56
La vie en Amérique du Nord britannique Chapitre 5

La vie en Amérique du Nord britannique

  • Upload
    erik

  • View
    60

  • Download
    0

Embed Size (px)

DESCRIPTION

La vie en Amérique du Nord britannique. Chapitre 5. La Question Clé?. ?. A quoi ressemblait la vie en Amérique du Nord britannique au milieu du 19e siècle. Nous allons revoir comment lire une carte :. Regardez p 167. Il y a 5 types de carte mentionne ici. - PowerPoint PPT Presentation

Citation preview

Page 1: La vie en Amérique du Nord britannique

La vie en Amérique du Nord

britanniqueChapitre 5

Page 2: La vie en Amérique du Nord britannique

1) La Question Clé?

A quoi ressemblait la vie en Amérique

du Nord britannique au milieu du 19e

siècle

Page 3: La vie en Amérique du Nord britannique

Nous allons revoir comment lire une carte:

Regardez p 167. Il y a 5 types de carte mentionne ici.

Politique: http://atlas.nrcan.gc.ca/site/francais/maps/index.html

Topographique: http://atlas.nrcan.gc.ca/site/francais/maps/reference/provincesterrit

oriesrelief/new_brunswick/referencemap_image_view

De transport:Démographique:

http://atlas.nrcan.gc.ca/site/francais/maps/peopleandsociety/population

Militaire:

Page 4: La vie en Amérique du Nord britannique

Des faits et des chiffres

L’Amérique du Nord britannique a été influence par 2 événements importants:

(1)En 1763, les colonies qui étaient au début françaises se sont occupées par les anglais et sont devenues partie de l ’ANB.

(2) En 1776, la frontière entre ANB et les E-U a été forme lors d’une rébellion dans les colonies sud de N-B contre la Grande Bretagne. Les États-Unis ont été formées.

Page 5: La vie en Amérique du Nord britannique

La politique

• Le gouvernement britannique faisait tout les décisions importantes pour les colonies (l’île de Vancouver, la Nouvelle-Écosse, l’Île-du-Prince-Édouard, la Province du Canada, Terre-Neuve et le Nouveau-Brunswick).

• La Province du Canada était formée du Canada-Ouest (Ontario) et le Canada-Est (Québec).

Page 6: La vie en Amérique du Nord britannique

• Le fondement des traités a été influencé par la Proclamation royale de 1763:

-- un document important dans l’histoire des peuples autochtones du Canada. Elle stipulait qu’aucune terre qui appartenait aux Premières Nations ne pouvait être prise, sauf dans le cas d’un accord entre les chefs et le gouvernement britanniques. Cette déclaration contenue dans la Proclamation royale a constitué le fondement d’autres traités par la suite. Elle stipulait clairement que les droits des Premières Nations devaient être respectés.

Page 7: La vie en Amérique du Nord britannique

• La Terre de Rupert, le Territoire du Nord-Ouest et la Nouvelle Calédonie ont été donné à la compagnie de la Baie d’Hudson sans discussion avec les Premières Nations ni les Inuits.

Page 8: La vie en Amérique du Nord britannique

La Nouvelle Calédonie est la Colombie-Britannique aujourd’hui.

La Terre de Rupert était énorme qui couvrait le Manitoba, les parties de Saskatchewan, Alberta, Ontario, Québec et même le Minnesota, la Dakota du Nord, le Montana, et la Dakota du Sud.

Page 9: La vie en Amérique du Nord britannique

• La Territoire de Terre-Neuve incluait le Labrador (ses frontières étaient reconnues en 1927).

• La côte française de Terre-Neuve était protégée par un traite fait entre la Grande-Bretagne et la France pour les pêcheurs français.

Page 10: La vie en Amérique du Nord britannique

• La Province du Canada était formée du Canada Est (aujourd’hui le Quebec) et Canada Ouest (aujourd’hui l’Ontario).

Page 11: La vie en Amérique du Nord britannique

La démographie

• Population– En 1851: 2 536 000– En 2003: 31 714 637– Aujourd’hui: environ 33,600,000

• La plus grande ville a cet époque était Montréal (58 000 habitants) La ville la plus importantes des Maritimes était St-Jean (30 000 habitants)

• Dans les colonies, les européens sont devenus la majorité tandis que les autochtones sont devenus la minorité.

