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Sf" Année. — iV® Z 9 , CINQ CENTIMES — ite Numéro — CINQ CENTIMES a 13 fr. upes. Iles, etc. ip i iCorsets oüues r. 50. — >NS )NS >NS fnres ta, 1 |Tis?:ds jles ?ÈWVS Faitsoaïc.^i P^MTS ilT É fc#- pn4rara. tfat, ’ onr .^ir D: ÇEnaiîl'- 'out^s pr:f »t» I le* -i'-ciu-JT 9. •• U Vï»^ >*I« r«R(*ii«a. '•ôté I **a* fri*l* ef S le* r-idt^ • ..a. ftp. 6 ur.i<r»*,ott ' et ai£»« 4». (Norà), du Cb«raik« Coaipumifts^ düon 1900. M conclût! ’DBIS digestive, féfltato yitij. 5 arthriti^es* iRover Paraissant le Jeudi et le Dimanche. JOURNALI DE SENLIS Rédacteur eu clicf f Loup SERTROZ. tt-:r f : -Hf!. : '■ Paraissant le Jeudi et le Dimanche. .A. B O XT IT Eî M EJ U" T s ^ . ; ■«’4. ^ rffc.- I Ou ^ A u o m aux B o « « » du hnânai et dans'toiu Bob dft 4 tiiM» Aatn* aep. | bureaux da poste. — L’abonnment est payable t)a ........... 8 IP. I d’avance et continuede plein droit jusqu’à réeeptiffli Six mois................... 4fr. 6 fr. I d’avis contraire. ZcM JtJboxmementa partent du l" oo da IS e b a q a e mfOM» RITURATTX, RÉDUCTION & ÆÏMINISTRATION 8EIV I.I8 — *1, Place de l'HôteWo-Ville, * i — SE N I.ÏS Les manuscrits, tTisérés ou non, ne sont pas rendus. Annonces Annonecs FXSXX X>XC S ou r’accbptb pas n'iKsiKncii AU-uufpevs m 1 pkjjic . f * * Kts ’tOD^ r e ç u e s â n i ^ P Les anucnceSy réclames, et(b, -Concematat PaÜs' Id aux bureaux du journal. Scnitiiî de Ballotta g® dli S Mai. Electeurs! Votez pour : a(> 'f.-rr: r A lix È L E C T E U fiS de la 1^^Ôircoiiscriptlbii de Senlis Mes chers Compalrioles, Je suis profondément touché du magnifique témoi gnage de confiance et de sympathie que vous m’avez donné au scrutin de dimanche dernier. Je vous en remercie. Par 4 .3 0 0 v o i x vous m’avez fait l’hon neur d’affirmer sur mon nom v o B c o n v i c - ■ f c io n s r é p i x l D l i c a i i i O B et votre fidélité aux grands principes de X -iU D O r iiO s d’i E l g a . - lit,é et de F'ra-fcem i t . é qui sont la raison d’être de notre démocratie. Cette manifestation m’attache à vous par un nou veau lien, celui de la reconnaissance, et me fait un devoir impérieux de maintenir ma candidature au scrutin de ballottage. Vous aviez à choisir entre deux partis politiques : l’un d’oppression, de gaspillage dans les Finances, de poudre aux yeux et de mirages décevants; l’autre die liberté, clé probité, de ré- fbrm.es sinoéres et prati- cpxes. Le premier est en déroute dans deux circonscrip tions voisines de la nôtre (Creil et Compiègûe), et vous l’avez mis en échec chez nous. Le scrutin du 24 Avril manifeste un réveil de la conscience publique dans tout le Pays. Electeurs de la première circonscription de Senlis, vous compléterez votre victoire le 8 Mai : ne vous laissez pas ébranler par les calomnies et les manœu vres déloyales de nos adversaires, et vous assurerez ainsi le triomphe définitif des idées qui vous sont chères et qui sont appelées à grouper autour d’elles, dans le présent et dans l’avenir, tous lès bons Fran çais, tous les Citoyens libres, conscients de leur droit et dé leur devoir. Touis aux um é s ! Pas d’ab^teiïtioiisT Vive la République I A . S A lM tE -B E U V E , Candidat Indépendant, Républicain. l i ’G Euvre d es R adicaux. On nous dit que l’Àngleterre se trouvait dans une situation analogue à la nôtre. Voici û vérité : . En .1882, la dette d’Etat anglaise s’élevait à 1 0 milliards 143 millions. Enl909 (chiffre officiel), elle ne s’élève plus qu’à 1 7 milliards 7*1 millions. .Elle a donc diminué de un milliard 4*3 millions et l’Angleterre a fait face, il y a quelques années, à la guerre coûteuse du TransWaal, soit 5 milliards 47* millions. En-Eraàice, notre dette d’Etàt, en 1882, était Je 93 müliàrds 884 millions. Elle es^ ai^u.i;d’hui de 3 * milliards 94dt millions. C’est une.augmentation de ^mâl&ràs M millions. Ce n’iWt pas tout. ■'> , Notre dette viagère qui s’élevait à.5 milliards 6 * mtîKom, s’élève aujourd’hui à l-0->itfKi<mfo'155 miffions. A cette somme il convient d’ajouter celle de 1 milliard 77^ miltons pour;insuf* flSattéelïe’préyisidn sur le rachat de rOuest. it^apïtnlôns ; Pendant q.ûerAflgleterre diminuait sa detteede ■«» milliard 4 ^ 3 fhtttiÔTÜ^pijiii. la, gue^e )dp Traos.waal àe S milliards 47* militons, nous aug- meWionVia'nôtre de 1 6 8 7 8 miWid^. ^ oi; -, , saa.slsti»&&'‘à»> . iV lAliliards T'.SX joaillions .- 'V 1 ‘ • I -•/ ...... r- r.}. , f-.ri . .. ... T®® naimons. , 1- . r ' e- Elect.OTüLîr’S ! a Dais la i” |jrfiislri|!îlB vous avez condamné la Bitlflüe raiale paruor ix, mettaiit m . cho- pinet en inorité ie 2.307 voix. Eîleo*fceTLii?s ! le 8 M i preclaii la ié lÉ e de la e M . SAINTE-BEUVE, canilli ripiUealo, partisan des i e r t | J pb?tnalf,v d’ailleurs, aucun des grands problèmes sociaux à l’étude en ce moment. > t e second, candidai,. IB. S à l ü i l ^ est tm e ÿ iM a ’ndîf vos besoins, n éstiïbrè, indièplm- dant et restera totyours en edntact avec vous pour la défense de vos intérêts. H a Vexpèrtenêedèsiiffaires, et connaît, les questions;-qpi vous intéressent. Son talent oratoire lui pennettra d’intervenir à la- tribtme de Chambre chaque fois que l’occasion se présentera. Résumons : D’im cbiéwBpolitiqued’oppression, de désordres, de gaspillages, soutenue par un homme qui n'a rendu et, ne rendra aucun service. De l’aütre, une politique «effcjwewf républicaine, d’ordre, de justice et de liberté, défendueÿor M. Sainte-Beuve, indépendant, républicain, mettant, à votre disposition un talent, un dévoue ment sur lesquels vous pouvez compter et dont l’unique ambitibn est de se rendre utile à tous ses concitoyens. M. Sainte-Beuve est vêritablèmiènt indêpendant.Gestœ qui liii permettra, sans subir aucune influence, de se li vrer avec toute son énetÿiè et son talent à la défense des iptérête^éné- raux.du pays. ' “ Vers ta Victoire ! Tous |âux Urnes;;! Pas [|d’Àb^tentions ! Efci’Augtete.rre a une flotte formidable-—vet pous n’avons qiiasi.nen. Eflortiqne DOuê'ànrons’dépeiSè'ebcbré 1.4Ô é mifiions.réolainéé parlé IffiuStre ‘' ' “■** 16, notre m ^ n e ’îè-séi^lénoote que bien-uÿérieuré,A.la flPUe allemàndéf ^jM|it\‘gvi|cl’Ajfoiïm^,’a ^ suK^.,pÔi^ 4-propos .du Maroc pondre, m’obus, ni canons dans nos flirts de l’Est. Dès l’ouverture de la campagne électorale, on a constaté moins d’en train , dlénergi!e et de vigueur chez les combattants que dans les luttes précé dentes. On n’a pas fait appel, comme ja dis, auï discussions irritantes de per sonnalités, àlahaine, à la violence ; et à part quelques exceptions, l’ensemble du territoire a donné cette impression que les partis politiques, en présenice, entendaient avant tout, défendre des idées, des principes et non pasfouillpr la vie privée des gens et les traiper dans la boue. Ces mœurs déplorables, indignés de citoyens qui se respectent tendent à disparaître, ce n’est pas trop tôt. Le suffrage universel s’est prononcé pour l’apaisement des esprits. Les candidats ont eu, en général, la notion assez exacte de la mentalité des électeurs que les violences de lan gage et là pression.officielle écœurent de plus en plus. Il est bon d’ajouter du reste que ces procédés incpalî- fiables, qui déshonorent l’écrivain ou l’orateur, n’ .ont été employés que par les radicaux, lesquels d’ailleurs dût perdu beaucoup de terrain. ■* * * Dans l’Oise, les républicains modé rés ont remporté au premier tour, de«x victoires,.à Creüet à Compiègne et, dans ces circonscriptions, nos amis politiques ont répondu aux attaques ineptes, virulentes, haineuses par un langage empreint de logique et die n ^ dération, ne S’occupant que des (Ques tions de principes. ) ■. * t, j (..(Les électeurs faisant preuve tÎÀ smis ont approuvé cette tacti(iue;;et leur ont donné gain (le. cause. ;y. ^ Dans, la'première circonscription 4e ' Senlis i les radicaux n’ont pas renoncé à leurs procédés habituels : C^lwnuiés,, mœns.énges,'grossières erreurs, tout a été inis en œuvré pour tromper la -vigi lance de l’électeur et surprendre sa bonne foi. : ; Nos advessaires' ont ’en-'riteours à toatt!S‘; ^ r t é 5 ,'dè^Siûdeaf 'f»our ariaétiér aux' citoi^nsr im bulletin en faveur du D'Chopinet, le seul défen seur de cette politi(îue gMt a augmenté nos dépenses et nos impôts dans ces conditions effroyables, qui a permis k notre budget de dépasser 4 milliards sans nous donner la sécurité au point de vue de la défense nationale, sans améliorer notre commerce et notre industrie! Deux sénateurs de l’Oise enx-mémeS MM. Dupont et Noël, jugeant la pres sion officielle.insuffisante j ont usé de leurs influences, de leur prestige, d’acr cord avec la Fédération Radicale, pour faire incfliner la balance du côté du Bloc. 1 Toute pette .mise .eh scène leur a procuré, deux é(diecsv frois ballottages et une seule victoirei' celle dü 'troÿ fameux Bouffandeau, auquel les fiches ont accordé une triste iCéléhrité dont lé département n’a pas lieu d’être fier ! La situation, chez nous, est déjà excellente. Les résultats connus sont pour nous une indication précieuse. Nous laisserons nos adversaires ergOr ter sur les chiffres ; ils ont recueilli amplement le maximum des voix qui pouvaient leur appartenir; ils eapert dront beaucoup au second tour dp scrutin parce que le mouvement dans la France va en s’accentuant contre Ig poÜtiquedesQ. M., des profiteurs, des politiciens de mauvais aloi (jui font; passer leurs ambitions, leurs intérêts personnels, avant les principes démo- crati(pies, avant la cause du pays, c’est- à-dire avant l’intérêt général. Le triste bilan de la législature (pii vient d’expirer a mis,4n plomb dans i4ilé du parti radical. Ce dernier est en déroute. Bon nombre de ses adeptes 4ût tendu la làain aux-progressistes 'ou aux sociahstes unifiés. Chez nous, le scrutin de dimanche dernier, nous sommes-heUreux de' le constater, indique nettement l’orien tation des électeurs-uc/’s unepolitique républicaine d’ordre, d’économies et d’apaisement, ; o. Electeurs ! . .1 ^ voiisWtes.enjgrésen^ ,(ie ;deux poli tiques : "y, ■. Celle du^Sfoc répréseniêe par M..le D* CAopmef; et là politiçpe rèpMbltt cainie, libérale et tolérante, d&fendue par M. Sainte-Beuve. En infligeant «w dcAec à M. Chopinet vous ayez condamné la politi(ïue du Bloc. Electeurs..! , vous n e‘VOUS 'déjùgèrez 'pas et, le 8 mai prochain, en votant pour M. SAinie-Beuve ^vous affirmerez la sincérité de'vos con-victions, votre attachemen^ aux principes de liberté et.de justice, vous rendrez un verdict (pii sera le triomphe de notre candidat ët la confirmation de votre première sentence. De ces deiix politiques qui .s’offrent à vous, voyez les nombreux inconvé nients de celle du Bloc qui adwzsdles Républicains,/’oMssd :les rouages de notre système électoral, .qowîirowîs nos institutions, üiôZd. les .libertés pu- rbliques .et privées! et -gas^lé- nos fi nances-. Examinez,>tétudieji le pro gramme .de M. Saifitë^Beuve, "candidat indépendant, répùbl^in,' âoiei les .réformes économiqueset sociales sont à même de mettre un te'rme aux abUs, aux scandales de'! toute- 'naturé, en gendrés par la politique des sectaires du Bloc. N’insistons pas, mais laissez-nous vous dire deux mots des candidats eux-mêmes. : Le premier, Jlf. Çhopinet vous d re présenté 'pendant 8 ans. Qu’a-t-il fait? Rien. ü- • Ses 'cotésy -qüelSiQnèfôis contradic toires, squyeitt, l^préints' de l’irico- Adrewce (pii règno dans son parti, ont toujours été néfastes..iSL-e^.a.ppconyé non seulement rèà '-K>fs' lïacassières, ‘inapplicables, iniques, .mais encore ^celles "guij.fwf’j è d f f . ( i ^ s , dépenses ''êàcaigèMKèüinj A^aM vas iàt^éteü à fait‘passer peu* du Comité.‘exécutif radical -dont il estle servitëùr. n's’eàt^voté l’aug- liientution; de,V4f# .^r'traftément de Ô^OfiQ'-fîâacs-anntids,-?'*«ri»-^ consaltier': il estfàdvèrSaiflé’de’la •RWrétentatiôîï -;m pdf|onnéll '^^éèpîbœ'd’a^Mrfr à'là'Cbàihbté , congaugéuté dg.vyidsw ddit .exister' ^^.^|rléschéts,4é-s«i‘^ ést incapable de prendre la'parole pouir défendfs un ÿrèjfet de‘ loi et ne Électeurs ! Dans ces conditions,-en toute cons- ciencis, il n ’y : « pes'de doutêfpossible, vous^voteres le 8 iftai procMinpour M. SainterBeiiye., Et smyant ainsi.l’exemple que vous a donné déjà un grand nonibre d’élec teurs dimanche dernieii .vous-, muez bien rempÙ votre devoir de citoyens et de républicains en votant pour r, M. Sainte-BéiHre Vive la France f Vive la Répvbliqué ! Aux urnes ! Pas d’abstëntioni Loup BERTROZ. ‘ ItECTIVTCAfiriOlliA Nous avons pubfië, d ^ s ' nôtfe^jler- nier numéro^’le r é s n l t î i t des élections lé^slafives dans la pre mière circonscription de Senlis. ' ■ , 'L%eUreàlàqUrilefil:hoüs a été per-.. mis de dresser ce tabléauvd’uîw ^ ies chiffes officiels.delmousrpréfeeture, ne nous a pas permis, ;att qioment . du tirage^.,de rçlpver. certaines inexaeti- ’tudés mâtéîiélles qqe le ji^teqc^a i|vi- 'dèmment ‘côiümses, mais ^e^nÿus teUorià à'fectififfr. ! A Senlis, nous avons, dans un pre- • mier tirî^e, annoncé 748 voix pour MîEainte-BeUve et 746 pour M. 'Cfio- pinet. Ce dernier n’a obtenu quB <f76 voix. C’est l’interversion, du 7 et dà d . qui a constitué Terreur.. :■ k •: vi Dan^ la commune de,df<»»îoifes. uuus annoncions i6 5 -»ofonfs, c’est i44 qu’il faut lire. : . :. A Rosoy-en-Mtdtien ponsdoTr^ns •76 inscrits,'è’ési T^Cqù’lïfauflir®., ' A Véz, M. Clhopmét à obténù 3-d ‘ voix et ùon 33., . ^ > ’■^À 'dhMr^vîObj 8 ‘voix 'imi étéàdcùr- . déeSà'M. HalinbOurg au lien de,^/ ’ A''Fente^ne4bS'Corkûs,^ï-v6iài'okt 3 été’accordëes à M. Sainte-Bèuve, ntest .,43, qu’iiifautlire. . j!. ■- iisiiss-'J' ' .-.CeserremEi-on le. comprendra, ont j,^ç4^g^.ên-g(msoi%de l^«ed»r- ^b'us pfii?ififiaiéa.t.-les résuliafs exacts et complets. : i^caïërsj eecuperi . . 8(^81 c î t i a » ! '

