JANVIER 2014

LE PREMIER MAGAZINE DU PÔLE UNIVERSITAIRE

L’interview exclusive de trois anciens de l’EMLV, pères de la petite capsule de gel anti bactérien dont le succès ne cesse de croitre !

‘ ‘ M e r c i H a n d y ‘ ‘

rendez-vous pages 4-5

Bienvenue dans la cinquième édition de votre mensuel !

Ce mois-ci, on vous parle start-up, Léo-voile, et web.Vous saurez tout sur la majeure finance de l’Esilv, et sur la pano-plie incontournable d’un hipster. Vous découvrirez un ar-tiste original : Roman Opalka ainsi que le Kin Ball ce sport qui se joue avec un bal-lon d’ 1,22 mètres !

On pourrait vous de-mander ce que vous lisez avant de vous coucher ?Hemingway ? Zola ? Vanity Fair ? Vous nous répondrez In-terpôle, numéro 5, évidemment !

Bonne lecture !- La Rédac’

EDITORIAL

INTERPÔLE JANVIER 2014

INTERVIEW MERCI HANDYRetrouvez pages 4 et 5 l’interview

de trois anciens pas comme les autres

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Les Start-ups La Majeur : Ingénierie finan-cière

Le meilleur du web

IIMEMLV ESILV8 1210

Crédits photo : PôletechIllustration : Fabien Grandvalet

> PAGES 4-5 : INTERVIEW

> PAGES 6-7 : ZOOM ...

> PAGES 8-9 : PAGES EMLV

> PAGES 10-11 : PAGES IIM

> PAGES 12-13 : PAGES ESILV

> PAGES 14-16 : PAGES SPORT

> PAGE 18 : LA SÉLECTION INSTAGRAM

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> Bonjour Handy ! Présentez-vous, qui êtes vous ? Quel a été votre parcours ?

Louis, Roland et moi-même, Antoine, trois anciens de l’EMLV ! Nous sommes passés par un autre master en école de commerce. Surtout nous sommes 3 amis de longue date, 3 férus d’entrepreuna-riat et maintenant co-fondateurs de la start-up “Merci Handy”, marque de gel anti bactérien, décalé, mais de qualité !

> Bon, du gel antibactérien c’est pas ba-nal... Comment vous est venu cette idée ?

On avait pas mal de projets dont un dans la restauration, et pendant cette étude on s’est rendus compte qu’une seule personne sur 10 se lavait les mains à l’heure du repas (en dehors du foyer), ça nous a paru assez choquant donc on a cherché les solutions qui existaient sur le marché et il n’y avait rien qui nous plaisait... Soit c’était trop cheap, soit trop cher, ou alors du gel trop aseptisé, trop médical. On a donc eu envie de propo-ser quelque chose de nouveau, différent et original en apportant du décalé, de la tendresse, quelque chose de doux pour vos mains !

> Et quelle est la particularité de ce fa-meux gel, alors ?

Notre capsule de gel anti bactérien s’ouvre avec un seule main ! Vous la craquez au centre, trois doigts suffisent ! C’est ludique, fun à utiliser. En plus,

> PAR ESTELLE LAUTRETTE

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INTERVIEW MERCI HANDY

le produit est très nomade ! On peut la glisser partout, dans sa poche, dans son manteau sans qu’elle se craque donc c’est très pratique. Le gel en soit est spé-cial puisqu’il est enrichi en vitamines et en émoliants ce qui permet réellement d’adoucir les mains, on ressent la ten-dresse !

> Vous faites aussi des flacons, ce qui existe déjà sur le marché depuis long-temps. Qu’est-ce qui différencie votre fla-con de ceux déjà existants ?

C’est exactement le même gel présent dans les capsules mais on a réellement eu envie d’apporter de l’innovation. On a donc lancé un gamme de flacons par-fumés : 6 couleurs pour 6 parfums dif-férents dont citron, vanille, et le flower power qui a beaucoup de succès ! On a voulu également apporter du “lifestyle” dans ce gel, de créer un must have, que tout le monde en ait !

> 5° Comment avez-vous fait pour finan-cer la fabrication au tout départ ?

A l’origine, on a utilisé le “love money” ce qui consiste à récolter des petits inves-tissements dans les cercles proches, fa-mille, amis, les voisins, etc.. Après, quand vous êtes lancés et que vous faites le tour

des banques, soit elles vous proposent des prêts étudiants ce qui implique un endettement personnel évidemment... Et enfin on a la levée de fond auprès de business angels, qui nous proposent de l’argent en échange d’actions. Pour revenir sur le love money, ne pen-sez pas que c’est papa qui donne 20000€ parce qu’il a de l’argent. C’est plus des pe-tites sommes d’argent à droite à gauche qui permet de composer une jolie petite cagnotte pour bien démarrer ! > Et comment vous avez fait connaître votre marque, votre concept, à ses débuts ?

Sans argent c’est difficile de commu-niquer donc nous avons “testé” notre concept auprès de nos proches pour avoir les premiers feedbacks. Ensuite on a opté pour des moyens qui cassent un peu les codes en proposant des outils de communication axés dans la viralité, dans le guerilla marketing, c’est ce qu’on a essayé de faire avec notre vidéo. Après, on utilise beaucoup les réseaux sociaux, notament Facebook mais à un certain ni-veau ça ne suffit plus. Il faut donc qu’on attaque une phase de RP où l’objectif est vraiment de couvrir la presse de A à Z, c’est notre défi pour les semaines qui ar-rivent !

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Et cette vidéo justement ! Vous avez fait un buzz, plus de 1.4 millions de vues ! Vous pouvez nous en dire un peu plus ?

On était dans cette idée de trouver un moyen original pour faire parler de nous. La vidéo est vraiment le format qui nous plaisait le plus car c’est très viral, c’est ce qu’on partage le plus. Donc nous avons travaillé avec un bloggeur (Julien de Boobstagram). L’idée était donc de tra-vailler pour Movember, une association qui lutte contre les cancers masculins : on a donc lancé la vidéo la premier no-vembre, jour du début de leur communi-cation. Le concept, à chaque paire de tes-ticules touchée, c’était 10€ de reversés à cette association ! On a touché 50 paires, bon, pas nous directement malgré nos mains toujorus propres, mais des amies à nous qui ont accepté de participer à la vidéo ! Ca a été très bien pris dans la rue, car c’était osé mais pas vulgaire pour au-tant, et avec un ton décalé plutôt sym-pa. Le buzz s’est fait de lui même via les blogs et les gros influenceurs mondiaux comme 9GAG, du coup on a eu des visites de partout dans le monde, c’était vrai-ment excitant !

