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REPUBLIQUE ISLAMIQUE DE MAURITANIEHonneur – Fraternité – Justice
MINISTERE DE L’HYDRAULIQUE DE L’ENERGIE ET DES TICDIRECTION DE L’ASSAINISSEMENT
ETUDE D’ACTUALISATION DU PLAN DIRECTEURETUDE D’ACTUALISATION DU PLAN DIRECTEURD’ASSAINISSEMENT LIQUIDE DE LA VILLE D’ASSAINISSEMENT LIQUIDE DE LA VILLE
18/05/2014 1
D’ASSAINISSEMENT LIQUIDE DE LA VILLE D’ASSAINISSEMENT LIQUIDE DE LA VILLE DE NOUAKCHOTTDE NOUAKCHOTT
Actualisation des études du SDAL établies en 1999-2001 dictée par :
-Développement urbain qu’a connu la ville ces dernières années (RGPH 2000).
Contexte de l’étude
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-Tendances de développement urbain définies par l’ADU (SDAU 2003).
-Des nouvelles données démographiques, consommation en eau (projet aftout)
-Redéfinir les options techniques envisagées par le SDAL 2000
-Volonté de définir une 1ère tranche des travaux plus consistante
Missions de l’étudeMissions de l’étude
••Phase 2 : Avant Projet Détaillé de la première tranche des Phase 2 : Avant Projet Détaillé de la première tranche des travauxtravaux
••Phase 1 :Redéfinition du projet en tenant compte des Phase 1 :Redéfinition du projet en tenant compte des nouvelles donnéesnouvelles données
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travauxtravaux
••Phase 3 : Rédaction des dossiers de consultation des Phase 3 : Rédaction des dossiers de consultation des entreprisesentreprises
Objectifs
Données de base du projet
Analyse de la situation actuelle et problématique d’assainissement
SOMMAIRE
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Définition du schéma global d’assainissement
Programme d’investissement et phasage
INTRODUCTIONINTRODUCTION
OBJECTIFS DE L’ETUDEOBJECTIFS DE L’ETUDE
• Amélioration du cadre de vie de la population, • Satisfaction des objectifs du millénaire de développement en tenant compte des dernières mutations urbaines de la ville • Cohérence avec le projet Aftout Saheli
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A TRAVERS :
La définition de la meilleure solution technique et à moindre coûts aux problèmes posés par la collecte, le transfert, l’épuration et la réutilisation des eaux usées épurées tout en tenant compte de la protection de l’environnement
et de la santé des populations
Données de base du projet(issues SDAU2003 – étude AEP2006 – Fournies par
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(issues SDAU2003 – étude AEP2006 – Fournies par les différentes administrations [ADU-ONS-CUN….]
DONNEES DE BASEDONNEES DE BASE
DONNEES GENERALESDONNEES GENERALES
•Présence de la nappe saline avec émersion le long du cordon littoral•Topographie plate avec des zones basses en dessous NGM•Développement de l’habitat en horizontal
Les vents dominats sont répartis comme suit :•Novembre à Mai : Alizés du secteur Nord-Est, puis le secteur Est-Nord-Est (ces vents sont secs et souvent accompagnés de vents de sable•Juin – octobre : vents du secteur Ouest à Nord – Ouest ,•Évaporation moy/an 2714mm
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•Climat Sub-saharien en contact avec les zones saharienne et sahélienne•Ville sur plateau dunaire proche de la mer •Pluies irrégulières•Pluviomètre moyenne annuelle d’environ 100mm•Température moyenne annuelle 20.4°C pour le mois le plus froid et 33°C pour le mois le plus chaud
•Développement de l’habitat en horizontal le long des pénétrantes•Ville sur plateau dunaire proche de la mer •Ville étendue sur 9800ha
DONNEES DE BASEDONNEES DE BASE
PLAN DU SDAU A L’HORIZON 2020PLAN DU SDAU A L’HORIZON 2020
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DONNEES DE BASEDONNEES DE BASE
RESTITUTION ET DELIMITATION DES MOGHATAAS DE LA VILLERESTITUTION ET DELIMITATION DES MOGHATAAS DE LA VILLE
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DONNEES DE BASEDONNEES DE BASE
POPULATIONPOPULATION
POPULATIONS RECENSÉES ET TAUX D’ACCROISSEMENT CORRESPONDANTPOPULATIONS RECENSÉES ET TAUX D’ACCROISSEMENT CORRESPONDANT
