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JENNIFER PELLAGAUD SOPRANO Née en Nouvelle-Calédonie, Jennifer Pella- gaud y débute son apprentissage musical par le violon à l’âge de 10 ans. Au cours de ses études supérieures, elle se découvre une passion pour le chant lyrique et intègre la classe de Jeannette Fischer à l’HE- MU Fribourg en 2014. Depuis, elle a l’opportunité de se pro- duire en soliste dans les différents projets de l’HEMU et fait ses débuts à l’opéra en assurant le premier rôle dans la création Le Ruisseau noir de G.-F. Leuenberger et E. Rooke, sous la di- rection de Michael Wendeberg à Genève en septembre 2015. En novembre, elle est soliste à Equilibre dans Der Rose Pilger- fahrt de Schumann. Elle affectionne également le répertoire pour chœur. En novembre 2015, elle chante le Stabat Mater et le Gloria de Poulenc à Villars-sur-Glâne et en décembre de la même année, elle participe aux concerts de Noël de l’en- semble Orlando sous la direction de Laurent Gendre. JULIA DEIT-FERRAND ALTO Julia Deit-Ferrand débute ses études de chant lyrique au Conservatoire du 7 e arron- dissement de Paris dans la classe de Caroline Pelon. Parallèlement, elle se forme à la mu- sique ancienne auprès d’Isabelle Poulenard et de Dominique Vellard. Sur scène, elle incarne notamment Fantine dans la comédie musicale Les Misérables sous la direction de Sylvain Sartre à Perpignan et est soliste dans l’opéra Blanche-Neige de Marius-Felix Lange (direction Jérôme Kuhn) pour la com- pagnie Opéra Louise au Théâtre Nuithonie en 2015. Cette même année, elle chante au Festival international d’orgue de Fribourg dans les Kleine geistliche Konzerte de Schütz. En décembre prochain, elle sera soliste (mezzo-soprano) dans l’ Oratorio de Noël de Camille Saint-Saëns avec l’Orchestre de Chambre fribourgeois sous la direction de Philippe Savoy. Depuis septembre 2014, elle étudie à la Haute École de Mu- sique de Lausanne - site de Fribourg - auprès de Christian Immler, et de Hiroko Kawamichi. GERMAIN BARDOT TÉNOR D’un père chanteur traditionnel et composi- teur, Germain Bardot se passionne très jeune pour la musique classique. Il travaille alors sa voix de ténor en autodidacte avant de ren- trer à l’Ecole Nationale de Musique de Villeurbanne en France. Puis à vingt et un ans, il intègre la Haute École de Musique de Lausanne, sur le site de Fribourg, où il termine aujourd’hui son Bachelor avec le ténor Jörg Dürmüller. Il chante réguliè- rement dans les Chœurs de l’Opéra de Lausanne, de Fribourg et au Festival Avenches Opéra ainsi que dans les églises fri- bourgeoises. En 2013, il interprète le rôle de Godoïne dans l’opéra Tristan composé par Christophe Belletante, création récompensée par le prix de la ville de Lyon. En 2015, il est le Prince dans la création suisse de Blanche Neige de Marius Felix Lange créée en 2011 à L’Opéra de Cologne. Il interprète aussi le rôle de Tamino dans Viens rêver ta flûte enchantée ! à Lausanne. LE CHŒUR DE L’UNIVERSITÉ ET DES JEUNESSES MUSICALES PRÉSENTE Graphisme : www.ledesigndesophie.ch / © www.liveinternet.ru / Vierge vers 1440-50 © Paroisse de Saint-Maurice, Fribourg - Photo: Primula Bosshard, Musée d’art et d’histoire Fribourg RÉMI ORTEGA BASSE Originaire du sud de la France, il commence ses études de chant au Conservatoire de Région de Marseille dans la classe de Claude Méloni, puis intègre par la suite la Haute Ecole de Musique de Genève dans la classe de Marcin Habela, puis plus tard la Haute Ecole de Musique de Lausanne dans la classe de Jörg Dürmüller, où il suivra notamment les Master- class de Alain Garichot, Laurent Pillot, Yvonne Naef et John Fiore. Il fait ses débuts sur scène dans le rôle du Caporal dans la Fille du Régiment de Donizetti à Marseille sous