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LE MAGAZINE AMVOQ ÉTÉ 2007 VOLUME 17, NUMÉRO 2 ASSOCIATION DES MARCHANDS DE VÉHICULES D’OCCASION DU QUÉBEC Envoi de Poste-Publications / Numéro de convention 41167017 DOSSIER La publicité automobile

LE MAGAZINE AMVOQLE MAGAZINE AMVOQ VOLUME 17, NUMÉRO 2 7 Encore une fois, Monsieur Yvan Turcotte, président de l’Office de la protection du consommateur, a fait preuve d’un lead-ership

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LE MAGAZINE

AMVOQ ÉTÉ 2007 VOLUME 17, NUMÉRO 2

ASSOCIATION DES MARCHANDS DE VÉHICULES D’OCCASION DU QUÉBEC

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DOSSIERLa publicité automobile

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4 Commentaire du présidentDOSSIERS PRIORITAIRES

6 CommentaireLA PUBLICITÉ AUTOMOBILE

10 LA PUBLICITÉ

Publié avec l'autorisation de « Protégez-vous »

13 NOUVEAU PARTENAIRE DE L’AMVOQ

14 DES ÉLÉMENTS DE DISTINCTION ET DE SATISFACTION

17 EN VITESSE

20 CONGRÈS 2007

22 ACHAT DE VÉHICULES À L’EXTÉRIEUR DU QUÉBEC

27 IL Y A UNE « BALANCE DE FINANCEMENT » ET VOUS REFINANCEZ

UN VÉHICULE ! MAIS DE QUELLE FAÇON ?

29 PRUDENCE

30 GARANTIES SUPPLÉMENTAIRES

33 AUTO PRÉVENTION

35 POUR MIEUX VOUS SERVIR

ÉTÉ 2007 VOLUME 17, NUMÉRO 2

CONSEIL D’ADMINISTRATIONDE L’AMVOQ

M. Michel Noël, présidentGarage Michel Noël enr., 180, de l’Anse

Beaumont, Bellechasse QC G0R 1C0Tél. : (418) 837-2244 / Cell. : (418) 563-9697

M. Gilles Deschenaux, vice-présidentGilJean Deschenaux inc., 6170, Vézina

Saint-Émile QC G3E 1P3Tél. : (418) 843-6013 / Cell. : (418) 564-1821

M. Claude Malo, secrétaireAutomobiles Claude Malo inc., 914, route 343

Saint-Ambroise de Kildare QC J0K 1C0Tél. : (450) 759-4619 / Cell. : (450) 758-0617

M. Roger Hébert, trésorierHébert et Vachon Automobiles inc., 9205, boul. Lacroix

Saint-Georges QC G5Y 2B6Tél. : (418) 227-0533 / Cell. : (418) 226-6077 / Fax : (418) 227-0538

M. André Hébert, directeurSaulnier Automobiles inc., 410, Dubois

Saint-Eustache QC J7P 4W9Tél. : (450) 623-7446 / Cell. : (514) 953-8670 / Fax : (450) 623-0580

M. Denis Forest, directeurLibre Entretien Denis inc., 3623, Mont-Royal

Saint-Hubert (région de Montréal) QC J4T 2G9Tél. : (450) 678-4820 / Cell. : (514) 953-2499

M. Daniel Gervais, directeurGervais auto inc., 300, 108e avenue

Saint-Georges-de-Champlain QC G9T 3M7Tél. : (819) 538-3375 / Cell. : (819) 538-5355

M. Christian Simard, directeurGestion Christian Simard, 1129, boul. Saint-Paul

Saguenay QC G7J 3Y2Tél. : (418) 591-3298 / Cell. : (418) 591-3298

M. Rhéal Sicard, directeurAuto Lavalloise ltée, 5045, boul. des Laurentides

Laval QC H7K 2J7Tél. : (450) 625-4775 / Cell. : (514) 916-4775

La revue AMVOQ est publiée par l’Association desmarchands de véhicules d’occasion du Québec (AMVOQ).

Elle est distribuée aux membres de l’AMVOQ ainsi qu’à certains organismes du domaine de l’automobile

et aux encans.

Direction de la publicationMe Richard Cliche

Directeur général et conseiller juridique

Publicité et développementYves Lapierre

Assistant à la rédactionMe Jean-François Cavanagh

Conception graphiqueSteve Harrison

Photo de la page couverture©iStockphoto.com/Torsten Lorenz

ImpressionOffset Beauce

Dépôt légalBibliothèque nationale du Québec

Envoi de publication canadienneConvention no 40051661

Pour vos placements publicitaires, contactez l'AMVOQ afin de connaître lesformats et spécifications de publication.

5600, boulevard des Galeries, bureau 220Québec (Québec) G2K 2H6

Téléphone : (418) 627-2164 / Sans frais : 1 800 569-7007Télécopieur : (418) 627-0349

www.amvoq.ca / [email protected]

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F & ILa vente des produits d’assurance vie etinvalidité et de garantie est devenueune composante importante du com-merce de la vente automobile et il estessentiel que vous soyez bien protégés.La seule façon est que vous vendiez desproduits assurés distribués par descompagnies qui ont de bonnes assisesfinancières, en somme que vous fassiezaffaire avec les meilleurs. Votre associ-ation vient de conclure des ententesavec deux des compagnies majeures auQuébec : ACCÈS, division de VAG,et Groupe PPP. Ces deux entreprisesvous offrent des services et des outilsde très grande qualité. Ces deux partenaires s’ajoutent à GarantieNationale, qui est avec l’AMVOQdepuis les tous débuts, et ERM, partenaire depuis deux ans. Pour votreassociation, ça boucle la boucle dans cesecteur d’activité ; il n’y aura aucunautre partenariat.

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DOSSIERS PRIORITAIRES

Michel Noël

Commentairedu président

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Publicité - Véhicules neufsC’est un dossier très sensible qui nouspréoccupe beaucoup, compte tenu desprix dérisoires affichés pour la vente ou la location de véhicules neufs. La publicité des manufacturiers d’auto-mobiles est axée essentiellement sur lapromotion du prix le plus bas et nonpas sur la vente d’automobiles alorsqu’on devrait inciter les consommateursà faire un choix entre des marques devéhicules et non pas entre des paiements.Comment un véhicule neuf peut-il êtremoins cher qu’un véhicule d’occasionidentique ?

Il fallait procéder par étapes pour fairela preuve que des règles voulues parl’industrie et les associations de consommateurs pouvaient être applicableset donner satisfaction à tous. Il étaitplus simple de commencer par ledomaine du véhicule d’occasion. Cettepremière étape étant franchie, la deuxième est maintenant enclenchée et nous fournirons tous les efforts ettoute la collaboration requise pour quece dossier progresse rapidement enespérant que, d’ici l’automne, lesgrands axes de l’encadrement éventuelde la publicité des automobiles neuvesseront définies.

Dans les pages qui suivent, Me RichardCliche, directeur général de l’association,vous expose plus en détail la positionque nous entendons tenir au comité detravail qui sera formé et auquel nousavons l’intention de participer.

Licence de commerçant et taxesà la consommationTous ceux qui vivent totalement oupartiellement du commerce de l’auto-mobile devraient être régis par les mêmesrègles et tenus aux mêmes obligations :tous devraient détenir une licence decommerçant qui implique un caution-nement et aussi percevoir les taxes à laconsommation. Il serait grand temps

que cette compétition déloyale baséesur la non perception de la TPS cesse.Nous avons fait des démarches auprèsdes ministères du revenu et desfinances et, bien que tous soient conscients de la situation et des pertesimportantes pour l’État, il n’y a aucunevolonté politique ou administrative des’attaquer à cette problématique connuesous le nom des « faux particuliers ».

