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131X-0217112:31E ANNGO ABONNEMENTS eme.uf., 6 motu. fr.; T an. 45 te reaaritt des manifestations de ce genre; nous SOUU48 6gi198S, r.::=arozir,sizerie- ser le cri d'alarme et d'avertir ceux qui ont la garde du régime L'autre jour, M. Herriot a cru de. voir faire à l'opposition mi appel d'union sacrée pour sauver notre cré- dit national. Il s'est imaginé, avec Sa bonne foi, en franchise et sa généro- sité, qu'en disant la vérité devant la Chambre et devant le pays, en mon- trant la situation tragique a laquelle hr politique d'imprévoyance suivie depuis la guerre nous a conduits, tous Ira partis se grouperaient der- rière lui, oubliant momentanément leurs divergences de tendance, afin d'empêcher la chute du franc par un vigoureux et rapide redressement fi- nancier. 11 a suffi, le lendemain et depuis, de lire les réponses du Bloc national à cet appel pour être salifié. Le Gra, lois, le Temps, le Figaro, tous les or- ganes de la grande bourgeoisie, ont signifié qu'on exigeait la rupture de la politique du Cartel, le désavu du programme élaboré le 11 mai de- vant les électeurs, et proclamé draus la déclaration ministérielle, Peur ob- tenir le concours de la haute banque et des classes dirigeantes aux mesu- res financières susceptibles de stabi- liser notre monnaie. - Ces messieurs entendent continuer I.r campagne défaitiste, dût le pays en périr, et ne veulent désarmer que si le président du conseil et ses 1M- cistres viennent, comme les bour- geois de Calais, la corde au cou, leur apporter les clefs de la maison dont ils s'empareront à nouveau. On a mis tout en oeuvre. Des agents de change lancent des circu- laires, dont l'effet est de drainer vers l'étranger les capitaux que nos bons patriotes n'hésitent pas exporter. Les banques suisses, hollandaises ou espagnoles, auxquelles ces braves gens font ainsi confiance, ne laissent pas, à leur tour, dormir dans des cof- fres les sommes qui trac sont con- liées. Et c'est ainsi que M. Loucheur a pu révéler a la Chambre que des banques suisses alimentent, avec les catsitaux français, les industriels ah lemands. Après quoi, nous verrons monter à la tribune M. Desjardins, ou quelque autre bon apôtre, alpe- ler l'activité débordante de l'in sis- trie allemande, au détriment de l'in- dustrie française, pour laquelle ou poils demandera des droits protec- teurs. C'est là une véritable dérision, puisque, ainsi, s'affirme la fraternité des capitalistes de France et des ca- pitalistes d'Allemagne, .arisés pour prélever le maximum de profits sur In misère du plus grand hombre. On ne pourra juger avec assez de sévérité ce, possédants, dont la hai- ne du gouvernement républicain est telle, qu'ils aiment mieux faire filer leur argent à l'étranger, plutôt que de payer en France leur part légiti- me A côté des liantes banques, voici Bac les hauts fonctionnaires de l'Etat se mêlent à leur tour de propager les nouvelles funestes et d'encoura- ger l'égoïsme des classes dirigeantes. J'ai dit ici, sans avoir été, hélaci t en- tendu, et je répète sans cesse mon cri d'alarme, que, si nous voulons faire aboutir notre programme répit- blieain, il faut obtenir des fonction- haires tous les degrés de la biérar- gm.e, non pas l'exécution des 11.1- smns gouvernementales en rechi- gnant, mais la foi dans l'avenir de /a démocratie. Ceux qui boudent à la besogne, suivant la formule militaire célèbre: « attendre, avant d'exécuter un ordre, d'avoir reçu le contre-or- dre », ce qui signifie actuellement, et en langage clair t attendre la for- mation d'un .binet de concentra- lion, doivent être hnpitoyablement chasses. Notre ami Daubas., dans son dis- cours de Magie-City, a tenu à le pro- clamer. Il faut, a-t-il répété, à un gouvernement, de la volonté et de l'autorité. serait bon que, dans les sphères ouvernementatess, on méditât ces Paroles, qui