la direction de Bruno Conti, puis dans le rôle de l’Aubergiste Pasek et du Moustique dans La Petite Renarde Rusée de Janacek à Mon- they, dirigé par Ivan Törzs. Plus tard il chantera le rôle du pre- mier ouvrier dans Le Devin Du Village de Rousseau au Grand Théâtre de Genève dans une mise en scène de Ivo Guerra. Il participe à une production de Bastien et Bastienne de Mozart avec l’Orchestre de la Métropôle Rhin-Rhône sous la direc- tion de Jean-François Verdier et une mise en scène de Fré- déric Mayri au Théâtre de la Coupole de Saint-Louis et à la Kursaal de Besançon. En concert il a chanté les extraits des Saisons de Haydn au Festival de Musique Sacrée de Marseille. Il a également chanté les parties solistes du Requiem de Mo- zart à la Cathédrale Saint-Sauveur d’Aix-en-Provence et à la Cathédrale de La Major de Marseille. Il chante également le Requiem et l’ Oratorio de Noël de Saint-Saëns au Temple Auga- gneur de Lyon, et à la cathédrale de Neuchâtel, le tout sous la direction de Annick Deschamps et Steve Muriset. En 2016, il chante le rôle de Simon dans la création internationale Carlotta ou la Vaticane à l’Opéra de Fribourg, Né en 1839 au Lichtenstein, il s’installe dès l’âge de 12 ans à Munich pour y accomplir ses études musicales au Conser- vatoire dans lequel il enseignera plus tard le piano, l’orgue et la composition. Egalement maître de chapelle à la Cour de Bavière, Rheinberger, à travers ses nombreuses composi- tions de messes et motets, a joué un rôle prépondérant dans la musique religieuse en Allemagne. Contrairement à son premier «grand» Stabat Mater concer- tant, l’op. 138 écrit en 1884 (20 ans plus tard) est, de par son instrumentation, sa durée et l’absence d’éléments décoratifs modernes, pleinement au service de la liturgie. La santé fra- gile de Rheinberger l’empêcha de composer à certains mo- ments de sa vie. L’écriture de ce Stabat Mater était l’accom- plissement d’un vœu qu’il avait prononcé dans l’espoir d’une guérison. Si Rheinberger avait choisi un accompagnement pour orgue et cordes (facultatives), c’est en revanche son ancien élève Johann Cavallo qui s’est chargé de la réalisation instrumentale des parties de cordes, ceci vraisemblablement en raison de son état de convalescence. La plupart des messes de Rheinberger ont été composées pour chœur a cappella ou avec accompagnement d’orgue. La messe en Do op. 169 est de fait la seule qui bénéficie de l’accompagnement d’un orchestre. Esquissée d’abord pour chœur, solistes et orgue, Rheinberger se décide finalement à l’orchestrer. 22 et 23 AVRIL 2016 ÉGLISE DU COLLÈGE ST-MICHEL - FRIBOURG - 20H30 STABAT MATER EN SOL MINEUR op. 138 pour chœur, orchestre à cordes et orgue Mendelssohn Symphonie pour cordes no 10 en si mineur MESSE EN DO MAJEUR op. 169 pour solistes, chœur, orchestre à cordes et orgue Difficile de savoir si sa motivation est due à la demande d’un moine d’Einsiedeln, jadis étudiant au Conservatoire de Munich ? Toujours est-il qu’il lui en fait explicitement la de- mande dans une lettre disant qu’il est «profondément regret- table qu’avec un tel génie, aucune messe ne soit au bénéfice d’une orchestration». C’est probablement toujours dans un souci liturgique qu’il en écrit une version symphonique, mais également une version pour orchestre à cordes uniquement, l’orgue pouvant remplacer l’harmonie des instruments à vent. Ainsi, cette magnifique messe au caractère unique peut être appréciée autant lors d’un concert que lors d’un office reli- gieux. COMPOSITEUR JOSEPH GABRIEL RHEINBERGER Joseph Gabriel Solistes Rheinberger Cette année, le Chœur de l’Université et des Jeunesses musicales de Fribourg se plonge au cœur de la musique romantique allemande avec deux œuvres de Joseph Gabriel Rheinberger.

