j.f Boedec Finistere

5/12/2018 j.f Boedec Finistere - slidepdf.com

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~dltlon.LE SIGNOR

-

TouS drolts d'ad pt tion et d , lOdue'lOn r IV POUItous P ys I e s i g n o r



WLE SILENCE DE LA PENS~E COSMIQUE :

UNE CL VEA DE NOUV LLES ID~E .»

Alme MICHEL

Un exemen approfondi de dossiers tet« que celui-ct rassemblesdans Ie monde emle: donnerait son vrsl sen» au "prlncto«anthropique" actuellement envisage par tee cosmologlstes.

/I n'es: pas possible en el/8t de remonter correctement eu«conditions initis/es 8 partir de la seut« IJvolut/on terrest'8, 8moins de poser Iepostulat que la terre est une exception, ce quicontredlt Ie principe msme.

Les cosmologlstes devraient ressenttr te silence de la penseecosmtaue exectement dans Ie m'me sens qu'~/be,s posa Iecerscter« paradoxal du fond noir du ctet : comme une impossibi-IitlJ 8 expttauer, peut-~tre comme une cllJ vers de nouvelles

idlJes; on salt que /a solution fut I expansion de t'untvers.

Saint- Vincent tes Forts,

4 mars 1982

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I TRODUCTION

La premiere partie de cette ittude se compose du "document debase", c'est-a-dlre d'un catalogue general des observations dephenomenes aerospatiaux non identifies dan Ie departementdu Finistere. Compte tenu de la complexlte et de la difficulte

dans la recherche du renseignement, certains cas ne possedentpas toutes les donnees que I'on serait en droit d'attendre pourexaminer les caracterist iques statistiques de I'ensemble. Cettecarence est souvent due au fait que les apparitions sont tropeloignees dans Ie temps pour permettre un contrOle.

La seconde partie, sans pretention statist ique absolue, consti-tue I'approche descriptive du document de base, la ritalite effec-tive consideree etant I'exlstence de temoins et non eeues desOVNI. Les schemas comparatlfs sont donnee a titre d'illustra-tion permettant ainsi de mieux salslr la complexlte dialectique

du phenomane et son apparente homogeneite.Une annexe composlte d'opinions formul8es ritcemment parquelques scientifiques interesses par Ie probteme actualise laplupart des voles objectives possibles dans la poursulte de cegenre d'etudes. Quelques-unes de ces opinions sont extraitesde correspondances personnelles.

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CATALOGU GE ERAL

RVATIO 5

A 05PATIAUX

DE TIFIE5E FI I T A

D 50

DE PHE OM

NODA

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"Nous sommes en 1920, Ie petit Oidailler a 13ans et demi et

circule rue Traverse ~ Brest. Le temps est tres beau, et Ie ciel estclair car nous sommes en juil let ou en aout. L'att itude et Iegested'une personne arrivant dans sa direction et montrant Ie cielle

firent apercevoir, ~ une altitude tres elevee mais impossible ~determiner, une enorme boule rouge, d'un rouge de soleil cou-chant d'ete, mais d'une grandeur deux ou trois fois superteure,

sedepla~ant rapidement dans Iesens de la rue et en direction dusud. Cette boule est suivie ~faible distance par une masse ayantla forme d'un obus et une largeur sensiblement inferieure audiametre de la boule. Alors que la boule est d'un rouge feu, laforme qui suit est d'un noir anthracite. Ses contours sont nets,sauf a I'arriere OU i ls paraissent un peu nous. L'observation a etetres breve: 5 a 8 secondes. Les personnes presentes se rassem-

blent et commentent I'incident. L'une d'elles, un marin peut-

Atre, declare que ce doit Atre un bol ide qui va aller cnotr dans IeGolfe de Gascogne. L'impression ressentie est done qu'it s 'agitbien d'un objet evoluant a haute altitude."

SOURCE:

ENouETE DE M. PIERRE GESTIN DE BREST

D'apr6s "PhiHtomenes Spa"aux", bulletin du Groul» d 'Etudes des Pheno-

menes Aeriens. PARIS" n o 24, iu in 1970. page 8,

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"Dans tacampagne pres de Quimper, un promeneur, au crepus-

cute. Ie ciel est serem, les 6toiles brillent. Soudain, un objet'once dans Ie ciel et s'immobilise; il est tres tumlneux et a la

forme d'un disque. BientOt, un second disque initial, mals moinsgros, vrant s'immobiliser derriere Ie premier: un trolsteme objet,encore plus petit. vient se placer derriere Ie second, Mais cedernter objet insolite passe devant les deux aut res Aune vitesse

tres rapide, seton une trajectoire semi-circulaire, puis ildlsparalt.

A son tour, Ie second depasse Ie premier et, suivant la mAmetrajectoire, disparait a son tour. A ce moment, Ie plus gros destrois demarre et suit Ie mArne chemin."

SOURCE:

Commission N'tion Ie de Recherch s - Ouimpef.

T mOignege ,ecuelll," J'occas/on au Symposium de 1973

- pub"~ dan 'Ouest-France" p r Guy BarbfHior. 23 '~II'i(Jr 1973

JUIL ET 1944- SECONOE GUERRE ONOIA EBREST

"En juillet 1944,A Brest, deux ofliciers du 175·Regiment d'tnfan-terie (2~ division) observent un enorme objet rectangulaire quisurvole la vil le.

L'OVNt se d6pla~ait Ie long de ta IIgne de front et, a un momentdonne, ca corps parfaitement sitencieux est passe devant lalun~, la masquant compll~tement."

SOURCE:

Miche180uge n , S08EPS, Srux 1 / $

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AOUT 1951 - HAMEAU DE KERVERRIEN,R GION SAINT-R NAN, NORD-FINIST~RE

Monsieur Rene Talarmain, cultivateur au hameau de Kerverrien,regagnalt son domicile lorsqu'iI apercut, a a peu pres 500 metresu-dessus de lui, un "objet en forme de bassine renversee a fond

ombe, n'emettant aucun bruit, stanonnant en tournant surlul-merne assez rapidement."

SOURCE:

Jean- YV(JsNicol s, enqu6 eor, 8res'.

ERCREDI 29 SEPTEMBRE 1954A DeDA L'ABER-WRAC'H

"Un objet turnineux a ete observe ce mercredi 29 septembre aLand6da L'Aber-Wrac'h: i l a ete apercu dans un vaste perimetrecomprenant plusieurs villages."

SOURCE:

'Comb t I. 1 octobr« 1954.

Le T~/egramme d Bres'" - , .. octoore 1954.

2 OCTOBRE 1954 - 12 H 30 - GOUESNACH

Observation d'un OVNI de type "Ientille bi-convexe",

SOURCE:

C t8/oguO Guy OUINCY (1)

(l "eat,log Guy OUI CV" onl ur (l coli lionu': 'OUEST·FRA ce- 1 E Tt:L GRA ME" n ce qu

& re lis run ·C.talogur,pho OCOpi6. un

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2

,Observation d'une "sphere lumineuse" au-dessus de la ville deQuimper.

SOURCE:

Catalogue Guy Quincy.

Aucune autre indication.

4 OCTOBRE 1954 - 2 H 00CALA HE (C6te -du-Nord, limite

"Les deux instituteurs de Calanhel. a une cinquantaine de kito-

metres au sud de Perros-Guirec, sortaient dans la cour deI'ecole apres avoir passe la'soiree de dimanche a bavarder. Ce

sont MM. Treussard et Le Moat. Levant les yeux au ciel. ilsapercclvent un objet lumineux se deplacant dans ta directionnord-sud. A peine rent-us decouvert qu'its en voient un second,puis un troisieme, en tout 7objets identiques suivant en quel-ques instants la m~me trajectoire.

La veille, un "dtsque lumineux" survolant Perros-Guirec a ete

apercu par des dizaines de personnes se trouvant en des lieuxdifferents.

A Megrit. a 25 kilometres au sud de Tregon, M. Henri Leherisse

sort vers 22 h de chez lui pour faire boire ses chevaux. Surprispar une lumiere insolite, illeve les yeux et apercolt, immobile en'

I·ai.r, a une Cinq.uantain~ de metres au-dessus d'un hangar, unobjet plat, lummeux, d apparence metanlque, d'un dlametrequ'il evalue a 2,50 m.

A son approche, I'objet s'8toigne rapidement mais M. leherisse

croit avoir vu des formes noires s'agiter com me en transparencedans la masse lumineuse."

SOU_RCE:

"A prooo« de soucouoe« votentes",Aime Michel.

P. 175. chap. III - couectton "Presence Planete'·· Octobre 1967.

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"Un marchand de blere a observe, durant 10 minutes. les evolu-

tions d'une soucoupe volante au-dessus de Concarneau.

Affectant la forme de champignons, cas englns lumineux

etaient prolonges d'une sorte de queue vlvement klairee.

L'un des deux disques restalt Immobile tandls que I'autre evo-

luait a proximite.

Les deux objets s'eloignerent ensuite apres avoir lance un trait

lumineux qui ressemblait a une fusee".

SOURCE:

Commlu,on C.I.E.O. ·27, rue E. DoI.t Bondy (S.,,,.).

O'apr6s /as coupures de ptesse de I' 'POque • Association aUlourd'hui

dlsp.ru •.

VOIr auss; : "Oue,t-France", 11 actobre 1954.

5 OCTO

"Le 5 octobre, vers 4 h00 du matin, M. Pierre Lucas. ouvrier

boulanger a Loctudy, qui etait occupe a puiser de I'eau dans lacour de la boulangerle, apercut soudain, • quelques metres delui, un engin circulaire de 2,50 m de diametre pose au sol. I:ber-

lue, if en vit sortir un Atre mesurant environ 1.20m de haut qui

s'approcha et lui toucha I'epaule en articulant des parolesincomprehensibles.

L'ouvrier boulanger reussit a garder son sang-froid et rentra

dans Ie fournll ou "l'tnconnu" Ie suivit... A la lumiere, M, Lucasput devisager I'etrange visiteur. II avait Ie visage ovale, couvert

de poils sombres et, detail qui frappa Ie temoin, des yeuxsncrmes. "de la grosseur d'un ceuf de pigeon".

Le jeune homme appela vivement son patron mais, aussitOt,I'humanoide battit en retralte et reintegra son astronef quidecolla sans retard.

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orsque Ie patron d M. Lucas, attire par rnva,I 'engin s'etalt enfui.

Le m~me 5 octobre 1954, vers 15 h 45, soit pr s de 12heuresapres I'incident de t.octucy, dans les COtes-du-Nord, un jeunecultivateur vit se poser dans ta cour de sa ferme un appareildiscoidal de faible d~menslon. Par une sorte de "hublot", il

entrevit deux formes humaines, immobiles, de la taille d'unenfant.

L'obscurtte ne lui permit pas de distinguer I'aspect precis de ces~tres,

L'appareil ne resta d'ait leurs que quelques instants et d~coJla,"

SOURCE

"Black'out sur les oucoupes volante ",

Jimmy G/eu - ~dilions FleuvB Notr, 1956-

Vo r UUI "Ou st·Pranc '. 7 octobr 1954.

NUIT DU 6 AU 7 OeTOBRE 1954P OZEVET, AU LARGE

OIAumilieu de la nun du 6 au 7 octobre 1954, plusieurs bateauxde pecheurs croisaient au large de Plo2evet. lis virent dans Ieciel, cOte de la terre, "une tache lumineuse de eouleur orangeentouree de tumee dense", O'abord immobile, elle traversa rapi-dement I'horizon et disparut vers Ie sud-est.

A Plozevet m~me, une famille de poissonniers observa Ie memespectacle.

L'objet, dirent-ils, descendit tres bas, jusqu'~ peut-etre unequmzatns de metres du sol avant de dlsperattre."

SOURCE:

Aime Michel, 'Lueurs sur I $ soucoupes votsnt« ...

11 OCTOBRE 1954 - DE NUIT - ELLIANT

Observation d'un "objet sphsrlque au sol",

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t 10 ue Guy Qu ncy.

9 I m nt CIt dans Ie Cat '09ue J cques Valll le (U.S,A.)

VE DREDl15 OCTOBRE 1954EURE NO PR~CISEE - FOUESNANT

"Monsieur Rene Le Viol a vu surgir, derriere un rideau d'arbres,un engin lurnineux rougeatre ressemblant a une assiette

r nversee.

A pine a-t-elle disparu en direction de la mer qu'un autre objet.dentique au premier, surgit au mAme endroit et dlsparait sur la

mltme trajeetoire."

DUReE:

Ouest-France' at "L.T416grsmme d Bres,", 17octoble 1954.

'La Croix", 77 octobre 1954.C ta/ogue Guy Quincy.

21 OCTOB E 1954 - 8 H 00 - BREST

Observation d'un OV I, type "Ienti lle bi-convexe turnlneuse".

SOURCE:

Cat logue Guy QUincy

Aucune suu« Ind c tion.

Cas cil~ d ns I.atalogue Jacque V 116e.

5 DEC MBRE 1957 - 7 H 05 - QUIMERC'H

Observation d'un OVNI de type "sph~re jaune d'or".

SOURCE:

Cala/ogu Guy Quincy.

Aucuna autre IndlC uon.

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1960 (DATE PROBABLE) - 2 H 00ENTRE BREST ET ESNEVEN

"II Y a 8 ans environ. au debut de I'ete, Mme X... rentralt a piedchez elle, vers 2 haures du matin, A "Le Drennec", sur la natio-nate 788, entre Brest et Lesneven.

Elle apercon, .sur la route, venant a sa rencontre, quatre petites1or~es humaines de 0,80m it' ,00 m de haut, se tenant par lamain.

~me X...pense a des enfantset continue d'avancer. Puis,l'allure

b.,zarre de ces .'o~mes commence a I'intriguer et elle pense a dessinges ..E lle dlstmgue bientOt I'habit brillant de "plastique" etapercott leurs casques tres bril lants.

Mme X... qui est instrUite at normalement peureuse s'a1101edevant eet insolite spectacle et rebrousse chemin.

Les "nains" quittent la route pour entrer dans un champ. mais~me x .. . encore sous l'emcttcn. n'a pas pu observer de myste-neux objet celeste."

SOURCE:

CommlJn;qU8 par M. £raud.

LOtN. p. 23 N 61 93 bis, "Contact lact9urs", mai 1968.

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0.80I! 1

COAD Y

n avril 1960, M.Armand Leberou, agriculteur en Kerbris a eave(10 km de Riec-sur-Belon), clrculalt a velomoteur entre la ville

de Scaer et Ie hameau de Coadry. II se rendait au domicile d'unmi connu en Pologne pendant la seconde guerre mondiale.

Son vetomoteur tombs subitement en oenn« ...

M. Leberou inspecta minutieusement son reservoir et iI restande I'essence, du moins suffisamment pour 'aire fonctionnerI'engin. IIcommence alors a demonter la bougie lorsqu'il enten-dit un rire derriere lui. En se retournant, iIapercut un homme qUIse tenait debout sur Ie talus et qui s'adressa a lui:"Os n'est pas la peine de chercher la panne". L'lnconnu invitaM. Leberou a Ie suivre dans Ie champ voisin.

A 60metres de ta, un objet ovoide reposait au sol, sur troistrepieds. II ressemblait a du metal poli:"l'engin etai t en acler, poursuivit M.leberou, il mesurait pres de6 metres de dlametre".

Apres une breve discussion, I'etranger invita notre homme agrimper dans I'engin par une petite echelle visible sous unerangee de "hublots" situes a la base de I'objet.

"If y avalt des sieges encastres, des ceintures, des manettes, unecarte (ie n'ai pas pu distinguer laquelle). des cadrans et uneclairage interne diffuse par des lampes style "neon". Cettelumlere etalt de couleur blanche. Je suis reste environ20 minutes dans J'engin. Le personnage tourna un des bouton.du cadran qui devint rouge. Puis il se baissa et prit de ta maindroite Ie tissu metaltiqua qui recouvrait Iefond de la soucoupe.Une fois Ie contact mis, les billes se sont mises a tourner surle"plateau rnaqnetique", dans Ie sens des aiguilles d'une montre.Comme je I'indique sur Ie croquis, ces billes etaient separeespar un certain nombre de cloisons que je n'ai pu denombrer.Puis "etranger m'expliqua patiemment Ie fonctionnementmscamque d e c eu e o te c« ; en precisant qu'une autre, identique,

se trouvait au-dessus de nous ...Puis i l m'indiqua qu'l l existait une antenne encastree horizonta-

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lement .au-dessus de I'objet. Si je n'ai pu voir c tt ntenne, 1'altoutetols remarqua Ie cache metallique qui la prot~eait: II yavait deux orifices de chaque cOte.

Le personnage m'expliqua ensuite que Ie tissu de protectionatait destine a ernpecher les etincelles d'atteindre la cabine ...

" etait habille d'une veste et d'un pantalon, de morphologieeuropeenns."

SOURCE:

Enqu'te pe(SOnntlll&.

J·F'.n~J$ BofKJec.

LE CAS DE CONTACT DE SCAER - AVRIL 1960AFFAIRE LEBEROU

Croquis rilalisil par Ie temoin (22 dscemora 1977)

Informations manuscrites sous Ie dessin :

"Ouand il tournait Ie bouton, Ie cadran devenait rouge et a cemoment-ta, ,j t se balssa et prit de la main droite Ie tissu quirecouvrait les billes du propulseur qui recouvrait Ie fond de lasoucoupe. Une fois Ie contact mis, les billes se sont mises

atourner tres vite sur Ie plateau magnetique".

A. Leberou

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. )

M. Chiquello, gendarme de la marine, en conge de maladie,vait 42 ans en 1961 et habitait en famille au hameau de IBtMerit

n Loqueffret. Ce dernier vil lage se situe auvclslnaqe des Montsd'Arree, a 200 metres d'alt itude et a quelques 5 km a vol d'oiseaudu plan d'eau de Brennilis, sur les bords duquel a ete construitela centrale nucleaire.

Un sorr defevrier vers 22 h 10,M. Chiquello. quittant Ie bourg deLoqueffret, se dirigeait vers Ie hameau de Belerit. La nuit etaitopaque, on n'apercevalt aucune Iumlers dans Ie ciel. " regnaitun silence complet : c'est-a-dire qu'il n'y avait pas de vent.

Un sifflement semblable a celui qui aurait pu resutter d'un bras-sage de I'air surpnt Ie temoin et Ie mit lmmedlatement en etat

d'observation, I'immobilisant a la hauteur de ladernlere matsonappartement a M. Lachateur, epicier. Tout a coup, Ie secteurs'est soudainement illumine et un objet est apparu sur la droitede I'observateur, a environ 300 metres de distance. a une alti-tude de 100 a 200 metres, et s'est immobilise. apres un legerflottement en fin de course. Cet objet etatt d'apparence crrcu-laire et presentait un dtametre de 20 a 30 metres. Sa partieinterleure avait I'aspect d'un disque plat au centre duquel onapercevait un cercte lumineux dont la tumiere, blanche vlve,talsait penser a celie d'un flash. AU-dessus. une coupole assez

rentlee, lumineuse et transparente, laissait apparaitre, sur lagauche, des points ou marques sombres, qui auraient pu 6treles silhouettes d'appareils quelconques. L'observation de M.Chiquello fut tres breve et ne dura que pendant Ie temps (envi- ~

ron s secoboes) ou I'objet resta eclalre, mais Ie temoln est ungendarme professionnellement accoutume a observer et noterrapidement. Et parmi les differents croquis que ['ai executes surses indications verbales -car il ne se sentait pas doue pour Iedessin-, il a ete possible de choisir celui que je vous soumets etauquel it a donne sa totale adhesion. M. Chiquello ne croit pas

aux "soucoupes volantes" qui viendraient d'un autre monde etne s'y interesse pas davantage. IIcroit simplement avoir observe

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un ppa~eil seer t invent p r un pu; sane mondi I , Sonobservat!on est absolumenf sinc6re et d nuee de toutespeculation.

SOURCE:

O'Bpr9S une enquIre de M . Pierre Gestin, Bresl.

Extra,' d9S 'Phenomsnes SplJtiaux", reVU9du Groupement d'~ludes des Ph6-

nomen s Alr;ens". p. 26 et 27. ,.,0 36, fum 1973. .

L'OBJET DE LOOUEFFRET

O'apr8S II J revue du GEPA "PhiJnomenes SplJtiaux"

Dessin : Pierre GeSltn

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15H 00 t 16 00

I • Pen. 59ans. actuellement boulanger a Brest, joult d'unerlaite sante. IIest d'une amabili te parfaite. Mme Pen, du m~me, est, depuis quelques annees, a demi paralysee des jambes.

caractere reserve, elle s'anime quand elle rapp lie res clr-constances de I'observation.

M. Gilles Pen. 23 ans, parle peu mars dlt bien ce qu'il a vu.

C' tait un apres-mldl ensoletne du mois d'aout, entre 15 heurest 16 heures. La mer etait tres calme, Ouessant atait tres visible al 'nortzon. Mme Pen se trouvait sur les marches exterieures de sap tlte matson. situee a80 metres de r a dune. Lavue sur tamer estpartalte sur un secteur de55°et, seulle gros rocher dans I'axe dela bale coupe un peu I'horizon. Tout a coup elle s'ecrie:-; Oh ! Regardez ! Venez vite L."

Son mari et son fils, qUI sont a quelques metres dans Ie jardindevant la maison, se preclpitent sur les marches d'entree pourmieux voir et apercoivent egalement une masse sombre -dec rite differemment par les trois personnes- qui traverse Ie

champ de vision en trente secondes et ami-distanced'Ouessant.

Mme Pen dit que cela semblait glisser sur la mer comme unechose plate.

M. Pen ne peut se prononcer sur la forme mais, pour lui egale-

ment, aucun doute n'est possible: c'est bien une chose mate-rielle, sombre, qui file devant eux a une vitess« fol/e sans traceapparente d'ecurne.

Ami-distance d'Ouessant, cela fait environ 10 km. La corde du

secteur mesure egalement 10km environ. Ces 10km ont ateparcourus en 30secondes. soit a une vitesse de 1200 km/heure.

M6me en supposant que I'observation ait cure une minute,l'objet se serait encore deplace a 600 km/heure.

Gilles, Ie fils, a garde une impression analogue et compare

toujours la forme de I'objet a ceue d'un aileron de squats. Lestemoins pensent que I'obje ne touchait pas l'eau puisqu'U ne

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la it aucun sillage, et ii,n'ont entendu aucun bruit mals ladistance ~tait trop grande. '

*

CrOQuis de robjet realise par Gilles Pen, en pr6sence de . PI Ire Gestin,enqu6teur du Groupe d'£tudes deS Ph6nom6nes Aenens (GEPA).

7 7 7 7 7 77 7 7I ~7 777 7 77 7 77

SOURCE:

- "Phenomenes Spat.8ux", bul let in d'jnformatioo du G.E.P A •69, rue de 'aTombe-ISsoire· 75014 Par s.

page 1e, 19,20,21, num ro 32, ,uin 1972.

O'apres une eoqu6te de Mons eur Pjerre Gestin de Brest,

SOURCE ORIGINALE:Monsieor Gerard 8aredet, 75, av. Victor-Hugo. 29200 Br st.

Confirmal"on d M. Baradal par oorrespondanc personnel le.

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L'artlcle de LUCien G~goude dans "Le Teli~gramme de Brest".

UNE SOUCOUPE A BOLAZEC ?

Un jeune menuisier relate I'etrange aventure qu'il vient d'avoirn rase campagne, a 4h 00 du matin,

I:trange aventure que celle dont M. Eugene Coquil, 23ans,

menuisier, demeurant a Kermadien en Bolazec, se souviendralongtemps.

Dans la nuit de samedi a dimanche, il circulait au volant d'une"Oauphine" sur la route Morlaix-Callac, Vers 4 heures du matin,

alors qu'tl approchait du carretour Bolazec-Plougras, au lieu-dit"Ty-Guen", il remarqua, dans la "montaqne't.tes faisceaux lumi-neux de ce qu'il pensa etre un tracteur. Seul un tel vehicule

pouvait, en eHet , acceder a de tels lieux. Mais a 4 heures du

matin, que pouvait-il y faire?

