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زية عهة الشهمجلذه الوشزت ه و ﺟمﻌةلكاميزونار المهدي ا د و ساعد عل اقزا ىقزاءة كل شهز الOctobre– novembre 2013 Binour est une revue de l’association DAROU MAHDI Autorisation n° 016/RDA/F32/BAPP « La terre s’illuminera de la LUMIERE de son seigneur .» S.39/69 bin o ur الحجخ ذ1433 Télécharger votre revue BINOUR en visitant le site du centre Zahra de France au: http/ www.centre-zahra.com/Bibliothèque/Binour N° 31 د عدPour soutenir ou encourager ce travail, écrivez nous à تصبل ة الخ يسجري المج لدعم وشس[email protected] L’imam Cheikh Abdoul Kamil ن زاجع اوب الي اوب

binour - centre-zahra.com · 3 L Intercession (Shafa'at) a question de l'Intercession (Shafa'at) est l'une des questions les plus controversées au sein de l'Islam. L'école de pensée

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دار المهدي الكاميزونجمعة ووشزت هذه المجلة الشهزية عه

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2013

Binour est une revue de l’association DAROU MAHDI

Autorisation n° 016/RDA/F32/BAPP

« La terre s’illuminera de la LUMIERE de son seigneur .» S.39/69

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Pour soutenir ou encourager ce travail,

écrivez nous à

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لقيبمخاسىي جعد متي شست يم امه شهغالو : اهحغػه اإليبو البم L’Imam Hussein(as) a dit: « Quiconque me visite après ma mort, je le visiterai le jour du jugement »

T rois mois d’interruption pour des raisons indépendantes de notre volon-

té, mais enfin, nous voici encore une fois de plus ensemble pour la troi-

sième année consécutif. Nous profitons pour remercier tous nos frères

et sœurs qui n’ont ménager aucun effort pour que votre revue appa-

raisse encore dans les kiosques et sur la toile, afin que nous puissions continuer à

œuvrer sur le chemin droit (islam) tel tracé par le sceaux des messagers et en-

voyés Muhammad et protéger par les illustres imams infaillibles issus de sa des-

cendance. Nous demandons à Allah de les faire miséricorde.

« Allahouma labayk, Allahouma labayk! » (O mon Seigneur, me voici…) tels ont été les formules qui ont ani-

mées les millions de pèlerins, lors du grand pèlerinage dont 3000 camerounais (parmi lesquels aucun chiite)

ont participé selon les chiffres communiqués par le ministère camerounais en charge du Hajj.

Lorsque les lanternes spirituelles du grand Hajj s’apprêtent à s’éteindre pour se donner rendez vous pour le

Hajj 2014, les croyants du monde se réjouissent à célébrer la grande fête de Ghadir qui est le jour du parachè-

vement de la religion dont Allah l’évoque en ces thèmes: « Aujourd’hui, j’ai parachevé pour vous votre reli-

gion, et accompli sur vous Mon bienfait. Et j’agrée l’islam comme religion pour vous » S.5.3. Ce parachève-

ment de la religion ne fut que lorsque le saint Prophète prit la main de Ali ibn Abi talib et le présenta solennel-

lement à plus de 120 000 compagnons en disant: Celui dont je suis son prophète, voici Ali qui devient son Ma-

wla...

Nous ne manquerons pas de rappeler aux amoureux de la famille du prophète qu’après ce mois béni, suivra le

mois le plus dur pour la famille du Prophète, le mois de Muharam, le mois de Achoura, le mois du martyr.

Le centre linguistique islamique du Cameroun a ouvert ses porte depuis le 01 octobre

pour l’année académique 2013-2014. Le centre linguistique c’est son centre de la femme

qui accueille des femmes et les forme afin qu’elles puissent s’incérer facilement dans la

société; c’est également son campus réservé pour les

hommes à Douala et Yaoundé, avec des salles mo-

dernes climatisés avec une salle multimédia. Le

centre linguistique islamique accueille des jeunes

camerounais et d'Afrique centrale titulaire d’un bac-

calauréat ou de son équivalent. Le centre linguis-

tique islamique octroi des bourses d’étude dans les

pays tels l'Iran, le Liban. Le centre linguistique isla-

mique est une branche de l’université international

Al-Mustafa dont le siège se trouve à Qom (Iran).

Avec des enseignants de qualité et de divers nationa-

lité, votre formation en langue arabe et en théologie

islamique est rassurée…

Le centre linguistique islamique du Cameroun, c’est

déjà 15 ans d’expérience au service de la jeunesse…

Le centre linguistique islamique du Cameroun, c’est

près d’une centaine de personne formées depuis sa

création…

Préparons pour le Achoura

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Intercession (Shafa'at)

L a question de l'Intercession (Shafa'at) est l'une des

questions les plus controversées au sein de l'Islam.

L'école de pensée chiite et quatre écoles de la tradition

sunnite croient dans le concept de l'Intercession, tan-

dis que certain d'autres, comme le wahhabisme ou le salafisme

le rejettent.

Il dénote la faveur spéciale d'Allah qu'Il a accordé à certains de

Ses serviteurs sincères , en raison de laquelle ils sont en mesure

d'intercéder pour le pardon des péchés les plus grands et sauver

quelqu’un de la punition divine , afin qu'ils puissent être en me-

sure d’entrer au Paradis . Il n'y a aucun lien avec le Shirk

(association). Certes, Shafa'at est sous la domination d'Allah et

il n’est possible que par Sa permission. Par conséquent, Il

donne à qui Il veut la capacité d'intercéder. C'est la même chose

qui est mentionné dans un certain nombre de versets du Saint

Coran.

Le Coran et L' Intercession Le Coran aborde cette question de trois manières:

Tout d'abord, il y a des versets qui nient l’intercession (baqarah:

123 et 254)

Deuxièmement, il y a des versets qui disent que l' intercession

est le domaine exclusif d'Allah et Lui seul a la

capacité d'intervenir. (An’aam:70 et Al-Zomar:

44)

Troisièmement, il y a des versets qui prévalent

sur les deux premières catégories et c'est dans ces

versets que le pouvoir et la capacité d'interces-

sion est mieux définit. Ils affirment que, bien que

l'Intercession soit le droit absolu d'Allah, cepen-

dant, s'il le souhaite, il peut étendre à certaines

personnes parmi Sa création.

Le Coran déclare:

- aucun intercesseur ne peut plaider auprès de

Lui sans Sa permission. (Yunus:3)

- Qui est celui qui peut intercéder auprès de Lui

sans Sa permission? (Baqarah: 255)

- Ce jour-là, aucune intercession doit prévaloir,

sauf celui à qui Allah, le Tout Miséricordieux a

donné la permission et dont la parole est accep-

table pour lui. (Taha 20:109)

- Et ils ne peuvent pas intervenir, sauf pour celui

à qui il est heureux. (21:28)

- Aucun n’aura le pouvoir d'intercession, sauf celui qui a reçu la

permission ou une promesse d'Allah, le Tout Miséricordieux.

(Maryam: 87)

- l’intercession auprès de Lui ne profite qu’à celui en faveur

duquel Il la permet. (Sabaa:23)

Selon ces versets, certaines personnes auront la permission

d'Allah (swt), comme les prophètes, les imams et les walis (ami

intime d'Allah) à intervenir et aider les gens par la permission

d’Allah. Sans son autorisation, aucune intercession ne sera ac-

ceptée. Même au cours de leur vie, les prophètes avaient la ca-

pacité d'intercéder en faveur de ceux qui se sont repentis .

Les Hadith et L' Intercession -Le prophète Mohammed (saw) a également mentionné les per-

sonnes en ce qui concerne sa propre intercession: Je vais inter-

céder le Jour du Jugement pour celui qui a la foi dans son cœur.

( al- Muttaqi al- Hindi, Kanz al- Ummal , Hadith 39043)

- Chaque prophète avant moi a demandé à Allah (swt) quelque

chose qui lui a été accordé, et j`ai sauvé ma demande jusqu'au

Jour du Jugement pour intercéder au nom de ma Oummah. (al-

Muttaqi al- Hindi, Kanz al- Ummal , Hadith 39043)

- Mon intercession sera pour les gens qui ont commis des pé-

chés capitaux (al- kabair) sauf polythéisme et de l'oppression.

- Le Messager d' Allah (saw) a donné les bonnes nouvelles de

cette Miséricorde Divine (Rahmat) tel que mentionné dans le

chapitre de Tayammoum:

Il dit: J'ai reçu cinq choses pas donné à une autre personne ...

J'ai reçu Shafa'at. (Sahih Bukhari, volume 1, page 256 - Édition

anglaise)

Et dans Sahih Muslim, le Messager d' Allah (saw) a dit: " Je

suis le chef des enfants d'Adam le jour de Qiyamat ... et le pre-

mier à intercéder et d'être intervenu. " (Sahih Muslim, vol 4,

page 1230 - English)

Toujours dans Bukhari il dit: « Les gens viendront à moi, et je

vais me prosterner dessous le Trône d'Allah alors je vais être

adressée :« O Muhammad Levez la tête, intercède, ton interces-

sion sera acceptée, et ! demandez (pour rien). vous recevrez ».

