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Portfolio Camille Boutin - Architecte
-La Louvière 2012 : restructuration d’une friche indus-trielle du centre ville de La Louvière pour le concours « La Louvière - métropole culturelle 2012, les nouveaux batisseurs»
-Gare du Nord : Commissariat de Police dans le quartier de la Gare du Nord de Bruxelles
-Venise : Zone de logements adaptée au rythme vénitien
-Nouveaux commanditaires : développement d’une mé-thode de création de projet participative avec des ha-bitants du quartier de l’entre-deux-ponts à Ixelles
-Young Architect competition : concours sur la restructura-tion d’un domaine viticole de la région de Vérone en Italie
-«Comment l’architecture contemporaine parti-cipe à un nouveau changement de statut pour le vin ?» : étude sur le développement massif d’ar-chitecture renommée dans le Bordelais et la Rioja
-«L’architecture des domaines viticoles du Borde-lais - Etude d’un modèle» : travail de fin d’étude sur le modèle du chateau viticole Bordelais.
-Rescensement passif : réalisation d’un rescense-ment et d’une publication sur les batiments pas-sif du département des Cotes d’Armor en France
-Dans le cadre de « La Louvière - métropole culturelle 2012, les nou-veaux bâtisseurs » la ville proposait à plusieurs écoles d’architectures de requalifier une friche urbaine. Située à quelques mètres du centre-ville, à proximité de la gare et proche de plusieurs infrastructures pu-bliques (commune, piscine, centre commercial, …) cette friche créait une importante fracture et scindait deux parties de la ville qu’il s’agis-sait de relier : le centre-ville et l’ancien canal avec ses ascenseurs hy-drauliques. Le projet mis en place en binôme proposait de remettre à nu l’ancien canal (recouvert au 20ème siècle). Le projet s’articule autour d’infrastructure publique : nouvelle gare, places, équipements sportifs … Le projet questionnait en outre l’habitat de demain en développant une architecture intégrée à la nature au travers de la verticalité et de la topographie. La proposition axait sur la nécessité de concevoir la ville au travers de la végétation. Chaque tour accueille, comme il fut demandé dans le programme, des appartements à typologies différentes mais aussi des infrastructures semi-publiques propres au complexe de logements. Il s’agit de salles polyvalentes, d’équipements pour les jeunes et de crèches.
-La Louvière, Belgique
-Requalification d’une friche urbaine dans le centre-ville : master plan, équipements, logements
-BA3, 2011-2012
-Travail en binome avec Julie Bascher
-Exposé à La Louvière dans le cadre de l’exposition «La Louvière capi-tale culturelle 2012»
Projet «La Louvière - métropole culturelle 2012, les nouveaux batisseurs»
Projet de Julie Bascher - Habiter la nature au travers de la topographie
Habiter la nature au travers de la vertica-lité - Habiter parmis les arbres
Nouveau quartier développé par la ville de La Louvière
Restructuration de la gare de La Louvière comme pôle multimodal
Nouveau centre commercial pro-jeté par la ville de La Louvière
Hall d’exposition de la La Louvière
Restructuration d’un batiment industriel en pôle sportif
Equipement collectif propre au quartier : crèche, espaces associatifs, salles de ren-contres ...
Simplex
Duplex
Duplex
Duplex
Simplex
Toiture terrasse Simplex
Salon
Chambre
Salle de bain
Terrasse
Salle à manger
Cuisine
Espace bureau, salle de jeux en mezza-nine sur le salon
Chambre ChambreSalle de bainChambre
Chambre
Salle de bainEspace bureau, salle de jeux en mezza-nine sur le salon
CuisineSalle à mangerTerrasseSalon
Chambre
Salle de bain
Salon Cuisine salle à
manger
Terrasse Salle debain
Chambre
-L’atelier d’architecture Public Relations se proposait d’étudier cette année, au travers du quartier nord de Bruxelles, la question de l’acupu-ncture urbaine. A partir d’une analyse, libre, du contexte physique et social du quartier il semblait évident que l’absence d’un commissariat dans cette zone de Bruxelles posait question et pouvait être le point de départ de la réflexion. Comment le développement d’un commissariat de proximité peut-il faire office d’acupuncture et être le point de dé-part d’une nouvelle dynamique de quartier ? Le projet se proposait de développer un commissariat de proximité en accord avec les problé-matiques du quartier (prostitution, délinquance, …). En questionnant l’architecture « traditionnelle » des commissariats le projet tentait une relecture des espaces punitifs, des lieux d’enfermements en dévelop-pant un bâtiment à l’architecture ouverte, transparente axée autour de la visibilité depuis l’espace public.
