Allons ensemble vers le Pacifique

L e j o u r n a l d e s g e n s d ’ i c iDistribution : 5500

VOLUME 3, NUMÉRO 4JEUDI, 20 FÉVRIER 2003

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PROCHAINE PARUTION : JEUDI, 20 MARS 2003

Un nouveau programme pour les enfants de l’école Val-des-Monts

Allons ensemble vers le Pacifique...

Lisette LabelleVers le Pacifique... est un programme instauré au seindes classes et de l'environnement de l'école Val-des-Monts,afin de prévenir la violence et de faciliter la résolution desconflits.

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page 21

Le 3 février dernier, en après-midi, tous les enfants de Val-des-Monts ont participé à une céré-monie dans la cour extérieurede l’école. Ils ont dévoilé avecbeaucoup d’espoir et d’amourun message pacifique, « Nonà la violence... sachons écouter,tolérer, communiquer des

pensées et des paroles positivesafin d’augmenter notre estimede soi. Des dessins et des mes-sages de violence ont été brûléssymboliquement alors que lachanson de Luce Dufault« Laissez-nous la chance » accom-pagnait leur geste.

Le programme « Vers lePacifique » a été créé en 1998 parle Centre international de réso-lution de conflits et de média-tion (CIRCM). Plus de 500 écolesy participent au Québec. En uti-lisant les élèves comme média-teurs pour résoudre les conflitsde manière autonome et paci-fique, il démontre que ceux-ciont les capacités pour intervenir.Ce programme deviendra uncomplément du code de vie del’école et demandera la partici-pation des tous les intervenants.

Mission :Le Journal de Prévost est né du besoin

exprimé par un grand nombre de ci-toyens, de se doter d'un journal non par-tisan, au service de l'information généra-le et communautaire. Société sans butlucratif, il est distribué gratuitement danstous les foyers de la municipalité.

Les Éditions Prévostoises ont choisi lagare, symbole de l'activité communautai-re, comme quartier général du Journal dePrévost.

AVIS :Outre la publication exceptionnelle

d’un éditorial, les articles sont la res-ponsabilité de leurs auteurs et n'enga-gent d'aucune façon le Journal dePrévost.

Tous les textes ( article, opinion, an-nonce d'événements ou communiqué)doivent être accompagnés du nom, del'adresse et du numéro de téléphone del'auteur.

L’utilisation des textes ou des pho-tographies ne peut être fait sans au-torisation de l’éditeur.Les Éditions PrévostoisesC.P. 13Prévost, Qc, J0R 1T0Tél.: 450 224-2794Téléc. : 450 224-1548 Courriel : [email protected]

Rédacteur en chef :Jean Laurin- Cell: 514 [email protected]

Directeur technique :Michel Fortier

Conseiller juridique :Benoît Guérin

Conseil d’administration et collaborateurs :M. Jean-Claude Côté, président M. Serge Fournier (sports)M. Yvan Gladu (culturel)M. Élie Laroche (affaires)Mme Lucile Leduc (aînés)M. Benoît Guérin (communautaire)Mme Annie Depont

Révision des textes :Solange Trudel, Jean-Claude Côté,Lucille Leduc, Pierre Haché etBenoit Guérin

Infographie :Carole Bouchard, 450 224-2794

Représentant publicitaire :Gilles Bourgoin, 450 530-0602Fernande Gauthier, 450 224-1651

Imprimeurs :Transcontinental Impression

Tirage : 5500 exemplairesDistribution : Postes CanadaDépôt légal :

- Bibliothèque nationale du Québec- Bibliothèque nationale du Canada

ISSN 1496-2497 Journal de Prévost

«Quand la vérité n’est pas libre, la liberté n’est pas vraie. »Jacques Prévert

2 Le Journal de Prévost — 20 février 2003

L’Hôpital vétérinaire dePrévost est dans la course !Êtes-vous amateur de courses et desensations fortes ? Aimez-vous leschiens et la nature? Les 22 et 23 février 2003 aura lieula Classique de traîneaux à chiensde la vallée de Saint-Sauveur, par-rainée par le Groupe Investors.C’est une course qui réunira pour sadeuxième édition environ 600chiens provenant d’attelages departout en Amérique du Nord. Ledépart de la course se fera à la garede Piedmont et empruntera le parclinéaire jusqu’à Prévost, pour ensui-te revenir à son point de départaprès un trajet à travers champs.L’Hôpital vétérinaire Prévost a étéapproché pour assurer la surveillan-ce vétérinaire de la course et le ser-vice d’urgence, conjointement avecla Faculté de médecine vétérinairede l’Université de Montréal. Nousserons donc présents sur place lesdeux journées de la course afin denous assurer de l’état de santé deschiens en piste et pour leur portersecours au besoin. Les courses detraîneaux à chiens sont très popu-laires depuis de nombreuses années,et les équipes qui se feront compé-tition sont sensées être formées devéritables chiens-athlètes dirigéspar des gens d’expérience qui ont àcœur la santé de leurs animaux.Notre rôle sera donc de s’assureridéalement que chaque animal seraen mesure de prendre le départ defaçon sécuritaire.Un attelage est composé d’unnombre variable de chiens, généra-lement de 8 à 16, dirigé par unepersonne sur le traîneau que l’onnomme le «musher ». Ce dernierdécide du départ et de l’arrêt, ainsique de l’équilibre et de la vitesse dutraîneau dans les courbes et lespentes. En effet, si ce n’était quedes chiens, le traîneau filerait tou-jours à très vive allure et ne s’arrê-terait qu’en cas d’accident ou àl’épuisement de ses équipiers!!!Chaque attelage de chien comprendun chien de tête, dit « leader » quimène tous les autres. Les chiens detraîneau sont issus de différentesraces telles le Husky sibérien ou leMalamute d’Alaska. Ce sont deschiens de taille moyenne, très fortset résistants qui peuvent endurerun travail intense pendant plusieursheures dans des conditions clima-tiques hivernales. Ils sont donc trèsbien nourris et entraînés pour pou-voir suivre la cadence.La course de traîneau à chiens esttrès spectaculaire : au moment dudépart, les chiens qui sont atteléstirent tellement fort sur l’attelagequ’un véhicule tout terrain est àpeine suffisant pour le retenir, etleurs aboiements enthousiastess’entendent de très loin… Inutile dedire que ces chiens vivent pour lacourse et qu’ils n’ont nul besoind’être motivés !La course de la vallée de Saint-Sauveur sera donc un endroit idéalpour venir contempler ces chiens enpleine action dans le cadre enchan-teur des Laurentides. Ce sera aussiune occasion de venir rencontrernotre équipe sur place : les vétéri-naires et les techniciennes de notrehôpital seront là pour répondre àvos questions ou tout simplementpour piquer un brin de jasette! Deux sites web intéressants sur le sujet :w w w . l e v i l l a g e d e m u s h e r . c o mwww.sleddogcentral.comSurveillez également notre reporta-ge photographique sur note sitewww.hopitalveterinaire.com dès lemois de mars !Dr Simon Lachance, mv

Il sera possible de faire de bellestrouvailles, tout en vous amusant,lors du bazar au profit de laparoisse St-François-Xavier dePrévost qui aura lieu dimanche, le13 avril 2003, de 9h à 16h, à l’éco-le Val-des-Monts, 872 rue de l’Éco-le, à Prévost.

Au programme : - Brunch de 11h à 14h avec pré-vente de billets, nombre limité(7 $ adultes, 3.50 $ enfants demoins de 12 ans)

-Kiosques variés-Encan chinois-Animation pour les enfants- Tirages, dont une magnifiquecourte-pointe avec couvre-oreillers (billets en vente à laparoisse)

- Tables à louer (20$) (quantitéslimitées et contenu approuvé)Pour la réalisation de cette acti-

vité, nous avons besoin de votreparticipation pour :- Cuisiner des pâtisseries, sucre-ries, conserves

- Créer des articles d’artisanat(peintures, tricot, coussins, fleursséchées, etc…)

-Nous offrir des objets ou vête-ments adéquats (livres, disques,cadres, bibelots, lampes, vaissel-le, bijoux, meubles, jeux oujouets, plantes, vitrail, boiseries,etc…)

-Sélectionner et classer les articlesreçus

- Préparer la salle (déménage-ment, montage des kiosques,préparation du matériel)

-Aider la journée même (tenue dekiosques ou autres)

-Nettoyer la salle à la finNous comptons sur vous. Merci

de votre grande générosité !Pour information ou don, com-

muniquer avec :-Carol Martin : 224-5485- Jeanne-Mance Lagacé : 224-9369-Lisette Labelle : 224-9720-Andrée Cyr-Desroches : 224-2740-Violaine Leblanc : 224-9904

Un recensement paroissiald’ici juin 2003Un recensement paroissial a été

mis sur pied par l’équipe pastoralede secteur regroupant le personnelpastoral des paroisses Saint-François-Xavier et Saint-Sauveur.Ce projet devrait se réaliser d’ici lemois de juin 2003. C’est monsieurYvan Giraldeau, agent de pastoraleà Saint-Sauveur, qui en est le res-ponsable.

Le projet de recensement vise à

mieux connaître les besoins actuelsdes paroissiens et paroissiennesafin d’améliorer les services quileur sont offerts et de planifier desactivités qui les aideront dans leurcheminement humain et spirituel.

Toute la population est invitée àcollaborer à ce projet en communi-quant les informations qui serontdemandées. Grand merci pourvotre collaboration !

Les belles trouvailles du Bazar

RENCONTRE D’INFORMATION ET D’INSCRIPTIONPour les parents d’enfants entre 6 et 8 ans

Du 1er cycle du primaireMardi, le 25 février 2003 à 19h00

À l’Église St-François-Xavier de Prévost

- La Spiritualité au Quotidien(pour les parents, 5 rencontres de 2 hres)

- Un Dieu avec nous (enfants et parents, six catéchèses)

Ces deux démarches font partie du parcours catéchétiquede préparation à la 1ère communion de votre enfant.

Des nouvelles de la paroisse

AVIS DE RECHERCHELa paroisse St-François-Xavier procède actuellement à la mise à jour

et à l’informatisation du dossier "cimetières". Par souci de justice,elle est à la recherche des coordonnées des concessionnaires des lots

suivants :Lots dont le nom et/ou I’adresse du concessionnaire actuel sont inconnus:

ANCIEN CIMETIÈRE (RUE PRINCIPALE)No. du lot Concessionnaire actuel Concessionnaire initial

(le dernier connu)ACOO7 Buchanan, Véronica Buchanan, VéronicaACOO9 Poirier Choquette, Pauline Poirier Choquette, PaulineACO12 Beauséjour, P-Henri Beauséjour, PhydimeACO15 Renaud, Robert Renaud, JosephACO16 Renaud, Irène Renaud, AldéricACO31 Taillon, Michel Taillon, HerménégildeACO35 Lesage, Rodrigue Lesage, RodrigueAC036 Falconer, William Wallace Falconer, William WallaceAC049 Lebeau, Renée C. Chalifoux, FernandoAC053 Trudeau, Lise Dagenais, MariaAC054 Lesage, Léopold Lesage, LéopoldAC055 Succession St-Pierre Succession St-PierreACO6O Richer et Blondin, Ménasippe Richer et Blondin, MénasippeAC062 St-Pierre, Marie St-Pierre, MarieAC065 Dionne, Mario Dionne, PierreAC067 Blondin, Lionel Blondin, AlphonseACO7O Lessard, Luc Lessard, NapoIéonAC072 Beauséjour, Réjeanne Beauséjour, DelphisAC079 Chatelois, Robert Chatelois, RobertAC093 A Cormier Weljehausen, Marguerite Cormier Weljehausen, Marg.AC095 Falardeau, Adrien Falardeau, AdrienAC098 Lesage, RéaI Lesage, AchilleAC 105 Blanchet, Théodule Blanchet, ThéoduleAC1O6 Normand, Georges Normand, GeorgesAC1O9 Mainville, Pierre Mainville, Pierre

NOUVEAU CIMETIÈRE : (SUR IA 117)NC075 Hautcoeur, Chantal Hautcoeur, ChantalNC079 Gobeil, Marie-Ange GobeiI, Marie-AngeNC089 Bouvrette, Gabriel et Bouvrette, Gabriel et

Le Breton, Louise Le Breton, LouiseNC116 Cadieux Sabourin, Adrien Cadieux Sabourin, AdrienNC125 Bastien, Réjeanne et Bastien, Réjeanne et

Cardinal, Jean Cardinal, JeanNC1 35 Hautcoeur, Yves Hautcoeur, YvesNC144 Cloutier, Claude Cloutier, ClaudeNC145 Hébert, Caroline et Stéphanie Hébert, Caroline et StéphanieNC149 Cadieux, Armand Cadieux, ArmandNC187 Brousseau, Victor Brousseau, VictorNC221 Benko, Hana Benko, HanaNC222 Benko, Yuray Benko, YurayNC223 Dominick, Edouard Dominick, EdouardNC243 Richer, François Richer, FrançoisNC247 Vincent, Benoit Vincent1 BenoitNC248 Sigouin, Gérard Sigouin, GérardNC252 Desroches, Jean-Paul Desroches, Jean-PaulNC267 Quellette, Denise Quellette, DeniseNC3IO Branders, Élie Branders, ÉlieNC376 Forget, André et Rosine Forget, André et RosineNC385 Reid, Yvon Reid, Yvon

Vous êtes priés de communiquer avec nous pour toute informationque vous possédez à ce sujet.

Paroisse St-François-Xavier: 224-2740Grand merci de nous aider!

Aux quadistes de PrévostUn gros merci pour votre appui, lors du dernier conseil de Ville, nos

élus ont adopté un règlement afin de pouvoir circuler en V.T.T. dansnos sentiers.

Cartes de membresSi vous désirez des Cartes de membres nous avons un point de

vente au Restaurant la Vraie Patate (intérieur du Marché aux Puces)et à la quincaillerie Monette qui se fera un plaisir de vous lesremettre.

Soyez prudent et si vous avez des commentaires à faire n’hésitezpas à communiquer au :

Club des Hautes Laurentides(450) 432-7168 - Georges Dubé

www.quadnet2.com/quad/49

Des nouvelles de la paroisse

La transformation des édifices Bastien et Shawprogresse à grands pas

Le Journal de Prévost — 20 février 2003 3

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En moins de trois semaines, lestravaux de rénovation lancés parla Corporation d'Habitation duVieux-Shawbridge vont bontrain. Dans un premier temps,l'intérieur de l'édifice Bastien afait l'objet du remplacement desfenêtres tandis que le revête-ment extérieur a été complète-ment enlevé.

Dans un deuxième temps, ConstructionG. Lachance a coulé le béton nécessairepour soutenir les nouvelles fondationsrequises par la surface du futur immeuble.

Puis, la toiture entièrement montée ausol et ensuite hissée, vendredi dernier, parun froid sibérien par une puissante grueet mise en place en moins de deuxheures. Ainsi les travaux pourront êtrepoursuivis à l'intérieur et à la chaleur.L'édifice Shaw a également fait l'objet de

travaux préparatoires.

Loyers en grande demandeLes administrateurs de la Corporation

d'Habitation du Vieux-Shawbridge ontreçu près d'une quarantaine de demandesde location, preuve de la grande rareté delogements à Prévost, a déclaré M. SylvainParadis, président de l'organisme.

Toutes les demandes seront analyséesselon des critères rigoureux dont ceux dela Société d'habitation du Québec en cequi a trait aux quelques logementssociaux que doit offrir AccèsLogis.

On voit comment la puissante grue a transporté avec facilité la nouvelle toiture de l'édifice Bastien. Il est maintenant coutume de construireles toitures au sol et d'utiliser une grue pour les mettre en place.

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Quelle est maintenant la meilleurestratégie ? Nombreux sont les ana-lystes et experts qui suggèrent main-tenant de ralentir nos ardeurs etd’investir prudemment. En passant,ce sont les mêmes personnes quiconseillaient d’acheter des actionsde Nortel à 120.00 $ et qui nousdisent de vendre à 4.00$. Comments’y retrouver ?

Tout d’abord, on doit se recentrersur les règles de base : ne jamaisinvestir de l’argent dont on pourraitavoir besoin dans les cinq pro-chaines années et respecter notre

seuil de tolérance au risque. Vous lesavez maintenant, la bourse estimprévisible à court terme. Parcontre, la bourse est très prévisible àlong terme. Les gourous de la finan-ce tel que Warren Buffet et plus prèsde nous Stephen Jarislowski l’ontbien prouvé. Ces deux Dieux duplacements ont assisté à de nom-breuses révolutions. Ils ont vu appa-raître la télévision, la commercialisa-tion de l’automobile, l’ordinateur etl’internet et à chaque révolution, lesmarchés se sont enflammés pourensuite retomber aux valeurs de

base. Ces deux bonzes de la finan-ce ont réussi à se tailler une placeparmi les grands en pratiquant lapatience et en faisant de bons choix.

Il importe de bien choisir les com-pagnies dans lesquelles nous inves-tissons. De façon générale, votreentreprise doit réaliser un bénéfice,c’est-à-dire qu’elle doit faire de l’ar-gent. Dans le cas contraire, vousachèterez des parts en espérantqu’elles soient rentables un jour. Sila compagnie que vous choisissezest rentable, voici les critères quevous devriez observer avant d’arrê-ter votre choix : est-ce que la com-pagnie voit son chiffre d’affairecroître année après année ? Est-ceque son dividende augmente régu-lièrement ? La compagnie détient-elle une position dominante dansson marché? La compagnie investit-elle en recherche et développe-ment ? Etc.

