La Gazzetta della - Lancia Classic Club

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LANCIA CLASSIC CLUB (Association loi de 1901) 6 Rue du Parisis - 95270 LUZARCHES

LLaa GGaazzzzeettttaa ddeellllaa

Sommaire :

Editorial p 1

Lancia au Monte Carlo historique p 3

Le salon de Reims p 4

4000 km en coupé Flavia p 6

Evénements/calendrier p 8

Coupé Fulvia : graine de pur-sang p 10

Chers amis Lancistes, Nous sommes le 29 mai et je viens de pulvériser le meilleur temps de la piste... du circuit de la Châtre ! La séance est levée et tout le monde se dirige vers ma voiture pour me demander de soulever le capot moteur...Non non, tout est d'origine je vous assure. Juste refait dans les règles de l'art, c'est tout ! Les journalistes présents préparent déjà une pige pour les prochains mensuels d'auto classiques en insistant sur le caractère exceptionnel des Lancia, ne tarissant pas d'éloges sur leurs autres qualités routières et de confort. Les possesseurs de classiques d'autres marques s'interrogent : peut être que la prochaine sera une Lancia, car franchement ça respire et ça tient la route...! Et puis maintenant on a du solide avec les clubs, leurs bonnes adresses et les sorties interclubs. Justement cette journée du 29 mai, il y a deux autres rallyes qui convergent vers le Château de la Crête. Tout le monde, les "Dolce Vita" et les "Scuderia" se retrouveront le samedi soir pour un bon restaurant dans un cadre agréable près de Audes (03190). Le lendemain, après un petit rallye commun du matin, nous bavarderons autour de nos voitures dans le cadre superbe du château de la Crête. Et vous, vous faites quoi le 29 mai : circuit ou rallye ? et le dimanche 30, plutôt champagne ou jus d'orange ? Bref ce sera surtout la fête des Lancia classiques, avec comme prétexte principal les 50 ans de la Flavia alors dépêchez vous de vous inscrire car votre Lancia le mérite bien !

L’autre évènement phare de l’année sera notre rallye annuel (9 et 10 octobre), dont la scène sera celle du Haut-Koenigsbourg et des vignes d’Alsace au moment des vendanges... Parallèlement à cela la refonte du site continue à avancer, certes au rythme qu’est celui d’actifs ayant des activités professionnelles et familiales déjà bien prenantes, mais le nouveau site devrait voir le jour d’ici l’été... A part cela sachez que votre club se porte plutôt bien, que nous en sommes à une soixantaine de réadhésions pour 2010, et qu’un annuaire permettant d’identifier les voitures similaires à la votre dans votre région sera bientôt édité.

Votre président, Stéphane LOUAZE

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Bienvenue à ceux qui nous ont rejoints récemment…

M. BANNEROT FULVIA Cpé S2 M. GUYOT BETA MONTECARLO M. BASSE MONTE-CARLO M. GUERIN FULVIA, FLAMINIA SPORT, AURELIA B20M. BEULAGUET BETA SPIDER M. MARTIN FULVIA 1600HF S2M. BOULOIS FULVIA Cpé S2 M. MICHELITZ FULVIA Cpé S2M. CAVACIUTTI FLAVIA Cpé 1800 Carbu M. NAFFIN FULVIA Sport Z S2M. CHAUVET FULVIA 3 Cpé M. NALLET FULVIA Cpé M. CHEVALLET FULVIA MONTECARLO M. SAVOLDELLI FLAVIA Cpé 1800M. CREUSAT FLAVIA Cpé 1800 M. SENENTE FULVIA Cpé M. DEWEER FLAMINIA Touring + THEMA M. TASSAN-MANGINA FULVIA S1 CpéDE GEYNDT APPIA Convertible Vignale S3 M. TIRARD FULVIA Cpé S1 M. GALLOIS BETA MONTE CARLO M. WEINHARD FULVIA Cpé

Lancia à Rétromobile

Jubilé de la Flavia oblige, c’est un coupé Pininfarina qui était exposé sur le stand Lancia Héritage fin janvier.

Cette 35ème édition aura totalisé près de 81.000 visiteurs, soit une baisse de fréquentation de 10 % par rapport à l'an passé. Une baisse expliquée en partie par la crise qui n'épargne personne et par les dates avancées de l'évènement.

