Le Cadre de Programmation Pays (CPP) est un nouvel outil de coordination et de concertation stratégique qui définit des réponses communes, à moyen terme (4 à 5 ans) entre le gouvernement marocain et la FAO. Il est conçu et élaboré de manière synergétique et intégré, en étroite colla-boration avec le gouvernement et les partenaires nationaux. La Représentation de la FAO au Ma-roc vient de finaliser l’exercice d’élaboration du CPP Maroc qui couvre la période 2013-2016.

Le CPP constitue une étape majeure de passage d’une approche axée sur les projets ad hoc, régie par la demande, vers une approche axée sur les résultats, à moyen et long termes. Pour les quatre années à venir, trois domaines prioritaires de collaboration entre la FAO et le Royaume du Maroc ont été retenus avec des résultats précis à atteindre. Le premier touche au développement pour tous, sans exclusion des groupes vulnérables et des femmes dans le secteur de l’agriculture et de la pêche maritime considérés comme moteur du développement économique et social. Il s’agit à travers cette option d’accompagner le gouvernement marocain pour la mise en œuvre des stratégies nationales de développement agricole et de l’aquaculture afin d’améliorer la sécurité alimentaire du pays.

L’agriculture est d’une importance capitale dans l’économie marocaine. Le Plan Maroc Vert est basé sur la mise en œuvre d’un grand nombre de projets d’investissement qui favorisent

l’agriculture solidaire par une approche ascen-dante permettant de mobiliser les producteurs (et même plus largement les acteurs du dévelop-pement rural, notamment les femmes rurales) à travers une approche dynamique de développe-ment territorial et économique dans laquelle les producteurs sont responsabilisés autour d’un ob-jectif commun et organisés en groupements ou coopératives efficientes.

La reconnaissance de la contribution des femmes à la production vivrière et à la sécurité alimentaire justifie l’intégration de l’approche « genre » dans les politiques et programmes de développement agricole et rural. Cette reconnaissance est à même de renforcer l’autonomisation économique des femmes et des filles rurales. ••• (suite P2)

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Editorial

Benoit HoremansCoordinateur du Bureau sous-régional de la FAO pour l’Afrique du Nord et Représentant en Tunisie

Ce premier numéro de la «Lettre d’Infor-mation » a pour objectif de rendre visible le travail de notre bureau sous-régional pour l’Afrique du Nord à travers des in-formations régulières sur ses activités de terrain ; les réalisations et impacts de sesprojets en cours ; les expériences perti-nentes à échanger ; les apports et appuisaux politiques des gouvernements, tout en mettant en évidence l’expertise et laplus value de la FAO. Il est question aussi de donner la parole aux bénéficiaires di-rects et indirects des programmes mis en œuvre dans les Représentations des cinq pays de la sous région à savoir l’Algérie, la Libye, le Maroc, la Mauritanie, et la Tu-nisie.

Son contenu rédactionnel est informatif et privilégie une couverture de proximité avec pour domaines prioritaires les po-litiques agricoles, la pêche et l’aquacul-ture, la production et la santé animales, la gestion des ressources naturelles telles que l’eau, les forêts, la protection des plantes et la production végétale, et les programmes d’urgence.

Les problématiques communes aux pays du Maghreb et les thématiques trans-versales de la sous-région telles que les urgences liées aux maladies transfron-talières, au changement climatique, les questions de « Genre » feront également l’objet d’un traitement spécifique. Les pu-blics cibles de cette « Lettre d’Information » sont tous les partenaires de la FAO dans leur diversité et pluralité. Sa conception électronique se veut conforme au respect de la politique « verte » de la FAO qui a pour devise zéro papier = zéro arbre dé-truit.

Bonne lecture

FAOpour l’Afrique du Nord

Bureau sous-régional de la

Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture

M. Michael G. Hage, Représentant Fao-Maroc et M. Aziz Akhannouch, Ministre de l’Agriculture et de la Pêche Maritime

procédant à la signature du Cadre Programmation Pays (2013-2016)

Cérémonie de signature du Cadre de Programmation Pays Maroc (2013-2016)

Trois domaines prioritaires de collaboration entre la FAO et le Royaume du Maroc défi nis de concert

La Représentation de la FAO au Maroc et le bu-reau sous-régional de la FAO pour l’Afrique du Nord ont participé à la 8ème édition du Salon In-ternational de l’Agriculture du Maroc (SIAM) qui s’est tenu à Meknès du 24 au 28 avril 2013. A cette occasion, un stand a été aménagé à l’en-trée du pôle «International» et à proximité du

stand du pays invité d’honneur, la Belgique.

