Études sur l´Empire Romain - Les Césars du 3eme Siècle - Champagny 1878 Tome 3

8/20/2019 Études sur l´Empire Romain - Les Césars du 3eme Siècle - Champagny 1878 Tome 3
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UWVMIY
University
of
Ottawa
http://www-.archive.org/details/lescsarsdutroi03cham
LES
CESARS
DU
TROISIÈME
SIÈCLE
III
Gustave
Rctaux.
et de
reproduction réservés.
et
bientôt,
s'il
y
avait
émeute,
ce
T.
m.
1
donnant
plus
de
chef
ni
de
défenseur,
elle
se
fit
un
chef
et
se
défen-
leur
dé-
fense.
Ils
se
séparaient
sans
se
haïr,
uniquement
pour
humaine,
où
une
énergie
inattendue
se
fait
lutte,
a
dû
effacer,
autant
qu'elle
a
pu,
le
souvenir
des
vaincus,
et
leur
a
infligé,
dans
la
collection
de
M.
Ré-
camier.
PAGE
la
courte
et
très-imparfaite
notice
de
Trebellius
PoUion.
Gallien
orfèvre
avait
vendu
par
moments
il
sut
l'être.
Quand
plus
en
faveur
de
Gai-
1.
voir,
la
l ')-
l'absence
de
toute
notion
ou
i-niiifnri
n'a,
Concubin»
in
ejus
triclinio
sœpe
accabaerunt.
17.
m
Esquilin,
villa
héréditaire
orbcm
terranmi
undiquo
i)Crdidisset.
(Trebellius
Pollio,
17.)
des courtisans
1
Trebell.
PoUio,
ibid.
17.
Eckhel.
Sans
Zonaras.
les
massacres
qu'il
ordonnait
allaient
faire
revivre
la
ré-
7^)'..
9.
l'une
ANTONLWS
PIVS,
et
la
tête
paraît
Postumius.)
4.
5548,
5549),
et
la
mention,
pulorum, quod
in
XXX
tyr.^
2.
Teliicus,
est
de
4,
40.
les
Gaules.
lesquels
il
aimait
à
chevaucher
puis-
sance
rninaine.
voisines avaient
1
m
Reg.,
IX,
18.
politique
bien-
faisante
et
peupli
de
Paliuyre
le
sont
eu
139,
le
titre
de
slralcge
de
la
colonie
eu
242.
T.
m.
2
un
Septimius
pour
être
soupçonné
de
II,
15.
assez
servile
ni
insignes
impériaux,
il
fut
de
fait
1 1
il
avait
déjà
disparu,
T,
m.
2.
251
après
Gallien.
l'authenticité.
ih
s.
Marin
et
S.
Aslère,
3
mars
(3
juin?).
V.
les
martyrologes
et
D.
Rui-
»»ii
Acla
Selecta.
plus
connaissait
pas
de
tous
les
fléaux
qui
accablaient
l'Empire
le
plus
redoutable
peut-
que les
invasions s'opèrent.
sont
réconciliés
avec
eux;
un
peuple
nouveau,
les
Hérules,
est
arrivé
comme
la
terre
ferme,
le
vent
glacial
de
l'hiver
comme
les
tièdes
brises
du
printemps.
Le
plus
Libanius.
Dmours
impérial.
ro-
iiaine
montrait
encore
les
ruines
que
On
cinq
évêques
qui
ont
souffert
la
mort
de
igna-
ri»
publici
mali
improbe
suadebat.
Aurelius
Victor.
De
Cœsarib.,
33.
T.
III.
3
uûo
die
qulnque
millia
hominum
pari
morbo
pèritent.
Treb.
Pollio,
in
Gai'
lieno,
5.
la
Sibylle,
et
par
OB HBERTATEM REGEPTAM.
Id.
in
Salonino,
3,
et
le»
deux
Victor.
César que
affaires
d'Orient
à
son
fils
Quietus
appuyé
par
Batiste,
il
s'achemina
avec
I
{ivail
été
Cf'-sar
fin
son
tpmps.
Tl)id.,
18-30.
purifie
de
ses
anciennes
taches,
est
plus
flo-
3.
parvenait
à
ses
avait
fait
Macrien
empereur
1
Trébellius
PolHo
in
Gallian.,
6,
7.
et
UQQ
monnaie
alexandrine,
datée
de
la
première
année
de
ce
César»
mais
très-snspecte.
l'horreur,
un,
d'un
air
ébahi;
quand
on
leur
demanda
ce
qu'ils
voulaient:
nom, parce
Id.,
17.
ne
se
avait des
au
nombre
des
saints
le
3
jnillet;
celle
<le
S.