Il nous apparaît que la première étapedans la recherche de la solution seraitque l’émission des licences de com-merçant d’automobiles soit rapidementtransférée à l’Office de la protectiondu consommateur, qui ne serait pasliée par une définition archaïque decommerçant du code de la sécuritéroutière.

La notion de commerçant de la loi deprotection du consommateur est unenotion qui colle aux réalités commer-ciales et nous sommes convaincus quesi l’Office de protection du consom-mateur reprenait la juridiction en cettematière, tous ceux qui font le commercede l’automobile sous une forme ousous une autre devraient détenir unelicence.

Cette notion de commerçant de la loisur la protection du consommateurpourrait peut-être permettre d’examinerles lois relatives aux taxes sur la consom-mation sous un nouvel angle. Si on envenait à considérer le bien commercépar les marchands de véhicules d’occa-sion aux fins d’interprétation des textesfiscaux relatifs, on pourrait peut-êtreavoir une solution.

L’association, en plus de travailler àmettre à votre disposition et à pro-mouvoir des produits et des outils de lameilleure qualité, continue parallèlementà travailler sur les dossiers qui sontconsidérés comme prioritaires par lesmembres.

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Publicité - Véhicule d’occasionCe dossier aura pris passablement de temps à se concrétiser. Bien qu’unconsensus se soit fait en décembre2005, ce n’est que le 11 janvier 2007que les nouvelles règles sur la publicitéet les pratiques de commerce sontentrées en vigueur. On peut dire quela mise en place a été un succès.Actuellement, selon une vérificationfaite par l’APA en avril, 97 % despublicités consultées étaient conformespour la région de Montréal et 91 %pour celle de Québec, ce qui est assezexceptionnel si on considère qu’à lami-février à Québec 90 % des publi-cités étaient non conformes alors qu’àMontréal plus de 20 % ne l’étaientpas. Il ya encore quelques récalcitrants,mais j’espère qu’ils vont comprendreavant que nous ne prenions des sanctions.

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Étaient présents : les associations deconsommateurs, la Corporation desconcessionnaires, des représentants des manufacturiers, de corporationsfinancières et d’agences de publicité. C’est parti et c’est bien engagé. Ceuxqui avaient déjà manifesté leur désirque la publicité relative aux véhiculesneufs soit réformée, ont été consé-quents avec les opinions déjàexprimées et les représentants de manufacturiers, publicistes, compagnies

de financement ont tous été d’accordqu’une réforme s’impose et que,actuellement, nous sommes dans unsystème qui prête à certaines dérivesdu fait que ce qu’on essaie d’amener leconsommateur à acheter un paiementplutôt qu’à lui vendre une automobile. Chacun a ses nuances, mais cette pre-mière réunion a démontré clairementqu’il sera possible d’en arriver à unconsensus dans des délais raisonnables.

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LA DEUXIÈME ÉTAPE QUI VISE À ÉTABLIR DESRÈGLES RELATIVES À LA PUBLICITÉ ET AUXPRATIQUES DE COMMERCEDANS LE DOMAINE DESVÉHICULES NEUFS ESTMAINTENANT ENGAGÉE.

LA PREMIÈRE RÉUNION A EU LIEU LE 20 AVRILDERNIER, AU BUREAUDE L’OFFICE DE LAPROTECTION DUCONSOMMATEUR.

LA PUBLICITÉ AUTOMOBILE

Me RichardCliche

Commentaire

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Encore une fois, Monsieur Yvan Turcotte,président de l’Office de la protection duconsommateur, a fait preuve d’un lead-ership déterminant. Il a clairementétabli la position de l’Office et, de safermeté, tous ont bien compris que leprocessus serait mené à terme dans desdélais raisonnables.

Ce qu’il faut rechercher dans une réflexion sur les règles applicablesà toute publicité sur l’automobile, c’est que le consommateursache exactement ce que va lui coûter l’automobile qu’on lui offre,son déboursé réel, c’est-à-dire L’OBLIGATION TOTALE qu’il devraassumer pour acheter ou louer son automobile et qu’il soit enmesure de le savoir à la première consultation d’une publicité.

©iStockphoto.com/Tom Gufler

La position qu’entend défendre votreAssociation au comité d’étude, qui sera mis sur pied, est la suivante :

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Le PrixIl faut savoir que le prix d’une automo-bile varie beaucoup dépendamment dutype de transaction choisi par le consom-mateur. Il y a le PDSF (prix de détailsuggéré du fabricant) qui est la base deréférence ; si le consommateur paiecomptant, c’est un autre prix ; si leconsommateur achète en vertu d’unepromotion impliquant un taux d’intérêtréduit, il a un abattement sur le PDSF,mais le prix de base de son véhicule estplus élevé que le prix de base considérépour celui qui paie comptant ; si le tauxde financement est un taux sans réduc-tion, le prix peut aussi être différent. En matière de location à long terme,tout ce que la publicité mentionne c’estle versement mensuel et le comptantrequis. On indique parfois l’obligationtotale, le PDSF du véhicule et sa valeurrésiduelle mais uniquement dans lespetits caractères de bas de page.

Je suis bien conscient que le décretconcernant l’application de règles deconduite des commerçants d’automo-biles d’occasion fait obligation d’indiquerune valeur au détail du véhicule, maisen ce qui concerne les véhicules neufs,quelle est cette valeur ? Le PDSF ouun autre prix auquel on aura appliquéun abattement ou un prix plus élevé pourfaire apparaître aux consommateursque le coût du financement de son bailà long terme est minime et la valeurrésiduelle très intéressante ? La valeurau détail est une notion infinimentmodulable. Il faudrait que toute offred’un véhicule indique le prix de venteau comptant, peu importe le moded’acquisition.

Dans l’environnement publicitaireactuel, il est bien difficile pour le consommateur de pouvoir chiffrer etconnaître d’un seul coup d’œil sonobligation en fonction de l’optionsélectionnée et même de sélectionnerson option ou l’option la moins coû-teuse. L’emphase est mise sur la petitemensualité, tout le reste est escamoté etprésenté en caractères quasi illisibles.Je pense que si on ne recherche pasune solution qui fait en sorte que l’offrefaite dans la publicité permette au consommateur de savoir, au premierabord, ce quelle lui coûte exactementet sur quel bien elle porte, on passe àcôte de l’objectif. La seule façon d’yarriver c’est de travailler avec lanotion d’obligation totale du consommateur.

Il faudrait que l’annonceur indique surune grille, dans le cas d’une vente : leprix du véhicule, s’il est payé comptant

et s’il y a financement le prix en fonc-tion des divers taux d’intérêt annoncés,des périodes d’amortissement et del’accompte qui peut être requis, le coûtdu transport et de la préparation, lesautres coûts administratifs, le nombrede mensualités et le montant de chacuned’elles, enfin le total pour chaque situation annoncée ; en matière delocation, le nombre de mensualités, lemontant de chacune d’elles, l’acompteà verser, le coût du transport et la préparation, les frais administratifs ducontrat, l’obligation totale qui en résulte,la valeur résiduelle et la somme finaleque paiera le consommateur s’il achèteà la fin du bail.

Le concessionnaire ou le fabricantaurait ainsi l’obligation de dévoilertoutes les données de l’offre qu’il faitpour le produit annoncé. D’un autrecôté, il faudrait qu’il soit clair que, cefaisant, il a rencontré toutes les obliga-tions qui lui sont imposées par l’article222 de la loi, en regard de l’offre faite.Il faudra aussi modifier l’article 2 del’annexe du règlement P.40.1, R2.1,relatif aux véhicules d’occasion, pour quetous soient régis par les mêmes règles.

Petits caractères Évidemment, il ne faudrait plus qu’il yen ait pour les éléments constitutifs del’obligation totale de l’offre annoncée.Qu’il y en ait encore pour des élémentsadministratifs soit, mais pour le reste, ilfaudrait qu’il y ait une prohibitionclaire. Les références aux autres détailsen magasin devraient avoir le mêmetraitement.

