Upload
lekhanh
View
212
Download
0
Embed Size (px)
Citation preview
BRGM
COMMUNE DE BON-ENCüNTRE (47)
GLISSEMENT DE TERRAINAU LIEU-DIT "COUSTASSOUS"
ETUDE DE STABILITE ET DE CONFORTEMENT
par
S. BELPERRON
88 SGN 432 AQI Pessac, le 31 mai 1988
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIERESSERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
Service Géologique Régional AquitaineAvenue du Docteur-Albert-Schweitzer - 33600 PESSACTél. 56 80 69 00 - Télex 540030 OGETEL - REF 128
BRGM
COMMUNE DE BON-ENCüNTRE (47)
GLISSEMENT DE TERRAINAU LIEU-DIT "COUSTASSOUS"
ETUDE DE STABILITE ET DE CONFORTEMENT
par
S. BELPERRON
88 SGN 432 AQI Pessac, le 31 mai 1988
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIERESSERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
Service Géologique Régional AquitaineAvenue du Docteur-Albert-Schweitzer - 33600 PESSACTél. 56 80 69 00 - Télex 540030 OGETEL - REF 128
RESUME
A la demande de la Direction Départementale de l 'Equipement
d'Agen (47) et afin de définir des moyens de confortement, le BRGM
AQUITAINE a procédé à une reconnaissance du site de "COUSTASSOUS"
(commune de BON-ENCONTRE) affecté par un glissement de terrain survenu
le 7 février 1988.
La géométrie du glissement a pu être définie grâce à un levé
topographique et des sondages de reconnaissance (sondages tarière, puits
à la pelle mécanique, pénétromètres) .
Les caractéristiques des sols ont été mesurées en laboratoire
par des essais d 'identification et de cisaillement,
La synthèse de cette reconnaissance a mis en évidence un
glissement de type plan ; la couche argileuse de surface d'une épaisseur
de 4 à 5 m glissant sur un plan incliné matérialisé par un substratum
marneux.
L'étude de stabilité sur plusieurs profils type a montré une
corrélation entre le niveau d'eau dans le sol et la mise en mouvement du
terrain.
Aussi, a-t-on préconisé de réaliser un drainage du site,
celui-ci pouvant être fait selon deux dispositifs :
- un dispositif de tranchées drainantes et fossés rigoles,
- un dispositif de drains siphons gravitaires.
La solution drainage ne permettant pas d'atteindre un
coefficient de sécurité de 1,5 sur l'ensemble des profils, il a été
prévu d'implanter au pied du versant instable un rideau discontinu de
profilés.
RESUME
A la demande de la Direction Départementale de l 'Equipement
d'Agen (47) et afin de définir des moyens de confortement, le BRGM
AQUITAINE a procédé à une reconnaissance du site de "COUSTASSOUS"
(commune de BON-ENCONTRE) affecté par un glissement de terrain survenu
le 7 février 1988.
La géométrie du glissement a pu être définie grâce à un levé
topographique et des sondages de reconnaissance (sondages tarière, puits
à la pelle mécanique, pénétromètres) .
Les caractéristiques des sols ont été mesurées en laboratoire
par des essais d 'identification et de cisaillement,
La synthèse de cette reconnaissance a mis en évidence un
glissement de type plan ; la couche argileuse de surface d'une épaisseur
de 4 à 5 m glissant sur un plan incliné matérialisé par un substratum
marneux.
L'étude de stabilité sur plusieurs profils type a montré une
corrélation entre le niveau d'eau dans le sol et la mise en mouvement du
terrain.
Aussi, a-t-on préconisé de réaliser un drainage du site,
celui-ci pouvant être fait selon deux dispositifs :
- un dispositif de tranchées drainantes et fossés rigoles,
- un dispositif de drains siphons gravitaires.
La solution drainage ne permettant pas d'atteindre un
coefficient de sécurité de 1,5 sur l'ensemble des profils, il a été
prévu d'implanter au pied du versant instable un rideau discontinu de
profilés.
SOMMAIRE
Pages
RESUME ISOMMAIRE IILISTE DES FIGURES, LISTE DES TABLEAUX III
1 - INTRODUCTION 1
1.1 - Cadre et contexte 1
1.2 - Objectifs et moyens mis en oeuvre 2
2 - RECONNAISSANCE GEOTECHNIQUE 3
2.1 - Levé topographique du glissement 3
2.2 - Sondages de reconnaissance 3
2.3 - Essais de laboratoire 5
2.3.1 - Essais d'identification 5
2.3.2 - Caractéristiques mécaniques 5
3 - ETUDE DE STABILITE 8
3.1 - Synthèse de la reconnaissance géotechnique 83.2 - Analyse de la stabilité 8
3.2.1 - Méthode de calcul 83.2.2 - Hypothèses de calcul 103.2.3 - Mise en oeuvre du progranme 11
3.2.4 - Etude de stabilité de la zone en mouvementen fonction du niveau de l'eau dans le sol .... 123.2.4.1 - Profil P3 123.2.4.2 - Profil P5 133.2.4.3 - Profil P8 13
3.2.5 - Etude de stabilité de l'ensemble du versant enfonction du niveau de l'eau dans le sol 14
3.2.6 - Analyse 14
4 - ETUDE DE CONFORTEMENT 15
4.1 -Drainage 154.1.1 - Solution 1 : tranchées drainantes et rigoles .. 164.1.2 - Solution 2 : drains siphons gravitaires 17
4.2 - Soutènement par butée - rideau de profilés 18
5 - CONCLUSION 19
SOMMAIRE
Pages
RESUME ISOMMAIRE IILISTE DES FIGURES, LISTE DES TABLEAUX III
1 - INTRODUCTION 1
1.1 - Cadre et contexte 1
1.2 - Objectifs et moyens mis en oeuvre 2
2 - RECONNAISSANCE GEOTECHNIQUE 3
2.1 - Levé topographique du glissement 3
2.2 - Sondages de reconnaissance 3
2.3 - Essais de laboratoire 5
2.3.1 - Essais d'identification 5
2.3.2 - Caractéristiques mécaniques 5
3 - ETUDE DE STABILITE 8
3.1 - Synthèse de la reconnaissance géotechnique 83.2 - Analyse de la stabilité 8
3.2.1 - Méthode de calcul 83.2.2 - Hypothèses de calcul 103.2.3 - Mise en oeuvre du progranme 11
3.2.4 - Etude de stabilité de la zone en mouvementen fonction du niveau de l'eau dans le sol .... 123.2.4.1 - Profil P3 123.2.4.2 - Profil P5 133.2.4.3 - Profil P8 13
3.2.5 - Etude de stabilité de l'ensemble du versant enfonction du niveau de l'eau dans le sol 14
3.2.6 - Analyse 14
4 - ETUDE DE CONFORTEMENT 15
4.1 -Drainage 154.1.1 - Solution 1 : tranchées drainantes et rigoles .. 164.1.2 - Solution 2 : drains siphons gravitaires 17
4.2 - Soutènement par butée - rideau de profilés 18
5 - CONCLUSION 19
- Ill -
LISTE DES FIGURES
Figure 1 - Situation générale
Figure 2 - Plan de situation
Figure 3 - Coupe géologique schématique
Figure 4 - Schéma de localisation du glissement et des sources
Figure 5 - Profil P3 - Stabilité de la zone en mouvement
Figure 6 - Profil P5 - Stabilité de la zone en mouvement
Figure 7 - Profil P8 - Stabilité de la zone en mouvement
Figure 8 - Profil P3 - Stabilité de l'ensemble du versant
Figure 9 - Schéma de principe du confortement
Figure 10 - Coupe schématique de la tranchée drainante
Figure 11 - Schéma de principe du siphonnage gravitaire
Figure 12 - Coupe schématique d'un profilé.
LISTE DES TABLEAUX
Tableau 1 - Tableau récapitulatif des essais d'identification
au laboratoire.
Tableau 2 - Tableau récapitulatif des essais mécaniques au laboratoire.
- Ill -
LISTE DES FIGURES
Figure 1 - Situation générale
Figure 2 - Plan de situation
Figure 3 - Coupe géologique schématique
Figure 4 - Schéma de localisation du glissement et des sources
Figure 5 - Profil P3 - Stabilité de la zone en mouvement
Figure 6 - Profil P5 - Stabilité de la zone en mouvement
Figure 7 - Profil P8 - Stabilité de la zone en mouvement
Figure 8 - Profil P3 - Stabilité de l'ensemble du versant
Figure 9 - Schéma de principe du confortement
Figure 10 - Coupe schématique de la tranchée drainante
Figure 11 - Schéma de principe du siphonnage gravitaire
Figure 12 - Coupe schématique d'un profilé.
LISTE DES TABLEAUX
Tableau 1 - Tableau récapitulatif des essais d'identification
au laboratoire.
Tableau 2 - Tableau récapitulatif des essais mécaniques au laboratoire.
- IV -
LISTE DES ANNEXES
ANNEXE 1 - Rapport de l'ingénieur
ANNEXE 2 - Coupe des tarières
ANNEXE 3 - Diagrammes d'essais de pénétration dynamique
ANNEXE 4 - Coupes géologiques des fouilles à la pelle mécanique
ANNEXE 5 - Essais en laboratoire
ANNEXE 6 - Exemple de tracés de surface de rupture.
- IV -
LISTE DES ANNEXES
ANNEXE 1 - Rapport de l'ingénieur
ANNEXE 2 - Coupe des tarières
ANNEXE 3 - Diagrammes d'essais de pénétration dynamique
ANNEXE 4 - Coupes géologiques des fouilles à la pelle mécanique
ANNEXE 5 - Essais en laboratoire
ANNEXE 6 - Exemple de tracés de surface de rupture.
1 - INTRODUCTION
Suite au glissement de terrain survenu le 7 février 1988
affectant six maisons situées au lieu-dit "Coustassous" sur la commune
de BON-ENCONTRE (47), la Direction Départementale de l'Equipement d'AGEN
a fait appel au BRGM AQUITAINE pour une reconnaissance détaillée du site
et une définition des moyens de confortement.
1.1 - Cadre et contexte (voir carte de situation générale fig. 1
et plan de situation fig. 2)
Le glissement de terrain survenu brusquement le dimanche 7
février au matin (voir rapport de l'ingénieur DDE en annexe 1) intéresse
une couche de surface d'épaisseur de 4 à 5 m. Cette couche est cons¬
tituée d'environ 1 mètre de limon argileux, puis de 3 à 4 mètres d'ar¬
giles carbonatée, provenant de l'altération des marnes sous-jacentes qui
définissent le substratum imperméable.
Ce niveau marneux imperméable est le siège de sources alimen¬
tées par le massif calcaire situé au-dessus qui joue le rôle de réser¬
voir hydraulique (voir coupe géologique synthétique fig. 3).
Deux de ces sources sont équipées pour le prélèvement d'eau.
Une est actuellement en service et alimente la maison G (voir fig. 4).
Le glissement de terrain couvre une surface totale de l'ordre2
de 2 500 m . La tête de glissement est située à proximité des deux
maisons A et F où l'on note un décrochement de 1,50 m à 2,00 m. Le pied
de glissement a atteint l'arrière des maisons C et D (voir localisation
schématique du glissement fig. 4).
1 - INTRODUCTION
Suite au glissement de terrain survenu le 7 février 1988
affectant six maisons situées au lieu-dit "Coustassous" sur la commune
de BON-ENCONTRE (47), la Direction Départementale de l'Equipement d'AGEN
a fait appel au BRGM AQUITAINE pour une reconnaissance détaillée du site
et une définition des moyens de confortement.
1.1 - Cadre et contexte (voir carte de situation générale fig. 1
et plan de situation fig. 2)
Le glissement de terrain survenu brusquement le dimanche 7
février au matin (voir rapport de l'ingénieur DDE en annexe 1) intéresse
une couche de surface d'épaisseur de 4 à 5 m. Cette couche est cons¬
tituée d'environ 1 mètre de limon argileux, puis de 3 à 4 mètres d'ar¬
giles carbonatée, provenant de l'altération des marnes sous-jacentes qui
définissent le substratum imperméable.
Ce niveau marneux imperméable est le siège de sources alimen¬
tées par le massif calcaire situé au-dessus qui joue le rôle de réser¬
voir hydraulique (voir coupe géologique synthétique fig. 3).
Deux de ces sources sont équipées pour le prélèvement d'eau.
Une est actuellement en service et alimente la maison G (voir fig. 4).
Le glissement de terrain couvre une surface totale de l'ordre2
de 2 500 m . La tête de glissement est située à proximité des deux
maisons A et F où l'on note un décrochement de 1,50 m à 2,00 m. Le pied
de glissement a atteint l'arrière des maisons C et D (voir localisation
schématique du glissement fig. 4).
COUPE GEOLOGIQUE SCHEMATIQUE
t 450 in
72zzm
Calcaire blanc micritique
Marne blanche à passées rouge;
Silt blanc-gris carbonate
Argile silteuse carbonatéejaune à taches bleues
Grès tendre carbonate micacé
Argile carbonatée jaune àtache ocre
Marne
FIGURE 3BRCM88SGNÍ32AQI
+ 95 cote TN NGF derrière les maisons A et F.
COUPE GEOLOGIQUE SCHEMATIQUE
t 450 in
72zzm
Calcaire blanc micritique
Marne blanche à passées rouge;
Silt blanc-gris carbonate
Argile silteuse carbonatéejaune à taches bleues
Grès tendre carbonate micacé
Argile carbonatée jaune àtache ocre
Marne
FIGURE 3BRCM88SGNÍ32AQI
+ 95 cote TN NGF derrière les maisons A et F.
Ancien puitsrebouché
Sourceniveau statiqueâ +94NGF
Ancien puitsrebouché
Sourceniveau statiqueâ +94NGF
- 2 -
1.2 - Objectifs et moyens mis en oeuvre
Le but de l'étude proposée est donc de reconnaître le glisse¬
ment en vue d'en assurer le confortement. Pour atteindre cet objectif,
il a été mis en oeuvre des moyens de reconnaissance destinés à préciser
la géométrie des terrains affectés par le glissement et ceux du sub¬
stratum. Les terrains ont également été caractérisés du point de vue
géomécanique en vue d'étudier la stabilité et de définir le confor¬
tement.
La reconnaissance a comporté :
- le levé topographique et géotechnique du glissement,
- 10 sondages de reconnaissance géologique réalisés à la tarière
pour levé de la coupe du sous-sol et prélèvement d'échan¬
tillons remaniés,
- 3 puits à la pelle mécanique jusqu'à une profondeur d'environ
4 m afin de lever la coupe des sols superficiels et de pré¬
lever des échantillons intacts,
- 5 sondages pénétrométriques jusqu'à l'obtention du refus
(substratum) destinés à reconnaître 1 homogénéité et les
caractéristiques globales des diverses couches du sous-sol.
- 5 séries d'essais d'identification et 5 séries d'essais
mécaniques en laboratoire.
Les sondages réalisés à la tarière ont été équipés de piézo¬
mètres pour déterminer le niveau de l'eau.
- 2 -
1.2 - Objectifs et moyens mis en oeuvre
Le but de l'étude proposée est donc de reconnaître le glisse¬
ment en vue d'en assurer le confortement. Pour atteindre cet objectif,
il a été mis en oeuvre des moyens de reconnaissance destinés à préciser
la géométrie des terrains affectés par le glissement et ceux du sub¬
stratum. Les terrains ont également été caractérisés du point de vue
géomécanique en vue d'étudier la stabilité et de définir le confor¬
tement.
La reconnaissance a comporté :
- le levé topographique et géotechnique du glissement,
- 10 sondages de reconnaissance géologique réalisés à la tarière
pour levé de la coupe du sous-sol et prélèvement d'échan¬
tillons remaniés,
- 3 puits à la pelle mécanique jusqu'à une profondeur d'environ
4 m afin de lever la coupe des sols superficiels et de pré¬
lever des échantillons intacts,
- 5 sondages pénétrométriques jusqu'à l'obtention du refus
(substratum) destinés à reconnaître 1 homogénéité et les
caractéristiques globales des diverses couches du sous-sol.
- 5 séries d'essais d'identification et 5 séries d'essais
mécaniques en laboratoire.
Les sondages réalisés à la tarière ont été équipés de piézo¬
mètres pour déterminer le niveau de l'eau.
- 3 -
2 - RECONNAISSANCE GEOTECHNIQUE
2.1 - Levé topographique du glissement
Afin de préciser la géométrie des terrains affectés par le
glissement, il a été réalisé un levé topographique par M. PASQUAL,
géomètre expert DPLG.