Eusèbe
le
4
octobre.
flèche
Orelli,
4017).
aprèf|*i^l|i»e
l*Empire.
î
ï
mais
l'une
d'elles,
qui
porte
VUTIS
DJiGEiNNALluVS
avec
la
Victoire
inscrivant
devenues
pour une
femme.
24-26.
Mon-
naies,
etc.
{Mon
Dieu).
Voyez
Trebellius
PoUio,
ibid.,
26,
27.
T.
111.
4
char
ou
en
litière
j
faisant
quelquefois
plusieurs
milles
à
d'une
reine,
elle
savait
garder
une
économie
intelligente
bouorum
priacipum
clC
FlriDo,
livrée
à
elle-
1
XXX
tyrann.,
29.
fils
de
Simon
(en
T.
m.
4.
la
faire
croire
chrétieufte.
Treb.
p.,
/nXXXfyr.,
29.
Zosime,
I,
39.
Il
est
difficile
de
distinguer
ces
différentes
irruptions
s.
: GOîîS]îÇRATTO.
tume
dans
lenii'iiL
iiiix
hommes
un
i
rime
de
leur
malheurl
Aucon-
tiaiic,
nous
trouvons
un
senlinient
de
regiet
et
pour
ces
tyr.,
9.
Qr.,
1007.
T.
III.
5
par les
pour
les
vaincus,
quels
amis
pour
les
in-
firmes,
les
pauvres,
les
délaissés,
si
ce
irest
des
chré-
s'éclai-
338.
de
Gal-
lien.
Celui-ci
était
né
du
vieux
sang
romain,
ou
de
cette
race
patricienne
ou
213,
en
Illyrie.
Claudia.
fii(
L'iund-oncle
de
Con-
stance
Chlore,
et
arrière-ffrand-oncle
de
Constantin.
délivre-nous de
se
satisfaire,
le
Sénat
leur
livra
(c'est
triste
à
dire)
les
agents
du
pou-
voir
de
.Gallien
Telriciis
nil
frcil.
l'olliu
in
Claudio.
4.
Cyrinus,
25
mars.
et
qui
«'appela
Pont
d'Auréolus.
T.
ni.
5.
lumières,
tous
m
Aurelian.,
18.
2
Zonaras,
XH,
30.
tempête
qui
fit
périr
bon
nombre
de
vaisseaux
barbares.
Mais
que
pouvaient
de CœsarUnis.
Lettre
de
Claude
au
Sénat
et
au
peuple,
<lans
Pollion,
in
CL,
7.
la
Scriptorum
veterum
no-
va
Collectio,
t.
II,
Zonaras.
M,,ïum.
Tom.
ÎI.
sage
Empereur.
Selon
son
panégyriste,
il
se
laisser
Constantin.,
4.
DEDICA
M.
CLAVDIO
TACIT
PATUO......
(Orelli.
102 ).
du
dernier
prince,
Quintillus.
Il
est
doux,
sage,
digne,
intelligent.
Ne
serait-il
pas
frère
de
Claude,
il
n'en
mériterait
peuple
le
jiroclament
tout
d'une
voix.
Il
régne
dix-sept
jours.
La
soldats qui
se-
lon
une
autre
version,
faut-il
croire
qu'à
la
nouvelle
de
la
proclamation
d'
Aurélien,
voyant
ses
soldats
le
déser-
ter,
il
los
réunit,
les
harangua
ol,
ne
pouvant
les
per-
s'ou-
vrir
les
veines?
Tant
c'est
une
belle
chose
que
le
césa-
risme
militaire
I
Toujours
est-il
que
tout
cie, ou
Orelli).
de
bien
d'autres
présages
: l'ai-
quantum
fudit
sanguiuit.
(Vopiscus'
6,)
de
son
hôte.
Con-
tent
de
sa
ration,
qu'il
ne
prenne
ou
ne
se
fasse
donner
ni
huile,
ni
blé,
ni
bois,
ni
sel,
Vopiicum,
7.
Vopisc, 14.
C
choisis
(Vopisc,,
37.
dio,
t,
H.
V.
aussi
Excerptis
de
Legationib.
Vopiscus,
18,
21.
•l ».
^'t.
Zosimo,
1,48.
49.
Anr.
Victor,
EpHom.,
3. .
Kuiropo,
IX.
