LE MONDE DES - Région Pays de la Loire...Voilà les travaux que nous aurons à conduire dès le début de 2017. Dans cette attente, au nom des élus et des collaborateurs de la Chambre

ÉLECTIONS CMA/CMAR

Mobilisés au service de l’ArtisanatPages 04 & 10-11

TAXE D’APPRENTISSAGE 2017 p. 12

OLYMPIADES DES MÉTIERS

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Portrait

Artisan et musicien… passionnément !P. 08

Janvier/février 2017 • 1,50 €

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S O M M A I R E

Ce numéro comprend des pages spécifiques entre les pages 1 à 16 pour les abonnés du Maine-et-Loire.

ACTUALITÉS 06Faire réparer pour consommer mieux et dépenser moins !Week-end des métiers d’artEn route vers la 3e Révolution Industrielle et AgricoleArtisan et musicien… passionnément !

aCTUALITÉS régionales 10 Joël Fourny, élu président de la CMAR des Pays de la Loire47 champions ligériens en course

« La Ferme de chez nous »Les Journées Européennes des Métiers d’Art : inscrivez-vous !

initiatives 14L’offre de formation 2017 vient de paraîtreURMA49 : remise de diplômes

juri-pratique 18

regards 26

Fabrice Pesin, médiateur national du crédit

La délégation Maine-et-Loire.04É V É N E M E N T

03

Le Monde des artisans n°116 – Janvier/février 2017 – Édition du Maine-et-Loire –

TEMA|presse

'année 2016 qui s'est achevée a vu le renouvellement des élus de notre chambre de métiers et de l'artisanat.

Ce changement est bien sûr une étape importante. L'année 2017 qui s'annonce va marquer la montée en puissance des élus dans leur engagement. L'artisanat a besoin de femmes et d'hommes prêts à donner de leur temps et de leur compétence pour porter ses valeurs et représenter ses intérêts auprès des pouvoirs publics, et nous remercions toutes celles et tous ceux qui ont fait ce choix et sont désormais membres de l’assemblée générale. Nous sommes au service de l’ensemble des artisans de notre territoire en proximité et au service de l’économie artisanale. Notre secteur a souffert et souffre encore en dépit d'une reprise de l'activité lente et fragile. Il a besoin d'être reconnu comme un acteur essentiel de l'économie régionale, qui irrigue l'ensemble du territoire de création de richesses et d'emplois et qui apporte les services indispensables à la population.Notre institution doit être capable de porter des messages clairs et audibles pour que notre secteur et le poids économique qu’il représente soit réellement pris en compte par les collectivités locales. Ces engagements, nous les mènerons au sein des territoires de nos 5 départements, au niveau de notre Région mais également au sein de l'Assemblée permanente des Chambres de Métiers où Joël Fourny a été élu. Pour porter et défendre ces enjeux, notre priorité sera d’élaborer un projet de mandature, véritable feuille de route des élus, déclinée par les services de la Chambre de Métiers, qui permettra d'ouvrir des perspectives pour les 5 années à venir afin d'ancrer nos actions au service de nos entreprises et de nos clients, et de répondre au mieux aux besoins de formation et de développement économique.Voilà les travaux que nous aurons à conduire dès le début de 2017. Dans cette attente, au nom des élus et des collaborateurs de la Chambre de métiers et de l'artisanat des Pays de la Loire, nous vous présentons tous nos vœux de bonheur, de santé, et de pleine réussite tant sur le plan professionnel que personnel, pour vous et vos proches.Agissons ensemble pour que l'artisanat demeure une valeur sûre pour les Ligériens au quotidien et sur tous nos territoires.Mobilisons-nous pour que nos jeunes s'accomplissent véritablement dans leur métier et soient fiers de l'exercer demain.Vous pouvez compter sur notre engagement !Bonne année à tous.

L

É D I T O

É VÉNEMENT MAINE-ET-LOIRE

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our représenter ce secteur, ce sont, en proximité, 25 élus issus de tous les territoires du département. Les élus représentent la diversité des

métiers de l’artisanat.Gérard Aubry a été réélu à la présidence de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat Maine-et-Loire. Il est secondé par Patrick Bouvier, vice-pré-sident et 4 membres du Conseil de délégation.Mobilisés au service de l’artisanat, les élus sont les interlocuteurs des chefs d’entreprise, des salariés et plus largement des jeunes qui souhaitent se former aux métiers de l’artisanat. Ils sont également les interlocuteurs des déci-deurs publics pour porter et défendre la place de l’artisanat dans les territoires.

La délégation Maine-et-Loire

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Le Monde des artisans janvier/février 2017

Carte des élus de Maine-et-Loire

L’artisanat en Maine-et-Loire est une entité économique majeure forte de

3 000 établissements

2 800 apprentis qui travaillent dans le secteur

des métiers.

Cette dynamique est aussi portée par

33 000 salariés et

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élus de proximité

Membres de l'assemblée de délégation

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CTUALITÉS MAINE-ET-LOIRE

Faire réparer pour consommer mieux et dépenser moins !

F aire connaissance avec un Répar’Ac-teur, c’est une occasion de découvrir les savoir-faire des professionnels

de la réparation (ordinateurs, électroména-gers, téléphones, GPS, vêtements, chaus-sures, instruments de musique, cycles…).Les artisans participant à cette opération ont ouvert leurs ateliers et leurs boutiques pour des démonstrations et des conseils sur les bonnes pratiques d’utilisation et d’entretien des matériels et proposer des devis gratuits.Né d’une volonté de l’Ademe et de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, le label Répar’Acteurs est attribué aux pro-fessionnels de la réparation engagés dans la réduction des déchets. Ces artisans,

leur commerce et/ou sur leur véhicule, sont en mesure de remettre en état les

équipements et d’allonger leur durée de vie.Faire appel aux Répar’Acteurs, c’est :❙ faire des économies : si le produit est réparable, la facture sera certainement moins lourde que celle d’un achat neuf (demande de devis préalable),❙ réduire sa production de déchets : un objet remis en état évite des coûts de trai-tement et réduit l’impact environnemental,❙ contribuer au maintien du commerce de proximité.

À l’occasion de la Semaine européenne de réduction des déchets, qui s’est tenue du 19 au 26 novembre 2016, les Répar’Acteurs ont ouvert leurs portes !

EN ROUTE VERS LA 3E RÉVOLUTION INDUSTRIELLE ET AGRICOLECette révolution est celle des énergies renouvelables et des technologies Internet. Les entreprises ne doivent plus vivre l’innovation environnementale, énergétique et sociale comme une contrainte mais comme une opportunité, une source de progrès et de compétitivité.

