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Catalogue des Films & Documentaires au Festival d'Agadir (octobre 2011)
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Les festivals du cinéma se succèdent mais ne se ressemblent pas, dans ce foisonnement que connait le 7ème art dans notre pays. Celui d u film amazigh se distingue à coup sûr. I l veut réussir plusieurs paris, celui bien sûr de promouvoir le film sans rien concéder aux exigences artistiques, mais aussi rehausser l a langue et la culture amazighes longtemps proscrites. Ce n’est pas une mince affaire, mais nous avons vu, sous d’autres cieux, que la détermination des militants culturels a eu droit à toutes les difficultés. Des langues quasiment mortes, réduites à la fonction liturgiques parfois, ont réssuscité pour décrire la vie ici-bas, dans toute sa grandeur et sa petitesse aussi. La grandeur de la vie n’est-elle pas la somme des petites choses ?
La véritable bataille de la langue amazighe se situe dans la sphère de la création. Après les artilleurs des batailles juridiques et politiques, vient celui des fantassins créateurs. Leurs batailles auront moins d’éclat, mais c’est ce qui permettra de sécuriser les positions acquises.
Un poème, une chanson, une pièce de théâtre auront, sur le long terme plus d’impact qu’un manifeste ou des pétitions. Et dans cette bataille créative la chanson et le film ont leur place de choix, car ils n’exigent du récepteur aucun cerficat, ni patte blanche. Ils vont droit à l’affect…
Bien sûr que le cinéma a ses exigences. C’est aussi une affaire de sous. Comment le film d’expression amazighe puisse t-il tenir s’il ne dispose pas d’aide et de subvention ? Le public est, pour le moment réduit, et il ne peut peser dans le montage financier. Mais il y a autre chose qui ne répond pas aux exigences de l’argent, la foi en un idéal, et ce qui, en dernier ressort, fait la difference.
Le lieu, Agadir n’est pas fortuit, c’est là que réside un génie maghrébin en veilleuse.On entrevoit les signes d’éveil ici et là, et la culture n’est que le côté apparent..On se rappelle des pionniers de la chanson amazighe moderne qui ont éclos ici..Pas étonnant que le Souss soit pionnier dans le cinéma d’expression amazighe.
Les promoteurs de cette manifestation m’ont fait l’honneur de la présider. J’ai répondu à l’appel sans hésiter, car il s’agit de la promotion de la langue de ma mère, mais j’y ai répondu, car le Souss est ma région d’adoption. J’aurais pu arguer de l’indigence de ma culture cinématographique. Est ce dévoiler un secret que de reconnaître que je ne suis pas cinéphile ? Mais l’enjeu est ailleurs.
Le film amazigh dans sa sixième édition mérite encouragement..Je suis tenté de rappeler ce beau proverbe, du cru que mon ami le poète Mestaoui, aimait à citer “ A mesh tessenit may day tenni Ughanim?”, Ah si vous saviez ce que dit le roseau ?
En apprenant à écouter le Roseau, entondons la flûte on finira pas aimer ses melodies, et déchiffrer ses secrets.
Bon vent, jeunes gens de bonne culture.
HASSAN AOURID
Hassan Aourid,Président d'honneur
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La saga FINIFA est de retour, et la 5ème édition s’annonce dors et déjà dans les cieux culturels de la ville d’Agadir, tel un feu étincelant. D’ailleurs, les éditions précédentes n’étaient elles pas plus que parfaites, étant donné que le paysage culturel gadiri, généralement parlant, rimait pendant 5 ans avec l’hymne d’Issni N Ourgh, tout en louant en chœur les principes fondamentaux dudit organisme, à savoir, l’ouverture, la tolérance, la relativité et la démocratisation. Le festival ne cesse de faire preuve de toutes ces qualités, alors qu’il est à l’heure de la mondialisation depuis l’an dernier justement. Le FINIFA tisse davantage de relations avec d’autres festivals dont entre autres, le Festival International du Film Oriental de Genève (etc).
Cette 5ème édition débarque dans un contexte international éblouissant, caractérisé d’abord par La Lybie. Ce pays cher et ami qui vient de se libérer d’un régime totalitaire, devrait manifester plus de démocratisation au niveau de l’expression culturelle, en l’occurrence la sensibilité cinématographique en langue Amazighe. Nos espérances atteignent également les pays subsahariens, dont le cinéma a besoin encore d’appui et de subventions colossales.
Le paysage marocain suscite toujours mes contemplations. D’une part, le film Amazigh gagne du terrain d’année en année, jusqu’à dire, au coté des observateurs, connaisseurs en la matière, que le film Amazigh est sorti de sa cavité, et serre les horizons lointains, mais d’ autre part, les services compétents sensés de veiller sur le secteur artistique, ont du mal à suivre cette cadence, vu l’absence d’une stratégie visant à développer ce secteur.
Le marché du film Amazigh en est un autre problème majeur, sinon la bête noire de tout changement souhaité. Bien que ce problème persiste toujours, on s’interroge sur la permanence des résistances qui tiennent les rennes du secteur du film Amazigh, sans intervention aucune.
En outre, dire la problématique du film marocain, c’est dire la peine des salles du cinéma au Maroc. On a la joie au cœur de savoir que la production cinématographique amplifie à l’heure
qu’il est, avec 12 longs métrages, et plus de 30 courts métrages chaque année, ce qui exprime, bien entendu, une croissance au niveau de ce cinéma, mais qui inclut en même temps un doute sur les lieux de diffusion de cette production, en l’absence des salles de cinéma. Ceci implique par la suite, le fait que les cinéphiles marocains sont exclus du droit de jouir de cette production.
Rachid Bouksim,Directeur du Festival
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S’agissant du champ médiatique, l’effort fourni pour lutter contre l’image extrémiste est louable sur tous les plans, mais les exigences de notre société nécessitent un militantisme tenace et persévérant pour éradiquer ce fléau. Il est indispensable pour toutes et tous de refléter le mouvement réel de notre société via un cinéma citoyen et savant. Pour ce faire, et sur le plan régional, on a besoin de multiplier les efforts pour former encore plus de jeunes dans le domaine de l’industrie cinématographique, et d’allouer des budgets considérables pour y arriver. Les producteurs aussi sont pas exclus de jouer un rôle dans la contribution au développement de nos jeunes aimant embrasser le cinéma, sans oublier les Mairies et les régions, et ce qu’ils peuvent faire dans ce sens. Ces efforts peuvent, non pas accélérer la vitesse du développement du cinéma, surtout dans la région de Souss Massa Draa, mais lutter aussi contre le chômage qui dévore l’artiste, sachant que cette année s’est écoulée sans une journée de travail pour plusieurs d’entre eux.
Dois-je mettre l’accent sur le rôle que doit jouer la télévision Amazighe en matière de production de films Amazighs ?, la question est pertinente et à jour, car au sein du FINIFA, on a intérêt à présenter chaque année des paradigmes cinématographiques représentant les quatre coins du monde, en vue de révéler devant tout le monde les résultats des vraies politiques s’engageant à développer la culture et le cinéma. La cinquième édition prouvera ça, en invitant le cinéma indien d’Amérique, qui est un édifice monté par HOLLYWOOD.
Le Festival International Issni N Ourgh du Film Amazigh signe sa présence humanitaire, avec l’accueil solennel de la star libyenne Madghis OUMADI, qui représente pour nous tous un signe de fraternité et d’amitié, « OUMADI a quitté son soleil pour rayonner dans la diaspora ».
RACHID BOUKSIMDirecteur du Festival
Rachid Bouksim,Directeur du Festival
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A l’heure où la nouvelle constitution reconnaît enfin la langue amazigh comme constituant organique de notre identité et où le cinéma ne cesse de s’ériger comme l’un de plus importants vecteurs médiatiques régionaux nationaux et internationaux, je suis heureux d’accueillir dans notre ville la cinquième édition du festival Issni N’Ourgh International du Film Amazigh, communément appelé FINIFA.
La ville d’Agadir ne pouvait faire autrement que d’encourager les femmes et les hommes qui ont déployé tous les efforts requis pour faire connaître les arts mineurs et majeurs de notre région à travers le monde, ainsi que l’atteste la mention « International » qu’a acquis FINIFA depuis l’année dernière.
Une dimension qui me parait très importante et qu’il ya lieu d’encourager au sein de FINIFA est le rôle qu’elle ne cesse de jouer depuis ses débuts sur le plan de la formation et de l’encadrement de nos jeunes dans les domaines de la filière cinématographique. Au risque de me répéter l’importance de ce média dans le développement tant économique que culturel n’est plus à démontrer. Et je salue a ce titre l’intérêt qu’accorde FINIFA au développement cinématographique dans notre région.
Je souhaite toute la réussite à votre festival.
Tarik El KabbajPrésident de la municipalité d'Agadir
Tarik El Kabbaj,Président de la municipalité d'Agadir
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Le Festival Issni N Ourgh fête cette année la cinquième édition de son Festival international du film amazighe. Cet événement est significatif à plusieurs égards. C’est, d’abord, le signe d’une maturité indéniable de l’Association Issni N’Ourgh en matière d’organisation et de promotion; c’est, ensuite, un indicateur de performance en termes de production et de réalisation du film amazighe ; c’est, enfin, une preuve d’intérêt des cinéphiles pour un art nouveau dans le champ culturel amazighe.