Cette présence a permis de promouvoir la visibilité de la Représentation de la FAO au Maroc à travers plusieurs outils de communication comme les posters reprenant les cinq nouveaux objectifs stratégiques de la FAO ainsi qu’une abondante diffusion de documents et supports édités au niveau du Siège dont les publications phares de la FAO telles SOFA, SOFI… ••• (suite P3)

Un Salon à envergure internationale

SOMMAIREEDITORIAL .............................................. 1 CÉRÉMONIE DE SIGNATURE DU CADRE PROGRAMMATION PAYS MAROC (2013-2016)...............................................1•TROIS DOMAINES PRIORITAIRES DE COLLABORATION ENTRE LA FAO ET LE ROYAUME DU MAROC DÉFINIS DE CONCERT•UN SALON À ENVERGURE

INTERNATIONALE JOURNÉE DE COOPÉRATION MAROC-FAO ........................................................2•AUGMENTER LA RÉSILIENCE DES POPULATIONS PAUVRESACTUALITÉ SOUS-RÉGIONALE ...........3•MAURITANIE •LIBYE•TUNISIE

AGENDA...................................................4BROCHURE DE SENSIBILISATION FAO/CIHEAM IAMBARI....................................4 « AMÉLIORATION DES CONDITIONS DE VIE DES POPULATIONS À TRAVERS UNE MEILLEURE VALORISATION DES PRODUITS AGRICOLES LOCAUX »

Lettre d’Information - N°1 1er Trimestre / 2013

1

www.fao.org

2013 Année internationale

••• La FAO, en plus de l’intégration de l’approche genre dans tous ses programmes, réalise plusieurs projets au profit des femmes rurales afin de leur permettre de générer des revenus permettant d’améliorer leurs conditions de vie et de bien être et de renforcer les capacités des groupements de femmes et des ONG locales au sein de centres multifonctionnels créés à cette fin.

Le deuxième domaine prioritaire touche à la gestion durable des ressources naturelles et à l’amélioration du niveau de vie des ruraux, en particulier les populations vulnérables. Il vise la gestion durable des ressources naturelles tenant compte des exigences d’adaptation au changement climatique et des impératifs d’amélioration du niveau de vie des populations les plus vulnérables, en ciblant les femmes et les jeunes.

Dans un contexte international marqué par un accroissement de la pression sur les ressources et par des restrictions d’accès aux zones de pêche, la problématique halieutique se pose en terme de gestion rationnelle de la ressource pour répondre à une demande croissante en produits de la pêche. Ce contexte a créé des possibilités de développement exprimées dans le Plan Halieutis avec une politique rigoureuse de gestion et d’aménagement de ses ressources, intégrant le principe de la pêche responsable fondé sur l’autocontrôle des opérateurs.

Enfin, le troisième domaine prioritaire est en rapport avec la gestion des crises alimentaires. Il s’agit de mettre en place les mesures adéquates pour gérer les impacts des sécheresses et du changement climatique et d’anticiper le renforcement des capacités pour faire face à d’éventuelles situations d’urgence

« Le Plan Maroc Vert : vers une sécurité alimentaire plus résiliente aux chocs – volatilité des marchés » est le thème qui a articulé les débats des panelistes invités par la Représentation de la FAO au Maroc en marge du Salon International de l’Agriculture du Maroc.

M. Mohamed Ait Kadi, Président du Conseil Général du Développement Agricole a précisé que la sécurité alimentaire du Maroc est « raisonnée dans le cadre d’une stratégie qui s’inscrit dans les orientations du Plan Maroc Vert… Le développement de l’investissement pour améliorer les conditions de vie des populations rurales a besoin aussi de la coopération internationale, à l’instar de ce que fait la FAO pour cette finalité ».