En Maine-et-Loire, les trois Chambres consulaires (Agriculture, Métiers et Artisanat, Commerce et Industrie) ont engagé ensemble la sensibilisation des entreprises et des collectivités. Plusieurs d’entre elles ont témoigné et près de 500 personnes ont pu débattre sur les véritables enjeux de demain. L’important est de mettre en exergue toutes les bonnes pratiques et de les développer sur le territoire. Visionnez les témoignages vidéo : www.dailymotion.com/TRIA_PDL.

WEEK-END DES MÉTIERS D’ART

Les 24, 25 et 26 février 2017 aux Greniers Saint-Jean, à AngersLe temps d’un week-end, venez rencontrer des professionnels des métiers d’art et découvrir la qualité de leurs savoir-faire en assistant à des démonstrations.Laissez-vous porter par le talent des artisans d’art dont l’esprit et la main se mettent au service de la tradition et de l’innovation. Véritables magiciens de la matière, de la couleur, ils vous invitent à venir partager leur passion.Cette année, le week-end sera placé sous le signe de la mutualisation des compétences et des moyens, de la collaboration créative entre les métiers d’art. Venez avec vos enfants et petits-enfants, des animations « découverte des métiers » leur seront dédiées. Ils pourront emporter leur œuvre et qui sait se rêver un avenir…

Le Monde des artisans JANVIER/FÉVRIER 2016

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CTUALITÉS MAINE-ET-LOIRE portrait

Artisan et musicien… passionnément !

A près une formation à l’Institut Technologique Européen des Métiers de la Musique au Mans,

où il obtient un CAP d’accordeur de piano puis un BTS action commerciale orienté « musique » en 1999, il débute sa carrière comme salarié.« Dès le début, j’avais envie de m’installer, d’ouvrir mon entreprise… La vie est une ques-tion d’opportunités, il fallait juste saisir la bonne ! »C’est donc en 2004 qu’il crée L’Accordeur. Initialement tourné vers le service : ac-cord de pianos, réparations, réglages, il se déplace à domicile et organise un atelier chez lui.Petit à petit, l’activité se développe : lo-cation d’instruments, puis la réparation d’accordéons pour laquelle il se forme.En 2008, son site Internet n’est pas une simple vitrine de l’activité de l’entreprise. On y trouve déjà les instruments d’occasion à vendre. Damien est en effet « épaulé » par son épouse, Véronique, qui bien que

a un œil bienveillant et bénévole sur la comptabilité… et la communication.En 2012, Damien Rollo forge une volonté d’ouvrir un magasin pour permettre une réelle exposition des instruments, « mieux que dans mon salon ! ».En novembre 2014, c’est chose faite avec l’ouverture de l’Accordeur, à Angers, Boulevard Saint Michel… à proximité du conservatoire.

Lieu moderne, accueillant, accessible, il participe à la mise en valeur des instru-ments et permet de se faire connaître comme professionnel, artisan technicien des instruments, mais aussi comme conseil et revendeur pour les pianos neufs et numériques.Depuis 2016, le développement se poursuit avec l’ouverture d’une librairie musicale pour compléter l’offre. C’est à cette date que Véronique devient conjoint collabo-rateur. « La bascule a été naturelle, une

évidence, les idées nous trottaient dans la tête, nous avons toujours pleins de projets. »Ce que Damien aime dans son métier : la diversité. « C’est un métier complet, nous sommes peu dans le département. J’aime être artisan technicien. On touche à la passion des gens. Les instruments sont souvent des éléments de patrimoine, avec un fort lien affectif. »Le métier évolue. Il faut être

partout mais « je souhaite garder le contact avec le client et l’objet ».

pianos, pianos numériques, accordéons. « Acheter du neuf a un coût et l’occasion est une bonne formule. »Damien Rollo est devenu « Répar’Acteur » dès le début. « C’est une idée intéressante, on peut redonner une nouvelle vie, une jeu-nesse à des instruments auxquels les clients sont souvent attachés. »

des réparations légères. « Je travaille avec des artisans ébénistes notamment quand il s‘agit d’intervenir sur le vernis ou la réparation du meuble. »« Il nous faut être polyvalents et ouverts aux nouvelles attentes des clients mais la musique garde une richesse, celle d’un secteur où l’on ne consomme pas. C’est un lien à préserver. »

Passionné de musique et pianiste depuis l’âge de 7 ans, Damien Rollo a rapidement décidé d’en faire son métier.

i L’accordeur est présent sur internet www.laccordeur.fr | mais également sur Facebook

DÈS JANVIER, INFORMEZ VOS SALARIÉS SUR LE NOUVEAU COMPTE PERSONNEL D’ACTIVITÉ.

Dès janvier 2017, vos salariés vont pouvoir utiliser leur compte personnel d’activité. Ce compte permettra à chacun de consulter ses droits à la formation et de bénéfi cier gratuitement de services personnalisés pour construire son parcours professionnel. Retrouvez tous les outils d’informations sur : www.travail-emploi.gouv.fr/cpa/

A CTUALITÉS PAYS DE LA LOIRE

Les élections à la CMAR Pays de la Loire

Joël Fourny, élu président de la CMAR des Pays de la Loire

I ls se sont retrouvés le 7 novembre dernier à Avrillé (49) pour l’assemblée générale constitutive. Joël Fourny, élu président, a rappelé avec force les engagements de son équipe :

❙ faire progresser la cause de l’Artisanat dans notre région,❙ faire reconnaître notre secteur comme une force économique essentielle sur nos territoires, créateurs de richesses et d’emplois qui apportent les services indispensables aux Ligériens.

Leur ambition est de faire que votre Chambre de Métiers et de l’Artisanat :❙ continue de répondre aux besoins des entreprises, voire de les anticiper,

❙ soit davantage force de propositions auprès des collectivités territoriales

❙ reste le premier réseau de formation régional par la voie de l’alternance et de l’apprentissage, à travers l’Université régionale des métiers et de l’artisanat.

Les élections à la Chambre de métiers et de l’artisanat, qui se sont déroulées en octobre dernier, ont permis la désignation de nouveaux élus pour les cinq prochaines années.


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➊ Ci-dessous, les 125 élus régionaux ➋ Ci-contre, Joël Fourny, président de la CMA des Pays de la Loire➌ ➍ Lors del'assemblée générale➎ Michel Gougeon, président de la Délégation Mayenne, Philippe Bely, président de la Délégation Loire-Atlantique, Joël Fourny, président de la CMA des Pays de la Loire,Guy Deschoolmeester, président de la Délégation Sarthe,Daniel Laidin, président de la Délégation Vendée,Gérard Aubry, président de la Délégation Maine-et-Loire

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PAYS DE LA LOIRE


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Contribuez à l’avenir des jeunes et de nos métiersTAXE D’APPRENTISSAGE 2017Université Régionale des Métiers et de l’Artisanat

Choisissez de verser votre taxe à nos

Centres de Formation et/ou à notre CAD

Taxe d’apprentissage : choisissez l’URMA !

Faites valoir ce choix, primordial pour l’avenir des jeunes et de l’Artisanat !