Dans un contexte de crise, les résultats de la vente Bonhams montrent que le marché de la voiture de collection se maintient plutôt honorablement. Bien que la maison d’enchères n’ait pas été en mesure de rééditer sa performance de 2008 qui lui avait permis d’enregistrer pour 11,8 millions d’euros de ventes, 75 % des lots ont néanmoins trouvé preneur pour une somme de 6,7 millions d’euros. Au milieu de cette sélection de 99 voitures, on trouve quelques enchères incroyables. C’est le cas de la Monteverdi 450 SS coupé de 1970 adjugée 398 000 euros mais aussi de la Citroën DS 21 Pallas partie à 48 300 euros. Les classiques de la marque aux chevrons enflamment toujours les collectionneurs. Estimée 130 à 150 000 euros, la DS 21 décapotable de 1971 a trouvé preneur à 189 000 euros. Quant à la réplique de la SM Présidentielle, un acheteur a déboursé 155 020 euros pour l’installer dans son salon ou dans son parc car ce véhicule n’a pas le droit de prendre la route...

Quelques adjudications :

1965 Lancia Appia Berline S3 10350€ 1961 Lancia Flaminia Coupé 12650€ Lancia Fulvia Sport 1300 Serie 1 Coupé 27600€ 1966 Lancia Flaminia Zagato SS 89700€ 1962 Lancia Flaminia Convertible Superleggera 52900€ 1955 Lancia Aurelia B20 Sport 47150€

Trônait également le magnifique coupé Gamma S2 gold (ex-Chardonnet) de Vincent de Fresquet.

Superbissime Aurelia B52 Farina...

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Lancia au Monte Carlo historique Bref aperçu des équipages Lancia de l’édition 2010...

Fulvia, Flavia, Beta et Stratos représentent toujours aussi fidèlement Lancia de Reims à Monaco… Cette année encore, on ne compte pas moins de 21 équipages en Lancia sur 341 engagés.

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Classement des Lancia :

13 AGHEM Marco (I) / AGOSTINO Riccardo (I) IV/2 9-5 Lancia Fulvia 1600 HF 1972 14 MF BREDA Juan (I) / DE LA HOZ Angela (E) III/2 2-2 Lancia Fulvia 1600 HF 1971 18 MF MC PERLINO Silvio (I) / PERLINO Tiffaney (GB) IV/2 11-6 Lancia Fulvia 1600 HF 1972 20 MC SOUPE Jean Paul (F) / BINCAZ Ludovic (F) IV/2 12-7 Lancia Beta Coupe 1978 26 ORTEGA Javier (E) / SEGARRA MARQUES Jose (P) III/2 6-5 Lancia Fulvia HF 1.6 1970 27 AGHEM Gianmaria (I) / CUMINO Diego (I) III/2 7-6 Lancia Fulvia HF 1.6 1970 33 MC MOROSINI Giorgio (MC) / RAINISIO Cesare (I) III/2 10-8 Lancia Fulvia HF 1.6 1969 53 MF LEVA Marco (I) / GIUGNI Alexia (I) III/2 17-13 Lancia Fulvia 1600 HF 1971 74 REYNOUARD Aimé (F) / CHAREYRE Daniel (F) IV/2 39-25 Lancia Beta Coupe 1975 89 MC DREYFUS Jean Pierre (CH) / MASSE Jean Paul (F) IV/1 50-6 Fulvia Zagato 1.3 1972 93 MF VERCAMER Daniel (F) / VERCAMER Martine (F) IV/3 52-13 Lancia Stratos 1974 107 BRECHET Laurent (F) / MOREAU Vincent (F) III/2 28-20 Lancia Fulvia 1600 HF 1971 114 BONNARD Lionel (F) / MARTINS Miguel (F) IV/1 67-10 Lancia Fulvia Coupe 1.3 S 1972 116 AMATO Luciano (I) / OLIVIERI Alessandro (I) IV/2 68-41 Lancia Fulvia Zagato 1.6 1972 133 LIROLA Gabriel (E) / LIROLA Carlos (E) III/2 35-25 Lancia Fulvia HF 1.6 1970 157 MIKKILA Olli (FIN) / SILVASTI Jukka (FIN) IV/2 92-58 Lancia Fulvia 1600 HF 1973 182 SISTI Sergio (I) / BERNINI Dario (I) IV/2 107-67 Lancia Fulvia 1600 HF 186 MEYLAN Roger (CH) / ROBIN Christian (CH) III/1 51-8 Lancia Fulvia Zagato 1.3 1969 206 MC RAFFERMI Giancarlo (F) / NOVARO Emile (F) III/2 60-38 Lancia Fulvia 1600 HF 1971 207 NAEGELI Peter (CH) / ZIMMERMANN Marco (CH) IV/2 118-73 Lancia Beta Coupe 1978 248 ROSSI Eugenio (I) / SALICI Alberto (I) III/2 77-45 Lancia Flavia Coupe 1.8 1966

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Salon de Reims

Avec plus de 520 exposants répartis sur 33 600 m2 (140 associations, 380 marchands) et près de 30 000 visiteurs, le salon champenois du véhicule de collection, créé en 1988 à l'initiative des Belles Champenoises d'Epoque, n'a cessé de battre des records de fréquentation. Le rendez-vous fixé cette année aux 13 et 14 mars n’a pas failli à sa réputation. Comme l’an dernier, le stand que nous partagions avec le club Autobianchi a su retenir l’attention des visiteurs curieux de voir autre chose que des Peugeot, Renault, Citroën ou Simca...

