-meinc selon un usage fort ancien Touverture de la pieuse Neuvaine. *

MM. les Curés sont priés de faire con­naître à l ’avance le jour et l ’heure ou 11-s v iendront avec leurs Paroissiens, laite leurs dévotions à Notre-Dame, afin qu on puisse en faire im prim er la liste.

La Neuvaine sera prêchée p ar le R- 1 • Guillaume Lecomte, m issionnaire aposto­lique à Val-ene-iennes. P rê tre aussi zélé tpie pieux, il est certain que ses inslnm v lions seront goûtées et produiroTif ITâirs tous les -cœurs des fruits de sainctifîca- tion durables.

La clô ture de ces saints exercices aura lieu dans la soirée du dim anche 9 juillet.

Rem erciem ents. — Mme Lucien Gau­th ie r -et la fam ille Gauthier rem ercient toutes les personnes qui, dans le deuil qui v ient de les frapper, leur ont tém oi­gné leurs sym pathies et cèlles qui ont assisté aux obsèques de leur cher défunt, et particulièrem ent les anciens combat­tants et 1-es archers qui ont offert des couronm-es. Elles p rien t les personnes qui n ’ont pas reçu -de lettres de faire part de bien vouloir les excuser de -cet oubli involontaire.

COYE-LA-FORETLa séance théâtrale qui sera donnée le

18 juin, p ar les Trouvères de la Reine- Blanche, au profit de la Caisse de Se­cours de l ’U. N. C. s’annom-ce comme un véritable succès. Le programme, particu ­lièrem ent attrayant, p la ira à toqs les goûts. La soirée débutera par Le Diable aux m anœuvres, com édie m ilitaire, un éclat de r ire continuel qui nous trans- P'OrteTa au temps -des grandes manœu­vres et des pantalons rouges. Les vivaci­tés du capitaine Tic, charm ante comédie en 3 -actes de Labiche, sera le -clou de la soirée ; Labiche est toujours d’actualité et la saine gaîté française est toujours ap­préciée à Coye.

Dion-c, retenez bien votre soirée du 18 et tout en passant quelques heures agréa­bles, vous pourrez aider à soulager quel­ques infortunes.

C O U R T E U i L

Mariage. — Le 3 juin a eu lieu le ma­riage -de -M. Gilbert Lecointe, d ’Avilly, avec Mlle H enriette Edm ond, de Cour- teuil.

La quête faite à l ’issue de la cérémo­nie, au profit de la Coopérative scolaire, a p roduit la somme de 57 francs.

E R M E N O N V I L L E

Hôte! • Restaurant du ChâteauT & B A C - B O S Q U E T

J A R D I NGA R A G E

Alfred TRIBOUILLOISB onne L*uisine Ca\

P R I X M O D É R É S828G

Fête Patronale. ■— Dim anche 11 juin 1933, à 9 heuines. Rassemblement des Sociétés, place Léon-Radziwill, Cortège traditionnel du Bouquet.

A 10 heures, Messe avec le concours de -la Fanfare de Baron, sous la direction de M,. Lamy.

A 15 heures, Concert dans le Parc.A 16 heures, Courses à pied pour les

Jeunes Gens -d'Ermenonville. Une course de 1.500 mètres sera intercom m unale (La M unicipalité décline toute responsabilité en cas d’accident). -»

A 22 heures, Bal sous la tente.Lundi 12 juin, à 14 h. 30, Jeux, Con­

cours divers, Courses -en sacs, Courses de lapins, Jeux de ciseaux, de la Mar­mite et de la Pèche.

A 16 heures, Bal g ratu it pour les en­fants.

Pendant les deux jours de fête, che­vaux -de bois, Balançoires,' A ttractions diverses, Confiserie, etc.

raiAREUIL-SUR-OURCQTragique accident. — Dans l’après-

m id i de vendredi, un tragique accident s’est produit à la carrière de p ierres, ap­partenan t à M. Proffit, agriculture et maire.

P a r suite d’un éboulement soudain, le jeune André Hutin, âgé de 13 ans, a été tué sur le coup. Son frère aîné, qui était, près de lui a pu échapper à -ce m alheu­reux accidenf.

NERYDécouverte d'un cadavre. — On a dé­

couvert sur le chem in de Hideux à Beau- rain , au lieudit la Sablière du Mont de Comon, le cadavre d’un vieillard.

Il a été identifié pour être celui du nommé Jules Marriz-e, originaire de Bel­gique, âgé de 83 ans.

Le défunt avait travaillé autrefois à la sucrerie de Baurain.

Le Dr Chevallier, de Rully, a conclu à une m ort naturelle.

Elections Municipales. .— M. le Sous- Préfet de Senlis a -convoqué les électeurs pour le dim anche 25 juin 1933, à l’effet d ’élire deux -conseillers m unicipaux en rem placem ent de MM. Albert Boulon, m aire, et Jean-Baptiste Nicolas, déc-ôdés.

ORRY-LA-VILLEMariage. — Le 3 juin a eu lieu en la

Mairie le mariage de Joseph Brouwers, agrieulteur, avec' Mlle Mireille Meunier,fille de nos estimés concitoyens.

Elégante et nom breuse assistance. Au cours de la -cérémonie le service d’hon­neur accompagné de gracieux et m i­gnons bambins, n ’oublia pas la quête tra- ditionm-eUe au bénéfice de la caisse des écoles, et qui s’éleva à la somme de 43 francs.

Au nom des enfants, du corps ensei­gnant et de la caisse des -écoles, le m aire renouvelle ses rem erciem ents à la géné­reuse assistance et ses vœux les m eil­leurs aux jeunes époux.-oe

F O L I T I C ARevue mensuelle d’initiation d la vie politique

10, rue Chardin, Paris (XV1«)

concours interrégional ̂ iymnastitiue de ChantillyQ U E LQ U E S d é t a i l s

le u r adhî'6l-üs o n t* au nm i, envoyé 3.000 S 510» ferm n 1,1 10 elùffue de Voilà q u r e.s c s t la rg em en t dépassé,des bc'inï r Vlouir tous les am ateu rsles oreifin ^o u y e rp en ts d ’ensem ble et le tambour ‘ °,S P,cr.som ics Oui aiment- ils habifint le cla,I’0n / i m p o r t e où les auhnt ’ ceux -la son t assu rés — et m atinal t l US,81 d ’aiU<‘u rs — d ’u n réveil liens â ; ^ ,?d,a n t d eax jo u rs les C anti- re tour ;> ! g ra tu ite illusion d ’un

caserno ou au x g ran d es inam, Uvr4 11 y a en quelque sorte le

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C h f i l iy av a it dé jà eu en 1922 le p riv ilfe d’uné com pétition de ce g en ­re. Ge|e fois-ci, selon la form ule du sardinier, nous vous convions encore à mieif.

Bienque la fête de n u it v a u d ra q u ’on so dérfflge. M. Laisne, le p ré s id en t du Comitéjjui e s t chargé de son o rg a n isa ­tion ne-ménage pas sa p e ine e t nous aurons pour illu m in er les g ran d es écu­ries, j es app are il s qui ont servi, à l ’Ex- positionColoniale !.. Voici de quoi, p a r ­donnez-moi l’expression , en m ettre « plein h. vue » au x m oins cla irvoyan ts. E t la retraite à laquelle p a rtic ip e ro n t une pâlie des gym nastes se ra im po­san te a itan t p a r son nom bre, que p a r ses cliques et les illum inations.

Bref ! p o u r vous co n ten te r C anli- liens, ej gens d’a len tou r, ce Comité est véritablement su r les dents. Vous avez un molen de lu i p ro u v er p a r avance votre c |ifiance comme votre g ra titu d e : apporte! une p ie rre à l ’édifice, sous­crivez I Achetez les b ille ts d ’en trée et même p u r ceux qui veu len t m ieux fa i­re encre enrôlez-vous d ans ce b a ta il- hm 1 i.m issaires, des a r tisa n s de, 1 Hu i r e p o s e r a l a c o r r e c t i o n

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3e p rix : 300 fran cs, M. O rens R ay ­m ond, précité.2° catégorie : P o u l ic h e s e t J u m e n t s

l r“ section : P ouliches de 2 et 3 ansl" r prix : 300 francs, M. O rens Léon. 2e p rix : 250 fra n c s M. O rens R ay­

m ond.3° p rix : 200 fran cs , M. H anquiez,

précité.4° p rix ; 75 fran cs , M. O rens R ay­

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" section : P ou lin ières suitées 1" prix ; 500 fran cs , M. O rens R ay-

meïHUfrdcité.2° prix : 75 fran cs , M. O rens R ay­

m ond, précité.3e prix : 300 fran cs , M. O rens Léon,

précité.4“ prix : 250 fran cs , M. H anquiez,

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à Flem fnes300 franCS’ ^ D clannoy’F e m e l l e s

' R" section :2 dents de rem p la cem en t au p lusr . P n x : 300 fran cs, F e rm e Ecole,

preeitee.

cité' PriX : 200 f ra n c s ’ M - V arle t, p ré ­

cité' PrIx : 7 5 f ra n c s . M ’ V arle t, p ré -

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R ouvroy-les-M erles.4° p rix : 75 fran cs , M. V arlet, p ré ­

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m ille , La G hapelle-sous-G erberoy.2e p r ix : 300 fran cs , M. D avid M au­

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1" p rix : 500 fran cs , M . O rens H en­ri, précité .

