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Automatisation du signalement des ressources électroniques au SCD de l’Université Paris-Est-Créteil- Val-de-Marne (ex-Université Paris 12)

(ex-Université Paris 12)

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Automatisation du signalement des ressources électroniques au SCD de l’Université Paris-Est-Créteil-Val-de-Marne. (ex-Université Paris 12). Pourquoi signaler ?. Le contexte et la problématique - arrivée des revues électroniques en masse , payantes mais aussi open source - PowerPoint PPT Presentation

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Automatisation du signalement des ressources électroniques au SCDde l’Université Paris-Est-Créteil-Val-de-Marne(ex-Université Paris 12)

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Pourquoi signaler ?

•Le contexte et la problématique - arrivée des revues électroniques en masse, payantes mais aussi open source

•Le besoin : porter l’offre des revues à la connaissance de l’utilisateur, donc signaler

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Comment signaler ? Les contraintes : une multiplication des interfaces

• Dispersion du signalement chez chaque éditeur > l’utilisateur perdu dans les nombreuses interfaces...

• ...ces interfaces proposant l’interrogation au niveau d’articles (mots clés auteur, résumé, titre...) mais pas la recherche par titres de revues

• => l’inefficacité du moteur de recherche fédéré du SCD pour la recherche par titres de revues.

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Comment signaler ? Les contraintes : les habitudes des utilisateurs•L’utilisateur des bibliothèques est familier

des recherches par titres (des livres et des revues) dans les catalogues des bibliothèques...

... c’est même le b.a.-ba de la formation des utilisateurs

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La solution : signalement des titres dans le catalogue• Le problème : pas de réservoir bibliographique

existant pour récupérer les métadonnées nécessaires =>▫ => décision de prendre les métadonnées là, où elles

existaient, en l’état où elles étaient

• Principe appliqué : mieux vaut « mal » signaler que ne pas signaler du tout

• L’utilisation de la base de connaissances fournie avec le résolveur de liens (SFX de la société ExLibris), utilisée aussi par ERMS

• Les données exportées : titre + ISSN + sujet + état de collection disponible en texte intégral

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Pourquoi automatiser ?

• Une masse de titres trop importante et trop évolutive pour faire face avec le catalogage « manuel »

• Mais.... comment actualiser le signalement de ces ressources si mouvantes ?

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Pourquoi automatiser ?

• Profiter des actualisations de la base de connaissances fournies par l’éditeur

• Prévoir dès le départ les procédures de reversement des données ▫procédure de détection des revues nouvelles▫procédure de dédoublonnage pour les revues

réimportées à nouveau▫procédures de suppression des revues qui

disparaissent• Reversement des données dans l’Opac :

initialement prévu tous les mois, en pratique 3 fois par an

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Statistiques

•2008 : 17 000 revues (dont la totalité des revues open source disponibles)

•2009 : 30 000 revues (dont la totalité des revues open source disponibles)

•2010 : 46 000 revues (avec une sélection de 700 revues open source)

•Suppressions : environ 1000 revues / an

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Statistiques d’usage : connections aux ressources à partir de l’Opac

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Statistiques d’usage : connections aux ressources à partir de l’Opac

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Projets connexes en cours

•Signalement des livres électroniques : http://armada.scd.univ-paris12.fr

•A partir des statistiques d’usage : une réflexion sur une politique raisonnée de l’offre des revues libres

•L’exploitation des éléments de classification de la base de connaissances pour les croiser avec les rapports COUNTER

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Des questions ?

Jean-Yves Keslick-Galipienso : [email protected] Nieszkowska-Serlan : [email protected]

Merci de votre attention

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