Ce levé a permis d'établir les deux documents suivants joints
en annexe 7 et 8 :
- plan coté au 1/200
- profils en long : 1/500 horizontal
1/200 vertical
Le plan coté indique l'extension du glissement, ainsi que tous
les désordres provoqués par le mouvement de terrain, décrochements,
bourrelets, fissures. Y sont figurés également l'ensemble des habita¬
tions. Les profils en long correspondent à la direction principale du
glissement.
2.2 - Sondages de reconnaissance
Pour définir la nature et l'épaisseur des terrains glissés et
reconnaître le toit du substratum, on a effectué 10 sondages à la
tarière et 5 sondages pénétrométriques dynamiques.
Deux sondages géologiques et un sondage pénétrométrique ont
été réalisés à l'amont du glissement derrière les m.aisons F et A.
- 3 -
2 - RECONNAISSANCE GEOTECHNIQUE
2.1 - Levé topographique du glissement
Afin de préciser la géométrie des terrains affectés par le
glissement, il a été réalisé un levé topographique par M. PASQUAL,
géomètre expert DPLG.
Ce levé a permis d'établir les deux documents suivants joints
en annexe 7 et 8 :
- plan coté au 1/200
- profils en long : 1/500 horizontal
1/200 vertical
Le plan coté indique l'extension du glissement, ainsi que tous
les désordres provoqués par le mouvement de terrain, décrochements,
bourrelets, fissures. Y sont figurés également l'ensemble des habita¬
tions. Les profils en long correspondent à la direction principale du
glissement.
2.2 - Sondages de reconnaissance
Pour définir la nature et l'épaisseur des terrains glissés et
reconnaître le toit du substratum, on a effectué 10 sondages à la
tarière et 5 sondages pénétrométriques dynamiques.
Deux sondages géologiques et un sondage pénétrométrique ont
été réalisés à l'amont du glissement derrière les m.aisons F et A.
- 4 -
Les 8 autres sondages ont été répartis sur l'ensemble du site,
les 4 sondages pénétrométriques restants ayant été implantés selon un
profil de direction parallèle au glissement (entre P3 et P4).
L'implantation des sondages figure sur le plan en annexe 7.
La description détaillée des sondages est en annexe 2, les
résultats pénétrométriques en annexe 3,
Les terrains affectés par le glissement sont représentés par
les limons argileux de surface et les argiles carbonatées, qui sont le
résultat de l'altération du substratum marneux. Ces dernières assez
compactes laissent place parfois à des passées sableuses. L'épaisseur
maximale de ces matériaux argileux dans la zone en mouvement, relevée
dans le sondage ST4 est de 6,40 m.
Le substratum marneux a été atteint dans l'ensemble des
sondages géologiques et pénétrométriques où l'on a enregistré le refus
de l'outil à l'avancement. Les puits de reconnaissance exécutés à la
pelle mécanique (coupes en annexe 4) confirment les coupes "tarières".
Ils révèlent :
- une couche superficielle de limon argileux d'épaisseur 0,50 à
1,30 m,
- une couche d'argile carbonatée avec une présence plus ou m.oins
marquée de cailloutis calcaires augmentant avec la profondeur,
enfin, le substratum marneux situé aux environs de 4 m à 4,50 m.
On note une arrivée d'eau sous forme de "filet d'eau" au
niveau du substratum dans les deux puits P2 et P3. Pour cause de sécu¬
rité les puits ont été rebouchés avant de pouvoir mesurer un niveau
statique.
- 4 -
Les 8 autres sondages ont été répartis sur l'ensemble du site,
les 4 sondages pénétrométriques restants ayant été implantés selon un
profil de direction parallèle au glissement (entre P3 et P4).
L'implantation des sondages figure sur le plan en annexe 7.
La description détaillée des sondages est en annexe 2, les
résultats pénétrométriques en annexe 3,
Les terrains affectés par le glissement sont représentés par
les limons argileux de surface et les argiles carbonatées, qui sont le
résultat de l'altération du substratum marneux. Ces dernières assez
compactes laissent place parfois à des passées sableuses. L'épaisseur
maximale de ces matériaux argileux dans la zone en mouvement, relevée
dans le sondage ST4 est de 6,40 m.
Le substratum marneux a été atteint dans l'ensemble des
sondages géologiques et pénétrométriques où l'on a enregistré le refus
de l'outil à l'avancement. Les puits de reconnaissance exécutés à la
pelle mécanique (coupes en annexe 4) confirment les coupes "tarières".
Ils révèlent :
- une couche superficielle de limon argileux d'épaisseur 0,50 à
1,30 m,
- une couche d'argile carbonatée avec une présence plus ou m.oins
marquée de cailloutis calcaires augmentant avec la profondeur,
enfin, le substratum marneux situé aux environs de 4 m à 4,50 m.
On note une arrivée d'eau sous forme de "filet d'eau" au
niveau du substratum dans les deux puits P2 et P3. Pour cause de sécu¬
rité les puits ont été rebouchés avant de pouvoir mesurer un niveau
statique.
- 5 -
On remarquera la bonne tenue des tranchées jusqu'à 4 m de
profondeur, seul le puits P2 s 'étant légèrement effondré en tête sous
l'action d'une pression de pied.
Ces puits de reconnaissance ont permis de prélever des échan¬
tillons intacts en vue de leur analyse en laboratoire.
2.3 - Essais de laboratoire
Les courbes et diagrammes des essais de laboratoire sont
joints en annexe 5.
2.3.1 - Essais d'identification
Les essais d'identification permettent de définir les paramè¬
tres d'état (teneur en eau, densité, consistance) ainsi que la courbe
granulome trique des sols.
Les résultats des essais d'identification apparaissent dans le
tableau suivant (tableau 1). Les limites d'Atterberg déterminent une
certaine homogénéité entre les limons argileux de surface et l'argile
"carbonatée" sous-jacente. Ces deux sols pourront donc constituer une
couche superficielle homogène dans l'étude de stabilité.
2.3.2 - Caractéristiques mécaniques
Elles ont été déterminées à partir de deux types d'essais :
- un essai de cisaillement rapide à la boite de Casagrande, afin
de déterminer les caractéristiques globales du matériau C'est
un essai non consolidé, non drainé (uu)
1 essai uu sur les limons argileux
1 essai uu sur l'argile carbonatée
- 5 -
On remarquera la bonne tenue des tranchées jusqu'à 4 m de
profondeur, seul le puits P2 s 'étant légèrement effondré en tête sous
l'action d'une pression de pied.
Ces puits de reconnaissance ont permis de prélever des échan¬
tillons intacts en vue de leur analyse en laboratoire.
2.3 - Essais de laboratoire
Les courbes et diagrammes des essais de laboratoire sont
joints en annexe 5.
2.3.1 - Essais d'identification
Les essais d'identification permettent de définir les paramè¬
tres d'état (teneur en eau, densité, consistance) ainsi que la courbe
granulome trique des sols.
Les résultats des essais d'identification apparaissent dans le
tableau suivant (tableau 1). Les limites d'Atterberg déterminent une
certaine homogénéité entre les limons argileux de surface et l'argile
"carbonatée" sous-jacente. Ces deux sols pourront donc constituer une
couche superficielle homogène dans l'étude de stabilité.
2.3.2 - Caractéristiques mécaniques
Elles ont été déterminées à partir de deux types d'essais :
- un essai de cisaillement rapide à la boite de Casagrande, afin
de déterminer les caractéristiques globales du matériau C'est
un essai non consolidé, non drainé (uu)
1 essai uu sur les limons argileux
1 essai uu sur l'argile carbonatée
- 6 -
TABLEAU 1 - TABLEAU RECAPITULATIF DES ESSAIS D'IDENTIFICATION AU LABORATOIRE
1 REFERENCES
1 I
1 P2
1 Pl1 P3
1 P3
1 Pl
SONDAGE
='ROFONDEUR
(m)
0,80 - 1,00
2,50
0,90 - 1,10
2,80 - 3,00
3,70
DESCRIPTION
Limon
argileux
Argile
carbonatée
Marne
TENEUR
EN EAU
W %
22,4
18,8
10,8
15
16,4
14.1
DENSITE
SECHE
Yd T/m^
1,71
1,70
1,83
1,80
1,80
1,83
LIMITES D'ATTERBERG
WL
38,5
33,5
30
28,4
57,5
IP
18,8
12,9
12
5,6
29,4
IC
0,8
1,1
1,6
2,4
1,5
.¿.SOu 1
% 1
74 1
62 1
64 1
99 1
- 6 -
TABLEAU 1 - TABLEAU RECAPITULATIF DES ESSAIS D'IDENTIFICATION AU LABORATOIRE
1 REFERENCES
1 I
1 P2
1 Pl1 P3
1 P3
1 Pl
SONDAGE
='ROFONDEUR
(m)
0,80 - 1,00
2,50
0,90 - 1,10
2,80 - 3,00
3,70
DESCRIPTION
Limon
argileux
Argile
carbonatée
Marne
TENEUR
EN EAU
W %
22,4
18,8
10,8
15
16,4
14.1
DENSITE
SECHE
Yd T/m^
1,71
1,70
1,83
1,80
1,80
1,83
LIMITES D'ATTERBERG
WL
38,5
33,5
30
28,4
57,5
IP
18,8
12,9
12
5,6
29,4
IC
0,8
1,1
1,6
2,4
1,5
.¿.SOu 1
% 1
74 1
62 1
64 1
99 1
- 7 -
- un essai de cisaillement à la boite de Casagrande afin de
déterminer les caractéristiques effectives du matériau. C'est
un essai consolidé drainé (CD) :
1 essai CD sur les limons argileux
1 essai CD sur l'argile carbonatée
1 essai CD sur les marnes
Les caractéristiques mécaniques de résistance des matériaux
argileux sont regroupés dans le tableau suivant (tableau 2),
TABLEAU 2 - TABLEAU RECAPITULATIF DES ESSAIS MECANIQUES AU LABORATOIRE
Í REFERENCES1 SONDAGE
1 PROFONDEUR
1 (m)
1 P2 0,80 - 1,00
I P2 2,20 - 2,40
1 P3 2,80 - 3,00
1 Pl 3,70
DESCRIPTION
Limonargileux
Argile
carbonatée
Marne
CARÁCTER
Apparentes
C (bar)| ^ {°)
0,2 1 26
0,6 1 10
-
ISTIQUES 1
Réelles |
C (bar) 1 ^ ' (°)|
0,025 1 31 1
0,09 1 19°5 1
0 1 34 1
Les résultats de l'essai consolidé drainé (CD) sur l'échantillon de
marne confirment son appellation de "substratum marneux".
- 7 -
- un essai de cisaillement à la boite de Casagrande afin de
déterminer les caractéristiques effectives du matériau. C'est
un essai consolidé drainé (CD) :
1 essai CD sur les limons argileux
1 essai CD sur l'argile carbonatée
1 essai CD sur les marnes
Les caractéristiques mécaniques de résistance des matériaux
argileux sont regroupés dans le tableau suivant (tableau 2),
TABLEAU 2 - TABLEAU RECAPITULATIF DES ESSAIS MECANIQUES AU LABORATOIRE
Í REFERENCES1 SONDAGE
1 PROFONDEUR
1 (m)
1 P2 0,80 - 1,00
I P2 2,20 - 2,40
1 P3 2,80 - 3,00
1 Pl 3,70
DESCRIPTION
Limonargileux
Argile
carbonatée
Marne
CARÁCTER
Apparentes
C (bar)| ^ {°)
0,2 1 26
0,6 1 10
-
ISTIQUES 1
Réelles |
C (bar) 1 ^ ' (°)|
0,025 1 31 1
0,09 1 19°5 1
0 1 34 1
Les résultats de l'essai consolidé drainé (CD) sur l'échantillon de
marne confirment son appellation de "substratum marneux".
- 8 -
Les caractéristiques obtenues sur l'argile carbonatée sont
moyennes et reflètent assez bien la bonne tenue de ce sol lors de
l'ouverture des fouilles de reconnaissance.
Les caractéristiques mécaniques mesurées sur le limon argileux
paraissent élevées au vu des échantillons. Leurs propriétés physiques
proches de celles de l'argile carbonatée, leur confèrent des propriétés
mécaniques semblables.
3 - ETUDE DE LA STABILITE ET DU CONFORTEMENT
3.1 - Synthèse de la reconnaissance géotechnique
A partir des profils P3, P5, P8 et des données de sondage, il
a été établi trois coupes de synthèse précisant la géométrie des ter¬
rains et le toit du substratum. Ces coupes présentées ci-après serviront
de modèle de calcul bidimensionnel pour l'étude de stabilité.
Les profils P3 et P5 concernent la zone de glissement actif.
Ils recoupent les habitations ; le profil P8 est à l'extérieur du
lotissement.
Le substratum à plan incliné et la couche de couverture
assimilable à une "bande" de faible épaisseur, caractérisent un glisse¬
ment plan.
3.2 - Analyse de la stabilité
3.2.1 - Méthode de calcul utilisé et rappels théoriques
- 8 -
Les caractéristiques obtenues sur l'argile carbonatée sont
moyennes et reflètent assez bien la bonne tenue de ce sol lors de
l'ouverture des fouilles de reconnaissance.
Les caractéristiques mécaniques mesurées sur le limon argileux
paraissent élevées au vu des échantillons. Leurs propriétés physiques
proches de celles de l'argile carbonatée, leur confèrent des propriétés
mécaniques semblables.
3 - ETUDE DE LA STABILITE ET DU CONFORTEMENT
3.1 - Synthèse de la reconnaissance géotechnique
A partir des profils P3, P5, P8 et des données de sondage, il
a été établi trois coupes de synthèse précisant la géométrie des ter¬
rains et le toit du substratum. Ces coupes présentées ci-après serviront
de modèle de calcul bidimensionnel pour l'étude de stabilité.
Les profils P3 et P5 concernent la zone de glissement actif.
Ils recoupent les habitations ; le profil P8 est à l'extérieur du
lotissement.
Le substratum à plan incliné et la couche de couverture
assimilable à une "bande" de faible épaisseur, caractérisent un glisse¬
ment plan.
3.2 - Analyse de la stabilité
3.2.1 - Méthode de calcul utilisé et rappels théoriques
- 9 -
Les calculs sont menés à l'aide d'un programme informatique :
"ANASTAB" qui met en oeuvre une méthode de calcul à la rupture et par
tranches à partir d'un modèle bidimensionnel (méthode de CARTER).
Rappelons que l'état de stabilité d'un talus est exprimé par
un coefficient de sécurité qui prend la valeur 1 lorsque le talus est en
équilibre limite. Il existe plusieurs manières pour définir le coeffi¬
cient de sécurité. Dans les calculs à la rupture, on prend en général :
= If.max
où c désigne la résistance au cisaillement maximale que peut mobi-max
liser le sol en un point de la surface de rupture et't la contrainte de
cisaillement s 'exerçant en ce point. F est égal à 1 lorsque la contrain¬
te de cisaillement est égale à la résistance maxim.ale admissible.
c max = C +N\tgT (critère de Coulomb traduisant l'équilibre d'un sol).
La cohésion C et l'angle de frottement interne J soit les
caractéristiques mécaniques du sol constituant le talus.
L'eau contenue dans les interstices du sol permet le dévelop¬
pement d'une pression interstitielle y lorsque le sol est sollicité.
Cette pression interstitielle s'exerce à l'encontre des efforts résis¬
tants et le critère de Coulomb peut s'exprimer en fonction des contrain¬
tes effectives (minorées de la valeur de y).
'^ max eff. = C + (C~- y) tgf' , C ef^ ' étant les caracté¬
ristiques réelles ou intergranulaires du sol, C et T mettant en relation
les contraintes totales soit les caractéristiques apparentes.
- 9 -
Les calculs sont menés à l'aide d'un programme informatique :
"ANASTAB" qui met en oeuvre une méthode de calcul à la rupture et par
tranches à partir d'un modèle bidimensionnel (méthode de CARTER).
Rappelons que l'état de stabilité d'un talus est exprimé par
un coefficient de sécurité qui prend la valeur 1 lorsque le talus est en
équilibre limite. Il existe plusieurs manières pour définir le coeffi¬
cient de sécurité. Dans les calculs à la rupture, on prend en général :
= If.max
où c désigne la résistance au cisaillement maximale que peut mobi-max
liser le sol en un point de la surface de rupture et't la contrainte de
cisaillement s 'exerçant en ce point. F est égal à 1 lorsque la contrain¬
te de cisaillement est égale à la résistance maxim.ale admissible.
c max = C +N\tgT (critère de Coulomb traduisant l'équilibre d'un sol).
