La Synergetique La Théorie Demontrée par Franck et Renée louis vallée

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Franck et Renée louis vallée

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La Synergetique

La SynergetiqueFranck et Rene louis valleSorry, this part is in French. It comes from a precedent site about Synergetics. Table des matiresLe bug de l'interprtation

La structure nergtique du vide

Rinterprtation des formules de la physique

La structure lectromagntique de l'espace

Ondulatoire et Corpusculaire : 2 manifestations d'un mme phnomne

Modle vibratoire de la matire

(Annexe) Les jumeaux de Langevin : Paradoxe ou Incomprhension ?

Ce texte a pour objectif d'informer le public, le plus large, d'une dcouverte fondamentale qui a t ralise dans le milieu des annes 70. Je ne m'tendrais pas sur les raisons qui ont fait que cette dcouverte soit reste dans l'ombre depuis si longtemps, il s'agit simplement de dcrire les concepts et de dbattre des perspectives volutionnaires qui en dcoulent. Toute personne sense comprendra mes propos : il s'agit simplement de mettre la physique en cohrence avec une perception raisonnable de l'univers qui nous entoure. Par exemple, il n'est plus besoin d'imaginer une quatrime dimension mtrique, pas plus qu'une dformation de la trame espace-temps pour interprter les phnomnes physiques observs tant au niveau du microcosme que du macrocosme. Le bug de l'interprtationIl est surprenant de considrer aujourd'hui, les thories mises par les physiques modernes officielles : certaines voquent de l'nergie quantique du vide, d'autres une quatrime dimension bizarre qui chappe notre entendement. Il semble que toutes ces thories tournent autour d'une ralit sensible et cohrente, et qu'elles ne pourront se dlier des chanes qui les lient leur caverne, tant qu'elles ne raliseront pas une remise en cause fondamentale de l'interprtation relativiste. Read more...La structure nergtique du videOui, vous avez bien lu, le vide a une structure, une essence qui n'est pas mcaniste, comme l'ont imagin les scientifique du 18ime sicle, mais qui est de nature nergtique. Read more...Rinterprtation des formules de la physiqueEn considrant ces principes, l'interprtation des diffrentes formules mathmatiques, qui ont t valides par l'exprimentation, change compltement. La synergtique corrige le bug de l'interprtation matrialiste et relativiste, mais en aucun cas les modles mathmatiques de la relativit. C'est ainsi que tout redevient beaucoup plus cohrent la lumire des principes nergtistes. Read more...La structure lectromagntique de l'espace Les 4 quations de Maxwell constituent les lois fondamentales qui rgissent l'espace lectromagntique une chelle qui reste toutefois macroscopique et avec l'hypothse d'une continuit des phnomnes d'espace. Read more...Ondulatoire et Corpusculaire : 2 manifestations d'un mme phnomne S'appuyant sur la trame lectromagntique d'espace, toutes les formes d'ondes qui rpondent l'quation de Poisson, et notamment les formules de rpartition spatiale tablies par la mcanique quantique, sont des formes stables d'nergie d'espace. Read more...Modle vibratoire de la matireLa stabilit d'une particule, dont nous venons d'expliquer la nature ondulatoire, ncessite une interaction permanente de cette dernire avec l'espace. En effet, les phnomnes vibratoires pigs l'intrieur de la particule exercent une pression lectromagntique sur les zones disruptives qui doivent tre quilibres par une pression extrieure, sous peine d'instabilit et d'clatement de la particule. Read more...Les jumeaux de Langevin : Paradoxe ou Incomprhension ?Le " Paradoxe des jumeaux " dmontre clairement l'incohrence de l'interprtation relativiste. Et pourtant, ce paradoxe flagrant n'a pas empch la physique officielle de se complaire dans l'irrationalit. Read more...