L’action augmentera sur le marchéboursier si les investisseurs pensentque les profits futurs augmenteront.Donc, vous devez vérifier si la com-pagnie fera bonne figure dans lesprochaines années. En investissant àlong terme et en choisissant desentreprises et/ou des secteurs pro-metteurs et bien structurés, vous nepouvez que faire des profits.

C’est bien beau tout ça, mais pourquoiça ne fonctionne pas depuis trois ans?

L’indice Dow Jones existe depuisplus de cent ans. Il représente les 30plus grandes entreprises améri-caines comprenant entre autreGeneral Electric, IBM, Microsoft,3M, Procter & Gamble et Jonhson &Johnson. Cet indice a connu unecroissance annuelle se situant entre10% et 12% sur n’importe quellepériode de 25 ans que vous choisi-rez. C’est-à-dire que peu importe àquel moment vous auriez investi,

vous auriez eu lemême rendementaprès 25 ans.

Un dollar investien 1994 en valaitpeut-être 25 en2000 et n’en vautaujourd’hui quetrois. Il est évidentqu’il au-rait étépréférable devendre en 2000,mais nul ne peutprévoir le futur,même à 4.99 $ laminute.

La moyenne de10 à 12% annuelles’applique aussipour la périodeque nous vivonsen ce moment.Les marchés ontgrimpé en flècheparce que lescompagnies ontaugmenté leursventes de sorteque les profitsfurent artificielle-ment gonflés. Lesen-trepôts furentpleins de mar-chandises nonvendues car lesconsommateursn’ont jamais sou-tenu le rythmeque pensaient im-poser les entre-prises de distribu-tion. Il faudradonc attendre queles stocks s’écou-lent pour que lesentreprises re-commencent àproduire et re-prennent le che-min du profit.

Si vous aviezinvesti en 1990,vous avez profitéavec une grandejoie de la follemontée de la der-nière décennie. Lachute des derniers36 mois n’estqu’un juste retourdu balancier quiramènera votreprofit moyen desdernières annéeautour des 10 à12%.

Oui mais… çava prendre unbout de tempsavant de revoirNortel à 120$.

Malheureusement, si vous aviezcertains titres technologiques dansvotre portefeuille comme Nortel,Cisco, 724 Solutions, et Bell CanadaInternational, vous ne reverrez peut-être pas cet argent de votre vivant.Cependant, si vous aviez un porte-feuille boursier équilibré, votreperte globale se situe peut-êtreautour de 20, 30 ou même 40%. Laperte de 95% que vous avez subiedans le secteur technologique futsans doute légèrement compenséepar d’autres secteurs tels l’assuran-ce-vie ou les compagnies pharma-ceutiques. Voilà l’importance d’unportefeuille bien diversifié.

Si vous avez commencé à investiren 2000, 2001 ou 2002, vous avezinévitablement subi une monstrueu-se perte mais rappelez-vous, lamoyenne de 10 à 12% est toujourslà pour les investisseurs à longterme. Il faut donc continuer àinvestir dans les actions de grandescompagnies afin d’être présent lorsde la reprise des marchés.

Les CPG indiciels et autres placementsgarantis, pourquoi est-ce risqué?

Les institutions financières etsociétés de placement existent apriori pour faire de l’argent, commetoute bonne compagnie. Pour êtrerentable et compétitif, il faut s’adap-ter à ce que la concurrence offre etce que le consommateur désirecomme produit.

En 2003, l’investisseur moyen estcelui qui vient de subir trois annéesde perte financière et qui ne veutplus que cela se reproduise. Lesinstitutions financières suggèrentalors les fonds d’obligations, les cer-tificats de dépôts garantis (CPG) etles CPG indiciels. Ce dernier pro-duit est un véhicule qui évolue aurythme des marchés boursiers, touten garantissant votre mise initiale àl’échéance. Cependant, la hausseest limitée par un plafond annuel, ceque vous n’avez pas à la bourse,vous savez donc dès le départ lemontant minimum et maximumauquel vous aurez droit à l’expira-tion du contrat.

Je dois vous prévenir que ce choixest cependant loin d’être le meilleur.Les placements garantis sont utileslorsque l’on prévoit une chute desmarchés boursiers. Or, les chancesque les marchés chutent encore sonttrès minimes. Pourquoi devrions-nous acheter des produits garantisalors que le risque de baisse estquasi nul. De plus, vous obtiendrezun ridicule rendement de 4% quisera anéanti par l’impôt et l’inflationsi vous optez pour cette option.

Je vous rappelle aussi que la bour-se donne historiquement des rende-ments de 10 à 12% annuellement.Comme nous venons de vivre troisannées de vache maigre, il est facilede prévoir que les rendements pourla prochaine décennie seront d’aumoins 15%. Je vous laisse donc fairevotre choix : un CPG à 4% ou desactions de compagnies d’envergureavec un rendement de 10, 12 ou15%.

Les années où vous opterez pourun placement garanti à faible rende-ment risque d’avoir un impact dequelques milliers de dollars lors devotre retraite dans 10, 15 ou 20 ans.Si vous croyiez que les actionsétaient bonnes il y a dix ans, gardezle cap. Seuls les plus patients etceux qui conservent leur ligne deconduite pourront profiter du nou-veau départ et des merveilleusesprogressions que nous offrira lemonde des actions dans les pro-chaines années. Patience…

Investissement boursier

Protéger son capital contre le risque, c’est risqué !Olivier OuelletteCombien avez-vous perdu depuis trois ans ? Trop vousme répondrez. Les histoires d’horreur ne manquentpas et rassurez-vous, vous n’êtes pas seul. Même l’au-teur de ces lignes, moi-même, y ai laissé de nombreuxhuards durement acquis.


États généraux sur la réformedes institutions démocratiques

Pour la première fois en 400 ans,

nous choisissons nos institutions démocratiques

Les 21, 22 et 23 février prochains, à l’occasion des

États généraux sur la réforme des institutions démocratiques,

quelque 1000 citoyens et citoyennes de partout au Québec

se réuniront, dans la capitale nationale, pour discuter des

grandes questions relatives à l’exercice de notre démocratie.

Soyez à l’affût de ce débat historique.

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C'est au cours d'une assem-blée d'investiture marquée deplusieurs moments très émo-tifs que Madame LuciePapineau a été choisie sansopposition candidate du PartiQuébécois en vue des pro-chaines élections provinciales,lors d'une réunion tenue aSaint-Jérôme, dimanche le 9février.

Après des témoignages d'es-time et d'appréciation de lapart de trois générations demembres, qui ont tous salué sadisponibilité et sa présenceconstante dans le comté,Madame Papineau a salué lecourage et l'appui indéfectiblede son conjoint, RobertBeullac, toujours terrassé parla maladie.

Puis, elle a salué la vice-pre-mière ministre, MadamePauline Marois, qui assistait à

cette réunion, en soulignantqu'en sa qualité de ministre del'Industrie et du Commerce,elle travaillait en parfaite sym-biose avec Madame Marois.

Madame Papineau a rappeléqu'elle acceptait d'être candi-date pour la troisième fois.

Dans un deuxième temps,elle a passé en revue l'en-semble de ses réalisations tantau niveau du comté de Prévostque de son ministère.

Madame Marois a rendu unvibrant hommage à sa col-lègue de travail avant d'énon-cer l'ensemble des réussites dugouvernement, particulière-ment en matière d'économie,de finances et de progrèssignificatifs par rapport a l'en-semble du Canada.

Dans le comté de Prévost

Madame Lucie Papineau ànouveau candidate du PQ

Selon les observateurs, lesprochaines élections provin-ciales pourraient avoir lieu le14 avril ou le 2 juin. Cepen-

dant, si la guerre contre l'Irakest déclenchée avant ces dates,les élections pourraient êtreretardées à l'automne.

Les élections :le 14 avril ou le 2 juin ?

Entente hors cours

Nouvelles brèves Brèves nouvelles

Lors de la séance de janvierdernier, le conseil a voté unerésolution pour payer à laconseillère du district # 6, parl’entremise des ses avocats, unmontant de 25 000 $ en rem-boursement de ses frais dedéfense dans la poursuite endiffamation d’un groupe decitoyens. En fait, madameDeshaies a pris un bref demandamus contre la ville en

prétendant, comme son col-lègue Cyr, qu’elle était dansl’exercice de ses fonctions lors-qu’elle a cosigné le dépliant enlitige durant la campagne élec-torale.

Le conseil a jugé préférablede régler hors cours pour évi-ter que la ville ait à payer unmontant plus considérable enfrais d’avocat.


Elle aurait pu se rebeller, crierà la libération et plaider la légi-timité de celle-ci. Elle aurait pudénoncer, accuser, condamner.Elle ne l’a pas fait. Isolée dansson village, répondant auximpératifs dictés par l’appel dudevoir, elle a accepté de releverle défi courageusement et serei-nement. Son choix de carrièreobéirait désormais aux règlesdes mamans au foyer. Ce n’étaitpas la misère qui l’attendait ni lafacilité. Son époux lui payaitl’aide d’une « servante » après sesaccouchements, par amour, res-pect et considération. Mais celuxe était passager et elle devaitassumer en totalité son rôle demère, de femme avec tout ceque cela comportait dans lesannées 40 et 50. Elle a été laconceptrice, le soutien et la cor-rectrice de douze romans écritspar ses douze enfants. Tout cebeau monde écrivait individuel-lement au quotidien chaquepage de sa vie et participait

aussi à l’écriture de celles de samère. Elle affrontait vents etmarées avec une police d’assu-rance basée sur sa confiance enla vie. Les autres polices d’assu-rance, elle ne les connaissaitpas. Pas d’assurance-maladie etsurtout pas de «Liberté 55 ». Elleavait quand même adhéré à laplus importante assurance pos-sible pour cette époque : lafamille. Elle avait (ses) enfants.Un « ses » qui ne s’accroche pas àun comportement possessif :cette notion (possessif) étaitlaissée à la grammaire. En effet,chacun de nous avait été invitéà vivre sa propre « vinaigrette »,une valeur essentielle cheznous, tout en protégeant le lienavec la cellule familiale. Mamère, puisqu’il s’agit bien d’el-le, avait ajouté une clause engros caractères à son assurance :celle de notre instruction et denotre éducation. Honni auraitété qui aurait osé s’y soustraire !Notre famille comptait huit filles

et quatre garçons. Vous devinezsans doute que dans les années’50, il allait y avoir quelquesinfirmières dans le décor. Ellesétaient trois et deux autresmembres de la famille ont optépour des domaines connexesdans les soins de la santé. Àl’aube de ses quatre-vingts ans,ma mère et son clan ont été misface à une évidence toujoursappréhendée : la maladie, lecancer. Malgré tous les espoirsentretenus, le verdict s’est affi-ché sans vergogne. Elle étaitcondamnée. Pour toute la durée de son

hospitalisation, nous noussommes relayés à son chevet,nous, les « sans-papiers » de sonassurance-maladie. Mes sœursinfirmières ont pris le contrôlede la logistique. Ma mère quinous disait à l’occasion avecson sourire aimable : « Je suisseule (papa était mort au débutde la quarantaine) pour prendresoin de douze enfants. »Maintenant, nous étions douzepour prendre soin d’elle. Nosinfirmières de la famille, mes

frères, mes sœurs et moi avonsjoué le rôle de soutien aux infir-mières de l’hôpital et mêmesuppléé quand elles étaientdébordées et cela dans le res-pect des compétences et deslimites de chacun. Aider à chan-ger le lit, changer sa position, lalever, la laver, lui apporterréconfort etc. Une police assu-rance-maladie, « celle qui nevous laisse pas tomber ». Unepolice fidèle et fiable sans clau-se limitative. Durant son séjourà l’hôpital, notre mère a eu droità une présence continue et acti-ve devenue encore plus assiduelorsqu’elle s’est absentée pournous quitter définitivement. Elleet nous n’avons pas eu à nousplaindre du système de santéparce qu’elle avait pris, bieninvolontairement, la meilleureassurance qui soit, celle quiprotège contre la solitude, lavulnérabilité et qui remédie auxcarences d’un système desanté… en difficulté, malgré lesefforts inouïs des intervenants.(Ses) enfants avaient veillé surelle.

La médecined'aujourd'hui fait

sourire

Cinq chirurgiens discutentde leur profession dans unesalle de repos à l’hôpital.Le premier chirurgien

commence :- J’aime avoir des comp-tables sur ma table d’opéra-tion. Lorsque vous lesouvrez, tout est numérotécorrectement à l'intérieur...- Ouais mais vous devriezvoir les électriciens !Tout est codé à la couleur

à l’intérieur, impossible dese tromper !, ajoute ledeuxième.- Moi, je pense vraimentque les bibliothécaires sontles meilleurs. Tout est clas-sé par ordre alphabétique àl’intérieur, réplique le troi-sième.- Personnellement, j'aimebien les ouvriers de laconstruction. Ces typescomprennent toujourspourquoi il vous reste desmorceaux à la fin, déclarele quatrième en riant.Finalement, le dernier chi-

rurgien prend la parole:- Les plus faciles à opérersont les politiciens. Il n'y apas de cœur, pas de cer-veau, aucune colonne ver-tebrale, et la tête et le troudu cul sont interchan-geables !

La pensée du jour

En 2002, dans le mondeentier, on a gaspillé cinqfois plus d'argent pour desimplants mammaires et duviagra que pour la re-cherche contre la maladied'Alzheimer.On peut donc conclure

que dans 30 ans, il y auraun très grand nombre depersonnes avec de grosnichons et de superbesérections, mais incapablesde se rappeler à quoi çasert !

N.D.L.R: Sur le net circule une quantitéincroyable de textes de réflexion. Faites-nous parvenir les textes les plus intelligentspour que nous puissions les faire connaîtreaux personnes non-branchées. [email protected]

Bien involontairement

Yves Deslauriers, collaboration spéciale

Selon toute vraisemblance,l’heure des Grands Concertsapproche et les voix de plu-sieurs ténors vont résonner auxquatre coins de la province. Laprogrammation de ces spec-tacles nous propose troisgrands chœurs qui interpréte-ront des airs connus et possible-ment quelques surprises avecdes chansons inédites. L’Armada Don «Quichicotte »

(ADQ) (parce qu’elle sembleprovoquer beaucoup de remue-méninges par son remue-ména-ge) est en pleine période de

recrutement. De bons chanteurssont pressentis et se greffentprésentement à la chorale. Lemaestro a la tâche ardue d’har-moniser toutes ces voix qui nesont pas habituées à chanter àl’unisson et à se produireensemble. La majorité des chan-teurs en sont à leur premierconcert et le temps d’uneorchestration générale se faitcourt. Y aura-t-il des notes dis-cordantes ? Déjà, monsieur Dutila confondu une croche et unsilence. D’autres voix fortesvont bientôt s’exécuter :

Bourque, Bellemarre, Lescop. Leconcert sera-t-il assez convain-cant pour le Grand Soir ? Chanson-thème : Ton amour achangé ma vie… ( Les Classels)Le Parti Libérateur du Québec

(PLQ) connaît la chanson.Certains chanteurs ont dumétier et sauront éviter lesfausses notes. Mettront-ils unbémol sur les « défusions » ?Adopteront-ils le refrain sur lasanté ? Utiliseront-ils des notespercutantes et des sons quiferont vibrer non seulementleurs cordes vocales, maisrejoindront les cordes sensiblesdes auditeurs ? En autant qu’ilsne sortent pas de « rigodons » oude vieilles « tounes » usées.Enfin, qu’en est-il du QuébecNouveau de monsieur Charest ?Si la chorale choisit la gammede fa (fait) majeur au lieu de la

gamme de si (intention) mineurla chanson pourrait passer.Chanson-thème : J’attendrai…(Dalida)Quant au Parti Quintessence

(PQ), il va certainement mettreles bons mots sur les bonnesnotes et va chercher à se faireentendre et comprendre nonseulement des mélomanes,mais aussi de ceux qui ont untant soit peu l’oreille pour voirleur chanson être primée. Ont-ils les techniciens pour pareraux grandes distorsions qu’onva leur servir ? Leur chef estrompu à la musique et les chan-teurs devront bien maîtriser leurpartition et chanter juste.Monsieur Landry saura-t-il don-ner le coup de baguettemagique pour convaincre lesQuébécois qu’il est le seul chefapte à diriger harmonieusementun chœur en faisant fredonner50% de la salle et plus ? Chanson-thème : Je reviens techercher… (Gilbert Bécaud)

Comment je vois la prochaine élection (Quand un apolitique doit se présenter aux urnes)

Va pour le voie de fait corpo-rel puni et encadré par les tribu-naux, mais pour le voie de faitmoral à la suite d’insinuationsperfides, trompeuses, gratuiteset mensongères ? Cette pratiqueest trop peu souvent vilipendéepour dissuader les coupables.Le droit à l’information prétex-

te-t-on. Pourquoi pas un droit àla non-information pour celuiqui ne veut rien savoir de tousces ragots ? Pourquoi pas unavertissement sous le titre INSI-NUATIONS SUBVERSIVES, parexemple ? Pourquoi ces âneriesau conditionnel ? « L’alcool neserait pas en cause…» Pourquoi

y faire allusion si ce n’est pas lecas ? « Le présumé meurtrierserait le beau-frère de… »«D’autres accusations d’hom-mes d’affaires avantageusementconnus devraient suivre... » Ondirait une société de justiciersvoyeurs, de pharisiens en curede purification, de sépulcresblanchis suffocant sous lachaux. Que de cochonneries !C’est la plaie la plus putrescentedont souffre le droit à l’informa-tion. On lance des ballons à

tous vents, on ressasse devieilles histoires mortes depuisquinze vingt ans, du véritableharcèlement de mauvais aloi.Ah ! j’oubliais ceux qui se défen-dent bien d’identifier le cou-pable, mais qui par les détailsnombreux et précis avancésnous permettent de percer lesoi-disant mystère. C’est de l’hy-pocrisie de la gomme sous lalangue. Les calomniateurs sansscrupule auraient avantage àréaliser les ronds que fait lapierre jetée dans l’eau tranquillepour le plus grand bien detoutes les victimes innocentes.