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professionnelle de vos futurs

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et outils pédagogiques de nos Centres de Formation

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jeunes dans les entreprises

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des jeunesdans leur projet professionnel

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Pour en savoir plus : www.urmapaysdelaloire.fr

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PAYS DE LA LOIRE

mars prochain à Bordeaux

47 champions ligériens

P armi eux, 3 jeunes apprentis sont en formation à l’Université régionale des métiers de l’artisanat en :

❙ Boulangerie : Alexis Eriteau (Les Brouzils en Vendée) de l’Urma Esfora 85, entraîné par Romain Siret, ancien candidat aux Olympiades des Métiers et enseignant à l’Urma Esfora 85 ;❙ pour sa deuxième participation : Jessy Chapeau (Chémillé en Maine-et-Loire) de l’Urma Délégation 49, entraîné par Christian Girard, enseignant à l’Urma Cifam 44. ;❙ Ébénisterie : en Loire-Atlantique) de l’Urma Cifam 44, entraîné par Philippe Amiot enseignant à l’Urma Cifam 44.Après l’étape des sélections régionales d’octobre dernier, nos champions se pré-parent physiquement et psychologique-

et réussite.RDV du 9 au 11 mars au Parc des Exposi-tions de Bordeaux Lac !

UN PRIX NATIONAL POUR VALORISER LES FEMMES ET LES HOMMES DE L’OMBRE QUI ŒUVRENT POUR LES ARTISANS DE DEMAIN

Pour faire reconnaître votre engagement, vous devez remplir les conditions ci-dessous :❙ L’entreprise doit être inscrite au Répertoire des Métiers, ❙

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Les candidatures sont à déposer avant le 28 février 2017.


i Télécharger le dossier de candidature | www.maitreapprentissage-artisanat.fr

« LA FERME DE CHEZ NOUS »

Une offre commerciale en circuit court à Mouzillon (44)La Chambre de métiers et de l’artisanat a lancé une démarche régionale sur l’économie de proximité. « La ferme de chez nous » est le premier projet à voir le jour.Il réunit 15 producteurs de viande, volaille, légumes, fruits et vins au sein d’un espace commercial à Mouzillon qui a été inauguré le 10 décembre dernier.Cette initiative a d’ores-et-déjà permis le recrutement de 3 personnes : un boucher, un charcutier et un vendeur.

LES JOURNÉES EUROPÉENNES DESMÉTIERS D’ART : INSCRIVEZ-VOUS !

« Savoir-Faire du Lien », du 31 mars au 2 avril 2017Pour cette 11e édition, les Jema rassembleront les professionnels français et européens pour présenter leur savoir-faire au travers de visites, d’animations ou de démonstrations. Coordonné par la Mission « Pays de la

, cet événement regroupera plus de 400 professionnels de notre région.

i Rejoignez-nous sur www.paysdelaloire-metiersdart.com | et www.journeesdesmetiersdart.fr | 02 51 13 26 50 | [email protected]

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I NITIATIVES MAINE ET LOIRE

L’offre de formation 2017 vient de paraître

NOS ENGAGEMENTS, VOS BéNéFICES❙ Privilégier des programmes qui vont à l’essentiel et qui répondent à votre besoin du moment❙ Sélectionner des intervenants de qualité ❙ Vous garantir un moment de convivialité et d’échange sur vos sujets de préoccupation ❙ Vous faciliter les démarches administra-tives

tout savoir sur les ateliers mis en place en 2017Vous trouverez ci-dessous le mode d’emploi :

À qui s’adresse l’offre de formations ?❙ Aux chefs d’entreprise artisanale

❙ Aux conjoints collaborateurs ou associés❙ Aux salariés de l’artisanat

demandée aux entreprises ?Des frais d’inscription pour les artisans et conjoints immatriculés à la Chambre de Métiers d’un montant de 39 €/jour. Nous vous offrons le repas.Des coûts pédagogiques pour les salariés de 239 €/jour (repas inclus) pouvant être pris en charge par les OPCA (Organisme paritaire collecteur agréé).

Quand ?Retrouvez notre calendrier en ligne sur notre site internet : www.artisanatpaysdelaloire.fr Restez informés des dates de formation

grâce aux emailings de rappel que nous vous envoyons 2 à 3 semaines avant l’atelier de formation !


MICHEL (SAUMUR)« Au cours de mon stage en démarche commerciale, j’ai travaillé sur mes points forts et mon positionnement. Je suis aujourd’hui beaucoup plus à l’aise face à un client et je vends plus. »

ISABELLE (CHOLET)

PIERRE (BEAUCOUZE)

DES ARTISANS TÉMOIGNENT POUR VOUS

RETROUVEZ UNE PARTIE DE NOS STAGES EN AVANT-PREMIÈRE !Les Mardis 7 et 28 février :

Le 27 février le 28 mars à Cholet ou le 13 avril

Le Lundi 6 mars : Les mardis 28 février, 21 et 28 mars.

i Comment s’inscrire ? Flashez

• Olivia RETIERE | Responsable Formation Continue | 02 41 22 61 27 | 06 48 71 97 08 | [email protected]• Caroline THEOPHILE | Assistante Formation Continue |

| [email protected]

Se former, c’est se donner une chance supplémentaire de réaliser ses objectifs, de développer son activité tout en permettant de s’adapter aux changements.

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MAINE ET LOIRE


URMA49

Remise de diplômesLes apprentis de l’URMA49 (Université Régionale des Métiers et de l’Artisanat de Maine-et-Loire) se sont vus remettre leur diplôme le 5 décembre dernier au Centre de Formation.

En 2016, ce sont 411 apprentis de l’UR-MA49 qui ont réussi leurs examens, soit 89 % de réussite

et tous niveaux confondus.La cérémonie s’est déroulée en présence de Roch Brancour, vice-président du Conseil Régional des Pays-de-la-Loire, Montaine Huteau, conseillère municipale d’Angers, Pascale Couapel, élue de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, Jeanne Behre-Ro-binson, déléguée départementale, du per-sonnel du Centre de formation, des maîtres d’apprentissage et des nombreux parents.Ont été mis à l’honneur certains lauréats qui ont su se distinguer par leur performance, lors de concours, et leur remarquable im-plication durant leur formation.Parmi eux, Robin Borderon, apprenti BP Boulanger, qui obtient la 2e place au

Concours national du Meilleur Jeune Bou-langer de France et défendra les couleurs de la boulangerie française au concours international dont le lieu et la date restent encore secrets !Citons également Noémie Bergeolle, Jérémy Bresson, Arthur Grone, Bastien Mareau, et

les douze lauréats de la classe de BTM Pâtissiers pour l’excellence de leur parcours.Avec ces jeunes talentueux et leurs témoi-gnages enthousiastes d’une jeunesse pleine d’ambition et de perspectives d’avenir, nos artisans peuvent envisager la relève avec optimisme !