( Sahih Bukhari Vol 4, Hadith 556 et Vol. 3, Hadith 3)

- Le prophète (saw): « Mon intercession est d’abord réservée

aux membres de ma communauté ayant commis les péchés ca-

pitaux ». (Tirmidhi)

- le Prophète (saw) dit: ««

Ceux qui mériteront le plus

mon intercession le Jour Der-

nier seront ceux qui auront prié

sur moi le plus souvent.

» (Tirmidhi)

- At-tabarânî dans le Kabîr

ainsi qu’Ibn Hibbân et Al-

Hâkim rapportent le hadîth

suivant qui est selon eux au-

thentique et fiable: d’après

Anas Ibn Mâlik: « Quand Fâti-

ma Bint Assad (que Dieu

l’agrée) est morte : -elle est

celle qui a élevé le prophète et

c’est la mère de ‘Ali Ibn Abî

Tâlib (que Dieu l’agrée) - le

Prophète (saw) s’est assis près

de sa tête et a dit: «Que Dieu

soit miséricordieux envers toi ô ma mère après ma mère »…Il

fit des éloges à son propos et lui mit sa Burda comme Kafan

(linceul)… Quand les gens ont commencé à creuser sa tombe, le

prophète (saw) a creusé lui-même et pris avec ses mains un

morceau de terre de cette tombe. Quand on a fini de creuser il

s’est mis couché dans cette tombe et a dit: « O Allah qui donne

la vie et qui donne la mort et qui est le Vivant qui ne meurt pas:

pardonne à ma mère Fâtima Bint Assad et élargit sa rentrée par

le droit accordé à Ton Prophète et aux Prophètes qui sont venus

avant moi car Tu es le plus Miséricordieux des miséricordieux.

»

SUITE P.04

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Al-Tabarani rapporte, dans son Mu'jam al-Kabir, la tradition

suivante que les savants qualifient de rigoureusement authen-

tique (Sahîh): "Un homme avait pour habitude de venir voir

souvent 'Uthman Ibn 'Affan pour lui faire part d'une requête,

mais 'Uthman ne faisait pas attention à lui et ne s'occupait pas de

son problème. Cet homme vint se plaindre alors à 'Uthman ibn

Hunayf, qui lui donna un conseil: "Va à la mosquée, prie deux

rak'ates, puis prononce: "ô Allah, je Te demande et je m'adresse

à Toi, par l'intermédiaire de notre Prophète Muhammad – que la

Bénédiction et la Paix soient sur lui et sa famille- , le Prophète

de la Miséricorde. Ô Muhammad, je m'adresse par ton intermé-

diaire à mon Seigneur afin que ma demande soit exaucée."

Des écoles Sunnite et l'Intercession 1- AHMAD IBN HANBAL (Hanbalite)

L'Imam Ahmad Ibn Hanbal a recommandé aux croyants dans les

livres de fiqh de faire le Tawassul par le Prophète (saw) dans

chaque Du'a avec cette formulation:

"O Allah, je me tourne vers Toi avec Ton Prophète, Le Prophète

de la Miséricorde. O Muhammad! Je me tourne avec Toi vers

mon Seigneur pour la satisfaction de mes besoins."(Madhhab

Hanbali dans la section sur l'adab dans les du'as.Ibn Muflih's

Furu`1:595=2:204)

"La position correcte du Madhhab Hanbali est qu'il est permis

dans une du'a d'invoquer Allah par l'Intermédiaire d'une per-

sonne pieuse, cela est même fortement conseillé (mustahabb).

2- MALIKITE

L'Imam Malik a été questionné au sujet de la visite à la tombe

du Prophète (saw) par le Khalife Abu Ja`far al-Mansur . Ce der-

nier lui a demandé:" Dois-je me tourner face à la Qibla en tour-

nant le dos à la tombe du Messager d'Allah lorsque je fais mes

du'as?"

L'Imam Malik lui a répondu: "Comment peux- tu détourner ton

regard de lui alors qu'il est ton wassila et celui de ton père Adam

pour obtenir le pardon d'Allah le jour de la résurrection ? Non,

tu dois lui faire face et demander son Intercession (istashfi` bihi)

pour qu'Allah t'accorde Son Pardon comme Il le mentionne dans

le verset:

"Si, lorsqu'ils ont fait du tort à leurs propres personnes ils ve-

naient à toi en implorant le pardon de Dieu et si le Messager

demandait le pardon pour eux, ils trouveraient, certes, Dieu,

Très Accueillant au repentir, Miséricordieux". (al-Qadi `Iyad

dans al-Shifa 2:92-93)

3- SHAFI'IT

Imam Ibn Hajar al-Haytami dit dans son ouvrage (al-Khayrat al-

hisan fi manaqib al-imam Abi Hanifa al-Nu`man, chapitre 35):

"L'Imam Shafi'i quand il était à Bagdad visitait la tombe de

l'Imam Abu Hanifa, lui donnait le salam puis il demandait à

Allah swt d'exaucer ses du'as par la wassila de L'Imam Abu Ha-

nifa ". "Imam Shafi`i faisait le tawassul par la wassila de la Fa-

mille du Prophete (Ahl al-Bayt) quand il disait :" La famille du

Prophète sawas est mon moyen et mon intercesseur envers lui.

À travers eux j'espère recevoir mon livre dans la main droite le

jour du Jugement. (al-Haytami, al-Khayrat al-hisan Le Caire: al-

Halabi, n.d. p. 63)

4- L'IMAM AHMAD

Il est aussi relaté que l'Imam Ahmad faisait le tawassul par

l'Imam Shafi`i au point que son fils`Abd Allah en exprima de

l'étonnement, l'Imam Ahmad lui expliqua: "al-Shafi`i est comme

le soleil pour les gens et comme la santé pour le corps " Quand

l'Imam Shafi`i entendit que les gens d'al-Maghrib faisait le ta-

wassul à Allah par la wassila de l'Imam Malik, il n'objecta pas.

Les intercesseurs :

Les intercesseurs sont: Le Coran, les proches parents de quel-

qu'un, les fiducies (amanah), votre Prophète sawas, et la famille

de votre Prophète -Ahloul Bayt- ( al- Muttaqi al- Hindi, Kanz al-

Ummal , Hadith 39041)

Shafa’at n'est pas de demander le prophète ou les imams de pro-

tection ou pour conjurer une catastrophe ou d'apporter le bon-

heur et la réussite. Il s'agit plutôt de plaider coupable à Allah,

par le souci de ceux qui sont proches de lui, comme les pro-

phètes et les imams.

Comme l'affirme le Noble Coran, seulement ceux qui reçoivent

la promesse et la permission d'Allah swt, ne peut intervenir et

aider les gens le Jour du Jugement. Intercession sera pour ceux

avec de bonnes intentions et de bonne foi dans cette vie, qui a

défié ni Allah ni contesté son autorité, mais, peut-être tombé

derrière dans le cadre de leurs obligations religieuses. Leur bon

dossier va les aider à recevoir l'intercession des messagers, les

imams, et les croyants, au Jour du Jugement.

Intercession (Shafa'ah) du Saint Ahlul Bayt

Le fait que Allah a donné le Prophète sawas le droit d'interces-

sion pour les musulmans est prouvé dans le Coran verset sui-

vant:

"Si, lorsqu'ils ont fait du tort à leurs propres personnes ils ve-

naient à toi en implorant le pardon de Dieu et si le Messager

demandait le pardon pour eux, ils trouveraient, certes, Dieu,

Très Accueillant au repentir, Miséricordieux". (4:64).

Dans ce verset, Allah swt indique clairement que la demande du

prophète sawas est très important et qu'elle joue un grand rôle

pour être pardonné par Allah swt. Il y a aussi une preuve à cet

effet dans les livres sunnites de la narration.

En ce qui concerne le droit d'intercession donné à l'Ahlul Bayt,

c'est tout simplement une extension du droit donné au Prophète

sawas.

Imam Ja'far al- Sadiq, le sixième Imam de Ahlul Bayt, au mo-

ment de son martyre a appelé ses parents et ses compagnons et

dit: «En vérité, notre intercession n'atteindra jamais celui qui

prend les prières à la légère." (Al- Majlis, Bihar al- Anwar,

82:236)

Voici un exemple d'un grand juriste sunnite en invoquant l'inter-

cession de la Ahlul Bayt :

Al-Shafii, l'un des quatre imams de l'école de pensée sunnite

dans un poème célèbre a dit: «La famille du Prophète sont mon

refuge, et ils sont pour lui mon chemin, Je souhaite que grâce à

eux, je recevrai demain mon livre dans ma main droite".

