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CEPHALEES DE CAUSES GENERALES CEPHALEES DE CAUSES GENERALES
DES AFFECTIONS METABOLIQUES
ParakouParakou le 22 le 22 JuinJuin 20132013
ET DES TROUBLES DE L’HOMEOSTASIE
Dr Séraphin AHOUI, Dr Albert Comlan DOVONOU
PLANIntroductionIntroduction
I- Céphalées liées à une infection
II- Céphalées attribuées à des maladies
inflammatoires non infectieuses
III- Céphalées en rapport avec un trouble de
l’homéostasiel’homéostasie
IV- Céphalées bénignes récurrentes survenant dans
des conditions déclenchantes précises
V- Céphalées circonstancielles liées à un désordre de
l’homéostasie
Conclusion
Introduction
Céphalées
• Constituent symptôme considéré banal avec une
prévalence de plus de 50% [1].
• peuvent constituer urgence médicale. • peuvent constituer urgence médicale.
• causes infectieuses plus incriminées alors qu’elles
n’occupent pas la majorité des places..
• recherche étiologique devrait être minutieuse
• traitement et le pronostic vital fonction de la cause
CEPHALEES LIEES A UNE INFECTION
• Liées à la contamination de plusieurs germes.
– peuvent atteindre les méninges ou d’autres tissus du
système nerveux.
• Evolution en mode aigu ou chronique
• Céphalée des méningites infectieuses � aiguë,• Céphalée des méningites infectieuses � aiguë,
– en quelques heures ou en quelques jours plus
rarement brutalement
– holocrânienne surtout postérieure, accentuée par la
mobilisation, la lumière la toux.
CEPHALEES LIEES A UNE INFECTION
• Céphalée méningites chroniques,
– subaiguë traînante plus atypique et trompeuse.
• Raideur de nuque• Raideur de nuque
– parfois absente au tout début des formes aiguës ou
dans les formes chroniques.
CEPHALEES LIEES A UNE INFECTION
• International Headache Society (IHS, 2004)
� 4 types d’infection pourvoyeuses de céphalées [18].
1- Infections intracrâniennes :
– méningite bactérienne,
– méningite lymphocytaires (virus, borrelia, listeria,
champignon, tuberculose, parasite…)
– encéphalite, abcès cérébral empyème sous- dural.
CEPHALEES LIEES A UNE INFECTION
• IHS, 2004 � 4 types d’infection pourvoyeuses [18].
2- Infections systémiques : infection bactérienne,
infection virale, autre infections….
3- SIDA3- SIDA
4- Céphalées chroniques post- infectieuses
essentiellement après infections bactériennes.
CAT
Antibiothérapie adaptée selon le germe
Artérites à cellules géantes
(maladie de Horton)
Artérites à cellules géantes
(maladie de Horton)
• Céphalée présente dans 60 à 70% des cas.
• Habituellement permanente
– sujette à des renforcements matinaux, parfois paroxystiques.
• De siège temporal mais aussi occipital, uni-ou bilatéral.• De siège temporal mais aussi occipital, uni-ou bilatéral.
• Exacerbée par le contact du cuir chevelu en regard des
artères concernées
– usage du peigne, port des lunettes frottement de l’oreiller.
Artérites à cellules géantes
(maladie de Horton)
Artérites à cellules géantes
(maladie de Horton)
• S’accompagner d’une claudication douloureuse de la
mâchoire, de douleurs dentaires, d’un trismus
douloureux, d’une nécrose du scalp ou de la langue
• Parfois le siège est encore plus atypique,• Parfois le siège est encore plus atypique,
– retro-orbitaire ou même cervico-occipital.
• Céphalée peut alors comporter une contracture des
muscles du cou pouvant en imposer pour une raideur
méningée.
Artérites à cellules géantes
(maladie de Horton)Douleur habituellement superficielle et la palpation • Douleur habituellement superficielle et la palpation des artères concernée la réveille.
• Artères indurées et présentent des nodosités.
• Tableau clinique parfois plus trompeur avec des céphalées peu intenses, céphalées peu intenses,
• Diagnostic
– Un âge élevé, une baisse de l’état général.
