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34 Correspondances / Revue du
oncerne le ratio homme/femme et la prévalence de la maladiehez les sujets âgés, surtout les hommes. Comme l’indiquentes auteurs, mais on n’y insiste pas assez, le diagnostic debromyalgie est encore plus difficile dans cette catégoriee la population à cause de la multiplicité des causes deolyalgies.
Paul Le GoffService de rhumatologie, hôpital de la Cavale-Blanche, 62
bis, rue Yves-Collet, 29200 Brest, FranceAdresse e-mail : [email protected].
25 mai 2009
Disponible sur Internet le 3 octobre 2009
oi:10.1016/j.rhum.2009.05.006
tude de la prévalence de la fibromyalgie dans la populationrancaise. Réponses aux commentaires de P. Le Goff�
ibromyalgia syndrome in the general population of France:prevalence study. Reply to comments by P. Le Goff
ot clé : Fibromyalgie
eyword: Fibromyalgia syndrome
Je sais d’un gré extrême à M. Le Goff d’avoir prêté autant’attention à un travail qu’il juge sans intérêt.
Je lui donne volontiers acte des défauts méthodologiquesu’il a relevés avec soin, sinon avec délicatesse, dans notretude sur la prévalence de la fibromyalgie dans la populationrancaise [1]. Nous les avons d’ailleurs mentionnés dans notrerticle [1]. Qu’en conséquence, nous ne soyons pas autorisés àirer la moindre conclusion de notre enquête est un point de vueue M. Le Goff me permettra sans doute de ne pas partager. Carnfin, pour « aberrants » qu’ils soient, nos résultats sont dans’ensemble conformes aux données de la littérature.
Concernant l’approximation de la prévalence globale dea fibromyalgie, nous avons nous-mêmes reconnu que notreapproche [était] critiquable ». Elle eut néanmoins l’avantage’éviter toute surestimation. De fait, en l’évaluant à 1,4 – 2,2 %,ous avons trouvé des valeurs comparables à celles deays comme les États-Unis, l’Espagne et l’Italie [1]. Pourémoire, la simple application de la valeur prédictive positive
VPP) du London Fibromyalgia Epidemiology Study Scree-ing Questionnaire (LFESSQ) [2] aux personnes contactées paréléphone eût abouti à un taux de prévalence de 3,5 %, voire,6 % [1].
Bien que le faible ratio femme/homme observé dans notrenquête soit similaire à celui rapporté par des auteurs Canadiensu Finlandais, nous avons de surcroît fait des réserves sur sa
� Ne pas utiliser, pour citation, la référence francaise de cet article,ais sa référence anglaise dans le même volume de Joint Bone Spine
doi:10.1016/j.rhum.2009.08.001).
ld
p
s1
atisme 76 (2009) 932–936
alidité [1]. Notre résultat s’explique probablement par lesnéluctables fluctuations d’échantillons et l’influence du sexeur la VPP du LFESSQ [1].
Quant à la critique sur l’âge, je tiens à préciser que nous avonsonstaté un premier pic de fréquence entre 45 et 54 ans, à l’instare publications antérieures, et un second entre 75 et 84 ans, dontous avons discuté la pertinence, tout en rappelant qu’aux États-nis, la prévalence de la fibromyalgie augmenterait avec l’âge
usqu’à la huitième décennie [1].
éférences
1] Bannwarth B, Blotman F, Le Lay K, et al. Fibromyalgia syndrome inthe general population of France : a prevalence study. Joint Bone Spine2009;76:184–7.
2] White KP, Speecley M, Harth M, et al. Testing an instrument to screenfor fibromyalgia syndrome in general population studies: the LondonFibromyalgia Epidemiology Study Screening Questionnaire. J Rheumatol1999;26:880–4.
Bernard BannwarthService de rhumatologie, groupe hospitalier Pellegrin, place
Amélie Raba-Léon, 33076 Bordeaux cedex, FranceAdresse e-mail : [email protected].
25 mai 2009
oi:10.1016/j.rhum.2009.08.001
stéoporose masculine : autres causes de formesecondaires�
steoporosis in men: Other secondary causes
ots clés : Ostéoporose ; Déficit acquis en hormone de croissance de l’adulte ;iabète phosphoré idiopathique ; Hypercortisolisme discret
eywords: Osteoporosis; Adult acquired growth hormone deficiency; Idiopathichosphate diabetes; Mild hypercortisolism
her éditeur,
Dans leur intéressante revue portant sur l’ostéoporose mas-uline, Briot et al. [1] indiquent qu’une étiologie au moins estise en évidence chez 50 % des malades et qu’une enquête bienenée à la recherche de causes d’ostéoporose secondaire est
onc essentielle. Nous souhaitons attirer l’attention sur plusieurstiologies importantes qui ne sont pas mentionnées dans leurevue : déficit en hormone de croissance acquis à l’âge adulte2], diabète phosphoré idiopathique modéré [3,4], hypercortiso-
isme discret [5] et affections héréditaires telles que la maladiee Gaucher [6] et l’homocystinurie [7].Le déficit en hormone de croissance acquis à l’âge adulteeut s’accompagner d’une diminution de la densité minérale
� Ne pas utiliser, pour citation, la référence francaise de cet article, maisa référence anglaise dans le même volume de Joint Bone Spine (doi:0.1016/j.rhum.2009.06.003).