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3° p rix : 75 fran cs , M. O rens H enri, précité.

4* p rix : 75 fran cs , A sile de Cler- m ont.

3° section : P ou lin ières su itées1er p r ix : 500 fran cs , M. O rens H enri,

à L atau le .2° p rix : 75 fran cs , AT. O rens H enri,

à L atau le .3e p rix : 75 fran cs , M. O rens H enri,

à L atau le .4e p r ix : 250 fran cs , A sile de Cler-

m ont.5e p r ix : 200 fran cs , M m e D elannoy,

à F leu rin es .Les m em b res du J u ry : MM. D estom ­

bes, B ourdon-V inchon, Leleu.Le C om m issaire de section : M. D u­

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Gela aussi peut en être un symptômeL’appauvrissement du sang et l’affaiblisse­

ment du système nerveux se manifestent par bien des symptômes différents.

Chez telle personne, c’est l’estomac qui est affecté, telle autre souffre de migraines, de points de côté ou se sent continuellement lasse.

Chez Mlle G. Griyel, dont nous publions ci-dessous la déclaration, ce sont les reins qui étaient le siège de vives douleurs.

Les Pilules Pink ont été très efficaces contre ces douleurs et ont bien rétabli l’état de santé de Mlle Grivel.

Celle-ci, qui habite 137, Grande-Rue, à Nogent-sur-Marne (Seine), écrit, en effet :

« Depuis des années, j’avais mal aux reins et, jusqu’à ce que je fasse usage des Pilules Pink, aucun médicament ne m’avait donné de bons résultats.

« J ’ai fait une cure de Pilules Pink et, depuis, je n’ai jamais plus ressenti mes maux de reins. Je suis bien rétablie. »

Les Pilules Pink, qui sont un régénérateur du sang et des forces nerveuses extrêmement actif, sont, par le fait même, un remède très efficace contre les troubles et les nombreux malaises dont la cause principale réside préci­sément dans un appauvrissemedt du sang ou une dépression du système nerveux, tels l’anémie, la neurasthénie, l’affaiblissement général, les troubles de la croissance et du retour d’âge, les maux d’estomac, les maux de tête, l’irrégularité des-époques.

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2. L cn té-G allard (A m ie n s -P a n s ) , 31 po in ts .

3. L au ren t-H erb a in (S en lis).4. F a y a rd -B e rn a rd (S en lis).5. L ecom te-P échart (P a r is ) .

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1. L a fo u rn iè re -Ja ro u sse , 11. po in ts , 33 k ilom ètres en 50 m inu tes.

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3 . L en té-G allard , 11 po in ts.4. L au ren t-H erb a in .5. F ay a rd -B e rn a rd .6 . C oulon-A udenaert.

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de réu n io n de courses rég iona les com ­p o r ta n t une belle série d’épreuves don t le G rand P r ix « Gibbs », m atch de sp r in te rs en tre : M eurger, cham pion du N ord ; L au ren t, cham pion de l ’Oise 1933 et F ay ard , cham pion de l ’Oise 1932. Ce m atch se d isp u te ra en tro is m anches (v itesse p a r m atch à deux et m atch à qu a tre , le to u r de p iste lancé e t le k ilom ètre lan cé ).

Grand Match Omnium en 3 m anchese n tre : G andelier-H erbain , ,:T éro t-P o -m arède , G ran ie r-D u p la t e t Coulon- ü e r n a r a .

Match revanche, derrière motos com­m erciales en deux m anches de 10 k ilo ­m ètres e n tre A u d en aert e t G allard , du S. V. Senlis.

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Une ind iv iduelle de 30 to u rs réservée au x d ép a rtem en tau x com plétera ce- p ro g ram m e qui p ro m et d ’ê tre in té re s ­s a n t au p lu s h a u t point.

Nous rev ien d ro n s en d é ta il d ans no ­tre p ro ch a in num éro .

U N E J E U N E FEXvIM E A T T A Q U E Een tre M ontlévêque et E rm enonvilleM ardi d e rn ie r, vers m id i ^4, Mme

V errie r, née O lga M itterand , âgée de 2 2 an s , fem m e du g a rd e -ch asse , dem eu­ra n t au Bois de P e rth es , p rè s E rm en o n ­ville, rev en a it à b icyclette du m arché de S en lis, elle av a it a ttach é à son gu i­don, u n sac à p rov ision re n fe rm a n t des costum es de g a rço n e t fillette d on t elle v en a it de fa ire l’a c h a t e t son po rte - m onnaie co n ten an t 2 0 0 francs.

A la so rtie de M ontlévêque, à 2 k ilo ­m ètres env iron , u n in d iv idu inco n n u qui se tro u v a it couché e n tre deux tas de ca illoux s ’é lan ça d ev an t la cycliste et se je ta s u r elle. L’a g re sse u r fit tom ­b e r sa v ictim e q u ’il c h e rch a it à e n tra î­n er, u s a n t de vio lences e t de b ru ta ­lités.

« Je te casse la... » s ’éc ria le sauvage ind iv idu , en s e r ra n t à la gorge la p a u ­vre fem m e e t en ch e rch an t à l’é tran g le r .

Mme V e rrie r opposa une vive ré s is ­tan ce à ce b a n d it qui ne c ra ig n a it pas d ’a tta q u e r en p le in jo u r su r une rou te trè s fréquen tée.

Une autom obile su rv e n a n t peu ap rès m it en fu ite l’a g re sseu r, u n hom m e de hau te ta ille , qui av a it p ris la p récau tio n de ra b a ttre sa casquette s u r ses yeux.

Mme V e rrie r comme b ien on le p e n ­se, é ta it inan im ée, la figure e n san g lan -tôt;, le ixieiiton couvert d ’érosions e t sop la ig n a n t de douleurs.

En au to , la p au v re cycliste fu t con­duite à Senlis, à la g en d arm erie , où elle fit le ré c it de l’ag ressio n don t elle v en a it d ’ê tre l’objet. O utre les vête­m en ts et la som m e de 2 0 0 fran cs volés, le m a lfa iteu r s ’est a u s s i em p aré d ’une m on tre en a rg e n t avec bracele t.

Les gen d arm es et les ga rd es-fo res- tie rs o n t fa it im m éd ia tem en t des b a t­tues p o u r découvrir le b a n d it qui s ’é ta it en fu i sous bois.

S ouhaitons que celui-ci so it b ien tô t découvert afin de ra s s u re r nos p o p u la ­tions.

MarcheLe S p o rt V élocipédique S en lis ien o r­

g a n ise ra le d im anche 25 ju in , le G rand P r ix de Sen lis à la m arche , ép reuve de 15 k ilom ètres (rou te et p is te ) , o rg an isé p a r le S y n d ica t d ’in itia tiv e de Senlis e t le S. V. Senlis (m arch eu rs des clubs e t ind iv iduels de la 2 F. A.).

D épart 14 h eu res du V élodrom e, où les co n cu rren ts a u ro n t deux to u rs de p iste à p a rc o u rir . A rrivée vers 15 h eu ­res 30 (2 to u rs de p is te à p a rc o u r ir ) .

L’épreuve G om piègne-Senlis in sc rite a u c a len d rie r de la F. F. A. p o u r ce jo u r e t o rg an isée p a r le S. V. Sen lis e s t re ­p ortée au d im anche 24 sep tem bre.

E ngagem en ts p o u r la m arche du 25 ju in (3 fran cs p a r licenciés club e t 4 f ra n c s p o u r les ind iv iduels) chez M. G uizelin, sec ré ta ire S. V. S enlis, 13, rue de B eauvais. '

** »Compte rendu de la réunion du 28 Mai

La réu n io n o rg an isée d im anche 28 m ai au vélodrom e n ’a p as été u n succès f in an c ie r, p o u r le S. V. S enlis, c a r les p e rte s son t assez lourdes à su p p o rte r p o u r le v ieux club S en lis ien qui p o u r­ta n t fa it tous ses efforts p o u r o rg a n ise r de forts jo lis p ro g ram m es qu i ne re ­çoivent san s doute p as l ’a sse n tim e n t de la foule sen lis ien n e , c a r les réu n io n s o rg an isées p a r le club p lus que tre n te - na ire , son t en tiè rem en t délaissées p a r le pub lic de S enlis, p o u r ta n t d im anche d e rn ie r, la réu n io n d an s son côté sp o r­tif a été en tous po in ts réu ssie , to u t le m onde se su rp a ssa , co u reu rs e t o rg a ­n isa te u rs , et à 17 h eu res 40, tou t le p ro ­g ram m e é ta it te rm iné .