M. Carlos Lietar, Conseiller de Coopération à l’ambassade de Belgique a passé en revue les cinq secteurs que la Belgique appuie, dont l’agriculture et la sécurité alimentaire. Cette réponse de la coopération Belge est basée sur trois approches. Une approche de développement local, une approche filière et une approche sécurité alimentaire, si besoin en cas d’urgences.

Concernant le Plan Maroc Vert, M. C. Lietar a précisé que la Coopération Belge se retrouve dans la totalité des orientations stratégiques du Plan Maroc Vert et qu’elle laisse au pays le soin de définir ses besoins prioritaires.

La société civile et plus spécifiquement la voix des femmes a été représentée par Mme Fatima Rafi, Secrétaire Générale de l’Union Nationale des Femmes du Maroc.

Celle-ci a souligné le « rôle pilier de la société civile dans le développement d’une agriculture solidaire », surtout par rapport à la question de l’anticipation des chocs.

La société civile a une responsabilité morale pour se prémunir des aléas de tout genre que peut connaitre le secteur agricole, il y a « nécessité de l’intervention de tous les citoyens ».

Mme Fatima Rafi a présenté « la femme rurale comme épine dorsale de plusieurs secteurs agricoles ». A ce titre, il convient de lui accorder un intérêt particulier au niveau des accords de coopération afin de « renforcer son autonomisation et œuvrer pour sa sensibilisation » aux questions des chocs et urgences.

M. Rachid Doukkali, Professeur à l’Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II, a donné un bref aperçu historique de la crise de 2007-2008 qui a permis de remettre à l’ordre du jour la question du développement agricole et la volatilité des marchés.

Quant à M. Bruno Minjauw, Coordinateur des urgences et de la réhabilitation au bureau sous-régional de la FAO pour l’Afrique du Nord, son intervention a permis de définir les sources de chocs qui menacent la sécurité alimentaire et la notion d’augmenter la résilience comme réponse rapide pour soutenir les populations pauvres affectées.

Les chocs peuvent avoir quatre sources : les désastres naturels, tels que les séismes, les inondations, la sécheresse, les conflits, les maladies animales ou végétales transfrontalières ainsi que les crises économiques. La FAO apporte son appui à travers 4 piliers d’interventions : le renforcement des capacités institutionnelles ; l’amélioration des systèmes d’information et d’alerte précoce ; l’amélioration de la prévention et la réduction d’impact; assurer une réponse rapide et efficace.

Augmenter la résilience des populations vulnérables pauvres, c’est certes les aider à prévenir et anticiper les chocs mais c’est surtout les aider à sortir fortifiés de l’épreuve.

Journée de Coopération Maroc-FAO Augmenter la résilience des populations pauvres

Un nouveau Cadre de collaboration entre la FAO et le Royaume du Maroc scellé officiellement

Plusieurs officiels, représentants du corps diplomatique, de la société civile et experts internationaux étaient présents aux

travaux de cette Journée de Coopération.

Trois domaines prioritaires de collaboration entre la FAO et le Royaume du Maroc défi nis de concert (suite P1)

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Création d’une Banque Alimentaire en Mauritanie

Une Banque Alimentaire en Mauritanie a été créée, le 30 janvier 2013, lors d’une cérémonie officielle en présence de Mme Mariam Mahamat Nour, Représentante dela FAO, M. Isselmou Ould Hanefi,

Administrateur délégué président de la Coalition Mauritanienne Contre la Faim. L’importance de cet outil pour lutter contre la faim correspond à l’objectif du Sommet Mondial de l’Alimentation tenu en 1996, qui vise à réduire de moitié le nombre des malnutris à l’horizon 2015.Atteindre la sécurité alimentaire pour tous est au centre des efforts de la FAO qui œuvre et veille à ce que les êtres humains aient un accès régulier à une nourriture de bonne qualité qui leur permet de mener une vie saine et active. Les banques alimentaires visent ainsi à atteindre l’un des premiers droits de l’Homme, à savoir, le droit à l’alimentation et concourent à l’atteinte du premier Objectif du Millénaire pour le Développement (OMD) : la réduction de l’extrême pauvreté et de la faim.Cette Banque Alimentaire a pour « rôle de collecter, gérer et partager des denrées alimentaires afin d’aider les mauritaniens nécessiteux à satisfaire leurs besoins alimentaires. Son action est fondée sur la gratuité, le don, le partage, le bénévolat et le mécénat ». Ce mécanisme constitue « le maillon manquant de la chaine permettant l’élimination de la faim et l’atteinte de la Sécurité Alimentaire » que le Gouvernement Mauritanien s’active à mettre en place

