numéro

8-avril2009

llee jjoouurrnnaall ddeess ééttuu--ddiiaannttss ddee GGEEMM

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LLee PPoouuvvooiirr cc’’eesstt nnoouuss!!!!

LLee ppoouuvvooiirr àà GGEEMM

DDééccoouuvvrreezz llaa nnoouuvveelllleeééqquuiippee dd’’XXpprreessssiioonn

Les passationsfaites, Gemconnaît unnouveau vi-sage... Alorsque cetteannée touche àsa fin, leslarmes se fontsentir. Les 2As’échappent etquittent le cer-cle vicieux decette vie de dé-bauche et laissent place à une descendanceprête à endosser de nouvelles responsabilités.On ne naît pas Gémien, on le devient. Ce deve-nir est donc aujourd’hui entre nos mains inex-périmentées (ou presque) qui portent leflambeau d’un pouvoir qu’elles ne maîtrisent

pas encore. Notre dur labeur va donc consister à atti-ser cette flamme, à l’apprivoiser car « seul est digne depouvoir celui qui le justifie jour après jour » (DagHammarskjöld).

Toutefois, il paraîtrait également que le pouvoir estl’aphrodisiaque suprême. Présidents, présidentes pre-nez garde, des premières années fraîchement sortiesde leurs concours vont débarquer sur GEM avec pourmot d’ordre : décompresser ! Mais je laisse très volon-tiers le sujet à Carlos qui se fera une joie de vous ra-conter la suite dans son torch…euh pardon, dans sonœuvre artistique ! ESCAPADE is back !

Les 2A vous le diront, toutes les bonnes choses ont unefin alors…enjoy it !

Mélody Banquet

Lénine, un pouvoir absolu

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FFoorrccee eett HHoonnnneeuurr tt’’aaccccoommppaaggnneenntt

Il est grand, il est fort, il a su mener sa barque, piloter l’avion et péda-ler ferme pour souder une équipe d’X’pressionistes tout au long de l’an-née. Il en vient désormais à dire : « faut voir avec les 1A je ne m’occupeplus d’ça ! ».

Oui, je ne vous le cache pas, nous rendons ici un grand hommage àKékette : un homme (s’il faut le dire) pas comme les autres, un être (onpeut le dire) somme toute assez extraordinaire. Ne sachant où donner de la tête, il a tout pris en main. Tant bien quemal, il a tracé la voix de l’X’pression dans le monde gémien.

Alors ce n’est pas sans émotion, la gorge enrouée et les mains nouéesque nous reprenons le flambeau (on lui concède encore et toujours l’ex-clusivité de la latte). Nous mettons tous les chapeaux bas dans un der-

nier salut. Kékette, tu peux désormais nous laisser l’asso et partir la tête haute !

Céline Sandrin

Prise de pouvoir à Xpression, les nouveaux remercient les anciens !

LL’’aaggeennddaa dduu mmooiissVacances…. Farniente … Camping … Plage … Soleil … transat … sieste … piscine … détente …Bal-

lade … glace … Féria … soirée ... belle-étoile …

NNoonn !!

Pour vous 1A ce sera : Bureau, stage de vente, fichiers à classer, sourire crispé devant les clients.

Pour vous 2A se sera : préparation du départ en césure, départ pour de long mois de travail en entreprise (oupas), préparation au départ pour d’autres universités

Pour vous 3A se sera : nous ne savons pas très bien, vous êtes une race peu connue dans cette école … Quefaites-vous ? Vous inquiétez-vous sur votre avenir ? Probablement cherchez-vous un futur emploi en banques,multinationales ? Avez-vous envie de tout réinventer ?

Pour vous 4A : la découverte du marché de l’emploi !

Kevin Deniau dans toute sa splan-deur. Il est moche mais on l’aime.

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QQuuii ssee ccaacchhee ddeerrrriièèrree llaa nnoouuvveellllee ééqquuiippee dd’’XXpprreessssiioonn--pprreessssiioonn……

CCéélliinnee SSaannddrriinn:: Dit GIGI elle a été plébiscitée par tous pour devenir notre nouvelleprésidente…c’est ainsi qu’elle l’est devenue. Dotée d’une énergie inépuisable et d’uneautorité incroyable, GiGi va transformer Xpression, soyez en sûr!

BBaappttiissttee BBoonnhhoommmmoo ::"si vous croisez une oreille qui traîne dans un couloir, necherchez pas longtemps le propriétaire qui est au bout... si vous avez un potin,une anecdote que vous voudriez cacher au plus profond de vous-mêmes ne vousleurrez pas quelqu'un le sait déjà : je vous présente Baptiste !"

MMééllooddyy BBaannqquueett :: Elle a su s’imprégner de l’esprit du couloir associatif, elle fait partie dela troupe ArtScénic et il faut le dire, passe beaucoup de son temps à la K’fêt… Désormaisrédactrice en chef, elle donnera le ton des futurs GIW.

RRéénnaa SSiikkllaaoouuii :: Personnalité à part entière, où la force de caractère et la détermina-tion se marient avec le soleil tout droit importé d’Afrique. Sérieuse et rayonnante,calme et bouillonnante, elle n’est au final que surprise, pour le plus grand plaisir de sonentourage.

SSwwaannnn ::"Où se définit la limite entre témérité et inconscience nul ne le peut savoir etnotre responsable Students devra réinventer le funambulisme en valsant sur ce filtendu pour faire aboutir un projet journalistique qui relit les gémiens et les étudiantsgrenoblois. Force et honneur l'accompagnent !"

MMaarriiee ::"discrètement arrivée, discrètement intégrée, mais prête à relever tous les défis,prête à relever un des plus gros challenge de notre asso cette année, Marie est une despersonnes dans les coulisses d'Xpression, qui tire les ficelles de student "

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GGuuiillllaauummee BBooyyeellllee:: Grand, brun plutôt beau gosse et … maqué …Il aurait pu êtremannequin mais il a finalement choisi la carrière éphémère de maquettiste. En effetcomme son prédécesseur il est promis à un travail ingrat et un renvoi sans formalité.

CChhrriissttiinnaa BBeerrggssttrroomm :: Une suédoise blonde, mannequin à ces heures perdues et oui Xpres-sion recrute aussi sur le physique ! Mais attention, derrière ces airs angéliques se cachentune fille pleine d’esprit qui saura trouver les mots justes et vous faire partager son talentrédactionnel.

CChhrriisstteellllee LLeebbrruunn :: Mon premier aime les crêpes (alah ! c'est si bon !), mon deuxième imiteVéronique Sanson à merveille, mon troisième s’investit à fond dans le projet Students…Mon tout, sous ses airs de rebelle, est décidemment « in the air ». Voici Christelle, la nou-velle responsable communication interne du journal Students !

PPiieerrrree--AAllaaiinn PPoorrttee :: « Dans la lune, parfois les pieds touchant terre, Pierre-Alain trace unedrôle de voix dans les nuages d’Xpression, p’tit bonhomme perdu au creux des nébu-leuses rhétoriques.»

