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EncorE unE histoirE d’amour
dossier de pressethéâtre les tanneurs
3 — 7.10.17 & 10— 14.10.17 www.lestanneurs.be
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EncorE unE histoirE d’amour
Thomas Gunzig / David Strosberg
3 — 7.10.17 & 10 — 14.10.17
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SommaireAvant la fin
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EncorE unE histoirE d’amour —p.7—
notE d’intEntion—p.10—
Extraits—p.14—
BiographiEs—p.20—
infos pratiquEs—p.26—
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© DR
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Présentation
EncorE unE histoirE d’amour
“ C’est la nuit, un homme et une jeune femme viennent de faire l’amour. Ils sont serrés l’un contre l’autre. Manifestement, ils sont amoureux l’un de l’autre. Mais dans un peu plus d’une heure, l’homme va devoir partir pour rejoindre sa femme.
Durant toute l’heure, ce couple illégitime va parler d’amour, de désir, de sexe, de fidélité et d’infidélité, des normes sociales et de la puissance des sentiments.
Si l’homme est marié, il est amoureux de la femme qu’il trompe, de la même façon qu’il est amoureux de la jeune femme couchée à côté de lui. Et la jeune femme l’aime elle aussi. C’est une histoire où tout le monde s’aime.
C’est une histoire sur la différence d’âge : que faire lorsqu’il y a quinze ans de différence et que l’un sera vraiment vieux bien avant l’autre ? C’est une histoire cruelle sur l’inévitable fin des histoires d’amour.
C’est aussi une histoire sur la jalousie : que faire si la maîtresse que vous aimez a elle-même un amant ? C’est donc aussi une histoire drôle. Mais c’est aussi une histoire sur l’obscurité où vous conduit, parfois, la jalousie.
C’est une histoire sur le sexe : comment les
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© Stef Stessel
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garçons désirent-ils les filles, comment les filles désirent-elles les garçons ? Les désirs sont-ils toujours compatibles ? Ca aussi, c’est drôle… Mais pas toujours. Parfois, c’est aussi tragique, parfois c’est aussi violent, parfois c’est un peu pathétique.
C’est une histoire sans salauds, sans méchantes, c’est une histoire où tous les personnages sont des gens bien.
C’est une histoire triste parce qu’on sait qu’elle est impossible.
C’est une histoire gaie parce que c’est gai quand les gens s’aiment.
En un mot, c’est encore une histoire d’amour.”
Thomas Gunzig
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notE d’intEntion
Au point de départ, nous avions envie de retravailler ensemble avec Alexandre et Thomas, après l’aventure de “Et avec sa queue, il frappe!”. On avait l’idée de refaire une création ensemble d’intégrer un personnage supplémentaire, un personnage féminin.
Thomas a écrit ensuite une histoire d’amour. Il voulait écrire une histoire d’adultère, une histoire interdite, une histoire qui n’est pas permise. Le couple est un couple illégitime : ils se voient une heure par semaine, ils ne prennent même pas le risque de manger ensemble, d’être vus ensemble.
Mais alors ça pose la question : est-ce que c’est uniquement du sexe ? Qu’est-ce qu’il se passe exactement entre eux ? On est dans un endroit très particulier. On a un homme qui aime sa femme, qui aime ses enfants, et qui aime véritablement également une deuxième femme.
Ca me fait penser à un film qui s’appelle Marie-Jo et ses deux amours, de Robert Guédiguian. Le film raconte le double amour, conjugual et adultère, de Marie-Jo, qui se retrouve déchirée entre les deux.
Je suis heureux avec cette matière parce qu’on est dans quelque chose où on va au fond de la question de ce qu’est-ce qu’une réelle histoire d’amour sous forme d’adultère ?
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Ca parle de quelque chose de positif, c’est une très belle histoire, et en même temps c’est triste puisqu’il y a un blocage quelque part, c’est une histoire qui ne peut pas se vivre pleinement.
