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.29 ANNE,E, - N' 10,139 ABONNEMENTS i sels. 25 fr. I f mois, 49 mi II on, 92 ID HEAUME ET POLITIQUE ETRANGEEE 0.0» eximonep ap uoisrobp sem ma dernier, le Ministère des Affaires étrangères français a transformé la légation qui le reimésentait à Addis-Abeba en un souple consu- lat. Par là, il reconnaissait, impli- citement du /moins, que n'existait 'phis en Ethiople un pouvoir souve- rain et indépendmt auprès duquel il soit encore possible d'accréditer un ministre plénipotentiaire. Aussitôt une partie de l'opinion française, qui ne comprend pas d'ailleurs tous les adversaires du gouvernement. trouva là, matière à dissertations sur les contradic- tions de la politique d'opposition et de /a politique gouvernementale. Certains ont, en effet, prétendu que Léon Blum et M. Yvon Delbos qui, l'un et l'autre, avaient . récla- mé, sous le gouvernement Laval. l'application efficace des sanctions et du Pacte, continuaient aujour- d'hui, au gouvernement, la politi- que qu'ils avaient combattu hier dans l'opposition puisque, disent- lia, l'installation d'un consulat à Addis-Abeba est la consécration de la victoire italienne en même temps que de l'échec de la politique de la Bouleté des Nations. Il est bien certain, en effet, que In transformation des diverses lé- gations en consulats est une ma- nière de consécration de l'échec de la politique des sancti;ms. , Ce fait indiqué, on ne voit pas la prétendue contradiction où sa seraient mis Léon Bliim et M. Yvan Delbos. Au moment du conflit, l'un et l'autre ont réclamé que l'on mette la force au service de la Justice. Ils Pont demandé avec passion parce qu'ils savaient qu'une victoire du droit sur la violence, qu'elle qu'en soit l'occasion, ne resterait pas sans écho et sans répercussion sur toute la vie internationale. Assurer le respect du droit en Abyssinie, c'était travailler 7,f,fica- eisl tePagsines LBtenèsb kont pas eu raison de la volonté délibérée de l'Italie. Il ne s'agit plus de travailler à taire l'inventaire des diverses res- ponsabilités- et à rechercher l'am- pleur et l'importance respective de chacune d'elles. Il s'agit de consta- ter le fait. Dans la Société anarchique qu'est la Société internationale ac- tuelle, le mot de Pascal est tou- jours vrai « Quand on ne peut faire quo la justke soit forte, on fait que /a force Soit juste ». Quand Une société est impuis- sante à. iMpoSor le respect de ses règles, c'est la force qui Crée le droit et assure leu competences. , Si est normal de réclamer en temps utile le reSpect du droit, et, Itt violence l'ayant emporté, de te- nir Compte, des lors, de cette vic- toire. La Victoire italienne est un fait et pour autant que les faits vous déplaisent, il est toujours plus uti- le de comparer aVec eux que ne iguje.h.ot toujours l'attitude de M. Yvon Labos et Léon Silum. C'est ce dernier qui disait lors de la ra- tificatn. I du Pacte à Quatre qu'il convenait d'accepter toutes les as- surances de Paix d'où qu'elles vien- nent même de mains sanglantes. C'est en étant dans l'opposition que le groupe socialiste vota, la ra- tification de ce Pacte, d'ailleurs inort-né. C'est Léon Blum qui a dit dans l'opposition, comme na pou- Vernement, que l'on ne devait ré- Pugner h aucun contact pour le Maintien de la Paix. (.116 s esséniens (milliers) Exportations valeur (millions de francs) ExpeMations en poids (milliers de tonnes) Wasoha chargés, moyenne Journalière (milliers) Recette, hebdomadaires des réseau» (millions de hunes) ...... Virer.. en comptes-sou. mats postaux FalIlltes (nombre) Chiffre d'affaires. Recouvre. ment (millions de tenues) Tabacs. Vente (Milliona de transe) Production Industrielle. Indice généra/ (base 100 en 1928) Fonte. Production (milliers de tonnes) Acler. Production (milliers de tonnee) 193a.. Textile, RanklItion de Roubaix et 1936.. Tourcoing fusiniste de tonne.) Automobiles françaises Vente IMMUIMSMIMMIRIMITMOS1999/3 @Miette, el aditalnIstralles 3S, rat reetelabat, COUCOUS, - 10. Z00.411 C. C. Pealaaa 5.275 BUREAUX A PARIS I 5. rue SI-AusastIn (20 n Télépb. Mediu 09.00 (3 3i,p3,, M. Yvon Deltas et Léon Blum prouvent chaque jour que l'on peut être réaliste sans trahir sa foi, sa doctrine et souP C'est cela qui trouble une partie de notre opinion. Cette partie de l'opinion qui. en règle generale, n'a pas suivi la po- litique réclamée par M. Yvon bel- bus et Léon Blum lorsqu'ils étaient dans l'opposition, ne parle de leur « changement » qu'avec une certi- tude dédaigne.° et une autorité faite d'ignorance. Cela est regret- table pour notre pays. Les rapports avec l'Italie com- portent encore quelques questions délicate.s. L'on sait que nous n'a- vons à Rome qu'un chargé d'affai- res par ce que M. Mussolini de- mande que le nouvel ambassadeur français soit officiellement accré- dité auprès du s roi d'Italie et em- pereur d'Ethiopie ». C'est une chi- cane de procédure, mais il paraît du moins pour certains français que lorsque c'est le Duce qui la suscite cela devient une politique réaliste. Quoiqu'il en soit le gon- versement a droit à l'appui total du pays dans sa politique catir Le combat pour la Paix est, plus que jamais, le plus grand, des com- bats. Déjà certains elements, exte- rieurs au Front Populaire, approu- vent et appuient la politique étran- gère du gouvernement. Ce mouve. ment doit , Jusqu'à ces temps-nt, c'est de l'étranger que sont venus les ju gements les plus impartis., le. phis judicieux et les monts pas sionnés sur la politique extérieur. du gouvernement. Il serait temp que le pays dans son ennemie montre qu'il n'attend pas le juge A . oût ..ie 010,505,.m. Odens010,505,. useemme - 1936- 413 408 906 408 1535.. 381 373 385 409 1936., 1113 1.190 1.460 1.725 1935.. 1.174 1.180 1.352 1.421 1936.. 2.361 2.413 /460 2.571 1335.. 2.244 2.436 2.466 2.529 1931., 37,2 40,3 46,3 46,3 1935., 36,9 41,9 44,3 92,8 1936., 212 201 207- 193 1935., 201 206 139 181 1936., 14,8 14,9 16,9 16,3 1935.. 13,1 12,3 14,4 13,6 /936.. 550 321 605 672 /335.. 722 457 753 1.072 1936.. 418 387 445 471 1935., 411 367 439 432 1919.. 362 348 358 358 1935.. ano 335 339 347 1936.. 73 75 16 78 1935.. 75 75 75 1936- 465 492 65/ 552 1935. 479 472 492 468 460 545 623 581 537 522 657 508 1.991 6.551 8 608 Pour confondre ses accusateurs... ...André Moriset, sénateur, maire de Boulogne-Billan court, demande à être Pons- suivi Depuis ex mois une instruction 20'11,12.1,, est ouverte, loess, aiialre dm croquerie relative h des faits qui se Penser.: à 50010005 et dans laquelle plusieurs, per...lités de cette mm'mune sont poursuivies. Des négociants en charbons 47 5400 logne, les époux Reculé avaient cédé la ville qui voulait dégager les bâti. mente de la nouvelle mairie un chan les, 100e lequel Ils devaient recevait usmilLat Au de deux ans, ne pouvant fou cher /a somme, qui s'était augmentée de 100.000 francs d'intérêts, Ils sadres aèrent h un homme d'affaires Raymond Derycke qui se fit fort 410001e les fon malles à condition que I. Reculé ver seraient les 00020e francs Oser les eu 'asee t,:ogeeuer chn reste étran sec à toutes ces tracta.tions auxquellee lzreio,, tgemânt Dits.uerrerreerree vernet et un Intermédiaire, Lacroix Jarrier. A la suite d'an incident fortuit let Reculé avaient mu que Delcos, mu lait garder le million pour 10151 aval./ Surin 311000, tee I'boaoms rafr. 0 rftl" ":P11711:01W; en nome temps que les trois entrepre leurs et l'intermédiaire. En réalité 1 F10010 jamais Cté question de dép. sédet les plaignants, qui ont touché leur million. Certains ayant répandu le bruit qm si Merise n'était pas couvert par m qualité de sénateur, il ne serait na, entendu dans cette affaire comme sim ple témoin, mals comme inculpé, al sujet des 100.030 francs, notre ami 7 demandé. aujourd bol, au procureur ge néral de le poursuivre, afin de pouvob s'expliquer devant le Pige d'iastructim et sl besoin est hisv.t la Cour d'as sises. En conséquence André Monnet a 01,55r m demande inculpé de trafic d'in nusuea Il f, 955 ,tt.falree.s. comme arma: ment des historie. poile re onnai- Ire ceux qui le servent en vérita- bleu hom - -- BERELL I En nage quatre L'EXPOSITION. mes d' Etat. En page trois L VIE SPORTIVE. a ..... Inli/111111I11111111111111/111111101401119nuMNIMMINUM .. ... 5111115151111e PUITS METTERS, GRANDES MISERES Cet artisan « raccommode la faïence et la porcelaine », mais il sait également rafistoler les parapluies mis à rnal par la bouresque, insfull111110.4.1.11111ItIv llllllll 1 lllllllllll II/1M ll lllllllllllll t111111111119111111111111 Les flottes anglaise et française bloqueront-elles les côtes d'Espagne ? (VOIR L'INFORMATION EN DEUXIEME PAGE) On trouvera ci-dessous un tableau des pincipaux indices de l'activité économique trançaise du mois d'août au mais de décembre 19364E pendant la période correspondante de 1935. Nos lecteurs pourront ainsi comparer avec fruit et apprécier la valeur des arguments réaction- naires suivant lesquels la situation n'aurait pas changé. Le pourcentage de variation d'une année à l'autre fait ressortir dans les principaux départements de l'économie nationale un accroissement très sensible de la production, des échanges, des ventes, des recettes fiscales et une importante régression du chômage. Ces chiffres, minutieusement établis, valent tous les raisonnements, toutes les démonstrations. A nos militants de s'en servir dans Pr:ouvre quotidienne de propagande. r ere: 2.564 44,6 (I) 39,5 200 (1) 176 16,9 (1) 14,4 599 815 455 (I) 395 503 (1) 457 506 560 10.r8'17 1,..54183 104.70g "4 5.244 13.139 8.760 6 393 8.846 9.300 9.755 + 44.5 3, O.) Citera ptosis.ica calculé d'eneas les résultais handonsadaRus connus ou I« premiers résultats amantes central/ 3.