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- JS'* 74- CliNQ CËJVTiH£S Le Numéra — CI0MJ G K N T li(% A & m 'HOXE N“ 135 ■" On demande pour travail]»! ■^Drication des bois d’aén.1 ■nm bon ouvrier m en^| isser à M. BARBIER, carroj.1 bntilly. ' On formera quelques a a J |3 mécaniciens présenSi fents, à l'Aérodrome de entre 4 et 6 heures. On demande deux 'hon llout faire sachant conduin au Bureau du‘-üurnal. 7 a ■On demande un conuu Iservice et un sommeik» ^rie Félix POTIN, à Senlîs/ 76l| • La Maison JOBERT, nju. , rue de TApport-aa-Paiii i _ demande un appre ' |ier présenté par ses TÏd M. MOQUET, agriculteorl teque, demande un ch q m a r i é . ' Jeune fliie, 15 ans,n bar ses parents, désire ea ïgasin de nouveautés. . au Bureau du Journal, yj _ Maison DESCOMBDt Idemande un jeune iaeâ % r faire les courses. Conel 1 10 francs par mois et 1 1 res. On demande u n e bo^ p. faisant bien cuisine e.tj. 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FcKKfée m Itl» nies admilairei' I 87, PAZUS miLUIONS r VIE fdotilB— CiplanSiôâ i la Compagnie i I L LIO N S 3 fraâes Tersé» àTOms... 11 fir. 78 j : à 75 ans... 13 Or. 9T iesaossian profit QDombre d azint^ M iLUONS puta^le» antres J3ÆSÎV-; r^îSifÜ liM Paraissant le Jeudi et le Dlmanctie. JOURNItL OE BilfLIB Rédacteur en chef : l«otip n le Jeudi et le Oinand^ Mracb ............ gain .. « fc. .. «<r. soxrzraixfiiBiin’XB les bnremox és poste. — L’abeoBem^ • fi. I d’evstteo et eontmne de plein droit jnsqaft iMoptioa d’evis eontreiro. ■ fi. pmrfat 1> en do IS de enaqn# SMie. BUREAUX, Éa>AÇnON & AMONISTRAHON SBMXiIS - 11, Plane 4e l’HMed.eUfVlUe, 11 — S K M IilS :w X,et manutcrtis, imérét «tt nefii ne tant ~pâ* rendue. t Fkiie.etiis OiptnwMlt e ijOUDlL c taisavx da Senlis, le 27 Septembre 1911. La Catastrophe de Toulon. Un deuil national succède à cette brillante revue navale passée il y a quelques jours à Toulon par le chef de l’Etat. Triste lendemain de fêtes ! On était encore sous l’impression de cette beüe journée, de l’imposante flotte dont le dèfllé avait été si cha leureusement acclamé par une foule immense. Yoici qu’une épouvantable catastrophe met en deuil notre marine et la France^ entière ! Al’heure où nous traçons ces lignes, les circonstances dans lesquelles se sont produites les explosions de la « Liberté » ne sont pas connues. On sauve les blessés, qu’on transporte à l'hôpital; les télégrammes de condo léances arrivent de toutes parts ; les cadavTes sont arrachés à la mer et nous pleurons ces existences humaines qù’une mort horrible -v-ient d’enlever à leur famille, à leur patrie. A la vue de ces innombrables victimes succom bant en pleine force de l’âge, une in dicible émotion étreint les coeurs fran çais et aü-del'a des frontières soulève un cri de douleur bien légitime chez l’étranger lui-même. Devant ce fait brutal qui nous rap pelle notre faiblesse contre les élé ments et les secrets impénétrables de la science, nous rendons hommage, au plasfort.de notre douleur, à ces morts üii .rieux lauchés au champ' d’honneur. Deux à trois cents victimes — en coinptant les malheureux rescapés qui ne survivront pas â leurs blessures — et l'une de nos plus belles ymités de guerre, engloutie, anéantie, tel est le bilan de cette journée tristement mé morable qui s’ajoute à la hste lugubre déjà longue de nos catastrophes na vales. Aucune puissance du monde n a subi de si nombreux et terribles désas tres. Les malheurs qui s’acharnent sur notre marine, au moment critique où nous là réorganisons pour la mettre à la hauteur de celles des grandes nations doivent appeler la surveillance la plus étroite de nos engins de guerre et de nos poudres. Les soutes ont-elles été attaquées par le feu avant qu’on ait eu le temps de les inonder ? La déflagration de la poudre noire s’est-elle produite mal gré les prévisions sous l’action de la températLU*e? Quêlâ sont les survivants qui pourront nous diré dans quelles circonstancés se sont produites les premières détonations précédant celle qui devait tout exterminer ? Autant de points obscurs à l’heure actuelle, qm ré'clàiùènt en haut lieu une enquête sévère, minutieusé pour étâbür les responsabilités. , Ou éprouve une vive répugnance à l’idée que des. mains criminelles ont pu allunièr l’ihcendie de la Liberté ou provoqùer l’explosion des soutes. De tels' forfaits déconcertent l’être qui a conservé encore quelques notions de sentiments humàdns Mais le relâchement de la discipline, à bord dé ce navire en particulier, est certainement la cause première du manque de surveillance dont on s’en- ib-etient dans les miliettx bien informés. L’inciMe, Tindis.cipfine, l’anarclne daiis les arsenaux- cûïnpié sur nos vais seaux ont été, qu’on le sache bien, la cause initiale des terribles malhéurs 4fid, dëé dernières 'ânnfeg, ont afl^é notre miufeé. Voil^ ce que l’enquête, ouverte par l’autorité mflitâire,. ne manquera pas d’établir. Cette nouvelle leçon qui nous est infligée , est trop dure pour qu’eUe ■ne poité pas ses fruits. H ne suffit pas d’hohocer, de plqurep les morts et de secomrir les familles des victimes, Une •victime de la vie chère. — On se souvient qu'au cours de l’émeute de Billy- Montigny, l’un des manifestants, le mineur Hubert Dieudonné avait été tué d’un coup de revolver par le boulanger 'Wills. Ce dernier, que la foule avait violemment malmené a-Pres la scène tragique, avait été transporté a 1pital de Béthune où il dut subir 1opération du trépan. 11 vient de succomber à ses blessures. Ecole d’électrîelté Bregnet. — La rentrée des classes est fixée, pour les internes, au mardi 3 oclobre. Les cours recommenceront le mercreat 4 octobre. ' , . Nous apprenons avec plaisir les succès sui vants remportés par. l’Ecole Breguet durant ces dernières grandes vacances ; 1” Exposition de Saint-Mandé ; Grand Prix. 2“ Exposition du Nord de la France, Rou- baix : Grand Prix (avec félicitations du Jury). 3” Exposition internationale de Tnnn ; Hors concours (Membre du Jury). Mopt d’un Evêque. Mgr Touzet. évêque d’Airc et de Dax, qui résidait à Saint- Sever, est décédé samedi soir è 2 heures, au château de t'oyanne, où il s’était rendu, il y a trois mois, pour visiter le grand séminaire. Au cours de celte visite, le prélat tomba dans un escalier et se fractura le col du fémur gauche ; il était en voie de guérison, quand un anthrax se déclara à l’endroit cicatrisé ; il fut opéré, mais là fièvre ei une violente attaque d'âlbnmi- nerie se déclarèrent et l'ont emporté ; il avait près de 70 ans. Mgr Toiizet était né à Couret (Haute-Ga- ronne), le 20 jsnvier 1842. Préconisé évêque le 21 février 1906, lue des 14 premiers évêques nommés après la séparation, il fut sacré à Rome par Pie X, le 25 février 1906, et prit possession de son siège épiscopal le 8 mars suivant. 11 était précédemment vicaire-général, de l’archevêché de Toulouse. lii. Fatliêres amène la plaie. — Les éperoiis vérts de M. Fallières... Voilà six mois qu’il n’avait pas plu en Lot- et-Garonné. Notre excellent président énonce sa tournée sur le parcours Nérac-Méziu-Lou- pillon. , Et, suivant, la tradition, la pluie se met à tomber... comme en Ifunisie. Ce président hygrométriqne est réellement bienfaisant pour l’agriculture de la France et des colonies. ___________ La hiver. — Il est admis, en principe, en Allemagne —les coursde laKregs Akadémie le prescrivent — qu’une gu--rre contre la France doit avoir lieu en automne et en hiver. Les troiipes allemandes supporte raient mal la chaleur, tandis qu’elles sont aguerries'au frOid, infiniment plus rigoureux au delà du Rhin que chez nous. Jamais nos voisins n'ont pensé à la guerre au printemps, dont nous parlons volontiers, parce qu’après le printemps vient l’été, défa vorable aux Teutons incapables de supporter le soleil et la soif. _______ _ Quiproquo !' — Un amusant quiproquo s'est, dit-on, produit dans un théâtre du boulevard où se répète une pièce nouvelle. On en était à l'a moitié du premier acte, lorsqu’une voix se fit entendre et.qui formulait tout haut des critiques. Le directeur et l’auteur bien qu’un instant interloqués, ne dirent rien. Le second acte commence. Tout d’un coup on entendit : « C’est trop long cela... Il faut couper ici... 11 y a là une faute de goût. » Cette fois le directeur n’y tint plus et s’a vançant devant le trou du souffleur cria dans la salle. : — Qui êtes-vous monsidBr ? De quel droit ces critiques '?... Vous n’avez rien à voir ici ? Que la scène soit courte ou longue, c'est mon sfiRirc çtCr Alors on vit s’avancer la principale inter prète : « Je vous demande pai^dn» M. le di recteur, mais ce n’est pas à la pièce que ces critiques s’adressent, mais à là robe... que mon cbuiurier m’essàyait à’ cdté. » une gerbe immense de feu était projetée dans le ciel. Ce fut effrayant. « Une détonation épouvantable retentit ; des débris de toute sorte furent projetés de tontes parts. Sur divers navires des trois escadres, d’immenses morceaux de fer tombaient et sur la R^ublique les dégâts furent des plus sérieux. « Au milieu de cette explosion formidable, toutes les embarcations qui se trouvaient autour de la Liberté-, tontes les fragiles na celles chargées de vies hnmaines, furent prises dans le remous et disparurent dans le bruit augoissatit des clameurs désespérées. <<Du magnifique navire il ne devait pas rester grand’chose ; nous ne pouvions d’ail leurs nous en rendre compte ; la fumée et le bouillonnement de l’eau le dérobaient à nos yeux. B Les vietimes. A l’heure actuelle, on ne sait encore exacte ment combien de personnes ont trouvé la mort dans cette catastrophe. On estime à environ 300 le nombre des hommes du Liberté dispa rus, mais l’explosion a été si violente qu’elle a causé, sur les autres navires de l’escadre, des d é^ ts et des pertes aussi sensibles que ceux d’un combat naval. Sur le Démocratie on compte 20 tués et 50 blessés ; sur le République^ sur le Vérité plusieurs marins, atteints par des débris, ont également succombé, enfin, sur le Léon Gam- betta, l’enseigne de vaisseau Gabold, a été tué par la cfaûie d’une masse de fonte. En ville de Toulon la panique fin effroyable : Dah^ certaines rues,ce fut unevérilsble pluie de projectiles divers, parce que la circulation, à ce moment, était pour ainsi dire nulle. Plu sieurs devantures de boutique furent détério rées ; on cite particulièrement le rideau mé tallique de la maison Mille, sur le cours La- fayette, qui fut complètement faussé ; au Grand- Paris, il y eut aussi des dégâts, et aux Dames de France, des étalages furent bouleversés ; dans plusieurs boutiques, il y eut de nombreux objets brisés bu mis hors d’usage. llie Terri poftf é^a^nisF’àtiW êm arne rffe'èoiivéànx jours dé défiul. Loup BERTROZ. Ëefios ei d e <WnSfi w e. Dman- genttaf V liâte'dir viBage fMotière X"-*— gMJôÉei'eBiiœentre cOMt eenltine en Eâï» aoaezé, ..t, I . filâM en .'té â'wws Explosion d.u cuirassé ■ Liberté m en r a ^ de Toulon. Près de 30U tués. Une ealàstrophe énonvantable a eu, lundi, pour théâtre la rade de Toulon, déjà tristement célèbre par les explosions du Magenta, du léna et de la poudrière de Lagoubran. Le cuirassé Liberté a santé, vers 6 heures du matin, avec tout son équlpaëe. Voici les premières dépêches telles qu’elles sont parvenues â Paris : Fremièré dépêche. Liberté, mouiUée sur rade, a (ait explosion à 5 k. 51. Deuxième dépêche. Toidon, S5 septembre. Anüral Saint-louis A jmarine Paris. 4 Ce m atinâ 5 h.'S5 guadre eàtpXoiibns ont été'ëntendiKs a eàié miidité d’mterialle à bord ùbertèi pttii'grandd fitmèe, erisiptr-ne, flammes sent montées en permn ■•.■i e\ dans là-hune lie misaine et à 5 h. 53 une explosion ^ s*est produite .et le. bâtiment a coulé - I Lacoamofiou lbtjparalt-4-lv épouTa itàble : ! les plaisons du quai- (ïonsladt, ébranlées, eurent leurs carreaux brisés, tandis m e le bruit s'en faisait eptendre à pins de cinq lieues à la ronde, à Hyèrès, à papdpl, â S'olhès-Ville, **jjn des marins tJU Jtépubtique, cuirassé ancré à 300-mètrea ènyison de ta, a-fait de la catastrophe le ^ m t svûvant a LérévéilecBiit.soitné., .................. <( 'Cbnt rêqiiij|)^ éfitit h sdh occupation ordinfiré. , « Tout à coup, à d h. aL od sigddiu m e le ■feu s’est dédaw ''h Bidxf m Ih'Aiêiiim. On ;rde éb du s^ri^it, éu efflefi un >rd bâbord.avant; dBS’flamaesiqul'atéébap- '>erté, d’où partaient aussi des lapx. , - La situatinn, éiéait évidepil, desenail dè pldséffplns De foiia lesbj présents sur rade, dea pptbmçgtipBg M i Sièrent'poui aller m 'énronm dpT toil Enes' dfiStèreifi' en" hâte. (SPWt dôBf h II dé la iièerâé utt îSuVe^ . houâies sautticBt pm> lea i Il nous faut, en passant, signaler un fait bizarre, qui épouvanta pendant deux secondes, qui parurent deux siècles, les personnes qm. J : demeurent dans les environs de la cathédraley ces genS'là nous ont affirmé avoir vu osciller d’une manière effrayante le haut clocherxjui domine la ville ; ils s’attendaient, noos ont-ils dit, à une chute, et il ne leurvilft pas à l’idée de fuir ; ils demeurèrent absolument médnsés devant ce spectacle, aussi terrifiant qn’înatten- du ! Mais la rafale passa, et le clocher dcaneura entier. La République a eu l’arrière enlevé par bâbord ; les chambres d’officiers n’existent plus. Deux ponts ont été défoncés. Une plaque de blindage de la Liberté est venu s’abattre sur la place d'arrière-bâbord. Elle a défoncé la chambre d’un enseigne absent. . Le matelot clairon de la Liberté a été pro jeté sur ‘a République. Il tenait encere la main crispée sur un débris de PinstrUment avec lequel i! sonnait l’alarme. La nonvelle de l’explosion du Liberté a causé dans toute la France la plus grande émotion ; mais c'est surtout dans les ports, à Cherbourg,, à Brest, à Lorient, à Dunkerque et à Marseille, qu'elle a été la plus vive. Des condoléances ont afflué à la Présidence et au Ministère de la marine, venant de Ijé- tranger : l’Empereur Guillaume a été un des premiers à télégraphier sa sympathie à M. Fallières. Les causes du sinistre. A l’heure actuelle on ne peut connaître exactement les causes de cette explosion ; on a parlé de malveillance, de sabotage, inais rien n’est encore venu confirmer ce bruit .qui a pris une certaine cdusistance. D’àûtrés péiaoh • nalités assurent que c’est encore un méfait de la poudre B, dont la déflagration spontanée a déjà causé l’explosioii de 1/énô. . Le cuirassé'Ziê'efïé quî faisait partie de,la 2" escadre a été mis eh chantier en 1902 par' M. de Lanessan, alors ministre de la marine! 11 a été lancé le 19 ayriL lopS et est, entrée eu service en 1908. il faisait partie d’une série de six qui fonnenf actueûémeitt la 2' escadre. Les caractéristiques étaient : déplacement, U.785 tonnes avec 133 m. 80 de longueur, 24 m 20 de largeur et S m. 40 de tirantd’eau arrière. La puissance de ses machines éta t de 20.500 chevaux ; il avait trois hélices et sa vitesse aux essais avait été de 19 noeuds 30. , Son artillerie-comprenait cpiatre pièces de 305 millimètres,.dix de.194, treize de 65etdi.x de 47 ; son armement était complété par deux tubes lance-torpilles sous-marins. Sa protectioB était assurée par un poi.t cuirassé de 50 à 70 millimètres d’-épaisseur et un euirrassement à la flottmson de' 280 mil limètres au milieu et de 480 aux'^trémité.s. Le cuirassement des tonrelles.de la grosse artillerie était de 320 millimètres d’épaisseur et eelui de i’artillerie moyenne de 200 milli mètres. .. La Liberté avait coûté 41 millions. En (iemière henré.qn, donne comme bilan officiel 204 tués et 136 blessés. qne la continuité des services publics soit assurée, que le sabotage soit réprimé impitoyablenient, qu’enfin « aucune asso ciation ne vienne s’installer comme un véritable contre-gouvernement en face du gouvernement légal ». Son discours a été fort applaudi et méritait de l’être. Les idées qui y sont exprimées répondent assurément, eh ce moment plus encore qu’en toiit autre, au sentiment général des électeurs. On les retrou-ye, presque sous la même forme, dans un certain nombre d’allocutions qui ont été pronon cées ces jours derniers sur d’autres points du territoire. Le gouvernement est assuré de l’approbation de l'immense majorité du pays si; comme il a commencé à le faire, il continue de tenir tête aux agita teurs et aux révoiutionnairés, et s’il dé ploie dans l’accomplissement de cette tâche encore plus de fermeté qu’il ne l’a fait jusqu’ici. be Goflfflt Itaroeain. Viers i^èàleiiitë. L’impression causée à Berlin çar les quelques échos parvenus juSqu ici sur le Conseil des ministres est des plus favoTables. On considère, en général l’accord relatif au Maroc comme réalisé et on espère que les délibérations sur le Congo ne sé heurteront pas à de grosses difficultés, de sorte que le traité pohira être signé dans une iqainzaine de jours-au plus tard. Au Convent. L® conv.'riL du Grand Orient de France s’est teriniiié samedi. . . Au cours de sa dernière séance, le rappor teur des vœux politiques et sociaux, M. Vais- sière, a déposé une motion en faveur de la libération de tous leè côndàtànés politiques. Il a indiqué que ce vœu visait instamment le cas de M. Gustave Hén’é. . Des orateurs oirt rappelé qu’au moment où la franc-maçonnerîè-était violemment attaquée .par des syndicalistes, M. Gustave Hervé avait pris sadéfease.- M. fipbierre, président du conseil de l’ordre, a émis un avis favorable à cette motion qui a été adoptée par le convent. Si un Gustave Hervé a défendu la franc maçonnerie contre les attaques des syndica listes, c’est parcequ’il savait fort bien que cette secte est anti-patriotique parceque com posé d’éléments révolutionnaires et interna tionaux. Aujourd’hui la franc maçonnerie prouve qu’il a eu raison et lui manifeste sa reconnus- Sahce d’avoir si bien conipris ce qu’elle était' eh demandant sa libération. Et à nous, son. geste prouve que nous avions raison en affirmant que les francs maçons étaient capables de tout, même de yendrela France s’ils le pouvaient. Il y a des individus qui persistent à dire qne le cléricalisme c’est rénnemi ; ils se trompent, aujourd'hui nous avons un ennemi bien plus redoutable : c’est la franc maçonnerie. aüioMdéélé Lecp— ienirft . alQBBÎBBtnMliBBBété sur les lieux f àé'ffreei- Itou battait son meot où le saovetage de . . _ pleâ, ni mcMeiit où l on croyùt eoto Mimir aeMe m i té suinte hdde, çle M. Çochery. B ï pt enâDLpldeè ân'fatilèlül dé la gré- âiïèùce 'dù' Corisèil géné'fat du’ Loiret,^ M. Cochery a constaté en quelques moto le- sang-froid dont notre paye vient* de faire preuve*dans-une situation exténeure iMcite. Én entre, il a prononcé' (T,éacel-; fentes paroles sur la nécessité qni stepose à tout gouvernement, et surtout â un pçun- Ëhacnn, sait qqe cette- réflexiop btmaleprepdèéi-BOtPê époque, dp-Cîfrac» téré'd’aètiialifé tiadt panibaliér, Ip respect de la légâUtë n^a, tenu aiihmt de ^ c e - dans le- programme diinstniçtiolL civique professé'aux «nfants-déé* i^les primaires. Jamaté cette obligatraii â ^ e n - taire dù citoyén’D’|étd pl^s ^Qténtvjlolée : lâ pfanqùg; papcéiqos lautortié né ' sait' plus se faire respectep. MM- dfrigés; : Mg 'sgatenü|, ' pres^* Cèrtaing 'ÿétré ^ trbg Çdneriiej les' foni^énnwieà ont pdnr piêoCcupation principale fié lad'pas se compromettre, et les ad m in is^ bitnent de-ptus-ffla l|jddé qt*. (pB tdoTénce p o d P 'A p ^ e c - t e ^ If, Cochery demande ^ e tontp tranraresf sionda la scdtyimiirasmént^priT mté,qQatéli]Mrté'dalràrauinitfiNmne, A peine la quésüon marocaine est-elle entrée dans une phase plus calme,' que de très graves compfications surgissent du côté de l’Orient. A la Suite; d’uné cam pa^e de presse énOrgiqiie, i’tlàli'é aiiràR dfei'dé fioceu per la TripolUaine où la vTp de ses nationaux ésl'en danger. .Dne escadre serait déjà en rdule'-pour débarquer des troupes. .Dn s’attend à une résistance très vive de la part de la'Turquie. VEcho de Paris publie à ce sujet la dépêche'de dérhière heure- qui dëpèint la situation coin'fflè sérieuse : 'Les préparatifs militaiieS'de la Turquie sput poussés avec une activité fébrile. Ceci paraît s’^ liq u e r par une nouvelle grave que je vous communique sous toute réserve; bmn-. qu’elle provienne de la meilleure source. On dit qu’un accord à été; conclu entre l’Auiriehe e t la Porte. L’ABtriché, aiix terme»;deicet accord, E n gage ^faire qne"(iémDn8tration militaire sur la froudè're itàUenne,.pOttr le cas où l’JiaB» s’em- parèrait de 'Tripoli, p autre part; et par voie de réèohnaissancè, té Tutqnté s’eftircera dS'Onti- tri-raffér l’influence slave dans la péninsule balkanique. De .plus, un accord du mêmegeuré a été couele, dit:pà; avec la Roumanie pour le caaoù des hostilités, éctetetaient danqles Bal- L’ambassadeuÇ'alletqqnd, Marschall von BÏébeésiein. a eu p Igngtéitcetieu, hier, avec le grand-.visif, téais la.piesse .n’a reçu aucun communiqué. Toulefpis, j e . suis en mesure de démentir la rumeur suiyant téqueUe leqnltan aurait réclamé l’ibtgiyen(îbn de Tentperguf Gqûï’râirie'ment aux*'alÜ'és'’d ô 'ï t a & là France, l’Angleteiraet la Russie ssmblenl Tùi prêter le plus chaleureux appui, i Tbulôiu Les projets d’occupation de la Tripolitaine par l’Italie se précisent et se développenL 11 n’est pas douteux qu’à Rome on estime que l’heure est venue d’agir, car demain peut-être il serait trop tard. Aussi se prépare-t-on chez nos voisins avec une hâte fébrile. Les choses eu sont arrivées au point que le moindre inci dent peut déchaîner les hostilités. La Turquie résistera, ce n’est point douteux. Le nationalisme jeune-turc ne s’accomodera jamais d’un marché, si avantageux futril, et il se résoudra à 1 a lutte quel qu’en doive- être le ) résultat. L’Itahe, ayant té maîtrise de la mer, est) assurée delà victoire finale. Mais les difficultés qu’elle aura à surmonter seront terribles. Tout d’âbord, en Tripolitaine même, elle aura àt lutter contre une armée fanatisée et line popu lation hostile ; déplus, eu Ttirquie, des repré- ’ sailles se .feront rudement sentir contre ses nationaux et son commerce. Comme pou s l’avons dit, la Fran'Cq n’a au cune objection à élever au sujet des projets de l’Italie. Celle-ci a loyalement r e ^ i les enga gements qu’elle avait contractés avec^ous. On s î souvient, en efi'el, qu’à ilgétéras, . quoique faisant partie de la Triple-Alliance,'eue a réso lument défendu notre point de vue. Depuis, notre effort au Maroc a toujours rencontré auprès d’elle tout l’appui désirable, Dans ces conditions, il est naturel qù’èllé trouvé auprès de nous la même amicale bonne.yolonté. Nous pouvons déclarer d’ailleurs qii’ên la circons tance l’attitude du gouvernement f ra n c s a été ce qu’elle devait être. L’Itahe petrt'donc comp ter sur la hiénvèillantè neutriffité de té France. On le sait à Rome et on s’en réjouit. Le ton de la presse ailemande indique qu’à Berlin on n’ènvis^é pas Texpédition italienne en TripOlitàiné àvéc là mèmé sérénité qu’à Paris. On trouve l’aventure dangereuse. La mauvaise humeur et l’anxiété de l’Affemagne sont bien compréhensibles. Là position de. cette puissance entre l’alliée itàlienne et l’ami flirc,—- an ami utile s’il en fut, -r est très Ué- lieaie. Pour le moment, la diplomatie alle mande prêche-la modération, à Rome et la patience à Cdnstautinoplè. Mais cété suffira-t-il à éviter lé conflit '? Et si cela ne suffisait pas, irait-dh à Berlin jusqu’au véto ? Si cette der nière hypothèse sé réalisait, ce seiaU, à une date rapprochée, la fin de la Triplë-ARiance. A. M. Un câiüoüflet à M . GUo^inet. Son candidat est battu à IMoailles. Yoici les résultats d’une élection qui avait lieu dimanche à .Noailles, pour la succession de M. Ternaut, conseiller d’ég- rondissement radical décédé. MM. Lesbroussart, rép. ind. 1.250 v. ELU Poulain, radical 1.04S . Divers - ............... 94 ; C’est un échec qui sera extrêinemept sensible au parti radical-socictlisTe et en particulieil A notre député préfriSoke M. Cbôpinet, qui s’était déràBgé-iJ-pfflosÉz donc!' — pour venir à Noailles'S(mtenir et prôner la candidature du blocard Poiflaiii. M: Chopinet est décidément un porté guigtie ; les candidats se dispenseront désormais de la recosnmandàtion dit Q. M-' de-Crépy, réputé dans l’art de confe'ottbn- uer des vestes. A ce sujet, notre doiifrê're' le' Méhîtévr de J’Oise; éciit'ltirt jutiicièüseihêfit;' . Coùtrtiireménl a'ux folles " éspéîà^àes des -conspirateurs', lé sullra'gc universël ne; s’cst pâs laissé conduire cainme un vulêâire'trou peau de'moutons. 11 s’est prononcé eu toute indépeÉdïnc :, puisque M, Lesbroussart n’a même pas mené campagne.- ti>. Ce soui les électeurs, c’est le peuple qui l’a choisi et tiommé' I . Qiièlie magnifique revanche et comme.sera cuisante' la Méssure infligée à line poignée d’audacieux tyranneaux. ,i il faut déchanter. Messieurs ! votre M, Fou- jtéin arrive loin du Poteau. Le eorpia étéotoral n’aime pas qu’on.mettede. faux poids dans la ' l^lance t U d é ^ te le.mqu.qne dejpyuuléd il a hoiréilT dés co'mhiuaisous lopches et dps mar-. chandaées suspectai .Vous èu 'q fe .là psraye. '< ' Vous esSuyeCàme deftiiie cCtépfeté, 'sur tou tè ttéUgne.' ' a Eiw seratrèàsensible -aux'grande monte! fs de coup, M.Je (lépuié-Ghopihèt et M, Lemàttré, dont elle affaiblit singulièreuseatJe, prestige. Ils s’étafent côûeeÇléa avec la. Rêpubiiqui.. de l’Oise, ^ avaltéit pàyé'déleur pérsogue et ,de téoricredit politique, pour fairè éétùmér la -càndidatmre de M. Lesbrouseuri^ - Lè désaveu qui touptm tépri praiégé, les atteint directement, Q ^ l affrout I -, - , ; , Ce sentuiixdes F-riucipAux vajocus. : Xt'iis 'ntént pasmfîtéétégleirft'des’en être tirés avec ,lés honnegH'de té fttsrwi. ., .... ; - 'j- u !.. , demande, mais encore fandra-d-îl trouver fe moyen dé tout eoncilier. Lra Aliemaniîs réclament le Congo ; demain ils borneront leur demande à la Champagne, et ponr tout concilier, il faudra arriver'à leur demande ! — ou en venir aux mains. — Plutôt l’insurrection que la gnerre! s'est écrié le député Gkmde ponr qui le sang de Tenvabisseur a plus de pnx qne le nôtre; et le Q. M. Ribière a éneore insisté en déclarant : guerre à la guerre l Peut-être, au milieu de trop d’mepties lâches et coupables, convient-il dé noter l’iuterruption du f.-. Roy qui, s'ôpppsant aux internationalistes leur a lanée^ette- apostrophe : « Souvenezrvous de 1870, de nos désastres! hoiis sommés las des for mules pacffistés.» ta fièvre aphtetise îÈDis l’Oise. Depuis le commencement du mois de septembre, la fièvre aphteuse a pris sur certains du terfito’re un caractère plus malin. Le service sânitairé a été anpmé 4 '(xmstàter .quelijuœ: cas-.de mortalité, sur tout sur les sujets de racés periéctioiùiées. Pendant cette période, la maladie a sévi dans les communes suivantes ; Arrondissemerit_ de'Beauoan. Porciieûx, Beaumont-iIes^NoDains, 0ns- én-Brày,i Fooqnenies, DelincOurt, Lian- conrtr Saint-Pierre, LocenviRe, Bouten- court, Fresne - Léguillon, Tbibivillers, Enencourt-le-Sec, Boury, Chaumont,' Lat- tainville, Monaeville, Fay-îles-Etangs, Enencourt-Léage, Tourly, Vaùdancourt, Lalande-en-Son, Cuigy-en-Bray, .Xe- Cou- dray,Flav^urt,Smnt-Pierre-les-Champs, Saint-jàubin-en-Bray, La Chapelle-anx- Pots,. Blàconrt,. Qnmcampoix, -Blargies,. Moliens, Campeaux, Saint-SamSôa', Lad- noy-Cuiltère,EseleS, Mureanmont,Rômes- camps, Villers-Vermoot, Fouilloy, Saint- Valéry, Canny-sur-Terrain, Bouvresse, Blicourt, Milly,. Saint-Omer, Villers-sur- Bpnnières, Bonnières, RoyrBoissy, Mar seille, Sàint-Crépin, Làrdièrés, lyra-le- TempIe,Neuville-Bosc, Bornel, Mérù, 'Tillé Troissereiix Brpsles, Villers-Saint-Sépul- cre, Moalreuil-Sur-.Thérain, B.eilhecourt, La Chapelle-Saitt-Plerre, Silly, ,-Sully, Escames. Raucourt, Saint-Quentin-des- Prés, FontenayrTorcy, MorviUérs, Théri- hes, Buicourt, Seuantes, Saint-Deuiscourt, Loueuse, Songeons, Ernemont, Bazan- court, Grémévillers, Crillon, La Cha^lle- sms-Gérberoy,' Villers-sur-Auchy, Arratulfssemiiü de Clermont. Brenouilles, Rantigny, Baifleval, Bnry, Noirémont, übmfroiit, Saiét-Just-en- Chaussée, La Neuville-Ruy, Cernoy. Arrondissement de Compiègne.' Berneuil-sur-Aisne, Attichy, Haùdan- coart, Tourotte, Mortemer, Gonrsiay-sur- Aroiide. Orvillers, Sorel, Sémpigny. Arrondissement de Sentis. Mareuil-sur-Ourcq, Baron, Saint-Yaast- dé-Longmont, Rully, Yineuil-Saint-'Fir- min. Association Générale des Agents des Postes et Télégraphes. La Réunion de Chantilly. Une réunion des membres de l’Asso ciation générale a. eu lieu dimanclté der nier, à Chantilïy, Les principaux bureaux de l’Oise avaient envoyé des délégués. Le secrétaire, M. Olivié, exposa tout d’abord les grandes lignes des projets 4 Tétude au groupe. Les délégués- du Conseil d’administra tion, MM. Dupont et Tjtiiigoac, de Paris, prirent erisuité la pmolç, et exposèrent très éloquemment le programmé de T-As- sociation dojit la rralisation immédiate va être poursuivie par tous les moyens en notre pouvoir. . . Pour resàmer cette intéressante confé rence, l’Assemblée, àT'unanimité adopta l’ordre du jour suivant ; . • « Les membres de l’Association géné rale des P.T-T.' de l’Oise, -réunis* Ou As semblée générate à Ghantilly, Japrès avoir entendu les explloations deS camarades Dupont et TiôtfgnaQ, dé Paris, s’engagent à soutoair énergiquement lâ' Conseil Conseil d’administration de TA. G, dans la viiraureuse campagne qu’il va éntre- prendre pour obtenir de 1 administration les augmentations *de> traitement corres pondant à-l’augmentation du coût: de la vie, Tapplicatiott do Ta* loi snr le' repos hebdomadaire et la suppréssion dé toute CQutTidnte morale an sujet des opinions particulières de chacun,,» .. I Lé Secrétaire : Oisrtt. "CO’n tr é 'j'tô r ^ ë u r è Trîdenf^ et iopg 4« ■w-v aui ’ aqjtos d'I^fèrea comihe mqtîB«phlp, à Toutoa EORavroftortiu. vice et consi A a Gi(frivi»A De .ùotj^ èxcéllênte consœur Là pàséi te i^Xj^^éaîé, .y ; e..-.'-... ,ie-coOflitifranco-âllammui-a étéritéeca- siou des premières discussicmsù^d^s â leurs traditions d’antipalriotffiffle;6 tid ’ia'* dernationalisme, les maçons n n td G ^ é Te f .v DJbry„,Bn.-juif idai.l’UBivérské de Pari^ pourj^parer rapport, • - s’est montré aussi pamfiste qud f orathip, Lé devofr deS'.n»c^,d»it-ii*'<fit est de, Irtteris^emliBiBnf tl> (hut frmvèci dss„poiBté Me cm i^ t pour prévenir les AniMBtesdas jmnrraient conduire la France- aux aventures. On nesanrail w le r plus gentueffiat. Eviter un oonflit : voilà çe (j|ao obacun Mouvement du .personnel - ; oies chemins dé fer. j Sont nommés: t Caissier aux arrivages de la petite vi- tesse.à Creil : M. Debarge Auguste rece veur chef de 1 a petite vitesse *à Carvîn.' Chef d’équipe 'à Pont-SainterMaxence : M; .Duflos Auguste, homme d'équipe de i” Classe'à Compiè^e. : TGontriOtehr â la gare.'de Beauvais : M. Répiieqnec Albert, .{acteur nûxte de-B* otésse-dGrandviljûers. . .Facteur mixAé de 4* clatése'à Grandvil- liers : M. Aiioiaux Abel, bomméti'éqnipe de 1" classé à Beauvais. Faqleur mixte de 3* classe à Crml : M. Rtésebet. Fernend,--facteur, mixte dé 4* elàssOâHontcoTàet'. Homme d’é q d ^ dé 1“ classe à Mau- benge ; M. G r e ^ ' Atdrimd.’ltmnme d’é- qimm'de'l'» classé â'Pont-Smntéritaxence. Homme , d’équipe de i ” ôlassB A Pont- Sainte^Maxem».H. Rousseau SmUe, hommé d’êqnipe-de l " classeA Longoeü- Saihte-Marie. ' - ' ChanS'enr de etéssera^èfieura-: M.’De- lattre ISmriéSv méËithkiézf dé l°>'dlâséA tSreil. Visiteur graisseur i la gare de Creil: H. Porqner Georges, o n v w d’odrelintA lagare w SwsssBS. I