au cœur de la musique romantique allemande Solistes · Mayer, sur les bases d’un ensemble existant que le pianiste actuel Jean-Claude Charrez a dirigé entre 1971 et 1976. De 2000

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JENNIFER PELLAGAUDSOPRANO Née en Nouvelle-Calédonie, Jennifer Pella-

gaud y débute son apprentissage musical

par le violon à l’âge de 10 ans. Au cours de

ses études supérieures, elle se découvre une passion pour le

chant lyrique et intègre la classe de Jeannette Fischer à l’HE-

MU Fribourg en 2014. Depuis, elle a l’opportunité de se pro-

duire en soliste dans les différents projets de l’HEMU et fait ses

débuts à l’opéra en assurant le premier rôle dans la création

Le Ruisseau noir de G.-F. Leuenberger et E. Rooke, sous la di-

rection de Michael Wendeberg à Genève en septembre 2015.

En novembre, elle est soliste à Equilibre dans Der Rose Pilger-

fahrt de Schumann. Elle affectionne également le répertoire

pour chœur. En novembre 2015, elle chante le Stabat Mater

et le Gloria de Poulenc à Villars-sur-Glâne et en décembre de

la même année, elle participe aux concerts de Noël de l’en-

semble Orlando sous la direction de Laurent Gendre.

JULIA DEIT-FERRAND ALTOJulia Deit-Ferrand débute ses études de

chant lyrique au Conservatoire du 7e arron-

dissement de Paris dans la classe de Caroline

Pelon. Parallèlement, elle se forme à la mu-

sique ancienne auprès d’Isabelle Poulenard et de Dominique

Vellard. Sur scène, elle incarne notamment Fantine dans la

comédie musicale Les Misérables sous la direction de Sylvain

Sartre à Perpignan et est soliste dans l’opéra Blanche-Neige

de Marius-Felix Lange (direction Jérôme Kuhn) pour la com-

pagnie Opéra Louise au Théâtre Nuithonie en 2015. Cette

même année, elle chante au Festival international d’orgue

de Fribourg dans les Kleine geistliche Konzerte de Schütz. En

décembre prochain, elle sera soliste (mezzo-soprano) dans

l’Oratorio de Noël de Camille Saint-Saëns avec l’Orchestre

de Chambre fribourgeois sous la direction de Philippe Savoy.

Depuis septembre 2014, elle étudie à la Haute École de Mu-

sique de Lausanne - site de Fribourg - auprès de Christian

Immler, et de Hiroko Kawamichi.

GERMAIN BARDOT TÉNORD’un père chanteur traditionnel et composi-

teur, Germain Bardot se passionne très jeune

pour la musique classique. Il travaille alors sa

voix de ténor en autodidacte avant de ren-

trer à l’Ecole Nationale de Musique de Villeurbanne en France.

Puis à vingt et un ans, il intègre la Haute École de Musique

de Lausanne, sur le site de Fribourg, où il termine aujourd’hui

son Bachelor avec le ténor Jörg Dürmüller. Il chante réguliè-

rement dans les Chœurs de l’Opéra de Lausanne, de Fribourg

et au Festival Avenches Opéra ainsi que dans les églises fri-

bourgeoises. En 2013, il interprète le rôle de Godoïne dans

l’opéra Tristan composé par Christophe Belletante, création

récompensée par le prix de la ville de Lyon. En 2015, il est

le Prince dans la création suisse de Blanche Neige de Marius

Felix Lange créée en 2011 à L’Opéra de Cologne. Il interprète

aussi le rôle de Tamino dans Viens rêver ta flûte enchantée !

à Lausanne.