– L’existence d’amaurose fugace
– et l’accélération habituelle de la CRP et de la VS
– la biopsie d’une ou des artères temporales
Artérites à cellules géantes
(maladie de Horton)
Traitement Traitement
- Corticoïdes 1mg/kg/ j sans dépasser 60 mg/j
- Résultat
• une amélioration parfois spectaculaire de la céphalée en moins de 3 jours, parfois en quelques heures.
• Le pronostic de la maladie de Horton est donné par celui des complications thrombotique surtout oculaires.
Autres angéites
• Angéites primaires du système nerveux central (sans
atteinte systémique)
• ou les angéites secondaires (avec atteinte
systémique)
– peuvent aussi comporter des céphalées souvent avec
pléiocytose dans le LCR, pléiocytose dans le LCR,
• plus particulièrement la périatérite noueuse, la
granulomatose de Wegener, l’artérite à cellules
géantes du système nerveux central , la
granulomatose lymphomatoide.
Autres angéites
• Association artérite à cellules géantes avec un
myélome avec ou sans amylose .
• Les douleurs sont associées habituellement à • Les douleurs sont associées habituellement à
d’autres signes encéphaliques
– (déficit moteur atteinte des nerfs crâniens,
épilepsie troubles de consciences).
Autres angéites
• Les céphalées peuvent être d’origine multifactorielle
en associant en plus de la pathologie artérielle
présente
– une méningite inflammatoire,
– voire infectieuse, des hémorragies
cérébroméningées, cérébroméningées,
– une HTIC,
– une érosion sinusale ou osseuse dans le cadre de
la maladie de Wegener,
– plus rarement une thrombophlébite.
Lupus érythémateux aigu disséminé
Céphalées fréquentes jusqu’à 5% des cas . • Céphalées fréquentes jusqu’à 5% des cas .
• Elles peuvent dépendre d’une méningite chronique ou récidivante parfois favorisée
– par un traitement anti-inflammatoire ou immunosuppresseur,
d’une hypertension intracrânienne, – d’une hypertension intracrânienne,
– d’une thrombose veineuse ou artérielle surtout en cas d’association à un anticoagulant circulant ou au contraire d’une hémorragie méningée ou cérébrale.
• souvent aux manifestations psychiatriques.
• parfois une présentation migraineuse
Maladie de Behcet
• Céphalées dans environs 70% des cas.
• Les manifestations sont diverses.
• Elles peuvent être :
• céphalée de tension , migraine ,
• céphalée par atteinte neurologique -comprenant les • céphalée par atteinte neurologique -comprenant les
thrombophlébites, les méningites chronique, plus
rarement une encéphalite –
• céphalées par uvéite , bilatérales, pulsatiles,
d’intensité modérée avec paroxysmes.
Neurosarcoïdose
• Céphalées y sont dans l’ensemble rares,
• dépendent d’une hypertension intracrânienne par
hydrocéphalie méningite chronique ou masse hydrocéphalie méningite chronique ou masse
sarcoïdosique expansive pseudotumorale.
Autres causes
• Méningites aseptiques
• Encéphalomyélite aiguë démyélinisante,
• syndrome des anticorps, antiphospholipides ;
• On se méfiera toujours d’une méningite • On se méfiera toujours d’une méningite
carcinomateuse dans des cas d’hyperalgies diffuses
et intenses, avec rachialgies, céphalées.
CEPHALEES EN RAPPORT AVEC UN CEPHALEES EN RAPPORT AVEC UN
TROUBLE DE L’HOMEOSTASIE
Céphalées de piège?Céphalées de piège?ou
Du mal nécessaire?
HTA
• Céphalées font traditionnellement partie des petits
signes de l’hypertension artérielle .
• Elles sont de siège occipital,
• réveillant le malade de matin ou dans la deuxième • réveillant le malade de matin ou dans la deuxième
moitié de la nuit plus fréquemment chez des sujets
aux antécédents migraineux.
• Pourtant elles ne se présentent pas toujours ainsi
chez tous ..
HTA
Le phéochromocytomeLe phéochromocytome
• source de céphalées trompeuses qui peuvent donner lieu pendant de longues années à des erreurs diagnostiques.
• Les céphalées sont présentes dans 90% des cas à un moment en un autre de l’évolution. moment en un autre de l’évolution.