Le bug de l'interprtationIl est surprenant de considrer aujourd'hui, les thories mises par les physiques modernes officielles : certaines voquent de l'nergie quantique du vide, d'autres une quatrime dimension bizarre qui chappe notre entendement. Il semble que toutes ces thories tournent autour d'une ralit sensible et cohrente, et qu'elles ne pourront se dlier des chanes qui les lient leur caverne, tant qu'elles ne raliseront pas une remise en cause fondamentale de l'interprtation relativiste. Il s'agit en fait d'une dformation de l'interprtation scientifico-mentale d'un modle mathmatique appropri, une sorte de bug tenace qui a chemin dans la pense des physiciens depuis l'aube de la physique moderne au 18ime sicle.
Depuis cette poque, les physiciens croyaient pourvoir mettre en vidence l'ther, sorte de trame mcaniste composant le vide. Maxwell notamment, a construit ses quations, modle mathmatique valide pour unifier et dcrire les phnomnes lectromagntiques, en imaginant les interactions mcaniques dans un univers rempli de billes microscopiques et invisibles. Au 19ime sicle, un thme prioritaire de recherche a t de mettre cette hypothse en vidence, en particulier au travers de l'observation des mcanismes lectromagntiques et lumineux.
Il s'agissait alors, entendons-nous bien, de valider ou d'invalider la vision mcaniste de l'ther telle que l'ont imagin alors les physiciens de Newton Maxwell. Dans ce cadre interprtatif, la vitesse de propagation de la lumire pouvait tre influence par la vitesse de dplacement de la terre, observation dmentie par l'exprience notoire de Michelson et Morley. Cependant, si cette dernire exprience montre que la vitesse de la lumire ne semble pas tre influence par le mouvement de la terre, elle n'apporte pour autant aucune justification pour valider l'interprtation relativiste qui a remplac l'hypothse de l'ther mcaniste par une vitesse constante universelle.En d'autres termes, deux bugs scientifico-mentaux se sont succds dans la pense des physiciens, le bug de l'hypothse relativiste chassant le bug de l'ther mcaniste :Avant Michelson et Morley, le vide est compos d'un ther mcaniste - sorte de trames de billes microscopiques et invisibles dont les pousses expliquent la propagation des rayons lumineux et lectromagntiques dans le vide ainsi que l'attraction distance des forces gravitationnelles, lectriques et magntiques.

Aprs Michelson et Morley, le vide de matire est absolument vide. Rien ne permet d'influencer la propagation de la lumire. De ce fait, la vitesse luminique est une constante universelle et tous les rfrentiels, en mouvement uniforme, relatifs les uns vis--vis des autres, sont identiques. Ds lors l'interprtation mentale chappe notre entendement, notamment par l'hypothse des dformations de l'espace-temps qui permet d'expliquer, entre autre, la dviation des rayons lumineux par les masses, et qui n'a pas t cependant invalide par le paradoxe des jumeaux de Langevin.

Il est absolument stupfiant de considrer le caractre binaire de cette logique, comme si la physique pouvait se rsumer deux suppositions : si 1 est faux alors forcment 2 est vrai. Tout ce que l'exprience de Michelson et Morley a prouv est la ngation d'un ether mcaniste. Cependant aucune preuve exprimentale ne permet de justifier l'existence d'un vide absolu !Nous avons par ailleurs dvelopp dans d'autres documents les diffrentes aberrations lies aux hypothses de la relativit : constance de la vitesse de la lumire et relativit des rfrentiels. Il ne s'agit donc pas ici de montrer les raisons fondamentales qui nous porte prtendre au bug de l'hypothse relativiste et allons dsormais dcrire les fondamentaux de la thorie synergtique.

La structure nergtique du videOui, vous avez bien lu, le vide a une structure, une essence qui n'est pas mcaniste, comme l'ont imagin les scientifique du 18ime sicle, mais qui est de nature nergtique. En d'autres termes, la thorie synergtique renverse l'interprtation jusque l cautionne par la physique : l'nergie n'est pas la consquence de la matire mais c'est exactement l'inverse. Dans la mesure o le vide n'est qu'une vue de l'esprit, nous remplacerons dornavant cette expression tendance nihiliste par le mot espace.
Dans la perspective d'un espace nergtique, nous devons modifier le rfrentiel mental que nous nous sommes jusque l forg lorsque nous considrions une certaine forme de physique matrialiste, celle du 20ime sicle.Par opposition, l'adoption des principes nergtistes suivants ouvre la voie de fabuleuses dcouvertes :Le monde de la cration ne se limite pas aux simples manifestations matrielles mais peut se classifier en deux domaines imbriqus l'un dans l'autre : un ocan d'nergie cause premire de toutes manifestations et la matire qui n'est qu'une forme particulire de cette nergie.

L'nergie d'espace est de nature vibratoire. Toutes les manifestations durables rpondent donc des frquences de rsonances universelles. La matire, rpute stable, est l'une de ces manifestations.