ANNEE 1977 1988 2000
POPULATION 134 704 393 325 558 195
TAUX D’ACCROISSEMENT 10.23% 2.96%
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Statistiques Prévisions
1977 1988 2000 2007 2010 2020 2030
Population 138 500 393 000 558 195 722 275 806 600 1 137 800 1 605 000
Taux d’accroissement
(%)9,95 2,96 3.75 3.5 3.5
DONNEES DE BASEDONNEES DE BASE
EVOLUTION DE LA POPULATION DE LA VILLE DE NOUAKCHOTT PAR MOUGHATAÂ EVOLUTION DE LA POPULATION DE LA VILLE DE NOUAKCHOTT PAR MOUGHATAÂ
Moughataâ 2000 2007 2010 2015 2020 2025 2030
teyert 46351 59 976 66 979 79 550 94 481 112 214 133 275
Taux d'accroissement 3,75% 3,75% 3,50% 3,50% 3,50% 3,50%
ksar 43531 56 327 62 904 74 710 88 733 105 386 125 166
Taux d'accroissement 3,75% 3,75% 3,50% 3,50% 3,50% 3,50%
tevragh 48093 62 230 69 496 82 540 98 032 116 431 138 283
Taux d'accroissement 3,75% 3,75% 3,50% 3,50% 3,50% 3,50%
toujounine 56064 72 544 81 015 96 220 114 280 135 728 161 203
Taux d'accroissement 3,75% 3,75% 3,50% 3,50% 3,50% 3,50%
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sebkha 63474 82 132 91 723 108 938 129 384 153 668 182 509
Taux d'accroissement 3,75% 3,75% 3,50% 3,50% 3,50% 3,50%
el mina 95011 122 939 137 295 163 063 193 668 230 017 273 188
Taux d'accroissement 3,75% 3,75% 3,50% 3,50% 3,50% 3,50%
dar naim 61089 79 046 88 276 104 845 124 522 147 894 175 651
Taux d'accroissement 3,75% 3,75% 3,50% 3,50% 3,50% 3,50%
arafat 102169 132 201 147 639 175 348 208 259 247 346 293 770
Taux d'accroissement 3,75% 3,75% 3,50% 3,50% 3,50% 3,50%
riyad 42413 54 880 61 289 72 792 86 454 102 680 121 951
Taux d'accroissement 3,75% 3,75% 3,50% 3,50% 3,50% 3,50%
Total 558195 722275,5 806616,6 958007,4 1137812 1351364 1604996
DONNEES DE BASEDONNEES DE BASE
EVOLUTION DES PROJECTIONS DES DEBITS ET CHARGESEVOLUTION DES PROJECTIONS DES DEBITS ET CHARGES
Evolution des projections des consommations d’eau potable, des rejets d' eaux usées et des charges polluantes de Nouakchott
Prévisions Année 2000 2 007
2010 2020 2030
Population totale (habitants) 558 195 722 300 806 600 1 137 800 1 605 000
Consommations (m3/j) 31 759 45 507 58 703 110 246 198 015
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Consommations (m /j) 31 759 45 507 58 703 110 246 198 015
Taux de Raccordement de la population totale au réseau d'assainissement
4% 4% 9% 46% 79%
Débit moyen total des eaux usées (m3/j) 2 059 2 922 6 551 41 876 131 484
Ratio de pollution domestique DBO5 (g/hab/j) 25 25 28 26 32
Charges polluantes domestiques (Kg DBO5/j) 601 778 2 024 13 431 40 604
Concentration en mg DBO5/l 292 266 309 321 309
Analyse de la situation actuelle et Analyse de la situation actuelle et
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Analyse de la situation actuelle et Analyse de la situation actuelle et problématique d’assainissementproblématique d’assainissement
ETAT ACTUEL ETAT ACTUEL
•Réseau pseudo- séparatif + Raccordement des eaux pluviales des principaux carrefours du centre ville •Réseau d'assainissement stratifié en deux parties :
•La première partie ; le réseau en service datant des années soixante et couvrant centre-ville et l'arrondissement Tevragh Zeina, d'une longueur de 38 km environ, desservant 1.800 ménages et trois bassins versants à savoir :
•le secteur de « Capitale Est » de 15 hectares (PR1),
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•le secteur de « Capitale Est » de 15 hectares (PR1), •une partie du secteur « Capitale Ouest » qui est de 135 hectares (PR2), •le Nord du secteur « Capitale Ouest » qui est de 84 hectares (PR3).•En 1990 (une partie de ce réseau réhabilitée et une station d'épuration de capacité nominale de 1.800 m3/j a été réalisée).
•Un second réseau, réalisé dans les années 80 non fonctionnel (31 km environ + 3 SP) desservant les bassins versants périphériques, au Nord, à l'Est et au Sud de la zone centrale desservie par le réseau en service. Le réseau n'a pas été réceptionné.