LLuucciiee ddee RRiibbiieerr:: "Qui se cache donc derrière ces cheveux peroxydés et cette démarcheféline ? Une khâgneuse sous - admissible à Ulm (s’il-vous plait !), indissociable de sonpolo l’Express et d’un certain GdM… Une rédactrice en chef qui réserve un bel ave-nir à Students !"

CCoolloommbbee ddee PPoonncciinnss :: Non, Colombe n’est pas dans la lune, elle est inspirée ; non,elle n’est pas à l’arrache, c’est une artiste ; elle n’est pas perdue, juste dans ses pen-sées…Cachée derrière ses cheveux et son nom à rallonge, elle apporte sa touche(très) perso à la rédac du GIW.

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GGeemm IInn WWaayy :: CCoommmmeenntt eenn eess--ttuu vveennuu àà ccrrééeerr ttaa pprroopprree mmaarrqquuee?? PPiieerrrree EEmmmmaannuueell : Avec un potedu lycée on s’est dit qu’on seraitdes vrais stars si on avait notrepropre marque de fringue etqu’on pourrait chopper à gogo.Après on a pris tout notre argentde poche et on a fait 20 tee shirtsqu’on a laissé en dépôt ventechez Kollector, un magasin Tou-lousain.

GGIIWW :: CCoommbbiieenn êêtteess--vvoouuss àà ffaaiirree ttoouurrnneerr ll’’eennttrreepprriissee?? PPEE :: On est 2, Antoine C. est le graphiste, l’artiste etle créateur du fameux logo carré, on s’occupe tousles deux de toute la partie commerciale, c’est un bou-lot assez intense et j’ai vraiment donné 2 ans de mavie dans ce beau projet. On passe à peu prés 15h parmois au téléphone pour gérer ROSE AU CARRE etaujourd’hui on se connait comme de vrais frères.

GGIIWW :: QQuueelllleess oonntt ééttéé lleess ddiiffifficcuullttééss rreennccoonnttrrééeess aauuddéébbuutt ?? PPEE :: On fonctionne sur le modèle des vraiesmarques, donc chaque collection représente 1 an detravail entre la création et la commercialisation enboutique. La période la plus difficile c’est le début,avec la création de l’entreprise, on se fait facilementarnaquer surtout dans le milieu du textile qui est ré-puté comme assez cliché façon La vérité si je mens.

GGIIWW :: CCoommmmeenntt vvoouuss yy êêtteess vvoouuss pprriiss ppoouurr ffaaiirreeccoonnnnaaîîttrree llaa mmaarrqquuee ??PPEE :: Au début on cherchait des partenariats avec desboîtes gays et des clubs de strip-tease mais dans cemilieu particulier on ne reste jamais très longtempshabillé… Maintenant je profite de l’ESC et je fais des

raids la nuit la nuit pour coller desautocollants ROSE AU CARREsur tous les ordinateurs des élèvesde l’école.

GGIIWW :: QQuueellllee eesstt ll’’iimmppoorrttaannccee ddeellaa mmaarrqquuee aauujjoouurrdd’’hhuuii ?? PPEE :: Aujourd’hui la marque est dis-tribuée dans 19 pays (New York –Tokyo – Lannemezan – Lon-dres…), plus sérieusement on est

référencé dans 15 boutiques essentiellement dans leSud de la France. (Toute la liste des points de vente estdispo sur WWWWWW..RROOSSEE ––AAUU--CCAARRRREE..CCOOMM)

GGIIWW :: QQuueelllleess ssoonntt tteess ffoonnccttiioonnss aauujjoouurrdd’’hhuuii ppoouurr llaammaarrqquuee ?? QQuueelllleess ssoonntt tteess ttââcchheess aauu qquuoottiiddiieenn ??PPEE :: Aujourd’hui je suis en bonne voie pour chopperun cancer de l’oreille et plus sérieusement on cherchedes nouveaux fournisseurs et des nouveaux parte-naires pour passer à la vitesse supérieure en essayantd’orienter les collections vers des concepts façonFaguo… (Pour ceux qui seraient passés à côté :www.faguo-shoes.com)

GGIIWW :: QQuueelllleess ssoonntt tteess aammbbiittiioonnss ppoouurr rroossee aauu ccaarrrréé ?? PPEE :: Pour l’année prochaine j’espère pouvoir ouvrir unprochain point de vente à Singapour, et surtout j’aienvie de continuer cette superbe aventure qui m’aénormément apporté et m’a fait rencontrer des 10énede personnes supers. Je souhaite à tous les élèvesd’avoir l’opportunité de se lancer dans de tels projets !Nous avons tous les deux pleins de rêves dans la têtepour ROSE AU CARRE et plein d’autres projets pourla suite…

Interview réalisée par Mélody Banquet

PPiieerrrree EEmmmmaannuueell PPaaddiioouu:: CCrrééaatteeuurr dd’’aavveenniirr

Vous avez pu apercevoir quelques unes des créations de Pierre- Emmanuel Padiou lors du défilé de la Com’modele 17 Avril dernier….Rencontre avec le créateur de la marque Rose au Carré@

PE àdroite et son collabo-rateur

NNoo,, wwee ccaann’’tt bbeeiinnvviinncciibbllee

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LL’’hheeuurree ddeess ccoommpptteess eesstt aarrrriivvééee !!

Ceux d’entre nous qui participaient à une liste BDE se sont bien battus mais la cruelle loi de la jungle a parlé etpour la majorité des listeux, l’échec s’est accompagné d’une remise en question très profonde…

Ainsi beaucoup de listeux se sont rabattus surune asso, et aujourd’hui, nous les retrouvonsà des postes à hautes responsabilités ! Vousn’êtes pas sans entendre certains listeux s’ex-clamer « on va repeindre le couloir en violet »ou encore « sexy c’est ça le couloir asso »@

Cet article a donc pour but de déterminer leslistes prépondérantes dans le couloir asso.Qui en a réellement pris la tête ? Qui a su lemieux se reconvertir ?

Le résultat est flagrant même si ce classe-ment ne prend pas en compte le bureau d’Alti-gliss, pour la simple et bonne raison qu’il n’estpas encore connu à l’heure où j’écris cet arti-cle. Désolé pour les Gold’N ice très largementreprésentés dans cette asso@

Par rapport à l’année dernière, une évolutionmajeure marque les passations : les Kit&Klatsont restés plus sages que les Smartiz qui cu-mulaient en plus du BDE la présidence duBDS, de GEM en Débat et de la JAÏ ! Bref, quoiqu’il en soit, les autres listeux res-tent très présents au sein des assos puisque12 des 13 nouveaux présidents sont issus desanciennes listes BDE.

Le classement des trois listes les plus inves-ties ne porte que sur les membres des bu-reaux de chaque asso, sans compter le BDEévidemment.

Tout en haut de la pyramide trône lacouleur violette qui entonna le chant de « etPopopopoP les Pulps Section » sur une mezz

re-décorée de ballons brillants et mauves toutau long du premier tour de la campagne. Nousn’oublieronspas l’odeurdu saucis-son, des cor-nichons etdu fromagele jour deleur goûter,une magiepopulaire etbon enfantque nous es-pérons re-trouver ausein desassos.