Une anecdote sur le tournage de la vidéo ?

On a rencontré un gars qui était assez ex-cité par cette vidéo et qui a eu l’envie de donner de l’argent si les filles allaient un peu plus loin ! Donc assez étonnant mais drôle malgré tout !

Et ce fameux gel, on peut se le procurer où, alors ?

Pour l’instant, sur notre site internet mer-cihandy.fr ! Ca permet de voir assez loin en France, même à l’étranger, et ça nous permet aussi d’avoir une certaine proxi-mité avec le client, via des petits mots personnalisés dans les colis, etc. Dans un second temps, nous allons bientôt intégrer des concept store donc ça nous ouvre vraiment beaucoup de portes !

Et le futur de Merci Handy ? Des nou-veaux concepts, des idées ?

Le vrai défi pour l’instant est de rendre notre produit “must have” mais oui ef-fectivement, on bosse sur de nouvelles choses, ça cogite beaucoup et on ne va pas s’arrêter là

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ZOOM SUR...LÉOVOILE

PrésentationLéovoile fut créé en 2001 et regroupe aujourd’hui une trentaine de membres actifs pour un total de 90 membres toute école confondue depuis sa création. Cette asso-ciation est l’une des plus anciennes de notre Pôle et regroupe un ensemble d’étu-diants réunis autour d’un projet commun. Mais la solidarité léovoilienne fait de cette association une véritable famille unie, comme vous avez pu le constater lors des différentes soirées organisées par les BDE des dernières années. Cette année, l’asso-ciation a été reprise par 4 étudiants de deuxième année marquant un renouveau au sein de Léovoile.

> PAR REDOINE KHERBACHE

Toujours présent pour mettre de l’ambiance au Pôle, impossible de les rater en soirée avec leurs pulls bleu marine. Vous les reconnaissez ? Et oui ! Ce mois-ci Interpole fait un zoom sur les marins pulviens : LéoVoile !!

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ZOOM SUR...Concept Depuis un certain nombre d’année, Léovoile participe à la CCE (course croisière ED-HEC) d’où elle termina première en 2010. Cette année fut bénéfique pour l’associa-tion car elle fut aussi couronnée championne de France. Ayant atteint leurs objectifs, l’association s’était orienté vers un nouveau projet, la CREW. Mais 2014 voit le retour de Léovoile pour la CCE où ils comptent bien réitérer leur exploit passé. Ainsi les couleurs Pulviennes seront une nouvelle fois défendus par nos marins sur les mers. Mais l’organisation de cette course nécessite un investissement financier important. En effet, il est demandé aux membres de s’investir pleinement lors des évènements organisés par l’association (petits-déjeunés ou soirées) afin de récolter un maximum de fonds. De plus, le sponsoring est un élément clé car il représente une aide non né-gligeable au financement du projet. Dites-vous bien que malgré un investissement dans le développement de l’association, Léovoile sait décompresser quand il le faut lors de petites soirées où les membres se retrouvent autour d’un verre ou peut-être plus...

ProjetsLéovoile, c’est aussi de la solidarité entre membres mais aussi envers des associations extérieures au Pôle. En outre, après avoir longuement soutenue « Les p’tits Cracks », association de soutien pour les enfants atteints de cancer, Léovoile soutient cette année le « Mécénat Chirurgie Cardiaque » une association qui s’occupe d’opérer des enfants atteint de malformation cardiaque et qui n’ont pas les moyens techniques ou financiers de se faire opérer dans leurs pays. Ainsi, nos marins apportent leur aide au « Mécénat Chirurgie Cardiaque » lors de différents évènements ou simplement en expliquant aux étudiants qu’un simple don peut sauver la vie d’un enfant.

Léovoile, c’est un projet, des rencontres, des soirées mais aussi de la solidarité !!!

> PAR MANON SOIHET

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EMLVLes Start-ups, l’avenir inespéré du marché économique ?

Les Start-ups, pour être considérées sur le marché économique, doivent proposer un produit ou un service innovant. Lors de leur lancement, ces jeunes entreprises n’ont ni actif, ni passif, et sont dans l’obligation de s’autofinancer. Elles doivent donc faire appel à leurs propres capitaux afin de faire des investissements. C’est l’une des prin-cipales difficultés, et c’est ce qui fait l’incertitude de leur avenir et de leur viabilité.

De ce fait, elles se doivent d’être innovantes car c’est ce qui leur permet de faire face à tout le marché économique. En effet, c’est ce qui détermine leur avenir ; la diffé-renciation. En revanche, elles ont un avantage concurrentiel par rapport aux autres entreprises de plus grosse envergure, elles peuvent se permettre d’explorer des ter-rains sur lesquels les multinationales n’osent pas s’aventurer par peur de l’échec.

Il faut bien évidemment noter que le principal avantage d’une start-up réside dans le fait de monter son projet, lancer sa boîte et être son propre patron ; chose à laquelle de nombreuses personnes prétendent et qui en fait rêver plus d’un !Ainsi, les dirigeants et actionnaires sont libres de penser, d’agir et d’imagi-ner leur projet comme bon leur semble. Ces-derniers peuvent tout mettre en œuvre afin de le rendre viable, et de lui permettre une expansion certaine !

Le concept de « start-up » est apparu aux Etats-Unis lors de l’ère florissante entrepreneuriale de la Sillicon Valley. Il est donc possible d’évoquer le fait que des grandes compagnies comme Apple, ou encore Microsoft étaient à l’origine des « jeunes pousses ».

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EMLVCependant, sa principale contrainte, comme vous l’aurez compris, est d’assurer la pérennité (financière, en premier lieu !) de son projet. Cela peut parfois relever de l’impossible et c’est ce qui est à l’origine de l’inaboutissement de quelques jeunes compagnies.

