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programme du 8 janv. au 4 fév. 2014 le théâtre scène nationale de Saint-Nazaire salle Jacques Tati photo du film Tel père, tel fils

08.01 au 04.02 2014

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Saint-Nazaire • Jacques Tati

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programme du 8 janv. au 4 fév. 2014le théâtre scène nationale de Saint-Nazaire

salleJacques

Tati

photodu

film

Telpère,telfils

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calendriersemainedu 8 au 14janvier mercredi 8 jeudi 9 vendredi 10 samedi 11 dimanche 12

Tanger, le rêve… (VO) - 20h30 + débat - -

Le géant égoïste (VO) - 18h30 15h + ciné-café, 18h 17h et 21h 17h et 20h45

African Queen (VO) - - 20h30 + débat 19h 15h et 18h45

La sorcière 15h - - 11h 11hdans les airs + goûter + brunch + brunch

semainedu 15 au 21janvier mer 15 jeu 16 ven 17 sam 18 dim 19 lun 20 mar 21

A touch of sin (VO) 21h30 - 16h45 15h45 et 21h30 14h 18h45

Heimat I (VO) - 19h + pause café - 14h30 + pause café -Heimat II (VO) - 21h - - 16h30 - -

L’extravagant… (VO) 16h45 - - 13h45 10h45 19h15 -

Grande Bellezza (VO) - 16h30 - - 19h 21h15 14h

La vie d’Adèle 13h30 - - 18h15 - - 21h15

Prisoners (VO) 18h45 - 14h, 21h30 - 16h30 -

Snowpiercer (VO) - 14h15 19h15 - 21h30 - 16h30

semainedu 22 au 28janvier jeudi 23 vendredi 24 samedi 25 dimanche 26

Un Américain à Paris (VO) 20h30 18h - 15h

Tel père, tel fils (VO)(1re semaine) 15h45 et 18h 15h45 et 20h30 16h30 et 21h15 17h30 et 20h

Tous au Larzac - - 19h -

semainedu 29 janvierau 4 février mercredi 29 jeudi 30 vendredi 31 samedi 1er dimanche 2

Le fond de l’airest rouge - - - 19h + débat 15h

2 automnes 3 hivers - 20h30 + débat 15h et 19h - 18h15

Tel père, tel fils (VO) - 15h45 et 18h 16h45 et 21h 16h30 20h

Ploddy la voiture 15h - - 11h 11hélectrique… + goûter + brunch + brunch

......festivalTélérama.......

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Le géant égoïstedrame de Clio Barnard• Royaume Uni • 18 décembre• 2013 • couleur • 1h30 • VOSTFavec Conner Chapman,Shaun Thomas, Sean Gilder…• Label Europa Cinemas, Festival deCannes 2013 / Grand Prix du Jury, Prixcoup de cœur Festival Dinard 2013 /Meilleur Film, Festival Saint-Jean deLuz 2013

Arbor, 13 ans, et son meilleur ami Swiftyhabitent un quartier populaire de Bradford,au Nord de l’Angleterre. Renvoyés del’école, les deux adolescents rencontrentKitten, un ferrailleur du coin. Ils com-mencent à travailler pour lui, collectanttoutes sortes de métaux usagés. Kittenorganise de temps à autre des coursesde chevaux clandestines. Swifty éprouveune grande tendresse pour les chevauxet a un véritable don pour les diriger, cequi n’échappe pas au ferrailleur. Arbor,en guerre contre la terre entière, sedispute les faveurs de Kitten, en luirapportant toujours plus de métaux, aurisque de se mettre en danger. L’amitiédes deux garçons saura-t-elle résisterau Géant égoïste ?

«Dans cette fable tragique, qui évoqueaussi bien le Steinbeck de Des souriset des hommes que le Ken Loach deSweet Sixteen, la cinéaste réussit surtoutla gageure d’éviter tout misérabilisme.Sa caméra nerveuse qui saisit, commeun radar, la brusquerie des corps enmouvements, y est pour beaucoup. Maisses comédiens font le reste : leurespièglerie bagarreuse, leurs élans,leur vitalité emportent tout sur leurpassage. Larmes comprises.»Mathilde Blottière – Télérama

Tanger, le rêvedes brûleursdocumentaire de Leïla Kilani• Maroc • 2002 • couleur • 53’• VOSTFavec Denis, Rhimo, Abdelaziz• Prix du Documentaire, FESPACO2003 / Prix de la première œuvre,FESPACO 2003 / Lauréat Prix Télémaques2003/2004 / Tanit d’or vidéo, Rencontrescinématographiques de Carthage 2004

Ville-fenêtre du détroit de Gibraltar, Tangera une identité ouverte. La frontière, àTanger, est une présence, on la voit, elleapparaît par rebond, on la sent partout :c’est l’eau. En face, il y a une lignecontinue : l’Espagne, la dernière avancéenaturelle de l’Europe. Nul besoin de tempsclair pour voir les côtes espagnoles.L’Europe est là, proche, palpable, évi-dente, à portée d’yeux, elle nargue denouveaux aventuriers à la recherched’une vie moins difficile.

En mai 1991, l’Espagne décide de sou-mettre les ressortissants maghrébins aurégime de visas. Depuis, les candidats audépart clandestin, Marocains, Maliens,Sénégalais, Mauritaniens, et autresAfricains, affluent massivement et sansdiscontinuité à Tanger. On les appelle lesherraguas, les «brûleurs», et le brûleurest celui qui est prêt à tout pour partir,celui qui est prêt à brûler ses papiers,son identité, pour faire de ce départune entreprise irréversible.

