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1
Juin 2015
Jacques Prévert Editions Jacques Prévert Editions
le journal des élèves du collège Jacques Prévertle journal des élèves du collège Jacques Prévert
SOMMAIRE
Découvertes et Découvertes et
aventures :aventures :
La spéléologie p.2La spéléologie p.2
Sports :Sports :
La voile p.5La voile p.5
Animaux Animaux : :
Le renard p.7Le renard p.7
Comment les animaux Comment les animaux
réagissentréagissent--ils en hi-ils en hi-
ver ? p.9ver ? p.9
Vie du Vie du collège collège ::
Le club Lecture p.11Le club Lecture p.11
Le concours «Le concours « jeunes jeunes
talentstalents » p.11» p.11
Edito
Toutes mes plus vives félicitations aux groupes de pilotage élèves et adultes, pour cette 2è édition « Jeunes
talents ». Que cette soirée soit une réussite à la hauteur de leur engagement qu’ils ont su maintenir tout au
long de l’année scolaire.
Toutes mes plus belles félicitations également à l’ensemble du personnel qui, par le club lecture, le club journal
et les différents clubs du Foyer Socio-Educatif, qui par toutes les actions et tous les projets proposés cette
année, a accompagné chacun de nos collégiens sur le chemin de l’« Entreprendre pour apprendre » et ainsi a
participé, avec les familles, à l’éclosion de jeunes talents.
Que de plaisirs profonds, que de belles satisfactions et quelle motivation que d’être à la tête d’un établisse-
ment tel que le collège Jacques Prévert !
Spécial « Concours jeunes talents »
Françoise Amétépé, Principale
2
Découvertures et aventures :Découvertures et aventures :
La spéléologie; un monde fantastique
La spéléologie est l'activité qui consiste à explorer et étu-
dier le monde souterrain, principalement les grottes,
puis à partager ses connaissances. Celui qui pratique
ainsi est appelé un spéléologue. C’est une expérience
unique et remplie de surprises. Le plus intéressant, c’est
de découvrir l’habitat et l’environnement des chauves-
souris.
En cours d'exploration, les spé-
léologues vont étudier la grotte:
comment s'est elle formée ? Com-
ment l'eau et l'air y circulent ? Est-
ce que des animaux y vivent ? La
spéléologie est la science et le
sport qui a pour objet l'étude ou
l'exploration des cavités naturelles
du sous-sol (gouffres, cavernes,
rivières souterraines, etc.).
La spéléologie est donc une activité à multiples fa-
cettes: scientifique, sportive, technique et contem-
plative; on y pratique beaucoup la photographie. La
photographie en milieu souterrain est rendue diffi-
cile par l’absence de lumière naturelle, les difficultés
des déplacements, souvent peu adaptés à la fragilité
du matériel photo.
3
L'équipement
L'équipement individuel comporte, sur un sous-vêtement protégeant du froid et de l'humidité,
une combinaison et des gants en plastique imperméable, des bottes en caoutchouc. Le casque,
protégeant du choc ou des chutes de pierres, est muni d'un éclairage frontal, souvent double. Le
matériel d'exploration est varié: cordes ou échelles souples en Nylon, autobloqueurs, canots
pneumatiques gonflables, scaphandres autonomes, appareils de mesure variés (pour l'orienta-
tion, l'inclinaison, le développement des galeries), naturellement matériel de camping souter-
rain, etc.
Le casque
Le casque est un des premiers éléments de la sécurité d’un
spéléologue. Il est nécessaire pour se protéger des aspérités de
la grotte et d’éventuelles chutes de pierre. De plus il est utilisé
comme support pour l’éclairage.
L’éclairage
Deux sortes d’éclairage sont utilisées sous terre :
- une lampe frontale à énergie électrique (faisceau lumineux)
-une lampe à acétylène (flamme)
Cette dernière est utilisé par les spéléologues comme source
principale car ce système permet d’obtenir un halo lumineux
et a l’avantage d’éclairer l’ensemble de la grotte.
La spéléologie nécessite un matériel adapté :
La combinaison
Le milieu souterrain est agressif, argileux, humide et froid.
La combinaison nous protégera de ce milieu hostile.
Le harnais, baudrier
Ils servent à descendre et à remonter les puits sur une
corde.
4
Les longes de sécurité
Grâce aux mousquetons accrochés à leurs extrémités, celles-ci per-
mettent aux spéléologues de progresser sur les cordes et aussi
d’assurer leur propre sécurité.