E n sp o rt p u r , tou tes les ép reuves fu ­re n t d ispu tées avec ach a rn em en t, le p r ix de P ica rd ie et le p rix C igogne v i­re n t la v icto ire de Collery M arceau, u n jeu n e sen lis ien qu i fa it son chem in s u r la p iste ; avec de la p e rsév éran ce , il a r r iv e ra à u n ré su lta t su p érieu r.. Le ch am p io n n a t de l’Oise v itesse fu t d isp u té avec ach a rn em en t, e t le jeu n e L au ren t, que nous avions p ro n ostiqué , à rem porté la v icto ire d’une façon n e tte s u r son cam arad e F ay ard . B ravo L au ­re n t e t continuez, vous a rr iv e re z à fa i­re quelque chose de b ien , su r to u t cou­rez avec la tête c a r vous avez les jam ­bes.

D ans le m atch om nium et l ’am érica i­ne, p rix A ndré T ro n c in , l ’équipe de la Pédale C haren to n n a ise , L afo u rn iè re- Ja ro u sse , ém ergea au -d essu s du lo t des co u reu rs engagés e t rem p o rta une belle v icto ire dan s les deux épreuves. Cette équipe d em an d era it à ê tre revue avec les B onin-D elevacque e t au tre s et la d i­rec tion du vélodrom e doit nous ré se r­v e r cette su rp rise . Les S en lisiens qui p a r tic ip a ie n t à ces deux épreuves fu­re n t à h a u te u r de le u r tâch e et les Gal­la rd , F ay ard , B ern a rd , L au ren t, H er- b a in , Coulon, A udenaert, Nézé, V oillot G illes, etc., su re n t d o n n e r la m esure dp leu rs efforts e t a n im è re n t les co u r­ses de le u r m ieux.

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L’équipe L ecom te-P échart, fu t h o n ­nête. e t se com porta b ien d an s les ép reuves où elle é ta it engagée.

B onne ap rè s-m id i spo rtive tou te à l ’h o n n e u r du S. V. S. e t de ses d ir i­geants.

RESULTATS TECHNIQUES Prix de Picardie (E lim ination)

t . Collery M. ; 2. A u d en aert ; 3. Lon- guépée ; 4. Nézé P ie rre .

Prix Cigogne (Ind iv iduelle)1. C ollery M. ; 2. K alin ; 3. Voillot ;

4. Gilles.Championnat Oise V itesse 1933

1. L a u re n t (S. V. S en lis ) , g a g n a n t les deux m anches de la finale ; 2 . F ay a rd ;3. B ern a rd et H erbain (ex -æ quo).

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I l y a q u e l q u e s s e m a i n e s , 10 ’U 1 i l /m lco rrec tio n n el in fligeait à deux jettesgens de no tre ville, une peine d e icux m ois de p riso n p o u r so u s trac tio n s l’au - tom obiles. Le T rib u n a l po u ssa it s<P iQ- du lgence en fa isa n t application aux p rév en u s de la loi de su rsis.

Gela n ’a pas beaucoup serv i delaçuu à l ’un d’eux, le jeune R ené L..., 2> a n s , fils de com m erçan ts de no tre vile- Bu effet, L... recom ença ses explo its m dé­ro b a n t l’a u tre soir, l’autom obile de M. F ran ço is D éjard ins, loueu r de tsxis, 4, p lace de la Halle, à Senlis, alo'S que sa vo itu re s ta tio n n a it dev an t saporte.

La gen d arm erie a lertée , donnt le s i­g n a lem en t de l’auto aux brigaJes s i­tuées en tre Senlis et P a ris , c a r ai avait rem arq u é que la vo iture av a it piis cette d irec tion et à son passag e au B urget, L. é ta it app réh en d é .

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ACCIDENT DANS UNE CARRIEREUn o u v rie r c a rr ie r , M. François De-

bellu , d em eu ran t à V illevert, était oc­cupé à l ’ex trac tio n de la pierre dans une c a rr iè re de M ontlévêque.

Soudain , au m om ent, où il allum ait une m ine, do la poudre qui se trouvait à p rox im ité s ’enflamma,.

M. D ebellu a été grièvem ent b rû lé aux m ain s et à la figure. Il a du être d irigé s u r l ’hôp ita l gén éra l de Senlis p o u r y recevo ir des so ins aussitôt.

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C H A F f T I L L YM. Paulvé, maire de Chantilly,

rend compte de la gestion de la Municipalité

(Suite)5° Création du nouveau cim etière de

la Fourrière. — L’aménagement de ce cim etière — travaux considérables — sera term iné dans quelques semaines. Une subvention de l’E tat est acquise.

6 ° Création d’une allée cavalière, ave- mue du Maréohal-Joffre, en bordure du Bois Bourillon.

7° Travaux im portants de voirie. — Réfection et goudronnage d e nombreuses

-- "nttimment : rue des Cascades, rue cte l a C h a u issée , r u e d e la M aicihine, r u e des Fontaines, rue d ’O r g e m e n t , r u e d e la Gare (rond poiint du bois Bourillon), quai de la Canardière, avenue de Mont- pensier, avenue Marie-Amélie, avenue de Joinville, avenue de Nemours, avenue de Chartres, rue du Bois-Saint-Denis, et en outre, réfectioin; de tous les tro tto irs de la Ville, sauf rue du Connétable et avenue du Marêchal-Joffre.

8 ° Installation du chauffage cen tral à l’Ecole des Filles.

9° Etablissement du plan d'aménage­m ent d’extension et d’embellisement de la Ville.

10° Etablissement d ’un im portant p ro­jet de réseau d’égout établi avec un soin et une com pétence unanim em ent appré­ciés par M. l’Ingénieur en chef de l’Oise et M. l’Ingénieur en chef des Travaux de Paris.

M. le P résident du Comité Supérieur de l’améniagement de la Région pari- sienr^e ayant décidé de faire com pren­dre cet im portant p ro jet dans les c ré­dits de l’outillage national, ces travaux seront, le cas échéant, largem ent subven­tionnés.

11° Installation d’un, nouvel éclairage public.

La Société Saint-Quentinoise accorde à la Ville : 1“ l'intensification! et l’exten-

. sion de l’appareillage de l’éclairage pu-U iic, 'ce -qui im p liq u e q u e le s d iv e rse sinstallations, canalisations, postes de transform ation ou appareils de quelque nature qu’ils soient nécessités p ar la mise en vigueur du nouveau con tra t n ’ont pas coûté un; centim e à la Ville; 2" une ré­duction sur la tarification de l’éclairage public; 3° des redevances im portantes sur la consom m ation du gaz et de l’élec­tricité dans la Ville et hors de la Ville.

En outre, au lendem ain de l’approba­tion du nouveau contrat, la Société St- Quenitinoise a versé à la Ville une somme de 50.000 francs pour rachat des instal­lations anciennes et lui a fait remise du m ontant (20.000 francs) des 3 annuités restan t dues (1931-1932-1933) pour am or­tissem ent de la dépense résu ltan t de la transformation! de l’éclairage public au gaz par l ’éclairage électrique, soit une somme globale de 70.000 francs au béné­fice de la Ville.

En ce qui concerne les dépenses à la charge de la Ville pour l’éclairage pu­blic, le tableau com paratif ci-dessous se référan t aux 2”, 3e et 4° trim estre des an­nées 1930, 1931 (ancien contrat) et 1932 (nouveau contrat) fait clairem ent ressor­tir que les dites dépenses — en raison de la redevance perm anente prévue au nou­veau contrat en faveur dé la Ville sur les quantités de gaz et d’électricité vendues p ar la Saint-Quentinoise — ne seront en aucun cas, plus élevées sous le régime nouveau que sous l ’ancien.

1930 (ancieni contrat) . . 34.000 fr.1931 (ancien contrat) . . 35.000 fr.1932 (nouveau eontrta) . 59.000 fr.Moins redevance de . . . . 28.000 fr.

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N aissances3. R ené-M arcel D erozier, 1, faubourg

S a in t-M artin .2. Jacques-M arie F ouquet, 1, fau ­

b o u rg S a in t-M artin .6 . Jacq u e lin e-G erm ain e H enw ood, 1,

fau b o u rg S a in t-M artin .8 . H élène F o ltan , 1, fau b o u rg S a in t

M artin .

Publication de MariageE n tre M. G eorges-A lphonse Lefèvre,

p lom bier, d em eu ran t à Sen lis 5, rue du Fou "coutu de M èaux.

E n tre M. G ustave-E ugène B orniche, c h a rre tie r , d em eu ran t à S enlis, ru e du M oulin S a in t-T ro n , e t Mlle A ndréa-E u- génie Leroy, dom estique, d em eu ran t à Senlis, rou te d ’A um ont.