-Quartier nord, Bruxelles, Belgique
-Définir un programme cohérent avec le contexte et proposer un pro-jet pérenne
-BA3, 2011-2012
-Travail individuel
-Atelier Public relation
Projet «Un commissariat gare du nord»
30 Site
Boulevard Saint-Lazare / Situation existante
33Espaces verts
Boulevard Saint-Lazare / Situation existante
On remarque deux parcs en intérieur d’îlot, accessibles au public dans le quartier prairie, ainsi que le jardin du
peu utilisé par les habitants du quartier.
31
Boulevard Saint-Lazare / Situation existante
On distingue trois zones séparées par les voies de chemin de fer et la petite ceinture.
- Le quartier prairie avec une typologie d’îlots d’habitations.- Le quartier d’affaire (quartier nord) avec des tours de bureaux.- Le quartier Rogier et rue neuve (Bruxelles ville) mixte.
Affectation du sol32
Zones d’habitation Zones de mixité Zones de forte mixité Zones de parc Zones administrative Zone de chemin de fer Zones d’équipement d’intérêt collectif ou de service public Liserés de noyau commercial Zone d’habitation à prédominance résidentielle
Zone de commerce sexuel
Boulevard Saint-Lazare / Situation existante
30 Site
Boulevard Saint-Lazare / Situation existante
34
Mosquée
Eglises
Hotels
Piscine
Crêche
Centre commercial
Parc et aire de jeux
Centres scolaires, facultés
Médiathèque
Gare
Boulevard Saint-Lazare / Situation existante
On constate un manque d’équipements dans le quartier, notamment de crèches, de lieux de cultes et d’espaces de santé.
38 Réseau de mobilité
0 100 200 300m
Rue Royale
Bld du Jardin Botanique
Rue Verte
Rue d’Aerschot
Rue de Brabant
Bld Emile Jacqmain
Bld Adolphe Max
Rue Neuve
Rue du Progrès
Bld Saint-Lazare
Bld Simon Bolivar
Bld du Roi Albert II
Boulevard Saint-Lazare / Situation existante
Diversité des types de mobilité mais le quartier prairie reste relativement indemne.
36 Commerces sexuels
Zone de commerce sexuel
Boulevard Saint-Lazare / Situation existante
Concentration des commerces du sexe autour de la rue de Brabant et de la rue d’Aerschot.
37
0 100 200 300m
Rue Royale
Jardin Bld du Jardin Botanique Botanique
Rue d’Aerschot
Rue de Brabant
Gare du Nord
Bld Adolphe Max
Rue Neuve
Rue du Progrès
Bld Saint-Lazare
Tour Dexia
Place Charles Rogier
Espaces structurants
Boulevard Saint-Lazare / Situation existante
nord, la rue royale et la petite ceinture.