CHRISTOPHE RENOUIl est des rencontres qui marquent et qui influent des parcours. Christophe Renou,

, est, à n’en pas douter, une de ces rencontres dont se souviendront les apprentis de l’URMA49 à Angers.Le 18 novembre, Christophe Renou est revenu dans son ancien CFA pour revoir ses professeurs et rencontrer les actuels apprentis pâtissiers et boulangers.Il a rendu hommage à Stéphane Bourdillat, son premier maître d’apprentissage et mentor qui lui a transmis la passion du métier, le goût de la perfection et de la compétition : « L’amour du métier est né lorsque Stéphane m’a fait écouter, dans le silence du labo, les légers crépitements qui s’échappaient de la cuisson. Un moment d’émerveillement… »Christophe Renou, tout comme Christophe Michalak (Champion du Monde de Pâtisserie 2005), est issu du Centre de Formation de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat de Maine-et-Loire où il a été apprenti de 1997 à 2000.Aujourd’hui, Chef exécutif de l’École Valhrona à Tain L’Hermitage, son palmarès est impressionnant : 1er régional au « Meilleur Apprenti de France Pâtissier » en 1999, 1er à la « Truffe

d’Or » de Lausanne en 2004, 5e à la Coupe du Monde de Pâtisserie en 2007, 1er au concours Charles Proust en 2010.Avec la simplicité qui le caractérise, Christophe Renou a démontré aux apprentis que la réussite passe avant tout par la volonté de chacun à vouloir exceller dans ce qu’il entreprend. Un message entendu par les apprentis parmi lesquels se trouve peut-être le prochain Champion du Monde ?

Ci-contre : Christophe Renou et les apprentis BTM Pâtissiers.

Ci-dessous : Christophe Renou et ses professeurs.

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Mode d’emploi

URI-PRATIQUE RUBRIQUE RÉALISÉE PAR SAMORYA WILSON

avec son associé

1. Vérifiez les droits de chacun

La première chose à faire est de relire

moment de la constitution de la société, s’il y en a un. Selon que vous vous trou-vez minoritaire, majoritaire ou à parts égales dans le capital, vous ne dispo-serez pas des mêmes possibilités. Bien évidemment, un gérant majoritaire peut plus aisément prendre des décisions de gestion sans avoir à convoquer une as-

statuts peuvent limiter les prérogatives du gérant. De la même manière, le pacte d’associés sert à prévoir les conditions de cessions de part ainsi que les modalités de résolution des litiges. À défaut de pacte, le ou les associé(s) ont un droit à l’information sur la gestion sociale en envoyant une lettre au gérant(1). Ces droits attachés à la qualité d’actionnaire peuvent permettre aux associés de trouver un terrain d’entente.

2. Rechercher une médiation

La médiation commerciale reste un moyen de résoudre un différend sans avoir à passer par la voie judiciaire. Les médiateurs sont des professionnels in-dépendants qui peuvent vous aider à

reconstruire un dialogue avec votre as-socié et à trouver une solution adaptée à votre situation. Vous pouvez accéder à

un centre de médiation proche de votre siège social, en vous renseignant auprès de la Fédération nationale des centres de médiation*.

3. Saisir le tribunal de commerce

Lorsque le blocage demeure total, il vous reste à recourir au tribunal de commerce

-dataire chargé de réunir les parties. À la demande d’un associé, le juge peut ordonner une expertise de gestion (2), ré-

-mettre l’exclusion d’un associé et même dissoudre la société(3). Cependant, cette dernière hypothèse extrême suppose la paralysie totale du fonctionnement de

pas. Il faut également que le juge arrive à la conclusion que l’ « , soit la volonté de s’associer, a disparu.(1) Article 1855 du Code civil. (2) Art. L 223-37 du Code du commerce. (3) Art. 1844-7 5° du Code civil.

DE NOUVELLES MODALITÉS POUR INTERROGER L’URSSAF

Un décret du 25 octobre 2016 (n° 2016-1435)* précise les nouvelles modalités du rescrit social. Cette procédure permet au cotisant d’interroger l’Urssaf sur un point précis, sur lequel l’entreprise ne risque ensuite plus de redressement. La demande pourra désormais se faire par tout moyen permettant de rapporter la preuve de sa date de réception (auparavant seulement par lettre AR). Elle sera considérée comme complète si dans les vingt jours qui suivent sa réception, l’Urssaf ne demande pas de pièces ou informations manquantes. L’organisme doit répondre à la question posée dans un délai de trois mois.

de se prononcer sur la mise en œuvre de leur obligation d’emploi de travailleurs handicapés.

l’organisme qui disposera de deux mois pour répondre.

L’OBLIGATION D’AFFICHAGE SIMPLIFIÉE

Avant le 20 octobre 2016, un employeur devait obligatoirement

travail, les départs en congés, les jours de fermeture, le règlement intérieur et des conventions et accords dont dépendent les salariés. Désormais, il pourra communiquer ces informations aux employés par tout moyen*, c’est-à-dire utiliser l’intranet, s’il y en a un, ou les envoyer par mail.

* Décrets nº 2016-1417 et nº 2016-1418 du 20 octobre 2016.

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i *www.fncmediation.org | Tél. 01 40 46 84 22

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Vous vous trouvez face à une mésentente avec votre associé au point que cela commence à peser sur vos affaires et sur vos relations avec l’extérieur ? Rien ne va plus avec celle ou celui qui partage les parts de votre société ? Voici quelques solutions pour remédier à cette situation.

17

Questions/Réponses

18

désormais toutes les entreprises, y compris les microstructures.

En quoi une petite entreprise pourrait-elle faire l’objet d’une cyberattaque ?Même si le piratage des grandes entreprises défraie la chronique, les cyberattaques de petites structures, moins médiatisées, restent fréquentes. Le risque de piratage du système informa-tique concerne aussi les travailleurs indépendants. Dès lors que vous possédez un ordinateur, un smartphone ou un objet connecté, vous pouvez devenir la cible d’un hacker. Ce cyber-délinquant s’attaque plus aisément à une petite entreprise, ne

cette dernière ne dispose généralement pas de système d’in-formation ultra-sécurisé.

Quels sont les risques encourus ?Les exemples de piratage ne manquent pas. Ainsi, ouvrir une pièce jointe piégée ou un lien corrompu peut entraîner l’installation d’un virus malveillant sur votre machine qui facilite l’accès à la base de données de votre clientèle. Ou encore, ne pas sécuriser la borne d’accès à Internet de votre boutique donne la faculté à un hac-ker d’utiliser ce point d’accès pour attaquer d’autres sites. Outre

risque de voir sa responsabilité engagée s’il ne met pas en œuvre

les mesures adéquates pour préserver la sécurité des données

compter que si le dommage touche un client, ce dernier pourra se retourner contre vous.