La cohésion C et l'angle de frottement interne J soit les
caractéristiques mécaniques du sol constituant le talus.
L'eau contenue dans les interstices du sol permet le dévelop¬
pement d'une pression interstitielle y lorsque le sol est sollicité.
Cette pression interstitielle s'exerce à l'encontre des efforts résis¬
tants et le critère de Coulomb peut s'exprimer en fonction des contrain¬
tes effectives (minorées de la valeur de y).
'^ max eff. = C + (C~- y) tgf' , C ef^ ' étant les caracté¬
ristiques réelles ou intergranulaires du sol, C et T mettant en relation
les contraintes totales soit les caractéristiques apparentes.
- 10 -
3.2.2 - Hypothèse de calcul
1 - Modèle géométrique et caractéristiques des sols
La ligne de surface correspond à la surface topographique des
profils.
La coupe synthétique faite à partir des sondages distingue
trois couches :
- une première couche de limons argileux d'une épaisseur
d'environ 1 m
- une seconde couche d'argile carbonatée, avec présence plus ou
moins marquée de cailloutis calcaires
- enfin, le substratum marneux repéré par le refus à la tarière
ou le refus à la pénétration.
Les résultats des essais d'identification au laboratoire
montrent une certaine homogénéité entre les sols "limons argileux" et
"argiles carbonatées".
Les surfaces de ruptures correspondant à un coefficient de
sécurité inférieur à 1 passent systématiquement en dessous de cette
couche superficielle de limon.
Le modèle retenu est le suivant : une couche homogène de
surface, d'épaisseur 4 à 6m, glissant par blocs sur un substratum
incliné.
- 10 -
3.2.2 - Hypothèse de calcul
1 - Modèle géométrique et caractéristiques des sols
La ligne de surface correspond à la surface topographique des
profils.
La coupe synthétique faite à partir des sondages distingue
trois couches :
- une première couche de limons argileux d'une épaisseur
d'environ 1 m
- une seconde couche d'argile carbonatée, avec présence plus ou
moins marquée de cailloutis calcaires
- enfin, le substratum marneux repéré par le refus à la tarière
ou le refus à la pénétration.
Les résultats des essais d'identification au laboratoire
montrent une certaine homogénéité entre les sols "limons argileux" et
"argiles carbonatées".
Les surfaces de ruptures correspondant à un coefficient de
sécurité inférieur à 1 passent systématiquement en dessous de cette
couche superficielle de limon.
Le modèle retenu est le suivant : une couche homogène de
surface, d'épaisseur 4 à 6m, glissant par blocs sur un substratum
incliné.
- 11 -
Les caractéristiques affectées à ce modèle sont
Couche de surface Substratum
Poids spécifique humide T/m3 2 2,1
Cohésion C T/m2 0 0
Angle de frottement interne T ' (degrés) 20"' 34'
Les terrains sont considérés homogènes et isotropes.
2 - Prise en compte de l'eau dans les terrains
Ne connaissant que les niveaux statiques mesurés ponctuelle¬
ment à la fin de la compagne de reconnaissance, la surface piézom.é trique
introduite dans le modèle est un paramètre variable pour tous les
profils. Un premier calcul est réalisé avec un niveau statique corres¬
pondant au terrain naturel, les calculs suivants étant faits avec une
nappe située respectivement à 1, 2, 3, voire 4m de la surface topo¬
graphique.
Les surfaces de rupture sont considérés comme planes (glisse¬
ment plan) et sont limitées à la couche de surface .
3.2.3 - Mise en oeuvre du programme
Le programme calcule pour un certain nombre de surfaces de
rupture le coefficient de sécurité F. Les dix surfaces les plus criti¬
ques sont définies avec leur valeur F. Le programme de calcul est
complété par un programme de tracé qui permet de visualiser les surfaces
de rupture . .
Les surfaces de rupture à tester sont générées de façon
aléatoire et suivant les modalités imposées par l'utilisateur du pro¬
gramme (rupture par blocs dans le cas présent).
- 11 -
Les caractéristiques affectées à ce modèle sont
Couche de surface Substratum
Poids spécifique humide T/m3 2 2,1
Cohésion C T/m2 0 0
Angle de frottement interne T ' (degrés) 20"' 34'
Les terrains sont considérés homogènes et isotropes.
2 - Prise en compte de l'eau dans les terrains
Ne connaissant que les niveaux statiques mesurés ponctuelle¬
ment à la fin de la compagne de reconnaissance, la surface piézom.é trique
introduite dans le modèle est un paramètre variable pour tous les
profils. Un premier calcul est réalisé avec un niveau statique corres¬
pondant au terrain naturel, les calculs suivants étant faits avec une
nappe située respectivement à 1, 2, 3, voire 4m de la surface topo¬
graphique.
Les surfaces de rupture sont considérés comme planes (glisse¬
ment plan) et sont limitées à la couche de surface .
3.2.3 - Mise en oeuvre du programme
Le programme calcule pour un certain nombre de surfaces de
rupture le coefficient de sécurité F. Les dix surfaces les plus criti¬
ques sont définies avec leur valeur F. Le programme de calcul est
complété par un programme de tracé qui permet de visualiser les surfaces
de rupture . .
Les surfaces de rupture à tester sont générées de façon
aléatoire et suivant les modalités imposées par l'utilisateur du pro¬
gramme (rupture par blocs dans le cas présent).
- 12 -
Dans le cadre de notre étude :
- le nombre de surfaces testées est fixé à 100
- chaque surface de rupture passe par le point de départ du
décrochement connu et par une certaine plage de largeur en bas
de pente.
Parmi les 10 surfaces les plus critiques, on choisit la plus
faible. C'est à partir de cette surface que l'on étudie la stabilité du
versant en faisant varier le niveau statique de la nappe.
3.2.4 - Etude de stabilité de la zone en mouvement en fonction du
niveau de l'eau dans le sol
3.2.4.1 - Profil P3 (fig. 5)
. Choix de la surface de rupture
Selon le processus défini ci-dessiis, nous avons recherché la
surface de rupture la plus critique correspondant aux conditions les
plus défavorables, c'est-à-dire niveau statique équivalent à la surface
du terrain naturel.
. Etude de stabilité
Après avoir introduit dans le modèle la surface la plus
critique, nous avons analysé la stabilité en fonction du paramètre eau.
Les résultats sont les suivants : soient NS niveau statique et TN niveau
terrain naturel.
Pour NS = TN F = 0,8
NS=TN-1 F=0,9
NS = TN - 2 F = 1,1
NS = TN - 3 F = 1,26
NS = TN - 4 F = 1,37
- 12 -
Dans le cadre de notre étude :
- le nombre de surfaces testées est fixé à 100
- chaque surface de rupture passe par le point de départ du
décrochement connu et par une certaine plage de largeur en bas
de pente.
Parmi les 10 surfaces les plus critiques, on choisit la plus
faible. C'est à partir de cette surface que l'on étudie la stabilité du
versant en faisant varier le niveau statique de la nappe.
3.2.4 - Etude de stabilité de la zone en mouvement en fonction du
niveau de l'eau dans le sol
3.2.4.1 - Profil P3 (fig. 5)
. Choix de la surface de rupture
Selon le processus défini ci-dessiis, nous avons recherché la
surface de rupture la plus critique correspondant aux conditions les
plus défavorables, c'est-à-dire niveau statique équivalent à la surface
du terrain naturel.
. Etude de stabilité
Après avoir introduit dans le modèle la surface la plus
critique, nous avons analysé la stabilité en fonction du paramètre eau.
Les résultats sont les suivants : soient NS niveau statique et TN niveau
terrain naturel.
Pour NS = TN F = 0,8
NS=TN-1 F=0,9
NS = TN - 2 F = 1,1
NS = TN - 3 F = 1,26
NS = TN - 4 F = 1,37
PROFIL R3
Maison
\A,
Maison
^^.^^3'.0^
5i^^̂ i"
*K :;*'
Svi^\̂^\v^^
^ Z^^evi"*>
m
Sol 1
î(' = 2 T/m-C = 0
-S =20'Sol 2
}{ = 2.1T/m^C = 0
Í = 3Í.'
5 10 15m p
o<CPC9
Z
so
mOc
m
Ul
Ki'9.,Mim
PROFIL R3
Maison
\A,
Maison
^^.^^3'.0^
5i^^̂ i"
*K :;*'
Svi^\̂^\v^^
^ Z^^evi"*>
m
Sol 1
î(' = 2 T/m-C = 0
-S =20'Sol 2
}{ = 2.1T/m^C = 0
Í = 3Í.'
5 10 15m p
o<CPC9
Z
so
mOc
m
Ul
Ki'9.,Mim
- 13 -
Le niveau statique TN-2 correspond globalement au niveau d'eau
mesuré en fin de campagne de reconnaissance. Il correspond à la période
de stabilisation du glissement. Ces calculs révèlent l'importance de
l'eau dans la mise en mouvement du terrain et montrent clairement qu'une
baisse du niveau de la nappe entraîne une stabilisation du versant.
3.2.4.2 - Profil P5 (fig. 6)
Le processus de calcul est le même que pour le profil P3. Les
résultats sont les suivants :
NS = TN F = 0,8
NS = TN - 1 F = 0,99
NS=TN-2 F=l,2
NS = TN - 3 F = 1,6
Mêmes remarques que précédemment. Le niveau statique mesuré
ponctuellement dans les piézomètres correspond à un état stable. Le
rabattement de la nappe, à-3 m du TN assure un coefficient de sécurité
supérieur à 1,5.
3.2.4.3 - Profil P8 (fig. 7)
Le processus est identique aux profils précédents. Les résul¬
tats sont les suivants :
NS = TN F = 0,87
NS = TN - 1 F = 1,21
NS = TN - 2 F = 1,40
NS = TN - 3 F = 1,46
Le profil PS de pente plus faible que les profils P3 et P5 ,
non soumis à des surcharges verticales (habitations sur remblai) est
stable dès que l'on rabat la nappe de 1 m. Le coefficient de sécurité
atteint pratiquement 1,5 lorsque le niveau statique est à-3 mètres.
- 13 -
Le niveau statique TN-2 correspond globalement au niveau d'eau
mesuré en fin de campagne de reconnaissance. Il correspond à la période
de stabilisation du glissement. Ces calculs révèlent l'importance de
l'eau dans la mise en mouvement du terrain et montrent clairement qu'une
baisse du niveau de la nappe entraîne une stabilisation du versant.
3.2.4.2 - Profil P5 (fig. 6)
Le processus de calcul est le même que pour le profil P3. Les
résultats sont les suivants :
NS = TN F = 0,8
NS = TN - 1 F = 0,99
NS=TN-2 F=l,2
NS = TN - 3 F = 1,6
Mêmes remarques que précédemment. Le niveau statique mesuré
ponctuellement dans les piézomètres correspond à un état stable. Le
rabattement de la nappe, à-3 m du TN assure un coefficient de sécurité
supérieur à 1,5.
3.2.4.3 - Profil P8 (fig. 7)
Le processus est identique aux profils précédents. Les résul¬
tats sont les suivants :
NS = TN F = 0,87
NS = TN - 1 F = 1,21
NS = TN - 2 F = 1,40
NS = TN - 3 F = 1,46
Le profil PS de pente plus faible que les profils P3 et P5 ,
non soumis à des surcharges verticales (habitations sur remblai) est
stable dès que l'on rabat la nappe de 1 m. Le coefficient de sécurité
atteint pratiquement 1,5 lorsque le niveau statique est à-3 mètres.
PROFIL R8
^
CO
O3S
iSGN
e>
ÍÍo""
-inOC73m
^
: '-..*>
'>')
) ;
* 1
^'
îî'. '
m
PROFIL R8
^
CO
O3S
iSGN
e>
ÍÍo""
-inOC73m
^
: '-..*>
'>')
) ;
* 1
^'
îî'. '
m
- 14 -
3.2.5 - Etude de stabilité de l'ensemble du versant en fonction
du niveau d'eau dans le sol (profil P3 fig. 8)
Un calcul de stabilité sur l'ensemble du versant et selon le
même processus que précédemment donne les résultats suivants :
Pour NS = TN F = 0,9
NS=TN-1 F = l
NS = TN - 2 F = 1,1
NS = TN - 3 F = 1,26
NS = TN - 4 F = 1,4
Les résultats sont semblables à ceux obtenus précédemment lors
de l'analyse de stabilité de la zone en mouvement sur le profil P3
(§ 3.2,4.1). Une baisse du niveau de l'eau dans le sol améliore de façon
notable la stabilité de l'ensemble du versant.
3.2.6 - Analyse
L'analyse des différents calculs effectués sur les profils
type P3, P5, P8 montre l'influence de l'eau sur la mise en mouvement du
matériau argileux de surface.
A la faveur des pluies de printemps, le terrain emmagasine de
l'eau en grande quantité. La saturation des terrains argileux s'accom¬
pagne d'une diminution de leurs caractéristiques qui se traduit par une
diminution des efforts résistants. En même temps, il y a augmentation
des efforts m.oteurs du fait de l'augmentation de la densité humide des
terrains en haut de pente. Cette double action de l'eau explique le
déclenchement du glissement début février. La baisse du niveau d'eau
dans le sol devrait permettre de stabiliser le mouvement. Cette stabili¬
sation a déjà été constatée sur le terrain lors de la période "moins
pluvieuse" qui a suivi les événements (elle est confirmée par les
calculs sur modèle F > 1 pour NS = TN - 2).
- 14 -
3.2.5 - Etude de stabilité de l'ensemble du versant en fonction
du niveau d'eau dans le sol (profil P3 fig. 8)
Un calcul de stabilité sur l'ensemble du versant et selon le
même processus que précédemment donne les résultats suivants :
Pour NS = TN F = 0,9
NS=TN-1 F = l
NS = TN - 2 F = 1,1
NS = TN - 3 F = 1,26
NS = TN - 4 F = 1,4
Les résultats sont semblables à ceux obtenus précédemment lors
de l'analyse de stabilité de la zone en mouvement sur le profil P3
(§ 3.2,4.1). Une baisse du niveau de l'eau dans le sol améliore de façon
notable la stabilité de l'ensemble du versant.
3.2.6 - Analyse
L'analyse des différents calculs effectués sur les profils
type P3, P5, P8 montre l'influence de l'eau sur la mise en mouvement du
matériau argileux de surface.
A la faveur des pluies de printemps, le terrain emmagasine de
l'eau en grande quantité. La saturation des terrains argileux s'accom¬
pagne d'une diminution de leurs caractéristiques qui se traduit par une
diminution des efforts résistants. En même temps, il y a augmentation
des efforts m.oteurs du fait de l'augmentation de la densité humide des
terrains en haut de pente. Cette double action de l'eau explique le
déclenchement du glissement début février. La baisse du niveau d'eau
dans le sol devrait permettre de stabiliser le mouvement. Cette stabili¬
sation a déjà été constatée sur le terrain lors de la période "moins
pluvieuse" qui a suivi les événements (elle est confirmée par les
calculs sur modèle F > 1 pour NS = TN - 2).
- 15 -
4 - ETUDE DU CONFORTEMENT
4.1 - Drainage
, Captage des eaux amont
Le massif calcaire situé en haut de versant joue le rôle de
réservoir hydraulique. L'exutoire de ce dernier est situé au contact des
marnes imperméables. Il est impératif de collecter ces eaux et de les
évacuer au-delà de la zone de glissement.
Deux sources sont actuellement aménagées pour l'alimentation
en eau de m.aisons. On vérifiera l 'étanchéité des ouvrages de captage et
d'amenée d'eau.
On s'assurera d'autre part que les eaux de pluie, voire les
eaux usagées provenant des habitations ne s'infiltrent librement dans le
terrain.
. Collecte des eaux de surface
L'eau arrivant sur le versant doit s'écouler vers l'aval avec
un minimum d'infiltration.
On devra donc :
- Avoir une pente relativement forte,
- Remplir et imperméabiliser les fissures ouvertes de traction.
Lorsque l'ouverture le permettra, on remplira le fond des
fissures par un blocage constitué de sable et de gravier puis
on fermera la partie supérieure par de l'argile plastique
s 'accommodant de déplacements relatifs et empêchant la péné¬
tration de l'eau de surface.
- Favoriser la collecte des eaux par la mise en place de dispo¬
sitifs sur la zone de glissement.