A& m JO U R N ItL O E B ilfL IBbmsenlis.com/data/pdf/js/1911/bms_js_1911_09_28_MRC.pdf · Voil^ ce que l’enquête, ouverte par l’autorité mflitâire,. ne manquera pas d’établir

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- JS'* 7 4 - C l iN Q C Ë J V T i H £ S — L e N u m é r a — C I0 M J G K N T l i ( %

A & m

'H O X E N “ 135

■" On demande pour travail]»! ■^Drication des bois d’aén.1 ■nm b o n o u v r ie r m e n ^ |

isser à M. BARBIER, carroj.1bntilly.

' On formera quelques a a J |3 m é c a n ic ie n s présenSi fents, à l'Aérodrome de

entre 4 et 6 heures.

■ On demande d eu x 'hon llout faire sachant conduin

au Bureau du‘-üurnal. 7a■ On demande u n conuu

Iservice et u n som m eik »^ r ie Félix POTIN, à Senlîs/

76l|• La Maison JOBERT, nju., rue de TApport-aa-Paiii i

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TÏd

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I t .e entretenir auto.| . ait Bureau du Journal.

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pSSE, à Senlis.

U n e F a b r iq u e 1

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t commune veuille biëâl | c naître.î ; L. H. 76, poste restanl I -Nord, Paris.

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er an Courrier de V t

L u x e

[ U A T Ib ’E :

T L I S ( O i S o )

: S p é c i a l itd t e s - T o n n e a u x , f t e . . .

l o u s i n e s , L , a n r

l ) . T o r p é d o s .

FcKKfée m Itl»nies admilairei'I 87, PAZUS

m i L U I O N S

r VIEfdotilB — Ciplan Siôâ i la Compagnie

i I L L I O N S

3 fraâes Tersé» àTOms... 11 fir. 78 j

: à 75 ans... 13 Or. 9Tiesaossian profit Q Dombre d azint^M i L U O N S

puta^le» antres

J3ÆSÎV-; r îSifÜ

l i M

Paraissant le Jeudi et le Dlmanctie. J O U R N I t L O E B i l f L I BR é d a c t e u r e n c h e f : l « o t i p

n le Jeudi et le Oinand^

M racb ............

gain . . « fc. . . «<r.

s o x r z r a i x f i i B i i n ’ X B

les bnremox és poste. — L’abeoBem^• fi. I d’evstteo et eontmne de plein droit jnsqaft iMoptioa

d’evis eontreiro.■ fi. pm rfa t 1> en do IS de enaqn# SMie.

BUREAUX, Éa>AÇnON & AMONISTRAHONS B M X i I S - 1 1 , P la n e 4 e l’H M ed .eU fV lU e, 1 1 — S K M I i l S

:wX,et manutcrtis, im érét «tt nefii ne tant ~pâ* rendue. t Fkiie.etiis OiptnwMlt e

ijOUDlLc taisavx da

S e n lis , le 2 7 S e p te m b r e 1 9 1 1 .

L a C a t a s t r o p h e

d e T o u lo n .

U n deu il n a tio n a l su c cèd e à ce tte b rillan te rev u e n av a le p a s sé e il y a q u e lq u es jo u rs à T oulon p a r le c h e f de l ’E ta t. T ris te len d em ain de fê te s !

On é ta it en co re so u s l ’im p re ss io n d e c e tte b e ü e jo u rn é e , de l ’im p o san te flo tte d o n t le dèfllé av a it é té si c h a ­le u re u se m e n t acc lam é p a r u n e foule im m en se . Y o ic i qu’u n e ép o uvan tab le c a ta s tro p h e m e t en deu il n o tre m arin e e t la F rance^ en tiè re !

A l’h e u re où n o u s traço n s ces lig n es , le s c irc o n sta n c e s d an s le sq u e lle s se so n t p ro d u ite s le s exp lo sio n s de la « L ib e rté » n e so n t p a s co n n u es . On sa u v e le s b le s sé s , q u ’on tra n sp o r te à l 'h ô p ita l ; le s té lé g ra m m e s de co ndo­lé a n c e s a r riv e n t de to u te s p a r ts ; le s cadavTes so n t a r ra c h é s à la m er e t n o u s p le u ro n s ces ex is te n ces hu m ain es q ù ’u n e m o rt h o rrib le -v-ient d ’en lever à le u r fam ille , à le u r p a tr ie . A la vue de ces in n o m b rab les v ic tim es su cco m ­b a n t en p le ine fo rc e de l ’â g e , u n e in ­d ic ib le ém otion é tre in t le s coeurs f ra n ­ç a is e t aü-del'a des fro n tiè re s sou lève u n c ri de d o u leu r b ien lég itim e chez l ’é t ra n g e r lu i-m êm e.

D evan t ce fa i t b ru ta l qu i n o u s ra p ­p e lle n o tre fa ib le sse c o n tre le s é lé­m e n ts e t le s se c re ts im p én é trab le s de la sc ien ce , n o u s re n d o n s ho m m ag e , au p la s fo r t .d e n o tre do u leu r, à ces m o rts üii .rieux la u c h é s a u cham p' d ’h o n n eu r.

D eux à tro is c e n ts v ic tim es — e n co in p tan t le s m a lh eu reu x re sc a p é s qu i n e su rv iv ro n t p a s â le u rs b le s su re s — e t l 'u n e de n o s p lu s belles ymités de g u e r re , eng lo u tie , a n é a n tie , te l e s t le b ila n de ce tte jo u rn é e tr is te m e n t m é­m o rab le qu i s ’a jo u te à la h s te lu g u b re d é jà lo n g u e de n o s c a ta s tro p h e s n a ­v a les .

A u cu n e p u issa n c e d u m o nde n a su b i de si n o m b reu x e t te rrib le s d ésas­tr e s . L es m a lh eu rs qu i s ’a c h a rn e n t su r n o tre m a rin e , a u m o m en t c r itiq u e où n o u s là ré o rg a n is o n s p o u r la m e ttre à l a h a u te u r de ce lles d e s g ra n d e s n a tio n s d o iv en t a p p e le r la su rv e illan ce la p lu s é tro ite de n o s e n g in s de g u e r re e t de n o s p o u d re s .

L e s so u te s on t-e lles é té a tta q u é e s p a r l e fe u a v a n t qu ’on a i t e u le tem p s d e le s in o n d e r ? L a déflag ra tio n de la p o u d re n o ire s ’e s t-e lle p ro d u ite m al­g r é le s p ré v is io n s so u s l ’ac tio n de la températLU*e? Q uêlâ so n t le s su rv iv an ts q u i p o u r ro n t n o u s d iré d a n s q uelles c irc o n s ta n c é s se so n t p ro d u ite s les p re m iè re s d é to n a tio n s p ré c é d a n t celle q u i d ev a it to u t e x te rm in e r ? A u tan t de p o in ts o b sc u rs à l ’h e u re ac tu e lle , qm ré 'c là iù èn t en h a u t lieu u n e en q u ê te sé v è re , m in u tieu sé p o u r é tâ b ü r les r e sp o n s a b ilité s . ,

Ou ép rouve u n e v ive ré p u g n a n c e à l’id é e q u e d e s . m ain s c rim ine lle s on t p u a llu n iè r l ’ih cen d ie d e la L ib e r té ou p ro v o q ù e r l ’ex p lo s io n d e s so u te s . De te ls ' fo rfa its d éc o n c e rte n t l ’ê tre qu i a c o n se rv é e n c o re q u e lq u e s n o tio n s de se n tim e n ts hum àdns

M ais le r e lâ c h e m e n t d e la d isc ip line , à b o rd d é ce n a v ire en p a r tic u lie r , e s t c e r ta in e m e n t la c a u s e p re m iè re du m a n q u e d e su rv e illa n c e d o n t o n s ’e n -

ib -e tie n t d a n s le s m ilie ttx b ie n in fo rm és .L ’in c iM e , T indis.cipfine, l’a n a rc ln e

d a iis le s arsenaux- cû ïnp ié s u r n o s v a is­s e a u x o n t é té , q u ’o n le s a c h e b ien , la c a u s e in itia le d e s te r r ib le s m a lh é u rs 4fid, dëé d e rn iè re s 'ân n feg , o n t a f l ^ é n o tre m iu fe é .

V o il^ c e q u e l ’e n q u ê te , o u v e rte p a r l ’a u to r i té m flitâire,. n e m a n q u e ra p a s d ’é ta b lir . C e tte nouvelle leço n q u i n o u s e s t in fligée , e s t t ro p d u re p o u r q u ’eUe ■ne p o i té p a s s e s f ru its . H n e suffit p a s d ’h o h o c e r , d e p lqu rep le s m o r ts e t de secom rir le s fam illes d e s v ictim es,

U n e •victim e d e l a v ie c h è r e . — Onse souvient qu'au cours de l’émeute de Billy- Montigny, l’un des manifestants, le mineur Hubert Dieudonné avait été tué d’un coup de revolver par le boulanger 'Wills. Ce dernier, que la foule avait violemment malmené a-Pres la scène tragique, avait été transporté a 1 hô­pital de Béthune où il dut subir 1 opération du trépan. 11 vient de succomber à ses blessures.

E c o le d’é le c tr îe lt é B r eg n et. — Larentrée des classes est fixée, pour les internes, au mardi 3 oclobre.

Les cours recommenceront le mercreat 4 octobre. ■' , . ■

Nous apprenons avec plaisir les succès sui­vants remportés par. l’Ecole Breguet durant ces dernières grandes vacances ;

1” Exposition de Saint-Mandé ; Grand Prix.2“ Exposition du Nord de la France, Rou-

baix : Grand P rix (avec félicitations du Jury).3” Exposition internationale de Tnnn ; Hors

concours (Membre du Jury).

Mopt d’un E vêqu e. — Mgr Touzet. évêque d’Airc et de Dax, qui résidait à Saint- Sever, est décédé samedi soir è 2 heures, au château de t'oyanne, où il s’était rendu, il y a trois mois, pour visiter le grand séminaire. Au cours de celte visite, le prélat tomba dans un escalier et se fractura le col du fémur gauche ; il était en voie de guérison, quand un anthrax se déclara à l’endroit cicatrisé ; il fut opéré, mais là fièvre ei une violente attaque d'âlbnmi- nerie se déclarèrent et l'ont emporté ; il avait près de 70 ans.