Electeurs! Votez pour - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1910/bms_js_1910_05_01_MRC.pdf · I d’avis contraire. ZcM JtJboxmementa partent du l" oo da IS ebaqae mfOM» ... .Elle

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Sf" Année. — iV® Z9 , CINQ CENTIMES — ite Numéro — CINQ CENTIMES

a 13 fr.

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Paraissant le Jeudi et le Dimanche. JOURNALI DE SENLISRédacteur eu clicf f Loup SERTROZ.

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.A . B O XT I T E î M EJ U " T s ^ . ;■«’4. ^ rffc.- I Ou ^A u o m aux B o « « » du hnânai et dans'toiuBob dft 4 tiiM» Aatn* aep. | bureaux da poste. — L’abonnment est payable

t)a ........... '® 8 IP. I d’avance et continuede plein droit jusqu’à réeeptiffliSix mois................... 4 fr. 6 fr. I d’avis contraire.

ZcM JtJboxmementa p a r te n t du l " oo da I S ebaqae mfOM»

RITURATTX, R É D U C T IO N & Æ ÏM IN IS T R A T IO N

8 E I V I . I 8 — *1 , P la c e de l'H ôteW o-V ille , * i — S E N I . Ï S

Les manuscrits, tTisérés ou non, ne sont pas rendus.

A n n o n c esAnnonecs

F X S X X X>XC S

ou r ’accbptb pas n'iKsiKncii AU-uufpevs m 1 pkjjic . f * *Kts ’tOD^ re ç u e s â n i^ PLes anucnceSy réclames, et(b, -Concematat PaÜs' Id

aux bureaux du journal.

S c n i t i i î d e B a llo t t a g® d li S M ai.

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A l i x È L E C T E U f i S

d e l a 1^ Ô ir c o i i s c r ip t lb i i d e S e n l i s

Mes chers Compalrioles,Je suis profondément touché du magnifique témoi­

gnage de confiance et de sympathie que vous m’avez donné au scrutin de dimanche dernier. Je vous en remercie.

Par 4 . 3 0 0 v o i x vous m’avez fait l’hon­neur d’affirmer sur mon nom v o B c o n v i c - ■ f c io n s r é p i x l D l i c a i i i O B et votre fidélité aux grands principes de X -iU D O r iiO s d’i E l g a . - l i t , é et de F ' r a - f c e m i t . é qui sont la raison d’être de notre démocratie.

Cette manifestation m’attache à vous par un nou­veau lien, celui de la reconnaissance, et me fait un devoir impérieux de maintenir ma candidature au scrutin de ballottage.

Vous aviez à choisir entre deux partis politiques : l’un d’oppression, de gaspillage dans les Finances, de poudre aux yeux et de mirages décevants; l’autredie liberté, clé probité, de ré- fbrm.es sinoéres et prati- cpxes.

Le premier est en déroute dans deux circonscrip­tions voisines de la nôtre (Creil et Compiègûe), et vous l’avez mis en échec chez nous.

Le scrutin du 24 Avril manifeste un réveil de la conscience publique dans tout le Pays. •

Electeurs de la première circonscription de Senlis, vous compléterez votre victoire le 8 Mai : ne vous laissez pas ébranler par les calomnies et les manœu­vres déloyales de nos adversaires, et vous assurerez ainsi le triomphe définitif des idées qui vous sont chères et qui sont appelées à grouper autour d’elles, dans le présent et dans l’avenir, tous lès bons Fran­çais, tous les Citoyens libres, conscients de leur droit et dé leur devoir.

T ouis a u x u m é s !P a s d ’a b ^ te iïtio iisT

V iv e l a R é p u b l iq u e IA . S A l M t E - B E U V E ,

Candidat Indépendant, Républicain.

l i ’G E u v r e d e s R a d i c a u x .

On nous dit que l’Àngleterre se trouvait dans une situation analogue à la nôtre.Voici û vérité : .

En .1882, la dette d’Etat anglaise s’élevait à 10 milliards 1 4 3 millions.Enl909 (chiffre officiel), elle ne s’élève plus qu’à 17 milliards 7*1 millions..Elle a donc diminué de un milliard 4 * 3 millions et l’Angleterre a fait face, il y a

quelques années, à la guerre coûteuse du TransWaal, soit 5 milliards 4 7 * millions.En-Eraàice, notre dette d’Etàt, en 1882, était Je 9 3 müliàrds 8 8 4 millions.Elle es ai^u.i;d’hui de 3 * milliards 94dt millions. C’est une.augmentation de

^m âl& ràs M millions.Ce n’iWt pas tout. ■'>

, Notre dette viagère qui s’élevait à.5 milliards 6 * mtîKom, s’élève aujourd’hui à l-0->itfKi<mfo'155 miffions.

A cette somme il convient d’ajouter celle de 1 milliard 7 7 ^ miltons pour;insuf* flSattéelïe’préyisidn sur le rachat de rOuest.

it^apïtnlôns ; Pendant q.ûerAflgleterre diminuait sa detteede ■«» milliard 4 ^ 3 fhtttiÔTÜ^pijiii. la, gue^e )dp Traos.waal àe S milliards 4 7 * militons, nous aug- meWionVia'nôtre de 16 8 7 8 miWid^. oi;

- , , saa.slsti»& & '‘ à»> .i V l A l i l i a r d s T '.SX j o a i l l i o n s.-'V 1 ‘ • I -•/ ......r- r.}. , f-.ri. .. ...

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M. SAINTE-BEUVE, canilliripiUealo, partisan des i e r t | J

pb?tnalf,v d’ailleurs, aucun des grands problèmes sociaux à l’étude en ce moment. > •

t e second, candidai,. IB. S à lü i l ^ est tm e ÿ iM a

’ndîf vos besoins, n éstiïbrè, indièplm- dant et restera totyours en edntact avec vous pour la défense de vos intérêts. H a Vexpèrtenêedèsiiffaires, et connaît, les questions;-qpi vous intéressent. Son talent oratoire lui pennettra d’intervenir à la- tribtme de Chambre chaque fois que l’occasion se présentera.

Résumons :D’im cbiéwBpolitiqued’oppression,

de désordres, de gaspillages, soutenue par un homme qui n'a rendu et, ne rendra aucun service.

De l’aütre, une politique «effcjwewf républicaine, d’ordre, de justice et de liberté, défendueÿor M. Sainte-Beuve, indépendant, républicain, mettant, à votre disposition un talent, un dévoue­ment sur lesquels vous pouvez compter et dont l’unique ambitibn est de se rendre utile à tous ses concitoyens.