-11 SEVERAC N peut encore discuter longue- ment sur la façon dont il fan partager la responsabilité de crimes entre la société qui les pour- suit et les individus qui les commet- tent. Mais quand il s'agit de l'enfance dé- linquante, il n'y a guère matière à discussion. L'enfant délinquant est la pitoyable victime de tares héréditaires où sa res- ponsabilité est nulle; des exemples qui lui viennent du milieu dans lequel il a grandi et qu'il nit pas choisi; des entraînements d'instincts qui ne SoAh sa eux-mémos m =MIS ni bOnS, Main qui ont été ou mal surveillés on an contraire trop brutalement heurtés; de conditions matérielles et morales Os développement mental et physique mi dépendent de mille circonstances untes lesquelles l'enfant ne peut rien. Tant hies que mal, il grandit cepes- Uni, tantôt rusant ave les forme hostiles, tantôt hérissé contre elles, nais toujours le jouet des influences umives, le triste produit de la misère physique et morale de ses ascendants, le lamentable déchet d'une société elle- même gravement atteinte daim ses par- ties vives. Que faire de cet enfant I Et d'abord, qu'en faisions.nous jus- qu'ici ? Il suffit pour le savoir de se rappe- ler la triste chronique des maisons di- tes de correction, ces bagnes d'enfanta qui semblaient n'avoir été institués que peur faire faire aux jeunes dé- linquants l'apprentissage des prisons ft del maillons de foret qui les attesta dent quand ils set°. dertnue -nantie. Cela va-t-il enfin changer Il semble que oui. Des décisions ré- centes - les unes antérieures an gou- vernement actuel, les aubes, son mu. ers - vont entrer dans la pratique. Oh I naturellement ces sortes de ré- formes ne peuvent pas se faire du jour an lendemain; elles sont parmi selles qui exigent le plus de tact, de délicates- se et par conséquent de prudence; elles sont aussi parmi cellas autour desquel les se fait le moins de publicité, et dont les réalisations progressives ris- quent le pins de passer inaperçues, malgré leur importance et la hante qualité des fins qu'elles poursuivent Voici pourtant ce qu'on a pu lire hier dans quelques journaux: M. Russel, ministre de bs gussi, a chargé M. Agt.ieu, directeur de t'administration pénitentiaire de se mettre en raPport avec l'Education nationale. Mme Brunsehrieg, sou.s.sn crétoise d'Etot nient de réunir pour maison de la Motte-Beuvron sos personne/ nouveau composé trois inCitateurs et de vingt moniteurs. Muerte.. Des maitre, ouvriers leter seront adjoints. Qu'est-m que lignifie cette informa- tion, dont /es dimensions peuvent na- mitre bien menties Tout simplement qu'on est réelle- ment sur la voie au tenus de laquelle les bagnes d'enfants ne seront plus qu'un vilain souvenir. L'enfant, jusqu'aujourd'hui payait pour des délits dont il n'était réelle- ment pas l'auteur responsable. Il était temps qu'on se décidât enfin - an lien de le frapper - à le guérir, à l'amender et t l'instruire. Plus de gardeachiourom et de tort tiomaires ; mais des maîtres et des éducateurs. SEVERAC. Du garde-chiourme à "éducateur Après deux ans d'une enquête ardue la police mobile identifie et arrête les meurtriers du chauffeur Koroch iteui-ci avait eté assaseini le 4 di semble 1934 à MM Sons, uane de conditions quia .9e lent 9( 35 g ment l'agies mn du chu fe Persault. iVuir sa douai Pour l'organisation des loisirs populaires LES AVANTAGES DU " BILLET LAGRANGE VONT ÊTRE ÉTENDUS DES REDUCTIONS SONT ACCORDEES AUX USAGERS DES AUBERGES DE LA JEUNESSE ET AUX TITULAIRES DE CONGES PAYES POUR LE TELEFERIQUE DU MONT-BLANC 4 Morzine (Savoie), Lamie se livre aux joies fa e Ils mIme le, r:"e.rregire,z; uaolpei, dose bien Enfin, certaines restrictions en Ce qui concerne les dates d'usage ont soulevé de nombreuses réclamations, ces dates coïncidant parfois avec celle des mism en congé dans 15555105e. De plus, cer. tains travailleurs, d'accord avec leur employeur, prennent leurs vacances en deux fois Ne aeraibil poa iuste puissont profiter du billet I cliaque congé ? Tous ces points particuliers ont rete- nu l'attention de Léo Lagrange, et mem chacun il s'attache à trouver la solu- tion qui, tout en tenant compte des né. cessites, donnera satisfaction, dans la plus torse mesure, à l'ensemble des cru' Ced d'aineurs n'est, hâtons-nous de /e Nous avons montré comment le gon. 'encornent de Front Populaire, grâce n MetIvité de notre camarade Léo La. 150555, sous-secrétaire d'Etat aux Loi- sirs, souilla développer le tourisme po- pulaire. Maeght, à /a mer collet à 177m.entat 518 naCeill=e?" Jamais le .mping n'avait connu one telle vogue. Et jamais non plus on n'avait assisté une telle 0505 vers 10 55055. Bref, loisirs eue et sports d'hiver ont ejltrelté Celte année Un sUccès sans Un Véritable Courant est gréé. Il 5175, mit maintenant de le diriger. 000 DM le vote des grandes réformes sa- claies de juillet dernier Léo Lagrange prit contact, d'une part avec les granae réseaux des chemins de fer francals afin d'obtenir d'eux d'Importantes codon. Lions sur /es parcours qu'allait choi- sir l'importante et nouvelle masse de bénéficiaires dee congés payés, d'autre part, avec les compagni. de naviga. ton ou agences de voyages en vue d'é- tablie un programme de CrOleiéren 00' 00061 rut d'abord créé le fameux' a billet Lagrange v accordant one ré. duction de 40 %, s'appliquant à l'aller iceiq'sed:WeoreTrea'ai=re un maximum de 34 jours avec obligation d'un séjour minimum de oins Jours. Pour la période du 2 an 31 5050 sen lement on a mi établir qu'environ 200.001 billets avaient été utilisés par 325.095 'TII.u7en dehors des trains a-pédant I tarif réduit, des billets de famine accordant 74 % de réduction a partie de la troisiSme personne, etc... En un mot, le e billet Lagrange s , fut un des éléments essentiele de hacti. 'I'lgtéZraintPZ l5toloeh,ieri docteur cerealf; l'heur er e actuelle à de nombreuses per. 3, enre, radinai sonnes de se rendre aux sports d'hiver tél., ou sur la Me d'Azur. Docteur Lacroix, maire de Nur- 0 0 0 bonne, socialiste S.F.I.O., 180 voix. lof. Montlaur, maire de Doueras, Rais ee billet. mtee aus avantages réactionnaire, 73 voix. qu'il confère, a fait beaucoup d'heureux, Il est incontestable que son aménue ment s'impose. Cette réforme est d'ailleurs à l'usa.Par exemple, IF serait équitable que les travailleurs étrangers résidant eu France puissent bénéficier des mêmes droits que leurs camaradm français. .-mmmmoissummummumnssismemmm M. YBARNEGARAY INCULP9 POUR RECONSTITUTION DE LIGUE DISSOUTE M. MUSSOLINI A o PRETE e LA T. S. F. ITALIENNE AU CHEF DES FASCISTES BELGES QUI NE PEUT UTILISER LA T. S. F. DE SON PAYS, A QUAND LE TOUR DE M. DORIOT OU DE M. DE LA ROCQUE I' CE SERAIT UNE BIEN BELLE PREUVE DU DESIR DE 111. MUSSOLINI DE SE RECONCILIER AVEC NOUS, ET DE NE SE POINT MELER DES AFFAIRES DES AUTRES tunI117 "Pei:0 1%l:f5 eu esougegalTri'ir'e d'Etat. moueeb bien au itnerfe'r'itablePrglesUrrtigtsi des loisirs. Nul doute qu'il y parvienne see réa- lisations étant un gage certain de Pave, Pierre MUET. Election sénatoriale dans l'Aude Carcassonne, 10 janvier. - Ce malin a eu lieu l'élection sénatoria- le rendue nécessaire par le décès de M. Jean Durand, sénateur de l'Aude, ancien ministre. Lascrits, 757 ; votants, 754 ; blancs et nuls, 7; suffrages expri- més 717. majorité absolue, 374. Dût la réaction en verser des tannes se sang, en vu' fusa Ira eneare mieux. Ça Malt tente déjà beaucoup mieux h commencer mi eetle qui invoquent cheque Instant l'intérêt national - oins pour le sel vir que uvor s'en sen ,Ils - chacun malt cle bon coair url LUNDI 11 JANVIER 1037 Le Parlement rentre mardi Léon Blum prononcera le dimanche 24 ianvier un grand discours politique Polo avez relu, l'autre JOU, grau O Br./ce, l'article premier de la loi constitutionnelle du lq Juillet 1975 sue, les rapports des pouvoirs sen., sLe Sénat et ta Chambre des félon Vs se rdunissent chaque année, le se. cond 'Imre de Oarnder... s Ainsi donc, mardi proChain, rentrée parlonte. fere Et le diuternohe suivant, Pas de Prières publiques l Ness directeur a l'annelé Qu'elles avaient Pte suppri. neves lors de ta revision de 1884. No. tes bien nue cette elgtmession fut quelque chose de très important,. dans Fhistoire de . Troisième Rêtethliane Elle fut le signe d'un ressaut répubbi- tain dont la France de suai 1936 ne s'est point montrée indigné, n est vrai que, devant la réussite du Front ,Populaire et la renaissance du pans. I,, rection 15 105 messieurs Prélret pourront dire, dans leurs orai. bons servit. a éteignent', ne Mata abandonnes point. Faites que dela lie dure point, _eu one le pcuPle ait des sieur sonde point voir... En fait de formalités, les assemblées commenceront, sous la présidence de leurs doyens d'âge, par élire leurs bu- rens» respectifr. Pour le fauteuil pré., sidentlel, On ne cons,000 Oe1000SeresoI ni d 0. Herriot ni d M. Jeans...P. Parmi les vicepresidents dont me fonctions seront renrouvelées, figurent, au Palais-Bonnot, nOs Pautin el Morin, et parmi leS eve01e0r4 net. ami Hubert Bouger. Jeudi, d la Chambre : installation dis bureau I discours d'usage du Pré- sident Edouard Herriut v fixation de l'ordre du iour. Ou sait, à ce propos, que le ParlegLeitt ans« d en terminer avec 7e praiet de toi sur l'amnistie et d s'OecUPer des parés par Georges Monnet. D'autres Part. un amPle 710000 s'instituera. Mie gilentouss.iba 10 immirt. Sur la défense nationale et la politique mi/Caire du gouvernement. An mondas. les ministres, selon la coutume. tiendront Conseil avant la de rentrée, pour arrêter le pian de travail O soumettre d l'approbation des assemblées. Mais nous n'attendronS Pas plus ...temps pour signaler que le grand événement du mois de janvier sera le discours one Léon BlUm prononcera le dimanche 24, à Lyon, me la situation potitique. Chest dl. Edouard Herriot oui prési. der, dans la cite dont it est maire, ie banquet de Raemblement populaire O l'issue duquel parlera le chef tin gouvernement. Le président de la Chambre et le président du Conseil seront accompas 0011 par gala Faure et M. Camille Gnantensps, ministres 601510 Mame Dormoy, ministre de l'IntérieUT Georges Monnet, ministre de l'Agricul- ture. et 01. Edouard Da/adier, ministre de la Défense tertio.. Seront également aux ctItés de Léon Blum et de M. Edouard Herriot, An- dré Février, président -adjoint du groupe parlementaire S.F.I.O., M. (Oeil rouent, m'estimai du groupe ras/Mame- cioliste, Gabriel ici, secrétaire de tUnion socialiste républicaine, et Ru stand Jean. représentant du groupe con> 'minute. Rapprochement synehmtb.... Le récolté répondra sana ne cloute an spnaede. Une fermeté sereine, une cohé- sion puissante, el, mater/té MeUe des sereins des 26 avril et 3 end saura repousser les attaques et déjouer tes manieuvres. Ainsi, au seliil chu. année 04 se Inanifente avec Mat le retour d /a santé dem pans que da politique de nos adversaires avait laissé exsangue, rien ne viendra deemmir les leitimes plein de fa el d'enthousiasme, a mises tans ie gouvernement de Front Panalaire 50 dans le Parti - le netre - truque/ dt en a nfie la direution. Georges Tb. GIRARD. LA VENTE DU,, FLAMBEAU » INTERDITE EN AVIGNON Avignon, 10 janvier, - I7n arrété mur nicipal vient d'interdire la vente, O Air/. Le parti socialiste gagne plus de gnon, du e Flambeau », journal du 70 volx MM le dernier scrutin. Parti Sociad FrançaLS. SIIISIIIIIIiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISIIIIIIIIIIIIllllllllll tunnumuliannunnusum llll "LA FRANCE est en pleine convalescence" L'opinion étrangère reconnaît que notre pays est en train de sortir de la crise COMME L'A DIT VINCENT AURIOL, IL EST PARADOXAL QUE LE CREDIT DE L'ETAT FRANCAIS SOIT MOINS ESTIME PAR NOTRE PRESSE QUE PAR CELLE DE L'ETRANCER sa part dois tâche de redreesement écet nomione et financier. Car fl sa set - nous /es avons dénon, eês - qui ont mis des bâtons dans les roues. re,3, (1) 1.284 D'autres ont rechigné, ont boudé. « eyra cesenam Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