"C'est la question que je me suis tout de suite posee, dit M.Coquil, que nous avons rencontre, hier matin, dans la fermepaternelle, J'ai voulu en avoir Iecceur net. pensant qu'un cult iva-tsur avait ete victime d'un accident. et j'ai arrete ma voiture enbordure de la route, pres de Ty-Guen-Vian, a quelques cen-taines de metres du carrefour, en direction de Bolazec",

M. Coquil, qui connait parfaitement les lieux, emprunta alorsune brecne pour aller a travers champs jusqu'au "tracteur".

ULES PHARES ~TAIENT TROP HAUTS .r

"J'avais a peine fait quelques dizaines de metres que je "Ie" visarriver dans ma direction, Quelque chose me semblait etrange :je n'entenda;s pas de bruit de moteur et les lumieres des pharesme semblaient tres hautes par rapport au niveau du sol. Je

n'stals pas au bout de ma surprise puisque quelques instantsapres, "il" passait au-dessus du talus. a moins de 10metres demoi et a 4 ou 5metres d'altitude. Je me rendis compte atorsqu''' il '' ne routatt pas mais volait en "rase-mottes", sans Iemoin-

dre bruit".Cette tots, c'en etait trop, et M. Coquil, pris de panique, revint augalop vers la "Dauphine" qu'il avait talssee au bord de la route.

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c U-DE VO l

"Je dois avouer, dit-il, que j'ai eu peur. tres peur. Je n'avais plusqu'une Idee: quitter les lieux au plus vite. Mals "l'oblet volant"me suivait et quand j'ai ouvert la portiere de la voiture, II etaitau-dessus de la "dauphine", effectuant un surplace parfait aquelques metres d'altitude seulement."

Le temps de monter dans la voiture et rengin se posait. endouceur, a quelques metres de la"Dauphine", sur un petit terre-plein, de I'autre cOte de la route.

L'occasion atait trop belle pour M. Coquil de voir de tres pres cequ'il est convenu d'appeler une "soucoupe volante" et peut-etrerneme de faire un brin de conversation avec des 6tres venus d'unautre monde.

"DES HUBlOTS"

"Je n'en ai pas eu Iecourage, dit-il, avec un petit air de culpabi-lite. Je voulais partir au plus vite et. dans ma precipitation, j'ai

care plusieurs fols mon moteur. J'ai toute1ois eu Ie temps dedetaluer la silhouette de I'engin qui m'a semble aussi longqu'une voiture mais beaucoup plus large. II etait eclaire exte-neurement de quatre cotonnes lumineuses ressemblant auxfeux arrtere d'une "404", mais leur lumiere etait identique acelles des enseignes lumineuses au n60n".

Nous avons demande a M. Coquil si I'engin lui avait semblehabite:"Tres slncerernent, dlt-n. je ne puis repondre a cette questionpuisque je n'ai vu aucune silhouette a I'inteneur. Je suis presque

certain, par contre, qu'il y avait des hublots sur Ie cOte.

t.'interesse nous a raconte son aventure, en detail, devant sesfreres et tout Ie village rassembte. Pour lui, il n'y avait pas deprobleme : ce n'etalt pas une hallucination. II est certain d'avoirvu, et de tres pres, un engin comme ceux dont on parle dans lesromans de science-fiction. Jamais auparavant, il n'avait apportela moindre attention aux histoires de "soucoupes volantes" et,de l'avis general, c'est un gar~on equilibre, seneux et extreme-ment sobre. Alors ...

Nbus I'avons conduit sur place, pour une sorte de reconstitu-tion, et I'etat des lieux correspondait partaitement a ce qu'il nousavatt decrit quelques instants auparavant. Sans hesitation, il

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ou montr I' ndro t OU I valt arr t vo tur • I d rection'ou v nait I' ngin, un vitesse qu'll esttmalt tre de 20k 10m

tr Iheure. et Ie terre-plein ou iI s'etait po·sa.

uDommage, dit-il, avant de nous quitter, que j'aie ete saul. S'il yvait eu quelqu'un avec mol, nous en aurions eu Ie cceur net, carnous serions alles "te" toucher. Mais Ie n'al pas ose et croyez

bien que je Ie regrette".

Eugene coqult

SOURCES:

"Le Tl1llgramme de Brest", 181anvier 1966.

EnquIre de la brigade de gendarmerie de Ouimper.

Contre-enqu6te sur lelerratn. en 1977,de M,Claude Poner. responssb/edu

GEPAN au Centre NatIonal d'i tudes Spatts/es de Toulouse.

A propos de "enqu~fe men66 par /es experts a u C.N.E.S. sur "~affaire de

Bo/azec. leur conclusion olftclelle te 1 8 SUIV$nte:

"Compte tenu d I ents que nous avons recu Ill1saupres de roese ateur

sur ies Ireux, nous avons la conviction qu'un p nomene materiel 5t 8 t'ori-

glne de I'observation, et constatons qu Is descrlpt;on d ce p enomene

s'appar nt cene d' ne macntne volante dont ta prov nance. les modes de

sust ntatlon et/ou d propulsion sont totalement etrangers l nos

connalssances".

_ L'mCld nt d Bolazec a element ete annonc par "Renn s-Bretagne'

dans son em ss on regionale de 12h30, .e 19janvier 1966. et our m6me

prasent aux ctualues televls6e$ r6glonal s.

_ ccntre-enaeetes sur Ie terrain par Ren et FranCine ouere.

- Enquete de Pierre G sun (GEPA - Brest),

27



- _\

( ,\. . . .

10 tre.

)0 tr..

tlRQ JNCU LT \

D'apres Ie croquls de M. J. Tourmen dans "Ph6nomenes Spatiaux"no 7 - Janvier 1966. .

28

CliO

P r Rene Fouere, ancien president du Groupement d'l:tudesdes Phenomenes Aenens (Paris):

"O'apras ce qui avait ete dit a M. Tourmen, en I'absence d'Eu-ane Coquil, il semblait que I'objet n'eut vraiment pas atterridans Ie second tempsrnais fOt reste immobile tres pres du sol.Nous avons egalement interroge M.Coquil sur ce point. II nous

a dit:"_ Oe toutes tacons, si I"engin n'a pas atterri, il est reste immo-bile tres pres du sol a mon avis et, ames yeux, il etait a terre."

M. Eugene Coquil n'a pas, nous a-t-il dit. constate d'anomaliedans Ie fonctionnement du moteur ou des phares de sa volture,meis Ie demarrage deson vehicule fut penible. Nous ne pensonspas qu'il tasse iCi allusion a ses propres fausses manoauvresdues a son trouble, mais a des difficultes tenant a I'appareillagelul-meme".

Plougras

o r l a i x

C al l ac

Bolazec

29



NUIT DU 27 AU 28 AOl/T 1968 - 0 H 00 - LOCTUDY

"Je certifie avoir asslste. dans la nuit du 27 au 28 aout 1968, auspectacle suivant:

Une apparente "etoile", d'une brillance particullers, que jeremarquais chaque soir depuis plusieurs [ours -se trouvant endirection est-sud-est ligne larvor-Loctudy assez basse surI'horizon- se deptacart d'une tacon anormale et irreguliere.

Un certain soir, devant temoins, elle quittait la Iigne d'horizon ...

Or, cette nuit du 27 au 28aout 1968, aux environs de minuit,cette apparente etoile, toujours la m6me, semblait-il, tandis queje l'observais depurs 5 a 10minutes, bougeant it peine, se mit Adkrlre des courbes assez Imposante dans Ie ctel... et vlnt droitvera mol comme I elle avail percu mon observation ...

II y avait la lumiere de ma porte ouverte ... et Ie feu de rnacigarette ...

...Elle arrivait A une vitesse samblant a la fois voulue et hesi-tante ... s'arretant chaque fois que je rentrais pour reprendre sacourse a ma vue...

D'une distance Inltiale indetermtnee. je pus evaluer it environ500 m tres de hauteur sa position lors de mon depart ... d u a cemoment a une certaine surprise at crainte comprehensible ...

J'ai galement, Ie mois d'aout 1967, fait deposition A ta gendar-

merie de Chatillon-Colligny (Loiret) de semblables presencesavant que la presse en fasse ses gros titres".

Jean Le GuennecArtiste peintre

Ty-Bras, Kerizur, lARVOR-LOCTUOY

*

23 EPTEMBRE 1968 - 21 H - LE~CONI

C olr-ta, M.Tisserand se trouvait sur taplage, face au specta-cl de l'ocean. Le vent soufflait de la mer, du sud done, Ie ciel

tait traverse de legers nuages et, vers "est. scintillaient destoiles dans un ciel assez degage. M. Tisserand apercolt sou-ain sur sa gauche (vers Ie sud-est) une "etoile" qui lui parait

vancsr dans sa direction. II pense a un satellite lorsqu'iI remar-ue une seconde "etoile" paraissant suivre lapremiere dans sonillage. II observe alors Ie phenomene plus attentivement.

Selon sss estimations, ces "~tolles" etaient blanches. magni-tude I environ. leur eclat etait scintillant mais d'intensiteconstante. Lorsqu'elles arriverent au plus pres, M.Tisserand putconstater qu'elles avaient conserve entre lies une distanceconstante (1degre angutaire A ce moment) et leur hauteurangulalre etait environ de 75 degr S. II lui apparut que I'altitudedevait tre inferieure a 1000 metres, par reference aux nuages

sous lesquels elles evoluatent, et elles se deplacatent dans unsilence total (3 1000 metres, la distance entre les 2"etoltes"seralt de 17m tres).

Apres avoir defile devant M. Tisserand,les "etoiles" sedirigerantvers I'ouest et arnorcerent une large courbe a gauche, au large

de Guilvinec. II aut a ce moment l'impression que les 2 pointss'etarent rapproches. Dans la portion du 1/2 tour Ie plus aI'ouest, les "etoiles" devinrent franchement oranqees et semirent 3 clignoter.

Ach vant leur derm-tour, leur aspect redevint blanc et ellesevoluaient a ce moment vers I'est, face a lui et plus au large. es2 "etolles' se suivaient toujours, et 3 la marne distance, semble-t- il. comme si elles faisaient partie d'una m· me structure.

Continuant leur route, elles vlrerent a gauche, approximative-ment au large de Concarneau et reprirent leur route vers I'ouest.

Elles passerent devant M. Tisserand ayant ferme la oucte (de30 km environ d'est en ouest) an 2 minutes environ.

M. Tisserand s'attendait a les voir amorcer une seconde boucle,

mais elles filerent vers I'ouest parauetement a la cote. I ur clats'estompa at elles dtsparurent a sa vue.

SOURCE : R cuoil/i par M. Tyrod .• LDLN p. 7. n 99 bis. 0;' 969

30 31



ID~CE BRE 1969 - Centre Regional de la 8vlga-tlon Aerienne Ouest - Service du ContrOle du Tra-flc Aerien - PLOUGASTEL-DAOULASRADAR DE BRETAGNE

"En 1969, alors qu'on surveillait un trafic vers I'Espagne, un"PLOT" lumineux est soudain apparu sur recran radar et iI s'estdirige, cap au sud, IJ une vuesse SIX IJ . sept tois suoerteure a celiedu son ...

"PUIS II a vire et a disparu ..."

inguy semble tout it fait convaincu qu'il ne s'agissait pasd'un parasite",

Une autre fois, deux pirotes auraient apercu, quasl-sirnuttane-ment, "un objet tres large, avec une flamme bleue. suivie d'unetrainee rouge."

SOURCE:

M. coueo et Mlnguy,

Ing nleurs Isd8f1stes au Red r de Br6lagne. Plouge tel·Daouias.

HIVER 1970 - 20 H - LOTHEY (7 km de Ch teaulln)

Les evenernents qui suivent se sont deroules pres du village deLothey, a environ 7 km de ChAteaulin, dans Iecourant de I'hiver

1970, Les temoins ne se rappellent plus de la date exacte.me Cauguan, dornicluee au bourg, se preparait a fermer une

fenetre situee au ~ etaqe de sa malson. II etalt approximative-m nt 20 heures. Son attention fut attire par un objet lumineuxqui stationnait, immobile. au-dessus d'une ferme situee A300 metres du bourg. Cet objet avait la forme allongee d'uncigare. Sa couleur, rouge-vif, rappetait celie du metal en fusion.Sa longueur pouvait 'tr assimttee a "ensemble des bAtim ntsde fa ferme au-dessus de laquelle il stationnait sans emettre Iemol ndre bru it.

S"inquietant de Ia pr~sence de cet objet, Mme Cauguan appellason fils Jean-Claude, 18ans. Ce'ui-ci accourut aussitOt etconstata la presence du phenornena. Mme Cauguan descendit it

32

c mom nt I' tag nf n ur. Jan-Claud ,intrigu • d cld d

r t r a la fen6tre pour detail ler la "iurniere".

on altitude tait gale environ deux tols la hauteur des bAti-m nts de la ferme: iI compara sa grosseur a 1 /3 de la hauteur duh ngar. Le "cigare" devait, selon toute vraisemblance. mesureru minimum 80 metres. II ne bougeait absolument pas et se

t cnalt nettement sur Ie ciel nuageux.

Cela dura pres de 5minutes au terme desquelles Jean-Claude'apercut que la taille de I·objet diminuait sensiblement. ':Onurait dit que les deux extremitss de roblet se rapproohaientd ns un mouvement synchronise. Pas de changement de gros-eur ni de couleur. Ni scintillation, ni bruiL. Seule la longueurdiminuait. BientOt, Ie "cigarell n'etait plus qu'une petite barrelumineuse verticale puis ... plus nen. Le pnenomene avait dis-

paru, comme s'il s' tait volatlltse. t cette phase avait dU,re30secondes. Nous avons dernande ~ Jean-Claude si cet objetavait une apparence materielle; il se contenta d'ajouter :"Je n'al

jamais vu une chose paretne".

Quant a ta "phase de dlsparitlon", elle laisse perplexe : I 'objeta-t-il effectue un mouvement spiro-lateral. dormant ainsi uneimpression de "diminution de taille"? S'est-il ensuite eloigne

progressivement?

Pour Jean-Otaude, aucun doute: les ext remit s rap pro-

chaient lentement, sans que l'objet ne se deplace.

SOURCE:Enqu&te de Christian S6v re, J8an·Fran~ois Boftdec. Christi n Choaler,

VERS LE 23 F~VRIER 1970 - 17 H 10 LOCA ESFOUESNANT

"De ma tenetre, je surveillais it 17 h 10 retat du ciel avant de

sortir, ciel boucne, couleur gris souris. J'aj vu alors une sorted'etoit tres brlllante, de la grosseur d'une etoile de mer, evo-

luant dans Ie clel.

33



II df)pla~ait dans tou tes les direct ons. Imaginez une mainqui ttent une lampe (Jlectrique et qui dlrige Ie faisceau de lumillre

dans tous les sens. Mais ce faisceau ressemblait a une sorted'aster tr brillant. L'objet, peut-stre a 1000 metres, s'arr6taitnet parlois au cours de ses evolutions. Sa grosseur pouvait Alrecelie d'une araign6e de mer, un couvercle bombs pouvanl aussiressembler a la carapace. Je n'ai pas vu de hublot ni rien quipuisse constituer une charpente.

J'ai pu observer ce phenomene une minute environ, aucun son,pas de trace dans Ie ciel, pas d'odeur. ma mere a constatecomme moi les evolutions de cette etoile. Elle fila ensuite dans ladirection de Concarneau".

I

SOURCE:

LD.t N.. JUIllet 1971.

d& Mile O.M.. de Condit. r&Cueilli par M. Cresson.

26F~VRIER 1970 - HEURE NON PR~CIS~E(SOIR~E) - SCAER (C6te sud de la Bretagnedepuls Fontenay-Ie-Comte jusqu'. Scalr)

"Le 26fevrier 1970,un gigantesque objet a survote lacote sud deta Bretagne, de Fontenay-Ie-Comte en passant par Nantes et Ie

Morbihan [usqu'a scaer (Finistere-Sud). A Nantes, deux gen-darmes l'observerent a 400 metres de distance. Je les al interro-ges personnellement. Cette "soucoupe' mesurait environSO metres de diametre et 120metres avec I'anneau lumineux quiI'entourait. "C'etalt enorme et presque lncrovable" ont raiouteles gendarmes. Mais il faut se rendre a I'evidence etcompter surceux qui se rendaient ala Mairie pour apporter leur obole pour lalutte centre Ie cancer; eux aussi ont signala I'engin. Celte "sou-coupe" devait 6tre observes jusqu's scaer au terme d'unecourse de pres de 200 kilometres au-dessus de laVend6e et de la

Bretagne (trajectoire sud-est/nord-est).

Enqu{Jte : J.T.

3

OURCES:

CoupurN de ptes.e '"Ouest·France". "Presse·Oclt.nH

•

lett,. m.nu.crUe personne"e de M.Je.n Tyrode qUI enqu'ta sur place 6

" p oq ue ._ Confirmation msnuscnt« du gendarme Maurice Thierry de I.Sr gadfl de

Nant. ( tltmoin).

. .

SEPTEMBRE1970 - UN 01 ANCHE - 19 H SO

MOELAN-SUR-MER

Temoins:Mme Yvette Robin, 43 ans.

Patrick Robin. 12 ans.Fran~ois Robin, 14 ans.lieu-dit "Porz" en Moelan-sur-Mer.

Les temoins se trouvaient pres de leur domicile lorsqu'unetrange objet, de la forme d'un globe lumineux jaune apparut

subitement, venant de la mer. II se dirigea tres rapidement versl'lnterieur des terres (direction nord-est) a une vitesse plusrapide que celie d'un avion a reaction, dans un silence total.

L'OVNI avait la grosseur d'une piece de 1centime tenue Iiboutde bras. II etait tres lumineux, jaune brillant. L'objet s'est eva-

noui dans une couche nuageuse au lointain.

Conditions atmosph6riques : temps clair, proximite de nuages,

lune visible.

SOURCE:

M. Christ ian Gu6guen • QUlmperl ltlMo Ian

35



"Les premieres manifestations de Kerizinen commencerent aumois d'octobre 1970. Le 8 decembre de cette mAme annes, lesfideles etaient nombreux sur la lande. Le ciel etait couvert

quand, tout it coup, un cri a eclate dans la foule:u_ Regardez, ca tourneI"

Dans un ciel subitement degage, Ie solen s'est presente commevoile par un disque blanc brillant eelatant, ne laissant de visiblequ'une etroite bande circulaire d'un blanc brillant eelatant mais

non eblouissant. Derriere ce disque immobile, la bande tournelentement d'abord. puis s'accelere, reprend ensuite son allureprecedente. Soudain, des lueurs rouges, mauves, bleues entou-rent Ie solei l eependant que des ombres sil lonnent Ie disque delumtere.

Une personne s'ecrie :

- Je vols une lance !Une autre:

- Et moi une grande iJpine /

Quelques minutes plus tard, nouveau changement : tout I'en-semble est en mouvement. On a I'impression que Ie solei l est enfeu. Des vapeurs moment et descendent sur Ie disque cepen-dant que cameras et appareils photos mitraillent la scene".

SOURCES:- J-F Boedec dans "OVNI en Sr.tagne·', lditions Lanore, Paris.

- Raoul Auclair dans "KlIr ;zinen: appa,U,ons en Sretagne': £d,tions Lanor •.PaflS.

2 OCTOBRE 1971 - 19 H ENVIRONPLOUN~OUR-M~NEZJ MONTS D'ARR~E

'''Je voudrais vous demander sidans les nombreux phenomenes

que vous avez pu conslqner it existe un cas analogue a celui-ci :

2 octobre 1971, aux environs de 19heures, je me promenain voiture avec des amis dans les Monts d'Arree quand nousvons pu observer un rectangle de couleur rouge vif immobiledans Ie ciel, sur un fond de nuages gris.

Le temps de nous arn)ter un peu plus loin, te phenomene avaitdlsparu. La duree de la vision fut environ de 2 it 3 secondes, pasplus. Les contours du rectangle etalent nets, il ne s'agissait pasdu soleil percent a travers les nuages, Ie soleil etalt d'ailleurs

visible au-dessus de eette banda nuageuse, il n'y avalt pas devent.

Nous nous trouvions a ce moment-la entre Plouneour-Menez etIe lieu-dit Le Relecq. Les trois personnes qui se trouvaient avecmoi dans la voiture ont vu exactement la mArne chose, M'jnte-ressant it la question je suis sans doute plus circonspect quen'importe qui sur ce sujet. Aussi, pour cette raison, ;e vous

demanderai de chercher dans vos archives si aucun cas simi-Ialre n'a ete observe auparavant. En ce qui me concerne, je neconnais aucun phenornene naturel ressemblant it celul-la: 11taut cependant rester tres prudent",

SOURCE:

Personnel/e. TilmOlgnage de M. GilrtJrd Saradat, Brest.

PREMIERE SEMAINE DEROUTE NATIONALE QUI

"Dans Ie courant de la premiere semaine de mal 1972, rai ete Ietemoin du phenomena suivant :

II etait environ 23 heures et je quittais la ville de Quimperh~ auvolant de ma "Renault 6", Soudain, i'apercus a rna droite unobjet volant spherique qui irradiait une iumiere continue de

couleur blanche (genre neon).

Cet objet, probablement silencieux, se deplacait a la mArnevitesse que rna voiture et suivait Ie trace de la route a environ200 metres d'altitude. Son dlarnetre ne devait pas exceder 6 a7 metres. Sa grosseur, comparable a celie d'une piece de 1franctenu a bout de bras, ne varia pas.

37



s ccndutons meteorologiques eta ent favorabl s: ciel clair,to I ,sans nuage.

or que j'arrivai a Bannalec (26 kilometres de Oulmperle). I'ob-jet volant disparut completernent ... pour reapparaitre a la sortiede ta vlUe, a lameme altitude etsans changement devitesse! J'airernarque, en cours de route, que cetui-ci contournait /es vil-lages et tJvitait systematiquement las groupes demaisons : cetteattitude m'a fort etonne. '

O'autres automobilistes qui m'ont croise ont certainement ~t~temoins de ce ph~nomene, mais pas un ne s'est arr~te. A unmoment, I'objet s'est approche de moi et j'ai alors remarque la

presence de "hublots" tres lumineux sur son pourtour. Je n'aipas pu les denombrer, ce dernier s'etant subitement eloigne

pour reprendre son chemin initial. A la sortie de Rosporden, I 'disparut definitivement. L'observation avatt dure environ20 minutes; il m'avait "escorte" sur pres de 37k ilometres! Aaucun moment je ne me suls arr6M".

SOURCE:MPierre- YV8 Kerv!goret.

Professevr.

Rue de Ie Tour-d'Auvergft8 • Ou;mper.

*

23 MAl 1972 - 2 H 05 - BREST

M. Kervevan signa Ie que Ie mardi 23 mai 1972, a 2 h 05, un objetde forme et de grandeur apparente a ta lune est apparu a Brestdurant un court instant.

La lune se couchait a Paris a 2h 14, PL Ie 28 mai.

SOURCE:

L.D.L.N. p. 9," 5.Jsnvier 1973

e

L'observation suivante a eu lieu dans la premiere qulnzaine du

mOISo'aoet 1972.

II etait approximativement 14 h 45 lorsque deux ieunes vacan-ciers, MM. Zani de Quimper et e Brun de Toulouse, se delas-sant sur la plage de Beg-Meil, observerent un phenomena

aerien qui les intrigua:

Les temoins, dont la bonne foi est incontestable. preclsent queles deux OVNI composant ce phenomene evoluaient a la verti-cale du semaphore de Beg-Meil. Les conditions rneteorotoqi-

ques statent favorables a ce moment et ils purent observer e ll

toisir les deplacernents de ces objets pendant pres de 8minutes.

Les OVNI avalsnt. seton toute vraisemblance, la rnerne taille etse presentaient sous la forme de spheres non lumineuses, d'as-pect materiel. dont la couleur variait entre lie gris t Ie blanc.

Leur tail le apparente pouvait ~tre asslrrulee a celie d'une piecede 50centimes a bout de bras.

Quant a la distance separsnt les temoins de ce phsnomerie. elleest. nous Ie reconnaissons, tres difficile a evatuer. Notonscepsndant que cette apparition s'est produite a la verticale du

s maphore, a une altitude assez elevee.

C'est en suivant la trajectoire d'un avion supersonique qui evo-luait au 1010 que M. Zani s'apercut de la presence des deux"intrus". Sans penser a alerter les autres personnes se trouvant

sur lapi age ace moment-la.Ies temoins continuerent a observerscrupuleusement les deux OVNI.

Ces derniers stationnaient I'un pres de I'autre sur un plan hori-zontal, la distance qui les separalt etant egale e ll deux tots Iedlametre apparent de chacun d'eux. lis n' mettaient aucun

bruit.

Soudain, d'une tacon incomprehensible, I'un des deux objets(objet A sur Ie croquis) disparut totalement comme s'll s'tJtait

volatilistJ, pour reappafaitr6, aussr subrternent, un peu plus haut,Iila verticale de sa position initiale.

La duree de la phase de cisoarition a ete estlmee a environ30 secondes.