- 15 -
4 - ETUDE DU CONFORTEMENT
4.1 - Drainage
, Captage des eaux amont
Le massif calcaire situé en haut de versant joue le rôle de
réservoir hydraulique. L'exutoire de ce dernier est situé au contact des
marnes imperméables. Il est impératif de collecter ces eaux et de les
évacuer au-delà de la zone de glissement.
Deux sources sont actuellement aménagées pour l'alimentation
en eau de m.aisons. On vérifiera l 'étanchéité des ouvrages de captage et
d'amenée d'eau.
On s'assurera d'autre part que les eaux de pluie, voire les
eaux usagées provenant des habitations ne s'infiltrent librement dans le
terrain.
. Collecte des eaux de surface
L'eau arrivant sur le versant doit s'écouler vers l'aval avec
un minimum d'infiltration.
On devra donc :
- Avoir une pente relativement forte,
- Remplir et imperméabiliser les fissures ouvertes de traction.
Lorsque l'ouverture le permettra, on remplira le fond des
fissures par un blocage constitué de sable et de gravier puis
on fermera la partie supérieure par de l'argile plastique
s 'accommodant de déplacements relatifs et empêchant la péné¬
tration de l'eau de surface.
- Favoriser la collecte des eaux par la mise en place de dispo¬
sitifs sur la zone de glissement.
- 16 -
4.1.1 - Solution 1 (voir schéma de principe
de confortement fig. 9)
. Captage des eaux amont
On réalise à l'am.ont du terrain glissé derrière les m.aisons B,
A, F une tranchée drainante de 4 à 5 m de profondeur et de 1,50 m à 2 m
de large.
La tranchée aura une pente longitudinale d'au moins 5 % et
évacuera les eaux dans une canalisation béton, longeant la route d'accès
au lotissement (rue Ch. de Coustassous).
A l'extérieur du lotissem.ent, on exécute un fossé profond qui
intercepte les eaux amont et les déverse dans une canalisation située
sur la route d'accès au cimetière (rue du Cimetière).
. Collecte des eaux de surface
On réalise sur la zone en m^ouvement à l'aide d'un petit bull à
lame étroite des fossés rigoles en V qui renvoient les eaux de ruisselle-
m.ent dans deux tranchées drainantes parallèles à la ligne de plus grande
pente.
L'eau qui transite dans ces deux tranchées est évacuée à
l'extérieur du site par une canalisation béton, qui rejoint la cana¬
lisation descendante décrite au paragraphe précédent. Bien entendu, ces
deux tranchées drainantes permettent aussi de mieux drainer le terrain
en place.
. Tranchée drainante (voir coupe schématique fig. 10)
Le matériau de remplissage de la tranchée doit respecter la
règle de filtre vis-à-vis du terrain et vis-à-vis du drain. Pour par¬
faire cette règle, on utilise une grave propre 25/125 mim entourée d'un
géotextile qui évite la pénétration des fines au sein du matériau
filtrant et du drain.
- 16 -
4.1.1 - Solution 1 (voir schéma de principe
de confortement fig. 9)
. Captage des eaux amont
On réalise à l'am.ont du terrain glissé derrière les m.aisons B,
A, F une tranchée drainante de 4 à 5 m de profondeur et de 1,50 m à 2 m
de large.
La tranchée aura une pente longitudinale d'au moins 5 % et
évacuera les eaux dans une canalisation béton, longeant la route d'accès
au lotissement (rue Ch. de Coustassous).
A l'extérieur du lotissem.ent, on exécute un fossé profond qui
intercepte les eaux amont et les déverse dans une canalisation située
sur la route d'accès au cimetière (rue du Cimetière).
. Collecte des eaux de surface
On réalise sur la zone en m^ouvement à l'aide d'un petit bull à
lame étroite des fossés rigoles en V qui renvoient les eaux de ruisselle-
m.ent dans deux tranchées drainantes parallèles à la ligne de plus grande
pente.
L'eau qui transite dans ces deux tranchées est évacuée à
l'extérieur du site par une canalisation béton, qui rejoint la cana¬
lisation descendante décrite au paragraphe précédent. Bien entendu, ces
deux tranchées drainantes permettent aussi de mieux drainer le terrain
en place.
. Tranchée drainante (voir coupe schématique fig. 10)
Le matériau de remplissage de la tranchée doit respecter la
règle de filtre vis-à-vis du terrain et vis-à-vis du drain. Pour par¬
faire cette règle, on utilise une grave propre 25/125 mim entourée d'un
géotextile qui évite la pénétration des fines au sein du matériau
filtrant et du drain.
FIGURE 98RCM88SGNi32Aai
SCHEMA DE PRINCIPE DE CONFORTEMENT
,
V.^z\
Limite approximative dela zone de glissement
O**' Source
~r~ Tranchée drainante
- Fossé rigole en V
Canalisation béton + regard
Fossé
Rideau de profilés
FIGURE 98RCM88SGNi32Aai
SCHEMA DE PRINCIPE DE CONFORTEMENT
,
V.^z\
Limite approximative dela zone de glissement
O**' Source
~r~ Tranchée drainante
- Fossé rigole en V
Canalisation béton + regard
Fossé
Rideau de profilés
FIGURE 10BRCM88SGN432AQt
COUPE SCHEMATIQUE DE LA TRANCHEE DRAINANTE
ySa¿y y y /' y
SfTf.
©r . * . '
MATERIAUX ETANCHE (remblais)
-GEOTEXTILE NON TISSE TYPE BYDIM V34
GRAVE DRAINANTE PROPRE (25 /125mm)
drain ^ 300 ou 400mm
2 yn
FIGURE 10BRCM88SGN432AQt
COUPE SCHEMATIQUE DE LA TRANCHEE DRAINANTE
ySa¿y y y /' y
SfTf.
©r . * . '
MATERIAUX ETANCHE (remblais)
-GEOTEXTILE NON TISSE TYPE BYDIM V34
GRAVE DRAINANTE PROPRE (25 /125mm)
drain ^ 300 ou 400mm
2 yn
- 17 -
4.1.2 - Solution 2 ; drains siphons gravitaires
Le systèm.e de drainage décrit ci-dessus (paragraphe 4.1.1)
constitué de fossés rigoles et de tranchées drainantes est couramment
utilisé pour réduire l'action de l'eau sur un terrain prédisposé à
glisser.
Il implique cependant l'exécution de tranchées de grande
profondeur exécutées par des engins lourds de terrassement avec des
déplacements difficiles sur un site parcellaire et pentu. Son efficacité
peut être limitée dans la m.esure où les terrains en place ont une
perméabilité faible. Une autre solution de drainage, plus adaptée au
site, est la mise en place de drains siphons permanents gravitaires :
ces drains verticaux ou inclinés vers l'amont peuvent être implantés
aussi bien au sein de la zone active ou potentielle de glissement qu'à
l'amont ou à l'aval de cette zone. Ils peuvent être placés dans des
forages jusqu'à une profondeur de 10 m ; profitant de la pente on
siphonne ces drains par un tuyau qui fait transiter l'eau jusqu'à un
exutoire situé en bas de pente (voir schéma de principe fig. 11).
Dans le cas présent, on peut prévoir l'implantation de deux
lignes de drains :
- une ligne amont implantée au niveau des sources captées,
- une ligne aval épinglant la loupe de glissement actuelle.
Chacune des lignes pourrait être constituée d'une quarantaine
de drains verticaux, espacés de l'ordre de 5 m, avec une profondeur de 8
à 10 m, permettant de recouper la surface de cisaillement et de rabattre
la nappe sous celle-ci.
La connaissance de données complémentaires concernant l'hydro¬
logie du site et en particulier la perm^éabilité du terrain, permettra de
définir un projet détaillé de ce système de drainage.
- 17 -
4.1.2 - Solution 2 ; drains siphons gravitaires
Le systèm.e de drainage décrit ci-dessus (paragraphe 4.1.1)
constitué de fossés rigoles et de tranchées drainantes est couramment
utilisé pour réduire l'action de l'eau sur un terrain prédisposé à
glisser.
Il implique cependant l'exécution de tranchées de grande
profondeur exécutées par des engins lourds de terrassement avec des
déplacements difficiles sur un site parcellaire et pentu. Son efficacité
peut être limitée dans la m.esure où les terrains en place ont une
perméabilité faible. Une autre solution de drainage, plus adaptée au
site, est la mise en place de drains siphons permanents gravitaires :
ces drains verticaux ou inclinés vers l'amont peuvent être implantés
aussi bien au sein de la zone active ou potentielle de glissement qu'à
l'amont ou à l'aval de cette zone. Ils peuvent être placés dans des
forages jusqu'à une profondeur de 10 m ; profitant de la pente on
siphonne ces drains par un tuyau qui fait transiter l'eau jusqu'à un
exutoire situé en bas de pente (voir schéma de principe fig. 11).
Dans le cas présent, on peut prévoir l'implantation de deux
lignes de drains :
- une ligne amont implantée au niveau des sources captées,
- une ligne aval épinglant la loupe de glissement actuelle.
Chacune des lignes pourrait être constituée d'une quarantaine
de drains verticaux, espacés de l'ordre de 5 m, avec une profondeur de 8
à 10 m, permettant de recouper la surface de cisaillement et de rabattre
la nappe sous celle-ci.
La connaissance de données complémentaires concernant l'hydro¬
logie du site et en particulier la perm^éabilité du terrain, permettra de
définir un projet détaillé de ce système de drainage.
FIGURE nBRCMa8SGNA32AQI
SCHEMA DE PRINCIPE DES DRAINS SIPHONS GRAVITAIRES
Antenne descendante drain i
Antenne descendante drain 2
Anterne descendantedrain 3
Horizontale
Exutoire Antenne descendante commune
assurant le siphonnage du peigne
FIGURE nBRCMa8SGNA32AQI
SCHEMA DE PRINCIPE DES DRAINS SIPHONS GRAVITAIRES
Antenne descendante drain i
Antenne descendante drain 2
Anterne descendantedrain 3
Horizontale
Exutoire Antenne descendante commune
assurant le siphonnage du peigne
- 18 -
4.2 - Soutènement par butées (voir schéma de principe
de confortement, fig. 9)
Sans préjuger par avance de l'efficacité du système de drai¬
nage, il est souhaitable de prévoir d'ores et déjà un soutènement par
butée et ceci pour deux raisons :
1 - Le rabattement de la nappe à environ - 3 m du terrain
naturel n'assure pas un coefficient de sécurité F supérieur à 1,5
(coefficient de sécurité utilisé pour tout problème de stabilité de
talus) .
Dans tous les cas de figure, seul le profil P5 est stabilisé
par un rabattement de 3 m par rapport au TN.
F PROFIL 5 = 1,6
F PROFIL 3 = 1,26
F PROFIL 8 = 1,5
2 - Les calculs de stabilité sont effectués à partir de
l'hypothèse selon laquelle l'eau dans le sol constitue une nappe dont le
niveau de la surface libre est connue. Ils ne prennent donc pas en
com.pte des écoulements diffus ou des surfaces de suintem.ent.
Moyens à mettre en oeuvre :
Le contexte parcellaire et pentu du site incitent à utiliser
des moyens de confortement n'entraînant pas de gros terrassements. On
implantera donc au pied de la zone en mouvement, derrière les maisons E,
C, D, un rideau de profilés non jointifs, afin de permettre une éven¬
tuelle circulation d'eau (un rideau étanche provoquerait une montée en
pression et un moment moteur plus fort). Ces profilés seront ancrés dans
le substratum sur une profondeur d'au moins 2 m, et seront espacés
d'environ 2 m (voir coupe schématique fig. 12)
Un calcul de poussée/butée lors du projet détaillé d'exécution
permettra de mieux définir les caractéristiques du rideau et des
profilés.
- 18 -
4.2 - Soutènement par butées (voir schéma de principe
de confortement, fig. 9)
Sans préjuger par avance de l'efficacité du système de drai¬
nage, il est souhaitable de prévoir d'ores et déjà un soutènement par
butée et ceci pour deux raisons :
1 - Le rabattement de la nappe à environ - 3 m du terrain
naturel n'assure pas un coefficient de sécurité F supérieur à 1,5
(coefficient de sécurité utilisé pour tout problème de stabilité de
talus) .
Dans tous les cas de figure, seul le profil P5 est stabilisé
par un rabattement de 3 m par rapport au TN.
F PROFIL 5 = 1,6
F PROFIL 3 = 1,26
F PROFIL 8 = 1,5
2 - Les calculs de stabilité sont effectués à partir de
l'hypothèse selon laquelle l'eau dans le sol constitue une nappe dont le
niveau de la surface libre est connue. Ils ne prennent donc pas en
com.pte des écoulements diffus ou des surfaces de suintem.ent.
Moyens à mettre en oeuvre :
Le contexte parcellaire et pentu du site incitent à utiliser
des moyens de confortement n'entraînant pas de gros terrassements. On
implantera donc au pied de la zone en mouvement, derrière les maisons E,
C, D, un rideau de profilés non jointifs, afin de permettre une éven¬
tuelle circulation d'eau (un rideau étanche provoquerait une montée en
pression et un moment moteur plus fort). Ces profilés seront ancrés dans
le substratum sur une profondeur d'au moins 2 m, et seront espacés
d'environ 2 m (voir coupe schématique fig. 12)
Un calcul de poussée/butée lors du projet détaillé d'exécution
permettra de mieux définir les caractéristiques du rideau et des
profilés.
FIGURE 12BRCMsasGNU2Aqi
COUPE SCHEMATIQUE D'UN PROFILE
Pro-^i/é f/£& 4100
/ / / /^ '^ -i ^^ j;'.
Terrâmes
6 m
Marna 2m
k-
n.
So/
I
^ / z' ^ ^
Remplissage .m s.a¿/e
for^^a ^SOO ocf âOO/T/rr
SalCemanC au he¿on
1^ E.nir'dx& 2 m
I Pro^//e' //££, /,00
FIGURE 12BRCMsasGNU2Aqi
COUPE SCHEMATIQUE D'UN PROFILE
Pro-^i/é f/£& 4100
/ / / /^ '^ -i ^^ j;'.
Terrâmes
6 m
Marna 2m
k-
n.
So/
I
^ / z' ^ ^
Remplissage .m s.a¿/e
for^^a ^SOO ocf âOO/T/rr
SalCemanC au he¿on
1^ E.nir'dx& 2 m
I Pro^//e' //££, /,00
- 19 -
5-CONCLUSIONS
L'étude du glissement de terrain situé au lieu-dit "Coustassous"
sur la commune de BON-ENCONTRE (47) a consisté à reconnaître la nature
et la géométrie des terrains affectés par le glissement en vue d'analy¬
ser la stabilité et de définir des moyens de confortement.
Les travaux de reconnaissance ont comporté un levé topo¬
graphique du glissement , une campagne de sondages in situ (10 sondages
tarière, 5 sondages pénétrométriques , 3 puits à la pelle mécanique) et
des essais en laboratoire.
La couche de surface affectée par le glissement est constituée
d'environ 1 m de limon argileux puis de 3 à 4 m d'argile carbonatée
provenant de l 'altération des marnes sous-jacentes qui définissent le
substratum.
L'analyse de la stabilité, effectuée à l'aide du programme
informatique "ANASTAB" a permis de mettre en évidence une étroite
relation entre le niveau d'eau dans le sol et l'instabilité du versant,
imposant la mise en place d'un système de drainage.
Deux dispositifs peuvent être envisagés :
- un dispositif de tranchées drainantes et fossés rigoles
- un dispositif de drains siphons gravitaires.
La seconde solution paraît techniquement plus adaptée au site
et au problème posé.
La mise en place du drainage assure la stabilité du versant
mais ne permet pas d'obtenir un coefficient de sécurité suffisant
(F = 1,5). Il est donc proposé de réaliser un rideau discontinu de
profilés en pied de versant.
- 19 -
5-CONCLUSIONS
L'étude du glissement de terrain situé au lieu-dit "Coustassous"
sur la commune de BON-ENCONTRE (47) a consisté à reconnaître la nature
et la géométrie des terrains affectés par le glissement en vue d'analy¬
ser la stabilité et de définir des moyens de confortement.
Les travaux de reconnaissance ont comporté un levé topo¬
graphique du glissement , une campagne de sondages in situ (10 sondages
tarière, 5 sondages pénétrométriques , 3 puits à la pelle mécanique) et
des essais en laboratoire.
La couche de surface affectée par le glissement est constituée
d'environ 1 m de limon argileux puis de 3 à 4 m d'argile carbonatée
provenant de l 'altération des marnes sous-jacentes qui définissent le
substratum.