Magnifique !! le moteur 1300 gentiment prêté pour l’occasion par Alex G. a fait l’objet de tous les regards durant les 2 jours...

Repartant comme elle était venue, c'est-à-dire par la route, la Fulvia Zagato Série 1 de Stéphane filant bon train sur l’A4...

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Carnet de voyage : 4000 km en Flavia ! 15 avril 2009, il est 8 heures. Le coupé Lancia Flavia, fidèle compagnon de mon mari depuis 10 ans nous attend dans la cour de la maison. Nous partons avec mon époux pour un long voyage en Italie. Ce périple de 4000 km va nous conduire depuis le Cher jusqu’à la côte Amalfitaine avec comme point d’orgue : l’île de Capri. Cela fait plusieurs semaines que mon époux prépare la Flavia. Mais quoi réviser me dit il, il est si fiable ! Par acquis de conscience, il passe en revue l’allumage, la carburation et effectue la vidange du circuit de refroidissement. La veille du départ, le voyant de charge de la dynamo s’allume. 2 heures après, les charbons sont remplacés. Nous partons donc sereins. Nous verrons par la suite qu’ils feront parler d’eux une nouvelle fois.

1ère étape : Belleville sur Loire �� Forte dei Marmi en Toscane. Cette étape de 1000 km est une formalité. Le paysage, tant en France qu’en Italie est magnifique. Même sous la pluie que nous pouvons qualifier de déluge vers Gênes. La Flavia roule à merveille sur ses terres d’origine et nos passages en ville ou en campagne s’accompagnent de mains levées et de sourires chez nos amis transalpins.

2ème étape : Forte dei Marmi �� Rome, la ville éternelle. 400 km effectués tranquillement sans brusquer notre vaillant compagnon de route. A l’arrivée, la récompense : rouler via Veneto, passer devant le Colisée, se stationner tout près de la fontaine de Trevi sont des souvenirs que nous garderons précieusement. Conduire à Rome relève toutefois d’un exploit. Mais ce n’est rien en comparaison de ce qui nous attend à Naples.

3ème étape : Rome �� Ercolano près de Naples. Nous entrons dans un autre monde. Nous voyons des gens vendre des journaux à l’entrée de l’autoroute, de l’essence en bidon… La différence entre le Nord et le Sud est ici flagrante. La conduite et les conducteurs aussi : 3 personnes sur un scooter ! , Un demi-tour sur l’autoroute !!, Une discussion entre automobiliste sur la voie de droite de l’autoroute !!! Et un sac à main dans le siège auto alors que l’enfant est sur les genoux de la conductrice !!!! Réussir à conduire à Naples devrait être sanctionné d’un diplôme. Toutefois Pompeï est splendide et nous nous laissons le soir venu tenter par le Lacryma Christi, vin cultivé sur le mont Vésuve et bercé au rythme des chants napolitains. Une nouvelle fois, la Flavia apparaît comme une star. Elle est d’ailleurs élue plus belle auto du rallye avec comme argument majeur : son authenticité et sa patine d’origine. Après ce titre, je regarde la voiture différemment et comprends un peu mieux mon époux et l’attachement qu’il lui voue. De plus, elle était en concurrence avec une Bentley Continental, une Porsche 356 cabriolet et autre jaguar XK.

4ème étape : tour de la côte Amalfitaine. Ce bout de terre est extraordinaire par sa beauté. Il en émane une sérénité grâce à ses plantations de citrons énormes et autres maisons pittoresques en bordure de mer. Torrente et Positano sont des villages magnifiques qui méritent le détour.

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5ème étape : Capri. Cette île, dès notre arrivée sur le port, me semble usurper sa réputation. A peine suis-je intriguée par ces drôles de taxi Fiat tous carrossés en cabriolet sur une base de berline. Mais c’était sans compter sur son versant Ouest et sa fameuse via Krupp qui sillonne la montage pour finir dans une l’eau claire et belle. On apprend que la propriétaire d’une fabuleuse villa accrochée à flanc de falaise n’est autre que Sofia Loren, je pense alors bien fort que c’est une veinarde et je lui souhaite d’en profiter le plus longtemps possible.