L'nergie d'espace est omniprsente. Elle remplit l'espace infinie dans ses trois dimensions euclidiennes. En tout point sa quantit de mouvement est conservative et sa densit d'nergie est quilibre et proportionnelle au carr de la vitesse locale de propagation de la lumire.

Les phnomnes observs par la physique sont relatifs un rfrentiel nergtique inertie stationnaire, reprsentatif de l'environnement d'observation.

Les variations de la densit d'nergie d'espace sont l'origine de toutes les forces rpertories par la physique.

Origine des forces d'aprs la synegtiqueLes variations spatiales de densit d'espace reprsentent les forces qui s'exercent de manire statique sur la matire - gravitation et lectromagntisme.

Les variations dynamiques de densit d'espace reprsentent les forces d'inertie.

Les variations de densits d'nergie en fonction de la frquence de vibration d'une particule expliquent les interactions fortes. A chacun des atomes, rpertoris dans le tableau de Mendeleiev, correspond une frquence de faible potentiel nergtique qui explique la stabilit de la particule.

Alina : Le modle nergtique et vibratoire des particules lmentaires explique enfin le caractre lectromagntique des interactions faibles.

L'ensemble de ces cinq noncs pose les fondements de la physique volutionnaire synergtique des prochaines annes.Synergtique, du grec Syn : ensemble, signifie l'ensemble des nergies combines pour fonctionner dans une mme unit de principe et d'action.

Rinterprtation des formules de la physiqueEn considrant ces principes, l'interprtation des diffrentes formules mathmatiques, qui ont t valides par l'exprimentation, change compltement. La synergtique corrige le bug de l'interprtation matrialiste et relativiste, mais en aucun cas les modles mathmatiques de la relativit. C'est ainsi que tout redevient beaucoup plus cohrent la lumire des principes nergtistes. Quelques exemples de rinterprtation :Dfinition de l'nergieLa clbre formule E = mc2 ne correspond pas seulement l'quivalence entre masse et nergie - l'interprtation synergtique apporte notamment une srieuse remise en cause de l'interprtation de la masse, dveloppe plus bas. Cette formule correspond au potentiel absolu d'nergie d'un systme qui peut tre la fois matriel et immatriel. S'il est matriel, son quivalence nergtique correspond sa masse que multiplie le carr de la vitesse de la lumire, locale au systme considr. Cette formule est du mme coup unitaire, on la note S = mc2 , non seulement par effet de style, mais pour marquer le fait qu'il s'agit de toutes les nergies potentiellement associes au systme considr : masse, inertie, gravitation, lectromagntisme et interactions particulaires puisque l'nergie est la manifestation fondamentale que rien ne diffrencie en nature. Equations de LorentzLes quations de Lorentz ont t interprtes en relativit par des transformations de la trame d'espace-temps. Il ne s'agit en fait que de la dformation des missions d'ondes lectromagntiques d'une particule qui se heurte, trs haute vitesse, au mur de la lumire, ce dernier freinant tout avancement - exactement comme un avion contre le mur du son. La formule de l'nergie E = .m0 c2 , avec = (1 - v2 /c2 )-1/2 , reprsente l'nergie d'un systme en mouvement de masse au repos m0 vis--vis d'un rfrentiel inertie stationnaire o rgne une vitesse de la lumire c. L'nergie absolue du systme considr reste gale S = mc2 , en considrant la masse du systme en mouvement m = .m0 . La diffrence de masse correspond aux forces d'inertie du systme en mouvement. Masse et quation de la dynamiqueF = mG s'exprime plutt en synergtique m = F/G. La masse devient un coefficient qui exprime le rapport entre les forces exerces sur un systme et l'acclration pris par ce systme sous la pression de ces dernires. Dans ce cadre, on tablit une distinction nette entre masse et matire. Les systmes immatriels, voire un photon ou une portion d'espace vide, ont une masse.
Pour un systme considr, la masse en mouvement n'est pas la masse au repos. Celle-ci varie relativement au milieu inertie stationnaire en fonction du coefficient Le photon rpond notamment une forme nergtique qui ne peut rester stable s'il ne se propage pas la vitesse de la lumire. C'est pourquoi la masse du photon est nulle au repos, puisqu'il ne peut exister et que sa masse en mouvement vaut m = S/c2 , soit m = h./c2 en faisant intervenir la formule de Planck.