PhotographiesÀ l’évidence, les photographies desmodèles de base des véhicules ne sontpas les plus attirantes pour les consom-mateurs, c’est pourquoi généralementdes photos de modèles plus hauts degamme sont jumelées avec des offresqui s’appliquent au modèle le plus basde gamme. Cette distorsion dans laprésentation pourrait être corrigée enindiquant en caractères suffisammentgros, au bas de la photo, le coût totaldu modèle illustré.

Nous considérons que la clarté, latransparence et la divulgation de tousles éléments au consommateur, afin delui permettre de prendre une décisionavec laquelle lui et ses proches vivrontheureux, s’imposent. (1)

(1) Extrait du mémoire déposé à l’AMF le 3 octobre 2006Réduire la vente ou la location de véhicules automobilesà la seule livraison d’un véhicule est une simplificationqui ne reflète en rien la réalité de ce secteur d’activité.La vente ou la location d’automobiles est non seulementla livraison d’un véhicule, mais aussi son financementet la mise en place d’un environnement qui assure auclient qu’il pourra rencontrer ses engagements financierspeu importe les problèmes reliés à sa situation personnelleet que son véhicule ne deviendra pas pour lui un fardeauen cas de problématiques reliées au véhicule lui-même.La protection de la stabilité du budget familial est unecomposante essentielle de la décision et de la transactionen matière automobile.

©iStockphoto.com/Marius Hainal

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LA PUBLICITÉ

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11Article paru dans le magazine PROTÉGEZ-VOUS de mai 2007. Site internet : www.pv.qc.ca

Publié avec l'autorisation de « PROTÉGEZ-VOUS »

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C’est par l’entremise de V.A.G. qu’Accès voit le jour en 2004. V.A.G. possédant uneéquipe chevronnée de 24 consultants formateurs et étant fournisseur de produits telsque l’assurance crédit et la garantie de remplacement sans dépréciation, elle s’esttaillée une place au sommet de tous les intervenants dans le segment automobileau Québec.

V.A.G. se distingue de tous ses compétiteurs par sa compétence à gérer les départementsde commercialisation après-vente grâce, entre autres, à un suivi étroit et à la formationen classe et en milieu de travail. En 2006 seulement, V.A.G. a formé, en plus deson suivi mensuel en milieu de travail, 646 directeurs commerciaux et suppléants.

Dynamique, à la fine pointe des développements dans le marché de l’automobile,V.A.G. cherche toujours à innover afin de répondre aux besoins des commerçants.Pour ce faire, elle a, au cours de la dernière année, mise en place de nouveauxservices dont l’accès par le Web à des outils de vente personnalisés très efficaces pourles directeurs commerciaux. Elle a également instauré un service de référencementpar l’entremise d’iNITIO, division de Dale Parizeau LM qui permet aux clients quiacquièrent un nouveau véhicule d’entrer en communication avec un courtier d’assurance directement du point de vente et ce, verbalement et visuellementgrâce à la magie de l’informatique. Dernièrement, elle a offert aux commerçants lapossibilité de financer l’achat de produits d’assurance directement par son entremisequand un client dépassait les limites fixées par les compagnies de finance des différents manufacturiers.

Accès, quant à elle, puise dans ces ressources et dans cette expertise pour avoir àelle seule, une équipe dynamique adaptée au marché des voitures d’occasion offrantmême la possibilité d’avoir accès à un directeur commercial par téléphone pour lescommerçants n’ayant pas un volume suffisant justifiant un tel département.

Nos services :• Programme d’objectifs annuels• Logiciel de gestion des performances incluant un comparatif entre vous,

votre marché et les meilleurs de votre industrie• Formations en classe• Suivi en milieu de travail• Gamme de produits des plus complètes• Service à la clientèle• Centre d’appels pour les concessionnaires sans directeur financier• V.A.G. Finance• Nouveau partenaire de l’AMVOQ

Ainsi donc, Accès ne cesse de travailler à faciliter les tâches du directeur commercialafin d’optimiser les résultats de ce département à l’intérieur d’un point de vente.Au fil des années, elle continuera à développer et améliorer sans cesse la gamme desproduits et services qu’elle offre et entend bien continuer à le faire encore longtemps !

NOUVEAU PARTENAIRE DE L’AMVOQ

FILIALE DE PROTECTIONV.A.G. QUI ŒUVRE DANSLE DOMAINE DE L’AUTO-MOBILE DEPUIS PLUS DE15 ANS, ACCÈS INC. A COMME MISSION DES’IMPLANTER DANS LEDOMAINE DES VÉHICULESD’OCCASION EN OFFRANTAUX MEMBRES DEL’AMVOQ UNE GAMME DEPRODUITS ET SERVICESDES PLUS COMPLÈTESPOUR LE DÉPARTEMENTDE COMMERCIALISATIONAPRÈS-VENTE ET, AINSI,CONTRIBUER À AMÉLIORERLE NIVEAU DE RÉTENTIONET DE SATISFACTION DE LA CLIENTÈLE POURL’ENSEMBLE DES MEMBRES.

Montréal :8840, boul. TaschereauBrossard (Québec)J4X 1C2Téléphone : (450) 671-5091Sans frais : 1 866 723-4402Télécopieur : (450) 671-1092Site internet : www.acces-recratifs.ca

Québec :992, de la ConcordeSaint-Romuald (Québec)G6W 5M6Téléphone : (418) 839-1660Sans frais : 1 877 671-9009Télécopieur : (418) 839-1921

Abitibi :546, avenue DuboisRouyn-Noranda (Québec)J9X 3Z9

Rimouski :522, de CourcelleRimouski (Québec)G5N 1G7

Saguenay :3686, du RégimentJonquière (Québec)G7X 9V7

Filiale de :

©iStockphoto.com/Shaun Lowe

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EN TANT QUE MARCHAND DE L’AMVOQ, UN DE VOS OBJECTIFS EST SANS AUCUNDOUTE DE VOUS MONTRER À LA HAUTEUR DES ATTENTES DE VOSCLIENTS.

Kacya CottonMembre du comitéde conciliation/médiation del’AMVOQ et de CAA-Québec

DES ÉLÉMENTS DE DISTINCTION ET DE SATISFACTION

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Dans le passé, il a été question deplusieurs éléments qui peuvent vousaider à mener à bien votre entrepriseen effectuant des transactions réussiesà tous points de vue. En effet, nousavons jusqu’à maintenant abordé latransparence, l’importance de bieninformer les clients, la fidélisation de laclientèle, la valeur à long terme d’unclient… Il va sans dire que d’autresnotions peuvent aussi vous permettrede vous distinguer ou de satisfaire lesconsommateurs qui font des affairesavec vous.

Une base solide… les clients internesVotre employé est un client. C’est unclient interne et il est important decomprendre que si les clients internesne sont pas satisfaits des conditions detravail, du salaire et des relationsinternes, cette insatisfaction risque dese répercuter de façon négative dansles relations qu’ils entretiendront avecles clients externes (consommateurs). Il est important pour tout employeurde prendre le temps d’échanger et d’écouter ses employés. Un moyenconcret d’y parvenir est de tenir uneréunion au moins une fois par moisentre la direction et les employés subalternes. La communication,l’échange et l’écoute sont des élémentsclés, nécessaires à l’établissement d’unebase solide et à la rétention de vosemployés… Gardez donc à l’esprit queces derniers sont vos premiers clients.

Il convient également de s’assurer queles relations à l’horizontal, c’est-à-direentre les collègues de travail, soientsaines. Par exemple, un client seprésente à votre établissement après yavoir acheté un véhicule pour rapporterqu’il a constaté une erreur sur le contraten ce qui a trait au numéro de série.S’il est accueilli par un autre conseillerqui défend l’entreprise en déclarant queson collègue fait souvent des erreurs dece genre, un doute naît tout de suitedans son esprit. Dans ce genre de cas,malheureusement souvent véridiques,c’est la crédibilité de toute votre entre-prise qui est affectée de façon négative.

