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Association suisse des droguistes Rapport annuel 2013

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Association suisse des droguistes

Rapport annuel 2013

3 Direction et association

6 Politique et branche

11 Communication et médias

16 Formation et perfectionnement

Annexes au rapport annuel

20 Bilan

21 Compte de profits et pertes

22 Tableau des flux de fonds

23 Explications concernant le bilan

25 Explications concernant le compte de profits et pertes

26 Informations complémentaires concernant vitagate sa

27 Rapport de l’organe de révision

28 Rapport de la commission de vérification des comptes

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Association suisse des droguistesCase postale 3516 2500 Bienne 3 Téléphone 032 328 50 30 Fax 032 328 50 3 [email protected] www.droguerie.ch

Sommaire

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Direction et associationOrganes

Assemblée des déléguésL’assemblée des délégués s’est déroulée en novembre à Soleure. Les délégués ont discuté des affaires statutaires, ont réélu à l’unanimité Martin Bangerter à la présidence centrale de l’association pour une autre législature et désigné comme membres d’honneur Erich Müller et Maja Fabich-Stutz. En outre, deux requêtes ont été soumises à votation. Il s’agissait d’une part de réglementations concrètes pour améliorer la situation de l’association au niveau des revenus. La deuxième requête traitait de la demande de transformer le nom de do-maine «vitagate.ch» en «drogerie.ch». Les deux requêtes ont été rejetées après des discus-sions animées.

Conférence des présidents Les présidents de section ont été informés des principales affaires dans les domaines poli-tique et branche, médias et communication ainsi que formation, perfectionnement et formation continue.

Comité central Pendant la période sous revue, le comité central s’est réuni pour six séances d’un jour complet, une séance d’une demi-journée et une retraite. Lors de celle-ci, le comité s’est plus particulièrement penché sur l’évolution du monde des médias et a travaillé en partie sous la supervision d’un spécialiste externe. L’objectif de cette réunion était de poser les bases pour l’élaboration de nouveaux modèles d’activité, notamment dans le domaine de la communication.

Direction La direction s’est réunie pour douze séances et quatre ateliers d’un jour entier, à l’occasion desquels ont été évoqués et examinés en particulier les intérêts opérationnels de l’ASD, les missions du comité central et les affaires financières et de personnel de l’association. En outre, la direction a discuté avec le directeur de l’ESD lors de deux séances.

CommissionsLors de l’exercice sous revue, Jürg Rolli a présidé deux séances de la commission d’assu-rance de la caisse de pension de l’ASD. Jürg Rolli et Martin Bangerter ont par ailleurs ren-contré les responsables de l’Assurance des métiers pour un échange annuel portant sur la poursuite de la très bonne collaboration. Martin Bangerter a également représenté les intérêts de l’ASD lors de l’assemblée générale de l’assurance.

Direction et association

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Ressources et servicesEvolution du nombre de membres*Etat des drogueries ASD au 1.1.2005 658Etat des drogueries ASD au 1.1.2006 630Etat des drogueries ASD au 1.1.2007 594Etat des drogueries ASD au 1.1.2008 573Etat des drogueries ASD au 1.1.2009 561Etat des drogueries ASD au 1.1.2010 553Etat des drogueries ASD au 1.1.2011 545Etat des drogueries ASD au 1.1.2012 528Etat des drogueries ASD au 1.1.2013 521Départs drogueries ASD 2013 –28Arrivées drogueries ASD 2013 +12 (dont 1 nouveau magasin) Etat des drogueries ASD au 1.1.2014 505

* Suite à une erreur dans la formule de calcul des données sur l’évolution du nombre des membres, des écarts se sont produits lesquels ont été corrigés dans le présent rapport annuel.

Comptes et financesLa commission de vérification des comptes et l’organe de révision ont vérifié le travail et les comptes 2013 de l’ASD et les ont jugés bons dans leurs rapports à l’attention de l’assem-blée des délégués (voir rapports de la commission de vérification des comptes et de l’or-gane de révision en annexe). La situation du marché très difficile dans le domaine des médias et la situation au niveau du personnel, en particulier dans le secteur vente, ont conduit à une baisse massive des recettes. Celle-ci n’a pas pu être amortie malgré une gestion consé-quente des dépenses. Le résultat opérationnel est donc mauvais. Les produits financiers réalisés ont certes amélioré clairement le résultat total mais l’excédent de dépenses n’a pas pu être complètement compensé (détails voir comptes 2013 en annexe).

PersonnelSecteur ressources et servicesAprès une recherche longue et difficile, Prisca Rothen a enfin pu être engagée à la tête des finances et du personnel en septembre 2013 pour succéder à Doris Klopfenstein qui avait quitté l’ASD une année auparavant. Ainsi, la situation s’est détendue dans ce domaine une fois la phase d’introduction terminée. Depuis octobre 2013, la comptabilité est de nouveau gérée en interne. Martin Bangerter, qui a repris le domaine personnel entre septembre 2012 et octobre 2013, et Sarka Vadura, qui s’est occupée durant la même période de la comptabilité avec un organisme de comptabilité externe, ont pu remettre ces tâches à Prisca Rothen.

Communication, médias et ventes Des changements de personnel extraordinairement nombreux ont conduit lors de l’exer-cice sous revue à des dépenses élevées en gestion, planification et recrutement avec pour conséquence une surcharge pour le responsable médias et communication et ses collabo-rateurs.

Direction et association

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_ Le 1er avril, Lukas Fuhrer a pris ses fonctions de rédacteur en chef adjoint de d-inside. Depuis le départ d’Evelyne Marti à fin juin, il est également responsable de la newsletter électronique hebdomadaire d-mail.

_ Nadja Mühlemann a quitté l’ASD au 31 mai pour se réorienter professionnellement après y avoir travaillé dix ans durant. Elle a occupé différentes fonctions importantes dans nos médias: rédactrice puis rédactrice en chef de nos médias spécialisés d-mail et d-inside, puis responsable rédactionnelle de notre plate-forme de santé vitagate.ch avant de deve-nir responsable rédactionnelle du département médias et communication.

_ A fin juin, Ann Kugler, rédactrice en chef adjointe de la Tribune du droguiste, a quitté l’ASD. Vanessa Naef qui travaillait déjà comme journaliste/rédactrice à 60 % pour nos médias lui a succédé.

_ A fin juillet, Katharina Rederer a quitté sa place de rédactrice à vitagate.ch. Elle a été rem-placée par Bettina Epper dès le 1er septembre.

_ Après la décision du comité central de ne pas poursuivre l’activité de campagne pour l’image «atout santé», le contrat d’Anania Hostettler a été résilié pour fin septembre.

_ Annina von Arx qui dirigeait le secteur marketing a quitté l’ASD à fin décembre pour rele-ver un nouveau défi professionnel.

_ Evelyne Marti, à la tête de la production, a décidé, après huit ans passés à l’ASD, de se ré-orienter professionnellement dès le 1er juillet 2013. Elle a été remplacée par Beatrice Pfäffli qui, en plus de la direction du domaine production, a repris dès le 1er janvier 2014 les tâches de marketing d’Annina von Arx.

_ La traductrice Laurence Strasser a quitté l’ASD à fin juillet. Elle a été remplacée par la tra-ductrice Marie-Noëlle Hofmann qui travaillait jusqu’à lors avec un salaire horaire et qui a été engagée à un pensum fixe.