• Elles s’associent habituellement aux autres symptômes,
• tels que rougeurs , malaise indescriptible, horripilation, hypertension et hypersudation intense.
• La douleur est pulsatile, holocrânienne, parfois accompagnée de nausées et de vomissements contemporains de l’accès hypertensif.
HTA
Le phéochromocytomeLe phéochromocytome
• Elle pourrait être confondue avec la migraine, mais accès brefs n’excédant pas quelques minutes.
• Ils peuvent être déclenchés de façon itérative par
• certaines positions du corps
• compression abdominale ou• compression abdominale ou
• la prise de médication à action adrénergique (décongestionnants nasaux par exemple). L
• Diagnostic confirmé par les dosages biologiques de catécholamines, par l’IRM abdomino-pelvienne thoraciques et cervicale et par la scintigraphie à l’idée 131.
HTA
• On retrouve céphalées dans le cadre de
• éclampsie, de la pré- éclampsie, de
l’encéphalopathie, de l’hypertension artérielle
maligne.
• conséquence d’un œdème cérébral diffus et
s’associent à des crises d’épilepsie une confusion des
troubles de conscience ou des signes neurologiques
déficitaires focalisées.
HTA
TraitementTraitement
• Il est nécessaire pour son traitement d’administrer des antihypertenseurs
• de classes différentes en fonction du statut du patient
• de classes différentes en fonction du statut du patient
• et en dose suffisante
• avec des mesures hygiénodiététiques.
Céphalées métaboliques et
endocriniennes• Des céphalées se rencontrent comme phénomènes
mineurs
• Des endocrinopathies
– maladies d’addison hypo- ou hyperthyroïdies…
• au cours des dysnatrémies , des dysmagnésemies,
des dyscalcémies,
• une insuffisance rénale ou hépatique.
Céphalées métaboliques et
endocriniennes
• œdème cérébral semblant jouer un rôle important.
• Elles peuvent être au premier plan et beaucoup plus
trompeuses
– dans le cadre d’une hypercapnie chronique – dans le cadre d’une hypercapnie chronique
– au début d’une alcalose ou d’une acidocétose
métabolique.
• Chez certains gros fumeurs peuvent s’associer à la
fois l’hypoxie, l’hypercapnie et l’augmentation de la
masse globulaire.
Céphalées d’origine
médicamenteuseL’imputabilité d’un nouveau L’imputabilité d’un nouveau
médicament mérite toujours d’être discutée compte tenu du nombre impressionnant de traitements susceptibles traitements susceptibles d’induire des céphalées iatrogènes.
Céphalées d’origine
médicamenteuse
Céphalées
médicamenteuses
Acétazolamide, AINS, amantadine, atropine,
antihistaminiques, barbituriques, bromocriptine,
chloroquine, cimétidine, clofibrate, cyclosporine, dérivés
nitrés, digitaliques, dipyridamole, disulfirame, griséofulvine,
imipramine, immunoglobulines, inhibiteurs calciques,
inhibiteurs de la phosphodiestérase, interféron, isoniazide,inhibiteurs de la phosphodiestérase, interféron, isoniazide,
métronidazole, octréotide, œstrogènes, ondansétron,
paroxétine, prostacycline, sildénafil, tacrolimus, thiazidiques,
théophylline, triméthoprime+sulfaméthoxazole,
vasoconstricteurs nasaux, vitamine A
Céphalées liées aux
soins
Dialyse, radiothérapie, radio chirurgie, injections
intrathécales, électro convulsivothérapie.
Céphalées d’origine
médicamenteuseCéphalées liées à des
gestes
endovasculaires ou
chirurgicaux
Craniotomie, lésions neuropathiques après chirurgie
sinusienne (Caldwell-Luc), faciale, stomatologie, neurologique
(désafférentation trigéminale), douleur orbitaire post-
chirurgie ophtalmologique (énucléation, glaucomes ou
kératites post-opératoires …), artériographie,
endartériectomie, angioplastie.endartériectomie, angioplastie.