9.
avant
l'an-
ï
Cujuslihf't
ïPiuis
capiivos.
Ep.
AureVani
apud
Vopisc,
20.
se dispense
Ht. G
de
Rome
tracée
par
Aurélien
avec
celle
qui
fut
restaurée
en
404
par
lionorius,
et
qui^
en
grande
partie,
forme
Tenceinie
Il
alias
optinius.
Vopisc,
21.
Voyez
aussi
sur
ces
proscriptions
Zosime,
(1,
49),
qui
nomme
trois
des
sénateurs
proscrits,
Année
archéologique,
novembre.
71).
V.
Xosime,
I.
'lO.
.1
:,ii
rnnli
tir-'
Vopiscus,
22
et
s.
à
1
Ep.
Anreli.
apud
Yi.pis'-..
23.
déjà
gagné
les
habitants
d'Émèse.
Quant
2o.
Trebellius
in
Clau-
àiOf
il.
forcée
par
l'hostilité
de
Rome
de
se
réconcilier
avec
eux,
et
le
suc-
mu.,
26.
T.
m.
7
Mai.
Schpior,
teter.
nova
coUectiOj
t.
2.
et
des
dieux
des
hommes,
x
(Oh.
7).
Zenobia.
son
dieu
so-
leil
dont
le
temple
à
Palmyre
•..
:]\
de Domitien.
Cltopàtre.
depuis
la
mort
de
Victorina.
Tétricus,
César
pacifique,
sénateur
fatigué
de
l'indiscipline
des
soldats,
commençait
à
gémir
d'être
Cé-
sar,
devenait
l'ennemi
de
son
propre
empire,
et
7.
3
Eripe
me
his,
invirie,
malis:
main,
dont
la
construction
première
avait
demandé
au
moins
quatre
siècles
à
de
si
grands
hommes
de
guerre
Aurel.
Vict.,
Epiiome,
l'Arabie),
son hé-
fVrivil-il
au
snnat,
que
dfvnus
voir
m'appeler
Car-
l'^
rt'ifionnaires,
Publius
Victor
et
S.
Rufus,
in
vegiono,
VII.
Au
milieu
de
ces
pompes
de
la
victoire,
que
deve-
naient
les
captifs
et
les
femme, quelle
constance dans ses
?
»
Epitome.
dit-
il.
Tétricus
et
Zénobie
eussent
été
étrani,'lés.
ne
croit
pas,
ou
même
intolérant.
malade,
il
se
traitait
par
la
diète;
dans
l'état
ordinaire
(quoique
sn
-mil'
iïil
loiijours
faible),
par
l'exercice
du
cheval.
suo
usii
nianero-
qu'aucun
de
ses
prédécesseurs
dans
cette
voie
impolitique
des
dis-
tributions
gratuites
qui
s'ouvrait
donne
des
détails
été
reconquise,
venues
d'Egypte
ou
d'Afrique;
il
distribua
des
mouchoirs
qu'on
allait
luxe
des
riches;
47,
48.
oinnes
moins
iugravescant.
lUid.
mais qui
la retardent
Vaine
illu-
sion
de
l'orgueil
T.
II'.
S
Les
peuples
teutons
for-
maient
dès
lors
de
puissantes
ligues,
tout
le
pays
des
combes
chrétiennes.
avec
la
tcte
de
l'empereur
Dèce,
porte
au
Paul
la
270.
di-
sait-on,
sous
le
toit
de
certains
clercs
trop
sûrs
et
trop
T.
HT.
8.
S.
Jérôme,
Ep,
18,
ad
Eustochiim,
de
Smedt,
DisserUilio
VI,
E.,
vu,
30.
ORBIS,
^
et
de
la
Lin-
mat.
les chrétiens
;
domination
romaine.
Nous
suivons
les
actes
dans
leur
sens
le
plus
littéral,
tout
est
acceptable.
m. 9
mains
avec
une
scie
de
bois.
Ils
se
raillaient
pas
être
inconséquentes
dans
leurs
choix.
(21
avril).
de la
antiques appe-

que
cette
chose
publique
soit
aimée.
cuirasse,
avec
FOHTISSI.MO
IMP.
ET
PACATOHI
Ohuis.
(Kn
.Afii.in..,
oiHii.
\(y:,:\\,
T.
m,
'j.
s'en
assurer
la
possession
pour
incommodos.
Vopiiicus,
în
T'trilo,
0.
droite
et
la
gravité
1(1.^ 9.
;
.'
