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LA PEUR COMME MOYEN QUI PERMET À L’HOMME SE RÉINVENTER (SERGIO ANDRÉS PADILLA) À partir de la lecture de trois textes (Jour de Ramadhan, La malédiction et L’invention du désert « extrait ») qu’on a fait pendant le semestre, une idée générale surgit par rapport à la forme dans laquelle le peuple africain essaie comprendre l’avenir comme trait caractéristique de son identité culturelle. Et c’est la peur de ne pas savoir si ce qu’ils espèrent dans leurs vies et tous leurs désirs deviendront réalité, ou tout simplement la peur de ne pas savoir qu’est-ce que se passera le lendemain. Cependant, cette crainte aide au peuple africain à choisir le chemin plus approprié pour avoir une mieux vie et aussi à prendre les justes décisions pour améliorer la vie des personnes plus proches à eux, parce qu’ils se sont aperçu que le regret ne changera rien. Alors, c’est nécessaire établir quel type de peur on peut trouver dans chaque histoire et si les personnages ont dépensé leurs vies en réfléchissant et en essayant changer leur destin tandis qu’ils ont perdu c’est qui est vraiment important : la vie dans le présent. Premièrement, dans le texte Jour de Ramadhan, on peut voir que l’auteur fait un incursion dans la culture musulmane où les femmes racontent l’histoire de leurs familles et surtout, où les femmes doivent lutter contre l’emprisonnement culturel pour poursuivre leur désir d’étudier et travailler, mais il y a aussi des exceptions comme le cas de Houria qui pense que la place de la femme c’est encore la maison et qui est toujours influencée par les rigoureuses régimes d’un société traditionaliste et conservatrice qui promeut la ferveur d’une vie soumis au pouvoir des hommes lorsqu’elle-même annonce que « si au moins il m’avait laissé un enfant, un fils qui me restitue son image ! » (220) ; peut-être Houria n’avait pas eu la chance de réfléchir à propos de ce qu’elle venait de dire parce que comme sa mère lui dit « élever un enfant sans homme, tu en ignores les épines » (220), c’est bien évidement difficile mais pas impossible. Cette pensé de Houria et sa

Essai sur la peur

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Page 1: Essai sur la peur

LA PEUR COMME MOYEN QUI PERMET À L’HOMME SE RÉINVENTER(SERGIO ANDRÉS PADILLA)

À partir de la lecture de trois textes (Jour de Ramadhan, La malédiction et L’invention du désert « extrait ») qu’on a fait pendant le semestre, une idée générale surgit par rapport à la forme dans laquelle le peuple africain essaie comprendre l’avenir comme trait caractéristique de son identité culturelle. Et c’est la peur de ne pas savoir si ce qu’ils espèrent dans leurs vies et tous leurs désirs deviendront réalité, ou tout simplement la peur de ne pas savoir qu’est-ce que se passera le lendemain. Cependant, cette crainte aide au peuple africain à choisir le chemin plus approprié pour avoir une mieux vie et aussi à prendre les justes décisions pour améliorer la vie des personnes plus proches à eux, parce qu’ils se sont aperçu que le regret ne changera rien. Alors, c’est nécessaire établir quel type de peur on peut trouver dans chaque histoire et si les personnages ont dépensé leurs vies en réfléchissant et en essayant changer leur destin tandis qu’ils ont perdu c’est qui est vraiment important : la vie dans le présent.