Page 12: La vie en Amérique du Nord britannique

La démographie

• Dans les territoires, c’était les autochtones qui formaient la majorité.

• Vers le milieu du 19e siècle 85% de la population habitaient les régions rurales et seulement 15% les régions urbaines.

Page 13: La vie en Amérique du Nord britannique

L’économie

• Au milieu du 19e siècle, l’économie des colonies était contrôlée par les européens et basée sur les ressources naturelles. C’était une économie préindustrielle – avant les industries manufacturières.

• Les communautés des Première-Nations et des Inuits des colonies avaient besoin de trouver des manières a survivre les conséquences économique de la colonisation.

Page 14: La vie en Amérique du Nord britannique

Dans les territoires, les peuples autochtones ont été capable de garder leur propre système d’économie avec la traite des fourrures.

Exercices:1. Faites le Réfléchis P 78

2. Lisez les pages 79-81, cherchez les questions et faites-les. Répondez en phrases complètes!

Page 15: La vie en Amérique du Nord britannique

There was some manufacturing of furniture, horse pulled carriages and wool.

In Canada East (Quebec/Lower Canada) most people were farmers but Montreal was an important centre for shipping and many businesses grew up in the city. Montreal was the richest city in BNA because of this. C B

Page 16: La vie en Amérique du Nord britannique

La Population de l’ANB

Il y avait toujours la diversité en Amérique du Nord et les immigrants ont ajoute encore plus. La plupart des immigrants venaient d’Europe mais il y avait aussi beaucoup de descendants africains.

La vie était vraiment mauvaise pour eux dans leur pays, des milliers habitaient en pauvreté. Ils se sont venus au Nouveau Monde en espérant une meilleure vie.

Page 17: La vie en Amérique du Nord britannique

Les populations britanniques et irlandaises

Par le milieu du 19e siècle, l’ANB a vu une augmentation en population grâce a l’immigration. Environ 2/3 (66%) de la population européenne de l’ANB était d’origine britannique ou irlandaise.

Pas tous les immigrants avait la même expérience, cela dépendait sur leur milieu-familial.

Immigrant: une personne qui vient s’établir dans un pays qui n’est pas son lieu d’origine.

Page 18: La vie en Amérique du Nord britannique

L’élite

Def: un groupe de personnes qui ont plus de pouvoir politique, économique et sociale que la majorité de la population

Dans l’ANB, l’élite est compose de familles d’origine britannique (Anglais et Écossais) qui étaient là pour des générations. Une grande partie de ces familles descendait des loyalistes de l’Empire-Uni.

« Les loyalistes étaient des colons américains qui s’étaient rangés du côté de la Grande Bretagne, et qui étaient venus s’établir au Canada après la guerre d’Indépendance aux États-Unis. » (texte p 82)

Page 19: La vie en Amérique du Nord britannique

• Certaines sont devenues riches en vendant leur terre qu’ils ont payé presque rien ou rien pour.

• A Terre Neuve, l’élite était des marchands britanniques qui contrôlaient l’industrie de la pêche.

• Dans toutes les colonies l’élite contrôlait tout – le gouvernement, possédaient les industries, les standards sociales – et ils ne voulaient pas partager son pouvoir!

Page 20: La vie en Amérique du Nord britannique

Les nouvelles populations immigrantes

Entre 1815 et 1850 (35 années), il y avait 800 000 immigrants britanniques et irlandais.Ce n’était pas une vie facile pour les immigrants mais les Anglais et les Écossais ont découvert que s’ils travaillaient fort, ils pourraient avoir une très bonne vie avec des postes prestigieux.La situation était vraiment différente pour les irlandais!

Page 21: La vie en Amérique du Nord britannique

Les nouvelles populations immigrantes

Plusieurs anglais étaient préjugés contre les irlandais a cause des difficultés entre Angleterre et Irlande.