Il faut noter que ce phénomène connaît une importante recrudescence dans le sens où des moyens sont instaurés afin de permettre à tout projet sérieux et viable d’être lancé. Je m’explique, des concours sont mis sur pied afin de lancer les « jeunes pousses » sur le marché ! Cela permet dans un premier temps de récolter des fonds mais aussi d’offrir une certaine visibilité au produit ou au service que l’on présente.

Ainsi, le fait de se lancer dans une telle aventure peut s’avérer excitante pour toute personne qui l’entreprend. Mais il ne faut pas négliger toutes les embûches qui peuvent se mettre sur le chemin de la réussite ! Les Start-ups, caractérisées par un fort potentiel de croissance, semblent être ce qui va, dans les prochaines années, relancer la croissance économique, alors à vos Start-ups les amis !

Les étapes à suivre pour lancer sa propre Start-up :1. Trouver une idée2. Chercher une équipe3. Valider l’intérêt de son projet (étude de marché, recherche d’informations, réponse à une vraie demande)4. Recherche de financement5. Développement d’un prototype6. Mise en place d’un business plan innovant7. Lancement8. Internationalisation ?

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IIMLa sélection des meilleurs CV

> PAR PATRICIA AWAD

Brightmedia

Bordel que c’est beau ! Bon certes, tous ces trucs de galaxie, lignes blanches, lu-mières etc c’est très (trop) tendance. Mais ce site est incroyable, en terme de réalisa-tion technique, de graphisme (ouais, parce que les galaxies c’est faciles, mais rendre ça joli, ça l’est moins) et d’histoire. Cette agence Polonaise a su incorporer une at-mosphère très particulière, et c’est beau, très beau.

IIM

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Iloveligatures

Vous aimez la typographie ? Ça tombe bien, nous aussi ! Du classique à l’abstrait, ce Tumblr est une véritable mine d’or en terme de créations typographiques. Ne vous faites pas d’idées, vous n’y trouverez pas de sources à télécharger. Mais quoi qu’il en soit, c’est du pur bonheur pour les yeux. Enjoy !

Photosynth

Le concept est très prométeur et tota-lement innovant ! Le design de base du site ne casse pas trois pattes à un canard, mais allez faire un tour sur les photos et découvrez par vous même ! Une immer-sion réelle dans les photos par de la 3D, un rendu bluffant. Bluffant, c’est le mot. Vous pourrez en savoir plus sur la tech-nique dans la rubrique “About”.

Afterios7icon

Aaaah, le flat design. On va pas se men-tir, Apple était un peu en retard là dessus, mais bon, passons. IOS7, on ne va pas se mentir, est un très beau système d’exploi-tation mobile. Il bouffe énormément la batterie, mais c’est joli ! Et ce Tumblr là, il vous fait, tout simplement, une compa-raison des icônes avant/après iOS7. Allez, clique, ça vaut le coup d’oeil !

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Ce qui vous attend en 4ème et 5ème année : Tout d’abord, ne pensez pas en avoir fini avec l’informatique. Vous étudierez encore le C++ et VBA, ce dernier étant LE langage utilisé dans la majorité des programmes financiers. Concernant la finance pure, les trois grands axes sont la gestion des risques, les différentes assurances et la finance de marché : options, actions, etc.

ESILV

Tu es bon en mathématiques et en statistiques ? Passionné par l’économie ? Toujours accroché à votre application boursière ? Cette spécialité est faîte pour vous ! Si vous n’êtes pas encore décidé, rassurez-vous vous pourrez découvrir ce nouveau monde avec les électifs de 3ème année.

La Majeur : Ingénierie financière> PAR ARTHUR ÉLIE & MÉLANIE JOURNÉ

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Vous voulez en savoir plus ?  : >>cliquez ici<<

Salaire  : C’est bien connu, les ingénieurs financiers sont de loin les mieux payés. Selon un rapport du CNISF en date de mars 2012, les salaires des ingénieurs en fi-nance s’élevaient à 45 000 €  brut (soit 3 750 € mensuels) en débutant, puis peuvent grimpent jusqu’à plus de 106 000 €  brut annuels en fin de carrière (plus de 8 800 € mensuels), avec une moyenne à 69 000 €  environ.

Entreprise à cibler : Quand le secteur va bien (ce qui n’est pas gagné en période de crise), les sociétés recrutant le plus sont les sociétés de Bourse, les banques, les as-surances, et les organismes de crédit.

Ce qui vous attend en stage, et dans la vie professionnelle : Le rôle principal de l’in-génieur en finance est d’aider les traders et les responsables d’établissements ban-caires ou financiers à gérer les risques liés aux fluctuations des taux d’intérêt et de change. Parmi les missions concernées on retrouve : gérer des risques, programmer les outils financiers et modéliser l’évolution du marché

ESILV

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> PAR AXEL HUGON

PAGE SPORTDécouvre… le Kin-Ball

Commençons par un peu d’histoire : ce sport collectif mixte a été crée en 1986 par un professeur d’éducation physique québécois. Aujourd’hui on compte 3,8 millions de pratiquants situés au Canada, aux États-Unis, au Japon ou en Europe.

Assez pour l’histoire, passons au règlement ! Le Kin-Ball se pratique sur un terrain favorisant les glissades de 21,4 x 21,4 mètres. Il se joue avec un ballon de 1,22 mètres de diamètre mais pèse 1 kg. Trois équipes composées de 4 joueurs sont en place si-multanément sur le terrain et sont distinguées par des dossards bleus, gris ou noirs. Aucun filet ou but n’est requis pour pratiquer ce sport.

A priori les règles de Kin-Ball sont simples : Rattraper le ballon avant rebond puis le renvoyer. La particularité ? Le ballon a un diamètre de… 1,22 mètres !! Étonnant non ? Allons, découvrons ce sport plus en détail !