35
Zones commerciales
Commerces
Boulevard Saint-Lazare / Situation existante
Importance de deux pôles commerciaux : la rue neuve et la rue de brabant
39
Boulevard Saint-Lazare / Situation existante
Transport en commun40 Hauteur des bâtis
bâtiments < R+4
R+4 > bâtiments < R+8
bâtiments > R+8
Boulevard Saint-Lazare / Situation existante
Les bâtiments du quartier prairie sont de typologie traditionnelle bruxelloise (assez étroit et peu haut)
Quartier gare du nord Zone d’étude Morphologie Quartier gare du nord Espaces verts
Points d’intéret Rues commerciales Prostitution Eléments de définition du quartier
Transports en commun
Axes de transport principaux Hauteur des bâtiments Commissariats de police à Bruxelles
Gare du nord Rue d’Aerschot Projet de commissariat Quartier de bureaux Jardin Botanique
COUPE AA’
COUPE BB’
COUPE CC’
COUPE DD’
COUPE EE’
COUPE FF’
COUPE AA’
COUPE BB’
COUPE CC’
COUPE DD’
COUPE EE’
COUPE FF’
COUPE AA’
COUPE BB’
COUPE CC’
COUPE DD’
COUPE EE’
COUPE FF’
-L’atelier d’architecture « architecture et anthropologie » se proposait cette année d’étudier la ville de Venise. L’analyse du contexte avait ré-vélé des composantes très particulières propres à la ville : inscription au patrimoine mondial de l’UNESCO, montée des eaux (Aqua Alta), construction offshore d’un barrage titanesque, et tourisme de masse. Une dernière notion qui avait révélé un impact certain sur l’aspect social de la ville : augmentation des bateaux de croisières, augmen-tation des loyers, fuite des vénitiens (1 vénitien pour 266 touristes), détérioration des fonds marins et du bâti existant. Le projet mis en place développait une structure permettant la création de nouveaux logements répondant d’une part a la question «comment vivre avec l’eau ?» et d’autre part à la volonté de réduire le rapport 1/266 en fai-sant revenir le vénitien au cœur de sa ville ; mais aussi en intégrant la question «comment vivre avec l’autre ?» par le biais d’une mixité en proposant une partie réservée aux touristes, et permettre ainsi une interpénétration des sphères privées. Permettre ainsi de :- Voir l’eau comme lien, comme processus de rencontre. Réapprendre de son contexte, et vivre avec l’eau.- Ramener des homo-vénitiens sur Venise centre et tenter de réduire le rapport 1 homo-vénitien pour 266 touristes.
-Venise, Italie
-Définir un programme cohérent avec le contexte et proposer un pro-jet pérenne
-MA1, 2012-2013
-Travail individuel
-Atelier Architecture et Anthropologie
Projet «21 ponte della liberta, Venezia» - Permettre, une interpénétration des sphères privées et une mise en avant du quotidien.- Réunir différentes temporalités : touristes, HV, eau, …- Proposer le début d’un tourisme participatif, totalement absent du paysage vénitien.
En réponse à ces volontés, le projet proposait de fermer le Ponte Della Liberta, unique pont reliant Venise à la terre, en y installant une « ville nouvelle » avec ses logements et ses equipements.
-Suite à la demande de Margot Van de Putte de réquisitionner le sché-ma directeur du contrat de quartier de l’entre-deux-ponts à Ixelles, il semblait évident pour nous d’étudier non pas le résultat mais plutôt la méthode. Il fût décidé d’expérimenter avec un groupe d’usagers du quartier une méthode alternative proche des Nouveaux Commandi-taires. Ce projet qui n’est pas terminé a débuté en septembre 2013 et se matérialise par de multiples rencontres. Le projet met en avant la nécessité de réquisitionner le lien entre les habitants et les contrats de quartier et plus largement le lien entre les usagers et la commande pu-blique afin d’obtenir des projets pérennes en accord avec les besoins et envies réelles de la population. Le projet propose la mise en place d’une méthode alternative, ou en tout cas complémentaire aux contrats de quartier, permettant un véritable investissement des acteurs du lieu dans une temporalité plus propice à une réflexion de fond.
-Ixelles, Belgique
-Proposer une méthode alternative (et participative) de création de projet qui permettrait de questionner le rapport entre habitants et commande publique.
-MA2, 2013-2014
-Travail de groupe avec Julie Bascher, Frédérique Donck et Joséphine Mallart
-Atelier Terrain d’architecture
-Conférence à l’évenement Wanderlust
Projet «Les nouveaux commanditaires»
MÉDIATEUR
COMMANDITAIRES
ARTISTE
ÉCLAIREURTECHNICIENS
USAGERS
-Il s’agissait d’un concours international ouvert aux étudiants et jeunes architectes. Organisé par le YAC, young architects competitions, le concours proposait de questionner l’architecture et l’organisation d’un domaine viticole italien de la région de Vérone. Porté par les mêmes volontés que les domaines de France et d’ailleurs, ouverture au public et architecture démonstrative, le concours proposait aux participants une requalification totale de l’image du domaine au travers de l’archi-tecture. Axé autour de la pédagogie et de l’oenotourisme, le projet sug-gérait le développement d’une partie publique par le biais d’un musée du vin, d’espaces de conférences, de dégustations, mais aussi d’espaces plus techniques comme les laboratoires et la chambre de séchage. Ce dernier point fut l’élément phare du développement du projet. Tech-nique particulière à la région de Vérone, le séchage semblait, pour nous, refléter au mieux la spécificité du domaine. Le projet développé proposait en plus une conception écoresponsable.