Mgr Toiizet était né à Couret (Haute-Ga-ronne), le 20 jsnvier 1842.

Préconisé évêque le 21 février 1906, lue des 14 premiers évêques nommés après la séparation, il fut sacré à Rome par Pie X, le 25 février 1906, et prit possession de son siège épiscopal le 8 mars suivant.

11 était précédemment vicaire-général, de l’archevêché de Toulouse.

lii. F a tliê r e s a m è n e la p la ie . — Leséperoiis vérts de M. Fallières...

Voilà six mois qu’il n’avait pas plu en Lot- et-Garonné. Notre excellent président énonce sa tournée sur le parcours Nérac-Méziu-Lou- pillon. ,

Et, suivant, la tradition, la pluie se met à tomber... comme en Ifunisie.

Ce président hygrométriqne est réellement bienfaisant pour l’agriculture de la France et des colonies. ___________

La h iver . — Il est admis, enprincipe, en Allemagne — les coursde laKregs Akadémie le prescrivent — qu’une gu--rre contre la France doit avoir lieu en automne et en hiver. Les troiipes allemandes supporte­raient mal la chaleur, tandis qu’elles sont aguerries'au frOid, infiniment plus rigoureux au delà du Rhin que chez nous.

Jamais nos voisins n'ont pensé à la guerre au printemps, dont nous parlons volontiers, parce qu’après le printemps vient l’été, défa­vorable aux Teutons incapables de supporter le soleil et la so if .________

Q uiproquo !' — Un amusant quiproquo s'est, dit-on, produit dans un théâtre du boulevard où se répète une pièce nouvelle.

On en était à l'a moitié du premier acte, lorsqu’une voix se fit entendre et.qui formulait tout haut des critiques.

Le directeur et l’auteur bien qu’un instant interloqués, ne dirent rien.

Le second acte commence. Tout d’un coup on entendit : « C’est trop long cela... Il faut couper ici... 11 y a là une faute de goût. »

Cette fois le directeur n’y tint plus et s’a­vançant devant le trou du souffleur cria dans la salle. :

— Qui êtes-vous monsidBr ? De quel droit ces critiques '?... Vous n’avez rien à voir ici ? Que la scène soit courte ou longue, c'est mon sfiRirc çtCr

Alors on vit s’avancer la principale inter­prète : « Je vous demande pai^dn» M. le di­recteur, mais ce n’est pas à la pièce que ces critiques s’adressent, mais à là robe... que mon cbuiurier m’essàyait à’ cdté. »

une gerbe immense de feu était projetée dans le ciel. Ce fut effrayant.

« Une détonation épouvantable retentit ; des débris de toute sorte furent projetés de tontes parts. Sur divers navires des trois escadres, d’immenses morceaux de fer tombaient et sur la R^ublique les dégâts furent des plus sérieux.

« Au milieu de cette explosion formidable, toutes les embarcations qui se trouvaient autour de la Liberté-, tontes les fragiles na­celles chargées de vies hnmaines, furent prises dans le remous et disparurent dans le bruit augoissatit des clameurs désespérées.

<< Du magnifique navire il ne devait pas rester grand’chose ; nous ne pouvions d’ail­leurs nous en rendre compte ; la fumée et le bouillonnement de l’eau le dérobaient à nos yeux. B

Les vietimes.A l’heure actuelle, on ne sait encore exacte­

ment combien de personnes ont trouvé la mort dans cette catastrophe. On estime à environ 300 le nombre des hommes du Liberté dispa­rus, mais l’explosion a été si violente qu’elle a causé, sur les autres navires de l’escadre, des d é ^ ts et des pertes aussi sensibles que ceux d’un combat naval.

Sur le Démocratie on compte 20 tués et 50 blessés ; sur le République^ sur le Vérité plusieurs marins, atteints par des débris, ont également succombé, enfin, sur le Léon Gam- betta, l’enseigne de vaisseau Gabold, a été tué par la cfaûie d’une masse de fonte.

En ville de Toulon la panique fin effroyable :Dah^ certaines rues,ce fut unevérilsble pluie

de projectiles divers, parce que la circulation, à ce moment, était pour ainsi dire nulle. Plu­sieurs devantures de boutique furent détério­rées ; on cite particulièrement le rideau mé­tallique de la maison Mille, sur le cours La- fayette, qui fut complètement faussé ; au Grand- Paris, il y eut aussi des dégâts, et aux Dames de France, des étalages furent bouleversés ; dans plusieurs boutiques, il y eut de nombreux objets brisés bu mis hors d’usage.

llie Terri

poftf é ^ a ^ n is F ’à t i W ê m a r n e rffe 'èo iivéànx jo u r s d é défiul.

Loup BERTROZ.

Ë e f io s e i

d e <WnSfi w e . Dman- genttaf V liâte'dir viBage fMotière

X"-*— gMJôÉei 'eBi iœentre c OMt eenltine

en Eâï» aoaezé,..t, I .

filâM en . ' t é â'wws

Explosion d.u cuirassé ■ Liberté m en r a ^ de Toulon.

Près de 30U tués.

Une ealàstrophe énonvantable a eu, lundi, pour théâtre la rade de Toulon, déjà tristement célèbre par les explosions du Magenta, du léna et de la poudrière de Lagoubran. Le cuirassé Liberté a santé, vers 6 heures du matin, avec tout son équlpaëe.

Voici les premières dépêches telles qu’elles sont parvenues â Paris :

Fremièré dépêche.Liberté, mouiUée sur rade, a (ait explosion

à 5 k. 51.Deuxième dépêche.

Toidon, S5 septembre. Anüral Saint-louis A jmarine Paris.4 Ce m atinâ 5 h.'S5 guadre eàtpXoiibns ont

été'ëntendiKs a eàié miidité d’mterialle à bord ùbertèi pttii'grandd fitmèe, erisiptr-ne, flammes sent montées en permn ■•.■i e\ dans là-hune lie misaine et à 5 h. 53 une explosion s*est produite .et le. bâtiment a coulé -I Lacoamofiou lbtjparalt-4-lv épouTa itàble :! les plaisons du quai- (ïonsladt, ébranlées,

eurent leurs carreaux brisés, tandis m e le bruit s'en faisait eptendre à pins de cinq lieues à la ronde, à Hyèrès, à papdpl, â S'olhès-Ville,

**jjn des marins tJU Jtépubtique, cuirassé ancré à 300-mètrea ènyison de ta, a-fait de la catastrophe le ^ m t svûvant

a LérévéilecBiit.soitné., ..................<( 'Cbnt rêq iiij|)^ éfitit h sdh occupation

ordinfiré. ‘ ,« Tout à coup, à d h. aL od sigddiu m e le

■feu s’est d édaw ''h Bidxf m Ih'Aiêiiim. On ;rde éb du s^ r i^ i t , éu efflefi un >rd bâbord.avant; dBS’flamaesiqul'atéébap-

'>erté, d’où partaient aussi deslapx.

, - La situatinn, éiéait évidepil, desenaildè pldséffplns De foiia lesbj présents sur rade, dea pptbmçgtipBg M i Sièrent'poui aller m 'énronm d p T to il

■ Enes' dfiStèreifi' en" hâte. (SPWt dôBf hII dé la iièerâé utt îS uV e^ .

houâies sautticBt pm> lea i

Il nous faut, en passant, signaler un fait bizarre, qui épouvanta pendant deux secondes, qui parurent deux siècles, les personnes qm. J : demeurent dans les environs de la cathédraley ’ ces genS'là nous ont affirmé avoir vu osciller d’une manière effrayante le haut clocherxjui domine la ville ; ils s’attendaient, noos ont-ils dit, à une chute, et il ne leurvilft pas à l’idée de fuir ; ils demeurèrent absolument médnsés devant ce spectacle, aussi terrifiant qn’înatten- du ! Mais la rafale passa, et le clocher dcaneura entier.

La République a eu l’arrière enlevé par bâbord ; les chambres d’officiers n’existent plus. Deux ponts ont été défoncés. Une plaque de blindage de la Liberté est venu s’abattre sur la place d'arrière-bâbord. Elle a défoncé la chambre d’un enseigne absent. .

Le matelot clairon de la Liberté a été pro­jeté sur ‘a République. Il tenait encere la main crispée sur un débris de PinstrUment avec lequel i! sonnait l’alarme.

La nonvelle de l’explosion du Liberté a causé dans toute la France la plus grande émotion ; mais c'est surtout dans les ports, à Cherbourg,, à Brest, à Lorient, à Dunkerque et à Marseille, qu'elle a été la plus vive.

Des condoléances ont afflué à la Présidence et au Ministère de la marine, venant de Ijé- tranger : l’Empereur Guillaume a été un des premiers à télégraphier sa sympathie à M. Fallières.

Les causes du sinistre.A l’heure actuelle on ne peut connaître

exactement les causes de cette explosion ; on a parlé de malveillance, de sabotage, inais rien n’est encore venu confirmer ce bruit .qui a pris une certaine cdusistance. D’àûtrés péiaoh • nalités assurent que c’est encore un méfait de la poudre B, dont la déflagration spontanée a déjà causé l’explosioii de 1/énô. .

Le cuirassé'Ziê'efïé quî faisait partie de,la 2" escadre a été mis eh chantier en 1902 par' M. de Lanessan, alors ministre de la marine! 11 a été lancé le 19 ayriL lopS et est, entrée eu service en 1908. il faisait partie d’une série de six qui fonnenf actueûémeitt la 2' escadre.

Les caractéristiques étaient : déplacement, U.785 tonnes avec 133 m. 80 de longueur, 24 m 20 de largeur et S m. 40 de tirantd’eau arrière. La puissance de ses machines éta t de 20.500 chevaux ; il avait trois hélices et sa vitesse aux essais avait été de 19 noeuds 30., Son artillerie-comprenait cpiatre pièces de 305 millimètres,.dix de.194, treize de 65etdi.x de 47 ; son armement était complété par deux tubes lance-torpilles sous-marins.

Sa protectioB était assurée par un poi.t cuirassé de 50 à 70 millimètres d’-épaisseur et un euirrassement à la flottmson de' 280 mil­limètres au milieu et de 480 aux'^trémité.s. Le cuirassement des tonrelles.de la grosse artillerie était de 320 millimètres d’épaisseur et eelui de i’artillerie moyenne de 200 milli­mètres... La Liberté avait coûté 41 millions.

En (iemière henré.qn, donne comme bilan officiel 204 tués et 136 blessés.

qne la continuité des services publics soit assurée, que le sabotage soit réprimé impitoyablenient, qu’enfin « aucune asso­ciation ne vienne s’installer comme un véritable contre-gouvernem ent en face du gouvernem ent légal ». Son discours a été fo rt applaudi et m éritait de l’être. Les idées qui y sont exprimées répondent assurém ent, eh ce moment plus encore qu’en toiit autre, au sentim ent général des électeurs. On les retrou-ye, presque sous la même form e, dans un certain nombre d’allocutions qui ont été pronon­cées ces jours derniers su r d’autres points du territoire. Le gouvernement est assuré de l’approbation de l'immense majorité du pays si; comme il a commencé à le faire, il continue de ten ir tête aux agita­teurs e t aux révoiutionnairés, et s’il dé­ploie dans l’accomplissement de cette tâche encore plus de fermeté qu’il ne l’a fait jusqu’ici.

b e Goflfflt I ta r o e a in .

V ie rs i^ è à le i i i të .L ’im p re ss io n ca u sé e à B erlin ç a r

le s q u e lq u es éch o s p a rv e n u s juS qu ici su r le C onseil d e s m in is tre s e s t des p lu s favoTables.

On co n s id è re , en g é n é ra l l’a cco rd re la tif au M aroc com m e ré a lisé e t on e sp è re que le s d é lib é ra tio n s s u r le C ongo n e sé h e u r te ro n t p a s à de g ro ss e s difficultés, d e so rte q u e le tra i té p o h ir a ê tre s ig n é d a n s u n e

iqa in za in e d e jo u rs -a u p lu s ta rd .

A u C o n v e n t .L® conv.'riL du Grand Orient de France s’est

teriniiié samedi. . .Au cours de sa dernière séance, le rappor­

teur des vœux politiques et sociaux, M. Vais- sière, a déposé une motion en faveur de la libération de tous leè côndàtànés politiques. Il a indiqué que ce vœu visait instamment le cas de M. Gustave Hén’é.. Des orateurs oirt rappelé qu’au moment où la franc-maçonnerîè-était violemment attaquée .par des syndicalistes, M. Gustave Hervé avait pris sadéfease.-

M. fipbierre, président du conseil de l’ordre, a émis un avis favorable à cette motion qui a été adoptée par le convent.

Si un Gustave Hervé a défendu la franc maçonnerie contre les attaques des syndica­listes, c’est parcequ’il savait fort bien que cette secte est anti-patriotique parceque com­posé d’éléments révolutionnaires et interna­tionaux.

Aujourd’hui la franc maçonnerie prouve qu’il a eu raison et lui manifeste sa reconnus- Sahce d’avoir si bien conipris ce qu’elle était' eh demandant sa libération.

Et à nous, son. geste prouve que nous avions raison en affirmant que les francs maçons étaient capables de tout, même de yendrela France s’ils le pouvaient.

Il y a des individus qui persistent à dire qne le cléricalisme c’est rénnemi ; ils se trompent, aujourd'hui nous avons un ennemi bien plus redoutable : c’est la franc maçonnerie.

aüioM dééléLecp— ienirft .

alQBBÎBBtnMliBBBétésur les lieux

f àé'ffreei-

Itou

battait sonmeot où le saovetage de . . _ pleâ, n i mcMeiit où l on croyùt eoto M imir

aeM e m i té suinte hdde,

çle M. Çochery.B ï p t enâDLpldeè ân'fatilèlül dé la gré-

âiïèùce 'dù' Corisèil géné'fat du’ Loiret,^ M. Cochery a constaté en quelques moto le- sang-froid dont no tre paye vient* de fa ire preuve*dans-une situation exténeure iM c ite . Én entre, i l a prononcé' (T,éacel-; fentes paroles sur la nécessité qni s te p o se à tout gouvernement, et surtout â un

pçun- Ëhacnn, sait qqe cette- réflexiop btmaleprepdèéi-BOtPê époque, dp-Cîfrac» téré 'd ’aètiialifé tiadt pan ibaliér, Ip respect de la légâUtë n^a, tenu aiihmt de ^ c e - dans le- programme diinstniçtiolL civique p ro fessé 'aux «nfants-déé* i^ le s prim aires. Jamaté cette obligatraii â ^ e n - ta ire dù citoyén’D’|é td pl^s Qténtvjlolée

: lâ pfanqùg; papcéiqos lau tortié né' sait' plus se faire respectep. MM- dfrigés;: M g 'sgatenü |, ' p r e s ^ * Cèrtaing 'ÿétré

trbg Ç dneriiej les' foni^énnw ieà ont pdnr piêoCcupation principale fié lad 'p as se compromettre, et les a d m in i s ^bitnent de-ptus-ffla l|jddé q t* . I®(pB tdoTénce p o d P 'A p ^ e c - te ^I f , Cochery demande ^ e tontp tranraresf sionda la h â scdtyimiirasmént^priT mté,qQatéli]Mrté'dalràrauinitfiNmne,

A peine la quésüon marocaine est-elle entrée dans une phase plus calme,' que de très graves compfications surgissent du côté de l’Orient.

A la Suite; d’uné c a m p a ^ e de presse énOrgiqiie, i’tlàli'é aiiràR dfei'dé fioceu per la TripolUaine où la vTp de ses nationaux ésl'en danger. .Dne escadre serait déjà en rdule'-pour débarquer des troupes. .D n s’attend à une résistance très vive de la part de la'Turquie.

V E ch o de Paris publie à ce sujet la dépêche'de dérhière heure- qui dëpèint la situation coin'fflè sérieuse :

'Les préparatifs militaiieS'de la Turquie sput poussés avec une activité fébrile. Ceci paraît s’ l iq u e r par une nouvelle grave que je vous communique sous toute réserve; bmn-. qu’elle provienne de la meilleure source. On dit qu’un accord à été; conclu entre l’Auiriehe e t la Porte.

L’ABtriché, aiix terme»;deicet accord, E n ­gage ^faire qne"(iémDn8tration militaire sur la froudè're itàUenne,.pOttr le cas où l’JiaB» s’em- parèrait de 'Tripoli, p autre part; et par voie de réèohnaissancè, té Tutqnté s’eftircera dS'Onti- tri-raffér l’influence slave dans la péninsule balkanique. De .plus, un accord du mêmegeuré a été couele, dit:pà; avec la Roumanie pour le

■ caaoù des hostilités, éctetetaient danqles Bal- ‘ L’ambassadeuÇ'alletqqnd, Marschall von

BÏébeésiein. a eu p Igngtéitcetieu, hier, avec le grand-.visif, téais la.piesse .n’a reçu aucun communiqué. Toulefpis, j e . suis en mesure de démentir la rumeur suiyant téqueUe leqnltan aurait réclamé l’ibtgiyen(îbn de Tentperguf

Gqûï’râirie'ment aux* 'alÜ'és'’d ô ' ï t a & là France, l’A ngleteiraet la Russie ssmblenl

Tùi p rêter le plus chaleureux appui, i

T b u l ô i u

Les projets d’occupation de la Tripolitaine par l’Italie se précisent et se développenL 11 n’est pas douteux qu’à Rome on estime que l’heure est venue d’agir, car demain peut-être il serait trop tard. Aussi se prépare-t-on chez nos voisins avec une hâte fébrile. Les choses eu sont arrivées au point que le moindre inci­dent peut déchaîner les hostilités.

La Turquie résistera, ce n’est point douteux. Le nationalisme jeune-turc ne s’accomodera jamais d’un marché, si avantageux futril, et il se résoudra à 1a lutte quel qu’en doive- être le ) résultat. ’

L’Itahe, ayant té maîtrise de la mer, est) assurée delà victoire finale. Mais les difficultés qu’elle aura à surmonter seront terribles. Tout d’âbord, en Tripolitaine même, elle aura à t lutter contre une armée fanatisée et line popu­lation hostile ; déplus, eu Ttirquie, des repré- ’ sailles se .feront rudement sentir contre ses nationaux et son commerce.

Comme pou s l’avons dit, la Fran'Cq n’a au­cune objection à élever au sujet des projets de l’Italie. Celle-ci a loyalement r e ^ i les enga­gements qu’elle avait contractés avec^ous. On s î souvient, en efi'el, qu’à ilgétéras, . quoique faisant partie de la Triple-Alliance,'eue a réso­lument défendu notre point de vue. Depuis, notre effort au Maroc a toujours rencontré auprès d’elle tout l’appui désirable, Dans ces conditions, il est naturel qù’èllé trouvé auprès de nous la même amicale bonne.yolonté. Nous pouvons déclarer d’ailleurs qii’ên la circons­tance l’attitude du gouvernement f r a n c s a été ce qu’elle devait être. L’Itahe petrt'donc comp­ter sur la hiénvèillantè neutriffité de té France. On le sait à Rome et on s’en réjouit.

Le ton de la presse ailemande indique qu’à Berlin on n’ènvis^é pas Texpédition italienne en TripOlitàiné àvéc là mèmé sérénité qu’à Paris. On trouve l’aventure dangereuse. La mauvaise humeur et l’anxiété de l’Affemagne sont bien compréhensibles. Là position de. cette puissance entre l’alliée itàlienne et l’ami flirc,—- an ami utile s’il en fut, -r est très Ué- lieaie. Pour le moment, la diplomatie alle­mande prêche-la modération, à Rome et la patience à Cdnstautinoplè. Mais cété suffira-t-il à éviter lé conflit '? Et si cela ne suffisait pas, irait-dh à Berlin jusqu’au véto ? Si cette der­nière hypothèse sé réalisait, ce seiaU, à une date rapprochée, la fin de la Triplë-ARiance.

A. M.

U n c â i ü o ü f l e tà M . G U o ^ i n e t .

Son candidat est battu à IMoailles.Yoici les résultats d’une élection qui

avait lieu dimanche à .Noailles, pour la succession de M. T ernaut, conseiller d’ég- rondissement radical décédé.MM. Lesbroussart, rép. ind. 1.250 v. ELU

Poulain, radical 1.04S .Divers - ............... 94 ;

C’est un échec qui sera extrêinemept sensible au parti radical-socictlisTe et en particulieil A notre député préfriSoke M. Cbôpinet, qui s’é ta it déràBgé-iJ-pfflosÉz donc!' — pour venir à Noailles'S(mtenir et prôner la candidature du blocard Poiflaiii.■ M: Chopinet est décidément un porté guigtie ; les candidats se dispenseront désormais de la recosnmandàtion dit Q. M-' de-Crépy, réputé dans l’art de confe'ottbn- uer des vestes. — ■

A ce sujet, notre doiifrê're' le' M éhîtévr de J’Oise; éciit'ltirt jutiicièüseihêfit;' .

Coùtrtiireménl a'ux folles " éspéîà^àes des -conspirateurs', lé sullra'gc universël ne; s’cst pâs laissé conduire cainme un vulêâire'trou­peau de'moutons.

11 s’est prononcé eu toute indépeÉdïnc :, puisque M, Lesbroussart n’a même pas mené campagne.- t i> .

Ce soui les électeurs, c’est le peuple qui l’a choisi et tiommé' I .

Qiièlie magnifique revanche et comme.sera cuisante' la Méssure infligée à line poignée d’audacieux tyranneaux.

,i il faut déchanter. Messieurs ! votre M, Fou- jtéin arrive loin du Poteau. Le eorpia étéotoral n’aime pas qu’o n . m ettede. faux poids dans la

' l^lance t U d é ^ te le.mqu.qne dejpyuuléd il a hoiréilT dés co'mhiuaisous lopches et dps mar-. chandaées suspectai .Vous èu 'q f e . là psraye.

'< ' Vous esSuyeCàme deftiiie cCtépfeté, 'sur tou tè ttéUgne.' 'a Eiw seratrèàsensible -aux'grande monte! fs de coup, M.Je (lépuié-Ghopihèt et M, Lemàttré, dont elle affaiblit singulièreuseatJe, prestige.

Ils s’étafent côûeeÇléa avec la. Rêpubiiqui.. de l’Oise, ^ avaltéit pàyé'déleur pérsogue et

,de téoricredit politique, pour fairè éétùmér la -càndidatmre de M. Lesbrouseuri^ -

Lè désaveu qui touptm tépri praiégé, les atteint directement, Q ^ l affrout I -, - , ;, Ce sentuiixdes F-riucipAux vajocus. : Xt'iis 'ntént pasmfîtéétégleirft'des’en être tirés avec , lés honnegH'de té fttsrwi. .,

. . . . ■; - 'j-u !.. ,

demande, mais encore fandra-d-îl trouver fe moyen dé tout eoncilier. Lra Aliemaniîs réclam ent le Congo ; demain ils borneront leur demande à la Champagne, et ponr tout concilier, il faudra a r r iv e r 'à l e u r demande ! — ou en venir aux mains.

— Plutôt l’insurrection que la gnerre ! s'est écrié le député Gkmde ponr qui le sang de Tenvabisseur a plus de p n x qne le nô tre ; e t le Q. M. Ribière a éneore insisté en déclarant : guerre à la guerre l

Peut-être, au milieu de trop d’m epties lâches e t coupables, convient-il dé no ter l’iuterruption du f.-. Roy qui, s'ôpppsant aux internationalistes leur a la n é e ^ e tte - apostrophe : « Souvenezrvous de 1870, de nos désastres! hoiis sommés las des for­m ules pacffistés.»

t a f i è v r e a p h t e t i s e îÈD is l’O ise .Depuis le commencement du mois de

septembre, la fièvre aphteuse a pris su r certains du terfito’re un caractère plus malin. Le service sânita iré a été anpmé 4 '(xmstàter .quelijuœ: cas-.de m ortalité, su r tout sur les sujets de racés periéctioiùiées.