La culture amazighe s’enrichit d’année en année d’une production cinématographique qui allie le film vidéo au court et au long métrage, le film à caractère ethnographique à la fiction et au documentaire. Cet état de fait exprime la vitalité d’une culture qui se renouvelle dans un environnement mouvant. En effet, les expressions littéraires et artistiques propres à la culture traditionnelle connaissent des moments difficiles dus, à la fois, à la non transmission intergénérationnelle des savoirs et des savoir-faire et aux transformations des conditions de vie et de création de la société rurale. A contrario, les phénomènes de l’urbanisation, de l’éducation, de la formation et de la conscientisation des artistes ont conduit à l’émergence d’une culture nouvelle marquée par la créativité et l’ouverture sur les techniques modernes et sur les valeurs du temps présent. Le cinéma d’expression amazighe a largement bénéficié de l’évolution générale de la société marocaine dans la dialectique des facteurs endogènes et des facteurs liés au contexte de la globalisation des échanges des produits matériels et des produits symboliques.
Puisse le processus de revalorisation de la culture amazighe se poursuivre, s’élargir et s’approfondir dans l’étape historique que traverse le Maroc nouveau fier de la diversité de ses langues et des expressions de sa culture !
Ahmed BOUKOUSRecteur de l’Institut Royal de la Culture Amazighe
Ahmed Boukous,Recteur de l'IRCAM
Tarik El Kabbaj,Président de la municipalité d'Agadir
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Le festival Issni ourgh de cinéma amzigh poursuit depuis 2007 sa mise en lumière d’un patrimoine filmographique longtemps négligé et dont les multiples facettes, avec ses qualités mais aussi ses menus défauts se révèlent comme le vivant reflet d’un cinéma en plein mutation.
Cinq ans de découvertes, de coups de foudre, d’émotions et parfois de doutes, mais aussi de débats et de questionnements. A travers ce cinéma, les réalisateurs sondent leur culture: l’idée n’est pas de savoir si elle va bien ou mal, mais bien de savoir comment elle va.
L’optique artistique, historique, sociologique et identitaire du festival, lui permet d’évaluer la production filmique d’expression Amazighe sur l’échelon national et international.
Ce Rendez-vous innove, s’éclate et évolue en restant intègre à sa mission: celle de promouvoir le cinéma Amzigh dans toutes ses composantes, et d’accompagner ses créateurs dans leur développement et dans leur démarche en ouvrant la porte sur les champs des possibles artistiques.
Abderrzzak ZITOUNYDirecteur de la Ouarzazate Film Commission
Abderrzzak Zitouny,Directeur de la OFC
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Abderrzzak Zitouny,Directeur de la OFC
Jury Film Documentaire
Gazut Andre
Benjoua Elhassane
Né en 1938 en France. Diplômé des Arts et métiers de Vevey, benjamin des reporters au mensuel «Réalités» à Paris. En 1961, entre comme cameraman à la TSR. Coproduction pour «Continents sans visa» à la TSR et «Cinq colonnes à la une» à la RTF (France). Dès 1970, devient réalisateur et travaille exclusivement pour «Temps présent» qu’il coproduit de 1975 à 1978 et de 1989 à 1994. Parmi les films auxquels il a collaboré: «La dernière campagne» de Robert Kennedy (1968) ou «Le Chagrin et la pitié» (1970). Parmi ses réalisations primées: «Klaus Barbie, un procès pour quoi faire ?» (1984) ou «La Croix-Rouge prise au piège» (1992). Il a pris sa retraite en 2000.
journaliste au sein du quotidien ALAHADTH ALMAGHRIBIA et au sein du magazine mensuel AKHBAR ANNOUJOUMmembre actif de l’association marocaine des critiques de l’audiovisuel Titulaire d’une licence en langue et litterature anglaise integre de domaine de l’information apres une longue experience en tant que correspondant aupres de plusieurs journaux.Il a choisi depuis le début d’intégrer le domaine de la critique audiovisuelle et surtout celle qui concerne la radio et de la télévision au Maroc et ailleurs. Benjoua participe quotidiennement aux pages de la culture et de l’art au sein du journal AL AHDATH ALMAGHRIBIA.Pour ce qui est de l’amazighité; Benjoua et l’un des rares journalistes marocains qui s’est distingue par son intéret et de son suivi de plus prés de tout ce qui concerne le traitement de la culture et de la langue Amazigh dans les médias nationaux. D’ailleurs une rubrique hebdomadaire est consacré à l’amazighité dans l’audiovisuel au maroc dans son journal, surtout après le lancement de la chaine de télévision Tamazight.
Président du Jury
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mJury Film Documentaire
Abdellatif BentalebMarquant sa rentrée au journalisme en 2004 dans les rouages du mensuel ALANWAR, A. BENTALEB s’implique sûrement dans le métier jusqu’à ce jour, tentant presque tout, appuyé par une formation hétérogène, qui sculpte de lui un As du journalisme à Souss.
Fatima BoubakdyAvec une filmographie distinguée et diversifiée, remuant entre téléfilm, série et télé feuilleton, Fatima BOUBAKDY s’impose comme réalisatrice et femme de cinéma confirmée. Qui donc intercéderait auprès d’elle sans louer DOUIBA et bien entendu le fascinant HDIDAN ?!.
Héléne Claudot-HawadEst chercheur en anthropologie sociale au CNRS. Ses travaux sont centrés sur le monde touareg et plus largement amazigh. Elle a travaillé sur les identités plurielles au nord de l’Afrique, sur le nomadisme, la dépossession territoriale et la mondialisation, sur les productions littéraires et artistiques contemporaines comme outils de résistance. Elle est l’auteur de nombreux ouvrages et d’un récent documentaire long métrage (Furigraphier le vide. Art et poésie touareg pour le IIIe millénaire).
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jury Prix national de la cultureAmazigh
Brahim HasnaouiEnseignant Chercheur à I ‘Institut Royal de la Culture Amazighe, Docteur en genres artistiques et littéraires modernes. Il a soutenu une thèse de doctorat intitulée : « L’adaptation du roman au film ; cas du Maroc ». Auteur de plusieurs articles sur le cinéma, la télévision et la publicité.
Il a participé à des colloques nationaux et internationaux sur le cinéma et les médias: Langues et médias en méditerranée : Usages et Réception, faculté polydisciplinaire- Ouarzazate 2010 ; Le cinéma et le Maghreb-Tunis 2008 ; L’image de l’immigré dans les films des cinéastes du sud, in « le Cinéma et Migration : Ici et ailleurs le factuel et l’esthétique » – Khouribga, 2004. Enseignant du cinéma à la faculté des lettres et des sciences humaines D’Agadir Membre de jurys de plusieurs festivals du cinéma.
Noura El AzrakChercheuse au Centre de l’Aménagement Linguistique à l’Institut Royal de la Culture Amazighe, membre d’Unité d’Etudes et de recherche (UER) Lexique. Fait également partie du comité de rédaction de la revue scientifique de l’IRCAM « Asinag ».A dispensé plusieurs cours de linguistique amazighe à l’université Sidi Mohammed Ben Abdallah, Faculté des Lettres et des Sciences Humaines Fès- Saïs, dans le cadre
de la filière d’études amazighes, ainsi qu’à la Faculté des Lettres et sciences Humaines de l’université Abdelmalek Essadi de Tétouan dans le cadre du master de linguistique amazighe et arabe.Auteur d’ouvrages collectifs (Vocabulaire de la langue amazighe, Vocabulaire des média, Vocabulaire de l’audio-visuel, Vocabulaire grammatical, et Terme grammatical : application phraséologique) publiés par l’IRCAM.Co-auteur de la traduction français –arabe de « la nouvelle grammaire de l’amazighe».A son actif des articles sur la linguistique amazighe publiés dans des revues nationales.
Fouad LahbibFouad Lahbib est un écrivain, enseignant chercheur à l’institut royal de la culture amazigh. Il oeuvre dans plusieurs domaines culturels (peinture et calligraphie Tifinaghe; animation d’ateliers de langue amazighe et de création artistique; poète et écrivain traducteur...).Ses travaux ont été primé à maintes reprises : (1996) le prix de la traduction, (1998) le prix Said Sifaw de la nouvelle, (2009) le pris national de la culture amazigh. En 2002, il obtenu le prix Abdelkrim Khattabi pour créations de calligraphie Tifinagh et de Bandes Dessinées.
Président du Jury
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mFilms documentaires
IZENZAREN« Des mots comme des armes »
SynopsisIzenzaren est un groupe de musique Amazigh (berbères marocains) qui fut créé dans les années 70 dans cette vague mondiale de réappropriation des cultures dites « mineures » grâce à la musique traditionnelle populaire « la culture Amazigh a inventé Izenzaren pour se défendre et partager avec les autres »
Pour les Amazigh Izenzaren est un symbole de résistance sociale plus qu’ethnique. Les bergers du haut Atlas comme les chauffeurs de taxi d’Agadir, parlent de ce groupe et de son leader Igout Abdelhadi, comme d’une légende, comme d’un mythe de résistance pour un peuple confronté depuis des millénaires, aux vagues successives d’envahisseurs.