INFRASTRUCTURES EXISTANTESINFRASTRUCTURES EXISTANTES
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ETAT ACTUEL ETAT ACTUEL
Le diagnostic du réseau a fait ressortir les constats suivants :•Une dégradation avancée des canalisations et regards de visites du réseau qui date de 1965 ;•Des tassements différentiels au niveau d'un tronçon réalisé en 1990 ;•La difficulté de repérer ou même de reprendre un bout de réseau réalisé en 1984 et jamais réceptionné.
>>> Ce diagnostic a permis de conclure que dans sa globalité le réseau d’assainissement est dans un état
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globalité le réseau d’assainissement est dans un état médiocre et qu'il est dégradé et irrécupérable.
Les actions à entreprendre pour rétablir un fonctionnement normal du réseau sont les suivantes :
•Le réseau réalisé en 1990 est à réhabiliter par remplacement•Le réseau fonctionnel réalisé pendant les années 60 est à reprendre intégralement.•Le réseau réalisé pendant les années 80 est à refaire.
ETAT ACTUEL ETAT ACTUEL
La station d'épuration existantes présente les insuffisance suivantes :•Une dégradation des équipements de la station•le contrôle de qualité des eaux brutes et traitées (entrée/sortie) n'est plus opérationnel, en raison du manque de fournitures et de matériel; •absence de désinfection en sortie de traitement, pour les effluents directement utilisés par les maraîchers situés à proximité immédiate de la station (ainsi que les boues); •Les risques sanitaires engendrés (manque de traitement tertiaire efficaces)•des pannes de fonctionnement fréquentes qui conduisent parfois à l’arrêt complet;
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•des pannes de fonctionnement fréquentes qui conduisent parfois à l’arrêt complet;•les équipements du circuit de circulation et de traitement des boues sont déficients, ce qui a bien sûr des incidences négatives au niveau du traitement des eaux;•Même réhabilité la STEP sera saturée en 2010 compte tenue de sa capacité
la station est rattrapé par l’urbanisation et se situe actuellement en zone urbaine assez dense
La fermeture à terme de la STEP s'avère nécessaire avec une valorisation du terrain pour d’autres activités notamment pour construire les locaux de l’entité qui va s’occuper du secteur d’assainissement .
Situation actuelle en matière
d’assainissement liquide
Bilan:
•Dégradation des ouvrages existants par manqued’entretiens préventif et curatif des infrastructuresexistantes (4%)
•Retard en matière d’assainissement liquide
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•Retard en matière d’assainissement liquide
•Développement rapide de l’urbanisation et d’une manièreradiale le long des pénétrantes de la ville (9800 ha)
•Absence de plans d’aménagements régissant ledéveloppement urbain >>> Création de nouvelles zonesd’extension dépourvues des infrastructures nécessaires
…/…
PROBLEMATIQUE DE L’ASSAINISSEMENT LIQUIDE PROBLEMATIQUE DE L’ASSAINISSEMENT LIQUIDE DE LA VILLE DE NOUKCHOTTDE LA VILLE DE NOUKCHOTT
Sur le plan techniqueSur le plan technique
Topographie plate combiné avec l’étendu de la ville et la présence de la nappe saline imposent :
réseau sanitaire étalé compte tenu de l’étendu de la zone d’étuderéseau étanche avec un matériau inerte vis a vis de la salinité
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réseau étanche avec un matériau inerte vis a vis de la salinitéréseau ponctué de stations de relevage et de refoulement;
Séparation totale des eaux usées et des eaux pluviales
Optimisation des ouvrages de collecte et d’épurationphasage ciblant l’amélioration des conditions sanitaires
PROBLEMATIQUE DE L’ASSAINISSEMENT LIQUIDE PROBLEMATIQUE DE L’ASSAINISSEMENT LIQUIDE DE LA VILLE DE NOUKCHOTTDE LA VILLE DE NOUKCHOTT
Sur le plan environnementalSur le plan environnemental
•Absence d’un réseau collectif généralisé
•Utilisation de l’assainissement autonome pour environ 96% de la population (conception rudimentaire, colmatage rapide accentué par la proximité de la nappe, fréquence de vidange assez importante)
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importante)
•Risque sanitaire majeur pour la population et contribution à la dégradation de la nappe et de l’environnement direct des populations.