Par: Saadat AGHAJANI

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12 preuves que Mohammad (saw) est un véritable prophète

اثى عشس دليال عل ثجد وجح محمد علي ال الصالح السالم

Demande de protection contre le démon

« Notre Dieu, nous sollicitons Ta Protection

contre les incitations [au mal] du démon maudit,

contre ses ruses et ses stratagèmes,

ainsi que contre la confiance en ses fables, ses promesses,

ses prétentions trompeuses et ses pièges,

contre le fait qu’il a l’ambition de nous égarer loin de l’obéissance à Toi,

de nous employer à Te désobéir (ou de nous avilir en nous faisant Te désobéir),

et que nous trouvons bon ce qu’il enjolive pour nous

[= la désobéissance à Toi]

et lourd ce qu’il nous rend détestable

[= l’obéissance à Toi] ! » Extraits de l’Invocation N°17 : Lors de la demande de protection contre le démon de l’Imam as-Sajjâd(p)

in as-Sahîfah as-Sajjâdiyyah p95-97 aux Ed. B.A.

8- Jamais il n’y a eu, et jamais il n’y aura de par le monde un homme qui a été ou qui

sera si aimé, si respecté, si honoré et si obéi dans tous les détails, qu’ils soient infimes

ou majeurs, que ne l’a été ce noble prophète.

9- Depuis son époque, dans toutes les régions de la terre et à chaque ère, l’exemple de

ce noble Prophète a été suivi par des individus de toutes races, couleurs et nationalités.

Parmi ceux qui ont suivi ses traces, plusieurs avaient été chrétiens, juifs, païens, ido-

lâtres ou athées, et beaucoup étaient connus pour leur sens du jugement, leur sagesse,

leur esprit d’analyse et leur sérieux. Ils ont choisi de suivre les traces du noble Pro-

phète après avoir constaté les signes de sa véracité et avoir été témoins de ses miracles,

et non pas parce qu’ils y avaient été forcés ou parce qu’ils souhaitaient suivre le mode

de vie de leurs parents. Plusieurs des fidèles de ce Prophète (paix et bénédictions de

Dieu soient sur lui) ont choisi de le suivre au moment où l’islam était encore faible, au

moment où les musulmans étaient peu nombreux et souffraient de cruelles persécu-

tions. Ils ne l’ont point fait dans le but d’obtenir quelques gains matériels, car la plu-

part d’entre eux ont enduré les pires formes d’afflictions et de persécution à cause de

leur choix. Et en dépit de tous ces maux et de toutes ces persécutions, ils n’ont pas

abandonné l’islam. Tous ces signes indiquent clairement à quiconque jouissant de sa

raison, que ce Prophète était véritablement le messager de Dieu et qu’il n’était pas

qu’un homme prétendant être prophète ou parlant de Dieu sans en avoir une connais-

sance claire.

À suivre...

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« parmi Ses serviteurs, seuls les savants craignent Allah » S.35/28

« c’est Lui qui, du ciel, a fait descendre de l’eau comme boisson et grâce à laquelle poussent des

plantes dont vous nourrissez vos troupeaux » Coran 16/10

Le saint prophète (saw) dit: la meilleur aumône est d’offrir de l’eau à quelqu’un qui a soif.

Un verre d' eau enlève la sensation de faim pendant la nuit pour presque 100% des personnes au régime comme le

démontre les scientifiques de l' université de Washington.

Le manque d' eau est le facteur N° 1 de la cause de fatigue pendant la journée.

Des études préalables indiquent que de 8 à 10 verres d' eau par jour pourraient soulager significativement les douleurs

de dos et d' articulations pour 80% des personnes qui souffrent de ces maux.

Une simple réduction de 2% d' eau dans le corps humain peut provoquer une incohérence de la mémoire à court

terme, des problèmes avec les mathématiques et une difficulté de concentration devant un ordinateur ou une page

imprimée.

Boire 5 verres d' eau par jour diminue le risque de cancer du colon de 45 % et peut diminuer le risque de cancer du

sein de 79% et de 50% la probabilité de cancer à la vessie.

Bois-tu la quantité d' eau que tu devrais, tous les jours ?

LE SAVIEZ VOUS ?

PERIODES APPROPRIEES POUR CONSOMMATION DE

L’EAU………...TRES IMPORTANT !!!!!!

Boire de l’eau à des périodes bien précises maximise son efficacité dans le corps hu-

main :

2 verres d’eau au réveil, contribuent à activer les organes internes ;

1 verre d’eau trente minutes avant le repas, aide à bien digérer ;

1 verre d’eau avant de prendre une douche, aide à baisser la tension artérielle ;

1 verre d’eau avant d’aller au lit- vous évite des attaques ou crises cardiaques. Ces informations émanent de :

INSTITUT PASTEUR

Unité de Génétique Mycobactérienne

"Un savant qui enseigne aux gens en s'oubliant est comme une bougie qui

apporte la lumière aux gens en se consumant." ("Al-Jâmi' al-Saghîr": 2/154)

Tel fut la vie du Dr. Abbas Ahmad Al-Bostani qui a rendu l'âme au Miséri-

cordieux samedi le 12 octobre 2013 (7 Dhul-Hijjah 1434) à Qom au terme

d'une maladie foudroyante.

Les musulmans de notre époque et de l’époque future et en particulier les

musulmans francophones, lui seront et toujours redevable, car le Dr al-

Bostani avait consacré sa vie pour instruire

les musulmans francophones depuis le canada en passant par la

France.

Des dizaines de livres traduits et édités; des centaines de livres pu-

bliés et distribués dans le monde dont environ 70% en Afrique.

C’est un vrai soldat de l’imam du temps qui nous quitte, mais les sa-

vants et les œuvres ne meurt jamais.

Nous reviendrons avec sa biographie dans nos prochaines éditions.

Puisse Allah l’accueillir dans son paradis

Le Dr Abbas Ahmad al-Bostani

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A u nom d’Allah, le très Miséricordieux, le tout Misé-

ricordieux

L’arrivée de la période du Hajj doit être considérée

comme la grande Fête de l’Ummah islamique. L’oc-

casion prodigieuse que ces jours précieux offre chaque année à

tous les Musulmans du monde, constitue un tel événement, rare

et miraculeux, que s’il est apprécié à sa juste valeur et qu’il est

mis correctement à profit, un nombre important de problèmes

et de vulnérabilités du monde musulman, trouveront leurs solu-

tions.

Le Hajj est la source effervescente de la grâce divine. Chacun

d’entre les pèlerins, a aujourd’hui cette grande joie de purifier

son cœur et son âme au cours de ce rituel plein de spiritualité et

de sérénité et de faire des bienfaits de cette source de bénédic-

tion, de dignité et de pouvoir, un capital impérissable pour le

restant de sa vie. Se résigner et se soumettre à Dieu Le Tout

Clément, assumer les tâches qui incombent aux Musulmans,

agir dans l’enthousiasme pour la vie d’ici-bas et la vie de l’au-

delà, accorder clémence et pardon dans les échanges avec ses

frères, avoir courage et confiance en soi face aux épreuves dif-

ficiles, espérer aide et secours divins, partout et pour toute

chose, bref, ce rendez-vous d’instruction et d’éducation di-

vines, est une occasion pour construire et élever son humanité

au rang d’un vrai Musulman pour qu’au retour, l’on puisse

offrir à son pays et à sa nation, un être rehaussé de tant de ri-

chesses et de qualités.

A nos jours, l’Ummah islamique, plus qu’en tout temps, a be-

soin d’hommes capables d’accompagner la réflexion et l’action

aux côtés de la foi, la sincérité et la franchise dans la résistance

face aux ennemis haineux, tout en se construisant constamment

sur le plan spirituel et psychologique. Cela constitue la seule

voie pour le salut de la grande communauté des Musulmans

face aux difficultés contre lesquelles elle se bat depuis long-

temps, difficultés causées soit par ses ennemis soit par la fai-

blesse de sa foi, de sa volonté et de sa clairvoyance.