Présomption de culpabiltéIl y a longtemps que je me sens interpellé par la témé-rité de certains abuseurs du droit à l’information.Qu’en est-il du droit à l’intégrité physique et moralede la personne?

Si je devais voter, aujourd’hui, en ce jeudi 6 février,sur quels grands jalons devrais-je porter mon choix?La santé, l’économie, l’éducation, la famille, l’emploi…En temps d’élections, j’associe les partis politiques àdes chorales qui doivent interpréter des airs colligésdans un répertoire accepté de façon consensuellepour ne pas fausser la mélodie.

Permettez-moi de joindre ma voix à toutes celles quise sont élevées pour dénoncer ou louanger notre sys-tème de santé.

1531, Mtée Sauvage à Prévost

Tél.: 450 224-4773Télec.: 450 224-4773

Prévost a connu au cours des troisdernières années une augmentationsans précédent dans le domaine dela construction et de la rénovation.Le graphique illustre bien les résul-tats obtenus en indiquant qu'un totalde 71 nouvelles résidences avaientété construites en 2000, puis de 100en 2001 pour atteindre le chiffrerecord de 156 nouvelles maisons aucours de l'année 2002.

Cette progression fulguranteconfirme la position de force dePrévost dans le domaine de laconstruction neuve grâce à sa situa-tion géographique, son charme pit-toresque, ses montagnes et le faitque Prévost est de plus en plus lesecret le mieux gardé desLaurentides.

La deuxième conséquence a pourrésultat de modifier à la hausse lavaleur foncière de Prévost qui a aug-menté de 7 928 0000 $ en 2000, de11884000$ en 2001 et finalement de20515100$ en 2002 .

De plus, 98 permis de rénovationont été émis par le service d'urbanis-

me de Prévost; les autres permisvisaient 23 garages, 52 remises, 29piscines, soit 270 permis au total encomptant l'ensemble des travaux derénovation.

L e catalyseur dans le domaine dela rénovation semble avoir été larénovation dans le Vieux-Shawbridge et plus particulièrementla mise en œuvre du projetAccèsLogis.

Sylvain Paradis, conseiller munici-pal du district no 4

Forts des recommandationsémises de la Commission de laconservation du Patrimoine etde la revitalisation du Vieux-Shawbridge, au cours des deuxdernières années, le maire etmoi avons procédé à l’analysesystématique de chacuned’elles afin d’en établir leurpriorité et leur modalité à êtreréalisées.Nous avons cherché par lasuite, dans le cadre financierdu budget municipal, à maxi-miser davantage ces futursinvestissements en souscri-vant, après recherche, au pro-gramme « Le renouveau urbainet villageois » du ministère desAffaires municipales duQuébec. Ce programme, en résumé, sti-pule que pour chaque dollarinvesti par la ville, le Ministèreen fera de même. Dès lors, leConseil municipal a mandaté

le directeur général de la ville,le directeur des Loisirs et legreffier adjoint pour stucturer,exécuter conformément ledossier et signer tous lesdocuments relatifs à cettedemande.Dans une lettre datée du 4décembre 2002, le Ministre,André Boisclair confirme à laville de Prévost son admissibi-lité à une aide financière de45714$, soit 50% du coûtmaximal des travaux évalués à91429$. L’annonce publiquede ce projet se fera ultérieure-ment par le Gouvernement duQuébec en concertation avecla ville de Prévost. En voiciquelques grandes lignes. À la Gare de Prévost, il y auraachat et installation de lumi-naires extérieurs, réparationde l’escalier d’époque à l’inté-rieur et certains aménage-ments horticoles. Au Centreculturel et communautaire, ily aura des améliorations exté-

rieures. La signalisation touris-tique verra le nombre de sespanneaux indicatifs augmen-ter. Le circuit patrimonialbénificiera de lutrins rafraîchis(les propriétaires desdites mai-sons répertoriées seront éven-tuellement sollicités pour leuraccord). De plus, un concourspublic sera lancé pour la réali-sation d’une sculpture. Etfinalement, il y aura des amé-liorations apportées sur la ruede la Station (entre la ruePrincipale et le rue du Nord)entre autres du pavage, desbordures, des arbres et de lavégétation en complémentari-té aux travaux du projetAccèsLogis.Je tiens à remercier sincère-ment toutes les personnes etles fonctionnaires impliquésdans la réussite du dossier. Parailleurs, nous continuerons àsurveiller d’éventuels pro-grammes de subventions auxdeux palliers gouvernemen-taux.


AS-TU MIS TON BAC BLEUAU CHEMIN ?

Dites-le à vos voisins et amis,c’est le 2e et 4e mercredi de chaque mois et il y a des

mois à cinq (5) mercredis, avril par exemple.Récupères-tu tout ce qui est récu-pérable? Si on analysait ta pou-belle les jours de collecte réguliè-re… «papier, carton, verre, plas-tique, métal ».

Politique québecoise des matièresrésiduelles et la Loi 90.• Programme de gestion desmatières résiduelles (PGMR)adopté par la municipalité régio-nale de comté de La Rivière-du-Nord (MRC) le 18 août 2002,ayant pour but de mettre enplace les outils permettant d’at-teindre les objectifs gouverne-mentaux, soit :

•De détourner de l’enfouissement65 % des matières résiduellespouvant être mises en valeur;

•De privilégier, et ce dans l’ordre,la réduction, la réutilisation, lerecyclage et la valorisation desmatières résiduelles avant d’envi-sager leur disposition finale;

• De favoriser la participationet la responsabilisation descitoyens(nes) et de tous lesacteurs concernés, tant pourl’élaboration que pour la mise enœuvre et le suivi du plan de ges-tion.

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La Ville de Prévost obtientune subvention de 45714$

Progression fulgurantede la construction et dela rénovation à Prévost

BULLETIN DES CLSC des Laurentides

En septembre dernier, nous rendions public le « bulletin de santé » des hôpitauxdu Québec. Cette grande première a été bien accueillie et le gouvernement duQuébec s’était engagé à faire de même pour les autres établissements du réseau.C’est donc aujourd’hui au tour des CLSC de recevoir leur bulletin.

Un sondage a été mené en août et septembre derniers auprès de 42 800 per-sonnes ayant reçu des services d’un CLSC. Ce sondage nous apprend que la qua-lité des relations humaines entre le personnel et la clientèle, évaluée dans le cadredu volet « respect de la dignité », est exceptionnelle. Ce résultat témoigne de l’en-gagement et de la compétence des femmes et des hommes qui travaillent dansnos CLSC.

Le CLSC offre une grande variété de services médicaux, infirmiers et sociaux. Sonservice Info-Santé CLSC est accessible 24 heures par jour, sept jours par semaine.Les services de vaccination font aussi partie de son volet santé. De plus, le CLSCmet à la disposition de la communauté toute une gamme de services sociaux,conçus pour assurer le bien-être et l’autonomie des personnes et des familles. Trèsprès de la vie des gens, le personnel du CLSC intervient à domicile, dans les écoles,dans les milieux de garde, sur les lieux de travail. Des services sont spécifiquementdestinés aux familles qui attendent ou viennent d’avoir un bébé, aux personnesâgées en perte d’autonomie, aux personnes atteintes de maladies ou d’incapacitéschroniques, aux jeunes en difficulté et à leurs familles.

Les résultats du sondage que nous vous présentons confirment que lesQuébécoises et les Québécois apprécient les services offerts dans leur CLSC maissouhaitent qu’ils soient plus accessibles. C’est pourquoi le plan Pour faire les bonschoix, que nous avons dévoilé le 19 novembre dernier, prévoit que leurs heuresd’ouverture seront étendues et que leurs services de base seront accrus.

Avec le bulletin des hôpitaux et, maintenant, celui des CLSC, nous disposonsd’outils qui nous permettent d’atteindre deux objectifs extrêmement importantsà nos yeux : faire preuve de transparence à l’égard de la qualité des servicesofferts et, à terme, développer des outils de gestion fiables et précis afin d’amé-liorer encore davantage l’accessibilité des soins et des services offerts auxQuébécoises et aux Québécois.

François Legault Roger Bertrand

42 800 personnes ayant reçu les services d’un CLSC se prononcent.

À l’échelle du Québec, 95% des personnes sondées se disent globalement satisfaites des services fournis par leur CLSC.

La qualité des relations humaines est remarquable, puisque 98% des CLSCreçoivent un A pour le respect de la dignité des personnes desservies.

François Legault

Ministre d’État à la Santé et aux Services sociaux

Roger Bertrand

Ministre délégué à la Santé, aux Services sociaux, à la Protection de la jeunesse et à la Prévention

RÉGION DES LAURENTIDESCLSC ARTHUR-BUIES B A A A A ACLSC D'ARGENTEUIL B A A A A ACLSC DES HAUTES-LAURENTIDES B A A A A ACLSC JEAN-OLIVIER-CHÉNIER B A A A A ACLSC-CHSLD DES PAYS-D'EN-HAUT B A B A B ACLSC-CHSLD DES TROIS VALLÉES B A A A A ACLSC-CHSLD THÉRÈSE-DE-BLAINVILLE B A A A A A

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1 2 3 4 5 6

LA SATISFACTION DES PERSONNES DESSERVIESPOPULATION 474 890

NOMBRE DE CLSC 7

POPULATION MOYENNE DESSERVIE PAR CLSC 67 841

NOMBRE DE PERSONNES REJOINTES EN CONSULTATION INDIVIDUELLE

• 0-17 ANS 36 124

• 18-64 ANS 34 410

• 65 ANS ET PLUS 13 663

• TOTAL 84 197

NOMBRE D’INTERVENTIONS EN SOUTIEN À DOMICILE (SOINS INFIRMIERS, AIDE À LA VIE QUOTIDIENNE, RÉADAPTATION, SERVICES PSYCHOSOCIAUX, ETC.) 201 333

NOMBRE DE PERSONNES RECEVANT DU SOUTIEN À DOMICILE 12 766

VACCINS REÇUS PAR LES JEUNES AU COURS DE LA CAMPAGNE DE VACCINATION CONTRE LA MÉNINGITE 108 917

NOMBRE DE PERSONNES AYANT PARTICIPÉ À DES SESSIONS DE FORMATION AU CLSC, PAR EXEMPLE POUR DES COURS PRÉNATAUX OU POUR PRÉVENIR DIFFÉRENTS PROBLÈMES DE SANTÉ 39 687

NOMBRE D’APPELS TRAITÉS PAR INFO-SANTÉ CLSC 128 057

LES CLSC DES LAURENTIDES, QUELQUES CHIFFRES (2001-2002)

LA SATISFACTION DES PERSONNES DESSERVIES1. L’accessibilité : « Est-ce que les services de mon CLSC

sont facilement accessibles, notamment sur le plan de la proximité des locaux et des horaires d’ouverture ? »

2. La qualité des services : « Est-ce que j’ai reçu des services de qualité ? »

3. La continuité : « Est-ce qu’on m’a facilité les démarches pour que les services me soient donnés rapidement et sans interruption ? »

4. La dignité : « Est-ce que je me suis senti respecté par le personnel du CLSC ? »

5. La qualité de l’information : « Est-ce que j’ai été bien informé sur les services correspondant à mes besoins ? »

6. La satisfaction globale : « De façon générale, est-ce que j’ai été satisfait de la façon dont le CLSC s’est occupé de moi ? »

A = excellentB = très bienC = bienD = passableE = insatisfaisant

Pour plus de précisions sur la façon d’établir les résultats, il suffit de consulter lesite Internet du ministère de la Santé et des Services sociaux à l’adresse suivante :wwwwww.msss.gouv.qc.ca

[email protected]


Samedi 1er marsConte pour enfant (2 à 8 ans) 10 h à 11 h Bibliothèque Jean-Charles-Des RochesHockey animé (9 à 12 ans) 10 h à 11 h Patinoire Val-des-MontsAtelier de dessin (6 à 12 ans) 11 h à 12 h Bibliothèque Jean-Charles-Des Roches

Dimanche 2 marsHockey animé (13 à 17 ans) 10 h à 11 h Patinoire Léon-Arcand (des Ormes)

Lundi 3 marsKin-ball (7 à 12 ans) 10 h à 11 h 30 Gymnase École Val-des-MontsSki de fond (7 à 12 ans) 13 h à 14 h 30 Départ : Pavillon Val-des-MontsAtelier d’impro (9 à 14 ans) 14 h à 16 h Bibliothèque Jean-Charles-Des Roches

Mardi 4 marsSki alpin (Pour tous*) 7 h 30 à 17 h 30 Mont-Tremblant

15$ (12 ans et -) 21$ (13 à 17 ans) 38$ (adulte) • *Enfants =accompagnés d’un adulte

Atelier d’impro (9 à 14 ans) 14 h à 16 h Bibliothèque Jean-Charles-Des Roches

Mercredi 5 marsGlissade sur tube (Pour tous) 9 h à 15 h 30 Mont Avila 15 $ (17 ans et -) 20 $ (adulte)

Soccer intérieur (7 à 12 ans) 10 h à 11 h 30 Gymnase École Val-des-Monts

Jeudi 6 marsSki alpin (pour tous) 8h 30 à 15h 30 Mont-Olympia 15 $ (17 ans et -) 20 $ (adulte)

Vendredi 7 marsJeux animés (6 à 12 ans) 10 h à 11 h 30 Gymnase École Val-des-Monts (2 groupes)

Cabane à sucre 2 dîners 12 h et 13 h 30 4 $ (17 ans et -) 9$ (adulte)

Au pied de la Colline Souper 18 h Familial 25$ (2 enfants + 2 adultes)

Samedi 8 marsOrigami (pour tous) 10 h à 11 h 30 Bibliothèque Jean-Charles-Des RochesHockey animé (6 à 8 ans) 10 h à 11 h Patinoire Léon-Arcand (des Ormes)

Dimanche 9 marsBallon-balai (Pour tous) 10 h à 11 h Patinoire Val-des-Monts

Fête des Neiges 2003 du 1er au 9 marsSKI ALPIN ET PLANCHE –– SKI DE FOND –– GLISSADE SUR TUBE –– KIN-BALL –– HOCKEY –– BALLON-BALAI

CABANE À SUCRE –– IMPROVISATION –– DESSIN –– ORIGAMI –– SOCCER –– JEUX ANIMÉS

INSCRIPTION DÈS LE 3 FÉVRIER 2003 au SERVICE DES LOISIRS ET VIE COMMUNAUTAIRE2945 BOUL. DU CURÉ-LABELLE entre 8 h 30 à 12 h et de 13 h à 16 h 30. POUR INFORMATION : 224-8888 poste 228

À noter que l’horaire est sujet à changement sans préavis selon le temps.Un minimum d’inscriptions est nécessaire pour les activités payantes.

• Un meilleur accès aux médecins, aux infirmières ainsi qu’à d’autres professionnels de la santé, en tout temps;

• Un plus grand nombre de soins post-opératoires à domicile; • Une période d’attente écourtée pour l’accès aux équipements de diagnostic;• Une aide aux personnes devant payer des médicaments à coût élevé; • Un rapport annuel sur les investissements en santé.

Pour plus d’information, n’hésitez pas à nous joindre.1 800 O-Canada (1 800 622-6232) ATS : 1 800 465-7735canada.gc.ca

Ce que le nouveau Plan d’action canadien

sur la Santé signifie pour vous


Q. Monsieur Gosselin parlez-nousde votre jeunesse, du lieu de nais-sance à vos études

Il y a quelques jours plus précisé-ment le 23 janvier 2003, je me pro-menais en compagnie de mon frèreLouis (84 ans), sur la route qui longela voie ferrée en direction de Lacolleet de la rivière Richelieu sur lagauche. En chemin, je faisais remar-quer à mon compagnon que ce che-min de fer ravivait en moi des sou-venirs de mon enfance.

Les dimanches de belle températu-re avec mon père, j'avais alors 5 ou6 ans, nous nous rendions chez mononcle Wellie pour visiter mon petitfrère qui demeurait chez lui depuisle décès de ma mère survenu à la finde janvier 1919.

La famille habitait Saint-Jeand'Iberville. Nous avions récemmentdéménagé de Saint-Alexandre

d'Iberville durant les fêtes entreNoël et le jour de l'An de l'année1918. C'est dans ce petit village deSaint-Alexandre que je suis né le 20juillet 1916.

Lors de ces visites dominicales,mon père prenait soin de me confierun petit sac de bonbons. J'en pre-nais tellement soin que le petit sacperdait la moitié de son contenupendant ce petit voyage de prèsd'une heure. Et de plus, ma tanteDélima, sœur de ma mère, ensei-gnait à son neveu, à chacune de nosvisites à partager ses bonbons avecmoi.

Au retour, mon père (forgeron deson métier) et moi côtoyions lesrives de la rivière Richelieu.Souvent, nous nous arrêtions pourtendre nos lignes afin de voir si lespoissons étaient plus malins quenous. Hélas, le fruit de notre pêchene comportait que quelques bar-bottes et crapets. Il nous arrivaitquelquefois de sortir une anguille,ce qui faisait plaisir à mon père car ils'en servait pour transformer la peaude ce poisson en babiche qui àl'époque était d'une grande utilitéen cordonnerie et sellerie.Q. Qu'est-ce qui vous a amenéà cette profession : inspecteurd’école ?