M. Sainte-Beuve est vêritablèmiènt indêpendant.Gestœ qui liii permettra, sans subir aucune influence, de se li­vrer avec toute son énetÿiè et son talent à la défense des iptérête^éné- raux.du pays. ' “

Vers ta Victoire !Tous |âux Urnes;;! Pas [|d’Àb^tentions !

Efci’Augtete.rre a une flotte formidable-—vet pous n’avons qiiasi.nen.Eflortiqne DOuê'ànrons’dépeiSè'ebcbré 1.4Ô é mifiions.réolainéé parlé IffiuStre

■‘' ' “■**16, notre m ^ n e’îè-séi^lénoote que bien-uÿérieuré,A.la flPUe allemàndéf ^jM|it\‘gvi|cl’Ajfoiïm^,’a ^ suK^.,pÔi^ 4-propos .du Maroc

pondre, m’obus, ni canons dans nos flirts de l’Est.

Dès l’ouverture de la campagne électorale, on a constaté moins d’en­train , dlénergi!e et de vigueur chez les combattants que dans les luttes précé­dentes.

On n’a pas fait appel, comme ja­dis, au ï discussions irritantes de per­sonnalités, àlahaine, à la violence ; et à part quelques exceptions, l’ensemble du territoire a donné cette impression que les partis politiques, en présenice, entendaient avant tout, défendre des idées, des principes et non pasfouillpr la vie privée des gens et les traiper dans la boue. Ces mœurs déplorables, indignés de citoyens qui se respectent tendent à disparaître, ce n’est pas trop tôt.

Le suffrage universel s’est prononcé pour l’apaisement des esprits.

Les candidats ont eu, en général, la notion assez exacte de la mentalité des électeurs que les violences de lan­gage et là pression.officielle écœurent de plus en plus. Il est bon d’ajouter du reste que ces procédés incpalî- fiables, qui déshonorent l’écrivain ou l’orateur, n’.ont été employés que par les radicaux, lesquels d’ailleurs dût perdu beaucoup de terrain.

■** *

Dans l’Oise, les républicains modé­rés ont remporté au premier tour, de«x victoires,.à Creüet à Compiègne et, dans ces circonscriptions, nos amis politiques ont répondu aux attaques ineptes, virulentes, haineuses par un langage empreint de logique et die n ^ dération, ne S’occupant que des (Ques­tions de principes. ) ■. * t , j(..(Les électeurs faisant preuve dé tÎÀ smis ont approuvé cette tacti(iue;;et leur ont donné gain (le. cause. ;y. Dans, la'première circonscription 4e '

Senlis i les radicaux n’ont pas renoncé à leurs procédés habituels : C^lwnuiés,, mœns.énges,'grossières erreurs, tout a été inis en œuvré pour tromper la -vigi­lance de l’électeur et surprendre sa bonne foi. : ;

Nos advessaires' ont ’en-'riteours à toatt!S‘; ^ r t é 5 ,'dè^Siûdeaf 'f»our ariaétiér aux' citoi^nsr im bulletin en faveur du D'Chopinet, le seul défen­

seur de cette politi(îue gMt a augmenté nos dépenses et nos impôts dans ces conditions effroyables, qui a permis k notre budget de dépasser 4 milliards sans nous donner la sécurité au point de vue de la défense nationale, sans améliorer notre commerce et notre industrie!

Deux sénateurs de l’Oise enx-mémeS MM. Dupont et Noël, jugeant la pres­sion officielle.insuffisante j ont usé de leurs influences, de leur prestige, d’acr cord avec la Fédération Radicale, pour faire incfliner la balance du côté du Bloc. 1

Toute pette .mise .eh scène leur a procuré, deux é(diecsv frois ballottages et une seule victoirei' celle dü 'troÿ fameux Bouffandeau, auquel les fiches ont accordé une triste iCéléhrité dont lé département n’a pas lieu d’être fier !

La situation, chez nous, est déjà excellente. Les résultats connus sont pour nous une indication précieuse. Nous laisserons nos adversaires ergOr ter sur les chiffres ; ils ont recueilli amplement le maximum des voix qui pouvaient leur appartenir; ils eapert dront beaucoup au second tour dp scrutin parce que le mouvement dans la France va en s’accentuant contre Ig poÜtiquedesQ. M., des profiteurs, des politiciens de mauvais aloi (jui font; passer leurs ambitions, leurs intérêts personnels, avant les principes démo- crati(pies, avant la cause du pays, c’est- à-dire avant l’intérêt général.

Le triste bilan de la législature (pii vient d’expirer a mis,4n plomb dans i4ilé du parti radical. Ce dernier est en déroute. Bon nombre de ses adeptes 4ût tendu la làain aux-progressistes 'ou aux sociahstes unifiés.

Chez nous, le scrutin de dimanche dernier, nous sommes-heUreux de' le constater, indique nettement l’orien­tation des électeurs-uc/’s unepolitique républicaine d’ordre, d’économies et d’apaisement, ; o.

Electeurs ! . .1 ^voiisWtes.enjgrésen^ ,(ie ;deux poli­tiques : "y, ■ .

Celle du Sfoc répréseniêe par M..le D* CAopmef; et là politiçpe rèpMbltt

cainie, libérale et tolérante, d&fendue par M. Sainte-Beuve.

En infligeant «w dcAec à M. Chopinet vous ayez condamné la politi(ïue du Bloc.

Electeurs..! ,vous n e ‘VOUS 'déjùgèrez 'pas et, le 8 mai prochain, en votant pour

M. SAinie-Beuve^vous affirmerez la sincérité de'vos con-victions, votre attachemen^ aux principes de liberté et.de justice, vous rendrez un verdict (pii sera le triomphe de notre candidat ët la confirmation de votre première sentence.

De ces deiix politiques qui .s’offrent à vous, voyez les nombreux inconvé­nients de celle du Bloc qui adwzsdles Républicains,/’oMssd : les rouages de notre système électoral, .qowîirowîs nos institutions, üiôZd. les . libertés pu-

rbliques .et privées! et -gas^lé- nos fi­nances-. Examinez,>tétudieji le pro­gramme .de M. Saifitë^Beuve, "candidat indépendant, répùb l^in ,' âoiei les .réformes économiqueset sociales sont à même de mettre un te'rme aux abUs, aux scandales de'! toute- 'naturé, en­gendrés par la politique des sectaires du Bloc.

N’insistons pas, mais laissez-nous vous dire deux mots des candidats eux-mêmes.

: Le premier, Jlf. Çhopinet vous d re­présenté 'pendant 8 ans. Qu’a-t-il fait? Rien. ü-• Ses 'cotésy -qüelSiQnèfôis contradic­toires, squyeitt, l^p ré in ts ' de l’irico- Adrewce (pii règno dans son parti, ont toujours été né fastes..iSL-e^.a.ppconyé non seulement rèà '-K>fs' lïacassières,

‘inapplicables, iniques, .mais encore ^celles "guij.fwf’j è d f f . ( i ^ s , dépenses ''êàcaigèMKèüinj

A^aM vas ià t^ é te ü à fait‘passer peu* du Comité.‘exécutif radical -dont il estle servitëùr. n 's’eàt^voté l ’aug- liientution; de,V4f# .^r'traftément deÔ^OfiQ'-fîâacs-anntids,-?'*«ri»- c o n s a lt ie r ': il estfàdvèrSaiflé’de’la

• RWrétentatiôîï -;m pdf|onnéll '^^éèpîbœ'd’a^Mrfr à 'là 'C bàihbté ,congaugéuté dg.vyidsw ddit .exister'

^ ^ .^ |r l é s c h é ts ,4 é - s « i ‘^ést incapable de prendre la'parolepouir défendfs un ÿrèjfet de‘ loi et ne

Électeurs !Dans ces conditions,-en toute cons-

ciencis, il n’y: « pes'de doutêfpossible, vous^voteres le 8 iftai procM inpour

M. SainterBeiiye.,Et smyant ainsi.l’exemple que vous

a donné déjà un grand nonibre d’élec­teurs dimanche dernieii .vous-, muez bien rempÙ votre devoir de citoyens et de républicains en votant pour r,

M. Sainte-BéiHreVive la France f Vive la Répvbliqué !A u x u r n e s ! P a s d’a b s të n t io n i

Loup BERTROZ. ‘

I tE C T I V T C A f i r iO l l iA

Nous avons pubfië, d ^ s ' nôtfe^jler- nier numéro^’le r é s n l t î i t des élections lé^slafives dans la pre­mière circonscription de Senlis. ' ■, 'L%eUreàlàqUrilefil:hoüs a été per-.. mis de dresser ce tabléauvd’u îw ^ ies chiffes officiels.delmousrpréfeeture, ne nous a pas permis, ;att qioment . du tirage^.,de rçlpver. certaines inexaeti- ’tudés mâtéîiélles qqe le ji^teqc^a i|vi- 'dèmment ‘côiümses, mais ^e^nÿus teUorià à'fectififfr.

! A Senlis, nous avons, dans un pre- • mier tirî^e, annoncé 748 voix pour MîEainte-BeUve et 746 pour M. 'Cfio- pinet. Ce dernier n’a obtenu quB <f76 voix. C’est l’interversion, du 7 et dà d

. qui a constitué Terreur.. : ■ k •: viDan^ la commune de,df<»»îoifes. uuus

annoncions i6 5 -»ofonfs, c’est i4 4 qu’il faut lire. : . :.

A Rosoy-en-Mtdtien ponsdoTr^ns•76 inscrits,'è’é s iT^Cqù’lïfauflir®.,■ ' A Véz, M. Clhopmét à obténù 3-d ‘ voix et ùon 33., . ^> ’■ ^À 'dhMr^vîObj 8 ‘voix 'imi étéàdcùr- . déeSà'M. HalinbOurg au lien de,^/ ’

’ A''Fente^ne4bS'Corkûs,^ï-v6iài'okt 3 été’accordëes à M. Sainte-Bèuve, ntest .,43, qu’iiifautlire. . j!. ■- iisiiss-'J' ' .-.CeserremEi-on le. comprendra, ont

j,^ç4^g^.ên-g(m soi% de l^ « e d » r - ^b'us pfii?ififiaiéa.t.-les

résuliafs exacts et complets. :

i^ c a ïë rs j

eecuperi . . 8(^81 c ît ia » ! '

Page 2: Electeurs! Votez pour - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1910/bms_js_1910_05_01_MRC.pdf · I d’avis contraire. ZcM JtJboxmementa partent du l" oo da IS ebaqae mfOM» ... .Elle

Le €DÜSSiEtl

flî-

% E S V 0 T E 9de IW. CHOPlilET

Sf. Chopinet a vaté :Contre ramnistie pour les postiers (amendement

Buisson-Messimy) (contre 326, pour 164).Pour la réintégration de Dreyfus et Picquart,

1 4 j u i l l e t î ^ 0 6 . “

Pour ldi translation au Panthéon des restes de Zola, 14 juillet (pQHP 278, coufre 188).

l E i . O O OV' décembre 1906 (pour 290, contre 218).

!F * o \ix » 1 © x i fL Q lia t , c i e l ’O u e s t » ,8 décembre 1906 (pour 364, contre 187).

!F * o u .r* l e d i v o r ' c e o l D l i g ’a t . o i r e2S janvier 1907 (pour 366, contre 174).

M. Gayruud demandait le %i mars 19(|7, que IpL l i lD e x ' - t i é d e c o n s o i e r L c e s o i t , z * e S 2 3 e o t » ô e dans les hôpitaux de la marine, 3 M C . O l i e p l n e t . a V < b t , é c e n € r ‘è .