39



qu I'objet 'A" r apparut ~ la vertlcale de sa posit on prlml-tv, I'ob] t liB" se volatlhsa a son tour pour reapparattre lui aussila vertlcale de sa position originelle. Cette phase dura

30 econdes. Les deux objets se trouverent a nouveau run presde l'autr .Ieur distance mutuelle restant la meme qu'au debut deI'observation.

Mals des que I'objet "B" reapparut aupres du premier OVNI "A",ce dernier se "volati lise' a nouveau pour reapparaitre apres,

30secondes "d'absence", non plus a la verticale, mais a l'norl-zontale de son point de disparition, con servant la meme alti-tude. La distance "parcourue" par cet objet etait sensiblement lam~me que celie qu'il avait franchie pendant la premiere phasede ses evolutions. L'objet "B" se volatilisa a son tour et reapparutpres de "A" venu -si on peut dire- dans sa nouvelle position.

Ce manege, ces manoeuvres insolites se poursuivirent seton lesindications donnees sur Ie croquis.

Apres huit minutes d'observation, les deux OVNI stationnaientencore I 'un pres de I'autre, mais tes temoins s'apercurent qu'aulieu de disparaitre alternativement,les objets spherlques, apresun demarrage qualitte de "foudroyant" s'eloignerent a viveallure vers Ie nord, en conservant la m~me distance mutuelle.

Au cours des evolutions, les temoins tenterent de trouver uneexplication rationnelle ace qu'lls avaient vu : avion, fusee. bal-lon, phenomena meteorotoqique. Rien de tout cela ne pouvaits'appllquer a leur observation.

"Nous avons ete tres 'rappes par les evolutions de ces curieuxobjets et nous avouons que c'est la premiere fois que nous

observons un tel phenomena" ont-lts ajoute.Precisons enfin. en ce qui concerne ces "spheres", que leurscontours etaient tlous.

SOURCE:

Archive Comml$$lon Natlonale de Recherch s de Ou;mper.

Enqu6te de Christian S6vere

- Publ16dans "Philnomemes Spa"aux", p g6$ 20et 21, bulletin du G,E.P.A..

P "S, n 39, mar 1974.

40

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"Ce [our-ta, fai ete Ie temoin, ainsi que trois autres personnes,d'un phenornene qui s'est deroute tres haut dans Ie ciel, Iienvi-ron 20centimetres au-dsssus de la ligne d'horlzon.

II etait exactement 15 H 45 Iorsque I'une des personnes pre-

sentes nous fit remarquer la forme inhabituelle d'un tout petitnuage blanc qui se deplacait de la gauche vers la droite, c'est-a-dire dens te sens contretre du vent. Ce petit nuage rappelaitetrangement Iedegagement de tumee qui accompagne genera-lement I'eclatement d'un obus de D.C.A.~la couleur mise a part.

ee "nuage" terminait a pine de se desagreger dans I'atmo-sphere qu'apparaissait, un peu en dessous et a droite, une petiteboule blanc-mat immobile, qui laissait ecnapper. sans aucunectatement, un petit nuage identique au premier et qui com-rnsnca lui aussi a deriver dans Ie meme sens. 'apparition de ta

sphere immobile ne dura pas plus de deux secondes.Nous poursuivions cette observation lorsqu'un objet tres bril-lant, de forme eUiptique, traversa, un peu plus a droite, I'espaceseparant les lieux ou etaient apparus les deux nuages; semblanteffectuer un rres grand cercle, il plongea vers la mer de droite agauche. Son eclat rnetauique rappelait celui de I'aluminium.L'objet, qui ne presentalt aucune protuberance ni asperlte, nedegageait absolument aucune tumee ou nuaqe. II semblait sedeplacer a grande vitesse et n'etalt visible que sur une portion deciel que j'ai 6valuee a environ deux centimetres.

Cette observation n'a dure que 70 seconces.

La base asronavale de Lann-Blhouee. consuttse. m'a fait savoirque rien de special n'avait ete prevu ce [cur-ta. J'ai consigne lesfaits par acrit et realise un petit croquis des les minutessuivantes."

SOURCE:

T'mo gnage de M. Yves Le Moa/.

Ancien lieutenant honoralf6 d'm/anttlfltl.Archiv s Commission Nation 16 de Recherches de QUimp r.

42

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~ _ - •• A u-rE SSUS L 'HOR IZO

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\ \ S E S DU VEtT

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tUGEBA~ \ \ U AG E B AS

\ , ~

L E P O R Z O U

Le Porzou en Concarneau • 9 fevrier 1973 - 15 h 45

43 •



S E r s D ' E C O U l r N T D U " U A G E u

"Quelques faits m'ont particunerement frappe, ajoute M. e

oal:1. L'immobilite de la boule blanche d gageant Ie "nuage";

2. Une boule identique a-t-eue provoque Ie premier "nuage"?(nous n'avons pas pris I observation a temps) ;

3. Le passage fulgurant de I'objet rnetaltique, paraissant tout afait lisse, sans asperite ;

4. c es n ua qe s ne reppelalent en nan les train s que Iaissentdans Ie ciel les avions supersoniques. lis ne semblaient pasejectes, mais s'ecouler librement de la boule comme du

goulot d'une bouteille.

La petite sphere Immobile appreciee a bout de bras(comma la hauteur de la sc ne ~ 20cm au-dessus de t'hon-zon indiquee sur Ie croquis) se prssentatt comme mesurantde 2 a 3 metres de dtarnetre ;-:- t.'oblet de forme elliptique plongeantvers laterre pouvaitlui atteindre 3 a 4mm de longueur sur environ 2mm de

largeur la plus grande. II a ete visible sur une portion de ciel

de t.s cm a 2cm;

44

- Ancien ottlcler, j suis certain que, mem quelquheur s plus tard, la r tatlon d'un fait est chose dlfficlle. Jn'ai pas voulu risquer d'importuner les aut res temoins de laseen (un Intendant, une attaches et une secretalre de I'in-

tendance universitaire) par des renseignements un peu per-sonnels qui n'apporteraient rien a la relation d'uneobservation qui, je l ierepete, a ete conSignee sur un premierplan dans les minutes suivantes".

Yv s Le MoalAncien lieutenant honoralre d'infanterie.Chercheur en relation avec Ie C.N.R.S. de Rennes.

*

26 AOUT 1973 - CR~PUSCULE - aUIMPER

"Le 26 aoOt 1973,j 'ai observe, alnsi que trois autres temoins, uncurieux phsnomene : A la tom bee de la nuit, venant du sud-

ouest, est apparue une "chose" brillante, [aune, de la grosseurd'une punaise. L'objet traversa Ie ciellentement, a I'altitude des

avions. II n'y avait ni trainee, ni lumlere clignotante. ni bruit.

L'objet disparut au sud-est

Aussltet acres, un second objet est apparu, absolument identi-

que. " a suivi la meme trajectoire. Lavisibili te etait bonne, Iecielpiquete d'etoiles".

SOURCE:

t.etu de MIchel Le Du

31, rue de Chateaubr; nd. 29000 OUlmper.

ArchIVes de Is commtsston N uonst« de R en rch d Oumper.

45



73 - 19 H 30 - IL

"Une soucoupe volante ou plus exactement une boule de feuaurait ete apercue lundi solr, vers 19h 30, pres des iles Glenan,par un Concamois. Observe a lajumelle, cet objet seserait poseenviron trente minutes sur I'eau",

SOURCE:

'·Ouest·France'·, redactIon de Concarneau.

7 JANVIER 1974 - 8 H 20 LE MATIN - SAINT-NleBAlE DE DOUARNENEZ

"Je me suis demande si je n'etals pas la victirne d'une hallucina-tion et j'ai demande a mon coll~gue d'arrster aussitOt restatettede ta Gendarmerie", A bord de leur vehicule, les gendarmesauxil iaires Le 5tunf1 et Kaminski regagnaient la brigade de Tel-gruc ou ils sont en poste. II etait 8 h 30 exactement ce 7 janvier1974, lis avaient quitte ChAteaulin un peu plus tOt et se trou-valent a 5aint-Nic, ausommet d'une leg~re hauteur, lorsque rund'eux a apercu dans Ieciel un objet. puisqu'iI faut bien l'appsterpar son nom, qui retint son attention et excita sa curtosite:

Le gendarme Kaminski stoppa I'estafette a lademande de son

collegue et tous deux observsrent I'etrange "chose",

"Elle se trouvait A peu pr~ dans I'axe du Cap de la Ch~vre"exptique M. Le Stunff. "La couleur etait orange, la forme allon-gee". II atait, nous I'avons dit, 8h 20 . II ne faisait pas tres clairmais la nuit avait cessa En raison de la direction, il est evidentque cette lumlere ne pouvait ~tre confondue avec celie du solei I."L'objet, poursuit Ie gendarme, etait immobile et la lumierecontrastait avec Ie"nuage" qui setrouvait dernere. Nous I'avonsobserve pendant pres de cinq minutes. Mais, durant cetteperiode, il a change de forme, en fait, on aurait dit une sorte de

"condensation", de fumee, je ne vois pas d'autre mot. Au depart,il avait une forme allongee, puis iI a pris la forme d'un dOme (un

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chapeau de champignon). Puis "ensemble a paru klater avantde prendre la forme d'un cercle. Apres quoi,I'OVNI s'est trans-forme a nouveau en dOme. rnais, cette tots-ct. la condensationI'entourait a la base".

7 janvier 1974 - 8 h 20 Ie man nSaint-Nlc Pentrez - Bale de DouarnenezL'observation des gendarmes Kaminski et Le Stuntf .

P H A S E I

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P H A S E 2

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ECLA~EHEN~ DE L'ENSEHBL

APRES LA 2 PHASE D

CONSTITUTION DE FORHE

"OB3£T" or n9 tion"

Direct~on

P H A S E 3

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Cf:RC t: PAR FA1 T

P H A S E i t

LA "CONDEN ArION-

SE STABILIS£ SOUS LA

STRUCTURE D LA D~Hl-

SPHERE

O'apres Ie croquls realise par Remy Gueguen (enqu6teur C.N.R.

QUlmper) sur les indicat ions des gendarmes.

47

pns fInal m nt I d clston d m r ndre n bordure du ch mp



OBSERVATION RAPPROCH~E DU TYPE PR~S DE LA

BASE A~RONAVALE DE LANDIVISIAU

t.'enquete qui suit a fait I'objet d'une communication interminis-terielle du cabinet du Ministre de la Oefense Nationale (M. G.Heurlet, conseiller technique) au Minlstare de la Recherche et

de l'lndustrie en 1976.

Temoins: M. Jaffr~s, son epouse et son beau-trere.

Conditions meteoroloolques au moment de I'observation : pluiefine et vent frais. Plafond nuageux sltue a 1()()()metres.

D~CLARATION DE . JAFFR~S :

. . . . . 1 1 etait donc 22 h 30 et la nuit etait tom bee depuis 6 heures. Unvent trais s'etait leve dans la soiree, accompagne d'un crachinpersistant qui ne nous incitait pas a sortir. J'etais en compagniede mon epouse et de mon beau-Irsre et nous nous apprAtions anous coucher lorsqu'une lumiere vive attlra notre attention.Cette lumlsre vive pouvait ~tre vue par la fen~tre, les volets

n'etant pas encore termes. Elle provenait d'une "boule" deux atrois fois plus grosse que la lune, et cette boule se situait juste endessous du plafond nuageux que je situe a 1()()()metres environ.Le vent souff lait d'ouest en est. Cette boule descendait a une

vitesse assez vertigineuse et a la verticale. Puis, a 200-300 metres d'altitude, iI y eut un ralentissement tres net avantqu'elle ne vienne planer au-dessus de la prairie.

Nous sommes restes environ 45 minutes a observer ce curieuxpnenomene qui prenait oeu 8 peu une forme plus distincte, soitcylindrique avec las deux extremites (haut et bas) tormses d'an-

neaux reguliers.

Ma femme et mon beau-trere etarent parttcunerernent boulever-

ses par cette apparition a courte distance: moins de 300 metres.Pour ma part, j'etais indecis sur I'attitude a prendre, n'ayant pas

de pellicule dans mon appareil photo et n'osant pas rn'appro-cher de I'objet par la route.

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pour en avoir Ie cceur net sur la nature exacte du pnenom ne.

Je sautais donc dans ma voiture et je pris la direction de 'aprairie.

Tout en conduisant. et m'etant sensiblement rapprocne, ie Ievoyars nettement: i l etait a moins de 50 metres de la voiture. Jerangeais la voiture, cote phares vers Ie champ, sur une routeperpendiculaire a celul-ci. Je dois dire que, malgre lie temps

pluvieux, toute lazone couvrant Ielieu-dit "Bellevue" etait eclal-ree comme en plein jour, et que Ie spectacle etait impression-nant. Je restate ainsi dans la voiture une bonne dizaine deminutes, assistant a I 'evolution de I'engin. Et ce n'est qu'apresun moment de reflexlon qu'il me vint a I'idee de faire des appelsde phares par curioslte.

A chaque passage code-phares, l'obiet montait et descendait.donnant I'impression d'un helicoptere en difficulte ou en insta-bilite. C'est alors que j'eus la certitude que les deux anneauxextremes tourneient sur te cylindre mlJtallique, projetant des

etincelles at des tlamrneches de la couleur d'un flash blanccontinuel. L'engin s'eloigna ensuite vers Ie poteau electriquesitue au centre de la parcelle. Je decldais alors de sortir de lavoiture et d'approeher Ie talus bordant Ie champ. "II" se depla-cait assez lentement par moments et beaucoup plus rapidementa d'autres moments. C'est quand iiirevint vers moi que je ressen-tis un bourdonnement continu ressemblant a celui d'un ventila-teur. Je ne pourrai pas donner d'explication sur la source de cebruit . L'objet etan alors a molns de 20mttres de moi et je doisdire Que je n'avais pas peur, mais je devenais subitement ner-

veux, parcouru par des frissons et des picotements violents auxyeux. Avant de partir, je m'etals muni d'un pistolet. Aucuneasperite OU ouverture n'elait visible et seule taforme decrite plusloin persistait, sans changement. Je regagnais done mon vehi-cute, une "204 Peugeot", pensant que I'engin allait repartir. Jerentrai a la matson. Bien que nous etlons couches et que lesvolets etalent tsrmes. la turnlere de t'obiet etait tel le que nous nepouvions dormir. (chambre au 1 etage).

II etait minuit et demi. ous restarnes done a la fen tre pourobserver fes mult iples evotetions et ce que nous prenions pour

des tentauves dedecouaqe.I'oblet s mbtant avoir des difficultespour effectu r cette manoeuvre.

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L situation ne changea pas lusqu'a troi h ur du m t n, h ur



a laquelle nous eOm Ie temps de regarder par I f n~tr pourvoir la m~me boule que celie qui tait sortie d s nuages yentrercette fois.

Le I ndemain matin, je me rendis a nouveau sur place, dans la

prairie, pour tenter de trouvsr d'eventueltes traces. Je rernar-quais non seulernent que I'herbe etait coucnee par endroits.

mais qu'une substance curieuse, noire, ayant I'aspect du fuel(mais ce n'etalt pas du fuel) se trouvait a meme Iesot, I In'y avait

aucune trace de brulure ni d'odeur part iculiere. Je n'ai malheu-reusement pas pense a r cuoerer des echantillons de c tlqulce

bizarre qui a disparu Ie lendemain".

SOURCE:

Enqulte de MM. R6my Gu6guen. Chrjst i n S6v6re el Chr;st lan Choa/er.

Communlcatlol1l11termmlstf)(ielle du Min;stf)re dB Is Dlkfense u Min;stf)rB de

rtnaustr! 8 do I Rechorch. P as. 1976,

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Photo: R*"y Gu4guen

Observation rapproch6e du 2- Type pres de Ia basea'ronavalede Landlvlslau:

M. Jaffr ,photographl' dans la prairie de Bellevue, quelques

jours apres sa rencontre, est encore traumatl.. par sonaventure:"Je n'avals pas peur mais je devenais subitement nerveux, par-couru par des frtasons at des picotements violen aux yeux.Avant de partir vera la prairie, je m'6tais muni d'un pistolet.....

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Le 3 fevrler 1974, un ouvrier agricole de Poullan-sur-Mer se renda son travail. Pouldergat. II est 8heures du matin lorsque M.Simon Perrot apercott. • la hauteur de la ferme du "Couedic",

une boule lumineuse d'un metre de diametre.

Cet objet semble Atre pose au sol.

SOURCE:

Commission Nationa/e de Rechelc,," de Ouimpel.

O'aprN I . cortNpOndant local du "T"lgramme de BINt".

"LE COU~-4 F~VRI R 1974- 3 H 40POULDERGA , H U UDIC"

"Le 4 fevrier 1974, M. Yves Jaouen, agriculteur, a ete surpris a3 h 40 du matin par la presence d'un "disque jaune-orange qui sedeplacait a vive vitesse au ras du sol".

L'objet avancait par saccades et revenalt a son point de departapres chaque evolution.

II avait la taUle apparente d'un ballon de football".

SOU~CE:

CommiSSion Natrona'. de Recherches de Ouimpel.

O'ap'~$ correspondant loc.' du "Tel6gl llmm. d. B,6$t" (affaire pub/," enent,.fII.t dans Ie journal).

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"L'OVNI est-II revenu ? II Y a deux mois environ, des Concamoiavaient apercu, dans la region de Tregunc, un objet volant nonidentifie.

Samedi, a 23heures, deux automobil istes ont eu lamAme vision

sur la route de Tregunc a Pont-Aven: "Cela a dure troissecondes. La sphere lumineuse circulait en ligne droite. puis adonne I'impression d'ecrater avant de disparaitre".

SOURCE:

"Ouest-FIance", ,edact,on de Concarneau.

Au cours du premier trimestre de 1974, Mme Bougeant, deTregalet, a ete poursuivie par un curieux phenornene atorsqu'elle revenait de Quimper au volant de sa "2 CV Citroin' .Arrivee au lieu-dit "Stang ar Bacol", en Plon60ur-Lanvern, elle asubitement remarque dans son retroviseur la presence de qua-tre objets qui la suivaient. Ces spheres de couleur orange

etaient animees d'un mouvement de va-et-vient continu maisnon synchronise, semble-t-il.

Mme Bougeant est cependant assuree de la ponctualite de cesobjets qui conservaient une distance regutiere par rapport. sonvehicule. Elle essaya de rationnaliser son observation tout aulong du parcours, mais dut se rendre Iil'evidencequ'iI ne s'agls-sait pas de "quelque chose de naturel", Elle n'etait pas tresrassuree. A son arrivee au bourg de Ploneour-Lanvern, la"chose" a totalement disparu de son champ de vision sansqu'elle puisse s'expliquer comment... pour reapparaTtre • la

sortie, toujours derriere Ie vehicule. en conservant les mltmesmouvements et la m&me distance precedemment cites. C

obje ui n' ient vi ibl que d n I r rovi ur I u v ren pi bou



Ju u'au croisement qui mime au lieu-dlt "Tr'oalet" solt sur unedistance de 5,500 km, excepte la traversee du bourg. Le temoin,affole, ne s'est pas retourne un seul instant tout au long duperi pie, pensant rentrer au plus vite. La scene s'est pour ainsidire entierement deroulee dans Ie rlltroviseur. Mme Bougeantajoute en plaisantant :

- "A mon arrivee au village de Tregalet, je n'ai mltme pas pris Ietemps de faire fonctionner mon clignotant; ie suis entree entrombe dans mon garage. Heureusement, les portes etaient

ouvertes '"

SOURCE:

Enqulte C.Sevtre et J.F. Bo«Htc.

1974

Ce 28 fevrier 1974, deux OVNI identiques ont ete observes auvillage de Nellac'h a Hanvec par Mme Isabelle Monbureau. Mal-gre la brume qui ensevelissait la campagne, Ie temoin a nette-ment distingue des flashs lumineux reguliers sous les objetsdont la tail le a ete compar. a des pharesd'automobile. Temoinegalement un groupe de cout qui campait 8 Hanvec et qui fitpart de ses observations et inquietudes a plusieurs agriculteurs.

Ce mltme 28 fevrler 1974, a 23 heures, Mme Treguier, employee8 la cantine scola Ire et son fils t.otc, 15ans, apercu rent, entraversant Ie bourg de Mellionnec, deux objets lumineux deforme ovaIe. se deplacant a 1 50metre du sol, par mouvementssaccaces. Effraylts, lis rentrerent a leur domicile ou Mme Tre-guier fit aussitOt part de sea observations a son mario Celui-cisortit etvit en eHet plusieurs objets lumineux sedeplacer dans Ieciel de Mellionnec. II pensa bien appeler les voisins, mais crai-gnit de les deranger, toutes les lumieres etant eteintes. Voici ceque ~apporte Mme Treguier:

"Ces objets avaient environ 20centimetres de diametre, de

forme ovale. Lorsque je les ai vus, j'etais 8 la hauteur de monjardin, pres de la mairie. lis etaient au-dessus de la route ... en

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Pet t petit, lis montalent, et lorsque mon martMalent au-dessus des maisons. Les deux obje atim res I'un de I'autre. Une voiture est ensuite pass. dbourg et, quelques minutes apres, on 18 1 a encore vu . II Yavalt trois 8 ce moment-fa. Et tout cela a bien dure dix mlnu

au pius."

SOURCE:"Ouest·FranCfl".

et "Commigion Nationale de ReclHt,chN de Ou'm~'''.

DlaCLARA no D • ARCEL LE FLOC'H, AGRICUL TEUR:

"Je venals de chez moi (Kertaoueret) et je me rendais chez monfrere qui habite au hameau du Cou8dic. Je roulals donc sur laDepartementale 43 Ouimper/Pont-Croix, a bord de ma"Renault 6". II etait exactement 19h 20. Arrive a la hauteur de laroute qui mene au lieu-dit "Kerdergat", 50metres avant unimportant dos d'Ane, je remarquai, par mon retroviseur exte-rieur, qu'iI y avait, haut dans Ie ciel, sur la mltme ligne que lavoiture, une boule rouge qui pouvait tres bien seconfondre avecIe soleil: c'est d'abord ce que j'ai pense. Ce n'est qu'apresquelques secondes de reflexion que je compris qu'U ne pouvaitpas s'agir de I'astre, celui-ci se trouvant devant moi, c'est-a-direa I'ouest. Je routais alors a 40 km/h et je do is dire que monattention fut imm6diatement detournee sur la route ou la circu-

lation restait assez intense a cette heure. Ayant depasse Iedosd'Ane, mon regard se fixa irresistlblement sur un enorme objetque je devinais a travers les branches des arbres ; je fis alors Ierapprochement avec la boule rouge que je vis, quelquessecondes auparavant, ceci parce que ce que je voyais a cemoment avait aussi cette couleur rouge (rouge-feu, avec quel-

ques contrastes ternes). Je pus I 'observer ainsi de ma voiture. pendant 30 ou 40 secondes, Ie temps que je parcoure I

7

m tr qUI m s para ent du Cou dic. J m uis mpr ss d n on ns mbl •d'une couleur "roug -1 uti, I' xc ptlon d

I P roi vant et ta paroi amere qui presentent toutes deux un



tourn r sur ma gauche pour prendre Ie en min menant auCou dic et pour me garer sur Iecote droit de la chauss ,contreI talus. Je dois dire que si j'avais route plus vite sur la 0 parte-mentale, je n'aurais sans doute pas vu cet objet. J'ai d'ailleurstente d'av~rtir d'autres automobil istes qui me croisaient et qui,semble-t-il. ne comprirent pas la nature de mes appels dephares.

Je garai done mon vehicule contre Jetalus pour mieux observercet engin. Je ne pus que voir une boule rouge, lagerementOVOid ,s'eloignant vers I'ouest, dans la directaon d PouUan aune vitesse tres rapide. et en ob ervant une evolution asce'n-dante. II se trouvait a ce moment approximativement a 2km derna posltion. J r stai un moment sur Ie talus. encore stupetaitde ce que j'avais vu. Je repris rna voiture et me rendis chez monfrere a qui je f is part du phenornsne, en comparant robiet (destructur exterteure) a un tort de tuiles recouvrant une porche-

riel II ne me crut d'ailleurs pas, jusqu'a ce qu'il ait, lui aussi, unememe apparition, deux jours plus tard. II me fit tout de meme

remarquer sur I 'instant qu'il tro vait tres bizarre que les chiensde la ferme aboyaient avec persistance depuis une dizaine deminutes. ce qui n'etalt pas leur habitud "

L'ENaU~TE DE LA C.N.R. aUIMPER :

Premiere phase :Observation, derriere la voiture, d'un objet "en forme de boulerouge", par Ie retroviseur exterieur gauche. II ne s'agit pas d'un

retlet ou d'un vague "lumlere", mais bien precisernent d'une"sphere aux contours nets", donc d'un objet ponctuel. Celui-ci

evotue d'est en ouest a 450 sur la ligne o'horizon. Compte tenu

des conditions d'observation, Ietemoin affirme qU'11ne peut pasdonner d'autres details.