Que faire pour protéger son système avec peu de ressources financières ?Certes, une petite entreprise dispose rarement des services d’un responsable système d’information. Pour autant, il reste possible de limiter les risques d'attaque en appliquant des règles simples. L’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’in-formation (Anssi) a édité un Guide des bonnes pratiques de l’informatique à destination des TPE/PME. Il y est par exemple

régulièrement ses logiciels, bien connaître ses utilisateurs et prestataires, effectuer des sauvegardes régulières, sécuriser l’accès Wi-Fi de votre entreprise, être aussi prudent avec son smartphone ou sa tablette qu’avec son ordinateur, etc.* Au visa des articles 226-16 à 226-24 du Code pénal.

URI-PRATIQUE


CONTRÔLE URSSAF : DE NOUVELLES RÈGLES AU 1ER JANVIER 2017*. Certaines mesures destinées à améliorer

les rapports entre les employeurs et l’organisme seront effectives dès le début de l’année 2017. Désormais, l’avis de passage de l’inspecteur doit impérativement être envoyé à l’entreprise, au moins 15 jours avant la date de la première visite. Cet avis doit mentionner l’existence de la « Charte du cotisant contrôlé » qui deviendra opposable à l’Urssaf. Ce document regroupe des informations sur la procédure de contrôle et les droits du cotisant pendant son déroulement. À la suite du contrôle, une mise en demeure doit être adressée à l’employeur. Celle-ci contient, au titre des différentes périodes annuelles contrôlées, les montants

que les dates des différents courriers échangés. En cas de régularisation, l’employeur devra dorénavant corriger, lors de l’échéance déclarative la plus proche, les erreurs constatées dans les déclarations de cotisations et de contributions sociales des mois précédents et verser à la même échéance le complément de cotisations et de contributions sociales. Le délai de contestation

indiquer les délais et voies de recours.

* Décret n° 2016-941 relatif au renforcement des droits des cotisants.

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Pourquoi faut-il se préoccuper de cybersécurité ?

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i Guide téléchargeable gratuitement sur www.ssi.gouv.fr

Vos droits

19

Durée du travail (art. 8)Les chefs d’entreprise qui emploient moins

d’organiser unilatéralement le temps de travail des salariés sur neuf semaines (au

Cette nouvelle réglementation s’adresse particulièrement aux entreprises dont l’activité fluctue en fonction de saisons

Un accord collectif d’entreprise, d’établis-sement ou de branche peut aménager ce temps sur une année et même jusqu’à trois

En fait, l’aménagement du temps de travail sert à moduler le travail de façon à ne pas dépasser les durées maximales de travail autorisées. Rappelons que la durée

quel que soit l’effectif de l’entreprise. Les heures accomplies au-delà sont considé-rées comme des heures supplémentaires. Mais les heures supplémentaires sont aussi limitées. Ainsi, la durée de travail effectif hebdomadaire ne doit pas dépas-

-cutives. La nouvelle loi permet de dépasser

défaut, par autorisation de l’inspecteur du travail (art. L3121-20 et suivants).À noter que dans certains secteurs, comme

le commerce de détail des fruits et lé-gumes, épicerie et produits laitiers, un accord ou une convention de branche peut prévoir une durée dite d’équivalence. Ainsi, une durée de travail supérieure (par

Dans ce cas, le calcul des heures supplé-mentaires se déclenche après la 38e

de travail.S’agissant du paiement des heures sup-plémentaires, c’est désormais l’accord si-gné au niveau de l’entreprise qui primera. Mais en respectant le taux de majoration

huit premières heures supplémentaires

36). Cependant, les accords de branche ont toujours la faculté de prévoir des taux

Par ailleurs, rappelons que le salarié a droit -

de travail quotidien (art. L3121-16).

Droit d’information (art. 61)Tout employeur d’une entreprise de moins

-tenir une information, précise et délivrée dans un délai raisonnable, lorsqu’il sol-licite l’administration sur une question relative à l’application d’une disposition du droit du travail ou des stipulations

des accords et conventions collectives qui lui sont applicables. Ce droit à l’in-formation peut porter sur les démarches et les procédures légales à suivre face à une situation de fait. Si la demande est

-cument formalisant la prise de position de l’administration peut être produit par l’entreprise en cas de contentieux pour attester de sa bonne foi (art. L5143-1). Il convient de contacter la Direccte de votre commune pour accéder à ce service.Pour rappel, sachez qu’il existe une aide

-vient sous la forme d’une subvention, au

* Loi n° 2016-1088 du 8 août 2016 relative au travail, à la modernisation du dialogue social et à la sécurisation des parcours professionnels.

RUBRIQUE RÉALISÉE PAR SAMORYA WILSON

La loi Travail* vise à le Code du travail. En ce qui concerne le temps de travail, les restent complexes. En voici un résumé.

La loi Travail et les TPE


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EFFE

LPIX

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REPORT DES ÉLECTIONS PROFESSIONNELLES DANS LES TPE

(20 janvier 2017 pour les électeurs d'Outre-Mer). Prévu initialement du 28 novembre au 12 décembre 2016, ce scrutin a été reporté suite

au recours en cassation d’un des syndicats représentatifs. election-tpe.travail.gouv.fr

i

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B ANC D'ESSAI


MOTORISATIONS• 1 956 cm3, 115 ch à

4 000 tours/min, 290 Nm à 1 750 tours/min, vitesse maxi : 148 km/h, conso* : 5,9 l/100 km

• : 2 287 cm3, 130 ch à 3 600 tours/min, 320 Nm à 1 800 tours/min, vitesse maxi : 155 km/h, conso* : 6,1 l/100 km




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LES PLUS• Agrément de conduite

• Pas d’additif

LES MOINS• • Disparition moteur 3,0 l

Une solution originaleAlors que la solution de l’additif a été retenue par tous les autres constructeurs pour parvenir à répondre aux normes antipollution Euro 6, Fiat et Iveco font de la résistance en proposant une solution sans Adblue. GENESTE

Le Fiat Ducato Euro 6 ne diffère des précédentes versions que par l’adop-tion de nouvelles motorisations, plus

propres. Pour y parvenir, les ingénieurs de Fiat (et Iveco) ont exploré une piste différente pour permettre au moteur 2,3 l de passer la norme Euro 6 : celle du type piège à NOx. Ce système se compose d’un double système de vanne EGR (vanne de réinjection d’une partie des gaz d’échap-pement). Complexe, il a comme principal avantage de ne pas nécessiter l’injection d’additif pour répondre à la norme Euro 6. L’absence d’additif facilite l’exploitation des véhicules (pas de risque de tomber en panne sèche d’additif) et préserve la charge utile. En outre, les ingénieurs en

moteur et assurer une consommation optimale de carburant.