1
L'antique
cité
refleurit
-«'^
Zosime,
I,
G2,
dit
qu'il
fut
assassiné.
(Oreiu.
1036)^
Empereurs,
Sénat
l'eût-il
volontiers
choisi,
si
le
Sénat
n'eût
pas
été
si
loin.
devants.
Les
soldats,
formés
par
:
«
ad
Capltonem
prœf.
prœt,
apud
Vopiscum
in
Probo,
^0,
ut
l'roljo,
II.
Orose,
VII,
32.
v.
Vopiscus,
le
secret
aux
Romains
population;
il
massacre
même
des
adultes,
ne
gardant
que
le
nombre
de
soldats
nécessaires
à
la
défense,
et
de
plus
quelques
femmes.
Mais
enfin,
un
eornm
sif)
novo
trenere
custodiarnni,
quasi
limes
includitnr.
Trcbellius
Pollio,
in
XXX
tijiXUl.,
2o.
les
I
279
à
293.
Ifs
modernes
s'aocordonl
pour
mettre
ici
1**
nom
ilo
Prnlms.
devanciers,
(si
toutefois
le
t
Yopiscu3,
i7,,
20,
s'affaiblissait.
11
naissait
moins
d'hommes,
r.
in.
10.
Valeriani
apud
Vopisciim,
in
Aîirelian.y
II.
'h'serlo
(XI,t>«).
de
sa
ville
natale
de
Sirmium
et
sur
celles
procédé
était
ruineux
pour
l'agriculture.
Yo-
se
cacher
en
Palestine,
Proculus,
da
Galiieu.
in
PrOCUlo.
débauché
elles
proclamèrent
m
mu
n.
In.
T.
M.
Il
sur
Hunila,
IbitL
283
on
janvier
284.
nât
et Carino.
11
y
a
au
Qode
Justinifin
un
resrrit
{n,
Quando
protiocare
von
est
veritatis
sustulit.
Vopiscus,
in
Caro,
8.
DomesliMs
lune
ragend
m.
in
Ntmman.,
13-15.
Sabinus
Julianus,
qui
administrait
la
T.
rrî.
^1-
un
souvenir
des
anciennes
luttes
pour*
l'indépendance,
et
contribué
énergiquement
à
défendre
cœur
qu'il
donne
à
certains
hommes
appelés
à
jouer
Aurélien,
comparable
aux
plus
hauts
génies
militaires;
quun
Tacite,
homme
de
coup
et
desservent
la
cause
qu'ils
veulent
servir.
Je
voudrais
qu'il
en
fût
ainsi;
et
il
en
est
ainsi
quand
les
peuples
sont
honnêtes,
roi
deNaples;
ni
Orsini,
ni
les
assassins
de
Rossi,
car
peu
après
la
révolution
puissance.
I
révolution
ne
trouble-
rait
Pendant
que
le
I
Vie
de
n'abdique ni
fait
Apidliu.iiie,
Mé-
tbodius,
llieronym.,
Ep.
83
ad
magnum.
I
U,
33.
Sentent.,
31
Ad
MarccUam,
15.
llûo
Twv
TCoXXwv
û'jai/xn
etvat
xh
Ev.
Sentent.,
l'i.
3
Ad
Mnrrcllam,
i:i,
24.
moi
Civ,
Del,
XII,
20,
:
«
8.
Porphyre
voudrait
combattre
cette
grossièreté
et,
pour
1
De
Abstin.f
II,
48,
«t
alibi
passim.
IV, 10-13,
Prœpar.
Evanyel.,
IV,
iÈ.
nec
nos
cuuctatur
et
liberrime
deteslatur.
Aug.,
loc
cit.
I...
1.
m.
12
AdMarcellam,
15.
Plotin.
et
dans
un
tel
Maître
reconnaître
1
Socrate,
IH,
23.
perdues.
T.
ni.
12.
à
une
peste,
la-
quelle,
dit-on,
l'emporta,
mais
disparut
après
sa
mort.
à
Je-
Mésopotamie
de
la
Perse,
fut
qu'un seul principe
besoin
de
le
défendre.
Une
seconde
confé-
1
Epistola
Manetis
apud
Epiphan.,
Hœr,,
SO,
doctrine, ne
se doutait
Thcodorei,
Uœret.
fabulœ^
26.
race
illustre,
fils
de
mage,
élevé
avec
toute
la
sollici-
tude
possible
et
se
d'une
conférence
avec
les
mages,
et
le
livre
à
la
mort.
A
la
pensée
du
T.
in.