Nouvelle affectation en Lybie

M. Abubaker Abdelaziz Moha-med récemment désigné Coordina-teur du Fonds Fiduciaire Unilatéral (UTF - 72 millions $) pour la Libye a effectué une visite au bureau sous-régional de la FAO pour l’Afrique du

Nord, où il a eu une réunion avec Mr Benoît Horemans, coordon-nateur du bureau sous-régional de la FAO pour l’Afrique du Nord et Représentant de la FAO en Tunisie. Il s’est également entretenu avec les différents experts de l’équipe multidisciplinaire du bureau

Meilleure coordination et engagement de tous les intervenants pour l’emploi des jeunes vulnérables en milieu rural

Une réunion sur « le renforcement des populations rurales et l’inser-tion professionnelle des jeunes vulnérables en milieu rural, un défi prio-ritaire pour la Tunisie » a été organisée le 11 avril 2013 au siège du mi-

nistère de l’Agriculture. L’objectif de la réunion était de mobiliser les bailleurs de fond pour contribuer à la proposition du projet conjoint de la FAO et du PAM.

Plusieurs partenaires d’organisations et de programmes de coopération étaient présents dont les représentants de l’agence allemande de coopération internationale (GIZ); l’Union Européenne (UE) ; l’Agence Française de Développement (AFD) ; la Banque Mondiale (BM); la Banque Africaine de Développement (BAD); la Banque Européenne d’Investissement (BEI), l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA), l’agence internationale de coopération coréenne (KOICA), la Coopération Suisse, le bureau de la Coopération Italienne ; les représentants des ambassades du Qatar, d’Arabie Saoudite, des Emirats arabes unis et de la Russie.

Le programme conjoint FAO / PAM a permis de combiner les avantages comparatifs des deux organisations afin d’intensifier, au terme des deux années à venir, les résultats auprès de 24 000 jeunes, au niveau de 5 Gouvernorats et de capitaliser ainsi 132 000 bénéficiaires. Par l’intermédiaire de son projet, basé sur l’approche Junior Farmer Field & Life Schools (JFFLS), la FAO a déjà formé à travers ces écoles pratiques d’agriculture et d’apprentissage de la vie, 127 jeunes femmes et 132 jeunes hommes affichant ainsi un respect de la parité, dans les régions de Jendouba et Sidi Bouzid. La dimension pilote de cette approche s’exprime par le respect des spécificités de la population ciblée, caractérisée par un taux élevé d’analphabétisme. La formation a lieu à proximité du cadre de vie des jeunes, où ils sont initiés à l’apprentissage pendant tout un cycle de production en développant leurs capacités d’observation d’un système agro-écologique. Apprendre à partager des observations et des informations récoltées entre les membres du groupe constitue un enseignement nouveau. Cette expérience d’éducation rurale est complétée par un développement de compétences afin de préparer un « business plan » et pouvoir être éligible à l’obtention d’un microcrédit. La réussite de cet apprentissage est fondée sur l’homogénéité, en matière d’intérêt commun pour ces jeunes qui se sont déjà constitués en association. Ces regroupements visent à créer une dynamique de groupe et à développer leurs capacités à travailler ensemble.

Une recommandation de la GIZ et de l’AFD a insisté sur l’importance de prévoir une autre rencontre de concertation et de coordination entre les différentes agences et programmes qui interviennent sur le terrain à travers des projets qui ciblent les jeunes et l’emploi

Un Salon à envergure internationale

(suite P1)••• En marge des innombrables activités du SIAM, la Représentation de la FAO au Maroc a organisé une Journée de Coopération qui a été inaugurée par Mr Aziz Akhannouch, ministre de l’agriculture et de la pêche maritime. L’évènement clé de cette journée de coopération a été la cérémonie de signature du Cadre de Programmation Pays entre la FAO et le gouvernement du Royaume du Maroc.