Au-delà de la description globale d’unmouvement de masse, ce film suitl’aventure de quelques brûleurs. Il tentede rendre visible leur «territoire», réel ounon, physique ou intérieur. D’une saisonl’autre, on suit l’aventure de Rhimo, Deniset Azîz, leur vie ou plutôt leur survie, lesdifférents états de la relation changeante,conflictuelle, obscure, désespérée,mais aussi ludique et désinvolte, qu’ilsentretiennent avec le défi qu’ils se sontlancé : brûler, coûte que coûte...

« Il faut aller à la rencontre de sondestin. Les choses sont posées dès ledépart du film : le propos de Leïla Kilanin’est pas sociologique mais parfaite-ment subjectif. Elle s’intéresse à uneville qui est un butoir et elle s’intéresseà des hommes qui ne font que regarderlà-bas, de l’autre côté, cette côte qu’onvoit à 45 km de distance, l’autre monde.Kilani filme la géographie des ruelles,en des images et des sons impression-nistes, des murs, des containers, desflaques… Chaque image résonne ensolitude, austérité, désespoir, incerti-tude…» O. Barlet – Africultures

«Leïla Kilani, Tangéroise d’origine,accomplit ici ses débuts de documen-tariste et elle fait fort. Sur fond d’aubefroide et grisâtre se détachent dessilhouettes solitaires, errant sur lesdocks, parlant à contre-jour ».Emmanuelle Bouchez – Télérama

soirée organisée en partenariat avecle MRAP et animée par l’associationAstrolabe 44 dans le cadre de sonévénement Étrange, Étranger, Étrangeté.

du 8 au 12 janvier jeudi 9 janvier(séance unique)

ciné-débat

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AfricanQueenfilm d’action et d’aventuresde John Huston• Grande-Bretagne/USA • 1952• ressortie version restauréeavril 2013 • couleur • 1h45• VOSTFavec Humphrey Bogart,Katharine Hepburn,Robert Morley…• Oscar du Meilleur acteur,Los Angeles 1952

L’Afrique en 1915. Charlie Allnut,américain, transporte sur son bateaul’African Queen toutes sortes de marchandises qu’il distribue dans lesvillages. Il prévient le révérend Sawyeret sa sœur Rose, tous deux sujetsbritanniques, de l’approche des troupesallemandes. Il revient le lendemain etembarque Rose, pensant la déposer

en territoire neutre. Mais, décidée àlutter, elle l’oblige à descendre lesrapides du fleuve pour rejoindre lesAnglais.

«Adroit mélange d’aventures et deromance, ce classique hollywoodienfonctionne toujours grâce à la magiedu couple Bogart/Hepburn. Un vraipetit plaisir de cinéphile».Virgile Dumez – aVoir-aLire.com

« (…) un des plus beaux films d’aventurede l’histoire du cinéma».Alain Riou – Le Matin, 1983

«On ne raconte plus l'histoire de ce huisclos en rafiot, mettant un marlou dipso-mane aux prises avec une vieille filleanglaise, sur une rivière d'Afrique infestéede crocodiles, pendant la Première Guerremondiale. On ne parle pas non plus dutournage éprouvant en décors naturels,qui vit la moitié de l'équipe atteinte demalaria et de dysenterie, et durant lequelJohn Huston et Humphrey Bogart battirentleur record de consommation d'alcool.

Une fois ces données mythiques acquises,le film apparaît surtout comme un docu-ment étonnant sur deux acteurs décidésà baisser la garde. Le plus émouvant,dans ces images de navigation chaotique,c'est de voir que ni Bogart ni Hepburnne font semblant de croire à leur im-probable histoire d'amour. De cettefranchise naît un abandon de soi des plustouchants. Captée dans sa mouvancetourmentée, avec une rigueur docu-mentaire inhabituelle pour l'époque, lanature déploie des trésors de véracité.Elle est sans doute la véritable héroïnede ce film changeant comme une rivière,dans lequel, tour à tour, on s'embourbeou se laisse porter par le courant».Marine Landrot – Télérama

séance du vendredi 10 janvier à20h30 : film proposé et présenté parVersion Originale et Christine deCherisey, traductrice, dialoguiste,spécialiste du doublage et du sous-titrage.

du 10 au 12 janvier

ciné-classic

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FestivalTéléramaAFCAEdu 15 au 21 janvier 2014

La salle Jacques Tati, scènenationale, accueille une nouvellefois en janvier 2014, le festival decinéma initié par Télérama etl’AFCAE (Association Françaisedes Cinémas d’Art et Essai).L’occasion pour tous de voir ourevoir une sélection des meilleursfilms de l’année 2013.Parmi les 16 films retenus parla rédaction de Télérama, nousavons choisi de vous présenter,du 15 au 21 janvier, les 7 filmssuivants :• A touch of sin de Jia Zhang-Ke(VO)•Heimat I et Heimat IId’Edgar Reitz (VO)• L’extravagant voyage du jeuneet prodigieux T.S. Spivet (VO)• La grande Bellezzade Paolo Sorrentino (VO)• La vie d’Adèle Chapitres 1 et 2d’Abdellatif Kechiche (VO)• Prisoners de Denis Villeneuve (VO)• Snowpiercer - Le Transperceneigede Bong Joon-Ho (VO)

Le tarif est de 3 € la place.Sur présentation du «pass» qui figureradans le magazine, complété du nomet de l’adresse du porteur, il vous seraremis une carte valable pour deuxpersonnes durant toute la manifesta-tion. Ce «pass» sera dans le Téléramaprécédent la manifestation et danscelui de la semaine du Festival.Tarifs habituels pour les non-détenteursdu pass.