13
de
la
matière
est
immortelle,
qui
n'était
autre
chose
qu'un
retour,
ad Uonoralum*
ses
éons
vivaient
dans
le
monde
des
Contra Manichœos.
elles ne
pouvaient donner
le
monde
des
ténèbres,
on
connaît
le
mariage)
met
au
monde
Adam
et
Eve.
Êtres
rendre
dignes
du
monde
et
de
la
lumière.
C'est
ainsi
que
le
bien
et
le
mal
se
disputent
les
âmes.
pieds du Christ
mé-
intermédiaire
et
austères,
s'abstenir
de
vin,
de
chair,
de
poisson,
d'œufs
et
de
laitage.
Ils
ne
la
chair
des
animaux
quoiqu'ils
s'abstinssent
de
leur
donner
la
mort.
Tout
cela
leur
était
Chrysost.,
De
vh'ij'niiinU'.
T.
III.
13.
de
sa
conscience
auquel
il
lui
fallait
du
développement
et
de
la
persistance
du
manichéisme.
Les
âmes
orgueilleuses
étaient
attirées
par
la
dignité
austère
des
élus,
les
âmes
s'est soulevée contre lui
l'Egypte,
l'A-
frique,
l'Italie,
peuple;
mais
pendant
plus
de
mille
ans,
il
a
conservèrent,
non
pas
peut-être
son
dualisme
absolu,
se
repose,
plus
énergique
par
cela
seul
devait
obtenir.
Nous
voyons
cependant
peu
après
?).
dynastie
le
grand
Homaii;
Meno-
log.
Dasil.^
etc.
On
le
renvoie
en
prison.
mencer
le
régne
de
Dioclétien.
Sa
fpnime.
npj,.
1
T
i
. clnt-lienne,
apostasie
au
moment
d(»
I
ir
de
la
aœur
Emmerich,
chap.
XIII,
t.
111,
p.
348,
un
Goth
implanté
Cil
Thrace
ii
courage.
Panenyri.^
2.
Genethliac,
12.
Maximien
y
était
\mu
une
fois
au*
paravaut.
EpiUialam.
Coïistantini,
8.
Voyez
dans
Mamcrtin
l'éloge
de
leur
piété.
Génethl.,
6.
sa
force.
Ce
qui
restait
des
inslitul'^?us
antiques
avait
c'est
toujours
là
le
T.
III.
14
peuple
ro-
main,
un
magistrat
républicain,
investi
être
les
élus
de
Psaim. 52.
\tmi;n.
m.,
iom.
îi
de
/*/.s
qui
numéro
libcror.,
(X,
51).
appelle
les
1.
DUj-
de
vacatiotlib.,
(L.
o).
T.
lu.
li.
Anlonhis^
t.
m,
L.
VI,
ch.
9.
sa vie,
aux hommes du
et
des
ma-
gistrats
municipaux,
et
faisant
chaque
jour
leur
vie
pas
malgré
son
refus,
mais
seulement
peuple s'assem-
Mo.iesiin.,
L.
un.
Difj,,
de
Leg.
Jvl.
miibilm
(XF.VIII,
14).
pt
aussi
Paul
V.
Sentent.,
30.
quatre
aus.
Orelli,
3740,
37
i9.
S).
rionib.
Scilicet,
tt
roiuni
facla
est
pulcherrima
Uonia.
Virgile,
Geonj.,
Il,
in
(iuc.
1')
Paris,
1856.)
forçait
à
vivre
parce
Nazarius.
Pnnriii/rlii.,
Xi.
nomina
arniala?
mililiaj
dan-
UbuSj
fraudera
prodesse
displicuit.
en
vint
à
marquer
avec
un
fer
chaud,
comme
on
marquait
les
criminels
voués
au
tra-
vail
des
mines,
l'homme
qui
appartenait
à
certaines
fonctions.
Disons-le
donc,
beaucoup
d'esclaves
avaient
été
affranchis,
il
faut
en
bénir
Dieu;
mais
à
leur
tour
beaucoup
d'hommes
libres
étaient
devenus,
non
pas
esclaves,
mais
serfs;
il
faut
en
accuser
la
décadence
et
la
corruption
du
monde
romain.
Dioclétien
comprenait-il
ces
maux
et
cherchail-il
à
y
la
tête
de
chacun
de
ces
grands
districts,
quand
fonctions
furent
multipliées
afin

Documents

Études sur l´Empire Romain - Les Césars du 3eme Siècle - Champagny 1878 Tome 3