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B-MOVIE B-MOVIE POSTERS POSTERS H H O O R R R R O O R R A A C C T T I I O O N N S S C C I I - - F F I I E E R R O O T T I I C C A A I I S S S S U U E E 1 1 D AMIEN GR AMIEN GR AN AN GER GER L L E E S S M M E E I I L L L L E E U U R R E E S S A A F F F F I I C C H H E E S S D D E E S S E E R R I I E E B B C C O O N N T T E E M M P P O O R R A A I I N N E E S S

B-Movie Posters Issue 1 Sampler

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Sexy Bimbos, Cheesy Monsters, Big Guns, Homicidal Dolls And More ! ... 20 B-Movie Posters Reviewed 13,5 x 18,5 cm PDF You Can Buy The Whole Issue Here : https://hometeammediagroup.selz.com/item/531f2ca8a1416c0900a265bf

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Après avoir longtemps oeuvré dans la Sexploitation trashos et le porno, Roberta Findlay et sonmari Michael se lancent ensuite dans les films d'horreur Grindhouse, avec notamment le film deYéti Shriek of the Mutilated, et surtout Snuff (à l'origine Slaughter, un métrage qui s'inspire desmeurtres de Charles Manson, auquel le distributeur décide d'ajouter une nouvelle fin au coursde laquelle l'équipe du film décime les acteurs). Un film tourné en 1971 et sorti en 1976 qui lesrend tristement célèbres. Michael décède peu de temps après, déchiqueté par les pales d'unhélicoptère. Glauque. Roberta Findlay réapparaît dans les années 80 avec une série de films àpetits budgets subversifs et extrêmement violents, crus et gore. Des séries B anarchistes oùtout est mis en oeuvre pour les rendre le plus "politiquement incorrects" possible. Après Gameof Survival et The Oracle, Blood Sisters envoie un groupe de nanas passer leur nuit d'initiationdans une ancienne maison close qui fut le théâtre d'un massacre. Des fantômes apparaissentdans les miroirs, les portes claquent en se fermant toute seules et un mystérieux personnages'est mis en tête de faire un barbecue avec le casting... On apprend vers la fin que le tueur esttranssexuel, comme dans Sleepaway Camp 3 ans plus tôt. Avec les Scream Queens AmyBrentano et Ruth Collins, et la journaliste Maitland McDonagh (pigiste à Fangoria et MadMovies et auteur de nombreux très bons bouquins, dont Broken Mirrors sur Dario Argento).

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ISSUE 1

Richard Harrison, star de plusieurs péplums et westerns dans les années 60 et 70, est JackKaplan, un expert en armes lourdes fait prisonnier au Vietnam. Lorsqu'il est libéré et qu'il ren-tre au pays, il découvre que sa femme a été kidnappée et assassinée par Duffy Collins, un cri-minel notoire entouré de lieutenants qui répondent aux noms de Panther, Cat Burglar, Man WithThe Golden Hand ou encore Shadow (un ninja). Tout ça parce qu'elle refusait ses avances!Jack Kaplan part alors en guerre contre Collins et sa bande, mais aussi la police, qui est à sestrousses. Jack Kaplan a la rage et n'aime personne. Il est seul contre tous... "Du grand n'im-porte quoi" est certainement la phrase qui résume le mieux ce film. Le gros flingue super exci-tant qui est sur le flyer ? Son nom de code est Omega, mais à part le montrer sous toutes lescoutures au début, personne ne s'en sert jamais. Le scénario, écrit la nuit au fur et à mesure dutournage par Timothy Jorge (en fait Richard Harrison) n'a aucun sens. Passé les 10 premièresminutes, ne cherchez surtout plus à comprendre ce qui se passe, c'est peine perdue. Amusezvous plutôt aux pitreries des habitués Richard Harrison, Bruce Baron, James Gaines et MikeMonty, qui pensaient certainement avoir connu le pire avec ce film (et les autres productionsSilver Star). Mais c'était sans compter sur les films de Ninja de Godfrey Ho qui allaient débou-ler quelques années plus tard.

SSIILLVVEERR SSTTAARR PPIICCTTUURREESS -- PPHHIILLIIPPPPIINNEESS -- 11998833 UUnn ffiillmm ddee TTEEDDDDYY PPAAGGEEAAvveecc RRIICCHHAARRDD HHAARRRRIISSOONN,, BBRRUUCCEE BBAARROONN,, GGWWEENNDDOOLLYYNN HHUUNNGG,, JJAAMMEESS GGAAIINNEESS,, AANNNN MMIILLHHEENNCCHH,, RRUUEELL VVEERRNNAALL

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ISSUE 1

En 1986, Fred Olen Ray tourne quelques images à la va vite avec John Carradine peu de tempsavant qu'il décède (ce qui lui a valu le surnom du "Fossoyeur" pendant plusieurs années). Desimages censées être intégrées à un film de sorcières intitulé The Coven, également avec BrinkeStevens, dans lequel le parrain du cinéma Bis était censé passé pour sorcier leader d'une sectesatanique. The Coven ne verra jamais le jour. Fred Olen Ray est bien emmerdé. Et en embrouil-les avec Kenneth J. Hall, réalisateur d'un film qu'il a produit quelques années plus tôt, EvilSpawn avec Bobbie Bressee. L'embrouille est telle qu'Olen Ray est bien décidé à lui faire cequ'on appelle communément un "coup de pute". C'est alors qu'un pote à lui, Ted Newsom, vientle voir avec un scénar de film de monstre qui l'amuse beaucoup. Fred Olen Ray décide alorsde lui faire shooter quelques scènes de son script, y ajoute bon nombre de plans issus d'EvilSpawn, fourre les images tournées avec Carradine, et le tour est joué ! A son tour, Newson estbien emmerdé, parce que Carradine a vraiment rien à foutre dans son film. Mais bon, RichardHarrison et Gordon Mitchell non plus. Ni Melissa Moore. Et encore moins tout ces stock-shotsde Evil Spawn ! Alors il compose avec, et livre un film plein de monstres caoutchouteux trèsamusants.