•STEP existante ne permettant pas d’atteindre les performances requise pour une réutilisation des eaux surtout que le suivi et l’évaluation de ses performance n’est pas assurée systématiquement – risque sanitaire
DEFINITION DU PLAN DIRECTEUR
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DIRECTEUR
Composante réseau
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DEFINITION DU PLAN DIRECTEURDEFINITION DU PLAN DIRECTEUR
Choix du système d’assainissementChoix du système d’assainissement
•POURQUOI CHOISIR UN SYSTEME SEPARATIF?•Surcoûts conséquents Compte tenu de la présence de la nappe pour un système unitaire (collecteur profond avec de grandes sections baignant dans la nappe –matériaux résistant à la salinité,difficultés de pose, terrassements importants)•Pluviométrie faible (investissement non optimisé pour le système unitaire et condition de fonctionnement hydraulique médiocre avec intrusion du sable) •Topographie plate d’ou la nécessite d’intercaler le réseau par des stations de relevage et l’inconvénient de refouler aussi les eaux pluviales dans le cas d’un système unitaire (surdimensionnement des SP et stagnation prolongée des eaux usées en période sec).
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usées en période sec).•Séparation des eaux usées et les eaux pluviales permet aussi d’avoir :
•un réseau des eaux usées avec des diamètres réduits et s’offrir la possibilité d’utiliser des matériaux légers, faciles à poser et étanches (PVC OU PEHD).•Projeter un réseau des eaux pluviales superficiel ciblant les zones de basses inondables du centre ville à forte activité.•les économies induites sont significatives.•Optimiser les ouvrages de transfert et d’épuration en investissement et en exploitation.•Assurer des conditions de fonctionnement meilleures (autocurage)
DEFINITION DU PLAN DIRECTEURDEFINITION DU PLAN DIRECTEUR
Composante réseau Composante réseau
Le schéma de collecte des eaux usées et pluviales proposé pour la ville de Nouakchott est composé des ouvrages suivants :
-Un réseau de collecte des eaux usées en système séparatif-Un réseau des eaux pluviales restreint aux zones basses et de
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-Un réseau des eaux pluviales restreint aux zones basses et de stagnation au niveau du centre ville avec une protection de la ville contre les apports extérieurs et les incursions marines à travers le cordon littoral (rejet vers la mer seul exutoire possible)-Un système autonome suivi et encadré pour les zones à équiper en deuxième tranche en attendant la généralisation du réseau collectif (plan et dimension joints au dossiers)-Des zones de vidange des fosses septiques (lits de séchages au niveau des STEP
DEFINITION DU PLAN DIRECTEURDEFINITION DU PLAN DIRECTEUR
Choix des pôles d’épuration Choix des pôles d’épuration
Découpage en pôle dicté par :-La configuration urbanistique étalée de la ville et de la topographie plate du site
entraînant pour la collecte vers un seul exutoire la multiplication inconsidérée des stations de relevage surtout que la nappe saline est peu profonde par endroit.
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endroit.
-Ce découpage en pôle a été aussi dicté par la longueur maximale admissible pour que l’effluent collecté ne rentre pas en eutrophisation avant d’atteindre la station d’épuration imposant ainsi la subdivision de la zone d’étude au minimum en trois exutoires.
-Ce découpage offre aussi la possibilité de valoriser les eaux épurées en irrigation au niveau de l’arrière pays de la ville au delà de la rocade 2020 et la création des zones vertes au nord, à l’est et au sud de la ville .
DEFINITION DU PLAN DIRECTEURDEFINITION DU PLAN DIRECTEUR
Présentation des pôles d’épuration Présentation des pôles d’épuration
Compte tenue de ces contraintes trois exutoires (Pôles) ont été définis :
Pôles Moughatâas assainis
A Terragh zeina / Sebkha / Ksar
B Teyert / Dar Naim / Toujounine
C Arafat / Riyad / El Mina
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C Arafat / Riyad / El Mina
Trois sites d’épuration ont été définies à savoir:•Site pôle A : La conduite d’amenée longera la route de Nouadibou sur 5 km au dela de la rocade 2020 puis emprunte vers la droite sur 5km une emprise menant vers le site d’épuration de ce pôle.•Site pôle B : L’amenée sera opérée à partir de l’exutoire final du réseau situé au Nord Est de Dar Naim vers le site d’épuration à 1km de la rocade 2020.•Site pôle C : L’amenée sera opérée à partir de l’exutoire final du réseau situé au Sud de Riad en empruntant vers la gauche la rocade 2020 jusqu’au site d’épuration
SCHÉMA GLOBAL ASSAINISSEMENTSCHÉMA GLOBAL ASSAINISSEMENT-- EPURATIONEPURATION
TRACE DU RESEAU ET DELIMITATION DES PÔLES D’EPURATIONTRACE DU RESEAU ET DELIMITATION DES PÔLES D’EPURATION
SPA1
SPA2
SPC
POLE A