Enfin, c’est en présence d’éminents panelistes et experts qu’un débat a été mené autour de la thématique « Le Plan Maroc Vert : vers une sécurité alimentaire plus résiliente aux chocs –Volatilité des

Marchés ». Depuis sa création en 2006, le SIAM est placée sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohamed VI. Outre sa référence professionnelle, le SIAM a pour vocation d’accompagner le Plan Maroc Vert et ses stratégies différenciées pour une agriculture à la fois ouverte, compétitive, socialement diverse, territorialisée et durable.L’organisation de cette 8ème édition du Salon International de l’Agriculture du Maroc (SIAM) a retenu pour cette édition le thème « Le commerce agricole ». Cette manifestation occupe dans une superficie globale 100.000m2. La superficie aménagée pour accueillir les exposants est de 70.000m2. Pendant cinq jours, plus de 1.060 exposants représentant 52 pays ont attiré un important public avoisinant les 720.000 visiteurs

Howard Buffet à Tabarka et Jendouba

L’ambassadeur de bonne volonté du Programme Alimentaire Mondial (PAM), Howard Buffet a effectué une visite le 8 avril 2013 dans le Nord-Ouest de la Tunisie dans les régions de Tabarka et Jendouba afin de s’enquérir de l’expérience pilote du projet conjoint FAO-PAM .

Cérémonie de signature

Importante participation des partenaires et bailleurs de fond

Actualité sous-régionale

Nouveau coordinateur de l’UTF libye

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rita

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TunisieLy

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COPYRIGHT FAO 2013OEUVRER POUR UN MONDE LIBÉRÉ DE LA FAIM 3

Atelier "Amélioration du cadre juridique de gestion des produits forestiers non ligneux " 7 National

Tunis

Atelier "Analysis of the current status of the IPM FFS Program in the Near East countries” 13-14

RégionalJordanieAmman

Formation

Atelier

"IPM FFS pour la region du Sud” 21-24National

Tunis

Land and Water days 29-02Régional

Caire

Water Scarcity Initiative Open Sous – régional

Formation

“Regional Awareness raising workshop on Voluntary Guidelines on the Responsible Governance of Tenure of lands, Fisheries and Forests: ”

4-6 Régional Maroc

Formation " Atelier de formation intégration du genre dans les programmes de FAO " 11-12-13 Sous – régional

Tunis

Atelier "Petit ruminants :création et transfert technologique; rôle de la recherche et développement des services pour les associations d’agriculteurs "

11-13 MéditerranéeTanger

Atelier Formation "Formation IPM FFS pour la région du Centre " 11-14

National Sousse

Réunion périodique

Réunion du Comité permanent conjoint “ Réseau Méditerranéen de Santé Animale - REMESA"

13-14 PortugalFaro

Atelier" Renforcement du partenariat Public Privé pour la prévention et le contrôle des maladies transfrontalières "

26-27 Sous – régionalTunis

Mai 2013

Juin 2013

Agenda

Dernière ParutionDocument de sensibilisation FAO/CIHEAM IAMBari

« Amélioration des conditions de vie des populations àtravers une meilleure valorisation des produits agricoleslocaux »

Ce support de communication sous forme de brochures et contenant un support CD est composé de trois supports sur la labellisation des produits de terroir en Mauritanie, au Maroc et en Tunisie. Il a pour objectif de sensibiliser et informer sur les différents produits de terroirs labellisés au Maghreb. Il présente un projet maghrébin pour l’amélioration des condition de vie des populations à travers une meilleure valorisation des produits agricoles locaux

Lettre d’Information du bureau sous-régional de la FAO pour l’Afrique du NordAdresse : 43, Avenue Kheireddine Pacha,1002 Tunis Belvédère TunisieTél. : +216 71 906 553 - Fax : +216 71 901 859Contact : fao-tun@fao.org

Directeur de la publication : Benoit Horemans, Coordinateur du Bureau sous-régional de la FAO pour l’Afrique du Nord et Représentant en Tunisie

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OEUVRER POUR UN MONDE LIBÉRÉ DE LA FAIM