L'analyse de la stabilité, effectuée à l'aide du programme
informatique "ANASTAB" a permis de mettre en évidence une étroite
relation entre le niveau d'eau dans le sol et l'instabilité du versant,
imposant la mise en place d'un système de drainage.
Deux dispositifs peuvent être envisagés :
- un dispositif de tranchées drainantes et fossés rigoles
- un dispositif de drains siphons gravitaires.
La seconde solution paraît techniquement plus adaptée au site
et au problème posé.
La mise en place du drainage assure la stabilité du versant
mais ne permet pas d'obtenir un coefficient de sécurité suffisant
(F = 1,5). Il est donc proposé de réaliser un rideau discontinu de
profilés en pied de versant.
Glissement de terrain au lieu-dit
"Coustassous" à BON. ENCONTRE.
!:>;XvJ'):»iarr.«^*'«01M:<CM:^'):q
L'alerte initiale concernant le glissement a été donnée par le
locataire de la maison A, sur le plan ci-joint, qui dimanche 7 Février au ma¬
tin a constaté, à une distance variant entre 20 et 50 cm de la façade sud de
sa maison une fente et un affaissement de terrain de 15 cm (point 1) mesuré
à 8 H., et le bris et le décalage de la clôture le séparant de la maison B
au point 2 de 6 cm.
Le Service de l'Equipement a été averti le Lundi 8 février vers
10 H 30. 11 H par la protection civile et un rendez vous sur les lieux á
été programmé pour 16 heures le même jour.
A ce moment l'affaissement était de 58 cm au point 1, l'écar¬
tement du muret de clôture l'était de 16 cm.
Il a pu être constaté l'apparition du bourrelet de pied de
glissement à proximité des maisons C et D.
Le Maire, après concertation avec les différents services et
compte tenu de la rapidité de l'évolution du phénomène :
Lundi 7 février :
: heure
: Affaissement
: écartement
15 H
58
: 16
18 H
62
. 17
19 H
70
: 19
24 H
82
22
a pris un arrêté d' insalubrité, et ordo.iné l'évacuation des mai¬
sons les plus menacées.
Les Mardi et Mercredi, le mouvement a continué avec appari.tion
d'une fente dans le nouveau cimetière (parcelle 351) ainsi qu'un bourrelet de
pied.
A partir de Mercredi matin, la rapidité du mouvement avait très
nettement diminué toutefois les bourrelets de pied au niveau desmaisons C
et D s.'.était; très nettement enflé et rapproché de celle ci de même que le
bourrelet situé dans le cimetière.
./.
Glissement de terrain au lieu-dit
"Coustassous" à BON. ENCONTRE.
!:>;XvJ'):»iarr.«^*'«01M:<CM:^'):q
L'alerte initiale concernant le glissement a été donnée par le
locataire de la maison A, sur le plan ci-joint, qui dimanche 7 Février au ma¬
tin a constaté, à une distance variant entre 20 et 50 cm de la façade sud de
sa maison une fente et un affaissement de terrain de 15 cm (point 1) mesuré
à 8 H., et le bris et le décalage de la clôture le séparant de la maison B
au point 2 de 6 cm.
Le Service de l'Equipement a été averti le Lundi 8 février vers
10 H 30. 11 H par la protection civile et un rendez vous sur les lieux á
été programmé pour 16 heures le même jour.
A ce moment l'affaissement était de 58 cm au point 1, l'écar¬
tement du muret de clôture l'était de 16 cm.
Il a pu être constaté l'apparition du bourrelet de pied de
glissement à proximité des maisons C et D.
Le Maire, après concertation avec les différents services et
compte tenu de la rapidité de l'évolution du phénomène :
Lundi 7 février :
: heure
: Affaissement
: écartement
15 H
58
: 16
18 H
62
. 17
19 H
70
: 19
24 H
82
22
a pris un arrêté d' insalubrité, et ordo.iné l'évacuation des mai¬
sons les plus menacées.
Les Mardi et Mercredi, le mouvement a continué avec appari.tion
d'une fente dans le nouveau cimetière (parcelle 351) ainsi qu'un bourrelet de
pied.
A partir de Mercredi matin, la rapidité du mouvement avait très
nettement diminué toutefois les bourrelets de pied au niveau desmaisons C
et D s.'.était; très nettement enflé et rapproché de celle ci de même que le
bourrelet situé dans le cimetière.
./.
2.
Parallèlement un mur de soutènement pour partie et dehplpcage
pour le reste situé à l'angle nord Est de la maison E qui avait commencer à
bouger dès le début du phénomène s'est effondré dans la partie placage contr.
la propriété Cet a pris un "ventre" important sur la limite nord avec la
propriété B.
A partir de Samedi 13 février, le mouvement s'est arrêté toute¬
fois dès les prochaines pluies, il est à craindre de le voir se remettre en
marche.
.D'unpoint de vue quantitatif la partie basse a une extention
maximale de 95 à 100 m la corde est de l'ordre de 30-35m et la dénivelée
entre le bourrelet et le terrain en place au niveau de la maison A de 12-13m.
L'affaissement maximum ressort au point n' 1 après correction
de changement de repère â 1 ,50m environ.
Tableau de mesure :
: Date heure :
: Affaissement :
: Ecartement :
:Affaissement
:Ecartement
.
: Affaissement
: Ecartement
Dimanche 7 févri8 H :
15 :
6 :
Mercredi 10 ;février ' :8H30 : 16 H :
68 ; 74 :
37 : 38 :
er Lundi16 H: 18
58 : 62
16 : 17
8H
février :
: 19 H :24 H :
: 70 : 82 :
: 19 : 22 .:
Jeudi II février ;
9 H : 17 H :
83
41
Samedi16
: 85,5
: 42
13 FévrierH.
: : 91
46
Mardi 9 février7 H :10H30 :15H30 :23 H3C
100 :105 :110 . : 115: : 45 : 62
27 :29,5 : 32 : 34
vendredi 12 Février
9 H : 17 H
89,5 : 90,5
43 : 46
Dimanche 14 Février15 H.
91
45
A partir du mardi 9 â 15 H 30, un second repère point 3 a été
mis en place car le premier devenait inexploitable, toutefois l'évolution
ressort identique au premier.
Dressé par l'Ingénieur des TFEle 18 FEVRIER 1983.
A.CERUTTI.
2.
Parallèlement un mur de soutènement pour partie et dehplpcage
pour le reste situé à l'angle nord Est de la maison E qui avait commencer à
bouger dès le début du phénomène s'est effondré dans la partie placage contr.
la propriété Cet a pris un "ventre" important sur la limite nord avec la
propriété B.
A partir de Samedi 13 février, le mouvement s'est arrêté toute¬
fois dès les prochaines pluies, il est à craindre de le voir se remettre en
marche.
.D'unpoint de vue quantitatif la partie basse a une extention
maximale de 95 à 100 m la corde est de l'ordre de 30-35m et la dénivelée
entre le bourrelet et le terrain en place au niveau de la maison A de 12-13m.
L'affaissement maximum ressort au point n' 1 après correction
de changement de repère â 1 ,50m environ.
Tableau de mesure :
: Date heure :
: Affaissement :
: Ecartement :
:Affaissement
:Ecartement
.
: Affaissement
: Ecartement
Dimanche 7 févri8 H :
15 :
6 :
Mercredi 10 ;février ' :8H30 : 16 H :
68 ; 74 :
37 : 38 :
er Lundi16 H: 18
58 : 62
16 : 17
8H
février :
: 19 H :24 H :
: 70 : 82 :
: 19 : 22 .:
Jeudi II février ;
9 H : 17 H :
83
41
Samedi16
: 85,5
: 42
13 FévrierH.
: : 91
46
Mardi 9 février7 H :10H30 :15H30 :23 H3C
100 :105 :110 . : 115: : 45 : 62
27 :29,5 : 32 : 34
vendredi 12 Février
9 H : 17 H
89,5 : 90,5
43 : 46
Dimanche 14 Février15 H.
91
45
A partir du mardi 9 â 15 H 30, un second repère point 3 a été
mis en place car le premier devenait inexploitable, toutefois l'évolution
ressort identique au premier.
Dressé par l'Ingénieur des TFEle 18 FEVRIER 1983.
A.CERUTTI.
PAGE 1
I) COUPE DES TARIERES
» S T 1
- 0,00 à 1,30 ra : Limons bruns
- 1,30 à 2,0'0 m : Argile brune à cailloutis calcaire
- 2,00 à 3,50 m : Sable gris, fin à moyen saturé
- 3,50 è 7,50 m : Marne très compacte brune, rosacée à grise, sèche.
N.S.=2,13m/TN.
* S T 2
- 0,00 à 2,00 m : Argile brune à grise : Molasse altérée assez humide à 1,50 m.
- 2,00 à 4,50 m : Marne bruiie à grise et rosacée, peu humide.
- 4,50 à 7,50 m : Même matériau avec intercalation de sables et silts molassiques compacts
N.S. = 4,90 m / TN.
* S T 3
- 0,00 à 1,00 m : Limons bruns
- 1,00 à 4,90 m : Argile brune à cailloutis calcaires avec "blocs" épars entre 3,00 et 3,30 m,
- 4,90 à 6,00 m : Marne brune à grise très compacte.
N.S. = 3,40 m / TN.
PAGE 1
I) COUPE DES TARIERES
» S T 1
- 0,00 à 1,30 ra : Limons bruns
- 1,30 à 2,0'0 m : Argile brune à cailloutis calcaire
- 2,00 à 3,50 m : Sable gris, fin à moyen saturé
- 3,50 è 7,50 m : Marne très compacte brune, rosacée à grise, sèche.
N.S.=2,13m/TN.
* S T 2
- 0,00 à 2,00 m : Argile brune à grise : Molasse altérée assez humide à 1,50 m.
- 2,00 à 4,50 m : Marne bruiie à grise et rosacée, peu humide.
- 4,50 à 7,50 m : Même matériau avec intercalation de sables et silts molassiques compacts
N.S. = 4,90 m / TN.
* S T 3
- 0,00 à 1,00 m : Limons bruns
- 1,00 à 4,90 m : Argile brune à cailloutis calcaires avec "blocs" épars entre 3,00 et 3,30 m,
- 4,90 à 6,00 m : Marne brune à grise très compacte.
N.S. = 3,40 m / TN.
PAGE 2
* S T 4
- 0,00 à 0,70 m : Limons bruns à cailloutis
- 0,70 à 3,50 m : Argile brune sableuse à cailloutis calcaires avec intercalations d'argile plusplastique brune à ocre.
- 3,50 à 6,40 m : Argile silteuse fine, beige à ocre avec cailloutis, humide, peu compacte.
- 6,40 à 7,50 m : Marnes brunes à grises très compactes.
N.S. = 3,70 m / TN
* S T 5
- 0,00 à 1,50 m : Limons bruns à cailloutis calcaires
- 1,50 à 4,80 m : Argile brune plus ou moins sableuse à cailloutis calcaire et "Blocs" épars.
- 4,80 à 6,00 m : Argile brune à grise à passées de sables gris compacts (Marnes altérées ?)
- 6,00 à 9,00 m : Silts calcaires très compacts et secs.
N.S. = Pas d'eau
* S T 6
- 0,00 à 0,70 m : Limons bruns
- 0,70 à 1,50 m : Argile brune à marron oxydée
- 1,50 à 4,50 ra : Argile brune à cailloutis calcaires important, molle et humide plus sableuse entre3,00 et 4,50 m.
- 5,00 à 6,00 m ; Argile brune à grise â passées sableuse grise
PAGE 2
* S T 4
- 0,00 à 0,70 m : Limons bruns à cailloutis
- 0,70 à 3,50 m : Argile brune sableuse à cailloutis calcaires avec intercalations d'argile plusplastique brune à ocre.
- 3,50 à 6,40 m : Argile silteuse fine, beige à ocre avec cailloutis, humide, peu compacte.
- 6,40 à 7,50 m : Marnes brunes à grises très compactes.
N.S. = 3,70 m / TN
* S T 5
- 0,00 à 1,50 m : Limons bruns à cailloutis calcaires
- 1,50 à 4,80 m : Argile brune plus ou moins sableuse à cailloutis calcaire et "Blocs" épars.
- 4,80 à 6,00 m : Argile brune à grise à passées de sables gris compacts (Marnes altérées ?)
- 6,00 à 9,00 m : Silts calcaires très compacts et secs.
N.S. = Pas d'eau
* S T 6
- 0,00 à 0,70 m : Limons bruns
- 0,70 à 1,50 m : Argile brune à marron oxydée
- 1,50 à 4,50 ra : Argile brune à cailloutis calcaires important, molle et humide plus sableuse entre3,00 et 4,50 m.
- 5,00 à 6,00 m ; Argile brune à grise â passées sableuse grise
PAGE 3
- 6,00 à 7,50 m : Marnes brunes, rosacées à grises compactes.
N.S. = 3,00 m / TN.
* S T 7
- 0,00 à 0,90 m : Limons bruns noirs
- 0,90 à 2,00 m : Argile brune sableuse marron, oxydée, à cailloutis calcaire, humide.
- 2,00 à 3,80 m : Môme argile plus sableuse, saturée, à cailloutis calcaire important.
- 3,80 à 4,50 m : Argile brune avec passages de sables ou silts argileux.
- 4,50 à 6,00 m : Marnes brunes très compactes
- 6,00 à 7,50 m : Silts et sables argileux molassiques.
N.S. = 2,10 m / TN.
* S T 8
- 0,00 à 0,40 m : Remblai
- 0,40 à 1,20 m : Limons bruns
- 1,20 à 3,80 m : Argile brune à cailloutis calcaires
- 3,80 à 9,00 m : Molasse : Alternance de Marnes et silts ou sables argileux. Matériaudominant : silts argileux.
N.S. = 3,70 m / TN.
PAGE 3
- 6,00 à 7,50 m : Marnes brunes, rosacées à grises compactes.
N.S. = 3,00 m / TN.
* S T 7
- 0,00 à 0,90 m : Limons bruns noirs
- 0,90 à 2,00 m : Argile brune sableuse marron, oxydée, à cailloutis calcaire, humide.
- 2,00 à 3,80 m : Môme argile plus sableuse, saturée, à cailloutis calcaire important.
- 3,80 à 4,50 m : Argile brune avec passages de sables ou silts argileux.
- 4,50 à 6,00 m : Marnes brunes très compactes
- 6,00 à 7,50 m : Silts et sables argileux molassiques.
N.S. = 2,10 m / TN.
* S T 8
- 0,00 à 0,40 m : Remblai
- 0,40 à 1,20 m : Limons bruns
- 1,20 à 3,80 m : Argile brune à cailloutis calcaires
- 3,80 à 9,00 m : Molasse : Alternance de Marnes et silts ou sables argileux. Matériaudominant : silts argileux.
N.S. = 3,70 m / TN.
PAGE 4
* S T 9
- 0,00 à 0,70 m : Limons bruns à graviers, bruns, noirâtres
- 0,70 à 3,00 m : Argile brune sableuse à cailloutis calcaire
- 3,00 à 4,50 m : Argile brune plus sableuse, humide et molle, cailloutis calcaire peuimportant.
- 4,50 à 6,00 m : Même argile plus "graveleuse"
- 6,00 à 8,50 m : Argile marron, compacte, à cailloutis calcaire.
- 8,50 m : Marne très raide
N.S. = 5,30 m / TN
* S T 10
- 0,00 à 2,00 ra : Argile brune sableuse sans cailloutis
- 2,00 à 3,80 m ; Argile marron à cailloutis
- 3,80 à 7,00 m : Argile brune marron à grise à cailloutis calcaire, compacte à très compacteen alternance.
- 7,00 à 7,50 m : Argile grise à cailloutis
- 7,50 à 9,00 m : Argile grise à beige très raide et sèche.
N.S. : ( 2 heures après fin forage) 0,30 m / TN
PAGE 4
* S T 9
- 0,00 à 0,70 m : Limons bruns à graviers, bruns, noirâtres
- 0,70 à 3,00 m : Argile brune sableuse à cailloutis calcaire
- 3,00 à 4,50 m : Argile brune plus sableuse, humide et molle, cailloutis calcaire peuimportant.
- 4,50 à 6,00 m : Même argile plus "graveleuse"
- 6,00 à 8,50 m : Argile marron, compacte, à cailloutis calcaire.