Adieu au 3,0 L MultijetSi le catalogue de versions du Ducato est toujours aussi complet (fourgons, châs-sis-cabine, plancher-cabine), la principale évolution technique concerne la dispari-tion de la version 3,0 l Multijet de 180 ch. Désormais, la gamme se compose de deux blocs-moteurs : le 2,0 l et le 2,3 l. Le premier (2.0 Multijet 115) est l’allié idéal et économique des « petits » Ducato fourgons. Viennent ensuite les différentes déclinai-sons du 2,3 l. La première (2.3 Multijet 130) offre des performances stables. La seconde développe 150 ch à 3 600 tours/minute et un couple maxi de 380 Nm à 1 500 tours/minute, soit un gain de 30 Nm,

la dernière version du 2,3 l développe préci-sément 177 ch à 3 500 tours/minute avec un couple maxi de 400 Nm à 1 500 tours/

minute. Des niveaux de puissance iden-tiques à l’ancienne version 3,0 l avec un gain de poids d’une quarantaine de kilos grâce à la réduction de cylindrée.

Une transition réussieAu volant, ces nouvelles mécaniques offrent des prestations élevées. Les versions 130 et 150 ch du 2,3 l offrent une belle polyva-lence avec des consommations norma-

en cycle mixte). La version 2,3 l - 180 ch permet une baisse de la consommation de

Les performances sont au rendez-vous et le couple important aide à l’arrachage du véhicule. Il s’avère néanmoins un peu plus bruyant que l’ancien 3,0 l dans la mesure où il est nécessaire de « tirer » un peu plus sur le moteur et de monter un peu plus haut dans les tours pour disposer de la puissance. Autre revers de cette diminution de la cylindrée : un moindre frein moteur, ce qui oblige à jouer un peu plus de la boîte.

FIAT DUCATO EURO 6

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R EPÈRES CONJONCTURE

22

98 %Selon l’édition 2016

des Chiffres clés de l’artisanat du bâtiment, les

entreprises de moins de 20 salariés représentent 98 % des entreprises du

secteur, mais ne réalisent que 64 % de son chiffre

d’affaires (soit 81 milliards d’euros). Si elles emploient

59 % des salariés du bâtiment, ce chiffre grimpe

à 79 % pour la seule catégorie des apprentis,

preuve de leur implication incontournable dans la

formation des jeunes. Les entreprises sans salarié

restent majoritaires dans le bâtiment (64 %),

celles employant 1 à 9 salariés puis 10 à

19 salariés représentant respectivement 31 % et

3 % de l’ensemble. Le secteur de la maçonnerie-

carrelage a totalisé 27 % des créations d’entreprises

du bâtiment en 2014.

Source : Capeb – Chiffres clés 2016 – 29 septembre 2016

(Chiffres Sirene au 1er janvier 2014 et Ellisphere 2014)

C’est un zéro porteur d’une note d’espoir ! Pour la pre-mière fois depuis 2012, l’étude de conjoncture trimes-trielle réalisée par l’Institut I+C révèle que l’évolution du chiffre d’affaires des entreprises de l’artisanat et du commerce de proximité sort des taux négatifs pour

se stabiliser à 0 % au 3e trim. 2016 (par rapport au 3e trim. 2015). Le secteur de l’artisanat affiche même une progression de + 0,5 %. Des résultats à mettre notamment à l’actif des artisans du bâtiment (+2,5 % sur un an) ainsi que des entreprises de l’alimentation (+1,1%) et des travaux publics (+0,5 %). Durement impacté par les actes terroristes qui ont frappé notre pays, le chiffre d’affaires de l’hôtellerie-restau-ration accuse une baisse de -4,5 %. L’artisanat des services et celui de la fabrication enregistrent une baisse limitée (-1 %).Source : Enquête réalisée pour le compte de l’UPA durant la première quinzaine d’octobre 2016 auprès d’un échantillon représentatif de 4 700 entreprises de l’artisanat et du commerce de proximité.

DIALOGUELes très petites entreprises (TPE) se trouvent en principe au-dessous des

seuils qui imposent la présence de représentants des salariés et la tenue de négociations collectives. Le dialogue social n’y est pas absent pour autant, il y prend une tournure essentiellement informelle, constate la Dares. Dans une liste de quatre thèmes majeurs des relations professionnelles (salaires, emploi, conditions de tra-vail, temps de travail), les salariés ont ainsi été associés collectivement aux prises de décisions sur au moins l’un des thèmes dans 28 % des TPE employant de 2 à 9 salariés en 2012. Les décisions sur les conditions et le temps de travail sont celles qui occasionnent le plus souvent des concertations collectives. 9 % des TPE ont en outre eu recours aux services d’une organisation d’employeurs et/ou d’une chambre consulaire dans le cadre de décisions prises sur ces thèmes.

Source : Dares Résultats N° 062 – novembre 2016

Recrutement 2.091 % des salariés et des chômeurs privilégient au

moins un outil numérique dans leur démarche de recherche d’emploi. 60 % déclarent même y

recourir en priorité, selon une étude réalisée par le CSA pour le Conseil d’orientation pour

l’emploi à la fin de l’été 2016.

Construction : la dynamique s’amplifie

Au 3e trim. 2016, le nombre de logements autorisés est en hausse de 6,3 % par rapport au 2e trim. et de

17,3 % par rapport au 2e trim. 2015. Sur un an, le nombre de permis de construire délivrés

progresse de 14,3 % : + 18,1 % pour le collectif, + 8,1 % pour l’individuel (Source CGDD).

Esprit d’entreprise62 % des 18-24 ans et 46 % des 25-34 ans ont envie de créer leur entreprise, d’en reprendre une ou de se mettre à leur compte, selon un

sondage OpinionWay réalisé du 20 au 22 septembre 2016 (échantillon repré-

sentatif de la population française).

Peurs d’entrepreneursÀ l’occasion d’Halloween, Hiscox s’est intéressé aux pires craintes des entrepreneurs français. Top 5 : ne pas être soutenu par le gouvernement ; le non-paiement

par les clients ; le manque de ressources financières pour maintenir l’entreprise à flot ; ne pas être en mesure d’attirer de nouveaux clients ; être obligé

de répercuter les hausses de coûts sur les clients.

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2- Accompagner les entreprises en situation délicateLa Chambre de Métiers dispose d’une équipe de conseillers spécialisés qui accompagnent les entreprises par des préconisations et un plan d’actions.