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PAGE SPORTVoici le déroulement de ce sport. L’équipe offensive a la possession du ballon. Son but est d’envoyer le ballon à une des deux autres équipes de façon à ce qu’elle ne puisse pas le rattraper avant qu’il ne touche le sol. Si l’équipe défensive parvient à récupérer le ballon sans rebond, elle devient offensive à son tour, et ainsi de suite jusqu’à qu’une faute soit commise. Il est possible de défendre avec n’importe quelle partie du corps et il faut attaquer uniquement avec le haut du corps (généralement avec 1 ou 2 bras). Soyons plus précis : > En attaque : Avant de frapper le ballon, l’équipe offensive cri « Omnikin » puis le nom de la couleur, en français, de l’équipe qui devra défendre. Au moment de la frappe, toute l’équipe offensive doit être en contact avec le ballon. Le ballon ne peut pas être frappé vers le bas.> En défense : Le ballon ne doit pas être emprisonné entre les bras. Si le ballon est attrapé par l’équipe qui défend, ils ont 10 secondes suite au premier contact pour le contrôler, l’immobiliser, faire l’appel et renvoyer le ballon !

Enfin, on peut se demander comment les points sont comptés avec trois équipes sur le terrain. C’est simple. Lorsqu’une équipe commet une faute, les deux autres équipes marquent 1 point. La première équipe à 12 points remporte la première pé-riode (prolongation de 5 points en cas d’égalité). Une partie se déroule en trois pé-riodes gagnantes. La première équipe atteignant trois périodes remporte le match. Il n’y a pas de limitation de durée.

LE SPORT AU TOP : L’athlétisme peut déjà célébrer 2 titres en 2014!! Bravo à Mehdi OMARA (200 m) et à Dorine VIAR-DOT (lancer de poids) pour leur titre de champion et championne IDF !!

LES INVAINCUS : On peut dire que ce début d’année 2014 se passe bien pour l’équipe masculine de Handball qui signe sur ses 3 rencontres de janvier 1 nul et 2 victoires !

LE RESULTAT : Ce mois-ci c’est du côté de l’équitation que nous allons, pour fé-liciter Yann GERMONT pour sa première place au CSO, Épreuve qualificative IDF.

Le LEO D’OR de Janvier : Le sportif de ce mois commence bien l’année 2014 et

c’est sans aucun doute que l’équipe d’In-terpôle lui offre ce premier LEO D’OR de l’année 2014. Il est –s’il vous plaît- sacré champion de France d’échec ! Bravo à Bastien DUBESSAY !

Le fil rouge de la saison : Parmi les équipes du fil rouge, il n’y a plus d’invaincus… Mais nos Eagles sont de retour ! Imbat-tables, ils remettent leur titre en jeu et ils sont revenus encore plus fort que l’année dernière en signant leur première victoire lors de leur première rencontre avec un score de… 35/00 !!! Interpôle vous met donc au défi de continuer cette série de victoires ! Trop facile ? Encore mieux : une série de matchs sans encaisser de points ! Alors, « challenge accepted » ?

Voici l’ensemble des équipes qui nous ont agréablement marqué ce mois-ci :

Résultats Pulviens de janvier 2013 PAGE SPORT

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> PAR CÉLIA DELBARDLA SELECTION INSTAGRAM

Et c’est reparti pour un tour, le répit fut de courte durée. On retourne à ses petites habitudes: pause clope, café et instagram!!A vos hashtags!

#anglais #iim

#management

#pompier #pulv#rapportdestage #iim

#interpole

#cabossedur

#leopompom

#esilv #salon

#shn #emlv

#lkw

> PAGES 20-21 : INTERPOLE A TESTÉ POUR VOUS

> PAGES 22-23 : LA CHRONIQUE CINÉMA

> PAGES 24-25 : #YOLOSWAG

> PAGES 26-27 : ARTS & CULTURE

> PAGES 28-29 : OH MY BUZZ !

> PAGE 30-31 : LA MINUTE MODE

> PAGES 32-33 : LES TIPS BEAUTÉ DE LYSOU

> PAGE 34-35 : A XXXKM DE CHEZ NOUS

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On est au courant, C’est l’hiver, et l’hiver, c’est relou. Bien. Il est temps d’adopter la méthode Coué : “Think positive”. C’est donc avec plaisir qu’Interpôle te propose une séléction des meilleurs festivals de France, histoire de t’aider à t’évader, tout en continuant à prier pour que l’été arrive plus vite. Aller, c’est dans pas si longtemps finalement !

INTERPOLE A TESTÉ POUR VOUSLes meilleurs festivals de France

Solidays sonne le coup d’envoi de la saison des festivals parisiens. 3 jours et deux nuits de partage et d’amour, mais surtout de musique pour tous les goûts ! Si t’es rapide et chanceux, tu peux réussir à dégoter ton pass 3 jours pour 40 balles, c’est pas négligeable, mais attention, une fois que t’y as mis les pieds, tu chopes le virus, on t’y croisera sûre-ment l’année suivante !

Le Panoramas prend place le week end de Pâques, à Morlaix, en Bretagne. Bon, certes, le camping est pas chauffé mais à quoi bon, les concerts s’ar-rêtent à 6h du mat’, t’auras donc sûrement pas de mal à trouver le sommeil en rentrant, malgré le climat breton. Cela dit, la programmation est loin d’être décevante, aucun prétexte pour ne pas aller y jeter un oeuil !

Marre de la France profonde, des bottes et du k-way ? Économise un peu (beaucoup, on va pas se mentir) et envole toi écouter de l’electro les pieds dans l’eau, faire un tour en zodiac pour rejoindre une petite crique et teuffer à la villa Schweppes, boire l’apéro sur le Diesel Boat et poursuivre la nuit chez Tao (célèbre piano bar perché en haut de la citadelle) ou encore au Théatre de la Verdure à quelques pas du port.

C’est donc chez les Ch’tis, dans la Citadelle d’Ar-ras, début juillet, que le Main Square va te faire rêver ! Seulement deux scènes mais tellement de bonheur ! Profite de l’été prochain pour y faire un tour, tu ne devrais pas être déçu, puisque pour fê-ter leurs 10 ans, le festival ne se déroule pas sur 3 mais bien 4 jours, et le début de la prog déjà ré-vélé laisse présager une année riche en émotions.

