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BURUNDI - HAVILA/ ELECTION 2010 : Ces Barundi, à descendance Juive ... DAM,NY,AGNEWS, le 27/06/2009 Il y a une semaine, la rédaction d'AGNEWS a été étonnée de voir un homme comme le Prof. Bwejeri Jean (Yochannan), dit "Prince de Nkoronko" (Pourtant n'ayant rien avoir avec la royauté rwandaise), participer à un débat concernant la monarchie burundaise, dont lui et ses chantres, ont prononcé sa disparition pure et simple. Il est venu dès lors l'idée de rappeler brièvement qui est cet homme... (1 ) Le Professeur Bwejeri Jean est le président de l'association HAVILA (1 ). Sa personnalité, en se présentant comme - Seruhinda Wa Semukara -(2 ), dénote bien son sentiment d'appartenance aux Bahima barundi qui se savent désormais découvert ... En 1996, alors que l'ex Dictateur BUYOYA (UPRONA) va décider de jouer les quota ethniques (matérialisés dans la Constitution d'Arusha, réaffirmés dans celle de 2005), le Prof.Bwejeri et son groupe, majoritairement d'obédience PARENA, vont tenter, eux, de se judaïser (3 ) en espérant se raccrocher -des réseaux juives- très interpellés par le Génocide du Rwanda. Leur soutien affiché à la question "Banyamulenge" en RDC, très géostratégique, avec des enjeux économiques majeurs (9 ), va accélérer ce rapprochement. A un an des élections burundaises en 2010, l’intervention du Professeur Bwejeri Jean n'est pas dépourvue de tout fondement. Il veut rappeler à la communauté internationale (son réseau), et aux Barundi, qui s'en étonnent, la consanguinité et la culture commune entre les Juifs et les Tutsi barundi. Voilà ce qui pousse ces Barundi à se cacher derrière le groupe des Batutsi ? Pour rappel, les Batutsi barundi sont des Bahutu, toutefois si on enlève de ce groupe - les Bahima - , et quelques autres clans tel les - Benegwe - , ou les - Banyakarama - ! Les Bahima ne sont assimilés aux Batutsi barundi que depuis l'histoire récente du Burundi (celle de la colonisation). D'où, loin est l'envie du Prof. Bwejeri de participer au débat de rapatriement du corps du monarque Mwambutsa ou de l'enterrement de son fils NTARE V, bien qu'il renvoie de manière indirecte à une autre débat : - celui de rendre à "Micombero" ses honneurs ! Voici quelques précisions qui interpellent suite à son intervention (4 ): Le Prof. Bwejeri lie JABWE (JABRE) à "Zagwe". Ce qui peut paraître une bonne chose. Il déclare que JABWE serait le frère de Ménélik I. JABWE (11 ) est souvent présenté dans l'histoire des Barundi comme étant le frère de NSORO. Ce qui semble être faux (12 ). JABWE serait le dernier grand souverain de la Dynastie du clan des Balenge. Le clan des Balenge (ou Balengwe) est bien connu

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BURUNDI - HAVILA/ ELECTION 2010 : Ces Barundi, à descendance Juive ...DAM,NY,AGNEWS, le 27/06/2009

Il y a une semaine, la rédaction d'AGNEWS a été étonnée de voir un homme comme le Prof. Bwejeri Jean (Yochannan), dit "Prince de Nkoronko" (Pourtant n'ayant rien avoir avec la royauté rwandaise), participer à un débat concernant la monarchie burundaise, dont lui et ses chantres, ont prononcé sa disparition pure et simple. Il est venu dès lors l'idée de rappeler brièvement qui est cet homme... (1)

Le Professeur Bwejeri Jean est le président de l'association HAVILA (1). Sa personnalité, en se présentant comme - Seruhinda Wa Semukara -(2), dénote bien son sentimentd'appartenance aux Bahima barundi qui se savent désormais découvert ... En 1996, alors que l'ex Dictateur BUYOYA (UPRONA) va décider de jouer les quota ethniques (matérialisés dans la Constitution d'Arusha, réaffirmés dans celle de 2005), le Prof.Bwejeri et son groupe, majoritairement d'obédience PARENA, vont tenter, eux, de se judaïser (3) en espérant se raccrocher -des réseaux juives- très interpellés par le Génocide du Rwanda. Leur soutien affiché à la question "Banyamulenge" en RDC, très géostratégique, avec des enjeux économiques majeurs (9), va accélérer ce rapprochement.