La grandeBellezzacomédie dramatiquede Paolo Sorrentino• Italie/France • mai 2013• couleur • 2h21 • VOSTFavec Toni Servillo, Carlo Verdone,Sabrina Ferilli…

Rome dans la splendeur de l’été. Lestouristes se pressent sur le Janicule :un Japonais s’effondre foudroyé par tantde beauté. Jep Gambardella – un belhomme au charme irrésistible malgréles premiers signes de la vieillesse –jouit des mondanités de la ville. Il estde toutes les soirées et de toutes lesfêtes, son esprit fait merveille et sacompagnie recherchée. Journaliste àsuccès, séducteur impénitent, il a écritdans sa jeunesse un roman qui lui avalu un prix littéraire et une réputationd’écrivain frustré : il cache son désarroiderrière une attitude cynique et désabu-sée qui l’amène à poser sur le mondeun regard d’une amère lucidité. Sur laterrasse de son appartement romainqui domine le Colisée, il donne des fêtesoù se met à nu « l’appareil humain» –c’est le titre de son roman – et se jouela comédie du néant. Revenu de tout,

Jep rêve parfois de se remettre à écrire,traversé par les souvenirs d’un amourde jeunesse auquel il se raccroche, maisy parviendra-t-il ? Surmontera-t-il sonprofond dégoût de lui-même et des autresdans une ville dont l’aveuglante beautéa quelque chose de paralysant ?

«Un cortège de visions folles, d’embar-dées opératiques et de décrochagessensuels, à la fois hanté par la littératureet totalement électrisant, sans aucunéquivalent».Frédéric Foubert – Première

«Fellini : son ombre plane sur La GrandeBellezza ; non comme modèle à imiter,mais comme source d’inspiration. (…)Sans jamais perdre de son ironie, PaoloSorrentino passe insensiblement,irrésistiblement, de la démesure à laretenue».Pierre Murat – Télérama

du 16 au 21 janvier(festival Télérama)

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A touch of sindrame de Jia Zhang-Ke• Chine/Japon • 11 décembre2013 • couleur • 2h10 • VOSTF• interdit aux moins de 12 ansavec Wu Jiang, Wang Baoqiang,Zhao Tao…• Prix du scénario, Festival de Cannes2013

Dahai, mineur exaspéré par la corruptiondes dirigeants de son village, décide depasser à l’action. San’er, un travailleurmigrant, découvre les infinies possibilitésoffertes par son arme à feu. Xiaoyu,hôtesse d’accueil dans un sauna, estpoussée à bout par le harcèlementd’un riche client. Xiaohui passe d’untravail à un autre dans des conditionsde plus en plus dégradantes. Quatrepersonnages, quatre provinces, un seul etmême reflet de la Chine contemporaine :celui d’une société au développementéconomique brutal peu à peu gangrenéepar la violence.

«En langage officiel, on appelle cela des« incidents soudains». Dans la Chineconvertie au libéralisme sauvage et àses inégalités, des citoyens ordinaires,victimes de l’exploitation, de l’intolérance,de la misère, retournent brutalementcontre leurs bourreaux, ou contre eux-mêmes, la violence extrême, devenuebanale qu’ils ont subie. Jia Zhang-Ke alonguement enquêté sur ces faits diverscriminels avant de concevoir A touchof sin. Il poursuit son auscultation im-pressionnante des bouleversementssociaux dans la Chine post-Mao, entaméeen 1997 avec Xiao Wu, artisan pickpocket.Mais, en s’aventurant pour la premièrefois dans le film de genres (au pluriel,car A touch of sin ne se limite pas aupolar), il donne une nouvelle ampleurà son cinéma. Place à de sidérantesscènes d’action, aussi génialementmises en scène que les plans contem-platifs dont le réalisateur de Still lifereste l’un des maîtres. (…) A la brutalitédes rapports humains, Jia Zhang-Keoppose la résistance par l’œuvre d’art,qui est autant catharsis que consolation.Dans l’ultime séquence, l’employée desauna assiste fascinée à la représentationen pleine rue d’un opéra traditionnel,

L’Interrogatoire de Su San. Et trouvedans cette histoire sublimée d’unehéroïne accusée de meurtre, un échoà son propre destin. Au-delà de sonmessage d’alerte salutaire sur l’étatde la Chine, A touch of sin est, aussi,un hommage vibrant aux humiliés etoffensés du monde entier. Et à l’artqui les sauve».Samuel Douhaire – Télérama

«Jia Zhang-Ke signe une fresqueviolente, frontalement politique etformellement sublime… ».Camille Lugan – aVoir-aLire.com

«Une œuvre aussi puissante quesubversive». Stéphanie Belpêche– Le Journal du Dimanche

«Aucun autre film cette année n’a suavec un tel degré de maîtrise et d’artmanier la couleur, le cadre, le plan, ladurée, la composition».Jean-Baptiste Morain – Les Inrockuptibles