Le 4 tnars 49fO, M. Chopinet, docteur, a voté COlStRÉ l ’a r r x j ^ i^ L d e x x x e a t , I _ * e r » o y - B e a i x l i e u , d e i ^ a u d a i a t , l e s x i o T a l a d e s q pt^ i h > ë » x x é | | .o i f S ^ t . d e | ^ ^ s s î s | t a p a p e g r ^ t u l t / b ,

plxar-d e i e i 3 . x * u a ^ è d é c i x i e ''j' i k -r»-- ■ •

Aq repas succulent, font feotih'éü’r lés Âti champa n-e-, M. Maloigne,

présideni, excuse, tes absences de MM. La- ÿ^ue, scu.--pr(5ret de Seniis; et de M. Dafcagïrt, maire de Creil; îl remercie M. le Maire de Clermont de sa 'présence> einsi que MM. Genest et DekonQiocq. tl prononce des paroles aimables pour les d ^ e s ^ pour ses collègues, le vice-pré-

??• le trésorier Chéreau, etrléchelle, secrétaire, ainsi que pour les membres du syndicat. Il est applaudi après avoir bu à la santé de tous,

D autres discours sont prononcés par M. Moreau, maire de Clermont, M.Mauiuv et M. Genest.

Les toasts étant épuisés, la soirée se termine Comme toujours en .pareille constance par de joyeuses •(mànsons, éï l’OB se quitte, vers tninnit-y en ^ promets, tant de recommencer.

L’excellent maire deSenl»,-M. de Waru, qui était absent depuis une quinzaine de jours, avait adrèssé une fort aimable lettre a M. Gabanelle, de Seniis, pour le prier de l’excuser.

M. Chopinet

l # .z x i . é i l a . d L e 8 ! - 4 »

a voté p o n t » r * e l’amendement (Qpjitant (^pnagpdapt 4’?u ^ en ter l’ordinaire des trou­pes (31 décembre 1908] — à noter que 1 . 0 1 députés ^èqlèqiept qpt voté contre cette mesure bumanitaire et démocratique.

Il a également voté Oiqt3p.t.jR© P^^p|$iie pfopp- ^ e paf '^ y .^pgieliég pqur les ouvrïe^’de Draveil et Villeneuve-Saïoî-Gèorgés (24 déceqibrp 1908).

M. Sireyjol, d ipu ^ de la Dordogne, deman­dait, le Ml (^itoMft.1908, c ï i ^ ’o n , © 3 5 © ï » i ^ e

I iE?ViJ1piVr^t.©Tjir*s exidujtatÿ <*ux-aiemes.i a c x o < ^ v i e , a S ^ s t e i x - t T . '

Ip 1 jmn 190S|, M. Chopine^votait l ’o a ^ c l i ? ©

r i à i s é d é n i a e t^ o T u W re ^

c o n -o i x r X _i© M é -

rê lfa îïë^ o E F W effipîôpseff duWre^ dérçirejinns de Inr, ondee du ioujf qui fut

Madiiiinilfaiitaiiinet.Bans son aiseours-çrogcaBUBe prO-

l e l ' I d.Qu)piiiâE ' promettait de s’intéresser- tout partienBèi«meBt aa-sorfr * petits soldats ç. ;, !

jôléjçeŒ jtir»© T tS O T . a la snîte' de 'lâ'^disciissicm d u b g ^ d p la .O il« T e^ Jk fc O otjL

pppr- Mife. JttW W T ^ e de m ki r o s ■ . ri' ■ < • ■ ^

G^aïaendeaietttfutaeceptépaîr 41C •Mil eôntre iM.'’ '•■ -»'»>-' ? -y’ n f

'M(.‘ K ^ o p i s e t a <viôt4 - o c m ip é i 'ï ffffifflirdès 1(51 ■

Héuüioü du

îD „-jîT-’Tr~?tSflî _ _m i, « q u a r t4P 3H f. «lÛ--e.ï|Ÿ4 4

4t e l â

t i f i& B h y té iE L t -tIp t 'Des députéS’flér-Cise, seul M. Gailj-

lafdC=eofàp«èr%SîSiSêl£(fêy&îtJ | ♦ *

3 = * o u rq u o i]V t .

a-,iiJ:BoS«beripT y s^ t, reaâbtéuren cher

df l’a ^ouchifîé de PaHi

Di atfiii

8u Jowmi^ de la ’ bifchéfîè de PqHà, M'. BekàBnibcqV dfiéftër Avâiént prij placé au bareau:: It:!milôigae, p«Si®at,

Pélégp^a (îgaest-et IWoaniabqj La seai)|æ.j(^aavecttià4 keofos aprèi

lecture AS prôcS-y|r]bâiix antérieurs et eompte ' r e i ^ des txjmptes 'aèoeptés 1 t-BWi»iiidt6;’'te6<aftiîîès« Fordré 'où’jouf sosa lisQatSs.I«s'pbiifDiTSsont benoniætét

inéçaPfflB ' ‘ipfini’ isSASacé .'mufuellel

CPiéai'tSéawiJy t l % r ^ ' b'6o|■’“•'■ leB ttosftét qnirbSaver'aussitâi

_ ■et fffldoCa®nte£^ffi fént'’j3nééàrifSreiiCe'- alktwfs 'puBlrcs' priîÿanœ e.efi i’ ; i ' ; l ‘9aî r ■ f'KÔrn ' I

IL^SMe,-«R eefjpiûeoocéfae la cor-

H S > ' h i X 4 S , S Æ Sau sujet des abattoirs. Le

Le Meurtre de Pont.époux Lebon, tenanciers d’tîn petit

débit, se trouvaient, vers onze heures et demie, dans la salle de rétablissement, en compagnie de Mme veuve Legraod, née Augustine Legrand, âgée de trente-neuf ans, soeur de Mme Lebon, qui était arri- yée depuis dix jours pour donner des soins I sa tille, une jeune utie de dix-huit ans, gravement malade.

Tout à coup, un individu qu’on ne re­connut pas au premier abord, pénétra dans le débit. G était le nommé uordier, menuisieiyébéniste, âgé de quarante et un ans, demeurant à Rantigny, près dû Clermont, danà l’Oise.

Le nouveau venu, amant de la veuve Legrand, avai été abandonné parcelle-ci. U avait conçu contre son ancienne amie

PJgfggd ressentiment et avait tâché de latttfôjiTer, gonr se venger d’élle. Pour ne êt^e reconnut, Cordier s’était affu­blé d’une grande blouse blanche et s’était M râsèr JLâ moustache.

A J)|ihe avait-il dépassé 1© seuil d© la porte qw 1© misérable se précipita, un re- vplyer à la mmn, sur son ancienne amie

> £®P?ïses. Atteinte légèKe-frÇ j^les à l’épaule droite

cote gautifii; la vfeuye Legrand sè- précipita dans l’escalier pour gagner le prgmer étage, mais le meurtrier la pour-

- Lebon s’élança sur Cordier. Il le sai- sit a la gorge et réussit à le terrasser. Mais le menuisier parvint à faire usage de son arme et tira deux~.coups de revolver- sur M. Lebon, qui fut assee grièvement bles^ au cou et â l’épaule droite.* ** ? essajra àeon tour de mat-

le forcené, mais elle essuya un Aù- coup de feu ; la balle elflenra seule­

ment son visage et alla se loger dans le plafond. "

ypyant que le iBèürtrier allait faire de n^b reus., ,'^ctimes, la pKppriétaire du , débit empara d’une carafe qui sé trou- vaif 4 sa- pprtA et, se jetant sUf Cordier, 453 lui eu asséna un coup sur la' iete. L®nMe tomba a terre, inanimé.

La geudarteerie de Pont.Saiute-Maxen-

* .j “ — giH mettent sa-y*i6iidanger. .............Quant aux autres victimes de ce drame,

leurétat est aussi satisfaisant que possible.Cordier avait certainement prémédité

son crime ; il avait acheté son revolver la veille, à ^ e il. Ahx memières guéstions que M. Baalgi, juged^structTônf-à Seniis, lui posa le menuisier répondit qu’il- avait voulu sq venger parce gué la véové Iæ- grand ne vodî^t’ ô ^ ftereifflre'Ia iâe commune.. ■ “ ' ' . ~

remieC;

remboursant plus aux in té ^ ^ r |p s■ ila du défai réfmes en trop perçues au de'

duit de 6 mois. ,Le deuxième est lApréti

■Iafeiïÿ5‘iK«æ63ô«r ■ilégis:es’Pré-f

de 5 kil. plus étendu que l’aDCÎSiif.ce:

gÿ. crédit de ipQ ftancs à l’eoffet c r^ ç m gW -ges» .gsfc -<éîBe$>i8«»snps’«mll8^ élAA tEfflS'AQbBidsilén. liebbrs de cenvocàtiôn ou a p p ^ i^''«dn(' -cei

3dtHE6i'Mï(iMi»lfe''tàéé

dûeteu^t^^S^a 'Ù àr b ^ S 'c ^ é f i - , ^ Uriàncîendü54’i

ne. . II esl, fà^jusebél gieàAntatii

rineetinjastis.efus?.ategsn|te 1 itags.de Funiee syndi-

ionrréSls® Ani_ è^Dfreiâ-isas.conliw^

riePraiïçaisôJ w

<s^rél9Q 8).Dé--

ICILL

rita&o«our de - ta table<dê BëtifiiAA fOO, couverts, magniflqaensepi’iSsafectadsita gr^dç!

lCtei#oSif!iffiv8#(Sî|f^éfeû^{«èfae l(9wi| p^ .^âiiesil pbml^SüwofeKoe

Sqlqt-Rjeql,La plôtyre dp notre foirp annuelle a lieu

demain dimanche, mais nous espérons què -plosiéSrs établissements'noiis festerônl quelque teiBf« éôcepe, aibsi'^ue cela a Ken chaque :an.née.

Le succès du Ciné Mondain Mouifgpÿ " 5 PB s.eul taur pendant la-seniaine qui vient qe secouièr. '

Voilà le programme' des âeûx dernières soii^s et de la malinée de Ainain :

Samedi : Pauyregosse, Wm d’artdè Kèreiil; en 50 rableaiix. — fa IroevÀle d’uo vieu t gSccoii. ' BallncinàpoD d*imÿné. Lô petit Anmie. « a jbSBS aiabseaee."— Les coi cottes en papier. — Cœur de femme. d'imilaiion. — Le rapt, etc." SSbmSéëhe Brtué'rix jeune homme. — La

.wftrJfeadœ d‘Are;‘ea'60qa6ltaùiG^réroel ^ ~ ?î?îB^ » “ »<. eu 45 taWeàox ;

B©sa o âne. — Hêv© d© JBofliDassfiEui, ~ LeK>^Vib|oBiste,i^ WfW SW W. jSon voisin, Iq Yiogrqphe Péçhaqrtl

mérite égaleinent oA'visrtë'; çà Bxïlè' sa Bétteté, ses scènes choisies éh font uii spect^te de famille, très istéressabt.

Çans, la' inèflie allée centrale nous pou-: yons signaler, ' outre \f>"Th£qpre M:qiky. •i—ûnéMélèijneco'n^^n A qu'on revoit lonjffiBrsi avecÈ 'ptaSsiP, ~ fer Ydldis" des f/ouçefers, g r s ^ confiserie'A M; MortH Sfly£,,j®S;r?àHteeç A chevaus A ’beis, de

..d aÀopiaRçL ta .çooliserie Balansac, rAigfe vivant', lè Mé.tfgpplitàin (KstrifiatAr, M saife dé rafraîcfiissetpèiits ltaM^îtarffenà»îd,,im-Bo»veaüi feu- d’a-

, ta^.,pasant, ; Attrac-IW»- yjentqmipçlaprei^ièr^ fois'à la

É%lMé latéralé” ésT celle des tirs, des jpnxï ;d6 ^ ssA ie s :''Bou3-ÿrecbn- naissonaJea Rogfi'aeSfes'.BdBre iHerëtè,

>»tote-ÿ WiWiactAp^t 9ù to x

enarmmifesi demoiselles i tous invittaii: aémàMt^nt â «Sire liB petiffertbn' iiîetc. ) i^ ; ls i« .« £ t ta pàAserierBblMhraâlW, - 8ù

Cbrl A^ôâféf' Bn résumé il ne manque à notre Saiot- BjjqJ-quii ta ba«R tenm i nAs lé soéhai- |ppdp,t(p;cq9(ÿap^gfffflns. -

F Ê X B’ • I DE lA

Bigahenrenee d’Aire.Bim'ànàie 8 Mai iSiO.