A un an des élections burundaises en 2010, l’intervention du Professeur Bwejeri Jean n'est pas dépourvue de tout fondement. Il veut rappeler à la communauté internationale (son réseau), et aux Barundi, qui s'en étonnent, la consanguinité et la culture commune entre les Juifs et les Tutsi barundi. Voilà ce qui pousse ces Barundi à se cacher derrière le groupe des Batutsi ?Pour rappel, les Batutsi barundi sont des Bahutu, toutefois si on enlève de ce groupe - les Bahima - , et quelques autres clans tel les - Benegwe - , ou les - Banyakarama - ! Les Bahima ne sont assimilés aux Batutsi barundi que depuis l'histoire récente du Burundi (celle de la colonisation).

D'où, loin est l'envie du Prof. Bwejeride participer au débat de rapatriement du corps du monarque Mwambutsa ou de l'enterrement de son fils NTARE V, bien qu'il renvoie de manière indirecte à une autre débat : - celui de rendre à "Micombero" ses honneurs !

Voici quelques précisions qui interpellent suite à son intervention (4):

Le Prof. Bwejeri lie JABWE (JABRE) à "Zagwe". Ce qui peut paraître une bonne chose. Il déclare que JABWE serait le frère de Ménélik I.JABWE (11) est souvent présenté dans l'histoire des Barundi comme étant le frère de NSORO. Ce qui semble être faux (12). JABWE serait le dernier grand souverain de la Dynastie du clan des Balenge. Le clan des Balenge (ou Balengwe) est bien connu

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dans la région (5). S'appuyant sur les dires du Prof.Yochannan Bwejeri (même si pour lui, peut-être, il y voyait plutôt un ancêtre Muhinda (10),...), ce clan des Balenge aurait il quelques choses à voir avec le Royaume de Saba ? Le Royaume de Saba a t'il un lien avec cette dynastie des Balenge ?Un fils de Sultan du Tchad (6) (parlant l'Hebreux) a affirmé que le berceau du Livrese situe quelque part dans ces aires géographiques...

L'Empire de KITARA (7) n'était nullement une aire géographique lié aux seuls Bahima. Les Royaumes au sein de cette Empire partagés des similitudes culturelles dont linguistiques, religieuses, et même sociales. Il ne s'agit nullement d'« Empire Hima-Tutsi ».

"les ‘arbres sacrés’ (ibigabiro ; inganzamarumbu), le feu sacré (Umuriro wa Kimeza), sont des institutions bibliques" affirme Bwejeri ... BAGAZZA peut-être pensait il la même façon pour le lieu sacré de Ndago ? Mais c'était ignorer toute la culture religieuse ou l'environnement religieux dans la région, bâti entre autre sur le culte de Kiranga, de Ryangombe, et d'autres.

Le Prof. Yochannan Bwejeri utilise le mot groupe pour parler des Tutsi, et non "ethnie". Car lorsqu'il précise que les clans princiers barundi sont Tutsi, exclusivement. Il a presque raison. Il doit préciser que de ces - Tutsi princiers -, les Bahima sont exclus. De clans, comme les Banyakarama, les Benegwe de l'ex. Royaume du Bugesera, sont rentrés dans ce groupe par mariage avec la Monarchie Urundi ...Ce groupe de - Tutsi princier - appartient à l'ethnie des Bahutu, groupe dont est originaire NTARE Rushatsi (Bien que la légende veut que l'on dise de lui qu'il n'a pas d'ethnie, ainsi que pour tous les Baganwa), qui est l'ancêtre commun.

