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Introduction La phoéniciculture constitue la culture pivot de l’agriculture oasienne, elle constitue la principale ressource des habitants des régions sahariennes. Par l’apport financier, elle présente une grande importance économique pour l’arboriculture de l’Algérie. Elle engendre un potentiel de production qui s’est accru de 70% entre 1999 et 2006. L’Algérie compte 17 millions de palmiers, dont 6,5 millions produisent la variété Deglet Nour réputé pour sa qualité mondiale. Selon les statistiques du ministère, elle se classe à la sixième place de producteur mondial, elle exporte 15 000 tonnes chaque année dans tous les pays du monde .L’évolution de la palmeraie en superficie a été significative pendant la décennie 1983 -2006 du fait du vaste programme initier a son extension mais cette dernière n’a pas été suivie par un programme technique, en raison du peu d’attention donnée a cette culture (DUBOST, 1991). En effet, de nombreuses contraintes entravent le développement de la phoéniciculture en Algérie, et parmi ces contraintes : le problème phytosanitaire (Bayoud, Boufaroua, cochenille blanche et autres déprédateurs), des contraintes liées a l’environnement administratif, technique et économique. Tous ces éléments influent sur les palmeraies Algériennes et leur production.

Algerie Phoeniciculture

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Introduction 

La phoéniciculture constitue la culture pivot de l’agriculture oasienne, elle constitue la principale ressource des habitants des régions sahariennes.Par l’apport financier, elle présente une grande importance économique pour l’arboriculture de l’Algérie. Elle engendre un potentiel de production qui s’est accru de 70% entre 1999 et 2006. L’Algérie compte 17 millions de palmiers, dont 6,5 millions produisent la variété Deglet Nour réputé pour sa qualité mondiale. Selon les statistiques du ministère, elle se classe à la sixième place de producteur mondial, elle exporte 15 000 tonnes chaque année dans tous les pays du monde .L’évolution de la palmeraie en superficie a été significative pendant la décennie 1983 -2006 du fait du vaste programme initier a son extension mais cette dernière n’a pas été suivie par un programme technique, en raison du peu d’attention donnée a cette culture (DUBOST, 1991). En effet, de nombreuses contraintes entravent le développement de la phoéniciculture en Algérie, et parmi ces contraintes : le problème phytosanitaire (Bayoud, Boufaroua, cochenille blanche et autres déprédateurs), des contraintes liées a l’environnement administratif, technique et économique. Tous ces éléments influent sur les palmeraies Algériennes et leur production.

Présentation du palmier

A) Taxonomie :

Le palmier dattier a été dénommé Phoenix dactylifera par Linné en 1734, Phoenix dérive de Phoinix, nom du dattier chez les grecs de l’antiquité, qui le considéraient comme l’arbre des phéniciens, Dactylifera vient du latin dactylus dérivant du grec daktulos, signifiant doigt, en raison de la forme du fruit (MUNIER, 1973).

Le dattier est une monocotylédone de la famille des Arecaceae (MOOR, 1973), sous famille des Coryphoideae Griffith et reste le seul genre de la tribu des Phoeniceae, ce genre comporte douze (12) espèce (MUNIER ,1973 ; NIXON, 1978 ; OUDEJANS in FERWERDA et WIT, 1969), mais ce nombre reste encore incertain.

B) Exigences du palmier dattier

B -1) Climatiques Température

Le palmier dattier est une plante thermophile, son zéro de végétation est situé à 10°C, l’intensité maximale de végétation se situe entre 32°C et 38°C. La somme des températures nécessaires à sa croissance est de 4500°C à 5000C.Les variétés molles nécessitent entre 2100 à 3600°C jusqu'à la fructification, les variétés demi-molles de 3600 à 4700°C et les variétés sèches plus de 4700°C . HumiditéLe dattier est sensible à l’humidité pendant ses périodes de fructification et de floraison. Les forte humidités a la floraison provoquent la pourriture des inflorescences, alors qu’a la fructification, les dattes restent gorgées d’eau et ne mûrissent pas ou éclatent : la pulpes se fermente et pourrit.Les meilleures dattes sont récoltées dans les régions ou l’humidité relative de l’air est moyennement faible. Effet des pluies Les pluies automnales peuvent compromettre la production (récolte), celles du printemps à l’époque de floraison peuvent lessiver le pollen, et peu de nouaison se réalise. Effet des ventsLes vents ont une action mécanique et un pouvoir desséchant. Charges de particules, ils peuvent souiller la récolte, déchausser les jeunes palmiers, détériorer ou encombrer les planches et les bassins, et provoquer l’ensablement de certaines palmeraies.Ils augmentent la transpiration du palmier, entraînent la brûlure des jeunes pousses et le dessèchement des dattes, d’où la nécessité des brise vents qui assurent une protection de 10 à 12 fois leur longueur (OTMANE, 1996).