_ Début janvier, Corinne Sommer a pris sa place de collaboratrice pour l’administration des annonces et de la distribution; elle succédait à Laura Bock qui a quitté l’ASD le 31 janvier 2013 pour relever un nouveau défi professionnel.

_ Le 1er juillet, Josef Nietlispach a pris ses fonctions de responsable des ventes, de la distri-bution et du sponsoring. L’équipe des ventes de l’ASD est ainsi à nouveau au complet.

Perspectives au niveau du personnelEn raison de ses excellentes prestations, Lukas Fuhrer a repris au 1er janvier 2014 la respon-sabilité du secteur médias spécialisés. Dans le service interne des ventes, Corinne Sommer poursuivra ses activités pour l’ASD avec un pensum réduit de 100 % à 50 % de manière limi-tée jusqu’au 31 mars 2014. Claudia Graness lui succédera le 1er février 2014 avec un pensum de 100 %. Didier Buchmann, rédacteur en chef adjoint de vitagate.ch, se réoriente profes-sionnellement après six bonnes années passées à l’ASD et quittera l’ASD à fin février 2014. Après ces nombreux départs et arrivées, il y a des raisons d’espérer que la situation au ni-veau du personnel va s’apaiser pour l’exercice 2014.

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Politique et brancheMédicaments et compétences de remiseAutomédicationAu début de l’année, la commission de sécurité sociale et de santé publique du Conseil national (CSSS-N) a entamé ses discussions sur la révision de la Loi sur les produits théra-peutiques (2e étape) avec une audition de deux jours de plusieurs associations et de repré-sentants d’intérêts. Isabella Mosca et Martin Bangerter ont pu représenter les intérêts et les revendications de la branche de la droguerie. Dans leur présentation, ils ont en particulier fait remarquer les modifications proposées par le Conseil fédéral dans l’article 25, alinéa 1, lettre b. Celles-ci reprennent dans leur intégralité les exigences de la motion pour simplifier l’automédication (07.3290) et sont donc très centrales pour les drogueries. Par contre, on trouve dans le message une énumération de principes actifs et d’indications de médica-ments qui devraient passer de la catégorie de remise C à la catégorie de remise élargie B. Ce passage contrevient au souhait du Parlement et ne doit donc pas faire partie du rapport car il représente un préjudice. Surtout que le Parlement n’a pas exigé un passage des médica-ments de la catégorie C à la catégorie B. La motion demandait que la remise des médica-ments de l’actuelle catégorie de remise B soit facilitée, la catégorie de remise D soit élargie et la catégorie de remise C supprimée. L’ASD a en outre formulé une proposition concer-nant l’article 23a, laquelle demande que le Conseil fédéral mette en place un groupe de travail avec des représentants des groupes professionnels concernés, de l’industrie et des autorités pour discuter des futures pratiques de classement et de catégorisation en fonc-tion de la remise facilitée de médicaments de la catégorie B, de la suppression de la catégo-rie C et de l’élargissement de la catégorie D. Comme il s’agit d’une révision très importante et technique, les délibérations dans la commission du National ne sont pas encore termi-nées pour la fin de l’année. Le Conseil national devrait cependant pouvoir discuter de la révision de la LPTh à mi-2014, en tant que première chambre.

Règlement des remplacementsSituation de départLa situation juridique en matière de règlement des remplacements des drogueries dans les cantons n’a pas beaucoup évolué. Un entretien avec le pharmacien cantonal bernois, Samuel Steiner, a permis de montrer que le cours sur les remplacements de l’ASD est majo-ritairement accepté par les pharmaciens cantonaux. Si l’élargissement de la compétence de remise pour les droguistes devenait une réalité, un règlement des remplacements sera nécessaire, au vu des exigences plus élevées.

Cours sur les remplacementsEn 2013, 6 cours sur les remplacements ont été organisés en allemand et 1 en français. 64 personnes ont passé l’examen pour la première fois et 3 pour la seconde fois. Les intervenantes et intervenants de ces cours se sont rencontrés en juillet pour échanger sur les expériences acquises, légèrement remanier les cours et coordonner la préparation de nouvelles questions d’examen.

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Politique et branche

Prises de positionL’ASD a pris position sur les sujets suivants dans le cadre de différentes procédures de consultation: ordonnance du DFI sur les boissons alcoolisées, révision partielle de l’ordon-nance sur les produits biocides et initiative populaire «pour une caisse-maladie publique» et contre-projet indirect.

Pharmacie Zur RoseDurant l’exercice sous revue, plusieurs décisions sont tombées concernant les procédures juridiques lancées par l’ASD. Le Tribunal administratif de Thurgovie a notamment décidé de ne pas attribuer la qualité de partie à l’ASD dans cette procédure, arguant que les drogue-ries ne sont pas touchées par le modèle commercial de la pharmacie Zur Rose. Après des échanges intensifs avec des juristes, l’ASD a décidé de recourir contre cette décision auprès du Tribunal fédéral. En particulier parce que le verdict du Tribunal administratif n’entre pas en matière sur les données matérielles de l’ASD. La décision du Tribunal fédéral est atten-due pour le premier trimestre 2014. Deux autres verdicts négatifs, du point de vue de l’ASD, sont tombés en ce qui concerne deux plaintes privées concernant la protection des don-nées. Dans les deux cas, les tribunaux concernés ont estimé que les plaignants voulaient abuser du droit concernant la Loi sur la protection des données afin de pouvoir utiliser les informations acquises en tant que représentants de l’ASD dans d’autres procédures contre la pharmacie Zur Rose. Comme les procédures juridiques n’ont jusqu’alors pas été couron-nées de succès, l’ASD a étudié et initié différentes mesures pour pouvoir exercer une influence au niveau politique, notamment dans le cadre de la révision actuelle de la LPTh, afin qu’à l’avenir la loi précise explicitement qu’en cas de vente par correspondance de médicaments, l’ordonnance y relative doit être établie avant la commande.

Référendum contre la Loi sur les épidémiesEn 2010, le Conseil fédéral a lancé la révision totale de la Loi sur les épidémies (LEp) datant de 1970. Car la législation en vigueur ne permet plus de détecter suffisamment tôt, de sur-veiller, de prévenir, de combattre et de maîtriser les maladies transmissibles pouvant mettre la santé publique gravement en danger. La révision de la loi a été approuvée en automne 2012 par le Conseil national et le Conseil des Etats. Début 2013 cependant, un référendum contre cette révision a abouti et la population suisse doit donc se prononcer sur l’actualisa-tion de la LEp. Comme plusieurs personnalités de la branche de la droguerie se sont enga-gées aussi bien dans le comité référendaire que dans d’autres cercles pour s’opposer à la nouvelle mouture de la LEp, la révision de la LEp a occupé un rôle central dans le travail de l’ASD durant l’année sous revue. Après une analyse approfondie des faits à la base de la ré-vision et des arguments pour et contre, le comité central a décidé de ne pas formuler de consigne de vote, mais d’offrir aussi bien aux partisans qu’aux opposants de la révision une plate-forme dans les médias de l’ASD pour qu’ils puissent exprimer leurs arguments respec-tifs. La population suisse a finalement accepté avec une majorité de plus de 60 % la révision de la LEp en septembre 2013.