On est dans une matière approfondie de ce qu’est l’adultère mais aussi de ce qu’est l’amour, finalement. Ce qui ressort dans l’écriture c’est tout ce qui est précieux dans l’amour, et il y a aussi la question de la jalousie, du désir, du sexe, des attentes, des frustrations, de la tristesse, de l’ennui, de comment l’amour évolue et passe, de comment il peut disparaître, comment les relations peuvent se déliter, et comment on peut lutter contre cela. Ils sont en situation d’adultère mais on questionne toutes les couches de l’amour, les mécanismes de l’amour et des relations amoureuses.
C’est intime, profond : qu’est-ce que c’est faire sa vie avec quelqu’un ? Qu’est-ce que c’est que l’amour, finalement ? Est-ce qu’il faut avoir envie de faire sa vie avec quelqu’un pour ressentir de l’amour ? Le spectacle sera à la fois léger et profond pour traiter de ces questions vertigineuses.
L’écriture de Thomas est fidèle à elle-même, rebondissante et imaginative, avec peut-être une sagesse nouvelle. Ca reste du Thomas Gunzig, mais il ne cherche pas à faire du gag, le curseur n’est pas sur le comique mais vraiment sur l’essence de l’amour. Son écriture est plus mature, plus romantique.
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J’aimerais que sur scène on sente cette évolution, cette recherche nouvelle. Le mécanisme est différent de ce qu’on a déjà pu voir sur scène. Ca reste du Gunzig, il y a un gros retournement à la fin, des passages très cocasses, mais son propos sur l’amour est vraiment profond.
Je n’ai pas le souvenir d’avoir monté une pièce avec deux personnages gentils, qui s’aiment, qui sont heureux. Ca fait du bien. On est un peu dans les Fragments d’un discours amoureux de Barthes mais façon Gunzig.
Au niveau de la construction scénographique, on est à la fois dans l’appartement de la femme et dans l’imaginaire du spectateur. Ce sera assez simple, avec un lit au centre, et le travail de la lumière sera à la fois subtil et important. Les costumes sont en phase avec cette question du rendez-vous adultère, de l’heure qui passe et dont il faut profiter au maximum.
Là où la pièce est très forte, c’est qu’on est dans quelque chose de charnel. Ca parle du corps, de l’attirance. Au-delà de la question de la fidélité, on parle du corps, de l’attirance, du désir, du temps qui passe. Les questions qui concernent et tournent autour de l’amour sont des questions sans fin.
Comment on rationalise quand on est amoureux? Comment on communique ? Comment on échange?
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C’est intéressant de voir que l’homme se livre, également. On a tendance à croire que les femmes ont plus de facilités à communiquer, à se livrer, notamment sur les sentiments.
Le spectacle montre aussi la difficulté d’être cohérent, en amour. On voit que ces deux personnes sont prises dans des contradictions terribles, parce que le rationnel et les sentiments se livrent un combat.
La thématique de l’adultère est souvent traitée de manière légère : dans Encore une histoire d’amour, la situation d’adultère est là pour explorer ce qu’il y a de plus précieux dans l’amour, pas pour faire du théâtre de Boulevard.
Ca questionne le polyamour, les normes sociales, l’extra-conjugual. On est dans des questions sur l’engagement, sur le temps qui passe, sur la vie : quelle est la nuance entre être amoureux et aimer ? Qu’est-ce vraiment que la fidélité ? Est-ce que c’est possible de n’aimer qu’une seule personne toute sa vie ? Peut-on être à la fois fidèle et infidèle ?
David Strosberg Extraits d’un entretien avec Juliette Mogenet, 18 septembre 2017
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Alex. - Tu sais, parfois je me demande à quel moment,
à quel moment dans toute l’histoire de l’humanité, ça a pu mal tourner ? A quel moment quelqu’un s’est dit : “tu ne pourras tomber amoureux que d’une seule personne à la fois parce que sinon ta vie deviendra un labyrinthe compliqué, un nid de mensonges, un trou de culpabilité au fond duquel tu ne trouveras que la douleur, le malheur et le désespoir
?
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Extraits
Extraits
Anne. – Allez vas-y.
Alex. – (soupirant) J’avais dix-sept ans... J’avais dix-sept ans et je rêvais de faire l’amour mais ce rêve semblait complètement inaccessible parce que j’étais en voyage avec mes parents. Mais ce n’était pas n’importe quel voyage avec mes parents parce que (...)