à éducateur rentre mardi DU BILLET LAGRANGEimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1937/B315556101_MIDSOC_1937_01_11.… · et pour autant que les faits vous déplaisent, il est toujours

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.29 ANNE,E, - N' 10,139

ABONNEMENTS isels. 25 fr. I f mois, 49 mi II on, 92 ID

HEAUMEET POLITIQUE ETRANGEEE

0.0»

eximonep ap uoisrobp sem madernier, le Ministère des Affairesétrangères français a transforméla légation qui le reimésentait àAddis-Abeba en un souple consu-lat. Par là, il reconnaissait, impli-citement du /moins, que n'existait'phis en Ethiople un pouvoir souve-rain et indépendmt auprès duquelil soit encore possible d'accréditerun ministre plénipotentiaire.

Aussitôt une partie de l'opinionfrançaise, qui ne comprend pasd'ailleurs tous les adversaires dugouvernement. trouva là, matièreà dissertations sur les contradic-tions de la politique d'oppositionet de /a politique gouvernementale.

Certains ont, en effet, prétenduque Léon Blum et M. Yvon Delbosqui, l'un et l'autre, avaient . récla-mé, sous le gouvernement Laval.l'application efficace des sanctionset du Pacte, continuaient aujour-d'hui, au gouvernement, la politi-que qu'ils avaient combattu hierdans l'opposition puisque, disent-lia, l'installation d'un consulat àAddis-Abeba est la consécration dela victoire italienne en même tempsque de l'échec de la politique de laBouleté des Nations.

Il est bien certain, en effet, queIn transformation des diverses lé-gations en consulats est une ma-nière de consécration de l'échec dela politique des sancti;ms., Ce fait indiqué, on ne voit pasla prétendue contradiction où saseraient mis Léon Bliim et M. YvanDelbos.

Au moment du conflit, l'un etl'autre ont réclamé que l'on mettela force au service de la Justice.Ils Pont demandé avec passion parcequ'ils savaient qu'une victoire dudroit sur la violence, qu'elle qu'ensoit l'occasion, ne resterait passans écho et sans répercussion surtoute la vie internationale.

Assurer le respect du droit enAbyssinie, c'était travailler 7,f,fica-

eisl tePagsines LBtenèsbkont pas eu raison de la volontédélibérée de l'Italie.

Il ne s'agit plus de travailler àtaire l'inventaire des diverses res-ponsabilités- et à rechercher l'am-pleur et l'importance respective dechacune d'elles. Il s'agit de consta-ter le fait.

Dans la Société anarchiquequ'est la Société internationale ac-tuelle, le mot de Pascal est tou-jours vrai « Quand on ne peutfaire quo la justke soit forte, onfait que /a force Soit juste ».

Quand Une société est impuis-sante à. iMpoSor le respect de sesrègles, c'est la force qui Crée ledroit et assure leu competences.

, Si est normal de réclamer entemps utile le reSpect du droit, et,Itt violence l'ayant emporté, de te-nir Compte, des lors, de cette vic-toire.

La Victoire italienne est un faitet pour autant que les faits vousdéplaisent, il est toujours plus uti-le de comparer aVec eux que ne

iguje.h.ot toujours l'attitude de M.Yvon Labos et Léon Silum. C'estce dernier qui disait lors de la ra-tificatn. I du Pacte à Quatre qu'ilconvenait d'accepter toutes les as-surances de Paix d'où qu'elles vien-nent même de mains sanglantes.C'est en étant dans l'oppositionque le groupe socialiste vota, la ra-tification de ce Pacte, d'ailleursinort-né. C'est Léon Blum qui a ditdans l'opposition, comme na pou-Vernement, que l'on ne devait ré-Pugner h aucun contact pour leMaintien de la Paix.