-Vérone, Italie
-redéfinir l’organisation et les stratégies spatiales d’un domaine viti-cole de la région de Vérone
-2014
-Travail en binome avec Julie Bascher
Concours «Young architect competition»
-L’article, publié dans « La revue des œnologues » en France en juillet 2013, se proposait d’étudier un phénomène particulier du monde vi-ti-vinicole à savoir la demande croissante de rénovations des domaines par des architectes reconnus. L’article se proposait d’étudier deux ré-gions manifestes du phénomène : le Bordelais en France et la Rioja en Espagne. De façon très pragmatique, article scientifique oblige, l’étude tentait de montrer le rôle majeur de l’architecture dans les stratégies de développement des domaines viticoles de ces deux régions. Tout en explorant plusieurs pistes, l’article faisait le choix de mettre en avant un point particulier, à savoir la corrélation entre l’ouverture des do-maines au grand public, l’oenotourisme, et le développement expo-nentiel de l’architecture contemporaine dans ceux-ci.
-Article écrit dans le cadre du cours adossé à l’atelier Architecture et Anthropologie
-2013
-Co-écriture avec Fabrizio Bucella, Camille Gerhard, Harold Burnet, Flora Nerrin, Abdelrahman Nasser
-Publié dans «La revue des oenologues» en juillet 2013.
Article «Comment l’architecture contemporaine parti-cipe à un nouveau changement de statut pour le vin ?»
-Introduction du mémoire :«En 2013 dans son étude Une révolution dans les chais ? Les viti¬-culteurs du Bordelais, acteurs de leurs paysages, Raphael Schri¬mer écrivait « Où trouver les oeuvres de Ricardo Bofill, Christian de Port-zamparc, Mario Botta, Herzog et de Meuron, Jean Nouvel, et bientôt Norman Foster, à moins de cinquante kilomètres les unes des autres ? New York? Shanghai? Dubaï?»Certes la question du lieu est éminemment pertinente : quel lieu peut regrouper autant de bâtiments issus d’architectes internationalement reconnus ? Mais la vraie question ne se¬rait-elle pas plutôt : qu’ont-ils construit ? Quel programme a pu attirer autant d’architectes renom-més ? Un musée ? Un gratte-ciel ? Nous sommes bien loin du milieu urbain et de ce type de pro¬grammes car il s’agit ici en réalité du monde rural et plus précisément du milieu viticole Bordelais. Le monde rural sou¬vent délaissé par les « stararchi-tectes » est aujourd’hui, au travers du vignoble Girondin, en passe de devenir un véritable laboratoire architectural. En effet, en une ving-taine d’années seulement, des dizaines de bâtiments contemporains ont vu le jour dans les vignes. Certes il ne s’agit, à priori, que de bâti-ments agricoles et industriels, mais les moyens créatifs, financiers, et humains mis en place nous rappellent directement que nous sommes ici dans le domaine de l’exceptionnel. Adeptes des grands prix d’architectures, ces architectes ont fait le choix de participer pleinement à la construction de l’image contempo-raine des vignobles du Bordelais.La question serait alors de se demander pourquoi ces « starar¬chitectes » ont investi la campagne Bordelaise ? Est-ce la suite logique dans la montée des échelons : gratte-ciel – musée – château viticole ?