Solidays

Panoramas

Calvi on the Rocks

Main Square

Partagez vos bons plans à contact@interpolemag.com19

INTERPOLE A TESTÉ POUR VOUS

Si avec ca t’es toujours dans un mood dégueux, et qu’il te faut plus de rêverie pour aller mieux, bah attend donc le mois prochain, on s’attaque aux festivals européens, ce qui te permettra de partir en  vacances à l’étranger avec une bonne tranche de musique bien comme t’aimes ! Tiens bon !

Fin août, tu rentres de vacances, la rentrée ap-proche, c’est la dernière occas’ pour kiffer avant de bader. Laisse s’échapper ton esprit à Charle-ville-Mézière, en plein coeur des Ardennes. On te l’accorde, le nom de la ville ne donne pas envie de s’y ruer, mais crois nous sur parole, l’ambiance est au rendez-vous, et la prog, n’en parlons pas ! Après tout, c’est pas si loin !

Certes, on va pas se mentir, c’est relativement cher, mais jettes donc un œil aux têtes d’affiches, tu rigoleras moins. Entre Bjork, Radiohead, Paul Kalbrenner et j’en passe et des meilleurs, tu ne peux que trouver ton bonheur dans le parc de Saint Cloud, fin aout pendant 3 jours. Allez, casse ta tirelire et fonce !

Les cours ont repris et tu déprimes déjà ? Pas de problème l’ami, l’Inox est là pour te remonter le moral ! C’est assez bref, hein, de 11h du mat’ à 2h, ça passe vite ! Mais c’est intense ! L’endroit est vrai-ment sympa puisque c’est un île à Chatou (78) et la programmation est de plus en plus ouf chaque année. Le tout pour 45€, ça ne se rate pas !

Probablement le festoch le moins cher de la pla-nète, mais également le plus bordélique ! Pour faire simple, si tu veux y aller une kalachnikov dans la poche, personne ne va t’arrêter., et si tu es d’humeur à rencontrer du peuple, soit sur qu’entre deux «  APÉROOOO !!  » (au milieu de la nuit) et une tripoté de cocos chantant l’Internationale, tu trouveras ton bonheur !

Cabaret Vert

Rock en Seine

Inox

Fête de l’Huma

LA REVUE CINÉMARewind des meilleurs films de 2013

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LA REVUE CINÉMA#1 : DJANGO UNCHAINED« Tarantino a son meilleur, il revisite le western spaghetti comme lui seul en est ca-pable. »

#2 : THE WOLF OF WALL STREET« Sex, Drug & Cash, Scorsese se lâche avec un Dicaprio survolté. Jouissif et totale-ment déjanté ! »

#3 : SNOWPIERCER« Lutte des classes d’une noirceur dérangeante, la tension crescendo du film nous glace littéralement. »

#4 : GRAVITY« Sensationnel et techniquement sans égal, c’est à bout de souffle qu’on ressort de cette expérience absolument renversante.»

#5 : INSIDE LLEWYN DAVIS« Inside Llewyn Davis ou comment sublimer la loose internationale. Sublime.»

#6 : MUD« Emouvant, beau et sincère, Mud propulse Matthew McConaughey jusqu’au som-met. »

#7 : CLOUD ATLAS« Aussi complexe qu’il puisse paraître Cloud Atlas vous transportera dans les abîmes de la fiction à l’état pur. »

#8 : RUSH« Biopic brillant, casting et mise en scène parfaite. Un duo de folie pour des courses endiablées. »

#9 : ONLY GOD FORGIVES« Une expérience visuelle bluffante et violente. On ne peut qu’apprécier ce tableau onirique.»

#10 : PRISONERS« Thriller haletant et magnifique tableau de la perversité humaine.»

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Hipster? So mainstream bro ! (Part I)

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YOLOSWAG> PAR JONATHAN CHAMBERS

En deux mots, ce qui est commun à tous le hipsters, c’est bien entendu de se démar-quer du « Mainstream » (on traduira « courant dominant » ou en d’autres termes «  la grande masse de moutons incapables de se démarquer que nous sommes, pauvres mortels »). Mais puisqu’on est ici pour se moquer, ridiculiser, et même sté-réotyper, entrons vite dans le vif du sujet : les attributs du parfait hipster lambda.

Alors oui, c’est drôle, on a pas encore abordé la question des hipsters ! Pourtant, c’est pas faute d’évoluer dans une société envahie par ce « nouveau » phénomène ! Bref, venons en aux faits ! Le hipster, quel qu’il soit, est une espèce loin d’être en voie de disparition, au grand damne de certains, mais finalement, qu’est ce qu’un hipster ?

Les lunettes.Ha bah oui, si tu as la chance d’être myope ou astigmate, profite en ! File chez Optic 2000 t’acheter une bonne paire de Ray Ban ! Mais fais gaffe, Les Wayfarer sont deve-nues mainstream (grâce aux early hipster, probablement), opte plutôt pour le modèle Club Master, datant des années 50 et remis au gout du jour pour un super effet rétro !

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YOLOSWAGLes triangles.Bon, on va être honnête, personne ne sait vraiment, de source sûre, d’où ça vient. Tou-jours est il qu’il vaut mieux s’en faire tatouer un pour être dans « le cercle » ( = comme tout le monde, ironique non?), ou au pire, si l’aiguille te fait peur, trouve un pendentif / t-shirt (à 70€) pour au moins faire bluff !

Le bonnet.Été comme hiver, en pleine canicule ou par un blizzard tout droit sorti de Narnia, le bonnet est IN-DIS-PEN-SABLE ! Mais pas le bonnet de monsieur tout le monde hein, ho ! Soit un bonnet trop petit, ce qui ne sert pas à grand chose, certes, soit un bonnet de taille normale, simplement posé sur le dessus de ton crâne, qui ne sert pas tellement plus.

La moustache.Alors là, ça ne relève pas seulement de toi, mais par pitié, les quelques poils d’ado pré-pubère qui commencent vaguement à pointer le bout de leur nez, non. Et puis même, la stache-mou bien épaisse de camionneur, non plus. Hipster ou pas, non. Par contre, tu peux en dessiner partout, ou même investir dans une superbe collection d’objets ornés de ce motif de haut goût.