- 8,50 m : Marne très raide
N.S. = 5,30 m / TN
* S T 10
- 0,00 à 2,00 ra : Argile brune sableuse sans cailloutis
- 2,00 à 3,80 m ; Argile marron à cailloutis
- 3,80 à 7,00 m : Argile brune marron à grise à cailloutis calcaire, compacte à très compacteen alternance.
- 7,00 à 7,50 m : Argile grise à cailloutis
- 7,50 à 9,00 m : Argile grise à beige très raide et sèche.
N.S. : ( 2 heures après fin forage) 0,30 m / TN
^ =^ Annexe . 3
BRGM
oiflGftflmmE/ o'E//ni/
DE
PEnETRRTion DvnnmiouE
^ =^ Annexe . 3
BRGM
oiflGftflmmE/ o'E//ni/
DE
PEnETRRTion DvnnmiouE
:^ Bureau du Reciíurcuus Géologiques et Minièregp^fv^ CHANTIER : GLISSEMENT
47 BON ENCONTRE
PENb 1 NATION DYNAMIQUE BEVAC (P2;Date de l'essai : Le ii avtü iqss
PROF RESISTANCE DYNA
(m)«î , 10 20 30 50
O.UÜ ~ "~ i
^,.1, ^
5 "1.00 *= = ,
-c = X,,.-¿»
.'^»z.oo " "^^»" 1"
" ::_::!: ¡2-:::"': "3.00 - ' - - - '**
4.00 ~- -
5.00 '
0.00 - ~ .....
7.00 - - "
B.OO " "
11.00 - ~ "' ~
MIQUE APPARENTE (BARS)
^z::: " :::: :i^
: li^Ú"" '- - -S..z:±:::"':'..::" :_^... .. _
" "j::i:: _ ^ Li4-!« "^
-f'T>-^_
.-*"'*"îi .
*"~~L.>-, ' 1
_iii__*^ 1 rjiiï*^
"is::; ":::;il :l> i
j^»--
N- REPERE
5 Pdx
niveau:
) ^ Immêdiol
^pfés
OBSERV.
IT
:^ Bureau du Reciíurcuus Géologiques et Minièregp^fv^ CHANTIER : GLISSEMENT
47 BON ENCONTRE
PENb 1 NATION DYNAMIQUE BEVAC (P2;Date de l'essai : Le ii avtü iqss
PROF RESISTANCE DYNA
(m)«î , 10 20 30 50
O.UÜ ~ "~ i
^,.1, ^
5 "1.00 *= = ,
-c = X,,.-¿»
.'^»z.oo " "^^»" 1"
" ::_::!: ¡2-:::"': "3.00 - ' - - - '**
4.00 ~- -
5.00 '
0.00 - ~ .....
7.00 - - "
B.OO " "
11.00 - ~ "' ~
MIQUE APPARENTE (BARS)
^z::: " :::: :i^
: li^Ú"" '- - -S..z:±:::"':'..::" :_^... .. _
" "j::i:: _ ^ Li4-!« "^
-f'T>-^_
.-*"'*"îi .
*"~~L.>-, ' 1
_iii__*^ 1 rjiiï*^
"is::; ":::;il :l> i
j^»--
N- REPERE
5 Pdx
niveau:
) ^ Immêdiol
^pfés
OBSERV.
IT
mw Bureau üe Recherches Géologiques et MinièreBRGM CHANTIER : GLISSEMENT
47 BON ENCONTRE
PENETRATION DYNAMIQUE BEVAC ÍP2]Date de l'essai : Le ii avtü isss
PROF
(m)«î jp, . y ,
0,00
,
1.00 ~
rx*"---
2.00 ^ j i- - " "
'""zs-1 : :::::::<i
3.00 * -*----
4.00 - " *
5,00 ~
D.OÜ
/OU
B.OO
y.uu ~ "
\r\i\r\ .. lUitnj
ll.UU -
1--
RESISTANCE DYNAMIÇXJE APPARENTE
20 30 50 100
"-IT=**
(^
^'^'*v._L_
- - -
....[.. q.._j_q j:]|.
-.- . * .._.-
-T HF
( BARS )
200 K)p
-
,
N- REPERE
S Pd2
niveau:
) ^?
Imniédiol
/ipr§5
OBSERV.
-
-
mw Bureau üe Recherches Géologiques et MinièreBRGM CHANTIER : GLISSEMENT
47 BON ENCONTRE
PENETRATION DYNAMIQUE BEVAC ÍP2]Date de l'essai : Le ii avtü isss
PROF
(m)«î jp, . y ,
0,00
,
1.00 ~
rx*"---
2.00 ^ j i- - " "
'""zs-1 : :::::::<i
3.00 * -*----
4.00 - " *
5,00 ~
D.OÜ
/OU
B.OO
y.uu ~ "
\r\i\r\ .. lUitnj
ll.UU -
1--
RESISTANCE DYNAMIÇXJE APPARENTE
20 30 50 100
"-IT=**
(^
^'^'*v._L_
- - -
....[.. q.._j_q j:]|.
-.- . * .._.-
-T HF
( BARS )
200 K)p
-
,
N- REPERE
S Pd2
niveau:
) ^?
Imniédiol
/ipr§5
OBSERV.
-
-
WW Bureau de Recherches Géologiques et MinièregP^ç^fvj CHANTIER ; GLISSEMENT
47 BON ENCONTRE
PENETRATION DYNAMIQUE BEVAC (P2;Date de l'essai : Le ii avtii igss
PROF RESISTANCE DYNAMIQUE APPARENTE (BARS)(m)
5 10 20 30 ^(l 100 200 500o,(3o -~T
1
^« 1.00 ,c'-*"
. :::::?..:::::: . !=::::.. . . -zt.. _
-îZ.UU -»-_ ^
c::-""^ 's;;'
. __s^
3.00 ~ ?*"'"';:=:*
,-»'t
4.00
5.UU ~ " * - - - _
u.uu "
- -
1
'
Ü.ÜU -- - .-
non - - - _ -
,mort -
1 l.UU
^--Hf l-l -1
: -=:::;, ::: "I :::^;;: ::"::::: :
___ J
---+-- --i--t 4"1
r----- . __. -<
-\
N* REPERE
S Pd3
niveau:
1 ^î
Immédiob
/iprés
OBSERV.
K)00
-*-
WW Bureau de Recherches Géologiques et MinièregP^ç^fvj CHANTIER ; GLISSEMENT
47 BON ENCONTRE
PENETRATION DYNAMIQUE BEVAC (P2;Date de l'essai : Le ii avtii igss
PROF RESISTANCE DYNAMIQUE APPARENTE (BARS)(m)
5 10 20 30 ^(l 100 200 500o,(3o -~T
1
^« 1.00 ,c'-*"
. :::::?..:::::: . !=::::.. . . -zt.. _
-îZ.UU -»-_ ^
c::-""^ 's;;'
. __s^
3.00 ~ ?*"'"';:=:*
,-»'t
4.00
5.UU ~ " * - - - _
u.uu "
- -
1
'
Ü.ÜU -- - .-
non - - - _ -
,mort -
1 l.UU
^--Hf l-l -1
: -=:::;, ::: "I :::^;;: ::"::::: :
___ J
---+-- --i--t 4"1
r----- . __. -<
-\
N* REPERE
S Pd3
niveau:
1 ^î
Immédiob
/iprés
OBSERV.
K)00
-*-
^^ Bureau uu Rechercmies Géologiques et MinièresBRGM CHANTIER : GLISSEMENT
47 BON ENCONTRE
PENETRATION DYNAMIQUE BEVAC (P2)Date de l'essai : Le n avtíi iobs
PROF
(m)
U.Ot,'
I.OU
2.00
3.00
4.00
5.00
6.00
700
8.00
9.00
moo
1100
n
5 10 . 2'
"~~
"^~"
__]_. -^
= «.^
-- = :¿:
^
.....
-
_ .. ....
~1 - -
ESISIANCE UYNAMIC^E APPARENTE (
0 30 5P 100 20
-
-
-
- -
-
:
.-
*;.
-;;^-»
_ -j- J.-.|
..
. .... 1_
BARS )
9 509 '^^
:^::!::: '_j1
1
-11-4-1- -l-j. A
« ;
1 !..
Pd4
niveau:
¥
l
Iniinédiut
iiprés
OBSERV
'-
,
.
--
--
. _
^^ Bureau uu Rechercmies Géologiques et MinièresBRGM CHANTIER : GLISSEMENT
47 BON ENCONTRE
PENETRATION DYNAMIQUE BEVAC (P2)Date de l'essai : Le n avtíi iobs
PROF
(m)
U.Ot,'
I.OU
2.00
3.00
4.00
5.00
6.00
700
8.00
9.00
moo
1100
n
5 10 . 2'
"~~
"^~"
__]_. -^
= «.^
-- = :¿:
^
.....
-
_ .. ....
~1 - -
ESISIANCE UYNAMIC^E APPARENTE (
0 30 5P 100 20
-
-
-
- -
-
:
.-
*;.
-;;^-»
_ -j- J.-.|
..
. .... 1_
BARS )
9 509 '^^
:^::!::: '_j1
1
-11-4-1- -l-j. A
« ;
1 !..
Pd4
niveau:
¥
l
Iniinédiut
iiprés
OBSERV
'-
,
.
--
--
. _
^^ Bureau ue Reciierc:iies Géologiques et MinièresRRC^M CHANTIER : GLISSEMENT
47 BON ENCONTRE
PENETRATION DYNAMIQUE BEVAC (P2)Date de l'essai : Le n avtíi iqss
PROF
(m)
Ü.OÜ
1.00
2.00
3.00
4.00
5,00
6.00
700
8.00
9.00
moo
1100
1
n
5 1Ü . 2
''
--jmij-H^~ = - = »
1 .
-
_ . . . .
1
ESISIANCE DYNAMIQUE APPARENTE ( BARS )
0 30 50 100 200 500 KJ
.
J
-
-
- -
.. . .
= *.!
1
1!1111i1>11111MM 1111
±::ffl|:|||
. _ ..
_ . . . . j_
MtÍl''""
IMIII"' _|
1 1-1-4- -I-I-I4 i
.
1 l-
Rds
niveau:
¥
î
Iiiiinédiot
/^piéi
OBSERV
ÜÜ
--
.
--
--
--
--
--
--
^^ Bureau ue Reciierc:iies Géologiques et MinièresRRC^M CHANTIER : GLISSEMENT
47 BON ENCONTRE
PENETRATION DYNAMIQUE BEVAC (P2)Date de l'essai : Le n avtíi iqss
PROF
(m)
Ü.OÜ
1.00
2.00
3.00
4.00
5,00
6.00
700
8.00
9.00
moo
1100
1
n
5 1Ü . 2
''
--jmij-H^~ = - = »
1 .
-
_ . . . .
1
ESISIANCE DYNAMIQUE APPARENTE ( BARS )
0 30 50 100 200 500 KJ
.
J
-
-
- -
.. . .
= *.!
1
1!1111i1>11111MM 1111
±::ffl|:|||
. _ ..
_ . . . . j_
MtÍl''""
IMIII"' _|
1 1-1-4- -I-I-I4 i
.
1 l-
Rds
niveau:
¥
î
Iiiiinédiot
/^piéi
OBSERV
ÜÜ
--
.
--
--
--
--
--
--
Annexe 3
BRGMCARACTERISTIQUES ESSENTIELLES DU PENETROMETRE
DYNAMIQUE BEVACMETHODE D'INTERPRETATION DES RESULTATS'
L'essai consiste à faire pénétrer dans le sol, par battage,une pointe située â l'extrémité d'une tige métallique de diamètre inférieurà celui de la pointe pour éviter tout frottement latéral parasite.
Les caractéristiques essentielles du pénétromètre dynamiquesont rappelées ci-dessous :
mouton de 30 kg
hauteur de chute : 0,20 m
section de la pointe : 10 cm2
La résistance dynamique est calculée à partir de l'énergie debattage par application de la formule dite des Hollandais, qui s'exprimesous la forme suivante : M
Rd =M2h
M + m
_1_
e S
Rd
h
M
m
e
S
résistance dynamique en bars
hauteur de chute du mouton en cm
poids du mouton en kg
poids des tiges en kg
enfoncement en cm pour 1 coup
section de la pointe en cm2
Les résultats sont présentés graphiquement sous la forme d'undiagramme donnant la résistance dynamique Rd en bars en fonction de laprofondeur (cf. annexe ) . Ce graphe est défini par points espacés de10 cm, le calcul de Rd étant réalisé d'après le nombre de coups nécessai¬res pour un enfoncement de 10 cm.
Les résultats de l'essai de pénétration dynamique présententun intérêt sur le plan qualitatif, en caractérisant l'homogénéité dusous-sol tant en profondeur que latéralement, et sur le plan quantitatif,en permettant d'.ipprécier les caractéristiques mécanicjues du sous-sol etd'évaluer le tatix de charge admissible (Qa) de semelles superficiellesde dimensions courantes par la formule empirique suivante - , Rd
Qa ?¥ 3ô
Annexe 3
BRGMCARACTERISTIQUES ESSENTIELLES DU PENETROMETRE
DYNAMIQUE BEVACMETHODE D'INTERPRETATION DES RESULTATS'
L'essai consiste à faire pénétrer dans le sol, par battage,une pointe située â l'extrémité d'une tige métallique de diamètre inférieurà celui de la pointe pour éviter tout frottement latéral parasite.
Les caractéristiques essentielles du pénétromètre dynamiquesont rappelées ci-dessous :
mouton de 30 kg
hauteur de chute : 0,20 m
section de la pointe : 10 cm2
La résistance dynamique est calculée à partir de l'énergie debattage par application de la formule dite des Hollandais, qui s'exprimesous la forme suivante : M
Rd =M2h
M + m
_1_
e S
Rd
h
M
m
e
S
résistance dynamique en bars
hauteur de chute du mouton en cm
poids du mouton en kg
poids des tiges en kg
enfoncement en cm pour 1 coup
section de la pointe en cm2
Les résultats sont présentés graphiquement sous la forme d'undiagramme donnant la résistance dynamique Rd en bars en fonction de laprofondeur (cf. annexe ) . Ce graphe est défini par points espacés de10 cm, le calcul de Rd étant réalisé d'après le nombre de coups nécessai¬res pour un enfoncement de 10 cm.
Les résultats de l'essai de pénétration dynamique présententun intérêt sur le plan qualitatif, en caractérisant l'homogénéité dusous-sol tant en profondeur que latéralement, et sur le plan quantitatif,en permettant d'.ipprécier les caractéristiques mécanicjues du sous-sol etd'évaluer le tatix de charge admissible (Qa) de semelles superficiellesde dimensions courantes par la formule empirique suivante - , Rd
Qa ?¥ 3ô
Annexe i\
BRGM
COUPE/ GEOLOGIQUE/
DE/ FOUILLE/
fl Lfl PELLE mECflfllOUE
Annexe i\
BRGM
COUPE/ GEOLOGIQUE/
DE/ FOUILLE/
fl Lfl PELLE mECflfllOUE
^uÚi> Si.
_ «^«oSLÍt ar^ÜiujiC ¿>r>un rneu-rory..
-8,1o
-3.CO
l-¿.?o^:^'"X^-4,áo
fi'n cAt. hu^hi
argüe. harial¿m. qrt-svert ^J<corvina &f«. aj^.tc n t>c¿É*7eo csa/co/re-i
omoi
Je .i/.grtSeá.. ^r^scflce aLínoaUJeo c«/cci¿r#i
CLrg¿le, ¿ruó «imapníh ¿t. f¿M=A»^ Ue ë^vCn
noty^Lp^^^^ oocLcJc^ calccOrt.^
ruhétu-c, s«Zcn c¿*4 i /ano sM¿:^
^uÚi> Si.
_ «^«oSLÍt ar^ÜiujiC ¿>r>un rneu-rory..
-8,1o
-3.CO
l-¿.?o^:^'"X^-4,áo
fi'n cAt. hu^hi
argüe. harial¿m. qrt-svert ^J<corvina &f«. aj^.tc n t>c¿É*7eo csa/co/re-i
omoi
Je .i/.grtSeá.. ^r^scflce aLínoaUJeo c«/cci¿r#i
CLrg¿le, ¿ruó «imapníh ¿t. f¿M=A»^ Ue ë^vCn
noty^Lp^^^^ oocLcJc^ calccOrt.^
ruhétu-c, s«Zcn c¿*4 i /ano sM¿:^
rLÚ-^ Pz,
1,1,1 1,1,1 11'1
~~ '
^
X3
-£3
. ,.
o,2o
_ ¿.d>o
- -«2,40
3co_ ttrr/Ktfiio'cíttc-
¿Lo £L/-5¿ '*«<< ¿'^ f*"/» lYío.ffO'l-
?.e.x
S.£.X
\L'C Àctjune. í>cun combadb
Tloj-nc 9 rt.se. oonr» Roerte.
rLÚ-^ Pz,
1,1,1 1,1,1 11'1
~~ '
^
X3
-£3
. ,.
o,2o
_ ¿.d>o
- -«2,40
3co_ ttrr/Ktfiio'cíttc-
¿Lo £L/-5¿ '*«<< ¿'^ f*"/» lYío.ffO'l-
?.e.x
S.£.X
\L'C Àctjune. í>cun combadb
Tloj-nc 9 rt.se. oonr» Roerte.