Le conseiller vient à la rencontre du dirigeant dans les locaux de l’entreprise ou de la Chambre, au choix de ce dernier.

lieux des problématiques et réalise une analyse. Il conseille ensuite le dirigeant pour rendre son entreprise plus viable. Ils mettent alors en place, ensemble, un plan de régulation pour sauvegarder ou viabiliser au mieux l’entreprise : revoir et négocier les délais de paiement, améliorer la gestion du personnel, rationna-

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LUC

BERT

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Un nom qui fait mouche

Le nom de Moustache s’est rapidement imposé. D’abord parce qu’il rappelle le guidon des anciens vélos qu’ils se sont amusés à réinterpréter et à moderniser… « Nous avons longuement travaillé pour que nos guidons, au design unique, soient très confortables, qu’ils offrent une position de conduite naturelle. Des centaines d’essais ont été nécessaires pour trouver les angles parfaits, la bonne ergonomie. C’est un des éléments qui rend nos vélos si singuliers et reconnaissables entre tous », explique Grégory Sand. Ensuite,

« faire les choses sérieusement sans se prendre au sérieux. Dans ce secteur hyperconcurrentiel, quand on s’appelle « Moustache », les gens s’en souviennent et comme, dès le départ, nous avions des ambitions fortes à l’export, il fallait marquer le coup ! »

MOUSTACHE BIKES, FABRICANT DE VÉLOS À ASSISTANCE ÉLECTRIQUE

Cinq ans d’existence, 20 millions d’euros de chiffre d’affaires et la barre des 40 salariés en ligne de mire pour 2017… Moustache Bikes, concepteur et fabricant de vélos à assistance électrique à Golbey (88), explose tous les compteurs et maintient son ascension fulgurante. Et avec un bon moteur, on sait que les montées, ça fait moins peur !

Rencontre fortuite pour duo gagnant

Emmanuel Antonot, le technicien visionnaire, et Grégory Sand, le com-

mercial passionné de vélo. L’un croit en l’avenir

du vélo à assistance élec-trique (VAE), ambition qu’il

ne peut mener à terme dans la grande entreprise

de cycles traditionnels où il travaille depuis une

dizaine d’années ; l’autre a envie de développer

un projet personnel dans

sept années passées à faire le tour du monde

en tant que responsable export pour une

entreprise de mobilier haut de gamme. « C’est

notre expert-comptable qui nous a mis en relation et a décelé notre complémen-tarité », raconte Grégory

Sand. Une rencontre aussi originale que fortuite…

« Nous sommes très attachés à la partie esthétique sans jamais faire aucun compromis sur la dimension technique. »


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Fin 2010Rencontre entre Grégory Sand et Emmanuel Antonot.

2011Création de l’entreprise à Golbey dans un local de 300 m2, présentation de la première gamme de sept vélos au Salon du cycle à Paris et rencontre avec Philippe Starck.

2012Vendent 1 300 vélos alors qu’ils en prévoyaient 600. 1er Eurobike Award au Salon Eurobike à Friedrichshafen (Allemagne), une référence au niveau mondial.

20132e Eurobike Award.

2015Lancement de la gamme MASS avec Philippe Starck. Un succès commercial et d’estime !

2016Cap symbolique du 20 000e vélo fabriqué, 11 000 vélos vendus par an, 20 millions d’euros de CA. Leur local fait désormais 3 000 m2 et

de leur chiffre à l’export.

Du design au designer

« L’idée, c’est d’investir énor-mément avec une équipe R&D très étoffée. » Sept techniciens travaillent ainsi à plein-temps sur le design et les qualités tech-niques des vélos, développant

Moustache (guidon hyper-er-

rigides mais légers, tube dia-gonal du cadre à triple cavité pour absorber les vibrations…). « Les vélos électriques étant par nature plus lourds, les contraintes sont différentes. » Une démarche qui a tapé dans l’œil de Philippe Starck himself avec qui l’équipe a développé la gamme MASS en 2015. « Il est intervenu sur toute la partie cosmétique et nous a

les accessoires, comme cette housse de protection en fausse fourrure pour tenir la batterie au chaud en hiver ! »

Technologie haut de gamme

La force de Moustache, c’est d’avoir su se faire des alliés de choix – et

Persévérants et porteurs

et Emmanuel Antonot ont obtenu l’autorisation

multinationale allemande, d’utiliser leur motorisation sur leurs vélos. « Nous avons été la première marque à introduire ce système en France. Il est depuis devenu la référence dans le monde entier, raconte Grégory Sand. Nous avons noué un vrai partenariat avec eux et nous partageons leurs valeurs de performance, de qualité et de service. »

Une communication qui défrise

Sortir des sentiers battus et des codes établis, Moustache en a fait sa ligne de conduite ! Ici, ce ne sont pas les années qui passent

la semaine, comme le « lundi 26 » (pour 26 pouces, la dimension des pneus). « On essaie de donner de la cohérence à l’ensemble de notre

démarche, que ce soit dans notre manière de communiquer comme dans le choix de nos revendeurs. » Et leurs salariés ne sont pas en

« Avec Emmanuel, nous donnons un maximum d’impulsion mais le but c’est que ce soit l’équipe qui fasse avancer l’entreprise. Nous ne sommes que deux membres parmi d’autres ! », conclut Grégory Sand.

Ils ont électrisé la petite reine


i www.moustachebikes.com

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V IE D'ARTISANS

Réaliser des lunettes solaires à partir de planches de skateboard usagées : c’est le pari fou qu’a relevé Romain Girard. Séduit par les valeurs du skate – liberté et respect de l’environnement –, cet ancien opticien donne une seconde vie aux planches usées de ses amis. Dans son atelier de Blois (Loir-et-Cher), il découpe, ponce et modèle des pièces originales, aux « balafres » uniques. Des lunettes, mais pas seulement… Sous les doigts de Romain naissent boucles d’oreilles, bagues, horloges et instruments de musique. Une manière d’attirer une

clientèle plus large et de recycler tout le skate. « Il y avait beaucoup de rebuts sur une planche utilisée pour créer des lunettes. » L’artisan a à cœur de préserver l’environnement – il se sert de colles à solvants éco-labellisés – et de se battre contre le gaspillage. « Nous sommes dans un monde de consommation, où l’on rachète tout le temps. »La compagne de Romain apporte son « regard féminin » aux bijoux : taille, volume, association de couleurs… Elle n’a pas hésité à le soutenir dans ce changement de carrière, motivé par une certaine lassitude : « J’en avais assez de vendre. Je voulais travailler sur des éléments, réparer les choses. » Le jeune homme a pris le temps de consolider son activité avant de quitter son poste d’opticien. Il a créé sa première paire de lunettes il y a trois ans et demi et son entreprise le 26 mai 2015. « Aujourd’hui, j’en vis correctement. Les mois avant les fêtes sont les plus fastes. » En un an, Romain vend une centaine de bijoux et cinq à six horloges.

Qu’ils créent des accessoires à partir de skates usagés, recyclent des copeaux de bois en galettes combustibles ou mettent

« éco-responsabilité » et « ingéniosité », « création » et « imagination ».