POLE CDésignation Linéaire (km) Diamètre (mm)
Réseau primaire et secondaire 198 Ø 250 à Ø 800
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SPB
STEP POLE A
STEP POLE B
STEP POLE C POLE B
Conduite de refoulement 22 Ø 160 à Ø 600
Réseau tertiaire 1400 Ø 200
SCHÉMA GLOBAL ASSAINISSEMENTSCHÉMA GLOBAL ASSAINISSEMENT-- EPURATIONEPURATION
TRACE EN PLAN DU RESEAU DES EAUX PLUVIALES PROJETETRACE EN PLAN DU RESEAU DES EAUX PLUVIALES PROJETE
SP
Désignation Linéaire (km) section
Réseau structurant 26,5 dalots
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SR
SP
Conduite de refoulement 4,5 Ø1400
Composante épuration et réutilisation
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réutilisation
DESCRIPTION DE LA STEP EXISTANTE
Type : Boues activées à aération prolongée –chenal d’oxydation
Date de réalisation : 1960
Etat : en arrêt depuis 4 ans (équipements en panne)
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Capacité : 2 270 m3/j
Horizon de saturation: 2010
Localisation : en plein centre ville
Aucune possibilité d’extension : Nécessité de trouver d’autres sites d’épuration
CRITÈRES DU CHOIX DES SITES D’ÉPURATION
Le choix des sites est lié à la configuration du réseau d’assainissement (optimisation des réseaux de collecte): 3 pôles
Implantation des sites au-delà du périmètre urbain: distance minimale de 1 km par rapport
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urbain: distance minimale de 1 km par rapport aux habitants les plus proches
Les sites seront approchés des zones potentielles de réutilisation agricole
Données de base
POLE A : Ksar + Tevragh Zeina + Sebkha
Année Horizon 2020 Horizon 2030
Population totale (hab.) 316 150 445 960
Population raccordée au réseau d'assainissement (hab.)
215 030 394 180
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d'assainissement (hab.)
Débit moyen total des eaux usées (m3/j)
22 620 51 260
Débit de pointe en temps sec (m3/j) 36 240 79 570
Ratio de pollution domestique (g/hab/j) 31 38
Charges polluantes domestiques (Kg DBO5/j)
6 570 15 150
Concentration des effluents (mg DBO5/l)
290 300
Données de base
POLE B : Teyaret + Dar Naim + Toujounine
Année Horizon 2020 Horizon 2030
Population totale (hab.) 333 300 470 130
Population raccordée au réseau
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Population raccordée au réseau d'assainissement (hab.)
66 660 329 090
Débit moyen total des eaux usées (m3/j) 4 265 30 140
Débit de pointe en temps sec (m3/j) 7 650 47 680
Ratio de pollution domestique (g/hab/j) 22 29
Charges polluantes domestiques (Kg DBO5/j)
1 460 9 400
Concentration des effluents (mg DBO5/l) 340 310
Données de base
POLE C : El Mina + Arafat + Riyad
AnnéeHorizon
2020Horizon
2030
Population totale (hab.) 488 380 688 910
Population raccordée au réseau
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Population raccordée au réseau d'assainissement (hab.)
244 190 551 130
Débit moyen total des eaux usées (m3/j) 14 990 50 090
Débit de pointe en temps sec Y/C eaux parasites (m3/j)
24 510 77 820
Ratio de pollution domestique (g/hab/j) 22 29
Charges polluantes domestiques (Kg DBO5/j)
5 400 16 050
Concentration des effluents (mg DBO5/l) 360 320
CRITERES DE CHOIX ET PROCÉDÉS D’ÉPURATION ENVISAGEABLES
CRITERES DE CHOIX
Objectifs de rejet ( Réutilisation avec ou sans restriction)
Caractéristiques du réseau d’assainissement et nature des effluents à traiter
Taille de la collectivité concernée
Coûts d’investissement et d’exploitation
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Lagunage naturel
Lagunage aéré
Boues activées à aération prolongée
PROCÉDÉS D’ÉPURATION ENVISAGEABLES
Coûts d’investissement et d’exploitation
Contraintes d’exploitation
Contraintes liées au site d’implantation
PROCÉDÉS D’ÉPURATION ENVISAGES
Variante 2 : Lagunage naturel
Variante 3 : Lagunage aéré
Variante 1 : Boues activées à aération prolongée
18/05/2014 36
Variante 3 : Lagunage aéré
VARIANTE 1 : BOUES ACTIVÉES À AÉRATION PROLONGÉE
Avantages :
Production des boues stabilisées
Bonne épuration sur tous les paramètres
Occupation faible du sol
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Occupation faible du sol
Possibilité d’intervention sur le process
Faible risque d’émanation d’odeurs
VARIANTE 1 : BOUES ACTIVÉES À AÉRATION PROLONGÉE
Inconvénients :
Production de boues + élevé et gestion quotidienne des
boues
18/05/2014 38
Consommation énorme d’énergie
Traitement complémentaire des boues
Coûts d’investissement et d’exploitation élevés
Nécessité plus d’un personnel qualifié pour l’exploitation
Sensibilité aux variations de charge
Fiabilité relativement faible à cause des risques de panne
VARIANTE 2 : LAGUNAGE NATUREL
Avantages :
Très bon rendement épuratoire
Facilité d’exploitation (opération lourde ponctuelle en période de
curage des lagunes);
Procédé simple à gérer, alimentation gravitaire sans électricité.