Premièrement, dans le texte Jour de Ramadhan, on peut voir que l’auteur fait un incursion dans la culture musulmane où les femmes racontent l’histoire de leurs familles et surtout, où les femmes doivent lutter contre l’emprisonnement culturel pour poursuivre leur désir d’étudier et travailler, mais il y a aussi des exceptions comme le cas de Houria qui pense que la place de la femme c’est encore la maison et qui est toujours influencée par les rigoureuses régimes d’un société traditionaliste et conservatrice qui promeut la ferveur d’une vie soumis au pouvoir des hommes lorsqu’elle-même annonce que « si au moins il m’avait laissé un enfant, un fils qui me restitue son image ! » (220) ; peut-être Houria n’avait pas eu la chance de réfléchir à propos de ce qu’elle venait de dire parce que comme sa mère lui dit « élever un enfant sans homme, tu en ignores les épines » (220), c’est bien évidement difficile mais pas impossible. Cette pensé de Houria et sa mère est à cause de la peur d’agir de manière diffèrent comme la société musulman espère que les femmes le fait. Et à la fin du texte, on peut voir que Nfissa une des sœurs de Houria, a vaincu la peur de procéder comme elle était censée ou peut-être, elle a utilisé cette peur pour repenser son rôle dans une société machiste et comme elle dit « non, je ne l’admets pas (…) je croyais, vois-tu, que tout cela changerait, qu’autre chose viendrait » (222), parce qu’elle n’avait pas peur à changer.

Subséquemment, l’immigration s’agit de savoir poser des questions sur les réalités sociales des immigrés et pouvoir reconnaître la relation de pouvoir avec eux et de comprendre les mécanismes discursifs utilisés pour justifier l’émigration à partir de la mémoire collective, ainsi, la peur qu’on trouve dans le texte La malédiction c’est très différent parce que l’homme est responsable de chaque décision qu’il prend à un moment donné, mais la nature changeant du temps fait que l’homme ne puisse pas regretter ce qu’il a fait dans le passé à raison de être un homme différent. La peur réside dans le fait que la vie demande que l’homme apprenne de chaque événement, mais le problème c’est que plusieurs d’entre eux ne sont pas capables d’identifier une leçon de vie et surtout que les hommes ne peuvent pas reconnaître

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qu’ils ont changé au cours de temps parce que les expériences de vie modèlent l’être à partir des problèmes et douleurs que l’homme a fait face et desquels il a appris. Le personnage Abbas ne regrette rien parce qu’il a reconnu que les situations changent à l’homme et que l’homme ne peut pas rester le même. L’exemple qu’il a utilisé pour développer son idée c’est l’élevage de soi et de ses enfants parce qu’Abbas a dit que son père l’a élevé autrement qu’il a élevé ses enfants puisque ce n’est pas possible faire le contraire entant que « chacun marche sur sa voie, chacun chemine selon sa route » (1291). La peur réside en ne pas percevoir et reconnaître la capacité de l’homme d’interagir avec soi-même et le monde pour atteindre la liberté de se réinventer, de faire face à la vie et de prendre conscience de ses procédures.

Finalement, l’extrait du poème L’invention du désert montre que le rêve sur le désert qui a fait ressusciter le passé peut aider à oublier les angoisses du présent parce que si on considère que l’homme interagit avec son milieu, on doit accepter que le milieu conditionne à l’homme c’est pour cela qu’il faut que l’homme s’adapte aux changements du contexte. L’homme vit dans une société plaine de changements rapides et brusques et rien ne peut être prédit parce que tout ce qui a son origine dans le passé ne fonction pas de la même manière dans le présent et c’est nécessaire que l’homme soit capable d’accepter la réalité et considérer réinventer son être. Cependant, la raison que ne permet pas à l’homme accepter le changement c’est la peur parce qu’elle ferme la porte aux nouveaux opportunités. En conclusion, malgré que la peur c’est un force négative de motivation l’homme peut trouver la solution à un problème avec elle parce que la peur c’est aussi un des plus puissantes énergies que l’homme peut utiliser dans la vie. La peur aide à l’homme s’apercevoir de ce qui est autour de lui.

BIBLIOGRAPHIE

Primaire :

Assia Djebar, Jour de RamadhanAbdelmalek Sayad, La malédictionTahar Djaout, L’invention du désert (extrait)

Secondaire :

Wole Soyinka, Après la guerre (poème)Cheikh Anta Diop, Civilisation ou barbarie: anthropologie sans complaisanceAndrew Maina, On Violence and the Selective Memories of Kenyan SocietyAnna Gueye, Arrêtez de me gonfler avec vos groupes ethniques