De la distinction…Le fait d’être un marchand de l’AMVOQ –de même que celui d’offrir le programme

de conciliation et médiation de l’AMVOQet de CAA-Québec – vous permet devous distinguer de la compétition. Parailleurs, lorsque l’on parle de cibler lesbesoins des clients externes, en l’occur-rence, les consommateurs, il faut bienfaire la différence entre les besoins réelsde ces derniers et ce que vous croyezêtre leurs vraies attentes. Il ne faut pas confondre les demandes réelles du clientavec la perception que vous avez de cesdemandes.

Par exemple, vous pourriez effectuerun sondage sur différents paramètres,entre autres le budget, les équipementsprécis que le client souhaite, le modede financement qu’il préfère, la caté-gorie de véhicule qu’il vise et lesheures d’ouverture qui lui convien-nent. Un tel exercice vous révèle lesattentes réelles des consommateurs,alors le fait d’utiliser un outil (lesondage) vous permettant de biencibler les besoins des clients vous distingue aussi de vos compétiteurs.

En outre, il arrive trop souvent que descommerçants optent pour la surqualité,qu’ils en soient conscients ou non. Untel choix peut s’avérer être un irritant detaille – et peut-être même nuire à votreentreprise – pour les consommateursqui se présentent chez vous. À titred’exemple, si la salle d’exposition devotre entreprise est ultra moderne maisque vous n’avez pas le personnel requisen fonction de votre volume de ventes,vous risquez de créer des frustrationsauprès de votre clientèle potentielle.Nous vivons dans une société où letemps est précieux et où chaque secondeest comptée ; le fait de faire attendreun consommateur trop longtemps peutnuire à vos ventes et à votre réputation.

On peut faire la comparaison avec unrestaurant. Si vous y entrez parce quela façade est très attrayante et modernemais que le service est trop lent et qu’enplus, la nourriture est inadéquate, vousrisquez fort de ne plus y retourner. On parle ici d’un contenant attirant (ladevanture du restaurant) par oppositionà un contenu insatisfaisant (le servicelent et la nourriture inadéquate). Il estdonc très important de ne pas sombrerdans la surqualité. Une belle salle d’expo-sition où l’on ne répond pas adéquate-ment à vos clients ne mènera nulle part.

…à la satisfactionCherchez à provoquer les WOW chezvos clients. Tout en maintenant un bonstandard de qualité, n’hésitez pas à vousmontrer proactif dans vos démarches oudans votre offre de service. Par exemple,si vous avez un atelier de mécanique etque des travaux sont nécessaires sur unvéhicule que vous avez vendu, assurez-vous que les véhicules de courtoisie quevous offrez soient propres et, surtout,sécuritaires. N’attendez pas qu’un consom-mateur vous fasse remarquer que vosvéhicules de courtoisie sont dangereux.Il en va de votre image et de votre crédi-bilité. Dans le même ordre d’idée, l’instal-lation de quatre pneus d’hiver en bonétat sur vos véhicules de courtoisie pendantla saison hivernale a toutes les chancesd’épater vos clients et de leur prouvervotre sérieux. D’un autre côté, si vous nedisposez pas de véhicules de courtoisieet que vous dirigez vos clients vers unecompagnie de location à court terme,assurez-vous que la qualité du service de cette compagnie soit digne de vospropres critères.

En résuméLa satisfaction de vos clients externes(consommateurs) débute par des relationssaines au sein de votre entreprise, et ce,tant entre employeur et employés subalternes qu’entre collègues de travail(relations à l’horizontal). Leur satisfactionpasse également par la transparence, parune réponse à des besoins bien interprétés,par l’écoute, par la qualité du service etpar la valeur ajoutée de votre établisse-ment par rapport à un autre. Cependant,même si la satisfaction du client dansquelques-uns de ces éléments seulementpeut produire des améliorations pourvotre commerce, il est primordial decomprendre que les clients cherchent àêtre satisfaits du début à la fin. Il fautdonc considérer toutes les notions dedistinction et de satisfaction comme unensemble et non pas une à une.Souvenez-vous : un consommateur seraentièrement satisfait d’une transactionseulement si elle s’est bien déroulée dudébut à la fin. Le consommateur consi-dère la transaction entière et non pas leséléments de façon distincte. À vous d’établir des mécanismes quivous permettent de bien contrôler etévaluer tous ces éléments de distinctionet de satisfaction de votre clientèle !

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LE MAGAZINE AMVOQVOLUME 17, NUMÉRO 2

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Publicité RDPRM / AMVOQ / TVADans le cadre d’un concours associé à la dernière campagne publicitaire du RDPRM à TVA, Pour ne pas payer les dettes desautres, RDPRM cinq lettres à ne pas oublier, l’AMVOQ (Association des marchands de véhicules d’occasion du Québec) offraitun prix de 20 000 $ applicable à l‘achat d’un véhicule d’occasion chez l’un de ses membres. Cette campagne publicitaires’est déroulée du 26 février au 23 mars sur les ondes de TVA. Le succès à dépassé les attentes, ce que démontre une augmentation spectaculaire des visites sur le site du RDPRM, le nombre de visiteurs a presque doublé. Il y a eu 41 495 participations au concours.

La gagnante, Mme Hélène Baril, dePrinceville, a acheté son véhicule chezGestion JB 2000, 930 Notre-Dame Est,Victoriaville. Dans l’ordre sur la photo,Me Richard Cliche, directeur général de l’AMVOQ, Me Charles Dorion, RDPRM,Mme Hélène Baril, M. Michel Noël,président de l’AMVOQ, M. Jacques Beaudoin, Gestion JB 2000.

En vitesse

NAPA — 200 000 $ en ristournesL’entente de partenariat signée avec NAPA s’avère un succès, plus de 200 000 $ ont été versés en ristournes pour l’année 2006.Elles sont payées en argent et en proportion de vos achats de pièces et accessoires d’automobiles, ainsi que de produits decarrosserie. Il suffit d’un minimum de 10 000 $ d’achats dans l’année pour en bénéficier. L’année 2007 s’annonce bien : lesachats des membres sont en hausse de 23 %. NAPA vous offre des pièces de qualité, un service rapide, des prix très compétitifs, des garanties de 12 mois ou 20 000 km, des ristournes sur vos achats ; au total, le meilleur programme de l’industrie pour vous et vos clients.

Suite page 28

Me RichardClicheDirecteur général et conseillerjuridique

©iStockphoto.com/Ahmad Faizal Yahya

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Congrès

2007

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Trois-Rivières

©Jean Chamberland

ON VOUS ATTEND À TROIS-RIVIÈRES !

VENDREDI 28Vous pourrez vous enregistrer dès 15 heures.

À compter de 17 h 30, nos partenaires et

exposants vous reçoivent, la soirée leur est

consacrée. C’est une soirée tout inclus,

rafraîchissements, breuvages, boissons, bouffe

accompagnent les rencontres que vous y ferez

et les informations que vous recevrez.

À compter de 21 h 15, « Marcel » vous invite à

son garage.

SAMEDI 29Informations, formation, conférences et ateliers.

Présentation d’un nouveau système de gestion

informatisé totalement intégré (mono entrée)

et de nos orientations publicitaire pour 2007/08

sont au programme.

En après-midi, vous aurez l’occasion de rencontrer

et d’entendre M. Roger Pouliot, un spécialiste

des techniques de vente et du « closing »,

dans une présentation originale et dynamique.

DIMANCHE 30Assemblée générale annuelle et élection des

administrateurs. Vous aurez l’occasion de

poser toutes vos questions et de faire des

suggestions.