Une autre raison pour le conflit était la religion les anglais avaient tendance à être protestants tandis que les irlandais catholiques

Page 22: La vie en Amérique du Nord britannique
Page 23: La vie en Amérique du Nord britannique
Page 24: La vie en Amérique du Nord britannique

Les nouvelles populations immigrantes

• En Terre-Neuve, beaucoup d’irlandais travaillaient la pêche mais ils ne pouvaient jamais avoir un autre emploi que payait mieux.

• Dans les autres colonies, les irlandais faisaient face a la discrimination s’ils essayaient pour un emploi dans un entreprise anglais.

La discrimination: un traitement injuste fondé sur un préjugé.

Page 25: La vie en Amérique du Nord britannique

Un préjugé: voir page 83 du texte

Les individus d’origine françaiseIl y avait des personnes d’origine française dans tous les colonies et territoires de l’ANB.

Il y avait 2 groupes principal, ceux du Canada Est et les acadiens de l’IPE, de la N-E, et du N-B.

Au milieu du 18e siècle, il y avait des colonies à Terre-Neuve mais éventuellement, au milieu du 19e siècle il en restait seulement quelque petites communautés. Il en reste un peu encore aujourd’hui.

Page 26: La vie en Amérique du Nord britannique

La population française du Canada-Est

• Dans le Canada Est, les français étaient majoritaire pour plusieurs années.

• Il y avait un petit groupe d’élite mais la plupart étaient des habitants.

Les habitants: « les fermiers qui vivaient dans les régions rurales. » (texte p 84)

• Lorsque la Grande Bretagne a pris contrôle des colonies françaises en 1763, les colons français ont reçu des droits spéciaux.

Page 27: La vie en Amérique du Nord britannique

• Parmi ces droits il y avait : ils pouvaient garder leur langue, leurs coutumes et la religion catholique.

• Les anglais leurs ont accordé ces droits parce qu’ils ne voulaient pas que les français rebellent.

• En général, les habitants prospéraient, les communautés s’entraidaient lorsqu’il y avait des problèmes.

Page 28: La vie en Amérique du Nord britannique

• Avec le temps, les britanniques et les irlandais sont venus s’installer dans le Canada Est. Les français ont devenus peur qu’ils allaient devenir minoritaires et allaient perdre leur droit.

Les AcadiensL’Acadie était le nom d’une des premières colonies française de l’Amérique du Nord. L’Acadie était une région qui, éventuellement, est devenus l’IPE, la N-E, et le N-B.Les Acadiens d’aujourd’hui sont les descendants des ces premiers colons. (Les cajuns de la Louisiane sont aussi les descendants)

Page 29: La vie en Amérique du Nord britannique

• Dans les 1600s et les 1700s, les acadiens faisaient l’agriculture et la pêche.

• Pendant les années de guerre entre l’Angleterre et la France, les terres des Acadiens ont change de mains souvent mais éventuellement elles sont tombées sous le contrôle britannique.

• Les Anglais n’avait pas confiance que les Acadiens resteraient loyal. Ils avaient peur que s’il y avait une autre guerre entre la France et la Grande Bretagne, les Acadiens supporteraient et aideraient les Français.

Page 30: La vie en Amérique du Nord britannique
Page 31: La vie en Amérique du Nord britannique

• En 1755, le Grand Dérangement, aussi nomme la déportation du peuple acadien a pris lieu.

• Entre 8,000 et 10,000 Acadiens ont été forcés de laissez leurs maisons et terres.

• Ils étaient envoyés à d’autre colonies britanniques ou emprisonnes.

• Quelques sont déménagés au Canada Est, d’autres ont retourné en France, et encore d’autre sont allés au sud, jusqu’à la Territoire de la Louisiane (qui est éventuellement devenu partie des États-Unis). Les Acadiens de la Louisiane sont maintenant nommé les Cajuns.

Page 32: La vie en Amérique du Nord britannique
Page 33: La vie en Amérique du Nord britannique
Page 34: La vie en Amérique du Nord britannique
Page 35: La vie en Amérique du Nord britannique

La Louisiane (aussi nommé la Nouvelle-France) a été nommé pour Louis XIV, Roi de la France de 1643 à 1715.

Il y avait aussi des Acadiens qui sont installés sur la côte ouest de Terre-Neuve, encore d’autres sont cachés dans les bois.