ROMAIN GIRARD, CRÉATEUR

La planche… à découper

ART DE VIVRE

Ces artisans « éco-friendly »

VALORISEZ VOTRE ENGAGEMENT ÉCO-RESPONSABLEVous êtes éco-responsable ? Criez-le sur les toits ! Le label valorise les entreprises qui

dispensé par les chambres consulaires. Les artisans labellisés peuvent ainsi communiquer sur leur exemplarité auprès de leurs clients. D’autres labels existent, à l’instar de . Tout artisan de la réparation intéressé peut l’obtenir en signant une charte avec sa CMA, dans laquelle il s’engage à faire la promotion de la réparation et à avoir une gestion environnementale

sur un annuaire Web dédié. N’hésitez pas à vous rapprocher de votre chambre de métiers pour connaître les différents labels.


i www.lab-skate.fr |

Romain Girard,

dans les mains.

PHO

TOS

: DR

29

VIE D'ARTISANS CES ARTISANS « ÉCO-FRIENDLY »

En 1994, Marc Tardieu reprend la menuiserie fondée par son père en 1958. Située à Plan d’Orgon (Bouches-du-Rhône), l’entreprise se spécialise dans la fabrication d’aménagements extérieurs et intérieurs (fenêtres, es-caliers, cuisines…). Elle intègre les enjeux environne-mentaux depuis longtemps. « Toute notre production est

traçabilité », explique le maître artisan et maître d’appren-

éco-responsable : les chutes et copeaux de bois aspirés

de servir de combustible à la chaudière de l’entreprise.

à particules. la saison de chauffe, en période hivernale. » Les déchets non recyclables sont triés.

garant de l’environnement », Marc Tardieu raconte : « Il y a quelques années, j’ai suivi une formation, sanctionnée

-rise notre savoir-faire dans le domaine de la rénovation

TVA de 5,5 % et d’un crédit d’impôt. »Le maître artisan cultive – et développe – les valeurs de son père. « Je veux laisser une planète propre aux générations futures », souligne-t-il.

MARC TARDIEU, MENUISIER

Des copeaux comme galettes combustibles

À elle, le Pompon. En décembre 2012, Sophie Le Corre ouvre sa boutique de fleurs, Pompon, à Montreuil (Seine-Saint-Denis). À la main verte, l’arti-sane allie le regard aiguisé et l’esprit débordant d’imagination. Et pour cause : Sophie a eu plusieurs vies. Photographe, webmaster… « On a les mêmes réflexes en tant que photographe que fleuriste, assure-t-elle. Il faut être pragmatique, toujours à la pointe, à l’écoute des tech-nologies, des modes et des tendances. Il faut avoir un côté pratique et de la créati-vité. » Pompon est très axée décoration, jardin. Entre objets chinés et mobilier design, la boutique conjugue le rétro et le contemporain, coquette maison à la fois simple et moderne. Sophie travaille avec de petits artisans créateurs : cé-ramistes, designers, graphistes…Elle est labellisée éco-responsable.

« On est venu me démarcher parce que je correspondais dans les grandes lignes

-tion, et des conseillers m’ont orientée sur certains choix. » Entre autres choses, l’artisane est aujourd’hui très attentive aux labels des fleurs d’import, « qui garantissent notamment que les gens qui travaillent à l’étranger sont formés ».Elle ambitionne aussi de se diriger vers le bio. « C’est un véritable désir. Nous allons développer des partenariats avec des producteurs bio. » Le 26 novembre, Sophie était à la Recyclerie de Saint-Ouen, un tiers lieu de loisirs qui sensi-bilise le grand public aux alternatives de manière ludique.

SOPHIE LE CORRE, FLEURISTE

Artisanat, tendance et développement durable


i www.boutique-pompon.fr

i www.menuiserie-tardieu.comMarc Tardieu, à droite sur la photo.

DR

DR

Sophie Le Corre dans la boutique.

O PINION

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Un refus de crédit de la part de la banque ? Une dénonciation de découvert ? Un refus de rééchelonnement d’une dette ? La Médiation du crédit, en place depuis huit ans, est là pour vous aider à trouver une solution. Voici un point sur la situation des TPE et quelques conseils pour vous aider à remédier aux écueils.

LMA : Quelle est la situation des TPE par rapport au crédit ?Fabrice Pesin : L’accès au crédit - de trésore-rie ou d’investissement - est plus compliqué pour les TPE que pour les PME. Les TPE ont

2015. Pourquoi ? Structurellement, elles ont moins de fonds propres que les PME (un tiers des TPE ont des fonds propres nuls, voire négatifs), et leurs dirigeants ont trop peu souvent mis en place des outils de gestion

bord pour suivre leur trésorerie, leurs besoins

Ainsi, ils s’aperçoivent au dernier moment qu’ils sont dans une impasse, et le banquier est mis devant le fait accompli ! De plus, conjoncturellement, trois secteurs où il y a beaucoup de TPE souffrent (bâtiment, café-hôtellerie-restauration, commerce de détail de centre-ville de taille moyenne).

LMA : Que faire pour obtenir des financements ?F. P. : Pilotez votre trésorerie ! Et si un ban-quier ou un assureur-crédit vous dit « non »,

si vous observez un changement de leur comportement à votre égard, prenez cela très au sérieux ! Venez nous voir immé-diatement, ne laissez pas la situation se dégrader : nous débloquons deux tiers des

nos dossiers auraient pu l’être si nous les avions eus un ou deux mois avant. Nous ex-

avec les partenaires de l’artisan (banques) et avec d’autres acteurs (caution mutuelle de la Siagi, contre-garantie de BPI France, plateformes de crowdfunding…). Nous trouvons des combinaisons : un découvert autorisé couplé à de l’affacturage et à une caution de la Siagi pour partager le risque avec la banque, par exemple. L’artisan reste décisionnaire.

LMA : Comment se dessine l’avenir du crédit ?F. P. :

possibilités... En outre, les banques sont soumises à des règles prudentielles et s(er)ont plus exigeantes : l’artisan doit être transparent. Demander un prêt implique

de trésorerie… Faites-vous aider par votre expert-comptable ou votre chambre de

une requête étayée. Demander un crédit sur investissement, c’est avoir prévu le temps de retour sur investissement et en combien d’années rembourser le banquier. Attention,

-cer de l’immatériel, sans actifs physiques qui servent de garantie aux banques, nécessite la plus grande préparation.

« Pilotez votre trésorerie ! »

SAISIR LA MÉDIATIONLa procédure est gratuite ; le dépôt de demande se fait en ligne, en quelques

minutes, mais le dossier doit être préalablement prêt (rassemblement de certaines informations et documents).

Dans les 48 heures, vous serez contacté par votre médiateur départemental

du crédit. La banque dispose de

le médiateur intervient ensuite pour résoudre les points de blocage, puis proposera une solution aux parties.

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LE MONDE DES - Région Pays de la Loire...Voilà les travaux que nous aurons à conduire dès le début de 2017. Dans cette attente, au nom des élus et des collaborateurs de la Chambre