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Politique et branche

Service scientifiqueEn plus de ses tâches habituelles (notamment répondre aux questions d’ordre scientifique des membres de l’ASD, entretenir la banque de données des principes actifs et des produits thérapeutiques, etc.), la responsable du service scientifique, Julia Burgener, docteur en sciences naturelles, a rédigé plusieurs articles scientifiques pour le magazine d-inside et assuré consciencieusement la relecture des articles spécialisés publiés dans les médias de l’ASD, tout en vérifiant leur exactitude scientifique.

Représentation des intérêts de la brancheEntretiens avec des politiciens et les autorités Durant l’exercice sous revue, le point fort des contacts avec les politiciens et les représen-tants des autorités a été les deux entretiens avec le responsable du DFI, le conseiller fédéral Alain Berset. En début d’année, l’ASD, représentée par Martin Bangerter, Isabella Mosca, Elisabeth Huber et Jürg Stahl, conseiller national et membre d’honneur, a rencontré le ministre de la santé ainsi que trois de ses collaborateurs, Thomas Christen (collaborateur personnel DFI), Jacques Besson (conseiller spécialiste DFI) et Urs Schneeberger (respon-sable Droit des produits thérapeutiques OFSP). La rencontre a permis, d’une part, de pré-senter au conseiller fédéral les valeurs essentielles ainsi que les prestations de la droguerie et d’aborder, d’autre part, la révision en cours de la LPTh, en particulier les points qui touchent le milieu de la droguerie. Globalement, la rencontre s’est déroulée dans une atmosphère agréable. Lors de cette discussion, le conseiller fédéral Alain Berset a spontanément répondu positi-vement à la question du conseiller national Jürg Stahl et accepté de répondre aux ques-tions des étudiants de l’ESD lors d’une éventuelle prochaine visite du Palais fédéral. La visite a bien eu lieu en automne 2013. Le conseiller fédéral a répondu aux questions des étu-diants avant de présenter sa vision de la santé publique suisse et du rôle potentiel des drogueries. Martin Bangerter et Elisabeth Huber ont en outre régulièrement rencontré Jürg Stahl durant les sessions parlementaires afin d’échanger des informations et de coordonner le travail de lobbying, en particulier en ce qui concerne la révision de la LPTh et l’organisation de l’apéritif politique. Pour cause de remise d’entreprise, cette manifestation s’est déroulée pour la dernière fois dans la droguerie Dropa Burri à la mi-mars. Treize parlementaires issus de tous les grands partis du pays, membres du Conseil national et du Conseil des Etats et représentants de la Suisse romande et de la Suisse alémanique ont répondu à l’invitation. Les brèves présentations proposées ont mis l’accent sur les attentes de la droguerie concer-nant la révision ordinaire de la Loi sur les produits thérapeutiques (2e étape). La discussion a ensuite plus largement porté sur la santé publique et la droguerie, le tout dans une atmosphère animée. Début septembre, Martin Bangerter a représenté les intérêts de la droguerie lors de la réu-nion de lancement de la première Conférence de la santé à Berne. Le projet «Santé2020» de la Confédération a été lancé à cette occasion. D’autres manifestations similaires devraient suivre.

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Politique et branche

Discussions avec des organisations de la branche Au printemps, Isabella Mosca et Martin Bangerter ont participé à une rencontre avec le «G7» (Apdrowell, Dr. Bähler-Dropa, Dromenta, Impuls, Horizont, Sanovit, Swidro) afin d’in-former les représentants de ces groupements des tâches en cours au sein de l’ASD et de répondre à leurs questions.

Autres associations et organisationsEn tant que membre du conseil de fondation, Martin Bangerter a représenté la droguerie à deux séances ordinaires de la fondation «refdata». Il a par ailleurs défendu les intérêts des drogueries dans le cadre de son mandat de coprésident de la Fédération de la médecine complémentaire (Fedmedcom) lors de cinq séances du comité et de deux assemblées des membres ainsi qu’à deux séances de la Chambre suisse des arts et métiers de l’usam dont il est membre. Elisabeth Huber a participé aux séances de la commission de politique sociale de l’usam. Par ailleurs, le président central et Elisabeth Huber ont représenté l’ASD aux assemblées générales de l’ASSGP, de scienceindustries et de la vips. Raphael Wyss et Martin Bangerter ont développé les attentes et objectifs de l’association lors de deux forums de la droguerie organisés avec Galenica. Ces forums visent à donner un nouvel élan aux participants pour leur activité professionnelle actuelle et future et à appro-fondir différents thèmes en les abordant selon différentes perspectives.Jürg Rolli et Martin Bangerter ont en outre représenté les intérêts de l’ASD aux trois séances du conseil d’administration de vitagate sa et à l’assemblée générale de ladite société. Elisabeth Huber et Martin Bangerter ont représenté l’ASD à l’assemblée générale de l’AESGP, à Lisbonne, et profité de l’occasion pour s’informer des évolutions en cours dans les domaines de l’automédication, des dispositifs médicaux et des compléments alimentaires dans la zone de l’UE. Ils ont également eu des discussions constructives avec des représen-tants de l’ASSGP, de l’ASMC, de pharmasuisse, de la vips et de l’industrie, qui leur ont permis de développer leurs points de vue et d’approfondir leurs relations. Elisabeth Huber et Heinrich Gasser ont représenté l’ASD à l’assemblée de la fondation Proparis à Berne et contribué, avec leurs voix, à réélire Jürg Rolli pour quatre ans au conseil de fondation.

Assurance qualitéDrogoThèqueAu printemps 2013, les visites d’évaluation des drogueries de Suisse alémanique ont pu commencer. Jusqu’à la fin de l’exercice sous revue, 241 drogueries ont été évaluées. Les résultats sont réjouissants. Seules deux drogueries n’ont pas atteint la limite SAQ. En re-vanche, 196 drogueries ont même obtenu le diplôme DrogoThèque. Les visites se poursui-vront en 2014.

Politique et branche

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DrogoCare et mystery shoppingEn 2013 aussi, les drogueries ont pu profiter de l’offre de mystery shopping à un prix préfé-rentiel. Cette offre n’a malheureusement pas suscité beaucoup d’intérêt. Pour augmenter son attractivité, les formations concernées pourraient éventuellement être validées, ce qui permettrait de les intégrer dans l’offre de formation continue obligatoire de l’ASD. En ce qui concerne DrogoCare, le questionnaire actuel a été mis en ligne. Il est prévu de le mettre à disposition des drogueries afin que les professionnels intéressés puissent procé-der à des sondages auprès de leurs clients.

SAQDurant l’exercice sous revue, aucun changement notable n’a été apporté au SAQ de l’ASD, à l’exception de l’actualisation de la fiche très complète sur les produits chimiques, qui a été adaptée aux nouvelles dispositions entrées en vigueur avec l’introduction du nouveau SGH. Organisé chaque année, le cours SAQ a permis à Elisabeth Huber et à Julia Burgener, docteur en sciences naturelles, ainsi qu’à Philipp Locher, en tant qu’utilisateur expérimenté, d’expliquer précisément l’utilisation du SAQ de l’ASD à tous les étudiants et droguistes inté-ressés.

Analyse des points de venteMi-août, Peter Hadorn a recommencé son analyse des points de vente. Cette étude de la situation des drogueries est réalisée tous les trois ans. Cette fois, Peter Hadorn a été secondé par Andrea Ullius, qui a ainsi pu découvrir les différentes étapes de l’analyse à des fins ultérieures. Les résultats sont attendus pour l’année prochaine.