Izenzaren chante la pauvreté, l’exploitation, la répression, la sécheresse, la misère… « Izenzaren c’est une cause », C’est inlassablement depuis 35 ans pour Izenzaren le refus d’être trahi, galvaudé, acheté… le refus d’être consommé par un monde qui lui est étranger.Une cohérence rare respectable, indispensable…Izenzaren a chanté à l’Olympia et leur dernier enregistrement, vendu à plus d’un million d’exemplaires, date d’il y a 20 ans.
Pourtant, lorsque je suis allé au festival de Timitar Izenzaren chantait devant 100 000 personnes qui connaissaient ses chansons. Ce documentaire cherche à comprendre les raisons de l’encrage de ce groupe dans la société Amazigh, malgré 2 décennies de silence discographique et médiatique.
Auteur et réalisateur, attiré plus par le
documentaire, œuvrant dans ce sens avec
plusieurs chaines télévisées, entre autres,
France 3, RFO, Mezzo.
Ses films rasaient, et ce depuis ses débuts,
les quatre coins des préoccupations
humaines, souvenons nous du « chants du
temps longtemps » daté de 1999, et tout
le trajet parcouru arrivant à son dernier «
Menwar griot des Mascareignes » en 2010.
Christian Lorre
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Films documentairesAhmed Oul Kadi
un roi kabyleSynopsisLe XVIème siècle a été riche en événements, que ce soit au niveau local qu’international. Il verra, en outre, la naissance d’une personnalité exceptionnelle, qui jouera un rôle prépondérant dans l’histoire de l’Algérie. Il s’agit d’Ahmed Oulkadi, roi de Koukou.Cet homme d’envergure, sera non seulement roi de Koukou mais aussi roi de la régence d’Alger de 1520 à 1527. Il marquera de son empreinte l’histoire de l’Algérie en général et de la Kabylie en particulier. Il côtoiera les frères Barberousse avant de s’opposer à khair-eddine. Il fut aussi gouverneur d’Annaba sous les Hafsides Ce documentaire de 51 mn revient sur le parcours de cet homme d’exception. Tous les moyens ont été utilisés pour faire de cette œuvre, une œuvre à la hauteur du personnage : Images d’archive, documents d’époque, intervention de spécialistes et une recherche approfondie sur le sujet.
Ait iften hacine djamal est un réalisateur kabyle spécialiste du
genre film doc avec un palmarès redoutable. On cite « Ahmed
oulkadi , un roi kabyle » ; « l’ascension » ; « femmes tisseuses
d’Ait hichem ».
Il est l’un des producteurs basiques pour différentes télévisions
aussi bien en Algérie qu’ailleurs.
Ait Iften Hacine Djamal
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mFilms documentaires
LA LANGUEde Zahra
SynopsisLes Kabyles existent d’abord par la parole. Chaque geste, chaque instant de leur quotidien peut donner lieu à une langue poétique pleine de métaphores, de proverbes... Ne dit-on pas que dans ces contreforts montagneux dont ils sont les hôtes, la joute oratoire était un exercice courant ?
Une réalité qu’on se représente mal lorsque l’on plonge dans la société de l’immigration où ces hommes et femmes, souvent analphabètes, sont relégués exclusivement au rang d’ouvriers et de femmes au foyer…On imagine alors mal les orateurs qu’ils deviennent lorsqu’ils retournent dans leur langue.
Cette réalité, je la pressentais. J’en ai réalisé toute l’acuité, mesuré la
dimension en filmant ma mère, son quotidien et son histoire.
J’ai vu, fascinée, une femme arrimée à sa langue de façon indéfectible. Une femme dévoilant une oralité transmise de génération en génération. Une langue charriant éloquence et poésie pour dire l’enfance bucolique, l’exil, la pauvreté… Cette langue, c’est l’ultime bagage que des milliers d’émigrants kabyles ont emporté avec eux… Une langue pour se construire un ailleurs qui ne soit pas que l’exil…
C’est en Algérie que je suis née et en France que je vis
depuis l’âge de 6 ans. Après avoir obtenu un DEA de droit,
j’ai bifurqué, contre toute attente, vers le journalisme. J’ai
débuté avec Radio Zinzine, une belle radio libre qui vient
de fêter ses quarante ans. D'abord une émission régulière
avec le magazine Que Choisir , ensuite avec le Monde
diplomatique. Entre les deux, de nombreuses interviews, des
reportages… Et puis, il y a eu France culture pour laquelle j’ai
réalisé quelques documentaires et portraits. Parallèlement
et depuis huit ans, je suis journaliste pour un magazine
municipal. Et enfin, la réalisation, cette année de ce premier
documentaire cinématographique, La langue de Zahra dont
vous savez tout…
Finalement, l’essentiel de mon travail tourne autour de
l’immigration, de l’exil. L’exil en réalité m’obsède, me fascine,
pour tout dire me colle à la peau et finit toujours par
revenir par une petite porte. Cette fois c’est ma mère qui
l’a poussée. Je l’ai laissée s’y engouffrer car je savais que le
moment était venu de l’interroger sur ces morceaux de vie
que je n’ai pas trouvé le moment ou peut-être l’audace de
questionner.
Fatima Sissani
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C’est en Algérie que je suis née et en France que je vis
depuis l’âge de 6 ans. Après avoir obtenu un DEA de droit,
j’ai bifurqué, contre toute attente, vers le journalisme. J’ai
débuté avec Radio Zinzine, une belle radio libre qui vient
de fêter ses quarante ans. D'abord une émission régulière
avec le magazine Que Choisir , ensuite avec le Monde
diplomatique. Entre les deux, de nombreuses interviews, des
reportages… Et puis, il y a eu France culture pour laquelle j’ai
réalisé quelques documentaires et portraits. Parallèlement
et depuis huit ans, je suis journaliste pour un magazine
municipal. Et enfin, la réalisation, cette année de ce premier
documentaire cinématographique, La langue de Zahra dont
vous savez tout…
Finalement, l’essentiel de mon travail tourne autour de
l’immigration, de l’exil. L’exil en réalité m’obsède, me fascine,
pour tout dire me colle à la peau et finit toujours par
revenir par une petite porte. Cette fois c’est ma mère qui
l’a poussée. Je l’ai laissée s’y engouffrer car je savais que le
moment était venu de l’interroger sur ces morceaux de vie
que je n’ai pas trouvé le moment ou peut-être l’audace de
questionner.
Films documentairesLA CARAVANE
OUBLIÉESynopsisLa caravane oubliée est un documentaire qui fait le récit de l’aventure quotidienne des habitants du village d’Ankhssa. Chaque jour, dans ce petit village d’Ouarzazate, les paysans forment une petite caravane qui se déplace vers le cœur de la montagne afin de recueillir une herbe spéciale.Ils commencent leur voyage tôt le matin, en préparant les ânes pour la longue excursion. La route à travers ces montagnes désertiques est fastidieuse, surtout pour les enfants et les vieilles femmes. Ils marchent plus que dix heures par jour afin d’atteindre les zones où se trouve « Agwri » une herbe qu’on utilise pour nourrir les bétails.Malgré les difficultés, les villageois n’ont pas d’autre choix: leur économie est basée sur la vente de cette herbe sur les marchés voisins.En collaboration avec l’association locale on essaye de découvrir ce village isolé; la vie quotidienne de ces gens, leur joie et leur souffrance. On l’est accompagne pendant leur voyage pour partager les différents moments de cette caravane oubliée.
C'est un jeune réalisateur, ex-formateur à l’institut spécialisé des métiers de
cinéma de Ouarzazate. En 1999, son ami qui travaillait comme figurant dans le
film américain In the Beginning lui a proposé de le remplacer pour une journée
de tournage; cette seule journée fascinante dans le plateau de tournage du film
était suffisante pour le séduire et lui faire découvrir le charme du septième art.
Après avoir eu son DEUG en 2002 en littérature anglaise, il décide de se lancer
dans le domaine informatique, particulièrement dans les effets visuels. Il a travaillé
pour des agences à Casablanca et Marrakech avant d’être recruté pas l’OFPPT
(Office de la Formation Professionnelle et de la Promotion au Travail) en tant que
formateur aux effets spéciaux au sein de l’ISMC (institut spécialisé des métiers de
cinéma). En 2009, il lance sa propre boite de production -Numedia productions.
Au sein de laquelle il a produit deux filmes documentaires et plusieurs vidéos clips
pour des artistes amazighes. Aujourd’hui, il vit à Berlin, dans le but de s’ouvrir sur
d’autres styles cinématographiques et de faire des connaissances avec d’autres
réalisateurs et productions internationales valorisant ainsi le potentiel de sa ville
natale -Ouarzazate et encourageant ces productions à s’investir au Maroc.
Abdessamad Idrissi
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mFilms documentairesFilms documentaires
TAGUT
SynopsisTAGUT est un film documentaire réalisé par la cinéaste Melanie Reynard en partenariat avec l’Association Dar Si-Hmad.
Ifni et les montagnes de l’Anti-Atlas au sud-ouest du Maroc sont caractérisés par un climat aride à semi-aride. Les femmes Amazigh vivant dans ces montagnes doivent chercher de l’eau en moyenne de 3,5 heures par jour dans des puits qui où l’eau n’est pas abandonte surtout durant la saison chaude.