Anne. – (...) Parce que tes parents avaient trouvé que serait bien de t’ouvrir à d’autres horizons culturels...
Alex. – Ils m’avaient emmené en Inde.D’après eux, la rencontre avec une civilisation millénaire, avec une philosophie riche de sa complexité, tout ça allait faire de moi un homme meilleur... Alors que moi, tout ce que je voulais(...)
Anne. – (...) Tout ce que tu voulais c’était faire l’amour !
Alex. – Baiser ! Tout ce que je voulais c’était baiser! J’avais une furieuse, brûlante et urgente envie de baiser.
Anne. – Mon amour...
Alex. – Une envie de baiser d’autant plus frustrée que j’étais à Bénarès, un endroit sacré sur les bords du Gange où des millions d’Indiens viennent chaque année faire des ablutions sacrées. Ça faisait dix jours que nous étions arrivés en Inde, dix jours qui avaient été dix jours d’enfer parce que ma mère avait décidé qu’on verrait tout ce qui était possible de voir dans tout ce foutu sous-continent. En dix jours, nous avions vu : le Taj Mahal, Calcutta, des kilomètres de temples et
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là, c’était trois jours à Bénarès. Je détestais ça, toute cette foule, toute cette religion, toute cette eau sale... Le jour de notre arrivée, au déjeuner dans l’espèce d’hôtel dégueulasse qu’ils avaient trouvé dans le Guide du Routard, il s’était passé deux choses : la première c’est que j’avais remarqué une jeune indienne qui travaillait là. Elle devait avoir mon âge, peut-être un an de plus (...)
Anne. – (...) Le genre de beauté définitive et sauvage qui a éclos au milieu de la misère (...)
Alex. – Bon... Tu me laisses raconter !
Anne. – Pardon... Vas-y !
(...)Anne. – C’est compliqué.
Alex. – Tu sais, parfois je me demande à quel moment, à quel moment dans toute l’histoire de l’humanité, ça a pu mal tourner ? A quel moment quelqu’un s’est dit : “tu ne pourras tomber amoureux que d’une seule personne à la fois parce que sinon ta vie deviendra un labyrinthe compliqué, un nid de mensonges, un trou de culpabilité au fond duquel tu ne trouveras que la douleur, le malheur et le désespoir ?
Anne. – C’est un truc anthropologique.
Alex. – La peine de mort aussi c’est un truc anthropologique ! Franchement, la civilisation doit pouvoir un peu se dépasser quand même... Sinon, on en serait toujours à dessiner des chevreuils dans des cavernes...
Anne. – J’aime bien les chevreuils...
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Extraits
Alex. – Tu vois ce que je veux dire !
La jeune femme se rapproche de lui et lui caresse le visage
Anne. – Tu es beau quand tu t’énerves. Avec ta ride, ici... (elle montre) On dirait un peu Alain Delon.
Alex. – Excuse-moi, mais ça, c’est un compliment bizarre...
Anne. – Elle m’a plu dès le premier jour, cette ride.Tu es arrivé pour me montrer les plans et pendant que tu m’expliquais tout, moi je regardais cette ride.
Alex. – Ah ?
Anne. – Et toi, qu’est-ce que tu t’es dit, la première fois que tu m’as vu ?
Alex. – Moi... Je suis arrivé chez toi et je me suis dit “wouaw !”
Anne. – “Wouaw” ?
Alex. – Wouaw !
Anne. – Mais quoi “Wouaw” ?
Alex. – (comprenant qu’il faut à présent se concentrer) Je me suis dit que j’adorais ces longs cheveux parce qu’ils me faisaient penser à une publicité que j’aimais beaucoup quand j’étais petit, une publicité pour le shampoing “Oil of Olaz” : une fille sur un cheval, on dirait un peu la reine des elfes dans le Seigneur des Anneaux et elle a un mouvement comme ça (il montre). Et ses cheveux ont un mouvement un peu surnaturel. Avant de te rencontrer, je ne savais pas que c’était possible d’avoir des cheveux qui bougent comme ça !
(...)
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Anne. –Peut-être que notre histoire, c’est juste un truc de cul...
Alex. – Au début, c’était un truc de cul. Et puis, c’est
devenu un truc de cul avec autre chose.
