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Beaucoup d’enfants ne connaissent que les supermarchés et n’ont pas toujours conscience que le commerçant peut être un bon conseiller pour choisir ses produits. Dans les grandes surfaces, ces conseils se sont peu à peu reportés sur les étiquettes et les emballages. De nombreuses informations y sont disponibles, mais seulement 6 sont obligatoires : La dénomination de vente (le nom du produit). A ne pas confondre avec la marque commerciale ou dénomination de fantaisie d’un produit. Ni l’une ni l’autre ne sont obligatoires. Les producteurs ou les distributeurs les utilisent pour personnaliser leurs produits. La composition ou la liste des ingrédients dans l’ordre croissant du poids représenté. En plus des ingrédients, les additifs doivent aussi être signalés sur l’étiquette, mais se cachent derrière des codes. (cf. fiche B chapitre 5) La durée de vie du produit : la date limite de consommation (DLC) signalée par la mention « A consommer jusqu’au … » ou date limite d’utilisation optimale (DLUO) signalée par les mentions « A consommer de préférence avant le … » ou « A consommer de préférence avant fin … ». Les coordonnées d’un responsable : fabricant, siège social, distributeur, … Le code de fabrication ou le numéro du lot. La quantité nette. Il peut s’agir du volume net pour les produits liquides, ou du poids net pour les autres produits. Les labels et logos ajoutés sur les étiquettes pour faciliter la recherche d’informations induisent parfois en erreur et demandent quelques précisions. (cf. chapitre 14). « Manger bon, propre et juste » : En concevant la gastronomie comme un lien entre politique, agriculture et environnement, l’association Slow Food vise à sauvegarder la biodiversité dans l’alimentation, à diffuser l’éducation au goût et à soutenir un modèle durable de production agro- alimentaire, loin de la standardisation et de l’homogénéisation ? www.slowfood.com En savoir + Choix des produits alimentaires

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Beaucoup d’enfants ne connaissent que les supermarchés et n’ont pas toujours conscience que le commerçant peut être un bon conseiller pour choisir ses produits. Dans les grandes surfaces, ces conseils se sont peu à peu reportés sur les étiquettes et les emballages. Les labels et logos ajoutés sur les étiquettes pour faciliter la recherche d’informations induisent parfois en erreur et demandent quelques précisions. (cf. chapitre 14).

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Beaucoup d’enfants ne connaissent que les supermarchés et n’ont pas toujours conscience que le commerçant peut être un bon conseiller pour choisir ses produits. Dans les grandes surfaces, ces conseils se sont peu à peu reportés sur les étiquettes et les emballages.

De nombreuses informations y sont disponibles, mais seulement 6 sont obligatoires : • La dénomination de vente (le nom du produit). A ne pas confondre avec la marque commerciale ou dénomination de fantaisie d’un produit. Ni l’une ni l’autre ne sont obligatoires. Les producteurs ou les distributeurs les utilisent pour personnaliser leurs produits. • La composition ou la liste des ingrédients dans l’ordre croissant du poids représenté. En plus des ingrédients, les additifs doivent aussi être signalés sur

l’étiquette, mais se cachent derrière des codes. (cf. fiche B chapitre 5) • La durée de vie du produit : la date limite de consommation (DLC) signalée par la mention « A consommer jusqu’au … » ou date limite d’utilisation optimale (DLUO) signalée par les mentions « A consommer de préférence avant le … » ou « A consommer de préférence avant fin … ». • Les coordonnées d’un responsable : fabricant, siège social, distributeur, … • Le code de fabrication ou le numéro du lot. • La quantité nette. Il peut s’agir du volume net pour les produits liquides, ou du poids net pour les autres produits.

Les labels et logos ajoutés sur les étiquettes pour faciliter la recherche d’informations induisent parfois en erreur et demandent quelques précisions. (cf. chapitre 14). « Manger bon, propre et juste » : En concevant la gastronomie comme un lien entre politique, agriculture et environnement, l’association Slow Food vise à sauvegarder la biodiversité dans l’alimentation, à diffuser l’éducation au goût et à soutenir un modèle durable de production agro-alimentaire, loin de la standardisation et de l’homogénéisation ? www.slowfood.com

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