sont les conseils d'un chef à ceux de ses compagnons de lutte qui sont chargés en ce moment de diriger la barque. Nous ne pouvons laisser les fac- tieux s'organiser sous fsell bienveil- 4nt des Pouvoirs publics. J'ai ap- IMs, par des amis sûrs, qu'une par- te des officiers de l'armée du Rhin lie craignent point, dans leurs ce, elcs. après les repas, de porter des toasts du genre de ceux-ci « A /a chute de la République 1 Vive le roi, Enessieurs ! a, ou bien encore A la dictature prochaine 1 v St M. Herriot, dans sa niagnani- Wattache point d'importance à REsinetiort et AtImisistratlon . TG, Rue Ro...daine - TOULOUSE rat o-43 - nense Chèque. portaux I 6...rop BUREAUX A PARIS .5, Re. d'Aeloà., 5 (Ne Annorlawnecte) T6liphoseC.end Je sais bien que les gens du Vati- can, qui sont puissants, entendent obliger nos gouvernants à capituler sur la question de l'ambassade, tout au moins partiellement; ils espèrent profiter de la visite de M. de Monzie à Rome pour en tirer avantage. Il est devenu de bon ton, chez les financiers, d'affirmer des sentiments pieux. On s'imagine facilement, à la Bourse, qu'en invoquant, dans les églises, un certain nombre lie saints ou de tiamtes, on volt immédiate- Ment, par une sorte de miracle, la fortune s'accroître, ou, tant au moins on conçoit l'espérance d'écarter ain- si les agents du fisc des recherches trop indiscrètes qu'ils pourraient être tentes de faire dans les établisse- ments financiers et dans les succur- sales du consortium. La spirituelle comtesse de Nottil- lescaractériseit admirablement, na- guère dans une soirée, cet état d'es- prit « Les gens de finance, disait- el/e, scellent volontiers leurs coffres forts et leurs portefeuilles avec une linotte. » C'est ce qui explique l'acharne- ment des banques contre le ministè- re Herriot, comme l'acharnement d'un Colson profitant de sa chaire de l'Institut pour dicter la résistance aux gens bien pensants, en leur don- nant le prétexte de l'autorité scien- tifique. Tous ces mots d'ordre viennent de Rome et sont dictés par la Jésuitiè- re. C'est pour cela que l'appel à l'union sacrée devient sans objet la haine de /a clérirsaille contre la République est telle qu'un ne la dé,. sarmera pas. /1 faut se résourrre :Ir la vaincre. Il serait temps de :mettre fin à cette situation et, an lieu 71e tenter de concilier ce qui est inconciliaide, d'engager la lutte résolument contre ceux oui doivent payer et s'y refu- sent obstinément. Justes IIHRY, Dépisté de l'Oiee. LA SUCCESSION D'EEERT 61. SINJON PRESIDENT INTERIMAIRE DU REICH Berlin, 8 mars Le conseil /dos doyens Ou Reichstag adéciété de confire l'intérim, de la pléselerece de /a Rd/oubli- que au ptésidont eu dit:anal suprême de Leiprig, le docteur Walter Simons, ex. ministre tirs affaires étrangères dans le cabinet Fethenbaoh, qui représenta l'Allemagne à la conférence de Spa et à celle de Londres en 1921 Le cabinet présentera lundi su reichs- tag un projet de loi dons ce sens. LE CANDIDAT DES DROITE Berlin. 8 Mare. On annonce que I. astis de droite se amis mis c.:accord peur' oréoroser la candidature de M Jarres fa résielience .du Reich. M. JARRES Un Volcan en Espagne Madrid, 8 unies. On mande d'Alicante aux journaux Sur le territoire de la commune de Sax, au lieu dit Carriml, on a découvert une et evasse exhalant une fumée épaisse Tom /es arbres d'alentour sont desséchés. Let villageois ont jeté de Peau dans la crevasse et Peau est ressortie Prearfne bnidétante. « La Panique règne dans ka trama. en. yirounants, SOCIALISTE I/ contieni d'insister quelque peu sur Une importante nouvelle que, le s Midi a d'ailleurs, asignalé eléjd les hommes les mieux platou pour parler au nom du pro- létariat britannique ont adepte ce tour- là une résolution réclamant de la fa?on la plus expresse la raidi:cati/On du protomle Voici les 'termes do tordre du jour voté. par lu comité exécutif du Labour Party