La rédaction d'AGNEWS renchérit, à l'endroit du groupe auquel s'adresse la note du Professeur, en terminant sur une pensée du Dr. Lazare Ndayongeje (8) : "Réaliser la fraternité des Hutus, des Tutsis et des Himas dans la famille bantou, c’est en même temps réaliser la fraternité humaine. A cette fin Havila et ses structures constituent un obstacle à lever." C'est uniquement dans ce but que nous, AGNEWS,nous nous sommes prêtés à cet exercice afin de dénoncer ces stratèges de la non paix ...

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Notes :

(1) http://www.burundi-agnews.info/nature.htm, La nature du conflit burundais, cocktail politique d’intolérance et d’hypocrisie ; Commission Permanente d’Etudes Politiques (COPEP / CNDD-FDD);2000Extraits :-La deuxième mascarade politico-idéologique de substitution est singulièrement surprenante car son adoption aujourd’hui contraste très violemment avec le rejet catégorique de celle-ci par l’élite tutsi au cours des années 1962-1988 : c’est "le mythe de l’origine hamitique des Tutsi". L’on se doutait depuis un certain temps de l’existence d’une démarche diplomatique très discrète allant dans le sens d’une sensibilisation . Le doute vient d’être dissipé grâce à une conférence initiatique tenue à Louvain-la-Neuve (Hôtel Mercure de Lauzelle) le 10 octobre 1999 par une organisation tutsi dénommée "Institut de Havila" sur le thème de "la prophétie du "bâton" qui est celle du retour de la mémoire perdue des peuples hébraïques de Havila (la région des Grands Lacs (…), une véritable liturgie du souvenir telle que la vivaient quotidiennement les Batutsi du temps de Rwabugiri". - Selon les principaux responsables de l’organisation (Monsieur Jean Bwejeri, Maître Matthias Niyonzima, Capitaine Richard-Delvaux Ciramunda et Monsieur Gaspard Kirombo), apparemment d’obédience PARENA (Parti pour le redressement national) dont ils louangent abondamment le Président- fondateur Jean-Baptiste Bagaza, l’objectif de l’institution Havila est "de restituer et de faire revivre la mémoire perdue des douze codes hébraïques qui ont caractérisé, depuis des millénaires, la civilisation des peuples kushitiques de l’Abyssinie méridionale (Rwanda, Burundi, Buha, Ankole, Buhavu, etc.) établis aux confins des sources sacrées du Nil Blanc et gardiens des mines du Roi Salomon".- http://www.tutsi.org/reponse_jean_bwejeri.pdf

Sous couvert de pseudonymes tantôt sous le nom de Thierry Hakizimana pour les articles cités plus haut tantôt sous le couvert de « Maurice depuis Nairobi » pour l’article produit en date du 03/02/09 sur le même site, je me permets de révéler à tous les internautes l’identité et la nature de l’homme qui se dissimule derrière ces pseudonymes : Il s’agit sans aucun doute du dénommé Jean Bwejeri, originaire de la province Mwaro, commune Kayokwe, paroisse Kibumbu, colline Ruramba, se déclarant Tutsi d’origine (la précision est de taille), résidant à Louvain –la- Neuve, licencié en langue et littérature française de l’Université du Burundi (contrairement au titre de « Professeur » dont il a l’habitude de se prévaloir), sans emploi connu en Belgique depuis 20 ans.