(.116 s esséniens(milliers)

Exportations valeur(millions de francs)

ExpeMations en poids(milliers de tonnes)

Wasoha chargés, moyenneJournalière (milliers)

Recette, hebdomadaires desréseau» (millions de hunes) ......

Virer.. en comptes-sou.mats postaux

FalIlltes (nombre)

Chiffre d'affaires. Recouvre.ment (millions de tenues)

Tabacs. Vente (Millionade transe)

Production Industrielle. Indicegénéra/ (base 100 en 1928)

Fonte. Production (milliersde tonnes)

Acler. Production (milliersde tonnee) 193a..

Textile, RanklItion de Roubaix et 1936..Tourcoing fusiniste de tonne.)

Automobiles françaisesVente

IMMUIMSMIMMIRIMITMOS1999/3

@Miette, el aditalnIstralles 3S, rat reetelabat, COUCOUS, - 10. Z00.411 C. C. Pealaaa 5.275

BUREAUX A PARIS I 5. rue SI-AusastIn (20 n Télépb. Mediu 09.00 (3 3i,p3,,

M. Yvon Deltas et Léon Blumprouvent chaque jour que l'on peutêtre réaliste sans trahir sa foi, sadoctrine et souP

C'est cela qui trouble une partiede notre opinion.

Cette partie de l'opinion qui. enrègle generale, n'a pas suivi la po-litique réclamée par M. Yvon bel-bus et Léon Blum lorsqu'ils étaientdans l'opposition, ne parle de leur« changement » qu'avec une certi-tude dédaigne.° et une autoritéfaite d'ignorance. Cela est regret-table pour notre pays.

Les rapports avec l'Italie com-portent encore quelques questionsdélicate.s. L'on sait que nous n'a-vons à Rome qu'un chargé d'affai-res par ce que M. Mussolini de-mande que le nouvel ambassadeurfrançais soit officiellement accré-dité auprès du s roi d'Italie et em-pereur d'Ethiopie ». C'est une chi-cane de procédure, mais il paraîtdu moins pour certains françaisque lorsque c'est le Duce qui lasuscite cela devient une politiqueréaliste. Quoiqu'il en soit le gon-versement a droit à l'appui totaldu pays dans sa politique catir

Le combat pour la Paix est, plusque jamais, le plus grand, des com-bats. Déjà certains elements, exte-rieurs au Front Populaire, approu-vent et appuient la politique étran-gère du gouvernement. Ce mouve.ment doit ,

Jusqu'à ces temps-nt, c'est del'étranger que sont venus les jugements les plus impartis., le.phis judicieux et les monts passionnés sur la politique extérieur.du gouvernement. Il serait tempque le pays dans son ennemiemontre qu'il n'attend pas le juge

A .oût ..ie 010,505,.m.Odens010,505,. useemme-1936- 413 408 906 4081535.. 381 373 385 4091936., 1113 1.190 1.460 1.7251935.. 1.174 1.180 1.352 1.4211936.. 2.361 2.413 /460 2.5711335.. 2.244 2.436 2.466 2.5291931., 37,2 40,3 46,3 46,31935., 36,9 41,9 44,3 92,81936., 212 201 207- 1931935., 201 206 139 1811936., 14,8 14,9 16,9 16,31935.. 13,1 12,3 14,4 13,6/936.. 550 321 605 672/335.. 722 457 753 1.0721936.. 418 387 445 4711935., 411 367 439 4321919.. 362 348 358 3581935.. ano 335 339 3471936.. 73 75 16 781935.. 75 75 751936- 465 492 65/ 5521935. 479 472 492 468

460 545 623 581537 522 657 508

1.991 6.551 8 608

Pour confondreses accusateurs...

...André Moriset, sénateur,maire de Boulogne-Billancourt, demande à être Pons-suivi

Depuis ex mois une instruction20'11,12.1,,est ouverte, loess, aiialre dm

croquerie relative h des faits qui sePenser.: à 50010005 et dans laquelleplusieurs, per...lités de cette

mm'munesont poursuivies.Des négociants en charbons 47 5400

logne, les époux Reculé avaient cédéla ville qui voulait dégager les bâti.mente de la nouvelle mairie un chanles, 100e lequel Ils devaient recevait

usmilLatAu de deux ans, ne pouvant foucher /a somme, qui s'était augmentéede 100.000 francs d'intérêts, Ils sadresaèrent h un homme d'affaires RaymondDerycke qui se fit fort 410001e les fonmalles à condition que I. Reculé verseraient les 00020e francs Oser les eu

'asee t,:ogeeuerchn reste étransec à toutes ces tracta.tions auxquellee

lzreio,,tgemânt Dits.uerrerreerree

vernet et un Intermédiaire, LacroixJarrier.

A la suite d'an incident fortuit letReculé avaient mu que Delcos, mulait garder le million pour 10151 aval./Surin 311000,tee I'boaoms rafr. 0rftl" ":P11711:01W;en nome temps que les trois entrepreleurs et l'intermédiaire. En réalité 1F10010 jamais Cté questionde dép.sédet les plaignants, qui ont touché leurmillion.

Certains ayant répandu le bruit qmsi Merise n'était pas couvert par mqualité de sénateur, il ne serait na,entendu dans cette affaire comme simple témoin, mals comme inculpé, alsujet des 100.030 francs, notre ami 7

demandé. aujourd bol, au procureur genéral de le poursuivre, afin de pouvobs'expliquer devant le Pige d'iastructimet sl besoin est hisv.t la Cour d'assises.

En conséquence André Monnet a01,55rm demande inculpé de trafic d'in

nusuea Ilf, 955

,tt.falree.s. comme arma:ment des historie. poile re onnai-Ire ceux qui le servent en vérita-bleu hom

- --BERELL I En nage quatre L'EXPOSITION.

mes d' Etat. En page trois L VIE SPORTIVE.a

..... Inli/111111I11111111111111/111111101401119nuMNIMMINUM .. ... 5111115151111e

PUITS METTERS, GRANDES MISERES

Cet artisan « raccommode la faïence et la porcelaine », mais il saitégalement rafistoler les parapluies mis à rnal par la bouresque,

insfull111110.4.1.11111ItIv llllllll 1 lllllllllll II/1M ll lllllllllllll t111111111119111111111111

Les flottes anglaiseet française bloqueront-elles

les côtes d'Espagne ?(VOIR L'INFORMATION EN DEUXIEME PAGE)

On trouvera ci-dessous un tableau des pincipaux indices de l'activité économique trançaise dumois d'août au mais de décembre 19364E pendant la période correspondante de 1935.

Nos lecteurs pourront ainsi comparer avec fruit et apprécier la valeur des arguments réaction-naires suivant lesquels la situation n'aurait pas changé.

Le pourcentage de variation d'une année à l'autre fait ressortir dans les principaux départementsde l'économie nationale un accroissement très sensible de la production, des échanges, des ventes,des recettes fiscales et une importante régression du chômage.

Ces chiffres, minutieusement établis, valent tous les raisonnements, toutes les démonstrations.A nos militants de s'en servir dans Pr:ouvre quotidienne de propagande.

r ere:

2.56444,6 (I)39,5200 (1)17616,9 (1)14,4599815455 (I)395503 (1)457

506

560

10.r8'17 1,..54183 104.70g "4 5.24413.139

8.760 6 393 8.846 9.300 9.755 + 44.5 3,

O.) Citera ptosis.ica calculé d'eneas les résultais handonsadaRus connus ou I« premiers résultats amantes central/

3.-11 SEVERAC

N peut encore discuter longue-ment sur la façon dont il fanpartager la responsabilité de

crimes entre la société qui les pour-suit et les individus qui les commet-tent.

Mais quand il s'agit de l'enfance dé-linquante, il n'y a guère matière àdiscussion.

L'enfant délinquant est la pitoyablevictime de tares héréditaires où sa res-ponsabilité est nulle; des exemples quilui viennent du milieu dans lequel ila grandi et qu'il nit pas choisi; desentraînements d'instincts qui ne SoAhsa eux-mémos m =MIS ni bOnS, Mainqui ont été ou mal surveillés on ancontraire trop brutalement heurtés;de conditions matérielles et moralesOs développement mental et physiquemi dépendent de mille circonstancesuntes lesquelles l'enfant ne peut rien.

Tant hies que mal, il grandit cepes-Uni, tantôt rusant ave les formehostiles, tantôt hérissé contre elles,nais toujours le jouet des influencesumives, le triste produit de la misèrephysique et morale de ses ascendants,le lamentable déchet d'une société elle-même gravement atteinte daim ses par-ties vives.

Que faire de cet enfant IEt d'abord, qu'en faisions.nous jus-

qu'ici ?Il suffit pour le savoir de se rappe-

ler la triste chronique des maisons di-tes de correction, ces bagnes d'enfantaqui semblaient n'avoir été instituésque peur faire faire aux jeunes dé-linquants l'apprentissage des prisonsft del maillons de foret qui les attestadent quand ils set°. dertnue -nantie.