et le conseil administratif des Trade-Unions: ri Le mouvement ouvrier estimé que ce vs doit faire tout ce qui sera en sen pouvoir pour obtenir 'acceptation des principes du protocole et la tenue de la conférence de désarmement Il soutient te protocole en considérant mut celidoi fournit le seul plass actuel'. ment praticable polir obtenir le désarmes rent et substituer l'arbitrage à /a guerre comme moyen do résoudyz les conflits a Le purE travailliste doit s'opposer fer- mement it toute suggestion tendant it subs- hWcc au protocole toute espéco d'Oltenre eu de garantie tuditaire limitée Tons les efforts doivent Cire faits pour amener Inn, les Etats non-signataires Ci signer dl ii ratif ier. On Se mutilent qu'à la conférence des deux Internationales. tenue à Brumilles au début de cette ointe, une riisolution recomMitadant en termes non moins citer- gigues la politique de Geneve fut admise PurranImité moins Iàbstention de là dé- légation anglaise. L'événement d'ardu.- n'Iran nous montre que nous avions ralson de garder pleine oonfirince dans le bort sens avisé dus travaiileurs anglais. Voici entièrement di.ipir un malentendu M- aux et l'Internationale se retrouve ri so- lide derrière le pro/91 que 01.9 Donald, et ses annS avalant d ailleurs e grande. mciii sitôt à mettre debout, Nos amis anglais n'entendent point per- mettre que l'en remplace le protoenle pur oui systéree limité d'alliances eu de garan- ties reilitMres. On ne peut que les en an- :moven :gréuts doute uni-ils pensé en ré- rlitreard cette partie de leur teste à ces propositiOna rgea en us-sire 100 edubieuu-u le aciérer/lament conaerveleur .nge présenter è la Franco et à la rielginue. et dont nous avons dit plusieurs fois ici nit- tee cembien nous nous en méfiions. Pour autant qu'on en puisse juger dies elltife- riait essentiellement aiti projet as Cannes inidneme, appelait pourtant bien des resèrves, appelait pourtant bien d-es réscr. vis. Il semble plutôt qu'il s'agisse esses- tir:Nenni., celte fois, d'obrertir l'appui on la complaisance do la France pour une po- /ilium d'aventure en Orient et en Est-ii, Orient. On y parle de la paix du Rhin, mais on parait songer beaucoup plus l'éventualité d'une guerre alois la Méditer- ranée orientale ou mérite dans le Pacifi- que. De cette « connibinaisnm re nos amis ne veulent pas plus que nous. Lotes ef- forts nous aideront à un écarter te danger. Leur texte va plus bug nt proteste par avance contre toute ir garantie qui rom- plaocrail le protocole. liel encore na ne peut qu'approuver s'f! est bien entemlu que seules les garanties se dubstilunnt un Immun eus normal et plus efficace d'é- carter len conflits sont visées N'oublions point que l'on peut COtter,Vnir des « ga- ranties qui lem de remplacer le proto- cole en soient le compléments et le moyen naturel ed-ce essorer a one tonnemen Que dis-je ? N'existe-t-il pas d1,5 autour- d'hur des garanti. de l'espèce, plus ou rnoins explicitoment &nuées. Et qu'est-ce h tout prendre que l'Empire briumnique toi-mémo si vo n'est le plus efficace et /e plss important vie ces systèmes de garan- tie ? aux Communes LA QUESTION DES LOYERS Va-t-on ezrulser en masa? antérieure même ...estée ou L'opposition du Labour Party exPiréi former une nouvelle demande de Prato- Mais sons dente n'est-il point utile de discuter ceci plta longtemps aujourd'hui. Avant de thember comment Pertmutiimmer le protocole, efforçons-nous à lu faire sanctionner. Cie ne sera pas trop de toutes ois frimes unieu peur y pervenir avant qu'g n assit Pop tard seer, Pion Ou troués déjà a été perdu I Appliquons...us maintenant ô mettre à profit tous les ins- tant, qui ruais restent, L'Europe ne sau- rait demeurer. beaucoup plus longtemps dans Pelat de suspens où ac, est aujour- d'hui. si elle aura vite la garantie du protocole, ou elle cherelmra attions, que vaille, quer/que moyen d'obtenir une re a ne Louis DE DROUCKERE. CRAVE INCIDENT Landru, 8 mara. La Cham., a vars' par ?Si vois centra 119 ana mulon de banco.. amine In député Kirkwaod noa. svair Interronsru de la déclaration de M. Chamberlain et peur avoir refusé de quitter la ...da des réarmée lorsque l'ordre lui en a été sionn-C. Pendesi le sein, les membres travaillistes sc sent groupés amour Ce M. Kirlaga.d eouna ur . pe emabolver leo huissiers de parvenir insu.