Céphalées liées à des
toxiques ou à d’autres
substances
Alcool et substances addictives (amphétamine, cannabis,
cocaïne, éthylène glycol, phencyclidine, nicotine), CGRP,
histamine, plomb, monoxyde de carbone, cyanure, hydrogène
sulfuré, produits producteurs de méthémoglobinémie,
solvants inhalés organophosphorés.,
Céphalées liées à des
aliments
Glutamate de monosodique (restaurant chinois), aliments
contenant des nitrites (hot-dog …), sulfites (vins)
CEPHALEES BENIGNES
RECURRENTES SURVENANT DANS RECURRENTES SURVENANT DANS
DES CONDITIONS DECLENCHANTES
PRECISES
Céphalées primaires à la toux
• Céphalées
• bilatérales, de durée brève (de 1 seconde à 30
minutes
• totalement régressives en dehors des périodes de
toux et/ou des manouvres de Valsalva.
• évolution intermittente.
• résolution parfois spontanée.
Céphalées primaires à la toux
• hyperpression veineuse est évoquée par expliquer la
survenue de ces céphalées.
• éliminer une lésion sous-jacente, en particulier une
malformation d’Amolé-Chiari , une pathologie
vasculaire cérébrale, voire d’autres causes vasculaire cérébrale, voire d’autres causes
d’hypertension intracrânienne .
• Indométacine peut être utile
• Aussi autres AINS
Céphalées primaires d’effort
• pulsatiles durent entre 5 minutes et 48 heures
• peuvent se développer soit pendant, soit après
l’effort,
• souvent dans un environnement très chaud, ou en
altitude.
• Causes de céphalées aigués,
– les dissections artérielles et les hémorragies méningées
par rupture de malformation vasculaire
– impérativement éliminées en cas de céphalées d’effort
inaugurale.
• Les céphalées sont souvent sensibles à
l’indométacine et autres AINS ou au propanolol.
Céphalées primaires d’effort
• Devant les céphalées d’effort pharmaconésistances
sans étiologies démontrées,
– réaliser une veino-IRM et une manométrie à la recherche
de pathologies veineuses cérébrales.
• Des céphalées d’effort répétées peuvent • Des céphalées d’effort répétées peuvent
exceptionnellement traduire des phénomènes
d’ischémie cardiaque qui seraient passés inaperçus,
– du fait de l’absence de douleur thoracique par exemple:
– on parlera alors de « céphalées cardiaques »
Céphalées primaires liées aux
rapports sexuels
• 2 types chez l’homme : les formes pré-orgasmiques
et orgasmiques.
• Les céphalées pré-orgasmiques
– lourdes, plutôt bilatérales, tenaces ;– lourdes, plutôt bilatérales, tenaces ;
– elles croissent à l’excitation et s’accompagnent d’une
tension des muscles du cou et/ou de la mâchoire.
– Certains les considèrent comme des formes de
céphalées dé tension.
Céphalées primaires liées aux
rapports sexuels
A l’inverse, les céphalées orgasmiques • A l’inverse, les céphalées orgasmiques
• sévères, explosives et brèves (environ 10 minutes)
• et se répètent à chaque coït,
• elles ne s’accompagnent pas de photophonophobie• elles ne s’accompagnent pas de photophonophobieni de vomissement.
• Ce type de céphalées est associe à une céphalée d’effort dans 50% des cas.
• Parmi les causes de céphalées aiguës, les dissections artérielles et hémorragies méningées par rupture de malformation vasculaires doivent avoir été éliminées en cas de céphalée sexuelle inaugurale
Céphalées primaires liées aux
rapports sexuels
• Un quart d’entre elles évoluent vers un mode
chronique
• Des céphalées posturales survenant après les coïts
peuvent exister et doivent alors faire rechercher une peuvent exister et doivent alors faire rechercher une
hypotension intracrânienne
• Propanolol, voire des méthodes de relaxation
• Indométacine et autres AINS étant rarement
efficaces
Céphalées primaires en coup de
tonnerre
• Céphalées proches des précédentes,
• d’intensité sévère, de début ictal, atteignant leurs
paroxysmes en moins de une (01) minute et minant
donc une rupture d’anévrisme.
• Elles peuvent durer de 1 à 10 jours, avec des • Elles peuvent durer de 1 à 10 jours, avec des
récurrences possibles dans la première semaine.