Pendant cette période, la maladie a sévi dans les communes suivantes ;

Arrondissemerit_ de'B eauoan .Porciieûx, Beaumont-iIes^NoDains, 0n s-

én-Brày,i Fooqnenies, DelincOurt, Lian- con rtr Saint-Pierre, LocenviRe, Bouten- co u rt, Fresne - Léguillon, Tbibivillers, Enencourt-le-Sec, Boury, Chaumont,' Lat- tainville, Monaeville, F ay -îles-E tangs, Enencourt-Léage, Tourly, Vaùdancourt, Lalande-en-Son, Cuigy-en-Bray, .Xe- Cou- d ray ,F lav^urt,Sm nt-P ierre-les-C ham ps, Saint-jàubin-en-Bray, La Chapelle-anx- Pots,. B làconrt,. Qnmcampoix, -Blargies,. Moliens, Campeaux, Saint-SamSôa', Lad- noy-Cuiltère,EseleS, M ureanmont,Rômes- camps, Villers-Vermoot, Fouilloy, Saint- Valéry, Canny-sur-Terrain, Bouvresse, Blicourt, Milly,. Saint-Omer, Villers-sur- Bpnnières, Bonnières, RoyrBoissy, Mar­seille, Sàint-Crépin, Làrdièrés, lyra-le- TempIe,Neuville-Bosc, Bornel, Mérù, 'Tillé Troissereiix Brpsles, Villers-Saint-Sépul- cre, Moalreuil-Sur-.Thérain, B.eilhecourt, La C hapelle-Saitt-Plerre, Silly, ,-Sully, Escames. Raucourt, Saint-Quentin-des- Prés, FontenayrTorcy, MorviUérs, Théri- hes, Buicourt, Seuantes, Saint-Deuiscourt, Loueuse, Songeons, Ernemont, Bazan- court, Grémévillers, Crillon, La C h a ^ lle - sms-Gérberoy,' Villers-sur-Auchy,

A rra tu lfssem iiü de C lerm ont.Brenouilles, Rantigny, Baifleval, Bnry,

N oirém ont, übmfroiit, S a ié t - J u s t-e n - Chaussée, La Neuville-Ruy, Cernoy.

Arrondissem ent de Com piègne.'Berneuil-sur-Aisne, Attichy, Haùdan-

coart, Tourotte, Mortemer, Gonrsiay-sur- Aroiide. Orvillers, Sorel, Sémpigny.

Arrondissem ent de S en tis.Mareuil-sur-Ourcq, Baron, Saint-Yaast-

dé-Longmont, Rully, Yineuil-Saint-'Fir- min.

Association Générale des Agents des Postes et Télégraphes.

L a R éunion de C hantilly .Une réunion des membres de l’Asso­

ciation générale a. eu lieu dimanclté der­nier, à Chantilïy, Les principaux bureaux de l’Oise avaient envoyé des délégués.

Le secrétaire, M. Olivié, exposa tout d’abord les grandes lignes des projets 4 Tétude au groupe.

Les délégués- du Conseil d’administra­tion, MM. Dupont et Tjtiiigoac, de Paris, prirent erisuité la pmolç, e t exposèrent très éloquemment le programmé de T-As- sociation dojit la rralisation immédiate va être poursuivie par tous les moyens en notre pouvoir. .

. Pour resàm er cette intéressante confé­rence, l’Assemblée, àT 'unanim ité adopta l’ordre du jour suivant ; . •

« Les membres de l’Association géné­rale des P.T-T.' de l ’Oise, -réunis* Ou As­semblée générate à Ghantilly, Japrès avoir entendu les explloations deS cam arades Dupont et TiôtfgnaQ, dé Paris, s’engagent à soutoair énergiquement lâ ' Conseil Conseil d’adm inistration de TA. G, dans la viiraureuse campagne qu’il va én tre - prendre pour obtenir de 1 adm inistration les augmentations *de> traitem ent corres­pondant à - l ’augmentation d u coût: de la vie, Tapplicatiott do Ta* loi sn r le' repos hebdomadaire et la suppréssion dé toute CQutTidnte morale a n sujet des opinions particulières de chacun,,» ..I Lé Secrétaire : O isr tt.

"CO’n t r é 'j ' t ô r ^ ë u r è Trîdenf^ e t

io p g 4 « ■w-v— a u i ’ aq jto s d 'I^ fè re a

com ihe m qtîB«phlp,à Toutoa

EOR avroftortiu.

v ic e e t

consi

A a Gi(frivi»ADe .ùotj^ èxcéllênte consœur L à p à sé i te

i^Xj^^éaîé, . y ; e..-.'-...

,ie-coOflitifranco-âllammui-a étéritéeca- siou des premières d isc u ss ic m sù ^ d ^ s â leurs traditions d’antipalriotffiffle;6tid’ia'*

dernationalisme, les m açons n n t d G ^ é Te f . v DJbry„,Bn.-juif idai.l’UBivérské de P a r i^ p o u r j^ p a r e r té rapport, •- s’e s t m ontré aussi pamfiste qud

forathip, Lé devofr deS'.n»c^,d»it-ii*'<fit e s t de, Irtteris^emliBiBnf

tl> (hut frmvèci dss„poiBté Me c m i ^ t pour prévenir les AniMBtesdas

jm nrraient conduire la France- aux aventures.

On n esan ra il w l e r plus gentueffiat.Eviter un oonflit : voilà çe (j|ao obacun

Mouvement du .personnel - ; oies chem ins dé fer.j Sont nom m és:t Caissier aux arrivages de la petite vi- tesse .à Creil : M. Debarge Auguste rece­veur chef de 1 a petite vitesse *à Carvîn.'

Chef d’équipe 'à Pont-SainterMaxence : M; .Duflos Auguste, hom m e d 'équipe de i ” Classe'à C om piè^e .: TGontriOtehr â la gare.'de Beauvais : M. Répiieqnec Albert, .{acteur nûxte de-B* otésse-dGrandviljûers.. .Facteur mixAé de 4* clatése'à Grandvil- liers : M. Aiioiaux Abel, bom m éti'éqnipe de 1 " classé à Beauvais.

Faqleur m ixte de 3* classe à Crml : M. Rtésebet. Fernend,--facteur, mixte dé 4* elàssOâHontcoTàet'.

Homme d’é q d ^ dé 1“ classe à M au- benge ; M. G r e ^ ' Atdrimd.’ltm nm e d’é- qim m 'de'l'» classé â'Pont-Sm ntéritaxence.

Homme , d’équipe de i ” ôlassB A Pont- S a in te ^ M a x e m » .H . Rousseau SmUe, hommé d’êqnipe-de l " classeA Longoeü- Saihte-Marie. ' - '

ChanS'enr de etéssera^èfieura-: M.’D e- lattre ISmriéSv méËithkiézf dé l°> 'dlâséA tSreil.

Visiteur graisseur i la gare de Creil: H. Porqner Georges, o n v w d’odrelintA lagare w SwsssBS.

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Page 2: A& m JO U R N ItL O E B ilfL IBbmsenlis.com/data/pdf/js/1911/bms_js_1911_09_28_MRC.pdf · Voil^ ce que l’enquête, ouverte par l’autorité mflitâire,. ne manquera pas d’établir

l ' i f

U C O m U U E R D K L ’O IS B

l a , F ê te d e J*-itéa»ation^[niU ita ire ' . ' ' ' d ’ejw èyofl. 'Yoioi lè~Palmarès â e * S t t e y f e ^

Ç^ncoiHS’ide.TiT. -?Claièènenrftçi-'^Section.

l'"' prix, Q i^ n g e , ë t | r t par le général Picquartetnne’Bm ailler ' —Noyon, 25 haBwlSD p.:2 Médaille* yrâïneil, ofiÉ Rousseaô < Clerj^nt,:^130^L â Neu™e-eni ^ Médailles d’aÆ nt,mlltre de'^la, g i* rre , . _______ _Creil, 23-103 ; Cofcpiè^e "22-140 ; Là Neuville Roy, 22-113 ; Saint-Just-en-Chaussée, 21-116 Senlis, 20-95.

eut pari^G oqrp^ ;

is par M. le gt i. 131'.#.: •, 24-126.;es par'M. là '

àfrefond's,', 2 ^ 0 4 ;

Compiègne

elailleurvaiswignpn

Sauls en longtLeur.■ 5| l i t r e s 1Ô~ Dütos,

y s s s B ^ 'iefîvery; Beàu- • ■ -5;

le- ■1.

. . , - jin l 30;Poulain, Ig|riefonds, 4 m. 24 f Deliàiiiirre, Creil, 4 m. |L é c u ru , Tracy, 4

-4E^ceme«r du doulel.li ' ''» Grignon.' aâipiègne, 8 m. 88S4®uru;Sènlis~

8 m . ^ ; Bamer, Senlis, 8 m .^ 5 ; B m ain . P i e r r ^ ^ l ^ 0 2 ; Deslus, B é a l« is g ^ 9 5 ;LelaüleOr, 'BiiHSes-Saint-Denis, 7 a v W ;’TOs-sard, Noyou, 7 m. 86 ; Derivery, Beauvais, 7 m. 83 ; Darras, Beauvais, 7 m. 60 ; Bulot, Verbe- rie, 7 m. 45 ; G. Dufeu, Estrées-Saint-Denis, 7 té. 20r ftekT VÇrl)^e, l m.; Baert, Com­piègne, 6 ni. 9§ ; Lëcuru, Tracy, 6 m. 88 ; Bla- vnt, Compiègne, 6 m. 84 ; Waès, Creil, 6 m. 83; Lambert, Saint-Just, 6 m. 72.

- L . ' t ^ k w f e n s e . " " sa .

„ — BTDirduité'! de Rouen, et de Ii «BoHSf

Æ uràiiâDurand.,

■ q u i |o n t i ^l l é p f

■I

^ répondre à deux nues- P lS !^ u r s § e s t i ta s

■ W r ^ R e s , rapporte u n .3 id |i^ id e è ii- de oitéi^^tahoéss a t ^DGQEIQtClS ''; • -:t.r

^ L a Co ur condamne Dupuis à c in ÿ années

Saint-Paul, 17-62 ; Rainvillers, 16-68 ; Mai- gnelay, 16-63.

Madaille bronze olfertes par M. le ministre de-Ja ;snerra..:. jrracïd&Mont;'13-97 ; BBDês,« -70 ; Liancourt,. 1J-5Q ;-,.Veçberie, l.û-54.,;Canny-sur.Matz, ’O-'ei;- Longneil--S|e-Marîe, 64 16; iBalagny-sur-Ibérain, 5429 Estrées-Sl-^Denis, 2-5 ; Ribécourt; 1-8. ' ' ' ^

Cldsséiheht 'Individuel.Df prix, offert par M. le .capitaine Vivien ;

LauglqiSi champion._de. l’Oise,..Saint-Just-en-Cbanssée, 6 baHes*42 p ^ n tï. ' .....

Objet d’art, par M. Brun-Malville : Meignen Pierre, Compiègpe„B-^3, ; ; Pènaulclte, par E[.. Uàvard', secrétairetgé-

néral,: Vêrbjst, Senlis, 6-4 .. aEucri'ér,' ’'par M.’'be!amarre, i ülermont:Boige, La Nêilviire-Roy, 6-'40. ; . .iiMontre; parM. Dupont, sénateur: Langui-

gnon;rÇanny-3ûr-Matz, 6-:39. .Vase, pal M,- Félix, adjoint de Novon : Du-

guèyre, La,Ne,uville-en-Hez,'6-38.-, ’.Ronde voyage, .par la; compagnie du Nord :

Démazùres, La NeuviJlerRoy, 6-37.Prix par M: Bouifet, conseiller d’arrondis­

sement : Mardiixi Clerniont, 6t3'5."O&jets d-’aft: Weiss', Bnllès, 6-'34 ; Louvet,

Auteuil, frSft'Naquet, Clernidàt, 6 33 ; Bufkeus,;.a Neuville-en-lley, 6-33 ; Poulain.Pierretoûds,6-29. T .; j^oâàilIes bronze, par M. le ministre de la

guerre ; Dufour,. ÇreiJ, 6-28;,Lagneau, & n- geons, 6-23 ; Meignen,'Senlis, 6-21-;.A.Huart,Tracy-le-Mont, 5-37 ; L’eméfre, ' Noyon, ' 5-S6 Derez,-NoyQn 5-33TBizet,-Anfeuil, 5-32 ; CSiil- lote>Baii}tnB^ul, îk-29 ; «ide,,EieïrefMÿs, 5;29 ;Délacnîrpefle, La NéuVfllé-eh-H'éz, 5-29.

Médaillé» bronze,'par.' M.' le génwal Heÿ- maanq Béert,;. Comptégne; 5-29 ; ; François,Cre^ 5-2S; Fruitier, Beauvais, 5-27 ;-Villaia,Noyon,. 5-27 ; Cabaret, Çlermont, 5-26 ; P.Caron •

flerntont, 5-26; Granier, Cbm'piègae,. 5-25 ; àllongètille,.Songeons, 5-24; Hacard, Noyou,5124,-- ’

' Diplômes de M.' le ministre de tagueiîe :Vibert, Bulles, 5-21 ; Lapie, Pierrefonds, 5-20 ;Delattre,,Lipncourt,S-18 ; Bontemps, Liancourt,5-18; Liévaux,Noyon,5-17;MarchandRaymMid,AUléuil,’ 5-t7 ; Degrez, Sàint,-Iuèt^n-Cbausàée,5-15 Fournier Robert, Longnéil-Sainte-iM^e,S-15 ; Derivery,’ Beauvais, 4-28 ; Marchand Irénée, Auteuil, 4-26 ; Caron Just, Saint-Jnst- enÆliaussée, 4-26 ; Fournier Albert, Rainvillers 4r-23' ;.. Dèretz, Verberie, 4-22 ; Carton, ;La Nèuville-Roy, 4-22 ;• Fourdraine, Beauvais 4-22; Vadnrel, Auteuil, 4-21 ; Lambert, Saipt- Just-eu-Cfisusséè, 4-18 ; Détain, La Neuvifie- at-Rez, 4-18 ; Bourrel,' Rainvillers, 4- l !7 •Leftwe, Maigrielay, 4-16 ; ' Baudouin, Saint- Panlj4-14;Raimbaut, Maignelay, 4-14 ; PotSer,Piewefonds,4 -lï..; Beauvais Abel,- Sàint-pÆl

; Bocbet, Creil, 4-11 ; Delarillière, Son- gedns, 4t 10,, e tc .. , . ;

Gymnastique scolaire.Challenge offért par M. le commandant Ca­

sier et 25 francs : Ecole communale de Cler- moht.

Cross-country.Vase de Sèvres offert par le président de la

République, Heuet, Beauvais.Bronze, par l’Union des sapeurs-pompiersMe

l’Oise, Dufeu Gabriel, Kstrées-Saint-Denis. .Juinéllè, par M. Demii^y; adjoint an mdre

de Noyon, Lormelle, Beauvais. jBougeoir d’art; par M. Baticle, Debeauptiis i

G., Estrées-Saint-Denis. ; jCanne, par l’Association, Lemaltre, Estréès-

Sainl-Denis. 'Médailles de bronze, par le ministre de 'la

guerre; Rémon, Creil ; Lecuru, Tracy-Ie-Monl- Birk, Bstréês-Saintr-Denis.■ MloâiJles’ de bronze : 1__ „

Lemâltre, Estrèes-Saiht-Dénis ; Denis, Traçy- I mmiin.. m ies avaient pris la direction le-Mopt;; Bbârdiyillets, Cfermsat;; GabÆs, i de Ronquerolles. Un gardien narli a l ^ rEbtrées-Saint-Denis; Richard, Verberie* D,e- -ont——v--i . -------- -• ^saint, Estréès-Saint-Denis. ’ ‘

}

O a iisM ouhim ent' • p e r s o tm e l ..V..-. 'INSTITUTEURS

A Précy-su'r-Oisé, M. Delmez, deNoyon. A EuisauxderHautbersâetr-M .-GanteBl,

d é S à te î iE - ^ K e - f i^ r r y ;^ ^ - A Senlis, M. Bourrée, élève-maitre.. \ BelleÆgiisài *14. Iseroux, d'Andèville. A N ogén t-su r-fiise ,'M .t Le' ’Baîl,! en

congé.. ,A Orèil, M. Langlét, élève-maître.

A Creil, M. Antoine, de Saint-Leu-d’Es- serent.: -A Saint-Leu-d’Esserent, M. Roger, de Montatajre. - . , . .• A.M onlataire, M. Dumont, élève-maître.

A M oatatâire, M. Sauvage, e a c o n g é .. A GicesHes-ilelio, M.!Dupiont,' en congé. A Pont-Sainte-M aïenoe, M. Blérv. élève

majtlSBj f, . , ■"A 'Verberie, M. Queste, suppléant auxi­

liaire; •:.•: A Crépy, M. Gosset, élève-maître.

A Verlierie; M.;Duhamel, de fflermont.' ■'TNSTITt#rRICES'

A Saint-Vaast-les-Mello, Mlle Louvet, de.Senlis. . , .... . ;

A Sèiflis, Mlle Queral, élève-maîtresse. A Sai'n,tTLe»-d’Esserent, ,JiIm6.RBger,de

Moutataire. ' .A Montataire, Mme Sauvage, d’Elen-

court.:.. .. .. . . . ;A Creil, Mlle Coutable, de Nogent-siir-

Oise. . , .A Saint-Maximin, Mlle Bélardé, élève-

maîtresse. :A. hTontataire (école maternelle), Mlle

Villet, de.Chambly..A;Çbamblÿ, Mlle Dourlens, de Sérifèn-

taine,A Ercuis, Mlle Cocq. d’Allonne.A Acy-en-Multien, Mlle Lala, de Tricot. A Neuitly-èn-Tbelle, Mlle Laurent, de

. Cires-les-Mello.. A Cires-les-Mello, Mlle Trébuquet, élève

maîtresse. ,A Gouyieux, Mlle Dutriaux, en congé. A Béthlsy-Saint-Pierre, MUaCoquerefle,

élève-maîtresse. . i ■A . Nogent-sur-Oise (école maternelle)

Mme Espàlanusse, de Grandvilliers- ^. A .Balagny-sur-Thérain Mlle W ibart, de

Bury........À , Montataire, Mlle Ducastel, élève-

maîtresse.

é ftre c lœ ia m

t W tmois de .contre D u p n ^ 'p ^ t cojxectinaaals.-sant peine'dnreolüsio'ir. "

e i n e ^ ^ ^ ^ e s mois "et d e n u it je s , jcette ' jinBéd ifentS' trib u n àu i

m daes-avee- l a : ;

'fâ 'su iv re ) .

lies émeutes de Cfeii

â la rentrée, sur « leslm eu îes de c“

d i e tn ié ^ lie en f fw n n e q lç y j ’adji

Is, ir d' iant,i^2<> bus!

[d a rm ^

ISS 0ick„ euii

* a u t r ^•mes ,tÎ)ten u ^ .^ e e ;§[io*n ai ' l i m ç ^ d e ë ^ ’’Tgui (

muement dônt*îls ô n l ___P'’ v ^ .n ,c o n tr ib u a n t à l’œuvre de P . M.

titulaires de V f 5

'.jÿcke

.•èfifî.A u to m o b i r e 4 : tù B d é B e riiis . '

’ ' Béànce‘d'd âi*Sép,tdinbi*e.'P r é s id e ^ e ^ e M :3 . Odewi, vice-président

Extrait du procès-verbal :.» ;' 1- ■de^a fP“ du compteten e ■ ifM " f '^ “ *WCiére„ qui est. exceb lente, e t des travaux d’amélioration surles routes effectués, .projetés et en cours hlfr 1° ? ’ à rassemblée d’éta-

- .A u p rè a i^ le , il expose que ce rouleau ^ p a c r M i . f i o r d i e r , de Bray,

ne, l ’qn. était en drôit â | ^ ^ t e W | é t é i i o b i e t des

d % d e ensuite, su r sa pro- tèmênt“ ’ '•ouleans^rgprêté gratni-

..X”, .A l’administration forestière ;2 Aux communes,., pour çylindrer les

chem ins^C inéux’ttqversant les agglomé­rations* e tïe s reliant''le* plus directem ent aux routes nationales et départementales.

Pour tous, les. autres travaux de cylin­drages les communes devront n a v e r s f r par jour. .7 • ■,;*;*,1 ; .

®® particuliers désire- navèl- du , rouleau iis-auraient àpayer 10 fr. par jour, les membres despéciaiel: à des, conditions

L e Secrétaire.

C^inutél lH 9 Q d » ln ."o noua_aïûns-annoncé lesn an^H es" (fe"M. “Demonssand'avec'M üeSagteti

Notre bonne foi a été surprise; cette nouïeUg-gst j*exaete. *;î: , *.j % ; «

Alsus adressons, en celte circonstance, aux. deux honorables familles l’expression de nos três’stncèfès régrets.

' t-N . D. L. R.

AIéçcolosie.Nous apprenobs’la 'ïdûrSde M. Georges

Panty^s, de Saint-ChristopKe. ' . ' : ■* )|''fm!i%W>Pn.;Au,fa;:iieü:a XToolp, prés ®r.a3teffls-'..Un ,s^,yice .sera, célébré lundi 2 actobre, à: 10 heures,..A Saini-Ronoré,- dEylau, à Paris. ,*4 Nojisadressons à Mme Georges Pauweis et àsesiiilles nos:.respectueuses et svm- pathiquesi condoléances; - *‘ Les pèrsomiès qui, par oubli n ’auraient pas reçu diinyitations sont priées de consi­dérer le présen t avis comme en tenant lieu.

L e p é p a r t d e l a C la s s e .Lundi; â 1 h. 43 , les hussards libérés

ont qmtm,.leuns quartiegs, accompagnés de la fanfare et de beaucoup .d’amis et’ de camarades.

A vant leur départ, les officiers ont don- nè aux soldats, A ceux qui ont passé deuxM sspusles drapeaùx, d’excellents conseilsleur rappelant-qu’ils devaient toujours’ se conduire en bons patriotes, en bons ci­toyens. . ■ ' '

Les Prévoyants de P.4 venir.La recette mensuelle des Prévoyants de

1 A renir (S8S» section, Senjis), aura* lieu mmancbe d'"' octobre, de 9 h. i/2* i

chez M. ..Razet,, restaorateur rue YieiIle-dé-PâriS, ,. ' .