LE CHŒUR DE L’UNIVERSITÉ ET DES JEUNESSES MUSICALES PRÉSENTE

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RÉMI ORTEGA BASSE Originaire du sud de la France, il commence

ses études de chant au Conservatoire de

Région de Marseille dans la classe de Claude

Méloni, puis intègre par la suite la Haute

Ecole de Musique de Genève dans la classe de Marcin Habela,

puis plus tard la Haute Ecole de Musique de Lausanne dans la

classe de Jörg Dürmüller, où il suivra notamment les Master-

class de Alain Garichot, Laurent Pillot, Yvonne Naef et John

Fiore. Il fait ses débuts sur scène dans le rôle du Caporal dans

la Fille du Régiment de Donizetti à Marseille sous la direction

de Bruno Conti, puis dans le rôle de l’Aubergiste Pasek et du

Moustique dans La Petite Renarde Rusée de Janacek à Mon-

they, dirigé par Ivan Törzs. Plus tard il chantera le rôle du pre-

mier ouvrier dans Le Devin Du Village de Rousseau au Grand

Théâtre de Genève dans une mise en scène de Ivo Guerra. Il

participe à une production de Bastien et Bastienne de Mozart

avec l’Orchestre de la Métropôle Rhin-Rhône sous la direc-

tion de Jean-François Verdier et une mise en scène de Fré-

déric Mayri au Théâtre de la Coupole de Saint-Louis et à la

Kursaal de Besançon. En concert il a chanté les extraits des

Saisons de Haydn au Festival de Musique Sacrée de Marseille.

Il a également chanté les parties solistes du Requiem de Mo-

zart à la Cathédrale Saint-Sauveur d’Aix-en-Provence et à la

Cathédrale de La Major de Marseille. Il chante également le

Requiem et l’Oratorio de Noël de Saint-Saëns au Temple Auga-

gneur de Lyon, et à la cathédrale de Neuchâtel, le tout sous

la direction de Annick Deschamps et Steve Muriset. En 2016,

il chante le rôle de Simon dans la création internationale

Carlotta ou la Vaticane à l’Opéra de Fribourg,

Né en 1839 au Lichtenstein, il s’installe dès l’âge de 12 ans

à Munich pour y accomplir ses études musicales au Conser-

vatoire dans lequel il enseignera plus tard le piano, l’orgue

et la composition. Egalement maître de chapelle à la Cour

de Bavière, Rheinberger, à travers ses nombreuses composi-

tions de messes et motets, a joué un rôle prépondérant dans

la musique religieuse en Allemagne.

Contrairement à son premier «grand» Stabat Mater concer-

tant, l’op. 138 écrit en 1884 (20 ans plus tard) est, de par son

instrumentation, sa durée et l’absence d’éléments décoratifs

modernes, pleinement au service de la liturgie. La santé fra-

gile de Rheinberger l’empêcha de composer à certains mo-

ments de sa vie. L’écriture de ce Stabat Mater était l’accom-

plissement d’un vœu qu’il avait prononcé dans l’espoir d’une

guérison. Si Rheinberger avait choisi un accompagnement

pour orgue et cordes (facultatives), c’est en revanche son

ancien élève Johann Cavallo qui s’est chargé de la réalisation

instrumentale des parties de cordes, ceci vraisemblablement

en raison de son état de convalescence.

La plupart des messes de Rheinberger ont été composées

pour chœur a cappella ou avec accompagnement d’orgue.

La messe en Do op. 169 est de fait la seule qui bénéficie de

l’accompagnement d’un orchestre. Esquissée d’abord pour

chœur, solistes et orgue, Rheinberger se décide finalement à

l’orchestrer.

22 et 23 AVRIL 2016ÉGLISE DU COLLÈGE ST-MICHEL - FRIBOURG - 20H30

STABAT MATER EN SOL MINEUR op. 138 pour chœur, orchestre à cordes et orgue

Mendelssohn Symphonie pour cordes no 10 en si mineur

MESSE EN DO MAJEUR op. 169 pour solistes, chœur, orchestre à cordes et orgue

Difficile de savoir si sa motivation est due à la demande

d’un moine d’Einsiedeln, jadis étudiant au Conservatoire de

Munich ? Toujours est-il qu’il lui en fait explicitement la de-

mande dans une lettre disant qu’il est «profondément regret-

table qu’avec un tel génie, aucune messe ne soit au bénéfice

d’une orchestration». C’est probablement toujours dans un

souci liturgique qu’il en écrit une version symphonique, mais

également une version pour orchestre à cordes uniquement,

l’orgue pouvant remplacer l’harmonie des instruments à vent.