La secondemarche estoccupée parune vague de vert, couleur de l’espoir, pommeen main, prête à relever tous les défis. Uneéquipe soudée qui a su rebondir et quitter lesstrings pour les polos, signe d’une certaine ma-turité@

Enfin les Chop’n Hour seuls finalistes complè-tent le portrait du top trois. Les perruques rac-crochées au porte-manteau, c’est avec unenthousiasme certain qu’ils se parent de nou-velles couleurs. Le couloir asso peut bien entendu compter surtoutes les autres listes et leur motivation sanscesse démontrée durant de long mois de cam-pagne.

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LLiissttee pprrééssiiddeennttss VViiccee--pprrééssiiddeennttss CCllaasssseemmeenntt ggéénnéérraall

PPuullpp SSeeccttiioonn Zone Art / JAÏ / SOS /Aloha / GED

Dahu / Planètes 1er

SSeexx’’AAppppllee Kfet / Gala / Planètes BDS / Jai/GED 2ème

CChhoopp’’NN’’HHoouurr BDS / Forum / Xpressionpression

Xpression pression/ZoneArt

3ème

KKiitt&&KKllaatt 0 traders 4ème

FFuunn’’KKiissss 0 0 5ème

CChhoo’’llaappiinnttee Ongame SOS 5ème

RRaaiidd bboouulleess 0 Kfèt/ICO 6ème

GGoollddeenn’’IIccee Dahu 0 7ème

Mais comment ces listes sont-elles arrivées dans lesassos ? Peut-on les taxer de nostalgie ? N’arrivent-elles plus à vivre sans un hymne ? Un polo? Une famille ?

monde démontre que les listeux ont su et saurontdonner le meilleur d’eux-même.

Pour autant doit-on réduire ce couloir à une cam-pagne BDE en fin de vie ? Sacrilège que d’oublier que

«« DDooiitt--oonn rréédduuiirree cceeccoouullooiirr àà uunnee ccaammppaaggnneeBBDDEE eenn ffiinn ddee vviiee ?? »»

Les raisons se résument-elles à unerecherche de sécurité, du fun, l’enga-gement est-il vraiment le projet as-sociatif en lui-même ?

La qualité des événements, la diversité des empreintesque laissent le couloir associatif dans l’école nousprouve le contraire. L’engagement dans les assos, peuimporte comment il est initialement motivé, a su fairedes étincelles cette année. Considérons simplement unchallenge réussi, une GP autour du vin qui débute engrande cérémonie, un projet Sife qui prend des alluresd’asso, une asso comme le BDS qui a tout le caractèred’une institution et le tourbillonnement de ce beau

le président de Millésimets, que leBureau d’Aloha (hormis son prez),ou que tant d’autres assos comp-tent parmi leurs plus hauts repré-sentants des « non-listeux ». Leur

rendre hommage revient à reconnaître la diversitédes parcours de cette école, la richesse de chacun !Car en effet, nul n’est sans savoir qu’au début de l’an-née scolaire, l’engagement dans une association estpréalable à la formation des listes.

Pierre-Alain Porte

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PPrriissee ddee ppoouuvvooiirr ddaannss llee sseeiinn ddeePPaauulliinnee MMoonnttffeerrrraanndd

Copinage, dessous de table, belles gueules…? Faisons une raison à ces ragots injustifiés sur les passations desasso.

Observons quelques unes des assos de notre longcouloir « Pauline Montferrand » pour dévoiler auxnéophytes un panel de moyens d’élire de nouveauxmembres.

sident une fois élu par les 1A, doit décider qui devien-dra son bras droit. Le vice-président est ainsi le der-nier moussaillon à rejoindre le navire jaïeux.

Mais la JAI n’a pas la prérogative des élections prési-dentielles par les 1A, ICO se lance dans la politiquecette année ! Un joyeux méli-mélo de 2Aet 1A, chacunmunis d’une voix, élit désormais leur chef. Les 2Aconseillent ensuite l’heureux gagnant du poste en luiprésentant une liste de responsables pour constituer lereste son équipage. Démocratie quand tu nous tiens…

Et que se passe-t-il au sein du plus im-pressionnant BDA de France ? La Zone-Art s’est en-gagée dans une voie double : le bureau et lesresponsables sont désignés séparément. Le bureau dé-signe son futur bureau par entretiens et les responsa-bles d’événement décident de leurs héritiers après lesavoirs jaugés sur la réalisation des projets et sur entre-tiens. Une épée à deux tranchants qui favorise la com-

««llaa JJAAII nn’’aa ppaass llaa pprréérrooggaattiivveeddeess éélleeccttiioonnss pprrééssiiddeennttiieelllleess»»

Arrêtons-nous sur l’as-sociation la plus ex-trême dont lerecrutement prend des

pétence, mais demandeaussi par derrière un forttravail d’unité pour ras-sembler tout le monde

allures de véritable campagne présidentielle : la JAI. Après la cooptation sur entretiens des membres de laJAI, hormis président et vice-président, arrive doncle moment fatidique d’élire le président. En effet, les candidats au poste devront s’affronterdans une dure bataille de PPT, d’argumentations vi-rulentes, de prestance, pour devenir la tête pensantede l’asso. Sans prendre le temps d’un soupir, le pré-

autour du concept « Zone-Art ». Pour le BDS ni challenge sportif, ni défilé de muscle,ce sont bien des entretiens qui déterminent les futursmembres oranges !

Céline Sandrin

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Il est primordial d’observer objectivement ce couloirassociatif où une majorité d’entre nous tente de secreuser une place. D’où vient cet engouement soudainautour du monde associatif ? Alors qu’il y a quelquesmois à peine, l’association était pour la plupart d’entrenous un domaine inconnu, certains ne jurent désor-mais que par cette dernière. L’identité étudiante reposesur l’appartenance à une association. Il y a manifeste-ment ceux qui sont dedans et les autres. Combien depersonnes portent avec fierté leurs polos et affichentdans les couloirs leur appartenance à un groupe ?Comme si ce bout de tissus donnait des pouvoirs ma-giques. Appartenir à une association, c’est acquérir del’influence, obtenir du respect et surtout du pouvoir.

Qui sont ces étudiants, qui se préparent à vendre leursavoir-faire et acceptent pourtant de travailler sansaucune rémunération ? Tous, passionnés par notreassociation, nous acceptons de nous investir béné-volement, volontairement et avec beaucoup d’en-thousiasme dans des projets aux couleurs de GEM.Mais plus j’observe, plus je me rends compte quecette dynamique profite surtout à GEM. Ce couloirassociatif ne représente-t-il pas une puissante vitrinepublicitaire pour l’école et les étudiants ? Cette ex-périence associative est très formatrice et représenteune simulation du travail en groupe semblable autravail en entreprise. Pour l’école, ce couloir associa-tif contribue à promouvoir et à ancrer GEM dans lepalmarès des Grande Ecoles. D’ailleurs, c’est dans

cette idée que l’adminis-tration semble prête àaméliorer le parcours as-sociatif et en faire un par-cours d’excellence.