A 7 heures, Messe de Communion.A Ifi heures, Allocntloii de Mur Gàillsrd,

Vicaire QinMI.- Benédicttah de ta statue de

Jeanne d’Arc, oflépte par les J'Ânes filles dé te Ville.

I Grand Hesse, chantée en mu- ! sique.

AÆ heures. Vêpres Solennelles, Can.tate à la Biénheuieuae (400 voix avecaccompagne-

• menfde fanfare), la Société; Musicale de Seniis, prêtera

s.qp, concours à te’fâte. Panégyrique de la Bienheu-

I reuse par M. l’abbé Cor-donnier, missionnaire apos­tolique. ■ - ^ r -

FrocèAion, en rhonneur de Jeanne d’Arc.

Saint en musique, et Hymne final à Jeanne d’Arc, avec accompagnement par la fanfare.

cette priées prêtre, afin que réservées.

des places leur soient

An V elndrotue.La réunion organisée par le Sport

vélocipédique senlisieil a été, au milieu du succès, interrsmpue par la malen­contreuse pluie, et a forcé à remeti.fG au 22 mai une partie des épreuves. Voici quels ont été les résultats de la journée :

VitesA (S.V.S.), I'« série : 1 Delve, 2 Tarcy. Non placés ; de Noreuil, Gode- froy. ^ 2» série t 1 Baron, 2 Pécheux. Non placés t Biéry, Louyot.. Grand Prix de Printemps (4* année), interclubs amateurs : l™ série : 1 Huan, 2 Curin ; 2* série : 1 Bey, 2 Dupoux ; 3* série : 1 Casanova, 2 Hoffbourg ; 4* sé­rie : 1 Van de MeulebrCke, 2 Baron ; 5» série : i Poulain, 2 Delye ; 6” série : 1 001001, '2 Briel. — Repêchage : 1 Du- poUx, 2 Hoifbourg. — I” demi-finale : 1 Bey, 2 Delbor. — 2” demi-Aale : 1 Poii- lain, 2 Van de Meulebroke.

finale ; 1 BEY, 2 Poulain A 1/4 de roue, 3 Delbor) a Van dq "Ifeulebfbke. ArrivA;trfs disputée, tés 200: ta êtres en 12 s. 3/8.

Le match A foot-ball entre le Club Sportif Senlisien et le Saxby’s Athlétic n a pas présenté un grand intérêt, tou­jours par suite dû mauvais temps ; Une mi-temps fut jouée seulement pendant tefuelle le d S. S. marqua 3 buts, ma® un autre match serait nécessaire pour établir la valeur des deux équipes.. |aa pluie s’est mise alors à tomber sans

diSAhtinuÀi Le restant des épreuves à sis l’envoyé au 22 mai. Pour compléter un; programme déjà intéressant, le S.V.S. à ajouté :

1. Vitesse (interclubs).2, Une course de consolation par. éli- ttinattans. ... t.:--Plusieurs prix, entre autres une bicy-

clettAr'tfne paire de roués -dépisté, des pbjefe d’àrts, récompenseront les fntbrs 'èoncurrents.

On peut, dès à présent, s’engager pour iesconrses à pied (lA m. et t . ^ ni,), ch|z il.' Sallot et chez M. JaAni. Les

AgCdients seront Ptas rrrévncaljlemènl le fs mai. • '

Nous aurons l’occasiqa Arppa|lerdes courses '&&mai et d’eh âonnpHè pio^ gramine exact. ’ ’ ’ ' '

'Aë i aDemain dimanche, à une heure précise,

dans ta grande salle de ïa mr'airie, couron-f rm e ^ d e laYota^rb, séted le cérémouiaj

3 'M. Brieu, eapitaînè-trésorier au 13“ ré-

aiment de hussards, passe capitaine eq deuxième au régiment. En instance de re* traite. . ,v . ' '

S ocié té d e selçqnnps luu tne lsd e Sy-dFtaifaçotsi^Xavifep,

Demain dimanche 1" mai, à 8 h,euresdu soir, aura lieu, salle Sainl-RieuL^^tëül àion niBBsAtle A ta SdoiSé À sScours giutiœte A S^i-Eràtitois^Xàyier.

d #En Ascendant dtane AAlIe posée suc

up échafauc(age rente de, Conaptagiiq, mi Ouvrier maçon au service de Æ îarcE,’dij nôm doTtaiSy lûéoh, perdit reqiîltiBre ej tfamhà dtane haufeûp A Bëhètres.

Relevé anssitét, il fut cènAit par les Sfiins de son patron à l’béipilal A l'oii

qu’il q,ya^,tagepguca§^, ' ;

P ou lets é g a ré s .n a té perdu hiqr soir Aux tannes pou­

lets « ofpinKondbré' ») Pi®ç A lëarar-* porter àm .A "D''’Àdèr, piacè Làvafàn® contre récompensé. ' "

Ctaieu perdu-. Un chien de Berger, A couleur gris,

ft.ieüqu ta ïP -ée , tro u v é a Ermeno&'vHlef tlu Mlh^sims^Dom avec clous. Le-réciam.er' âü^ço.npi^riat d .poliçe. '

, — '--fr- . f .È t n f C iv il d e

Rappelons que demain dimamdié à trois heures, a lieu , . —L’asceasiôn du Batton

- ' 9 ’ "‘'m ohléî)âfâ.*cârtoni'^’;onflemenl : Idc/i^r^ Ipl- V''3é^^suretP- ^miesnùM,

Pendant i© jhM.

: Le^oirr bpJQâotes illuminations.

pa 23 au 29 &Vi*iT. Naissance.

26. Blanche - Georgelte Lelèvre,, Arènes.

Décès. .23., 3f, Lébû-Jùfés affàche conir

- &2s;"p«ce:î«otffit6îgi'e.'

rue des

3625. JS- J-’ÿ - ÿoffiaDd, mânoirvrier, 65 ans, rue

f ausy *ue dü'éi®aiM8”a.ffiffli.^‘ifqûifij tonueUer, 39

33- IC. JosiJ ï.- Al., nnAi

à Seniis.34- Jf- Low«-:Anjonx,

Mariage. ' îppolïte BooAfort, peiutré à

l-y iW'Satoti îdi'Arta ■

SèitIfS, Mmemaçon à

25. M.Alp»ta>e-EùmtîfiaiJgSf»i)8Itaület,aiâ- qj9»Ber E IfiwrWttaffiilLéo-

, A -. ■r- i .f23. M, Louiâ-IïènrIFevTë, maréct®! des

» 1 . >' ’ M (É (n e rsd l^ B tfs s ^ s 'ï^ î^ ,8 liK Mt^eBerite-AmiaiaaiaêMtdNI't:

MIAbU. «naartiftêsloif 8 SéiffibJestioe

^ ^ ic B i a i d e o u v e rte »Demain dimanche, M. Bardou, rue de

l’Apport-^-Pain

M adam e aAfLLÀlF) 12, fiabe A la Halle, à% nlii, hrevii^ sa hotab^itaé tili6D tètaM ^«hn ta% M ^.lio% 4e chapeaux^l^ te saison ow ,'A des ÿrïx trA modérés.

f. rr/ rr. p-MAISON CH. TOUPET

L. £ âV B l]^ t, successeur

VÊTEMENTS ^DE

fTêîBM IÔ lîim ttûiûRDE TOUS MODÈLES

Chronique Sportive.La J. C. à Ons-en-Bray.

Onze jeunes athlètes de la Jeunesse de Crépy sont partis ce matin pour Ons-en- Bray (Oise) où ont lieu les championnats de.l Oise, organisés par l’Ü. R. 0,

Nous leur souhaitons de nombreux et éclatants sucoèSi

La » clique 11 de la J. C. comprenant 7 tambours et 8 clairons, en uniformes, accompagne les athlètes. Elle prendra la tête du défilé qui se déroulera dans les rues d’Ons-en-Bray.

Le goût des sports : foot-ball, courses, athlétisme', §tp., se développant de plus 'en pins ptatni fis JeuAS 'gens de fq Jeunesse de Cripy, M". A. Cardin, A- recteur de l’association, vient de s’entenAe avec M. de Cornois, propriétaire, pour agrandir le terrain dç Mermont d'Ayirph 10.000 mètres carrés. Sur ce splendide terrain, deux matchs pourront être, taP A simultànéûient. ®n'e immeasé-piste ovateV en cenAée, va être ineepsammeiit ét|q)]jç et'pertaattra rofganisàtibn, dans deScon- ditions uniques, A courses pédestres ejt 4 bicfblèttés. ’ ' ' '

Jeunes gens, à l’entraînement !

FAITS LOCAUXA prem oat. — Inauguration du

champ de tir Se l’Union Âpremontoisé.Demain dimanche aura lieu l’inaUgura-

tion du nouveau stûnd de la Sqciété'de'lTr rUnion Âpremontoise, sous lé pâtrnnage A M.’le Sous-Préfet de’Sénlis.

Le programme de la journée est ainsi fixé ;

A deux heures, réception du Couseil municipal et des Sociétés locales et régio­nales.

À deux heures un quart, défilé.A trois heures, - vin d’honneur et tirs J

d’iii’auguration., |Le Conseil d’administration de la Société

a l'honneur d’informer les h|bUa,rits ifes communes voistaeS qu’il ÿ aura danger de se promener dans les parties de terrain comprises entre’les oriflammes rouges, ces derniers iAigueront la zoiie dangereuse À tir. ■ . . . .

B é tb lsy -S ai|^P te irte . — üncopf- pgtriote battu.— Notre compatriote M.

■-I^miairéi'ttépglé sortafii,'radical-Sbpgîigt6, àéfébattu daA l’Indre par M. Bluysen, progressiste, ancien rédacteur aux Dééafs.

.0 est probablement la R. P. qui apporté ■ la (KyéiÀ à dbtre cd&ipatriote. ' 'I — .Prqçès-ÇfT^..-^ Ln procès-yer^l I a été'drèssé' pur OT. Lamster Jean-Pie'rre, garde forestier et garde paçtispjier-4 résidence du Hazay, commune oeBfetliisÿ-- Saint-Pierre, contre Risbacg Laiare et Pi- cart Alphonse, qu’il ’â surpris lé ‘3 'avril dernier, au moment oiy iis eïnpottâeBf, dans une brouette, une'ceûtaiije d’éonalàs guiils avaient cep.As Ans tas Aié de

. M. ’Cléinent, propilefaire, détaeurant à P.ierçefopds, efconfiés;à sagarA.

Préjudice estimé trois francs.M éfhlsy-tSalat-Fîterria. — Oéu-

nions. — .Aujourd'hui dimanche, de dix heûres-à taiffi, éhi* M. BÜ'yilloÉi; au Gïfé A la tiare, réunion des menibre_s A ta Sïciété'itBpargnfe'ab Béfhisy.' ' ' ’

A deux heures, àT la Maine, réunion des membres de M bocièlé dasecouds 'mutuels des Sapeurs-Pompiers et Ouvriers.

— Éécratàgie. — Nous apprèn'ons le A,As dans sa 'SO' anuA A M-. Ytatqr Re- griaull, lafdiùiér,' j . . -

Ses obsèques seront oélébrAs demain lundi, à dix heures, en l’Eglise de Béthi^.