D’une deuxième union naquirenttrois enfants, deux garçons et unefille : Pierre, Louis et Jeanne. Desparents du côté maternel prirentsoin de Louis et de Jeanne, le troi-sième Pierre, demeura pour lemoment avec sa grand-mère pater-nelle. C'est alors que commençapour moi le long périple qui m'aconduit et orienté vers l'enseigne-ment porte d'entrée de l'Inspectorat.

Deux étapes à franchir : la premiè-re étape, les événements se succè-dent avec rapidité. D'abord confié àma grand-mère paternelle, j'ydemeurai près de deux ans. Elle gar-dait aussi trois petits cousins orphe-lins de mon âge.

Commencé avec grand-mèreGosselin, cette randonnée continua

plusieurs années. Une année ici,une année ailleurs, six mois chezune tante, chez une autre tante pen-dant les vacances d'été, ma marrai-ne. Toutes ces années furent pas-sées à la campagne. J'avais beau-coup de cousins et de cousines desorte que ces séjours ne furent pasmonotones. Loin de là.

Puis ce fut le temps de me placeren institution pour commencer, par-faire et orienter ma formation.D'abord, l'orphelinat eut la tâched'arrondir les angles du caractère dece petit gars, qui préférait courir leschamps, aller chercher les vachespour la traite, conduire le cheval,participer à la rentrée des foins etc.

Le premier stage à cette premièreécole dura à peine un an puis ce futl'école paroissiale, 2e, 3e et 4e année,puis enfin ce fut l'entrée au pension-nat des frères maristes à Iberville. Àma sortie de cette institution, je pos-sédais trois brevets d'enseignement.Au cours de mes années d'enseigne-ment dans les écoles publiques, jeprofitais des vacances: je continuaisà me perfectionner dans lesdomaines connexes à l'enseigne-ment : la psychologie appliquée àl'éducation, l'agriculture, l'ébéniste-rie, le code et les règlements sco-laires etc.

Le chemin parcouru et les diffé-rentes situations affrontées me per-mirent entre autres choses de pou-voir m'adapter rapidement auxsituations rencontrées.

Lors de la remise des prix à la finde l'année scolaire, je recevais leplus souvent et aussi à ma grandesatisfaction le prix du système D. !J'étais reconnu comme le dépanneur« idéal » parmi les étudiants.

C'est durant ces années-là, j'avaisenviron 15 ou 16 ans, que j'ai apprisà fabriquer des chaises de parterrepour le sous-bois, à préparer duligneul avec de la corde spéciale etde la poix (brai) pour recoudre etréparer les balles de base-ball aussià tricoter des filets de tennis et desbuts (hockey) etc.

Dans ma préparation éloignée, ilme fallait avoir accumulé au mini-mum sept années d'expérience avecsuccès dans l'enseignement. Puis ilme restait à acquérir le brevet d'apti-tude à l'inspection des écoles. Cequi fut fait en 1948.

À ce moment, comme tous les pré-tendants à ce poste, il fallait attendreque des ouvertures se produisent etavoir atteint l'âge canonique de 33ans accomplis. Ce qui arriva audébut de janvier 1950. Ma lettre denomination officielle indiquait quej'étais nommé inspecteur d'écoles àtitre permanent au district numéro 5avec résidence à Ville-Marie, comtéde Témiscamingue.

Q. Qu'elles sont les différences fon-damentales entre hier et aujour-d'hui dans le domaine de l'éduca-tion ?

Il m'est pratiquement impos-sible de commenterdans ce domaineprécis. Depuis unetrentaine d'an-nées les contactsont été inexis-tants avec lemilieu scolaire.Pour critiquerun système, ilfaut le connaîtreprofondément. Jen'ai pas la préten-tion de pouvoiranalyser à fond lesdeux questions. J'ai àpeine connu le système d'aujour-d'hui à ses premiers balbutiements.Il vaut mieux attendre que l'enfantcommence à marcher pour juger deson allure. (principe en pédagogie).Je ne connais du renouveau que leseffluves que m'en apporte le ventdu large. Ce n'est pas toujours labrise espérée.

Il faut se rappeler que « la science ades racines amères mais les fruits ensont doux » dit l'éducateur. Ce princi-pe m'a souvent été expliqué aucours de mes études. Dans ledomaine de l'éducation Napoléondisait, que l'état a trop d'enfantspour être un bon père de famille.

Les éducateurs qui ont œuvré sousles deux systèmes peuvent en tirerdes conclusions pratiques. Ils sontplus en mesure d'extraire des expé-riences vécues, des leçons quiseraient utiles pour tous.

Je suis bien mal placé pour porterdes jugements de valeur sur toutesces structures que l'on dit nouvelles.Pourquoi perdons-nous notre tempsà détruire nos valeurs, nos institu-tions ? Bien souvent, nous ne savonsmême pas par quoi les remplacer.Pourquoi n'essayons-nous pas deperfectionner ce que nous avons etde consolider nos valeurs fonda-mentales en tant que peuple ?

Je me rappellerai toujours cettephrase célèbre qui m'a guidé tout aulong de ma vie professionnelle :« L'éducation d'un enfant commencevingt ans avant sa naissance ». Ici, ilfaut interrompre la réflexion. Il y atellement à faire et à réfléchir qu'ilfaut laisser le temps aux générationsactuelles pour continuer vers la per-fection.Q.Vous qui avez aimé et partagé lavie de plusieurs femmes, quel est lesecret de votre vie avec une femme ?

« Gravez toujours les préjudicesdans le sable et les bienfaits dans lemarbre. » (auteur inconnu)

Il me semble indiscret de rouvrirce passé encore si proche et toutimprégné de bonheur. Je craindraisque de soulever le voile de ces mer-veilleuses années, éloigne de moi lapossibilité au soir de ma vie de fer-

mer les yeux et de revivre avecbeaucoup d'émotions un vécu enco-re tout récent. C'est pourquoi je vaisgarder pour moi toutes ces bellesétapes de ma vie.

Je me bornerai aux quelquesréflexions suivantes, je crois qu’ellessont d'actualité en ces jours de laSaint-Valentin.

On m'a souvent demandé laquellede mes compagnes de vie j'avais leplus aimée. Retournant la questionsur tous les côtés, je n'ai pu querépondre : «Chacune a été un modè-le exclusif, donc très différente l'unede l'autre, et ne laissant place àaucune comparaison possible. Enun mot, chacune a été pour moi,une femme merveilleuse.»

Je considère que les femmes surterre furent le plus beau cadeau quele créateur a fait à l'humanité.Q. Quelles sont vos occupations en2003 ?

Mes occupations au cours de l'an-née seront très simples, autrementdit, mon agenda contiendra la suitedes occupations de 2002 c'est-à-direcontinuer à dépenser mes énergiesdans différentes directions, selon lescaprices de ma plus fidèle com-pagne depuis ma naissance «masanté »

Parmi les voyages prévus : l'Îled'Orléans, car je suis invité par lepropriétaire actuel, Jean-RobertGosselin, de la terre ancestrale deGabriel Gosselin, ancêtre desfamilles Gosselin d'Amérique. Saint-Zotique pour une visite à mesanciens élèves. J'ai été professeur del'école du village les cinq annéesprécédant ma nomination àl'Inspectorat. C'était une classemixte à divisions multiples. Unecroisière organisée par l'Âge d'Or dePrévost aux Mille-Îsles en mai pro-chain. Et dans quelques jours, il serale temps d'ouvrir la cabane à sucreque j'ai bâtie il y a une vingtained'années et que je suis fier d'exploi-ter chaque année pour ma famille.Puis suivra le jardin avec ses fleurs,ses arbres fruitiers et ses légumes, etc.

La montagneenchantée...

Bonjour,Je suis propriétaire d'une

magnifique maison sur la suppo-sée Montagne Maudite. Person-nellement, je trouve ce siteenchanteur.

Je ne crains pas de descendrecette montagne l'hiver, car je saisadapter ma conduite, contraire-ment à d'autres qui roulent à unevitesse excessive, et rentrent dansle décor.

J'ai visité la plus récenteconstruction de la rue du Versantdu Ruisseau faite par HabitationInternationale. Cette maison quiest superbe en passant, se fonddans le paysage naturel de lamontagne.

Les montagnes que nous avonsici à Prévost, Piedmont et Saint-Sauveur, qui sont habitables,n'ont aucunement besoin demurets de protections, puisque lavitesse permise est de 50km.

Je conseille aux gens qui nesont pas heureux sur cette mon-tagne, de vendre leur maisonpuisque le marché de l'immobi-lier est excellent pour les ven-deurs présentement, et ceci leurpermettra de vivre dans unendroit où tout comme moi ilsseront enchantés.

Une propriétaire sur la mon-tagne enchanté.Manon Morin, chemin du Versantdu Ruisseau

Entretien avec monsieur Pierre Gosselin

Inspecteur d’école en 1948Lucile D. LeducMonsieur l’inspecteur – On sait tout ça par cœur – Onn’est pas des imbéciles – On a de l’éducation – On n’estpas des "pa " – On n’est pas des "pi " – On n’est pas despapillons.

Les aînés ont déjà entendu ce refrain d’une chansonfrançaise des temps anciens.Ils se souviennent aussi de la "visite de Monsieur l’ins-pecteur ". Les religieuses, les frères, les enseignantslaïcs et les écoliers étaient anxieux lorsqu’il entraitdans la classe afin d’évaluer l’enseignement qu’il s’ydonnait. M. Pierre Gossselin, du Club de l’Âge d’or dePrévost était inspecteur d’école, voici ce qu’il m ‘araconté.

M. Gosselin, inspecteur en 1948 et ...aujourd’hui.

Dans sa lettre aux lecteurs publiée ci-contre à gauche, MadameManon Morin soutient que le chemin Versant-du-Ruisseau n’a aucu-nement besoin de muret de protection. Il y a quelques jours, un autrevéhicule s’est retrouvé dans le fossé. Sans commentaire.


Avis public

Avis de dissolution

Prenez avis que la Corporation des gares des Laurentides inc.,matricule 1144712065, a présenté à l’Inspecteur général desinstitutions financières, le 29 novembre 2002, une requêtepour dissolution. En vertu de cette requête, la Corporation desgares des Laurentides inc. demande la permission de se dis-soudre à cette date.


L’union civile

Le 24 juin 2002 est entrée envigueur la " loi constituantl’union civile et établissant denouvelles règles de filiation ".

Cette loi prévoit de nouvelles dis-positions similaires à celles pré-vues dans un mariage. Est-ellecependant accessible à tous lescouples ou uniquement auxcouples homosexuels ? A-t-onprévu des dispositions régissantles conjoints de fait soit lesconjoints qui vivent comme desgens mariés sans l’être ?

L’union civile est une institutionqui ressemble étrangement aumariage.

Les personnes qui peuventcontracter l’union civile, la façonde la célébrer et ses effets se res-semblent passablement. L’unioncivile oblige à la vie commune,demande d’opter pour un régimematrimonial (séparation ou com-munauté de biens et sociétéd’acquêts) et prévoit mêmequ’un patrimoine familial doitêtre créé.

Les deux principales différencessont les suivantes :

1) L’union civile permet à descouples du même sexe d’officiali-ser leur relation ce qui est tou-jours impossible en ce quiconcerne le mariage. Notez bienque les couples hétérosexuelspeuvent aussi se prévaloir de cesdispositions.

2) Contrairement au mariage, etdisposition particulièrementintéressante, l’union de fait peutprendre fin par une déclarationnotariée lorsque la volonté de viecommune est irrémédiablementatteinte.

Cette déclaration reçue par unnotaire doit régler toutes lesconséquences de la dissolutionde l’union civile tel le partage dupatrimoine familial.

Les procédures de dissolutionainsi simplifiées devraient êtreplus rapides et moins oné-reuses...C’est à suivre.

Enfin, rien dans la loi n’est prévupour les conjoints de faits qui,s’ils veulent se protéger devrontrecourir à un contrat de vie com-mune ou à toute autre ententepermettant le règlement de ladissolution de leur union.

Alors Bonne St-Valentin malgrétout...avec quelques jours deretard.

Vos suggestions de chroniques sonttoujours bienvenues en communiquantavec moi par courrier électronique :[email protected]

Ce texte ne remplace aucunement les textes de loien vigueur et ne peut être reproduit sans autori-sation.

Paul Nadeau n.d.Naturothérapeute, Relation d’Entre-Être,Massothérapeute, Réflexologie

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Le lancement a été passionnantgrâce à la conférence deMadame Monique Brunet-Weinmann, spécialiste del’œuvre de Jean-Paul Riopelle etcommissaire de l’événementavec Yseult Riopelle, fille deJean-Paul.- Le public a pu selaisser emporter dans l’imaginai-re et la démarche des« Mutations » de l’artiste, unetransformation et une renaissan-ce, une approche tout à faitinédite de l’art du grand maître.Si vous y allez, ne manquez sur-tout pas la présentation vidéo,très émouvante. Toute une série d’activités cul-

turelles complémentaires etd’outils pédagogiques entourentl’exposition :- « Des Œuvres et des mots » le

public et les auteurs profes-sionnels – en deux catégoriesbien sûr – sont invités à partici-per à un concours de textesnarratifs ou poétiques s’inspi-rant d’un des tableaux deRiopelle - inscription à l’entréede l’exposition. Ce concoursest organisé par le Centre d’ex-position du Vieux-Palais etl’Association des auteurs desLaurentides, bien connue desPrévostois et des amis de laGare. Il a été soutenu parPatrimoine Canada et madame

Lucie Papineau, députée dePrévost.

- Soirée de lecture couronnantles lauréats du concours lemercredi 12 mars à 19 h auCentre d’Exposition du VieuxPalais (Cevp).

- Le film «Riopelle, Estérel 90 » duréalisateur Pierre Letarte seraprojeté le jeudi 6 mars à 19 hau Cevp.

- Une trousse pédagogique initieles jeunes de 9 à 14 ans aumonde extraordinaire de lacréation artistique par uneapproche ludique. Plus de3 000 écoliers sont attendus àl’exposition.

- Pour les grands, le catalogueraisonné de 64 pages couleurs,dont la conception a été coor-donnée par la propre fille dumaître, est considéré commeune véritable bible qui ras-semble toutes les données dela carrière de Riopelle.

- Une exposition de photos bio-graphiques dans le foyer duCevp.

- Et, à Prévost même, au restau-rant Le Raphaël, 3053 Curé-Labelle, le mercredi 26 févrierà 18h, on inaugure le mois«Riopelle et la gastronomie »en compagnie de madameYseult Riopelle qui dévoileraquelques souvenirs de table deson enfance, autour d’un menucomposé des petits plats préfé-rés - voire inventés - par sonpère. Places limitées, pourcette soirée d’inauguration-réservation au 450 224 4870.Plaisir illimité pendant tout lemois.

- Ne dit-on pas «L’art culinaire ? »... à Prévost et alentours, lemois de mars - chaud ou froid- sera culturel ou ne sera pas !

Passage d’artistes

Riopelle à PrévostAnnie DepontNous avons tous entendu parler de l’exposition deRiopelle qui se tient au Vieux-Palais de Saint-Jérômejusqu’au dimanche 30 mars. C’est un événement majeurdans notre région et il serait impardonnable – pourceux que cela intéresse – de ne pas y aller.

M. Marc Gascon. maire de Saint-Jérôme, Monsieur Guylain Verdier, Groupe Verdier, Mme. Desrochers, GroupeFinancier Banque Royale, Madame Monique Brunet-Weinmann, co-commissaire de l’exposition, Me Auclair, deFortin Auclair, Mme. Yseult Riopelle, co-commissaire, M. Claude Verdier Groupe Verdier, André Marion, directeurgénéral du Centre d’exposition du Vieux-Palais.

Fin mai 1989, un beau dimanche,les bénévoles avaient été invitésau Centre des loisirs du Lac Écho.La salle était remplie de gens heu-reux et anxieux de connaître lesnoms de ceux qui avaient étéchoisis par leur groupe. Pour leCentre culturel, c’est Jeanne-AlineBanks qui reçoit le trophée, pourla Maison de Prévost, c’est RitaPortelance. Pour l’école secondai-

re Frenette, Julie Portelance, 14ans, bénévole de son école. Enquelques minutes de surprise et defierté, trois générations d’unemême famille sont reconnues pourleur bénévolat.

Aujourd’hui, Jeanne-Aline Banks,qui fêtera ses 80 ans le 2 mars estfière de vous présenter sa quatriè-me génération.

Bénévoles de mères en filles

C’était devenu une tradition pour le Club Optimiste dePrévost. Au printemps ont rendait hommage aux béné-voles de la ville de Prévost.

Jeanne-Aline Banks, Rita Portelance, Alysée Moreau et Julie Portelance .