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Procédé simple à gérer, alimentation gravitaire sans électricité.
Qualification minimale du personnel d’exploitation
Adapté aux fortes variations de charges hydrauliques;
Bonne intégration dans le paysage;
Coût d’investissement et d’exploitation réduit (comparé à la
filière boues activées)..;
Gestion des boues excellente (curage 1 fois 2 ans)
Pas de consommation d’énergie
VARIANTE 2 : LAGUNAGE NATUREL
Inconvénients :
Impossibilité d’intervention sur le processeur
Emprise au sol très importante.
18/05/2014 40
Risques d’ensablement des bassins
*** Multiplication de fréquence de curage
Pertes en eau par évaporation importante
Risques d’émanation d’odeur (anaérobie notamment)
VARIANTE 3 : LAGUNAGE AÉRÉ
Avantages :
Très bon rendement épuratoire surtout en terme d’élimination
bactériennes
Consommation d’énergie faible
Gestion des boues excellentes
18/05/2014 41
Gestion des boues excellentes
Coûts d’investissement et d’exploitation modérés
Faible sensibilité aux variations de charge
VARIANTE 3 : LAGUNAGE AÉRÉ
Inconvénients :
Emprise au sol moyenne
Risques d’émanation d’odeurs (au niveau des bassins anaérobies)
18/05/2014 42
Pertes en eau par évaporation importantes
Fiabilité moyenne ( aérateurs plus facile à entretenir)
PROCÉDÉ D’ÉPURATION
Superficie requise par les trois variantes:
Variante 1 : Aération
prolongée
Variante 2 : lagunage naturel
Variante 3 : lagunage aéré
Horizon 2020
Horizon 2030
Horizon 2020
Horizon 2030
Horizon 2020
Horizon 2030
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Station d’épuration Pôle A
4 ha 9 ha 53 ha 121 ha 31 ha 70 ha
Station d’épuration Pôle B
1 ha 6 ha 12 ha 75 ha 9 ha 60 ha
Station d’épuration Pôle C
3.2 ha 9.7 ha 43 ha 128 ha 22 ha 71 ha
La contrainte de superficie de terrain ne se pose pas à Nouakchott
PROCÉDÉ D’ÉPURATION
Coûts d’investissement des procédés d’épuration envisagés:
Coût d’ investissement des ouvrages ( 1000 000 UM)
Aération prolongée
Lagunage naturel Lagunage aéré
Désignation du site d’épuration
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Horizon 2020
Horizon 2030
Horizon 2020
Horizon 2030
Horizon 2020
Horizon 2030
Pôle A 3 424 7 684 1 926 4 322 1 926 4 322
Pôle B 926 4 768 463 2 682 463 2 682
Pôle C 2 707 8 141 1 541 4 579 1 541 4 579
PROCÉDÉ D’ÉPURATION
Coûts d’exploitation annuels :
Aération prolongée = 8%
Lagunage naturel = 2%
Lagunage aéré = 10%
Coût d’ exploitation des ouvrages ( 1000 000 UM) Désignation du site d’épuration
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Aération prolongée
Lagunage naturel
Lagunage aéré
d’épuration
Horizon 2020
Horizon 2030
Horizon 2020
Horizon 2030
Horizon 2020
Horizon 2030
Pôle A 280 620 40 90 200 440
Pôle B 80 390 10 60 50 270
Pôle C 220 660 40 100 160 460
CONCLUSIONS
Procédé d’épuration recommandé : Lagunage aéré
Coûts ( 1000 000 UM) Population équivalente desservie
(EH)
Superficie requise
(ha) investissement Annuel d’exploitation
Désignation de la station
d’épuration
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Horizon 2030
Pôle A 303 000 70 4 755 475
Pôle B 188 000 60 2 955 295
Pôle C 321 000 71 5 040 500
TOTAL 812 000 201 12 740
DÉFINITION DE LA PREMIÈRE TRANCHE D’ÉPURATION
Horizon : 2020
STEP : Pôle A - 2 100 MUM HT ( 6 570 kg DBO5)
Caractéristiques des ouvrages d’épuration :
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DÉFINITION DE LA PREMIÈRE TRANCHE D’ÉPURATION
Caractéristiques des ouvrages d’épuration :
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REUTILISATION DES EAUX EPUREES
Pratique existante de réutilisation avec les eaux usées brutes : notamment dans les périmètres aménagés
de Sebkha pour maraîchage et horticulture (90 ha) –
risques sanitaires)
Parcelles irriguées dans la périphérie de
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Parcelles irriguées dans la périphérie de Nouakchott 180 ha – Limitation à cause de la disponibilité d’eau
Pratiques culturales : légumes, arbres fruitiers, légumineuses
AVANTAGES DE LA REUTILISATION DES EAUX EPUREES
Atténuation du déficit hydrique ( gain en eau potable