Les fringuesPour ça, il y a deux écoles, pour deux budgets. Tu peux soit te saper exclusivement dans des fripes, ce qui ne te coûtera pas grand chose et t’assurera le monopole, mais il y a peut être une raison ! Soit remplir ton placard de t-shirts à motifs triangles ou crucifix, ou même unis à 70€. Ha mais attend, s’il est bien taillé, faut savoir sortir ton bif hein !

Qu’on soit clair, ce n’est pas la peine d’aller t’ouvrir les veines en écoutant le Requiem de Mozart si tu te reconnais un peu dans cet article hein, tout n’est pas perdu ! Après tout, être hipster, c’est pas la fin du monde, ton psy te dira que ce n’est qu’un phase et que ça te passera. Alors on croise les doigts pour toi, respire bien profondément, et on remet ça le mois prochain !

> PAR EMMA ROMEU

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ARTS & CULTUREDes chiffres encore et toujours !

Ce mois-ci, je vous propose de découvrir un artiste pour le moins original : Roman Opalka !Chers lecteurs, si vous n’aimez pas les mathématiques et les chiffres, arrêtez vous là, continuer est une mauvaise idée...

Un peu d’histoire ! Roman Opalka est né en 1931 en France de parents polonais.Lors de la guerre, sa famille fut déportée en Allemagne lorsqu’il avait 9 ans, son en-fance fut donc très sombre.Après avoir fait des études de graphisme, il intégra en 1950 l’École des Arts Appli-qués en Pologne ainsi que l’Académie des Beaux-Arts de Varsovie.Il réalisa d’abord des peintures de monochromes en blanc (c’est-à-dire un carré de blanc sur du blanc).Il commença ensuite, une œuvre qui lui prendra tout le reste de sa vie  : OPALKA 1965- ∞ et gagna de nombreux prix tout au long de son parcours.Il est décédé le 6 août 2011 et son œuvre s’arrêta le jour de sa mort. Pour lui, « le fini est défini par le non fini ».

L’œuvre de sa vie : accrochez vous ! La méthode pour réaliser OPALKA 1965-1∞ ne peut être mieux expliquée que par l’artiste lui même.Voici ce qu’il en dit : « J’inscris la progression numérique élémentaire de 1 à l’infini sur des toiles de même dimension, 196 sur 135 centimètres, à la main, au pinceau, en blanc, sur un fond re-cevant depuis 1972 chaque fois environ 1 % de blanc supplémentaire. Arrivera donc le moment où je peindrai en blanc sur blanc. »« Depuis 2008, je peins en blanc sur fond blanc, c’est ce que j’appelle le « blanc mé-rité »Après chaque séance de travail dans mon atelier, je prends la photographie de mon visage devant le Détail en cours. Chaque Détail s’accompagne d’un enregistrement sur bande magnétique de ma voix prononçant les nombres pendant que je les ins-cris ».Dans son œuvre, il n’est question que de temps. Son œuvre représente sa vie, qui passe, comme un inépuisable sablier. Il inscrit sur ses toiles son temps en tant qu’homme. La fin de son œuvre sera la fin de sa vie. A chaque nombre qu’il note sur sa toile, un dialogue s’établit avec la mortLa fin de son œuvre sera la fin de sa vie. Un dialogue perpétuel avec la mort chaque fois plus proche. Une forme de compte à rebours inversé dont on connaît, sans sur-prise, la fin, mais pas le moment où cela va arriver. 

Les photographies, qu’il prend à la fin de chacune de ses toiles laissent voir le pas-sage du temps par le vieillissement de son visage, le blanchissement de ses cheveux, les changements à peine sensibles de son regard.

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ART & CULTURE

Son œuvre est donc la chronique, d’une mort annoncée.

Et devinez quoi ? Le dernier nombre qu’il a peint est... 5 607 249 ! Oui, c’est énorme. Et il me semble que ce dernier avait toute sa tête.

Je voulais manifester le temps,son changement dans la durée,celui que montre la nature,mais d’une manière propre à l’homme,sujet conscient de sa présencedéfinie par la mort :émotion de la vie dans la durée irréversible 

Un Marketeur ne dort jamais, rester à l’affût des tendances, des phénomènes de so-ciété mais aussi de ce que fait le voisin n’est vraiment pas de tout repos. Oh la la, je vois déjà venir vos cheveux gris, pas de panique, vous avez encore quelques années avant d’être lancé dans ce monde de requin qu’on appelle plus communément « la vie active ». Et puis comme on est gentil, à la redac’, on aime bien vous donner un sujet de conversation pour vos prochaines soirées mondaines.

> PAR CÉLIA DELBARD

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OH MY BUZZGuerilla Marketing : la pub qui nous entoure

Le client au cœur du processus Marketing « One to One », qu’est-ce que c’est encore que ça ? Le concept est simple, et si tu n’as pas le niveau d’anglais de ma grand-mère, tu peux le comprendre. En bref, cette technique cherche à mettre le client au cœur du processus Marketing en lui proposant une offre personnalisée. Quoi de mieux que de répondre à la demande que de s’adresser d’une manière individualisée et spécifique à chaque client en te-nant compte de ses attentes ? Le but de cette approche est celui de créer, développer et maintenir la « customer relationship » plutôt que de massifier le marché.

Miser sur la personnalisation Quel est le point commun entre Coca-cola, M&M’s, Nutella et Monoprix ? Toutes ces marques ont fait le choix de surfer sur la tendance « One to One » et de proposer un packaging personnalisé. Le concept ? Remplacer le nom de la marque, par le nom du consommateur et faire en sorte que celui-ci s’approprie le produit. Si aujourd’hui vous fixez la canette de coca à votre nom qui trône sur votre bureau, qui y aurait cru il y a encore 10 ans ?

Monoprix, petit génie du packa-gingLe dernier buzz en date, est celui de Monoprix qui a lancé sa campagne de communication « les messages en boîte » relayé par son ap-plication Facebook. Une liste de produits est proposée aux consommateurs qui peuvent les personnaliser à leur guise avec des messages décalés tels que «Tous mes œufs de bonheur», “Que vous ayez le beurre et l’argent du beurre, bonne année ...” ou encore «T’es vraiment un chips type”. Avouez-le, vous avez tous rêvé de recevoir un jour une boite d’œufs, une pla-quette de beurre ou même un paquet de chips en guise de carte de vœux.