Le couloir associatif estfavorable à l’épanouisse-ment des élèves ; j’osecroire que la majorité desgens ne s’intéresse pas àl’associatif pour les privi-lèges qu’il procure maisbel et bien pour vivre unebelle aventure humaine.

Christina Bergström

Que pousse tant d’étudiants à se recycler dans le couloir associatif ? Une popularité qui s’évapore… Non plutôtl’expression d’un engagement associatif de longue date !

LLee ppoouuvvooiirr aassssoocciiaattiiff

Sex Apple VS Funkiss

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LLee ppoouuvvooiirr aauu fféémmiinniinn..Depuis quelques années, les femmes parviennent à s’imposer sur la scène politique, défiant les idées les plusconservatrices. Toutefois, la donne n’est pas la même au sein des entreprises, où le pouvoir reste essentielle-ment dans des mains masculines

«C'est par le tra-vail que lafemme a engrande partiefranchi la dis-tance qui la sé-parait du mâle ;c'est le travailqui peut seul luigarantir une li-berté concrète.»[ Simone deBeauvoir ] - LeDeuxième sexe

La Finlande, leChili, l’Irlande, le Libéria, la Lettonie... le nombre depays gouvernés par des femmes est plus importantqu’il n’y paraisse. En octobre 2005, un sondage indiquait que 89% desFrançais souhaitaient voir plus de femmes dans la

prise…la société des droits.

Actuellement, les femmes sont sous-représentées dansle monde de l’entreprise : les comités exécutifs des so-ciétés du CAC 40 comptent 6,3% de femmes. Cela sereflète sur les écarts de rémunération qui sont de l’or-dre de 25%.

Tant que ces inégalités perdureront, les mentalités nepourront évoluer. L’image conservatrice de certainsrestera sexiste et ne fera qu’accentuer la répartitioninéquitable des rôles dans la société.

Pour faire avancer le droit des femmes dans la société,le gouvernement français a fait voter en mars 2006,une loi sur l’égalité salariale homme-femme. Celle-ciprévoit de supprimer avant le 31 décembre 2010 lesécarts de salaires entre les femmes et les hommes parle biais des négociations, notamment au niveau des en-treprises.

««LLaa ffeemmmmee ppoolliittiiqquuee aappppaarraaîîttpplluuss llééggiittiimmee aauu ppoouuvvooiirr»»

vie politique. En 2006, ilsétaient même 94% àavouer un faible pourune présidente de la Ré-publique. Preuve à l’ap-pui du succès connu par Ségolène Royal. La femmepolitique apparaît plus légitime au pouvoir.

Elles inspirent le renouveau et l’espoir d’une évolu-tion plus rapide des mentalités. Toutefois, la vérita-ble égalité existera, le jour où le pouvoir s’obtiendrapar le processus de la reconnaissance des compé-tences dans un domaine particulier et non plus parles armes de la parité. Quelle que soit son position-nement hiérarchique et l’exercice de sa féminité, saplace doit être la même dans l’éducation, l’entre-

La loi a également pourobjectif d’aider les femmesà mieux concilier vie pro-fessionnelle et vie familiale: renforcement des droits

des femmes en congé de maternité, majoration de l’al-location de formation pour les salariés devant enga-ger des frais de garde d’enfants pour suivre uneformation en dehors du temps de travail,… favoriserl’accès des femmes à la formation professionnelle et àl’apprentissage.

Certaines lois naissent des mœurs. A défaut de parve-nir à modifier naturellement les comportements, sou-haitons que les mesures gouvernementales permettentd’obtenir à long terme une reconnaissance égale dessexes.

Mélody Banquet

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LLaa «« RRuussssiiee BBllaanncchhee »»

La fin de l’Union soviétique et la création de la Communauté des Etats Indépendants (CEI) n’ont pas marqué lafin de la dépendance des Etats membres ni le passage à un régime démocratique.

Le 7 mai prochain, à Prague, se tiendra un sommet eu-ropéen dont l’objectif est le lancement du partenariatoriental. En effet, ce sommet réunira des dirigeants del’UE et des chefs d’Etats et de gouvernementsd’Ukraine, de Moldavie, de Géorgie, d’Arménie,d’Azerbaïdjan et de Biélorussie. Il n’y a toutefois tou-jours pas eu de consensus pour savoir si le présidentbiélorusse, Alexandre Loukachenko, considéré commele dernier dictateur d'Europe, devrait y participer.

Alexandre Loukachenko gouverne la Biélorussie de-puis 1994. Réélu en 2001 puis en 2006, il est considérécomme le dernier dictateur d’Europe : musellementde la société civile et de l’opposition,étouffement de toute expression dedésaccord, situation inquiétante desdroits de l’Homme... Les électionsde 2006 ont d’ailleurs été, à ce titre,contestées par le conseil de l’Europeet quelques jours après, les Etats-Unis interdisaient à Loukachenko età un certain nombre d’officiers bié-lorusses de visiter leur pays. Enoutre, dans le classement établi par l’association « Re-porters sans frontières » concernant la liberté de lapresse, la Biélorussie est classée 151 sur 168 pays…Qui a dit que le blanc était synonyme de liberté ?

Toutefois, l’opposition au gouvernement dictatorialbiélorusse est de plus en plus significative. Le mouve-ment, prend source tout d’abord au niveau nationalavec un objectif clair : contrer le gouvernement auto-ritaire et instaurer une réelle démocratie. Le congrèsdes forces démocratiques biélorusses réunit ainsiquelques uns des partis influents du pays (Front Po-pulaire, Parti civique uni, Parti des communistes et

Front de la jeunesse). Force est de constater égale-ment l’implication de la jeunesse avec la création del’association Zubr (« le bison »). En outre, cet engouement de la jeunesse pour dé-fendre les intérêts démocratiques du pays et intégrerun jour l’Union Européenne et l’OTAN est égale-ment visible au niveau international. Le 18 marsdernier, sur le campus de l’Université Libre deBruxelles, s’est tenu une manifestation organisée parles Jeunes Européens Fédéralistes (JEF). Cette actionintitulée «Brussels says : it’s time for a free Belarus»a été suivie par plus de 100 villes européennes maiségalement des Etats-Unis et d’Afrique.

Le nouveau millénaire est signed’un rapprochement concret entrel’UE et l’Europe de l’Est. Entre ac-cords et intégrations, c’est un véri-table vent d’espoir qui souffleau-dessus de ces pays encore fra-giles de leur passé. La Biélorussieen outre, encore tributaire du gou-vernement russe (économique et

énergétique surtout) et en proie à l’autoritarisme deson actuel gouvernement, trouve dans de telles ac-tions, aujourd’hui organisées dans le monde entierle moyen de sensibiliser les populations et les Etatsdémocratiques à la situation plus que préoccupante,dans ce qui reste la dernière dictature d’Europe.

Mélody Banquet

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EEttrree ggaayy eenn ééccoollee ddee ccoommmmeerrccee

Souvent évoquée, l’homosexualité est un sujet tabou, et GEM reste encore un haut-lieu d’intolérance, où l’ho-mophobie s’exprime. Deux mecs s’embrassant dans le JT et ce sont des cris de dégoût. Une ballade dans lescouloirs et des « tapette », « gros gay » fusent en tout sens.