Calendrier des activités prévostoises

1er marsHEURE DU CONTEbibliothèque - 10h

FÊTE DES NEIGES HOCKEY ANIMÉ

(9-12 ans) – 10 h à 11 hPatinoire Val-des-MontsATELIER DE DESSIN

(6 à 12 ans)11 h à 12 h – BiblioFOUS DES DÉFIS

Soccer sur glace 13 hBallon balai 14 h

Patinoire Val-des-Monts

28 févrierAMICALE DE

LA MÈCHE D’ORJeux divers, danse en ligne,

souper et bingo Centre culturel14 h (tous les vendredis)

InscriptionBASEBALL MINEUR

Ser. Loisirs.jusqu’au 14 mars

27 février

CLUB DE L’ÂGE D’ORSortie au Casino

InscriptionBASEBALL MINEUR

Biblio. – 17 h à 20 h

26 févrierCONFÉRENCE

SOCIÉTÉ D’HORTICULTUREavec Hélène Vaillancourt

École Val-des-Monts19 h 15

COLLECTE SÉLECTIVE

25 févrierMARDI DES ADULTES

Conférence – Bibliothèque19 h 30SOCCER

INSCRIPTION TARDIVEService des loisirsJusqu’au 7 mars

24 févrierSOIRÉE DES NOUVEAUX

ARRIVANTSBibliothèque - 19h

InscriptionFÊTE DES NEIGESjusqu’au 28 février

22 févrierINSCRIPTION

Baseball mineurBIBLIO – 10H À 15H

23 févrierINSCRIPTION SOCCER

10 h à 15 hCentre culturel

(vente/achat articles usagés)

2 marsFÊTE DES NEIGES

HOCKEY ANIMÉ(13-17 ans)10 h à 11 h

Patinoire Léon-Arcand(des Ormes)

3 marsFÊTE DES NEIGES KIN-BALL (7-12 ans)10 h à 11 h 30 – VDM

SKI DE FOND (7-77 ans)Départ : Pav. VDM13 h 30 à 14 h 30

ATELIER D’IMPRO (9-14 ans)14 h à 16 h – Biblio.

Bibliothèque ouverte

4 mars FÊTE DES NEIGES

Ski Mt-Tremblant7 h 30 à 17 h 30

Départ Pav. Val-des-MontsATELIER D’IMPRO (9-14 ans)

14 h à 16 h – Biblio.MARDI DES ADULTES

Bibliothèque - 19h30


GLISSADES SUR TUBEMont-Avila - pour tous

9 H À 15 H 30DÉPART : PAV. VDM

ENFANTS : 15$, ADULTES : 20$


SKI MT-OLYMPIA9 H À 16 H

DÉPART : PAV. VAL-DES-MONTSENFANTS : 15 $, ADULTES : 20 $

1er versement taxesmunicipales


JEUX ANIMÉS (6-12 ans)10 h à 11 h 30

Gymnase Val-des-MontsCABANE À SUCRE

AU PIED DE LA COLLINE12 h – 13 h 30 et 18 h

17 ans et - : 4 $,adultes : 9 $, famille : 25 $

(2 enfants/2 adultes)

14 marsFin inscriptions

tardivesBASEBALL MINEUR

15 mars

13 mars

MUSIQUE AU CŒURCentre culturel - 19h 30


BALLON-BALAI(pour tous) – 10 h à 11 hPatinoire Val-des-Monts

du conseil de villeNouvellesRéunion du lundi 10 février 2003 Publicité payée par la ville

Régie de police – Budget 2003

Les opérations de la Régie se pour-suivront en 2003 jusqu’à la prise encharge des opérations par la Sûreté duQuébec, le 4 mai 2003.

La Ville de Prévost autorise la Régieà voter un budget de revenus équiva-lent au montant payé à l’année 2002par les municipalités membres et ce,pour 5 mois. Ce budget devra tenircompte du fait que les opérationspolicières seront prises en charge parla Sûreté du Québec à plus ou moinsbrève échéance (4 mai 2003).

De plus les dépenses courantes aubon fonctionnement des opérationspolicières sur le territoire de la Régieseront maintenues pour ne pas mettreen péril la sécurité des citoyens.

Table de concertation jeunesse

Le conseil municipal désire se pen-cher sur la question des servicesofferts aux jeunes de Prévost et pource faire, les membres du Conseil sesont rencontrés le 17 février dernierafin de planifier les objectifs et définirle calendrier d’une table de concerta-tion jeunesse qui se tiendra le 25 avrilprochain et à laquelle seront conviéstous les intervenants locaux et régio-naux, afin d’effectuer le bilan actueldu dossier jeunesse de notre ville.

Réfection de l’intersection du boule-vard du Curé-Labelle, de la rue de laStation et de la rue de la Traverse

Enfin, le virage à l’intersection de laroute 117 et de la rue de la Stationsera amélioré pour faciliter la circula-tion des véhicules.

Tout ce secteur, incluant la rue de laTraverse jusqu’aux abords du parclinéaire, sera réaménagé. C’est lafirme Équipe Laurence, Experts-conseils, qui supervisera ces travaux,incluant une entente avec le MTQpour le déplacement des lumières derue et avec Hydro-Québec pour ledéplacement du poteau électrique, letout, conformément aux plans etdocuments déposés.

Développement futur Les Closprévostois - Infrastructures

Suite au dépôt d’une étude par lafirme Jobin Courtemanche, experts-conseils, sur l’utilisation des infra-structures municipales communes etexistantes (aqueduc et égout domaineLaurentien); il y aurait lieu de procéderà une étude plus complète et plus pré-cise sur l’origine des infiltrations d’eaudans le réseau d’égout sanitaire dudomaine Laurentien. Le conseil analy-sera le projet le 26 février 2003.

Contrôle et vidange des fossesseptiques

Un avis de motion a été donné àl’effet d’amender le règlement 356,relatif au système de contrôle et devidange des fosses septiques sur le ter-ritoire de la ville. Le Conseil a l’inten-tion d’accorder une surveillance parti-culière à la qualité et à l’efficacité dessystèmes d’épuration des eaux uséesdes résidences possédant un champd’épuration.

Ressources humaines - nominations

Depuis le 17 février dernier, la Villes’est adjoint un nouveau directeur destravaux publics. Monsieur AlainBérubé cumule plus de 15 années

d’expérience dans le domaine munici-pal et occupait un poste similaire à lamunicipalité de Piedmont.

Madame Nathalie Éthier a été nom-mée directrice des services techniquesà compter du 10 février 2003.

Madame Lynda Johnson a été enga-gée au poste de journalière dans leservice d’entretien et d’aménagementdes espaces verts ainsi qu’à l’entretiendes bâtiments municipaux.

Madame Sylvie Couillard Desprésoccupera dorénavant un poste perma-nent de commis à la bibliothèque.

Me Laurent Laberge occupera, enplus de ses fonctions de greffieradjoint, le poste de directeur du servi-ce juridique de la Ville.

Boy’s farmCentres Jeunesse Batshaw

La Ville fait une demande aux diri-geants du Centre pour sauvegarderdes plaques commémoratives et patri-moniales identifiant le Boy’s Farm etde les remettre aux archives de la Ville.

Motions de félicitationsFélicitations à monsieur Marcel

Morin, madame Jo-Anne Martel,madame Séréna d’Agostino et mada-me Suzanne Boissonneault , pour leurtravail de recherche historique et l’en-cadrement de photos patrimoniales etremerciements à monsieur Jean-François Boissonneault-Kisnik pourson aide précieuse au projet ainsi quele magasin d’encadrement ToutAutour, de Montréal, pour le travail etle matériel d’encadrement fourni pourune valeur de 1 500 $.

Félicitations également auxmembres de l’Association des citoyensdu lac Renaud pour l’organisation

d’une journée de plein air, le 2 févrierdernier, ainsi que pour toutes les acti-vités qui y ont été tenues.

Commission du patrimoine -Nominations

Madame Florence Frigon et madameNadine Lachaussée, ont été nomméesà titre de membres de la Commissiondu patrimoine et de la revitalisationdu Vieux-Shawbridge.

Programme Accèslogis - Rénovationdes édifices Shaw et Bastien

Un vaste chantier social et écono-mique a débuté le 7 janvier dernier surla rue de la Station pour permettre larénovation des édifices Shaw etBastien et ainsi, concrétiser l’aména-gement de 11 logements dont quatreseront éligibles aux subventions auloyer.

La corporation Habitation du Vieux-Shawbridge recevra une subvention deplus de 400 000 $ de la Société d’ha-bitation du Québec, suite à l’implica-tion du milieu par l’entremise de laVille de Prévost (don de l’édifice Shawet appui financier temporaire à l’orga-nisme à but non lucratif).

Le partenariat est une composanteessentielle de l’action gouvernemen-tale en habitation. La mise en œuvredes projets nécessite la collaborationde plus d’un intervenant et cette col-laboration est d’autant plus précieuseque le regroupement des ressourcespubliques, communautaires et privéespermet de mieux tenir compte desparticularités propres à chaque milieuet de réellement répondre aux besoins.

Expertise • Service • Conseil

Le RAP c'est du cash!..l'utilisation des RÉER lors del'achat d'une première maison

Le Régime d’Accession à laPropriété permet aux gens d’utili-ser les fonds placés dans leur RÉERpour financer l’achat d’une pro-priété sans être imposé sur lemontant du retrait. Sauf exception, le RAP ne peut enprincipe être utilisé que dans lamesure où ni le contribuable, nison conjoint n’a été propriétaired’une habitation au cours des 5dernières années civiles. Des avantages à considérerLes deux principaux avantages duprogramme RAP sont les suivants : • Le RAP permet d'emprunter jus-qu'à 20000$ par personne (donc40000$ pour un couple) dans leurRÉER sans payer de pénalités fis-cales et aucun taux d'intérêt pouracheter leur première maison. • Vous pouvez maximiser voscontributions non utilisées dansvos RÉER et vous servir de ce mon-tant pour votre mise de fondspour l'achat de votre maison.Ainsi, le RAP vous permet decontribuer au maximum à votreRÉER et de toucher un rembourse-ment d'impôts. Cela vous permet-tra une mise de fonds plus impor-tante (et parfois d’éviter la primeSCHL) et de rembourser plus rapi-dement votre hypothèque ou desdettes encourues pour l'achat devotre maison. Les bénéficiaires du programmeRAP ont un répit de deux ans pourdébuter leur remboursement etquinze ans pour renflouer la tota-lité du montant emprunté de leurRÉER. Dans le cas d'un rembourse-ment oublié, vous devez ajouter leminimum de 1000$ à vos reve-nus. Attention, les remises quevous ferez pour rembourser votreRÉER ne seront pas déductiblesaux fins d'impôt, puisque vousavez déjà bénéficié du rembourse-ment. Un planificateur financier vousdirait, que l’un des gros désavan-tages de retirer vos RÉER pourfinancer l’achat de votre maison,est que votre RÉER cesse deprendre de la valeur à l’abri del’impôt. Il n’a pas tort. Cependantn’importe quel badaud vous parle-ra des pertes qu’il a eues cetteannée avec ses RÉER. Il demeureque la personne qui utilise sonRÉER pour l’achat de sa maisondevrait :— Ne pas attendre les deux ans degrâce pour commencer à rem-bourser son RÉER— Toutes les sommes économiséesgrâce au RAP sur les versementshypothécaires devraient servir àrembourser votre RÉER et plustard à cotiser à votre RÉER. Sinon vos revenus de retraitepourraient être compromis.Malgré tout, le programme RAPdemeure un outil intéressant enautant qu’il vous serve à acheterune maison dont vous avez lesmoyens.

Me Paul Germainnotaireet conseillerjuridique

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21 marsAMICALE

MÈCHE D’ORJeux divers, danse enligne, souper et bingoCentre culturel – 14 h(tous les vendredis)

22 marsPREMIERS SOINS

8 h 30 à 16 h 30Places disponibles

DÉCOUVRE-MOICentre culturel – 20 h

SOUPER DANSANTAmicale la Mèche d’or

20 mars 19 mars

Cours de RCR(adulte)

18 h à 22 hPlaces disponibles

18 mars17 mars16 mars

DIMANCHE LUNDI MARDI MERCREDI JEUDI VENDREDI SAMEDI


ATELIER ORIGAMI

Bibliothèque – 10 hHOCKEY ANIMÉ

(6-8 ans) 10 h à 11 hPatinoire Léon-Arcand

Bibliothèque ouvertede 9 h à 15 h

12 mars

COLLECTE SÉLECTIVE

10 mars

CONSEIL MUNICIPAL19 H 30


11 mars

*ftcpLe Pavillon Léon Arcand anciennement nommé le Chalet des Ormes

de 10 h à 20 h


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Lors de la Coupe des Fondeurs

Les jeunesde Prévost fontbonne figure

L'école Champ-Fleuri a terminé en1ère position quant au nombre de pointsaccumulés et au plus grand nombre departicipants, tandis que l'école Val-des-Monts a récolté la 3e position au cumula-tif des points et la 2e position en ce qui àtrait au plus grand nombre de partici-pants.

Durant le championnat régional scolai-

re Laurentides-Lanaudière, qui s'est tenule vendredi 7 février, Laurence RaymondRioux a remporté la médaille d'or dansla catégorie moustique fille 3e cycle.

Un gros merci aux parents, aux ensei-gnants en éducation physique, MartinPaquette, Luc Cyr et Élaine Leduc quiont su accompagner et encourager lesjeunes.

Élaine LeducLes jeunes de Prévost qui fréquentent les écoles Val-des-Monts etChamp-Fleuri ont fait bonne figure lors de la Coupe desFondeurs. Pendant trois samedis consécutifs, ils ont su affronterles rigueurs de l'hiver.

équitable


En médecinetraditionnelle Chinoise, février est le mois desreins et de la vessie

La santé du système urinaire etla stimulation des glandes sur-rénales produise l’adrénaline,que l’on peut considérercomme étant l’hormone ducourage. Une personne dispo-sant d’une bonne énergie auniveau du méridien rein, sauraprendre les décisions qui s’im-posent dans toutes les circons-tances, alors que l’individu dontl’énergie du méridien rein esten insuffisance, est le typemême de l’indécis. Il met tou-jours du temps à répondre àune question. On dit qu’il tour-ne autour du pot.

Il est important pour la santéde nos os, que nos reins soienttrès sélectifs et ne laissent pasfuir nos sels minéraux. D’autrepart, on connaît l’importancede la cortisone produite par lescortico- surrénales sur les dou-leurs rhumatismales des os etdes articulations.

Un rein en santé aide à régula-riser l’énergie du cœur pourapporter paix et calme au som-meil. Les reins symbolisentaussi la collaboration (puisqu’ily en a deux et qu’ils doiventtravailler en étroite collabora-tion). Je dois me demandercomment est ma relation avecma partenaire présentement.Est-ce que je le rends respon-sable de tous mes maux? Est-ce que j’ai tendance à "déversermes déchets" sur les autres etleurs empoisonner la vie avecmes "problèmes"? Si c’est lecas, mes reins auront de la dif-ficulté à fonctionner. J’ai alorsà "collaborer" sans que j’en ai lechoix à une machine, le généra-teur d’hémodialyse qui va m’ai-der à épurer mon sang.

Je dois repenser tout mon sys-tème de relation avec monentourage. Je prends la respon-sabilité de ma vie et je cesse deblâmer les autres. J’assume meschoix. Mon discernement serasûr et précis. Je collaborerai à100% avec la vie et j’aurai alors"des reins solides".

Paul NadeauEssentiellement... pour vouswww.esspv.com

Le chalet de skidu Sommet Parent

Le chalet de ski du Sommet Parent sur la Montée Ste-Thérèse à la belle époque du ski alpin à Prévost (secteurLesage). On remarque à gauche les automobiles stationnantà la file indienne le long de la montée. De nos jours, l’édifi-ce n’existe plus. – Carte postale originale, Luc Parent

Des nouvelles du Comité des Loisirs des Domaines

Des activités pour tousAndré Dupras

Clinique de fartage La clinique de fartage s’est dérou-

lée au Pavillon Léon Arcand le 12janvier dernier. Gilles Bourgoinnous a fait profiter de son expérien-ce dans l’art du fartage du ski defond. Fart de base, fart de jour ,entretien des skis et plein de trucspour profiter pleinement de nosrandonnées en ski de fond. Gillesnous a partagé ses connaissancessans retenue.

À la découverte des sentiersdes Domaines, 2 mars

Les fondeurs de tous calibres sontinvités le 2 mars à 13h au Pavillon

Léon Arcand à découvrir lespistes des Domaines. Lesmembres du comité vousattendent pour vous donnerdes informations sur les sen-tiers et vous guider pour pas-ser un bel après-midi.

Boîte à savon3e édition

Pilotes de boîte à savon,préparez vous ! Cette année,des prix seront remis à ceux quiauront construit leur bolide. Troiscatégories de boîte à savon serontacceptées : catégorie originalité,catégorie performance et catégorierecyclage. Vous avez peut-être lachance de gagner un prix. Avec l’ai-

de de papa ou de maman, réalisezla formule à savon de vos rêves etparticipez à cette classique qui aattiré une vingtaine de participantsencouragés par près de deux centspersonnes en 2002. Pour plus d’in-formations vous pouvez nousrejoindre au 450-530-7562.