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OH MY BUZZLes marques préférées des FrançaisSi pour certains comme M&M’s, il s’agit d’un service supplémentaire accordé aux clients, pour d’autres comme Nutella, il s’agit tout simplement d’un coup de pub. Via son site mymms.fr, entièrement dédié à la personnalisation de nos sucreries préfé-rées, la marque propose ses produits à votre nom, et même à votre image. Si le coup est élevé, le marque propose régulièrement des promotions et des jeux concours. Quand à Nutella, l’opération a été menée via leur page Facebook l’été dernier et per-mettait à chaque personne aimant la page, d’accéder à une application pour person-naliser son pot. Chaque jour, 1000 étiquettes gratuites ont été distribuées.

Une opération en grande pompe pour Coca-colaAvec un budget cinq fois supérieur à celui consacré aux derniers Jeux Olympiques de Londres, le géant du soda a misé en 2013 sur la personnalisation au format in-dustriel. Les célèbres bouteilles de la marque affichent depuis cet été, 150 prénoms et quelque « partagez un Coca Cola avec … vos potes, vos voisins, votre famille... ». En outre, la marque a entamé un tour de France des festivals offrant alors 500 000 bouteilles personnalisées.

Si aujourd’hui, les marques sont de plus en plus nombreuses à surfer sur cette vague. Après l’appropriation du packaging, l’étape suivante serait logiquement l’appropria-tion des saveurs. C’est le pari que s’était lancé, la marque de bière Desperados en donnant la possibilité de mélanger différentes saveurs pour créer sa propre bière. L’opération est tombée à l’eau et aujourd’hui, il est uniquement possible de person-naliser le packaging. Alors, à qui le tour ?

Bien le bonjour ou bonjour cher lecteur/trice d’Interpole Mag… Ce mois dans la sec-tion mode fémi-nine, nous allons nous pencher sur ce phénomène que toutes les fashionistas attendent avec impa-tience : Les soldes. Chaque année, c’est la ruée vers nos différents magasins préférés !Mais où sont les véritables bonnes affaires ? Parce que oui c’est clair : on en a marre de ces magasins bondés où toutes les affaires soldées sont à même le sol sans mé-nagement. Première astuce : Ne pas y aller au feeling. C’est la MAUVAISE idée ! Vous allez seu-lement flâner dans des magasins bondés et ne jamais trouver la bonne pièce qui manquait à votre garde-robe… Alors les filles, il est temps de faire une liste et d’y aller en conquérante. Jean troué ? Ok… Chemise en soie de Bershka ? Ok… Deuxième astuce : Le repérage sur internet. Chaque année quelque jour avant les soldes, des sites comme Sarenza ou encore Zalendo mettent en avant leurs produits soldés… Ce qui vous permet de pré sélectionner les affaires qui pourraient vous in-téresser. Après ces repérages faits sur internet, et votre liste de ce qu’il vous faut. Il est temps pour vous de vous faire plaisir dans les différents magasins de la capitale… Sur in-ternet ou directement en bou-tique à vous de choisir. Et bon courage !

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LA RUBRIQUE MODELes soldes, c’est la folie chaque année !

> PAR ANTHEA MA

Le look preppy est un style vestimentaire à mi-chemin entre le chic et le sportswear. Ce style est né dans les années 60 et a été créé par des étudiants en classes prépara-toires (d’où le nom « preppy ») aux grandes universités du Nord-Est des Etats-Unis.Ce style reflète le chic, la réussite tout en restant décontracté, certains le qualifient même d’incarnation de l’excentricité bourgeoise.

D’abord une chemise oxford ou un polo, puis l’inconditionnel chino, un blazer bien cintré et enfin des mocassins ou des chaussures bateaux. Les cravates typiquement anglaises sont aussi très bien vues. Dans beaucoup de pays anglophones, les uni-versités ont leur logo sur un écusson brodé sur des cravates et des sweats-shirts très appréciés des étudiants preppys. Le sport universitaire, notamment le golf ou le polo, par son importance dans la vie étudiante a eu son influence sur le look.

On doit retrouver le classicisme anglais avec tous ses motifs, ses carreaux, ses larges rayures… Pour ce qui est des couleurs, les tons pastels sont à privilégier, cependant, le look preppy reste très coloré, alors on mixe tous les tons possibles !

Ce style intemporel lancé par la marque Ralph Lauren suivie par Tommy Hilfiger ou encore Lacoste reste cependant assez coûteux.

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LA RUBRIQUE MODELe style preppy

> PAR ADRIEN BRULÉ

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LES TIPS BEAUTÉ DE LISOUX

Mes chers amis la saint valentin approche à grand pas, en tant que célibat-aire on veut être le plus beau pour sortir, séduire et si vous êtes en couple c’est l’occasion de passer une soirée magique avec votre valentin(e). Il faut que tout soit parfait, les habits, les cheveux, le maquillage et le lieu de votre soirée. Que ce soit un dîner aux chandelles au restaurant ou à la maison, on n’oublie surtout pas de prendre soin de son corps et de sa beauté.

Prêt pour la Saint Valentin!

Pour les hommes:Il est vrai que pour un homme c’est plus simple de se préparer mais attention, une femme fait attention à tout. Votre légendaire flemmardise tout comme le moindre petit effort fait pour que cette soirée soit parfaite.

Lors de cette soirée, jouez la carte de la séduction. Surprenez votre moitié en dé-voilant la femme fatale ou l’homme irrésistible que vous êtes. Pour séduire il n’y a pas de miracle il faut soigner les moindres petits détails : le re-gard, les cheveux, la bouche et bien sûr votre peau. Ces petits détails parfois insigni-fiants vous permettent pourtant d’augmenter votre pouvoir de séduction.