Compiègne à Lon| leil.n 25 f i a t^ R ’a m e a ^ .

six helÉë's’MBiatii^ibeui]-

" fmieÈ:.a4 fajg-Scolte

lÜture à

. --«niJ-----I7ûfi6t|&a péD étrO ans la propriété Saint frères, à Gouvieux, et a dérobé dans un vivier le nois- son qui y était renfermé.

en" 6 f Sifetto. — Le samedi 26 août, Salandre Jean-

Bwtiste, 44 ans, a porté des coups an chef «fraMOH»* Vànmaerefc- 29 août, lorsque le brigadier dgvendarmerie l 'Ü , ^ M o n t a t a i r e , _ ^ s t p ^ M té ’''po5ê

ysnont

lea la phis

contemp peu con éon I

ti

’C9~Ipetits "e t grai

j splendeur de '^devant les

e nos souvi lurprise, la vieil e tte oeuvre,''Emile Bergj Tèt artistiqi'Les échos « W L re M u g n a B m i^ B te r -

prétatiou, q u ^ t t â H H i e a K S H ^ » n scène b r i l lM te T ie s o o s tu M ^ P ^ m ri- chesse inouïe joints à celte interprétation

n n jeu M et sympa-

ehaiK B ^B ^ À passer.r - La police a mis,

m afJj matin, e n ^ f d’arrestation i’apaeiie W m ^ h n Albertr-Vthur, âgé dé 2Aai9s;,:iié

unî. était_ ivre

Factionnaire endormi.Samedi, devant le Conseil de guerre du

2® corps d’armée, a comparu le soldat Le- roy (Jnles-Louis), du Sl« d’infanterie qui était accusé de sommeil en faction. ;

^ r o y a_été condamné à deux mois de pnson mais il a obtenu la loi de sursis.

Évasion d e deux détenues. .......... . . . . Deux détenues de l’école de préserva-

M^hâÜJes’de bronze : Langlet, Liancourt * | d e Clermont se sont évadées samedi,e-.*-, w ....... ------ • ' ves m inuit. Elles avaient pris la direction

de Ronquerolles. Un gardien parti ’ recherche les retrouva et elles ont tégré la mmson.

.Beur évasion prouve que comme la Jo- conde elles n ’étaient pas bien gardées. ;

réfc-

Course de 200 mètres.Ex-œquo : Bourgogne, Noyon,.Baert, Com­

piègne ; Lecuru, Tracy-le-Mont ; ex-æquo ■ Darras, Beauvais ; Mîgnot, Senlis ; Tack, v lr- berie ; Grignoh, Compiègne. ' .

Barres,et carde lisse.Ceupe offerte parM. le ministre de la guerre

Laurent, t u points, Pierrefonds. . ’,(8qèt,d’art offert par B. le général Journée 1

Grenier,.ttij Compiègne. , jPenduléfte, par M. le colonel dé Fontenilliàt,

Degre:^ t06,.Saint-JusL ;Bpîiê ajflunètte, vieil argent, par l’Assocîa-

tion,,lIatttë, IM, Ksryefpnds,Votnvvo /1a /«tiamicA rxaW’PA'n

Courd’Assises de l’Oisé.Audience du lundi 2 i Septembre.

' Affaire Dupuis.(Cambriolage) ,,

troisième session, des assises de 1 Oise a esb.ouyerte lundi à Beauvais, sous

Pànfré'dé' chémisè, paî fÂSsociaüon, Taoi, F î? w feidenee de M. Grébault, oonseüler.ài03,Yèpberie.* ■ ’ . l la Cour d’appei d’Amiens. M. Padl-Lab-

Etui cigarette, par l’Assoeiatidh, Bocaut, ^ Cteranoiit-.. ;. - . *.. ,!.• ’ ;

Canne, par l’Association, Bayer, 54, Pierré- fonds;;Grignon, 54, Compiègne.

Médailles de bronze, par lAssocialion : Boti- vèt, 53, aerm ont;.Sortelle, 51, Liancourt* Petit, éo, Bâlagny-sur-'niérain. > j

Eqmtàtion,Bronze offert par M. Gbûrnay, Duru, Senls Terre cuite, par M. Remy Rendu, conseiller

gériéràl, Bôyenvàl. îPendulette,’ par M. le général Lèvillalù,

Lemaire.Seaux, biscuits, par M. Salnf-Denis, ée

Clermont,. Mancheron, Senlis..Pprtepr, p a r M. Philippe, conseiller muni­

cipal dp. Bpaùvais,Leclèa*ejÀenlis. . 1 , .VasVpar M- Vàillâht,' .Vice-président, Cle#-

mont, Sàiûte^Beuvç, Senlis. ’ - i, B(jus de voyage sur lé Nord, par M. Bouffei,

«isnseillfer d'àrrona&sém’ehf': Sellier, Meignen Serdistf : wp fi;. ..::*.*; j ; *;;* "f '■.*»»*.

Cadiet, par d’Association; Barbier, Sëfilis. f Brosse, par l’Association, Liévaux.Cendrier, par rAssociatipn, Grandpiérre. Médà3Ûra de bronzé, par M. le mimstrede la

Guerre ;,,Tteigfieri Têriiand, Senlis;) Legrand Rbla’naVPafmehtîfif. Sfinlîs r'MépIinr ’ * '* r

ren t Jeanson, de Rhuis, é tan t aiuffrant est exqusé.;6ti rayé de la liste des ju rés. 1 , , 1 4 , prem ière affaire de la présente s 4 -

Promoitioiis.P m décret en date du 23 septembre 19 H ,

rendu sur la proposition, du m inistre de la guerre, sont nommés au grade de lieu­tenant dans les corps dont ils font partie pour prendre ran g ,d u f » octobre 1911, les sons-^lrentenaitts de cavalerie dont les noms suivent : * '

MM. Lafargue, du 2 ' hussards ;De Yienne, du 2= hussards;De Lavaulx, du 19® dhasseùrs.

. '* V.*V ; . *. *.;. ;P ar décret en date du même jo u r rendu

sur le rap p o rt du m inistre de Im gim rre. M. Andras de Marcy, aspirant (te ;l’é 3ole de cavalerie a été nommé: sous-lieutenant au 2® régim ent de hussards.

V*»M. Delor, capitaine au 2® hussards est

promu chef d’escadrons an 24® dnigOns M. Tourillon, lientenant au 2® h u s ^ d s

est nommé capitaine au 18» chasseurs à cheval, à Lunéville:

Toutes nos "félicitations aux nouveaux |i promus. . , .

Banquet de ; la classe 1910.Le IS septem bfe dernier, les conscrits

de la classe 1910 se sont réunis cbez M. Debressy,* hôtel Henry lY, en ifh banquet d adieu’ Le repas fu t très gai) les plats très goûtés e t lé service 'promjpt. "Parmi nos futurs soldats et leu rs amis, le rire fut la consigne, et il nous semble inutile de dire que jam ais consigne ne fut mieux observée, à peiné une trêve au moment du dessert pour perm ettïù au président detable -dé prénotieer. fà''charmaiitè allocu- tion suivante ' •• i.: 5 ^A u x f u t ü h s o . l ^ t s d e i a classe 3 0 1 0 .

Mes chers camarades.II in’est“un devoir, en ma qualité de plus

_ ancien.de la ,table A’bôte. de M. Debressy, de

Football Association.Le G. S . S. reprend .officiellement l’en*

trâifienièiit DimâQchô prochaiD.. Ouverture par un match de sélection, «

1 effet-de rem plir les vides occasionnés par le départ des jeunes-soldats. -

Un antimilitariste.Le m anodvrier Maxime LegrOs, 34 ans,

dem eurant rue des Fours à Chaux, étant ivre lundi Soir, a insulté grossièrem ent les militaires de garde au quartier Ordener. Invité à se Ja ire , Legros n ’en continua pas moins Ms in jures ; il fut appréhendé par les soldats qui le rem irent aux mains agents.

Atterrisstege d’nn ballon.Le ballon A éro-c lub f / j cubant 1600

m ètres; a atterri lundi, vers 6 h. 3/4, dér- riè re l’u s i n e - à ^ de Senlis! 11 était piloté par M. Mélandjré, pilote des usines Mallet- Zodiac, et accompagné de trois passagers. Un gjiand nombre de personnes qui étaient accourues aidèrent les aéronautes à replier le ballon.qui fut conduit par une voiture de m araîcher à la gare de Senlis.

Les aéronautes se-déclarèrent enchan tés de leur voyage.

Hôpital de Senlis.* On demande une infirmière.

.Objest-perdu.,II a été perdu une breloque.

Maison Ch. Tohpef> L. Février, snccèssenr. Vêtements d’Fiÿ- f a id S k .—-Dimanches et Fêtes, ferm eture des Magasins: à iine heure.

|i PoUee cerrectioBnêlle de Seoil»f* i; ‘ u d ie ftè ild ÿ ^ î septembre. *' * **• -

Prêsidehcà.dé’M .'& is,.pféside^. Ministère pûhlic.: MI'Püguese, . procureui. Aeyxen-MvUxen. - , Le 43 août, Eoëlger Lu-

, Amiens, m aréchal-ferrant aan« I *vous ayez eu là une bonne idée de camara- I

,, — — — P a r e n t r a ^ . ', , ,':ll*=SMtend:!«oBteiBnerj «a *u it jours de

••• fU't-i-l 4-0»* 't., i-yô ît,T •'.•'.““ ‘ne Louis, J4 ans et

° f®-®™.*® S’"'. Lquis Lbômme etsoS PèroyiSiA comme" cîvilerirentresponsablei

déjS beaiwïoup-d’éshûis, dé- S û r e à f ^ “ •ernemènii dans une'.mfi^n de

inculpésont agi. §ans dmoçimement.-il remet Goret à ses parents et décidé què Lhomme séra détenu en maison de correction jusqu’à j ’accômpiisse- Dienl de-sâ vingtième année. * • ;Tnih.Æ, a .Ooft’p'W.fiâux. Georges, 20 ans, et Tribalal ffenr;, 19. ans, ont été,surpris posant

l ‘erritojre de,Sà;iptTyâast-les-iMeUo. Banotiaux a aggravé"son'câs'en èxef).Matbiaïd''’° ê:ardes Desbruère et, Tribalal est condamné en 50 fr. d’amende,Hanotiaux en huit jours, de prison 50 francs Q amende. . •

Ponlpqint. — Raingard Auguste, 66 ans, manouvriecà Pontpplnt, prétendnue le garde champ^re Repvilié né fait pas son 'service,

“« / ““ “Po exclusivement que de chasse et de pêche.^ L ayant_rencontré le 17 août, ü i"*' il oe touchait pas encoresa retrmt,e.,ouvrière„ le garde, champêtre lui

<i® f!èdPesser à fa mairie, Ràin- if timtj-.fie fainéant, propre à rien, etc.

. II attrape 50 francs d’amendè.Saint-Leti^'Bsserent. - Pécret Edouard,

f • *'its‘'i®5> 29 ans, se sontportés réctinroquement des coups le 19 août, au sujet du . remboursement d’une somme de un franc prêtée par Pécret à Aruould.

A çn^uQ 2$ Xrancs d’amende.Sen tis.- - Arrêté le 1" septembre en vertu

“ un extrait de jugement pour braconnage, procourt Clément, 25 ans, s’est rebellé contre le gendarme Watteau.

11 iera. ùn séjour de deux mois à la maison a arrêt.

— Adam Gaston, 20 ans, commis épicier à a dans la soiréedu 21 juillet, le préposé d’octroi à.la porte de Crei, empêchant, j a r son attitude violente, cet employé..à. vèrtâpr le.contenu de sa voiture de lim ison. "LAdi^istratiou des Contributions '““ff§éies,intecÿjent, comme partie civile. Mal- gré.l nahfieulaidbijrie. de ,M® Escavy, son dé-fenseur, Adam, est.condamné pour outrages à50 francs d amende avec sursis. Il devra en ' outre payer à l’Administration des Contribu- üons indirectes, pour infraction à la loi du 28 avril.1846.,et au règlement. d’Octroi de la yuie de Senlis, en trois amendes s’élevant à 450 francs.. L’épicier Carré, patron de Adam, est déclaré

civilement responsable. . .Thury-en-Valois. ^ Hemt Emile, 48 ans,

|Uouvé posant des collets sur le territoire de Tbury, est! condamné par défaut en 50 francs d amende. ‘

Ülly-Saint-Georges. — Le 27 août; en re­venant de- la chasse, Berger Jules, 40 ans manouvncr au hameau de CavUIon, a rencon­tré Louis Rabouille, qu’il savait entretenir des relations coupables avec sa femme. Se doutant que Rabouille, profitant de son absence, sor­t i t encore de chez lui. Berger, surexcité par la jalousie, luUicay-à-dix-*mètres dé distance» un coup de fusil dont toute,la charge atteignit

q ûè 'n ll d fco \lfde7eu1 tréu \“^^^^^^ 1 - n m o T l î a p 'r à 'M JaS-peu graves: pour Rabouille qui, après être'resté I tÎ à 'l’hôpital-quinze jours à l'hêpital, se déclara complète-- ment rétabli.

En raisiip des circonstances particalières dans lesquelles Berger a commis son acte, le.Tribunal, se montre indulgent en ne le condam­nant qaà.uii mois de prison.

Verneuil. — Travaillant en plaine le 12 août Vcrfaillie Emile, *19 ans, a quitté son attela'e’ , pouraller visiter des collets, et décrociier im. apin.

Il esl condamné en.50 francs d’amende.'• — Lé'ÿs juillet. Jacquet Marie, femme

Durosoy, 38 ans, habituée des tribunaux, a « I PAC legaide .champêtre de -Vez,•J /t/vnnoîeeanf Al......' «a 15__ .* •___ . ’

sous-offlciers daos un débit de la rue de 1* h ià s A B ^ le débit dela daiueH ueî, fflémfe'rnh,-parce que celle- ® ' “ire fa sa it 4_ boire. C’estprincipaieDae^-aax*^itr^.rde B a m u r ou’ils eu est pris, Mt fie? d é g M sÿ à f f if fV ^ petiyentsAlever à une cinquantaine de f r . l troupes. — Le calmeétao^t complètement rétabli dans la contrée, les dernièrestroTipes qui restaient à Creil.

y n é m u kà e de 'M . de la P a lice . — La légendeiprétend'qu’un quart tfheare avant sa m ort M.;; de -ta Palîce'étaft encore en v ie , .n ^ e confrère LaD épÀ ^ deP O ise, ne. d ^ .pasr.y croire, p u ian i’e lle trouve exorbüairt.qae nous relations que l a veille (le sa m ort l’à a t fie Laralle é f |i t relative­ment satisfeisànt,- n(fe renseignèm ehts de sources psu rtam tau ta risées to ien t ctepen- d ^ t e x ^ s , comme ü. esfcencere-faeile de s en rendre compte.* . . . *.

noctambule. — P ris d’idées vaga- bandes.e t fcanchissant le s .h a n iè re s de son pré, l ^ e d’nnprcîpriêtaire de Creil se promenait tranquilleffleiit lu n d i, -vers une heure dur m aten/P lace C a m o t II fut heureusement * * homme, M.cette re n c o n tre___________ _

lo len ^ m ain parso n p ro -

O bjet tro u v é . — Lundi m atin, près du J® ‘*® l'épnblique, il a été

trouvé un filet.a pravisioii..ayec- un livre de compte sans adresse. Le réclam er au com m issariat.' - .^ Accident mortel. — Lundi soir, vers 6 heures, I ouvrier .Steck B ernard, âgé de M ansy travaillant aux Forges de Creil et habitant un des logements de la Cité ou­vrière attenant à l ’usine à zinc, était assis

'“' “ strade de son balcon situé au 1 ét^e,_lorsm ie par suite de la rupture- de celm-ci, il fut précipité dans le vide d uim ^u t® ur (ie quatre m ètres et dans ra chûte se brisa la colonue vertébrale La mort* a été instantanée. Le m alheu- fante ^ 'bOb^Feuve e t deux jeunes en-

Les chevaliers du couteau.— -Samedi dans la so ir^ ,,u n passant d e .I’avenue de la Gare, Lucien Paocioni, âgé de 21 ans originaire du Kremlin-Bioêtre, a été f «“jlli^Mfface leüafé du Chalet par une ban (le d mdiyidus paraissant ivres et dont 1 un.-lui aurait porté des (siups de couteau

^ lû téïe. Le blessé s’é tan t , affaissé dans une mare de sang, les agres­seurs, se sont empressés de * prendre la tuite dans toutes les directions. *Après r65U.dea. soins dans la pharm acie B e rW P accionrdontles blessures ne sont heu

été

derie qui ne.peut (jae s’ajouter aux orécé- deutes.

Aimons, m aréchal-ferrant, sans domicile fixe, inculpé de vols avec escalade et

. e ^ ao tiq n dans la commune de Broquiers.Dupdifi est âgé de 25 ans; c’est un garçtjii i . Depuis deux ans et plùs que je vo'us connais,

de taille ordinaire, robuste, intelligent I 1® d’admirer votre bonne entente etqui aurait pu faire un excellent sujet! Lés f ™‘'‘® '•'““““■se lorsqu’il s’est agi d’organiser renseâgnements recueillis su r lui et sés I, ““6 .P6t“,®:fèîè P?“r,relier davaùtage vos bonsantécédents judiciaires sont des plus m a l - f•vais."

i plus m a |-

Avant son incorporation au Si® de ligne a Beauvais, Dupms était condamné en 1901, dans une même atidience d’un tribtl-

deux peîqes, de deux ^üktré. Dàois d6 ôrisbD Pbttr vols*

en 1B02, lé tribunal de la Seine l’envoyait jdsqp-A-gâge de 20 ans daiis une maison de correction.. Alors qu’il était a n régS* ment, D upuis passa devant lé 'conseîi

Certes il y eut parfois au-dessus de nos têtês ; quelques nuages, * mais Ip pluie qu’ils conte- Jnaient n est:jamàistombée et ceux-ci se soin dispersés au vent, nedaissant parmi-noos an- cune trace d ô leur passagq.

, Yotre départ ,aera..parn)i ceux qui restent, un grand vide, et. çette.tpble, où rayonne au­jourd’hui la sympàthie.la'nlus étroite,va rede-' venir bientôt sîlentiètisé.'Séiil, l’écho dés bons jours passés enseihble, vibrera souvent dans nos cœurs, où* votre souvenir serr toujours aussi vivace. Soyez-en bleu . certains, mé; chers camarades..ffuerre du corps pour coups à un agei

ÿ k-force pub lique; enfin, cette, a n n é i f Je suis d’avancé conTOiHcu que, démain à îa Faccuse. fu t condamné, par défaut, à tro S I caserne, vous aurez à cœur de servir votreDemies Rnr>.A«STVO<3 /1â cc»rxf j» . J DAVS COmmA hA hnns l» r.,:.,.R6IarfdYî*âfmehtief, Seidîs;'M ^ 7*^“ f , . • , . , * - , ___ __________ _ .

iJîpîODiieSr’Bésîus, Mom'é/Ménier,deî'rôV6iï‘ I successives de sept nloiSjbjiiei t o a l comme be bons Français doiyent-le faire. | l ^ » « ---------------- , - t*y-rtionn/xxr D/tnttow-<Mix /'/i‘Ww«;xAà«A4* -jf I EDuoisBt dlC-56pt uiois dc prisou DouT voî^^ I la vie Tifilitairê n*ésfplus ia-méme l c o m p a g n o n de ^avaii Giçardeau

*''*" '. *— r '* T -I nue‘Cellé-ci*. mais Ips-nYiffpviAD. w. ..aOa ....j, I Rniqe, qui 1 accusait, fié lui avofr dérobé unl'ctaùdàil; ’ .*•"■•’.* n*'*;:i ... -

Delannoy, BouVartj 'de Coièpiègné fMeigaeh Pie^jiVCTbyst, ïp n , Gaillardot, Mignot, de Séhlis. * * - .

Course dir1.-S00raèlres.i " , Dulën G ^ûëL EsSées, ■ temps 4’43’ .

* 2* lg)rnHSUêLSMttvss,'A’49” ; 3« Huet, Beatu vais, 4’50”; 4* Lemaîire Lucien, Estrées, 4’5 2 - 5 'Debeaupnis Georges, Estrées, 4*52”“ 6®Laiï glet Liancourt, 5’.p T‘ .DbardivUlers,’ Glerinoné S’îorj.^^Bpnrgogné, Noyon, 5’U~Estrées; ,5 42’; fp’ Dessaint E., 1

yiénhéni énauitè ; Demazures, ___Roy; Obri, Vprbe.në: Richard,, Vèrbenéi'Bplj hart, Liancouirt ; L'éfêvrè, Maignèlày ; Dubaï* Pierrefonds;. Carpè’iifer,-Mmgnelffy; Léc*~' Tïacy-Ié^lRmt ; Tqùséaint,' Ndÿon; Ü i liaSgïielay; Mâthe,PieB‘efonàsf(IértM'Hi_ Pierrefonds ,* Denit^ *ABdriâ;..Jr£eÿ-le.4léht| Beudnin, Noyop ; Hoyard, MetigneUtsi ; Ylllaiii

.'<5onipiègne..„.., ,„.* .. .,.,*,,*. . ?TSauts en hauteur. .

'dîséusiion ,édala;ehtre eux. Le proprîltaire' ne voulant pas s’en aller avant d'être' réglé, reçut de Poëlger, pour tout paiement, un vio­lent coup de poing sur la figure. Ambrait de la dispute, lès membres de la famille Ghéron vinrent au secours de. ce dernier, c’est alors

I que Poëlger alla chercher un* revolver et pro- ■'férA des menaces. .■

■Habilement défendu par M® Sainte.Beuve, avoué, Poëlger s’entend condamner pour vlp-

I * lances et port d'acmé prohibée, en 50 ffanès , d’amende: ■

Bargny. — Dans la soirée du 20 août, vers onze heures, Robert Lèinairé ayant rencontré LeelèCé'Lucie, *femBié( POrtz,.âgéè*de 2S ans.' lui reprocha dé le ' ihépiïsér.' Pàrèni Gérard

.49..ans,.qui.causait,avec Ja femme Portz, ra­massa un morceau de bois .et le lança sur Lemaire, qui fut blessé à'ia figpré. . - î

Parent est condamné èn 25 francs d’àinènde avec siirsis.r ■ ! , *. Bbrdny — Le f8 septembre, Oudelet Al* plmnse, 49 ans, gars de batterie, a frappé viq-

^ b le s s é qui n ’a pas de domicile fixe n i de profession déterorinée, a refusé de por- t-er jhaiiit6,»-e6 éqüi sembto doûB6r la m e-

lsurede.,.la.-mentaüté spéciale des acteurs de cette scène qui avaient probablem ent on compte à régler entre eux. Du reste dans ce monde spécial lés ' ooutea'ax en,,,eut iréquem m ent en scène, dernière­m ent un chevalier du surin a blessé sa maîtresse de deux coups de coi-teau* au bras, parce-qu’il trouvait la recette trop lïîoaeste» - \ ^

H o n f a t a t r e ,O uverture d e l ’P co M m u tern e lU de la

J*® 'de ïfcmta-„ - ‘“*r®,f'’l i o “ neD r*dm form er.lesliabitantsDiirosoy ne fit apeune difficulté pour avouer f que 1 ouverture de l’Ecole materneUe de qu il contenait 32 collets. I la rue Louis-Blanc, au ra’lim lnoAî^;™ .

Elle est (xindamifëe par défaut en un mois i Chain, 2‘octobre, à-huit-heures du m X il*de prison 50,francs d’amende. | i„ ^ te des {kren tl S i t o ? “e 1 ^ S :

. mS ’ rues^H enri-Joret,Le Congo.

B razzale conqtnt, Yaissier l’illustra.Ces deüx'.oonqu'ètes pacifiques Ont des-pésultâtSmagnffiques,Que jam ais Daliemand n ’égalera.