Cette homophobie s’est faite sentir, dès le WEI ;lorsqu’un membre du BDE (dont je tairai le nom), separant de son sourire le plus niais, chante avec en-train sa nouvelle trouvaille : « X est un homosexuel,un homosexuel, un homoooooooosexuel…. » Oh,quelle joie l’on peut lire dans ses yeux ! Quelle fierté! Et tout content de sa petite blague, il invite le car àse joindre à lui. Effet mouton oblige, c’est tout un carqui se met à beugler « X est un homosexuel, un ho-

LL’’hhoommoosseexxuuaalliittéé eesstt ccoonnttrree--nnaattuurree.

La sexualité ayant avant tout un but procréatif, deuxhommes ou deux femmes faisant l’amour perd toutson sens… Il est cependant étonnant aujourd’hui devoir apparaître cette objection, étant donné que lesrapports sexuels ont de moins en moins tendance àavoir comme seule finalité de procréer (Un détail :29% des femmes pratiquent la sodomie, et 23% ne se

““II hhaavvee aa ddrreeaamm””à proférer des propos homophobes.

Allons, soyons honnête : on croit que les gens enécole de commerce sont libérés, ouverts : ils chopentà tour de bras, valident, font des soirées de fous, etc.Quelle autre explication ? Si tel n’était pas le cas,peut-être que le JDS ne mettrait pas des photos dedeux mecs dans une douche pour attirer l’attention.Le constat est simple : la majorité des gays de GEMont ressenti une homophobie latente. Et cela estassez étonnant dans une école où l’on incite à expri-mer sa différence.

Bien sûr, le constat est le même au niveau national :aujourd’hui, en France, un homosexuel sur cinq adéjà fait une tentative de suicide. Souvent perçuscomme les pourfendeurs de la morale, voulant in-troduire le vice dans nos sociétés bien-pensantes, oùl’on s’insurge de voir « des gens pas comme nous »,défenseurs de la liberté sexuelle, avec un esprit cor-rompu par le sexe et l’émancipation ; l’homosexua-lité est au cœur de beaucoup de débats de société. Ilconvient cependant de revenir sur quelques notions,souvent oubliées:

mosexuel, un ho-mooooooooooosexuel »… Voilacomment un groupe est amené

prononcent pas…). Mais ilconvient également de rajouterque même les animaux ont des

comportements homosexuels (une exposition dumusée d’histoire naturelle d’Oslo a détecté des com-

1155

portements homosexuels chez plus de 1500 espècesd’animaux, de la coccinelle au lion, passant par l’élé-phant, etc.). Il est difficile de reprocher aux animauxd’avoir des comportements contre-nature !

LL’’hhoommoosseexxuuaalliittéé eesstt ccoonnttrraaiirree àà llaa ddooccttrriinnee rreelliiggiieeuussee

Là, étant de l’ordre de la croyance, il est difficile de re-venir dessus. Cependant, je m’interroge : si Dieu à

c r é él’homme,pourquoil’aurait-ilp o u r v ud ’ u n epro s t ateplus déve-l o p p é eque cellela femme,ce qui en-traîne unp l a i s i rp l u sgrand lorsde la pé-nétration? Mys-tère…

LLeess ggaayyss ssoonntt llee rrééssuullttaatt dd’’uunnee mmèèrree ttrroopp ppoosssseessssiivvee

Grand cliché, et pourtant sans cesse remis en cause :savez-vous que lorsqu’un jumeau est homosexuel, l’au-tre à 50% de chance de l’être aussi ? Et ce, sans être dansla même famille. Voila qui fait renaître le débat sur lagénétique… Il n’existe donc pas de recettes pour réus-sir à avoir un enfant gay.

LLeess hhoommoosseexxuueellss ssoonntt lleess pplluuss hhoommoopphhoobbeess

Vrais. Car au fond, critiquer un gay qui s’affiche ou-vertement revient à exprimer la colère de voir cer-taines personnes s’affirmer telles qu’elles sont. Alorsque pour d’autres, c’est si difficile. C’est ainsi quetoute personne (gay ou non) cherchant à tout prix àdissimuler sa féminité aura tendance à être homo-phobe (ou son côté masculin pour les femmes).Il convient de ne pas s’arrêter à la cause gay. Il s’agitd’un droit à l’indifférence pour chacun de nous. Ar-rêtons de nous retourner avec des yeux ahuris dèsque l’on croise quelqu’un affichant sa différence !Malgré la vertu uniformisatrice des écoles de com-merce, qui tend à vouloir nous mettre dans desmoules, n’oublions pas qui l’on est vraiment et quela vrai faiblesse est de le cacher.

“I have a dream that one day this nation will rise upand live out the true meaning of its creed: “We holdthese truths to be self-evident: that all men are crea-ted equal.”

Martin Luther King

Swann Ferrand

Journal des ArtsCCaallaamm’’ AARRTT

Cette année encore la Zone Art sera pilotée par une présidente, Hélène Calame qui nous fait part de sa vision del’asso pour l’année à venir…

GGeemm IInn WWaayy::QQuueell aa ééttéé ttoonn rrôôllee ddaannss llaa zzoonnee aarrtt eenn11AA ?? HHééllèènnee CCaallaammee::Je me suis surtout investie dans maGP, Urban Art qui fait partie de la Zone Art. Il a fallumonter tout un projet tourné autour de la décou-verte des cultures urbaines, du monde du hip hop,éloigné le plus possible des préjugés qui pèsent sur cedomaine.Par ailleurs, j’ai participé aux évènements de la zoneart plus en tant que spectatrice, en me rendant parexemple aux concerts de Crescendo (musique clas-sique), aux projections de la com’ ciné : 7ème bou-levArt, ou encore aux évènements Roots’N’culturecomme la soirée Drum’N’Bass.

GGIIWW::QQuueelllleess oonntt ééttéé tteess pprriinncciippaalleess mmoottiivvaattiioonnssppoouurr ddeevveenniirr pprrééssiiddeennttee ddee llaa zzoonnee aarrtt ?? PPaassssiioonn,,pprrooffeessssiioonnnnaalliissmmee,, ttéémmooiiggnnaaggeess vviivvaannttss,, eettcc ……HHCC:: En postulant j’ai eu d’abord envie de relever undéfi, celui de parvenir à gérer avec toute une équipeautour de moi, une association telle que la Zone Art,c’est-à-dire un budget conséquent, un ensembled’évènements, de com’ et de disciplines tous plus dif-férents les uns que les autres. Cette asso m’enthousiasme vraiment car elle permetde proposer aux élèves de GEM des activités extrê-mement diverses, enrichissantes et nouvelles, qu’ils

n’avaient pas forcément le loisir de pratiquer aupara-vant.