Décès8 . F ran ço is-Jo sep h A ndrzezew ski, 10

mois, d em eu ran t chez ses p a re n ts à B arbery , décédé 1, fau b o u rg S a in t-M ar­tin.

8 . P ierre tte-L ou ise C arré, 18 m ois, de­m e u ra n t chez ses p a re n ts , à N an teu il- le -H audouin , décédée, 1, fau b o u rg S t- M artin .

, e t Mlle T h é rè se -Jean n e P ern e t,t r i è r e , d e m e u r a n t à S e n l i s , 42, rue

spéciaux consacrés à Chantilly, qui pa­ra îtro n t les deux dim anches de courses.

Il signale l’im portance de cette Publi­cité dont la répercussion ne peut être que profitable pour notre Ville.

A l’unanim ité, le Comité décide de p a r­tic ip e r à cette Publicité pour une somme de c inq cfents francs.

Bureau de renseignem ents de la Gare. — M. Claparède donne connaissance au Comité des devis définitifs des en trepre­neurs de la ville chargés du montage du bureau de renseignem ents.

Le m ontant en sera payé sur plusieurs exercices.

Ces devis sont acceptés à l ’unanim itéet M. Claparède est chargé de la direction de ces travaux.

P erm a n e n ce du B ureau de R en se ig n e­m en ts . — M. Hurbaimi, p résident de la Commission de Publicité donne Connais­sance de son projet concernant la perm a­nence du bureau de renseignem ents qm serait assurée du jour de Pâques au 15 octobre de chaque année.

Pour l’hiver, on verra it à l’envisager si cela est nécessaire.

I l a en vue plusieurs personnes sus­ceptibles d’assurer ce service.

La rém unération du gardien serait as­suré par la Publicité.

Ces dispositions sont adoptées à l’una­nimité.

Train n° 528. — Le P résident donne lecture d ’un vœu formulé p ar plusieurs voyageurs concernant des modifications à apporter à l’ho ra ire et aux arrêts de ce tra in .

Après discussion, il est décidé que MM. Pauwels et H urbain se ren d ro n t auprès de M. Gay, ingénieur de la T raction, pour lui soum ettre la question et essayer d’ob­ten ir les modifications demandées.

Excursions en auto-car. —- M. H urbain inform e le Comité que quatre excursions en auto-cars sont envisagées pour cette année.

Deux exdursions à Dieppe (dont une au mom ent des courses), une à Rouen et une à Fontainebleau.

Un communiqué à la presse locale in ­form era des jours et des p rix de ces ex­cursions.

Rien n ’étant plus à l ’ordre du jour ia séance est levée à 10 heures 30.

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Direction : M. Bloch

Tous les soirs à 21 heures

Du JEUDI 8 au DIMUNCHE 11 JUIN 1933Dimanche : MATINÉE à 15 h.

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Mi) très iToute communication nous par­

venant après le JEUDI A MIDI sera reportée d’office au numéro suivant. «

Le nouveau con tra t se révèle doinC pé­cuniairem ent avantageux pour la Ville et lui assure en, outre, un éclairage public conçu selon les données les plus m oder­nes, beaucoup plus puissant que l’amcien et qui ne peut qu’être unanim em ent ap­précié des populations et des visiteurs de Chantilly.

M. le Maire a fait ressortir que malgré l’étendue de ces diverses réalisations, le Conseil m unicipal avait pu (compte tenu des larges créd its inécessaires au fonc­tionnem ent norm al des services m unici­paux) réaliser une économie de 110 .000 francs, c’est-à-dire de 43 centimes. C’est ainsi que le nom bre des centim es com ­m unaux pour insuffisance de revenus fut ram ené jde 193 à 150, ce qui entraîna un,e réduction des im positions commu­nales d’environ 15 % .

Fréquem m ent applaudi, M. Paulvé ajouta qu’il avait la satisfaction d ’annon­ce r que l ’exercice 1932 clos au 31 m ars dernier, se soldait p ar un excédent de recettes entièrem ent disponible de l’or­dre d’environ 220 .000 francs.

Ces disponibilités perm ettront aisé­ment, .sans aucune augmentation d’im­pôts, les réalisations prévues pour cette année et l’année prochaine, C’est-à-dire l’acquisition de l’immeuble Caubet, place Versepuy, en vue de la création d ’un foyer m unicipal et la construction de l’Ecole des garçons.

M. le Maire term ina son allocution en rem ercian t ses auditeurs de leur bien­veillant accueil : « Tout le m érite de cette heureuse gestion, dit-il, j ’ai le de­voir de l’attribuer équitablement à mes prédécesseurs, mes collaborateurs de tous ordres, dont le zèle ne s’est jamais dé­menti, à mes collègues du Conseil m uni­cipal dont je connais le dévouement et l ’effort perm anent. Je vous demande ins­tam m ent de leur garder la confiance et la gratitude dont ils sont tous, particu ­lièrem ent dignes. »

M. Paulvé se m it ensuite à la disposi­tion de ceux de ses concitoyens qui dé­sireraient p résen ter des suggestions, fo r­m u l e r d e s c r i t i q u e s o u o b t e n i r d e s é c l a i r - cissem ents a u x q u e l s i l s p o u r r a i e n t l é g i -tim em ent prétendre.

Aucune in tervention ne se produisit et la réunion p r it fin, au milieu des ap­plaudissem ents unanim es.

Syndicat d’in itia tive

Le Comité du S. I. s’est réuni le 26 mai 1933.

E taient présents : MM. Pauwels, Clapa­rède, Léon Leclercq, Dalex, Sazerac de Forge, Leprat, Gibaud, Leroux, Cantat, Sim iand, H urbain, Georges Carré,

Absents excusés : MM. Sauvegrain, Le­clercq père, Ritz, Larricq.

La séance est ouverte à 21 heures sous la présidence de M. Pauwels, président.

Publicité du « Daily-Mail ». — Le P ré­sident rend compte que la M unicipalité a tra ité avec le « Daily-Mail », journal anglais à fe d tirage pour deux numéros

b Josette DAY - Germaine AUSSAY J■ Georges B O U L A N G E R■ ■ B ..................*............... ................ •»•»•«■ ■

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Croix de feu des BriscardsLa remise d ’un Fanion

à la Sous-SectionLe dim anche 28 mai, a eu lieu, place

Orner Vallon, la remise solennelle du d ra­peau à la Sous-Section de Chantilly, par M. Dhoudetot, m em bre du Comité direc­teur au nom du Colonel de la Rocque, empêché.

Les sections de Clermont et de Creil étaient représentées p a r plusieurs délé­gués et leurs drapeaux.

La fanfare de trom pettes « Le Réveil de Laigneville » p rê ta it son concours à cette cérém onie.

Le délégué dans unie allocution toute vi­b rante rem ercia le cam arade Gaston Hen­ry, président et anim ateur infatigable des sections de l’Oise et au nom du Comité D irecteur le félicita de son zèle et le re ­m ercia de son activité et de son dévoue­m ent. Il d it aussi un m erci au Président de la Section, M. A driani et à ses dévoués collaborateurs, qui avaient conjugué leurs efforts pour la belle ordonnance de cette cérémonie. Après avoir évoqué les souf frances endurées au front, le délégué re­mit le faniani.

« Ce fanion, à l’image du drapeau, qui « sera désormais le vôtre, doit synthéti « ser pour vous les qualités d ’honneur, de « courage, de loyauté, de solidarité, que « vous avez exaltées pendant la guerre « et dont les Croix de feu veulent main- « ten ir la trad ition et la continuation... « E t malgré la période critique que nous « traversons, il vous donnera confiance « dans le présent et aussi dans l’avenir, « c a r de notre ralliem ent autour des trois « couleurs, doit naître et subsister le sen- « tim ent de notre force pacifique.... Ne « craignons pas que le culte que nous « verrons au drapeau, ajoute à la sotte« lé g e n d e d ’u n e F r a n c e im p é r ia l is te , id é e « p ro p a g é e à t r a v e r s le m o n d e e t q u i« trouve même chez nous des échos. « Nous avons donné nos preuves et tou- « tes les propagandes m ensongères ne « peuvent altérer la vérité ».

E t d an s une belle conclusion, M. le dé­légué salua le drapeau, et rend it homma­ge à nos morts qui p ar le sacrifice géné­reux de leu r vie, on t appris à la généra­tion du feu à souffrir, à espérer, à lutter et à vaincre ; à nos m orts qui en s’endor­m ant pour toujours, ont eu l’espoir qu’ils assuraient à jam ais la Paix du Monde, en a ttendan t leur réveil dans l ’Im m ortalité.

Puis le cam arade Dhoudetot, après avoir embrassé le fanion, le rem it au dé­voué p résiden t A driani, qui chargea le cam arade Lucat de le porter.

M. Henry, p résident de l’Oise rem it en­suite la médaille m ilitaire pour faits de guerre au cam arade Muraine et douze m édailles de Verdun au nom du cam ara­

de Panau, président de la Commission du Livre d’Or de Verdun.