Protection de l’hygiène et de la santé publique
Valorisation des substances nutritives : Azote, phosphore, potassium …
18/05/2014 50
phosphore, potassium …
Valeur d’amendement organique ( matière organique résiduelle – carbone organique- des eaux usées épurées)
Réduction de la quantité d’engrais apportée et amélioration du rendement des parcelles
QUALITE REQUISE POUR EAUX EPUREES A REUTILISER
CATEGORIE
CONDITION DE REALISATION
GROUPE EXPOSE
NEMATHODES INTESTINAUX nombre d'œufs
par litre (b)]
COLIFORMES FECAUX
[nombre par 100 ml][
NIVEAU DE TRAITEMENT
REQUIS
A
Irrigation de cultures destinées à être consommées crues, des terrains
Ouvriers agricoles,
Consommateurs Public
Absence ? 1000 Traitement secondaire et tertiaire
Classification OMS
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crues, des terrains de sport, des jardins publics.
eurs Public et tertiaire
B
Irrigation de cultures céréalières, industrielles et fourragères, des pâturages et des plantations d'arbres.
Ouvriers agricoles
Absence Aucune
norme n'est recommandée
Traitement secondaire
C
Irrigation localisée des cultures de la catégorie B si les ouvriers agricoles et le public ne sont pas exposés.
Aucun Sans objet Sans objet Traitement primaire.
QUALITE REQUISE POUR EAUX EPUREES A REUTILISER
Proposition de critères microbiologiques minimaux pour la réutilisation des eaux usées (Propositions de normes - Projet UTF / MOR / 023 / MOR)
Utilisation d’eau usée épurée
Œufs d’Helmint
hes
Coliformes Fécaux/100
ml
Traitement requis
1
Utilisation urbaine: Irrigation de zones à entrée libre (parc, golf, terrain de sport,…)
absence <200
Traitement secondaire et désinfection ou
lagunage avec temps de séjour élevé
2
Irrigation de légumes consommés Traitement secondaire
et désinfection ou
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2 Irrigation de légumes consommés
crus. Irrigation par aspersion d’arbres fruitiers
absence <200 et désinfection ou
lagunage avec temps de séjour élevé
3
Irrigation de fourrage pour l’alimentation animale (production
de lait ou de viande) absence <1 000
Traitement secondaire et désinfection ou
lagunage 4
Irrigation de culture pour a) conserverie; b) végétaux destinés à être consommés cuits ou arbres
fruitiers (excepté irrigation par aspersion)
< 0,1 œuf/l
<1 000
Traitement secondaire et désinfection ou
lagunage
5
Irrigation de cultures industrielles, fourrages, céréales et semences
oléagineuses
<0, 1 œuf/l
<10 000 Traitement secondaire
ou lagunage
6
Irrigation de zones boisées, zones de production de bois industriel, ceintures vertes ou autres zones où le public n’est pas autorisé à
entrer
< 0,1 œuf/l
Pas de limite
Traitement secondaire Ou lagunage
REUTILISATION DES EAUX EPUREES
Volume d’eaux usées à traiter
(m3/j)
Volume d’eaux usées disponible
(l/s)
Surface irrigable maraîchage (ha)
Répartition des superficies irrigables par pôle d’épuration
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Horizon 2020
Horizon 2030
Horizon 2020
Horizon 2030
Horizon 2020
Horizon 2030
Station d’épuration Pôle A
22 620 51 260 236 534 200 453
Station d’épuration Pôle B
30 140 - 314 - 266
Station d’épuration Pôle C
50 090 - 522 - 443
TOTAL 236 1 370 200 1 160
Estimation des coûts et phasage du plan directeur
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plan directeur
DEFINITION DU PLAN DIRECTEURDEFINITION DU PLAN DIRECTEUR
Le schéma global proposé pour la ville de Nouakchott est composé des ouvrages suivants :
-un réseau de collecte des eaux usées en système séparatif-un réseau des eaux pluviales restreint aux zones basses et de stagnation au niveau du centre ville avec une protection de la ville contre les apports extérieurs et les incursions marines à travers le cordon littoral-un système autonome efficace pour les zones à équiper en
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-un système autonome efficace pour les zones à équiper en deuxième tranche en attendant la généralisation du réseau collectif -Des zones de vidange des fosses septiques (lits de séchages au niveau des STEP-Trois pôle d’épuration par lagunage Aéré et de valorisation des eaux épurées en irrigation