B -2) Pédologiques TextureLe palmier réussit bien dans les bonnes terres mais s’accommode très bien sur sols ingrats. En Algérie, les palmeraie se trouvent aussi bien sur des sols riches en éléments fin (Biskra) que dans les sols, plus au moins recouverts de sables éoliens(Ouad Rhir) ou dans les sols a sables éoliens(Souf). Propriétés physico-chimiques :Les qualités physico-chimiques demandées aux sols des palmeraies sont :-la perméabilité : le sol doit permettre la pénétration de l’eau à une profondeur de 2 à 2.5 m.-la profondeur : le sol doit avoir une profondeur minimale de 1.5 à 2 m.-topographie : pour une meilleure association irrigation-drainage, le sol doit avoir une pente de 2 à 6%.-salinité : la croissance est normale a une teneur en sels de la solution du sol de 10%, il peut tolérer une concentration de 15%. Au delà de cette dernière valeur, le pied commence a fleurir. A 30%, il n’y aurait pas de production, le flétrissement continue et à 48% le dattier meurt.-pH : le palmier préfère un milieu neutre, il peut s’adapter aux sols faiblement alcalins (MUNIER, 1973).

B -3) Hydriques   : En Algérie, on évalue les besoins hydriques du palmier dattier à environ 21344 m³ / an / ha de palmier ayant un écartement de 9×9 (HUSSEIN et al. ,1979)

2- Importance économique de la phoéniciculture en Algérie 

2-1)- Répartition géographique de la phoéniciculture mondiale :

Le palmier dattier, arbre de providence des régions désertiques, est principalement localisé dans l'hémisphère Nord , notamment aux abords du Golfe Persique, en Afrique du Nord et en Asie ainsi qu'en Amérique où il fut introduit dès le 18ème siècle . Le nombre de dattiers existant dans le monde est estimé à plus de 100 millions de palmiers. Sa répartition spatiale, fait ressortir que plus de 80% du potentiel de production est détenu par le monde arabe. Quant à la production mondiale de dattes, elle est évaluée à 3,7 millions de tonnes dont environ 70% sont générés par les pays arabes.

2-2) Superficie et répartition du patrimoine phoénicicole en Algérie :

2-2-1) Superficie

La création des oasis en Algérie est vieille de 14 siècles. Le potentiel phoénicicole est estimé à 17 millions de palmiers et couvre une superficie de l’ordre de 154 372 hectares (Ministère de l’agriculture d’Alger, 2006).

Tableau 1 : Superficie et nombre de palmier dattier en Algérie

WILAYA

Superficieoccupée

Deglet Nour(Dattes fines)

Ghers et analogues

(Dattes molles)

Deglet Beida et analogues

(Dattes sèches)

Total palmier dattier

Ha Nbre d’arbre Nbre d’arbre Nbre d’arbre Nbre d’arbre

1 ADRAR3 LAGHOUAT5 BATNA7 BISKRA

29 104361307

40 210

014 1001 800

2 446 700

09 9603 750

524 540

3 639 16012 64028 000

1 075 940

3 639 16036 70033 550

4 047 180

8 BECHAR11 TAMANRASSE12 TEBESSA17 DJELFA28 M’SILA

12 0855 5591 226

890

00

92 7605 610

0

00

10 650 1 860

0

1 405 120630 270

8 770710

0

1 405 120630 270112 180

8 1800

30 OUARGLA32 EL-BAYADH33 ILLIZI37 TINDOUF

20 191906

1 182391

1 234 61022 4007 280

0

904 71043 60071 15040 960

151 39050 00043 330

0

2 290 710116 000121 76040 960

39 EL-OUED40 KHENCHELA45 NAAMA47GHARDAIA

32 593690498

8 980

2 228 70042 6901 790

436 000

781 19059 740 48 010

175 000

389 20011 540

0438 000

3 399 090113 97049 800

1 049 000

TOTAL ALGERIE 154 372 6 634 440 2 675 120 7 884 070 17 093 630

Source : Ministère de l’agriculture, 2006

2-2-2) Répartition géographique de la phoéniciculture en Algérie

La palmeraie est essentiellement concentrée dans le sud-est, son importance décroissant en allant vers l’ouest et le sud.Selon MESSAR (1994), il situe la palmeraie algérienne comme suit : dans le Sud-est

( El Oued, Ouargla et Biskra) qui possède 67% de la palmeraie algérienne, le Sud-ouest (Adrar et Bechar) avec 21% de palmeraie, l’extrême Sud(Ghardaïa, Tamanrasset ,Illizi et Tindouf) avec 10% et d’autre régions qui représente 2% de la palmeraie.

Figure 1 : Répartition géographique du patrimoine phœnicicole en Algérie.