(2) http://burundi-agnews.info/agnewscontcorpsnews1242442579htm , DAM, AGNEWS, NY, 23/2/2008Dans le cas de figure qui nous intéresse avec l'Histoire de Réfugiés du Burundi, deux faits historiques burundais assez particuliers (notamment certains chants et dictons rapportent le récit ) mentionne le conflit qui opposa le Roi NTARE à RUHINDA. RUHINDA était l'ennemi de NTARE. La guerre durera près de 20 ans et finit par la victoire de NTARE. L'autorité du Roi en prit un sérieux coup. Elle fut même presque contestée. Mais depuis lors, le lignage des BAHINDA (descendant des RUHINDA), du clan des BAHIMA, furent considérés comme des gens en qui on ne pouvait faire confiance ... Par ailleurs NTARE RUGAMBA, le père de MWEZI GISABO, lui a du aussi recourir à la force en vue de récupérer le BUGUFI qu'il avait confié à un chef MUHIMA (Fumbije). Ce chef fit construire un tambour en vue d'établir son état mais NTARE lui envoya son chef militaire(Sebwa) qui fit une bouché du chef sécessionniste MUHIMA. Le Burundi conserva dès lors le BUGUFI.L'instrument juridique ou le droit coutumier burundais s'est bâtit sur des faits et des histoires vécus par les Burundais ... Selon le muganwa BARANYANKA Charles, la violation des codes ésotériques par les colonisateurs a fait beaucoup de tort au Burundi. Ces derniers ont éteint notre « feu sacré » qui animait toute la vie burundaise dans tous les domaines. L’assimilation des nouveaux modes de gestion du Royaume a perdu notre pays et a laissé de nombreux séquelles.Cette Histoire nous montre qu'il existait depuis des centaines d'années une organisation politique (institutionnelle) et militaire dans le Burundi d'autrefois, celui des ancêtres des Burundais actuels. Le Burundi, bien qu'un pays de tradition orale, avait bel et bien des codes qui le régissait (code ésotériques des dynasties, une sorte de droit coutumier ).Pour rappel, la Royauté burundaise était multiséculaire jusqu' au Coup d'Etat du dictateur, inculte et sanguinaire, le Colonel Micombero (un MuHIMA) en 1966. Cette dimension clanique avait un tel ancrage culturel qu’aux yeux des anciens, l’élément le plus marquant de la proclamation de la République fut moins le changement de régime que le fait qu’un Hima arrivait à la tête de l'Etat. Rappelez vous de RUHINDA !