Alors messieurs, il n’y a pas grand chose à dire mais prenez une bonne douche pour commencer. Vous

ne voudriez pas arriver devant votre petite amie en sentant mauvais avec les che-

veux gras n’est-ce pas  ? Après cela, rasez vous, mettez de la crème pour avoir la peau douce, mettez du par-fum pour sentir bon, coiffez vous et assurez vous d’avoir les ongles propres. Ensuite concernant les vê-tements, oubliez le fameux tee-shirt, jeans et basket ! Quoique vous ayez

préparé pour votre chérie, un dîner romantique au restaurant ou même

à la maison, soyez un minimum classe. Montrez lui que vous ne négligez pas cette

soirée.

> PAR ELYSA DZEUANG

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LES TIPS BEAUTÉ DE LISOUXPour les femmes:Lorsque vous demandez à un homme ce qui le séduit en premier chez une femme il répond la plupart du temps que c’est son sourire, l’intensité de son regard, de belles jambes etc…

Tout cela ne servirait à rien si vous ne preniez pas soin du plus im-portant : la peau !Pour avoir une belle peau il faut se démaquiller tous les soirs. Le démaquillage est très important pour avoir le teint frais le lendemain matin. Si vous ne vous maquil-lez pas, il est tout de même indispensable de nettoyez votre visage avant de dormir pour enlever la pollution, la poussière et le sébum. Pour assainir les petits boutons, tapotez la zone à l’aide d’un coton tige imprégné d’une goutte d’huile essentielle de lavande. Faite de temps en temps une séance cocooning. Bain, gommage de la peau et crème hydratante. N’hésitez pas à préparer des recettes maisons à appliquer sur votre vi-sage pour avoir une peau douce et éclatante. La clé d’une belle peau c’est dormir et avoir une bonne alimentation.

Alors vous l’aurez compris, prenez soin de votre corps entier. Pour les jambes, la peau d’orange et les coupures dues à une épilation improvisée faite en 5 minutes ce n’est pas sexy et cela ne séduit personne. Si vous préférez l’épilation à la maison, prenez plutôt un épila-teur qui s’utilise sous la douche pour que cela glisse plus facilement et n’oubliez pas d’ap-pliquer un lait hydra-tant juste après. En ce qui concerne vos mains elles doivent être irré-prochables et vos ongles doivent être parfaits. Se faire une manucure tous les 15 jours ça a un coût, donc optez davantage pour des ongles courts, bien limés avec un beau vernis transparent ou rouge pour donner une touche de glamour puis appliquez une crème pour que vos mains soient

douces. Ensuite misez sur un regard in-tense, prenez un mascara allongeant et préférez une formule épaisse pour que la couleur se voie bien. Faites attention

à bien accorder votre maquillage avec votre teint. N’oubliez pas

l’anti-cerne, appliquez-en dans le coin interne de

votre œil et au coin ex-terne puis mettez en légèrement en des-sous. Pour finir, gloss ou rouge à lèvres pour avoir une bouche à cro-

quer ? N’hésitez plus et choisissez les 2 en 1, ap-

pliquez votre rouge à lèvres puis ensuite la touche de gloss

pour donner de la lumière à votre bouche.

Le choix de la coiffure et des vête-ments vous revient, mais gardez en tête que vous faites cela pour sé-duire et être la plus belle de la soirée.

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> PAR ROUCOOL

A 12 000KM DE CHEZ NOUSQue faire quand on n’a pas d’ami ?

Depuis quelques années il est possible de louer un ami pour quelques heures ponc-tuelle-ment ou de manière plus régulière. La location d’ami est un concept venu du Japon à l’origine dédié aux retraités. Aujourd’hui ce marché est arrivé en Europe et fait face à une importante demande. En effet, en France, cinq millions de personnes sont en situation d’isolement et aux Etats-Unis 40% des adultes avouent se sentir seuls. Pour vous l’amitié n’a pas de prix ? Eh bien si entre 30 et 40 euros de l’heure. Des sites tel que « Book a friend » permettent en France de louer des amis selon les affinités et centres d’intérêts : « Book a friend vous permet de chercher, trouver et louer des amis adaptés à vos envies ou vos besoins ».Le tarif varie selon l’investissement que tu demandes à cet ami, les activités que tu veux faire avec lui et ce que tu peux lui apporter.Attention : être accompagné pour un enterrement est un peu plus cher !Enfin bref si tu n’as pas d’ami, tu sais maintenant quoi faire

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A 6127KM DE CHEZ NOUS

« Allume la télé ! », voilà ce que pourraient dire les parents dorénavant à leurs en-fants. En effet, on le sait tous, enfin pour la plupart, qu’aux Etats-Unis il existe un incroyable taux de jeunes femmes voire de jeunes filles enceintes qui ont entre 15 et 25 ans. Une émission de téléréalité nommée « 16 and Pregnant » (16 ans et enceinte, pour ceux qui auraient pas compris…) a été créée pour ces jeunes mamans par la célèbre chaîne de musique MTV. Depuis, l’émission réunie chaque soir plus de 3 mil-lions de viewers et quoi qu’on puisse penser de la téléréalité, du genre que c’est nul, que ça sert à rien… et bah la pour une fois détrompez-vous, cette émission a eu un impact positif ! Le New York Times a réussi à démontrer qu’en comparant la courbe du nombre d’adolescentes enceintes aux Etats-Unis avec le taux d’audience de l’émission, cette émission de téléréalité qui est aussi la plus regardée de MTV, se serait rendue utile en évitant plus de 20000 grossesses. Ce qui est le plus étonnant depuis la création de ce TV show, c’est que sur 1000 adolescentes, 62 donnaient naissance en 1991 et actuellement seules 29 adolescentes sur 1000 donnent naissance (enfin c’est encore beaucoup !). « 16 and Pregnant » filme toute la période de grossesse des futures mères et l’après donc tout ce qui se passe après leur accouchement et l’émission a souvent été criti-quée car elle rendait compte de moments trop idylliques au point d’inciter des jeunes femmes à tomber enceintes. Dans une Amérique aussi puritaine et croyante, l’éducation sexuelle n’est toujours pas à l’ordre du jour dans leurs programmes scolaires, les adolescents ne sont donc pas assez informés des dangers et des risques et restent peu préparés pour affronter ce genre d’épreuve…

> PAR MARIE-CAROLINE ROYET

Le paradoxe des télé-réalités !

CReDITS

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