Mais, fait intéressant, cette région est particulièrement humide. De Décembre à Juin, les conditions météorologiques
créent un épais brouillard et de longue durée.
Le film suit l’Association Dar Si-Hmad (une équipe mari-femme, avec des collaborateurs du Canada, des États-Unis, le Chili, et Tenerife, Espagne), lors du lancement du projet phare de collecte d’eau de brouillard en Juin 2011 afin de fournir potable l’eau pour les communautés amazighes vivant dans les montagnes de l’Anti-Atlas.
www.darsiahmed.ma
Melanie Reynard native de los Angeles.elle
a eu un master en multimedia ç l’université
de stanford, elle a produit une émission sur la
diaspora Africaine publié sur youtube et visitée
par plus de 2 .8 million de personne.
Melanie Reynard
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Films documentairesLES BERGERSDU DJURDJURA
SynopsisC’est le récit d’une journée passée en compagnie de jeunes bergers du Djurdjura.
ces derniers partent regrouper leur bétail éparpillé sur de vastes pâturages afin d’éviter que leur bêtes ne s’égarent.
Magnifique reportage qui montre les paysages paradisiaques de la Kabylie....
Cherfaoui farid né le 08 aout 1982 à Maatkas willaya de tizi ouzou
(Algérie) il a suivit ses études à l’institut national de l’audiovisuel à
Alger en 2005 devenant ainsi après 3 année d’études titulaire d’un
diplôme de technicien supérieur en audiovisuel spécialité IMAGE qui
lui permis d’aborder ce domaine et d’avoir de l’expérience en travaillant
dans des sociétés de production en Algérie. Il a eu aussi l’occasion
d’enseigné la vidéographie dans une école privé en 2010, et en octobre
de la même année il a réalisé un film documentaire sur LES BERGERS
DU DJURDJURA, participé avec au FESTIVAL DU FILM AMAZIGH ou il a
eu un prix spécial du jury à la compétition panorama.
Cherfaoui farid
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mFilms documentaires
MEMOIRE
SynopsisLa capitale du sud du Maroc, avec ses quartiers et ses anciens douars formés après la destruction de l’historique Tamdoult, est l’héritière du secret d’une ancienne cité qui a cessé d'exister depuis voilà sept siècles. Sa destruction a constitué un secret ayant intrigué et les savants et les historiens ; un secret qui a provoqué une polémique et qui a masqué la vérité. Une vérité retrouvée, grâce à l’émission Tawada, dans une ancienne chanson transmise par les langues d’Aqa.
C'est une chanson qui raconte l'histoire du commandant mérinide Mohomed OUALI AMENSAG et de la destruction de la ville de Tamadlout. L’épisode de l’emission Tawada est une présentation de la ville d’Aqa, de Tamadlout, de ses quartiers et de ses douars, c’et est aussi une invitation pour s’y intéresser beaucoup plus en tant que patrimoines historiques.
M'barek LARGO natif d’agadir , ayant une
expérience de 10 ans en audiovisuel au
sein de la société FAOUZIVISION. Cadreur,,
monteur , preneur de son et réalisateur
,ayant réalisé douze documentaires en
langue tamazight pour la société SORIAD
2M " TIMITAR N TOUDERT" en 2006/2007.
Actuellement il est en cours de réalisation de
52 documentaires du programme TAWADA
pour la chaîne TAMAZIGHT 2011/2012
M'barek Largo
d'aqqa
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LES MURMURES
Films documentaires
DES CIMESSynopsisLa région du sud-est marocain est connue par une grande tradition orale constituée de chants, de poésies, de contes, de mythes. Le documentaire « les murmures des cimes » est un regard centré sur cette tradition à travers trois portraits : 1- Bouaazama Ahmed Ben Aamar : de la région de Mellaab, province d’Errachidia est un poète et musicien qui a su prouver ses talents artistiques depuis son jeune âge. Le film est une visite dans le parcours artistique de cet homme âgé de 70 ans et qui a participé à l’enrichissement de la culture marocaine amazigh.2- Outtaher My Ahmed : âgé de 78 ans, il est poète et historien. My ahmed garde dans sa mémoire les grands évènements qu’a connus la région de Tinejdad et fait de la poésie
un moyen d’expression des exploits de la résistance marocaine. My Ahmed nous fait découvrir les grandes traditions des tribus d’Ait Atta en ce qui concerne les mariages, les fêtes, les récitals poétiques… 3- Ammari Amrou : est un poète de la région de Zaouit Sidi Hamza, dans la province de Midelt. Il est poète et musicien. Son métier d’animateur de « halka » lui a fait découvrir toutes les régions du Maroc. Agé de 77 ans, il a accompagné par sa poésie les grands évènements de l’histoire du Maroc . Dans ce film, il témoigne du rôle d’accompagnement que peut jouer la poésie dans les grandes occasions.« Le chant des cimes » est un film qui veut rendre hommage à des vétérans de la poésie et est une tentative de sauvegarde de fragments de la mémoire marocaine.
Cherqui AMEUR, né à Bejaad, une petite ville dont les ruelles, les labyrinthes,
l’architecture inspirent tout mordu des arts visuels. A l’age de 14 ans, il était
sur scène avec la troupe théâtrale « la renaissance ». L’adhésion au ciné
club de la ville lui fait découvrir les débats passionnés et passionnants que
connaissaient ces structures.
Les engagements professionnels le mènent au sud-est, dans la région de
Ouarzazate et Errachidia. Il y découvre un espace immense, une lumière
raffinée et une population aimable et fortement attachée à sa culture. Un
milieu idéal pour se lancer dans la photographie et puis après dans la réalisation
de films documentaire.
La critique a eu sa part dans les activités de Cherqui AMEUR, qui a publié
des articles, des travaux de recherche et a participé à la rédaction d’œuvres
collectives dédiées au cinéma.
Il dirige actuellement le festival cinématographique universitaire qu’il a fondé
en 2003 et est secrétaire général de l’association marocaine pour les études
cinématographiques. « Les murmures des cimes » est son deuxième film dédié
aux artistes et militants du sud-est restés en herbe.
Cherqui Ameur
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mCourts Métrages
AMJLI
Synopsisle film « L’égaré » réalise le phénomène du travail des enfants et qu’ils seraient toujours victimes de la traite d’êtres humains:Il est du devoir des parents et des autres aussi d’éduquer les enfants car l’école exige de l’élève qu’il s’intègre à l’institution scolaire.Il est obligé pour l’état de mettre en place un système éducatif en éliminant tous les obstacles qui empêchent l’accès à l’éducation pour tous les enfants d’âge scolaire sons discriminations.
Amateur de l’image, ayant une expérience
de 10 ans dans le domaine de l’audiovisuel.
Jamal Boulhiara
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Courts MétragesADADSynopsis
Le film était la fin d’un long et grand rêve d’une personne .Mais cette fin tragique au vue des autres était la naissance d’un début avec des racines qui ne requiert ni matérialisme ni racisme. C’était le retour d’un fils a sa mère qui l’avait toujours attendu.
né le 10/07/1987 dans la région de Tarrast – Inezgane où il a fait ses
études, et c’est là où il a commencé ses premiers pas dans l’art en
tant qu’acteur, réalisateur, auteur et metteur en scène. Il a remporté
deux fois le prix du meilleur réalisateur dans la catégorie du théâtre pour
enfants. En 2010 il entame sa première et unique expérience dans le
court métrage sous le titre
: (ADAD).
Abdesalam Elmennani
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mCourts Métrages
IRAFAN
SynopsisLe film Irafan est une représentation d’une tradition encestrale « Taghenja ». une histoire qui relie d’une manière symbolique entre l’homme et la femme, la terre et le ciel.
n dirait la jeunesse elle-même. Ce talentueux
artiste trop connu par ces antécédents
théâtraux, mais qui s’est offert une formation
cinématographique luisante, formant de lui
l’homme du cinéma de demain.
Yuba Ouberka
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Courts MétragesCLEF
Synopsisquand l’épouse d’iDiR découvre les trahisons conjugales persistantes de son mari, elle décide de se venger à sa manière, en l’enchaînant pendant son sommeil au lit. Ensuite elle va laisser son mari dans cette situation inconfortable, le temps qu’il prenne réellement conscience de ses actes indignes d’un mari responsable et fidèle.En effet, quand iDiR se réveille et constate l’ampleur de la riposte de sa femme, il va renoncer à ses habitudes malsaines.
Aziz El Malaa, brillant artiste de la nouvelle vague culturelle amazigh est né à
Inezgan, le 25 janvier.
A l’ag de 14 ans, il s’installe à Agadir après avoir fréquenté les planches théâtrales
à l’école primaire comme au collège. Au cours de plusieurs interprétations et
participations sur la scène théâtrale d’Agadir, Aziz ElMalaa a acquis une expérience
professionnelle considérable.
Le jeune artiste Aziz ne se limite pas à son expérience théâtrale, il explore aisément
et allégrement le 7éme art par la réalisation de plusieurs films documentaires et
trois courts métrages : notamment “ agharass” ;”la clé” puis “imagine”, le premier
court avec lequel il a réussi à obtenir le prix du meilleur court métrage au festival
de warzazat 2011.