ESTIMATION DU PLAN DIRECTEURESTIMATION DU PLAN DIRECTEURQuantité Coût en M.UM HT
Réseau des eaux usées :
Réseau primaire et secondaire 198000 ml 8 434
Réseau tertiaire 1 400 000 ml 21 840
Branchements 22 250 unités- 3 965
Stations de pompage et de relevagey/c refoulement ( 33 300 ml)
4 756
Réseau des eaux pluviales y/c refoulement 30 520 ml 6 155
Etude et réalisation de la digue de protection Pour mémoire
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Etude et réalisation de la digue de protection Contre l’immersion des eaux de la mer
Pour mémoire
Stations d’épuration par lagunage aéré ( 40 600 kg DBO5) 16 601
Aménagement des lits de séchage pour la vidange des fosses septiques au niveau des trois sites d’épuration
293
Aménagement sommaire des périmètre D’irrigation
90 ha 1 661
S/Total (Million UM HT)63 700
Contrôle des travaux + divers et imprévus 20%
12 741
TOTAL GENERAL (Million UM HT) - 76 500
1ère TRANCHE DU1ère TRANCHE DU PLAN DIRECTEUR
RESEAU DES EAUX USEES ET EPURATIONRESEAU DES EAUX USEES ET EPURATION
SPA1
SPA2
SPC
PREMIERE TRANCHE
Désignation Linéaire (km) Diamètre (mm)
Réseau primaire et secondaire 94 Ø 250 à Ø 800
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SPB
STEP POLE A
STEP POLE B
STEP POLE C
Conduite de refoulement 16 Ø 160 à Ø 600
Réseau tertiaire 280 Ø 200
1ère TRANCHE DU1ère TRANCHE DU PLAN DIRECTEUR
RESEAU DES EAUX PLUVIALES PROJETERESEAU DES EAUX PLUVIALES PROJETE
SP
Désignation Linéaire (km) section
Réseau structurant 26,5 dalots
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SR
SP
Conduite de refoulement 4,5 Ø1400
DEFINITION DU PLAN DIRECTEURDEFINITION DU PLAN DIRECTEUR
Quantité Coût en M.UM HT
Réseau des eaux usées :
Réseau primaire et secondaire 94 000 ml 3 996
Réseau tertiaire 280 000 ml 4 368
Branchements 7 300 unités- 1 001
Stations de pompage et de relevagey/c refoulement (15 790 ml)
1 950
Réseau des eaux pluviales y/c refoulement 30 520 ml 6 155
Etude et réalisation de la digue de protection
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Etude et réalisation de la digue de protection de Contre l’immersion des eaux de la mer
Pour mémoire
Station d’épuration par lagunage aéré (Pole A)
( 6 570 kg DBO5) 2730
Aménagement des lits de séchage pour la vidange des fosses septiques au niveau des trois sites d’épuration
293
Aménagement sommaire des périmètre D’irrigation
40 ha 542
S/Total (Million UM HT)21 035
Contrôle des travaux + divers et imprévus 20%
4 207
TOTAL GENERAL (Million UM HT) - 25 200
MESURES D’ACCOMPAGNEMENTMESURES D’ACCOMPAGNEMENT
Afin de garantir la pérennité et le bon fonctionnement des réseaux des eaux usées et pluviales projetés, il est nécessaire de :
•éviter le développement urbain en dehors de la rocade 2020 afin de concentrer l’urbanisation et rentabiliser les investissements d’assainissement à réaliser.•Doter les mogataas de plans d’aménagement•Eviter l’urbanisation des zones basses•Revêtir les voiries et les trottoirs avant la réalisation du réseau de collecte des eaux pluviales.•Créer une entité (Régie autonome ou office d’assainissement) et la doter des moyens humains et techniques pour programmer les extensions en corrélation
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moyens humains et techniques pour programmer les extensions en corrélation avec le développement urbain et assurer l’entretien des ouvrages réalisés et aussi pouvoir capitaliser sur l’expérience de la ville de Nouakchott pour assainir les autres villes. D’ailleurs le terrain de la station existante peut être récupéré, après désinfection, pour construire les locaux devant abriter cette entité•Etablir un cahier de charge pour l’assainissement autonome avec les exigences techniques selon les règles de l’art et renforcer les moyens humains et techniques de la communauté pour accompagner ce secteur•Instituer, si elle n’existe pas déjà une commission délivrant les autorisations de construire ou permis d’habiter, avec la Direction de l’Assainissement comme membre de cette commission.
merci
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