Ainsi, cette magnifique messe au caractère unique peut être

appréciée autant lors d’un concert que lors d’un office reli-

gieux.

COMPOSITEURJOSEPH GABRIEL RHEINBERGER

Joseph Gabriel

SolistesRheinberger

Cette année, le Chœur de l’Université et des

Jeunesses musi cales de Fribourg se plonge

au cœur de la musique romantique alle mande

avec deux œuvres de Joseph Gabriel Rheinberger.

CHŒUR DE L’UNIVERSITÉ ET DES JEUNESSES MUSICALES

Le Chœur de l’Université et des Jeunesses Musicales (CUJM)

de Fribourg a été reconstitué en automne 1978 par Pascal

Mayer, sur les bases d’un ensemble existant que le pianiste

actuel Jean-Claude Charrez a dirigé entre 1971 et 1976. De

2000 à 2014, le chœur a été dirigé par Jean-Claude Fasel.

Depuis 2014, sa direction est assurée par Jean-Luc Wae-

ber. Le chœur est ouvert à tous les étudiants et amateurs de

chant. Chaque année, il rassemble une huitantaine de cho-

ristes et présente un programme en principe au printemps.

Son répertoire essentiellement classique comprend des œu-

vres contemporaines et des créations. En plus de l’interpréta-

tion d’œuvres bien connues, des programmes tels que Nicolas

de Flue de Arthur Honegger, A British Spirit œuvres de Vau-

ghan Williams et Rutter, Mirjams Siegesgesang et la Messe n° 1

de Schubert, Barocchissimo œuvres de C-P. E. Bach et Vivaldi,

l’Esprit français œuvres de Fauré, Stabat Mater de Haydn et

Wer nur den lieben Gott lässt walten de Mendelssohn, Requiem

de Karl Jenkins et Peace de Jean-Claude Charrez, ou encore

Requiem de Johann Michael Haydn et Salve Regina de Joseph

Haydn, accompagnés à chaque fois par un orchestre et des

solistes professionnels, permettent au chœur de mener un

passionnant travail. Cet esprit d’éveil des chanteurs aux émo-

tions vraies de la musique fait encore et toujours du Chœur

de l’Université et des Jeunesses Musicales un lieu privilégié

d’humanisme et de convivialité.

LA BCFPARTENAIRE DE VOS ÉMOTIONS

DIE FKBPARTNERIN IHRER EMOTIONEN

www.bcf.chwww.fkb.ch

Der Chor der Universität und der Jeunesses Musicales (CUJM)

Freiburg wurde im Herbst 1978 von Pascal Mayer gegründet.

Der Chor entstand aus einem vorexistierendem Ensemble, den

der derzeitige Pianist Jean-Claude Charrez von 1971 bis 1976

leitete. Zwischen 2000 und 2014 dirigierte Jean-Claude Fasel

den Chor und seit 2014 hat Jean-Luc Waeber diese Veran-

twortung übernommen. Der Chor steht allen Studierenden

sowie anderen Musikbegeisterten offen. Jedes Jahr versam-

meln sich etwa achtzig Sängerinnen und Sänger um ein Kon-

zert im Frühling zu geben.

Der Chor wird bei seinem Repertoire, welches hauptsächtlich

klassische aber auch zeitgenössische Werke und Kreationen

enthält, von professionnnellen Solisten und Orchester beglei-

tet. Neben der Aufführung bekannter Werke, bereiten Pro-

gramme wie «Nicolas de Flue» von Arthur Honegger, «A British

Spirit» Werke von Vaughan Williams und Rutter, «Mirjams Sie-

gesgesang» und die «Messe n° 1» von Schubert, «Barocchis-

simo» Werke von C-P. E. Bach und Vivaldi, «l’Esprit français»

Werke von Fauré, «Stabat Mater» von Haydn und «Wer nur

den lieben Gott lässt walten» von Mendelssohn, «Requiem»

von Karl Jenkins und «Peace» von Jean-Claude Charrez, oder

«Requiem» von Johann Michael Haydn und «Salve Regina» von

Joseph Haydn dem Chor eine spannende Arbeit. Das Erwachen

zu den wahren Emotionen für die Musik macht aus dem Chor

der Universität nach wie vor einen Ort der Menschlichkeit und

Geselligkeit.