«Pas un plan qui ne subjugue, pasune trouvaille de mise en scène quine suscite l’admiration. Du grand art».Franck Nouchi – Le Monde

du 15 au 21 janvier(festival Télérama)

coupde cœur

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Heimat IChronique d’un rêve

drame historique d’Edgar Reitz• Allemagne • 23 octobre 2013• noir et blanc • 1h47 • VOSTFavec Jan Dieter Schneider,Antonia Bill, MaximilianScheidt…

1842-1844, L’histoire de la famille Simon.Johann le père forgeron, Margret lamère, Lena la fille ainée, Gustav etJakob les fils, Jettchen et Florinchenleurs futures épouses. Les coups dudestin risquent de détruire cette famillemais c’est une histoire de courage et defoi en l’avenir. Des dizaines de milliersd’Allemands, accablés par les famines,la pauvreté et l’arbitraire des gouver-nants, émigrent en Amérique du Sud.«Un sort meilleur que la mort, ça peutse trouver partout». Jakob Simon lecadet, lit tous les livres qu’il peut seprocurer, il étudie les langues des Indiensd’Amazonie. Il rêve d’un monde meilleur,d’aventure, de dépaysement et de liberté.Il décide d’émigrer. Le retour de sonfrère Gustav du service militaire dans

l’armée prussienne déclenche une séried’évènements qui met à rude épreuvel’amour de Jakob et bouleverse sonexistence.

«La photographie exceptionnelle, lescénario aussi riche qu’imprévisible,l’interprétation d’une profondeur ataviquebouleversante font de cette œuvreunique un joyau de mise en scène. (...)Heimat s’impose comme un chef-d’œuvre. » Alain Spira – Paris Match

«Est-il bien raisonnable de passerenviron quatre heures d’un film en noiret blanc dans un trou rhénan du XIXe

siècle, entouré de paysans qui crèventla faim et de hobereaux très en retardsur leur époque ? La réponse est oui,absolument».Jacques Mandelbaum – Le Monde

Heimat IIL’exode

drame historique d’Edgar Reitz• Allemagne • 23 octobre 2013• noir et blanc • 2h08 • VOSTFavec Jan Dieter Schneider,Antonia Bill, MaximilianScheidt…

«Cette nouvelle chronique – celle dudépart rêvé –, superbement mise enscène, ne cache rien de l’âpreté desexistences de l’époque, tout en laissants’exprimer à l’image le romantismeallemand. Une œuvre ambitieuse etréussie (…)» Arnaud Schwartz – La Croix

«Ce deuxième épisode a la mêmebeauté et l’ampleur lyrique que le pré-cédent. Un chef- d’œuvre».Marie-Noëlle Tranchant – Le Figaroscope

Les deux épisodes étant programmésà la suite, un café ou un thé sera offertaux spectateurs lors d’une courtepause.

du 16 au 19 janvier(festival Télérama)

du 16 au 19 janvier(festival Télérama)

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L’extravagantvoyage du jeuneet prodigieuxT.S. Spivetfilm d’aventuresde Jean-Pierre Jeunet• France/USA • 16 octobre 2013• couleur • 1h45 • VOSTFavec Helena Bonham Carter,Judy Davis, Callum Keith Rennie…

T.S. Spivet vit dans un ranch isolé duMontana avec ses parents, sa sœurGracie et son frère Layton. Petit garçonsurdoué et passionné de science, il ainventé la machine à mouvement per-pétuel, ce qui lui vaut de recevoir letrès prestigieux prix Baird du MuséeSmithsonian de Washington. Sans riendire à sa famille, il part, seul, cherchersa récompense et traverse les États-Unissur un train de marchandises. Maispersonne là-bas n’imagine que l’heureuxlauréat n’a que dix ans et qu’il porteun bien lourd secret…

«Le voyage est tout à la fois exaltant etmélancolique. La tristesse y affleure,la fantaisie s’y invite. Le ton est graveet léger. Mais c’est bien ça que raconteJeunet ici : l’étrangeté des êtres, deschoses de la vie. Et des inventeurs».Frédéric Strauss – Télérama

«On baigne (…) dans un réalismemagique où les fantômes sont sourcede réconfort, le tout magnifié par labeauté renversante des grands espacesaméricains que le réalisateur se plaîtà filmer comme une terre inviolée».Cédric Delelée – Mad Movies

La vie d’AdèleChapitres 1 et 2

drame d’Abdellatif Kechiche• France • octobre 2013 • couleur• 2h57 • Interdit aux moins de 12ans avec avertissementavec Adèle Exarchopoulos,Léa Seydoux, Salim Kechiouche,Jérémy Laheurte…• Palme d’Or, Festival de Cannes 2013/ Prix Fipresci - Compétition officielle,Festival de Cannes 2013 / Prix LouisDelluc 2013

À 15 ans, Adèle ne se pose pas dequestion : une fille, ça sort avec desgarçons. Sa vie bascule le jour où ellerencontre Emma, une jeune femme auxcheveux bleus, qui lui fait découvrir ledésir et lui permettra de s’affirmer en tantque femme et adulte. Face au regarddes autres Adèle grandit, se cherche,se perd, se trouve…

«(…) c’est ça, le grand cinéma».Aurélien Ferenczi – Télérama

«Kechiche signe une mise en scèned’une limpidité virtuose. Les émotions

palpitent à leur comble, face à la poi-gnante Adèle Exarchopoulos. (…) Un filmmagnifique».Danielle Attali - Le Journal du Dimanche