Par ailleurs l’artiste confirmé Aziz elmalaa a réussi la réalisation de ses diverses
œuvres et ce à partir de son propre environnement et son imagination riche
par son sens profond d’observation. Aussi puise t il son inspiration à travers sa
mémoire riche par l’ensemble des films qu’il a pu voir depuis son enfance.
Aziz El Malaa
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mCourts Métrages
LE TEMPS DES
Synopsisle père de Yamna doit vendre les moutons ,pour aller chercher du travail en ville car le manque d’eau rend la vie de sa petite famille très dure a supporter. Yamna est inquiète , et sent que son père va l’abandonner ,alors que elle ,elle ne veut pas abandonner le vieil arganier qui a toujours été son confident. En s’inspirant de l’histoire d’Abraham et Agar ,elle essaie d’accomplir un miracle qui ferait jaillir une source d’eau afin de garder son père au village.
Chkiri Lahoucine né en 1972 à Agadir, vivant à
Bruxelles fils d’immigré marocain de la première
génération. émerveiller par l’apparition de
la télévision en couleur, depuis tout petit il
voulais participer à l’évolution de la culture
cinématographique.
et il est devenu réalisateur monteur indépendant
dans le monde de l’audiovisuel.
Après avoir suivit plusieurs études et
formations sur les métiers du cinéma en Europe
et notamment au Canada.
Influencé par le cinéma d’auteur belge, il
privilégie le style cinéma social.
Entre 1998 et 2011, il réalise 6 moyens courts
métrages et 4 longs métrages.
Chkiri Lahoucine
MIRACLES
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Chkiri Lahoucine né en 1972 à Agadir, vivant à
Bruxelles fils d’immigré marocain de la première
génération. émerveiller par l’apparition de
la télévision en couleur, depuis tout petit il
voulais participer à l’évolution de la culture
cinématographique.
et il est devenu réalisateur monteur indépendant
dans le monde de l’audiovisuel.
Après avoir suivit plusieurs études et
formations sur les métiers du cinéma en Europe
et notamment au Canada.
Influencé par le cinéma d’auteur belge, il
privilégie le style cinéma social.
Entre 1998 et 2011, il réalise 6 moyens courts
métrages et 4 longs métrages.
Courts MétragesLA DERNIÈRES DES
SynopsisAujourd’hui est le dernier jour d’enfance de HOURIA.
EL BERKAOUI HICHAM, infographiste et Scénariste d’origine de Midelt.
El Berkaoui Hicham
SIRÈNES
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mCourts Métrages
NON !
SynopsisLa terreur et la pédagogie classique de notre école marocaine nous prive de nous manifester, notre identité et nos compétences artistiques, c’est ce que va refuser la petite fille ! mais il y à toujours un problème du contenu linguistique !
Hamid azizi est né en 1974 a elksiba région
de beni mellal.
Réalisateurs et scénariste de plusieurs
courts métrage ayant plusieurs prix a
l’échelon nationale.
Hamid Azizi
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Hamid azizi est né en 1974 a elksiba région
de beni mellal.
Réalisateurs et scénariste de plusieurs
courts métrage ayant plusieurs prix a
l’échelon nationale.
Courts MétragesMOKHTAR
SynopsisMokhtar, un enfant chevrier, découvre un jeune hibou au pied d’un arbre à chèvres. Dans la région, un hibou est le signe d’un mauvais présage. Le soir, Mokhtar décide de rapporter sa trouvaille à son père, un homme taciturne et superstitieux. L’enfant se heurte à l’ignorance de son père avant de commettre un acte désespéré sous les yeux clairs et ridés de sa grand-mère, une femme fatiguée, témoin impuissant de ce drame marocain teinté de merveilleux et de fatalité. Basé sur une histoire vraie.
Née en 1977 à Genève de mère suisse et de père marocain, Halima Ouardiri
a passé son enfance et son adolescence à Genève, en Suisse. En 1998, elle
s’installe à Montréal et suit d’abord des études en science politique, puis
en cinéma à l’université Concordia. Depuis, elle a travaillé pour des festivals
de films internationaux avant de rejoindre l’équipe d’EyeSteelFilm en 2005
pour travailler sur des films documentaires engagés, dont Up The Yangtze, le
grand succès documentaire de l’année 2008. Elle a scénarisé et réalisé Au
Sol, un court métrage de fiction qui a gagné le Prix Fo
nds Jeunesse Québec.
Elle a remporté le Grand Prix du concours d’écriture scénaristique de la
10e édition de Cours écrire ton court! 2008 organisée par la SODEC pour
son projet Mokhtar. Depuis, le film s’est promené dans plusieurs importants
festivals internationaux et a gagné de nombreux prix, dont une nomination
pour meilleur court métrage au Jutra 2011.
Halima Ouardiri
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mCourts Métrages
TAMATART N’USQSI
SynopsisSaid se pose toujours des questions depuis son enfance jusqu’à l’obtention du baccalauréat. Sa réussite sera-t-elle la fin de ses interminables questions ?
El houssaine CHANI, ce ressortissant d’ER-
RICH, se veut un homme de scénario dans
le sud-est Marocain. Avec ses scénarios/
réalisations de courts métrages, à savoir :
« Les amis » ; « Tislit N Unzar » ; «Pourquoi
» ; « Rose du soir » et bien d’autres, CHANI
demeure un créateur presque parfait.
El Houssaine Chani
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Courts MétragesTABRAT N’OUASS
SynopsisToutes les actions se déroulent en un seul jour où l’actrice joue trois rôles complémentaires différents au niveau de la culture et de l’espace.
Abdellah BENLYAZID est un jeune réalisateur marocain né en 1988
à Dcheira-Agadir, une ville du sud-ouest marocain, située sur la côte
Atlantique. Il a eu son bac en sciences physiques et a fait des études de
Musique au conservatoire d’Agadir.
Après l’obtention de son bac, il a fait ses études supérieures à une
école française des arts et medias à Casablanca spécialité : réalisation
cinéma et télévision. Parallèlement à ses études, il a travaillé avec des
boites de productions comme monteur vidéo et mixage de musique.
Il a réalisé des projets de vidéo clips , des films documentaires et des
courts métrages.
Abdellah Benlyazid
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mCourts Métrages
TABRAT N’OUASS
SynopsisOn devient cinéaste quand on croise notre regard avec celui des autres...
Le jeune réalisateur Abdallah Idirgui est né en 1984 à Agadir. Il est
producteur de SOUSS RECORDS (boite de production audiovisuelle),
il a réalisé 3 vidéos clips *le traitre(AMGHDAR)* de Ayn mamlaka,
*Mustapha versus M-Boy* de MC M-Boy,*Rkhiss o Ghali* de M-boy,
ainsi que deux court-métrages *REGARDS(TIZZRI)*et*CLEF(TASSARO
UTE)*, il a réalisé aussi l émission *enquête* et l émission *Quickly* qui
sera prochainement diffusée sur une chaine Web.
Nommé aussi DJ FACE, Abdallah, le DJ, le compositeur et le producteur
de groupe de rap STYLE SOUSS de la fusion amazighe, a produit, avec
plusieurs jeunes chanteurs de souss, plusieurs chansons et compilations
dont entre autres *SON D’AGA* et *RAP 2 BLED*
Abdallah Idirgui
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Invité d'honneur
Cesar GalindoCesar Galindo, d’origine péruvienne, est
architecte ayant décroché un doctorat en
Urbanisme à Paris où il a effectué aussi
des études de cinéma. Depuis 1992 à
2010, il a enchainé entre courts métrages,
documentaires et clip vidéo réalisés
généralement pour la télévision suédoise.
Nous citerons, à titre d’exemple, le court
métrage “Cinq minutes pour les morts de
L´Amérique" qui est une Fiction de 35 mm,
et pour lequel il a obtenu le Prix du Meilleur
court métrage et du public « Nordisk
Panorama » en 1992. En 1997, il était
Membre du jury du Festival International
du Court Métrage Clermont-Ferrand. Il
travaille actuellement sur deux manuscrits
de longs métrages “ El cine de mi pueblo”et
“Niña Ave” et sur deux documentaires “Yma
Sumac – The movie” et “La victoria de
Peter”
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mInvité d'honneur
films de : Cesar Galindo
Synopsis
Synopsis
Synopsis
Le dieu des Andes
La chanson de la vie
Uratarimanta
Un matin le soleil se réveilla et décida d’envoyer sur la terre aux Incas un message pour chasser tous les maux et toutes les souffrances. Pour cela il choisit l’oiseau le plus grand, capable de voler plus vite que la foudre : Le seigneur des Andes « Le Condor Apu »C’est un documentaire sur la lutte entre le condor et le toro, métaphore de la lutte entre les indiens et les blancs depuis 500 ans.
Dans le cimetière de Huancaro à Cusco on célèbre le jour des morts. Ce jour-là, ils descendent sur la terre à la rencontre de ceux qu’ils aiment. Au même moment on accueille un nouveau-né comme unélement du cycle de la vie. Parce que, dans le monde andin on considère la mort comme faisant partie de la vie, comme un voyage vers une autre dimension de la vie, jamais comme la fin ou l’achèvement de l’être. Nous pouvons rester dans l’au-delà et aussi dans le monde des vivants. Il y a une continuité à l’intérieur de la totalité existentielle et universelle.