Nous adressons à sa veuve et à sa mille nos bien vives et sincères cenA- léances. Ty . ,

B lalncourt. — Une bombe carabi­née. — Mardi, Desoroteet teaxlffl#' Parmentier, tous troishharfdtiéré àansTa localité faisaient te noce députe plusieu.ra jours et causaient du scanAl.B suf W'Vôiè

CreH. — Esaeursmt vëlocipéd — M. Auguste GaBé, iesjtaipathique gué à Creii du ’Yourtag-Cilub, org pour le 8 mal prochi tei jour de l’i siéni Une excursion VélKnCdit}ub Cbii nadt te rorét d’Hàtette, fiturinj " déjeuner à Seniis, au Ôrtnd-d tiny, visite du CbwfM.%^èt,l de Commelle et de lâ'EêTne Diane tour à Creil,

— Un enièv^eat. --- S’étant aperçu nue son m ari était au hriénx àwcbabonne la jeune Suzanne Nubrock, âgée de 14 ansj dont îés parents habitent Montataire, Mme Lefèvre. fruitière, roe d» ta RépubUgne- s’empressa de mettre sa 'ffvàle î l a porte ; nBisiçelle-ciélant venue se replacer quel­ques jours apr|* daM. tas environs, chez Mme ^hlnquBi âü^aleau-lavcir l’Espé. rancef n’a pas tardé à renouer dea.taK^ tionê àŸëc son ancien gâtron, qvec qiii eUl vient de s'enfhfr. On croît les ammireui ifa a p fe a n rc n îii^ .' ^

Üne plainte a été déposée et une en­quête est ouverte.

— Avenir de Creil, société de gym­nastique, rfe tir et de préparation mili- Xaire. — La Société l’Avenir de Creil prendra part à la XXX'VI* fête fédérale qui aura lieu à Saint-Quentin les IS et 16 mai prochain.

Les membres honoraires qui désirent accompagner la Société et profitèf"d8S avantages de voyage, sont pries de donner leur adhésion au commandant Cazilr ou aux membres du Comité i-avant leiô mai, dernier délai.

La ville de Saint-Quentin organise de grandes fêtes pour les IS et 16 mai.

— Pickman. — Pickman, Te célèbre hypnbtiseur, annonce sa prochaine arri­vée à Creil où il doitdonqerau théâtre le jeudi S mai, jour dé l’A'scehsion, une sen­sationnelle représentaSoii.

— Retour d 'E luard VU. — Revenant A ^ rrH z , lerm ^am -â ’VHpte ^■B'dé'CreitmercrednnaM a l()h. 38. te service d’ordre était comme chaque fois assuré par la police locale et les bri- ^ p ÿ d e ^ e ii^ ^ é rie l|e 'Ié_^on.

— Communiqué. — Le Maire de Creil informe sés 'a d ^ te tr is xtac ta vtie des, -.-i.A. s n r r - .- . i . jjt 3»talés sûr iès cfiiéns p'onr f§10 est déposé à taperce^piy deGreil où üa pqpairt |nprendre connaissAce.

—: Une bonne nouvelle. — Ôn nous annonce pour le dimanche 13. maj,üuir de la Pentecôte, salle des fêtés' 'de rSbftl Benxelet, unç très intéres^te représen­tation en soirée de Connais-toi, èn trois actes, de M. Paul Hervieu, A l’AcadAife française, M. Marcel Paston qui organise Cette fête et qui à Ata remporté up i n ­time succès en février derhiér avec m Duel, veut se surpasser et B a engy gé toUf spécialement une 'védëtté pour rem­plir le rôle prïïiôrpal.

— Poivrot. — Une contrasventioi ivres A '"à été relèveè cbnirë' ICb'î Dedieux Victor, 31 a,ps, A Bruiltee, qui se troiivait jeudi soir place dé ta Gare dans l’impossibilité de continuer son che­min et qui a été conduit au violon poA y passer la nuit. . .

— Vol de'bois. — Deiaporte Victor, 29 ans, de Creil, a été i’bbjet d’une contra­vention pour avoir dérobé le 2 8 courant plusie’uts pièces de bois appartenant à un dé ses’voisins-'Etai 'civü de Creil du 13 au 39 avril 191V.

Naissances. - - 23 : Bnulle Pauletfe-Ga- 'briëlie ; ' 23 : ' AÎI'etëriet Robert-Emife ; ^ : Sciœnk Marius;4rniaDd ; 28 : Nadot Marcel.’ Publication M a r ia g e . — Entre ; H. :Jou-

ve AltredrCasimir, ajusteur, et Mlle Moün Au- ^U ie^êo^tte . coQtnriètafiûS^dëSOw- ciliés à Creil.

Mariage. — 23 ; M. Morel'GéùiïtafcÆijUafe, serçurier, et Mlle Philippe Maria, em ploie de çoiniaercie. teux AuX Àui.)6ifitb 4 A cf-

Décès. — 23 : Payot jmile-PhiUppe, em- ployé fie bureau, çelïbala''uK, dtnuiéile !ç îê>- gent-sur-Oîse, 25 ans'; 24 : Fournier Mathïtide- Marie-Trincofee, fennne Riaqc, kàus p w te - sioD, âgée de 60 ans '; 24 : Sùblemontîer Emé- Ue-BéatrJx, veuvé. Gçyênl, san> protassion, âgée de 80 ans. '

Cbfépy;:— Autour dune tanbe. r-Nous avons appris avec regret la ijqort de m; HartiÉf *rboucce, dûèiêfi ôoÂeiller municipal ‘de Crépj, ouvrier sellier, dont lelB'ôbÈé'gneè edi eu lî'é'u 'saWèdi ’mktin'à Bouillant.

A pftip’ûs de ce déoès, Vè 'cHb sans pn- Aur, verse une larme de procoditai ven,-' laht lés”Hrérftès âu’eS^eB âèrllArSfe,oubUant les outrages an’iT lui avait prodi­gués alb'rs (|ué r^demmeât êè feiVent # - eialiste .se présentait contre le«.mvm « Gfiobîn'ta;’ ani' elêcëoiÿ p'dJr le (maseil général. . . - -‘ Cfeltè'rouBIàrdise' déshbijnêïe, i é hoàs

surprend guère de la part q’.un oœîme éèBtuhiiérlj&’fcùt, suftout'en périoAéteC- torale, mais nous nous pennebta.uâ 4® penser que les travailleubs’ pCurifeSqtims

3rhaurce.s’est tant dépend, n’ t pA loliës, eux, et qu’ils le prôuvwoSt le 8du

publique. La gendarmerie de Chantilly, prévenue téléphoni'qùément, s’est rendue: sué les lieux et leè a'appléhendés àu mo­ment où ils donnaient une représentaüftu fffvftgheeTHBsTâ'rné.

Ils ont été conduit au violon, qt à leur sortie, gratlÊA tgus tfpis :(|uh proc|p verSaf. - ' ' "

couturière à Paris.

C hantilly. — Terrassier broyé par un train. Hier, à 6 hetires du matin, Cantàisf'Augustè-ilBldorè, âgé de'-'S8âliê; terrassier, demeurant à Chantilly et em­ployé deupuis uib mtaà à des't'ravaux' qA l’on-mtaentc dae» taaxwea -Agarage-A tegârè, venaft pcen Ae spn nervige gtpgpr.

Æ id F ^ n  e ta dhe'ue d un' fraftfdn pàr- tance Vèrè Pâhis. Il n’ènTAdif A I 11 'rou-, femMt d’ua aatrS'traIfl”TeflâOT'to'cwfh direction èfau même moment où ii s’en­gageait sur ia voie descendante, il fut

'WiSlX'ÆSSSptSiiBr4 son secours, mms lAmortavaiLétéins-

flto'éd.'DÏÎWfWCbiÇs sur ifie ®vîè^ et on le transpnrta à l’Hospice Condé.

dodiéhr GShaumei ’a' déclAé èa'H ■ ab fm çâ^A u i ’

fe, ia poitrine éi portait des plaies m'ultiples

Gantais laisse une veuve et'3 egtepA. ConrtenlI. — MiP tm'piüû'. -f:^6îss

apprenons que quelques hamtants4®.Ç9V “> teuil attribuent à un de'teûfd i(S<mSîfe)fe|; les deux lettres paaies dàns nos niâkeros du 21 et du 23 avril, et rptetanf .1^ exploits, cprome cqliaurs d '^ ç to , deM- Mu«É>Si- dé’f&'éfiméto ta’pT®tiTuinçe. '

NCA'’fi^Vhns pA A ifiôttcnm’ds dans GCUifelà, pA plus qpn ête«s SaiM-Iiéita' nard et ces lettres, .Æiêsüta'^mMrt'À* notre correspondant habituel, n'ont jaste- ment pas été envoyées A Courteuil !

— Société de St-PrazKois-Xavier. — Igie l ^ n '^ Su taireafqtrte Société de Secoufs-Mtrtuels A Saîht-François-Xavier aura lieu Amain lundi, à 2 heures de l'a­près-midi salle de l’Hôtel de Ville.

— Après le meurtre. — Les deux in­culpés dû mArtrè de Mermont ont été amenés hier matin à Crépy, à l’effet d’être coef-cotttès mæe ie^aAvce-A tear ‘ BlSÊb, à l’hospice.L’enquète a révélé que les deux ob iers Ijelges, Aan Veyrelles-et Gustave Kirefcb,'avsAnt (JisAté àlSêé viel^ment au sujet d’une clé que possédait leur com­patriote Verbucke, la victime., Veyrelleg. et Rirech qnt été, trMsféfés à SeriliS gf lUcarcérês ‘à'Ta mbispa d’arrêt sous i’incuipatioh dèmeAtfe; 'J. . f CAri ’if 'ëJyA - tTr>Êlr\Ze.Les Enfants dit Ÿatoù au Con­cours. — Koiis informons'if^siSirs'les tpemtiçea l»o,noTaireg A la Ea6taré,'que ■ • ’ \|-R} prmdre PArt «».<Cmiiêohrs deMusIfiue déRîllâiicouri, ta fë ifim pïBch|:ft..*‘

tlëHxd’entre eux qui désireraient ap®oœ-pagner les menSBreê’AtifiS'^ p bStèh réduction de SO 0/0 surtc p rç A' -vtmge .gnro^iniR A fw sont invités à se aire inscrire chet.^. Lqljgeqs, fi:AQri9r,«A des Foss|s-.

fP vpUmc - dernier, vers 3 heures M. Ferpand Ca4ot, aÿcmfèdte-yêrîfiCateuf sé 'rèhifeifâ r ghA, èW compagnie de M. ÎSèhôûY,priêtàbte, iaasuhd voifû#e‘A 'ta âé___Cqppeaux conduüe par le cocher Vergtes. •-4ktt-to’idiiant de Mermont, le cheval prit

.M 'ivépèttftet S%&itralfa. i près du 6A , àun ei^oit d^A tristement célèbre pour dne fdme'd’âçcraètjts A même genre, une TonC ’A tavèitùre éé oétacha, le véhiculefit renyetaé ef tes trois voyi^ncéYnrènt . ■

M . w Æ î m ' S Æ Æ SMCSéê poltHuë, et h

ten

huit a Alberj et IT épouÜUy,

te®

d e l

de cailloux, eut le visage ensanglanté. D'après, les nouvelles que nous avons

i'vvfeï-iTSÇû-j

Page 3: Electeurs! Votez pour - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1910/bms_js_1910_05_01_MRC.pdf · I d’avis contraire. ZcM JtJboxmementa partent du l" oo da IS ebaqae mfOM» ... .Elle

Kélocipédii

Ilub, org l u r de l’i pdiduë od urines, arrê t i nd-Gerf, Cbaa* rèt, dffi t tm g k

! Blanclte et r ^

.i étant aperçu t avec sabonne I figée de t.4 ans; lontataire , Mme | l a Républigae, vale à la porte ;I replacer quel-

lenvirons, chez V lav o ir l’Espé* lou er d e s .m â j In , avec qui eiie

les amoureu^t

Isée et une en-

Viété de g y m - m ra tio n m ili-

fen ir de Creil fête fédérale

|t in les 13 et 16

qui désirent profiter des

briés de donner J la n t Cazier ou |v a n t le 10 mai,

organise de ; 16 mai.