Cela va-t-il enfin changerIl semble que oui. Des décisions ré-

centes - les unes antérieures an gou-vernement actuel, les aubes, son mu.ers - vont entrer dans la pratique.Oh I naturellement ces sortes de ré-formes ne peuvent pas se faire du jouran lendemain; elles sont parmi sellesqui exigent le plus de tact, de délicates-se et par conséquent de prudence; ellessont aussi parmi cellas autour desquelles se fait le moins de publicité, etdont les réalisations progressives ris-quent le pins de passer inaperçues,malgré leur importance et la hantequalité des fins qu'elles poursuivent

Voici pourtant ce qu'on a pu lirehier dans quelques journaux:

M. Russel, ministre de bs gussi,a chargé M. Agt.ieu, directeur det'administration pénitentiaire de semettre en raPport avec l'Educationnationale. Mme Brunsehrieg, sou.s.sncrétoise d'Etot nient de réunir pour

maison de la Motte-Beuvron sospersonne/ nouveau composé troisinCitateurs et de vingt moniteurs.Muerte.. Des maitre, ouvriers leterseront adjoints.

Qu'est-m que lignifie cette informa-tion, dont /es dimensions peuvent na-mitre bien menties

Tout simplement qu'on est réelle-ment sur la voie au tenus de laquelleles bagnes d'enfants ne seront plusqu'un vilain souvenir.

L'enfant, jusqu'aujourd'hui payaitpour des délits dont il n'était réelle-ment pas l'auteur responsable. Il étaittemps qu'on se décidât enfin - anlien de le frapper - à le guérir, àl'amender et t l'instruire.

Plus de gardeachiourom et de torttiomaires ; mais des maîtres et deséducateurs.

SEVERAC.

Du garde-chiourme

à "éducateur

Après deux ans

d'une enquête ardue

la police mobile

identifie et arrêteles meurtriers

du chauffeur Koroch

iteui-ci avait eté assaseini le 4 disemble 1934 à MM Sons, uane

de conditions quia .9e lent 9( 35

g ment l'agies mn du chu fePersault.

iVuir sa douai

Pour l'organisation des loisirs populaires

LES AVANTAGESDU " BILLET LAGRANGEVONT ÊTRE ÉTENDUS

DES REDUCTIONS SONT ACCORDEES AUX USAGERSDES AUBERGES DE LA JEUNESSE ET AUX TITULAIRES

DE CONGES PAYES POUR LE TELEFERIQUE DU MONT-BLANC

4 Morzine (Savoie), Lamie se livre aux joies fa eIls mIme le, r:"e.rregire,z;uaolpei, dose

bienEnfin, certaines restrictions en Ce qui

concerne les dates d'usage ont soulevéde nombreuses réclamations, ces datescoïncidant parfois avec celle des mismen congé dans 15555105e. De plus, cer.tains travailleurs, d'accord avec leuremployeur, prennent leurs vacances endeux fois Ne aeraibil poa iustepuissont profiter du billet I cliaquecongé ?

Tous ces points particuliers ont rete-nu l'attention de Léo Lagrange, et memchacun il s'attache à trouver la solu-tion qui, tout en tenant compte des né.cessites, donnera satisfaction, dans laplus torse mesure, à l'ensemble des cru'

Ced d'aineurs n'est, hâtons-nous de /e

Nous avons montré comment le gon.'encornent de Front Populaire, grâce nMetIvité de notre camarade Léo La.150555, sous-secrétaire d'Etat aux Loi-sirs, souilla développer le tourisme po-pulaire.

Maeght, à /a mer collet à 177m.entat

518 naCeill=e?"Jamais le .mping n'avait connu one

telle vogue.Et jamais non plus on n'avait assistéune telle 0505 vers 10 55055.Bref, loisirs eue et sports d'hiver ont

ejltrelté Celte année Un sUccès sans

Un Véritable Courant est gréé. Il 5175,mit maintenant de le diriger.

000DM le vote des grandes réformes sa-

claies de juillet dernier Léo Lagrangeprit contact, d'une part avec les granaeréseaux des chemins de fer francalsafin d'obtenir d'eux d'Importantes codon.Lions sur /es parcours qu'allait choi-sir l'importante et nouvelle masse debénéficiaires dee congés payés, d'autrepart, avec les compagni. de naviga.ton ou agences de voyages en vue d'é-tablie un programme de CrOleiéren 00'

00061 rut d'abord créé le fameux'a billet Lagrange v accordant one ré.duction de 40 %, s'appliquant à l'aller

iceiq'sed:WeoreTrea'ai=reun maximum de 34 jours avec obligationd'un séjour minimum de oins Jours.

Pour la période du 2 an 31 5050 senlement on a mi établir qu'environ 200.001billets avaient été utilisés par 325.095

'TII.u7en dehors des trains a-pédantI tarif réduit, des billets de famineaccordant 74 % de réduction a partiede la troisiSme personne, etc...

En un mot, le e billet Lagrange s, fut un des éléments essentiele de hacti.

'I'lgtéZraintPZ l5toloeh,ieri docteur cerealf;l'heurere actuelle à de nombreuses per. 3, enre, radinai

sonnes de se rendre aux sports d'hiver tél.,ou sur la Me d'Azur. Docteur Lacroix, maire de Nur-

0 0 0 bonne, socialiste S.F.I.O., 180 voix.lof. Montlaur, maire de Doueras,Rais ee billet. mtee aus avantages réactionnaire, 73 voix.qu'il confère, a fait beaucoup d'heureux,

Il est incontestable que son aménuement s'impose.

Cette réforme est d'ailleurs àl'usa.Parexemple, IF serait équitable que

les travailleurs étrangers résidant euFrance puissent bénéficier des mêmesdroits que leurs camaradm français.

.-mmmmoissummummumnssismemmm

M. YBARNEGARAY INCULP9POUR RECONSTITUTION

DE LIGUE DISSOUTE

M. MUSSOLINI A o PRETE e LA T. S. F. ITALIENNE AUCHEF DES FASCISTES BELGES QUI NE PEUT UTILISER LAT. S. F. DE SON PAYS,

A QUAND LE TOUR DE M. DORIOT OU DE M. DE LAROCQUE I'

CE SERAIT UNE BIEN BELLE PREUVE DU DESIR DE 111.MUSSOLINI DE SE RECONCILIER AVEC NOUS, ET DE NE SEPOINT MELER DES AFFAIRES DES AUTRES

tunI117

"Pei:01%l:f5euesougegalTri'ir'e

d'Etat.

moueeb bien auitnerfe'r'itablePrglesUrrtigtsides loisirs.

Nul doute qu'il y parvienne see réa-lisations étant un gage certain de Pave,

Pierre MUET.

Election sénatorialedans l'Aude

Carcassonne, 10 janvier. - Cemalin a eu lieu l'élection sénatoria-le rendue nécessaire par le décèsde M. Jean Durand, sénateur del'Aude, ancien ministre.

Lascrits, 757 ; votants, 754 ;blancs et nuls, 7; suffrages expri-més 717. majorité absolue, 374.

Dût la réaction en verser des tannesse sang, en vu'

fusa Ira eneare mieux.Ça Malt tente déjà beaucoup mieuxh commencer mi eetle qui invoquent

cheque Instant l'intérêt national -oins pour le sel vir que uvor s'en sen

,Ils - chacun malt cle bon coair url

LUNDI 11 JANVIER 1037

Le Parlement

rentre mardi

Léon Blum prononcera ledimanche 24 ianvier ungrand discours politique

Polo avez relu, l'autre JOU, grauO Br./ce, l'article premier de la loiconstitutionnelle du lq Juillet 1975 sue,les rapports des pouvoirs sen.,sLe Sénat et ta Chambre des félonVs se rdunissent chaque année, le se.cond 'Imre de Oarnder... s Ainsi donc,mardi proChain, rentrée parlonte.fere

Et le diuternohe suivant, Pas dePrières publiques l Ness directeur al'annelé Qu'elles avaient Pte suppri.neves lors de ta revision de 1884. No.tes bien nue cette elgtmession futquelque chose de très important,. dansFhistoire de . Troisième RêtethlianeElle fut le signe d'un ressaut répubbi-tain dont la France de suai 1936 nes'est point montrée indigné,

n est vrai que, devant la réussitedu Front ,Populaire et la renaissancedu pans. I,, rection 15 105 messieursPrélret pourront dire, dans leurs orai.bons servit. a éteignent', ne Mataabandonnes point. Faites que dela liedure point, _eu one le pcuPleait des sieur sonde point voir...

En fait de formalités, les assembléescommenceront, sous la présidence deleurs doyens d'âge, par élire leurs bu-rens» respectifr. Pour le fauteuil pré.,sidentlel, On ne cons,000 Oe1000SeresoIni d 0. Herriot ni d M. Jeans...P.Parmi les vicepresidents dont mefonctions seront renrouvelées, figurent,au Palais-Bonnot, nOs Pautinel Morin, et parmi leS eve01e0r4 net.ami Hubert Bouger.

Jeudi, d la Chambre : installationdis bureau I discours d'usage du Pré-sident Edouard Herriut v fixation del'ordre du iour. Ou sait, à ce propos,que le ParlegLeitt ans« d en termineravec 7e praiet de toi sur l'amnistie etd s'OecUPer desparés par Georges Monnet. D'autresPart. un amPle 710000 s'instituera. Miegilentouss.iba 10 immirt. Sur la défensenationale et la politique mi/Caire dugouvernement.