La structure lectromagntique de l'espace Les 4 quations de Maxwell constituent les lois fondamentales qui rgissent l'espace lectromagntique une chelle qui reste toutefois macroscopique et avec l'hypothse d'une continuit des phnomnes d'espace. Pratiquement toute la physique du 20ime sicle provient de ces quations.
Hertz en a notamment dduit l'existence des ondes lectromagntiques, lorsqu'il a tabli le lien entre les caractristiques lectromagntiques du milieu et la vitesse de la lumire : c2 =1/. avec reprsentant la permittivit lectrique et la permabilit magntique du milieu.L'indpendance de ces quations vis--vis de tout systme matriel, conduit naturellement supposer que l'espace est lui-mme de nature lectromagntique.Nous avons voqu les proprits nergtique et vibratoire de l'espace, mais nous n'avons pas encore dcrit l'hypothse structurelle de l'espace qui vient complter le modle synergtique. Une trame d'ondes lectromagntiques de trs hautes frquences, les ondes d'espace, constitue la nature de l'ocan nergtique, de sorte que la synergie d'un espace est gale la somme des nergies apportes par l'ensemble de ces ondes lectromagntiques. Il suffit de rappeler que cette nergie est aussi la synergie du milieu S = mc2 , pour y associer alors une masse immatrielle, gale la somme des nergies lectromagntiques que divise la vitesse de la lumire au carr. Calcul de la densit d'nergie d'espaceA partir de l'exprience de Fizeau qui a formul l'expression de la vitesse de propagation de la lumire l'intrieur d'un milieu donn en fonction de son indice de rfraction optique, il a t possible de calculer la densit d'nergie d'espace. Sans rentrer prcisment dans le cadre thorique qui a permis d'laborer cette valeur, la densit de synergie d'espace est value la fabuleuse quantit de 2.1020 J/m3

Ondulatoire et Corpusculaire : 2 manifestations d'un mme phnomne S'appuyant sur la trame lectromagntique d'espace, toutes les formes d'ondes qui rpondent l'quation de Poisson, et notamment les formules de rpartition spatiale tablies par la mcanique quantique, sont des formes stables d'nergie d'espace. Ainsi, sans mme recourir d'autres hypothses, la localisation plus dense d'nergie en certains points de l'espace, du fait d'une fonction stable des ondes lectromagntiques d'espace, apporte un modle qui explique la faon dont cohabitent matire et nergie dans cet ocan synergtique.
En d'autres termes, la matire est un pige stable d'nergie d'espace, dont la forme spatio-temporelle rpond l'quation de propagation universelle (Dalembertien nul). Si l'on rajoute cela que l'nergie, de nature lectromagntique, ne peut qu'tre ondulatoire, on comprend alors comment la thorie synergtique rconcilie les thories quantiques et corpusculaires. Par ailleurs, la matire correspond des modles ondulatoires qui ne peuvent tre prcisment localiss l'chelle microscopique, mais dont la rpartition spatio-temporelle explique galement le principe d'incertitude d'Heisenberg.Modle microscopique synergtiqueD'une part, la dcouverte fondamentale de la synergtique provient du fait que les particules lmentaires ont des similitudes observes avec les cavits rsonantes ou guides d'onde de l'lectromagntisme. D'autre part, la thorie introduit l'hypothse d'un champs lectrique limite. Lorsque, du fait des conditions vibratoires du milieu, la valeur du champs lectrique tend dpasser la valeur limite, alors une divergence du champs lectrique provoque l'apparition d'une zone disruptive dont la charge quivaut celle de l'lectron - on rappelle que Maxwell a tabli la relation entre la charge lectrique et la divergence du champs lectrique. L'hypothse du champs limite et des zones disruptives reprsente des discontinuits d'espace qui permettent de matrialiser un support de microscopiques guides d'ondes lectromagntique.Les zones disruptives, par inversion locale du champs lectrique constituent en effet de vritables miroirs microscopiques aux ondes lectromagntique, et reprsentent alors autant de parois pouvant piger les ondes d'espace et provoquer l'apparition des particules lmentaires. La synergtique tablit alors diffrents modles de matrialisation et montre notamment la diffrence entre le photon et l'onde lectromagntique. Cette dernire correspond effectivement une excitation du milieu, typiquement l'onde plane et sphrique, dont la forme spatio-temporelle rpond l'quation de propagation, et qui ne concentre cependant pas d'nergie en un point particulier de l'espace. L'onde lectromagntique correspond donc la propagation d'une impulsion du milieu nergtique qui ne peut pas tre assimile de la matire.