L’ Orchestre de chambre fribourgeois est un ensemble pro-

fessionnel fondé en 2009. Il s’est imposé comme un acteur

incontournable de la vie culturelle du canton et de Suisse

romande. Collaborant étroitement avec la nouvelle salle de

concert «Equilibre», il est résolument tourné vers l’innovation

tout en concrétisant la vieille tradition de l’excellence musi-

cale fribourgeoise.

Sous la direction de Laurent Gendre, l’OCF développe un jeu

subtil, fondé sur la recherche des couleurs et la diversité des

styles. Sa flexibilité et sa géométrie variable lui permettent

ainsi d’aborder un vaste répertoire allant de la musique baro-

que (Bach, Boccherini, Telemann...) à Mahler, Chostakovitch,

Stravinski, en passant par l’époque classique (Mozart, Bee-

thoven, Mendelssohn...), sans oublier les compositeurs fran-

çais (Bizet, Poulenc, Messiaen...) et suisses (Schoek, Kelterborn

ou Honegger...).

L’OCF participe également à divers projets de choeur aux

programmes ambitieux (Ein deutches Requiem de Brahms,

Requiem de Mozart, Le Roi David d’Honegger, …). Cet enga-

gement va de pair avec une volonté de jouer dans les nom-

breuses salles du canton dans un souci de large diffusion de la

musique classique.

C’est dans ce même état d’esprit que des concerts destinés

au jeune public sont également proposés (Le Carnaval des

animaux de Saint-Saëns ou «Un parcours historique et didac-

tique à la découverte des cuivres»). Cette proximité avec le

public s’apprécie enfin lors des «Hors d’œuvre du dimanche»:

série de 5 concerts de musique de chambre mis sur pied par

les musiciens de l’OCF, permettant de resserrer ainsi leur

complicité et leurs liens artistiques dans des cadres intimes

et atypiques.

ORCHESTRE DE CHAMBRE FRIBOURGEOISDIRECTIONJEAN-LUC WAEBER

Né à Fribourg, Jean-Luc Waeber fait ses études au Con ser-

vatoire de cette même ville et obtient un diplôme d’ensei-

gnement de la musique et du chant dans les écoles en 2002.

C’est dans le cadre de cette formation qu’il étudie le piano, le

violoncelle, la direction chorale et le chant. En 2005, il ter-

mine son certificat de chant dans la classe de Marie-Fran-

çoise Schuwey avant de rejoindre la classe professionnelle de

Michel Brodard à la Haute Ecole de Musique de Lucerne et

Lausanne (site Fribourg) où il obtient son diplôme d’enseigne-

ment du chant en juin 2009. Il se perfectionne ensuite auprès

des Prof. Scot Weir et Siegfried Lorenz à Berlin.

Il chante régulièrement comme soliste ou choriste dans diffé-

rents projets de l’Ensemble vocal Orlando (direction Laurent

Gendre) ainsi que l’Ensemble vocal de Lausanne (direction

Michel Corboz et Guillaume Tourniaire), ce qui lui permet de

se produire dans divers festivals en Suisse et à l’étranger. Ac-

cordant une place privilégiée au répertoire d’oratorio dont il a

chanté les principales œuvres (de la Renaissance à la musique

du 20e siècle), il se produit également volontiers en récital

notamment dans les Kerner-Lieder de Schumann, Vier ernste

Gesänge de Brahms ou Les Nuits d’été de Berlioz.

A la scène, il a interprété entre autres les rôles de Cesare dans

Viva la Mamma de Donizetti et de Masetto dans Don Giovanni

de Mozart. Egalement passionné de direction chorale et d’or-

chestre, il est élève régulier de la Fondation des Ateliers de

direction d’orchestre – Eric Bauer à Genève de 1998 à 2002.

Durant cette période, il a la chance de pouvoir diriger régu-

lièrement diverses formations instrumentales. Il est actuel-

lement directeur du Chœur de l’Université et des Jeunesses

musicales de Fribourg et du Chœur paroissial d’Ecuvillens-

Posieux.