Il n’y a aucun frais d’inscription, à l’exception

de votre chambre et de vos consommations

additionnelles, tout est gratuit pour vous et la

personne qui vous accompagne. Il n’y à rien

d’autre à débourser, tout est offert par votre

Association et ses partenaires. Pour une personne

additionnelle, le coût est de 75 $.

Dès que vous recevrez le formulaire d’inscription, complétez-le et retournez-lesans délai. Ne risquez pas qu’on vous dise :désolé, c’est complet.

TTRRAAVVEERRSSOONNSSLLEE PPOONNTT

EENNSSEEMMBBLLEE !!

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ACTIVITÉ POUR LES CONJOINTS ET ACCOMPAGNATEURS

En matinée, visite de la vieille Ville de Trois-Rivières et ses sites d’intérêts. L’histoire de cette

ville remonte au 16e siècle. Vous aurez l’occasion de voir Trois-Rivières et les environs de façon

différente et de vivre des expériences uniques. Dîner et retour pour la conférence de Roger Pouliot.

Le programme final sera bientôt disponible.

Lors de votre inscription au Congrès, veuillez indiquer si votre conjoint(e), ou accompagnateur,

participera à cette activité (des frais de 20 $ sont payables à l’inscription).

ROGER POULIOT : COMMENT FERMERUNE VENTE !

La vente n’a plus de secrets pour lui. Depuis 1993, il a développé

une formation originale et dynamique qui donne des résultats

mesurables. Plus de 3 500 vendeurs en ont profité jusqu’à

maintenant. Comment fermer une vente, comment transformer un

acheteur éventuel en client, comment dominer la concurrence,

comment vous pouvez faire monter en flèche vos ventes

d’automobiles et ne jamais oublier ce que vous avez appris.

(www.formationvp.com)

Mes découvertes dans la FORMATION DE VENDEURS PROFESSIONNELS produisent des résultats significatifs, mesurables ET À LONG TERME. Roger Pouliot

BABY BOOMER’S BAND

Revivez la magie des années ‘50 et ‘60 et laissez vous entraîner

par les grandes succès des Beach Boys, The Four Seasons, The

Temptations, Richie Vallon, Neil Sedaka, Paul Anka, Elvis et bien

d’autres. Déjà plus de 175 000 personnes de partout au Québec

ont vibré au son du Baby Boomer’s Band. C’est un coup de cœur.

MARCEL AU GARAGE

Marcel Leclerc nous ouvre son « garage ». Notre garagiste n’est déjà plus cet

inexpérimenté apprenti-humoriste qui avait surpris le monde du spectacle, il y a deux

ans en faisant le pari de se produire lui-même, devant plus de 1 700 personnes, au

Grand Théâtre de Québec. Son spectacle, mis en scène par Stéphane « E » Roy (Mars

et Vénus, Me, Myself et Moi-même) est totalement imprégné de son monde de garagiste.

Tout le monde a un véhicule, en bon état ou non et, par conséquent, tout le monde a un garagiste.

Marcel s’avère la joyeuse synthèse de tous ces hommes (et quelques femmes) qui prennent soin

de leur auto, à un moment ou l’autre de sa « vie mécanique ». Et si les véhicules se ressemblent,

grosso modo, il y a fort à parier que les anecdotes de Marcel rejoindront passablement de monde

dans l’auditoire. En fait, beaucoup de gens se reconnaîtront, seuls les noms pourront avoir été

changés, et encore… ©Ph

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©Jean Chamberland

RÉSERVATIONSRéservez vos chambres dès maintenant.

120 $ par nuit en occupation double.

Communiquez directement avec le service

de réservations de l’Hôtel Delta ou de l’Hôtel

Gouverneur. Mentionnez le nom du groupe,

soit Association des marchands de véhicules

d’occasion (AMVOQ), afin de bénéficier du

tarif qui vous est offert et de vous assurer de

faire partie des chambres réservées au Congrès.

Delta Trois-RivièresHôtel et Centre des Congrès

1620, Notre-Dame Centre

Trois-Rivières, Québec, G9A 6E5

Réservations : (819) 376-1991

www.deltahotels.com

Le Delta Trois-Rivières, Hôtel et Centre

des Congrès, classé 4 étoiles, est situé en

plein coeur du centre-ville animé et du

Vieux Trois-Rivières. L’hôtel est un complexe

de 159 chambres, offrant un accès à internet

haute vitesse, centre de santé Tonix avec

service de massothérapie, piscine intérieure,

bain tourbillon, et stationnement intérieur

et extérieur.

Hôtel Gouverneur Trois-Rivières975, rue Hart

Trois-Rivières, Québec, G9A 4S3

Réservation : (819) 379-4550

www.gouverneur.com

L’Hôtel Gouverneur Trois-Rivières est un

hôtel 4 étoiles, tout récemment rénové,

qui est situé au cœur du centre-ville et du

quartier historique de Trois-Rivières.

Situé face au Palais de justice et de la

vieille prison et seulement à quelques pas

de la magnifique promenade du parc

portuaire, aux abords de la rivière Saint-

Maurice. L’hôtel offre 127 chambres dont

77 en classe régulière et 50 en classe

affaires. De plus, l’Hôtel offre de nombreux

services dont une salle d’exercices, une

piscine extérieure avec vue imprenable

sur la ville et un stationnement intérieur

et extérieur gratuit.

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Me Jean-FrançoisCavanaghDirecteur généraladjoint et conseillerjuridique

LE MARCHÉ DE L’AUTOMOBILE EST ENPLEINE EXPANSIONDEPUIS PLUSIEURSANNÉES ET DÉPASSELARGEMENT LA FRONTIÈREQUÉBÉCOISE. EN EFFET, PLUSIEURS DE NOS MEMBRES ACHÈTENT MAINTENANTLEURS VÉHICULES DANSLE RESTE DU CANADA,AUX ÉTATS-UNIS ETDANS D’AUTRES PAYS.

ACHAT DEVÉHICULES À L’EXTÉRIEURDU QUÉBEC

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IMPORTANT

Il appartient à l’acheteur

de s’informer des normes

d’importation applicables.

Le RIV (Registraire des véhicules importés) est l’organismecanadien qui contrôle l’importation de véhicule au Canadaet opère sous l’autorité de Transport Canada. Les véhiculesdéclarés inadmissibles se verront refuser l’immatriculationau Canada et seront détenus à vos frais. De plus, si votrevéhicule ne répond pas aux exigences de la Douane / l’Agencedes services frontaliers du Canada (ASFC) et de TransportsCanada, vous devrez exporter ou retourner ou faire détruirevotre véhicule sous le contrôle de l’ASFC, et ce, à vos frais.De plus, les droits, les frais et les taxes ne seront pas remboursés.

Il est « Très Important » de vous assurer que vous pouvezobtenir une Attestation d’absence de rappel et une Lettre de conformité aux normes canadiennes. Le RIV publie une Listedes véhicules admissibles qui est mise à jour continuellement,mais celle-ci est « à titre informatif seulement ». En effet,certains fabricants automobiles ont pris l’habitude de refuserd’émettre ces documents aux marchands de véhicules usagéset ont donné instructions à leurs concessionnaires de ne pas émettre de lettre concernant des « véhicules NonCanadiens », ce qui empêche l’importation du véhicule. Lesfabricants veulent ainsi protéger le marché des concession-naires canadiens. Il est à noter que le RIV ne peut pas forcerles fabricants à émettre ces documents.

La façon de contourner le problème est d’exiger du vendeurétranger, avant d’acheter un véhicule, une copie de ces documents. En cas de refus n’achetez pas. Sans ces documents,le véhicule peut être importé au Canada uniquement pourles pièces et il est impossible de l’immatriculer.