Deuxieme phase:

Observation, par Iepare-brise avant de lavoiture, d'un objet "enforme d'autobus sans roues" qui se situ une cinquantaine demetr s d'altitude et dont ta verticale est estimee a 60metres dutemoin. II n'y a qu'une relation probable entre la premiere et laseconde observation, . Le Floc'h n'ayant en effet pas vu latrajectoire suivia par la "sphere". Ce n'est qu'apres Iedos d'Anequ'il s'est apercu de Iapresence du second OVNr. Ce dernier est,

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structure de couleur plus terne que Ie "fuselage", La presence"d' pais cartes" plus ternes egalement sur ce fuselage permetde faire dire au temoin que I'objet possedalt des "hublots".M. Le Floc'h nous a de meme rnontre une bande dessinee figu-rant dans Ie quotidien "Le Teh~gramme' et sur laquelle etaltrepr sente un objet volant futuriste ayant approximattvementles memes caracteristlques que celui qu'il avait vu. Nous signa-

Ions que Iejournal en qu stion st paru ult rieurement al'obser-vation: Ie temoin n'a, de ce fait, pu tre influence. Enfin, ladescription de I'objet en comparaison avec un autobus nlest pastout a fait exacte, a notre avis, la forme facial de I'OV Ietant

ptutot celie d'une ogive.Aucun son ou ph nomsne sonore n'a ete percu. L'objet n'emet-tait aucune lurnlere diffuse et etait de stricte regularite dans sa

forme.Longueur estimee .. " , ,......... 20 a 22 metresLargeur , , . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. 2 a 3 metresHauteur, . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. 5 a 6 metresLe nombre de "carres" n'a pas ete defini en raison de fa brievetde "apparition. . Le IFloc h ajoute que c UX-CI couvraient ren-

semble du corps de I'objet a I'exc ption de la part ie avant et de la

partie arrier .

Trol9i~e phase:

Cette tots-ct. Ie phenomena est observ par Ie temoin du talusattenant au cot droit du chemin qui mene au Couedic. Danscette trOISI me phase, I'objet se situe a environ 2km et affecte laforme d'une ogive. La couleur n'a pas chang . L'objet op re unmouvement ascensionnel silencieux. Pas de variation dans laforme ni dans I'intensite lumineuse. Nous signalons que Ietemoin n'a pas observe la trajectoire reliant la seconde periode it

la troisieme : iI tait occupe a garer son vehlcule contre Ietalus.Notons aussi que I'objet est passe d'un etat stationnaire a unedistance evaiuee a 2 kilometres et ce, en t'espace de quelques

secondes!

NOTES ANNEXES:

M. Le Floc'h est une personne tres pos . t confiante en sol.Lesmembres de sa famille nous ont affirme qu'il ne pouvait avoir etaI'objet d'une hallucination. Toute mystification parait egalement

9

clu . Quelques semames apr s avoir r ncontr I t mom,



nous avons revu son fr~requi nous a affirm I'etat de traumatisa-tion tres serieux consecutlt 8 cette observation. De mt)me. nousavons trouve sur place pres de 10personnes qUI,' Iem~me Jour. ala meme heure. ont observe Ie meme phenomene. Une autrepersonne de Poullan affirme avoir observe, debut fevrier 1974.un "disque orange" evolu r a proxlmite de la ferme du Couedic.(1)

SOURCE:

Enqu6te r6a/l$6e les medi6 vr il 1974 par ChrIstIan 56v reel R6my Gu6guen

Commlsston Nat,onale de Recherches de OUlmper,

(1) Temoln YvesJsouen, grlculleur.

MAl 1974 - HORAIRE INCONNUMONTS D 'ARR~E

"Un automobitiste qui circulait dans les Monts d'Arree en direc-tion de Morlaix a ete prls en chasse par un objet lumineuxspherique "de la taille dun phare d'automobile".

M. et Mme Alain Le Berre se souviendront longtemps de leuraventure: alors qu'its se trouvaient pres du Mont Saint-Micheld Brasparts, I'ob;et les a rapidement rejoints et s'est stabiliseau-dessus de leur voiture.

A ce moment, Ie moteur s'est subitement arrete; tes oheres S6sont 8t8mts.

M. Le Berre tenta en vain de redemarrer son vehicule ... Ce n'estqu'apres Ie depart de I'objet qu'il put rentrer "8 tombeau ouvert"vers Morfaix.

SOURC :

Observation rapport6e de outce per onnen« par un ccl{J$;e r ique deFOlJes·n nt lUI·m6me ,emom o'une autre observation $;gnaloe dans oe C8t81ogu ,

60

20 MAl 1974 - 19 H - LAND~VE EC

Le 20 mai 1974, M. Le Meur, bouJanger a t.andevennec, rentre ason domicile. accompagne de son epouse et de ses deuxenfants en bas age, Depuis quelques instants deja, la famille LeMeur observe une lueur sur la route en dlr ction de t.andeven-

nec. Apres avoir negocie un viraqe, stupeur ~ une serle de"boules lumineuses" accolees les unes aux autres (7 a 8 selon M.Le Meur) comme celles d'un chapelet, barre litteratement la

route.

M. Le Meur fait quelques appels de phare a 1 8 "chose", pas dereponse. Le phenom ne reste la, immobile et silencieux. Aubout de quelques minutes de reflexion, la famille rebroussechemin pour se refugier a ta gendarmerie de Telgruc.

SOURCE:

Enqu6te de R6my Gu{Jguen.

" J r l , . ~ " , \ '

1

JUI 29 PTE BRE 1974 - 0 H 55RIEC-SUR- ELON



Un observation d'OVNI a ete faite par un eccl siastique deFouesnant, alors qu'il roulait seul en voiture n direction de

Beg-Meil. Pendant deux minut s, il a pu remarq ria presence

dans Ie ciel d'un objet spherique de couleur noire mat. II etait

18heures environ. Cet objet, dont la taille a ete compare e par Ie

temoln a celie d'un ballon de football, se deplacau a environ300 metres d'altitude sur une traiectcire oriente sud-

ouest/ouest. II paraissait comme un volume plein t, detail

curi UX , trainait dans son sillage une "nuee lumineuse" triangu-lalre de couleur oranqee, d'environ 200 metres de longueur.

L'objet n emettatt pas Ie moindre bruit. II a bifur ue vers la mer.

Le temoin s'est precipite dans un cafe pour alerter les clients: ason arriv .J'enqin avait malheureusement disparu ...

SOURCE:

Recue,IIi par I'aulevf airectemon: aupf~ au lemoln.

S ph ~r . n o i r - t

200 Urea

rr/is choque psr son obs Nation. Ie temoin fint rpriU comme un .. ppafl-

"on disbol'Qve".

62

Gendarmerie NationaleGroupement du Finistere

Brigade de Pont-Aven.

Declaration de M. Younie Le Bihan

Sergent dans l'Arrnee de l'Air a ontmorency.

"Le dimancbe 29 septembre 1974, vers 0 h 45, je rentrais a mon

domicile. Je venai d raccompagner une camarade, Mary-

vonne Cadie, chez elle. Lorsque j'arrive au portail de ma pro-

prieta, il se produrt une tr s fort averse. Je rentre et vais a lacuisine prendre un rafraichissement. Pendant ce temps, un vio-

lent coup de tonnerre ectate. Le bruit va en s'ampfttlant JuSqU'8

ectetement tres proche.

eela dure environ 30 secondes. J'ouvre ta porte du salon au

moment ou Ie bruit s'arrete,

" est 0 h S O environ. J'ai Ie temps de faire un ou deux pas et

j'aper~ois une lueur fugitive de couleur iaune-oranqee, Je pense

a I"eclalrage d'une maison voisine.

II me taut environ 10secondes pour monter a rna charnbr . En

penetrant dans lapiece, j 'apercois immedlatement par la fenetre

un halo de couleur rouge. Je pense a un incendie.

Sans sttumer. je pose mon blouson et me dirige vers la fenetre.

J'apercois, a un endroit que je ne puis determiner, mais qui me

parait etre aux environs du carrefour "La Villeneuve", a 500 ou

600 metres a vol o'oiseau, un grand brasier de l'irnportanced'une maison. Je pense tout d suite a un mcendie dans une des

fermes du secteur.

Je reviens sttumer puis je prends mes jumelles. Ce que je vois

d'abord. ce sont trois rectangles de couteur rouge vit, genre

'trappes'' surrnontees d'un volet rabattabls. Presque simultane-

ment, je vois passer en-dessous de ces trappes trois ma~s!stummeuses d'un blanc phosphorescent, sans contours defmls,

mars sensiblement de la forme et de la taille d'un corps de

mouton.

63

C pp ra ss nt brusqu m nt t d p r i nt v rs Igauch n more nt un arc d c rcl pour f re Ie tour d

d m m un po nt d' ppu. J n distingu ucun tr t sur Iface, je ne voi pas de m mbr s sup rieurs. Je releve legere-



quelque chose,

En examinant les rectangles rouges, je distingue nettement uneforme, II s'agit d'une sorte de socle horizontal d'une hauteurd'un metre environ, chanfreine 8 son extremite gauche, sur-monte en son milieu d'un genre d'habitacle en forme de cOnetronque, d'une hauteur de 4metres environ, qui entoure les troisrectangles rouges. Les contours sont nettement dtJfJnispar des

/ignes drones.Seule la base du socle est invisible. L'ensemble est de couleurgrise qui se detache sur la nuit sombre. L'engin a une positionstationnaire. IIIparait se tenir legerement en suspens et semblevibrer. Je ne vois qu'une partie de I'objet; la partie droite estmasquee par un obstacle que je ne peux determiner. probable-ment une haie ou un rideau d'arbres. Le paysage aux alentoursn'est pas eclalre: je ne Ie distingue pas.

Pour examiner les abords irnmediats, je baisse lE~g~rementmesjumelles et je vois alors, en avant de l'enqln, dans ma direction,

des silhouettes ayant t'eoperenc« d'etres humains.

Elles sont de m~me couleur que les trots masses lumineusesapercues au debut; couleur d'un arc electnque. Elles semblentavolr la taille d'un tre humain. soit 1,70m~tre environ. Ellessont de forte corpulenc . la tete proportlonnee au corps, et jedistingue nettement les jambes.

Je descends alors rapidement reveluer mes parents au rez-de-chaussee, Je leur dis: .

"_ Venez vite, mais surtout n'allumez pas ''', sans leur preciser! 'objet d mon intervention. 1 1 5 montent Immediaternent derriere

moi. Ceci m'a d rnande une minute a une minute et demie.

En arrivant dans la chambre. mes parents prennent lesjumellesa tour de rOle. J'observe a I'ooil nu pendant ce ternps-la et je nevois que Ie brasler que rai vu au depart. Par contre, je voisnettement trois silhouettes comme decrttes plus haul. Ellestiennent une position en "V", c est-A-dire une en avant et deuxlegerement en retrait sur les cOt . Elles se deptacent dans notredirection. Je reprends resjumelles et je vois distinctement. Leur

pas est lent et toura ..elles ont un balancement lent; leurs mou-vements sont parfa,tement synchronises. Elles ne paraissent

pas evoir de contact avec /e sol mais il semble qu'elles ont tout

64

ment mes jumelles pour regarder I'engin et evaluer la distanceqUI Ie separe des silhouettes. A ce moment-fa. il parait avoir un

ItJger 'soubr6saut lateral puis if disparait brusauement.

J'ai un leger recul et. lnstantanement, mes yeux apercoivent unelueur jaun -oranqee tres fugitive 8 ma droite, tres haut dans Ie

clet, du genre "flash".

Les trois silhouettes sent touiours au sot, dans lameme position

et se dirigent toujours vel'S nous.

C'est a ce moment que, craignant d'avoir te reperes, je decidede quitter la maison et incite mes parents a en faire de meme.Nous nous refugions chez M. Cadie, a 300 metres environ denotre matson. Je prends mon chien au passage.

Durant Ietrajet. je me retourne plusieurs tots mais je ne vois rien.L'apparition a dura 3 a 4 minutes. Lorsque nous avons emmene

Ie chien. il n'a eu aucune reaction.

Par centre, au retour, environ une beur« plus terd, il n'e pas

cesss de gem;r en spprochsrn de 18maison.

Younic Le Bihan

D~CLARATION DE MME LE BIHAN :

"Le 29 septembre 1974 vers 0 h 50, mon fils Younic rentrait d'undeplaeement avec Ie groupe folklorique de Riec-sur-Belon.

II atait en permission de 48 heures. II a rejoint son corps Ie29au

soir.

II est venu nous appeler dans notre chambre, mon mari et moi,

en nous demandant de Ie rejoindre au premier etage. II etalt Ii lafen~tre. Sa chambre etait eclairee d'une intense lueur rouge-oranqee provenant de i'exterteur. du genre lueur emise par unimportant incendie proche. Mon fils qui observait Iephenomenaau moyen de jumelles meapasse cet objet et j'ai observe moi-

meme.

J'ai vu tout d'abord une enorme masse lumineuse, de la lon-gueur d'une maison, soit 10metres environ, de couleur cruejaune soufre avec un leger melange rouqeatre. Elle avait laforme d'une deml-sphere de quelques metres de hauteur, 6 8

7 metres peut-6tre mais en tout cas moins haut que large. Les

65

Ic rco,"'·....,~ft·.I...



ppro m f de SOcen mur oute la surface des dlaqu et

on ne dl Ingual p r la pr nce d'ampoules. A la partie hauted I'engln pratiquement Ami-hauteur, je dlstlnguais nettementur une ligne horizontale plusleurs points lumineux de mArnecouleur que I'engln, c'est-a-dire jaune avec un melange rougel-tre, mais plus vive.

Lea contours n'etaient pas deli mites non plus.

Simultanement, fai vu trois "personnages" en avant de lamasselumineuS8, dans notre direction. l is tenaient une position en "V',un en avant au centre, les deux autres en retralt sur les cOtes.Ces "Atres" avaient la taille d'un Atre humain approximative-ment. Le corps avait la forme d'un ovale avec un renflementarrondi de chaque cOte. La tMe etait proportionnelle au corps,de forme arrondie mals legerement aplatle. l is n'avaient ni facesni membres. La couleur etait argent tres vif, du genre metalchauffe a blanc. je compare cela aux flaches phosphorescentes

des panneaux de signalisation, mals encore en plus vif. Cettecouleur n'etait pas rayonnante et n'emettait aucune lueur. lis sedeplacalent dans notre direction en se dandinant tres lourde-ment. Les dandinements des trois etaient synchronises. lis"glissaient" vers nous assez rapidement.

Brusquement, Ie noir complet s'est fait I Je n'al plus vu la masselumineuse. II ne restait que ces trois personnages qui se depla-

. ~aient toujours vers nous de la mAme tacon et que je voyalsdistlnctement. Simultanement, j'ai vu dans Ie ciel une traineejaune qui montait en diagonale en direction du sud. Cela allait a

lavitessed'une etoile fllante mais en beaucoup plus important etsans aucun point lumineux".

Mme Le 8ihan

66

. Une enqu6te de la C.N.R. de Quimper fut immedlatement entre-

prise. Mme Le 8ihan, interrogee par les enquAteurs (Remy Gue-

guen et Christian Severe) devait repondre:

"C'etait comme du metal en fusion, et pourtant on pouvalt lesregarder sans Atre eblouis. lis venaient vers nous com me s'i,1n'y

avait pas d'obstacles. C'etait plus que de la peur: nous etlonsepouvantes. Nous nous sommes tous aussitOt enfuis chez un

ami, M. Cadic.

Pendant trois jours, rai enormement souffert de la t6te. C'etaltcomme si ron m'avalt mls des ilplngles partour. ..

La nuit de I'incident, traumatisiHIpar I'apparition de cet objet etdes ""res", Mme Le Bihan dut dormir • la gendarmerie de

Pont-Aven.

II taut remarquer, ausuiet de cett« affaire, queles enqu'teurs dela C.N.R.ont dilcouvert, • I'endroit prilsumil de I'atterrissage de

I'objet, un pommier dont lesteui/lesprilsenta/ent descaractilris-tiques de calcination assez avancile. Les teuillages concernjsse situa/ent du c"til ou I'OVNI stationnalt, se/on Younlc Le.Bihan.

Ajoutons enfin que Mme Le B/han, habituiHI su« toilettes mot-tusires, est une dame d'un courage naturel i lprouvil et tr/#s

estimile • Riec.

Quelques annlies apres /' incident, el1e en restait encore

traumatisile :"Ces ",tres", c'iltalt tumineux, comme du mlltal en fusion.C'lIta;t merveilleux, oui,merveilleux, et je ne lesreverrai jamais".

67

RI c ur- Ion· 29 pt mbr 74



La ph6nomene vu par Younnic Le 8than

68

ROUTE

'STOP'

Le phenomena vu par Mme Le Bihan

ROUTE

nne u "STOP"

69

qu I roul n di ion -ou t ur I en m n qu m ugroupe scolair v rs Ie chemin d6partemental no2 (rout d'Au-



"L'observation de I'OVNI de Riec-sur-Belon a ebranh~ M.Amiard. ingenieur a l'I:quipement a Quimper: en prenantconnaissance des faits, il s'est souvenu que ce m6me29septembre 1974, vers 22 heures, alors qu'il etait a mi-pante du COteau de Frugy, il vit une trainee blanche tresbrillante, courbe, et tombant obliquement dans la direc-tion de Douarnenez.

"Cela n'avait rien a voir, affirme-t-il, avec un avion. Latrainee etait grosse, beaucoup plus grosse que n'importequel engin volant..."

L'aeroport de Quimper-Pluguffan a indique qu'il n'y avaitpas d'orage ce 50ir-18.

SOURCE:

"Ouest-France'

R(KJact,on de Ouimper.

AFFAIRE PLO ~OUR-LANVEROCTOBRE 1974- R~CIT DESCIRCONSTANCESPAR Mme LE MARC

Date: 1 quinzaine d'octobre 1974. Un jour de semaine.Heure : 23 h 30 approximativement. Pratiquement aucune ani-mation a cette heure.Temps: sombre, non pluvieux, sans etoues,

Lieu: Ploneour-Lanvern, vil lage de "Tregalet" - Sud-Finistere.

"En revenant d'une reunion qui s'etait tenue au groupe scolairede Ploneour-Lanvern (voir extrait de plan au 1/2S00Qt dontphotocople jointe). je me dirigeais vers mon domicile situe aulieu-dit "Treffy" en Treguennec.

Je pris la direction lndiquee en trait vert sur Ie plan. II en ressort

70

nouveau, empruntai une voie communale direction est-ouest.Je n'avals absolument rien apercu d'anormal jusqu'au momentOUtarrivee sensiblement a ta hauteur du talus qui borde la voiecommunale, cOte sud, du CO 2 [usqu'a "Kerbloas", OU, plusexactement un peu avant, Ie ressentis soudain un trlsson enm~me temps qu'apparut devant mes veux, au ruveeu du haut du

pare-br;se de la voiture ("Coccinelle" Wolskvagen) comme un iii

de ter mince, blanc argente. Ceci dura I'espace d'une seconde,peut-etre, Ie temps de realiser ce qui se passe. Je n'y auraisprobablement pas pr~te attention si ceci n'avait co'incide avecI'apparition, a partir de ce moment, d'un "engin" dans Ie ciel, a'One certaine hauteur que je me garderai d'evatuer car, dansI'espace, c'est plutOt trompeur mais qui semblait correspondre

sensiblement a ta hauteur des nuages.

Reaglssant tout a coup, je ccnsicerals la chose en me disant quece n'etait pourtant pas la lune. vu qu'auparavant ce soir-ta, ellen'etait pas visible. L'engin (schema jOint) se mit a perdre de

I'alt itude. Je me disais encore: ce n'est pourtant pas un avion quiva s'ecraser.. bret supposition. L'engin perdait toujours deI'altitude (mais pas verticalement) tout en se dirigeant vers Ievillage de "Tregalet", tandis que je roulais toujours vers cettedirection. Oevant cet etat de choses, je realisai entm qu'iI devaits'agir d'un OVNI. n'etant pas, a cette epoque, senslbilisee par ceproblema. Je eontinuai toujours en direction de mon domicile.L'engin. lui, continuait a descendre ... Je me disais qu'automati-

. quement. iI y aurait un point de rencontre ...

Bref. je persistais a observer Ie phenomene (detail absurde: la

voiture etant equipee de phares a longue portae, a partir dumoment ou j'ai realise qu'i l s'agissait d'un phenomena "OVNI".ie lis a cet engin des appel de phares pour voir Ie resultat).

Ce qui se passa : arriv~e dans 18bas-fond, au vii/age de Tr~g8Iet.I'engin ~tait su-aessu« d8 laroute avant moi (en limite de chaus-see et du pre voisln) et, la , il "stationnait" a I ia hauteur d'unpoteau electrique a peu pres (en tout cas pas plus haut). Jeconsicerai encore robjet en me dlsant: "Je ne r~ve pas ... je ne

r~ve pas... il est bien la .,"

Reflexe de dernlere seconde: soit je passais dessous, soit je

faisais demi-tour a une entree de proprlete, eeque je fis presque

71

n tlnctlv m nt n m dl nt qu pour rentr r l' v s un is ud secours. Ctest- -dir r tourn r au bourg de Ploneour-

Lanvern et prendre Ie C.D. 156. L ' O B J E T SELOH r'~E L E n A R C



Apr s avoir fait demi-tour, ce qUI est comprehensible, etant

seule, je ne' regardais plus derriere moi pendant un moment,

apres cette rencontre insollte. Toujours est-il qu'arrlvee au

debouche sur Ie C.D. 2, je regarda; derriere moi et "en ne mepoursuiveit.

Mats voila qu'a 18sortie du bourg de Ptoneour. en direction de

Treguennec, je vis a nouveau Ie mem« phenomene, mais enaltitude, comme it etait apparu la premiere lois. Repensant au

manege des instants precedents, je pensai a prevenir une amiequi assistait comme moi a la reunion et qui demeure au bourg de

Ploneour. Je revins donc au bourg et arretai mon vehlcute

devant chez mon amie.

Quelques breves minutes d'arr~t et elle et son mari prirent leur

voiture pour venir constater . .. Nous nous suivions. Mais la, abs-

solument plus rien : deception

Apparence de I'objet : derni-sphere orange assez tonce (genre

globe atturne) non ebtouissant. Diametre : egal a peu pres a celuid'une voiture 2 CV a I'envers. Je m'avancerai a preciser, ainsi

que je I'ai dit a I'occasion d'evoquer cette affaire, que la partie

superteure m'avait donne "impression d'~tre grise et que, au

debut, sur Ie cote droit de I'engin (vu de face), je distinguai un

"croissant de lune" plus Ionce (mauve plutot), mais ce croissantde lune dtsparut. Ensuite, I 'objet m'apparut ent ierernent beau-

coup plus tones. Ce que ['al denomme "partie supeneure" et

"croissant de lune" pourraient peut-stre avoir une explication

due a ratmospnere, je ne sais pas (reflets des nuages ?). Par

contre, ce qu'il sera difficile d'admettre comme un effet d'optt-que, c'est "I 'angin" que ie vis a une trentaine metres. I I me serait

agreable de connaitre vos conclusions dans la mesure OU ceci

peut vous apporter quelque chose. Merci d'avance.

SOURCE:

Mme t» Marc· rreffy· rreguenn6c - 29120 Pont-/,Abbe.

EnquIre: Jean-FrancoIs Boedec • Christian Sevfjr6.

72

- - - - - ~ - - - - - - - - - - - - - - - - - - -

' . . . .,, . . . ' . "

. .

POSITION DU " F I L ARGENTE B lA e"S U R L E P A R E - B R I S E D U V ~ H I C U L E

73

1974 - 22 HALE 22 ENTRE QUIIMP R ~



n t

rc.L v e lc Ie utili I contre-enque e es une 'Simca 1100'.

A ' air "Tr Ie' en Ploneour·lanvern. Observat on d m La arc. .

74

'Le lundi 4 novembre 1974, M. t me Corbihan recondursentchez elle Mm X... dans un petite tocaute sltuee a quelqu s12 km au nord- st de Quimperle. Guilligomarc·h. M. Corbihan

conduit: a ses cotes, sa emme, et derriere me X ...

Depuis quelqu s i ns ants, me Corbihan a remarqu un phano-mene et est surprise que personne n'y fass allusion dans la

olture ... Alors qu'elle s'apprete a faire ta r marque, me X..

s' erie:- "Vous avez vu, la lune rousse ?....