6ème étape : Ercolano �� Monte Cassino �� San Gimigniano Monte Cassino nous laisse un souvenir mémorable. Mais soyons franc, pas seulement l’abbaye, surtout la montée vers elle. 7 km qui n’ont été pour la Flavia qu’une promenade de santé. Nous avons pu confirmer l’excellence de ces qualités routières et la puissance de son freinage. Nous finissons la journée en Toscane, à San Gimigniano à quelques kilomètres de Sienne. Inutile de rappeler combien cette région est un paysage de carte postale…mais en vrai. La journée fût longue et beaucoup de km ont été parcourus. Fatigué, mon mari a pris l’autoroute pour gagner du temps. Moi, je constate que tous les terrains vont à notre Lancia, qui lance un véritable pied de nez à toutes ces modernes car nous nous démarquons sans sacrifier le confort et le plaisir de conduite.

7ème étape San Gimigniano �� Belleville sur Loire. Le rallye touche à sa fin. Nous sommes tristes de rentrer. Ce pays est magique. Le retour commence par un silence pesant. La nostalgie nous attaque par surprise après seulement les premiers kilomètres. Il semble que notre Flavia ressent les mêmes émotions, qu’elle ne veut pas quitter sa terre natale. Elle nous le fait savoir mécaniquement : A Livarno, le voyant de charge s’allume brutalement. Il est 19 H. Nous quittons l’autoroute et nous nous arrêtons au premier village. Personne pour prendre en charge la réparation. L’unique garage ferme ses portes et me propose de prendre une chambre dans le village et de revenir le lendemain à 9 h. En guise de chambre, nous nous retrouvons dans une auberge pour travailleurs. Il paraît que la nuit porte conseil. Mon mari la met à profit pour faire le diagnostic. Je suis inquiète mais je ne le montre pas. Tomber en panne le dernier jour à la tombée de la nuit alors que ni mon mari ni moi ne parlons italien dans un village un peu perdu, croyez-moi, on ne s’endort pas tout de suite. Le lendemain matin, mon mari se lève en me criant « je sais d’où vient la panne, j’en suis quasi sûr » A 9 h, direction le garage qui n’ouvre ses portes qu’à 9h…35. Le garagiste arrive tout souriant. Moins de 1 heure après, le problème est résolu. En fait, des projections d’huile ont d’abord encrassé puis gêné le déplacement d’un charbon dans son logement. Le circuit n’était plus fermé. Nous repartons avec les encouragements du garagiste (moins les 50 euros de mise à disposition de son garage durant 1 heure) et de tous les curieux qui ont fini par observer notre mésaventure. Il n’est pas commun qu’un coupé Lancia Flavia, immatriculé en France traverse leur village. Nous effectuons le retour vers la France d’une seule traite, soit 1400 km en 15h. Pas mal, cela fait une moyenne frôlant les 100 km/H. Plus que jamais, la Flavia mérite ses lettres de noblesse. Nul doute que 2010, année de cinquantenaire, lui fera honneur. Il est 22h, nous arrivons à Belleville sur Loire. Nous remisons la voiture au Garage. Nous avons conscience d’avoir vécu une aventure humaine (et technique) très forte. Je ferme avec mon mari les portes du garage et nous nous promettons de recommencer. Lorsque nous le ferons, promis, je vous le conterai une nouvelle fois.

Quelques chiffres :

• Une consommation moyenne de 10 L/100 • 4000 km parcourus • Des conditions climatiques allant du chaud (30° à

Capri) au froid (7° à Turin) en passant par la pluie, voire le déluge.

• Un capital sympathie vis à vis du coupé toujours plus grand

• 100% envie de recommencer Fiche technique :

• Lancia Flavia Coupé 1800 carburateur de 1968

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• 60 000 km d’origine • Jamais repeinte • Jamais restaurée • Une horloge suisse . . . non Italienne !

Christine et Karim OUSACI

Annonces / évènements :

Classic Days 2010

Après une édition 2009 rassemblant plus de 700 véhicules et près de 20 000 spectateurs, les Classic Days reviennent les 1er et 2 Mai 2010 sur le circuit de Magny-Cours.

Pour cette 3ème édition l’objectif reste inchangé : offrir à tous les passionnés d’automobiles anciennes - spécialistes ou profanes - un programme toujours plus riche, dans un esprit de décontraction et surtout de convivialité. Points forts de la manifestation : hommage à Guy Ligier, Alfa Romeo soufflera ses 100 bougies, et le Mustang Day. Au menu pour les passionnés : du roulage sur la piste Grand Prix, le Classic Tour BRM Chronographes, des expositions de voitures, un village marchand avec des exposants en tout genre, des démonstrations et LA fameuse grande parade : record de 427 voitures en piste à battre.

Bonne humeur, éclectisme, festivités et bien sûr passion seront au rendez-vous de ces Classic Days 2010 !

Véhicules admissibles : • Tous véhicules avant 1980 • De 1980 à 2010 : sur dossier

Rassemblement d’italiennes à Arlay (JURA)

Entrée et participation libres.