Sans aucun doute, la période actuelle, c’est l’ère du réveil et de

l’affermissement de l’identité des Musulmans ; il s’agit d’une

vérité facile à apercevoir quand nous regardons les défis aux-

quels sont confrontés présentement les pays musulmans. C’est

justement dans ces conditions, qu’une détermination et une

volonté basée sur la foi et la confiance en Dieu, dans la sagesse

et la lucidité, peuvent apporter la victoire et la gloire aux na-

tions musulmanes, ainsi que la dignité et l’honneur. Le camp

ennemi qui n’est pas prêt à accepter le réveil et la dignité des

Musulmans, descend dans l’arène avec toute sa puissance et

utilise tous les moyens sécuritaires, psychologiques, militaires,

économique et de propagande en vue de pousser les Musul-

mans à l’inaction pour les réprimer ensuite alors que ces der-

niers sont aux prises avec leurs problèmes internes. Un regard

sur la situation dans les pays de l’ouest asiatique, du Pakistan à

l’Afghanistan, jusqu’à la Syrie, l’Irak, la Palestine et les pays

du golfe Persique, les pays de l’Afrique du Nord, la Lybie,

l’Egypte, la Tunisie et le Soudan et d’autres encore, éclaire

beaucoup sur les réalités de notre temps. Guerres civiles, fana-

tismes religieux et sectaires aveugles, instabilités politiques,

propagation du terrorisme cruel, émergence des groupes et des

courants extrémistes dont les membres à l’instar des tribus

sauvages déchirent la poitrine des soldats et dévorent leurs

cœurs, factions armées qui assassinent les enfants et les

femmes, décapitent les hommes et violent les femmes, crimes

atroces et honteuses parfois commis sous la bannière de la reli-

gion. Tout cela résulte évidemment des plans sataniques et

arrogants des services de sécurité des ennemis et de leurs aco-

lytes dans la région qui trouvent l’occasion de se produire

chaque fois que la situation interne des pays le permet, appor-

tant aux peuples l’amertume et les ténèbres. Dans ces condi-

tions, certes, nous ne pouvons pas attendre à ce que les pays

musulmans parviennent à restaurer le vide matériel et spirituel

auquel ils sont confrontés et d’accéder à la sécurité, au bien-

être, au progrès scientifique et à l’autorité internationale présa-

gés par le réveil islamique et la reconquête de l’identité natio-

nale. Cette situation navrante pourra rendre infructueux le ré-

veil islamique et éprouver l’état d’esprit combattif existant

dans le monde musulman, entrainant une nouvelle fois et pour

de longues années, les nations islamiques dans la récession,

isolement et déclin, en reléguant à l’oubli les questions essen-

tielles et importantes telles que la libération de la Palestine et

des peuples musulmans du joug et de la mainmise de l’Amé-

rique et du sionisme.

La solution définitive et de fond se résume en deux phrases clé,

soit deux leçons éminentes du Hajj :

1- Unité et fraternité des Musulmans sous la bannière de l’uni-

cité de Dieu

2- Connaissance de l’ennemi en vue de combattre ses plans et

ses méthodes

Le renforcement de l’esprit de fraternité et de compassion est

la grande leçon du Hajj. Ici, il n’est même pas permis de que-

reller et d’offenser les autres. L’habit uniforme, rituel uni-

forme, mouvements uniformes, attitude amicale, signifient

égalité et fraternité entre tous ceux qui sont attachés à ce centre

d’unicité. Cela exprime d’autre part le rejet de toute pensée, de

toute croyance et d’appel qui rejettent hors de la sphère de

l’Islam, certains groupes de musulmans et de croyant en Kaaba

et en unicité de Dieu. Les éléments takfiri, devenus, à nos

jours, jouets de la politique des sionistes criminels et de leurs

supports occidentaux, commettent des crimes abominables et

versent le sang des Musulmans et des innocents. Ceux parmi

les prétendants a la religiosité et vêtus de l’habit des hommes

de religion qui attisent le feu de discorde entre chiites et sun-

nites doivent savoir que le rituel du Hajj dans son essence

même s’oppose à ces velléités.

A l’instar de beaucoup de savants islamiques et d’hommes

soucieux du sort de l’Ummah islamique, je tiens à déclarer une

nouvelle fois que toute parole et acte susceptible d’attiser les

différends entre les Musulmans ainsi que toute outrage envers

les croyances sacrées de groupes de musulmans ou encore tout

anathème lancé contre quelque école islamique qu’il soit, cons-

titue un service rendu au camp de la mécréance et du poly-

théisme, illicite sur le plan juridique et qui est de surcroit une

trahison envers l’Islam.

Discours complet de Sayyed Khamenei, guide de la république islamique d'Iran à l’occasion du Hajj 2013

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8

L 'un des hauts commandants de

l'armée israélienne a lancé une

mise en garde : au cours d'une

future guerre contre le Hezbol-

lah,

le bilan des victimes civiles israéliennes

sera plus lourd. " Dans le temps nous con-

sidérions le front nord comme deux par-

ties distinctes . mais les choses ont changé

à présent . les liens solides qui unissent le

hezbollah, Assad et l'Iran ont unifié ces

deux parties qui n'en font désormais

qu'une et cette situation influe directe-

ment sur la configuration de nos forces et

sur nos cartes et plans de guerre " a affir-

mé Yaïr Golan. " En cas de guerre future

contre le Hezbollah, Israël va vivre sans

nul doute l'une des guerres les plus dures,

les plus nuisibles , les plus violentes de

toute son histoire. Plus le Hezbollah enga-

gera des forces, plus les dégâts contre

Israël seront importants" dit le général

sioniste au journaliste Walla. Golan s'est

refusé à tout commentaire quand le jour-

naliste de Walla l'a interrogé sur la guerre

de 33 jours ou encore sur le tir des mis-

siles du Hezbollah contre la ville de Sa-

fad. le général Golan a recu au cours de la

guerre de 33 jours contre le Hezbollah

deux balles tirées par le Hezbollah et les

snipers du Hezbollah ont abattu deux de

ses forces rapprochées alors qu'elles se

trouvaient dans la position north. Interro-

gé sur la prochaine guerre contre le hez-

bollah, le général israélien a affirmé : "

nous croyions que la guerre de 33 jours

nous a apportés beaucoup d'acquis. mais

nous sentons à présent que nous avons

perdu beaucoup d'occasions. notre défaite

n'est pas seulement due à des erreurs tac-

tiques mais à un ensemble d'erreurs du

renseignement". "Est-ce que le Hezbollah

a peur de faire face à Israël? " lui a de-

mandé le journaliste et voici sa réponse :

" le Hezbollah jouit de multiples capacités

et tout dépendra des cirsonstances. Israël

se trouve en tout cas dans un état d'alerte

permanent pour confronter le Hezbollah

et ses alliés" le journaliste revient en suite

sur la victoire militaire de l'armée arabe

syrienne et du Hezbollah à

Qusseir pour savoir si

cette victoire pourrait fon-

der la future stratégie

d'Israël face à al résistance

libanais . le général évite

de répondre directement à

cette question, : " Le hez-

bollah est un ennemi puissant. et je ne

demande jamais aux autorités militaires

israéliens de prendre à la légère le danger

que représente l'ennemi" " de nombreux

analystes avaient prévu l'effondrement du

régime syrien . à l'époque j'ai affirmé que

ce régime durera et qu'il faudrait plus d

temps pour qu'il soit effondré . Je me suis

trompé. ce régime restera plus longtemps

que prévu . j'avais avancé le chiffre d'un

an et demi mais la guerre contre Damas

pourrait être permanente"

De quoi a peur Israël, s'il entre en guerre contre le Hezbollah?

La connaissance de l’ennemi et de ses méthodes constitue le

deuxième pilier. Tout d’abord, il ne faut jamais perdre de vue

l’existence de l’ennemi rancunier et le rituel répétitif de la lapi-

dation du Satan lors du Hajj, constitue le signe symbolique de

ce rappel permanent. En deuxième lieu, il ne faut se tromper

dans l’identification de l’ennemi principal, qui, à nos jours, est

représenté par le front commun de l’arrogance mondiale et du

réseau criminel du sionisme. Et enfin en troisième lieu, il con-

vient de bien identifier et répertorier les méthodes utilisées par

l’ennemi perfide qui consistent à semer le discorde entre les

Musulmans, propager la corruption politique et morale, mena-

cer et corrompre les élites, exercer la pression économique

contre les peuples et générer des incertitudes dans les

croyances religieuses. Il faut connaitre ces méthodes en vue

d’identifier et de combattre ceux qui sciemment ou incons-

ciemment collaborent avec les commanditaires.

Les Etats arrogants et à leur tête l’Amérique, à l’aide des ins-

truments de communication sophistiqués cachent leur vrai vi-

sage et en défenseur des droits de l’homme et de la démocratie,

se donnent une attitude trompeuse devant l’opinion publique

des nations. Ils se prétendent avocat des droits des nations alors

que les peuples musulmans ressentent de plus en plus en chair

et en os le feu de leur complot. Il suffit de regarder le peuple

opprimé de la Palestine qui depuis des décennies reçoit tous les

jours les meurtrissures des crimes du régime sioniste et de ses

partisans. Ou encore l’Afghanistan, le Pakistan et l’Irak, où les

terrorismes engendrés par la politique de l’arrogance et de ses

complices régionaux, rendent la vie amère et impossible pour

les peuples de la région. Ou encore la Syrie, qui pour avoir

soutenu la résistance antisioniste, est prise pour cible par les

dominateurs internationaux et leurs agents régionaux, entrai-

nant ce pays dans une guerre civile sanguinaire. Ou encore le

Bahreïn et le Myanmar, pays dans lesquels les Musulmans

sont, d’une façon ou d’une autre, victimes et oubliés alors que

leurs ennemis sont soutenus et encouragés. Ou encore des na-

tions qui sont constamment menacées d’agression militaire et

de sanctions économiques ou de sabotage sécuritaire. Tout cela

montre à tous le vrai visage des tenants de l’ordre mondial de

la domination.