A c mom nt-la. M. Corbihan. qui regardait [usqu'a present saroute se retourne vers la droit , car, oira-t-ll, "Iorsqu'on etrouve sur ce te route (qu'll emprunte pratiquement tous tes

soirs), d'habitud ,c'e t de ce cOt qu'est la lune ...J n'ai ri nvu.Aussi, j al regard vers la gauche et fai VU, comm rna femme e

. X . ., ceue chose".

"C'etait un globe, ovause sur sa partie haute, d'un rouge tr Svif,un p u comme Ie soleil couchant, mais I s rayonnements en

molns. Ce globe etart de grandes dimensions. environ trois fois

Ie solei! couchant. ..". "II semblait a ta hauteur des arbr s, lahauteur d s yeux, d I'int rieur de la voiture".

Le ci I n' tait pas tres de age, mais I s etolles taient visibles.

La nuit etait assez noire et Ie glob se detachalt tres nettem ntdans Ie ciel. event etait qu slrn nt nul. Ie temps s c.

M. et me Corbihan ne peuvent preclser quelle distanceexac e se situait Ie pnenornene, II Ie r sembla neanmoms assez

proche (entr 500 metres t 1 kilometre au pius). . et MmeCorblhan me preciseront que 1'0 pouvait evaluer la base du

globe, au-dessus du sol a une aison de d ux etages.

Le globe avait un trajet rectiligne, r gulier, sans aucun rotation

(Ia partie ovalis 6tant toujours la m~ e place, m confirmera.Corbih n, qui seservira de cette partie du globe comme point

de repere tout au long de I'observation).

La couleur d ce globe. d'un rouge orange, restera toujours

7 5

out nu • san ucun v n tlon. Bru qu m nt, I t moinv rront apparattre une form triangulair norr coup nt la basde ce globe derri re c qui parut tr un nuag . M. coroln n n

9 J I 1975 - 23SAINT-TUDEL E

45

POULLAOUE



peut dafinir $1 effechv ment Ie "globe" disparut derriere un

nuag ou un ecran de fume ... Toujours st-il qu'iI n r parutpas.

A aucun moment les temoins ne ressennront Ie rnoindre eHet, sice n' st une profonde curiosite, qu'accentuera un entrefilet paru

dans la presse locale, relatant I'observation faite par un inge-

nieur, quelques [ours auparavant.M. et Mme Corbihan deposeront me x .., chez elle et prendrontIe chemin du retour, s'arretant a I 'endroit ou usvirent Ie pheno-mene, sans succes ..

Mme X...reverre t'obiet de la fenetre de sa chambre, iIIuminant Ie

ctocber de raglisa, puis, brusquement. tout disparaitra, replon-

gaant cette petite bourgade dans t'obsourite.

L s temoins ne rencontrsrent aucune autre voiture durant leurtraiet et Ie "globe" disparut un peu avant qu'ils ne traversent la

localite d'Arzano",

SOURCE:

Enqufle do MM. P G"eaudot. Y . i»B,hsn et J.L. Broch rd. d'apres L.D.L.N.,

p. 1461 15." 152 Iltv/IlIr 1976.

JANVIER 1975 - 21 H 30 - BREST

Mme Perhirin, qui se trouvait a son domicile au 10, boulevardLeon Blum a Brest, a observe un pnenomene lumineux insolite :I'objet, une sphere couleur orange vit, se tenait immobile etsilencieuse sur un ciel couleur enere, face a la mer.

Au bout de 2 a 3 minutes, Ie phenomene a disparu instantane-ment sur place.

SOURCE:

Christi n cn o t r.

Archives Commission Natlonale de Recherches outmoer .

7 6

Declaration de M. Andre Francois.

"Le lundi 9 juin 1975, par temps clair, j'ai vu, vers 23 h45, unOVNI. A ce moment-Ia, je revenais d'une corvee, a I'occasiond'un charroi de foin chez un voisin, M. L. Andre. J'eta.s seullorsque je circulais sur mon tracteur, a environ 300 metres de

chez mol, quand rai apercu, dans un champ appartenant a M.l.Louis. demeurant a S~int- Tudel, situe a gauche de la chapelle

dans I sens Poullaouen-Kerstepban. a 100 metres au nord deI'habitation de Mile P. Louise, quelque chose de lumineux. Jevovals, en passant sur Ie chemin. poses bien fixe, une boule

lumineuse d'un dtametre de 0,60 m environ. Cette boule eta i tjaune tres clair, un peu comme un feu de croisement de voiture,mais beaucoup plus clair. mais non ebtoulesant pour cela. Au

depart, j'ai cru q 'II s'agissait d'un tracteur dans Ie champ. maisrai trouve neanmoms cera un peu bizarre. J'ai done poursuivi

ma route [usqu'a mon domicile et j'ai gare mon tracteur sous Iehangar. Ensuite, je suls retourne sur mes pas a pied, 850 metresde chez moi d'ou, sur une butte, je voyais encore cette boulelumin use. Des cet instant, j'ai bien vu qu'il ne s'agissait pas d'un

tracteur mais d'un engin bizarre. Je suis reste a regarder c ttechose pendant 5minutes environ. Au bout de ce detat, voyantcette boule commencer a se soulever du sol teqerement. je suisretourne sur Ie chemin. Je suis venu reveiller mon epouse pourlui annoncer qu'i I y avait quelque chose de curieux. Ma femmes'est levee et tous les deux nous avons repris Ia place que j'avais

occupee auparavant, a 250 metres de cet engin nviron.

lorsque nous sommes arrives, mon epouse et moi, a I'endroitpour observer cette boule, elle s'etait elevee a un metre du sol etelle montait assez doucement. Sa forme etalt touiours la meme,

mais elle etart d'une teinte jaune plus terne. Tout en s'eloiqnantdans la direction d Scngnac, soit vers Ie nord en tirant un peuvers I'ouest, elle avait atteint une hauteurque j 'evalue entre 70et

100 metres, et sans acceleration, elle s'est eloignee ass z lente-m nt. Tous les deux, nous sommes restes a regarder cet enginpendant 5minutes environ et, 8 notre rentree chez nous, nous lavoyrons encore. Personnellement, cette chose m'intriguait. Bien

que mon epouse se soit recouchee, je sortis seul a nouveau pour

77

voir $1 je voyais quelque chose. Je voyais It cnv nt c tt

m~me boule jaune, assez loin, [uste au-dessus d Scri nac,seton mon idee. Elle s'elolqnalt lentement. mais sans prendre d

form dun clg r t, vu ,I r nd ur d m m In.La dir cuonpproxlmative tail nord-ouest ver I sud-ou st. J' tais esto-maquee et re Iefus lorsque je decouvrts derriere Iepremier objet,



l'attitu e. e me trouvais au bout de mon etable pendant que Jeregardais. et a peine une minute s'etait ecoulee que je recevais

dans tes yeux deux rettets violets, qui m 'ont fait s; mal que ie ne

voyeis plus que du noiralors que Ietemps etait clair. Ou coup, nevoyant plus rien. je rentrai trnrnedlatement chez moi pour me

recoucher. apres avoir exptlque a mon epouse I'histoire des

deux reflets violets.

Je pensais que ces deux reflets violets rn'stalent destines, et j'ai

rneme eu assez peur. En realite. j'al ete tres impressionne par

ces rettets qui m 'ont fait mal aux yeux. Je n'ai pas entendu Iemoindre bruit en presence de cet engin. Je n'ai vu aucune forme

humaine a l' interieur ru a l 'exterieur de cette boule".

SOURCE:

Enqu6te bflgade de gendarmerie de Carha;,,·Plouguer.

P ro ce s · v e rb a l.

Cf. : confirmation tk;rile au temoin par tent» personnelle (I'SUI9ur).

29 JUIN 1975 ...19 H 10 - MORLAIX

Declaration de Mme Veuve R..o Louis, nee C. Helene. 74 ans,retraitee de n:ducation Nationale, demeurant it Morlalx.

"Le dlmanche 29 juin 1975. alors que je me trouvars dans mon

Jardin a Morlaix, qui fait face au viaduc sur la commune deSainte-Quelen, voila ce que j'ai apercu :

II etait 19 h 10 exactement. je talllals un rosier grimpant tourne

vers la gri lle, done vers Ieviaduc. Levant legerement la t6te, a uncertain moment, alors que Ie calme ragnait, je voyais dans un

ciel t~es pur un objet qui attirart mon attention.

A rarrtere. at un peu au-d ssus de la 5· arche du viaduc, eelafilait tout en glissant sans bruit, mais tres eclaire. comme lumi-

nescent, sans rayonnement. ~ allure tr s raguliere. Cela avait la

7 8

a peu pres a distance triple de sa longueur, un deuxlerne enforme de soucoupe qui suivait a m me allur et eclaire de la

meme avon. Personne chez mes voisins que j'aurais tant vouluavoir comme temoins. A Morlaix, Ie dimanche, par si beautemps, tous sont a la plage. Je n'aurais pas pu, du reste, leur

montrer Ie phenomene. Tout a disparu comme aosorbe par Ie

ciel clair, et en une dizaine de secondes. J'ai hesite a faire

connaitre mon histoire pendant huit lours, de peur de me fairetraiter de viei lle radoteuse".

SOURCE:

EnqufJte brigade de gendarmDfl8 d MorIa,,,.

Proc~s·vlJrb81.

ERCREDI 6 AOUT 1975 - 25 15 - GUENGAT

Vers 22 h 15. M. et Mme Nedellec et leurs amis se dirigent de leurferme vers Quimper. oepurs quelque temps deja, Usremarquentdeux feux rouges qu'ils prennent pour les feux de position d'unhelicoptere, En arrivant sur ta departementafe 0-63, ils obser-vent alors un objet volant "tres nou", de forme discoldale, avec

deux feux rouges en son centre, espaces d'environ 50centime-tres (appreciatton). Usarr tent leur vehicule at restent regarderI'objet qui avance lentement dans la direction nord-sud a envi-

ron 10km/heure. L'objet se dinge vers n plateau recouvertd'une toret appartenant au domain de Krstiriec. Des que I'QVNI

survole la toret, una auinzein« da puissants oroiecteur» s'ettu-ment sur /e contour de I'engin.

Mais, chose etrange, cette lurniere couleur "neon" blanche tresforte n'illurmne pas les arbres et semble s'arr§ter net a una

v;ngtaine de metre« de hauteur au-dessus de ces demiers. nquelques minutes, I 'OVNI est masque pa r les arbres au sommetdu plateau. Cependant. les temoins eurent l'rmpresston qu'ilallait se poser de I'autre cote. Comme les temoins taient de

retour de noce, ils ne voulurent pas alier a la gendarmerie, de

79

p ur que .. A not r qu dans I'une d s voitur s trouv

appareils photoqraphlques, mars, sous I' ffet d la

personne ne songea ales utiliser.

b n I. un f u d' rt flc qu Iconqu . Mals ut u d b n9 I n'a pa c tt forme et ne reste pas immo ile dansIe ciel; d'aill urs c'stait beaucoup trop haut car je voyais les



Le lendemain matin, M. Euzen et . Nedellec atlerent au ChA-teau de Klstir iec pour essayer de retrouver eventuellement des

traces d'atterrissage. sans resultat d'ail leurs. Le proprletalre duchateau, qui lui n'avait rien vu.teur fit remarquer queses chienseveient nurt« ~ la mort de 22h 15~22n 30.

Deplus. une damed'une terme votsine precise qu'el/e a entenduun ronronnement inhabituel ~ cette mIme neure precisement.

L'analyse de la relation des faits par les differents temoins, auterm« de laquel/e se diJgage une coherence mdlscutable,authentifie leur etncerit».

Una enigme a rsiouter iJune liste deja longue.

SOURCE:

Remy Guegu9n. nqu teur. Pentrez-Plage.

NOTE ANNEXE :Ce m me 6 aout 1975, M. Guy Guillemet, artisan-plAtrier a laCroix de Bois-en-Colpo (region Lorient. Morbihan) observa une

"soucoupe brillante" au-dessus de la foret de Lanvaux. Le

temoin prit deux photographies de ce onenomsn et les confia ala gendarmerie. Les gendarmes firent des r cherches et, Ie

dimanche suivant, un cultivateur de Kerivalain, . Le Henaff.leur confia que ses chiens evetent longuement aboye cesoir-liJ.

7 AOUT 1975 - 23 H 30 - PONT-L'ABB~

"II etait environ 23 h 30, je suis sortie dans mon jardin pour

fermer les volets. La nuit etalt tres sombre, Iecial nuageux. Tout

a coup. vers Ie nord-ouest, fai vu Ie ciel qui s'illuminait progres-

sivement. J'ai tout de suite pense qu'il s'agissait d'un incendie et

que j'allais voir s'etever des flammes. Au neu de cia, j'ai vu jaillirune grosse boule orang e. et quand je dis "boule", ce n'est pas

toutafait exact, je n'en voyals en realite qu une partie, Ie reste, jeIe suppose. etalt cache par les nuages ... J'ai ensuite penss que

80

nuag s se deprac r devant ceue boule!

J'enrageais de voir tout Ie monde dormir chez moi et que j'etais

seule a voir Ie pnenomsme. Sur Iepont, j'entendais des voitures

qui passa lent et je me dtsais que ;e ne serais sOrement pas la

seure a voir ce ciel 'Iliumin~ dans la nuit sombre ..."

SOURCE:Lettre manvsc"te au temom. me Bourdon. Pont-fAbb6.

22 AOUT 1975 - 20 H 15,CROAS-KERHORNOUS' ,COM U E DESAIN -~VARZEC

II etait environ 20h 1SIorsqu d ux eli nts, habitu du b r l ocal

de crces-kernorooue en Saint-~varzec firent irruption danscelui-ci:

- "Venez vite il y a une soucoupe volante ,..

Ce fut aussitOt t'nilante generale dans Ie cafe. Apres les quoli-

bets de circonstance, chacun tente d'expliquer Ie phenornene :"c'est un avion, c'est un helicoptere, c'est .,", Puis tous se deci-

dent a sortir sur Ie trottoir contre Iedomicile de M. et Mme Nabu-

cet. lis ont juste Ie temps de s grouper aupres des precedents

temoins qu'aussitot un objet en forme de cendrier r nverssapparait au-dessus du boi du Gouiffes. Cet objet planait a lahauteur du tailage d'une maison voistne : il se depla~ait assezlentement puis vint stopper plus loin. C'est alors que lestsmolns

aperccrent un "phare" semblant sortrr de I'engln et pr sentant

I' sp ct d'une lampe-torcbe. mais beaucoup plus puissant.

d'une coule r blanche crue, tres crue. Les temoins s'accordent

it te decrtre comme etant "coupe net a son extrsmite". Et cettetumier« semb/ait "cnerctier ouetque chose ",

SOURCE:

Enqu'te de Christian Sfwlue 01 R my Guf)gu n.

81

Pour voir 1 8 con C I nc tranqume, elles s sont rendues Ielendemain sur les lieux presumes ou I'OVNI s'etalt pose et ontdecouvert un trou dans Ie sol, mais n'ont pas pu dire si ce trou



28 AOUT 1975 - 22 H 30 - RIEC-SUR-BELONSUD-FINISTERE

Le 28 aout 1975, deux jeunes filles de bonne foi -dont lademande d'anonymat a ete respectee- dectarerent avoirapercu, vers 22 h30. un phenornene etrange dans Ie ciel deRiec-sur-Belon. Elles se trouvaient a ce moment dans une mal-son sltuee a Lanneguy et epercurent par la fent!tre un objet enforme de demi-lune, de couleur blanche. au-dessus de larivieredu Belon; quinze centimetres plus bas suivait un petit "carrelumineux". Le tout devait se poser dans une lande en bordure du8eloo et elles remarquerent des petites lumleres rouges quis'allumaient et s'eteignaient. Autres constatations.lorsque I'ap-

pertement oc ette« se trouveient ~tait 6c/aire, ces tueurs dispa-raissaient, at te contreire se produisait torsauette« 6taignaient,

82

existait avant.,

SOURCE:

0' pr s la reasction tocet«. du correspondent "Ouest-France",

Los OVNI on 8,e, gno", J·F 8 01 Jd oc - ~dl ',ons Lanore 1978.

2 SEPTEMBRE 1975OBSERVATION NOCTURNEHORAIRE NON INDIQU~ - PLEYBEN

Mercredi soir, plusieurs personnes qui revenaient d'une reunionqui s'etait tenue a l 'ecote publique de Saint-Segal pour la prepa-ration d'un test-noz en faveur des sinistres de la poudrerie dePont-e -Buis affirment avoir vu une curieuse lueur au nord-. ouest de Saint-Segal. Celle-ci aurait change de forme et prisI'aspect d'une boule avant de devenir ovale et de oisparattre",

SOURCE:

"Le T(Jlegramme de Brest",

SEPTEMBRE 1975 (1' qulnzalne) - 0 H 30 -1 H LEMATIND~PARTEMENTALE 108 ENTRE QUERRIEN(Flnlstere)ET GUISCRIFF

"Au debut du mois de septembre 1975, je ne me souviens plustres bien de la date exacts, i'ai ete Ie temom d'un phenomenaaerien. Au moment des faits. j'etais en compagnie de deux

camarades d'enfance: MM. Strugeon Georges et BoineauRemy. Nous circulions en vehicule sur la route departementate

83

08, ntre Querrien et Guiscriff (Finlst r -Sud).proprletalre du vshlcute conduisait.

Voici Ie osroutement des faits:

or ,I rob rvauon. ilnou mbl que Ie phenom n't po ur I01 apr s I'avo r perdu de vue derriere Ie rideau d'arbr s. Pr -u aussit6t apres, nous remarquons un falsceau de lumi r



"II est environ 0h 30 - 1 H Ie matin. Nous nous dirigeons versQuerrien et nous nous trouvons a cette heure dans les viragesdu lieu-dit "Taptout". En raison de la slnuosite de la route a cetandroit, nous ne roulons guere Aplus de 60/70 km/heure. IIfaitnuit, mais Ie ciel est tres degage, de plus iI y a un tres beau clairde lune. Tout a coup, Boineau fait cette remarque:

- Voyez-vous 18chose qu: nous suit?Je regarde alors la chose en question d'un rapide coup d'csll. Mapremiere reaction est de lui rspondre que c'est la lune. II me

repone:- res fou, ss-tu deia vu 18 tune S8deplacer?

A nouveau, je regarde la chose. Je me rends compte ators quecelle-ci n'a en Uel rien voir avec I'astre. La lune se trouved'ailleurs sur notre drolte par rapport au sens de la marche de lavoiture. Par contre, Iephenomene se trouve sur notr gauch t

se deplace dans la m~me direction que nous. Tou en pour ul-vant notre rou e, nous observons 810rs tous les trois Ie p no-rnene. Dans un premier temps, Ie remarque qu'il st for espherlque, qros environ comme Ie sol II au couchant. Cet eboule a une couleur rouge-oran ee. Ell n'e et aucune

iumtere. Parvenus sensiblement a s haut ur. nous d cldonstous les trois de nous arreter sur I b scot d la route, afin derrueux I'observer. La chose s trouv touiour au rnerne endroiten etat "statlonnaire". Nous const tons ators que Iephenomenaa une forme qui ne ressembl p stout . fait a un boule. Ondistingue en eftet vaguement un ar te qut nous fait penser un

peu Aune assiet1e. Aucun autr form n' st visible. Le pheno-mene a toulours la mem coul ur. Nous I'observons ainsi pen-dant 10 rninutes au moins. Durant ce laps de temps, tout enrestant a la meme posltion vis-A-vis de nous, te ph nomsnedescend vers Ie sol, mais en dessous de sa position initiale.Nous observons plusieurs Iois c va-et-vi nt qui nous fait pen-ser un peu a une balle rebondissante, quoique avec un rnouve-ment beauccup plus lent. Au bout de 10minutes environ, Iephenomene, qui a toujours la meme forme et la meme couleur,descend assez lentement vers Ie sol tout en continuant ses

mouvements de va-et-vlent, et disparait a notre vue derriere unrideau d'arbres. Nous trouvant sur une hauteur durant toute

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blanche tres vive, intense et assez large, qui semble provenir dI'endroit ou Ie phenomena a probablement atterri. Ce faisceauest legerement dirige en oblique vers Ie clet. Nous ne remar-quons par contre aucune autre lueur a I 'endroit ou Ie pneno-m ne doit se trouver au sol. Nous voyons uniquement cefaisceau de lumiere intense (genre talsceau de proiecteur), dans

lequel nous ne remarquons rien de particulier. Cette lueur per-siste quatre a cinq minutes. Soudain, ce faisceau de lumieredlsparalt. Presque simultanement, nous apercevons a nouveauIe phenomena (toujours en forme de sphere) que nous avonsobserve auparavant. II apparait derriere Ie rideau d'arbres aumeme endroit de sa disparition et d'ou ernanalt Ie faisceau delumlere. A ce mornent-ta, nous decidons. mes camarades etmoi, de retourner a la volture, dans I'intention de suivre Iephe-nornene Ie plus longtemps possible. Un court instant nous Ie

quittons des yeux. Une fois dans la voiture, nous constatonsalors que Ie phenomena a disparu. Nous decidons de reprendrela route. ce que nous taisons. Nous ne devions plus Ie revoir. Aun moment. j'ai propose de nous rendre sur les lieux ou noussuppcsions que ce phenomsne s'etait pose. Strugeon. a quiappartenait la voiture, a refuse. Je crois d'ail leurs qu'it etait trestrouble par I'apparition de ce pnenornene".

Signa: Gerard Le Naour.

SOURCE:

Enqu6te do 110CI'I palaln, J. Durand.

Groupe "Adeps Allant,qu8·'.

8 SEPTEMBRE 1975 - 3 H LE MATINPORT-KERDRUC EN N~VEZ

Le 8 septembre 1975, M. Jean Sellin,cultivateur a Port-Kerdrucen Nevez (Finistere-Sud) est reveille par son epouse v r

3 heures Iematin. Celle-ci a cru entendre un bruit comparablcalul de teres que I'on remue: or. il n'y a pas de t61esdan I

v II 9 . Au mAme moment, travers I fen tr, II vu I c Is'illumlner subltement d'une couleur blanche. Les d ux pheno-

menes se sent estompes rapidement.

m t II qu sur ces tr ce ,t nt Ie 01 eta t compact. Un cour d Ie ~ la b6che a mls en evidence la composition interne dcouronnes, ~ savoir un ensemble de blocs craquetes. Qu Ique



Le lendemain, rapidement, sort Ie 9 septembre 1975, M. Sellmfait la tournse de ses p4turages. II n'a pas fait 50metres dans Iechamp contigu A la maison qu'il decouvre sur Ie sol six traces

circulaires etranges ... Quelques instants spres. son epouse Ierejoint et constate des picotements aux doigts, au toucher dusol A I'endroit des traces. Celles-ci presentent des couronnesgeometriquement parfaites et adjacentes, deux par deux. Lesitecentral est separe par les deux autres, d'une part de 12,80 metres et d'autre part de4.50 metres. Lasituation de I'ensem-ble de deux sites est perpendiculaire aux traces des dtamstrescommuns du trolsleme. ~trange geometrie par des traces d'ori-gine naturelle car, rappellons-Ie, laveille, it n'y avait absolumentrien A cet endroit de la prairie. Le talus Ie plus proche est a 6metres: celui-ci est longe par une clOture electrique qUI n'adonne aucun signe anormal de maqnetisme tors de renquste(dans les jours suivants par les enqu~t~urs de la C.N.A. de

Quimper, et trois semaines apres par la brigade de gendarmeriede Pont-Aven, requise par la prefecture du Finistere qui avaitelle-m6me ete lntormee par la C.N.A.).