Les familles ont été séparées pendant l’expulsion et des historiens pensent qu’environ 50% des Acadiens ont été forces de leur maison sont morts.

Page 36: La vie en Amérique du Nord britannique

• Après un bout de temps, les Acadiens étaient permis de retourner à l’ANB. Ils faisaient face à la discrimination dans les colonies britanniques au sud parce qu’ils étaient français et catholiques.

• Ceux qui ont retourné ont trouvé que leur terres appartenaient maintenant aux colons britanniques. Cela voulaient dire qu’ils étaient obligés de tout recommencer soit avec la pêche ou dans les bois. La pêcherie était contrôler surtout par les Britanniques alors c’était aussi difficile pour les Acadiens.

• Il a pris plus que 100 ans après la déportation pour les Acadiens à commencer d’établir leur vie de nouveau. Il y a encore beaucoup qui continue à vivre dans la pauvreté.

Page 37: La vie en Amérique du Nord britannique

Les Autochtones• Par le milieu des 1800, plus de 350 ans de

contact avec les européens ont eu une grande effet sur les vies des peuples autochtones (Premières Nations et les Inuits).

• Un grand changement politique a causé un peu de cet impact négative.

• Les dirigeants de l’ANB ont arrêté de traiter les Autochtones comme des nations distinctes. Ils les traitaient comme des gens soumis à leur autorité (britannique).

Page 38: La vie en Amérique du Nord britannique

• Pour rendre la situation même pire, plusieurs colons et membres du gouvernement colonial avaient des idées racistes contre tous les groupes autochtones – les Premières Nations, les Inuits et les Métis.

Le racisme: un préjugé fondé sur l’origine d’une personne ou sur la couleur de sa peau.

• Souvent, le racisme devient la discrimination.

Page 39: La vie en Amérique du Nord britannique

La perte des terres

Dans le Canada Ouest et les Maritimes, il y avait de plus en plus gens britanniques, irlandais et des loyalistes qui arrivaient pour s’installer. Cela a créé un gros demande pour les terres.

Le gouvernement du Canada Ouest a procuré la terre avec des traités ou en achetant.

Page 40: La vie en Amérique du Nord britannique

• En général au Maritimes, les gouvernements laissaient les colons choisir et prendre la terre qu’ils voulaient.

• Lorsque les chefs des P-N ont plaint, les gouvernements ont créé les réserves pour eux mais quand les colons venaient s’installer quand même, ces gouvernements ne faisaient rien pour protéger les terres des autochtones.

• Éventuellement les communautés des P-N ont été laissé avec des petites morceaux de terre infertile.

• Par le milieu des 1800s, la plupart des P-N vivaient dans la pauvreté et faisaient face à la famine.

Page 41: La vie en Amérique du Nord britannique

Une baisse de la population

Pour comprendre comment grave était la situation des Autochtones il faut seulement regarder ce qui est arrivé à leur population.

On estime qu’au premier contact dans les 1500s, il y avait environ 500 000 autochtones dans l’ANB.

Par 1871, 4 années après la confédération, il en restait seulement 102 000.

Page 42: La vie en Amérique du Nord britannique

La cause principale les maladies.

Les P-N vivaient dans la pauvreté, ils n’avaient pas assez à manger et ils devenaient faibles. Ils tombaient malade facilement et ils n’avaient pas une résistance à ces maladies européennes.

La varioleLa tuberculose La rougeole

Page 43: La vie en Amérique du Nord britannique

Pour des renseignements:

http://en.wikipedia.org/wiki/Smallpox

http://en.wikipedia.org/wiki/Tubercluosis

http://en.wikipedia.org/wiki/Measles

Page 44: La vie en Amérique du Nord britannique

La résistance:

Lorsque une maladie est présente dans une population pour plusieurs générations, les personnes développent une résistance à cette maladie.

Les maladies européennes étaient nouvelles pour les Autochtones, ils ne les ont jamais vues alors leurs corps ne pouvaient pas les combattre. Des milliers d’Autochtones sont morts après avoir eu le contact avec les Européens ou leur marchandises. Il y en avait des groupes qui ont été complètement “tués”.