GGIIWW::QQuueelllleess vvoonntt êêttrree tteess pprreemmiièèrreess pprrééooccccuuppaattiioonnsseenn ttaanntt qquuee pprrééssiiddeennttee ddee llaa ZZAA ((cchhaannggeemmeenntt//ccoonnssoollii--ddaattiioonn//rrééffoorrmmee ddee ppôôllee))??HHCC:: Nous devons avant tout étudier les évènements etles com’ qui vont rester l’année prochaine, certainssont à revoir, doivent être redéfinis. Nous devons éga-lement prévoir le calendrier des évènements de l’an-née prochaine. Il faut aussi dès maintenant construireun esprit d’équipe, car nous sommes très nombreuxdans cette association. Pour ma part je suis encore en train d’apprendre, jerencontre les nombreux responsables d’évènements etj’essaie de m’inspirer de l’expérience du bureau de cetteannée.

GGIIWW:: YYaa tt--iillss ddeess mmooddiifificcaattiioonnss qquuee ttuu vvoouuddrraaiiss aapp--ppoorrtteerr àà lloonngg tteerrmmee ssuurr lleess pprroojjeettss eexxiissttaannttss ((ssttaarrzziikkccoonntteesstt // uurrbbaann aarrtt // aarrttaaggeemm // llaa rraaddiioo ……))??HHCC:: Pour l’instant c’est assez difficile à dire car la dis-cussion est en cours. Ce n’est pas du tout aisé de déci-der de l’avenir d’un évènement. Nous avons vraimentenvie de voir toutes les disciplines représentées. Deplus tous les évènements en soi sont intéressants. Ilfaut après qu’ils soient viables financièrement etqu’une équipe motivée soit montée pour les mener àbien pendant l’année.Ce que nous savons c’est qu’il y a beaucoup d’évène-ments à la Zone Art et que cela nuit parfois à la com-munication par rapport à la population de GEM. Ilpeut donc être utile parfois de rassembler plusieursévènements.

GGIIWW:: AAss--ttuu ddeess iiddééeess ddee pprroojjeettss nnoouuvveeaauuxx ppoouurr llaa zzoonneeaarrtt ?? PPaarrttiicciippaattiioonn àà ddeess ccoonnccoouurrss hhoorrss GGEEMM ((ccoonnccoouurrssddee pphhoottoo // ddee mmuussiiqquuee // eettcc ……))HHCC:: Avant de lancer de nouveaux projets, nous es-sayons d’améliorer les choses déjà existantes. Nous

nous penchons par exemple sur la question des coursde danse et de musique. Nous souhaitons aussi déve-lopper la prestation de service de la Zone Art, pour lesautres assos de Gem, pour l’administration mais aussipour des intervenants extérieurs (entreprises…).Je pense que les idées de projets nouveaux viendrontdes responsables d’évènements. Pour ce qui est du bu-reau nous avons eu quelques idées comme le dévelop-pement du JDA…

GGIIWW:: QQuuee ppeennsseess--ttuu dduu ffaaiitt qquu’’iill nn’’yy aaiitt ppaass ddee lliisstteessBBDDAA ccoommmmee ddaannss bbeeaauuccoouupp dd’’ééccoollee ddee ccoommmmeerrccee ?? NNeesseerraaiitt--ccee ppaass qquueellqquuee cchhoossee àà rrééffoorrmmeerr ??HHCC:: Bien sûr il est dommage qu’une campagne ne soitpas organisée pour recruter l’équipe du BDA. Mais jepense qu’il y a déjà tellement de listes BDE qui s’af-frontent que cela ferait trop de monde. C’est un choix

qui a été fait à Grenoble. Je pense qu’il est bon ausside recruter les gens individuellement pour chacundes postes de la Zone Art, ainsi ce n’est pas forcé-ment une bande de potes qui s’attelle à un projetmais plutôt des gens passionnés et motivés qui ap-prennent à se connaître et à former une équipe.Il faut enfin prendre en compte le fait que l’associa-tion Zone Art fait partie du couloir asso depuis denombreuses années, son nom a une certaine noto-riété, dans l’école, et auprès d’intervenants extérieursà GEM. Ainsi, changer son nom, ses couleurs etc.dans le cadre d’une campagne BDA reviendrait à re-partir à zéro en terme de notoriété et d’attraction dupublic aux évènements.

Interview réalisée par Mélody Banquet

Petit à petit la nouvelle équipe Zone Art prend forme à l’heure où cet article est écrit…

BBuurreeaauu :: Hélène Calame : Présidente

Louis Bidou : Vice-PrésidentMaria Reyes : Trésorière

Amandine Toussaint : Secrétaire/RHAlison Waymel : Responsable Financement

Victoria Bocquet : Responsable Communication ExterneLucie Desmoulin : Responsable partenariat publique et financement

Danielle Rakotoarnivony : Responsable achat et prestations de service

QQuueellqquueess rreessppoonnssaabblleess ::Crescendo : Pauline Vincent

Les Nuits : Emeric VernaderalUrban Art : Bertrand FraggaAvant-garde : Renaldo Payet7ème Boule : Christine Chiu

C’est avec émotion que je rédige ces quelques lignes car cette fin d’année marque également la fin d’une aven-ture. Une aventure ? Non ! Plutôt une épopée Homérique au cours de laquelle toute l’équipe de la zone arts’est donnée à fond pour organiser des évènements à la fois accessibles et de qualité ! Ce ne fut pas de toutrepos mais au bout du compte ces efforts ont payé et c’est avec déchirement que je quitte « mes fonctions »et que je dis un grand merci à toute notre équipe pour le travail et l’énergie fournis cette année !

Bon courage aux petits nouveaux, nous savons que vous allez assurer !

Je n’aurai qu’une chose à rajouter : «« WWee aarree llaa zzoonnee aarrtt !! »»Vincent Duponchel

1188

WWhheenn PPeettee ppllaayyss mmuussiicc……..

Et oui, comme nenous l’apprennentpas forcément nosrevues préférées (pu-blic et compa-gnie…), PeteDoherty est musi-cien dans la vie. Et ilsort des albums par-fois. D’ailleurs cemois-ci l’ami nous

gratifie de la sortie d’un premier effort solo, selon lestermes consacrés. Cette fois, il n’a pas fait le choix dela facilité et ne s’est pas caché derrière un groupe. Ilest pour la première fois le seul maître à bord (demanière officielle) et cela change beaucoup dechoses.

Contrairement à ce à quoi on pouvait s’attendre, lerésultat n’en est pas plus bordé-lique mais au contraire soigné etminutieux. Tout commence parune ballade champêtre et buco-lique dans la campagne arca-dienne. Suit, le single Last of theEnglish Roses, du nom d’unalbum des Smiths. Ce morceauest parsemé de notes de mélo-dica, sur lesquelles plane l’ombrede Damon Albarn, dans uneambiance proche du Guns ofBrixton des Clash (enfin,souslexomil). Par la suite le garçonnous livre de jolis morceauxcomposés de guitares, de cordeset d’orchestrations délicates évo-quant parfois la Melody de SergeGainsbourg (les couplets de « A

Faire la une de la presse à scandale est certainement plus intéressant d’un point de vue financier mais encore faut-il parfois que nos stars favorites justifient cet étalage scandaleux par une réelle activité…

little death around the eye »), à d’autres moments lesKinks (il invite même un orchestre de vaudeville àjouer « Sweet by and by »sur le green village). Tout cecireste empreint d’une certaine nostalgie pour les an-nées 60 (« Palace of bone »), non pas pour les hippiessaboteurs de caddies mais pour des gens qui ont voulufaire une musique pop classieuse et intelligente. Petenous séduit et nous berce (« Sheepskin tearaway ») aulong de cette album même s’il nous perd parfois lors deses divagations.