Organisation : OCTANE 99 Tél. 03 84 24 46 65 ou 03 84 24 67 41 E-mail : [email protected]

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2ème Autodrome Heritage Festival

Montlhéry, Samedi 5 juin 2010

Ouvert aux véhicules toutes marques mondiales, autos et motos de série en parfait état de présentation. Plus de 800 véhicules attendus sur l’Autodrome de Linas-Montlhéry. Acceptation des dossiers sur quotas, marques et modèles, définis par l’organisateur.

Inscriptions autos ouvertes, bulletin à télécharger sur le site de l’UTAC : www.utac.com Participation forfaitaire aux frais de parking et accès passagers : 20 euros TTC par véhicule Valable pour un véhicule et tous ses passagers.

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Salon de Rouen 25 et 26 septembre 2010

Samedi : 9h-19h - Dimanche : 9h-18h Entrée : 6,80 € Tarif club : 4,80€ Nombre d’exposants : 150 Surface d’exposition globale : 20 000 m² Nombre de visiteurs : 12 000 Depuis 2002, un salon qui a su trouvé son image de marque gràce aux professionnels et amateurs qui s’investissent chaque année pour faire de cet événement le plus grand rassemblement de L’ouest.

Comme d’habitude, nous y serons !

Lancia Fulvia Coupé : GRAINE DE PUR-SANG Afin d'épauler la Flavia, Lancia sort la Fulvia, une berline qui en reprend les caractéristiques mais en réduction. Néanmoins, son dessin divise un public surpris par son look "boîte à chaussures" et déçu par ses performances. Il va se rattraper avec une version coupé à la ligne élégante, et dont le V-4 ne va cesser de progresser pour qu'elle acquiert un véritable tempérament sportif. C'est très net sur les modèles HF qui se sont distingués en compétition, offrant à Lancia un titre de champion du monde des rallyes. Mais les prémices sont déjà là, dans cette première mouture...

16 juillet 1965 : le général De Gaulle et son homologue italien, le président Giuseppe Saragat, inaugurent le tunnel du Mont-Blanc joignant la France à l'Italie après 19 ans de travaux. 25 août de cette même année : les habitants de Gènes saluent l'ouverture de la Soprelevata (surélevée), le boulevard périphérique entièrement construit sur viaducs destiné à alléger le trafic en ville. Au même moment démarre à Milan le chantier qui, trois ans plus tard, donnera naissance au premier périphérique censé ceindre la cité, la Tangenziale Ovest. Parallèlement, l'Autoroute du Soleil - ou A1 - relie enfin Rome à Milan suite à l'inauguration de la dernière tranche en novembre de l'année précédente. 1965 est riche en événements automobilistiques majeurs en Italie, le paysage devant s'adapter à un véritable problème de société. Il circule alors plus de 5 millions et demi de véhicules, contre un peu moins de 900.000 dix ans plus tôt, et l'on vient de battre un record historique avec 886.297 immatriculations sur douze mois. Les constructeurs se frottent les mains. Leurs usines tournent à plein, les carnets de commandes ne désemplissent pas. Alfa profite du succès de sa Giulia associée à son coupé GT, Fiat dévoile deux versions supplémentaires de sa 850 (coupé et spider) et offre une évolution (F) à sa 500, la dotant de portes ouvrant "dans le bon sens". Et pour Lancia, l'heure est au renouveau avec le lancement en fanfare du coupé Fulvia au Salon de Genève de mars. Une auto qui revient de loin. De très loin. Il faut remonter à décembre 1959 pour mesurer le chemin parcouru par une entreprise qui, à cet instant précis, accumulait tous les déboires. A commencer par ses finances, dans le rouge depuis déjà longtemps malgré le rachat de l'entreprise par Carlo Pesenti en 1955 et l'arrivée d'Eraldo Fidanza au poste de directeur- général. Il reste à peine 464 millions de lires en caisse, et même si l'on attend 4,1milliards d'encaissement, le montant total des factures arrivées à échéance dépasse les 6 milliards ! Pour assainir la situation, il faut réaliser des économies drastiques qui passent d'abord par la diminution des charges salariales à grand renfort de licenciements massifs, puis par une recapitalisation afin d'amener de l'argent frais (prêts bancaires et émission d'une obligation pour un montant de 5 milliards), et enfin par la recherche d'une baisse considérable des coûts de production. C'est sur ce dernier point que le bât blesse, car Fidanza entend réduire la qualité des produits mais également les budgets alloués au développement. Antonio Fessia, le directeur technique de Lancia depuis 1955, ne peut accepter ce qu'il considère comme un parricide, la marque ayant bâti sa réputation sur une excellence mécanique ne pouvant se reposer sur ses lauriers. Il s'oppose d'autant plus fermement à Fidanza que celui-ci souhaite faire perdurer la vieillissante Appia dans une quatrième mouture qui conserverait la mécanique de la troisième série apparue en mars 1959, se contentant d'une nouvelle robe revue et corrigée par Pinin Farina. C'est la goutte qui fait déborder le vase de la discorde entre les deux hommes. Fessia refuse de faire du neuf avec du vieux, d'autant que l'Appia reste fille de son prédécesseur, Vittorio Jano. Une propulsion alors que la Flavia, dont la sortie est prévue à l'automne 1960, instaure la traction-avant chez Lancia ? Fessia fait alors part de ses "doutes" à Pesenti, et il pèse de tout son poids pour que l'obstacle Fidanza soit éliminé. Chose faite après un houleux conseil d'administration, le 31 mai 1960, le financier préférant donner sa démission. L'ambitieux ingénieur peut alors tout à loisir préparer la petite berline qui remplacera l'Appia et viendra épauler la Flavia afin de former le tandem si ancré dans la culture Lancia depuis le couple Aprilia/Ardea. Une traction-avant jouera donc l'innovation moteur. Fessia imagine même pour elle un révolutionnaire quatre à plat avec deux rangées de cylindres décalées, comme sur les V-4 maison. Mais si l'idée est intellectuellement intéressante, elle s'avère vite une impasse autant