L'apres-midi de cette etonnante decouverte sera marquee parun evenement non moms ccmprehensit: une des 'laches dutroupeau qui se trouvait dans ces patOrages s'est approchee deI'un des sites en broutant progressivement l'herbs. Lorsque labl!te fut arrlvee A la verticale de I'une des couronnes, celle-clrecula rapldement en soubresaut, comportement caractsristi-que au contact d'une cloture electrique. Par la suite, Ietroupeau

entier deserta ce secteur de la prairie. II faut signaler que dansun second champ, distant d'une centaine de metres du premier.8 autres traces slmllalres ont ete dltcouvertes ulterieurement.Elles se situaient exactement dans t'axe des deux rangees depommiers. Aucune de ces traces ne se trouvait sous-jacente aux

branchages.

tVOLUTION BIOLOGIQUE DES SITES DE KERDRUC

" convient lcl de signaler que, sur la surface concernee, lesnerbes presentaient des traces de calcination minimes sur quel-

ques rnilllrnetres, it leur extn~mite uniquement, la tige etantdessechee. II a par auteurs eta tres difficile d'enfoncer une tige

86

ours plus tard, I'herbe de ces couronnes a commence Averdir etcroitre anormalement tout en s'etencant vers l'exterteur des

C rcles. Apres plusieurs semalnes. les couronnes sont deve-nues tres visibles. comme I'ont montre les nombreux clichespris a I'apoque. Toutefois, il est bon de retenir que t'un desc rctes du site 3 (Ie plus proche du talus) n'a pas repousse, sans

que I'on puisse en determiner res causes. Cette croissancerapide des aut res sites est probablement due it l'apparltlon d'unmycelium (champignon) sur les racines des herbes, a ta suited'un deparissement subit de ceuss-cl, Ce mycelium se seraitensuite propaga dans les horizons superficiels de la couronne,mars uniquement vers I'exterieur. On remarquera sur les croqulssuivants la parlaite gaometrie du "trace" de ces couronnes, ainsique Ie "metre" d'scart qui existe entre les diffarents dlametresinternes par analogie comparative (voir tableau synoptique).Cette constatation s'ajoute aux precedentes, interdisant I'appeltheorique A un pnenomsne d'origlne naturelle. Ajoutons egale-

ment i'experlence suivante: un chat a ete depose sur I'un dessites ~ I'apoque. 5es polls se sont herisses et il a refuse de selaisser entrainer it nouveau.

Par ailleurs, un speclatiste de ta Faculte des Sciences de Brest.consulte. a dementi categoriquement toute explication lalssanta penser qu'li pouvait s'agir de "ronds de sorcleres" (cerclesnaturals constttues de champignons).

SOURCES

- Enqu4t& de Ch" tan 54v6re. Jean-FrBn,Ol$ Bo6dec. R6my Gu6guen er

Ch,i8tiBn cn o fer.

Cinq contre·enqu,tes succ $$;ve$sur /e terrain par JeBn-Fran~l$ B06dec

et Chrt$tlan 56v.,e.

- Contre'8nqulte de la brigade de gendarmerie d& Pont-Aven.

- DOS$18'publ" dans /,ouvrtJge : "Ltl so/eil d Simon Goula,,", ptJr I.L.

OUvyer tit J-F BotKJec. tdittons de ,.Ada 1981.

- Ltls enqu"es ont fait foblet aun« communication au Mimst6fe de laD6ftln e u Mini$t re d "Indust, ie et la Recherch&, Ie 28 out 1978.

87

RELEVI:S TOPOGRAPHIQUES SUR LES SIT SDE KERDRUC EN N£VEZ

Septembre 1975

Mm K rsal S8 dkida. revelller son epoux. Lor qu'lrobjet eta t masque par lesarbres. II s'eleva a la v rticalm tre du sol, sans dOme ni klat, redescendit, toujours m qu



Site CereleOiamt\tre Dlarnetre Largeur deinterne externe la couronne

1..•...... 1 3.70m 4,08 m 0.38 m

,......... 2 4.70 m 5,08 m 0.38 m

2 ......... 1 2.50m 2,80m 0,30 m

2 ......... 2 3.50 m 3,80 m 0,30 m

3 ......... 1 3.20m 3,50m 0,30 m

3 ......... 2 3,20 m 3,50m 0,30 m

Enqu6te C. Sltv6re,A. Gu'Ou n. C. Choal r, J-F B~d c.

Communicat ion lntermlnlst r ielle du 28800t 1976du ini t rede I O~fense

atlona! u Mlnlsttre de I'Induslrie et de la Recherche.

MARDI 2 JUIN 1976 - 2 H - SAINT- Ie

"II etait 2 heures du matin lorsque Mme Kersale fut reveillae parde puissants eelats blancs qui 6clairaient sa chambre (M. etMme Kersale dorment toujours les volets de leur chambre non

terrnss). Intrigu6e, elle se leva et 'lit, par la fenAtre, une boulerouge surmontee d'un dOme vert, Ietout ayant approximativement 1metre de diam~tre. Des eclats blancs venaient du pour-tour de I'objet et eclairaient toute la campagne environnanteeomme en plein jour.

Elle 'lit agalement une maison en construction qui elait siluee aenviron 800 m~tres a vol d'oiseau.

Ce· sotr-la pourtant, un epais brouillard ensevelissait la cam-pagne, la visibilite n'etant que de 20 metres a peine. L'objet se

depla~ait a 5 km/heure environ, en ernettant des eelats blancstoutes res secondes.

88

par les arbres. puis disparut. Fouille des lieux : aucun result 1.

leu de I'observatlon : "Kermill", commune deSaint-Nic, a 10kmde ChAteaulin.

Duree du phenom~ne : 5 minutes.

SOURCE:

R'my Gu4guen, enqu teur. Pentrez-PI g&.

\

______ .,_;~ ..MW~

89

21 JU 197 - TR 22 H 15 t 23 HIR~GION DE BRE T-KERLOUAN,

galt la lumi r v ve comme cell d'un to I. " U

us de ce "hub/or", une sorte de paupiere qui s'est abal ' 1 3n mIme temps que dlm/nuslt l'intensite de Is Iumier«; et ceel



ORD-FINISTERE

"Le premier temoignage amane d'un jeune homme du village deKerlouan, qui se trouvait sur les dunes du Conquet ce lundi soir.II rev6t d'autant plus de valeur que Ie temoln est, de par sesactlvttes profession nelles, averti des choses de l'aeronautlque.

If pretend n'avoir jamais vu auparavant pareil phenornene, et.depuis ce lundi, "iI n'en revient pas" :

"J'etals arrive sur les dunes du Conquet vers 21 h 10. La soirees'ecoutalt normalement lorsqu'une personne voisine me fit

remarquer:- "C'est incroyable ce qu'il y a comme phares dans laregion .."

Je vis ators, pas tres loin de nous, une turniere qui pouvait etrecelle d'un phare, rnais plus blanche et plus 'l ive, avec au-dessusun halo rouge, qui descendait dans la mer. J'ai consults mamontre : il etait exactement 23 neures moins 7 minutes ...

Devant mes yeux, il n'y avait pas un engin mais deux: et je tessituais sur Ie bord de la plage du Conquet. en position station-naire, a une centaine de metres du sol. Chaque objet. que ;e

distinguais nettement, avait une forme rappelant celie d'uncroissant de lune. de 4 a 5 metres dans sa plus grande dimen-sion; il etait de couleur claire, quelque chose entre Ie gris et Ie

blanc.

lis ne degageaient pas Ie moindre bruit. Du bruit, on allait bien-tOt en entendre un, celui d'un avion qui survolait re s parages.

AussitOt, tes deux engins sortirent de leur apparente immobilite.lis dernarrerent lentement a une vitesse que j'estimais a 10-15 kilometres it I'heure, pour la premiere centaine de metres,puis, franchie cette distance, lis s'elolgnaient Aune allure fulgu-rante que, pour ma part, je calculals. it I'est ime, de l'ordre de4000km/h.

lis sont revenus des que revton s'est e/oigne. J'ai a nouveauregarde ma montre: elle lndlquait 23 heures moins 3 minutes.J'ai pu les observer un nouvelle fois ... Dans leur position station-naire, res deux objets se trouvaient comme aureoles d'une sorte

de nuage gris qui res enserrait a une dizaine de metres dedistance. Chaque engin pcssecett une sorte de "hublot" par oo

u moment oo nous commenc mes 8 percevotr /e bruit d'ap-proche d'un nouvel evlon ...

II atait 23 heures et une minute.

l is sont reoertts comme te premiere tots, a petite vitesse sur centm tres, Ala vitesse d'un meteore par 18 suite. A ceci de different

ue run des objets, celui qui se trouvait a notre gauche, ad marre avant I'autre. lis sont done restes dans notre champV suel pendant 4 minutes."

L ternoln assure en outre que les chiens du voisinage "ontaboye ~ ta mort" pendant la manifestation du phlmomene. UnBrestois, qui a observe un phenorneoe indentlque au mememoment d'un grand imrneuble de Iarue Gambetta a Brest (Bresttant distant du Conquet de 30 km) afait savoir a la redaction dujournal "Le elegramme" ou'ayant contacte un guetteur sema-phorique Ace suiet, ce dernier lui aurait declare qu'il s'agissait

de fusees de lamarine. Ces fusees, retombant enmer ectatralentles parachutes qui les freinaient, donnant ainsi I'aspect de cou-poles. M. Jean-Yves Nicolas rap porte, quant a lui, qu'il a rencon-tre plusieurs personnes absolument dignes de foi qui ont vu Iepnsnomene:

"Je crois, ecrit-II, que I'on peut ctasser les temoins en deuxgroupes:

- Ceux qui etaient presents sur les dunes de ta plage desIBlancs-Sablons au Conquet et sur ta cOte. Ceux-IA. apparem-ment peu nombreux, ont vu distinctement les deux engins a

quelques centaines de metres de distance at teur temoignageest interessant en ce sens qu'ils decrivent des objets dont lacaracteristique et Ie comportement ne rappellent en nen lesphenomenes aerospanaux connus, encore moins les fusees dela marine nauonate. Le jeune Kerlouanais, mil itaire de carriere,connait c'aitleurs ce type de fuse s.

- Les temoins qui se trouvaient dans un rayon de plusieursdizaines de kilometres dont Brest, Camaret, Saint-Renan ... etdont les relations sont similaires: "boules bri llantes" de petitesdimensions". Dans Ie cadre de cette seconde classification, j'al

d'ailleurs rencontre Ie chef d'une station radio de la marinenation ale qUI a observe ces objets ala jumelles depuis Porspo-

1

d r. Sa descript on rejo nt celie du J un K rlouan I".

A I'examen du dossier, force est donc de constater Que Idescriptions sont cohsrentes. Sinon, comment expllqu r que



tant de personnes qui ne se connaissent pas a ent pu avoir une

"vision identique" au miJme moment?

SOURCE:

Enqu'te df1M . Jesn- Yvf1,sNlco/u.

O ' pres: "Le,s OVNI en Bretagne", Jf1an·Fr n~ol Bold e, editions F6rnand

Lanore, Pafls. 1978.

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Une nouvelle observation devait se produire ce m~me 21 juln1976 dans la rade de Brest, a la verticale de la base des sous-marins nucleaires de "lie-Longue. S'agissait-il des m~mesOVNI?

Monsieur X.... gendarme. se trouvait vers 22h 45sur son bateau,200 metres du mOle de l'Auberlac'h dans la rade de Brest. Les

deux objets ataient alors a la verticale de la base:

"II s'agissait de deux boutes lumineuses, de m~me force, decouleur jaune, scinti llantes. Elles etaient immobiles, it environ7 metres de distance rune de I'autre. J'ai vu immed atement qu'll'agissait d'un phsnomene inhabituel. J'ai arr~te Ie moteur de

mon bateau pour ecouter si un bruit provenait de leur direction.

II n'y en avait pas. II ne pouvait s'agir de fusees tancees de labase, elles auraient talsse une trainee. et ce n'etait pas Ie cas. J'aieu tout Ie loisir d'observer calmement ces deux lumieres pen-dant 9 minutes. La premiere, cOteBrest, toujours immobile, s'estprogressivement redutte au diametre apparent d'un baiton defootbaU. Puis elle s'est eteinte. Trente secondes plus tard, ladeuxleme boule lumineuse a donne I'impression de descendrelegerement. Son volume a egalement diminue et elle a disparu".

SOURCE:

Ouest-France enqu"e au Group "Adf1p$-Atlantique",

Au debut du mois de fevrier 1977, M. et Mme Marcel Conanrentraient d'une soiree passee entre amis a Quimper. II etait

4 heures du matin lorsqu'i1s arrivsrent a leur domicile, au lieu-dit"Tregalet" en Ploneour-t.anvern.

93

me Conan e prep rait a sa coucher dan ch mbre tuau premier etage lorsque son attention fut atUree par Iep sagelent d'un objet lumineux, de forme spherique, au-dessus de la

m nl I.bruit ourd contlnu et la malson s'e t mise. trembler aI'lnsl nt ou, emble-t-II, rob;el esl passfJau-dessus.Ces phano-m n ont cesse brusquement (de la mAme tacon par exemple



ligne d'arbres situes en contre-bas de leur propriete, solt a unedistance de 100metres environ. L'objet, de couleur blanchemais non eblouissante, semblait arriver de t'arrlere du village deTragalet et poursuivait une trajectoire descendante a faiblevitesse. L'OVNI avait une proportion approximative de 20centi-metres de diametre :ses contours etaient extrsmement nets. II a

semble se poser dans les prairies avoisinantes, en bordure de laroute communale. Madame Conan ne s'est pas attardee sur cespectacle, etant plus preoccupee a se couchsr en raison deI'heure tardive.

"Cela avait I'air d"tre prolate" a-t-elle rajoute.

Les chiens, pourtant nombreux dans Ie vil lage, n'ont pas aboye.

SOURCE:

Enqulte de Christian S;v(,re et Jean-F'.n~oi$ 8011dec.

- LIEU-DIT "PONT-ARS 1977-2H30L

TOUL" EN LAZ

M. Andre Siriou est membre d'une secte rehgieuse d'origineindoue qui s'est installee sur Ie territoire de la commune de Laz,au Heu-dit "Pont- Toul". M. Siriou nesesouvient pas exactement

de la date de I'observation qui dut se produire au mois de mars1977, selon toute probabilite: "on commencatt a tailler lesarbres a cette epoque" dit-i l.

Vers 2 h30, un des membres de la secte s'est leve pour allerunnar a I'exterieur de la maison, cOte fa~ade nord, lorsque,subitement, II a entendu un bruit sourd semblant provenir de"autre cOte de la maison. II a alors apercu dans Ie ciel, a unealtitude qu'il evalue a 400-500 metres, un objet ovoide totalementnorr, assez grand. Cet objet, dont iI n'a pas pu apprecler lesdimensions angulaires, avancalt a une vitesse lente et regutiere

a laverticale de la maison. Au mAme moment,les autres adeptesde ta secte qui se trouvaient a I'interieur. ont entendu distincte-

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que la lumiere disparait lorsque I'on actlonne I'interrupteur).L'objet se dirigeait vers Ie bourg de Laz lorsque. subitement, it afait deml-tour et est revenu sur sa tralectolre d'origlne, dans Iens oppose, a la mAme altitude. Au moment ou it est repasseu-dessus de la maison. Ie bruit et les tremblements ontrecommence ...

Andre Siriou precise qu'il a entendu, pour sa part, en plus dugrondement, "comme un sifflement". Quant a lapersonne qui setrouvait a I'exterieur, elle a distinctement observe trois feuxrouges a I'avant de I'objet.

Le survol de cet objet avait ete slgnala a la brigade de gendarme-rie de ChAteauneuf qui, compte tenu du contexte, n'a pas crubon de se deplacer. O'autre part, a la mAme epoque, un cultiva-teur aurait observe, plusieurs solrs, des "soucoupes volantes"dans Ie mAme secteur.1I n'a malheureusement pas ate possibled'interroger ce dernier qui respecte un mutisme total. Par

contre, I'ancien meunier de Laz, qui travaille dans une menuise-rie du bourg, affirme quant a lui avolr vu u n y a quelques ann.toune "sphere lumineuse bizarre" qui evoluait selon une trajec-loire rectil igne au-dessus des maisons.

SOURCE:

Enqu'te de "auteuf.

16MARS 1977 - 23H - VAL'L~E DE "LAEN POULLAOUEN

Gendarmerie NationaleGroupement du FinistereCompagnie de ChAteaulin

PRtAMBULE

Le vendredl 22 avril 1977, a 16heures, au bureau de notre bri-gade, sommes aVlses t8lephoniquement par une personne desl-

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r nt garder I'anonymat que M. T.F., cultivat ur, d m ur nt auIi u-dlt... commune de Poullaouen (Finist~re) auralt apercu. II ya quelques jours, un Objet Volant Non Identifle. Nous nous

rendons lmmedlatemsnt sur les lieux.

I'&cl Ir g d'un v h cui .

ux lours plus tard, T.F.lui yant demande si elle n'avalt rien vuns la vattee de "Land-Venn", elle s'est souvenue d'y avolr vu



~TATS DES LlEUX, CONSTATATIONS

En compagnie de M. T.F., nous nous rendons a I'endroit ou II avu un OVNI. 11s'agit d'un champ exploit6 par M. G.J. de K~ry-

voal, situ6 au Ueu-dit..., commune de Poullaouen.

Ce terrain qui est situe a environ 2 kilometres et demi au nord-est du bourg de Poullaouen, est bord6 au nord par un chemin

d'exploitation reliant les villages de Trohoat et Resparcou. IIs'agit d'un champ d'une superficle de 10hectares environ, dontla partie bordant Ie chemin d'exploitation est tabouree.

CONSTATATIONS

Aucune constatatlon n'a pu Gtre effectu6e a l'endroit ou setrouvait l'engln, car Ie champ, selon M.T., a ete laboure depuis

I'apparition de I·OVNI. M.T. etait sur Ie chemin d'exptottatlonlorsqu'il a 6t6 ebloui par feng," qui se trouvalt a environ

10metres dans Ie champ.

NQU~E

Le 22 avril 1977, entendu a son domicile, M. T.F. qui nous

declare:

"Qu'll y a une quinzaine de jours, vers 23 heures, iI rantralt a sondomicile en v6hicule 2 CV Citroen, torsqo'tl a eta ebloul par une

tumlere aveuglante. II a stoppe son vehicule et apercu, ~10metres dans un champ, un engin lumineux de Ia forme d'unetoupie, tournant sur place en emettant des lumi~res rouges,

bleues, jaunes et blanches.

"L'engin, qui ne talsalt aucun bruit. est brusquement monte enfleche et s'esr eteint pour ne plus reparaitre" (PV audition, piece

n02) .

Le 23 avril 1977, entendue au bureau de notre brigade, Mme

L.F.S. qui nous declare:"Que Ie 16mars 1977, vers 23heures. elle rentrait a son dom ici Ie,

venant de Trohoat, lorsqu'elle a apercu une 'live lueur eclairantla vallee de '4Land-Venn". Sur Iecoup, elle a pense qu'iI s'agissait

96

un 'live lueur.

lie pense que les dires de T.F. peuvent lttre pris en consldera-ton. (P.V. audition, piece no3)

23 avril 1977, par message radio n° 101, nous avons renducompte a notre commandant de compagnie de I'apparition de

"OVNI.it et clos a . . . Ie 11 mai 1977.

Ce jour, 22 avril 1977. entendons a son domicile: M.F.L., 54ans,cultivateur, demeurant a Poullaouen, qui nous a declare a18 heures:

"II y a une quinzaine de lours. sans que je me souvienne de lad te exacte, vers 23 heures. a bord de rna voiture 2 CV Citroen. jerevenals du village de Resparcou ou j'avais e ta prendre un sac

d'engrais, lorsqu'en arrivant au lieu-dit.. .• rai vu une 'live lueur.J'ai cru tout d'abord qu'une autre voiture venait en sens inverse

avec des phares tres puissants. J'al continue ma route en serrantau maximum rna droite. A mesure que i'approchats, la Iumleredevenait de plus en plus intense et, finalement, j'ai ete oblige dem'arrster, etant comptetement ebloui. J'ai ferma les yeux.

Quelques Instants plus tard, j'ai apercu un engin de la formed'une toupie de 5metres de diemetre environ, avec un sommet

pointu pouvant atteindre 10metres de hauteur environ. II setrouvait ~ 10metres de moi dans Ie champ appartenant a J.G.,demeurant a K6rivoal en Poullaouen.

Cet engin tournait sur Iul-mema sans changer de place, a unevitesse folie, et emettatt des lumleres vives de couleur rouge,blanche, bleue et jaune.

J'ai eu tres peur, mals, malgre tout, j'ai ouvert la portiere de mavolture et je suis sorti en prenant la manivelle pour me defendreeventuellement.

Je suis reste ainsi a regarder I'engin ~rant un temps qui m'aparu ~tre de dix minutes environ, lorsque, tout a coup, il estmonte en fI~che et s'est 6teint completement. Je ne I'ai plusrevu.

Je suis rentre chez moi at j'ai raconte la chose a mon epouse.

97

t nl tr nerve el fortement emu par la vu d cet ng n, j n' Ipas dormi de la nuit.

Le lendemain, le me suis rendu sur place, et j'ai constate, AI'emplacement ou se trouvait "engln, des empreintes de quatre

coul ur, bleu ,roug .jeune et blanche. L'engin sera t resten ptac 10minutes environ, PUIS aurait dlsparu subitement.

23 avril 1977 A 11heures.



pieds dans la terre meuble. II s'agit de traces mesurant chacune20centimetres sur 10centimetres et distantes t'une de I'autre de2 metres environ. Ces traces n'etaient pas profondes.

L'objet ne faisait aucun bruit.

J'ai garde cette affaire dans la famille sans "ebrUlter. Deux outrois jours apres, je me suis rendu chez ma cousine, Mme L.F.S.A Hellez-Riou, et elle m'a fait part qu'elle avait egalement vueune vive lueur emanant de rendrott. Je lui at ators explique ceque j'avais vu. Cepuis cette date. Ie champ a ete taboure, enconsequence, aucune trace n'est visible.

Le 22 avril 1977, A 18 h 30.

Ce jour, 23 avril 1977, entendons au bureau de notre brigade,Mme L.F., nee G.S., 52 ans, cultivatrice, demeurant a POul-laouen, qui nous declare a 10h 30 :"II y a plus d'un mois, ie pense Ie mercredi 16mars 1977 vers23heures. je rentrais Amon domicile AHellez-Riou, revenant dulieu-dit Trohoat ou j'avais ete rendre visite a Mme T.• lorsque,conduisant mon vehicule automobile, j'ai apercu une grandelueur venant de lavallee. Sur Iecoup, rai pense qu'll s'agissait dela tumlere des phares de la voiture de mon cousin, T.F., quirentrait a son domicile, et je n'y ai pas pr6te plus d'attention.

Deux jours plus tard, mon cousin T.F. s'est presente a mondomicile et m'a demande si I'autre soir, alors que je rentrais de

Trohoat a 23 heures, je n'avais rien vu de special. Je me suissouvenue A ce moment de la lumlere que i'avais vue dans lavauee et, retrexion faite, je me suis rendue compte qu'lt m'etaitimpossible d'avoir vu des phares de voiture a cet endrolt, etsurtout des phares de "2 CV" Citroen qui n'eclairent pasbeaucoup.

J'ai dit a T. que j'avais apercu une lueur vive dans la vallee.

II m'a raconts que, venant de Resparcou et se rendant a . sondomicile, it avait ete oblige de s'arrster au tlau-dtt.. .•du fait det'apparttion d'une lumlere aveuglante. II m'a en outre racontequ'un engin en forme de toupie s'etait posee dans Ie champbordant la route. A 10metres de lui, et qu'il ernettait des lurnieres

98

SOURCE:

Oendarm.ri. NatIonal.

\

.. .

16 mars 1977 - 23 heures - Vafl6e de "Land-Venn" en Poullaouen.

•Cet engin tournan sur lui-m m sans changer de place. a un vitessefolie, en ~mettant de$lumi~res Vives de couleur rouge, blanche. bleueet jaune, J'ai au .res peur. mais, malgre tout. 1'alouvert la portl re dema voiture et je suis sorti en prenant la manivelle pour me defendre".

T.F.

99

14 JUILLET 1978 - 0 H 30VOlE EXPRESS BREST-MORLAIX

c979 - 22 H - SA



HAUTEUR A~ROPORT DE GUIPAVAS

Le 14 juillet 1978, vers 8 h 30, MM. Alain L verge, technicien auCentre Oceanologlque de Bretagne et Albert ,i:lies, artisan a

l 'Aber-Wrach, circulait sur la departementere 67, a la hauteur dupont de la voie express, peu avant Ie premier carrefour condui-

sant a I'aeroport de Guipavas. ..

lis rernarquerent une boule lumineuse se dirigeant approximati-vement dans Ie sens contraire. M. t:lies, qui etait au volant,rangea ators sa voiture sur Ie cOte de la route et, avec M.Leverge. sortit pour mieux observer la boule lumineuse, qui finit

par se perdre dans les nuages.

II s agissait d'une sphere lumineused'un blanc bleute, d'un eclat

intense et constant, dont Ie diametre apparent avoisinait Ietiersde cetui de la lune. Dans un silence absotu, l'oblet poursuivit unetrajectoire rectillgne N.NW-S.SE, d'un mouvement uniforme.pendant 2 a 3 minutes, puis sembla seperdre dans les nuages. Adeux reprises, pendant quelques secondes, une lurniere oran-gee apparut sous I'objet, antmee d'un petit mouvement de

balayage horizontal.