■an,’ le célèbre prochaine arri- I r au théâtre le psion, une sen-

f i . — Revenant i'U est p ^ . O n atm à’iO h. komme chaque pale et les b ri- l rpgion.

iM aire de Greil pie le r ^ e des 910 est déposé

f ils p e w so t #n

— On nous 113 m a lia u r dept 3s Ire rfiOrel

ante représen^ -lo i, en trois

■ de l'Académie |n qui organise ■porté un légi- fern ier aveo 'le [e t il a engagé le tte pourrem -

raventiqp pour gre le' b'nchenm

1 Bruilles, qui [ce dé la Gare in u e r son che- ( violon pour y

O'-te Victor, 29 d'une contrai» le 28 courant

bartenaht à un

29 arrit 1910. pie Eaulette-Ga-

Jeit-Emite ; 24 : l^adot Mqrcel.

. Entre : M. Jou­i t Mile Molia 4P*

OlE'cfér

deeotgefcSi’i

pe-Philippe, em- |, damieilé à; ninier Matliltide- B( , sans profçs- blemontier Èmé- |aap prolhssion,

ne tatniv. — re t la m ort de refi 'conseiller

er sellier, dont èdi 'm âtin à

Î cHb sans pu* fci ocodile, ven­i n éèriBoofJfe, lu i avait prodi- Ic è feiVent ^ t e le «. «üvin » pur le CTiSéil

Déïe, n e noins 4’qn o i s ^ e

I pènodéfleè- b e rm q ^ n s de

pouriesqtim s é, n 'w t pas iverom le 8

iis-Xavier, — "la Société de

rançois-Xavier I heures de l’a- I Ville.

Les deux In- nont ont été

| à l’effet d’être s h M r i t ia M ,

lé que les deux l e s e t Gostavef z TÎBleihmen tdait leur com-

i trM 5% ^s à paispn d’arrê t

oie a u Con- feSsiéiirs'les

I Falslané,'qne

_ u e n t^ c o g [ptSB ler TK do voyage és è se if ir e rég«nffir,«v

I te r m Mroand, Cadot, ndS ità f Bcbônx^ j B e 'f a r '^ber Verglas,

i cheval p rit dn 6 o ^ à

élébre pdor genre, une le véldcnle

irises, aucun de ces accidents n aura de

Nous souhaitons à MM; F. Cadot, Ëi- choux et Verglas,un f établissement prompt et complet.

_ _ Aujoffra’hulim an cn e . t " mai M. Bourgougnon, rue Nationale.

G o n d r e v U l e . — Série rouge. — Samedi dernier, Lemaire Albert, o2 ans, s’es* petidu à un clou au-dessus de son lit ;'c 'est le beau-père de Lenoir, le fa­meux accusé. , j,

M Lemaire a eu un effarement d esprit causé par le chagrin d'avoir perdu sa femme il y a un an et aussi par les con­trariétés causées par 1 affaire Lenoir-Si- mon;

M o n t a t a i r e . — AccirfenJ.-- Vendredi matin le chauffeur Cabooter Amatus 49 ans des Forges demeurant cité ouvrière a Montataire, a été blessé au pied gauche et au genou droit par suite du renversement de la charbonnière, en ouvrant les portes de la grille du four. 11 subira de ce fait une incapacité de travail de 20 jours.

S ié ry . — Obsèques. — Hier, vendredi ont eu lieu, en TEglise de Néry, les obsè- nues de M. Raphaël Lefeubvre, ouvrier carrier, décédé dans sa 43' année, après une courte maladie, laissant dans la peine une veuve et quatre enfants.

Nous présentons à son épouse et a ses parents nos sympathiques condoléances.

iVogeat-les-Vlerges. - Féu corn- munale dimanche f" , lundi Z et di­manche 8 mai. — Dimanche 1», ^ a n d e fête musicale avec le concours de 1 Har­monie de Greil, l'ün ion musicale Monta­taire et la Fanfare de Nogent.

A deux heures et demie, au Pont-Natio- tial, réception des sociétés, défilé ; à 3 heu­res, vin d’honneur, exécution de iv e r s morceaux sur la place de

Lundi 2 à trois heures, sous la tente du bat, tirage de la tombola gratiute en pré- séficé dn cbnééil lüüniçmâl, 400 beaux lots : dernier lo t : nne jolie surprise. Pendant la tonSbola, la Fanfare exécutera les plus beaux morceaux de son réper-

^°Lilsoir, à 8 heures et demie, sous la tenu du bal, grand concert avec le con­cours d’artistes de Pans. Prix d entrée au concert : Premières, 1 fr. M ou 3 bil­lets de tombola ; secondes, ! ^lets ; troisièmes, 0 fr. bO ou un billet.

Dimanche 8, à trois heures, jeux m- vers pour les g ^çdnS et f l 'e s . ;Ponr les ffàrcMS : la pêche miraculeuse (10 prix) ,

de boule (S prix). Pour les AR® ■ La ferm ière en colère (s prix) ; jeux d an-

■ °*A °^euf^heâ 'es et demie, brillant feud’artifice. , •

Les iours de féte seront annoncés laveille et le matin par des détonations a ar- tillerie»

Dimanche i'»' et dimanche 8 mai, grand bal de nuit, sous la tente richem ent dé­corée et brillam m ent IDuminée de M. Person.

Pendant toutes les somées de la fête, brillanUs et nduvelles illuminatidnei d ^ cotations, écussons, portiques, mats vé­nitiens, etc., par M. Mathieu, e n tre j^ - neur de fêtes publiques â S a u t- te u -d E s-

^ P e n d a n t toute la durée de la fête, su r la place de la République; M a ^ e dp chevaux de bois, balançoires, oonfisene, pâtisseries, tirs à[eux forains, cinématographe et autres attractions.

RftrftV* — 'TtouvûiIIc. Mardi dcr- nier, deux ouvriers de M. Tirlet, cultiva­teur à Raray, en labourant un champ au lieu dit la Courrière, en tre Raray et Bras­seuse, ont trouvé dans la terre 39 pijcés d'argent aux efSgies de Louis XV et Louis XVI, portant le millisinie de !738 a 1773. Ges pièces de monnaies anciennes sont un peu plus grandes qu lipe pièce de cent sous et sont trè§ bien conservées ; les effigies et les insoriptipns ap.8t très nettes, on croirait qu’elles viennent d êtrefrappées. . , •

Voici â titre de documents les inscrip­tions de l’une de ces pièces, côté face : Lud. XVI. D. g. fr. et nav. rex. a - revejs : Sit nomen Domini aa Benedictum 177o.

R oiivres-B oullare. — Cérémonie de la Première Coinrriunioti. — La;Rre- mière Gommunion sera célébrée àRotitres- Boullare le jeudi 3 mai courant, jour de l’Ascension, , , , , .

« La Jeunesse de Grépy » (chorale) in­terprétera les œuvres suivantes au cours de la cérémonie : _

Messe brève, de Luigi Bordèse.Vêpres en plein-chant. „S alu t: OSalutans, (P^estrina) ; Tu

ès Petrus, (Th. Dubois) ; îarm m Ergo, ^Stvle ancien^ ; Laudate poTninurrij [Grégorien) ; Tollite J ïo s t î^ , (Saint-Saëns). ■ , , .Offertoire, pour violon, par le jeune artiste F. Gapoiilàde.

T n i m i l l ï . — P rem ière Comm wnion. G’esf aujourd’hui' iffmancÊb maiqu’à lieu en l'Eglise paroissiale de Tru- milly là cérémonie de fa Prem tèré Gom- munion. . „ .

La chorale de « La Jennejse de Grépy exécutera des chants religieux e t le jeune violçni'sté François CâpOüKdé s y fera entendre.

Saint-M axiniiu. — Pn » Q y ^ - L? corps du mànouvrier Ferret Paul, ^ é de 66 ans, cEsparu depuigle 4!

' r è t t T d ^ ’Oise, mê«!ftdi-d«è'Bi*s.saM«l territoire de la commune.

Tout, fait présumer que 1 on se trouve en présence d'un accident, le corps ne portant aucune trace de violence et le dé­funt n’ayant jamais manifesté d idées de suicide.

V i l l e n e u v c - s u r - V e r b e r i e .— Féte. — La fête 4s la Vieille Poste, dépendance de Villeneuve“ sür-Verb'erie, aura lieu le 0 mm prochain. Grand tir pour les gar­çons, prix : une oie, une poule et une sur­prise. Le soir bal à grand orchestre.

Avis à MM. les G ultivateurs.

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Et’ide de l|i*l.oaîs-3B[eiu?î

_ jûûtairè 4 Gtiantiuÿ C* ise).

^ F o n d s C o n in t e r c e .

pb eicèb e jnserhon

Suivant acte reçu par M' Balé- zeaux, notaire à Chantilly, le vingt- huit avril mil neuf cent ilix, Monsieur Albert FARRO'W, marchand épicier, e t Madame Marie MAHIEC, son épouse, denienrarit ensemble à Chan­tilly rue du Connétable, uumero i2ü, ontlvendit à Monsieur Raal-tjCtor FagQlIELIN, employé, et Maiiame JÜia-Maria LEFEBVRE, sou .epouse, femeurant ensemble à Chantilly, lo ■ndis d e c o m m e rc e d e m a r - b a n d é p i c i e r v ' i n s e t li- s ie iirs leur appartenâht et qu'ils xploitent et font valoir dans une ffison s i^ à Chantilly, rue du Knétîjile, numéro 120, compfe- ant rérisèignè, le nom coinmercral,

clientèle, l’achalandage et le Bit au bail des lieuxJeù il est

Les opposition.s, s’il.y a lieu, se ront reçues au .domicile ém, 0 éét-à- 'dira à Aéy-en-MÛWén-; pâr Monsieur COtS'Y, acijuéreuf, dans lés ' dix jours de là deuxième ihsertioh.

■ ■ AXre'f' " -tribunal d e fiOMMERCIl

DE SENJjfcJ

OnTertnre âes Yérfficaîions.

Les créancier.-» fie la faillite du sieur Je.an FARiiKi ! E, enirepreneRr de î-cicric ?i Gonvipry. sont, invité-s a se Irouvcr le VeTiUredi treize hcû mil neuf r.aii dix, à dix heures et

■ litiitie tiu maiin. au-.Grufie du Ti i- nnual de Comiiierce de seulis, plVce Saiiil-Picrre, p.«n;r l^ yérific^lion t t affipmâtion de ledr^créanee.

Pour insertion : l e Greü_er du Tribunal,

420 MIGNOT.

1. m<ttuiuiw, * « v y 310 orii et aux AnditioBë^ErtfOTeé^audttVcle.■L’entrée en jouissance a été fixée m premier mai mil neuf cent dix. ^L es oppositions,‘'âH y à Heu, de-

être faites dans les dix jours la seconde insertion et seront

Eçues en l’Etude de M“ Balezeaux, S t a ^ à Chantilly.

Pour première insertion :

■ ÊTODB--DÊ M ' L i O x x i s E s c a - e y

' ’ 1 avoué

7,

Étude de M' L ou is ESCAVY,docféür en droit, avoué à SeptiS,

' rùe'de Ÿillevè'rt, n? 7,

V E N T Eaux anohàpaa pubiiquasi

par suite de conversion de saisie immobilière^

E S SIX LOTS'- îT .- t r ' . .avec facdltô de réunion,

de : 1“ UNE

P R O P R I f î tavec ses

Circcg^tances et Dépendances, s is e &

SAEVT - LEU - D’ESSEREIVT,' rue de rHôlel-Bieu ;

2» UNE

çiKSsi avec ses iCirconstances e t Dépendances^

sise môme commune et môme rue ;

7. rifd | d .. et d / V “V Î L i^ ;^ x T 'n o ta i r eet de M« D ESA BŒ , notaire Cr',.v-cu-Val '

à Creil'(üise):

4 B j p o 7 m T t » « \ ' ' • " à s S f S * "

MAISONle V E N D R E D I S M A I 4 9 l o , \ sise au

à mae tieuresdum atin, I commune de Vaucicnnes,

PREMIÈREMENT

V E N T SSOUS

rlM

} Piècess is e s te^

SAINT-LEÜ-E

Étude de M* WILHÉLEM, notaire à Compiègne.