à son Xe,ès le vote, Kirkwond a été prié de se re- tirer. Il a chef are, -P. ou, /es travaillistes dent Mac Donald, LE PARTI TRAVAILL/STE filOTESTERA CONTRE L'EXPULSION KIRKWO011 Le ana travailliste parlementaire s'est aluni sensidérant la rasse, prise eu., le depeté Kirivnmod nomme étant trop ageureuse, a décidé dc sonlever sone question à la Chambre. Sdon le rbelemsat, et à rimais 9.0 Kba.rousl ne présente dee excuses. d he amura siéeser pen- dant b eisa de la session actuelle. LE LABOUR PARTY EST UNANIME CONTRE. LA FOOTP.C110N DOUANIERE usons asuman, houngenis anglais avaient pre. i.sds, à la saiir eutreft à 1s tieu rammunes, sue le cou travailliste étau eu atmo ass sujet des tarifs psomeriennistes. On parlait même d'ulie a scission s au sein du para tra- Il n'en se évidemment sien. Certains décidés simplareat ernué uoint tas vue, padséé psr lé...é:aidas du mus les Pays, rua ta Ishre-siellanae ne constitue pas en liventrile une nommée rieur /eS maux Mee utts,in sEutt n'a sace un ip.ai à s'appro- prier ts, thlse deo conservateurs de le protec- tion dauaniè.t. Le sée,ese parlementaire iras-caca sieni d'exa- mines les araositions da gouverna... =asse- nâtes, à cet kraal. Une diseusdon cap...Rond. a atioutt an sets unanime clim,".é.cilation us den, firme Plionaitc dst nad travailla. à te...if &actée, o deeide de nommer mie eommiasion d'éburné'u, ehatigée dc lanauler le. revendications du mouvaiierit travailli.a, autres eue ta pecteet Ieoh dousitière, au scie des tari.handise. >alai- res eau ta ,Raia-d'eaugro rad payée, soit , Lu sw, à réfréner. curimassion sera composée de sept rumnisses do tenow. Parlementa, nn représentant du comité exéeutif On Labour Pane, un 0115 ni de la cossa... rrurilsee rs Leur exdisfid- Lad 'Ci 'Situés du ramure parlementaire sant Snowden, Henderron. Johuston, Webb, Share lamé A,nstd. On attend farm ennuis lea couches-ions de cette commissan. Mom sl te db. ardâmix 'id. le amans 5parlementet, recouses à l'unaniaaté toute ferme de protection donaniare et qu'il ma toad mettre sur un pied d'égalisé les nreduits da le main-dNeturre mal payée isnmsad labour) sans disibetien dame' ereefiltn, Af. LEV ASSEUR NOUS EXPLIQUE POURQUOI IL EST URGENT DE VO- TER UNE LOI MAINTERANt JUSQU'AU tee JANVIER 1926 LES DROITS DES LOCATAIRES DE BONNE FOI. -A l'eedre chr jouie de la ci nicher sont ceis des locataires qui ont employé la inscrites plusieum propositions ele loi ptocaure régidinre palette suerons deux ayant pour but ilinteldire les exPubiorn let,. cio locataires expulsions qui vont avoir lieues masse, alun texte légidatif. OPPor- e Voici un exemple ? tunément voté, ne vient pas les ernspé- « La lei du 31 mals 1922 stipule que chue.- droit de omise ne peut être invoqué; Aussi bien, un très mportant débat s'instituera-Vil à ce sujet dans l'hémicy- cle, avant une ovItmaine die irmrs. Au cours de ce débat, quelle est /donc /a thèse que détendis M. Levasse., de- venu ic spécialiste parlementaire le phas notoire do Is question des loyers ? II non. a Odolsré a Il est urgent que le Parlement vota Une loi inter/disant lis exprisions, rerr trais raisers principales. gri frapperont, j'en suis sEr, tose mes collègues. a La prernifire s'explimie par le fait que, la ioi du 2 juillet 1924 n'ayant ac- cordé qu'un délai de dois mois peur ré- damer la prorogation, dés milliers de lo- cataires, appelés à en bénélicier, Font ignoré et se sont aperçus trop tard de trin Cet.e. Ce cliélai bop rigoureux