TUfe. 93,
- aflo- - < io
_ o,so
_ ,f,âo
- -¿.So400
- -3,go- 4oû - ttrr¡v.¿c_
s¿Je arad^ccciic. isn'«/> rrxafTO'y
rom ylcU S0.U4.SQ.t>i-et<.-,(^ Í Jsrt^Mes.^
F.e.i
oreL>c hrun marron a, hassce^ Saole^<se^
2 c.:
^ë.X
fw'O c¿u. d>ul.-f&
TUfe. 93,
- aflo- - < io
_ o,so
_ ,f,âo
- -¿.So400
- -3,go- 4oû - ttrr¡v.¿c_
s¿Je arad^ccciic. isn'«/> rrxafTO'y
rom ylcU S0.U4.SQ.t>i-et<.-,(^ Í Jsrt^Mes.^
F.e.i
oreL>c hrun marron a, hassce^ Saole^<se^
2 c.:
^ë.X
fw'O c¿u. d>ul.-f&
B.R.G.M.ANALYSE GRANULOMETRIQUE
Doííler : Provenance : Bon Encont
Echantillon n' ; Nature ;
Sondage : P 1 Date de l'essai ;
Profondeur: 2,50 m Poids iniiial sec:
;re C
L
A
ossifie,.P.C.
P
W
,
Limites d'Atterberg
L ^P ' P
30 At Àl^
A.S.LM. i' 2' r 117' \H' n»10 18 40 70 200
,^ CAILLOUX GRAVIERS GROS SABLE SABLE FIN
«>
c 70 . : ; _3 '" : "u
0 60
0 - . . _*" 50 0) H
41 40 +- --0) " J U
c r .i> 30 J
5 10 i: " 'V-
o. 20 H
10 ...
D 200 K1 1
O 2J0 1
module 5
-
--
'--"--
*"""
----- -
)0 50 20 10 5 2 1
1 1 1 1 1 i 1
!i 63 25 12.5 6.3 2.5 1,
' 's^ _
0,4 0,2 0, 1 1Xi 0,5(mml
^
+ - 4 " 4.-
. -
i- l !
LIMON
_
-ft
-
-
--
__.
i i.sl 1 1 > l \ \ \ \ \ \
,, Diamètres equ va ents (1^)
0 48 |44| 41 |38| |34| 31 . 27 24 21ArNOR
ARGILE
. - .
\ \0
* u.*
0
10
20
30
40
50
60
70
60
90
1001
30
k»*
1
Q
0
CD
ái
B.R.G.M.ANALYSE GRANULOMETRIQUE
Doííler : Provenance : Bon Encont
Echantillon n' ; Nature ;
Sondage : P 1 Date de l'essai ;
Profondeur: 2,50 m Poids iniiial sec:
;re C
L
A
ossifie,.P.C.
P
W
,
Limites d'Atterberg
L ^P ' P
30 At Àl^
A.S.LM. i' 2' r 117' \H' n»10 18 40 70 200
,^ CAILLOUX GRAVIERS GROS SABLE SABLE FIN
«>
c 70 . : ; _3 '" : "u
0 60
0 - . . _*" 50 0) H
41 40 +- --0) " J U
c r .i> 30 J
5 10 i: " 'V-
o. 20 H
10 ...
D 200 K1 1
O 2J0 1
module 5
-
--
'--"--
*"""
----- -
)0 50 20 10 5 2 1
1 1 1 1 1 i 1
!i 63 25 12.5 6.3 2.5 1,
' 's^ _
0,4 0,2 0, 1 1Xi 0,5(mml
^
+ - 4 " 4.-
. -
i- l !
LIMON
_
-ft
-
-
--
__.
i i.sl 1 1 > l \ \ \ \ \ \
,, Diamètres equ va ents (1^)
0 48 |44| 41 |38| |34| 31 . 27 24 21ArNOR
ARGILE
. - .
\ \0
* u.*
0
10
20
30
40
50
60
70
60
90
1001
30
k»*
1
Q
0
CD
ái
B.R.G.M.ANALYSE GRANULOMETRIQUE
Dossier : Provenonce : I3on Enconi
Echantillon n' ; Nature ;
Sondage : P 1 Date de l'essai ,'
Profondeur ; 3,70 m Poids inHial sec :
-.re ^L
ossifie.
.P.C.
fit
Limites d'Atterberg
^L Wp 1 p
5^,r ¿'^,4 1% ^
A.S.T.M. S' 2' r 1/2" 1/4- n»lO 18 40 70 200
,^ CAILLOUX GRAVIERS GROS SABLE SABLE FIN
.J,
"îi^t 70 ; : : -3 ''' : :iu ...
0 AO _w ou
g ::iv_
V -,' "XX) 44- -f"' 40 T ' ~01 J (
c t'~V 30 Ju in _30
a. 20
10 (-
n 200 K
':lzzz.~.-' - ;^
~ _ll~
"11 ~
."Z -!.-._
1 1
. 1,1 J 1
- ' - - -
1
-
0 50 20 10 5 2 1 0.4 0,2 0,
0 250 IÎ5 63 25 12.5 6,3 2.5 1,25 0,5(mm)
module 5 0 48 44 |41| 38 34 3
, 4.4.-4-S' 1 \
îSjw VO 0»' 'f « »
1 . |27| 24 21AFNOR '
, ~ z '_ 1Z.
._ ^
4 4 '1 1 M>^ -*. ",i« *' t?
LIMON ARGILE
-.
" : : r Í r. ~
"h ~4--. . _ .
1 .t -i±^
-- . . - .. _
J -
Ul .« ^ .* O" ^
,
- . .
.
-- 0-« 'il.
^Diamètres équivalents (wj"* "*
0
to
20
30
40
50
60
70
80
90
100
3hJ*
B.R.G.M.ANALYSE GRANULOMETRIQUE
Dossier : Provenonce : I3on Enconi
Echantillon n' ; Nature ;
Sondage : P 1 Date de l'essai ,'
Profondeur ; 3,70 m Poids inHial sec :
-.re ^L
ossifie.
.P.C.
fit
Limites d'Atterberg
^L Wp 1 p
5^,r ¿'^,4 1% ^
A.S.T.M. S' 2' r 1/2" 1/4- n»lO 18 40 70 200
,^ CAILLOUX GRAVIERS GROS SABLE SABLE FIN
.J,
"îi^t 70 ; : : -3 ''' : :iu ...
0 AO _w ou
g ::iv_
V -,' "XX) 44- -f"' 40 T ' ~01 J (
c t'~V 30 Ju in _30
a. 20
10 (-
n 200 K
':lzzz.~.-' - ;^
~ _ll~
"11 ~
."Z -!.-._
1 1
. 1,1 J 1
- ' - - -
1
-
0 50 20 10 5 2 1 0.4 0,2 0,
0 250 IÎ5 63 25 12.5 6,3 2.5 1,25 0,5(mm)
module 5 0 48 44 |41| 38 34 3
, 4.4.-4-S' 1 \
îSjw VO 0»' 'f « »
1 . |27| 24 21AFNOR '
, ~ z '_ 1Z.
._ ^
4 4 '1 1 M>^ -*. ",i« *' t?
LIMON ARGILE
-.
" : : r Í r. ~
"h ~4--. . _ .
1 .t -i±^
-- . . - .. _
J -
Ul .« ^ .* O" ^
,
- . .
.
-- 0-« 'il.
^Diamètres équivalents (wj"* "*
0
to
20
30
40
50
60
70
80
90
100
3hJ*
B.R.G.M.ANALYSE GRANULOMETRIQUE
Dossier : Provenance : Bon Encon
Echantillon n' : Nature :
Sondage : P 2 Date de l'essai ;
Profondeur : 1,00 ra Poids ini-tial sec :
;re ^L
\
lassific..P.C.
^f^L
Limites d'Atterberg
Wp 1
P
3^5- M,^ At,%
A.S.T.M. 5- 2' f 1/2" 1/4' n'tO 18 40 70 200
,^ CAILLOUX GRAVIERS GROS SABLE SABLE FIN
"
'V " ' Z.flc 7(\ " D 70 -----uu.
0 60 - m "
*" «0 41 -f..
T3
Oí 40 i
C X.4i 30-1 o ^ . --D ' G -
O. 20
10 ...
- i.m II
. _
"-
n 200 100 50 20ill 1
o 250 125 63 25
module
-
1 1 1 .3 ~
-^ û;
1
^^v^
. . __>,
- i~ I I
"\1 lil
LIMON
ti::
.
--
. . . .
.._
i .,
'0 5 2 1 0.4 U,2 "*'S M ^r^^J* OKJ.'.'pl&'Ln yl .* .>
2.5 6,3 2.5 1,25 0,5(mni)
ARGILE
_j
.-- . i_
\ \o
< Vf.
t *"** "^Diamètres équivalents (n)"* "*
50 48 44 |41| 38 34 31 . 27 24 21AFNOR '
0
10
20
30
40
50
60
70
80
90
1001
3>o»
1
i:
Q§Ote
i
B.R.G.M.ANALYSE GRANULOMETRIQUE
Dossier : Provenance : Bon Encon
Echantillon n' : Nature :
Sondage : P 2 Date de l'essai ;
Profondeur : 1,00 ra Poids ini-tial sec :
;re ^L
\
lassific..P.C.
^f^L
Limites d'Atterberg
Wp 1
P
3^5- M,^ At,%
A.S.T.M. 5- 2' f 1/2" 1/4' n'tO 18 40 70 200
,^ CAILLOUX GRAVIERS GROS SABLE SABLE FIN
"
'V " ' Z.flc 7(\ " D 70 -----uu.
0 60 - m "
*" «0 41 -f..
T3
Oí 40 i
C X.4i 30-1 o ^ . --D ' G -
O. 20
10 ...
- i.m II
. _
"-
n 200 100 50 20ill 1
o 250 125 63 25
module
-
1 1 1 .3 ~
-^ û;
1
^^v^
. . __>,
- i~ I I
"\1 lil
LIMON
ti::
.
--
. . . .
.._
i .,
'0 5 2 1 0.4 U,2 "*'S M ^r^^J* OKJ.'.'pl&'Ln yl .* .>
2.5 6,3 2.5 1,25 0,5(mni)
ARGILE
_j
.-- . i_
\ \o
< Vf.
t *"** "^Diamètres équivalents (n)"* "*
50 48 44 |41| 38 34 31 . 27 24 21AFNOR '
0
10
20
30
40
50
60
70
80
90
1001
3>o»
1
i:
Q§Ote
i
B.R.G.M.ANALYSE GRANULOMETRIQUE
Dossier : Provenance : Bon Encont
Echantillon n' ; Nature :
Sondage : P 2 Date de l'essai :
Profondeur; 2,20/2,40 m Poids initial sec:
;re C
L
ossifie..P.C.
Limites d'Atterberg
^L"
^P-
' P
-
A.S.T.M, 5' 2' f 1/2' t/4' n'IO 18 40 70 200
CAILLOUX GRAVIERS GROS SABLE SABLE FINW
41"^
E 70 ''3 '" t:iu j_
0 AO - II 1 "
E 0
"* 4- - Í4) -^ --o -iqi -P» 40 1
C» £-_c ^
«) 30-1 u *" _^30 "I_
a. 20
IQ _
- .. .-
Zj
_
- . .. .
* fc^
"
- - - -
1 -
.
-
- - -
. -, ..
n 200 100 50 20 10 5Il 1 i 1 1
O 2J0 I2S 63 25 12.5 6,3
module
--
i:
"^>^
_
»»
"''-~~~~
->s»
'i- i - 1-
_
E^.iill
LIMON
ZJ
.. -
"
...
1
ARGILE
J - .
2 1 0,4 ü,4 U.lQ vj trui il U-'-^joO'Ln >J.> ..| 1 II- ! ''" ""^ mif.-~<tOi»>^'< .1 tr ^ *
2.5 1,25 0,5(mfn)
- ~ ~j
.._
p
.f -tt t 'Diamètres equivalents (nj"* "*
50 48 44 41 |38| 34 31 . 27 24 21AFNOR '
0
10
20
30
40
50
60
70
80
90
100,
3hJ«
^î:.*'^
1
Q
0)
E
B.R.G.M.ANALYSE GRANULOMETRIQUE
Dossier : Provenance : Bon Encont
Echantillon n' ; Nature :
Sondage : P 2 Date de l'essai :
Profondeur; 2,20/2,40 m Poids initial sec:
;re C
L
ossifie..P.C.
Limites d'Atterberg
^L"
^P-
' P
-
A.S.T.M, 5' 2' f 1/2' t/4' n'IO 18 40 70 200
CAILLOUX GRAVIERS GROS SABLE SABLE FINW
41"^
E 70 ''3 '" t:iu j_
0 AO - II 1 "
E 0
"* 4- - Í4) -^ --o -iqi -P» 40 1
C» £-_c ^
«) 30-1 u *" _^30 "I_
a. 20
IQ _
- .. .-
Zj
_
- . .. .
* fc^
"
- - - -
1 -
.
-
- - -
. -, ..
n 200 100 50 20 10 5Il 1 i 1 1
O 2J0 I2S 63 25 12.5 6,3
module
--
i:
"^>^
_
»»
"''-~~~~
->s»
'i- i - 1-
_
E^.iill
LIMON
ZJ
.. -
"
...
1
ARGILE
J - .
2 1 0,4 ü,4 U.lQ vj trui il U-'-^joO'Ln >J.> ..| 1 II- ! ''" ""^ mif.-~<tOi»>^'< .1 tr ^ *
2.5 1,25 0,5(mfn)
- ~ ~j
.._
p
.f -tt t 'Diamètres equivalents (nj"* "*
50 48 44 41 |38| 34 31 . 27 24 21AFNOR '
0
10
20
30
40
50
60
70
80
90
100,
3hJ«
^î:.*'^
1
Q
0)
E
B.R.G.M.ANALYSE GRANULOMETRIQUE
Dossier :
Echantillon n' ;
Sondage : P 3
Provenance : Bon Encontre
Nature :
Date de l'essai :
Profondeur ; 0,90/1,10 m Poids initial sec
Clossifie.L.P.C.
..Lp
Limites d'Atterberg
^L¿S,^
^P¿AS
' p
sçG
A.S.T.M
250
moduleAFNOR
flôl R?] [44l [Tn [Wl flTl (Til. [27] f2T| flî
o
Q
ocea
I
B.R.G.M.ANALYSE GRANULOMETRIQUE
Dossier :
Echantillon n' ;
Sondage : P 3
Provenance : Bon Encontre
Nature :
Date de l'essai :
Profondeur ; 0,90/1,10 m Poids initial sec
Clossifie.L.P.C.
..Lp
Limites d'Atterberg
^L¿S,^
^P¿AS
' p
sçG
A.S.T.M
250
moduleAFNOR
flôl R?] [44l [Tn [Wl flTl (Til. [27] f2T| flî
o
Q
ocea
I
COURBE INTRINSEQUE P2-lm; essai UU
Q.
110
100 -
N kPa
COURBE INTRINSEQUE P2-lm; essai UU
Q.