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(3) Autres liens internet sur - Havila and the Tutsi Hebrews- Professor Yochannan Bwejeri (President, Havila Institute) - http://havila.org- http://www.upjf.org/judaisme/article-8767-135-6-origine-juive-tutsi-mathias-niyonzima.htmlLes Tutsi préfèrent la qualification de "Kushites" (Tutsi = Kushi) en référence à l'ancien empire de Kush où régnèrent la Reine de Saba et son fils Ménélik 1er (= David II, dont le père aurait été le Roi Salomon d'Israël). La tradition éthiopienne (voir le Kebré Neguest, le livre sacré de la "Gloire des Rois" d'Ethiopie) veut que la Reine de Saba (= la Reine Makéda, en Ethiopie) ait reçu, de la part de Salomon, un traitement spécial. Cela pourrait s'expliquer par le fait qu'elle représentait les ancêtres de la descendance de Moïse (Saba = grand-père), qui était marié à une Ethiopienne, une union protégée par le Saint béni-soit-Il (lire Nb 12, 1). Prenant comme référence le Roi Salomon, les Tutsi se situent donc dans la tribu de Juda et adoptent, comme lesempereurs d'Ethiopie, le Lion comme animal-symbole. On se souvient de Hailé Sélassié qui se nommait «Lion de Judée» et des cinq Rois-Lion/Ntare (parmi les 17 rois au total) qu'a connus le Burundi depuis le XIIIe siècle environ, lorsque les Tutsi dits «Abanyaruguru/bnei ruguru» (= les fils du Nord) descendirent de la Corne de l'Afrique pour se disperser "au-delà des rivières d'Ethiopie" (So, 3, 10). Ainsi, la dynastie tutsi, qui a été renversée en 1966 au Burundi, a été fondée par Ntare i rushatsi cambarantama (= Roi Lion I «le Hirsute à la Tunique de bête»), vers 1270 de l'ère profane. Ntare aurait emmené avec lui la mémoire collective juive de l'époque du Roi Salomon. Beaucoup de noms de clans venus avec lui gardent toujours, de nos jours, des références à leur racine hébraïque «ben» (= fils de), comme par exemple les Ben-engwe, Ban-yakarama, Ban-yamurenge, Ban-yiginya, etc. L'influence de l'hébreu ne peut pas être confondue avec l'influence tardive de l'arabe, les arabes n'ayant jamais réussi à pénétrer dans les territoires contrôlés par les Tutsi jusqu'au début de la colonisation européenne (1903). A l'époque des indépendances, la mémoire collective juive des Batutsi se concrétisa notamment par l'adoption de l'étoile de David sur le drapeau du Burundi.- http://www.kulanu.org/tutsi/havila.php- http://www.abarundi.org/actualite/nationale/havila_210502_declaration_sur_awepa.html- http://fondation.ntarama.free.fr/Francais/publication/havila.htm - http://cdfafrique.afrikblog.com/archives/2007/08/06/5823772.html- http://users.skynet.be/wihogora/havila-rmm-041202.htm- http://www.netpress.bi/ts/190701c.htm" L'organisation "HAVILA" bénéficie du soutien des organisations telles que "Maison Royale du Burundi" (Belgique), Havila (Belgique), Havila (Burundi), Aflenet (Belgique), ARPAC (Belgique), Centre Mulenge (Suisse), Centre Hakim (USA), FGI (Suisse), FGI (USA), FGI (Israël/Yerusalem), Groupement Banyamulenge "Karahabutaka" (Kivu), Sogedem (Ouganda), Solidarité des Grands Lacs (Belgique) et Vita E Pace (Italie/Rome)."-- http://www.africamaat.com/spip.php?page=comment&id_article=810".Parmi les grands ténors de l’Institut de Havila, citons entre autres:1. Jean BWEJERI : Professeur, universitaire de haut niveau, connu dans le monde de l’enseignement et de la recherche depuis une quinzaine d’années. Formé à l’École de la Nouvelle Linguistique qui a revêtu les formes de la Pragmatique linguistique, de l’Analyse du Discours et de la Nouvelle Communication, il consacre actuellement le maximum de son temps et de ses compétences à la recherche post-universitaire, orientée vers la trans-disciplinarité en sciences humaines, ratissant d’une traite les champs de la critique littéraire et textuelle, de la Nouvelle linguistique, de l’Analyse du Discours, de l’Histoire ancienne et moderne, de l’Anthropologie africaine, de l’Analyse sociologique et politique, de l’épistémologie contemporaine des sciences sociales, des études bibliques, de la philosophie générale et africaine.2. Maître Matthias NIYONZIMA : " Avocat au Barreau de Bruxelles. Docteur en Droit de la KUL et Lauréat de la prestigieuse Académie de Droit International de La Haye.Ce brillant avocat enseigne actuellement à l’Université de Nantes. Il est spécialiste des questions relatives au Droit Africain Comparé, au Droit des Affaires et au Droit du Commerce International.3. Capitaine CIRAMUNDA Richard-Delvaux : Coordonnateur du Centre GÉDÉON pour la Stratégie et la Défense dans Havila.Ce jeune officier est spécialiste en Criminologie et en Études de stratégie militaire. Il a obtenu ses diplômes universitaires et militaires à l’École Royale Militaire de Bruxelles et a choisi de mettre ses capacités d’analyse et d’engagement à la disposition de l’Institut de Havila, qui a urgemment besoin de comprendre et de faire comprendre au monde International ce qui se passe sur le terrain, en termes de stratégies géopolitiques et d’opérations militaires.4. Monsieur Gaspard KIROMBO : " Lauréat de la Faculté des Sciences Politiques et Sociales de l’UCL, et diplômé des Sciences Religieuses de la même Université, Monsieur KIROMBO avait accepté d’être Modérateur de cette Conférence inaugurale.5. Le même document confidentiel, mentionne aussi ’ladiaspora juive rassemblée dans le Groupe industriel RIVKINTECHNOLOGY’. D’autres sources nous indiquent que parmi les conseillers