Défilé dans une tenue im peccable de tous les m em bres de l ’Association devant les drapeaux des Sections présentes et nouveaux décorés.

Aux accents en tra înants du « Réveil de Laigneville », un cortège se rend it à l ’église Notre-Dame, trop petite pour la circonstance.

La messe fut chantée p ar M. le Curé- Doyen Yamollet ; au cours de celle-ci, fa m aîtrise se fit en tendre et la musique de nos cam arades Guilleminot charm a l’as­sistance p a r l’exécution de m orceaux des plus grands m aîtres.

M. l’abbé Lepage, aum ônier m ilitaire, Croix de feu, prononça une ém ouvante al­locution patriotique.

A la fin de la cérém onie, la musique de M. Guilleminot exécuta la « Marche des Croix de feu », qui fut très appréciée.

Le cortège se reform a au son des trom ­pettes de la maison Desnoyers de Laigne- ville, pour aller déposer des gerbes aux Monument aux Morts de la grande guer­re et à la statue de notre cam arade, le Maréchal Joffre.

Um banquet de 70 couverts eut lieu en­suite à l’Hôtel d’Angleterre où la fine cui- sime et la bonne cave m iren t la gaieté parm i tous.

Au dessert, notre président de l’Oisç rem ercia auinjom de tous notre dévoué dé­légué du siège e t les prem iers pionniers de Chantilly (Crépim!, Boête, Chousny, etc.) et term ina p a r un appel pour le groupem ent des Fils et Filles de Croix de Feu.

Au nom du Comité D irecteur, M. Dhou­detot développa d ’une façon magnifique le but de notre association..

Le président rem ercie tout particu lière­m ent M. Guilleminot père pour son p ré ­cieux concours au cours de cette petite fête intime.

G. H e n r y .

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Légion d ’honneur. -— Peuvent être p ro ­posés pour cette décoration :

a) Les réservistes qui, ayant quarante années d’annuités de service dont quinze ans de services effectifs sont décorés de la médaille m ilitaire depuis 10 ans au plus.

b) Les hommes dégagés de toute obli­gation m ilitaire qui, décorés de la m é­daille m ilitaire ont été, depuis l'a ttrib u ­tion de cette décoration, l ’objet d ’uné proposition pour la Croix de la Légion d’honneur et rendent des services à l’édu­cation physique ou à la p réparation m i­litaire.

Dans le prem ier cas la proposition est faite p ar l’autorité m ilitaire (centre de mobilisation ou bureau de recrutem ent, pour les hommes classés sans affectation).

Dans le deuxième, les intéressés doi­vent adresser une demande au M inistre de la Guerre, direction de l’armée à la­quelle ils appartenaient, avant le 10 jan ­vier de chaque année.

Joies et tristesses du m ilitant. -— Il est des heures dans la vie d’un m ilitant, où sa plus g r a n d e satisfaction serait de tout abandonner. Car elle n ’est pas agréable sous bien des rapports la vie que le m ili­tan t doit m ener.

Voulez-vous savoir ce qui lui est le plus pénible dans la lutte qu’il doit soutenir ? Vous croyez peut-être que ce sont les d if­ficultés qu’il rencontre sur son chem in, les obstacles, ou bien les fatigues, les dé­boires, que sais-je encore ?’ Non, ce n ’est pas cela ; les difficultés il

les surm onte, les obstacles il les franchit, les déboires il les oublie. Mais il y a pire, le m ilitant est obligé contrairem ent à ce qui devrait être, de rem onter ses cam a­rades, alors qu’il devrait recevoir toujours conseils et encouragem ents, il ne rencon­tre que critiques parfois, indifférence trop souvent. Certes la critique, le m ili­tant l’accepte encore, surtout lorsqu’elle est inspirée p a r de bons sentiments... il l’accepte même lorsqu’elle est systém ati­que, hargneuse, jalouse parfois. Mais que dire de l’indifférence ? la force d’inertie des uns, le désintéressem ent des autres, les laisser aller sont les p ires ennem is de ceux qui, tout de même sacrifient un peu, souvent beaucoup d’eux-mêmes pour une cause qui est, malgré tou t une bonne cause 1

G. H e n r y .

L e P r i æ d e D i a n e

Egayée d ’un radieux soleil, la réunion du Prix de Diane 1933 a été particu liè­rem ent réussie. Du bon sport, une assis­tance élégante au pesage •—- on note à cet égard une constante amélioration! depuis quelques années, c’est un des rares bien­faits de la crise — enfin, à la pelouse la grande foule qui p rit, les ombrages sont rares, un fameux bain de soleil.

Qra com ptait beaucoup sur Bipearl, mais B ipearl ne répondit pas totalem ent aux espérances, elle se contenta d ’a rri­ver en tête des battules, et Vendange montée par Bouillon gagna avec une cer­taine élégance devant la Souricière — très peu prise — et Pamphilosa un autre outsider un peu plus joué. Les couleurs du baron E douard de R othschild ont ainsi été une fois de plus à l’honneur et Lucien Robert, l ’entraîneur, était un homme heureux ; en effet, le re tra it de « Vareuse » laissait très ouvertes les chances de l’écurie.

Notons le très excellent départ du Prix de Diane, c ’est une chose assez ra re pour qu’elle vaille d ’être m arquée; les pouliches étaient d ’une sagesse à bien faire augurer de la vertu de cette géné­ration...

Beaucoup d’autos, on en voyait p ar­tout, il arrivera sans doute un jour quel’Hippodrome deviearrdr« -on ovit<>ci*-«>«n*-- -,c e t e m p s n e n o u s p a r a î t m ê m e p a s t r è s lointain. La circu lation fut néanm oins bien ordonnée; félicitons nos braves gen­darm es qui ne s’am usèrent pas sur l ’as­phalte cuisant ! On apprécia beaucoup aussi l’arrosage m unicipal qui semait la fra îcheur et abattait la poussière au­tan t que les rangées de véhicules le lui perm ettait. Il n’y eut guère que le bou­levard d ’Aumale, « voie privée » jus­qu’au bout puisque « privée d’arrosage » où l’on pouvait im aginer un simoun dans toute sa splendeur. Ce furent à la vérité les seuls nuages de la journée.

Il ne reste plus à l’équipe des ramas- seurs de pap iers qu’à glaner les trophées épars sur le champ de bataille. Ces b ra­ves gens font leur m étier avec une patien­ce et un détachem ent que je leur envie; ils savent que tout sera à recom m encer dans quelques jours. Cela ne les touche

Page 5: LES MIPTS ET LÀ POLITIE dss CaiMiquiss lie l’Oisebmsenlis.com/data/pdf/js/1933-1934/bms_js_1933_06_11_MRC.pdfI fr. 5 0 la ügnô Ventes volontaires. — Publicités commerciales

A N N O N C E S JU D IC IA IR E S

Ar t ic l e 1er.

E tude de M° Georges MOÎtAND, aTOué à Senlis.

■ v e : i s r r r D esu r saisie im m ob ilière

DE : UNE

P R O P R I É T ÉS is e à S E N L IS

à usage def a b r i q u e d e p e r l e s ,a u tre fo is à usmge de m o u lin

coninue sous le nom de « M oulin S a in t-R icu i «

sur la riv ière PAunette avefc entrée de porte cochère

sur une place se trouvantà la jonction de la rue Carnot

et de la rue du Moulin St-ïUeul sur laquelle elle porte le n 40

d’une superficie de 1 hec ta re 22 a re s 47 cen tiares

plus am plem ent désignée ci-après.

te-èejiî centiares, tenant d ’un cô­té Nord-Ouest à la rue du Mou­lin Saint-Rieül, d ’autre côté à M. Sauvage, d ’un hau t Nord-Est à M. Berioist et d’autre bout à une placé, Ta rue Carnot, et M. Sauvage.

Cadastrée section B, num éros 181, 182, 183, 184 et 185.

Mise à prix : 2 0 .0 0 0 fr.

Pitnjneubte ci-dessus désigné se­ra m is en vente sur la mise à p r is sus-énomeée fixée par le jugetnènt précité.

Fait et rédigé p a r l ’avoué poursuivant soussigné,

A Senlis, le 10 juin 1933.Signé : MORAND.

E t enregistré.

En outre des charges, clauses et conditions énoncées au cahier des charges dressé p ar M” Georges Morand, avoué, et dépo­sé au greffe du T ribunal de p re ­m ière instance de Senlis, oùto u te p e r s o n n e p e u t en p r e n d r e c o n n a is sa n c e * l ’im m e u b le c i-d es-sus désigné sera mis en vente sur la mise à p rix sus-indiquée fixée p ar le poursuivant.

L’adjudication aura lieu le JEUDI 6 JUILLET 1933, à qua­torze heures, en l’audience des criées du T ribunal de prem ière instance de Senlis, au Palais de Justice de la dite Ville, place Notre-Dame, Bâtim ent de TEve- ché.