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e3 ÉTAPES f

NominingueTremblantPrévost

Laura-Maude, – «Mon père adit qu’il y a une nouvelle qui cir-cule de bouche à oreille. Ilsdisent que monsieur Bush a féli-cité Sadam. Il a dit qu’il regrettaitde l’avoir insulté, qu’il le trouvaittrès intelligent et savait qu’il neferait plus de mal à personne. » Antoine, parce qu’il n’est pas

assez grand, plante une carotteau milieu de la bedaine du bon-homme de neige. Puis il éclatede rire.Lysandre arrache la carotte et

la replante dans la tête du bon-homme. Antoine rit deux fois plus fort.Lysandre, – «Moi ma mère a dit

que Sadam a écrit une lettred’excuses à monsieur Bush. Ellea dit aussi que monsieur Bushn’est plus fâché et qu’il a décidéd’inviter monsieur Sadam au res-taurant pour manger un groshot-dog. »Antoine, – «Hmm! » Il plonge sa petite pelle rouge,

profondément dans la neigeblanche et molle.Alexis, – «Mon père est très

content. Il a dit: Y aura pas de

guerre ! Pis Y a répété : Y aurapas de guerre, parce qu’ils sontdes amis maintenant. »Jonatan, – «Ma mère elle, dit

que l’amitié c’est donc beau,c’est mieux qu’une bombe ! »Alexis et Jonatan s’appuient sur

le bonhomme de neige quipenche, penche et finit pars’écrouler sur Laura-Maude quise réveille en sursaut...Laura-Maude, en poussant sur

son oreiller, – « Ah ! c’était justeun rêve... »Rideau


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Lors de la séance du 11 novembre2002 :RÈGLEMENT N° 510«Règlement décrétant des travauxde réfection de la rue et del’aqueduc des rues Morin et Louis-Morin et prévoyant un empruntde 854000$ nécessaire à cettefin ».Veuillez noter que ce règlement areçu l’approbation du ministèredes Affaires municipales en datedu 13 février 2003 pour un mon-tant de 854000$.Lors de sa séance du 9 décembre2002 :RÈGLEMENT N° 514«Règlement décrétant des travauxde pavage et de correction des

infrastructures de la Ville et pré-voyant un emprunt de 750000$nécessaire à cette fin ».Veuillez noter que ce règlement areçu l’approbation du ministèredes Affaires municipales en datedu 10 février 2003 pour un mon-tant de 750 000 $.Les personnes intéressées pour-ront prendre connaissance de cerèglement à la Place de la Mairie,sise au 2870 boulevard du Curé-Labelle à Prévost pendant lesheures régulières de bureau.DONNÉ À PRÉVOST ce 21e jourdu mois de février deux mille trois,conformément à l’article 362 de laLoi sur les cités et villes.Laurent Laberge, avocatGreffier adjoint

PROMULGATIONAVIS est donné que le conseil municipal de la Ville de Prévost

a adopté les règlements suivants :

Avis public

Encore un coup de théatreà PrévostHenri ParéLa scène se passe autour d’un bonhomme de neigeque les enfants sont en train de fabriquer.Laura-Maude : 8 ans – Alexis : 7 ans, frère de Laura-Maude –Antoine : 4 ans – Jonatan : 6 ans, frère d’Antoine – Lysandre : 8 ans,amie de Laura-Maude.

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Chute des prix de l'essence Lisez jusqu'au bout, cela pourrait être intéressant ! Note: Même si vous n'avez pas de voiture, vous pouvez distri-

buer le message suivant à vos amis.

Pour une guerre des prix intelligente contre les pétro-lières.On dit que le prix de l'essence va bientôt atteindre les 90 cents

le litre. Vous voulez que les prix baissent ? Nous avons besoin de prendre des actions, conjointement et

solidairement. Quelqu'un a suggéré une idée géniale, qui estbeaucoup plus sensée que celle où on nous demandait de ne pasacheter de l'essence telle journée, en avril ou mai dernier. Les pétrolières ont bien ri de cette démarche parce qu'elles

savaient que nous ne pourrions pas continuer à NOUS faire dumal en refusant systématiquement d'acheter de l'essence: c'étaitbeaucoup plus un embêtement pour nous qu'un problème pourelles. Mais la proposition suivante pourrait s'avérer d'une efficacité

redoutable pour autant qu'on l'applique de façon rigoureuse. Prenez le temps de lire ce message au complet et joignez-vous à

nous! Vous croyez probablement que de l'essence aux environs de

58,9 cents le litre est une très bonne affaire. Nous aussi! Elle oscille plutôt actuellement aux alentours de 80 cents le litre.

Puisque les pétrolières et l'OPEP nous ont conditionnés à croirequ'un prix variant entre 70,9 et 75,9 cents est une très bonne affai-re, nous devons mener des actions résolues pour leur montrerque ce sont les acheteurs et non les vendeurs qui contrôlent lemarché. Avec le prix de l'essence qui grimpe à chaque jour, nous, les

consommateurs, devons prendre action. La seule façon de voir le prix de l'essence chuter est de frapper

le portefeuille des pétrolières en n'achetant pas leur essence, maissans NOUS faire du mal. Parce que nous avons besoin de nos voitures, nous ne pouvons

certainement pas arrêter d'acheter de l'essence. Toutefois, nous pouvons créer un impact réel sur le marché de

l'essence si nous agissons tous ensemble dans cette guerre desprix. Voici ce qui nous est proposé : D'ICI LA FIN DE CETTE ANNÉE,

N'ACHETONS PAS UNE GOUTTE D'ESSENCE DES DEUX PLUSIMPORTANTES COMPAGNIES PÉTROLIÈRES (qui ne font plusqu'une maintenant), SHELL et ESSO. Si elles ne vendent pas d'essence, elles seront obligées de rédui-

re leurs prix. Si elles réduisent leurs prix, les autres compagnies devront les

suivre. Mais pour créer un impact, nous devons joindre littéralement

des millions de clients de SHELL et ESSO. Voici le moyen d'y arriver. Ce message a été envoyé à une trentaine de personnes. Si cha-

cune de ces personnes le transmet à environ une dizaine de sesconnaissances (30 X 10=300), que celles-ci font la même chose(300 X 10=3000), et ainsi de suite, par le temps que ce messageen soit rendu à sa septième génération, nous aurons atteint plusde TRENTE MILLIONS de consommateurs ! Tout ce que vous avez à faire c'est d'envoyer, dès aujourd'hui, ce

message à 10 personnes en leur demandant de faire la mêmechose à leur tour. C'est tout. En observant cette règle simple, on pourrait, en huit jours, sensi-

biliser pas moins de 300 millions de personnes ! L'union fait la force, non? Agissons donc ensemble pour faire la

différence! Si vous croyez pouvoir faire une différence sur le prix de l'es-

sence, veuillez passer ce message à vos connaissances. ON N'A RIEN À PERDRE À ESSAYER ! QU'EN PENSEZ-VOUS ? Ceci n'est pas une pétition. Ceci n'est pas un « faites un vœu et espérez longtemps ». Ceci est une idée que je trouve potentiellement intelligente. Faites-en ce que bon vous semble !

Jacques Renaud,directeur technique/ Coordonnateur qualité et environnement Courriel: [email protected]

N.D.L.R: Sur le net circule une quantité incroyable de textes de réflexion. Faites-nous par-venir les textes les plus intelligents pour que nous puissions les faire connaître aux personnesnon-branchées. [email protected]

AUX PERSONNES INTÉRESSÉES AYANT LE DROIT DE SIGNERUNE DEMANDE DE PARTICIPATION À UN RÉFÉRENDUM

1. Objet des projets et demande de participation à un référendumÀ la suite de l’assemblée publique de consultation tenue le 3 février 2003 sur le projet de règlement numéro 310-57, le Conseil dela Ville de Prévost a adopté le second projet de règlement, décrit ci-dessous, lors de sa séance régulière du 10 février 2003.Ce second projet de règlement modifie le règlement de zonage numéro 310 et contient des dispositions qui peuvent faire l’objet dedemandes de la part des personnes intéressées des zones visées et des zones contiguës à celles-ci, afin qu’un règlement qui lescontient soit soumis à leur approbation conformément à la Loi sur les élections et les référendums dans les municipalités.Second projet de règlement numéro 310-57-1 intitulé :«Amendement règlement de zonage 310 tel qu’amendé (Habitation multifamiliale / secteur Terrasse des Pins - Agrandissementde la zone H-209 / secteur Domaine des Patriarches - Annulation de la zone P-351 / intersection rue Principale et boulevard duCuré-Labelle - Superficie logement d’appoint) »Ce règlement a pour objet de :a) créer la nouvelle zone H-247 et y autoriser les usages habitations unifamiliales, multiplex et multifamiliales;b) créer la nouvelle zone H-248 et y autoriser les usages habitations unifamiliales;c) agrandir la zone H-209 à même la zone H-236 de façon à y inclure une partie des lots originaires 327 et 330;d) annuler la zone P-351 pour agrandir la zone H-352;e) modifier la superficie autorisée pour un logement d’appoint pour la famille;Une demande relative à ces dispositions peut parvenir des zones visées H-204, H-209, H-236, P-351, H-352 et des zones contiguësP-205, I-208, H-232, P-354, H-207, H-112, R-210, C-229, C-302, H-305, H-306, H-349, C-357, P-403, H-404, à la condition qu’unedemande provienne de la zone à laquelle elle est contiguë.Les dispositions mentionnées au paragraphe précédent sont réputées constituer des dispositions distinctes s’appliquant particuliè-rement aux zones mentionnées. Une telle demande vise à ce que le règlement contenant ces dispositions soit soumis à l’approba-tion des personnes habilitées à voter de la zone à laquelle il s’applique et de celles de toute zone contiguë d’où provient une deman-de valide à l’égard de la disposition.Les zones concernées par ce second projet de règlement sont :Zone visée :Zone H-204 : Cette zone correspond aux terrains situés dans le quadrilatère formé des rues Richer, Curé-Papineau, Forget et le parclinéaire « Le p'tit train du Nord».Zones contiguës :Zone P-205 : Cette zone correspond à la station de pompage du chemin du Lac-Écho.Zone I-208 : Cette zone correspond aux terrains de la scierie PBF.Zone H-232 : Cette zone correspond à la Terrasse des Pins. Elle inclut en entier ou en partie les rues Allaire, Gariépy, Danis, Labonté,du Parc, Trudeau, Richer, Thibault, Guindon, Lauzon, Ouellette, Brière, Vendette et Curé-Papineau.Zone P-354 : Cette zone correspond au parc linéaire « Le P’tit Train du Nord».Zones visées :Zone H-209 : Cette zone correspond au Domaine des Patriarches. Cette zone inclut en entier ou en partie les rues des Frangins, desPatriarches, du Monarque, des Gaillards, des Anciens, des Nobles, des Gouverneurs, montée du Terroir, de la Sucrerie, chemin del'Héritage, des Gamins, des Bolets, du Patrimoine, des Trilles, montée des Sources, du Terroir, du Mas, de la Souvenance et de laSucrerie.Zone H-236 : Cette zone comprend les terrains situés entre les terrains de la scierie PBF et le Domaine des Patriarches.Zones contiguës :Zone H-207 : Cette zone comprend les terrains adjacents aux rues des Montagnards, Normand, Contant, Perreault, Derouin,Marchand et Lyrette.Zone I-208 : Cette zone correspond aux terrains de la scierie PBF.Zone H-112 : Cette zone se situe en bordure du chemin du Lac-Écho et inclut les rues Monette, de la Voie-du-Bois, Gérard-Cloutier,Edmond, Yves et Brosseau.Zone R-210 : Cette zone comprend les terrains situés entre la ligne de transmission électrique et la limite des municipalités deSt-Hippolyte, Ste-Sophie, Lafontaine. Elle s’étend du lot originaire 315 au lot originaire 323.Zone C-229 : Cette zone est adjacente au boulevard du Curé-Labelle entre les rues des Frangins et Leblanc. Zone P-354 : Cette zone correspond au parc linéaire " Le P’tit Train du Nord ".Zones visées :Zone P-351 : Cette zone correspond au terrain situé à l'intersection ouest de la rue Principale et du boulevard du Curé-Labelle etqui s’étend jusqu'à la Rivière du Nord.Zone H-352 : Cette zone comprend les terrains situés de part et d’autre de la rue Principale entre la rue de la Station et le boule-vard du Curé-Labelle.Zones contiguës :Zone C-302 : Cette zone comprend les terrains adjacents au côté ouest du boulevard du Curé-Labelle, entre les rues du Nord etPrincipale.Zone H-305 : Cette zone comprend les terrains situés de part et d'autre de la rue du Nord près de l'intersection de la rue Paquin etles terrains situés de part et d'autre de la rue Paquin.Zone H-306 : Cette zone comprend les terrains situés de part et d’autre de la rue de la Station entre le boulevard du Curé-Labelleet la rue Principale.Zone H-349 : Cette zone comprend les terrains situés de part et d’autre de la rue Principale entre la rue de la Station et la rue Shaw.Zone C-357 : Cette zone est adjacente au côté ouest du boulevard du Curé-Labelle, entre la rue du Nord et la rue Principale.Zone P-403 : Cette zone correspond au terrain situé entre le boulevard du Curé-Labelle et la rivière du Nord et entre les ruesPrincipale et Louis-Morin.Zone H-404 : Cette zone inclut en entier ou en partie les rues Louis-Morin, Millette, Victor, Chalifoux, Prévost et Morin.L’illustration des zones visées et le résumé du projet peuvent être consultés au service du greffe de la Ville aux heures normalesd’ouverture.2. Conditions de validité d’une demandePour être valide, toute demande doit :• Indiquer clairement la disposition qui en fait l’objet, la zone d’où elle provient et le numéro du règlement;• Être reçue au bureau de la Ville au plus tard le 3 mars 2003;• Être signée par au moins 12 personnes intéressées de la zone d’où elle provient ou par au moins la majorité d’entre elles si le

nombre de personnes intéressées dans la zone n’excède pas 21.3. Personnes intéresséesLes renseignements permettant de déterminer quelles sont les personnes intéressées ayant le droit de signer une demande peuventêtre obtenus au bureau de la Ville, aux heures normales d’ouverture.4. Absence de demandesToutes les dispositions du second projet 310-55-1 qui n’auront fait l’objet d’aucune demande valide pourront être incluses dans desrèglements qui n’auront pas à être approuvés par les personnes habilitées à voter.5. Consultation des projetsLe second projet de règlement 310-57-1 peut être consulté au service du greffe de la Ville de Prévost au 2870, boul. du Curé-Labelle,aux heures normales d’ouverture.

DONNÉ À PRÉVOST, ce 21 février 2003Laurent Laberge, avocat – Greffier adjoint

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En ces temps perturbés par lesfolies guerrières de celui dontnous tairons le nom (pour utili-ser une expression des romansde Harry Potter), chaque soiréede musique au cœur apporte àtous chaleur et réconfort. Lorsde la soirée du 13 février, prèsde 50 personnes s’étaient dépla-cées malgré une température de

–30 degrés pour entendre lesrhapsodies de Liszt et Gershwin.

Monsieur Labraña nous a fait lasurprise de nous interpréter lasonate de Chopin qui est inter-prétée dans le film «Le pianiste ».Tous apprécient au plus hautpoint la générosité du virtuosequi va chaque fois au-delà duprogramme annoncé pour offrir

quelques surprises qui vont droitau cœur des spectateurs.

Et que dire de l’improvisationqui couronne chaque soirée etsuscite à chaque fois l’admira-tion de tous. Faites-vous plaisiret venez donc à la prochaine, le13 mars prochain pour vousdélecter de suites et de dansestirées des œuvres de J.S. Bach,Bartok et Lecuona.

La soirée du maire :un grand succès !Cédant aux menaces du maire

une foule nombreuse s’étaitdéplacée pour assister auconcert du Quatuor Nelligan. Tous ont constaté le brio de cet

ensemble composé des saxo-phonistes Jean-François Guay,Cynthia Beyea, Michel Éthier etYvan L’Allier qui avaient préparépour l’occasion un programmequi a fait découvrir à tous lespossibilités infinies du saxopho-

ne en passant par l’Art de lafugue de J.S. Bach, le jazz, lamusique de film et même letango.

La complicité et la virtuosité duquatuor en a épaté plus d’un ettous ont souhaité unanimementsubir à nouveau la terreur duMaire pour répéter l’expériencelors de la prochaine saison deDiffusions Amal’Gamme.

Attention ! La neige va fondresamedi au centre culturelC’est ce samedi le 22 février

que la neige fondra au Centreculturel pour faire place à ununivers typiquement africain. Dans un premier temps, une

exposition fera découvrir aupublic l'art et l’artisanat africain àtravers masques, bijoux, tam tamet batik. De plus, 21 artistes del’Association des artistes en artsvisuels de St-Jérôme exposerontleurs œuvres : peintures, sculp-tures, etc. Tous sont invités àcette exposition pour laquelle iln’y a aucun frais d’entrée.

Pour aller plus avant dans laculture africaine des activitésseront offertes : pour les enfants,Contes et légendes du roi lion etatelier de tam-tam. Pour lesadultes, ateliers de tam-tam etde danses africaines. Tous pour-ront par la suite s’offrir un sou-per typiquement africain etassister pour terminer à un spec-tacle enlevant de percussions.

Le tout débute vers 14h 30pour se terminer vers 21h 30.On s’informe au 436-3037

Le jazz est de retourPlus en forme que jamais, le

quartet du Prévostois Raoul Cyra entraîné une salle surchaufféedans les airs de ragtime et deswing les plus connus pour leplus grand plaisir des specta-teurs présents à la soirée du 6février dernier. Pour cette série, le quartet a

renouvelé une bonne partie deson répertoire pour nous faireentendre des pièces nouvelles.Raoul Cyr nous a promis de plus

la présence d’un invité spéciallors de chacune des soirées pourl’interprétation d’une pièce. C’est donc une invitation

enthousiaste et unanime des 60quelques spectateurs présentsqui est lancée aux amateurs dejazz de la région pour assister àla prochaine soirée de cette sérieunique qui se tiendra jeudi le 6mars à 19h 30 et portera surl’époque allant du Beebop auCooljazz, soit de 1940 à 1970.

Musique au cœur atteint son but

Le Quatuor Nelligan a interprété plusieurs pièces au cours de la soirée du 25janvier dernier au Centre culturel de Prévost. Le public a été conquis parl’interprétation variée que permettaient les différents saxophones utilisés etde la sensibilité des musiciens.


Une conférence aura lieu sur le Capital régional le26 février 2003 à 18h 30 au siège social de votre cais-se. Inscrivez-vous dès maintenant au 436-5335(les places sont limitées).