Les élites politiques, culturelles et religieuses, partout dans le

monde musulman, doivent se sentir engagés dans la révélation

de ces vérités. Il s’agit de notre devoir moral et religieux, à

nous tous. Les pays du Nord de l’Afrique, qui malheureuse-

ment sont exposés à nos jours, à de profondes divergences in-

ternes, doivent, plus que les autres, être attentifs à cette grande

responsabilité, celle qui consiste à bien connaitre l’ennemi, ses

méthodes et ses stratagèmes. La poursuite des conflits entre les

courants nationalistes et la mégarde vis-à-vis de la possibilité

d’une guerre civile, constitue un danger dont les ravages pour

l’Ummah islamiques exigeront des années à être compensés.

Suite du discours complet du Guide à la page 11

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D'après le hadith rapporté par Abi Nasr Al-Bizanti, l'Imam Al-Ridha (as) déclara : « Ô Ibn Abi Nasr ! où que tu te trouves le Jour Béni de Ghadir, entreprends de te rendre en hommage auprès de la sépulture de Amir Al-Mu'minin (Ali). En ce Jour Béni, Dieu pardonne les actes coupables qu'auraient commis tout Musulman et toute Musulmane lors d'une période de soixante années de vie ; Dieu épargne du Châtiment du Feu le double du nombre de per-sonnes qu'Il aurait libérées durant tout le Mois de Ramadhan ou durant la Nuit du Destin Laylat Al-Qadr ou durant la Nuit de fin de Jeûne du Mois de Ramadhan Laylat Al-Fitr. En ce Jour Béni, l'aumône d'un Dirham faite à un nécessiteux est récompensée auprès de Dieu de la même valeur qu'une aumône de mille Dirhams faite à l'un de nos frères nécessiteux ayant reconnu le mérite de Amir Al-Mu'minin (Ali). En ce Jour Béni, offre des cadeaux à tes frères en Religion, rends gai(e) le Croyant et la Croyante. Par Dieu ! Si les gens connaissaient le réel mérite attaché à ce Jour Béni, les Anges les honoreraient dix fois par jour ». (Hayat al-qulub, Majlisi)

انغؤال األل:

نبرا اخزبس غذش خى نزجهغ الخ األيش ؟

فه كب رجهغ انالخ ف يكخ انمذعخ نكب أن نمذاعخ انالخ!

انغؤال انثب:

نبرا كب انزجهغ ثؼذ فشضخ انحح؟

انغؤال انثبنث:

نبرا كب انزجهغ ثؼذ فشضخ انحح نى ك ف أثبء انفشضخ؟

انغؤال انشاثغ: نبرا كب انزجهغ ف حش اندش ، أنظ انهم أكثش اعزمشاسا عكب ي انبس العزؼبة انالخ؟

انغؤال انخبيظ:

نبرا كب انزجهغ ثؼذ صالح انظش نى ك ثؼذ صالح انفدش نجذأ انبط فدشا خذذا ثالخ األيش)ع(؟

انغؤال انغبدط:

يب يؼ انمم أنزأسخ ) ثأ انشعل)ص( سفغ ذ ػه اث أث طبنت حز ثب ثبض إثطب(؟

انغؤال انغبثغ:

نبرا كب أكثش انبط رئخ ثبنالخ ) أ ثكش ػش(؟

انداة ػه انغؤال األل:

إن ثهذاى ى حه الخ ح أل غذش خى آخش يطمخ الخزبع انحدح ، ثؼذ غذش خى زفشق انحدح إن أصمبػى ثهذاى ، لذ شبءد انمذسح اإلنخ ثأ ض انحد

ػه )ع( ثزنك ك انج انكشى)ص( لذ لذو ذفب إػاليب رصذش انالخ نهؼبنى اإلعالي.

انداة ػه انغؤال انثب:

شص ثطبػخ اهلل غززش ث ػ حش يط نمذ كبذ انالخ ثؼذ فشضخ انحح ألب نجبط طبش نجبط انزم )نجبط انزم رنك خش ( ثؼذ انحح حزبج اإلغب إن نجبط خذذ

خى ال ثذم ػ نجبط انالخ.

انداة ػه انغؤال انثبنث:

ػه )ع(.خ نؼم اهلل عجحب رؼبن أساد أ ج شئب يب يفبد أ انؼجبدح الرزى إال ثالخ ػه اث أث طبنت)ع( نزا خزذ حدخ انداع ثال

انداة ػه انغؤال انشاثغ:

حم يغؤنخ انالخ.نز أل انالخ الرؼط ثبسب، خهك يؤي حم صالثخ اإلب، إال ثبنؼبء انزؼت االيزحب رنك كه ف ازظبس انان إلػذادى

فبنالخ رشفط انضؼفبء انزخبرن رغزمطت األلبء انز ثجز ػذ انشذائذ انح، نزا ثذأد ثؼبء.

انداة ػه انغؤال انخبيظ:

ألب رزعط و اإلغب رنكأل صالح انظش ػذ انشس ي انفغش انصالح انعط انز أكذ اهلل ػه انحبفظخ ػهب)حبفظا ػه انصهاد انصالح انعط(

طشف ثكم أثؼبد أشكبن .انزف ثثبثخ انضا نو اإلغب ، كزنك انالخ انضا نحبح اإلغب ، أكجش دنم ػه رنك أ انجؼذ ػ انالخ رشا ؼش

انداة ػه انغؤال انغبثغ:

إر لبال) انغالو ػهك ب أيش انؤي خنمذ كب انغه صبفح ػهب )ع( ثبنالخ )انغالو ػهك بأيش انؤي( اال أثبثكش ػش فمذ كبب أكثش انبط رئخ نؼه ثبنال

أصجحذ يال ين كم يؤي يؤيخ ثخ ثخ ثخ نك ب ػه(

فم كبب أكثش انبط حجب نؼه؟

ال ال ال ال

ذ أليش انؤي)ع( زا أيش يؼشف ا كثش اندبيالد ضش رحذ ػجبئز ششا لذ كشفذ سح ان الخ انمخ يبرحذ ػجبئزب ، حز ثب–ثم اب خفب خب آخش

ػسح انحمذ انذف نؼه اث اث طبنت)ع( يب

أخرد أجل في حبدثخ الغديس متأمال فقبدوي تأملي إل سجعخ أسئلخ

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« Le meilleur acte d’adoration après la connaissance

est l’attente de la délivrance. » (de l’Imam al-Kâzhem (p) in Bihâr al-anwâr, vol.78 p326)

Que veut dire l’« attente de la délivrance » ?

« Votre devoir aujourd’hui est de préparer [le terrain] pour que l’Imam al Mahdî (qa)

arrive et commence à partir de cette base préparée. Il n’est pas possible qu’il (qa) commence

à partir de zéro. La société qui pourra accueillir le gouvernement du Mahdî promis

(que notre esprit soit en rançon pour lui) est la société qui

sera prête pour cela. Si la

société ne l’est pas, alors elle va aboutir à la même fin à la-

quelle est arrivée la société des

Prophètes, tout au long de l’histoire...

Mais il est possible de préparer l’ambiance. Et si, avec

l’autorisation de Dieu, une telle

ambiance s’étend, le terrain sera prêt pour l’apparition du

Subsistant de Dieu (que nos

âmes soient en rançon pour lui) et se réalisera ainsi le désir

profondément ancré qui

continue de motiver les gens et les Musulmans.» (Discours prononcé par sayyed al-Qa’ed l’imam al-Khâmine’i le 15

Cha‘aban 1418h)

cité in Voyage vers la lumière, S. Abbas Noureddine Ed. BAA pp45-47

L’« attente » de sa délivrance est en fait l’« attente du résultat » de nos actes, de notre allégeance, de

notre foi en vue de sa Délivrance. Comme quelqu’un qui demande une ressource de Dieu en faisant

une aumône – l’aumône étant la cause de la descente de la ressource – et qui en attend le résultat.

اي ال س ج اخاو خيس االخان مه ال يح

Le meilleur des frères est celui qui suffit à ses frères

et ne les laisse avoir besoin de personne d’autre.

مه وج الجالغخ

L’imam Ali (as) l’auteur du célèbre livre Nahjul Balagha, nous enseigne par cette éloquence, que nous devons

être utile pour nos frères. Il n’est pas bien que ton frère sollicite l’aide d’autrui si vous disposez ce dont il a

besoin .

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L a manière partitive de voir l’Islam est l’origine

d’un grand problème que les Musulmans n’en

finissent pas d’endurer. L’Islam qui est un en-

semble uni s’est transformé en fragments déchi-

rés et chaque fragment est considéré dans son isolement

des autres fragments. Nous entendons ainsi parler de sa

dimension spirituelle, de sa dimension sociale, de sa di-

mension politique et de sa dimension économique, comme

si chacune de ces dimensions constituait un corps indépen-

dant de par sa nature. Cela a eu des

répercutions négatives au niveau

de la réalité de la conception isla-

mique et de l’action pratique de

l’homme musulman qui en finit par

s’engager dans l’une ou l’autre de

ces dimensions sans prendre en

considérations les autres dimen-

sions.