PURGE LEGALEIl est ici déclaré, conform é­

m ent à l’article 696 du Code de procédure civile, que tous ceux du chef desquels il pourrait être p ris des inscrip tions d’hypothè­que légale sur l ’immeuble ci- dessus désigné, devront requérii cette inscription avant la trans cription du jugement d’adjudi cation.

l’avouéFait et rédigé par poursuivant soussigné.

Senlis, le 6 juin 1933.Signé : MORAND

Et enregistré.

En exécution : 1“ '. d’un p ro ­cès-verbal de saisie immobilière du m inistère de Me Caillat, huis­sier à Senlis, en date du dix avril 1931, visé, enregistré et tran scrit au bureau des hypo­thèques de Senlis, le trente avril 1931, volume 104, n 0 32 ; 2“ . D’un jugement du Tribunal de prem iers instance de Senlis, en date du prem ier m ars 1933, en­registré ; E t-d ’un autre ju­gement du dit T ribunal en date du prem ier juin 1933, enregistre.

Et aux requête, poursuite et diligence de :

M. Armand-M arie-Julien Raf- fy, sans profession, dem eurant a Lons-le-Saunier (Jura), rue La- fayctte, n 0 3 ;

C réancier poursuivant. Ayant pour avoué constitué,

Me Georges Morand, dem eurant à Senlis.

En présence ou eux dûment appelés de :

l»"1. Mme Marie-Thérèse-Ga- brielle-Blamehe Mauméjean, in ­dustrielle, dem eurant à Senlis, 40, rue du Moulin-Saint-Rieul, ci-devant et actuellem ent chez Mme Devaux, à Paris, 78, rue de Passy, veuve en prem ières noces non rem ariée de M. Jean-HenriDiehl. i . .

Partie saisie.N’ayant pas d ’avoué constitué. 2ent. Et M. Lucien Laforge,

syndic de faillites, dem eurant à Paris, 47, rue Saint-André-des- Arts ; « P ris au nom et comme syndic de la faillite de Madame Diehl, susnommée, nommé à c e t t e f o n c t i o n p a r j u g e m e n t d u Tribunal de c o m m e r c e d e laSeine du 16 décem bre 1932. »

Partie saisie. Ayant pour avoué constitué,

Me Lucien Chastaing, demeurant à Senlis.

Il sera, le Jeudi 6 Juillet 1933, à quatorze heures, en l’audience des c rié ts du T ribunal de p re ­m ière instance de Senis, au Pa­lais de Justice de la dite Ville, place Notre-Dame, Bâtiment de l ’Evêché, procédé à la vente sur saisie immobilière, aux enchères publiques, au plus offrant et dernier enchérisseur, à l ’extinc­tion des feux, en un seul lot, de l’immeuble dont la désignation suit :

•DESIGNATION telle qu’elle est insérée

au procès-verbal de saisie immobilière

ETMISE A PRIX

d e l ’i m m e u b l e a v e n d r e

UNE PROPRIETE sise à Sen­lis, à usage de fabrique de per­les, autrefois à usage de moulin, connue sous le nom de Moulin Saint-Rieul, sur la rivière l’Àu- nette avec entrée de porte co chère sur une place se trouvant à la jonjction de la rue Carnot et de la rue du Moulin Saint-Rieul, sur laquelle elle porte le numéro 40, paraissan t -comprendre :

1° A gauche en en tran t au rez- de-chaussée: remise et logement •composé de cuisine, salle m anger et cham bre au prem ier étage, ateliers, au deuxième éta­ge une salle, au-dessus grenier

2° E n face la porte cochère maison d’habitation, com pre­nant : au rez-de-chaussée, gale rie, office, cuisine, salle à m an­ger, salon, studio et salle de bains, au prem ier étage deux cham bres et cabinet de toilette, water-closet à mi-étage, au deu­xième étage trois cham bres et g ren ier au-dessus.

3° A la suite autre corps de bâtim ent, au rez-de-chaussée passage couvert, au prem ier éta­ge une cham bre et salle de bains, grenier au-dessus.

4 ° Bm suivant buanderie et ca­binet d ’aisances, avec grenier au-dessus.

5° En retour faisant face au prem ier corps de bâtim ent, écu­rie, magasin et remise, au-dessus cham bre de domestique, maga­sin et grenier sur le tout.

6 ° A droite de la porte cochè- re , atelier et bâtim ent avec gre-n i e r a u - d e s s u s .

7° Cour entre les bâtiments,basse-cour derrière les bâtim ents désignés sous le num éro 5°.

8 ° Bâtiment de l’usine auquel on accède p a r un passage entre le prem ier logement et la m ai­son d’habitation» dans ce pas­sage entrée de deux caves à la suite une pièce, au prem ier éta­ge trois ateliers, au deuxième é- tage salle et grenier au-dessus.

9'’ D errière la maison d’habi- tatiom un appentis contigu au précédent bâtim ent.

A la suite un bâtim ent en charpente métallique de trois travées, en cours d’édification, et uin autre bâtim ent v itré com­prenan t six pièces avec sous-sol.

10° Jard in fru itier et jardin potager traversés p ar un cours d’eau et longés par la rivière.

11° P ra irie et m arais.Le tout d’une superficie d ’un

hectare vingt-deux ares quaran-

S'adresser pour les renseigne­m ents :

A M” Georges MORAND, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

A Me Lucien CHASTAING, avoué à Senlis, présent à la vente ;

A M* Edm ond CAILLAT, huis­sier à Senlis ;

Et au Greffe du Tribunal de prem ière instance de Senlis où le cah ier des charges est déposé.

8280

Art. 2.

Etudes de Me Georges MORAND, avoué à Senlis,

et de M6 Robert BOILET, notaire à Pont-Saintc-Maxence.

■V K ' F 1 3su r conversion

de saisie im m ob ilière DE

UN JARDINp lan té d’A rbres fru itiers entièrem ent clos de murs,

S i s a u M o n tc e lCommune de PONTPOINT

lieudit le Clos de Rieux A V E C H A N G A R E T P U IT S

d ’une contenance de 3.581 m ètres carrés environ.

S ’adresser pour les renseigne­m ents :

A M' Georges MORAND, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

A M® Lucien CHASTAING, avoué à Senlis, présent à la v e n te ;

A M* G a b rie l F E R R Y , h u is s ie rà Pont-Sainte-Maxence ;

Et à M® Robert BOILET, no­taire à Pont-Sainte-Maxence, ré­dacteur et dépositaire du cahier des charges.

8281

Art. 3.

Etude de M« VIDY, notaire à Chantilly.

DEUXIEME INSERTION

Suivant acte reçu par Me Vidy, notaire à Chantilly, le 23 mai 1933, enregistré à Crell (A. C.) le 26 mai 1933, vol. 339, f» 8 , n° 50, Mme Aline MENETRÉ, hôtelière, de­m eurant à Chantilly, 13, place Omer Vallon, veuve de M. Ger- main-Nicolas NOIREL, a cédé à M. Paul-Toussaint STROMBONI, hôtelier, dem eurant à Chantilly, rue de l’Em barcadère, la « Grande Licence » de débitant de bois­sons et spiritueux, titrant plus de 23 degrés d’alcool à consom­m er sur place, détachée d’un fonds de commerce de café, hôtel, res­taurant, exploité à Chantilly, 13, place Orner Vallon, dit « Hôtel d ’Albion ».

L’insertion an Bulletin Officiel des Ventes et Cessions de fonds de commerce a été faite le 7 juin 1933.

Les oppositions, s’il y a lieu, seront reçues dans les dix jours de la deuxième insertion, à Chan­tilly, en l’Etude de Me Vidy, do­micile élu.8266 Signé : VIDY.

L’adjudication aura lieu le SAMEDI 8 JUILLET 1933, à 15 heures, en l’E tude et p ar le m i­nistère de M® Robert BOILET,n o ta ir e à P on t-S a in te -M ax eiiice ,commis à cet effet.

En exécution d’un jugement renjdu sur: requête p ar le T ribu­nal de prem ière instance de Senlis, le freinte et un mai 1933, enregistré, lequel jugement a converti en vente aux enchères les poursuites de saisie immobi­lière exercées par les consorts Tétu sur l ’immeuble appartenant à Mme Zimermann.