Acheter un véhicule aux États-UnisAVANT D’ACHETER un véhicule aux États-Unis,assurez-vous qu’il est admissible au Canada en consultant laListe des véhicules admissibles, disponible auprès du RIV. Si levéhicule n’est pas mentionné dans la liste ou est classé inadmissible, vous ne pouvez pas l’importer. Cependant, unvéhicule admissible peut nécessiter certaines modifications etdoit respecter les « Exigences en matières de modification etd’inspection » et avoir une « Attestation d’absence de rappel »concernant un défaut de sûreté et rappels exceptionnels surle véhicule. Si le véhicule à un rappel ou une modificationdoit être apportée, tout ce qui est requis doit être fait par vous.

La douane des États-Unis exige d’être prévenue au moins 72 heures avant toute exportation permanente d’un véhiculehors des États-Unis et il faut aussi présenter les documentsexigés par la douane américaine dans ce même délai. La douaneconseille de communiquer avec le poste frontière américain depassage pour déterminer exactement les documents requis.

À LA FRONTIÈRE, vous devez présentez votre titre depropriété, immatriculation, votre document d’enregistrementet vos reçus ou contrat de vente. De plus, vous devez remplirle Formulaire d’importation (Formulaire 1) fourni par laDouane canadienne pour enregistrer votre véhicule. Lesdouanes vérifieront si votre véhicule apparaît sur la Liste duRIV et l’exactitude de l’étiquette de conformité et dunuméro NIV. La Douane percevra les frais du RIV nonremboursables de 195 $ plus taxes, payable par cartes decrédit, mandats et les chèques. Cependant, la validation d’un

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chèque peut prendre une dizaine de jours, ce qui réduiraitvotre délai d’inspection de 45 jours. N’oubliez pas que lepaiement de ces frais et le Formulaire d’importation devéhicule ne garantissent pas la conformité du véhicule au RIV.

APRÈS LA FRONTIÈRE, dans les 10 jours, vous recevrezune lettre du RIV accompagnée d’un document d’inspection(Formulaire 2) détaillant les mesures à prendre pour rendrevotre véhicule conforme aux Normes canadienne. Vous devrezeffectuer les modifications dans les 45 jours. Vous pouvezconfier l’exécution de ces modifications au garage de votrechoix. Cependant, nous vous conseillons de communiqueravec le manufacturier pour obtenir les spécifications despièces appropriées et pour les questions de transfert degarantie. Assurez-vous de conserver les reçus des pièces etde la main-d’œuvre pour les présenter à l’inspection. Vousdevez également présenter les Formulaire 1 et 2 ainsi quel’attestation d’absence de rappel. L’inspection doit êtreeffectuée chez Canadian Tire. En effet, le RIV a passé unaccord avec Canadian Tire pour l’exécution des inspectionsfédérales. Veuillez noter que dans de nombreux cas, CanadianTire pourra effectuer les travaux de modification ainsi quel’inspection provinciale de la SAAQ. Lorsque votre véhiculeaura passé l’inspection fédérale avec succès, vous devrez vousprésenter à la SAAQ, qui pourrait vous demander des testssupplémentaires.

Une semaine environ après le passage de l’inspection fédérale,le RIV enverra une étiquette de certification canadienne àapposer sur le véhicule. Si votre véhicule ne passe pas l’inspection initiale, vous devrez payer des frais supplémentairesde modifications et vous présenter à une autre inspection.Si le véhicule ne passe pas l’inspection dans le délai de 45 jours,vous devrez l’exporter aux États-unis, sauf avec l’autorisationdu RIV. Dès que le véhicule est conforme, la conformité duvéhicule est communiquée à toutes les autorités d’immatri-culation canadiennes, dont la SAAQ.

Acheter des véhicules au Canada, mais hors QuébecTous les véhicules canadiens respectent les Normes de sécuritéde véhicules automobiles du Canada. Ainsi, vous pouvez acheterun véhicule provenant d’une autre province canadienne.Cependant, la SAAQ exige une inspection provinciale.Lorsque vous vendez un véhicule dans une autre province,les autorités de cette province exigent aussi une inspection.Ainsi, un véhicule québécois vendu en Ontario devra néces-sairement subir une inspection de sécurité, une inspectionenvironnementale, etc., et cela en conformité avec les exigencesdu Ministère des transports ontarien.

Acheter des véhicules dans un pays autre que les USADans la plupart des cas, vous pouvez importer un véhiculeprovenant d’un pays étranger, si le véhicule a été conçu, fabriqué, testé et certifié conforme aux Normes de sécurité devéhicules automobiles du Canada ou aux Federal Motor VehicleSafety Standards des États-Unis, et que le véhicule porte l’étiquette de déclaration de conformité apposée par le

fabricant original, s’il n’a pas été modifié et que la certifica-tion du fabricant original est maintenue.

Les véhicules fabriqués pour la vente dans des pays autresque le Canada et les États-Unis ne sont généralement pasconformes aux exigences de la Loi sur la sécurité automobile duCanada et NE PEUVENT PAS être modifiés pour les rendreconformes. Les seules exceptions à la règle concernent lesvéhicules de quinze (15) ans ou plus (tel que déterminé parle mois et l’année où l’assemblage principal du véhicule apris fin), et les autobus fabriqués avant le 1er janvier 1971.

Afin de vérifier l’admissibilité du véhicule, communiquezavec Transports Canada à la Direction de la Sécuritéroutière et réglementation automobile au 1-613-998-8616.

Les taxes et l’importationSi votre véhicule est admissible en conformité avec les exigences de Transports Canada, il sera assujetti aux taxes.Vous devrez payer la taxe provinciale lorsque vous immatri-culerez le véhicule. En général, vous n’êtes pas tenu depayer des frais ou droits sur les véhicules importés de fabri-cation américaine, canadienne ou mexicaine, mais il y enaura sur des véhicules provenant d’un autre pays étranger.

Les droits et les taxes sont établis sur la « valeur en douane »de votre véhicule. Il s’agit d’une valeur déterminée confor-mément à la Loi sur les douanes et c’est en dollars canadiens.Une valeur en douane doit être établie pour toutes lesmarchandises qui sont importées au Canada. La valeur endouane est établie normalement à l’aide de la méthode de lavaleur transactionnelle ou l’une des cinq autres méthodesd’évaluation imposées par la loi. Cette méthode s’appliquelorsqu’il y a un prix payé (ou à payer) par un acheteur auCanada. Le prix du véhicule comprendra les montants pourtoutes taxes de vente étrangères perçues par le vendeur, ainsique tout paiement de garantie effectué par l’acheteur auvendeur ou à toute autre tierce partie identifiée par levendeur. Certaines restrictions, additions ou déductions auprix peuvent aussi être nécessaires.

De plus, si le véhicule est muni d’un climatiseur, vous devezpayer la taxe d’accise au montant de 100 $. Vous devezégalement payer une taxe d’accise additionnelle si le poidsde votre véhicule est supérieur à 2 007 kilogrammes ou4 425 livres.

Pour toute information sur l’importation de véhicules auCanada, veuillez consulter les organismes suivants :

• Agence des services frontaliers du Canada (ASFC)1-800-959-2036 www.cbsa-asfc.gc.ca

• Registraire des véhicules importés (RIV)1-888-848-8240 www.riv.ca

• Transports Canada (TC)1-800-333-0371 www.tc.gc.ca

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Certains marchands utilisent mal leur contrat de vente et,par voie de conséquence, leur contrat de financement.En effet, dès qu’il y a une balance de financement, certainsmarchands modifient le prix du véhicule afin de l’augmenterd’autant. Ils modifient l’étiquette de vitre et le contrat engonflant le prix de vente pour obtenir le financement désiré.Cette façon de faire est illégale et fausse les données, tantenvers votre client qu’envers l’institution financière prêteuseet auprès des ministères du Revenu.