A V endre p a r A djudicationen bloc ou en détail,

LE SAMEDI 28 MAI 19ipA g a i» heuras dR F«f»'êSTï54^û

en l’Etude et par le miniatoro de- ■ ■WIlSÉËLEfeli^, “•

9 S - H e e i t a v M ènR

n B X J xsis même commune

L’adjudication aura lieu le D l S i ^ - CHE 2 8 MAT 1 0 1 0 , à «tafx tieures de l’àprès^id ii an PfeS)! s îs -a n -B o ls , en la demeûre de Madame Haclin, aubergiste, et par le ministère de M* Piliebout, no­taire à qrépy-en-Valoij.S’adresser pour lés renseigne-

I menfs ;1» A M® G as to n LOIR, avoué à

Sentis, 29, rue de la République

Aax. 2,

t o d a de U* BALÉZEAIIX,' notaire â' ChantiBf.

C e ss io n f O | t ^ ^ p o v q m e r p e .

rasiœTKm

Suivant acte reçu par M'Balézeaux, Botmre à Chantilly, le sept avril mil neuf cent dix. Monsieur Louis-Julien, pORTEBOtS; entrepreneur de piom-, berie, et Madame Julie-Elira B01!-| 'CHEZ, son épousé, demeurant' en-1 semble à Chantilly, ont vendu à TUnnqipnr (fiiarles-Eugène QUENTIN,. -Çiriêrj^éinlner, et Madame;Angus- rte-Héfène NÀZE, son épouse, de- fieurant ensemble â CjantRIy, le

rie'èénimeree ri’eàtre- enear de plpâBMéble léor- Mrtenant et airiié^eipiéiçnt |i

JntUly, me- 4 âméro 19, cdi^refiant m r a ® e . Je ■om commercial, fa clîenteleTTaoha- ■ E n d ag ^ lé toàt ^ 1 ^ 1 des lieux ^ î l est exploité.' , . ,: Les appositions deigmiU ètre,tEdtos iLneine de forcluslé(r, rarfs I W f e

fc^imi^téâeutei iSateWtion et

H t» müneuTéfflBiifc’ • - “ ' ’’ “^ont ieuicÈme insertion X * m **'SignfftW.B'AEa^PJî:m CfJgM ' '

O B

1“ U N E

à m t e C o u m

sise àrue ^int-Jean, n“ 4*

- B . T U I S î T 1

à B e a x 3 . v r a . i srue Beauregard, n° 19.

UNE

p o ir ' d e ÿ æ g p ü N f .

L’adjudication aurà’ lieu lé M A R I^ 1 0 MAI 1 9 1 0 , à neuf heures précises du matin, êd' l’audience des criées nu h r i j^ a l oi-if dp Sentis, au Pal i* W Jistice & ladite vdla, rue d-ï te |éf*jiliqoe.

l« a 'm *Lj K M ^ ’*’» .» vo»^P O u r j É ^ i f M ? - ’

2» A M* Gamtom Lf|te«-aiW»é• é s ^ ^ te je n tç l^^'T ;;.-'^ * ' 3Âa » i' G aiéy , uotaire à Précy-

suT-Oise ; -4» A W* R o la n d Jiujsjj^^à Crqjl.

D E U ^ M S I ^ f d ’a n

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^ncffere, et par son ministère,LÉ MÀ?DI 9 MAI 1910

^ d e Vaprès-mm,

U N E M A ISO Ns i tu é e A teljtSL^,.

rae du'Èhat-Harât, n» 9*' s ’adresser, pnnr visiter, sur lestiew, tes mwife vendredi et ^ a m -checde uns heure à cma poiatioBS, SnsBignements. à M

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f u » À te 1° 33S’adresser pour les rettsetgne-

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A w UriMMK B r ^ s r de la Jus­tice d è P i ïx f î '^ è l î î . , „ .,hûiSSier â Creil

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Etude de M‘ S la rc c l SAIGiVE,commissaire-priseur

des ville et arrondissement deSenlis.

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angle de là route d’Apremont et de la route de Sfinlis, - :

D’UN ...........

sise à G ouv ieo * , jrue de Villargenne ou de Chantilly,

2Ü» ruü ‘‘6 id rXtJpuuwH'A'-'» I avxjvet‘de .H'-'iriLLEBOIIT, notaire I (; ,.£(,, tanCeS et Dépendances,- ’ '•îi'Créùyv-è'n’-Valois. I ’ ' ' . ...:___

Etudes de M« L ouis. ESCAVY,avoué'à oeùtid)

et de i*J® P W T . ."o'oifeV à Gfépy-'en-lralois.

rue du PrééS^nt~Médard, i.. et r w de ieiWieiUe Cê de Parié: ~ ^

U M

y p r ç $ ü g [ l i e i T A ’n . ^t i i i ip i» .DE : I

t a P i è w

)

O pâm é.noos avons .../in

iaivant acte (si s. p. en date du vinat-neuf avril mil neuf eeni dix.

' Sbnmeûï'Géorgés'VAILLAND, ihgé- ' è' ' Açje' qn-iMileB

(Crae), » cédé 'à Monsieur Frant CODSY, ingénieur-géomètre à Ber-

l e e a b i i ie t d o g é o m é tr e ^ ra t tp lo iie à'Acy-en-Multien.

Prise de possession le trente avril nul neuf cent dix.

, \ i c o n t ^ i i ^ \lani mmn.nemeftt’’lts tlzPjSrâb-25,'-tr;-29t:

. . .auTifUgBTé» ’ M - i t f ■ i

en Taudience de-s criées __ dû Tîâ6ü'nâl’'Cîvïl.'de 'Senlis

. séant eh te dite ■fitte '1 ' r â e ' èé -te ' République.

'S'adresser pour tes ren t^ ise~ mmts: -

A M. l.o n is ESC A V Y , avOué à I Seulis, 7, rue du 'Villevcri.

e n

Sisesterroir de B o im p u îL ÿ n -y ^ lp is ,

Ueu dit les 'Trois Fdntcânes.,-r:

M t i ' e i l s m te la î ie r ifso n s d e u x p a rc e U e s d e Ul^xe,

sisesterroir de Bonneuil-en-Valois.

L’adiudieatiou aura lieu le S a m e d i a s MAI 1 9 1 0 . à deux heures de relevée, du l’Etude et fmr le ministère de M" Diet, nolaire à Crépy - en - Valois, commis à eefc -effet

■h Créjiy-è'n’-Valois.

V E N T Epar suite de faillite

en quatre lots DE : UN

QORPS DEDIV

Petite MAISONE T

M i PÜB DE TERIÏSIS au P le s s is - a u - P®!®.

commune de Vauciennes. L’adjudication aura lieu de DL

m a n c h e 2 8 MAI 1 9 1 0 , à deitx heures de l’après-nudi, ot p ie s â s - a u - B o ls , en la demeure de Màdaine Haclin, aubergmtc, ei par le minislère de M» Piüebout, notaire ï Crépy-en-Va!ois.

L’adjudication aura lieu le MABDI 3 4 MAI 1 9 1 0 , à neu f heures du matin, en l’âudiencedescriées du Tribunal civil de première ins­tance de Senlis, au Palais de Jus­tice de ladite ville, rue de la Ré­publique.S’adresser pour les renseigne-

m enlsvA M« G e o rg e s MOR-AîVO,

avoué à Sentis, poursuivant la venir, ;A M“ GUÉTEV. huissier à Cban-

tilly ;Et au grefie du Tribunal civil de

Sentis ou le cahier des charges est

Sairesser patur les r/nssISTpe- ments :

S a ir e s s ^ pour les renseigne rjients ; '

A M* IxMiis ESCAVY, avoué à Senlis, 7, rue de 'Villevert;

Et à M' BIKT, notaire à Crépy- en-Valois, dépositfiirç èn cahier des charges.

1» A si" G. LOIB, avoué â 'Sen­tis, 29, rue de la Réi.ublique, pour­suivant la vente ;

2» A M* P lH e lio u t, nolsire à Crépy-en-Valois, déposita.rr cahier des charges et charge ne la vente.

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u>i>i« elle toussAtl,-evpeciora.it' Iteancoùp de crachats è]>ais et verdâtres, luêiéa parfois de Hlets ito saùc, était oppressée et resseatait des points douloureux dW» le do.s et la poitrine. Elle vint à ma consultatiou le ti janvier igod parce que deux médecin» 1-araieut condanuiée. Elle transpirait- fa. MitiCt, n’avait plus d'appétit, vomissait se» aliments et ne donnait pas. Je lui trouvai des lésion» tuberculeuses dti a* degré occupant la moitié supérieure du poumon droit et

{Je quart supérieur du poumon gauche. Après trois mois de mon tmitrinent à base d’ELlXm DDPEYROtJX, elle ressentit du mieux. Le 14 janvier igio, elleavait eepris'dcjokiloset était guérie

ÿràce à ce traitemezit. Elle m’a permis de publier son cas dans le but d’être utile à scs semblables. Docteur Eugène DUPEYROU.V,

Sy.siquare de Messine, Paris.P .'S . — Si la tubercolose fait tant de rictlmW, c’est parce que les méde­

cins ne savent pas la soigner. Aux baineoses calomnies dont mîionorent certains d’entre eux, je réponds par des faits précis et des preuves irréfu­tables. ><206 ces insulieurs montrent donc de pareil» résultats! L’EUxir Dupeyrouz, à base de créosote vraie de hêtre, iode, tanin, glreérophos- phate de chaux,guérit les lésions tuberculeaseseuoroToquant la^forma- iion d’antitoxines dons le sérum sanguin. U est indiqué dians les cas de Tuberculoses pulmonaire, ganglionnaire, articulaire, laryngée, cutanée et osseuse, de Bronchites chroniques, d’Asthme, d’Empbysèmes, Catarrhes Glandes soppurèes ou non, Arthrites, Tnmeurs blanches, Suppurations Plaies de mauvaise nature. Mal de Pott. l.aryttgites. Extinctions de voix Pharyngites, Lupus, Rhumatismes tuberculeux. — Consuitatibns gra­tuites tous les jours, même le dimanche, le tnatin de 8 h. z/a i 10 h. i/a et le soir de x heure & 3 heures, excepté les jeudis et les jours de lête, Auna mon cabinet du 5, square de Messine, Paris. — Consultations gratnites par correspondance. — J'envoie gratis et franco les neuf ouvrages conte­nant mes travaux de thé ran eu ti^e et d’hygiéne et un questionnaire. — Le petit flacon de 1 fr. 50 et le moyen flacon de 2 fr . 50 d’Büxir Dnpeyroax. fonte&Toyhs franco à domicile contra tiahiM OQ'aandatt.

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A vendre à l’amiable, 9 Par­celles de Terre, sises terroir de Villcrs-Sainl-Frambourg,;— Çadr. ’ ..M* Dherbe, huissier à Poâ.'

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A vendre à l’amiable, pour cause de fin de bail, une MiUson, située à Saint-Leu-d’Essercnt, an bord do

_ d ppicerie. boniièlerie, ’chausstires,'" j’ôurnaux, 'tabacs, buvette, etc., composée d’une cave, rez-dé-chaussée, un étage et grenier .au-dessus, — ..Entrée en jouissance : fin' niai {irochain. — Mise à prix : 12.500 fr. Facilités 'de paiçinpnL — S’adresser pour traiter chez Mme veiïve Louis Gûiniér, pro­priétaire, près, de l'Eglise,- Ai Sainte Leu;4’E33eren!, où eu l’Eiiide de M' Galo'ÿ, notaire à Précy-snr-Oisp.

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