• Ce diagnostic ne peut être retenu qu’une fois éliminé
l’ensemble des céphalées primaires liées à un facteur
déclenchant donné (toux effort, activité sexuelle et
autres)
Céphalées induites par le froid
Elles surviennent quelques minutes
• après la consommation de produits glacés
• ou en cas d’exposition de la tête à un froid intense :
• la douleur diffuse et/ou non pulsatile, brève
• disparaît après suppression du stimulus• disparaît après suppression du stimulus
• un terrain migraineux est fréquemment retrouvé.
• Une vasoconstriction réflexe au froid est évoquée.
Céphalées d’altitude
• Déclenchement dans les 24 heures après une
ascension au-dessus de 2500 mètres,
• au moins deux des signes suivants :
• céphalée bilatérale, frontale ou frontotemporale à
type de pression sourde ;
• intensité légère ou modérée ;
• renforcement par l’effort, le mouvement ou toux.
• disparaît dans les 48 heures après la descente.
• Elle est ici isolée,
Céphalées d’altitude
Différente du mal des montagnes• Différente du mal des montagnes
• avec autres signes comme vertiges, fatigue, perturbations du sommeil et nausées.
• sensible à l’acétazolamide,-
• Céphalées orbitaires, sévères, brèves � en avion • Céphalées orbitaires, sévères, brèves � en avion
• L’altitude également un facteur de migraines , voire un déclencheur de douleur dentaire.
• Existence également céphalées liées à une plongée sous-marine,
• plutôt dues à des phénomènes d’hypercapnie.
Céphalées par compression externe
Céphalée
• non pulsatile isolée,
• déclenchée par une pression prolongée du front ou
du scalp,
• Installation en quelques minutes• Installation en quelques minutes
• localisée autour du point de pression.
• Mais pouvant également déclencher
secondairement une véritable migraine.
Céphalées hypniques
Céphalées Céphalées
• isolées, sourdes, souvent modérées
• (sévères dans moins de 20% des cas)
• uniquement durant le sommeil
• (une ou plusieurs fois par nuits) • (une ou plusieurs fois par nuits)
• dure entre 15 et 180 minutes après le réveil.
• Les crises surviennent plus 15 fois par mois,
• souvent chez le sujet de plus de 50 ans.
• Leur traitement indométacine, de lithium ou de mélatonine
Autres cas de céphalées nocturnes
• En dehors des migraines,
• on peut citer les céphalées cerviocogéniques
– liées à une mauvaise position pendant le sommeil :
• céphalées de sevrage liées à un abus• céphalées de sevrage liées à un abus
• médicamenteux et à un abus en caféine.
• Syndrome d’apnées du sommeil (SAS),
• céphalées ne sont pas nocturnes mais matinales,
• brèves.
• disparaissent 72 heures après le traitement du SAS.
Conclusion
Céphalées
• symptômes les plus
rencontrés en médecine
interne.
• Sa prise en charge
nécessite une approche
Peut-on finir avec les
céphalées?
nécessite une approche
– rigoureuse
– minutieuse.
MRC toujours d’évolution progressive et
insidieuse??
MRC toujours d’évolution progressive et
insidieuse??
• Une exception: Début peut être brutal
• Au décours d’une phase d’insuffisance rénale aiguë,
– Pas de reprise de la diurèse
Mode inhabituel d’entrée dans l’IRC
– Pas de reprise de la diurèse
– Le sujet se retrouve en insuffisance rénale séquellaire
d’emblée maximale
– Nécessitant , un traitement de suppléance.
Correspond aux rares étiologies d’IRA
�Glomérulopathies suraiguës
�Vascularite
�Nécrose corticale bilatérale par:
- choc;
- thrombose artérielle bilatérale;
- embolie de cristaux cholestérol;
- coagulation intravasculaire
Quand la Quand la Quand la Quand la
MRCMRCMRCMRC joue son joue son joue son joue son
tir , tir , tir , tir ,
l’l’l’l’Organisme Organisme Organisme Organisme
éprouve de éprouve de éprouve de éprouve de
03/07/2013 GEM Dr Sér'AHOUI 52
éprouve de éprouve de éprouve de éprouve de
sérieuses sérieuses sérieuses sérieuses
difficultés difficultés difficultés difficultés
pour l’arrêterpour l’arrêterpour l’arrêterpour l’arrêter
Dr Sér’AHOUIDr Sér’AHOUIDr Sér’AHOUIDr Sér’AHOUI