110
100 -
N kPa
COURBE EFFORT-DEFORMATION; P2-lm
100
90
BO
2 70
»- 60
50
40
30
20
10
0c3 O
Ori
1
t
i200'
1
300
r
I
400
^IfSôkPr
1
500
DL E-2nini
COURBE EFFORT-DEFORMATION; P2-lm
100
90
BO
2 70
»- 60
50
40
30
20
10
0c3 O
Ori
1
t
i200'
1
300
r
I
400
^IfSôkPr
1
500
DL E-2nini
COURBE EFFORT-DEFORMATION; P2-lmIIU
100
90
BO
S. 70
»- 60
50
40
30
20
10
0c:>
1
1001
200%
1
300
1
1
400
N=100kPa
1
500
DL E-2min
COURBE EFFORT-DEFORMATION; P2-lmIIU
100
90
BO
S. 70
»- 60
50
40
30
20
10
0c:>
1
1001
200%
1
300
1
1
400
N=100kPa
1
500
DL E-2min
COURBE EFFORT-DEFORMATION; P2-lrn
100
90
BO
S. 70
»- 60
50
40
30
20
10
0c
^
3...... L
Oo
1
1200«
1
300
t
1
400
N=1501<Pa
1
005
DL E-2niin
COURBE EFFORT-DEFORMATION; P2-lrn
100
90
BO
S. 70
»- 60
50
40
30
20
10
0c
^
3...... L
Oo
1
1200«
1
300
t
1
400
N=1501<Pa
1
005
DL E-2niin
COURBE INTRINSEQUE P3 2,9ni; essai UU
roCL
110
100 -
N kPa
COURBE INTRINSEQUE P3 2,9ni; essai UU
roCL
110
100 -
N kPa
COURBE EFFORT-DEFORMATION; P3-2.9ni110
100
90
80
S. 702^
H- 60
50'
40
30
20
10
0c
>
-
31
100 11
200'
1300 1
400
""lísokPT
1
500
DL E-2inni
COURBE EFFORT-DEFORMATION; P3-2.9ni110
100
90
80
S. 702^
H- 60
50'
40
30
20
10
0c
>
-
31
100 11
200'
1300 1
400
""lísokPT
1
500
DL E-2inni
COURBE EFFORT-DEFORMATION; P3-2 . 9m
100
90
BO
S. 70Ji¿
t- 60
50
40
30
20
10
0c9
1
OO
1
002'>
1300
:
1
400
N=100kPa
1
500
DL E-2m
COURBE EFFORT-DEFORMATION; P3-2 . 9m
100
90
BO
S. 70Ji¿
t- 60
50
40
30
20
10
0c9
1
OO
1
002'>
1300
:
1
400
N=100kPa
1
500
DL E-2m
COURBE EFFORT-DEFORMATION; P3-2.9ma
110
100
90
BO
S. 70J:ȣ
*- 60
50
40
30
20
10
0c
(
31
OC3
1
200'
1300 1
400
N=200kPa
1
005
DL E-2inm
COURBE EFFORT-DEFORMATION; P3-2.9ma
110
100
90
BO
S. 70J:ȣ
*- 60
50
40
30
20
10
0c
(
31
OC3
1
200'
1300 1
400
N=200kPa
1
005
DL E-2inm
COURBE INTRINSEQUE P2-2 . 3m; essai CD
CD
Q_
110
100 -
N kPa
COURBE INTRINSEQUE P2-2 . 3m; essai CD
CD
Q_
110
100 -
N kPa
COURBE EFFORT-DEFORMATION; P2-2.3m
120
110
100
90
80
(£ 70.M
H~ 60
50
40
30
20
10
0c3
'
100-
1
2001
300
1
400
N=50kPa
1
500
DL E-2(nni
COURBE EFFORT-DEFORMATION; P2-2.3m
120
110
100
90
80
(£ 70.M
H~ 60
50
40
30
20
10
0c3
'
100-
1
2001
300
1
400
N=50kPa
1
500
DL E-2(nni
COURBE EFFORT-DEFORMATION; P2-2 . 3m
(DCL
2JU
120
110
100
90
80
70
60
50
40
30
20
10
0c
-
^
^
3«
100 11
002 1i1300
'
1
400
N^lSOkPâ"
1
005
DL E-2m
COURBE EFFORT-DEFORMATION; P2-2 . 3m
(DCL
2JU
120
110
100
90
80
70
60
50
40
30
20
10
0c
-
^
^
3«
100 11
002 1i1300
'
1
400
N^lSOkPâ"
1
005
DL E-2m
COURBE EFFORT-DEFORMATION; P2-2 . 3m
120
110
100
90
80
S. 70
H- 60
50
40
30
20
10
0c
-
-
31
Oo
1
2001
300
1
400
"TPioOkPa
1
500
DL E-2nini
COURBE EFFORT-DEFORMATION; P2-2 . 3m
120
110
100
90
80
S. 70
H- 60
50
40
30
20
10
0c
-
-
31
Oo
1
2001
300
1
400
"TPioOkPa
1
500
DL E-2nini
COURBE INTRINSEQUE Pl-3 . 7m; essai CD
fDCL
110
100 -
N kPa
COURBE INTRINSEQUE Pl-3 . 7m; essai CD
fDCL
110
100 -
N kPa
COURBE EFFORT-DEFORMATION; Pl-3.7m-essai CD
220
200
180
160
140
120
100
(£ BO
H- 60
40
20
0c
«
^
m
3I
OO
I
OOCU
î
o
en
t
1
oC3"NT
Ucni^pnIN «JUKI u
1
oC3
DL E-2nim
COURBE EFFORT-DEFORMATION; Pl-3.7m-essai CD
220
200
180
160
140
120
100
(£ BO
H- 60
40
20
0c
«
^
m
3I
OO
I
OOCU
î
o
en
t
1
oC3"NT
Ucni^pnIN «JUKI u
1
oC3
DL E-2nim
COURBE EFFORT-DEFORMATION; Pl-3.7m-essai CD
220
200
180
160
140
120
100
Si 00
»- 60
40
20
0c
-
31
!100 1.
t
2001
300
1
400
M=4Bûkpg
I
oo
DL E-2nim
COURBE EFFORT-DEFORMATION; Pl-3.7m-essai CD
220
200
180
160
140
120
100
Si 00
»- 60
40
20
0c
-
31
!100 1.
t
2001
300
1
400
M=4Bûkpg
I
oo
DL E-2nim
COURBE EFFORT-DEFORMATION; Pl-3.7m-essai CD
220
200
180
160
140
120
100
S. BO
» 60
40
20
0c
-
31
1001
1200^^^ '»
I
300
;
1
400
-N^4Ó6kPa
I
oo
DL E-2inni
COURBE EFFORT-DEFORMATION; Pl-3.7m-essai CD
220
200
180
160
140
120
100
S. BO
» 60
40
20
0c
-
31
1001
1200^^^ '»
I
300
;
1
400
-N^4Ó6kPa
I
oo
DL E-2inni
56
STABILITE DU PROFIL 5 AVEC CONSTRUCTIONSRUPTURE DfiNS LES LIMONS flRGILES
RECHERCHE DES 5URFRCES DE GLISSEMENT PAR BLOCK
NIVEAU DE Lfl SURFACE LIBRE
SOL
1
2
GñMMñ
IbVm^
2.00
2.10
C
ia*Pñ
0.
0.
PHI
DEC
20.0
34.0
100 SURFACES NON CIRCULAIRES ONT ETE CALCULEES
I3-MAY-88
56
STABILITE DU PROFIL 5 AVEC CONSTRUCTIONSRUPTURE DfiNS LES LIMONS flRGILES
RECHERCHE DES 5URFRCES DE GLISSEMENT PAR BLOCK
NIVEAU DE Lfl SURFACE LIBRE
SOL
1
2
GñMMñ
IbVm^
2.00
2.10
C
ia*Pñ
0.
0.
PHI
DEC
20.0
34.0
100 SURFACES NON CIRCULAIRES ONT ETE CALCULEES
I3-MAY-88
56
ÁB
ta
32
2i
16
STABILITE DU PROFIL 5 AVEC CONSTRUCTIONSRUPTURE DANS LES LIMONS . ARGILES
RECHERCHE DES SURFACES DE GLISSEMENT PAR BLOCK
NIVEAU DE LA SURFACE LIBRE
SOL
1
2
GAMMA4 3
10 N/n
2.00
2.10
C
leVfl
0.
0.
PHI
DEC
20.0
34.0
r oc
Cl
tTJma-H
- On:z
3crm
.J I I I '
16 32 48 64 06 112 128 >44 160 176 102
REPRESENTATION DES 10 SURFACES LES PLUS CRITIQUES PARMI LES 100 SURFACES IRREGULIËRES ETUDIEES
FACTEUR DE SECURITE MINIMUM = 0,822 IS-MAY-BB
56
ÁB
ta
32
2i
16
STABILITE DU PROFIL 5 AVEC CONSTRUCTIONSRUPTURE DANS LES LIMONS . ARGILES
RECHERCHE DES SURFACES DE GLISSEMENT PAR BLOCK
NIVEAU DE LA SURFACE LIBRE
SOL
1
2
GAMMA4 3
10 N/n
2.00
2.10
C
leVfl
0.
0.
PHI
DEC
20.0
34.0
r oc
Cl
tTJma-H
- On:z
3crm
.J I I I '
16 32 48 64 06 112 128 >44 160 176 102
REPRESENTATION DES 10 SURFACES LES PLUS CRITIQUES PARMI LES 100 SURFACES IRREGULIËRES ETUDIEES
FACTEUR DE SECURITE MINIMUM = 0,822 IS-MAY-BB
56
íb
40
32
24
16
8
0
STABILITE DU PROFIL 5 AVEC CONSTRUCTIONS. RUPTURE DANS LES LIMONS ; flRGILES
RECHERCHE DES SURFACES DE GLISSEMENT PAR BLOCK
._. . NIVEAU DE LA SURFACE LIBRE
/
/^ '
^^$Î^^1 ^^^^^IflnlnHJV^Hr^^^'^^^^ ~^:^^'
>"C^^^^^
' 1 1 1 1 1 1 ' ' 1 1 1 1 u
SOL
1
2
GAMMA
10*N/f1^
2.00
2.10
C
loVn
0.
0.
PHIDEC
20.0
34.0
'
0370C)3.
CTmCD
nX.2
CDCm
16 32 46 64 Q0 96 112 128 144 160 176 192
100 SURFACES NON CIRCULAIRES ONT ETE CALCULEES
13-MflY-88
56
íb
40
32
24
16
8
0
STABILITE DU PROFIL 5 AVEC CONSTRUCTIONS. RUPTURE DANS LES LIMONS ; flRGILES
RECHERCHE DES SURFACES DE GLISSEMENT PAR BLOCK
._. . NIVEAU DE LA SURFACE LIBRE
/
/^ '
^^$Î^^1 ^^^^^IflnlnHJV^Hr^^^'^^^^ ~^:^^'
>"C^^^^^
' 1 1 1 1 1 1 ' ' 1 1 1 1 u
SOL
1
2
GAMMA
10*N/f1^
2.00
2.10
C
loVn
0.
0.
PHIDEC
20.0
34.0
'
0370C)3.
CTmCD
nX.2
CDCm
16 32 46 64 Q0 96 112 128 144 160 176 192
100 SURFACES NON CIRCULAIRES ONT ETE CALCULEES
13-MflY-88
56
STABILITE DU PROFIL 5 AVEC CONSTRUCTIONSRUPTURE DANS LES LIMONS . ARGILES
RECHERCHE DES SURFACES DE GLISSEMENT PAR BLOCK
NIVEAU UE Lfl SURFflCE LIORE
SOL
1
2
GAMMA
10 N/n
2.00
2.10
C
10 Pfl
0.
0.
PHI
DEC
20.0
34.0
160 176 192
REPRESENTATION DES 10 SURFACES LES PLUS CRITIQUES PARMI LES 100 SURFACES IRREGULIËRES ETUDIEES
FACTEUR DE SECURITE MINIMUM = 0,99 1 O-MOV nn
56
STABILITE DU PROFIL 5 AVEC CONSTRUCTIONSRUPTURE DANS LES LIMONS . ARGILES
RECHERCHE DES SURFACES DE GLISSEMENT PAR BLOCK
NIVEAU UE Lfl SURFflCE LIORE
SOL
1
2
GAMMA
10 N/n
2.00
2.10
C
10 Pfl
0.
0.
PHI
DEC
20.0
34.0
160 176 192
REPRESENTATION DES 10 SURFACES LES PLUS CRITIQUES PARMI LES 100 SURFACES IRREGULIËRES ETUDIEES
FACTEUR DE SECURITE MINIMUM = 0,99 1 O-MOV nn
56
STABILITE DU PROFIL 5 AVEC CONSTRUCTIONSRUPTURE DANS LES LIMONS flRGILES
RECHERCHE DES SURFflCES DE GLISSEMENT PAR BLOCK
NIVEAU DE Lfl SURFflCE LIBRE
OL
1
2
GAMMA
10*N/M^
2.00
2.10
C
loVfl
0.
0.
PHI
DEC
20.0
34.0
160 176 192
100 SURFACES NON CIRCULAIRES ONT ETE CALCULEES
56
STABILITE DU PROFIL 5 AVEC CONSTRUCTIONSRUPTURE DANS LES LIMONS flRGILES
RECHERCHE DES SURFflCES DE GLISSEMENT PAR BLOCK
NIVEAU DE Lfl SURFflCE LIBRE
OL
1
2
GAMMA
10*N/M^
2.00
2.10
C
loVfl
0.
0.
PHI
DEC
20.0
34.0
160 176 192
100 SURFACES NON CIRCULAIRES ONT ETE CALCULEES
56
STABILITE DU PROFIL 5 AVEC CONSTRUCTIONSRUPTURE DANS LES LIMONS ARGILES
RECHERCHE DES SURFACES DE GLISSEMENT PAR BLOCK
NIVEAU DE LA SURFflCE LIBRE
SOL
1
2
GflMMfl
10^N/(1^
2.00
2.10
C
10^0
0.
0.
PHIOEG
20.0
34.0
176 102
REPRESENTflTION DES 10 SURFflCES LES PLUS CRITIQUES PARMI LES 100 SURFACES IRREGULIËRES ETUDIEES
FACTEUR DE SECURITE MINIMUM = 1,199 13-MAY-88
56
STABILITE DU PROFIL 5 AVEC CONSTRUCTIONSRUPTURE DANS LES LIMONS ARGILES
RECHERCHE DES SURFACES DE GLISSEMENT PAR BLOCK
NIVEAU DE LA SURFflCE LIBRE
SOL
1
2
GflMMfl
10^N/(1^
2.00
2.10
C
10^0
0.
0.
PHIOEG
20.0
34.0
176 102
REPRESENTflTION DES 10 SURFflCES LES PLUS CRITIQUES PARMI LES 100 SURFACES IRREGULIËRES ETUDIEES
FACTEUR DE SECURITE MINIMUM = 1,199 13-MAY-88
56
STABILITE DU PROFIL 5 AVEC CONSTRUCTIONSRUPTURE DANS LES LIMONS ARGILES
RECHERCHE DES SURFflCES DE GLISSEMENT PAR BLOCK
NIVEAU DE LA SURFACE LIBRE
SOL
1
2
GflMMfl
i0^N/n^
2.00
2.10
C
loVfl
0.
0.
PHI
DEC
20.0
34.0
100 SURFflCES NON CIRCULAIRES ONT ETE CALCULEES
13-MflY-88
56
STABILITE DU PROFIL 5 AVEC CONSTRUCTIONSRUPTURE DANS LES LIMONS ARGILES
RECHERCHE DES SURFflCES DE GLISSEMENT PAR BLOCK
NIVEAU DE LA SURFACE LIBRE
SOL
1
2
GflMMfl
i0^N/n^
2.00
2.10
C
loVfl
0.
0.
PHI
DEC
20.0
34.0
100 SURFflCES NON CIRCULAIRES ONT ETE CALCULEES
13-MflY-88
56
STABILITE DU PROFIL 5 AVEC CONSTRUCTIONSRUPTURE DANS LES LIMONS flRGILES
RECHERCHE DES SURFACES DE GLISSEMENT PAR BLOCK
NIVEAU DE LA SURFACE LIBRE
SOL GAMMA4 3
10 N/n IB^Pfl
PHIDEC
CDa»CTZX.
CTmo-Hmo
oc:m
REPRESENTflTION DES 10 SURFflCES LES PLUS CRITIQUES PARMI LES 100 SURFACES IRREGULIËRES ETUDIEES
FACTEUR DE SECURITE MINIMUM = 1,602 13-MflY-88
56
STABILITE DU PROFIL 5 AVEC CONSTRUCTIONSRUPTURE DANS LES LIMONS flRGILES
RECHERCHE DES SURFACES DE GLISSEMENT PAR BLOCK
NIVEAU DE LA SURFACE LIBRE
SOL GAMMA4 3
10 N/n IB^Pfl
PHIDEC
CDa»CTZX.
CTmo-Hmo
oc:m
REPRESENTflTION DES 10 SURFflCES LES PLUS CRITIQUES PARMI LES 100 SURFACES IRREGULIËRES ETUDIEES
FACTEUR DE SECURITE MINIMUM = 1,602 13-MflY-88