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stratégiques pour l’implémentation de l’empire Havila, on retrouve des personnalités comme Kimenyi Alexandre(Professeur, américain d’origine tutsi-rwandaise), Déogratias Bugera (ancien réfugié rwandais au Congo passe pour un munyamulenge), Bizimana Karahamuheto (cousin de Kagame, originaire du Rwanda, un autre munyamulenge, Jerome Gapangwa Nteziryayo (Eveque d’Uvira, Docteur enHistoire Ecclesiastique) et quelques hommes d’affaires tutsis.VIII.-http://www.bnaibritheurope.org/bbe/component/option,com_events/task,view_detail/agid,727/year,2009/month,05/day,27/Itemid,145/lang,en/The Mala Zimetbaum Lodge in Antwerp welcomes Mathias Niyonzima Wednesday, 27 May 2009, 08:00 - 17:00The Mala Zimetbaum Lodge in Antwerp welcomes Mathias Niyonzima, lawyer, on "Africa and Israel: a growing understanding".The conference will take place on Wednesday, May 27, 2009 at 20.00.Location: Lamorinièrestraat 150 - Antwerp Contact: E-Mail: [email protected] -http://www.washingtonjewishweek.com/main.asp?Search=1&ArticleID=5047&SectionID=4&SubSectionID=&S=1 A Tutsi Pesach?Local rabbi to lead seder for tribe that may have Jewish originsby Anath Hartmann Special to WJW Rabbi David Kuperman will not be home for Passover this year. In fact, none of his family members will be. The Silver Spring resident, his wife, Linda Siegel, and their 6-year-old daughter, Hannah, will be flying to Brussels for the second year in a row to celebrate the chag with members of the African Tutsi tribe, one of three ethnic groups from the central region of Africa. ...- http://www.bethkushi.be/La Communauté Beth Kushi Veyisrael (Maison de Kush et d’Israel) / Écrit par Mathias Niyonzima Mardi, 23 Septembre 2008 22:28 Beth Kushi n’est pas une organisation politique. Elle vise la solidarité et le bien-être de tous les Tutsi et de tous les juifs. Elle s’intéresse également au bien-être des autres peuples car ce qui est bon pour les Tutsi et les juifs doit être aussi bon pour les autres.Les Tutsi, comme les juifs, sont régulièrement persécutés uniquement pour ce qu’ils sont et non pour ce qu’ils ont fait. La solidarité et l’action commune s’imposent. Beth Kushi appelle les Juifs et les Tutsi à la vigilance et à la solidarité, sans distinction de nationalité et de couleur politique.Les adversaires de nos idées continueront sans doute à dire que nous confortons les thèses des extrémistes hutus qui prétendent que les Tutsi sont des étrangers. Cette accusation n’a aucun fondement :1° Beth Kushi soutient la thèse que les Tutsi étaient déjà présents dans nos régions du temps de la Reine de Saba (plus de 900 av. J.C.) alors que les 1ers Hutus n’y sont arrivés que 1500 ans plus tard, sous la pression de la traite des esclaves sur la côte ouest de l’Afrique.Sophonie, fils de Kush se référait aux Tutsi quand il parlait, s’agissant des frontières sud de l’Empire de Kush, des tribus perdues, dont les peuples « dispersés au-delà des rivières d'Ethiopie” (Sophonie, 3,10).