Page 45: La vie en Amérique du Nord britannique

Vers le milieu des 1800s, la plus grande communauté métisse était à la Rivière Rouge au sud du lac Winnipeg dans la Terre de Rupert.

Les Métis pratiquaient les coutumes, les cultures, et les langues de leur héritage anglais ou français et autochtone. Tandis que le temps passait, les Métis commençaient à développer leur propre traditions, coutumes .

The Métis

Page 46: La vie en Amérique du Nord britannique

N’oubliez pas que la Terre de Ruper était sous le contrôle de la Compagnie de la Baie d’Hudson.

La plupart des Métis de la région de la Rivière Rouge faisait la traite de fourrures.

Les Métis faisaient le travail difficile le transport des marchandises par canoë, par charrette ou à pied. Ils fournissaient (donnaient) aussi de la nourriture de leurs jardins ou qu’ils ont chassé aux trappeurs.

Page 47: La vie en Amérique du Nord britannique
Page 48: La vie en Amérique du Nord britannique

Il y avait aussi des attitudes raciste vers les Métis qui leur empêchaient d’obtenir des meilleurs emplois que la traite des fourrures.

« Ils ont donc commencé à se comporter comme un peuple distinct et à ressentir de la fierté pour le travail qu’ils accomplissaient. » (p87)

Page 49: La vie en Amérique du Nord britannique

Les colons noirs

Des le début les Noirs étaient présent dans les colonies françaises et anglaises.

L’esclavage était légal dans l’ANB jusqu’à 1834. Toutefois, même avant 1834 beaucoup des colons noirs étaient considéré ou vue comme « libres » parce qu’après 1800, l’esclavage est devenu de moins en moins commun.

Il y avait des Noirs qui sont immigrés à l’ANB parce qu’ils pensaient qu’ils auraient une meilleur chance d’échapper l’esclavage. Certains sont venus de la Jamaïque mais la plupart venaient des États-Unis.

Page 50: La vie en Amérique du Nord britannique

Les loyalistes noirs

Il y avaient environs 3 000 loyalistes noirs qui sont venus à l’ANB pendant et après la guerre d’Independence aux E-U.

La plupart des loyalistes noirs se sont installés dans la Nouvelle-Écosse et le Nouveau-Brunswick.

Les loyalistes noirs n’ont pas reçu les mêmes privilèges que les loyalistes blancs.

Page 51: La vie en Amérique du Nord britannique

• Les loyalistes noirs ont été donnés des terres qui étaient plus petites que celles des loyalistes blancs.

• Ils avaient aussi plus de difficultés à recevoir le titre officiel pour leur terre. Un titre est un document légal qui montre la possession. Alors sans le titre ils auraient pu être forcé à déménager.

• Même avec ces difficultés, les colons noirs établissaient des communautés qui offraient des services médicaux, des lieux consacrés au culte (les églises) et l’éducation.

• On voit l’arrivée d’autre immigrants noirs pendant la guerre de 1812.

Page 52: La vie en Amérique du Nord britannique
Page 53: La vie en Amérique du Nord britannique
Page 54: La vie en Amérique du Nord britannique

L’esclavage devient illégal en Amérique du Nord britannique.

• L’esclavage est devenu illégal dans l’ANB en 1834. Il fallait attendre jusqu’à 1865 au E-U.

• Entre 1840 et 1860, environs 30 000 hommes, femmes et enfant noirs sont venus à l’ANB pour échapper l’esclavage au E-U.

• La plupart sont établis dans le Canada-Ouest et la Nouvelle-Ecosse.

Page 55: La vie en Amérique du Nord britannique

Les droits des colons noirs

• Même si les nouveaux colons noirs n’étaient pas des esclaves, ils n’avaient pas les mêmes droits ou occasions que les Blancs.

• Ils ont connu la discrimination, pouvaient seulement trouver les emplois qui payaient peu et ont reçu les terres les moins fertiles.

• Les communautés blancs ont agrandit et ont forcé les colons noirs loin des ressources importantes comme l’eau et les routes.

Page 56: La vie en Amérique du Nord britannique

• On arrête ici pour le test du 9 juin 2009.