En effet, vous ne pouvez pas modifier l’étiquette de vitre,l’affiche de vente, le contrat de vente, etc. La Loi sur la protection du consommateur interdit ce genre de pratique et lescontrats signés avec l’institution prêteuse interdisentles déclarations trompeuses, ce que constitue un tel ajout auprix du véhicule. Les institutions prêteuses veulent bienavoir l’heure juste et savoir exactement l’origine de la dettequ’elles financent. Les montants doivent être correctement inscrits, tant sur le Contrat de vente que sur la Demande de financement ou le Contratde financement. La majoration du prix de vente augmente aussi les taxes à payer par l’acheteur. Le contrat de l’AMVOQ permet l’ajout et la divulgation de la manière appropriée du solde de financement.

Prenons comme exemple : Michel vous achète un véhicule de 20 000 $, vous reprenez en échange son véhicule pour 12 000 $ sur lequel il y a un solde de financement de 6 000 $.

Voici comment devra être complété votre contrat(AMVOQ) :

• à la case A), prix de vente 20 000 $ ; • à la case D), valeur de l’échange 12 000 $ ;• à la case Q), solde de financement 6 000 $ ;

Toute fausse déclaration ou déclaration trompeuse pourra entrainer l’annulation du contrat de financement,ce qui vous obligera à rembourser l’institution prêteuse et pourra donner ouverture à des recours de la part de votre client.

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Il y a une « balance de financement » et vous refinancez un véhicule !

MAIS DE QUELLE FAÇON ?VOTRE CLIENT VEUT VOUS ACHETER UN VÉHICULE ET VOUS REPRENEZ LE SIENEN ÉCHANGE. CEPENDANT, LE VÉHICULE D’ÉCHANGE À ENCORE UN SOLDE DÛ ÀUNE INSTITUTION FINANCIÈRE. DANS LE CONTRAT DE VENTE, VOUS DEVEZTENIR COMPTE DE CETTE INFORMATION ET LA DÉCLARER CORRECTEMENT.

Me Jean-FrançoisCavanaghDirecteur généraladjoint et conseillerjuridique

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Ventes aux IndiensLes ventes aux détenteurs de statut d’Indien sont exemptées de taxes à la consommation (TPS, TVQ) si l’acheteur vousfournit une carte valide attestant de son statut et que le véhicule est livré sur la réserve, peu importe que l’acquéreur y aitune adresse ou pas. Il est important de vous rappeler que le véhicule doit être livré par vous ou par une personne que vousmandatez et payez pour ce faire, et que vous devez conserver une preuve documentaire de votre livraison sur la réserve(comme reçu d’un magasin ou d’une station service sur la réserve). Prenez toujours une copie de la carte de statut d’Indiende votre acquéreur et indiquez son numéro sur le contrat de vente.

Sur l’attestation de transactions avec un commerçant (ATAC) que vous lui remettrez, indiquez les mentions suivantes :1) Exempté – Indien, et le numéro de sa carte de statut 2) Livré sur la réserve (nom de la réserve).

ALERTE AUX MARCHANDS !!! — Un nouvel outil de communicationVous avez commencé à recevoir par courriel des messages intitulés « Alerte ! » ou « Information ! ». Il s'agit d’un nouveaumode de communication que nous avons décidé d'instaurer afin de vous acheminer rapidement l'information d'intérêt. La diffusion sera en fonction des besoins et de l'information d'intérêt que nous recevons.

Pour vous inscrire ou modifier votre adresse courriel, contactez Michelle Lebel à l'AMVOQ ou par courriel à [email protected]

En vitesse Suite de la page 17

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La façon de procéder pour financer lestransactions est à peu près toujours lamême. On fait des contrats de locationdont la valeur de rachat est à toute finpratique insignifiante. Ces contrats sontassortis de frais d’administration, decoût d’émission de crédit ou encore onoblige l’installation d’un appareil derepérage avec arrêt moteur et lelocataire doit payer le coût d’installation,la mensualité et, bien souvent, un fraisd’administration sur la mensualité. La compagnie qui fait le financement sefait en outre remettre une rétrocessionvolontaire en blanc, déjà signée, qu’ilne restera qu’à dater au momentopportun si jamais le débiteur faitdéfaut de payer.

C’est attrayant, mais quand on examinela structure de transaction, on constateque, par le biais de la mécanique miseen place, le débiteur n’a littéralementplus de droit en plus de payer unesomme considérable comme coût totalde crédit, ou découlant des autres obligations qui lui sont imposées.

La signature d’un consentement àremise volontaire en blanc à la signaturedu contrat de location est illégale carça constitue une de renonciation préalable de droits, ce que le consom-mateur ne peut pas faire. Un contrat régi par la loi sur la protection du consommateur ne peutêtre assujetti à la renonciation préalableà des droits prévus par elle et même sile consommateur a signé, ça ne vautrien, cette loi est d’ordre public.

Les consommateurs qui ont souscrit cescontrats pourront toujours demanderque le consentement à remise volontairesoit déclaré inopérant mais il se pourraitaussi qu’ils demandent que toute latransaction soit annulée du fait que lapublicité qui les a attirés et amenés àsigner un tel contrat faisait état definancement, de troisième chance aucrédit et qu’ils ont été induits en erreursur un la nature véritable du contrat.Compte tenu de la valeur de rachatinsignifiante, un tribunal pourrait aussiêtre amené à déclarer qu’il s’agit d’unevente à tempérament déguisée, que ceprocessus n’est pas à l’avantage desconsommateurs et n’avait pour but quede permettre au prêteur de se défairedes obligations qui sont imposées parla loi dans le cas de la vente d’un bienassorti d’un prêt d’argent. Commentréagiront les tribunaux, nul ne peut leprédire. Mais une chose est certaine, sile contrat est annulé, le consommateurdevra être remboursé et, comme latransaction aura été conclue par votreentremise, il est fort probable que vousayez à rembourser le capital, les fraisde financement, le coût du système deprotection, les mensualités de ce système, le coût des assurances supplé-mentaires, les frais administratifs, etc., ...et probablement des dommages punitifs et exemplaires pour avoir participé à un tel système contractuel,en plus des frais légaux et des intérêtsqui pourraient être fixés par un juge.

Un conseil, tenez-vous loin de ce genrede financement. Ça vous fera peut-êtreperdre quelques ventes, mais c’est bienpeu si on considère les embêtementsque ça peut vous amener. La vente àtout prix a un prix. Un prix que nousne pouvons vous recommander de risquer de payer.

Le crédit alternatif, deuxième chance,troisième chance, c’est quelque chosequi répond à un besoin réel. Il y a desinstitutions qui se spécialisent dans cecrédit. Vous en retrouvez plusieurs sur le portail de DealerTrack. PRUDENCE

Me RichardClicheDirecteur général et conseillerjuridique

ACTUELLEMENT, IL Y A DANS LE MARCHÉDU FINANCEMENT PAR LE CRÉDIT ALTERNATIF(2e ET 3e CHANCE), QUELQUES ENTREPRISESQUI OFFRENT DEFINANCER TOUTES VOSTRANSACTIONS, PEUIMPORTE LA SITUATIONFINANCIÈRE DE CELUIQUI VEUT ACHETER.

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Évidemment, la responsabilité directe de nos membres estmanifestement engagée. Comme ils sont les vendeurs de lagarantie en vertu du contrat avec le consommateur, c’est euxqui sont responsables du paiement des réclamations et pourcertains la situation risque d’être difficile financièrement.

Clauses typiques de ces contrats : • La présente exonération est offerte par votre concession-

naire. (Programme de protection financière V.I.P.)

• G.P.I. : désigne Gestion professionnelle (Autosabec) inc.une compagnie que Nous avons choisie pour gérer ceCertificat de Garantie mais qui n’a pas à respecter lesobligations qui nous incombent en vertu du Certificatde Garantie…

• Le concessionnaire s’engage envers celui-ci (l’acheteur)…à fournir un véhicule de remplacement.