«Les presque trois heures de La Vied’Adèle passent sans qu’on y prennegarde, qui décrivent et retracent l’amourde deux jeunes femmes, l’une artiste,l’autre institutrice. Le cinéma de Kechiche,flamboyant et radical, raisonné etexalté, est sans pareil aujourd’hui».Pascal Mérigeau – Le Nouvel Observateur

«La Vie d’Adèle (…) étudie, avec la mêmecapacité de profondeur et de vertigeque les plus puissants télescopes (…),les mystères insondés du corps etdu visage humains.(…). La force d’uncinéaste dont la virtuosité formelleimpressionne autant que la maîtrisede son sujet».Olivier Séguret – Libération

du 15 au 20 janvier(festival Télérama)

du 15 au 21 janvier(festival Télérama)

à voiren famil

le

coupde cœur

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du 15 au 20 janvier(festival Télérama)

du 16 au 21 janvier(festival Télérama)

Prisonersthriller de Denis Villeneuve• USA • octobre 2013 • couleur• 2h33 • VOSTF • Interdit auxmoins de 12 ansavec Hugh Jackman,Jake Gyllenhaal, Viola Davis,Maria Bello, Paul Dano…

Dans la banlieue de Boston, deux fillettesde 6 ans, Anna et Joy, ont disparu. Ledétective Loki privilégie la thèse dukidnapping suite au témoignage de Keller,le père d’Anna. Le suspect numéro 1est rapidement arrêté mais est relâchéquelques jours plus tard faute de preuve,entrainant la fureur de Keller. Aveuglépar sa douleur, le père dévasté se lancealors dans une course contre la montrepour retrouver les enfants disparus.De son côté, Loki essaie de trouver desindices pour arrêter le coupable avantque Keller ne commette l’irréparable…Les jours passent et les chances deretrouver les fillettes s’amenuisent…Par le réalisateur d’Incendies.

«Depuis Zodiac de David Fincher etMystic River de Clint Eastwood (…)nous n’avions plus ressenti ce troubleau cinéma, ce moment où le ventre senoue et où la gorge s’assèche quandnotre morale se confond avec le combatde personnes enragées contre le destinet le Mal absolu».Yannick Vely – Paris Match

«Dans une atmosphère hivernale et uneambiance à la Seven, le réalisateur nelâche pas plus ses personnages queses spectateurs. Saisissant, poignant,suffocant». Jean-Pierre Lacomme– Le Journal du Dimanche

SnowpiercerLe Transperceneige

drame, science-fictionde Bong Joon-Ho• Corée du Sud • octobre 2013• couleur • 2h05 • VOSTF• Interdit aux moins de 12 ansavec Chris Evans, Song Kang-Ho,Ed Harris…

2031. Une nouvelle ère glaciaire. Lesderniers survivants ont pris place à borddu Snowpiercer, un train gigantesquecondamné à tourner autour de la Terresans jamais s’arrêter. Dans ce micro-cosme futuriste de métal fendant laglace, s’est recréée une hiérarchie desclasses contre laquelle une poignéed’hommes entraînés par l’un d’eux tentede lutter. Car l’être humain ne changerajamais…

«Avec cette transposition au cinémad’une bande dessinée française, leréalisateur de Mother signe un filmspectaculaire et brutal, mais aussiune ode à la résistance ».Corinne Renou-Nativel – La Croix

« (…) un film d’action éblouissant sansjamais quitter l’espace clos d’un trainlancé autour du monde».Romain Blondeau – Les Inrockuptibles

«Si l’extérieur du train semble immaté-riel, (…) tout ce qui se passe à l’intérieurest lesté d’une incroyable densité demétal lourd, aussi bien dans la fureurconcrète des tableaux de massacresque par le plomb versé sur le destinde chaque personnage».Didier Péron – Libération

«Bong Joon-Ho s’empare du postulatde la BD française Le Transperceneigepour livrer sa vision de la survie del’humanité : âpre, désespérée etpuissante». Michael Ghennam– Les Fiches du Cinéma

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Un Américainà Pariscomédie musicalede Vincente Minnelli• USA • 1952 • ressortie décembre2012 • couleur • 1h53 • VOSTFavec Gene Kelly, Leslie Caron,Oscar Levant…• Oscar du Meilleur film ,Los Angeles 1952 / Meilleurecomédie musicale, Golden GlobesLos Angeles 1952

Installé à Paris, Jerry Mulligan, peintreaméricain, peine à vivre de son art. Envoyant ses toiles exposées dans la rue,une milliardaire tombe amoureuse delui et décide d’être son mécène. C’est

alors qu’il rencontre Lisa, une jeuneFrançaise dont il s’éprend, sans savoirque celle-ci est déjà fiancée à HenriBaurel, l’un de ses amis...