An mondas. les ministres, selon lacoutume. tiendront Conseil avant la

de rentrée, pour arrêter le piande travail O soumettre d l'approbationdes assemblées.

Mais nous n'attendronS Pas plus...temps pour signaler que le grandévénement du mois de janvier sera lediscours one Léon BlUm prononcera ledimanche 24, à Lyon, me la situationpotitique.

Chest dl. Edouard Herriot oui prési.der, dans la cite dont it est maire, iebanquet de Raemblement populaireO l'issue duquel parlera le chef tingouvernement.

Le président de la Chambre et leprésident du Conseil seront accompas0011 par gala Faure et M. CamilleGnantensps, ministres 601510 MameDormoy, ministre de l'IntérieUTGeorges Monnet, ministre de l'Agricul-ture. et 01. Edouard Da/adier, ministrede la Défense tertio..

Seront également aux ctItés de LéonBlum et de M. Edouard Herriot, An-dré Février, président -adjoint dugroupe parlementaire S.F.I.O., M. (Oeilrouent, m'estimai du groupe ras/Mame-cioliste, Gabriel ici, secrétaire detUnion socialiste républicaine, et Rustand Jean. représentant du groupe con>'minute. Rapprochement synehmtb....

Le récolté répondra sana ne cloute anspnaede. Une fermeté sereine, une cohé-sion puissante, el, mater/té MeUe dessereins des 26 avril et 3 end saurarepousser les attaques et déjouer tesmanieuvres. Ainsi, au seliil chu. année04 se Inanifente avec Mat le retour d/a santé dem pans que da politique denos adversaires avait laissé exsangue,rien ne viendra deemmir les leitimes

plein de fael d'enthousiasme, a mises tans iegouvernement de Front Panalaire 50dans le Parti - le netre - truque/ dten a nfie la direution.

Georges Tb. GIRARD.

LA VENTE DU,, FLAMBEAU »INTERDITE EN AVIGNON

Avignon, 10 janvier, - I7n arrété murnicipal vient d'interdire la vente, O Air/.

Le parti socialiste gagne plus de gnon, du e Flambeau », journal du70 volx MM le dernier scrutin. Parti Sociad FrançaLS.

SIIISIIIIIIiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISIIIIIIIIIIIIlllllllllltunnumuliannunnusum llll

"LA FRANCEest en pleine

convalescence"L'opinion étrangère reconnaît que notrepays est en train de sortir de la crise

COMME L'A DIT VINCENT AURIOL, IL EST PARADOXALQUE LE CREDIT DE L'ETAT FRANCAIS SOIT MOINS ESTIME

PAR NOTRE PRESSE QUE PAR CELLE DE L'ETRANCER

sa part dois tâche de redreesement écetnomione et financier.

Car fl sa set - nous /es avons dénon,eês - qui ont mis des bâtons dans lesroues.

re,3, (1)

1.284

D'autres ont rechigné, ont boudé.« eyra cesenam

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

2

LES - ÊVENEMENTS----=D'ESPAGNE

L'INFILTRATION ALLEMANDE

AU MAROC ESPAGNOL

L'embarquement

de soldats et me sem'<ialàes allemands au Maroc es-pagnol va petibétre déterminer MI

France ce cime t psychologique quen'avaient provoqué jusqu'à présent ni la

dettruction de Madrid par les rebelles, nila menace certaine qu'une victoire de cesderniers représenterait pour la France. Ila fallu qu'on découvre un article d'un tranéfranco-espagnol de 1912 et que l'ornbre delalgeishowehi et Melba Efherixen Pourqu'une certaine émotion et-Procluier G Mt'.crie au danger.

Nous regret.e que ne soitdonnée que maintenant, sur un plan quirappelle trop la erise marocaine d'avant-guerre et qui ert en même temps bien étroit

et hien dangereux..Non, Mn accord avec tonales amis sin-

tèree dela paix, nous nones... Pendentdes Mois efforcée de etuffer le 1ene de1événements eépagnols, les différents aspecte

do eccflit qu ey mfiadmie.On pouvait facilement reconnaître bois

ordre de problèmes étroitement Ide t pros

blème international, problême méditerra-ném, problème plus spécifiquement froc.cuir, chaosu de cas problèmes, l'in-

térêt de la pee et celui de la Francoétaient 'et Mat glua que jodlait du mitéois,,igsbigehus

Le France ennoil une Politique ...-dem à renforcer la S.D.N. et à organiserclans-SOrt cadre /a séeurité collective e.Le gouverne.ut de la République topa.anole a toujours appuyé cette poliique,qu'il aivantitc dans sa Constitution. A telpoint que lorsque sou délégué à Genève,M. de Madariaga an prononça pour unerafale do la S.D.N. qui parerait affei-Mir l'institution genevoise, l'émoi lut granden Espagne dans lee milieu* républicaine,

et M. de Madariaga fut rapps/SAu contraire, tout. I. tendances poli.

ligue, uni as trouvent derrière Fesne sonltondes à la S.D.N. et acceptent à sonégard la thèse italienne et allemands. Aprèsle le juillet, les thefs rebelles ont, à plu-sieurs lepriscs, déclaré qu'ils auraient lbbled rEemeere de sa u sujkon a à Ge,nérat, que I Espagne doeSit falta lite fa,tstese « indépmmlente en «tard merle régimes e jeunes n, etc. On comprendce qu'a peut tester d'une te/le n indérdedance dirigée pat lea /teintes italienet allemand, 11 ces donc bien établi que lavictoire de- Rienzo ferait de l'Espagne Minotrael Etter'hatile, non seulement à laS.D.N., mais à tom efficace d'ai-sienne, mutuelle contre ravageur.

Pour la 1;Milllme méSterranécn, nous tn'avens pas besoirt d'insister, tellement rot>position des intérêts y est évidente. Il se tn'agit pet enlemmt du Maroc, des Balla.res, de Gibraltar, mms de I EsPatére.Giornale cl'! tulle 'Zctivâlt que Pour ritnliel'institution d'un régime bolchevik en Es-pagne aurait modifié /e statu qua, et medune l'Italie était décidée à l'empêcher partous les moyens. Nous avons déjà tu tee,radon d'affirmer que le peuple esPagnol ale droit de se donner le régime - quelqu'ileelr_"qu'iliuneeaobcetetèseeic' b

téréte et à ma aspirations. En outre, teusles partis nioséolicains d'Espagne - de laganclse bourgeoise aux communistes se

ber. Mn tee pour et andelieer n teali-f

cinersles .1ileartés réputelkainer ut les con-skie. palitiques de te progrès social dont 1

Fe:apathie s un profond besoin.Man te rotant eue le plan eut lequel se

pleMs le Giornale d'Iloilo, il est 'évident

que ters, argument peut lue automatique-ment retourné, Peur l'Angleterre nt pour/a France aussi, l'installation eu Espagned'un régir. fasciste, fablerrent subordonnéà l'Allemagne et à l'Italie, moddierait /orima -mos méditerranéen. L'Aaglentosle'rume terrerait doue droit de coin.

battre le fascisme en Espagne pour letmena rsiMas - et contraires -g- qu'in.-quan l'Allemagne cc l'Italie Peur EaPPnYa.

Nous Indiquerons en passant Muter es

antres interférences du peoblème espagnol tavez Ter problèmes méditerranéens et an& 1cequoment français. Pour te qui a rePPun Iau pacte méditerranéen, l'Afrique duN.I, aux cama-midden» entre les colo-nies et le métropole, à la a troisiemc bon.tière z pyrénéenne. il est évident que lotoles intérêts de la France s'identifient avec

ceux de l'EstnatMe réPublittirte.

L'Angleterre, la France, l'U.R.S S. mnfavorables à aine politique de non intéven-non en Espagne. Mais la non intervention

gées4pas un don du en ou tue Jeude- hasard. CoMMO les &remue& de lapaix, edmreleisrium.lirtervention ne Peu-vent .être obtenus et sauvegardés que Perl'action, Ces avantagea sont essentiels et

voilas haie qu'il faut payer.Noue restons de l'opinion que les te.Pat.

ses-allemande et italienne aux notes du26 décembre permettent et justifient

censune.Il Patte de rEsPagetcombattants non Espagnol, dit la noteallemande. Très bien. 11 faut le faire tout

de 'suite: Et si 00 ese d'aeéord pote éloigner

ceux qui ont déjà débarqué en Espagne,

on doit être d'autant plus d'accord pourempêrher que de nouveaux confines.Maamomi.

S Mas un très court délai l'Allemagno

et l'Italie se ralEent à ce point de oriel

si elles acceptent le conséquences mie-nnes de la position qu'elles ont prise (Ioleleurs réponses, tant mieux, L'organisationdu contrôle et celle r5r l'évacuation des di-visions itahenne, al/entandes eu autes

peut être réalisée en quelques jours. 511.1A1-

/magne et l'Italie se -refusent à Prendraen commet, et tout de suite les mesuresnécesrairer, l'Angleterre et la France doi-vent prendre elles.méme l'initiative et easspliquer I. formes de contins que la Mtua.

tif. exiges NON minet eu pesapesadenu

me pareille attitude Berlin et Rome fe.ont bonne mine à mauvais jeu.