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CommunicationMédias imprimésTribune du droguistePour adapter les coûts aux rentrées publicitaires en très fort recul, les volumes des éditions ont été fortement réduits jusqu’en automne 2013. D’un autre côté, il est réjouissant de constater que le public continue visiblement d’apprécier la qualité du contenu et la présen-tation car, malgré un tirage légèrement plus bas, le taux de pénétration du magazine a continué d’augmenter: chaque numéro de la Tribune du droguiste atteint, selon les chiffres de la REMP, organisation indépendante de recherches et études des médias publicitaires, 870 000 lecteurs alémaniques et 80 000 romands. Le magazine destiné à la clientèle de la droguerie fait ainsi partie des plus grands magazines de santé de Suisse et n’a pas à craindre la comparaison avec des titres comme «Schweizer Familie», «Schweizer Illustrierte» ou le «Beobachter».

d-insideEn raison du recul des rentrées publicitaires, le volume de d-inside, magazine spécialisé de la branche, a été limité à 32 pages par édition. Lors de l’exercice sous revue, tant le départe-ment vente et sponsoring que la rédaction de d-inside ont été confrontés à de nouveaux défis en raison de la situation économique difficile. Le tirage est resté stable à environ 6500 exemplaires. d-inside est encore considéré comme un magazine spécialisé par la branche de la droguerie qui l’apprécie toujours.

Autres produits imprimésEn raison des coûts d’impression élevés et des difficultés croissantes à trouver des parte-naires pour cofinancer les brochures, les conseils de santé ont cessé de paraître dans leur forme présente et ne sont plus insérés dans la Tribune du droguiste.

Médias électroniquesd-mail et d-bulletinLes adaptations décidées pour d-mail ont avancé avec l’évaluation d’un logiciel adapté pour l’envoi. La nouvelle solution permet notamment de savoir comment notre newsletter hebdomadaire est utilisée par les personnes qui la reçoivent et facilite d’autre part la gestion des adresses des abonnés. Après des adaptations de mise en page et l’optimisation de d-mail pour les annonces sur les appareils mobiles comme les smartphones et les tablettes, le nouveau logiciel devrait être en fonction dès le premier trimestre 2014. Durant l’exercice sous revue, aucune adaptation n’a été apportée à d-bulletin, le bulletin électronique qui permet la prévisualisation de la Tribune du droguiste.

Communication

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vitagate.chvitagate.ch a évolué de manière très réjouissante dans l’exercice sous revue. Par rapport à l’année précédente, tous les chiffres importants se sont clairement améliorés (source: goo-gle analytics):

* Le taux de rebond est le pourcentage des visiteurs d’une seule page, autrement dit des visites lors desquelles les personnes quittent le site après avoir accédé à la page d’accueil sans consulter d’autres pages ni exercer aucune action. Plus ce taux est bas, mieux c’est.

Une partie de cette évolution positive est due à la qualité et à l’attractivité du contenu, mais aussi à la mise en œuvre des mesures de marketing décidées en janvier 2013 par le conseil d’administration._ Pour atténuer le fossé entre les médias hors ligne et les médias en ligne, des codes QR

sont systématiquement placés dans la Tribune du droguiste. Après avoir été scannés avec un smartphone, ils mènent directement à des thèmes correspondants sur vitagate.ch.

_ Les campagnes AdWord entamées chez google ont été constamment optimisées afin d’amener plus de visiteurs sur vitagate.ch, de les retenir plus longtemps sur le site et de les faire accéder à plus de pages.

Le prochain grand défi sera de traduire l’évolution positive du nombre des visiteurs par des entrées publicitaires plus importantes. Par ailleurs, vitagate.ch doit être optimisé pour les annonces sur les appareils mobiles comme les smartphones ou les tablettes informatiques afin de répondre à la tendance, incontestée, de l’utilisation mobile d’internet.

drogistenverband.chEn raison de la situation tendue au niveau du personnel, la mise en service du nouveau site internet de l’Association suisse des droguistes n’a pas pu être réalisée comme prévu durant le premier semestre. Les travaux concernant la nouvelle présentation en ligne de l’ASD ont cependant continué d’avancer durant l’exercice sous revue. Il est désormais prévu de rem-placer la version actuelle du site internet durant le premier trimestre 2014.

ShortcutLes lecteurs de la Tribune du droguiste n’utilisant que peu l’application «Shortcut», le contrat avec Kooaba Shortcut a été résilié pour fin août. A la place de «Shortcut», l’ADS utilise désormais les codes QR, lesquels permettent de créer des ponts entre ses médias imprimés et électroniques (voir paragraphe vitagate.ch).

Valeurs mesurées 2012 2013 +/- %

Nombre de visiteurs 471'293 718'148 +52.4

Pages vues 1'210'056 1'440'608 +19.0

Durée moyenne des visites 00:01:52 00:03:23 +82.7

Taux de rebond* 57,17 % 46,73 % -18.3

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Communication

Radio ASD«Radio ASD», campagne de promotion de l’image de l’ASD décidée en 2010 par l’assemblée générale, a bien trouvé sa place auprès des diffuseurs, des auditeurs et des droguistes. Les feed-back sont très positifs et même le sondage effectué par le spécialiste externe Value-Quest montre que les émissions sont écoutées et que l’image des drogueries s’améliore graduellement. Au niveau du contenu, une nouvelle formule a été introduite qui permet aux émissions d’être conçues de manière plus individuelle et aux droguistes qui s’expriment de trans-mettre leurs conseils de manière plus libre aux auditeurs. Pour améliorer la qualité des émissions en Suisse romande, une journaliste radio francophone a été engagée pour pro-duire les émissions. La collaboration avec l’assurance-maladie CPT, co-sponsor des émis-sions hebdomadaires, fonctionne parfaitement. Depuis que Radio Central participe, ce sont désormais 15 radios qui diffusent ces émissions. «Radio ASD» atteint ainsi chaque semaine plus de 320 000 auditeurs.

Content Providing et PR dans des médias externesEn raison du manque de ressources, le travail dans le domaine du Content Providing n’a pas non plus avancé en 2013.

Activités de promotion de l’image et mises en réseau «Acné, stress et peines de cœur» ImageSous le titre de «Acné, stress et peines de cœur», des conférences ont été organisées, sous forme de projet pilote, dans dix localités en juin 2013. Le but étant de présenter les drogue-ries comme l’adresse de référence pour les parents et les personnes qui s’occupent d’en-fants durant la puberté.

Partenariat et mise en réseauPour cette série de conférences, deux partenaires ont pu être trouvés comme sponsors: Louis Widmer et Promotion Santé Suisse.

Participation des membresEn tout, 89 collaborateurs de 40 drogueries ont été présents aux dix cours pilotes.

Poursuite du coursL’analyse des cours pilotes a montré que les attentes de 73 % des participants aux cours ont été satisfaites et que plus de 80 % d’entre eux recommanderaient aussi le cours à d’autres personnes. Les feed-back dans les drogueries ont aussi été généralement positifs: plus de 60 % des droguistes qui ont participé assisteraient de nouveau à une telle conférence. Malgré ces retours pour le moins positifs, le comité central a décidé en automne 2013 de ne pas poursuivre l’activité «Acné, stress et peines de cœur». Considérant la difficulté de trouver des partenaires susceptibles de soutenir financièrement les conférences et l’en-thousiasme modéré, voir incertain, des membres, il est difficile de poursuivre cette activité de promotion de l’image de manière à ce qu’elle couvre l’intégralité de ses coûts.