Bien qu’on le sente par moments paresseux (« Newloves grows on tree »), Peter s’est enfin décidé à rendreautre chose que des brouillons et le renfort des pro-ducteurs Stephen Street (e Smiths, Blur…) et Gra-ham Coxon y sont sans doute pour quelque chose.

Louis Quignon

Pete DOHERTY

Grenoblewww.grenoble.fr

Ville de Grenoble partenaire du GF38

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Chers collègues amateurs d’inconnu et de nouveautés,ce qui suit est pour vous :

Tout d’abord, un gros coup de cœur des ces derniersmois, l’album Willow Tree du canadien Chad Vangaa-len. Celui-ci nous séduit par une pop fragile et tou-chante constituée de bricolages sonores originaux.Tous les morceaux font mouche, portés par une voixparticulière mais pleine d’émotions.

Dans un autre genre :l’album hip-hop the spirit ofApollo par le duo de dj N.A.S.A(constitué d’un ska-teur professionnel et du frère du réalisateur SpikeJonze).Il ont réuni le temps d’une party hype des invi-

tés ultra prestigieux : CSS, MIA, Cool Kids, KanyeWest, Spank Rock, Santogold, KRS-One, TomWaits, Seu Jorge, Ghosface Killah, RZA, DavidByrne, Method Man, Chuck D ou les Yeah YeahYeahs…Rien que ça !Le résultat est particulière-ment efficace.

Enfin, vous connaissez peut-être déjà le groupeélectro-pop Passion Pit dont le cd 6 titres fait sonchemin sur le net depuis quelques temps déjà. Onleur prédit un avenir à la MGMT et il faut bienavouer que leur titre Sleepyhead est assez percutant.

Louis Quignon

La rubrique musique est aussi là pour vous faire découvrir de nouveaux horizons, satisfaire votre curiosité et voustransporter au travers de nouveaux univers dont vous nous direz des nouvelles…place au son…

BBrrèèvveess

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GGeemm IInn WWaayy:: PPoouurrqquuooii aass--ttuuvvoouulluu tt’’iinnvveessttiirr ddaannss llee DDaahhuu ??AAnnttooiinnee VViiggéé HHéélliiee:: C’était l’oc-casion de m’investir dans unprojet concret. Tout le mondeconnait le Dahu (à l’ESC tout dumoins) et tout le monde est sus-ceptible de s’en servir donc celaest un projet très gratifiant.

C’était de plus une manière de découvrir la ville d’unemanière un peu différente, en sortant un peu du cadrede l’école car le guide s’adresse au étudiants de l’écolemais également à tous les grenoblois. Car il faut bienle dire, nous sommes tous coincés dans notre « bulleESC » mais il y a aussi plein d’autres choses à voir et àfaire à Grenoble (qui l’eut cru !)

GGIIWW:: QQuueellss ssoonntt lleess bboonnss ccôôttééss ddee ccoottiisseerr aauu DDaahhuu ??AAVVHH:: Cotiser au Dahu cela signifie manger au restau-rant gratuitement pendant un an ! C’est aussi l’occa-sion de partager sa prose dans les critiques que vousécrivez et de les voir éditées dans le guide. Mais noussommes entrain de réfléchir à la refonte de ce systèmequi, mine de rien, nous coûte pas mal d’argent. Vousverrez bien l’année prochaine comment cela fonc-tionne !

GGIIWW:: QQuueellss ssoonntt lleess éévvéénneemmeennttss àà vveenniirr oorrggaanniissééss ppaarrllee DDaahhuu ??AAVVHH:: Le Barathon s’est déroulé il y a deux semaines eta été un franc succès ! Le prochain grand évènementsera notre lancement qui se déroulera un peu après larentrée 2009. Beaucoup de surprises vous atten-dent…De plus, nous allons avoir notre site d’ici sous

peu, on vous attend nombreux…

GGIIWW:: QQuueellss ssoonntt vvooss pprroojjeettss ppoouurr ll’’aannnnééee pprroocchhaaiinnee ??AAVVHH:: La gratuité est le principal projet pour la 30eédition du Dahu (eh oui, le guide est plus vieux quel’école !).

GGIIWW:: CCoommmmeenntt aalllleezz--vvoouuss ffaaiirree ppoouurr qquuee llee DDaahhuu ssooiittggrraattuuiitt ll’’aannnnééee pprroocchhaaiinnee ??AAVVHH:: La gratuité est un projet d’envergure pour leDahu. Nous devons trouver plus d’annonceurs ce quin’est pas si facile en ces temps de crise (eh oui toujourset encore elle !). Le guide sera édité à 40 000 exem-plaires : cela lui permettra d’asseoir réellement sa po-sition sur la ville et notamment sur le campus, qui estun public encore trop peu « exploité ».

GGIIWW:: AAss--ttuu uunnee iiddééee ddee tthhèèmmee ppoouurr llee ffuuttuurr DDaahhuu ??AAVVHH:: Plus d’une, mais le secret sera bien gardéjusqu’au lancement !

GGIIWW:: AAss--ttuu uunn ddoossssiieerr ssuurr llee nnoouuvveeaauu pprréézz oouu llee nnoouu--vveeaauu vviiccee pprrééssiiddeenntt ??AAVVHH:: Gauthier C. (Vice Prez’) adore débarquer com-plètement saoul aux réunions…

GGIIWW:: UUnn mmoott ppoouurr fifinniirr……AAVVHH::Le Dahu, ce n’est pas seulement « l’asso qui tepaye tes restos » ni même « l’asso qui écrit le mêmelivre depuis 10 ans » ! La 30e édition risque de mar-quer un tournant dans le développement de l’asso, lapreuve en Octobre 2009 !

Interview réalisée par Pierre-Alain PORTE

Découvrez le nouveau rédacteur en chef du DAHU, Antoine Vigé Hélie (Vigéli pour le Dahu) qui annonce beau-coup de nouveautés et de surprises pour la 30ème édition à paraître en Octobre 2009 !

LLee DDAAHHUU ffaaiitt ppeeaauu nneeuuvvee

LLEE DDAAHHUU

BBoonn AAppppééttiitt!!!!

INGREDIENTSPour 6 personne(s)

200g farine100 g beurre20 g crème fraîche2 œufslevure10 morceaux de sucre3 poires

PREPARATION

200 g de farine, levure, 20g crème fraîche, 100 g sucre,100 g beurre, 2 œufs, bien mélanger

Dans une poêle, faire revenir 10 minutes à feu douxdans un peu de beurre les 3 poires préalablement cou-pées en morceaux.

Préparer en même temps un caramel au micro ondesavec 10 morceaux de sucre et un peu d'eau.

Dans un moule à cake préalablement beurré, mettreles poires, puis le caramel, et enfin l'appareil, mettreau four à 190°C 35/45 minutes, laisser refroidir, dé-moulez et dégustez.