Cela nous a éloignés de la compré-

hension totale, exhaustive, de

l’Islam, compréhension qui doit

cumuler la totalité de ses dimen-

sions. Il n’est absolument pas pos-

sible d’étudier la dimension morale

de l’Islam sous son angle philosophique sans appeler les

niveaux individuel, social, politique et économique,

comme condition préalable pour saisir sa dimension cul-

tuelle, pour voir les lignes morales rejoindre ces niveaux,

d’un côté pour, pour repartir d’eux, d’un autre côté.

Il en est de même pour ce qui est de la dimension spiri-

tuelle qui n’est nullement séparable de la dimension maté-

rielle. On trouve ici une forme de d’accouplement réel et

pratique, ainsi que leur interaction théorique au niveau de

la perception dans la mise au point de la théorie islamique

dans l’explication de l’univers, de la vie et de l’homme.

Pour ces raisons, nous appelons à une étude exhaustive et

approfondie pour arriver au résultat définitif aboutissant à

l’idée pour laquelle l’Islam est un ensemble intellectuel et

législatif pratique qui se nourrit de toutes ses dimensions,

exactement comme le corps qui se complète et se nourrit

de tous ses appareils dont aucun ne peut rien fournir à la

vie humaine que dans la mesure où il obtient de l’énergie

vitale produite par les autres appareils chargés des élé-

ments de la force et de la vie.

De cette manière, il nous est possible de pénétrer à l’inté-

rieur de la réalité islamique de l’homme musulman à tra-

vers la situation dans son intégralité pour ainsi diriger l’ac-

tion pratique vers l’ap-

proche de la question de ce

point de vue. Cela nous

permet d’écarter beaucoup

de plans implantés par la

mécréance et la colonisa-

tion dans la conscience de

la Nation en séparant

l’Islam de la réalité par la

séparation entre la réalité et

ses éléments. Elles ont ainsi

séparé ce qui est à Dieu en

terme de religion et ce qui

est à Césars en terme de ce

bas-monde. Elles ont mis

des frontières entre eux en empêchant l’un d’intervenir

dans les attributions de l’autre et, de cette fait, elles ont

coincé l’Islam dans un cadre étroit, dans l’angle des cercles

mineurs pour laisser les autres cercles attendre l’autre pen-

sée et l’autre puissance qui n’ont aucune place en Islam.

Que la saison du Pèlerinage et le grand rassemblement

soient une grande rencontre qui traite de cette question et

tente d’en trouver des solutions.

La Maison de Dieu et son rôle capital dans la société humaine

Bien que nous n’ayons aucun doute sur le fait que les peuples soulevés de cette région, qui ont été à l’origine du réveil isla-

mique, ne permettront jamais, par la grâce de Dieu, que le temps fasse marche arrière et que l’époque des dirigeants corrom-

pus, fantoches et dictateur se renouvelle, néanmoins la négligence à l’égard du rôle des puissances arrogantes dans les com-

plots et leur ingérences destructrices, rendra la relève difficile et fera retarder l’avènement de la dignité, de la sécurité et du

bien-être pour de longues années. Nous croyons du fond de notre cœur en les capacités des nations et le pouvoir que Dieu Le

très Sage, a placé dans la volonté, dans la foi et dans l’intelligence des masses populaires. Nous y croyons du fond de notre

cœur parce que nous l’avons vu de nos propres yeux depuis plus de trois décennies en République Islamique d’Iran, parce que

nous en avons fait intimement l’expérience. Nous sommes déterminés à appeler toutes les nations musulmanes à cette expé-

rience, celle de vos frères dans notre pays, debout, fière et infatigable.

Je prie Dieu Le Très Haut, pour l’amélioration de la situation des Musulmans et pour la défaite des ruses des ennemis. Je Lui

sollicite un Hajj accepté, la santé du corps et de l’âme ainsi qu’un bagage plein de spiritualité pour tous les pèlerins de la Mai-

son de Dieu.

Que les Salutations de Dieu soient sur vous et que la miséricorde d’Allah et Sa bénédiction vous accompagnent !

Sayed Ali Khamenei

5 Dhu-Hajjah 1434,

11 Octobre 2013

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Sur la route de Ghadir Khom...

Faisant ses adieux à sa ville natale, le Saint-Prophète ) آن اهلل ػه quitta)صه

la Mecque pour Médine le 14 Dhil hajj.

Sur la route, le 18 Dhil hajj, il ordonna qu’on fasse halte à Ghadîr Khum, une

région aride aux abords de la vallée de Johfa, à trois étapes de Médine.

La tradition la plus fréquente (Moutawatir) dans l’histoire de l’islam est liée à

ce sermon du Prophète .) آن اهلل ػه )صه

C e pelerinage fut nommé, pelerinage d’adieu.

Le Pèlerinage d’Adieu Dix ans après l’émigration, le Messager d’Allah ) آن اهلل ػه a ordonné)صه

à ses proches disciples d’appeler tous les gens à différents endroits à le re-

joindre dans son dernier pèlerinage. Sur ce pèlerinage, il leur a enseigné la

façon d’effectuer le pèlerinage sous une forme correcte et unifiée.

C’était la première fois qu’autant de musulmans se sont réunis à un seul en-

droit, en présence de leur chef, le Messager d’Allah .) آن اهلل ػه En se rendant à La Mecque, plus de soixante-dix)صه

mille personnes ont suivi Prophète .) آن اهلل ػه Le quatrième jour de Dhul-Hajjah plus de cent mille musulmans)صه

était entrés dans la Mecque.

Le 18 Dhoul Hijja, après avoir terminé son dernier pèlerinage (Hajjatul-Wadaa), le Prophète sortait de la Mecque vers

Médine, où lui et la foule de personnes atteintes à un endroit appelé Ghadir Khum (qui est proche de Juhfah d’aujour-

d’hui). C’était un endroit où des gens de différentes provinces devraient dire adieu à l’autre et de prendre des voies diffé-

rentes pour leur maison. Dans ce lieu, le verset suivant fut révélé:

« Ô Prophète ! Communique ce que ton Seigneur t’a révélé ! Si tu ne le fais pas, tu n’auras pas fait connaître Son

Message. Dieu te protégera contre les hommes; mais Dieu ne guidera pas les négateurs » (Sourate 4, verset 67).

La dernière phrase dans le verset sus-mentionné indique que le Saint-Prophète ) آن اهلل ػه craignait la réaction de )صه

ses compagnons en délivrant ce message, mais Allah l’informe qu’il ne doit pas s’en soucier, car Il protégera Son Messa-

ger des gens.

Dès réception de ce verset, le Prophète ) آن اهلل ػه s’est arrêté sur ce lieu (l’étang de Khum) qui était extrêmement )صه

chaud. Puis il ordonna à toutes les personnes qui étaient en avance sur le chemin, de revenir et attendit que tous les pèle-

rins qui prenaient du retard soient arrivés et réunis. Il ordonna à Salman (RA) d’utiliser des roches et outillages de cha-

meau pour faire une chaire (minbar) pour qu’il puisse faire son annonce. Il était environ midi, heure dans le premier de

l’automne, et en raison de la chaleur extrême dans cette vallée, les gens étaient enveloppés dans leurs robes autour de leurs

pieds et les jambes, et s’étaient assis autour de la chaire, sur les pierres brûlantes.

En ce jour, le Messager d’Allah ) آن اهلل ػه passa environ cinq heures dans ce lieu, trois heures dont il était sur la)صه

chaire. Il récitait près d’une centaine de versets du Coran glorieux, et rappela soixante trois fois les gens et les mis en

garde contre leurs actes et à venir. Puis, il leur donna un long discours. Ce qui suit est une partie de son discours qui a été

largement rapporté par les traditionalistes sunnites:

Le Messager d’Allah ) آن اهلل ػه déclara: « Il semble que le moment approche où je serai rappelé (par Allah) et je)صه

vais répondre à cet appel. Je vous laisse deux choses précieuses et si vous les respectez toutes les deux, vous ne pourrez

jamais vous égarer après moi. Ils sont le Livre d’Allah et ma descendance, c’est mes Ahlul-Bayt. Les deux ne seront ja-

mais séparés les uns des autres jusqu’à ce qu’ils viennent à moi au Bassin. »

Puis, le Messager d’Allah ) آن اهلل ػه -continua : N’ai-je pas plus de droits sur les croyants qu’ils en ont sur eux)صه

mêmes ? »

Les gens ont pleuré et répondu : « Oui, O Messager de Allah. »

Puis, le Prophète ) آن اهلل ػه a tenu la main de Ali et lui dit: « De qui je suis son maître (Mawla), Ali est son maître )صه

(Mawla). O Allah ! Aime ceux qui l’aiment, et sois hostile à ceux qui lui sont hostiles. »

Quelques références sunnites :

(1) Sahih Tirmidhi, v2, p298, v5, p63

(2) Sunan Ibn Maja, v1, pp 12,43

(3) Khasa’is, by al-Nisa’i, pp 4,21

(4) al-Mustadrak, by al-Hakim, v2, p129, v3, pp 109-110,116,371

(5) Musnad Ahmad Ibn Hanbal, v1, pp 84,118,119,152,330, v4, pp 281,368,370,

372,378, v5, pp 35,347,358,361,366,419 (from 40 chains of narrators)

Immédiatement après que le Prophète ) آن اهلل ػه : terminât son discours, le verset suivant du Coran fut révélé)صه

« Aujourd’hui, j’ai perfectionné votre religion et j’ai parachevé Ma Grâce sur vous; j’agrée l’Islam comme étant

votre Religion ». (Sourate al-Mâ’idah, 5: 3).