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Communication

«atout santé»ImageEn 2013, le nombre des conseils de santé publiés dans le cadre d’«atout santé» est passé de 10 à 6 éditions pour des raisons de coûts. La nouvelle présentation des conseils de santé (nouveau format A5 paysage, langage visuel plus fort, orientation plus marquée sur le groupe-cible) a eu un écho positif sur les entreprises qui ont commandé des conseils de santé pour leurs collaborateurs.

Partenariat, mise en réseau et financementLa recherche de partenaires disposés à participer au financement des conseils de santé est devenue de plus en plus difficile. En conséquence, il n’est plus possible, dans l’exercice sous revue, de poursuivre cette activité de promotion de l’image de manière rentable.

Participation des membresL’activité de promotion de l’image «atout santé» 2013 a été en grande partie réalisée sans le soutien et sans la participation des drogueries. Le but était pourtant qu’«atout santé» permette à la branche de la droguerie, respectivement à chaque droguerie, de se position-ner dans la promotion de la santé en entreprise.

Poursuite d’«atout santé» Bien qu’«atout santé» et les activités qui lui sont liées aient suscité un vif intérêt de la part des experts et des organisations dans le domaine de la promotion et de la gestion de la santé en entreprise, le comité central a décidé en juin 2013 de ne pas poursuivre cette acti-vité. Il considère que l’engagement des membres dans ce domaine est insuffisant et que les chances que cette activité soit rentable sont trop ténues.

Deuxième point de vente (POS) En été, le comité central a décidé d’activer la collaboration avec l’entreprise Messerli Display afin de pouvoir proposer dès 2014 à toutes les drogueries, qui ne font pas partie des grou-pements Dropa, Dromenta et Swidro et disposant donc déjà d’un concept avec un propre POS, une solution coordonnée pour un deuxième point de vente. Ce projet a démarré sous l’impulsion de certains de nos membres. Le concept prévoit d’associer le POS avec une communication et/ou un élément de retour dans la Tribune du droguiste. Un facteur qui devrait aussi motiver les drogueries à remettre plus d’exemplaires de la Tribune du droguiste et à les distribuer dans leur région.

Ventes et sponsoringDes éditeurs suisses de renom, comme le groupe NZZ, Tamedia ou Publigroupe, ont aussi beaucoup souffert du recul des recettes des médias imprimés en 2013. Parallèlement, les dépenses publicitaires dans les médias en ligne ont continué d’augmenter, certes, mais à un faible niveau. Elles sont encore loin de pouvoir compenser les pertes enregistrées dans le domaine des médias imprimés.

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Communication et médias

Les médias de l’Association suisse des droguistes n’ont pas pu échapper à cette évolution générale. D’autant que durant l’exercice sous revue, le contexte du marché de la Tribune du droguiste est devenu encore plus tendu, notamment en raison de la concurrence accrue dans et hors de la branche de la droguerie. Ainsi, six titres de périodiques paraissent dans le seul canal de la droguerie – avec de modestes prétentions rédactionnelles, certes, mais avec d’énormes charges financières et de personnel: le tirage de l’ensemble des médias de la droguerie s’élève à plus d’un million d’exemplaires par mois – un cas unique dans le pay-sage médiatique et assurément encore très éloigné d’une concentration des forces. Durant l’exercice sous revue, ni la Tribune du droguiste, ni d-inside ni encore vitagate.ch n’ont atteint les chiffres d’affaires prévus au budget. Outre l’évolution générale du marché, de nombreux changements de personnel dans les domaines de la vente, de la distribution et du sponsoring ont fait que notre action sur le marché n’a pas été optimale. Les charges pour assurer le suivi de la clientèle ne cessant d’augmenter et l’effectif en personnel étant en baisse sur le long terme, il a été très compli-qué d’assurer une présence continue sur le marché publicitaire durant l’exercice sous revue. Les perspectives pour 2014 sont prudemment optimistes. Bien que l’équipe des ventes soit à nouveau au complet et que le suivi de la clientèle soit de nouveau continu, le fait que les entrées publicitaires prévues au budget puissent effectivement être atteintes est lié à de très nombreuses incertitudes en raison de la situation du marché et des modifications structurelles.

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Formation et perfectionnementFormation initialePlan de formationEchanges avec différents offices et écoles professionnelles En mars, Martin Bangerter et Mireille Schmutz ont discuté avec les responsables de la for-mation professionnelle du canton de Bâle-Ville, une délégation du corps enseignant de l’école professionnelle de Bâle ainsi que des représentants de la droguerie. L’objectif était de clarifier certaines imprécisions dans le domaine de la communication et la réalisation du nouveau plan de formation ainsi que d’expliquer la position de l’ASD.

Commission pour le développement professionnel et la qualité de la formation En novembre, la commission D+Q s’est réunie une nouvelle fois sous la direction de Martin Bangerter pour évaluer l’état actuel de la mise en œuvre du plan de formation pour la for-mation initiale sur les trois lieux de formation, pour discuter des prochaines étapes et pour définir d’éventuelles adaptations. La discussion a notamment porté sur les changements concernant le guide pour la procédure de qualification, dont l’introduction aura lieu au plus tôt en 2016, avec le remaniement du plan de formation.

Identité professionnelle et environnement En collaboration avec un soutien externe et un groupe de travail réunissant des enseignants d’écoles professionnelles et des maîtres d’apprentissage, l’ASD a élaboré les lignes direc-trices pour les contenus et la didactique du nouveau domaine «Identité professionnelle et environnement» avant d’inviter, en juin, tous les enseignants concernés à un atelier d’un jour afin de discuter des points mentionnés et d’élaborer des outils concrets pour la mise en œuvre. L’objectif de ce nouveau domaine d’enseignement est de mettre en réseau dans la troisième et surtout la quatrième année d’apprentissage les connaissances acquises jusqu’alors à l’école professionnelle, dans l’entreprise formatrice et dans les cours inte-rentreprises et de les traduire dans la pratique professionnelle.

Procédures de qualification (PQ)Elaboration des PQDébut mai, Bernhard Kunz, Mireille Schmutz et Martin Bangerter ont rencontré les respon-sables du CSFO et de l’IFFP afin de discuter de la manière d’élaborer les procédures de qualification pour la formation initiale et de définir les prochaines étapes. Dans la foulée, deux groupes de travail ont été formés pour se charger de l’élaboration des directives ainsi que des tâches y relatives, respectivement sous la direction de Bernhard Kunz pour le do-maine des branches spécialisées enseignées à l’école professionnelle et sous celle de Nicole Bühler pour les travaux pratiques. Après une première séance commune d’introduction fin mai, ces groupes de travail se sont réunis deux fois dès août 2013 et continueront de travail-ler d’arrache-pied afin de pouvoir évaluer les examens dans le cadre d’une série zéro pré-vue en automne 2014 et de rassembler les premières expériences pour pouvoir réaliser la première PQ effective en été 2015. 1 Centre de services pour la formation professionnelle 2 Institut fédéral des hautes études en formation professionnelle

17

Formation et perfectionnement

Cours pour les futurs experts aux examens Fin avril, lors d’une manifestation organisée par le CSFO et l’IFFP, Bernhard Kunz, Mireille Schmutz et Martin Bangerter ont été informés du mode de sélection et de formation des futurs experts aux examens pour la nouvelle procédure de qualification. Ils ont également pu profiter des expériences réalisées par d’autres professions qui ont déjà franchi cette étape. Afin de présenter à un maximum de droguistes les chances offertes par cette activité pas-sionnante et le travail qu’elle implique, l’ASD a organisé quatre séances d’information régio-nales en automne.