Le mousqueton
Il sert à relier le matériel et à se connecter sur la corde en toute sécuri-
té.
Le descendeur
Il permet de descendre sur la corde. Ses poulies vont démulti-plier le poids de l’individu.
La corde
Elle permet d’équiper en toute sécurité un gouffre pour y
descendre et en ressortir.
Le kit
C’est le sac à dos du spéléologue. Il pourra transporter du matériel, de l’eau, de la nourriture et du carbure.
Le croll et la poignée
Ces bloqueurs permettent de remonter sur une corde. Les picots (dents de croll) pénètrent dans
la corde et empêchent le glissement vers le bas. Le spéléologue progresse sur la corde verticale
en alternant les mouvements croll-poignée.
La pédale de pied et la sangle de torse
Elles font partie du matériel indispensable à la remontée sur corde. La pédale permet de se his-
ser sur la corde sans se fatiguer et la sangle de maintenir le croll sur la poitrine.
Sources ; https://fr.vikidia.org/wiki/Sp%C3%A9l%C3%A9ologie http://fr.wikipedia.org/wiki/Sp%C3%A9l%C3%A9ologie#Secours_sp.C3.A9l.C3.A9ologique
FOUET Océane
5
Sports:Sports:
La Voile
Un voilier est un bateau à voiles (pièces de tissu), propulsé par la force du vent. Histori-
quement, le voilier a été le premier moyen de transport à moyenne et longue distance.
Les voiliers transportaient les marchandises, les passagers, le courrier. Ils étaient utilisés
pour la pêche en mer, les activités militaires et les batailles navales.
À partir de la Révolution industrielle du XIXe siècle, la propulsion à voile disparaît pro-
gressivement , remplacée par les bateaux à vapeur puis les bateaux à moteurs. Aujour-
d'hui, à part dans les pays les moins développés industriellement, les voiliers ne servent
que pour les loisirs (la voile sportive et la navigation de plaisance).
Quelques bateaux de loisir:
Le catamaran:
Un catamaran est un bateau possédant
deux coques, en général parallèles l'une à côté de
l'autre. Le catamaran est donc un bateau de la
famille des multicoques comme le trimaran.
L'intérêt des multicoques est d'aller plus vite
grâce à des coques plus fines qui vont diminuer la
résistance de l'eau, augmenter la stabilité et
augmenter la surface du pont. Ils sont
principalement utilisés en tant que voiliers
de plaisance, comme navires à passagers à vitesse
normale ou élevée ainsi que pour certains projets
militaires.
6
L’optimist:
Ma pratique sportive:
L’Optimist est un petit voilier solitaire,
conçu en 1947 pour l'usage des enfants
(jusqu'à 15 ans). Généralement construit
en fibre de verre, l'Optimist est utilisé
pour l'initiation à la voile et pour la pra-
tique de régates (compétition).
L'Optimist est l'un des types de voilier les
plus populaires au monde, avec plus de
150 000 bateaux officiellement enregistrés
dans la classe, reconnue comme une classe
internationale par la Fédération interna-
tionale de voile.
Le lieu:
Je pratique la voile à l’ASPTT Orléans
Voile, à l’île Char-
lemagne.
( le site: http://orleans-voile.asptt.com )
Les entraînements:
C’est ma 2ème saison ( de mars à
novembre environ ). Je m’entraîne tous
les samedis après-midi de 14h à 17h
environ avec un moniteur et d’autres
enfants (de 8 à 14 ans ).
Les régates:
J’ai déjà fait 5 régates. Une régate c’est l’en-
semble de plusieurs manches ( 3 à 5 ). C’est
souvent un parcours en forme de triangle,
avec 3 bouées.
La tenue:
On pratique la voile avec une
combinaison ou des vêtements chauds,
un coupe vent et des bottillons.
En été, un short et un T-shirt suffi-
sent.
Bien sûr, le gilet de sauvetage
est obligatoire !
Sources: Wikipédia
http://orleans-voile.asptt.com
Sophie Cornet
7
Le renard
Le renard occupe toute l’Asie à
l’exception de quelques régions…
Il est aussi présent dans presque
toute l’Océanie et dans une partie
de l’Amérique du Nord.
Il est surtout présent en Europe.
Le renard roux, ou le renard commun, est un mammifère , de la famille des canidés; comme les chiens, ou les loups.
L’homme chasse le renard pour sa fourrure et parce qu’il donne la rage.