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« J’ai voulu réaliser un de mes rêves, qui consistait à éterniser un

acte au service de la postérité en la mémoire de notre Sauveur al-

Mahdi... »

En plein cœur de la cité économique de notre pays, dans un quar-

tier réputé pour la classe bourgeoise (Maképé), se dressera dans

les jours avenir, une mosquée moderne, mosquée Baqiyatoullah,

qui comprendra un centre multimédia, un centre d’étude et de

recherche. C’est ce qu’à déclarer le Dr Ibrahim Bavi, lors de la

pose de la première pierre. Le terrain où sera construit ce projet,

est la donation d’un frère croyant. Imam Abdellah Kamga Levis,

il s’agit de lui, a toujours rêver se voir un jour, entrain d’offrir

quelque chose de durable pour l’islam. Tout commence, lorsque

l’imam Abdellah Kamga, lors d’une excursion religieuse à

l’ouest du pays où lui-même est originaire, avec un

groupe de nouveaux convertis, suit avec remord les

témoignages de ces nouveaux convertis, qui sont

expulsés dans les lo-

gements familiaux

pour la seule raison

qu’ils ont embrassé

l’islam comme reli-

gion. Alors, il décide

de faire quelque

chose. Il a fallu du

temps pour que se

rêve devienne réalité.

La fête de sacrifice a vu ce mercredi 15 octobre la pré-

sence massive des fidèles chiites

dans la grande mosquée centrale

Ahl-ul-bayt de New bell KDD

malgré la grande pluie qui s’est

abattu sur la ville de Douala.

Dans son sermon, l’imam

Cheikh Abdoul Kamil a dévelop-

pé la thématique de cette fête en

l’inscrivant sur l’obéissance à la

volonté divine dans tout les cas

et le résultat d’une bonne éduca-

tion, car se fut cette éducation

que Ismael reçu qui l’emmena à

obéir à son père. Egalement le plus frappant de son dis-

cours est le fait qu’il souligne que cette fête devrait être

universelle, c’est-à-dire célébrer par tout les fidèles des

trois religions monothéiste, car dit-il, si les chrétiens et

juifs refuse que se sacrifice concernait Ismael, ils sont

tout de même d’accord que ce geste eu lieu et concer-

nait l’un des fils du prophète Ibrahim. Dont pour le

cheikh Abdoul Kamil, c’est une preuve forte et une né-

cessité que les religions doivent cohabiter dans la

paix et la tolérance.

Enfants et femmes étaient au rendez vous dans une

convivialité sans pareille sous la couverture média-

tique de DBS, chaine de télévision nationale.

ػذ انغذش ف دال

À Douala comme à yaoundé en passantpar

Foumban, et sur l’ensemble du territoire, les

milliers de fidèles se sont rassemblés dans les

mosquées, centres, pour célébré la fete de Gha-

dir autour des Cheikhs.

Ces Cheiks qui sont pas rester insensible aux

mouvements de fierté des fidèles, ont tenu des

discours plein de sagesse et ont souligné que la

fete de Ghadir est la fete la plus grande de

l’islam, car elle symbolise le jour où le Tout

puissant parachevait la religion par la desiga-

tion de Ali fils

d’abi talib

comme Imam et

guide pour les

musulmans.

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14

La nouvelle carte poli-

tique du cameroun Sans surprise, le parti au pouvoir au

Cameroun est arrivé en tête des élec-

tions législatives et municipales du 30

septembre dernier, loin devant les six

autres formations politiques qui com-

posent cette nouvelle Assemblée na-

tionale. Le Rassemblement démocra-

tique du peuple camerounais (Rdpc)

dont est issu le Président Paul Biya, a

raflé 148 sièges de député sur 180. Un

chiffre en baisse par rapport à 2007, le

parti avait sous son aile 153 sièges,

soit cinq sièges de moins. Dans les

deux principales villes, Yaoundé

(capitale) et Douala (capitale écono-

mique), le parti du flambeau ardent a

obtenu respectivement 25 sièges sur

28 et 15 sièges sur 19. Le Social de-

mocratic Front (SDF), principale for-

mation politique de l'opposition, a

obtenu 18 sièges, contre 16 en 2007.

Une légère progression de deux sièges,

par rapport à la dernière mandature.

Le parti de la balance obtient égale-

ment le meilleur score de l'opposition.

Il conforte ainsi sa position de leader.

La Région du Nord-Ouest, fief du Sdf,

est la seule région (sur dix) où le Rpdc

n'arrive pas en tête.

Par ailleurs, trois partis ont fait leur

entrée à l'Assemblée nationale:

l'Union des populations du Cameroun

(UPC, parti nationaliste), avec trois

députés, le Mouvement pour la dé-

fense de la République (MDR), un

député, et le Mouvement pour la re-

naissance du Cameroun (MRC), nou-

veau parti présenté comme la révéla-

tion du scrutin pendant la campagne,

qui obtient finalement un siège. Mou-

vement progressiste (Mp) de Jean

Jacques Ekindi est le seul parti présent

à la septième législature à n'avoir pas

pu renouveler son bail au palais des

verres. Pourtant, plus de 40 recours en

annulation partielle des législatives ont

été déposés à la Cour suprême. Aucun

d'entre eux n'a abouti. L'opposition

accuse régulièrement le pouvoir de

frauder aux élections et le Rdpc d'utili-

ser les moyens de l'État pour faire

campagne alors que ses adversaires

font face à des difficultés financières.

City Council.

Sur les 360 exécutifs à pourvoir lors

des municipales, 305 sont revenus au

parti au pouvoir. Une progression de 8

municipalités par rapport à la dernière

mandature. Mais, il ne faut surtout pas

penser qu'au regard de cette obésité,

tout aura été facile pour le Rdpc. Tous

les présidents de commission régio-

nale de campagne dans le Grand-Nord

ont perdu dans leur circonscription

électorale d'origine. Ayang Luc à Dou-

koula dans l'Extrême Nord, Abouba-

kary Abdoulaye à Touboro dans le

Nord et Mohamadou Abbo à Ngaoun-

déré dans l'Adamaoua. Dans le Nyong

et Kellé, Catherine Bakang Mbock née

Ngo Deby a complètement perdu la

face. Présidente de la commission

départementale de campagne du Rdpc,

le Ministre le plus ancien au poste

dans le gouvernement actuel, a laissé

l'Union des populations du Cameroun

(Upc) reprendre plusieurs communes

au Rdpc, à savoir, BotMakak,

Boumnyebel, Makak, Matomb et Esé-

ka. A Bafang, la commune dirigée

depuis 2002 par le Rdpc est passée

aux mains de l'Union des mouvements

socialistes (Ums) dont le président,

Pierre Nkwemo conduisait la liste.

Dans la Sanaga Maritime, l'Upc a rem-

porté avec une majorité relative à Edéa

1er. Ainsi, sur les 25 sièges de conseil-

lers municipaux en jeu, le parti des

crabes vient en tête avec 18 conseillers

municipaux. Le Rdpc, son principal

challenger, vient avec 4 conseillers

municipaux. Sur les berges du Wouri,

le célèbre Oumarou Fadil n'a pas pu

conserver la mairie de Douala III. Il

s'est fait battre par le Sdf.

Sénat.

A l'occasion des sénatoriales tenues en

mi-avril, le Rdpc a remporté l'essentiel

des sièges. Le parti de Paul Biya a

obtenu 82 sièges sur 100. Sur les 70

sénateurs élus, le parti au pouvoir, s'en

est tiré avec 56, contre 14 pour le Sdf.

Il faut reconnaitre que le parti du flam-

beau n'était en lice que dans 8 régions

et a fait le plein des voix partout où il

était candidat. A propos des 30 séna-

teurs nommés par le Président de la

République, 26 appartiennent à la

mouvance présidentielle. Les 4 sièges

restants sont répartis entre le Mouve-

ment des Républicains (Mdr) de Da-

kolé Daissala, l'Union Nationale pour

la Démocratie et le Progrès (Undp) de

Bello Bouba Maïgari, le Front pour le

Salut National du Cameroun (Fsnc)

d'Issa Tchiroma Bakary et enfin l'Al-

liance Nationale pour la Démocratie et

le Progrès (Andp) de Amadou Mous-

tapha. Toutes sont des formations al-

liées au pouvoir ou revendiquant leur

soutien au Président Biya. L'Union

Démocratique du Cameroun (UDC)

d'Adamou Ndam Njoya, qui n'avait

rien obtenu lors du scrutin de la mi-

avril, a décroché quant à lui un siège

de sénateur suppléant, qui plus est

suppléant d'un membre du Rdpc. Un

geste perçu comme une gifle par ce

parti, qui a rejeté cette, nomination.