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Lundi 24 février 2003 : de 10h à 20hMardi 25 février 2003 : de 10h à 20h

Mercredi 26 février 2003 : de 10h à 20hJeudi 27 février 2003 : de 10h à 20h

Vendredi 28 février 2003 : de 10h à 15hLundi 3 mars 2003 : de 10h à 20h

*Les heures d’accueil peuvent varierd’un centre de service à l’autre

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Lettre aux deux étudiantsvenus assister à l’assemblée

du conseilJe vous ai vu faire preuve d’une

grande patience dans l’observationde vos aînés, dont certains se com-portent parfois de façon lamen-table. J’ai bien vu que le rythmelancinant de l’assemblée et l’heuretardive étaient venus à bout devotre bonne volonté. J’ai pensémettre à votre disposition un petittexte qui vous aidera sûrementdans votre travail et, on ne saitjamais, servira peut-être à d’autrescitoyens.

Si on regarde la table du conseil,la madame à droite, celle qui pleu-rait le mois passé, parce que lerèglement de sa cause venait decoûter 25000$ aux contribuables, làelle ne pleurait plus! Elle se permet-tait même de faire de remarques

qui auraient pu indisposer certainespersonnes, et quand je dis ‘indispo-ser’ c’est un euphémisme. Madamemettait en doute le choix d’un nou-vel employé de la ville, en destermes et d’une façon qui laissaientsous-entendre que les gens quil’ont engagé ne connaissaient peut-être pas certaines choses à sonsujet. Invitée à donner plus dedétails et à préciser ses allégations,madame s’est contentée de changerle sujet, et quelques minutes plustard elle est revenue à la charge enmettant en doute la compétence denotre assistant greffier, Me Laberge,pourtant un avocat reconnu par leBarreau du Québec. Risquons-nousde devoir défrayer d’autres fraisjuridiques, si ces personnes à justetitre se sentaient lésées?Heureusement d’habitude ellecherche des coquilles dans lestextes, elle parle de la lumière brû-lée au coin de la Montée Rainville...

En allant vers la gauche, le mon-sieur juste à côté, est comme le garsdans le film Triple X; il se fait tirerune fléchette empoisonnée, il seréveille ailleurs et il s’aperçoit qu’ilest rendu dans l’autre gang. Il ne sesouvient plus qui l’a élu ni pour-

quoi. Il n’habite même plus dans lequartier qu’il représente.

Là, il y en a quatre dont je parleraipas trop, parce qu’ils sont plates, ilspensent rien qu’à travailler. Ils sonttout le temps dans des réunions, ilsorganisent des transports en com-mun, des bibliothèques, des loge-ments sociaux, des parcs. L’équipeprécédente avait des bien plusbeaux projets pour faire roulerl’économie: notre bibliothèqueaurait dû coûter quatre ou cinq foisplus cher.

Le monsieur assis à l’autre bout dela table, (un survivant de l’ancienneéquipe) pourrait nous parler detous ces grands projets et magni-fiques réalisations, comme un ter-rain de soccer à 350 000 $ (pas detoilettes, pas d’estrades, pas de par-king, pas de lumières, pas de clô-tures, avec le gazon qui meurt).

Ce monsieur est un grand leader:toujours à la défense de je-ne-sais-pas-quoi.

J’essayais de comprendre sa posi-tion sur le dossier de la police; lebudget sans augmentation luiparaissait trop cher et en mêmetemps insuffisant pour garantir lasécurité des citoyens de Prévost.

Peut-être aurait-il dû clarifier à lui-même sa position, avant de tenterde nous l’exposer? Jadis il soulevaitdes foules, mais la dernière qu’il asoulevée était une foule de 67 per-sonnes, sur des milliers de contri-buables...

Il ne faut pas être méchant avecl’opposition, car ils ont perdu leursélections. Il faudrait juste qu’ilscomprennent que la campagneélectorale est terminée et que laprochaine est dans plus de deuxans. Entre-temps ils pourraient fairele travail d’une opposition loyaleaux citoyens qu’ils représentent etconstructive pour l’ensemble de lacommunauté. Prévost a changépour le mieux. De nombreuxcitoyens s’impliquent dans toutessortes d’activités, la ville s’embellit,les services s’améliorent. Nous pen-sons pouvoir rejoindre certains denos voisins dans le 21e siècle. Nousavons manqué suffisamment d’op-portunités, nous n’avons pas besoinde nous éterniser dans des débatsstériles.Marc-André Morinrue jonathan


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Pourquoi moi ? Eh bien la raison en est fortsimple, je suis la personne la plus riche de laville, donc la plus intelligente et la plus forte.Je suis le seul à connaître ce qui est bon pourvous. Depuis quelques années, je travaille aumaintien de l’ordre, j’ai moi-même organisé etcréé le corps de police de Prévost, où, bienévidemment, j’ai une grande part dans lesdécisions qui y sont prises. De plus, j’ai undroit de veto sur les décisions du conseilmunicipal.

J’ai également construit un réseau de sur-veillance dans toute la ville, où je vois vosmoindres allées et venues. Si vous n’avezjamais vu mes caméras, dites-vous qu’àPrévost ce n’est pas les cachettes qui man-quent. Plus sérieusement je me suis égale-ment procuré plusieurs armes au cas où jedevrais agir sans la police.

Mais pourquoi je vous raconte tout ça ? Bien,figurez-vous que le 11 septembre 2001, lajournée des attentats, j’ai moi-même été victi-me d’un vol. Ma forteresse a été cambriolée,malgré les énormes budgets que je consacre àla sécurité de ma demeure. J’ai aussitôt com-mencé mon enquête, et j’en suis arrivé à laconclusion que je fais face à un énormeréseau de cambrioleurs professionnels.Devant cette menace nous ne pouvons resterinactifs. J’ai dressé une liste des membres dece groupe, je l’appelle la « liste du mal ».

Votre voisin en fait partie !En effet, mes réseaux de surveillance m’indi-

quent que votre voisin est un cambrioleur. Ils’agit de celui qui a la maison bleue…

Il y a un an, je l’ai confronté et j’ai dû mebattre avec lui. Je lui ai donné une bonneraclée. Il la méritait : il a attaqué un prochevoisin. Depuis, ce jour, j’ai parlé à son boss, etil a perdu son job !

Il a tenté de s’en trouver un autre, mais je luibloque toutes les possibilités. Le conseil deville a dû lui donner un peu d’argent pour queses enfants puissent manger. Il continue de seplaindre malgré les 20 $ qu’on lui donnechaque semaine pour les cinq membres de safamille.

Devant la nouvelle menace qu’il représente,le conseil de ville ne veut pas agir correcte-ment, il préfère envoyer des enquêteurs. Faceà ces mesures j’ai dû me rétracter et accepterl’attitude trop modérée du conseil de ville.Mais voilà que j’ai appris que votre voisin nelaisse pas les enquêteurs aller partout dans samaison. C’est un geste inacceptable, la sécuri-té de la ville est en jeu.

Des voix influentes du conseil de ville sefont entendre, il semble que ces personnes

s’opposeraient à une intervention collectivepour l’élimination de cette menace. Il semble-rait que ma réaction soit injustifiée. J’ai déjàpréparé, ma riposte, de toute façon je vaisdevoir agir, avec ou sans l’approbation de ceconseil de Ville, avec ou sans la police.

J’ai déjà convaincu quelques voisins, je peuxfournir des armes à tous ceux qui veulent agircontre cette menace. Nous devons écraser cetinfâme personnage, d'une manière ou d'uneautre, même si pour cela nous devons blesserses enfants ou sa femme, qu’importe, il fauten finir une fois pour toutes.

Il y en a parmi vous qui doutent, vous vousdites, « oui mais pourquoi j’irais me battre ? ».Ce que je fais, je ne le fais pas par plaisir, c’estDieu qui le veut. Nous devons sauver notreville, et toutes les valeurs de Prévost. Si nousne trouvons plus la sécurité et la quiétude àPrévost, où allons nous la trouver ? Vous vou-lez encore des preuves ?

Il bat ses enfants, il entretient des liens avecle réseau de cambrioleurs qui m’ont volé, il adéjà volé d’autres voisins. Mais le pire est qu’ila une arme, les enquêteurs ne l’ont pas trou-vée, mais moi je le sais, j’ai des photos, où ilcache une boîte… Que peut-il y avoir d'autredans une boîte de carton, qu’une arme dange-reuse pour la sécurité de nos enfants ?

Malheureusement, pour des raisons de sécu-rité, je ne peux vous montrer mespreuves…Mais j’en ai des tonnes et vous allezdevoir me faire confiance. Joignez-vous à moidans la bataille contre les méchants.

Certaines langues fourchues prétendent queje n’agis que pour des intérêts personnels. Ilsaffirment que j’ai besoin de son terrain pourréaliser mon projet de condos. Voyons, cen’est pas parce que je possède tous les ter-rains avoisinants et que j’ai commencé à raserquelques maisons, que je vais m’attaquer à cethomme ainsi. Mes intérêts économiques nesont pas en jeu. C’est par la grâce de Dieu,que je dois agir, c’est pour le respect de nosvaleurs.

Après avoir vaincu ce méprisable ennemi dela société, nous passerons au nom suivant surla liste, nous devons mener notre guerrecontre le cambriolage. Les membres de ceréseau ne trouveront de répit nulle part, nousles pourchasserons jusqu’en enfer.

Faites-moi confiance !Que Dieu bénisse ma demeure et ma ville !Étienne UbertNote de l'auteur : Toute ressemblance avec

des personnes connues ou des évènementsréels est purement intentionnel.

Bush versus Saddam !

Faites-moi confiance…Jonathan Aspireaul-MasséBonjour, je m’appelle Étienne Ubert, je suis résidant de Prévostdepuis 10 ans et j’adore cette ville. Je dois vous avouer que depuisque je reste à Prévost j’ai compris le sens de ma vie, j’ai une mis-sion, une mission qui me vient de Dieu. Je dois veiller au bon ordrede la ville.

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L’édifice connu sous le nom de la«Shawbridge Bakery » et situé sur la ruePrincipale disparaîtra pour faire place àun édifice à logements. Le projet dupropriétaire, Monsieur Richard Piché, aété entériné par la ville et le Comitéconsultatif d’urbanisme.C’est une partie de la petite histoire

de Shawbridge qui deviendra unsouvenir de cette époque déjà lointainealors que la « bakery » fournissait lepain quotidien d’une partie de la com-munauté.

L’édifice sera démoli et seules les fon-dations seront utilisées pour reconstrui-re un immeuble de deux étages dontl’esthétique devra cadrer avec l’en-semble des propriétés du secteur duVieux-Shawbridge.

D’autres projets de rénovation sont engestation par des propriétaires qui sou-haitent bénéficier des nouveaux pro-grammes d’aide offerts par les diffé-rents niveaux de gouvernement.

L’historique «Shawbridge Bakery» céderala place à un édifice à logements multiples

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L’entretienPlus de quelques semainesencore et votre patience auraraison sur l’hiver. Avant defaire l’achat des semences, etsouvent on en achète trop, ilfaut avant tout prévoir pre-mièrement l’espace qu’occu-peront les semis dans la mai-son et deuxièmement, l’espacequ’occuperont les plants dansle jardin. C’est bien beausemer, mais a-t-on l’espace, letemps et l’énergie pour l’en-tretien? Souvent, ce dernieraspect est oublié et lorsqu’ils’agit d’enlever les mauvaisesherbes, l’entretien a tendanceà prendre le bord. Aussi, plu-sieurs se tournent vers lesvivaces pour minimiser l’entre-tien. Mais les mauvaisesherbes elles, ne font pas la dif-férence entre une vivace etune annuelle. Lorsqu’on leslaisse s’installer, elles n’en sontque plus difficiles à déloger.De grâce, ne les laissons pas seresemer.

Le champ fleuriUn des avantages certain deschamps fleuris est que, si l’en-tretien des mauvaises herbes aété régulier la première année(minimum une fois aux deuxsemaines) et que l’ensemence-ment des fleurs désirées a étédense et bien, vous vous évite-rez la corvée pour plusieursannées à venir. J’ai semé ainsiun champ de rudbeckies et jene l’entretiens plus depuislongtemps. Même histoirechez mon ami de Ste-Anne-des-Lacs avec son champ decoreopsis. Maintenant, monchamp m’offre un spectacleinouï. Je l’ai entretenu seule-ment durant sa premièreannée. La technique d’ense-mencement à la volée trèsdense et faite de semencespures, i.e. sans pétale, ni cap-sule, ni tige, fait toute la diffé-rence. Beaucoup, malheureu-sement, sèment des graminéesen même temps que les fleurssans même le savoir. Celles-ci

finissent alors par envahir lechamp.Des champsaméricains à voirPour ceux qui voyagent auxÉtats-Unis, les plus beauxchamps à voir sur le bord desroutes sont le WildflowerRoutes et le Prairie Corridor,Michigan (Minnesota). C’est àvoir ! Les Américains sontencore les pionniers en cedomaine. Ils ont d’ailleurs uncentre de recherche sur leschamps de fleurs sauvages leNational Wildflower ResearchCenter, Austin, Texas fondé en1988 par Lady Bird Johnson,l’épouse de l’ancien présidentLyndon Baines Johnson. Ils ontd’ailleurs fondé en 1973 unprogramme national«Operation Wildflower » sou-tenu par l’agence fédéraleaméricaine Federal HighwayAdministration (FHWA) et parFederated Garden Clubs ofAmerica. Ils ont d’ailleurspassé un règlement fédéral en1987 qui stipule que 0.25% detous les fonds d’aide fédérauxen aménagement paysagerroutier doivent être consacrésà l’implantation de l’ensemen-cement de plantes florifères.

La situationdésastreuse du QuébecAlors qu’au Québec nousavons des sites et des possibi-

lités exceptionnelles, rien ne sefait. Il semble qu’un manquede volonté provinciale etmunicipale soit à l’origine decela. Malgré l’argent investipar le ministère du transportdu Québec dans desrecherches expérimentalesuniversitaires, les résultatssont vraiment discrets, aupoint de passer inaperçus. Lesrapports, souvent longs à rédi-ger, sont encore plus difficilesà obtenir. À croire qu’ils sesont réservés qu’à une poignéed’élite. Mais la patience et lapersévérance arrivent toujoursà leurs fins. J’ai réussi à enavoir un après plusieurs moisd’attente.

Conférences à venirPour ceux qui veulent ensavoir plus, il y aura uneconférence sur le sujet :•mercredi le 12 février à 19h à

la Société d’Horticulture deSt-Adolphe-d’Howard au1881, ch.du Village, 819-327-2229

•mardi le 25 mars à 19h à laSociété d’Horticulture deNotre-Dame-de-Pontmainau 37, ch.Werbrouck est,819-597-2943

•mercredi le 19 mars à 19h àla Société d’Horticulture DesRuisseaux au 1269 boulDes Ruisseaux, 819-623-4720

du service des loisirs etde la vie communautaireNouvelles

3e édition de la Fête des neiges du 1er au 9 mars !Encore une fois cette année, nous vous invitons à participer auxdifférentes activités de la Fête des neiges 2003. La journée de ski auMont-Tremblant est de retour à la demande générale, au coût de38$ pour les adultes, 21$ pour les 13 à 17 ans et de 15$ pour lesmoins de 12 ans qui doivent être accompagnés d’un adulte. Égale-ment au programme des activités culturelles à la bibliothèque, desactivités sportives, du hockey animé, de la glissade sur tube et lafameuse et très populaire sortie à la cabane à sucre. Venez voussucrer le bec en famille pour le dîner ou pour le souper (nouveau-té). Alors, faites comme les 500 personnes inscrites l’année derniè-re et profitez de la semaine de relâche pour sortir, profiter de lanature et de la Fête des neiges du 1er au 9 mars prochain ! Les ins-criptions sont reçues jusqu’au 28 février au service des loisirs et dela vie communautaire situé au 2945 boul. du Curé-Labelle. Pour deplus amples informations contactez-nous au 224-8888 poste 228.Découvrez la programmation complète dans le journal !

Les activités à venirNous vous invitons à participer, en grand nombre, aux différentesactivités du Club de l’âge d’or de Prévost. Lundi soir, cours de danseintermédiaire à 19 h 30, Mardi, le 3 et 18 mars, bingo et souperpour les membres. Jeudi le 27 février en après-midi, sortie au casi-no et le 19 mars prochain, un repas à la cabane à sucre de St-Benoit-du-Lac. Mardi, 25 mars, début des cous d’aquaforme.Information : J. Paquette au 224-4810.

Pour sa part, l’Amicale de la mèche d’or, qui rejoint les personnes de30 ans et plus, vous convie à ses activités du vendredi, dès 14 h, auCentre culturel. Également au programme, le souper-dance de laSaint-Valentin le 22 février à la salle Guy-Mo à Saint-Jérôme. Unséjour au Manoir alpine du 21 au 23 avril avec spectacle country deDan et Lou ainsi qu’un repas à la cabane à sucre Au pied de la col-line le 16 mars. Pour information, communiquez avec Lise Labelleau 224-5129.

Bibliothèque ouverte de 10 h à 20 h pour lasemaine de relâche scolaire du 3 au 7 marsDans le cadre de la Fête des neiges 2003, la bibliothèque ouvrira,exceptionnellement ses portes, du lundi 3 mars au vendredi 7 marsde 10 h à 20 h. Le prochain conte pour enfant aura lieu le 1er marsprochain à 10 h. Tantine convie les enfants de 3 à 8 ans à venirdécouvrir et développer leur goût à la lecture. Prière de vous ins-crire à la bibliothèque pour réserver votre place. De plus, les adultessont conviés à des conférences lors des mardis des adultes qui sedérouleront le 25 février et le 4 mars prochain à 19 h 30. Cette acti-vité est gratuite pour les membres de la bibliothèque.