(4) "NTARE V. LA CONTROVERSE POST MORTEM FACE AU PRESCRIT DU CODEX"Par Prof Yochanan Bwejeri - Bruxelles, le 22 Juin 2009,http://www.arib.info/index.php?option=com_content&task=view&id=930&Itemid=86

(5) Les Balenge , http://burundi-agnews.info/burundi-histoire.htm

(6) S.E. Guindja P., Synergie Africaine asbl, Revisiter l'histoire de l'Afrique, Bruxelles, 2005-2009

(7) L'Empire de Gitara : http://burundi-agnews.info/tv-agnews/tv2008.htm

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(8) MYTHE DES ORIGINES, IDEOLOGIE HAMITIQUE ET VIOLENCE EN AFRIQUE DES GRANDS LACS :COMPRENDRE ET AGIR.Dr Lazare NDAYONGEJE, Directeur de Programme, Politique & Géopolitique Burundaise, Burundi Réalités International (BRI Inc.)Contact :[email protected] ; 16 août 2004; http://www.associationarchive.com/?page=dossiers&ID_art=97

(9)- Erik Kennes, CEDAF, - AFRIKA INSTITUUT / AFRICA MUSEUM, CLUB.WACO, 28/04/2000http://www.burundi-agnews.info/agnews_havila120822.htmLA JUDAISATION DES TUTSIS: IDENTITÉ OU STRATÉGIE DE CONQUÊTE.Une analyse élaborée par notre rédacteur en chef. Bruxelles (BELGIQUE) le 18 avril mars, 2000 (GLAC) Depuis un certain temps, une nouvelle identification sociale est née chez les tutsi du Rwanda, du Burundi et de l'Ouganda. La réclamation d'une l'identité juive, les tutsi hébreux' ( Israéliens, peuple de Dieu, peuple saint etc. ) fait certainement son bonhomme de chemin et de façon non hasardeuse. Elle coïnciderait avec les causes et engins des guerres qui bouleversent la région de grands-lacs africains. Au regard simpliste, cette idée renvoie a la méfiance.

(10)- Un exemple de la tendance à vouloir rendre l'Histoire des Barundi, une Histoire des Bahima. http://www.visiterleburundi.com/histiore.html ou encore http://site.voila.fr/burundi/burundi.html etc.Un aperçu général de l’histoire des débuts du Royaume du Burundi.L’histoire écrite du Burundi remonte aux années 1750, avec le retour de Ntare Rushatsi (le chevelu, le hirsute)de chez sa tante INAMABUYE, épouse du roi du Buha : Ruhinda pour les uns, ou Ruhaga pour d’autres. Cette reine était la sœur de nsoro et de jabwe, les deux fils de Ntwero qui gouvernait le Burundi bwa Nyaburunga (d´avant 1750). Le premier résidait à Ryansoro et le second à Kwijuru et se partageaient le pays de leur père. Ntare était né chez Nsoro marlgré qu’il était fils biologique de Jabwe (histoire déjà prédite par les devins). Il s’en est suivi une lutte suivie de rixe entre les deux fils de Ntwero, le résultat fut la mort de Nsoro et la fuite de Ntare au Buha chez sa tante ; le jeune Ntare était accompagné par un devin qui veillait sur le futur roi et facilita son retour et son intronisation après quelques années de séjour chez Ruhinda.

(11) Le partage de cette principauté entre les deux fils de Ntwero: Nsoro et Jabwe ; La naissance d'un enfant, fils adultérin de Jabwe et de la femme de Nsoro. etc. - Jean-Pierre Chrétien qui reprend en 1979 , les dires d'un certain Ruvugazinaniwe... [Burundi, l'histoire retrouvée By Jean-Pierre Chrétien, P35, P36]

(12) Le muganwa Baranyanka Charles, Le Burundi Face à la Croix et à la Bannière, 2009.Confirmé lors des entretiens à Synergie Africaine asbl, Revisiter l'histoire de l'Afrique, Bruxelles, 2005-2009