Pour le reste, pas moins d'une dizaine

de chefs traditionnels, tous fidèles au

président, raflent un siège: le Lamido

de Rey Bouba, Aboubakary Abdou-

laye et le sultan des Bamouns, Ibrahim

Mbombo Njoya des Bamouns, pour ne

citer qu'eux. Plusieurs anciens mi-

nistres et un ancien Premier Ministre,

Peter Mafany Musongue, ont été nom-

més. Autant d'hommes du sérail.

2013 aura donc été une année électo-

rale, avec la mise en place d'un parle-

ment bicaméral et la mise en place de

nouveaux exécutifs communaux. Pour

achever le processus de décentralisa-

tion, conformément la Constitution de

Janvier 1996, les élections régionales

sont annoncées dans les prochains

jours.

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L e président syrien Bachar al-Assad a participé mardi

matin dans une mosquée de Damas à la prière de l'Aïd

al-Adha, la plus

grande fête musulmane célébrée pour la troisième an-

née consécutive dans une Syrie en guerre, selon les médias offi-

ciels.

La télévision d'Etat a diffusé des images du président entrant

dans la mosquée Hassiba et saluant les fidèles avant d'entamer la

prière au premier jour de la fête.

La prière a été dirigée par l'imam Mohammad Toufic al-Bouti,

fils de Mohammad Saïd al-Bouti, un

haut dignitaire pro-régime tué dans un

attentat en mars dernier.

Le 8 août, le président Assad, qui se

déplace sous haute sécurité, avait parti-

cipé à la prière du Fitr (fête marquant

la fin du ramadan) également dans une

mosquée de Damas.

Une ONG avait alors rapporté la chute

d'obus dans le même secteur tandis

que des militants avaient indiqué que

ces obus avaient "visé" le convoi prési-

dentiel.

Sur le terrain, le paysage a subitement changé en Syrie et les suc-

cès de l’armée syrienne se sont multipliés sur la plupart des

fronts, notamment dans les campagnes de Damas, d’Alep et de

Daraa. Quel est le secret de ces développements?

Des sources bien informées indiquent que des civils et des re-

belles ont donné des informations à l’armée, ce qui a facilité sa

progression dans la campagne de Damas. C’est ce type de rensei-

gnements qui manquait à l’armée ces derniers mois.

Par ailleurs, les officiers loyalistes ont fait preuve de flexibilité

avec les rebelles «repentis». D’autre part, l’armée syrienne a in-

troduit de nouvelles tactiques de combat. L’armée syrienne a

acquis une grande expérience dans la guérilla. Les habitants ont

également contribué aux succès de l’armée, en convaincant les

rebelles de se rendre aux troupes régulières, comme cela s’est

produit dans la localité de Mitrass, près de Misiaf, qui est tombée

après des accrochages limités. De la sorte, une nouvelle équation

voit le jour, avec les pressions exercées par les habitants sur les

miliciens afin qu’ils jettent les armes pour éviter destructions et

exode.

Mais cela est impossible dans les régions contrôlées par les extré-

mistes de l’Etat islamique du Front al-Nosra. Diverses sources

expliquent l’effondrement des fronts rebelles par le fait que ces

derniers ne jouissent plus du soutien populaire dans la plupart des

régions, après que l’image se soit

éclaircie. Ainsi, l’Etat ne s’est pas af-

faibli, il continue de verser les salaires,

y compris les augmentations, et les

Syriens savent que chaque bataille va

se terminer par la victoire de l’armée.

En revanche, les rebelles imposent

désormais leurs décisions de force: les

puits de pétrole sont pillés, les raffine-

ries brûlent, les femmes sont prises

comme butin de guerre, le racket sévit

et des habitudes étranges sont impo-

sées au nom de la religion.

Force est de constater que l’armée a progressé ces derniers jours

dans une vaste zone allant de Deir Ezzior, à la frontière avec

l’Irak, à Daraa, près de la Jordanie, en passant par Damas et

Alep.

A ce rythme, de nouvelles réalités émergeront en Syrie dans un

avenir très proche, et la conférence de Genève 2 ne sera même

plus nécessaire pour imposer une solution.

Syrie: Assad tout confiant dans une mosquée de Damas célèbre la fête de l’Adha

Congés pour les fêtes musulmanes à New York Les élèves new-yorkais devraient bénéficier de jours de congés pour les principales fêtes musul-manes, estime celui qui devrait devenir le prochain maire de la ville le 1er janvier prochain. «Nous devons respecter la foi de tous dans cette ville. Et c'est pour cela que nous devons respecter les musul-mans, en faisant de l'Aïd des jours de vacances dans nos écoles», a déclaré le démocrate Bill de Blasio, en rencon-trant des représentants de la communauté musulmane qui lui ont apporté leur soutien mercredi. Il a souligné que des examens tombaient parfois le jour d'une fête musulmane, et que les enfants ne pouvaient pas à la fois respecter leur religion et leurs obligations scolaires. Bill de Blasio bénéficie d'une énorme avance dans les sondages, et devrait sauf surprise être élu le 5 novembre. Son opposant républicain Joe Lhota a tenu un discours similaire lors d'une étape de campagne à Brooklyn, souli-gnant que la population musulmane était en augmentation à New York. «Leur religion doit être respectée comme les autres religions le sont», a-t-il dit, selon le Daily News. Les élèves new-yorkais, dont environ 13% sont musulmans, sont actuellement en congés pour trois fêtes juives, «Rosh Hashanah» en septembre, Noël en décembre et Pâque en avril, ces deux dernières étant également des fêtes chrétiennes. Le conseil municipal avait passé en 2008 une résolution unanime pour instaurer des deux jours de congés pour l'Aïd al-Fitr, qui marque la fin du Ramadan, et l'Aïd al-Adha, la fête du sacrifice. Mais ils ne se sont jamais con-crétisés. Le maire Michael Bloomberg y était hostile, estimant que cela ouvrirait la porte à d'autres demandes du même genre et que les enfants avaient besoin «de plus de jours de classe» et non l'inverse.

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{Ils veulent éteindre de leurs bouches la Lumière de Dieu, alors que Dieu veut absolument

parachever Sa Lumière, même si les incroyants détestent cela.} (32/IX

كتبث جمسيخ الكمسه ١٠١عواه: صت:

٠٠٢٣٣٣٠٢٢٣٢١٠بتف مث:

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tel: +237 70227910 - +237 94035696

Directeur de publication:

Changam Ali Youssouf

Redacteur en chef:

Changam Ali Youssouf

[email protected] Ont contribué à ce numéro: Imran Tchoumkeh La revue Lumières spirituelles

« Ô fils de Shabîb, s

i tu

es en train de pleurer

pour quelque chose,

alors pleure sur mon

aïeul al H

ussein fils de

Alî fils

d’Abû Tâleb

(p) car il

(p) a été égorgé

comme l’est u

n bélier.

Avec lui, o

nt été tu

és dix

huit membres de sa fa

-

mille qui n

’avaient pas

d’égaux sur terre

. Les

sept cieux et le

s terre

s

ont pleuré...

L’Imam ar-Reza (a

s) disa

it:

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Iran : Le député représentant la communauté juive fustige «Israël»

C iamak Morsadegh, député représentant la communauté juive au Parlement iranien a jugé les attitudes de cer-

tains dirigeants israéliens, d'hostiles, de racistes et d'intolérantes, voire contraires aux valeurs des religions

monothéistes et des enseignements de la loi de Moïse (p).

«Ces appels à la guerre et cette arrogance bruyante qui sort de la bouche de ce vilain individu [Benjamin

Netanyahu, ndlr] traduisent le désarroi de l'arrogance sioniste en-

vers le peuple iranien libre», a affirmé le député dans un communi-

qué.

Et M. Morsadegh de poursuivre : «Nous les Juifs, nous dénonçons,

d'une seule voix, aux côtés de toutes les personnes Libres de ce

monde, les allégations vides et racistes proférées par ce délinquant

[Benjamin Netanyahu, ndlr]. Nous affirmons au monde, encore

une fois, notre engagement et notre solidarité avec tous les adeptes

des religions divines au sein de la République islamique d'Iran,

dans sa lutte contre l'injustice et la tyrannie de l'Arrogance mon-

diale».

«Les sanctions arrogantes et inhumaines, et les allégations mé-

diocres qu'une certaine catégorie annoncent leur inquiétude et leur préoccupation face aux progrès réalisés par le peuple

iranien», a-t-il conclu.

L'Iran a la plus large communauté juive du Moyen-Orient après «Israël», avec entre 25 et 30 000 membres.

Source : Parti Anti Sioniste et rédaction

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