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technique que financière. Avec Ettore Zaccone Mina, le chef de projet moteurs, c'est donc un classique V-4 qui fait son entrée, du moins en apparence, car sa structure diffère très nettement du 1.089cm3 de l'Appia. L'angle est un peu plus ouvert (13° au lieu de 10°), le vilebrequin repose sur trois paliers au lieu de deux et la distribution se fait par deux arbres à cames en tête, un pour chaque rangée (sur l'Appia, les deux AAC sont dans le bloc et il faut faire appel à un ensemble tiges et culbuteurs pour commander les soupapes). De plus, il est incliné de 45° sur la gauche afin de réduire son encombrement vertical. Comme pour les duos précédents, la Fulvia reprend les solutions techniques de sa grande sœur, la Flavia, avec cependant des adaptations. On retrouve une boîte à la même architecture mais aux rapports modifiés, une suspension AV à roues indépendantes grâce à des bras superposés associés à un ressort à lames transversal, un essieu rigide AR avec ressorts à lames longitudinaux mais accompagnés par une barre transversale Panhard, et des voies identiques, ce qui simplifie la production.

Présentée en mars 1963, celle que l'on appelle désormais la Fulvia divise cependant public et essayeurs, à cause de sa ligne "boîte à chaussures", œuvre du styliste maison Pietro Castagnero. Elle est moderne, anguleuse, tout sauf banale, mais elle manque furieusement d'harmonie. De plus, dans cette première édition, le V-4 délivre certes 11 ch de plus que sur l'Appia (59 ch), mais le poids de la caisse qu'il propulse est bien plus important (1.030 kg contre 920 kg). La vitesse maxi est du coup limitée à 138 km/h, soit un gain de 6 km/h seulement. Fessia a beau se retrancher derrière son désintérêt pour le sport et le passé glorieux de la marque, le public fait la moue. Et il faudra attendre la fin 1964 et la deuxième mouture, la 2 C, équipée de deux carburateurs Solex C32 PAIA8, pour voir le ramage se montrer à la hauteur avec 70 ch et 145 km/h. C'est la première étape d'un lent processus qui va pousser inexorablement Lancia à tutoyer à nouveau la compétition. Un deuxième pas est franchi avec le coupé deux portes sorti en cette étonnante et riche année 1965. Aussi curieux que cela puisse paraître, c'est à nouveau Castagnero qui l'a dessiné, s'inspirant dit-il « d'une coque de bateau Riva ». Sur une plate-forme raccourcie de 15cm, il ne ressemble que d'assez loin à la berline, lui reprenant uniquement des détails esthétiques. Les formes pataudes ont disparu comme par magie au profit d'une ligne élancée, quasi symétrique, surmontée par un habitacle aux minces montants et à l'immense surface vitrée. L'élégance du trait est encore plus évidente dans le traitement de la proue qui, tout en récupérant la grille de calandre en trapèze et les doubles phares, s'est affinée, dans le prolongement d'un capot et d'ailes achevant leur course sur une rupture agressive marquée par un pli de tôle. Le changement est également très net au niveau mécanique, avec un V-4 dont la cylindrée est passée de 1.091cm3 à 1.216 cm3 par augmentation de l'alésage (76 mm au lieu de 72), la puissance grimpant à 79ch et la vitesse de pointe frôlant les 160 km/h. Pour le public, c'est un véritable retour aux sources, les aficionados de la marque étant de plus orphelins d'un petit coupé depuis la disparition de l'Appia Pininfarina et la gent féminine s'enthousiasmant pour ce joli petit jouet plein de charme. Face à cet engouement, le constructeur avance alors un nouveau pion en direction de l'échiquier sportif en janvier 1966, avec la version HF (High Fidelity). N'en déplaise à Fessia, celle-ci est clairement pensée pour la compétition, allégée de 125 kg grâce notamment à l'absence de pare-chocs et à l'utilisation de l'aluminium pour les ouvrants et de plexiglas pour les vitres latérales. Livrée uniquement en rouge (rosso Lancia) avec deux bandes longitudinales jaune et bleu aux couleurs de Turin sur le toit et les capots, cette HF bénéficie également d'une évolution mécanique passant par l'adoption de nouveaux collecteurs d'admission, de réglages pointus de carburateurs et surtout d'un diagramme de distribution plus agressif afin d'assurer une plus grande nervosité à un bloc dont on sait alors qu'il a atteint les limites de son développement possible. 87 ch, c'est bien, mais il faut pouvoir aller plus loin.