Enclavé dans les Andes péruviennes, Uratari est une communauté qui réussit la conjugaison entre une pratique ancestrale de travail collectif et de solidarité et la pratique de la démocratie au niveau local. Les situations et les récits des paysans eux-mêmes ont été recueillis pour être diffusés comme matériel de discussion. L’idée était que deux ou trois représentants de la communauté se déplacent avec le film et leur expérience pour provoquer la discussion. A partir de leur propre expérience, de leurs besoins, de leur langue et de leurs coutumes, c’est un film sur la communauté et la démocratie à l’intention des autres communautés.
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Invité d'honneurfilms de : Cesar Galindo
Synopsis
Synopsis
La terre est notre vie
QUAND LES GRUES
Dès le début, la question des définitions a été posée : pourquoi les nommer autochtones, plutôt qu’indigènes, premiers, natifs… ? Autant de termes qui diffèrent selon les langues, les cultures et les sociétés. Très vite, nous avons perçu que derrière ce terme «autochtone» tel qu’entendu par l’ONU , il y a les Innus, les Algonquins et Huron-wendats d’Amérique du Nord, les Quechuas du Pérou, les Touaregs du Mali, les Nenets de Sibérie, les Lokonos de Guyane Française, les Yaakus et les Ilchamus du Kenya, les Lisus de Thaïlande, les Gurungs du Népal, les Oneidas des Etats Unis, les Boros d’Inde, les Aborigènes d’Australie, les Manobos des Philippines… représentant plus de 350 millions de personnes dans le monde.Tous ont fait part de leurs situations, de leurs combats… et nous ont sensibilisé à la préservation de leurs
cultures et de leurs langues. En 2009, ces rencontres se sont inscrites dans un événement plus large, en donnant une grande part aux expositions : une exposition de photographies sur les grilles de l’Hôtel du Département présentant le travail de quatre photographes sur les peuples autochtones des régions Amériques du Nord et Centrale et une exposition «Créations contemporaines aborigènes» se déclinant sur quatre lieux différents (la Galerie IUFM Confluence(s), le Centre Hospitalier Saint Joseph - Saint Luc, l’Hôpital Mère-Enfant Natecia et les Echanges Culturels Bullukian).En s’appuyant sur ces expositions et en choisissant de se questionner sur les terres, les terroirs et les territoires, nous avons proposé aux visiteurs de découvrir l’exposition de photographies en présence des représentants de peuples autochtones et des photographes et d’organiser des temps d’échanges, en particulier avec nos invités aborigènes, face aux oeuvres présentées dans l’exposition «Créations contemporaines aborigènes».
C'est le contact entre l'école de Gudhem en Suède et celle de Patacancha au Pérou. En 2004 les deux écoles ont décidé que tous les enfants de l'école de Patacancha iraient en voyage au Machupicchu. Un voyage qui en apparence n'a rien d'extraordinaire mais qui en réalité est un rêve pour tous les enfants des Andes, héritiers directs des Incas.
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mInvité d'honneur
We Still Live Here
SynopsisWe still live here racontre la stupéfiante histoire d’une langue « wampanoag » qui retourne de null part aprés avoir désparu depuis longtemps. Les wampanoag ont fait revivre leur langue et leur culture.
Anne Makepeace est productrice, réalisatrice
et scénariste de films indépendants depuis
25 ans
Anne Makepeace
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Invité d'honneurNO MORE SMOKE
SynopsisKili Radio touche régulièrement 30’000 Lakotas qui vivent dans 3 réserves et à proximité de Rapid City (Dakota du Sud). Au milieu du paysage aride et somptueux des Badlands, la réalisatrice nous montre une radio aux moyens archaïques, mais au rôle social primordial dans une communauté brisée par les humiliations passées et la pauvreté. De l’organisation d’un festival de hip-hop pour « natives », à un message pour retrouver un cheval ou une demande de livraison de gaz à une famille isolée par la neige… l’éventail est large. Kili (« cool », « génial », en lakota) Radio est le fil rouge du film. Tous ces destins se croisent à Kili Radio et permettent de relier le passé tragique au présent et tracer le portrait d’un peuple qui a retrouvé une fierté, malgré les difficultés. Ce ne sont plus des signaux de fumée qui sont envoyés, mais bien un message d’espoir diffusé par Kili Radio."
Fanny Bräuning est née en 1975 à Bâle. Après
des études de cinéma à Zurich, elle a travaillé
comme assistante sur divers projets avant
de réaliser : Meine Mutter (1999), et Paloma
(2001). No More Smoke Signals est son
premier long métrage documentaire.
Fanny Bräuning
SIGNALS
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mInvité d'honneur
AITUNSynopsis
Josephis et Nashtash, un couple d’aînés de La Romaine, nous partagent leur savoir de la culture Innu à travers la pratique du plumage et de l’évidage d’eiders.
Kévin Bellefleur vient de la communauté
innue de la Romaine. Il est âgé de 29 ans
et fait de la musique depuis l’âge de six
ans. Il est auteur-compositeur-interprète
et se spécialise dans la musique pop-rock.
Il fait régulièrement des tournées dans les
communautés innues. Dans les prochaines
années, il aspire à sortir son premier album.
Depuis sa participation au Wapikoni mobile,
il a développé une passion pour la caméra
et l’image et aimerait continuer à se
perfectionner dans le domaine. Publiée ne
2011.
Kévin Bellefleur
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Invité d'honneurDes forêts de Kitcisakik
SynopsisSous forme de carte postale vidéo, Evelyne Papatie raconte son voyage dans les forêts du Mato Grosso au Brésil. À travers les rites et coutumes de ses frères, les Ikepengs, Evelyne retrouve la fierté d’être une anishnabe.
Evelyne Papatie est originaire de Kitcisakik, une communauté algonquine
située en Abitibi. Elle prend part au Wapikoni mobile depuis six ans, en tant
que participante, réalisatrice, caméraman, preneuse de son et monteuse.
Elle a réalisé 6 courts-métrages dans le cadre du projet. Le film «Kokom
déménage», co-réalisé avec Vince Papatie, a été présenté en première partie
du film «Le peuple invisible», de Richard Desjardins et Robert Monderie,
distribué dans plusieurs salles au Québec à la fin de l’année. Le film qu’elle
a tourné au Brésil dans une communauté ikepeng est très en demande
dans des festivals partout dans le monde. Evelyne est depuis plusieurs
années très impliquée au sein du Conseil Anicinapek de sa communauté
et elle est également présidente du conseil d’administration du Wapikoni
mobile et productrice du Studio Miskwadesi de Kitcisakik. Récemment,
son projet déposé à Téléfilm Canada dans le cadre du programme Histoires
autochtones a été accepté pour développement de scénario.
Evelyne Papatie
aux forêts de Xingû
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mInvité d'honneur
EKA TSHENTEKAU
SynopsisUne message à ceux qui ne savent pas
Tshiuetin est un Innu de la Côte-Nord ayant
toujours vécu à Mani-Utenam. Il a voyagé
assez souvent pour savoir qu’il y a un monde
autour de lui. Il fait des films pour le plaisir
de communiquer la façon dont il voit son
peuple. Publiée en 2010.
Tshiuetin
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Invité d'honneurL'AMENDEMENT
SynopsisQuatre générations. Trois pensionnats. Deux cultures. Une extinction.
Kevin Papatie est originaire de Kitcisakik, une communauté algonquine
située en Abitibi une région du Québec (Canada). Il participe au Wapikoni
mobile depuis cinq ans, en tant que participant, réalisateur, caméraman,
preneur de son, musicien et coordonnateur. Il a réalisé 6 courts-
métrages dans le cadre du projet. Son film «Wabak», réalisé en 2006,
a remporté le prix du Meilleur film expérimental au Winnipeg Aboriginal
Film Festival 2007 et le prix de Jeune espoir «Mainfilm» au Festival
Présence autochtone 2007. Son plus récent film «L’Amendement», a
été présenté en première partie du film l’Âge des ténèbres, de Denys
Arcand, distribué dans 120 salles au Québec et a remporté le Prix du
meilleur film en langue autochtone au Festival ImagineNative 2008.
Présentement, il est responsable du studio permanent de Kitcisakik qui
gère maintenant plusieurs contrats lucratifs. Publiée en 2010.
Kevin Papatie
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mInvité d'honneurTREMBLEMENT DE TERRE
SynopsisAssemblant expérimentation visuelle et poésie, cette célébration poétique de la culture innue raconte le passage des traditions à la modernité.
Réal junior Leblanc est né à Uashat, où il est
revenu après avoir vécu dix ans à Québec. Il
est très fier de ses racines et s’inspire de sa
culture autochtone pour écrire ses poèmes.
Il a deux enfants, un garçon de quatre ans
et une fille de deux ans. Avec Nanameshkeu,
son premier film, il envoie un message à ses
frères et sœurs. Publiée en 2010.
Réal junior Leblanc
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Invité d'honneurNOUS SOMMES
SynopsisSuite à la rencontre avec les Zapatistes au Mexique, Kevin interpelle sa propre Nation avec un film-manifeste.