Et aux requête, poursuite et diligence de :

l mt. Mme Jeamne-Benoite Du­rand, dem eurant à Pont-Saintc- Maxence, rue Charles-Lescot, n° 43, veuve de M. Alphonse-Henri- Auguste Tétu ; 2“"*. M. Alfred- Claiide-Henri Tétu, icontre-maî-1 tre, dem eurant à Pont-Sainte- Maxence, rue de Creil ; 3*n". Et Mme Marcelle-Jean ne-Alphon- sine Tétu, épouse assistée et au­torisée de M. Léopold-Eugène Demouy, pein tre en bâtim ents, aved lequel elle demeure à Pont- Sainlte-Maxeinice, rue de Cavillé. n 0 3 9 : « agissant en qualité d’habiles à se dire et po rte r seuls héritie rs et représentants de M. Alphonse-Henri-Auguste Tétu, leur m ari et père décé­dé. »

P o u r s u iv a n t s la v e n t e ;Ayant pour avoué, M® Georges

Morand, dem eurant à Semilis.Eni présence ou eux dûment

appelés de :l®nt. Mme G abri elle Baumgar-

ten, sans profession, épouse de M. Abraham-Léon Zimermann, industriel, avec lequel elle de­meure à Paris, rite Meynadier, ru® 15; 2®nt. Et M. Abraham-Léon Zim erm ann, industriel, demeu­ran t à Paris, rue Meynadier, n° 15 ; « p ris pour l’assistance et l’autorisation Inécessaires à la dame son épouse et valider la procédure. »

Parties saisies.Ayant pour avoué, Mc Lucien

Chastaing, dem eurant à Senlis.Il sera, le Sam edi 8 Juillet

1933, à 15 heures, en l’Etude et par le miqâstère de M® Robert Boilet, notaire à Pont-Sainte-Ma­xence, commis à cet effet, p ro ­cédé à la vente sur conversion de saisie im m obilière, aux enL c'hères publiques, au plus of­frant et dernier enchérisseur, à l’extinction des feux, en un seid lot, de l’immeuble dont la dési­gnation suit :DESIGNATION & MISE A PRIX

de l’Im m euble à VendreUN JARDIN sis au Montcel,

c o m m u n e de IPontpoimt, l i eud itle Clos de Rieux, d’une conte­nance de trois mille c inq cent quatre-vingt-un m ètres carrés environ.

Ce jard in planté d’arbres fru itiers et dans lequel se trouve un hangar et un puits, est entiè remenjt clos de m urs et tient en façade à lâ route de Pont-Sainte- Maxence à Verberie, au fond un chem in sur lequel une porte donne accès, d ’un côté à M. Bau drier, et d ’autre côté à M. Ar­thu r Maeré.

Cadastré section F, n ” 116 p.Mise à prix : 11.000 fr

Art. 4.

Marcel AL AUX41, Rue de Lyon, PARIS (XII«)

DEUXIEME INSERTION

Suivant acte s. s. p., dont la prem ière publication a paru dans le Courrier de l’Oise du 19 mars 1933.

Monsieur CAZANAVE Aimé- Jacques-V ictor et Madame ANTO- NETTI G»brielle, son épouse, demi urante nsemble à Lamorlaye, 2, rue de la Tuilerie,

Ont vendu àM onsieur TAILLANDIER Henri-

P ierre et Madame née COURTEL- LEMONT Amélie-Léonie, demeu­rant ensemble à Montreuil, 1, rue Alexis Lepere.

L e u r f o n d s d e c o m m e r c e d e v i n s - a l i m e n t a t i o n , sis 2 , rue de la Tuilerie, à Lamorlaye.

Oppositions, s’il y a lieu, au fonds vendu.

L’insertion au Bulletin Officiel a paru le 3 ju in 1933. 8292

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En ce qui concerne les immeubles de/des-les-Villenoy, s’adresse pour v isiter, sur rendez-vous, au de la Comptabilité, fermeMoquet, à Isles-les-Villenoy. — Foste?iet chemin de fer : Esbly Téléphone : Esbly n° 57.

En ce qui concerne les immeubles de Lévignen et Rouville, s’a dresser à M. BOUCHE, géomètre-expert, à Crépy-en-Valois (Tél. 60)

NOTA. — Pour enchérir, le ministère d\in avoué est obligatoireJ H 8289

Art. 5.TRIBUNAL DE COMMERCE

DE SENLIS

Les créanciers de la faillite du sieur BARDIN, hôtelier-débitant à Balagny-sur-Thé ain sont invités à se réun ir le 20 Juin 1933, à 14 h. 30, en l’auditobe du Tribu­nal de Commerce de Senlis, pour donner leur avis tant sur la com­position de l’état des créanciers présum és que sur la nomination du syndic et sur l’élection de contrôleurs.

Le Greffier du Tribunal, 8298 G. GAVENC.

E n outre des charges, clauses et conditions énoncées au ca­hier des charges dressé p a r M® Robert Boilet, notaire â Pont Sainte-Maxenee, et déposé en son Etude où toute personne peut en p rendre connaissance.

Ar t . 6.

TRIBUNAL DE COMMERCE DE SENLIS

Les créanciers de la faillite du sieur Henri CHAZETTE, entrepre­neur de fumisterie à Plailly, sont invités à se réun ir le 27 Juin 1933, à 14 h. 30, en l’auditoire du Tri bunal de Commerce de Senlis, pour entendre la lecture du compte du syndic de l’union et donner leur avis sur IV xcusabilité du failli.

Le Greffier du Tribunal, 8297 G. GAVENC.

Art. 7.

Etude de M' Georges MORAND, avoué à Senlis.

PURGE LEGALE

Acquisition d ’utilité publique Loi du 30 décembre 1928

Arrêté P réfectoral du 29 mars 1933

vieux, sur laquelle elle porte le n° 6 et de la place Maurice Ver- sepuy, compremiant : l®nt Un bâ­tim ent d ’ha(bitation en façade sur la place Maurice Versepuy, élevé partie sur caves et partie sur te rre plein, d ’un rez-de- chaussée, d ’un prem ier etage et d ’un deuxième étage sous com­bles, couvert en tuiles du cote de la cour et en ardoises du cote de la place et divisé au rez-de- chaussée, vestibule a droite du­quel petit salon et grand salon, petite pièce derrière; a gauche dégagement devant la salie a manger, bureau, petit dégage­ment d’entrée sur cour, grande salle à manger, cuisine, arrière- cuisine. Au prem ier etage, palier à gauche duquel dégagement sur la place, petite cham bre sur cour, grand cham bre d angle ; sur rue Versepuy, 'Cabinet de toi- jette, autre cham bre à droit,», autre dégagement sur la place stervant üe penderie, salle de bains sans baignoire ni chaufie- bain, petite cham bre sur cour, cabinet de toilette et grande cham bre sur la place Versepuy. Au deuxième étage, palier, à gau­che : entrée, grande cham bre d’angle sur rue et place Verse- puy, petite cham bre sur cour; a uroite, autre entrée, cham bre sur cour, grenier ; 2“ t Un Bâtiment en aile à droite, dans la coui, com prenant : au rez-de-chaus­sée, une remise, une grande piè­ce, anciennem ent à usage de la­boratoire, une sellerie, un boxe et un charbonnier, sous 1 esca­lier. Au prem ier étage : cinq chambres, uni couloir et une sel­lerie. Au dessus, combles servant de grenier à fourrages. 3 Au­tre Bâtim ent à la suite et au fond, com prenant : au rez-de- chaussée, I l boxes ayant accès direct sur la cour et un autre boxe à l’angle de la rue Verse­puy, ayant accès p ar 1 un de.» boxes ci-dessus et une porte de sortie sur la rue Versepuy. Au dessus, combles divises sur la partie du fond en un grenier a avoine, un autre à fourrages et un autre avec porte d ’emgrange- ment sur la rue de Gouvieux et sur la partie en aile sur la rue Versepuy. en un grenier. Cour devant toits ces bâtim ents, dans laquelle wateir-closets et bassin en p ierre, pompe. L’ensemble de cette p roprié té paraissant avoir d’après un, partage du 25 février 1856, une superficie de 1.202 mètres carrés 86 centim ètres carrés environ, y com pris la moitié de l ’épaisseur d u mur mitoyen séparatif de cette pro­priété avec celle de Madame Mi- ny, et l’épaisseur entière des murs en façade sur les rues et place qu’elle borde sur trois cô­tés tient p ar devant vers Est, à la place Maurice Versepuy, par derrière, à Madame Miny, d un côté vers Sud la rue de Gou­vieux, et d’autre côté à la rue Versepuy. E t ce m oyennant le p rix p rincipal de deux cent m il­le francs, outre les charges.

COMMERCIME

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Etude de Me LEVESQUEcommissaire-priseur

des ville et arrondissem ent de Senlis. Tél. 150.

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Imposition publique le matin de la Vente. 8263

D’un exploit du M inistère de M® G né tin , huissier à Chantilly, en date du sept juin 1933, enre­gistré.

Il appert qu’à la requête de la Ville de Chantilly, poursuite; et diligences de Monsieur Fa bien Paulvé, Chevalier de la Lé­gion d’honneur, P réfet honorai­re, son Maire, dem eurant Chantilly.

Pour laquelle domicile est élu, à Senlis, 10, rue Saint-Hi- laire, en TEtude de M® Georges Morand, avoué.

Notification a été faite à Mon­sieur le P rocureur de la Répu­blique près le T ribunal de p re­mière instance de Senlis.