Texte de Marco Visani

SUITE ET FIN DE CET ARTICLE DANS GAZOLINE 166 - AVRIL 2010

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Adresse / Refabrications :

Planche de bord Fulvia :

Si cela intéresse quelqu’un, Albert Cailler propose des boiseries de planche de bord pour Fulvia coupé :

La casquette de planche de bord est aussi refabriquée :

La casquette est également disponible sur commande pour les coupés Flavia. Informations :

Restauration Automobile SA - Rue des Moulins 14 C.P. 244 CH – 2108 Couvet Tel : 0041 (0) 32 863 17 20 Fax : 0041 (0) 32 863 22 27 E-mail [email protected]

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Article technique :

DUNLOP GIRLING

Si la rouille externe a endommagé le

chromage, vos pistons ne sont plus réutilisables.

Une rouille externe sur les portées des joints cache –poussière est moins importante.

Puit de piston : Un ponçage soigneux

s’impose pour savoir si ré-utilisable !

½ étrier AV Bi chromaté-zingué

A la dépose, les étriers de type Dunlop

(Flaminia, Flavia ou Fulvia S1) ou type

Fulvia Girling (S2) sont généralement bien

couverts de rouille à l’extérieur et remplis de

boue hydraulique à l’intérieur.

Sur Dunlop, désassemblez les ensembles

cylindres-pistons tenus par les 4 vis.

Sur Girling, dé-assemblez l’étrier par moitié

en défaisant les grosses vis.

Sortez les pistons avec de l’air comprimé.

Appliquer la pression sur la purge en

bouchant les éventuels autres orifices et

faites faire des cycles aux pistons jusqu’à ce

qu’ils sortent complètement.

La progression est parfois lente : re-

enfoncez-les au maillet à chaque sortie

partielle et mesurez la progression.

=> ATTENTION : PROTEGEZ-VOUS

D’UNE EJECTION BRUTALE

LORSQU’ILS SONT PRETS A SORTIR

Faites un brossage métallique, à l’aide d’une

brosse circulaire et d’une perceuse dans

l’étau (par ex.) pour enlever la 1ére couche

de rouille et saletés.

Idéalement faites faire un sablage pour

décaper parfaitement.

Examiner vos puits de cylindres afin de voir

s’ils sont récupérables après ponçage

soigneux à la toile Emeri. Il ne doit pas

subsister de traces de marquages sur la

surface de contact avec les pistons.

Sinon,

- Dunlop : passez à la cote supérieure du

cylindre avec des joints correspondants (certains joints sont dispo à la boutique du club)

- Girling : Faites évaluer un réalésage à

taille minimum, sinon trouvez des étriers en

meilleur état.

Pistons Girling : examinez leur état. Il est

courant qu’ils soient marqués et donc

inutilisables. Procurez-vous en des neufs

dans un atelier d’usinage ou chez un

spécialiste (ETIENT à PARIS) ; coût unitaire

constaté : env. 50 EUR HT par piston.

Si un ponçage permet d’enlever une rouille

superficielle sans marquage du diamètre

externe, vous pouvez les réutiliser. En cas de

doute, consultez un mécanicien

professionnel en anciennes. Ex : la dernière

photo de cette présentation montre des

pistons réutilisables car chromage correct.

REFECTION DES ETRIERS DUNLOP OU

GIRLING DES FLAMINIA, FLAVIA,

Ici, la tige est cassée => rebut !

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DUNLOP GIRLING

ETIENT, spécialiste des freins et de l'embrayage de 1933 à aujourd’hui, intervient sur toute voiture de collection, compétition ou courante, toutes marques françaises et étrangères, de la 2ch à la Rolls. Fourniture ou / et pose.