Kevin Papatie est originaire de Kitcisakik, une communauté algonquine
située en Abitibi une région du Québec (Canada). Il participe au Wapikoni
mobile depuis cinq ans, en tant que participant, réalisateur, caméraman,
preneur de son, musicien et coordonnateur. Il a réalisé 6 courts-
métrages dans le cadre du projet. Son film «Wabak», réalisé en 2006,
a remporté le prix du Meilleur film expérimental au Winnipeg Aboriginal
Film Festival 2007 et le prix de Jeune espoir «Mainfilm» au Festival
Présence autochtone 2007. Son plus récent film «L’Amendement», a
été présenté en première partie du film l’Âge des ténèbres, de Denys
Arcand, distribué dans 120 salles au Québec et a remporté le Prix du
meilleur film en langue autochtone au Festival ImagineNative 2008.
Présentement, il est responsable du studio permanent de Kitcisakik qui
gère maintenant plusieurs contrats lucratifs. Publiée en 2010.
Kevin Papatie
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* Cesar Galindo
* Taher Houchi
* Céline Brassard
* Triphaine Poulain Www.Wapikoni.Com
* Dave Colmar
* Anne Makepeace
* Aimee Barry Broustra
Grand remerciement
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Hommage à la Libye libre
Sana ElmansouriInterprète, traductrice et speakerine de la chaine lybia Alhoura
Madghis Umadi“Après une formation en animation 3D à l’Académie d’art de San Francisco, sa carrière se lance en travaillant sur « Prince of Egypt » avec Dream Works comme tweener puis sur Ragrats à Toronto. Après quelques participations dans différents festivals de film nord américain, il met une pause à sa carrière pour monter sa propre agence TeeraDesign à Mountain View en Californie. En 2005, il reprend sa passion en travaillant sur « The memory of the shadow » un dessin animé de Fouzivision.
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Belkacem Hadjadj Né en 1950 à Alger, Belkacem Hadjadj vit à Bruxelles depuis de nombreuses années. Après avoir étudié le cinéma à l’INSAS, d’où il est sorti diplômé en 1977, il a travaillé pour la Radio Télévision belge (RTB) jusqu’en 1978 et pour la Radio Télévision algérienne (RTA), entre 1978 et 1987.
Entre 1985 et 1991, il a enseigné le cinéma à l’Instritut National des Sciences de l’Information et de la Communication (INSIC) d’Alger. En 1982, il a réalisé un premier court métrage, La Goutte, suivi de trois téléfilms : Le Bouchon en 1980, Bouziane-el-Kalaï en 1983 et El Khamsa en 1988. En 1995, il a signé son premier long métrage fiction, Machaho, et en 1998, le long métrage documentaire L’Arc-en-ciel éclaté , en 2000 Une femme taxi à Cidi-el-Abbès . Présenté au festival de Carthage en 2004, El Manara (2004) a été salué pour son réalisme.
Hommage à la Libye libre
Mohamed mernichL’histoire retiendra que Mohammed Mernich a investit un vaste espace artistique qui était prisonnier d’un point de vue unique. Il s’agit du cinéma, et précisément du cinéma marocain. Il l’a fécondé en y adjuvant un composant culturel de taille que ce cinéma ignorait auparavant, mais aussi en l’enrobant d’une nouvelle sensibilité artistique. Le parcours cinématographique de Mohammed Mernich a été initié très tôt à travers sa société de production audiovisuelle et dont l’une des missions essentielles était et est de rendre et de montrer la brillance culturelle et artistique dont regorgent les vastes régions amazighes marocaines dans le domaine de la chanson et des films de consommation individuelle. Il a réalisé en un laps de temps relativement court trois long-métrages de fiction. « Tilila » et qui a été retenu dans la compétition officielle du festival national du film en 2007, « Tamazirt Oufella » qui a retenu dans celui de 2008, et enfin « Wac wac a tairi » projeté en 2010.
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Ateliers
Le FINIFA et le FIFOG proposent des ateliers de sensibilisation à la réalisation à accès ouverts, encadrés par M.Taher Houchi, Directeur de FIFOG, et par Mme ELIF KARAKARTAL, Réalisatrice et Formatrice au Film Documentaire. Le but de ces ateliers est de sensibiliser les participants aux métiers de l’audiovisuel et au mécanisme de la narration cinématographique. Les participants passeront par la phase de l’écriture scénaristique jusqu’au montage en passant par le repérage, le tournage et le dépouillement des images.
Atelier reportage
Elif Karakartal
Tahar Houch
Ethnologue de formation / Réalisatrice et Formatrice Film documentaireDe mère française et de père turc, j’ai vécu 10 ans au Pérou. C’est le vécu au sein des communautés andines au Pérou qui a orienté mon choix d’étudier l’Ethnologie. J’ai obtenu un Master 1 en Ethnologie à l’Université de
Paris VIII puis un Master II en Ethnomethodologie à l’Université de Paris VII. Parallèlement, j’ai réalisé des documentaires afin d’être plus proche des acteurs et des dynamiques culturelles et identitaires.
Tahar HOUCH a une licence ès lettres et linguistique françaises de l’université d’Alger, un DES en études du développement de l’université de Genève, et un D.E.A de langue, littérature et civilisation françaises de l’université de Lyon II. Il a également une formation de journaliste sur le terrain, avant
de se spécialiser dans la critique cinématographique. Il est membre de l’Association suisse des journalistes spécialisés (ASJS), et de l’Association suisse de journalistes cinématographiques (ASJC) Durant plusieurs années, il a suivi plusieurs formations d’analyse filmique, de grammaire cinématographique, d’écriture de scénario et de réalisation en Suisse et en Angleterre. Il a aussi organisé et dirigé plusieurs fois des formations de sensibilisation aux métiers du cinéma et de la critique cinématographique en Suisse, Algérie et au Maroc.Après avoir couvert pour plusieurs journaux nationaux et internationaux, durant nombreuses années, de multiples festivals de film internationaux dont ceux de Cannes, de Locarno, de Venise, de Dubaï et de Berlin, il fonde et dirige le Festival du film oriental de Genève (FIFOG) dont il est le Directeur artistique.
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mAteliers
L’atelier à pour objectif de faire découvrir aux enfants bénéficiaires le mécanisme de la production cinématographique. Partir de l’idée à la réalisation à travers l’écriture des petites situations tournées sous forme des séquences dont les thèmes sont choisis par les participants
Atelier Initiation à la réalisation
Mourad khallou Mourad khallou est un jeune cinéphile qui s’interesse à l’écriture des scénarios en premier lieu, puis à la vidéo dont il trouve son plaisir de réaliser des courts métrages de temps en temps.Il a animé plusieurs ateliers d’écriture de scénario et de la culture cinématographique.Ses courts sont primés dans divers
rencontres et festivals à l’échelle nationale, et projetés aussi à l’étranger. Son parcours est encore très modeste, mais prometteur.
Atelier de photographie destiné à l'enfant, puisque L'image n'a pas seulement une fonction illustrative mais sert également à revendiquer une fonction démonstrative. En outre, la photographie sert à changer la vue d’un enfant, étant donné qu’elle n’est plus un simple métier, mais plutôt un art difficile à assimiler.
Atelier de photographie destiné à l'enfant
Benzoua Abdelkrim.Photographe professionnel à RABAT depuis cinq ans, après de nombreuses années marquées par sa passion, le photographe abdelkrim se révèle être un artiste atypique. Un parcours qui le mène à devenir barman dans un grand palace marocaine , puis « développeur multimédia » pour la société national de radiodiffusion marocain «SNRT».
Mais toujours en gardant intacte sa passion pour la photographie.
Une passion qui née avec les photos de voyages, mais aussi des portrait artistiques. Ces expériences le mènent rapidement à travailler de manière professionnelle dans la photo de mode et de nature.
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Table Ronde
Ouarzazate a longtemps été une terre d’accueil des productions étrangères pour le tournage de films. Cette industrie est devenue l’une des principales sources de revenus de la région et un outil efficace de promotion touristique.Conscients des retombées économiques et touristiques, le Conseil Régional de Souss Massa Draa et son partenaire le Centre Cinématographique Marocain ont tracé une vision stratégique pour le développement de l’industrie Cinématographique. La Ouarzazate Film Commission a donc été créée afin d’installer durablement Ouarzazate et sa région sur le marché de l’accueil des tournages et de jouer un rôle majeur en tant que guichet unique pour le cinéma à Ouarzazate.
Présenté par : Abderrazak ZitounyModéré par : Abdelmajid Tagoulla
Acteurs, réalisateurs, producteurs, distributeurs, professeur et directeurs de festivals auront l’occasion de se retrouver, de se rencontrer autour du film Amazigh
Une rencontre qui propose un temps de réflexion sur l’avenir du cinéma amazigh. Il s’agit d’imaginer des nouvelles collaborations entre acteurs et des croisements d’univers professionnels différents..
Régions et Industrie du cinéma
Rencontre de professionels
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mExpositions
Cette exposition commune est consacrée à l’art de la caricature, réunissant deux jeunes caricaturistes Houcine Aassid et Mohamed Ouchen, l'exposition propose d'explorer ce genre artistique à travers des tableaux traduisant les différents changements que vit le monde actuellement.
Caricature
Houcine Assid
Mohamed Ouchen
Artiste plasticien et caricaturiste natif de Kenitra en 1973. Il publie ses caricature d’une manière régulière a travers plusieurs supports médiatiques au Maroc.Il a son actif plusieurs prix dont le grand prix du festival national de la caricature en 2008.