De l’expédition d’un acte dressé au Greffe du Tribunal de prem ière instance de Senlis, le vingt-quatre mai 1933, enregis­tré, constatant le dépôt effectué audit Greffe le même jour, de la copie collationnée et enregis­trée, d ’un acte reçu p ar M® Mar­cel Vidy, notaire à Chantilly, le cinq m ai 1933, enregistré, con­tenant vente p ar M. PaScal-Léon Caubet, p rop rié ta ire et Madame Rosa-Uolombe Pecquery, son épouse, de lui autorisée, demeu­rant ensemble à Chantilly, rue Saifit-Laiinent, n° 6 , â lâ Ville de Chantilly, sus-nommée, de • une P ropriété, située à Chan­tilly, à l ’angle de la rue de Gou-

Avec déclaration :Que la dite notification

Etude de Me Louis GUÉTIN,gradué en droit

huissier à Chantilly.

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Exposition publique le Samedi 17 Juin 1933, de 14 à 16 heures

Pour tous renseignements, s’a ­dresser à M® Guétln, huissier à Chantilly. Téléph. 85. 8293

Études de :1» M« Georges THUILLIER,

docteur en droit, avoué demeurant à Clermont (Oise)

8 , place de l’Hôtel-de-Ville ;2® M® Jules PISIER,

docteur en droit, avoué demeurant à Clermont (Oise)

16, rue du Châtellier.

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et dernier enchérisseur Jugement sur requête du Tribunal

Civil de Clermont (Oise), sta­tuant en Chambre du Conseil, du 10 Mai 1933, enregistré.

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Etude de M® L. CHASTAING, avoué à Senlis.

L 'adjudication aura lieu le MARDI 13 JUIN 1933, à 14 h. 30 (heure légale), à la Mairie de Bouillartcy, p ar le m inistère de M® DUHAUTPAS, notaire à Acy- en-Multien, commis à cet effet.

L’adjudication aura lieu le Lundi 4 2 Juin 1 9 3 3 , d 14 heures (heure légale) en l’audience des criées du Tribuoal Civil, séant à Clermont (Oise), au Palais de Justice de la dite ville.

luiétait faite, conformément à l’ar ticle 2.194 du code civil, afin qu’il ait à prendre s’il le jugeait convenable, telle inscription d’hypothèque légale qu’il avise­rait dans le délai de deux mois, faute de quoi, ledit immeuble se­ra it et dem eurerait définitive­ment purgé et libéré entre les mains de l’acquéreur de toutes hypothèques de cette naturr-

Et que les précédents p rop rié ­taires, outre les vendeurs, e- taient : Honoré Paquier et dame Emélie-Maria Verjus, son épou­se ; Henry Gibson ; Virginie- Geneviève Auboin, épouse Je Henry Gibson ; Gfeneviève-Ale- xandrine Taffin, épouse de Je®1]" François Auboin ; François-Mi- chel-Joseph Taffin ; Pierre- E tienne Frigault et dame Anne Dubarle, son épouse ; Jean Ma- hieu ,et dame Marie-Anne-Ange- lique Frigault, son épouse ; Lj que tous ceux du chef desquels il pourrait être pris des inscrip ­tions d’hypothèque légale n o ­tant pas connus de la Ville de Chantilly, elle ferait faire la présente insertion conform é­m ent à l’avis du Conseil d ’Etat des neuf mai et prem ier juin 1807.

Pour insertion : 8295 (Signé) : MORAND.

Etude de M* LEVESQUEcommissaire-priseur à Senlis.

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Les enchères ne pourront être re­çues que par ministère d'avoués.

S’adresser pour tous renseigne ment s :

1“ Au Greffe du Tribunal Civil de Clermont (Oise), où est déposé e cahier des charges.

2» A M® Georges THUILLIER, avoué à Clermont (Oise) et M ■ Jules PISIER, avoué à Cler­mont (Oise). 8262

Etude de M- BOILEAU, notaire à Nanteuil-le-Iiaudouin

A vendre par adjudication, le Samedi Rr Juillet 1933, à 15 heures, à Péroy-les-Gombries, en la Salle de la Mairie, du Droit de Chasse pour 9 années à paitir de la sai­son de chasse 1933. Pour rensei­gnements, s’adresser à la Mairie de Péroy-les-Gombries et au No­taire.

Etude de M® Georges MORAND, avoué à Senlis.

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à Fleurines.

L’adjudication aura lieu le JEUDI 22 JUIN 1933, à quatorze heures, au T ribunal civil de p re­mière instance de Senlis, séant à Senlis, au Palais de Justice, place Notre-Dame, ancien Evê­ché.

S’adresser pour tous rensei­gnements :

A M® L. CHASTAING, avoué à Senlis, poursuivant la vente.

Et pour visiter :A l ’Auberge du Vieux Logis,

à Fleurines (en face la propriété à vendre).

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L’adjudication aura lieu le JEUDI 15 JUIN 1933, à 14 heu­res, en l’audience des criées du Tribunal de prem ière instance de Senlis, au Palais de Justice de la dite Ville, place Notre-Da­me, Bâtim ent de l’Ëvêché.

S’adresser pour les renseigne­ments :

A M® Georges MORAND, avoué à Senlis, poursuivant la vemte ;

A M® Gabriel FERRY, huis­sier, à Pont-Sainte-Maxence ;

A M® Robert BOILET, notaire à Pont-Sainte-Maxence ;

Et au Greffe du Tribunal de prem ière instance de Senlis, où le cahier des charges est déposé.

Etudes de M® L. CHASTAING, avoué à Senlis.

et de M® BARBIER, notaire à Creil.

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L’adjudication aura lieu le MERCREDI 21 JUIN 1933, à 14 heures, en l’Etude et par le m i­nistère de M* BARBIER, notaire à Creil, commis à cet effet.

Etude de M® René PICARD docteur en droit, avoué à Senlis

21, rue de Villevert (Successeur de M® Escavy).

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à Neuilly-en-Thelle.

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Etude de M® Robert BOILETnotaire L’adjudication aura lieu le

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Samedi 1er ju ille t 1933, à 15 heures, j £™ u^ en-'? h^11?-’- p-ar le m im s en l’Etude et p»r le ministèreMe Robert Boilet, notaire à Pont- Sainte-Maxence, P etite Maison avec J a rn in libre de location, sise Grande Rue, aux Agenx, près Pont-Sainte-Maxence.

Etude de M® Félix LOUAT, notaire à Senlis (Oise).

A lo u e r d e s u ite . A p p a r te m e n tau 1er é tag e , ru e S a in t-Je a n , 5 b is , à Senlis.— S’adresser à M® Louât, notaire.

tère de M® FABIGNON, notaire à Neuilly-en-Thelle, com m is à •cet .effet.

S’adresser pour les renseigne­ments :

A M> PICARD, avoué à Sen­lis, 21, rue de Villevert (Tél. 13), poursuivant la vente.

Et à M® FABIGNON, notaire à Neuilly-en-Thelle, rédacteur et dépositaire du cahier des char­ges.

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S’adresser pour les renseigne­ments à :

1° M" L. CHASTAING, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

2“ M* BARBIER, notaire à Creil, chargé de la vente et dé­positaire du cahier des charges.

Etudes de M» Gaston LOIR, avoué à Senlis,

43, rue de la République et de M® BARBIER, notaire

à Creil.

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de M. Charles SeILLîer, épicier à M ontataire.

L’adjudication aura lieu le SAMEDI 24 JUIN 1933, à 14 heu­res, en. l ’Etude de M® BARBIER, notaire à Creil, commis à cet effet.

S ’adresser pour les renseigne­ments :

A M® LOIR Gaston, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

A M® BARBIER, notaire à Creil, dépositaire du cahier des c h a r g e s .

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■ M. Vade Jean, à Bruneham el (A isne).M. T ellier-D upont, L igny-S t-F lochel (P .-d e-G .). M. Soum illard Gabriel, à Aubreville (M euse).M. T ry-M aquet, r . la Gare, Harnes (P .-d e -C .) .M. M artin P e tit, rte de Laon. Soissons (A isne).Mme M ahaux M., factrice, C erisy-la-Forêt (M .).M. M athieu E., Les Ratooulets, Trévol (A llier).M. D eperiers Léon, C erisy-la-Salle (M anche).M. Cantin Henri, 13, r. St-Rom ain, P aris (18e). M. B erton, rte Douai, H énin-L iétard (P .-d e -C .). M. P ira rd Gilb., r . J.-G allois, Louvroil (N .).M»® Cornet Geneviève, à V illeneuve (M arne).M. Gabocel Paul, confections, Dieuze (M os.).M. Gaudar Roland, 20, r. Paris, Metz (M os.). M. Lem aître, à H ellebroucq-E perlecques (P .-C .) . M. GiHiart Gast., 19, r. M eurant, Laon (A isne). Mme Agnes Anne, 7 bis, square Morisson, Lille.M. Samain Max, r. M ulhouse, Dijon (G ,-d’O r).

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