Cours interentreprisesDurant l’exercice sous revue, différentes sections ont fait leurs premières expériences avec les nouveaux cours interentreprises et les contrôles de compétences qui vont avec. Les pro-positions d’amélioration ont, dans la mesure du possible, été discutées par les experts et retravaillées sous la direction de Maja Steingruber. Début septembre, la commission de surveillance CI dirigée par Martin Bangerter s’est réu-nie pour discuter de la coordination et de la réalisation, dans la mesure du possible, des améliorations et des adaptations.

Moyens d’enseignementDurant la période sous revue, Bernhard Kunz et son groupe d’auteurs ont intensivement travaillé à l’élaboration de moyens d’enseignement harmonisés. Une réunion avec Careum Verlag, qui édite ces supports d’enseignement, a permis de discuter de la possibilité de ré-aliser ces documents en français, une exigence de l’ASD. Les travaux de traduction devraient débuter en 2014 et durer toute l’année. Près de deux tiers du financement, env. CHF 340 000, sera assuré par la Confédération, l’ASD et Careum Verlag se partageront le montant restant.

Haute écoleNouveau plan d’études cadre ESMi-avril, Martin Bangerter et Mireille Schmutz ont rencontré les responsables de la forma-tion professionnelle supérieure au SEFRI, afin discuter de la procédure et des modalités re-latives au financement de l’élaboration du futur plan d’études cadre pour la formation ES à l’ESD. Une rencontre a également eu lieu avec le responsable du financement de la CDIP afin de connaître la situation des subventions accordées aux étudiants de l’ESD. Fin mai, une première discussion a eu lieu avec l’IFFP, laquelle a permis de définir comment réaliser les directives pour l’élaboration du plan d’études cadre. Il s’est avéré qu’il faudra plusieurs ateliers en 2014 pour préparer une analyse du champ d’action des droguistes dipl., laquelle servira par la suite de base à l’élaboration des contenus du futur plan d’études cadre. Dès que ce dernier sera prêt, le premier cycle de formation, accompagné par des spécialistes externes, pourra commencer à l’ESD vers 2017 ou 2018. Ce n’est qu’au terme de ce premier cycle de formation et de l’analyse de ses résultats que le SEFRI pourra prononcer l’entrée en vigueur définitive du nouveau plan d’études, soit en 2020 ou 2021.

3 Secrétariat d’Etat à la formation, à la recherche et à l’innovation (ex-OFFT) 4 Conférence des directeurs cantonaux de l’instruction publique

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Formation et perfectionnement

Ecole supérieure de droguerie (ESD)OrganisationFin 2013, une fête sympathique a été organisée pour prendre congé de Jean-Claude et Myriam Mascle, qui ont travaillé pendant 25 ans à l’ESD. Parmi plus de 70 postulations, c’est Agostinho Da Silva Gomes qui est engagé comme nouveau concierge. C’est avec un grand engagement personnel que lui et son équipe assument leurs fonctions et veillent à ce que la transition se passe bien, tant dans l’établissement que dans le jardin. Il n’y a pas d’autre changement notoire dans l’organisation de l’établissement.

Budget et financesDurant l’exercice sous revue, le déficit de l’école a encore une fois pu être réduit d’envi-ron CHF 66 000 par rapport à l’année précédente et passe ainsi à CHF 232 615. Concer-nant les charges, il n’y a pas d’écart conséquent par rapport au budget. Les comptes dépendent toujours fortement du nombre d’étudiants, autrement dit de la différence entre les étudiants qui partent après avoir obtenu leur diplôme et ceux qui com-mencent leur formation en août.

Fonctionnement/bâtiments Dans l’exercice sous revue, l’école a fonctionné normalement, sans problème particu-lier. A l’exception de deux étudiants qui ont échoué à l’examen préliminaire et un autre à l’examen de diplôme, les autres ont tous passé. Comme les autres années, le taux d’échec aux examens reste bas. Avec le renouvellement intégral de l’audit ISO 9001 et un nouvel audit ISO 14001 (cer-tification de management environnemental) ainsi que le nouvel audit EduQua fin 2013, l’Ecole supérieure de droguerie est assurée d’être dûment certifiée à l’avenir. Le CPLN, et l’ESD qui lui est intégrée, est ainsi l’un des premiers centres d’enseignement profes-sionnel suisses à satisfaire à la norme de management environnemental ISO 14001 et donc à s’engager à mettre en œuvre des solutions durables dans les domaines de la consommation d’énergie, de l’utilisation des ressources et du recyclage des déchets. Grâce à la nouvelle direction de la «Case à Chocs» voisine, il a été possible de diminuer considérablement les émissions sonores et autres nuisances nocturnes. Le couple de concierge peut donc aussi habiter dans l’école le week-end.

Formation continue et perfectionnementOrganisation et administrationD’importants efforts ont été consentis dans l’exercice sous revue pour mettre en œuvre les directives du règlement sur la formation continue obligatoire et le perfectionne-ment approuvé par l’assemblée des délégués 2012. Pour ce faire, il a fallu reprogram-mer différentes banques de données et adapter nombre de procédures. Malgré de sé-rieuses difficultés dans le domaine informatique, Claudia Meier a réussi à mener à bien les tâches administratives à la satisfaction de la grande majorité des membres. L’orga-nisation et la réalisation des cours pour les remplacements (voir ci-dessus) ont égale-ment constitué un défi, qu’il a été possible de relever malgré des ressources très res-treintes en personnel.

19

Formation et perfectionnement

Forum de formationLe forum de formation, qui s’est déroulé du 22 au 25 septembre 2013 à l’Ecole supérieure de droguerie de Neuchâtel sous la houlette de Claudia Meier, était consacré aux messagers de l’organisme. Les quelque 400 participants ont pu assister à 19 conférences en allemand et 3 en français, toutes orientées sur la pratique et présentées par des intervenants expéri-mentés. Un programme cadre a de nouveau été organisé, permettant aux droguistes d’en-tretenir et d’élargir leurs réseaux, dans la branche même ainsi qu’avec les nombreux parte-naires de l’industrie. Parmi les moments marquants, on peut citer les conférences du Prof. Reinhard Saller, en charge de la chaire de naturopathie à l’Université de Zurich. En attri-buant une note moyenne de 5 aux intervenants, les participants qui ont rempli les formu-laires de feed-back ont bien montré qu’ils étaient satisfaits du forum.

Autres coursUn cours «Up-to-date» a malheureusement dû être annulé faute de participants suffisants. Un autre cours à distance sur la nutrition est par ailleurs en cours d’élaboration. Dans un mandat à temps partiel, Maja Steingruber a commencé à mettre au point un cours sur le nouvel étiquetage SGH. Pour ce faire, elle travaille étroitement avec des spécialistes de l’OFSP et peut profiter de leur expérience dans l’élaboration des documents pour les cours interentreprises. Elle est en outre en train de réviser les cours que nous proposons sur notre plate-forme d’e-learning DrogoBrain et de les réunir dans une nouvelle configuration. L’ob-jectif étant que les supports de cours soient finalement disponibles à la fois sous forme d’e-book (pour appareils Apple) et en format PDF.