Tableau 2 : Localisation des palmeraies

Willaya palmiers en 1985 palmiers en 1994 palmiers en 2006

(Milliers d’individus)

El Ouad 1 876 2 270 2 464 860Biskra 1 808 2 095 2 360 580Ouargla 1 258 1 680 1 794 660Adrar 1 276 1 342 2 228 340Ghardaïa 499 548 696 500Bechar 496 534 430 180Tamanrasset 192 299 307 140Illizi 15 50 30 490Tindouf 5 5 5 000

Autres willaya 193 183

Totale national 7 519 9 007 10 475 150

Source : Ministère de l’agriculture, 2006

2-3) Profil variétal 

Du point de vue des variétés (tableau 3), on distingue une prédominance totale de la ‘’Deglet Nour’’ dans les zones Sud-est du pays( El Ouad, Ouargla et Biskra), une présence marquée du type ‘’Ghars’’ dans la cuvette de Ouargla, Biskra, El Ouad et

Ghardaïa. On remarque des espèces très divers de palmier ‘’Deglet Baida’’ et analogue de faible valeur marchande dans le Sud-ouest.

Tableau 3 : Structure variétale de la palmeraie Algérienne

WILAYA

Deglet nour (Dattes fines)

Ghers et analogues(Dattes molles)

Degla Beida et analogues

(Dattes séches)

Nbre d’arbre Nbre d’arbre Nbre d’arbre

1 ADRAR3 LAGHOUAT5 BATNA7 BISKRA

01 300

5001 240 480

06 1102 350

368 210

2 228 3406 030

17 700751 890

8 BECHAR11 TAMANRASSE12 TEBESSA17 DJELFA28 M’SILA

00

14 7001 850

0

00

7 650400

0

430 180307 140

8 350210

0

30 OUARGLA32 EL-BAYADH33 ILLIZI37 TINDOUF

918 960100720

0

768 71011 72015 7105 000

106 9905 800

14 0600

39 EL-OUED40 KHENCHELA45 NAAMA47GHARDAIA

1 598 4509 010

0252 000

505 85041 75015 000

104 500

360 5606 870

0340 000

TOTAL ALGERIE 4 038 070 1 852 960 4 584 120

Source : Ministère de l’agriculture, 2006

2-4) Production de dattes et rendements

Tableau 4 : Productions et rendements

Deglet nour( Dattes fines)

Ghers et analogues(Dattes molles)

Degla Beida et analogues (Dattes séches)

Ensemble palmier dattier

WILAYA Production Rdt Production Rdt Production Rdt Production Rdt

qx kg/arbre qx kg/arbre qx kg/arbre qx kg/arbre

1 ADRAR3 LAGHOUAT5 BATNA7 BISKRA

0420380

899 340

0,032,376,072,5

01 8501 160

206 560

0,030,349,456,1

548 5501 9307 340

537 490

24,632,041,571,5

548 550 4 200 8 880 1 643 390

24314369

8 BECHAR11 TAMANRASSE12 TEBESSA17 DJELFA28 M’SILA

00

6 440600

0

0,00,0

43,832,40,0

00

3 150120

0

0,00,0

41,230,00,0

126 04058 7502 790

80 0

29,319,133,438,10,0

126 04058 75012 380

8000

291940320

30 OUARGLA32 EL-BAYADH33 ILLIZI37 TINDOUF

469 89050

2500

51,150,034,70,0

290 7405 8606 2901 600

37,850,040,032,0

40 6902 9005 320

0

38,050,037,80,0

801 3208 810

11 8601 600

44503832

39 EL-OUED40 KHENCHELA45 NAAMA47GHARDAIA

924 2304 880

238 73020 8808 290

50 500

47,250,055,348,3

172 4404350

0140 500

47,863,30,0

1 335 40030 1108 290

321 500

54525546

Source : Ministère de l’agriculture, 2006

Selon le ministère de l'Agriculture, le potentiel de production a augmenté de 70% entre 1999 et 2006, grâce à l'extension de la superficie occupée par les palmeraies. Durant cette période, les surfaces consacrées à cette activité sont passées de 99 746 hectares à près de 170 000 hectares, avec 17 millions de palmiers dattiers, sur les quels 10,3 millions sont productifs. L’Algérie ce place au sixième rang mondial des producteurs mondiaux des dattes. Elle est le deuxième plus important producteur la variété Deglet Nour au monde, après la Tunisie. Selon le ministère algérien de l'Agriculture, la production de dattes a atteint le chiffre record de 550 000 tonnes en 2006.

Au cours des dernières années, la progression a été due à la restitution des terres nationalisées à leurs propriétaires, à la réalisation de forages sur l’ensemble des palmeraies, à l’assainissement des oasis de Oued Ghir et de la cuvette de Ouargla, à la disponibilité des facteurs de production et à l’appui technique par une vulgarisation renforcée à un niveau plus décentralisé.