I/ Description
Les renards sont reconnaissables par leur museau allongé et leurs oreilles dressées. Le pelage le plus fréquent en France est
brun-roux. Ils ont une petite taille, une longue queue touffue, un poids compris entre 6 et 10 kg. Le renard a une espérance
de vie de 2 à 10 ans. Le plus souvent, le mâle est plus gros que la femelle.
II/ Alimentation:
Le renard roux est un chasseur, il est actif toute l’année. L’été, il se nour-
rit de petits mammifères (lapins, souris, hérissons, rongeurs, taupes, écu-
reuils...) mais également d'oiseaux, de poissons, de grenouilles, de fruits et
d’insectes. L’hiver, il ne mange que des mammifères.
Le renard chasse surtout les animaux affaiblis par la maladie ou blessés.
Il consomme énormément de vers de terre, apprécie les fruits : cerises,
prunes, mûres, et pommes, selon la saison.
Des fois, il mange des oiseaux.
III/ Reproduction
Les renards sont monogames (ils ont un seul partenaire). La saison des amours s'échelonne de la fin décembre (pour les ré-
gions les plus chaudes) à la mi-mars. Un peu avant l'accouplement, les renards cherchent une tanière confortable. Souvent,
ce sont des terriers déjà creusés par d'autres animaux , des marmottes, des lapins ou des blaireaux.
L’accouchement (la mise à bas) a lieu entre mars et mai. Le bébé reste cinquante à soixante jours dans le ventre de sa ma-
man. La femelle met au monde une portée de trois à neuf petits. Ils naissent aveugles et pèsent à peine quatre-vingt à cent
vingt-cinq grammes. Ils n'ouvriront les yeux qu'au bout de deux semaines.
Animaux:Animaux:
8
Le renard roux peut s'accoupler dès sa première année. Comme le renard n’a qu’une femelle, le couple se reforme année
après année pour la reproduction.
IV/ Comment communique le renard?
Les renards communiquent entre eux par de nombreuses manifestations vocales telles que les jappements, les gloussements,
les hurlements, les grognements, les caquètements et les gémissements. Ces cris sont utilisés pour communiquer à faible dis-
tance.
Le cri le plus utilisé est le glapissement. C'est un cri rauque et bref utilisé comme un cri d'alarme. Lors du rut, ceux-ci sont
plus allongés et lugubres. Ils servent à délimiter un territoire ou à établir le contact entre le mâle et la femelle.
Sources:
- http://www.hww.ca/fr/especes/mammiferes/le-renard-roux.html
- http://www.roc.asso.fr/protection-faune/renard.html
- http://www.larousse.fr/encyclopedie/vie-sauvage/
renard_roux/178182
- http://www.csaffluents.qc.ca/animalier/renardro.htm
- http://www.manimalworld.net/pages/canides/renard-roux.html
- http://www.dinosoria.com/renard_roux.htm
- http://www.manimalworld.net/pages/canides/renard-roux.html
MARCHADIER Sophia et FOUET Océane
L’accouplement
La naissance de renardeaux
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Comment réagissent les animaux
en hiver ?
Des animaux concernés par la migration ?
Il y a plusieurs animaux qui migrent pendant les périodes froides. Ils ne sont pas habitués au froid et
partent migrer dans des régions plus chaudes. Il y a :
-Les oiseaux
Les oiseaux sont de grands migrateurs, il y a plein d’espèces d’oiseaux différentes qui migrent :
Le pinson, l’hirondelle, la tourterelle, la fauvette, le loriot, la cigogne, l’étourneau, le rossignol…
Les oiseaux migrent
quand les journées sont
courtes, qu’il fait froid et
que les insectes sont durs
à trouver : ils migrent à la
fin de l’automne. Ils re-
viennent au début du
printemps. Quand l’hi-
rondelle revient, on an-
nonce le début du prin-
temps. Quand les oiseaux
migrent, ils vont, par
exemple, vers l’Afrique
car il fait froid là où ils
sont.
10
Les poissons
Un poisson océandrome : c’est un poisson qui migre en restant en eau de mer. Exemple la morue.
Un poisson potamodrome : c’est un poisson qui migre en eau douce. Exemple la truite.
Un poisson diadrome : c’est un poisson qui vit alternativement en eau de mer et en eau douce.