Un officier,.ast célèbre savon. ^

qui, la eonjaaissîuil .poiir! m . livrer jpurnelle- i ^ t àu,bràçohnàge„rà mterpéllée sàr lé

J',,- ’elle portait, la femme

: ■: lé in terroga to irei Dupuis renéuyelle ses aveiM. I l raconte

Tols, puis ses voyages i &ou®n oit il fit la noceaveè

des filles pubhques, notamment avec tini filje. Suzanne Prévost. 1

Mais M. le' Président fait rem arquer

qi» -ceUe-ci, mais les exigenees de cette non veüe vie, et la .discipUne surtout, ne péuveét pue vous fortifier et-fous.aider dans votée'' avénir. " ■ '

Une médaille de bronze oShrte par l’Asso­ciation généraiB : Dmru, Senlis, 1 mètre 55- f

Un baromètre, par M..Jo,qve, cddshiller inut nicipal ; Delisp,'Senlis, ,4 m. 54fe .■! BhyÉPfi^ft^bdWWpéghfii parM. tog& éral

différencer8Bvjfeff-une somme de 500 frf L’a^ sé ^ n e tro u v a n t aucunp explication;

“ 4 k3SfîfliapfêB».cen(il8£iTO çiers de la mSison.hospitalière de Rouen! “ s é 8 9 j ÿ t ^ M & « t ^ t o f i g j J r e d’uni mênie m p isp n i Elbeuf,. la femme BourJ gogne,bont dû p rofiter 'Itir^m éni des. déf penses exagérées de Dupuis' peô 'dàïirtj

jEteafpijfin’a isé jo n rn a ■dansïl’iiho e t dans ' r 'am tn é îm ^n - -, .: 'li'anêitioiE.'.des*: témoins révèle que

h Dù|titis,JU ARonen, des dépenses exagérées

; fî(ft5P}BR„W»tte^«h#asaaï*dma« a. ffiS^aitàB n4?M ii.«»i!m »*érits ét ffroi amis et pas un instant les convives* ne si départirent deJeurs folles gaietéSï

I S Glàssë. ■ttlO.’ aF ÏQ In s^d ës -m'rconsl ieiles et cependant elle

de d’un..(jtB ^Jégec,.l>al^etjjop d i. . , ------------- — J—— — I o—der nOs xroiutm és, nous,ne noffs et

f..»».;..;,, » , .luipu . i afflrygtTanyBD;Sur les -qnestioasp rin ti N to M èn é p a s ; '% 8 -■ |u ^ o. . iJis«i#tezsfiitïD etiîBp:j’M..74iriP'®i-»‘P9“ 4 | s “ D lsfc4uesiio |is^g»âbaot#sÿîli |- lW 8œgeBS,mosdë*e«*eBrs d e d t o m a -

'gnon, Compiègne, 4 m. 37. .oi . ; t-P. , i. ekentnaeroirftansuite.UlsweejïtaodoiFilfei --------- ’ ■ ■'1 à O a p jg p Jé des! ^coostim oesi

-aeifeffcontrant; lè-25août, près de la "gare deBôran,*; le garde; champêtre Framery, quiajriyaitde Senliso,ù .il venait,dedéposercimimetémtnff.dansjine àffajre,..Sç, .coups, 'Ëtroqnièr Edouaf3,'32 ans, terrassier à Boran, qui mffit pourahtvî,*'a oùtiSgé lé gàrde! ' ' ! ,

11 récolte, ,poup .C6 : fait, quinze jours; de pnson-,,.,,

Chantilly. — , Le braconnier Petït iulep, PP,Positi.qp.à,sege jugements

par défaût rendus contré lui les 42 juin et lO*juiUett!Petifse •borne à soHicrter 'm duf- SbPCefdp Tribunal, déclarant qu'en raison; tiu

I I ; .. , : .|i ff!?gH Poq)bre,dè délits qu’Bia commis,.,il. ne'Puis chaOun, comme il convient, de iiP^ïff.ééihppelerdè tout.' ; ' y

ohantW qnelque chansonnette pour «chef r Lés'^peme's, s'élevant au total à'cinqaiis et.fgr d.Ans .la . jo ifl^ tte .4 é li(iie u se so iré l r T®***?"® d’eœqwisOiiiiement,'3.400 ftahos (facueu. ; LAW SikteitffO ht'W ^isues*... ■7 ' / i j j

” .Félix, 24 ans, et(Musi0 _Jiffqnné,..2L ans*,, sont poursuivis pour

[ - ®® violences, stq* fes fnèrés vaii-kdOTÿé, HeniVr'et Yaadévolle Emile, dans'la [ j s o ^ dBi9:juiB‘deoiier.a ;;x ! *5 J L.*. ; T r.,; 09“, ^ l?ul p o m p â t ; il sten tireayec25fÂ

Mes chers camarades, je tiens, en terminani,|i a vous souhaiter bon courage pendant les deux

aimées que vous»iffilez passer au régiihenî, espérant de tout cœur vous revoir un jbJr aussi gais qu’aujourd'hui. Je lève donc im* verre *.â-votre santé^- à* vos futurs'galons. et

ituve-la classe4910. . . . !Une chaleuteuse ovation salua ce toij-

chant e t patriotique discours e t, le6 pte jj te ||^ se m e n ,t^ ne fu ren t pas ménagés ^

f f i ^ J F s , Ç°P“é9PABV?ieurp .M ^ potii* Péf B utrape par défautiuii jours a’èm'prt- ^

G a n t o R _ 4 e C r e i l .

' g M ; e :.i i _ . ■ ‘

Enseignement primaire obligatoire. — Le maire informe les habitants que la rentrée des. classes, dans les écoles com­munales aura lieu loltzadi ê octobre 19 H ., ll.rappelle àcettadoiîasioul'article 7 de*la loi du28 mars;1882.sur .la nécessité de ; la déclaration àfairuimmédiatement à la Mairie.

ànts’à iatnouvelteEGoIel*™^'^.Les familles quihabitent la partie ouest

. de la viUe, depuis la pharmacie L ^ e lo t continueront à envoyer . leurs e'nfants i

: 1 Ecole maternelle tie là rue (Jej’Eglise: Ml e C r^ B ; *tommé6 à la dirècfibn'de ) 1 Ecole maternellei .de la rue Louis-Blanc, se tiendra à la disposttiba, des p?j*ents

[ jeuffi proeham, 28 septembre, pour l’in^^*. c T tfe le ' ® f r ^ ^ u e n t e r

Lé Mééting. — Le meeting contre lag u e r e e ’ . 't r a i a e u I i è u d i i M E n c b e a p i ’è S s m i d ia été un fow, cent-à cent (ànqaaate mer* sonnes seulement avaient répondu à ran- pej des organisateurs. Des ..trois-déléguësannoncés*-seul le oitoy«m Ferré,-s®créteiredOîfwblantiers de la Seine,’ étfiit'préèentA part'uneijustecritiquades a j î o a p ^ r s .son discours n’est,, pas sorti des bahaiités

Les élèves poiirvus du certificat d’étude I troubles locaux'e7l7sorÏÏAv’« /« ‘ff*ï^iT* pourront suivre le cours supérieurannexé dans -lë plus^^^anff o r ^ ^

.Somasco et devront se faire in s - : noii™ d®â l’Ecole.;police n’ayant, eu à in tm e n it A aucun, moment.,

I '4 jU ttan itte s- w t

s assuB ^ .i

cheré, cette fois, nous l’espérons, d’ écouter e t apnlaudirt s . ;

Cjest» en; efetÿ smnedi prochain 30 seû- a^r,eg;qn’aura, J ia n an théâtre de-Creâ

oamme imMsi’avens annoncé, la représed- tatmn exoeptionneHe par là tournée G w ï- içes Leduc» dq l’immense succès*

pjècé'Mstorique en .cinq afctes (fe ’

troupe est composée ed- tiert«ûoo,t,(i:artiste8 d n to u t iffemieiîorSré

d'éfàntïuîrjours'3%mpiÇ. d “ySfi-téfttûte.-là.êéUcisJsaétoiteMlleMap- : f ] f*S4m ttefitob8ai.ide-'4’<Méem;;MvvSntiaL

î i U5e®>:w*.;iii)ffla Alft*e(4, 45* 5ns,,àurpii» 15 “ i ^ ‘B s u % e ià « « n t(a ia r te 55 D oforeâ, *<dn

crire â l’avance chez M. le Directeur de cette Ecole. ,

La veine. — La veine véritablement nous la tenons; après Gémier, dont nous n’avons pas profité par suite des ciroons-

S L T .Î ï ï Æ .Î £ ï . ' ï * X « ' l “ ' |

L a même cérémonie, p arles m êm es ora­teurs, avait eu lieu la veillé- à Nôgènt, de­vant un pubhc é ^ e m e n t 'réstreîntÀ '' moctrïrHè:— ï*oaitiè i^”irusine

i'qm|i'C0iipS, téonnèmént!

x-..i e c c s ifj an

iîrotîO-Ufls'b 2 BîVi.'o ;es^ii. !(0 isisp-.-ûM-H .j.îsm ea t.. idi .

......

'If.'” >' ■.f;*sr’*"t ■ ,* \ r ~ - ~ > -v.r*'i'f.si-i'ein*w4;îp;ife-.i.m**.L ï . d. ■;) .ÎUs■* * kl* e t ei,

rg.3^r,*r- 3-rS^in..‘>ieit«ll;de* . là -P o rté ^ in » -LA.GarpimeTleïÇitoi^-de

v*Ç -.v., .... »,

SLS'.' 4.*i;.' i.z i: «ifwÀ.. . *’•

' IVogeaf-sur-Oise.Obsèques d è L à v à lle . - C’est devant

une très nombreuse assistance ooÎBpromnt e m n i ^ M S e g i ^ ^ E®5onnfls r f & K é célébrées, sameffi après midi, e n î ^ i s e de Nogent, les'TrtiFS^es d’Alphonse La- wUe ^.vMîtiiDe.-des4r(iHiW9sidftCEeiI. Le ohanfsm èbrà êispam issM taseaatiBsecon- roBnes,ipksimir8:étaiéntclen«éi:AdS main notam BeW ' ©«tIeS; d œ q f tsg ^ .d e « r ^ o ù iravaiBitfe « æ fiir t i t E i(*et e tê e l i t v é i ( t t ! i î | ( a à e r é a . ^ ^ ^ é

M. Pierrot;

S'.-toVrS'l èftS (ETêi*; : •"-■’è r v . ' s *»'-* .* :

; ï :*.':îr-*rt*.-î.* I ..*.,*;

Page 3: A& m JO U R N ItL O E B ilfL IBbmsenlis.com/data/pdf/js/1911/bms_js_1911_09_28_MRC.pdf · Voil^ ce que l’enquête, ouverte par l’autorité mflitâire,. ne manquera pas d’établir

U B œ O B R B B S l J » l / O B S

|ant se passe de

ttrayantes ; to n ^ f o n t adm irer la pbleaux, p te ir e r l a pins pojMilaird Tontempl«e,.mvec leu connoBiavant on I* '; i e jn o ia

Ig aran tie d f tl’in -I ’ 3In en t su r l’in te r- leu se f la m ià a e nlûm es d’une r i- l e interprétation ■ jeune et sympa- ^ a b l e triom phe leil ne fera pas

lu d ir P lu s que fd e ' soirée- d’nn

police a m is, f station l’apache Jge de 31 ans, né | t à M ontataire, I q u ’il était ivre I qaereSe à lies l i t de la rue de ■ans le débit de parce que celle-

â bo ire .,C 'est ne liqueur qu'il

[ p a r lui eom m is [uan ta ine de f r .

Le calme Jdansla contrée, fcîaient à Creil, 'q u i t t é l e pays,

! P alice . — La d’heure avant

Etait encore en fch e de l'O ise, qu’elle trouve

as que la veille 5 était relative-

leignem ents de lé ;a ie n t oepen- TKiore facile de

I d’idées vaga- barrières de

lire de Creil se lu n d i, vers

I Carnot. 11 fut )ar un brave

Iq u ’intrigué de lim a i chez lui, p par son pro-

oatin, près du rîque, il a été

p v e e un livre réclam er au

p i soir, vers Vnard, âgé de |e s de Creil et

la Cité ou- bc, était assis lloon situé au

la rup tu re Idans le vide l i r e s et dans | e vertébrale.

Le m alheu- px jeunes en-

■ — Samedi l’avenue de

de 21 ans, |é t r e , a été a let par une

liv re s et dont I s de couteau ll-js sé s’é tan t Ig , les agres- I ; prendre la Bons. A près

a 3ie Berger, e sont heu-

brès un pan- 1 à l’hôpital. Dicile fixe n i

I fu s é d e p o r - , Inner la m e- |d e s acteurs obablem ent

Du reste ooutea.ax dernlère- blessé sa

fc a u ie a u au R e ce tte trop

e lle de la ' de Bftmta-

p hab itan ts pternelle de

lundi p ro - ' [d u m atin , pt le P on t- penri-Joret,

rnay, des p u S q u ’à la

leurs en-

li'tift ouest Lancelot, enfants à

rE g lisé . *100(10» de

ois-Bianc, ps paren ts lo u r l ’ins- irâq n en te r

[con tre la p rè s ia id i, la n te p e r -

|d a à r a p -

feecrétaire |t jM 'Sent. aparw irs, oapaiités

barlé 'd e s lefFhctnée iTorfces de | â aucun.

I

Im eso ra ’* peni^ de-

1 ’SB'Sd s , Qei&con H ’bbjet

l i v i ^ u r

t ^ n . e l ■

Cette triste cérémonie s’est déroulée dans le calm e'leyrtus-ahsolu et-n'a-donné' lieu qu’à un incident grotesque soulevé par le citoymi C feie , quî, m algré le lieu ou il se trouvait e t sans égard pour la couleur de la fwnille- n ’a pas craint de jouer du cadavre en critiquant, à l’oceâ- sion des troubles, la conduite de nôtre député. -Inutile (Cajouter-que M. H euzéà eu la dignité de ne p ^ relever celte incon­venance. D’-autres discours ont été pro­noncés par un camarade des Forges, par Trocmé au nom de l’Union des syndicats de l'Oise et le citoyen Ferré, délégué de Confédération Générale du Travail.

La commune de Nogent a pris les frais des cbseques à sa charge a l l a cérémonie re ffieuse a été gracieusement offerte par Jl. l'abbé P istorius, curé de la paroisse.

A la sortie du cimetière, une quête fût faite au profit de la-veuve et des orphe­lins.

Un Suicide. — Dimanche soir, vers 7 11. 1./2, deux religieuses dè l’hospice de Xogent,intriguées de voir un individu'dans le parc, assis sur-la berge de la Brèche, rT-ntrèrent pour prévenir le gardien d’aller voir ce qu’il faisait à cet endroit, mais à son arrivée l’homme avait disparu, il s'était en effet jeté à l'eau et son cadavre fût repêché quelques instants plus tard.II se nommait Delaplace Alphonse, 45 ans, pensionnaire de.M. Simon, rue Carnot. Il hisse une femme et une lille qui habitent dins les environs de Compiègne. Dela­place qui avait une petite aisance était neurasthénique et avait manifesté l’inten­tion d’en finir avec l’existence.

semences, d’outils de jardinage, de ma-

aux ouvriers. Si les ressources le per-

132», à Reims : Caron Louis.&-'t -à-Ate^dnn : Toumenr-fiDgène.34% à Compiègne : Thomas A rthur,

Regnault Albert. ' ' '19* bataillon de chasseurs à pied, à

Verdun Lebei Armand.31 ' dragons, à Fpernay : Hazard Emile.12’ 'd’artillerie, à 'V incehnes-: Caron

Fernand. - 'Annexe de remonte, à Bure (Seine-et-

Oise) : Bouchez Emile.Régiment des Sapeurs-Pompiers de Pa­

ris : Lefèvre Jean.In stitu tr ice ad jo in te . — Mlle Coque-

relle élève maîtresse, est nommée insti­tutrice adjointe.

A cte de probité. — M. Marceau Grilly, vannier, a trouvé dans la rue un billet de cent francs qu’il a rem it à la mairie et qui- avait été perdu par un ouvrier ' hrossieT lequel a été, on le 'conçoit, hènreux-d'é ren tre r en sa possession.

Tous nos compliments à M. Grilly pour cet acte de probité.

A cte de courage. ^ La semaine der- S''snnce'peuvent fetadressèr-à-l’im-des-mem-^ nière, le jeune Eugène Breton, ouvrier j bres du burBaù j 'iê&'r idscription^Berall'e^

_ chargées de famille des parcelles de tlrrct, en lôË'aiOH’rM iiîté. ' ' ’

Dn' hârèâd prOviSoifé'a été constitué et se compose ainsi du’fl suit :

P ré v ie n t d’honneur : M. Maxime Clair fl!s.;-P l(ésidehr;'M '.''Pëtir, pharmacien ; Vice-président : M-^-Beaudeu-Duval ; Se-i crétairei': M. Delange, huissier ; Trésorier:- M. F rè * , négooianti. , -

Ce bfireau «om-prend également trois conseillers : Mt'TousBaiht,'.mdthbre‘hOho-i ra ire etf MM. Dauxerre’el iDeschamps. qui repfiésehteni les'aieiîibres actifs:

NOtnbreuses déjà-son t . les personnes qui. s’intéressent â 'cètte œuvfe, héaücb'upj aussi bât déjà assuré lés Organisateurs de.j

î ieùr-dénouement ; il y a-dpno.iieu d’espé-i i re r protopts-etexcéllehls féshlfats. ' -

CeuxWé nosconoitbyeasquidésireraienl s’associer à cette organisatron- de bienfaj-;

S a i n t - l e u - d ’E s s e r e n t .Incendie. — Dans la n u it de dimanche

à lundi, vers onze heures: une péniche « L’Express » appartenant à M. Mide- vaine, d’E ragny, e t .amarrée à la grue de la maison Borde-Perrier, a ! pris feu sur l’Oise.

L’incendie avait été provoqué p ar la chùte d’une lampe à essence' dans la ca­bane du bord. En un instant J e bateau construit en planches goudronnéês,'fut la proie des flammes.- '

Les pompiers de Saint-Leu et de Saint- Maximm prévenus, accoururent en toute hâte e t combattirent énergicpiement le feu Ils finirent par s’en rendre ipaitre.

Les m ariniers n ’eurent - aucun mal, mais le bateau est. considérablement.-endom­m agé.'Il était chargé de déchets de car­rière.

FAITS LOCAUXB é t l i i s y - S a i n t - P i e r r e .

Nos je u n e s so lda ts. — Les jeunes sol­dais de la classe 1910 se trouvent incor­porés de la façon suivante :

120* régim ent d’infanterie, à Saint-De- riis : Legros Emile, P icart Anatole, Fau- vel Albert.

1.53®, à Commeroy : Lesueur Joseph, Le- sueur d'eau.

bourrelier, a arrêté, rue des courtilliers, un cheval em ballé; nous lui adressons nosf'élicitations. ■ '

Dans la presse. — Le 21 septem bre a paru à Paris un nouveau journal L a France d 'O utre M er dont le direoteur politique est M. Lemaire, ancien député et ancien gouverneur des Colonies, origi-: naire de. Béthisy-Saint-Pierre

B r é g y .A u concours de M eaux. — M. Meignan

apiculteur à Brégy, qui avait pris part, dimanche dernier, au Concours d’apicul­ture de Meaux. a obtenu-le quatrièm e prix médaille de vermeil, avec félicitations- du jury , pour sa belle exposition- de miel coulé et en rayon, cire-et hydromel.

Ce succès ne nous sfirprbUd nullêm ent, M. Meignan exploitant a-ctiiéllernent 80 ruches m odernes et à calotté. '

-Nous lui adressons nos’ vives félicita­tions.

Crépy-en-Valois.Cercle A rtis tiq u e . — La prem ière soi­

rée théâtrale et m usicale-de» la saison 1911-1912 aura lieu-ledimancheS) octebm .

Nous en dotmerons le prc^ram m e dans un prochain numéro: - • ' - :

Société d h o rticu ltu re . — La section d’horticulteure a, -dans sa dernière réu*. nion, sur la proposition-de H . -Petit, son président, traité définitivement de-l’orga- nisation de l’œuvre des jard ins ouvriers, Le règlem ent établi à oe-sujeta-été diseoté article par article. Rappelons le but de l’œuvre : « Encourager les ouvriers, les amener à s’intéresser à la culture du ja r­din, leur faciliter, le Inoyèn de tire r’dé la- terre une partie des produits nécessaires à leur alimentation ». La' société compte pour arriver à ce résultat, sur les cotisa­tions des membres fondateurs et hono­raires, ainsi que su r les dons faits à l’œu­vre. Ces fonds devant servir à l’achat de

mieux accueillie., Jeunesse de C répy . — Les membres du . Comité! des sports de « La Jeunesse' dei ; Crépy » on t « sa s-leu f dereière-réunionê procédé à la formation de-la-p rem ière équipe d e foot-hâll pour la, saison 19114 1^2c Voici la composition de' cette équipe : i

- But : J . M éliancourf,capitaine; Arrière- dro it : J. 'Viet ;< A rrière-gauchei F . Pot ?

. Demi-droit -P.' VassaliS-'-Demi-centre; L. Beiton ; DemPgaaahe : --E-, D iddet ;. Èxtrêuïe-droitel Ei Beaujard; în te r-d m itt A. L ighereüx ; Centre : ‘ H; Tesèier -;' In-; ter-gaiiche-': L. Lâuné Exfrême-'gàuchè' r

■ RI A rgèntais; ■ ■ ■■ -............ ■- - ■ -;Noùa espérons que ces vaillants équi-

piers féront-enoere-trioiàpher'une saisos depluélés,oouleucs «, verte-e t blanohe-»}

id è o lo r tib ê a u ['’alb is. — NbuS aviDns” paiiët& 'ns flfl'JsféOé'dèilt’nuiBéro dff eon-è cours Siir -(a a rtre s {,i38-fc. SQO) orgasisé par là Eolonibel dù- % l6 is , èa voici lea résultais : S1" prixi Rudeaux................... 8 h . 17’ 44”2“ •— t D è b a r 'f e . . . . . . . . . . . . « ’l'3Ü — D eb 'artë .. . . . . . . . .4é — N icblâs; .-. 8;b. 4T, I 3 fS ' Afchain, 6’ Gœffroy, 7 ' R uc teh , (jé-t r'ardv 3 ................. ....- Nous avons pu voir déjà dans les con- coffrsiÿécédents que des-jeunes colombof philés se'dispùtent'f(raJoarslës--m'eiUeûrei places,: nous- lëS-èn -féliditoas^icar - côlà prouve l ’intérêt qu’ils ptrftêfit aux' résaW tats donnés par leurs életeS;-' '

A ccidents de trava il^ — M. Esch Au­guste, 36 ' ans, m enuisier chez M l’-Mani oea'dx à Crépy, tombe d ’un plancher-'dà prem ier étage. Contusions. Repos 8 jours*

M! Afohain, mécanicien au dépôt dé C r^ y , à eu en ferm ant la porte du coffré, à eliets de la machine 2301, l’auriculairé de la main gauche pincé entre la porte et le dit coffre. Repos S jou rs . 1

Ce q u ita été trouvé. — 1° Une r-boaolftd.’oteiHa oaoc.;..2;.un.. tCWt.i .

d’enfant, en astrakan ; 3’ un porte mon­naie contenaiél BEorêertaine soiim e d’a n gent ; 4’ un cadenas avec ch a în à te ; 5 ' un -paquet renfeFmant-attrapeTiBpuéhes'ài 'VB;îper-»r-; .-■*•'* ....... . rs —■-< 1 ’ s j y-

'C e s objets peuvent être réblamfe an bureau duywlice. a ' : "■

'Objjet ''perWu/— Il a été perdu jeudi dernier,' rn éd e Paris, probâblei|en t entre les portes de Paris et fa U a rrî î n e paire de chaussons. La rapporter à l’hôtel Nord, rue-T laers-rue Lam ariin®Etat civil de CréjrJ du 16 au 24 keptembre.