Il faut une politique active de non:in...-tee 1,0. Si elle aven pu être aophquéej a quelques mois, il n'y aurait plus main-errant de danger poux la paix. /I fautirer des réponses italienne et allemand,

sont ce qu'elles peuvent donner. Et ellelonneront tout ce que l'Angleterre et laFrance voudront fermement leur faire denser.

André LEROUX.

L'inquiétude à LondresLondres, 9 janvier. - Les

lions allemandes dans la sone espagnoleOu Maroc ne laissent pas 50 050550 unecertaine inquiétude à la presse do cematin et le eorteMpendant de Paris auTimes remarque qua l'Allemagne et delàStabli un monopole commercial danseette mue, temia tue le purs da Ceutaust traustoras en une forteresse mo-dem pat les ingénie. allemand« etarmée d'artilGrie loede allemande

Le rédart.r polltbre du Dai. Mer-rot souligne l'anglége causée druesquelque Mme par la situation qui rè-tue . Maroo espagnol. On croit, eneffet, que l'Allemagne pourrait titi/letsRe ports de Tétouan et de Ceuta rom.me S'Oint de départ po. l'Espagne des. nouveaux corps expéditionnaires.

De nombreux marins allemandsséjournent à Tanger

Tanger, 9 janvier. - On signale en,ville la presence de très nombreuxgroupes de marins allemande, qui puteséjourné toute la nuit, en violation des

soue tnterensto.r'steÎr'."

On affirme Maternent que déta.chermes de marine allemands vol d.barque, h Mélilla et sent /mes dans/ancien bel] qui semait autrefois decaserne aux regulares.

Des bureaux de contrôle allemandsà Tanger

Casablanca, 9 janvier. - On mandade Tanger que d'aprês de informels.sérieuses fournies par ma voyageursarrivant de Tétouan, tout le amyles. des

depuis plue.. jours, par den Alle.Les bureaux spécial. de centrale

sont dirigée par dot Allemands et lesautorisations de transit et de séjouren zone espagnole sont de e. en Plusdifficiles.

Lendres, 10 janvier. - Le 0 SM-day Referee n publie, au sujet desévénementsements d'Espagne, une bar-

t' 11 à laquelle ilconvient, peut-être, de faire, provi-soirement du moins, un aocuell ré-servé.

Sous le titre énorme eGrande-Bretagne bloquera l'Idepo-gne e, couvrant la largeur de saprerniere page, l'Organe londoniendéclare avoir appris que MAL Bald-win et Eden ont décidé, m'a moinsque l'Allemagne, l'Italie et la Ras-sie n'acceptent de mettre fin à

l'envol d'hommes et de fnaterielde guerre en Espagne, la marinebritannyed, effectuera le blocus de

Pouce les ports espagnols et que cet-te décision a été MPrieffée,

VIVE DMOTION =

j'eurd'hui, par es ministreg,britan-/Mites ayant assisté b..itt remuait:a

par lePrésidée à Downing Street ,NeW-MOrit, 10 jaraser. heS ministre anglais.

aucun enthousiasme en v09..11 easore sauver la situation: une in-

grOnd paya suâeeptIble de contra-

ers g.. Mu. sante Potin Granite-Bretagne. Len'agira pas précipitamment mut,.1 est évident que la France indic-e pour que l'Angleterre examinea situation et engage avec elle'action commune nece.aire pour

protéger leurs intérêts carmnunsb, la suite des développements dela situation au Maroc au coure dea semaine dernière.

e La guerre civile eSpagnole de-Gent une affaire secondaire pour à 03 que d'as deux ou traie joursl'intérêt général européen. M. 111, M. Eden convoque une conférenceler aurait pu enveyer des milliers de représentants de toutes ies

de soldate en Espagne, poux nom-- grandes puissances, qui il nom-battre . faveur du général Fran- munlquera un plan de contrôle lin-en sans risquer de trouver devant médiat de tous Les beintetes se

lu des canons anglais ou français, rendant dan Mes Pets 6sFaRnOnt,mals 11 est certain qu'il ne polirait ainsi que le contrôle de la frontièrews prendre pied sur la rive Sud du franas-esnagnole et de la érberlèredétroit de Gibraltar sans combat. hispam-portuguise.

De son côté, e Nom-Tort Hé- « P.f. Eden offrira d'interdire im-raid Tribune a passe 001 revue la médiatement, an moyen d'un ordreltuation dans mn éditerial et la pris en Conseil, le départ de volon-

conaldére comme extTérnement taires britanniques en Espagne. La

dangereuse. Il conclut en ces ter-mes

e M. Hitler a déjà montré plu-sieurs fois sa grande habileté àbattre en retraite au moment op-

PêliI-Ftre reaslereatallnouveau! Toutefois, si les desseinsde l'Allemagne su rle Maroc sontréellement sérieux, il ne faudraitpos m dissimuler la gravite de lacrise qu'ils engendreraient. aLE COMMUNIQUC DE LA DEFENSE

DE MADR/DLe conseil délégué pour la défense

de Madrid publie â Midi le communi-' t

effet, l'Italie, l'Allemagne. le Por-tugal, les trois nations qui alasne lesrebelles, mies aux Marocain Ot auxlégionnaires, vol aecumuLe tous lemsefforts. Il reconnaissent déjà, dansleurs émissim, qu'ils ne comptaientpus trouver une cilarte résistance.

e Vous dema vous comporter au-jmrd'hui comme ne premierS Mumde novembre, sam abandonnes votreposte et en le défendant jusqu'au boutL'insensé qui l'abandonnerait n.e met-Orteil pas en péril seulement la libertéde notre peuple, mais encoretempe de ses proches.

e Luttées donc connue noas l'avonsfart jusrm'à 10015001,, én ayant l'assu-rance que nom les jnetion.ns complè-tement on déroute et que la victoirecouronnera nos efforts. Le Peopled'Espagne et votre teméral ont entiè-rement mnflame én veUs

LINE PROCLAMATIONDU GENERAL MIASAS

Le 1(010,01,M:1Q a adressé mut de-fe.nseurs de Madrid la proclamationsuivante

c Miliciens, soldats! Depuis mutjours l'ennemi attaque mec la Plusgrande énergie les posilions quoioi

trouvent aux environs de Madrid. E

LE MIDI SOCIALISTE

LE CALME EST REVENUDANS LA CAPITALE

Aucun incident n'est vem troublercette nuit la quiétude dre

a La bataille du front de Madrid madyitê, oui o e l'agglomé-vstftibv.,

meeniré deasis deux asirs usi le calme qui lui avait fait dé-

pendantserteur d'Arevene

as els'est

mersuiviemandée

eut depud

isvendredthd-mi

émir. Lebratténuéuit

deI a n ta canonnae s'eS énie

d'aujourd'hui. La violence de l'offen- A midi, la situation était sans change-slve rebelle a néanmoins quelque Pen montfaibli, les trouPes allemandes de chocayant dû stipporter de très lourdes -con-pertes au cours d'une semaine dolitho sans répit.

e Les assume d'aviation réputas., 8 " unntalres,e

allemands

ane., dont

puissentle

moraeffortln'a

pasde

été attaque tprxicrd rogo pour nupusuopr le l'ennenuc,continuent la résistance. D Londres, Janvier. - tapota le rie

dada.. diplomatique du s Daily 110.red e, l'optimisme prudent manifeste

la réception dee Hun.. allemmde,et italienne m'est refroidi MotMotquandOS'a appris do nedvelles arrive,. d'Ailemande et d'Italiens en Eann4113. Dalle le eaurant du 114/i9 d'octobre

4 Dg plus, le lunit comt à MUnieh IDE, des renseignements, d vrai direqua 8.000 Allemande seraient en route assez vagues parvenaient à /a Orna,

gi,our l'Espagne. Tout de. raient, Md- brigade de police mobile. M. Paso, l'ao-leaseillent aux iule Allenamea et Ita. tif eommiasaire divisionnaire, me adiens oq'on sait être délit en Espagne, a la premièire brigade, confiait l'enquete

1111111111111111111111111111111111111 lllll orionmovonmouluniounininironourtiecherchait Ms autoum gin meurtre.

Les flottes unglnise feee'e Zaskreleitneeleders1nen... les dou auteurs da

et In:Int:Ise bloqueront-elles meurtre étaientx

Identifiprésuméséset 1M eap-

les côtes d'Espugne ?

.9Pte cabinet britanniqdr, Obn-

Plut le a Sunday Referée est do"Union que les repoases allemandee Malienne as plaidoyer bribann1,-que peul a non edrdrit difficiles pour liAlltinagne etl'Italie le rejet de Cc nouVoaa plan.