Exemple le saumon
D’autres stratégies contre le froid:
L’exemple du hérisson
http://www.linternaute.com/
http://tontonphoto.fr/
http://fr.wikipédia.org/
http://www.sitesetmuseesenpaysbasque.com/
Loane Oorosz
Le plus piquant des mammifères
et le grand ami des jardiniers
entre dans sa période d’hiberna-
tion. En effet, le hérisson est om-
nivore et son alimentation se
compose par conséquent de
nombreux invertébrés, comme
les limaces ou les chenilles. Lors-
qu’elles se raréfient, le hérisson
prépare un grand sommeil et
trouve un nid loin des regards
indiscrets. Le hérisson se réveille
fréquemment lors de ces
quelques mois, notamment
quand sa température interne
devient basse.
La migration est un phénomène ins-
tinctif chez de nombreuses espèces
de poissons. Peu de poissons sont
absolument sédentaires. Les bancs
de poissons migrent en suivant les
changements de température.
11
Vie du collège :Vie du collège :
Le club lecture
1/ En quoi consiste le club lecture ?
Au club lecture, chacun de nous écrit une nouvelle (petite histoire) de 15 à 20 pages où l’on doit introduire
un personnage (Louis XVI), un lieu (la campagne) et un objet (une selle de cheval). Lorsqu’on se réunit, on
lit les textes de chacun et on donne notre avis.
2/ Où, quand et avec quel professeur vos rendez-vous se déroulent-ils ?
Le rendez-vous club lecture se déroule le mardi de 12h30 à 13h et le vendredi de 13h à 13h30 avec
Mr.COURTEMANCHE, un professeur de français, en salle 212 le mardi et en salle 208, le vendredi.
3/ Qui sont les membres du club lecture ?
Il y a, en 5ème ; Emilie, Ambre et moi-même.
En 4ème ; Lia-May, Anaïs et Zoé.
FOUET Océane
Interview de CARLE Pauline, 5ème3
Nous avons interviewé l’équipe de pilotage du concours « jeunes talents » 10 jours avant l’évènement
qui se tiendra le 29 juin 2015 à partir de 20h à la salle de Montission à Saint Jean le Blanc.
Adeline, Anaïs, Juliette, Lia-May, Lucas, Maxime et Zoé ont répondu à nos questions.
Pourquoi ce concours ?
La première édition du concours a eu lieu l’an passé et nous avons souhaité la développer, réaliser
quelque chose de plus grand, avec plus de monde. Mme Amétépé, la principale nous avait incités à l’is-
sue de la première édition, à nous investir dans l’organisation. (l’an dernier, deux élèves de 3ème avaient
piloté le projet)
Le concours « jeunes talents »
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Quelles ont été vos difficultés ?
« L’entente dans le groupe » est une réponse collégiale. Et puis nous avons pris conscience des difficultés
pratiques et administratives. Nous avons passé beaucoup de temps à demander des choses à nos diffé-
rents partenaires, à discuter, négocier, attendre que tout le monde se mette d’accord pour agir.
Comment voyez-
vous cette soirée ?
Une grande soirée fami-
liale, une kermesse, un
évènement grandiose !
Nous espérons simple-
ment que cela se passe
bien.
Que vous a apporté cette expérience ?
Nous avons appris à organiser un évènement. Nous avons appris à monter un projet en groupe, à faire
confiance, à déléguer, à lâcher prise. Nous avons aussi fait des choix. Nous avons renoncé aux moments-
clés, à d’autres activités, pour consacrer assez de temps à celle-ci et mener le projet à son terme.
Le petit mot du comité de pilotage adulte.
La soirée sera ce que l’on en fera tous et j’espère fort comme nos jeunes
qu’elle sera une réussite.
Je tiens à féliciter d’ores et déjà chaque membre de l’équipe. Chacun a fait
un travail formidable, a réellement appris à tenir un projet à bout de bras, à
l’abandonner, à se le réapproprier, à y trouver sa place, a appris de ses er-
reurs et su appréhender petit à petit le facteur humain, les tensions, les dé-
couragements, les négociations… tout ce qui réellement fait partie de la
gestion de projets. Chacun, à son rythme, a appris des autres, a commencé
à faire des choix. Une belle expérience qui j’en suis certaine a fait grandir
chacun de nos sept élèves.
Rédacteurs : Sophie Cornet, Océane Fouet, Sophia Marchadier, Loane Orosz. Conseillers rédacteurs : Mme Bauer. Directrice de publica-
tion : Mme Amétépé. Publication: Mme Goumy. Avec le soutien du F.S.E.
Collège Jacques Prévert. 23, Rue Creuse. 45650 St Jean le Blanc. 02 38 66 62 60. http://clg-jacques-prevert-st-jean-le-blanc.tice.ac
-orleans-tours.fr/eva/