Anne. –Comment tu peux en être sûr ?
Alex. –Parce que, par exemple, quand j’imagine ce qu’on pourrait faire ensemble, je te vois dans une voiture de location. J’ai pris un cabriolet, tu portes une robe rouge, tu as les bras nus, tes cheveux sont agités par le vent comme la crinière d’un cheval au galop, ils fouettent ton visage, on roule sur une petite route de Toscane, quand je te regarde, je vois que tu souris.
Anne. – Pas de cul.
Alex. – Non.... Enfin si... Mais après... le soir, dans la petite chambre d’hôtel...
Anne. – (regardant par la fenêtre) Ça y est... Il commence à neiger... C’est joli... Tout est blanc...
Alex. –Un an...
Anne. – Oui...
Alex. – Il avait aussi neigé il y a un an.
Anne. – Je me souviens.
Alex. – Est-ce que t’imaginais tout ça, il y a un an ?
Anne. – Quoi ?
Alex. – Que cette histoire ça allait devenir une histoire ?
Anne. – Encore une histoire d’amour ? Je ne sais pas.
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Alex. – Qu’est-ce que tu imaginais ?
Anne. – Je n’imaginais rien : il y avait dans mon lit un homme qui me plaisait, il n’avait l’air ni trop tordu, ni trop malsain. Il avait un sourire que j’adorais, il m’avait fait rire en me racontant la première fois où il avait fait l’amour, il avait une ride qui le faisait ressembler à Alain Delon. J’étais heureuse, j’aimais ses mains... C’était l’hiver, comme ce soir il commençait à neiger, et en hiver quand il neige, c’est bien d’avoir des mains sur soi.
Et toi... Qu’est-ce que tu imaginais ?
(...)
Extraits
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Biographies
BiographiEs
David Strosberg -mise en scène
Metteur en scène belge actif dans les com- munautés française et flamande, David Strosberg est aussi directeur artistique du Théâtre Les Tanneurs depuis 2010. Il a mis en scène de nombreux spectacles, parmi lesquels : L’Enfant rêve d’Hanokh Levin, Ode Maritime de Fernando Pessoa, Le tueur souriant de Jean-Marie Piemme, Djudjurassique bled de Fellag, Schitz d’Hanokh Levin, Mein Kampf (farce) de Georges Tabori, Une lettre à Cassandre de Pedro Eiras, Et avec sa queue, il frappe ! de Thomas Gunzig, Petites histoires de la folie ordinaire de Petr Zelenka. Le jour, et la nuit, et le jour, après la mort d’Esther Gerritsen a été créé en avril 2017. Encore une histoire d’amour de Thomas Gunzig est sa dernière mise en scène.
Thomas Gunzig - texte
Thomas Gunzig est l’un des auteurs francophones les plus lus et les plus polyvalents de Belgique. Outre des romans, il a écrit des nouvelles, des ouvrages pour la jeunesse, des pièces radiophoniques, des pièces de théâtre et des scénarios. Son œuvre littéraire a reçu plusieurs prix et a été traduite en de nombreuses langues. Il enseigne aussi la littérature dans différentes écoles supérieures. Trois fois par semaine, il signe la chronique «Café serré» dans
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l’émission Matin Première de la RTBF. Son œuvre se caractérise par une imagination puissante et un humour noir.
Anne-Pascale Clairembourg - Anne
Anne-Pascale Clairembourg est sortie de l’IAD en 2000. Depuis, on a pu la voir dans de nombreux spectacles dont Le Ventriloque et Jours de pluie mis en scène par Miriam Youssef (ZUT), La princesse Maleine de Maeterlinck, mis en scène par Jasmina Douieb (ZUT, Le Public), Le Moine noir deTchékhov mis en scène par Denis Marleau, Bérénice de Racine mis en scène par Philippe Sireuil (Martyrs), Britannicus de Racine mis en scène par George Lini (Atelier 210 et tournée), L’enfant froid de Von Mayenburg mis en scène par Laurent Capelluto (ZUT), La Société des loisirs d’Archambault mis en scène par Patrice Mincke (ZUT et Toison d’Or), Est-ce qu’on ne pourrait pas s’aimer un peu ? mis en scène par Jaco Van Dormael, Théâtre sans animaux de Ribes mis en scène par Eric de Staercke (Théâtre de la place des Martyrs), Oncle Vania de Tchékhov et L’échange de Claudel mis en scène par Elvire Brison (Théâtre de la vie, Théâtre de la Place des Martyrs), I would prefer not to mis en scène par Selma Alaoui (Théâtre LesTanneurs)... Elle a également tourné dans des courts et longs métrages et a suivi une formation en chant, danse, piano et claquettes. En février 2013, elle reçoit le Magritte du
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meilleur espoir féminin pour son rôle dans Mobile Home de François Pirot.