et la parelmonie souvent constatée avec la- quelle les maestrats ont eacorCé les /mos mgations n'ont guère morMié respect du roblErrie depuis six mois. ri Des milliers de locataires aie benne foi sont sur le pari/st d'être jetés à la rue si le Parlement ne vote ides dispositions urgentes nour parer à ce miace dangeT rr La sem:ince raison, c est la vie arion o La loi d, 2 août 1924 donne Un dé. outrageante des lois du 31 muas 1922 et lai de toi, mois aux locataires ou cocu- du 2 uodt .1924. violation Préérsdiciable à pentu de bon.sse fol, en vertureiane Pro, M Arthur LEVASSEUR député d, Paris Par l'acquéreur d'appartement dont Pep nautilesest postérieure au ler février CE QUE RAPPORTENT LES MONOPOLES POUR L BACS CIIIFFRES DE 1423, PRODUIT BRUT r 1.806.745.000 fr. DEpENsEs 584.246.000 fr. BENEFICE NET 1.282.499.099 fr, Ls circulaire Ou 2 aoét du garde C."0 Sceaux, dit que tous les bénéficiaire, de I, nouvelle loi, quels qu'ils soient, une fois faite ou renouvelée lem demande ce promgation, doivent penvoir se. gérer, à l'abri Ide toute expulsion tueras à ce nuit ait été smtué, et, en cas de ten- tative d'ex-ouldon, le juge d. 16féléu saiei, ordonnera, sur justification de /a demandie tic prorogadon, un sursis à l'ex- pulsion. Or, par ordonnance de référés, à plusieurs reprises, dic occupunts de bon- ne foi ayant fait /eus demande le.ie Pruus- cation acteneurement et cane le ddtoi de la loi ont été expulsés à la demande d'un acquéreur rIiapasartement dont ries quisition est postérieure au leu février 1922. ii 11 est cependant décidé croe le juge des référés ne peut trancher le fond. Et la troisièren raison ? J'y arrive. La troisième raison est qu'il est indispensable qu'un délai suffi- sant nous soit scooteà pour discuter la proposition cocifiant les lais sur les la- ye. on établissant enfin, une /ai défini- tive à l'abri de laquelle pot... se Pour- suivre une politique de construction des. tinée à rétablir le marché des loyers et le retour au droi commun. u 11 serait profané:é:ment injuste que des citoyens de bonne foi soient Privés lcCnéfice de cette loi, dont l'applica- tion, nous pn sommes Persuadés, ulat, nem leu meilleurs résultats. beiCtIttocs vsttr celte três :reportant, peu- Position codifiant les ving,cirro lois en vigueur relativentaiit x loyers, cé à été déPurée Per Ni. Levssseur et sera distribuée dès matoir usuel-tain aux tés. Sans doute, la Chambre et le Sé- nat. qui unt à se mettre ii.accord avant Pàqu., sur le huilent accord parais- sant .1:i-iode à réaliser na dispose-Ont gué0 de temps pour s'octuper Il semble bencsailde, on tout cas ove les deux assemblées ce réglant +-as avant ceu, per un texte précis et diéfinitif les /dires multiples et complexes dont la cri- se du !segment est lia cause. R.D. Ura siège de Sénazeur offert à PL Caillaux Mâcon, 8 mars. A la suite de la mort de M. Gerbe, sénateur radkal socialiste de Saône-et-Loire, un certain nombre de mili- tants de ce département se sont mis d'ac- cord pour demander 5 M. Caillaux de poser sa candidature au siège sénatorial devenu sem, M. MASARYK le fondaterir dota République akéessieséque dont on célébre le 75, annoaroirs L'APPEL A LA GUERRE C/VILE Et, d'autre part, liseè ce qu'écrit le in.- mole L'Alsace ri, organe de la Ligue Gis. a line assemblée nombreuse n'est une Caere que si elle est armée, et j'entmds ar- mée dans le vrai sens du mot, avec des gourilins, do triques et des revolvers. a Le Imans n'est pas loin où, tins j0111.11,,' socialiste niait parlé de la sorte, an rait supprimé en bouclant son rétlactem L'EVEQUE DE NICE CONTRE LE GOUVERNEMENT Au cours d'une cérémonie pour la béué diction du drapeau d'une association d victimes de la guerre, élgti Ricana évèqu auxiliaire de Nice, a prononcé un disersuc violent disant riue tout ce qui avait pu CP fait en France de gnd et beau devait fuit par lm pensée chrétienne et p.r plus pure