Apres leur observation, las temoins se rendirent a la tour de

contrOle de I'aeroport qui etait malheureusement fermee.

Jusqu'alors, les temoins n'avaient [amats vu d'OVNI et n'y

croyaient pas. M. Leverge, qui a fait son service militaire dansraeronavate, a partlcipe a la course Canaries-Antilles a la voile.et a, par ailleurs, eu I'occasion d'observer des satellites ameri-

cains et sovietiques.

SOURCE:

En·qu.te de M. Robflr1 eetc!Ingllnieur en chef ~ III m~t~orologie nations/e

Centre Oc~ nolog que de Bretsgne - Sre t.

10 0

itA 22 heures, M. J.Y. Plouzennec a VU , en se promenant, au Iques metres du sol. un enorme engin immobile.

forme clrculaire, d'un dlarnetre de 15metres environ, robjetm Uait un halo bleute.

Au bout de deux minutes, iI disparut a une vitesse prodigieuse."

OURCE:

L TfJ(flgrammo de Brest - 22Janvier 1979.

15 JANVIER 1979 - 22 HA FEUIL ~E - POULLAOUEN

Vers 21 heures, M. et me Le Cam, commercants au bourg de La

Feuillee, ont observe l'evolution d'une boule lumineuse. Elle sedeplacatt lentement dans un clel degage de tout nuage, auud-est de I'agglomeration. tis aterterent plusleurs voisins,

notamment M. Louis Ferrelec, correspondant local d'Ouest-France. Bient6t, une dizaine de personnas put contempler Iephenomene. Prevenu par M. Ferrellec, Ie correspondant deCarhaix, accompaqne de deux personnes, a vu, distinctement,

dans Ie prolongement de PjPunevezel at sensiblement a Iaverti-cale de Poullaouen, une boule lumineuse.

Elle faisait jaill ir par intermittence des "eclabcussures" mult ico-lores dont les tons variaient du rouge vif au vert tendre avant detourner au bleu.

Les rayons taissaient deviner un mouvement giratoire de I'en-

gin. Le pnenomene dura environ 20minutes. L'objet pris ensuitede "altitude et se confondit aux etones.

SOURCE:

Oue t-Fr nc«

Enqu'te dIJ l a Brig de de Gendefmer,e de Hu Igoal.

101



Le mardi 16 janvier 1919, plusieurs habitants de La Feulll6e ont

observe un nouvel engin (s'agissait-il du m6me 1) ~ /s vertics/ede /a centrale nuclila;re de Brennilis.

II semble que ce soit Iem6me phenom~ne qu'a observe, Iem6mejour, a la mAme heure, I'epouse de M. Sebastien Bechenec,

agriculteur a Trebehoret pres de Pont-I'Abbe. L'objet. une"boule rouge", possedait des rayures sur sa partie visible.

"II etait tres loin, presque a toucher terre, en direction de I'est.puis on I'a vu s'elever dans Ie ciel" affirma-t-elle. Notons quePont-I' Abbe est situe a vol d'oiseau a plus de 10kilometres dans

'ie sud-ouest de Carhaix".

SOURCE:

"Ouu,·Franc.".

24 JA VIER 1979 - 7 H

POU DERGAT

ATIN

Vers 7 heures du matin, un meumer retraite de Pouldergat a vudans Ie ciel un objet volumineux de couleur orange se depla~ant

lentement.

L'objet, de forme ovoi'de, prit une couleur rouge vif et disparut

apres plusieurs minutes d'observation.

SOURCE:

"Le T"lgramme de Br.st"' - 30 janvier 1979

102

ntre 20 h 30 et 21 h, M. E. Lambert et d'autres personnes ont vu,"ouest, un objet partir du sol comme un eclair.

C'etait un point lumineux comme une noix d'un rouge vif,

ntoure d'un halo bleutet

qui se deplac;ait en clignotant.

OUReE:

' O L e TflIlgramme de Brest" - 30 Jan,,;.r 1979.

19 MARS 1979 - 21 H 15 ET 21 H 45VOlE-EXPRESS MORLAIX-BREST

Mme Noelle Riffault est second-maitre a la base aeronavale deLandivisiau.

Le 19 mars 1979, elle affarme avoir vu un OVNI "en forme degrillage, de couleur gris", alors qu'elle circulait sur la voie-express, de Morlaix vers Brest.

Dans sa deposition a la gendarmerie de la base aerie nne, MmeRiffault precise que I'objet volant lui etait apparu une premiere

fois vers 21h 15.en un point situe a 5 km de la tour de contrOle deI'aeroport de Brest-Guipavas. II avait alors, selon elle, la formed'une fusee.

"Je n'y ai d'abord pas attache d'lmportance, parce que je n'ai

jamais cru aux OVNI. a declare Mme Riftault. Cependant, a monretour de Brest, une demi-heure plus tard, l'obiet se trouvaittoujours au m6me endroit, immobile, a deux ou trois metresau-dessus de ma voiture ... II avail alors la forme d'un grillagevolant gris sombre, avec les contours geometriques bien dessi-nas d'un carre d'environ trois metres sur trois",

SOURCE:

Base Aflronav,'e Land,vis/au.

"Le T"~gramme de Bres:", r~daction de Brest.

Enqu"e C.N,R. OUlmper, R(}my Guflguen,

10 3

r mm d r t" Pould rg t (ou I d m ure) m'kr t :

till m' t arrive de recueillir, a plusleurs reprises, t6mo -nage dan la commune concernant les Objets Volanta NonIdentifl6s. Dans deux des cas au moins, j'ai ete trM intrigue, je I



Vers 1 heure du matin, deux jeunes gens ont vu, en direction deSaint-Pot-de-Leon. une forte tumlere bleu-vert, clignotante.

L'un d'eux prit des photos de I'objet.

Soudain, la lumrere se depla~a dans Ieciel avant de sestabuteer.pUIS, quelques minutes plus tard, elle partit tres rapidement en

. laissant derriere elle une enorme gerbe d'etincelles avant dedisparaitre.

Cette meme nuit, les radars de la base ai#ronavale de Landivisiausont tomb9S en penn«.

SOURCE:

t» T(JI(Jgrammede Brest - 77 Janvier 1980

6 AVRIL 1980 - 2 H 15 - POULDERGAT

Vers 2 h 15, a "La Carriere", M. et Mme Le Floch apercurent unOVNI se deplaC(ant a vive allure de part et d'autre de la route,puis, s'trnrnoblusant a bonne distance de leurvoiture. Peu apres,

I'OVNI disparut pour ressurglr derriere un rideau d'arbres, s'ar-

rAtant un instant au-dessus du pylone du radio-phare de Ploneisavant de disparaitre .

SOURCE:

Le T(Jllgramme de Brest

8 avril 1980

Voir egalement I'observation faite par M. Marcel Le Floch aPoulderqat. Ie 26 mars 1974 (enquete C. Severe, R. Gueguen et

J.F. Boedec).M. Andre Piton, correspondant local du quotidlen "Le Telt.-

104

r connats, par la nature insolite des objets apercus. et Ie rieuxdes personnes en question dont IIest diff ic.le de mettre labonnefoi en doute. Une precision: II s'agit de deux personnes de lamAme famille: Ie pere et Ie fils.

Andre Piton, 19 janvier 1982.

UNDI 7 AVRIL 1980 - 3 H 15 - BRESTPARe DES LOISIRS DE LA PENFELD

"Un electricien brestots qUI circulait lundi, vers 3 h 15, a hauteurdu Parc des Loisirs de la Penfeld, a observe un OVNI.

Cet homme, Age de 32 ans, etait occupe a piloter sa "Datsun"neuve lorsque son epouse, assise sur Iesiege avant, I'at ire par tamanche pour lui indiquer un phenomene :une lueur en forme de

demi-cercle orange, immobile, empanachee d'une fumee noire.Le mari s'est moque de son epouse jusqu'au moment ou il alui-m6me ete confrontlt au phenomene ... L'engin avait la formed'un demi-cercle avec couvercle plat. A cette distance (unecentaine de metres), iI paraissait mesurer un metre. Interroges,les techniciens du Radar de Bretagne n'ont rien remarcued'anormal durant la nuit de dimanche Alundl. L'officier de gardea cependant precise qu'il est deja arrivequedes pilotes d'avionsleur signalent des phenomenes genre OVNI".

SOURCE:

"Le T(Jrfgr.mme de Brest", 12 avril 1980

105

"Oeux boules de feu poursuivent une voiture '.

••



"J'al cru que c'etait la fin pour nous et je ne souhaite a personneune telle frayeur". M. Christian Thomas, gerant du magasin"Coop" de Plougonven (Finistere) etatt dimanche dernier auvolant de la "Renault 20" dans laquelte se trouvaient sa femme,

ses trois enfants et deux neveux. II etait aux environs de23 heures et la voiture roulait Ie long de la corniche de Saint-Efflam.

A ce moment, I'attention des passagers de la "R 20" est atnreepar deux boules d'un rouge incandescent, de la grosseur dedeux poings, et QU ils situent au-dessus de la mer. Jusque-Ia,personne n'est inquiet car les deux boules descendent lente-ment, ala mantere de feux d'artifices. La voiture entarne alors lamentes vers Plestin-les-Greves, quand Mme Thomas et lesenfants s'ecrient:

- "Les boules sont derriere nous, au-dessus de lavoiture ~Ellesnous poursuivent l"

Selon les temoins, elles avaient grossi at atteignaient au carrs80 centimetres de diametre. M. Thomas s'arrste alors au carre-four de I'entree du bourg: tes boute« font demem«. IItente atorsde leur echaoper en accelerant a 130km/h et s'arrste de nou-veau 400 metres plus loin. La panique s'empare des passagersde la voiture: M. Thomas avise une maison aux fen~tres eclai-rees, celie de Mme Meuric. Tandis qu'il court s'y refugier avec safamille, tes boules de feu quittent Iedessus de ta voiture et vont

se perdre vers la gauche, dans Ie clrnstiere. en emettant unegrande luminosite. Mme Meuric est cateqcrlque: elle, aussi, a vuIe phenomene. Pendant trois-quart d'heure. les Thomas, apeu-res, vont demeurer dans cette matson hospltatiere et, finale-ment, avec apprehension, reprendre la route.

Mais il ne se passera plus rien. tnterroqes par nos soms, M.Thomas et sa petite Kannenous ont donne I'impression d'unepartaite bonne foi. Ajoutons qu'une declaration offlcielle a etefaite a la gendarmerie de Plestin-les-Greves".

SOURCE:

'Lo T~/~gr mme do Brost". 11soplombro 1 80.

106

"Vendredi dernier. vers 23 heures, M.et Mme Christian Thomas.leurs trois enfants et deux neveux quittent Ploubezre, pres deLannion, et regagnent Ie Finistere. Tout se passe bien jusqu'au

moment ou, peu avant Plestin, deux boules de feu se mettent ales poursuivre. Elles ne les quitteront pas pendant pr s de deuxkilometres. Plus precisernent iusqu'au moment ou, apercevantla Iumiere chez M. et Mme Meuric, M. Thomas immobilise savoiture. es boules de feu sont a une bonne centaine de metresde la matson, juste au-dessus des saplns, dernere Iecimetiere.Elles disparaissent alors en Quelques secondes, dormant t'im-pression de descendre vers Ie sol.

Mme Meuric, elle, se trouve dans son Jardin, d rriere la maison.Entendant une voiture s'arreter, elle s'affole. "J'ai pens a autre

chose, explique-t-elle. A une attaque de bandits. J'ai aussnetcouru vers l'entree de rna maison, eteint la tumtere sous la

marquise. La dame m'a dit:- "Nous sommes poursuivis par des boules rouges". J'aiencore cru, poursuit-elle qu'eue faisait allusion a des gangs-ters. Je me suis alors sntermee chez moi. It

me Meuric, entre-temps, a la duree de Quelques secondes,apercut res deux boules rouges, mais gardait a resprtt I'obses-sion d'une attaque. Elle appelle son marl, M. Meuric. qUI des-cend aussitOt. Dehors, ta famille Thomas tambourine a la porte.

M. Meuric ouvre la fen~tre: "J'ai tout de suite vu Qu'il s 'agissaitde braves gens."

La porte s'ouvre donc. es epoux Meuric accueillent la famille

affoh~e. "lis etaient, note M. Meuric, cornpleternent defigures.Les enfants, surtout, etaient parttcutierement excites. Dans lavolture, ils n'ont cesse de pleurer et de crier."

Enfin,le recontort arrive pour ces sept personnes. Elles repren-nent quelques forces pendant trois-quart d'heure, durant les-queues M. Thomas retait Ie parcours en sens inverse, encompagnie d'un automobiliste de passage. Plus aucune trace

des boules bizarr s. II leur faut malgre tout reprendre la route

107

·contr I gr d enfant d'atlleurl, qui v ul nt r st r PI stin.Personne n'est v ritablement tranquille. II ' ut encore traverserdes secteurs deserts. La 'rayeur pourralt bien revenir. Elle nereapparaitra pas heureusement".



Remy Le Duff

UIT DU 28 AU 29 NOVEMBRE 1980 - 4 H 10DAOULAS

"Deux ieunes lilies aUfaient tecu une decharge electrique d'un

OVNI ~ Daoulas"

"On ne parle plus que de cela a oaoulas. Deux jeunes fil les de latocante ont ete temoins d'un fait etrange, dans la nuit de ven-dredi a samedi. Si etrange qu'elles n'ont pas voulu tout de suiteen parler aux gendarmes.

II etait 4h 10 du matin. Mile Dominique Sothorel, 21ans et sasceur Jocelyne, 2Oans, la premiere etudiante a Brest,la secondesurveluante d'internat a Landivisiau, circulaient en voiture sur lavoie express Brest-Quimper, lorsque leur attention fut attlreepar deux points insolites dans Ie ciel. "Des points a peine plusgros que les etoiles, I'un lumineux, I'autre blanc", ont-ellesexplique. l is leur apparurent a la hauteur de la commune deDirinon et se deplacerent dans la m6me direction qu'elles.

En les regardant avec plus d'attention, elles eurent I'impressionque ces points se situaient au-dessus d'un objet de forme circu-

laire. BientOt, elles n'aperc;urent plus qu'une seule tache lumi-neuse au milieu d'une masse cotonneuse, large d'une bonnedizaine de metres. En m6me temps, toujours selon leur deposi-tion,les deux sceurs rec;urent une petitedecharge electrique a 1 8

gorge.

EHray6es, elles se precipiterent chez leurs parents qui habitenta l'entree de Daoulas. O'est-a-dire quelques centaines demetres plus loin. Aucun autre automobiliste ne setrouvait sur laroute a ce moment-ta. ont-elles precise.

SOURCE:

rt» TlI llgramme ~ Brest", ~dit ion Brest. 2 dkembre 1980.

1 08

Aperc;u dimanche soir. a 21 h 52, par un ambulancier localI ciel de la gare de la For6t, alors qu'il rentrait de Moelan, uneboule lumineuse, de la taille d'un ballon de football, couleurbteu-etectnque, se dirigeant de Clohars vers MeUac. OVNI?

Simple illusion d'optique? Le mystere reste entier. Du cOte deMellac, aucun atterrissage insolite n'a ete signale.

SOURCE:

"Ou st-France", 10.12.80, ~dition QUlmperl1l

NUIT DU 26 AU 27 JANVIER 1981 - 0 H 15MONT SAINT-MICHEL DE BRASPARTS (Mon-tagne d'Arr6e)

"Encore un OVNI dans /e cie/"

"L'objet ressemblait a un baUon de football quand ilse dirigea enplein sur moi", explique, encore interloque, un jeune radio-amateur de 21 ans, Alain Le Guedes, de Sizun. II se trouvait envoiture avec un autre radio-amateur au cours de la nuit de lundia mardi, sur IeMont Saint-Michel de Brasparts. "C'est un endroitideal pour emettre en B.L.U. (Bande Laterale Unique) versI'etranger, explique-t-i l. En fait. je correspondais avec des gens

de Lannion. Sibiril, Brest et Crozon qui peuvent tous soutenirmon temoignage".

IIetait 0 h 15,lorsque M. LeGuedes apercut, dans ladirection dela baie de Douarnenez, un objet brilfant, "pas plus gros qu'une

piece de un tranc", filant a toute vitesse et grossissant a mesurequ'iI s'avanc;ait vers lui. "II eut la taille d'une orange puis d'unballon de football, d'un blanc aveuglant, entoure d'un halo",

raconte-t-il.

"J'ai bien cru qu'Il toncait vers ma voiture. Mais il obliqua avant

de dispafaitre brutafement, ae t« mfJme/8~n qu'une lampe qui

s 'eteint".

109

L ci I 6t I t trM clair. Nibrume ni nuage. "J' Ipen d' bord lachute d'un satellite ou d'une m6t~rite. mal je n'al rlen remar-

que d'anormal par la suite a I'endroit ou cet objet a dlsparu.

Pendant ce temps (ce fut tres court. juste 4 a 5 secondes), les

nviron, I .. rcur tl d'A r-Int r, n bout

te, I' t, 'appr tait a d coller pour Paris. A la tour dontrOle et au SOl.chacun etalt ,. son poste.

out a coup, on entendit dans les haut-parleurs de la tour la voix



radio-amateurs brestois avec lesquels II eta it en contact, ontremarque une lueur ~ I'endroit qu

i

;/ leur signa/ait".

SOURCE:

"Le T"'gramme de Bres,", 29 ,envier 1981. tdition Brest.

FIN NOVEMBRE 1981 - PAS DE DATE PR~CISE(QUELQUES JOURS AVANT 'AFFAIREDE L'A~ROPORT DE BREST) - 19 H 45ILE D'OUE SA T

"OVNI DANS LE CIEL OUESSANTlN?"

Plusieurs Ouessantlns affirment avoir apercu, dimanche soir.au-dessus de I'ile, un objet volant non identifie.

L'objet, de couleur orange. rouge et vert. serait apparu a 19h 45,et venait de la direction du sud-est.

II aurait ete visible pendant une quinzaine de minutes.

SOURCE:

"T"fgremme dfJ Bre$' '' , l in novembre 8'.

22 OVEMBRE 1981 - 8 HA~ROPORT BRE T-GUIPAVAS

"Un OVNI observ« eu-dessu« de I'atJroport d~ Brest".

"Avec huit temoignages de premiere main, dont deux v~us endirect par la tour de contrOle de I'aeroport de Guipavas, lesgendarmes de la brigade des transports aeriens disposent d'el6-

ments surs. II s'est passe quelque chose de pas normal.dimanche matin au-dessus de raeroccrt.

110

'un des deux pompiers de service:- 'Une masse lumineuse se deplace au-dessus de I routeouesnou-Guipavas. On dirait que c'est un aeronet qui se pre-

pare a atterrir.

Le temps que les contrOleurs, en liaison avec Iepilote du "Mer-cure" qui egrenait sa check-list, mettent Ie nez a la fenAtre, Iephenomene avait disparu.

'Des etincelles sont sorties de I'engin et, tout d'un coup, on n'aplus rien vu", exptlqusrent ensuite les deux pompiers aux gen-darmes. lis preciserent aussi que I'OVNI ne faisait aucun bruit.

Depuis avant-mer matin, six autres temoignages sont venusetaver I'observation des pompiers. Ce sont ceux de joggersmatinaux qui couraient en bordure de l'enclos de l'aeroport.

'L'engin avait "allure d'un ball on de football rouge, il semblait

suivre une voiture sur la route de Gouesnou, PUIS il s'est immo-bilise et a dlsparu en talsant des etincelles. Peu apres, Ie "Mer-cure" d'Air-lnter decoltalt sans que personne n'apercolve quoique ce soit d'anormal, rn depuis lie bord. ni au sol".

SOURCE:

"t»Ti'''gremmfJ de Brest" , 24 novembre 7987.

"L'OVNI S'EST ~VANOUI A L'ENTR~E DE LA PISTE"

Tous les temoignages recueillis par les'gendarmes de la Brigadedes Transports Aeriens concordent sur la description du pheno-

rnens : dimanche, vers 8 heures, alors que Ie "Mercure d'Air-Inter" s'apprstait A decoller pour Paris, "une boule d'unrouge-orange" s'est soudain deplacee au-dessus de la route quimene de Gouesnou Al'aeroport de Guipavas. Ense rapprochant

d'eux, les Six temoins (dont deux pompiers de service et deschasseurs) ont observe que "Ia boule s'allongeait et prenait une

forme elliptique". Puis elle a sutvi un "plan de descente suri'aerodrome, comparable a celui d'un avion qui atterrit", avant

111

de ' anourr ... brusquem nt ~ I'entr d la piste. B n sur, c tendrolt, ainsi d'ailleurs que la parcelle qui precede Ie terra ndla'l iation, ont ete fOUilies methodtquement. Mais ce ratissage

n'a rien donne. L'objet volant n'a laisse aucune trace et comme iln'a pas degage d'odeur ni provoque de bruit partlcuttsr, l'en-



quAte de la brigade de raeroport n'a pas permis de I'identifier.

"Le Telegramme de Brest", 25 novembre 1981.

INFOR ATIONS CO PLt:MENTAIRES:

L'OVNI a e t e dtMecte par tes radars de raeroport et deux photo-

graphies ont ete prises. Malheureusement. cas cliches ne sontpas tres nets, Ie manipulateur de I'appareir s'etant precipite.

112

~TUDE SUR LES APPAR TIO S D

PH~NOM NES AEROSPAT'AUX

NO IDEN IFIES

DA S I IS RE

*

SECONDE PARTIE

~TUDE STATISTIQUE DECOHt:RENCE DESTt: OIGNAGES

~13

CARACT~RISTIQU DU DOCUM NT 0 BAS

Rl:SUMI: OES CAS OU CATALOGUE

- R~PARTITION DU PH~NOM~NE DANS L'ESPACE :



SOMMAIRE

114

- Polnts d'observation sur Ie departernent ;- Commentaire general sur la repartition du phenomenedans I'espace;- Repartition du phenomena dans I'espace:exemples d'observations se produisant a la merne heure.Ie

meme jour, dans des endroits differents ;- Distribution spatio-temporelle du phenom ne: deuxexemples frappants de constance de lieu,

- R~PARTITION DU PH~NOMENE DANS lE TEMPS

- Tableau de r partition annuelle:- Repartition mensuelle avec superposition du diagrammedu fichier national de ta gendarmerie;- Repartition horaire avec superposition d s observationsde type "rapprochees".

- R~PARTITION DU NOMBAE DE TEMOINS PAROBSERVATION:

- R~PARTtTION DU NOMBRE O'OBJETS OBSERVES PAR

CAS

- TABLEAU DE REPARTITION DES FORMES OBSERV~ES

- TABLEAU DE REPARTITION DES COULEURSOBSERV':ES

- COMMENTAIRE G~NERAL SUR LES FOR ES ET LES

COULEURS

- CIACONSTANCES DE L'OBSERVATION: CONDITIONSMETEOROLOGIQUES

- CARACT~RISTIQUES DU MOUVEMENT

- MODIFICATIONS DE l'ENVIRONNEMENT

- NOTES:- La notion "Observation" est- lie ~ remettre en cause?- Quels sont les parametres qui cerecterisent les pheno-menes a rospatiaux non identifies? Ou principe d'incerti-

tude ~ I'absence de schema coherent.

- C QU'ILS EN PENSENT (opinions)

11

CARAC ~RI08.1920

1938rest .

. Qulmper .......•...........................



Ce document comporte 81 rapports sur les apparitions de phe-nomenes aerospatiaux non Identifies. lis comprennent:- Observations terrastres .:....................... 71 cas

- Observations maritimes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 casParmi ceux-cI,1I y a 16cas d'observation a courte distance. Danscette categorie, nous comprenons les cas OU t d'apres les esti-mations de I'observateur, ladistance de I'objet etait de I'ordre demoins de 100metres.

La malonte des observations ont ete faites a I'cell nu. Dans 4 cas,des instruments ont ete utilises: jumelles et radars.

Sur ces 81 rapports, 11cas ont fait I 'objet d'un rapport officiel oud'un document de service:

- 8 enqulttes de Gendarmerie Nationale avec prcces-verbat:- 1 document de service d'archives au Centre Regional de laNavigation Aerienne Ouast au radar de Plougastel-Daoulas;- 1 enql,fltte et 1 procss-verbat de la Brigade des TransportsAeriens de raeropcrt de Brest-Guipavas;- 1enqultte et 1 proces-verbal par la Gendarmerie de la BaseAeronavale de Landivlsiau (affaire Riffault).

Pour 24 autres cas, des enqulttes privees ont ete realisees sur Ieterrain:

- 3 enqulttes par Ie correspondant brestois du Groupement

d'~tudes des Phenomenes Aeriens de Paris (GEPA) :M. PierreGestin. .- 2 enqulttes par les correspondants de Lorient de la revue"Lumtsres dans la nult".