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ISSUE 1

Dans les années 80, le producteur/réalisateur Lloyd Simandl va s'en mettre plein les fouilles,comme beaucoup d'autres, grâce au marché du direct-to-vidéo. Il investit tous les genres : PostNuke (Empire Of Ash, multi diffusé à l'époque sur M6), Action (Crackerjack, qui sortira mêmeen salles), WIP (Chained Heat 2 avec Brigitte Nielsen), SF (Lethal Target), Horreur (KillerLove)... Les affaires sont prospères, à tel point qu'il organise tous les ans une "Bowling & BurgerParty" tous les ans lors de l'American Film Market. Mais plus les années passent et plus lesfilms perdent en budget, et donc en qualité, pour devenir des bandes érotico-fétichistes sur latraite des blanches, tournées à la chaîne dans les mêmes décors avec la même équipe. LashOf The Scorpion est l'un d'entre eux, et un des derniers tourné sous la bannière North AmericanReleasing, avant que Simandl ne quitte le Canada pour retrouver sa Tchéquie natale, où il mon-tera un autre label, Bound Heat. L'histoire est toujours à peu près la même : une jeune femmeest arrêtée par des flics corrompus et jetée en prison où elle partagera son temps entre travail-ler à la mine et faire l'esclave pour assouvir les désirs sexuels de ses geôlier(e)s... Ca secaresse, ça se léchouille, mais à part ça, il ne se passe strictement rien. Si on devait juger lescomédiens, non pas sur leur façon de jouer, mais sur le manière de se déshabiller, les actricesde Lash Of The Scorpion remporteraient l'Oscar haut la main.

NNOORRTTHH AAMMEERRIICCAANN RREELLEEAASSIINNGG -- CCAANNAADDAA//RREEPP.. TTCCHHEEQQUUEE -- 22000022 UUnn ffiillmm ddee LLLLOOYYDD SSIIMMAANNDDLLAAvveecc EELLIINN SSPPIIDDLLAA,, NNOOEELL LLEE BBOONN,, RRYYAANN JJAAMMEESS,, KKAATTEERRIINNAA HHOOVVOORRKKAA,, ZZUUZZAANNAA JJIINNAANN,, SSCCOOTTTT BBEELLLLEEFFEEVVIILLLLEE

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ISSUE 1

Un vétéran du Vietnam rentre chez lui et trouve sa femme en train de s'envoyer en l'air avec unautre homme. Ni une, ni deux, il les égorge immédiatement, tout comme ses beaux-parents quipassaient par-là. Le seul à qui il laisse la vie sauve, c'est son fils, seulement âgé de quelquesmois. Alors qu'il nettoie son couteau, il est attaqué par un faucon qui lui arrache un oeil... Voilà,pour ce qui est des "killing birds", on en reste là. D'où, certainement, ce titre français L'Attaquedes Morts-Vivants. Car, quelques années plus tard, un groupe de jeunes se rend à la NouvelleOrléans pour étudier un spécimen d'oiseau rare en voie d'extinction. Après avoir rencontré FredBrown (Robert Vaughn, star de la série Des Agents Très Spéciaux aux côtés de DavidMcCallum dans les années 60), un ornitologue borgne (tien tien...), ils décident de s'installerdans la maison où eut lieu le massacre et vont être attaqués et décimés un à un par deux zom-bies. Produit par Joe D'Amato et réalisé par Claude Milliken, alias Claudio Lattanzi, assistantréalisateur de Michele Soavi sur Bloody Bird, qui signe là son premier et dernier film. Ce qui secomprend aisément au vu de cette purge soporifique au scénario évasif pourtant très généreuxen bavardages inutiles et à l'interprétation qui laisse une large place à l'improvisation. Et enplus, c'est même pas gore, tout se déroulant systématiquement hors-champs. De loin un despires films italien des années 80. Mais l'affiche est splendide.

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ISSUE 1

Entre Charles Band et les poupées, c'est une histoire d'amour qui perdure depuis des années.Dolls, la saga Puppet Master, Demonic Toys... On les compte par dizaines. Une histoire d'amourmotivée par le pognon, car tous ces films lui permettent de vendre, non pas des DVD, mais sur-tout des pelletées de jouets. C'est donc en toute logique, lorsqu'il amorce son énième retour aumilieu des années 2000, qu'un de ses premiers projets soit Doll Graveyard. Réalisé par sesbons soins, d'après sa propre histoire, Doll Graveyard débute en 1905. Sophia, une petite fillede 12 ans dont les seuls amis sont ses poupées faites main, est obligée de les brûler et de lesenterrer au fond du jardin par son connard de père. Lors des funérailles, Sophia glisse, tombe,se brise la nuque, et meurt. Sans pitié, son père l'enterre avec ses affreuses poupées. Cent ansplus tard, la famille Fillbrook emménage dans la maison. Guy, un petit garçon solitaire et persé-cuté par les enfants du village, découvre les poupées en jouant dans le jardin. Il est alors immé-diatement possédé par l'esprit de Sophia, et fortement influencé par les poupées, s'en va mon-trer à son petit monde qui c'est qui commande... Gentiment gore, pas forcément bien joué (vousvous en douterez), Doll Graveyard vaut bien évidemment surtout pour ses poupées, effrayan-tes et fort bien designées.

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