Naissance. — 'te . Lavoisier Etoè-M arfe, rue'deSolssons. *-. . , 1' Puhiiéédiÿn'J de mariages. — Entre Pot

'Virgile, eajplëyéMe chèâifir'd'e'fer, et Mlle. Ideim'Alb.brtHe'.jHous' -Eéfré'G^ronîHai^ülgHctalftufià Sâcy-I'e- GràOd, ét MlfefËob^éoîa Redëe-tontse-JullBttS ;sans profession à Urépy. ...... - fl

Entre Valet Albert, employé an dépOt à Margny-lesèCoipiêgné, et Mlle fbly Marie- Emestine, cuisinière à Crépy.' —■ISVCatfchénièz Lucien, bouvier,avéé' Mite' Beleffre' -Sylvte-ilîoutsèj. pailleuse,tods'deUx à ! ,---------;' Décéii-t-'Slâl'-inclerc Etienne, veuve Labitte,

73 ans, rue Jeanflè '-d’Ar.c. - ; 'Lévignen.

Obsèques. — Mardi ont eu lieu à Lé- vignen les obsèqües de M rB arré Gustave Théodore, maréchal, décédé à l’âge de02 âOS*» '‘. î .- .’ib 1 . f ,

Nous adressons à Mme Barré et à son îilS'nos se'htimeilfs dé condbléàucé'.

A tte r rm d g è d iünbaÜ ori.— îevL^ der- n ie ra a t e r t i à 3 h i-su r le territw ee de Lévignen un ballon m ilitaire monté par. 3-offloiers-Aéronautes du 'G én ie dé Ver- saillès.

Grâce au concours de plusieurs ouvriers ce ballonful rapidem ent plié.ettransporié.à

pris; p a r le tra ta du-soir, la d&ection de Paris.--' ,,

Morienval.P alm es âdhdém iques. — M. Malin

iinstîtn tëur à M driéav a l'à 'reçu dimMêHo" :d^m è'rauc0iÆ â''d6'laffôte de: Noyon les

Toutes n o e ^ e ita H o n s .O m o u y .

F ête. — La fê le ^ tro n a le aura lieu di­manche prochain.. '-■ ■ '- ''y e p b ë rie .

N om inations . - a r r ê t é du 23 sep- tem bre“191ty M. Dubaniél. -est ' nommé instituteur stagiaire aux écoles des garçons de Verberie, en remplacement àe M. Du­rand nommé instituteur à Sérévillers.(Oise) M. Queste est nomméinstituteim stàgi.àire' à'^Verberie eu remplacemènAdd ' M, DerV gnêrës partant pour lé'Service i i l i ta i r e .

- , . ■—- •' ______L ’abondance des m atières rious oblige

à rem ettre à no tre p ro ch a in num éro notre feu ille to n le C apitaine jo b . '

lûnicatlons de- i s é ^ 4 . - ! ^ A».

C É m j i lT 'f e i |tA T E |lT .)

D E i iv |lD E SUne personlé^dâSf'ô ' faire des

tra'imnS. de'-'cbmptâbitÿ ou des -éorituresA:: 4o 'tii^ e . , . 1 48-

Employé ayant loisirs, prendrait - -à domNile -tooB travaSx de copie àlaifitfia 0ftt-à4ft m achiae,èéoiSréî ■se cWtfrgeKBlÆ la.eenfp(^ioa---dladre»es su r b àn d er 'o tt enveloppes. | ' o- .29

■(■^Tî -Adjudant d’artillerie coloniale^ retrMlé) dessaB ^-plæ e concierge déjpro-*, priété ou d'ëtabhssOTent industriel. Petit' rem plir les fonctionsMe secrétaire. (iTrès- récom m andé p a r son anciem patroo qu’il qifftte-BOBM’èBOÔ :s a n té la place étant nnp eu ’fbl'tB'poâr lui). - ' I— * - 33' Comptable,' 30 ans, référencéssériétses, marie, recherche petitesdom p- tMslités indnstrieflèslet comnfercfàlBS.- 46 ' ' i t t fp t Un chauffeur d’autoj connaissant

le jM din, deinande pfece. S6« ■ ^ 7 Un jeune homme de 14 ans 1/2,

saonm t déjà trav a illé , demande place de petit-groom dansm aiïon bourgeoise, pour coaduire ufl,obevaR (Bonnes référ.) 6 l

'WtÊT- Un cocber ja rd in ie r à toutes maia&,.46, ans, m'uni de bonnes références, (femâhde place. 67-

g B r * Un militaire retraité, âgé de 40 a n s ,^ m a a d e un ,em ploi d»t garde - pré- pri& é, gardien de ntiit ou garçon de re­cettes. ' : - . €8

On demande une cuisinière d ’une trentaine d’années, m unie de trbS bonnes rêférénces. ' ' “ So '

:dnn isitde :f« im -ttaa .f^aq nn g - j - ^ f i é , log6r«oa9Ô ii^çe«^:S Ô i4

e ï « B w iu x , voitures.'■et”4 u rn a is de m aîtres; la feiCffiS'Sirait-meoBpéeüà la j o w ^ . Bennes ré fé ren ce^ '-7 - 92

.:^ ^ B a -d e m a n 'd ê ^ b % rM è ’ferniB un m é ^ fe g T h o m m e charretier, la i ^ m e pouétia cuisine d@ ibiffifSa^fiBeSiduiBUâ- tiques, basde-cour, m énage, e tc . Bonnes

‘ ■ ■ 93

A ux changemeMs de saison i i n ’ÿ a pais de m eilleur x té fp t tn é ti r - 'q ^ les WiiffleS: Sùissei. i fr. SO la botte francoi 'CBaeseif ph ., 28, rue Grammont, P arisr

haletante entrecoupée,' èruyan te, toux p én ib lfc t suffocantetèstsonveofconfondu avec cataiThe, emphj^éfmé^ pùlttonaire, bronchite ohroniqnerse traR e,etse-gnérit de 'm êp ie .' |ies-m édecins -ordonnent la Pëüdrè Louis Legras', 'qui à obtenu la 'plus haute récom pense-A.ichiposition univer­selle de 1906. Çe.'rémède-oà^ae'jhstànta- riément eti guérit : progressivement. Une hoftéf eM expédiée contre fflâadatde 2 f; 10 adressé à M.'EOoisLègüàs; 139, boulevard M a^nfa , à Paris.

A s s n tr à B c e a .La C** L a P réservatrice, la plus an

duHfe références sérieuses.

S 'On demande une cuisinière d’une j d’années,^‘!très- sé rie u ^ ; pOur'

maison-baurgeoise .Très bonnes références exigées. 75

Une maison de commerce détaîi demande une jean éÇ lle p o a rla 'v en te . 82

On demande un chafron màri'é' poim-b-availté dans une ferm e, d o rm e n t ; jardinv travail assuré toute l’année. 88

0 i | r ' On démJinde un bon sommelier ayanTtravaillé dans l ’épicerie, pour faire la cave, la camionnage et l a livraison, (Bonnes références exigées). 85

i n p * On demande un"-bon charretier sérièuX'pour charroi de grum es. 86

IBATEUB DES CHETEÜX

âven-vonsdesekevoBxgris? Avl£-'«wdKii«ijlieide&^ Vos chbieaxîtSiriMat-iËt

h j c m w B w mpar

i9neo,-xSD/ aax Che- ▼enz g m t leu r cou­l e u r . ^ leu r beauté a a m a _ 'rfinth nriBfiTiÉ^T r\t îBit dlsuaraitréinespéresTEauger s u r le» SM ouaJtes motsr o t ^ ^ ^ w & dSob .--

Cbez les (Wetirs>l%âfinDèur8,teiltaC9n4etâ«iiù«8aooDs^.. - £nooi W a n e o du prospectus sur dèmüide

E n tr è p t t - t . - .^ ÿ 'Bae d’En^en,

Dépôt cîiéz si. GAüTÈÊifi ptacé de la Halle. -

ImpiimBri» Administrative et Cktmmeroiaie M lv p l |! é 'a é r œ M -d è-V îlfe ,îlê ia is .“

A n n o n c e s J u d i c i a i r e s .Art, 1.

Etudes de : l 'G eo rges ÜIORAîVDj licencié

en droit, avoué à Senlis,I, ruü Saint-Hilaire, successeur

de M« L e v ie c x ;[•Henià BALÉZICx^UX, notaire

à Chaulilly.

V e n ie s u r J O ie i ia t io n■ DE : ' ' '

f n e R a i s o n

f l tn é é à C H Â ^ T m L -ïf “ rue de Creil, n° 2 2 ,

lien Glrconstanees et DépéeiieesDS amplement désignée fci-après.

’ïdindication aura lien le MÉR- CtiEfil 3 5 OCTOBKE à dix heures et .demie du whtinÿ ea l'élude e t . par le ministère de M’ Balézeaux, notaire à .Chantilly, commiaA.cetseffet. ry : : , 'i -

En exécPlîoif d’an jtien j'œ d îon - ndictoirement c«Iîb>u4M: leilj^uDal nil de premièrftJpsiajnîejg Senlis vingl-ciiiq aoûrmTrnenrcent'Qnze,

«tegistré,,. .- Tr-itsx . --j-Et aux requête, poursuiteet dili-IKce de : . , .._ ------Premièrement. — MadameXonisé- natine Naze, 'épOiisë..(le; Monsieur dolphe Stem, tailleur d’habits, avec. i)ael elle demeure à AUlnay-sous-

Deuxièmement. — Et Monsieur iolpbe Stem, tailleur d’habits, de-* enrant à Aulnay-sous-Bois ;

» Aglssanttant en son nom « personnel que pour assister « et autoriser la dame son <( épouse sus-nommée et vali- « der la procédure. ».

Poursuivants là vente ; Ayant pour avoué constitué, M'

Itorges Morand , deraeuçant.à §en-h, 10, rue Saiuî-IIilàife..............En présence ou eux dûment appe-

itde :Premièrement. — Monsieur Pierre-

hnlRobillard, employé de chemin hier, demeurant à Paris, rue Hen- iliii de Pencey numéro 19 ; Sèuxièmément. Monsieur Leuis

Ihir; membre de la commission Klmmistrative des établissements sblics d’aliénés du département de 1 Seine, demeurant, à la.Préfecture le la Seine, service des ahénéa ; •

I Agissant ap nom et comme et maudaïaîre sp é c ^ aSstx terr « mes de fartreie Sïife la loi <1 du 30 juin tS3S, AeRadame a Elisabeth - Louise Guillot, « épouse de Monsieur Pand.- « Pierre Robillard, sus-nom- II mé, la dite dame actuelle- <1 ment aliénée n ^ J a t e ÿ t e , ti internée à l’a^ÿj^de lille- « juif (Seine) usMllS à it fonction suivant jugement Il rendu sur r e q a ê te .w la, « Tribunal civil de la-Serne,- Il le dix-huit juillet mil neuf < cent onne, ^ûeg istté »*

Présents à Invente ; .Ayant pour avoué constitué H ' !éûfr.Beuve, demeurant à Senljs.Trolsièniemeht. " -

^lestine Naze, célibataire, majeure,.profession, demeurant à Paris,

^desPoissonniere^ n® 55.; jh^rièmement.— M od^nr Syî-

jJ^Hanri Deiamptte, e m ^ y é i ftchér,' déœéuriini’'w>Xièc-

1 ^ ;

Guiîlot, épouse de Monsieur Désiré Violet, mécanicien au chemin de fer, avec, lequel elle demeure à Dreux;

Septièmement. — Monsieur Désiré Violet, mécanicien au chemin de fer, demeurant à Dreux ;

«: Agi-ssanl tant en son nom « personnel que pour assister « et autoriser la dame son « épouse sus-nommée et vaH- « der la procédure ».

Huitièmement. — Et Monsieur Henri Guillol, aubergiste, demeurant à'Sourdeval-la-Barre (Manche) ;

Présents à la vente ;Ayant pour avoué constitué, M*

Georges Morand,-demeurant à Sen­lis.

II sera, le mercredi vingt-cinq octobre mil neuf cent onzej à d ix heures et demie.dumaiin, en l’étude et par le ministère de M« Henri Ba- lézeaox* notaire à Chantilly, commis à cet effet,. procédé àiila vente sur Ticîlation, aux enchères publiques, àu plus offrant et deraier enchéris­seur, à l’extinction des feux, en un «eül lot, de l’immeuble, idont la dési­gnation-suif: ;

D E S IG N A T IO Nj.

MI S E A P R I XDE L’IMMEUBLE 1 VENDRE

^ \ Chantilly,rue.de Creil, n® 22;.^coÿposée :: Au. r^dfirchaHSsèeÿd’un corridor •cohd^isaht'^'Ia‘douii'4-.: ‘Adroife'dü ce corriüor, deux lo­gements, l’un éclairé ipar deux fe­nêtres* sur la rué,’ divisé en deux .pièces-par une cloisoniien bois avec cheminée, l’autre composé d’une

jpièce à feu éclairée sar la cour et et-sur le corridor ; r ‘ ■* A‘'gâircher'dé^cé-corridor, deux logements l’un éclairé par une fe­nêtre Sur la rue, divisé en’ deux4'| pièces par une cloison vitrée, l’autre * éclai.ré sur la .cour et divisé en .trois pièces par des cloisons légèreé ? *

Un dessous d’escalier servant de remise-;.-- •.

Devaux avec lequel les murs de sé­paration sont mitoyens^ = •

P i s é à p r i x : 2 . 0 0 0 î r .

En outre des charges clauses et coridilions énoncées au cahier-des charges dressé par M' Balézeaux, notaire à'Chantilly, et déposé en son étude où toute personne peut en prendre connaissance,- l’immeubly ci-dessus désigné sera mis en vents sur la mise à prix sus-énoncée, fixée par le jugement précité.

Fait et rédigé par l’avoué pour­suivant soussigné. !

Senlis, le vingti-sept septembre mil neuf cent onze. ;i ;. . r . . . . ; . ! .

(Signé) MORAND.Et enregistré. ' •

S ’adresser pour les renseigne­ments-: ■ . ' ■ *

A Ai' G e o rg e s MORANiD,avoué âiSenlis, poarsuivantia'hieiité;

A M" S tün te-B euxrë; àvoiiè^ SenliSrgrésâBti A iaetente.,;-

Et à 51* H e n r i B a lé z e a u x ,notaire à-*aiâiifiIIÿ,Tédacteur et dé­positaire du cahier des charges, à

■ Au ïframier étâffe : de cinq' loge­ments, le preinitjr eouiuosé dune pièce divisée en deux parties par une cloison et éclairée sur !a rue ;

Le second composé d’une pièce divisée en deux parties par une cloi­son et éclairée sur la rue ;

Le troisième composé d’une pièce divisée en trois pariics par des cloi­sons, éclairées sur la cour ;

Le quatrième éclairé sur la couir, composé d’une pièce divisée par des cloisons^;

-Le ’cinquième composé d’une pièce éclairée sur la cour ; -

Au deuxième étage : d’un loge­ment composé de deux pièces et de greniers'couverts en tuiles et ar-

Célliers sous le bâtiment.Cour.A droite en rêtour-d'équerre dans ;tte cooev un.bâtiment couvert ei

tuiles composé au rez-de-chaussée ^'un logement d’une seule pièce avec

A ' gboehe adssi ' en retour d* é’ c^rceWijin^ cabinet d’aisances, un vieux bâSiaehr'couvert en tuiles, ^m pqsé d’une pièce ;

titt Bâüiheiit à usagé de cabanes à lapins ; ,

icrfanès à îapins'soüs* res=’ calier en pierres descendant.A-:^e o m V *'

Puisard dans la cour. P i^ m itd re a .La dite maison tient par devant à

imemenU — Boaeteur lu - ta rue de Oreü, par derrière k lia-

■ " ■éixièmemeau — Madame :

'Études de M' G éo i;g es MORAIMDflieêneié'-efëdfoit.-Ajioùé'â'SïéiHs^

■ ■ lO.'ïué'Sàmt-Hilàire/ ' ■ ' , sucqesseur.de M«-Lkvjeux,

et de H ' BALÉZEAUX, notaire à ChantiUÿ.

ïlTOSOBÜCarATïOKu . , y -i.va .-.eeé .-J-

I f i l e M a is i i ips i tu é e A S e iiït-S iik jija lin ;

avec Cour, Jardin ,2 p e tits ' E ndro its souterrains,

ninoiétances et dépemiancesm u

12 ar , 7.& c. environ de Teiret e r r à l r f d e S a in t-M a x lm in ,

liéjr'dit les Champignolles,'■ CN UN S E U L L O T

le tout plus amplémentiésigàé xüàprès.

— ___ .____ _ i _______________

L’adjudication aura lieu le MER­CREDI 2 5 OCTOBRE f 9 f 1 ,à diseMeures du matin, en l’Etude et par le ministère de M« BA£E- ZEAÜX, notaire à Chantilly, com­mis à cet eSet.

••'Btt'ejeécution d’on jugement sur requête rendu par le Tribunal civilU UU iUKEWCUb U UUC 9CULC UXeUCctVCU J . '__________________________ 1

eeffièr àûcMél' et au premier .Atàge:d’un logement composé de deux I ® juillét^mil fleur cent dix-, eôre-

■ Eii outre'Igistré;requête, poursuite et dili­

gence de :Premièrement. — Madame 'Vieto-

Ô M B ouqua^f dgjiuearaBLji iSMnt-,Ü âindn , vedvè d'e^onsieur 'Etienof jCarlier,

« Agissant au nom et eommq4iaèlMktf ; «;tutnee natureUe et légal*; S l T S t î î d ü l ^ “ f sésS”

de : 1' Marcel Carlier ; S®« Lucienne Carlier; 3 ' «tT

! ». BtiWMalÿôïde';&Vlier, sesv trois enfants mineurs issus

« dBAOtt union avec..son.Il font mari; »

4 Kt Monsieur Timothée Carlier (déuzième de pré-

■l'iif A.nom), manouvrier, demeurant à Chan­tilly ; V

Poursuivants la vente ;Ayant pour avoué Mt Georges-Mo-

tnd, demeurant, à . Senlis, .10, rue Saint-Hitaire

En 'présence ou lui dûment ap* pelé dq : ■ ;

Monsieur François Okernîann, car- riery demeurant a^SainlnMaximiai ■:

'il Agissant au nom et comme Il subcogé-tuteuc ad hoc dos Il niinears Cartier, sus-nou(’- II m,és : . I

Il sera, le Mercredi vingt-cir^ Octobre: mit .jîéaft cent, onze-, ,a dix

S ’adresser pour les renseigne-^ itnents-: -. - ■ ç-... -i- '

 « ' G è o re e s M ORAND,avoué h Senlis, poursuivant fà veiitè ;

Et à M ' H e n r i B A LÉZEA U X ,notaire à Cbaniilly, i(éi.î,â'-.''-up et dë - positaire du-T.'àhicrdës'eliarges.

A&t: 3.' '

lude de M ' »S{eàr Ç A yÀ R 'l^avBué 'â SènliB': (

13, plsce'Hénri IV.

.„ .r . v.«.i., ,v, Suivant exploit dé M* Caillat, huis'-heures du matm) en 4’Etude et par ' ^ Senhs,^sabMituant soneonfrèrtle ’ministière' -deiMe-Bêl^eauxr uo-j M®! Maurice Lenoiriem^ehé, ca-uate taireiàChantilly; cotnmis à ceteffel,': procédé à la vente sur licitation, aux enchères publiques, au . pins offrant et dernier -éiimiérisBear, à l’extinc­tion des feux, en un seul lot, des ‘ immeubles dont la désignation -suit :

Û Ë s ii^ N A T Ïd N

MISE'KT';'- Â P R I X

du vingt*sept;.Eeptembre»mibi4feuf centionze, eB r^ütîS ;. -rer..-. l

■ Et à -toirequète-de-Monsieur Saint- Victor-Marie-Bartbéleiuy de Gardeê, avocat, demeurant à Paris, 35, bou­levard Maleshertes, et résidant è 'ErettiS:(l>ise)'-;!'“ '-

Pour- l'equel domicile est élu à "'cnlis, 15, ;)!ae« Henri IV, en l’Etude de M' Oscar Savary, avoué près ïe Tribunal civil de Senlis ;

Notiflcation a été faite à Monsieur le Procureur de la République prëâ ,1e. Tribunal civil de Senlis,, ep scm jparmiét, au Pâlàts dé' 'Justice, à séiiii»';,,, ; : . ' .

: De l’expédition dûhaent en forine d’un- actu.-diesaé.^jUite'fi'eMu ,Trt- hunal civil de Sêplis,7ësîx"septêi4 bre mil néuf bént èuzè, enreÿstre.

Droit à la cour commune et sortie constatant le dépôt fait ledit jo& surune pottiao deRRrrainde la -côn-- 'andifcGcenie parMî SaiW * avoué oh tenaflUB decinqiUBrteietun.oentiares :reqùéiBnt;7dete. copie dumCTteoui- envirofl. !tittm ée«tsijpiée,dppn)oefryerhll

n a S S f i Æ t ^ e a ^ â t S , ' 'i ! , i TheBe,! lervingtdtuit mai-mil neufa ’" Icentonze, cotftenant adjudication-à

Eseùhér donnant dans la_ cour u® ^uhê’bhr '.AIexandre-communa p^'armeriauiCTemefedu pa„iîi,gnibre, avoué à Lyon, y de- ,bâUmeçI,eudeMH8.déji^ ■ i meurant; 32,-rùe'de'- là République,

L ensemble tient d.’un côté lamelle ' « administrateur judiciaire substitue des ChampigholleU;-d’autre côté re- a Madame .Bawe-iAugaatine-Madè- présentant Brioepd’un bout Monsieur leinei SaUne,r'éponsè' de.--Monsieiir Copin;iitamiiésBiaantii Alphonse. Re- Mauticé'- Verrière,- confiseur, ayéc aauxiietrdîautre-haul ia; cout icom-’' lequel'elle'demeare.à Paris, 23, tu» mune et lêp'àssagaïoomÉiunp.n î i Bandia* héitiète!ibéi#ciaire.;y’pr

ÏI ' D'hùï'''fietfts '"68dfflità'''snuiér i;fétdfi.réali«Br4-’actiif:Siebi)jeriieti.,im-[Mns S é S l u S i mobilier dépendant-dmln suç^agion

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I. U n e M aJson, couverte en tuiles, .ainsi 4 *e..sea dépendances, située à ■^n.t*l(aü4in,>Iieu,:âiL la. Vill!eDCjwft,.-cqtPBpàSepe.dej|x.Êlèces au.rez-idei^éa«ssée:iét’i,deux--gièGss. aü premier étage avec grenier au- dessus.