- 19 enqulttes par la C.N.R. de Quimper de 1973 a 1978.

Dans un cas (Bolazec), une contre-enqultte a ete realisee sur Ieterrain par M. Claude Poher et quelques membres du GEPAN duCentre Spatial de Toulouse.

116

194408.1951

29.09.195402.10.195402.10.1954

04.10.195405.10.195405.10.195407.10.195411.10.1954

15.10.195421.10.195405.12.1957

1960

04.1960

02.196108.1961

16.01.196628.08.196823.09.1968

12.1969Hiver 197023.02.197026.02.197009.1970

08.12.197002.10.197105.1972

23.05.197208.1972

09.02.197326.08.197305.12.197307.01.197418.01.197403.02.1974

04.02.1974

rest .Int-Renan .........................•.....

Land6da-L'Aber Wrac'h .Gouesnac'h , , .Quimper .Calanhel .Concarneau .Loctudy .Plozevet au large .Elliant " " .Fouesnant .

Brest .. " .. "" " .Quimerc'h " .Entre Brest et Lesneven .Coadry-en-Scaer .

Loqueffret .Porspoder .Bolazec .Loctudy .

Lesconil .Radar de Brest .

Lothey (ChAteaulin) ..Fouesnant .scaer .Moelan-sur-Mer ...............•............

K6rizinen .Monts d'Arroo ~..

Route Quimperl6/Rosporden .Brest .

Beg-Meil .Concarneau .Quimper .

lies GI6nan .. Bale de Douamenez .Landivislau .PouIdergat .............................•...

Poutdergat .

117

Tr unc .. " " " .Ploneour-Lanvern .Hanvec ,," " " .

PouIdergat ................................•Monts d'Arree .

24.02.19741974

28.02.1974

26.03.1974 •05.1974



t.andevennec .Fouesnant .

Ouirnper " ..Riec-sur-Belon .

proneour-Lanvem .Route Ouimperte-Arzano .Brest " " ..

Poullaouen .Morlalx .Guengat " " " , .

Pont-l'Abbe .Salnt-Evarzec .Riee-sur-Belon .

Pleyben " .

Saint-Nie-Pentrez .

Brest-Kerlouan-Le Conquet .Rade de Brest - Ire-Longue .Ptoneour-Lanvern .Poullaouen .Laz " " " .

Voie express Brest-Morraix .Bannalec .La euillee-Poullaouen .La Feuillee - Pont-l'Abbe .Pouldergat .PouUan-sur-Mer .Voie express Brest-Morlaix .Saint-Pol-de-Leon .Pouldergat .Brest Pare Loisirs Penfeld .Plestin-Ies-Graves .Oaoulas vote express .La ForAt .

Mont Saint-Michel-de-Brasparts .Ouessant " ...Aeroport de Brest-Guipavas .

(Cas radar optique)

118

20.05.197406.1974

29.09.197429.09.1974

10.197404.10.197401.1975

09.06.197529.06.197507.08.197507.08.197522.08.197528.08.1975

02.09.197502.06.1976

21.06.197621.06.1976

02.197716.03.1977

03.197714.07.197806.01.197915.01.1979

16.01.197924.01.197928.01.1979

19.03.197912.1979

06.04.198017.05.198005.09.198029.11.198007.12.198027.01.1981

11.198122.11.1981

R~PARTITION DU PH~NODANS ' SPACE

*

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119

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121

COMMENTAIRE G~N~RAL SUR

A R~PARTITIO DU PH~NOMENE



DANS L'ESPACE

La distribut ion geographique des phenomenes aercspatteux

non identifies dans Ie departement du Fmistere est proportion-nelle A la aensit« de 18population. C tte constatation a unesignificat ion importante. Elle detrult la legende selon laquelleces phenomenes se produisent dans des lieux generalementd ertiques. On remarquera notamment une stabilite de fre-

quentat ion dans 'e cours du temps pour lazone urbaine de Brest(Brest et grande banlieue) Des cas se sont produits en plaincentre, notamment dans Ie pare des loisirs de la Penfeld.

En general, la plus forte densite des observations concerne lacOte du suo-Ftnlstere, depuis Moelan-sur-Mer [usou'a la Pointe

du Raz. On note une recrud scence d'activit s sur des secteursbien precis: Rlec-sur-Belon. Fouesnant, Ploneour-Lanvern et

Pont-L'Abbe, Pouldergat...)

Une concentration d'observations concerne egalement res

Monts d'Arree at Ie Bassin de ChAteaulin.

Notons aussi que la quasi-total te des observations sont Ie faitdes residents ou de personnes ayant une connaissance parfaitedes lieux.

Les observations faltes par les "personnes de passage" concer-

nent les zones a faible densite de population.

A I'avenir, il est p6U probable que cette situation se modifie et itconviendra de suivre attentivement les nouvelles observations.

lies permettront d'infirmer ou de confirmer la validite des dia-grammes qui suivent en les cornpletant eventuellement. Celasignifi qu'iI est necessalre. dans Iedepartement, de realiser une"structure d'accueil et de recherche de l'intorrnation" par lacreation d'un groupe consultatif sur les phenomenes aerospa-

tiaux non ident,fi : met orologues, radaristes, gendarmespctlclers, militaires, ainsi que toutes les bonnes volontes quipeuvent se sentir concernees,

122

Un exemple d'observations se produisant A la m!me heure, Iem me lour, dans des lieux diHerents et devant des temoins

tot lement independants.

123

v



DI TAIBUnON SPATIO-TE PORELLE

DE PH~NOM~NE A~AOSPATIAUX

NO IDENTIFI~

Le phenomene OVNI est-il une constance du lieu?

Deux exemples 'rappants :

1 - Secteur de la vot« express Brest-MoT/aix a la hauteur deI'a'roport de Brest-Guipavas.

2 - Lieu-dlt "Trlga/et" en Ploneour-Lanvern.

124

D'aprN un eroquis de M. R. Gelei,mIJtIJoToiogue au C . O . B.

rOls observations :14.07.197819.03.1979

22.11.1981

fR D

A ~ ". "P LAC M' T

125



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( I e

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:'0:'.,

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I tv ~ e. 111

SECTEUR DU EU-DIT "TR~GALE '

E N PLON~OUA-LANVERN

Trois observations:1 trimestre 1974

Octobre 1974Fevrier 1977

126

Trajectoir duphenomene observear Mme Le Marc

Pho oQr phi" :

Christ ' n Sev re

127

PART TION MENSUELLE

DES OBSERVATIONS DU FINIST RE

AVEC SUPERPOSITION

DU DIAGRAMME FICHtER

DE LA GENDARMERIE NATIONALE



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ICHIEA FINIST RE: LE MOtS EST I DIQU DANS 77 CAS

12

R PARTITIO DU NO BRE D Tt 01 S

PAROBSERVAnO

PARTITION DU NOMBRED'OBJETSOBSERVtS



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130

nombre de temoins est caracterise par Ie tableau no1. La

urc ntage des observateurs isoles est important: pres de: mais dans 55% des cas, il y a eu au moins deux temoins.

n un seul cas (Riec, 29.09.74), Ie phenomene observe estrit dif feremment par res deux temoins. Certains cas nesontut tlses dans Ie decompte :C s de detection radar sans observation visuelle;C s d'observation d'humanoide sans objet a proximite ;C s de traces suspectes sans observation de forte

r dlbilite.

ABLEAU 1

ombre de temoins Nombre de cas

1 t moin dans .2 t moins dans .3 temoins dans .

4 temoins dans .5 temoins dans ' .6 temoins dans .

Obs rvations de masse .

Nombre de cas ou Ie nombre de temoinsn'est pas tndique .

35 cas17 cas6 cas4 caso cas2 cas

5 cas

6 cas

Nombre d'objets observes Nombre de cas

i1 objet dans .2 objets dans .3 obj ts dans .4 objets dans .

Ius de 4 obj ts dans ..

60 cas14 cas1 cas1 cas

2 cas

131

co UD PAR ITION D

POUR 104 OBJETS OBSERVt:S



Les criteres de formes sont adoptes d'apres les descrlptions des

temoins.

Nous obtenons, pour un total de 104objets recenses, un tableau

de repartition conventionnel qui met en evidence un nombreimportant d'OVNI de type "spherlque''. Ces objets, a contoursgeneralement nets, constituent Ie plus fort pourcentage d'acti-vite nocturne du phenomene. Oe jour leur aspect parait"metalllque".

Nous avons ensuite 19objets de type "soucoupe" : disque visi-ble de J'an~teou disque rond frontal. Dans de nombreux cas, il ya indication de presence de structure de surface: coupoles ...Les emissions de flux onentes de lurnlere sont caractertstlquesde ce type et du type "Ienticulaire".

les objets de forme seml-sphertque sont generalement asso-cies a des detai ls exterieurs : inhomoqeneites stationnaires ouInhornoqeneites non stationnaires telles que: luminescences,"condensations", ecouternent de "vapeurs" ou de "nuages" (it

contre-sens de I'orientation du vent dans un cas). fumees, etc ...

Les objets de type "exotiques" (cubes. rectangles, cylindres,etc ...). plus rares, sont souvent assoctes e ll d'autres types d'ob-jets ou en constituent des etapes de "constitution de forme".

Dans l'ensernble, on remarquera au moins 5 cas de changement

de forme.Dans la plupart des observations. on possece des donnees surla couleur. Par ordre statistique. on obtient una tres neue pro-portion pour Ie rouge et Ie blanc, a eclat generalement vif.Viennent ensuite I'orange. Ie jaune, Ie bleu, Ie noir, "aspect'rnetatl lque" (pour les observations diurnes), Ievert, Ieviolet, Iegris. Parfois, les couleurs sont associees.

Lorsque des variations (transition d'une couleur a una autre) seprodulsent, elles Ie font d'une maniere extrsmement rapide,type "flash". Generalement, I intensite lumineuse reste stable:

elle varie parfois lors des modifications de trajectoire.

32

Objets de formes "sxotiques"

Obi t d formes exotiqu s"

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134

AU D R~PART TION DES COULEURPOUR 77 OBJETS OBSERVt:S

1. Trajectoirereguliere

2. Modification dela trajectoi reune ou plusieursfOls. conditions meteorologiques au moment de I'observatlon



3. Objetsimmobiles

4. Trajectoires irregulieres:(balancements, creneaux.contours d'obstacles,vol en cercle)

CARACT~RISTIQUES DU MOUVEMENT

Pour 9 objets, il a ete remarque une modification brutale de lavitesse au cours des evolutions. Dans6 cas, les deplacementssont suivis par une immobilisation brutet«;

Pour 7 objets. il y a disparition ou dissipation instantanee surplace.

Pour 3 objets, iI a ate rernarque une diminution progressive du

volume iusqu'a disparition totale.

136

Indiqu6es dans 25cas seulement. Dans 17observations, IeItt clair et d6gage. Pour 8 cas, les apparitions se sontutes sous un ciellourd et nuageux. Dans un cas (Landivi-

u), Ie phenomene parait sortir de la couche nuageuse avant

• oluer au rasdu sol. II disparait dans un mouvement ascen..onnel. Dans unautre cas (Saint-Nic). unapaisbroulllard ense-

y II sait la campagne.

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137

ODIFICA ON DE L' E T

TRACES AU SOL REMARQU~ES :

- Landivisiau : 18.01.74:

r d Loperh t. decembre 1969 (6-7 fois vitesse du son).r dar-opt,que sur l'aeropcrt de Brest. novembre 1981.

PHYSIQUES SUR 'HOMME:



herbes ecrasees, presence d'un liquide huileux.

- Pouldergat: 26.04.74 :arr~t net de la croissance de germes de mars ensemences a

I 'endroit de robs rvation.- t.andevennec : 25.05.74 :fougeres catclnees,

- Riee-sur-Belon : 29.09.74 ;feuillages d'un pommier calcines superfiCieliement.

- Port-Kerdruc-en-Nevez : septembre 1975 :16 couronnes circulaires. Caracteristiques : herbes calcineessuperficiellement. tiges cessecnees, raeines dessechees.

PERTURBATIONS SUR MOTEURS A EXPLOSION:

- Scaer, avril 1960 (velomoteur).- Monts d'Arree, mai 1974 (automobile).

PANNES ~LECTRIQUES :

- Monts d'Arree mai 1974 (sur automobile, phares).

PANNE RADAR

- Base Aeronavale d Landivisiau, decernbre 1979.

R~ACTIONS ANIMALES :

Guengat. 06.08.1975 (chiens).- Port-Kerdruc en Nav z. septembre 1975 (chats et vaches).- Ri c-sur-Belon, 29.09.1974 (chien).

138

cotements aux yeux : 2

ndlvlslau, 18.01.74c-sur-8elon. 29.09.74

rte momentanee de la vue: 1

oullaouen, 09.06.75

Frlssons: 1toneour-Lanvern. oetobre 74

Decharge etectrtque (8 la gorge) : 1

Daoulas, 29.11.80

_ Picotements aux doigts, au toucher d'une trace: 1

port-Kerdruc, septembre 75

139

PHOTO A PHI P ISE U LE 0

PORT -KERDRUC (CO UNE DE ~VEZ,

SUD-FINISTERE - SEPTEMBRE 1975)

~ AL UR L

DE L'ENVIRONN T

omme nous I'avons deja rernarque.Ies phenomenes aerospe-t u non identifUts. accornpaqnes d'eHets physiques sur



Materialisation de run des sites par la brigade de gendarmeriede Pont-Aven (proces-verbal nO1232du 17octobre 1975 trans-. 'mrs au Parquet Ie 6novembre 1975).

Photo: Gend rmeri« Natlonale.

Vue aerienne de I'un des sites de Port-Kerdruc, en janvier 1976.

Photo: J an·Fran~ols Bolldec.

140

I'homme ou sur son environnement, peuvent etre conslderesomme des rencontres "rapprochees". Ces rencontres rappro-en s se produisent, en regIe generale, a u max imum o 'e ct tv it «

noreir« du phenomene. Oans certains cas (14 en ce quiconcerne ce flchier), on note une influence directe sur I'homme,moyens techniques et son environnement. Les traces type

"l, ndevennec" (fougeres calcinees) ou landivisiau (herbescrasees, presence d'un liquide huileux) sont de faible credibl-lite car on Ignore si ces "traces" n'existaient pas avant I'appari-t on du phenornene.

L'affaire de Port-Kerdruc (Nevez), eue, se pose en termes oppo-

: nous avons iei un total de 16 traces circutaires d'uneeometrie parlaite et totalement lnexptlcables si I'on s'en refere

nos moyens techniques ou a nos connaissances en botanique.La credibilite des traces est forte tandis que la credibilite deI'observation (bruit de teres) est tres faible.

La plus forte crlKfibilite se situe probablement a Pouldergat:observation suivie de traces sur graines de mars en court degermination.

Dans les cas de pannes electriques. mecaruques ou electrorne-caniques, aucune verification n'est possible et I'on s'en tient ala"bonne foi" des temoins.

Les reactions animales au phsnomene semblent. quant a elles,constituer une constance des apparit ions de longue duree.

Notons enfin /8 Ires forte credibi/iUJ de I'affaire radar-optiqus del'aeroport de Brest-Guipavas, Ie 22 novembre 1981. Deux pho-tos ont ete prises egalement. mais leur quatite reste mediocre;lie est sans doute due a la precipitation du manipulateur.

Les eftets physiques sur I'homme paraissent affecter en priorlteIe systerne visuel (picotements aux yeux, aveuglements, perteprovisoire de la vue). Dans Ie cas de Ptoneour-Lanvern (affaire

Mme Le Marc). une remarque s'impose : les "frissons" ressentis

sur tout Ie corps par Ie temoin se sont produits I' space d'une

41

seconde, lors de I'apparltion du ''111blanc-argent ..sur Ie parbrise, c' t-a-dlre avant I'apparition de l'obJet semi-sph6rlque.Ces "frissons" ne pouvaient par cons6quent Atre dus a la peur.

II convient ici de suivre avec beaucoup d'attention ces eHetsphysiques et de poursuivre Iestockage des donn6es existantes



en tentant d'am61iorer sensiblement la fiabillt6 desrenseignements.

Pouldergat :

les differentes phases de I'observation materlausees sur un cli-che des lieux pris par Remy Gutlguen lors de renquete.

Nota: depuis cette epoque, les lieux ont ete modifies.

142

LE SITE DU "COU~DIC" EN POULDERGAT,

EN JUILLET 1974

Enqu~tes : A. Launay. G. Dutot, C. Severe, J.-F. Boedec, R.·

Gueguen.

143



Le mats situe a I 'angle du champ (voir observation de mars 1974)n'a pas pousse. Dans les sillons, les graines intactes et desst\-chees presentaient un arritt tres net de la germination, (germesde 2,5cm environ). Une enquste complete avait et(~envoyee aI'epoque au Centre Spatial de Toulouse,

144

PERSONNELLES DE L'AUTEUR

notion "observation • est-elle a remettre en cause ?

uels sont les facteurs qui caracterlsent les phenomenes

.... '~patiaux non identif ies?

145

o 0AR

Bien que possedant de nombreuses cohesions au niveau desdetails des structures, Ie ph'nomene OVNI reste totalement

o d celu -ci. C dine do t

culi r m nt dan I c d perturb tion di qu_lComClaanetnt ou precedent la manifestation. En effet, Ie pro-

t Ie uivant: it 'agit de savoir slles effets physiquetr sont provoqu6s directement et votontalrement par

• h nomene visuel" ou s'ils constituent une consequence dem nlfestation dans un champ physique modifie par sa pre-



imprevisible et erratique dans son comportement 9'neral. Leanotions de "selectivite", devetoppees plus haut. soulignent queles evenements ne sont pas lies au "hasard", mais paraissent

representer des "colncidences'' decoulant de I'ordre naturel deI'univers OVNI. Le pnenomene ne peut se manifester par lavolonte consciente de I individu :I 'ufologle est done une scienceessentiellement descriptive, jusqu'ici l imitee par les frontieresde I'esprit at de la matiere teUes que nous les avons lnstltuees.

Toute valeurd'explication rests ngoureusement nulla. Les seuls"comportements" qu'il est possible de lui alleguer ne sont,sommes toutes, que des comportements "humains": philoso-phiques, mathematlques et, depuis peu. .. geometriques. La

motivation de ces hypotheses releve a mon avis de la demarche

publicitaire et non de la demarche scientifique. Leur bien-fondane resiste pas it I'analyse logique et suffirait tout juste ~ fairescunre Ie caniche de Descartes, it supposerqu'il en ait eu un. Lamise it nu de ces questions necesstterait des pages et des pageset tel ne sera pas notre propos.

Le "phenomena OVNI" n'est pas absurde. L'absurdite est uncrttsre de I'i llusion rationaliste. IIexists un "blocage" dans notreconception intellectuelle du probteme: les structures actuellesdu raisonnement scientifique limitent I'investigation au cOt'purement "visuel" ou "aeronautique" du phenomena, lui-rneme

limite au nombre de cas conn us. (La demarche statistique estlimitee au nombre des donnees).

On a consldere ;usqu'ici une "observation" comme Ie rapportoral ou ecrU d'une apparition depuis sa constitution de forme

[usqu'a sa disparition.

La notion de "phase d'approche" que je voudrais mettre enlumiere ne concerne pas I'observation ( ...) proprement dite.mais la p(Jriode qui /a preciJde chez /e ou /es temoins et dansI'ehvironnement.

0'0':' la necessne, partols, de dissocier une observation faite parun tsrnofn dans son environnement habituel at une observation

146

C . L'etude de certains cas (Ies plus credibles dira-t-on, maisI' b urde, qu'y a-t-i! de credible 1) revele une modificationh mp physique avant I'apparition du phenomene, semblant

n tituer une condition imp(Jrative it sa manifestation (cf.:ctlons anlmales, pannes electro-mecaniques ...). On ne peutnc repondre au phenomene it I'aide de toutes nos referencesnventionnelles; il ne faut alors pas hesiter it nous debarrasserpr6jug's lncorporss et poser la question:notion "observation" est-elle a remettre en cause?

ou ne pouvons pas considerer Ie potentiel actuel de donneesomme valable puisque notre savoir sur Iephenomene est it peu

r s nul. Ce n'est pas que nous ne sommes pas capables deudre Ie problsme : celui-ci est en fait mal pose. sur des

donnees lmprectses et insuffisantes. avec des capacnee de ral-

aonnement d'un ... autre Age.

determinisme mecanlque "a6ronautique" nous empAche-t-iide "voir"? Un dogme dQ it I 'aptitude excessive de I'homme itpouser des "croyances' sans retlexion et avec enthousiasme,

mArne lorsque les bases en sont d6raisonnables.

147

"A quoi sert d'en savorr Ie nom si on ignore I c use?G orge Sand - 1852

D' prlls "VISions de Is nUll dans les c8mp gnes"

h nom n a be oin du facteur huma n pour se manif ster,not r aussi qu'iI n y a pas deux observations qui soientu u s, Par allleurs, avec les sujets humains, les circons-

._~,..s..de rencontres nensolt jamais identiques en termes d'hu-

r, de receptivlte et de rapport amotif. l'apparition est-ellel'activite du temoin au moment ou elle se produit 7 On



aUELS SONT LES PARAMETRES

au CARACT~RISENT LE PH~NOMENE?DU PRINCIPE o'INCERTITUoE ...

Comme je I'ai souligne dans "Ia notion observation est-elle aremettre en cause 7", les enquetes sur les UFO sont actuelle-

ment menees sur la base d'un "principe d'incertitude" qUI neprend en compte qu'une seule donnee du problerne: I'aspecttechnologique ou parfois l 'aspect psvcho-soctotootqua.

A rnon avis. il est urgent (si I'on veut combler Ie retard et aller

"au-deta du mythe") de determiner des parametres de compre-hension en tenant compte des elements sulvants:

- Le debut de t'observstion est essen tiel. J'ai baptise cettenotion "phase de selectivlte". Ie phenornene global pouvantalors se resumer comme etant "Ia rencontre apparemment acci-dentelle de deux causes sans lien visible entre elles (OVNI-temoln) dans une coincidence qui semble imprObable",

- L'apparition proprement dite ou "phase de constitution deforme" (ct. : MM. Guindilis, Menkov et Petrovskala).

On notera pour memoire que les "effets physiques" peuvent

aussi bien preceder, accompagner ou succeder lamanifestation.

... A L'ABSENCE DE SCH~MA COH~RENT

Le travail consisterait a determiner si I'appantion qu'elte soitbreve ou longue, constitue un ensemble a'opersttons sueces-sives tiees les unes eux eutres et dont t'encbetnement serait

de9ide longtemps 8 I'avance sur la base des trois parametres:- temolrus)- environnement physique

- environnement socio-culturel et psycho-sociologique

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u t galement insuffisamment sur les repetit ions d'obser-v tlons chez un m~me tamoin.

VIRONNEMENT NATUREL :

h nomene est-il une constancedu lieu et du temps? Modifi-l ions structurales de I'envtronnernent (1) dans Ietemps: sont-

II etudiees? les modifications structurales des OVNIuv nt-elles ~tre liees dans Ie temps au lieu 7 V a-t-if "adapta-

ton" du phenomene au lieu?

N c sslte de cerner la reatite des penodes d'activite OVNI surcteurs determines.

, NVIRONNEMENT SOCIO-CUL TUREL ET PSYCHO-

OCIOLOGIQUE:

II constitue Ie domaine de recherches Ie plus vaste et devraitbuter dans I'environnement immedlat du temoin: famille,r lations proches (amis, voisins ... )

I i, il s rait inter ssant de chercher a determiner Ie coefficients temoins oeulaires d'une m~me famille par rapport au nom-re total des observations et d'entreprendre une synth sa syste-m tlque des donnees de ces seuls cas en faisant una

comparaison avec les temoignages de groupes.

II s'agit bien donc de tenter de placer les "observations" dans unenema coherent et de determiner Ie lien qui unit Ie phenomene

I'homm.

Qu'il puisse exister des "conditions requises" pour sa manifes-t tion, eela ne fait aucun doute. Notre vision de I'univers n'est

S encore debarrassee de toutes ses illusions et, pour I 'instant.I s OVNI ne peuvent convaincre que ceux qui les eprouvent, aun point tel que parfois, des temoins ne trouvent pas dans notrevocabulaire les mots adequats pour les decrire.

" faudra peut- tre d'abord comprendre I'homme avant de com-

rendre les OVNI. Jean-Francots Boedec

() oaiuc« Ions structural Sde t'environnement rem8rqtJee nouunm n'p ,I commandant K (Vonda/.

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j.f Boedec Finistere