«Un Américain à Paris ressort en salle.Entouré de son aura mythique et de sadistribution de prestige (Gershwin à lamusique, Gene Kelly à la chorégraphie,les premiers pas de Leslie Caron), le filmprouve une fois encore qu’il n’a rienperdu de son enchantement. La mise enscène de Minnelli permet de nombreuseslectures entre beauté picturale et mé-lancolie, tout en délivrant ce bonheursimple que l’on ressent devant lesgrandes comédies musicales de l’Âged’or hollywoodien. Cinquante-cinq ansaprès sa réalisation, Un Américain à Parisa su conserver sa force et sa beautétout en restant un fleuron de la comédiemusicale.»Raphaël Le Toux-Lungo – Critikat.com

«Une totale réussite, mémorable etmerveilleuse».Marianne Spozio –aVoir-aLire.com

«Le grand ballet principal est sansdoute l’hommage le plus réussi quejamais étranger ait rendu à Paris».Frédéric Laclos – Cahiers du Cinéma, N°14,juillet-août 1952

film présenté dans le cadre de laFolle Journée, en partenariat avecSCALA, réseau de salles de cinémaassociatives en Loire-Atlantique

du 23 au 26 janvier(Folle Journée)

ciné-classic

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du 23 au 26 janvier(1re semaine)du 29 au 2 février

samedi 25 janvier(séance unique)

Tel père,tel filsdrame de Kore-Eda Hirokazu• Japon • 25 décembre 2013• couleur • 2h01 • VOSTFavec Masaharu Fukuyama,Machiko Ono, Lily Franky,Yoko Maki…• Prix du Jury, Festival de Cannes2013 / Prix du meilleur film, AsiaPacific Film Festival

Ryoata, un architecte obsédé par laréussite professionnelle, forme avecsa jeune épouse et leur fils de 6 ansune famille idéale. Tous ses repèresvolent en éclats quand la maternitéde l’hôpital où est né leur enfant leurapprend que deux nourrissons ont étééchangés à la naissance : le garçonqu’il a élevé n’est pas le sien et leurfils biologique a grandi dans un milieuplus modeste…

«De film en film, Kore-Eda ne cessed’aller vers plus de simplicité : lesémotions qui agitent ici ses personnagessont élémentaires. Les parents sontbouleversés, les enfants sidérés, intri-gués… Dès le début du film, le réalisateur

met en place des oppositions très nettes.Entre le luxe froid de l’appartement desNonomiya et le capharnaüm dans lequelvivent les Saiki ; entre le patriarcat quirégit la vie des riches et le matriarcatbien compris des petites gens ; entrela nuit bleutée de Tokyo que Kore-Edafilme sans se lasser et les espacesconfinés de la banlieue. (…) Pour amenerses personnages jusqu’au bout de cetteaventure, Kore-Eda emprunte le cheminde la poésie. Qu’il filme un marché couverten béton qu’arpente une silhouetteenfantine ou qu’il saisisse au vol unegrimace ou un sourire, il le fait avecl’émerveillement inépuisable d’unprimo-géniteur. À ceci près qu’il estun grand cinéaste, et que HirokazuKore-Eda sait faire de son portrait defamille(s) une image universelle».Thomas Sotinel – Le Monde

Tous au Larzacdocumentaire de Christian Rouaud• France • 2011 • couleur • 1h58avec Léon Maille, Pierre Burguière,Marizette Tarlier…• César du Meilleur documentaire2012 / Étoile d'Or du Documentairede la Presse du Cinéma Français2012 / Prix spécial du public ,COLCOA Film Festival 2012,Los Angeles

Marizette, Christiane, Pierre, Léon, José…sont quelques uns des acteurs, drôleset émouvants, d’une incroyable lutte,celle des paysans du Larzac contre l’État,affrontement du faible contre le fort, quiles a unis dans un combat sans mercipour sauver leurs terres. Un combatdéterminé et joyeux, mais parfois aussiéprouvant et périlleux. Tout commenceen 1971, lorsque le gouvernement, par lavoix de son ministre de la Défense MichelDebré, déclare que le camp militairedu Larzac doit s’étendre. Radicale, lacolère se répand comme une trainéede poudre, les paysans se mobilisentet signent un serment : jamais ils necèderont leurs terres. Dans le face àface quotidien avec l’armée et les forcesde l'ordre, ils déploieront des trésorsd’imagination pour faire entendre leurvoix. Bientôt des centaines de comitésLarzac naitront dans toute la France…Dix ans de résistance, d'intelligencecollective et de solidarité, qui les por-teront vers la victoire.

«Avec Tous au Larzac, Christian Rouaudétend son aire de jeu à une région touteentière et prouve que la lutte reste, mêmeà notre époque où tout se dématérialiseà vitesse grand V, une véritable guerred’occupation». Julien Marsa – Critikat.com

Séance tout public programmée dansle cadre de Lycéens au cinéma

coupde cœur

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Le fond de l’airest rougedocumentaire de Chris Marker• France • 1977 • ressortieoctobre 2013 • couleur • 3havec Yves Montand, SimoneSignoret, Jorge Semprún…

De Che Guevara à Rudi Dutschke, deLénine à Mao, de Charonne à la rueGay-Lussac, de Cuba à Santiago, Le fondde l’air est rouge retrace la montée puisla retombée des utopies révolutionnairesdes années 60 et 70. Ce film-culte deChris Marker constitue un extraordinairemontage d’archives, dans une nouvelleversion rééditée par l’auteur.

Première partie : Les Mains Fragiles1. Du Viêt Nam à la mort du Che2. Mai 68 et tout ça…Deuxième partie : Les Mains Coupées3. Du printemps de Prague auProgramme Commun4. Du Chili à... quoi, au fait ?