Artiste peintre, âgé de 39 ans et né à ( Chtouka Ait Baha ) Agadir. Il a réalisé plusieurs travaux artistiques qui varient entre la caricature, l’art plastique et l’art naïf.Actuellement il travaille comme caricaturiste pour le journal ( RISSALAT AL OMMA )
Salle d'exposition Place Ait Souss (Théâtre de Verdure)
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Expositions
PrésentationDans le cadre de la vision stratégique pour le développement de l’industrie cinématographique à Ouarzazate et parallèlement à son plan d’action 2011, La Ouarzazate Film Commission célèbre, les figurants , les techniciens et les prestataires de service qui ont travaillé dans le secteur cinématographique à Ouarzazate depuis des années et ce à traves une exposition itinérante.
Cette Exposition itinérante incluant des photos sur les figurants de Ouarzazate réalisée par Juan A ; MUNOZ, et une expo des costumes de cinéma utilisés dans les plus grandes productions cinématographiques tournées à Ouarzazate est un hommage à tous les acteurs de l’industrie cinématographie dans la région.
Objectifs - Créer des liens entre l’OFC et les acteurs de l’industrie Cinématographique. - finaliser le Lancement du plan d’action de la Film Commission.- Consolider le leadership de Ouarzazate dans l’industrie Cinématographique.- Etablir un contact direct avec les compétences locales de l’industrie cinématographique.- Rendre hommage aux figurants et technicien de la région.- Faire de Ouarzazate la base de promotion de l’industrie cinématographique marocaine.-dynamiser la base de données de l’OFC.
Une exposition des photographies rares de la ville d’Agadir avant le tremblement de terre de 1960. Une collection de l’artiste photographe Mohamed Marassi.
Ouarzazate Film Commission
Exposition photographique
Salle d'exposition Place Ait Souss (Théâtre de Verdure)
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mProgramme
Cérémonie d’ouverture : Court Métrage : Le Temps des Miracles - 23’/ Chkiri LahoucineInvité d’honneur :Urtarimanta - 51’/ Cesar Galindo
Matinée Spéciale invité d’Honneur : Eka Tshentekan - 3’19/ TshiuetinAitun - 06’/ Kévin Bellefleurwe still live here - 82’/ Anne Makepeace
Court Métrage : Non - 11’/ Hamid AziziLa dernière des sirènes - 05’/ El Berkaoui Hicham
Invité d’honneur :Apukuntur - 29’/ Cesar Galindo
Documentaire :Les bergers de Djurdjura- 30’/ Cherfaoui Farid
Court Métrage : Tiziri - 12’/ Abdallah Idirgui
Documentaire :Murmures des Cimes - 40’/ Cherqui Ameur
Court Métrage : Clé - 12’/ Aziz El MalaaIrafan - 14’/ Yuba Ouberka
Documentaire :Mémoire d'aqqa - 26’/ M'barek LargoTagut - 18’/ Melanie Reynard
Jeudi 06 Octobre
Vendredi 07 Octobre
21h
10h
15h
18h
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Programme - Suite
Table Ronde :
Régions et Industrie du cinémaAnimée Par Abderrzzak ZITOUNY (OFC)
Court Métrage : Amjli - 14’35 /Boulahyara JamalAdad - 11’30 / Abdesalam ElmennaniTamatart N'Useqsi - 09’/ El houssaine Chani
Documentaire :La caravane - 40’/ Abdessamad IdrissiHmad oul kadi un roi kabyle - 14’/ Ait Iften Hacine Djamal
Court Métrage : Tabrat N'ouass - 16’/ Abdellah Benlyazid
Invité d’honneur :La chanson de la vie - 45’/ Cesar Galindo
Documentaire :La langue de Zahra - 93’/ Fatima Sissani
Court Métrage :
Mokhtar -16’/ Halima Ouardiri
Hors Compétition : Bentejui - 28’/ Armando Ravel
Documentaire :Izenzaren - 52’/ Christian Lorre
Table Ronde :
Rencontre des Professionnelsautour du Film Amazigh
Cérémonie de Clôture
Samedi 08 Octobre
Dimanche 09 Octobre
10h
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21h
18h
15h
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mProgramme off
Le Film Amazigh Voyage dans le Monde àtravers les festivals Suivants :
Ateliers :
- Atelier Reportage Animé par ELIF KARAKARTAL, Tahar Houchi et Leonardo Pérez
- Atelier Initiation a la réalisation (destiné pour les Enfant) animé par Mourad khallou
- Atelier Photographie (déstiné aux éléves de l'école Attaraji) animé par Benzoua Abdelkrim.
(Complexe Culturel Khair Eddine)
Expositions :
- Cette Costumes de Cinéma - Ouarzazate Film Commission
- Exposition Commune de Caricature de Houcine Assid et Mohamed Ouchen
- Exposition des anciennes Photos d’Agadir de Mohamed Marassi
Projections :
Projection pour les éléves de l'école El Haraji
Du Mercredi 05 au Dimanche 09 Octobre
Du 10h jusqu'à 18h
Festival du Film Amazigh à Hollywood www.laaff.org
La Semaine du Cinéma Algérien à Lillewww.facebook.com/sudnordevolution
Festival du Film Amazigh d’Algériewww.film-amazigh.org
Festival du Film Amazigh de BarceloneFestival International du Film Oriental de Genève www.fifog.com
Festival du Film Maghrébin de Nabeul 2011Festival National du Film Amazigh à OuarzazateFestival Cinéma des peuples d'Imouzzar kandar
Maghrib des Films www. maghrebdesfilms.fr
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Programme Best of
Court Métrage : La Bénédiction - 11’/ Rachid ElhazmirImiri - 20’/ Jamal Taamarte
Documentaire :Furigraphier le vide - 55’/ Hélène Claudot-Hawad
Invité d’Honneur : Tremblement de Terre / Rréal Junio LeblancNous Sommes / Kevin Papatie
Court Métrage : Imagine - 13 ‘ / Aziz El MalaaAyyis Ino- 15 ‘/ Fdil AbdellatifInvité d’Honneur : Des forêts de Kitcisakik aux forêts de Xingû/ Evelyne PapatieL'amendement / Kevin Papatie
Samedi 08 Octobre
Dimanche 09 Octobre
20h
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Court Métrage : Izouran - 20’/ Az Larabe AlaouiPomme Rouge - 09’/ Mourad Khallou
Documentaire :Teshumara - 51 ‘/ Jérémie Reichenbach
Invité d’Honneur : La terre est Notre Vie / Cesar Galindo
Court Métrage : Né en 1981 - 12 ‘/ Jamal IidoumjoudAnarouz - 15’ / Samira Boulkaid Popés en réseaux - 10 ‘/Ahmed Baidou
Documentaire :
boughafer 33 - 43 ‘ / Ahmed BaidouInvité d’Honneur : No more Smoke Signal – 90’/Fanny Bräuning
Jeudi 06 Octobre
Vendredi 07 Octobre
20h
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Dr Abdellah Harguil
M. Abdellah M’zali
M. Abdelmalek Benhmade
M. Abdellah Tidrarine
M. Ahmed Zahid
Dr Ahmed Saadi
M. Ahmed Saber
M. Abdemajid Tagoulla
M. Brahim El Mazned
M. Driss Azdod
M. Elbachir Benhmade
Mme Fatima Bano Tihihite
Dr Hafid Achafi
M. Hassan Aourid
M. Hassan Akyoud
Dr Houcine Boujja
M. Hassan Oufari
Mme Helene Hagan
Mme Helene Claude Haoud
Mme Jamila Bargach
M. Jawad Faraji
M. Khalil Mano
Dr Mohamed Harouchi
Mme Myriam Bakir
Mme Latifa Yacoubi
Mme Meryem Demnati
M. Mohamed Biguenzi
M. Mohamed Mounib
M. Mohamed Oufari
M. Mohamed Sallo
M. Moulay Mohamed Zaitit
Mme Naima Barhoun
M. Omar Halli
M. Samuel Torello
Mme Zohra Makach
Le club Issni N Ourgh
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Equipe d'Issni N Ourgh
Rachid Bouksim Rachid Moutchou Directeur du Festival
Mohamed Oufari Coordination générale
Mohamed Elmanchour Assistant Technique
Lahoucine Oublih Responsable de Presse
Hafsa Oubou Attachée de presse
Ali Arejdal Assistant Technique
Brahim Rouibaa Directeur technique
Rachid Boukhenfer Coordination
Najwa Ouchatir Infographiste
Fatima Zahra Harouri Accueil
Hassan Kharraz Infographiste
Nadia Soussi Animatrice
Hassan Mounaazil Conception Trophé
Hassan Mazouz Projectionniste (CCISA)
Mohamed Saili Réalisation du Trophé
Abderrahim Salhi Projectionniste (place Tawada )
Abdellatif Ajerrar Conception Logo
Brahim Errami Rédaction Arabophone
Rachid Es-Sakhi webmaster
Mohamed Qamss Réalisation bande d’annonce
Hanane Gahamou Voix bande d’annonce
Nacer Idrissi Traduction des textes
Directeur Artistique du Festival
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Rachid BOUKSIM0668-62-42-88
Rachid MOUTCHOU0667-38-55-90
www.issninourgh.com