Alexandre Trocki - Alex
Sorti de l’INSAS à la fin des années 80, Alexandre Trocki travaille depuis avec de nombreux metteurs en scène dont notamment Michel Dezoteux, Philippe Sireuil, Jacques Delcuvellerie, Lars Noren, David Strosberg, Lorent Wanson, Virginie Thirion, Anne-Cécile Vandalem, Vincent Goethals... et à travers de nombreux auteurs tels que Tchékov, Shakespeare, Musset, Molière, Claudel, ou encore Feydeau, Labiche , Piemme, Schwab, Tabori, Lagarce, Müller, Kleist... Au cinéma, il tourne dans plusieurs courts-métrages et travaille notamment avec les frères Dardenne dans Le silence de Lorna.
Marie Szersnovicz - scénographie
Diplômée en 2005 de l’Ecole Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg, Marie Szersnovicz se forme à la scénographie et à la conception de costumes. Au théâtre, elle collabore un temps avec le metteur en scene suisse Eric Devanthery (L’inattendu, Discopigs). Installée à Bruxelles depuis 2006, Marie Szersnovicz travaille avec les metteurs et metteures en scène Noémie Carcaud (Au plus près), Anne-Cecile Vandalem (Habit(u)ation), Stéphane Arcas
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Biographies
(L’argent), Sabine Durand (Le Banquet dans les bois), ainsi qu’avec Nalini Menamkat (1913). Depuis 2008, elle a développé une complicité particulière avec Transquinquennal (Blind Date 3, Coalition (avec Tristero) Capital Con ance (avec le groupe Toc), La Estupidez), avec Tristero (Reset, Toestand) ainsi qu’avec Guy Dermul (Barakstad, It’s my life and I do what I want avec la collaboration de Pierre Sartenaer, Skieven).
Harry Cole - lumières
Harry Cole Harry Cole a commencé à travailler comme régisseur en 1984. Entre 1989 et 1997, il a travaillé en tant que créateur lumière à l’ancien KJT, aujourd’hui Het Paleis. En 1997, il est devenu indépendant et a travaillé comme créateur lumière sur de nombreuses productions en théâtre et en danse. Il a travaillé entre autres avec et pour Jan Fabre, Alain Platel, Arne Sierens, le Théâtre Antigone, le KVS, le Young Heart Choeur de Northampton aux USA, la Compagnie Lamaison à Toulouse, etc. Au même moment, il décida de transmettre sa passion et ses connaissances à travers diverses formations données en andre. Entre 2003 et 2010, il a été le directeur technique de Jan Fabre, ce qui lui a permis de tourner dans le monde entier. Depuis 2010, il est professeur au RITS à Bruxelles et travaille également sur de nombreuses productions comme créateur lumière.
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Avant la fin Réservations
EncorE unE histoirE d’amour
Thomas Gunzig / David Strosberg
3 — 7.10.17 & 10 — 14.10.17
Texte Thomas Gunzig Mise en scène David Strosberg Avec Anne-Pascale Clairembourg et Alexandre Trocki
Scénographie Marie Szersnowicz Lumières Harry Cole
Une coproduction du Théâtre Les Tanneurs en coproduction avec le Théâtre de Liège
Tarifs 12€ / 8€ / 5€
Réservations [email protected] 02 512 17 84 www.lestanneurs.be
théâtre les tanneursdossier de presse
Théâtre Les Tanneurs
75 – 77 rue des Tanneurs 1000 Bruxelles T 02 512 17 84
www.lestanneurs.be
Contact presseJuliette Mogenet
[email protected] 02 213 70 52