1967 - 1977 : années capitalesde l’histoire mondiale«… Au cours de ces dix années, uncertain nombre d’hommes et de forces(quelquefois plus instinctives qu’orga-nisées) ont tenté de jouer pour leurcompte, fût ce en renversant les pièces.Tous ont échoué sur les terrains qu’ilsavaient choisis. C’est quand même leurpassage qui a le plus profondémenttransformé les données politiques denotre temps. Ce film ne prétend qu’àmettre en évidence quelques étapesde cette transformation.»Chris Marker

Images officielles, bouts de films, chutesde reportages, bobines négligées sontles matériaux de cette fresque majeuredans la filmographie de Chris Markeret dont le visionnage se clôt sur ledéroulant suivant : « Les véritablesauteurs de ce film sont les innombrablescameramen, preneurs de son, témoinset militants dont le travail s’oppose sanscesse à celui des pouvoirs, qui nousvoudraient sans mémoire».

«Le fond de l’air est rouge est un filmqui ne base jamais sa beauté sur celledes images, utilise un commentaire quiquestionne plus qu’il n’assène, joue laconfrontation des archives plutôt queleur unification et revendique l’impuretéde son corpus, ses raccourcis et seslacunes. Et pourtant un savoir, uneexpérience passe là, dense et tranchante.Étudier quelques constructions du Fondde l’air est rouge c’est entrevoir lapuissance du cinéma face à l’histoirequand il ne prend pas des airs de grandnarrateur omniscient».Guillaume Morel – Critikat.com

samedi 1er février, séance à 19h suivied’un débat avec Pierre Camus, ingénieurdu son à la retraite, cofondateur deIskra distribution, premier assistantréalisateur de Chris Marker pendant13 ans, notamment sur Le fond del’air est rouge et de Bamchade Pourvali(à confirmer), écrivain et doctorant encinéma, auteur de Chris Marker aux édi-tions des Cahiers du Cinéma.

samedi 1er etdimanche 2 février

ciné-débat

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2 automnes3 hiverscomédie de Sébastien Betbeder• France • 25 décembre 2013• couleur • 1h30avec Vincent Macaigne,Maud Wyler, Bastien Bouillon,Audrey Bastien, ThomasBlanchard, Pauline Etienne,Jean-Quentin Châtelain,Olivier Chantreau…• Programmation ACID, FestivalCannes 2013

À 33 ans, Arman a décidé de changerde vie. Pour commencer il court. C’estun bon début. Amélie poursuit la sienne(de vie) et court, elle aussi. La premièrerencontre est un choc. La secondeenverra Arman à l’hôpital mais sera ledébut de leur aventure. Benjamin estle meilleur ami d’Arman. Un soir ils’écroule dans une haie de laurier et seretrouve lui aussi à l’hôpital. Un graveincident qui pourtant fera son bonheur.Durant 2 automnes et 3 hivers, dans lesvies d’Amélie, Arman et Benjamin sesuccèdent les rencontres, les accidents,et beaucoup d’histoires (d’amour maispas que…).

Parole de cinéaste

Le film commence avec un barbu dépriméqui fait un footing à Paris, parce qu’il

ne sait pas quoi faire de ses journées.On pourrait s’attendre au pire. Et lepire arrive en effet. Sauf qu’on en ritbeaucoup. De ce point de vue là,2 automnes 3 hivers est une comédieréussie.

C’est un film plein de vie, et qui flirte avecla mort. Alors rien d’étonnant à croisersur une route enneigée le fantôme depapa. Ni de discuter avec l’esprit de sasœur. De ce point de vue là, 2 automnes3 hivers est un film fantastique.

L’histoire est racontée de manièreoriginale : les personnages parlentparfois à la caméra, citant Eugene Green,Judd Appatow, ou Michel Delpech.Pourtant le film n’est jamais prisonnierde ses références. Sincère, personnel,et sans posture, il suit son chemin. Sonapparente simplicité me rappelle lesfilms de Truffaut. De ce point de vue là,2 automnes 3 hivers est un beau film.

Je crois que le sujet du film, c’est lecouple. Ce que ça implique d’aimerquelqu’un, et ce à quoi il faut parfoisrenoncer. Mais peut-être pas. En tout cas,c’est une émouvante histoire d’amour.Les moyens. J’imagine qu’il y en a eutrès peu. En fait, on ne s’en rend pascompte. C’est même une des réussitesdu film : la mise en scène est en adé-quation avec son économie. De ce pointde vue là, c’est une super production.Un film, c’est aussi souvent le portraitde son auteur, de ses acteurs, et ausside tout ce qui échappe au réalisateur,et qui permet de dresser le portrait d’une

époque. Et de ce point de vue là, 2automnes 3 hivers est aussi un trèsbeau documentaire .Namir Abdel Messeeh, cinéaste

«Sébastien Betbeder signe avec 2automnes 3 hivers l’un de ses filmsles plus accomplis. Une histoire simple(deux amis, la rencontre avec une fille,le passage de saisons) mais une formeoriginale pour la raconter. Musicalité,préciosité du style, humour triste et goûtdes mots qui n’appartiennent qu’aucinéaste confèrent à 2 automnes 3hivers un charme tenace et très parti-culier. Sébastien Betbeder est un auteurun peu trop discret, parions que cenouveau film permettra de mieux faireconnaissance avec une voix singulièredu jeune cinéma français».Olivier Père – Arte

en avant-programmede la projectiondu 30 janvier

Les lézardscourt-métrage de fictionde Vincent Mariette• France • 2012 • noir et blanc• 14’38avec Vincent Macaigne,Ginger Roman, Mathilde Profit,Benoît Forgeard, Manon Droulez

Accompagné de son pote Bruno, Léopatiente dans ce hammam où il adonné rendez-vous à une fille croiséesur internet. De rencontres étrangesen révélations vaporeuses, nos deuxhéros attendent fébrilement l’hypo-thétique venue de la mystérieuse in-connue.