DEPUIS QUELQUES MOIS, NOUSSOMMES CONFRONTÉS À DIVERSES

SITUATIONS VÉCUES PAR DES MEMBRESQUI ONT VENDU, DE BONNE FOI,

DES GARANTIES DE REMPLACEMENTOU DES GARANTIES D’ÉCART DE

VALEUR OU ENCORE DES GARANTIESMÉCANIQUES ET QUI AUJOURD’HUI

SE RETROUVENT À FAIRE FACE À DESRÉCLAMATIONS, ALORS QUE CEUX QUI

LEUR ONT FAIT VENDRE CES PRODUITSSONT SOIT DISPARUS OU ENCORE

LEUR DISENT « QUE VOULEZ-VOUS ? Y A PLUS D’ARGENT, LES PRODUITS

N’ÉTAIENT PAS ASSURÉS, IL Y A EU UNPROBLÈME ET LA COMPAGNIE

NE COUVRE PAS, ON N’Y PEUT RIEN ».

GARANTIES SUPPLÉMENTAIRESMe Richard

ClicheDirecteur général et conseillerjuridique

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Sommes-nous en face de cas isolés qui ont tous surgis enmême temps ou encore, sommes-nous assis sur une bombe àretardement ? Je n’en sais rien. Je ne connais pas l’ampleurdu phénomène des ventes de produits financiers dérivés ouaccessoires non assurés, au cours des dernières années.

Il y a une seule façon de ne pas être mal priséventuellement et d’être en sécurité, vous et vosclients ; il y a une seule façon de conserver votrecrédibilité auprès des clients, c’est que vous nevendiez que des produits de compagnies crédibles,dont les produits sont assurées ou qui ont derrièreelles des assises financières suffisamment fortes etvérifiées pour vous garantir d’être présentes, si lebesoin se fait sentir.

Je constate que vous êtes d’excellents vendeurs, mais que vousêtes aussi d’excellents acheteurs et que, dans le domaine desgaranties supplémentaires ou des produits financiers, vousavez été et vous êtes encore des acheteurs crédules. Je suistoujours étonné de voir des membres vendre des produitsdistribués par de gens qui bâtissent leur commerce surles débris de compagnies qui se sont effondrées et ontlaissé marchands et consommateurs sans protection.

Quand les problèmes nous sont soumis, nous constatonsgénéralement que ces produits sont loin d’être pluséconomiques que ceux des compagnies majeures et, surtout,sont loin d’en avoir les qualités. Les grands argumentsqu’on vous sert pour vous vendre sont : tu me connais, nous,on te donne plus de marge de manœuvre pour ta majoration.La plupart de ces produits ont un dénominateur commun : ils vous laissent complètement à découvert, il n’y a rien d’autre pour les supporter que ce qui restedes primes versées.

Votre association a fait ses devoirs et vous recommande desproduits de compagnies en qui vous pouvez avoir confiance.

Nous vous recommandons ceux de :

Garantie Nationale. Cette compagnie vous est recommandéepar l’AMVOQ depuis seize (16) ans pour ce qui concerne sesgaranties mécaniques. Ses produits rencontrent les normesfixées par l’Office de Protection du Consommateur et, quantà nous, le passé est garant de l’avenir.

Accès (VAG) est une organisation de grande qualité, crédible,gérée par des gens d’expérience et qui a fait ses preuves. Sesproduits sont tous assurés par des compagnies majeures etsécurisés, leurs outils de gestion sont à la fine pointe. Elleoffre une formation, un suivi et un encadrement hautementprofessionnels par ses représentants, à travers tout le Québec.Bientôt, elle vous offrira un outil de gestion informatisécomplet et totalement intégré.

ERM. Partenaire depuis deux ans, tous ses produits sont assurés.Son offre couvre toute la gamme des produits dont vous avez besoin.

Groupe PPP, détentrice du premier permis émis par l’OPCpour les garanties mécaniques, cette compagnie s’est associéeà La Capitale compagnie d’assurance. Sa stabilité financière nefait pas de doute. Ses compétences internes, ses outils degestion en font un fournisseur de choix. Elle vous offre l’encadrement et la formation dont vous avez besoin.

Au cours des prochains mois, vous serez tous contactés parces entreprises. Elles vont vous proposer des produits dequalité, avec lesquels vous pourrez faire d’excellents profitset qui vous permettront de rencontrer les ratios habituels dumarché parce que leurs prix sont hautement compétitifs. Cen’est pas parce que leurs produits sont parmi les meilleurssur le marché, ce n’est pas parce que leurs outils de gestionsont exceptionnellement bons et efficaces qu’ils coûtent pluscher que les autres. Elles ont l’expertise, elles ont l’expérience,elles ont le volume.

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Voici la liste par région :

Abitibi-TémiscamingueADC Assurances50, 5e Avenue EstLa Sarre (Québec) J9Z 1K9(819) 333-5571

Côte NordAssurances Turcotte & Turcotte690, Boul. Laure, bureau 104Sept-Iles (Québec) G4R 4N8(418) 962-6915

Estrie / MontérégieFavreau, Gendron192, Saint-Pierre, bureau 100Saint-Constant (Québec)J5A 2G9(450) 632-5512

LaurentidesAssurance Jones255-3.1, rue de Martigny OuestSaint-Jérôme (Québec)J7Y 2G4(450) 432-2555

Montréal / Rive-SudMontérégie / LanaudièreGroupe DPA Assurances3395, rue PicardSaint-Hyacinthe (Québec)J2S 1H31 800 361-9866

OutaouaisINOVESCO500, Boul. Gréber, bureau 103Gatineau, (Québec)J8L 7W3(819) 986-2789

Saguenay / Lac St-JeanTremblay Assurances575, Dequi NordAlma (Québec)G8B 5V9(418) 662-6413

De plus, le programme d’assurance estdistribué par l’ensemble des cabinetsd’assurance du Québec qui représententING compagnie d’assurance. Alorsn’hésitez pas à les contacter pour vosbesoins d’assurance.

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Afin de maintenir les standards de qualité et de mieux vous servir, nous avonsétabli en collaboration avec votre association et ING une liste de cabinets« meneur » dans les différentes régions du Québec. Ces cabinets ont reçu de laformation spécifique à ce programme, possèdent l’expertise et toutes les informations nécessaires pour répondre adéquatement à vos attentes.

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601, route Lagueux, Saint-Nicolas (Québec) G7A 1A7Téléphone : (418) 831-7656 • Télécopieur : (418) 831-2883 • www.encanfly.com

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En terminant, l’équipe des Enchères F.L.Y. Québec inc. désire remercier tous ses clients et collaborateurs.

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Je, soussigné, demande d’adhérer à l’AMVOQ inc. à titre de membre régulier. Je m’engage à meconformer à ses règlements, son code d’éthique et à payer la cotisation annuelle fixée à 495,68$, incluant 26,10$ de TPS et 34,58$ de TVQ.

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Toute fausse déclaration entraînera le refus de l’adhésion du futur membre etdes frais d’administration de 100$ seront dus et retenu sur les sommes reçus.

Toute demande d’adhésion sera refusée, si elle n’est pas accompagnée dupaiement de la cotisation.

Note : Lorsqu’un nouveau membre adhère, celui-ci doit acquitter la totalité de la cotisation, lorsque celui-ci devient membre entre le 1er avril et le 30 septembre.Si celui-ci devient membre entre le 1er octobre et le 31 mars, un prorata mensuel sera appliqué sur la cotisation et le membre devra acquitter la cotisationpour le nombre de mois restant, et ce, comprenant le mois en cours, et il devra aussi acquitter la cotisation annuelle complète pour l’année suivante.

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