2-5) Evolution du patrimoine phœnicicole en Algérie 

Figure 2 : Evolution du patrimoine phoénicicole

L’évolution du nombre de palmier a été très lente, il faut attendre l’application de la loi portant accession à la propriété foncière agricole (APFA), par la mise en valeur agricole des terres sahariennes, en 1985, pour voir les plantations reprendre mais a rythme toujours très lent, Entre 1978 et 1999 donc, plus de deux décennies, il a été planté quelques 3 836 530 palmiers, soit une moyenne de 182 000 palmiers/an.Le verger phoénicicole a connu une progression sensible mai elle n’a été significative que dans le cadre du Plan Nationale de Développement Agricole et Rural (PNDRA), commencé en 2000. A la veille donc de ce plan le nombre de palmiers était de 11 670 330 millions de palmiers (100 120 ha).En 2005, ce potentiel est arrivé à 15.5 millions de palmiers (128 800 ha), soit une progression de quelques 3 millions de palmiers (moyenne de plantation d’1 million de palmier/an).La valeur produite par le potentiel phoénicicole est estimée à 5.50 million de dollar, et notamment grâce aux exportations de la variété de réputation mondiale la Deglet Nour.

2-6) Exportations de datte

Figure 3 : les exportations de datte en volume

Source : CFCE/UNSO ,1995

Figure 4 : les exportation de datte en valeur

Source : CFCE/UNSO ,1995

En ce qui concerne l’exportation de datte en volume, l’Algérie se classe sixième avec un faible taux et cela est due au manque de financement pour le conditionnement, l’emballage et le transport.Par contre, on la trouve toujours sixième pour les exportations en valeur mais avec un taux nettement bien élevé, cela grâce à la varièté Deglet Nour, très prisé pour sa qualité qui est apprécier par le monde.

La datte algérienne est en perte de vitesse. Aussi, malgré une production prolifique qui a atteint les 516 000 t en 2005, l’Algérie n’a exporté que 23 000 t, soit à peine 5%.

3) Problèmes techniques de la phoéniciculture en Algérie

Les principales contraintes entravant le développement du secteur phoénicicole peuvent être résumées comme suit :

* Le Bayoud (maladie cryptogamique); il constitue un véritable fléau pour notre palmeraie. Cette maladie est apparue au cours du siècle dernier et a détruit plus des deux tiers de la palmeraie Algérienne. Actuellement il ne cesse de progresser d’Ouest en Est, menaçant de s’attaquer aux 3 millions de palmiers dattier de Ouargla, Tougourt, Biskra et El Ouad.

* L'insuffisance des ressources hydriques et les conditions de sécheresse qui sévissent régulièrement dans les régions de production.

* La désertification et l'ensablement qui menacent la palmeraie.

* La faible taille des exploitations et leur morcellement en plusieurs parcelles ne permet pas l'émergence d'unités de production viables et économiquement rentables.

* L'hétérogénéité du matériel végétal, aggravé par la persistance des modes de multiplication traditionnelles (semis, rejets) et le non maîtrise des techniques de production, d'où les faibles performances du secteur.

* La valorisation insuffisante de la production dattiere, notamment en matière de récolte, de séchage, de traitement et de conditionnement des dattes.

* L'absence d'organisations professionnelles actives au niveau des zones de production concernées.

* Faiblesse voir même l’enexistance de moyens financiers alloué à l’appui technique.

* Insuffisance voire même absence d’une couverture phytosanitaire adéquate notamment pour l’observation de l’évolution de la palmeraie et de la signalisation.

Conclusion

La datte représente un produit essentiel d’échange et de rente dans les oasis Algérien,

Mais le problème de l’exportation reste un handicap majeur pendant que le marché national demeure majoritairement parasité par des pratiques de mauvaise loi, rendant ce fruit, très prisé de tous, pratiquement inaccessible aux bourses moyennes .Les problèmes de commercialisation des dattes algériennes sont le résultat d’un certain nombre de contraintes dont les principales sont : présentation peu satisfaisante des fruits, due principalement au mode traditionnel de récolte, de stockage et de conditionnement, des difficultés de conservation liées en particulier à l’importance des dattes molles et à l’absence de traitement des dattes aussi bien avant qu’après la récolte, un faible pourcentage de production commercialisable qui s’explique en particulier par la relative importance des variétés de faible qualité marchande. Hormis Deglet Nour, les autres variétés restent peu connues et donc peu appréciées.Ainsi, un nouveau dispositif a été mis en place par les pouvoir publics afin d’encourager et de faciliter l’exportation de la datte, le conseille interministériel a crée « le couloir vert » qui vise a mettre un terme a tous les obstacle que rencontrent actuellement les exportateurs de ce produit notamment en matière de transport en cette manière toute les dispositions seront prises pour un acheminement rapide des quantités à exporter.

Références bibliographiques

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