séance du jeudi 30 janvier à 20h30 :film et court-métrage présentés enpartenariat avec Version originaleen présence de Sébastien Betbeder,réalisateur de 2 automnes, 3 hivers.Avec le soutien de l’ACID(association du cinémaindépendant pour sadiffusion).

du 29 janvier au 2 février

ciné-débat

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La sorcièredans les airsun programme familial etensorcelant par les créateursdu Gruffalo• 27 novembre 2013 • durée 50 ‘• à partir de 4 ans

Une sympathique sorcière, son chat etson chaudron s’envolent sur un balai.Quel bonheur de voler ! Mais le vent semet à souffler très fort, et un dragonaffamé vient de se réveiller... Unenouvelle adaptation d’un album de JuliaDonaldson et Axel Scheffler, les auteursfavoris de la littérature jeunesse.

Juste un petit peude Alicja Björk Jaworski• Suède • 2011 • 9’ • VFAux premiers beaux jours , un cochon s’enva gaiement vers le lac. Sur le chemin, ilrencontre un hérisson avec qui personnene veut jouer parce qu’il n’a pas assezde piquants, une corneille au bec justeun petit peu trop long, un agneau vert etun veau couvert de pois blancs. En route,cette joyeuse bande croise un crapaudqui propose à chacun d’exaucer son vœule plus cher…

Un jour merveilleuxde Nils Skapans• Lettonie • 2010 • 15’ • VFUn jour comme les autres se transformeen une fantastique aventure pour un chatet sa maîtresse.

La sorcièredans les airsde Max Lang et Jan Lachauer• Grande-Bretagne • 2012 • 26 ‘ • VFD’après l’album jeunesse La Sorcièredans les airs (Room on the Broom) deJulia Donaldson et Axel Scheffler publiéchez Gallimard Jeunesse.

Une gentille sorcière et son chat campentprès d’un lac. La sorcière concoctejoyeusement des potions avec cequ’elle trouve autour d’elle. Quandelle ajoute des champignons rouges,le chaudron se met à déborder et lebouillon explose. Le bruit réveillealors un dragon qui dormait dans lesparages. Comme le temps se gâte, lasorcière et le chat décollent et fendentgaiement les airs sur leur balai. Maisils ignorent que le dragon s’est lancéà leurs trousses !

Ploddy la voitureélectrique mènel’enquêtefilm d’animationde Rasmus A. Sivertsen• Norvège • juin 2013 • couleur• 1h14 • à partir de 4 ans

Pendant une opération de sauvetage,Ploddy la fringante voiture de police estvictime d’une forte secousse électrique.Tout le monde craint le pire… Et puis,miracle : la voiture survit, plus éner-gique que jamais ! Tant mieux, car illui faut affronter deux criminels quiprélèvent l’eau d’un lac de montagnepour la revendre. Ploddy et Dottie, sonamie loutre, mettent tout en œuvre pourrésoudre l’affaire…

«Cette fable écolo est fort amusante».Caroline Vié – 20 Minutes

«Ce film éveille les plus petits à l’écolo-gie en jouant la carte du suspense et del’humour et en offrant une belle histoired’amitié». Renaud Baronian – Le Parisien

Nouveau : à compter du 1er janvier,le prix de la place sera de 4 € pourles 12/14 ans, une opération tarifairenationale pour faire profiter les jeunesspectateurs et leurs familles de laréduction de TVA de 7% à 5,5 % surle prix des places de cinéma.Le tarif cinémômes de 3,5 euros resteappliqué aux moins de 12 ans.

cinémômes

du 8 au 12 janvier du 29 janvier au 2 février

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à voir le moisprochain• La fille de Ryande David Lean

• Le comédiende Sacha Guitry(leçon de cinéma avec VO)

• Le monde ouvrier au cinéma(avec le CCP)

• Phantom of the paradisede Brian De Palma(ressortie en national)

• Tonnerrede Guillaume Brac

• • •

La programmation cinéma de lascène nationale c’est :salle Jacques Tati,33, bd Victor Hugoà Saint-Nazaire

programmationdu jeudi au dimanche

la salle Jacques Tati estéquipée pour la projectionnumérique mais conserveson projecteur 35 mm pourla diffusion de certainsfilms.

cet équipement a bénéficié del’aide du CNC, du Conseil Régional,du Conseil Général et de la Villede Saint-Nazaire

• plein 6 €• réduit* 5 €• carte 6 entrées 24 €• cinémômes** 3,50 €*abonné le théâtre, jeune de - 25 ans,demandeur d’emploi, adhérent CCP,La Couronnée, Version Originale,abonné des cinémas Pax au Pouliguenet Atlantic à La Turballe, bénéficiairede la Charte Culture et Solidarité**par enfant et par accompagnateur

attention, la séancecommence par le film !l’accueil cinéma est ouvert1/2 heure avant les séances

informationspratiquescinéma

tarifs

salle classée Art et Essai,

labellisée Recherche et Découverte,

labellisée Patrimoine

et, depuis 2013,

labellisée Jeune public

téléphone et répondeur programme :

02 40 53 69 63

www.letheatre-saintnazaire.fr

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les projections ont lieu salle Jacques Tati33, bd Victor Hugo – 44 603 Saint-Nazairetéléphone 02 40 53 69 63 – www.letheatre-saintnazaire.fr conceptio

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in–www.ju

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