:--r *-■.-.''5dudit immeuble sont, outre le ven- ; Monsieur Dhangest, d’un bout est deup es-qüâiité : j Monsieur Jules-Léon Herbet> d’autrè' I." Louis^Aiigusfe Viollat-Loiset, 1 bout Monsieur Desprez , cadastré

veuf en premières noces de Blanche-jSeotioh'G,' numéro Ifif pour unô Angelina Varé, eu secondés'noces'contenance de vingt-trois ares soi- de Madame Maria-Célina Faure, en j xante-dix-sept centiares;, cave et troisièmes noces de Madame Louise-'puits dans le jardin; « observation Victoire Goujon et époux en quatriè- j « faite que de l’autre côté dés deuil mes noces dè Madame Marie Désar- « murs faisant face au nord (Mon-i

) E ■îr B.'

meaux* ayant aussi ; péri '. dans ; la ; catastrophe <to bateau Le-Général- Chanvv, laissant pour seule héri­tière et-; légataire universelfe.-de ses biens Madame Maria Désarmeaux, sans profession, demeucant>ù Alger, rue de Cirardin, Villa Faure, sa fille naturelle reconnue ;

II. Communauté d’entre Louis-Au­guste Viollat-Loiset,et Blanche-An- gélina Vàré, son épouse ;■ Pour partie : -François-Antoine Varé ; . . ■ .

Pour le surplus;. teCommnnauté d’entre Léon Lanté et Gabrielle- Louise Valpuvet, son épbuse, et Maria-LéOhtine Lanté, veuve de Pierre-Henri Kreitz;

2" Joséphine - Louise - Henriette Josse, dite Boulogne ; , . . . .

El que tous - ceux du chef des- queiè' il pourrait être pris des ins­criptions d’hypothèqueilègale n’étant pas connus du requérant, il ferait publier ladite notification dans un des journaux judiciaires du départe­ment du l’Oise, conformément à la .loi.; ' ’ Signé : Ô. SAVAR'Ï.

• M Sm M s TOMiis ' d® Louis-Auguste Viollal-erV cM pae\"feW sén“à¥ts B ® et'Çhouqu®t, lesquels _ deux. endroits

*— ---• • 'Art. .■4»t rÉlude de IH' S.AINTE-BEUVE,

avoué~à Senlis, irue Sainte-Genevîève.

' Fsrie i’QjioÉpes égales,Suivant exploit du ministère de

M* Caillat, huissier à Senlis,. substi­tuant SOiï Confrère M* Lén'dir, huis­sier à Seulis, empêché, en date du vingt-sept septembre mil neuf cent ouze.

Notification'a été, faite à Monsieur ;le Procureur de la ' Sépnbliqiie piès le Tribunal civil dé première instance de Senlis (Oise)';

A' la requête de Monsieur Léon

trophe du bateauîAe Général-Chaé zy, nOiniaé'S cette fonetida par juge­ment rendu sur requête par le Tri­bunal civil,-de ; première-.instance de- Lyon,, le mff neuf cent onze;

Atrproflt(lu:TeqaSriûitv>-‘r * ;;D’un immeuble sis à Ercuis, me

font face ù l’immeuble -désigné sous l’articje pcemiqy çLan^assage com­mun., Ils.tiennen(d’un côté la senje des

.ChainpteiçUeSjî^aujne Âô)e -'Bricc du repfiésé'pwnls,: dlu'n çbout, râmé- s e r i tp t% n S S i^ xUaulnetboui le

- i l iîoi enr.l:H(rDouceMebsi Soixante-seize cen­

tiares sntiron de:4arce,-4erMihr-ide Saint-Maximin, lieu dit les;'(!hhmpi-i gnoUes, doapariiei-par un treillage

d U S t é ' ^ Æ Ô rep” és*® nm ^ir*^^M

du Préau, composé de : un corps de i bâtiment‘caiie&nsitrën: pierres, cail- ' loux et briquesr- divisé en corridor et, trois pièces au. rez-de-chaussée/ deUx-ébàTO^ W èabhiefde' t&ilette 'S'féfag'e, AteBteF'ktfid'eslSri cbtivert .5, iCüAises'f cptth diafe%iÿàèllêl.';ci-

~ • ;-w»i^ a«W*wi! « y BrriMmfeoa.iaSèciion F, numéro 269.'. .Mise à prix : . 1 .0 0 0 francs.

partie, 113,6.4.174. Ensemble droit de passage charretière fie

. fa maison de Monsieur Jumelle. .' i ià «MéélBlori«1UMtp.»utte,èé8l-j!harf'

IS, clauses et '‘u«zJiiÿwtil)>rfiieMl!d«ia»)âr3iilHA u*aalBjr,,dea!u»(âdHtl»A**e*££'ii - .âîa->3: '” • Balezeaiœ, .

, et déposé èà • • «® <i«®'a'’®‘io“ =,tC personne, peut'” 'l»’ï!Blf!8ifi*84t«t8Batit«i lui était

Æ i c t p ’i ^ » 9 » i V S î ? î l ï■fiS^i '& Sfïns-lcm L pourqu’.ileû tà prendre, dan»

maûFpr^ïtÔ^ai'^àRaA'iiSiSi'^âtesiiHCripSimif sf 71 i^ lP iv t*

-fi le 0' bgteif, » -

j î’immeSte d S ï â s ^ t - ' i ^ ^ i ^ d e -^ | ® ^ ^ ^ t : S e p L s ^ l e a M

A la requeie. ae monsieur néon . j - . . .Roche, ageiitgénéralâ.la Compagnie .GfilVPJM®®*®®* .Ç®®“u par dé to td’Assurances Générales, demeurant à Benlis,. route de Cr.eil, numéro 2 ;‘ Potfc.Tleqiier,: doifiicile est. àu ,en

. ECuoe dé ltj,,^ai'hte-B.euve, qvpué' prèF .fçibunaT'ririr ■jd'e'%hlisi Ses ' méuraiit eh ladite ville, ru'e-'$aiàter Geneviève;

De l’expédition d’un acte dressé au GreffC’dB'TribnnaP civil de pre­mière inslaoccde Senlis, le deux btptenRieeiihilvneilLeeirt'onzej-enre gtstrériconidatanl -te dépôt- effeuu-é andltt'Grefie-pah MA' Smilte-fieuvev avoué, de la. copie .[jar.jnjjCQllatipn-i née, enrëgistfi'»' â SCnfis.'le trente aoig' miliqèitfraeot onze; .folio 2 ^

case lÔ,'par,iplrec'eveur qui a perçud’aùiréCôtC Jeaulrqjls.-SeiTexpédi^.qnq le 4’unin44>îà'''fviMlf riû’ "®SudlCîSÔll

Signé : MORAND..cette nature

Et enregistré.

ifb'cèsWêfbal ô'é' non . ressé par M'Louât, notaire à Seh- :ï7 lé-mSt’lfiMïf ntl? héi)u%ëluronze,

_nT®SlrSv'h la^èÉMifë'âle'.îtdâÿme m w É e fe rv re l» (# -i^ ':îfr“ * ' T^^e^.cWh.' 'icahi®!'àës''’u.-réss&j àrîë hiéliiffnôfaëèf'm__jifôr;üifir'ébt# sntt'iiçtitïentèifté 6l£, 2“ et d'un aité- të tif -pai'''iedit®Mÿ p ' Louât, notaire a Senlis, les douze et q u a t o r z e ; ^ ^ i r e o f cent onze, enregistrél cpltéhani'par Madame''

■Lpuise;.-Vasseur, .maralchèfle,

_jrÔin#fitéfèvie.tV(Sm6ah'pÿâât âeilîfdntieâif Uti^mm- m-®, d’un jardin ■p6l;^el'*eïttSwe‘ de murs, sis à Senlis. rue de la Fon-

-Arènes, dune coutei d'après les titres de vingt et un tenant (fun côté. midi la rue

Que les anmeM propriétaires iFontainetdes-Arènes. d’un côté nord

Il sieur Dhangest), et à l’est (Mon « sieur Herbet), il existe un mètre Il de, terrain sur toute la longueur « qui appartient égal.einent à ladite à prôprtètë;^»,moÿeij)j'ant,'ontre les charges, le prix ■ principal dé deùà mitegttàtre cents frtmcsz'v'' i

Avec déclaration à Monsieur le Procureur, de la République- :.

Premièrement. — Que ladite noti­fication lui était faite, conformément à l’article. 2194 du Gode civil, pour qu’il eut à prendre dans le. délai de dçux .moîs-.à compter de ladite -notb ficâtipn.e.t,àu profit dé qui dp droit» telle.inscription d’.fiypothèque «légale qu’il avisefaif,‘et:, güe"Ce'délai'passé, la propriété doht s’àgit serait ® demeplprait: entre les mpins de Mont- sieur Roche, sûsLhoinmé, franche ét ■quitte dé foutes dettes' et « cfiargeh ‘hypothécaires de cette nature non inscrites.

Deuxièmement. — Que les anciens propriétaires de ladite propriété, outre la yenderesse, étaient : <

.d'-Joueph-Théodore Vasseur ;2“. La qommunauté d’entre Joseph-

'ThéodoUe Vasseur'èl Marie BonnUift sa première épouse ; :«

3“ 'Et/LOuIs-Henri vicomte d'é Dlenille-Sehesterrè.’ TroisièiûéBiéht:'— Et que ne con-

-naissant pas tous ceux du chef des­quels il pourrait être pris des ins­criptions d’hypothèques légales suri ladite propriété. Monsieur Roott sus-nomhie ferait publier ladite noti- ficÿionrÿans : un-journal d’annoncés Ju&itBC^, tconfdrûiéinelît b-ifi’avis du Conseil d’Etat du neuf mai miltù 't 'c c n ls 'e p t............................... a

' Pour insertion légale : Si^é= : A. SAINTE-'BEUVE.

.;i, -Mat, 5. ' - - ' rii-v ) Étude.4e H ' O sc a r SAVAHT,

avoué à Senlis.I, - * î

! substituant M' BEADCHAMPS, no- ’tâife 'Ù- Pont-SaintoJàaxenoe (Oise), les onze et d£x-nèUf -septembre mii neuf cent onze, enregistré. Monsieur Achille-Florentin WACHEUX, coif- feur-parfumeur, et Madame Anaîse-

I M^e-Louise DDfiUS, son épouse, j-demeurant ensemble à Pont-Sainte- Maxence, ont vendu à Monsieur Eu- gène-JuIes LtJISEAU; coiffeur-parfu­meur, demeurant k Paris, boùfevard Magenta, numéro.g4, le f o n d s d e c 'o m m e rc e 'de. c o if fe n r -p a r - fum ëorA he ' MonsieiUi et .Madame WACHEUX ejréloitaieht à ' P dn l- Sâînte-Maxencè,-dana-une- maison silSéeA l’angle ae la rlie d« la RënU- hliqué dmit'eite-' porte le nüméro'ôet de la Demi-Lune du Pont, et com­prenant : la clientèle 'et l’achalan- .dage y attachés,'le matériel servant à son exploitation et toutes les mar­chandises devant exister en magasin le jour de l’entrée en jouissance.

' L’entrée eh 'jouissance a été fixée au deux octobre mil neuf cent onie.

Celte venje a lieu sous diverses chargés et éonditions insérées audit acte.

Les oppositions, s’il y a lieu, de­vront être faites dans les dix jours de la présente insertion,- laquelle 'aura lieu dans le présent'jonrnri; le dipi^cljet huit o o ^ re mil neuf cent onze, et neiseroaPrepies qu’à Pont- Saiute-Maxence, en l’Etude de M* BeauChamps, potaire,

Pour première insertion : .882 BEAUCHAMPS,

pEmlé "TrlbUnai civil de première ibb- tanqe-^h^phs, le hqit .^pàpmbim inil 'n'êuf cent Onze, enregistré ; 3•'■Énttÿ'Siônsieur Emile-Àaguste- ThéOdaté J^dart, maràtcher, demeu- gant au Poteau, commune de- Cha- mant-;

Dêfli'andeur,' comparant, concluant et plaidant par M' (Jscar Savary, shn pSoBéi'oOliauliué ç « .A ;

D’une part ;

èoelfbfbauit.Défenderesse défaillante faute par

eUe- d’avoir constitué avoué ;D’autre part ;

It’appert ;Que'-le ■'divorce -a «été't pronom é

''“ctçe. lès époux,Jqdart-Gaillardtà ' " 'ite l 'é ii éu ÜFôgpc^yEjB»

P o u r e x i l a i t ï ' ' <' :, ” , Sjgné ;' P;i SATAfit,,

f I-1 àn li ■■■■■■-, Li-|,iuj4 'j.

Étude, de, ÔD ‘

►f: i P q i f - ? S ^ ^ ^ f f iS lo l e ) .* ■ '

Cëslîon '“

Louât, notaire à Senlis (Oise), comim

AklJT,

HanafaotiiFe de BoatonM’ '' de 'M U K M Ô ies'^0& ie)4 ''

G A Ü M O N & C‘'

MM. les Actionnaires de la Société en commandite Gaudion et G®» sont convoqués en assemblée générale ordinaire, le quatorze Octobre m l neuf cent onze, à deux heures de l’après-midi, à Château - ThfeÎTy, B.alle Ferrand. • . . .

Ob je t d e l a Réraïox : Compte-rendu de l’inventaire dtfes- là fin juin t9H . .Nomination dù Conseil de Surveil-

lancddtdtûb Coatrôleurt' s:, '■ CommüAlêàtiOBïdDftrses. 88B

-■--m ------

Étude de H ' M a u ric e .LÉNOlKahuissier à Senlis. *

par autorité, de. justice. .

a - F i t s j S L l L i r Y

1911ttunecUemn- dexelevée

par lé'iiadiSatfe'o-dé It? LENOQi, •■"iSitSier.

Ar5âirè'‘ii"èliëè','’'K»elS, Socré- teine, fifablepà- oam «le-tM feta,^a- Uea.ToodeAr.eà ih ÿ e s denuit et de toilette. Chaises,' Suspen-

tSlaeas»- aortoge,r*»tMR® de Cuisine. . - , . . ^ ,

avec trois uuCMemte -

Pinces.Et'qôantiié'd’ôlBets Don ^écïfiée., T ' f c i e h " îiB lf-jgB O i! t s u eV

g jp r^ îH amèd'IMUMilililant.

Page 4: A& m JO U R N ItL O E B ilfL IBbmsenlis.com/data/pdf/js/1911/bms_js_1911_09_28_MRC.pdf · Voil^ ce que l’enquête, ouverte par l’autorité mflitâire,. ne manquera pas d’établir

Î î i '- 'r v -S î

u î œ t u t t U i s K ^ û t t i . ' â u i s

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l ï l H :

ÉÏ L - ■

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1;i â' 1 1 ^ -■ ■

Éludes de M* G eorge» MORAND,Hcencîè en4roitr avoué

, àSeUlis, et de M* E ïU ttd iid FE R R Y *

notaire à Béthisy-Saint-Pierre.

r T ' Ç B S ^ ^ O aaprès décès,

sans attribution de qualité,en exécution d’une ordonnance r ^ -

dne nar M. le Président du Tn- bunal civil de Senlis, le 15 sep­tembre 1911,

D’ÜN

FONDS DE COfflMERCEDE

C a fe tie r -R e s ta u r a te u r

exploitéa b ê t h i s y - s à e v t - p i e h r e ,

dans une maison sise rue de la Gare,

en faee la place des Fêtes et du Marché,

et connu sous le nom de C A F É i > Ù C O M M E R C E

L’adjudication aura lieu le D I M ^ - CHE 8 OCTOBRE 1 9 H , àd ix heures dsi fh'diin, h Bétbisy- Saint-Pierre, en l’Eiude et par le ministère dé B* FERRY, notairej commis à cet effet.

S ’adresser pour les renseigne­ments :

A M« G eo rg es MORAND,avoué à Senlis, pOürsniydfft la vente;

El à si» É M o i i d F É ïlR Y ,- B<j- taire à BéSisy-Saint-Pierre, rédac­teur e t dépositaire du cahier des

C H A N IIL L YA g e n c e d e L o c a tio n

G . J 3 E A I J G O U R T9» r a e d e CkÿavieiiZa

V en te e t A.oliatDB

F » F l O F » F l I É T É STerrains à’ Bâtir

Mranee de

Prêts Hypothécaires.— kohat de Niiss-PriipriStjs et llsutmlt. —

RENTES VIAGÈRES

Études de SÎPXOnîs ESCAVY, avoué 'à'Éetriis;

e t de M' TH m O B IN , notaire âAcy-etn-Sultien.

VEKTE SUR UOTAffliON Ü’OTB

Etude de M‘ M arcel SAIGNE,commissaire-priseur

des ville et arrondissement de Senlis.

L e Tendredi 29 Septemhre 1911 à trois heures,

n a e e d e là H a lle , à S e n lis ,■ s y a a S 2 T ' d ‘ 5 j b

D’UNE

ts mm MIMEMT12 ans.

C onditions ordinaires*881

a v e cs i s e a . A C Y r ^ - l ^ 'n E N ,

rue du i?len ou rue des Sœurs.

L’adjudication aura Keu le DIMAN­CHE 1 5 OCTOBRE 1 9 1 1 , àdeux heures Xé Vâprès-rmdi, en l’Etude et par le ministère de M* THIROUIN, notaire à Acy-en-Mul- tien, à cet effet commis par justice

S’adresser pour tosis renseigne- •menü

L ou is ESCAVY, avoué poursuivant à Senlis ;

2“ A M « T hiron ïn , notaire à Acy en-Multien, rédacteiir et dépositaire du cahier des charges ;

30 A M* B à n d e t, avoué co-lici tant à Séniis,

A CÉDERpiiïsieiirs B ou ch er ie s-C h a r-

e u t e ^ e s â la campagne, avec cohditions avmitageuses.

A u b e r g e très fréquentée, avec ted, dans pays industriel. Affaire a céder pour raison de santé, laissant de beaux bénéfices. On traiterait avee:S.5()9 fr4<.

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H ô te l fréquenté, très bien placé, Oh se retire après fortune acquise dpns le commercé è céder, l^ b é n i s t e , matelassier, tapissier, au centre de bon chef-lieu de can­ton, céderait â conditions avanta­geuses. Chiffre d’affaires justifié.

On traiterait feour sommej impor- tuite , reprise d’un B u re a u d e -XalMtes avec buvette, sans épicene.

DàW bon vfllâge. B o u la n g er ie , G b iéé rléâ Rouenneriei Chaussures et Bureau de Tabacs. Chiffre d’af­faires annuelles : 45 à 50.000 fr. Prix de cession : 15.000 fr.

A cédèr, ville de 4.000 habitants, orès place marché. C a fé faisant 12 à 141000 fr. de recettes annuelles, Clientèle assidue et nombreuse. Prix de vente : lO.OÔO fr.

" Au-céntre gros bourg. M alsou d ’E p lc o rlo .trè s biqn placée fai­sant 45.000 fr._a;alfaires annuelles. Cheval et voitures. Long bail. Belle installation, loyer peu élevé. On traiterait à des eondiüons avanta­geuses.

Ajfm rei èrès sérieusement é t ^ diées avantproposition ;jttsH fi(M ^ dsi ekiffris dCalfaxres annoncé, Um- jo u rt exigé. ______

A v e n d r e , à Crépy et énvirons. P r o p r ié té s d e ra p p o rt et d ’a g r é m e n ^

BftOtmm s 1

M - V .eONTEMinUX

8 , p la e e «lu P a o n ,C répy-«n-Y » lo l» (01se>

Etude de M'DBLAONAY, notaire â Senlis.

S p é c ia lité d e L ocationpour

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s i s e à P récy -sn r-O lse(rivé g a w ^ de l’Oise),

âvèc1 2 0 H e c t a r e s d e T e r r e

e t P r édans un rayon de 1.200 m. à 200 m.

de la gare, et en bordure de Ta rivière d’Oise.

Entrée en jouissance : Novembre 1911 pour les jachères. Novembre 1912 pour le surplus.

S'adresser à ;H* G aloy, notaire à Précy ;H . A n d ré , géomètre à Senlis. 245

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A vendre par adjudication volon­taire, 2 h e c ta r e s 8 2 a r e s 0 4 c e n t ia r e s d e T erra e t P r é , au terroir de Pontarmé, le Dimanche 22 Octobre 1911, â' deux heures, à Pontarmé, en la salle de la Maiiâe- — S’adresser â M* Petit, notaire.

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chassant depuis ouverture. P r ix m o d éré .

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Étude de M‘GAZEAU,notaire âSénlis rue aux Flageards

(successeur de M* Fxnrt).

A vendre i l’amiable, par suite de départ de Paris,'H B ison d e Rap- >ort, à Paris, passage Pénel, n° 12 18* arroudissémént). — S’adresser 1 u* Gazeau, notaire.

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A vendre à l’amiable, n n e Mai­so n à usage de commerce, sise i Senlis, rue du Cbàtel, n° 16. — S’adresser à M* Gazetn. notaire.

■ tn x ÉTVDB

A vendre à l’amiable, n n e Mai­so n , située à La C h ^ lle -en - Serval, route nationale de Paris. — S’adresser â H* Gazeau, notaire.

MÊME ÉTUDE

A louer pour entrée en jouissance de suite : 1° n n e M aison, située SenliS, rue de la République, n" 17, 2* u n e M aison, sise a Senlis, rue de la Contrescarpe, appelée Villa des Arènes; 3° et u n e M aison d e C am p agn e , meublée ou non, située a Aumont, près. Senlis. — S’adresser a M* Gazeau, notaire.

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ure, le Vendredi 20 Octobre 1911, | et remise et grand')«m&,lii(m PU?”? f “"tj e -Any-en-Multien, e n , située dans gentille résidence de lEtude de M *pironm . notaire, e t; rojse, 4 cendre a l’amiable.--S’adr. ^ son mmisttre, la C o u p e t o i g n - DheAe, huissier.B o is T a lH Isa .faire sur une pièce de bois de 8 hectares 58 ares 64 cen-

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MÊME ÉTUDE'Vente M ohiUère. aux enchères ] publiques, par suite de décès, à î Pont-Sainte-Haxence, avenue de 1Senlis, n° 31, en la maison où est A céder par suite dé décès, dans décédé M. Fouache père, le Diman-( ville de l’Oise, t r è s b on F onds

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MEME ETUDEÉtude de M* DHERBE, huissier

là Pont-Sainte-Maxence.laire a Liancourt, en présence de M* Beauchamps, notaire a Pont-,Sainte-Maxence, le Dimanche 1" Oc- •obre 1911, et jours suivants s’il y alieu, a une heure et demie de relevée. I commercial, bien située à Verberie, — De vieilles Faïences de Rouen l à l’angle des routes de Compiègne authentiques seront présentées a laletGUocourt, avec grand jardin, et vente sur le désir des amateurs. 13 M a iso n s d e R a p p o r t conti-

gués a la propriété ci-dessus. — S’adresser a M* Dherbe, huissier.

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en détail, m e M a ira n , a usage . tphrS 19H , à 7 h. 1/2 du matin, parle ministère de M' Dherbe, huissier, — Réunion sur la place de Verneuil.

Etude de M* THIERSON, notaire a Nanteuil-le-HauâouiB.

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XdjudixatèOn volontaire, a «an-i'de r^evée, et le lendemain lundi, à teuil-le-Haudouin, en l’Etude S pari la même heure, par le ministère de le ministère de M* Thierson, notaire, | M* Dherbe. le Vendredi 20 Octobre 1911, à. trois heures, d’n n e P ro p r ié té , sise à Nanteuii-le-Haudouin, rue de Paris, actuellement occupée par la gendar-' merle.

Etude de M* FERRT, notaire k Béthisy-Saintipierre.

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