Christian Schryburt, coordonnateur des loisirs et de la culture

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Certains dossiers, comme celuidu corridor faunique visant àprotéger le cheptel de che-vreuils, ont été confrontés à lapuissance de l’étalement urbainet à la vitesse d’édification desrésidences unifamiliales.Le comité a aussi récemment

collaboré à la création du comitérégional pour la protection desfalaises. Et que dire du dépôt,mercredi dernier, de deux dos-siers exhaustifs traitant de sujetsépineux, soit les règlements 356et 357, respectivement les fosses

septiques et les engrais-pesti-cides. À eux deux, ces dossierscomptent plus de 45 pages. Leurcontenu est éloquent: lettresd’appui, règlements de quatreautres municipalités, recomman-dations et doléances complètentle tout.Qu’adviendra-t-il de ces dos-

siers ? Quel sort réserve l’admi-nistration municipale à ces deusdossiers : celui des composteursou celui du corridor faunique?Peu de gens connaissent l’exis-

tence du comité, et encore

moins le nom des artistes quidressent une palette mensuelledu milieu écologique et qui ten-tent de redonner un peu de cou-leur au territoire.Permettez-moi ici de citer

quelques-uns des noms debénévoles engagés qui ont oeu-vré ou qui oeuvrent encore ausein du comité: M. ClaudeBourque, Mme Serenad’Agostino, M. José Adornetto,Mme Isabelle Sauvé, Mme LindaSchumacher, Mme SolangeTrudel, Mme Annie Pelchat, M.Steve Ouellet, M Marc Cusson.,sans oublier les non moins enga-gés représentants de la ville, M.Jean-Pierre Joubert, MmeNathalie Deshaies, ainsi que M.Christian Viau.Le comité profite de l’occasion

pour vous souligner qu’il existechez Botanix, à Prévost, unmélange de semence à gazonbiologique (Herbanic) élaborépar Mme. Léna Simard, et quinécessite bien peu de soins.Nous vous rappelons aussi quel’utilisation du Palmolive gel oude la poudre Nature Clean dansvotre lave-vaisselle constitue unchoix écologique car ces pro-duits contiennent peu ou trèspeu de phosphore.

Stéphane Parent et Claude Bourque, comité d’environnement

Il y a déjà bien des lunes que le comité œuvre dansl’ombre du conseil municipal. Pourtant, plusieurstableaux y ont été brossés. Certains, comme celui descomposteurs domestiques ou encore celui du pro-gramme d’analyse d’eau de puits à tarif réduit, ontpu voir le jour. N’oublions pas aussi l’appui indéfec-tible pour l’octroi des subsides nécessaires à l’inté-gration du Lac Renaud à l’étude écologique du doc-teur Carignan.

Le comité environnement de la Ville dePrévost présente un bilan positif

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Pauline amorce un derniervirage. Les roues de sabicyclette soulèvent la

poussière du chemin. À tra-vers le nuage doré, monsieurLanoix reconnaît la bicyclettede madame Pauline. Ses brasdeviennent mous comme deschiffons. Il laisse tomber ungros sac de pommes de terre. Pouf, patatras! Les pommes

de terre roulent dans tous lessens.Les clients aident le fermier à

ramasser ses légumes.Tout à coup, Toupet Lanoix

sent un courant d’air passer sursa tête.- Misère-à-poil! se dit-il. J’ai

perdu ma perruque.- Monsieur Lanoix, j’ai trouvé

ceci, murmure une cliente àl’oreille du fermier.Dans ses mains, elle tient la

perruque.Vite, vite, Toupet replace sa

perruque sur sa tête. Uneseconde plus tard, madamePauline freine devant lekiosque.

Aussitôt, la terre arrête detourner. Il n’y a plus rien nipersonne qui existe. Juste labelle Pauline. Elle descend deson vélo, telle une reine de soncarosse.Chaque samedi, c’est pareil.

Tous les gens du village achè-tent leurs légumes en mêmetemps que madame Pauline.Mais ils viennent surtout pourvoir les deux amoureux lesplus timides de la terre.Lorsqu’elle arrive, madame

Pauline fait comme si monsieurLanoix n’était pas là. Elleappuie sa bicyclette contre unpommier et s’avance vers lekiosque en défroissant sa robe.Elle marche un peu de côté, enregardant le bout de ses sou-liers.Le fermier semble très occu-

pé à placer ses légumes. Ouplutôt à les déplacer, tant il esttroublé.Hop ! Un pied de céleri se

retrouve avec les radis.Plouch ! Un navet atterrit

dans la boîte de tomates.

La belle Pauline s’approchelentement de monsieur Lanoix.Elle fait mine de chercherquelque chose parmi les lai-tues et les échalotes. Le fer-mier, lui, frotte une bellepomme rouge. Le fruit brillecomme ses joues.Tout à coup, ils sont coude à

coude, épaule contre épaule.Monsieur Lanoix peut mêmesentir le parfum de sa bien-aimée.À son tour, madame Pauline

laisse tomber quelque chose.Elle ne le fait pas exprès. Sesmains tremblent tellementqu’elle renverse un pleinpanier de petits bleuets. Millejolis grains bleus se répandentaux pieds des amoureux. Labelle dame est très embarras-sée.- Laissez, laissez, madame

Pauline, dit le fermier.- Non, non, tout est de ma

faute, répond-elle.Tous les deux se penchent en

même temps. Leurs visages sefrôlent. Leurs doigts se tou-

chent lorsqu’ils tentent de sai-sir le même petit bleuet.Le millième bleuet ramassé,

madame Pauline se décide àparler :- Avec tous ces bleuets, je

vais vous faire une belle tarte,monsieur Lanoix.- Appelez-moi Toupet, dit le

fermier.Madame Pauline se lève d’un

coup. Monsieur Lanoix aussi.Les deux amoureux se retrou-

vent nez à nez. Pauline prendune grande inspiration.- Si je vous appelle Toupet, il

faut m’appeler Pauline, dit lajeune femme.- Pauline… Pauline, qu’est-ce

qui vous ferait plaisir ? luidemande Toupet avec pas-sion… (Extrait de La perruque demonsieur Lanoix, ÉditionsLes 400 coups.)

Le Journal de Prévost, en collaboration avec l’Association des auteurs des Laurentides, offre à chaque mois à seslecteurs une nouvelle écrite par un auteur des Laurentides. Bonne lecture !

Passionnée parla littérature jeu-nesse, MireilleVilleneuve aécrit quinzelivres dans diffé-rentes collec-tions. Elle parta-ge son tempsentre l’écriture etles rencontres avec ses jeunes lec-teurs.En 1997, elle a reçu un prix duConseil de la Culture desLaurentides. Elle est aussi boursièredu Conseil des Arts du Canada.

Le cultivateur amoureuxUn conte de Mireille Villeneuve

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NouveauRencontres et discussions

Sur les sujets : Isolement - Solitude

DécouragementDésorienté

Même si j’ai souffert par le passé,Même si je souffre maintenant,

Si je le veux vraiment,Je peux reprendre ma vie en main

Car je ne suis pas seul.Je fais le premier pas

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de revenusLa Maison D’Accueil de Prévost

en collaboration avec l’agence desdouanes et du revenu du Canada

et le ministère du revenu duQuébec offre un service d’aidegratuit aux personnes qui ont

besoin d’assistance, mais qui nepeuvent avoir recours à des ser-

vices professionnels.Renseignez-vous auprès de Denise

Pinard 450-224-2507

Pendant plusieurs années, elle a animé uneBoîte à chansons « L'AntitEK » dans unemagnifique maison centenaire sise au bordde la rivière, au 36 rue Principale, dans « levieux Shawbridge », aujourd'hui 1287, ruePrincipale à Prévost. Une plaque dénom-mant « historique » cette bâtisse fut enlevéecette année, on ne sait pour quelle raison.En plus d'y élever ses enfants, elle dirigeaitcette boîte avec son mari et y confectionnaitelle-même une pizza maison demeuréefameuse dans les mémoires autant que levieux poêle à bois. Par la suite, elle a tenu,toujours à Prévost, sur la Route 11, aujour-d’hui devenue la 117 (ses enfants croyaientque c’était une « routonze »), une boutique oùelle exposait les œuvres d’artisans locaux.« La Glanerie ». En 1988 elle s’installe enGaspésie et un an plus tard, elle y ouvre sonthéâtre « La Pente Douce » à Saint-Damase deMatane. Monologuiste : on l’engage pendantun an à Radio-Canada. Chanteuse : elle rem-porte le premier prix au festival de Granby.Auteure : quatre livres de ses textes ont étépubliés. Denise est un « phénomène de

polyvalence ». Elle pourra tout aussi bienmanier le marteau pour terminer un décordans l’après-midi, que déposer des affichesqu’elle aura conçues, ou fabriquer de sesmains une moustache postiche pour, le soirvenu, recevoir elle-même les spectateursavant de revêtir les vêtements de ses person-nages. (10 changements de costumes en 90

minutes !). « Époustouflante d’énergie », ellepeut être hilarante autant qu’émouvante et,subtilement, nous fera autant réfléchir querire aux éclats, en passant par le sourire inté-rieur que nous donnent les choses belles.Son retour au pays est très attendu. Elle serade passage dans les Laurentides, au Théâtredu Marais 1201, 10e Avenue, à Val Morin lesamedi 8 mars à 20h. (renseignements : 819322-1414 ou 450 431-3428) - Monsieur, sivous avez loupé le 14 février, c’est l’occasionde vous rattraper, le spectacle se nomme :«Quand on aime, on aime » - tout un pro-gramme d’humour et de tendresse, unerecette éprouvée pour se faire pardonner.

Passage d’artistes

Denise, un «phénomène de polyvalence»

22 Le Journal de Prévost — 16 janvier 2003

Annie DepontDenise Guenette : monologuiste – chanteuse – auteure – compositeure -comédienne est née à Shawbridge (Prévost).

Denise Guenette, monologuiste.

La maison à Prévost dans laquelle DeniseGuenette tenait une Boîte à chansons « L'AntitEK.

Animation de TextePour animer du texte dans Word, sélec-

tionnez le texte concerné, cliquez surFormat / Police / Onglet animation puischoisissez le type d’animation que voussouhaitez. Cette option est intéressantepour des documents partagés au sein d’unIntranet.Changement d’en tête pour la première page

Vous voulez supprimer l’en-tête et le

pied de page de la première page? Cliquezsur Fichier / Mise en page / Onglet dispo-sition puis cochez l’option «Première pagedifférente ».Modification d’affichage

Word répertorie automatiquement enbas du menu Fichier les quatre derniersdocuments que vous avez ouverts. Pouravoir accès à ces fichiers, cliquez sur lenom du document dans le menu Fichier. Il

est très simple de modifier le nombre dedocuments répertoriés. Dans le menuOutils, dans Options puis sur l’ongletGénéral, dans la zone Derniers fichiersutilisés, inscrivez un nombre comprisentre 1 et 9, ou décocher si vous ne sou-haitez pas que les fichiers utilisés soientrépertoriés.

TRUCS ET ASTUCESWord – Logiciel de traitement de texte performant à mon avis. Pour la rédaction ou la création de vos documents tel que lettre,étiquette, dessin, tableaux, enveloppes, la mise en page, les bordures, le correcteur, la grammaire : tant d’outils pour vous faciliter letravail lors de vos conceptions . Formation disponible au Centre et selon votre demande quelques trucs. Pour le mois prochain onrevient avec les astuces pour le système d’exploitation XP qui est, comme je vous avais mentionné, dans une chronique antérieuregagne de plus en plus de terrain malgré certaines controverses. Mais la question que l’on se pose : existe-t-il un système d’exploita-tion parfait? Si oui laissez nous ses coordonnées et les vôtres nous transmettrons la bonne nouvelle.

Centre d’AccèsCommunautaire Internetde Prévost

Vous avez des sites à faire découvrir ou des trucs et astuces à partager pour nous rejoindre [email protected] ouhttp://www.inter-actif.qc.ca/cacip/ • Jo-Anne Martel, coordonnatrice

Le Journal de Prévost — 16 janvier 2003 23

Exposante de mars 2003 à la gare

Jacinthe Desrosiers

Jean-Pierre DurandPlus d'une vingtaine de per-

sonnes se sont présentées pour lasoirée de la St-Valentin tenue à lagare de Prévost sous la responsa-bilité de Élie Laroche. La soirée

s'est déroulée dans la joie et lagaieté. Après un copieux repascommunautaire, Yoland Lavoieest venu, avec sa guitare animéavec sa musique gratuitementpour le plaisir de tous. Prochainrendez-vous, le 14 février 2004 !

La soirée St-Valentin à la gare

On lève son verre au plaisir de partager

Le symposium de peinture de la gare de Prévost est rendu à sa6e édition et l’année dernière plus de 70 peintres ont participé.

Pour ceux qui aimeraient participer cette année, il faut s’ins-crire le plus tôt possible.

Procurez-vous un formulaire à la gare de Prévost ou en communi-quant aux numéros suivants : 450-675-1829, 450-224-8056, au siteinternet suivant : www.inter-actif.qc.ca/symposium . Vous pourrezainsi vous procurer le formulaire d’inscription et les règlementsrégissant l’activité du symposium.

Jean-Pierre Durand et Lise Voyer

6e symposium de peinturede la gare de Prévost

du 28 juillet au 3 août 2003

Vice VersaJo-Anne Martel, Suzanne Boissonneault

La Ville à la Gare et la Gare à la Ville !Pour voir la Gare en peinture, la salle du conseil de ville

accueille en ses murs une exposition des plus beaux tableauxde la collection privée du maire Claude Charbonneau. À cetteoccasion, sont exposées trois des œuvres de la collection de laGare.Nous vous rappelons que les photos anciennes de notre ville

retracent sur les murs de la Gare, la vie du début du siècle.Bonne visite !


En effet les résidants ont eu lachance de vivre deux événe-ments bien distincts. Dans unpremier temps, les jeunes et lesmoins jeunes étaient conviés àparticiper à une séance d’initia-tion au patinage et, ce sous latutelle de Christopher Langevin,ex-joueur des Sabres de Buffalo,et membre de l’équipe NikeBauer qui, pour l’occasion afourni près d’une vingtaine depaires de patins. La paticipationa largement dépassé nos attentespuisque 48 personnes se sontprésentées. Certains ont pu trou-ver chaussures à leurs pieds. Leconfort était tel, et les pieds desenfants tellement enchantés queChrist, dans un élan de bonté,leur a simplement dit de les gar-der. Les images de gens ravisresteront gravées dans nos

mémoires et, espérons le, pourr-ront se renouveler dans un ave-nir rapproché.Dans un deuxième temps, le

match tant attendu, la minute devérité, la confrontation amicalemettait en vedette une partie denos élus municipaux et quel-ques employés de la ville contreles Gaulois du Lac Renaud. Stop !On arrête ici. Quels Gaulois ? Àvrai dire plutôt un petit grouped’amis du secteur, qui après unrecrutement de dernière minuteau marché d’alimentation Axepet plusieurs coups de téléphoneont formé l’équipe virtuelle duLac. À midi et demi, soit trenteminutes avant l’heure du glas,dans le petit pavillon de la gran-de patinoire du Lac Renaud,nous n’étions que trois à moitiénus à regarder le Maire et son

équipe revêtir leurs armures.Durant un court moment, l’idéede porter mon chandail d’arbitreme traversa l’esprit mais l’arrivéede Gilles, Ghyslain,Christopheret les autres me redonna vie.Après avoir ciblé notre gardien,tout baignait dans l’huile. Lesminutes défilaient, les pointss’équilibraient. Même le trioformé par le maire Charbon-neau, les conseillers Richer etParadis,qui jouaient pourtantd’expérience, tirait son épingledu jeu. La malencontreuse chutedu conseiller Joubert a de touteévidence découragé la brochettede pompiers volontaires. C’estainsi que nos Gaulois purentjouir d’une avance.Grâce à l’appui d’une trentaine

de spectateurs dont un arméd’un clairon, nous avons finalle-ment scellé l’issue du match.L’équipe du Maire a dû s’incli-ner, mais est toutefois repartie latête haute avec le pointage finalde 16 à 13 pour nos valeureuxGaulois.

Sur la patinoireÇa bouge au Lac Renaud !Stéphane Parent, président de l’Association des Résidants du LacRenaudPrès de 100 personnes se sont rassemblées, dimanchele 2 février sur un terrain glissant. Pour être plus pré-cis, il s’agissait de la patinoire du Lac Renaud.

Stéphane Parent en compagnie deChristopher Langevin de Nike-Bauer.

Les deux premières participantes, lesdeux premières paires de patinscomme les deux doigts de la main.

L’équipe des Gaulois.

À pied, en patins ou en carosse, tous les moyens sont bons aux yeux des par-ticipants !

Si un sourire vaut mille mots, deuxsourires...

M. le maire et le conseiller Paradis rencontrent une vive opposition car lesGaulois dominent toujours. Au centre ,on reconnaît le style de ChristopherLangevin.

L’équipe du Maire.

Gilles Pilon«C’est pas dans ma cour que je pourrais nourrir des chevreuils durant l’hiver » dites-vous ? Pourquoi pas ?

Prévost est un bel environnement champêtre et les forêts avoisinantes regorgent de beaux cervidés paci-fiques. Tentez l’expérience, construisez une mangeoire, mettez-y un peu de moulée à bovins odorante et biensucrée à la mélasse ou un peu de foin et soyez attentifs. Qui sait, au petit matin ou à la tombée du jour aurez-vous la visite d’une horde comme celle-ci ? En passant, il est hors de question de vous dire où cette photo aété prise… Et ce n’est évidemment pas dans ma cour.

Pas dans ma cour…

Match revanche prochainement !

Documents

Allons ensemble vers le Pacifique