SUGGESTIONS ET CONSEILS

Peut se faire aussi avec des pommes, ou avec des ananas.Bien surveiller la cuisson, il faut que le cake reste moelleux, pour cela monter la température du four à la fin.

Une fois de plus, Millesi’Mets te propose sa recette du mois et cette fois, il s’agit d’un dessert alors à vos fourneaux…à déguster sans modération pour les gourmands et les gourmets!

Préparation : 1155 mmiinnuutteess. Cuisson : 4455 mmiinnuutteess. Difficulté : TTrrèèss ffaacciillee..

CCaakkee aauuxx ppooiirreess ccaarraammeell

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DDuu ccoommmmeerrccee aauu jjoouurrnnaalliissmmee

Si le journalisme post-ESC est ta vocation, cette interview est pour toi…

GGeemm IInn WWaayy:: AAvvaanntt ttoouuttee cchhoossee,, ccoommmmeenntt ss’’eesstt ppaass--ssééee ttaa pprreemmiièèrree aannnnééee eenn EESSCC ??

NNaaiillaa LLaattrroouuss:: Durant ma 1ère année, je me suis ren-due compte que je n’aspirais pas aux mêmes chosesque la grande majorité de mes camarades. Finance etautres matières me parlaient peu.

Je me suis donc servie des cours pour forger ma cul-ture générale, tandis que les associations me ser-vaient à acquérir l’expérience que je pourraisvaloriser pour mes stages. Aussi, je me suis engagéeau sein d’X’pression et Gem en Débat. A X’pression,j’ai pris en charge les articles médias et politiques. AGem en Débat, j’ai eu l’immense chance de rencon-trer 2 étudiants extraordi-naires : Victor (aujourd’huichez Courrier Internatio-nal) et Adrien (Canal+)avec qui on a pu dynamiserl’association.

J’ai également crée avec Vicet Adri la branche inter-views de Gem en Débat. Etcomme, j’avais choisi l’al-ternance pour la 2e année,Victor m’a demandé defaire vivre Gem en Débat àParis via les interviews.

GGIIWW:: DD’’ooùù ttee vviieenntt cceetttteeppaassssiioonn ppoouurr llee jjoouurrnnaa--lliissmmee??

NNLL:: J’ai commencé à m’yintéresser adolescente, et aiconnu quelques expé-riences au sein d’un hebdo-

madaire tunisien et en tant que secrétaire de rédactionpour le site du port d’Annaba en Algérie.

En arrivant en France pour ma classe préparatoire, j’aiun peu arrêté d’écrire. J’ai repris en intégrant GEM, enécrivant pour le journal de l’école, en faisant des pigespour le Dauphiné Libéré. Puis j’ai continué avec unecésure chez FémininBio.com en tant que chef de ru-brique. A côté de cela, j’ai également pigé pour MaGe-neration.com, portail lancé par l’humoriste Arthur etj’ai lancé un magazine sur le web avec Louis Villers(www.linterview.fr).

Naila Latrous à gauche

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GGIIWW:: DDaannss qquueell ddoommaaiinnee ffaaiiss--ttuu ttaa ccééssuurree ?? QQuueelllleessssoonntt tteess mmiissssiioonnss aauu qquuoottiiddiieenn ??

NNLL:: Je fais ma césure dans le journalisme politique àLCI. Le 25 août, je faisais mon entrée à la Chaîne Info,pour six mois. Voici quelles étaient mes missions : pro-grammer les invités du Grand Journal de 12h30, pré-parer l’interview politique quotidienne de ChristopheBarbier, préparer l’interview politique hebdomadaire,à savoir Le Grand Jury RTL/LCI/Le Figaro.

Mon stage s’est désormais achevé, mais LCI me pro-pose de rester en piges (= collaboratrice régulière).Désormais, je rédige les textes des présentateurs et vé-rifie l’exactitude et l’actualisation des informationsdonnées à l’antenne. En parallèle, je co-présente uneémission politique sur LCI Radio.

GGIIWW:: NNee rreeggrreetttteess--ttuu ppaass ppaarrffooiiss ddee nnee ppaass aavvooiirr pplluu--ttôôtt ffaaiitt uunnee ééccoollee ddee jjoouurrnnaalliissmmee ?? QQuueellss ssoonntt lleess aattoouuttssccoonnfféérrééss ppaarr uunnee ffoorrmmaattiioonn dd’’ééccoollee ddee ccoommmmeerrccee ddaannsslleess mmééttiieerrss dduu jjoouurrnnaalliissmmee ??

NNLL:: Absolument pas. Une grandejournaliste du service politique duMonde m’a déconseillé de faireune école de journalisme. L’écolede journalisme vous dispense descours techniques : écrire un arti-cle, faire du montage, partir en re-portage, etc. Mais très peu de connaissances de fond.Du coup, faire une école de commerce permet d’unepart d’avoir un certain nombre de connaissances quiau final comptent plus que les savoirs techniques (quis’acquièrent sur le terrain parfois). D’autre part, l’écolede commerce permet de comprendre que même dansle journalisme, on s’insère dans une structure qui a descontraintes capitalistiques, qui ne peut fonctionner à

perte et qui reste une entreprise avant tout. En re-vanche, je doute de la pertinence du choix d’uneécole de commerce par rapport à un institut d’étudespolitiques, qui en terme de contenu m’aurait peut-être plus convenu.

GGIIWW:: AApprrèèss cceettttee eexxppéérriieennccee ppoouurr llee mmooiinnss ppaarrttii--ccuulliièèrree,, ccoommmmeenntt vvooiiss--ttuu ttoonn aavveenniirr pprrooffeessssiioonnnneell ??

NNLL:: Je suis assez perplexe. Mon objectif à long termeserait d’intégrer un service politique et dans l’idéalau sein d’une chaîne publique. Mais je m’interrogetrès sérieusement quant à ma capacité à valider tousmes cours. Ce qui m’inquiète aujourd’hui, c’est vrai-ment la sortie de l’école et l’obtention du diplôme.

GGIIWW:: AAss--ttuu uunnee aanneeccddoottee ssyymmppaatthhiiqquuee àà nnoouuss rraa--ccoonntteerr eett qquuii ssee sseerraaiitt pprroodduuiittee aauu ccoouurrss ddee ll’’uunn ddeevvooss eennrreeggiissttrreemmeennttss àà ll’’aanntteennnnee??

NNLL:: LCI est une chaîne pleine d’imprévus ! Les joiesdu direct ! Plusieurs anecdotes,que ce soit pour la télé ou laradio. J’ai l’exemple d’unhomme politique par exemplequi nous a tenu un discours trèspolitiquement correct en an-tenne, et qui en off nous a ditl’exact contraire de ce qu’il nousavait dit à l’antenne. Je me sou-

viens aussi d’une rencontre du troisième type encoulisses entre des invités d’un genre différent.L’émission « Le buzz » invitait le champion deFrance de cri de cochons. A la fin de l’enregistre-ment, l’homme sort du plateau, déguisé en porci-net, et a croisé en régie des patrons du CAC 40venus enregistrer « L’invité de l’économie ».

Réna Siklaoui

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