9 bis, rue du commandant Pilot - 92200 - NEUILLY sur SEINE Tel. 01 46 24 70 86 E-mail : [email protected]

Ou avec peinture antirouille

Dans les règles de l’art : on change les joints ! Et on ne

remonte que des pistons neufs ou vérifiés corrects !

Cylindre Dunlop : vérifiez que la tige

interne reste bien sertie et sans marque.

Etriers : idéalement faites les bi-chromaté-

zinguér pour éviter que la rouille ne se

redépose trop rapidement.

Sinon, couvrez-les d’une peinture spéciale

fer, sauf les parties suivantes :

-Dunlop : plans de joint cylindre sur étrier,

et conduits de sortie du piston dans l’étrier

-Girling : surface de contact entre demi-

étriers

-Tous: à l’intérieur des cylindres,bien-sûr !

Remonter vos pistons avec des joints neufs,

sans oublier de bien graisser les portées en

translation et les joints avec une graisse

spécifique (voir gamme produit Restom).

Mettre les joints cache-poussière et

réassemblez les ensembles cylindres-

pistons sur les étriers (Dunlop) ou les ½

étriers ensemble (Girling). Faites un essai

fonctionnel de sortie des pistons avec de

l’air comprimé, identique à l’opération de

démontage.

ATTENTION à maitriser leur course de

sortie intercalant une cale en bois pour

stopper leur sorties intégrales (par ex.)

Une fois remontés sur la voiture ce sera le

moment de la purge, en admettant que

votre maitre cylindre soit aussi en bon état.

(Conseils dans la prochaine Gazzetta !)

Le résultat après quelques heures de travail !

ATTENTION CES CONSEILS S’ADRESSENT A DES MECANICIENS AYANT

CONNAISSANCE DE REGLES DE L’ART DE LA MECANIQUE ET AVERTIS A

L’INTERVENTION SUR DES SYSTEMES DE SECURITE.

EN CAS DE DOUTES CONSULTER UN MECANICIEN PROFESSIONNEL ET EFFECTUER

VOS 1ER

ESSAIS A VITESSE MODEREE POUR VOTRE SECURITE ET CELLE D’AUTRUI.

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En cette fin de week end, si on faisait un break… Oui les voitures break ont toujours eu leurs adeptes, leurs clients qu’ils soient ou non d’ailleurs, père de famille ou VRP ( comme on le disait du temps des 404 break ) mais la clientèle est toujours là. Aussi aujourd’hui, nous avons fait le choix de vous proposer une rareté qui marie luxe et praticité.

Voici donc une très rare Lancia Théma 8.32 SW de 1993 avec moins de 1.000 km au compteur. Une rareté car il y a du y en avoir une ou deux de construites au début des années 90.

Pour rappel, cette Lancia principalement produite en berline, est motorisée par un moteur 3.0 L V8 Ferrari issu de la 308. Il est ici installé transversalement à l’avant et délivre quelques 215 chevaux dans un bruit enchanteur. Cette Théma 8.32 était était lors de sa sortie une des plus puissantes tractions du marché. Cette 8.32 était annoncée pour une Vmax de l’ordre de 240 km/h et le 0 à 100 était abattu en 6.8 secondes. Cette Théma qui est une phase 2 doit être très probablement équipée du pot catalytique, ce qui lui faisait perdre 10 chevaux et quelques kilomètres/heure en Vmax.

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Une très belle auto de 1993 pour laquelle il faudra néanmoins prévoir un vrai budget entretien car pour une bonne partie des interventions mécaniques il faut descendre le moteur Ferrari !

Actu :

Avenir incertain pour Lancia, dit A. Belloni (09/02/2010)

Arnaud Belloni, le directeur général de la marque Lancia en France, présentait mardi matin la nouvelle campagne de publicité de son modèle Delta réalisée par le célèbre studio de photographie parisien, Harcourt. Il a émis quelques réserves sur l'avenir de sa marque en 2011. "En 2011, on sortira de nouveaux modèles. La seule incertitude est de savoir si nous aurons le logo Lancia ou le logo Chrysler sur nos voitures. Ça, il n'y a qu'un homme qui le sait, Sergio Marchionne [le patron de Fiat], il est à Détroit et il ne m'a pas appelé ce matin", a-t-il ainsi confié à Europe 1.

Nouvelle Yspilon :

Voici un aperçu de la troisième génération de Lancia Ypsilon, attendue pour fin 2011. La voiture est une sorte de Delta miniature et pourrait être officiellement présentée au salon de Paris, en octobre prochain.

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Cette Gazzetta est la vôtre !

Un coup de gueule, une bonne adresse, de bons conseils à faire passer, n’hésitez pas à vous exprimer !

[email protected] ou 06 88 35 87 94

Bonne route à tous !

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Documents

La Gazzetta della - Lancia Classic Club