Le photon se comporte quand lui en un guide d'onde lectromagntique qui, pige de l'nergie entre deux zones disruptives. Sa gomtrie est stable que si il se propage la vitesse de la lumire.

Ce n'est pas parce que les deux phnomnes se propagent la mme vitesse et qu'ils prsentent des similitudes lectromagntiques, qu'ils sont identiques.

L'lectron forme une figure plus complexe, compose de trois zone disruptives, deux de charges ngatives et une de charge positive qui pigent une onde lectromagntique tournoyante.L'exprience de la sparation de pairs met en vidence la structure microscopique de l'lectron. La rotation des trois zones disruptives reprsente un microcircuit qui cre un champs magntique : le spin de l'lectron. Les neutrons et protons, tous deux extrmement voisins, reprsentent une figure nettement plus complexe et loigne du modle de l'lectron et du photon.Il s'agit d'ondes lectromagntiques piges entre plusieurs zones disruptives dont la somme des charges s'annule dans le cas du neutron et qui comporte une zone positive supplmentaire dans le cas du proton. Au del, des particules lmentaires, le modle molculaire rpond des figures de plus en plus complexes, un peu l'image de bulles de savon qui s'agglutinent et qui peuvent fusionner ou se sparer en fonction des contraintes extrieures qu'elles subissent.En tout tat de cause, l'image d'pinal de la molcule, telle qu'on se plait reprsenter sous la forme de boules de plastique assembles par embotement n'est vraisemblablement qu'une vue simplificatrice de la ralit microscopique, lectromagntique et nergtique de la matire

Modle vibratoire de la matireLa stabilit d'une particule, dont nous venons d'expliquer la nature ondulatoire, ncessite une interaction permanente de cette dernire avec l'espace. En effet, les phnomnes vibratoires pigs l'intrieur de la particule exercent une pression lectromagntique sur les zones disruptives qui doivent tre quilibres par une pression extrieure, sous peine d'instabilit et d'clatement de la particule. Or le constat de la stabilit des noyaux des molcules sous des formes quantiques et rpertories dans le tableau de Mendeleiev, amne supposer deux phnomnes naturels et universels :Il existe des frquences, pour lesquelles les noyaux des particules sont stables. Elles correspondent des frquences pour lesquelles la rsonance vibratoire peut s'tablir - seule manifestation stable et localise connue pour un phnomne ondulatoire.

Du fait de l'quilibre des pressions de " peau ", la particule en constante interaction avec son environnement change de l'nergie avec l'espace. Cette nergie prsente ncessairement une forme radiante dont la densit d'nergie est inversement proportionnelle son angle solide, et dcrot donc suivant une formule en 1/4r2 .

Origine de la GravitationLe modle microscopique synergtique explique pourquoi les forces de gravitation sont en un 1/r2 , du fait des pressions radiantes d'nergie d'espace qui entourent les particules.La premire hypothse permet d'expliquer la stabilit ou l'instabilit des particules lmentaires. Seuls l'lectron, le proton et le neutron sont des particules lmentaires stables, car ces particules vibrent en rsonance avec une frquence d'espace particulire qui leur confre la stabilit. Les autres phnomnes particulaires, observs en nombre dans les chambres bulles, correspondent des phnomnes ondulatoires momentanment stables qui ne rsistent que peu de temps aux alas du milieu lectromagntique. La seule issue pour une de ces particules instables est soit de " rentrer dans le rang " impos par la cohrence cosmique et de devenir ainsi une particule stable en changeant la quantit d'nergie dont elle a besoin avec l'espace, soit de se perdre irrmdiablement dans le milieu nergtique. Voici donc pourquoi les physiciens rpertorient en nombre infini des particules qu'ils essaient de classifier dans leur fameux modle standard. La seconde hypothse fait tat de la dcroissance relative de la densit d'nergie d'espace autour de la particule matrielle. Or, conformment aux lois du milieu nergtique, la variation de densit provoque l'apparition d'une force d'attraction dirige vers la particule. Voil ainsi expliqu la nature fondamentale des forces de gravitation ainsi que son expression de dcroissance en 1/r2