-Mémoire de fin d’étude
-2013-2014
-Travail individuel
TFE/Mémoire «L’architecture des domaines viticoles du Bordelais - Etude d’un modèle»
Cette relation est évidemment symbiotique puisqu’elle sert à la fois au domaine viticole et à l’architecte où il s’agit de l’asso¬ciation de deux produits luxueux, qualitatifs (le plus souvent) véhiculant une image de noblesse et de richesse. Mais comment une industrie agricole a su attirer des archi¬tectes au-tant renommés ? Et surtout dans quel but ? Devenu une véritable « machine à sous » avec ses actionnaires, ses fonds d’investissements … le milieu viticole Bordelais est aujourd’hui le premier vignoble au monde en terme de ren¬tabilité. Certes le milieu viticole avait subi des années de marasme mais les excellentes cam-pagnes primeurs du début du 21ème siècle ont redonné confiance aux domaines. Là où les autres commandes, qu’elles soient publiques ou privées, ont tendance à limiter et cadenasser les budgets, le vignoble Bordelais ne connait apparemment pas la crise. Ici, les budgets sont illimités et l’architecte a de multiples possibilités. De gros budgets pour de grands architectes alors. Un phénomène nou¬veau diront certains mais qui, en réalité, a toujours été présent dans les vignobles Giron-dins. Nous essayerons de montrer dans cette étude que cette stra¬tégie est en marche depuis des siècles. Une stratégie propre aux vignoble Borde-lais qui viserait à lier l’art et l’économie. Il s’agira de s’appuyer princi-palement sur deux périodes de l’histoire viticole du Bordelais. La pre-mière se situe autour du 16ème avec l’apparition du terme « château viticole » pour qua¬lifier les domaines. Nous essayerons d’expliquer l’incroyable « pré-modernité » des stratégies de développement mises en place par les domaines viticoles à partir du 16ème siècle. Ces straté-gies s’axent autour de trois concepts principaux : sy¬nergie entre am-bitions culturelles et ambitions économiques, synergie entre urbanité et ruralité et synergie entre local et global.La deuxième période correspond à l’ère contemporaine des vignobles. Il s’agira d’étudier les réponses des architectes contemporains afin d’une part de comprendre les stratégies mises en place et d’autre part d’analyser si ces réponses s’ins¬crivent dans les mêmes concepts et préoccupations dévelop¬pées au 16ème siècle.»
Château Pavie
Château Faugères
Château La Dominique
Château Cheval Blanc
Château Barde-Haut
Château Angelus
Saint-Emilion
Château Pichon Longueville
Château Margaux
Château Latour
Château La Lagune
Château Ducru-Beaucaillou
Château Cos D’Estournel
Médoc
P.Visiteur
P.Visiteur
P.Visiteur P.Visiteur
P.Visiteur
P.Visiteur
Château Pavie
Château Faugères
Château La Dominique
Château Cheval Blanc
Château Barde-Haut
Château Angelus
Château Pichon Longueville
Château Margaux
Château Latour
Château La Lagune
Château Ducru-Beaucaillou
Château Cos D’Estournel
-La première partie du stage, proposé par le CAUE, consistait en la réa-lisation d’un recensement des bâtiments passif, ou dans une démarche écoresponsable, du département. La France n’est pas spécialement en avance dans la réalisation de bâtiments passifs et la réglementation la plus « poussée » est la RT2012 – réglementation thermique 2012. Bien loin des critères passifs la mise en place d’une publication sur le sujet semblait alors une évidence. Destinée au grand public cette publica-tion se veut claire et simple mais aussi offensive et perturbatrice. Son but est évident : motiver les professionnels et les particuliers à passer au passif.
-Mission de stage
-2013
-Travail collectif
Stage «Recensement passif»
Langueux
St-Brieuc
Lannion
Rostrenen
Plouaret
Ploufragan
PleneufVal-André
Lamballe
Etable sur Mer
Plerin
Caulnes
La deuxième partie du travail consistait en la véri�cation de toutes les données thermiques avancées par les architectes.Pour réaliser ce travail nous étions 2 stagiaires.Il s’agissait d’une part de contacter les bureaux d’études pour obtenir les PHPP (équivalent français des PEB). Et d’autre part il s’agissait de véri�er les calculs, les coupes tech-niques …Le logiciel PHPP étant quasiment identique à celui du PEB belge, il ne fut pas di�cile de m’adapter. De plus la formation d’école d’architecture en Belgique met beaucoup plus l’accent sur le côté thermique. Ce qui m’a permis d’apporter de nombreux éléments supplémentaires aux analyses et véri�cations.