Bilan au 31 décembre 2013

Tous les montants en CHF

20

Bilan

Remarques 2013 % 2012 %

Actifs

Actifs circulants

Liquidités 2'423'793 2'099'296

Titres B1 167'496 916'663

Créances liées à des livraisons et prestations 653'584 690'163

Actifs transitoires 312'534 146'627

Actifs circulants 3'557'407 81% 3'852'748 80%

Actifs immobilisés

Immobilisations financières B2 775'051 925'051

Machines et mobilier B3 46'746 36'701

Actifs immobilisés 821'797 19% 961'752 20%

Total des actifs 4'379'204 100% 4'814'501 100%

Passifs

Capitaux étrangers

Dettes financières à court terme, dues à des livraisons

et prestations 459'686 552'396

Autres dettes financières à court terme (TVA) 28'433 94'891

Passifs transitoires 672'858 574'840

Capitaux étrangers à court terme 1'160'976 27% 1'222'127 25%

Autres provisions à long terme B4 1'167'672 1'167'672

Capitaux étrangers à long terme 1'167'672 27% 1'167'672 24%

Fonds propres B5

Capital 709'728 971'849

Fonds B6 1'340'828 1'452'852

Fonds propres 2'050'555 47% 2'424'701 51%

Total des passifs 4'379'204 100% 4'814'501 100%

Compte de profits et pertes

+ Produit

– Charges

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Compte de profits et pertes

Remarques 2013 % 2012 %

Produit des prestations E1 2'532'972 46.6% 3'289'147 54.1%

Cotisations 1'752'280 32.2% 1'797'484 29.6%

Autres produits E2 1'152'119 21.2% 992'089 16.3%

Diminution des revenus -1'576 0.0% -2'500 0.0%

Total des produits d'exploitation 5'435'794 100.0% 6'076'220 100.0%

Charges liées aux prestations E3 -1'579'340 -29.1% -1'912'051 -31.5%

Autres charges E4 -1'049'338 -19.3% -934'289 -15.4%

Charges de personnel E5 -2'820'948 -51.9% -2'828'584 -46.6%

Charges administratives E6 -627'215 -11.5% -670'744 -11.0%

Amortissements -32'985 -0.6% -76'515 -1.3%

Charges d'exploitation -6'109'825 -112.4% -6'422'183 -105.7%

Résultat opérationnel avant intérêts et impôts -674'031 -12.4% -345'962 -5.7%

Produits financiers E7 440'473 8.1% 266'929 4.4%

Produits extraordinaires E8 -1'688 0.0% 9'915 0.2%

Bénéfices/pertes de l'exercice avant impôts -235'246 -4.3% -69'119 -1.1%

Impôts directs -5'083 -0.1% -4'962 -0.1%

Bénéfices/pertes après impôts -240'329 -4.4% -74'080 -1.2%

Tableau des flux de fonds

GénéralitésLa présentation des comptes de l'Association suisse des

droguistes est conforme à la loi et aux statuts. Les comp-

tes permettent de prendre connaissance de l'état des ac-

tifs, des finances et des bénéfices de l'Association.

L'évaluation se base sur des valeurs d'acquisition et des

valeurs marchandes basses. Les deux positions titres (B1)

et provisions (B4) contiennent de substantielles réserves

latentes. Les principes de présentation des comptes n'ont

pas changé par rapport à l'année précédente.

22

Tableau des flux de fonds

2013 2012

Bénéfices/pertes -240'329 -74'080

Amortissements 32'985 76'515

Modification de créances dues à des livraisons et prestations 36'579 60'596

Variation des actifs de régularisation -165'907 -94'079

Modification des dettes à court terme dues à des livraisons et prestations -92'710 -1'682

Modification d'autres dettes à court terme -66'458 -46'515

Variation des passifs de régularisation 98'018 -264'777

Flux de fonds liés à l'activité de l'entreprise -397'823 -344'022

Achat de machines/appareils 0 0

Achat de mobilier/installations 0 -2'560

Achat de matériel informatique -43'029 -40'761

Vente de matériel informatique 0 3'759

Achat/vente de biens immobiliers -43'029 -39'561

Investissements d'immobilisations financières (à long terme) 0 -1

Désinvestissements d'immobilisations financières (à long terme) 150'000 250'000

Investissements/désinvestissements d'immobilisations financières (à long terme) 150'000 250'000

Flux de fonds liés aux investissements 106'971 210'439

Modification des fonds propres -133'817 0

Flux de fonds liés à l'activité financière -133'817 0

Augmentation/diminution des liquidités/valeurs (+/–) -424'669 -133'583

Etat des liquidités/valeurs au 1.1. 3'015'959 3'149'542

Etat des liquidités/valeurs au 31.12. 2'591'289 3'015'959

Variation des liquidités/valeurs -424'669 -133'583

Explications relatives au bilan

B2 Etat des investissements Participation Prêt Prêt Total vitagate SA Fondation section des actifs ESD Romandie immob.

Actifs immobilisés au 1.1.2012 50'001 1'100'000 25'050 1'175'051

Prêts/entrées 0 0 o 0

Remboursements/sorties 0 -250'000 0 -250'000

Actifs immobilisés au 31.12.2012 50'001 1'100'000 25'050 1'175'051

Actifs immobilisés au 1.1.2013 50'001 850'000 25'050 925'051

Prêts/entrées 0 0 0 0

Remboursements/sorties 0 -150'000 0 -150'000

Actifs immobilisés au 31.12.2013 50'001 700'000 25'050 775'051

B3 Etat des immobilisations Machines/ Mobilier/ Matériel Total des appareils installations informatique actifs immob.

Actifs immobilisés au 1.1.2012 945 3'010 69'700 73'655

Entrées 0 2'560 40'761 43'321

Sorties 0 0 -3'759 -3'759

Amortissements -944 -2'770 -72'801 -76'515

Amortissements en % 50% 50% 50%

Actifs immobilisés au 31.12.2012 1 2'800 33'900 36'701

Actifs immobilisés au 1.1.2013 1 2'800 33'900 36'701

Entrées 0 0 43'029 43'029

Sorties 0 0 0 0

Amortissements 0 -1'400 -31'585 -32'985

Amortissements en % 50% 41%

Actifs immobilisés au 31.12.2013 1 1'400 45'345 46'746

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Explications relatives au bilan

B1 Titres

Valeur fiscale 2013 2012

Fonds institutionnel actions suisses 0 parts 0 0 245'206

Fonds institutionnel actions étrangères 0 parts 0 0 342'280

B Galenica Holding SA nom. 0.10 300 actions n. 269'400 149'496 311'177

Coopérative suisses de cautionnement pour

les arts et métiers nom. CHF 30'000 1 bon de participation 15'000 15'000 15'000

Institut pour la formation des cadres

d'entreprise nom. CHF 100 30 bons de participation 3'000 3'000 3'000

Total 287'400 167'496 916'663

B4 Tableau des provisions Provisions pour Provisions Provisions Total projets particuliers ESD ASD Neuchâtel des provisions

Provisions au 1.1.2012 860'000 282'622 25'050 1'167'672

Création 0 0 0 0

Dissolution 0 0 0 0

Provisions au 31.12.2012 860'000 282'622 25'050 1'167'672

Provisions au 1.1.2013 860'000 282'622 25'050 1'167'672

Création 0 0 0 0

Dissolution 0 0 0 0

Provisions au 31.12.2013 860'000 282'622 25'050 1'167'672

Provisions ASD Neuchâtel selon les statuts de la section dissoute de Neuchâtel, art. 56 du 1.1.1986.