émanation, le calhollei. ' faiblesse et son droit avaient }usai, tégé rEguse, mais, à présent, on ne pas d'emploS'er contre elle des né violentes. L'orateur établit un parallèle entre P-; droits des ascendants des glorieux mort. pour le pays et les draits de Pliglise sur la France. II conclut ainsi t a Pour le gon, vernernent actuel, nous sommes le passé, doue nous n'existons plus. Les catholiques se groupent autour de la croix qui est leur emblème. La France ne peut être sauvée mue par l'union do drapeau et de ta croix. » A cette cérémonie a.istaient le représ LUNDI D MARS l9,'- AU JOUR LE JOUR Pauvres femmes ! Il y géré0 une s,istique amusante à faise celle de nombre de gens qui vinent de la coquet- terie féminins. Amusante et aussi un peu nista, car il est ms fand afflige., de ean Manda quel point peut alles l'esprit de s,e,dion dies /co unes es l'outrecuidance 'chez les mares. Il alfa de I, la publicité dee journaux. D'a. bord la question du visage. s Voulez-am, indi ces g jeune fille I Rien de plue facile. Chaque mir, mant de vous mettre au Suit une recette de laque, de fridion, pets, neterellernent, une erème sans égale, dont usait Io rethe C/éopillre, ca. géant O ar litté,,re destinée O accomPagner cette nuMicilé, elle est adroite et étame Il n'if, ami quesdon que do visage flétri par l'a, jeunes femme.s aimées, do vieilles femme. 9.; In sont piste Et, comme si ai, ne mfflimit pae, des domina sou/Amen/ le ter, Es puas des. sine I.. 11 p o ensuite le APPUI, dee hanchea, hanchee dont dépend, pnaval, ta silhouette. Ce, lei, dest le fabricant de corsets qei /solo, mi il n'ees ni plue tendre nt plue discret que sen collée, le fabricant de ares,. 11 y a onaige I, caession des Sembes s L'As. «Ma., nombre de femmes mitans le, chessitlm s'éon:psi, lems malais StMeencIre, /ergs ianibre deonir informes.. ri Tord Ma Peur rambe Jer bandes 1 Et je ne dis den des nentree ballonna, qui ré. daman, ana usina. dee poile supefflus gai dia. ,saitront avec la rem., éssotienns do bIlaa Tenflut, dam di, ocr semis oui repousseront .e.,a la pâte des Sult.es, dee chapeou blanm eas font fuir Na hommes ai qu'une sasis e,lication je, X rends, o ie. coulas, Po., femme. I Comme sans ces marclqiide cons connaissons bien I Comme ils exedortené vos faibLeiss ! Mais ne poutralentdb le laird. sans Effiles publiquement isos simises misecee Quand je vois une jolie lem:nada-d. L. rab, je me demande ...Cour, su ale ne doit acs . beauté et son ehrPne é ta Dème Meehin, I la Poudre Close, à M ceinture X. ai O la Minima Y. AndrI S TA. ministre des légion» Madrées oui a cémentsil à amas/ers les Bande... Oct skions !sur.. Rra blaucM par la justice POtTiS, 8 noirs. M. jousselin, juge d'instruction vient Me clore une enquête commencé, en 1921, par le parquet de /et Seine, pnur spéculation illicite sur les sons. centre MM. Louis Vils-nia prase ; son fils hOmard t Salmon. décédé I Chars len Ekipuis et son fils Oscard-Ernest et nie minotic. et Bil. Ern.t Vilgrain, ancien sous-semé:taire ,dEtat au ravitaillement, inculpé du délit do corruption de forte- tionnélres. En vertu de l'article 175 du core pénal, le magistrat a renias une ordonnance da non-ticu générale, tant en favem dos mis notion, en raison de /a loi d'amnistie dernière, que pour M. Ernest Vilqvain, celuisci pour dia mailla jeritilques. LA CROISADE CLÉRICALE sentant etot préfet et d'autres autorités dont, naturellement, beaucoup de généraux. Per- Sonne ne protesta contre tes attaques inc juStes et contre les mensonges du prélat dénonçant les prétendues persécutions du gouvernement. Tous ceux <fui écoutèrent Picard sont-ils ses complices ? Al. Emmanuel BROUSSE ancien député des Peréntes-Oriento, fourrier de Millerand qui est d Torefouse pots préposer la am. du bagne 1.11111111111111111 Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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