B5 Evolution des fonds propres Capital de l'Association Fonds (B6) Total

Fonds propres, état au 1.1.2012 1'067'401 1'431'381 2'498'781

Attribution fonds -21'471 21'471 0

Bénéfice / perte de l'exercice -74'080 -74'080

Fonds propres, état au 31.12.2012 971'849 1'452'852 2'424'701

Fonds propres, état au 1.1.2013 971'849 1'452'852 2'424'701

Attribution fonds -21'793 -112'024 -133'817

Bénéfice / perte de l'exercice -240'329 -240'329

Fonds propres, état au 31.12.2013 709'728 1'340'828 2'050'555

B6 Fortune des fonds Fonds marketing Fonds formation Fonds spéciaux Total et promotion et perfectionnement de protection des fonds

Fortune des fonds au 1.1.2012 689'923 171'844 569'613 1'431'381

Dépôts 0 0 0 0

Prélèvements 0 0 0 0

Intérêts 10'349 2'578 8'544 21'471

Fortune des fonds au 31.12.2012 700'272 174'422 578'157 1'452'852

Fortune des fonds au 1.1.2013 700'272 174'422 578'157 1'452'852

Dépôts 0 0 0 0

Prélèvements 0 0 -133'817 -133'817

Intérêts 10'504 2'616 8'672 21'793

Fortune des fonds au 31.12.2013 710'777 177'039 453'013 1'340'828

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Explications relatives au bilan

Explications compte profits et pertes E1 Produit des prestations 2013 2012

Produit des médias 2'050'037 2'813'946Produit des ventes 112'789 116'175Campagne 360'778 345'771Autres positions 9'367 13'255 Produit des prestations 2'532'972 3'289'147

E2 Autres produits 2013 2012

Produits de services, projets et activités 259'517 306'915

dontCours 187'236 232'392Activités 14'150 34'274Forum droguerie / forum de formation 34'331 15'601

Autres positions 23'801 24'649

Parts salariales de tiers 136'402 145'574

Participation de tiers/sponsoring 677'514 462'444

Produit matériel imprimé

et médias payants 73'688 72'157

Autres positions 5'000 5'000

Autres produits 1'152'119 992'089

E3 Charges liées aux prestations 2013 2012

Production médias -1'062'152 -1'381'869

Distribution -326'640 -334'264

Honoraires -150'247 -115'175

Illustrations -24'846 -23'698

Autres positions -15'454 -57'045

Charges liées aux prestations -1'579'340 -1'912'051

E4 Autres charges 2013 2012

Dépenses pour services,

projets et activités -685'288 -354'376

Déficit de l'école ESD -232'615 -268'435

dont Sponsoring 92'000 92'000Déficit net de l'ESD -140'615 -176'435

Consultations juridiques pour

les activités de l'association 42'184 -44'093

Charges pour matériel imprimé

et médias payants -3'620 -2'189

Charges pour infrastructure séances

et conférences -10'426 -32'648

Diminution avant impôts -23'000 -17'548

Charges vitagate -136'573 -215'000

Autres charges -1'049'338 -934'289

25

Explications compte profits et pertes

E5 Charges de personnel 2013 2012

Salaires et traitements secrétariat central et comité central + honoraires de collaborateurs externes -2'352'826 -2'314'615

Assurances sociales -199'267 -273'759

Indemnités journalières -69'869 -48'240

Frais de déplacement + repas -144'881 -135'848

dont Comité central -9'330 -13'293Secrétariat central -94'714 -96'570Direction -633 -1'971Conférences, commissions, assemblée des délégués -11'124 -15'406Manifestations -29'082 -8'608

Autres charges de personnel -54'105 -56'122

Charges de personnel -2'820'948 -2'828'584

E6 Charges administratives 2013 2012

Location -123'084 -131'424

Charges administratives (matériel de bureau, téléphone, frais de port, matériel informatique) -410'764 -410'614

Publicité -66'687 -106'036

Autres positions -26'679 -22'670

Charges administratives -627'215 -670'744

E7 Produits financiers 2013 2012

Produit des intérêts et titres 9'515 56'237

Pertes de cours non réalisées 0 0

Gains réalisés sur la vente d'actions 430'957 210'692

Produits financiers 440'473 266'929

E8 Produits extraordinaires 2013 2012

Charges projet vitagate 0 0

Modification du ducroire -4'100 2'600

Autres positions 2'412 7'315

Produits extraordinaires -1'688 9'915

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Comme indiqué dans la lettre du 12 novembre 2012 adressée aux membres de l'ASD, les coûts totaux de vitagate.ch en 2011 se sont élevés à CHF 244'697. Sur la base du nombre de contacts établis, il en résulte un prix moyen par contact de CHF 0.50.

Informations complémentaires concernant vitagate sa

Informations complémentaires concernant vitagate sa 2013 2012

Produit brut 317'612 333'810 Coûts directs -80'321 -60'173

Marge sur coût variable I 237'291 273'637

Charges de personnel/honoraires de tiers -344'024 -451'646

Marge sur coût variable II -106'733 -178'009

Charges d'exploitation -9'595 -14'362 Amortissements -20'000 -20'000 Produits financiers -100 -79 Produits extraordinaires 0 0 Impôts -145 -422

Résultat avant participation aux pertes de l'ASD -136'573 -212'872

Participation aux pertes de l'ASD 136'573 215'000

Bénéfices/pertes de l'exercice - -2'128

Nombre de contact 718'148 470'000

Prix moyen par contact 0.19 0.45

Rapport de l'organe de révision

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Rapport de la CVC

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Rapport de la commission de vérification des comptes à l’attention de l’assemblée des délégués du 14 novembre 2014

Mesdames, Messieurs,

En tant que commission de vérification des comptes de votre association, nous avons vérifié les comptes de l’exercice 2013 selon les directives légales.

La commission de vérification des comptes a vérifié le respect du règlement d’organisation en se basant sur les procès-verbaux du comité central.

Les comptes annuels de l’exercice achevé au 31 décembre 2013 ont été vérifiés comme l’année précédente par l’organe de révision DieWirtschaftsprüfer.ch AG. Il ressort du rapport de l’organe de révision qu’il n’y a pas d’élément qui nous permettrait de conclure que les comptes annuels ne seraient pas conformes à la loi ou aux statuts.

Le rapport de l’organe de révision confirme l’exactitude formelle des chiffres. La commission de vérification des comptes a pu examiner en détail la direction et l’établissement des comptes.

Nous avons reçu des réponses claires, franches et compétentes à nos questions. La gestion de la direction et du secrétariat central est correcte et correspond aux objectifs fixés.

Sur la base du rapport concernant vitagate.ch, la commission de vérification des comptes conclut que la plate-forme internet continue d’évoluer positivement. La commission de vérification des comptes a bénéficié de la transparence nécessaire. En outre, le poste vitagate est clair dans l’annexe E4 des comptes 2013.

Nous remercions les personnes responsables pour leur engagement et tout l’excellent travail fourni. Sur la base des résultats de notre examen, nous vous demandons d’accepter les comptes 2013 qui vous sont soumis et d’accorder décharge aux organes responsables de l’association.

Bienne, le 4 juillet 2014

Commission de vérification des comptes del’Association suisse des droguistes

Heinz RothenbergerPrésident de la commission de vérification des comptes

Beat RenferProcès-verbal

Urs NussbaumerAssesseur