« Si le$ gouvernements de Ber-lin et de Rome s'efforcent de ré-larder l'applldation du contrôle re-cherghe. Plarhaesbritarmitingoe4cevea l'ordre d'aglearaPeclerneat setefficacement,

gne, mals netto suVer, centre l'attaque

am

ofirnaux du clirmnehe se Men- L, Raferé, ajaute ,ornsrice a.otiNAL00101 e51010 devant la situationrud:me.aude.Man,roc pyar....19%nr111,trtation

Lei /brame a déjà donné son 9.

e 1"learnre. é/n'e " edeetint's, ndde rdid'ut"trnes- àM. tore

r'nn orne t'on' ftr':rPe° ned "L'et

longs articles et des éditoriaux. oempéper. La forme ToUrril eM d'un vis qui rejointDune un Attlee de fend de tOrt exode ge bleu dépendro donc masiblement celui du « SuradeY

orresPOêilant ê m la question de savoir sl ms na- Referee D

.1eW112..e. n nous opteront une telle coopéra- e III est dePhis en Plut Vrais.,ton. Mois es experte de l'amirauté Natale, écrit-11, que /e plan défini-

e Bien qu'il n'y ait aucune uns. Mitanni:Die élaborent actuellement tif supposera, malgré SOL dilate-re filante que los Allemands aient un plan bien détaillé cet effet. tés, un blocus international. C'estonasemé à neiger Coula, Masai° L'amiral sir Dudley POUnd, n me- la fore d'action qui,Pom Lon-rasenee de trOupes allemandes mandant en chef la flotte briten- dodo, donne le plus de chances à

or la côte du détroit de Cl- nique méditerranéenne, est arrivé la neutralité d'etre uniforme et

miter constitue une affaire Gibraltar à bord du cuirassé impartiale, à la conditon, bilen env. th our tenir tendu, que le désir de neutralité

c-eitleinerit pour VAnglaterre, mais une conférence ad. 11e Charing- soit égal et qu'il soit mis fin àtommas la France et l'Italie. Penn ton, liOnverneur de Giliritre te intervention directe et indirecte,'Angleterre, qui a déjà dépensé e Presque UMM, la Butor Dritans a Ce qui semble signifier que la

Ors sommes &man. pour sa de- nique modlterraneenne est dela e prfflgande russo-cenasunisteense nationale, en prevason d'une dans les eaux espagnoles. Le salai- e en Espagne dolt cesser n, comme

attaque éVentuelle de l'Allemagne, net britannique est prêt, si née.- le dit ce soir un expert diplomati-es canons allemands qui de Ceuta raite, à se livrer bdea Perquisitions

U bord de tous 1M bateaux se ren-dant en Espagne. Les protestationsallemandes, italiennes et rases

que mou .e Quoi qu'il en soit, Londres est

fermement décidée, nous 0'0000,9dit, Aorganiser sans délai le con-trôle effectif, seul suaceptible

ommanderaient le détroit, conSti-seraient une menace Perletuelle

pour seS coMmunications avec"Extrême-Orient et l'Australie. seront ignoré..n pour ta France, 11 s'agirait de »Idwyn aa, ,1 l'ou lifter 1 intervention etrangère en

eêPêgiie, au permet à la situation actuelle de ESasgêe, e le Foreign 09lluo PME

d'u

-

lordn nnet

aumi suaud du Maroc fronça., royy,,,,,, fp, oug go._ suit dan sle secret.yasmiso_ au peint

ee potentiel PM...o. inév ablement a tuas guerre de son Preet.Quant l'Italie, elle ne montrerait gpaspeenne. Une seule chose peut

'installer, an bord du détroit, un y,y-eggion de'ainsim par une puis- L'eeetion législativeor le passage de ses navires. dessus de tout soupçon. Cette puis-

cabinet britannique se rend par-gaitement compte qu'en décidantgo ,amip u mimas, 11 prend un Lille, 9 iambe 100m'tdErosona solraque, en fournixsent notenummt Den. Salengro 4 tenu, ce soir, me5. Hitler et à Mussolini, nue eastme belle réunion n Mao, faubourg d'A,mem exercer des représailles. Pour amcette raisonle cabinet anglais leur Dans un court exposé, clair et m.Pot-Infra l'opportunité de partici- °Ie. notre eamareede a Indique la necer

per une forme effective de con- rite de voter scolanste. /1 a rmrald queles rtrôle internation1011 on s'attend

éactionnaires liallatent pas le drolt

e.11

avaient oond-uit Rome baiengro latombe,

same dont la neutralité ast au-

Frange acceptera, de son côté, de

fermer le frontière franco-espa- CHARLES RFTMASSEmole, de mènee qu'elle acceptent A CLERMONT-FERRANDde ne plus permettre l'envoi de vo-lontaires français en Espagne, in-dépendamment du dit que leFrance donnera égaler/lent sonagrément à la nomination d'unecommimon internationale de con-trôle le long de la frantiOre franco-

de LI

Il énonça ensuite les réforme réel,sens par le gouvernement et fit justicedes eritiquos Quo Ms réactionnaire%responsables de la crise, lui ont ninas,Mea

- dol confiance en votre verdict,dit-il en terminant. Au lendemain dinscrutin, nem pourrons ntoussur la tombe de notre disparu et mi'dire: cg% ne yang& Repose en pal% !

La salie fit un succés au candidat sr'

POUR LA

PORTEURS D'OR ET DE BONS DU TRÉSOR

SOUSCRIVEZC'EST VOTRE DEVOIRC'EST VOTRE INTÉRÊTPRIME DE REMBOURSEMENT

40 ERS POUR 100 FRSINTÉRÊT 3 Vs ET 404MOBILISATION RAPIDETOUS LES PRIVILEGESFISCAUX .ACCORDESAUX FON PS D'ÉTAT

RENAISSANCE ÉCOt,-..,:iClUE DANS LA PAIX

h\.0P7trEMPRUNT

TONAL

Après deux ans d'une enquête ardue,la police mobile identifie et arrête

les meurtriers du chauffeur Koroch

Daus la nuit du 3 au 4 décembre1904, venu g h. 80 du matin, le chauf-reur de taxi Kerma Théodore, de na-banalité russe, 95 am, domicilié 6, rueOr m Croix -Rimas, u Parra, était hjepelé, plage d'Italie, par deux individusmil désiraient sp fairn conduire t mu.visyasMarge: lie chauffe00 ayant ac.epté cette course, le taxi s'engagea

sur la route nationale 7, vers Juvisy.Ardus crus du groupe «Miens des

Oravilliers, u Athis-Mons 00.1010.1, lechatddeur rage den ...mante Perdre decloner. Lam de ceux-1 assomma acoupa de matraque le c./manieur, tandisque l'autre, reste dans la velture 150tirait b bout portant, par derrière, uncollo de revolver dans la rêgionban0.

Aux cris poussés Inc, la victime, /esdeux agresseurs s'enfuirent sana avoireu le tempe de dévaliser Nom..

Bien que sérieusement blessé, celui-01 mit es rendre att cornmissarie depoiles d'Athis-Mons ra 01 fit un brefremit de l'agression dont II venait d'êtrevietténe.

Transporte à rtemital Necker. Kora.examiné, prêtentaon une perforation de

Malgré une °aération, il décéda le 8dcoambre 1984 cou 505000efut rtiquée par la docte. Paul, qui mit ex-traire une balle du calEgre nroaming

mn, SEL'agraire fut Instruite P. le Par

quet de Conbell, mais Penquéte restasans résulte.

PREMIERS INDICES

811111111111111111111111111111111111111111911111/11.111111111111111111111111111110111111111111111111/1

MINISTRESA LA TRIBUNE

Clermont-Ferrand, 10 janvier. -Charles Spinasse a présidé aujour-d'hui à Clermont-Ferrand, le ban-quet par lequel se terminait le con-grès dé la chambre Syndicale del'epicerie de détail.

A cette occasion, le ministre del'éeommie nationale a prononcé/ unimportant discours au cours du-quel il a défini la nituatlen éeono-micitio du pays et appelé 100 Fren-gale à l'effort manilne qui sentpermettra b notre paye de s'enga-ger, sane retour, sur la voie quideiguretge

'enserreé

à. la juetice

'et à'IO %ale.Pr''P

s .M. FRANçorS leLNERS.NesA BEIe5'95,,. ..,.

Belfort, 10 janvier. - Au bansquet qui a suivi le congres de laFédération radicale socialiste deVEst, qui s'est tenu b Belfort, S.l.François de Tessan, SOns-Secré-taire d'Etat à la présidence iletconseil, a prononcé un importantdiscours dans lequel il a passé enrevue les principaux problèmm in-ternationaux.

Parlant des affaires d'Espagne,il a analysé le récent accord anglo.italien qu'il a défini comme un lim-as:nient de pacification dans laMéditerranée.

Petites NouvellesLE lev SCHAGHT

SE RENDRAIT PROCHAINEMENTA PARIS

Dans les milieux &Meringues alle-mands. on annonce que le docteurSohaeht se rendra. à Paris dans la se-cond uinzain de donner Penr me mcomprehenebleal tout à coup, ce enprendre les conversations engagées l'été , d., advint l'étincehe qui amena sied,dernier sur une collaboration é-amenai- t S. 1e00ative de Lombard. la ban.que Yranmorauennande. Parvint jusqu'à Sannuerve qui déplace an

çentre, Rodrigue put le reprendre et mal-gré tne vive opposition marqua l'essai dela ectane.

Oloron avait le trop Padoue amict dejouer /e match nul.

narldonnaite a beaucoup deprogrès à réaliser, ai elle veut m montrerdigne de ses devancières.

A BORDEAUX. - U. S, Tyrossaise batStade Bordelais 12, C. Par e à d

AJOURNEMENT tels CONSEILDE LA 8, O. I«.

A /aa demande des gouvernements11,110.s et truc, le conseil de la société.des Nations, primitivement fixé .

18 janvier, a été ajourné au 21.

LE RAID PARIS-TOKIOadret doit tenter le départ

demain lundiToulouse, 10 janvier.

Relier Paria à Tokio, en moins de100 heures, h bord fun avion de série,un Caudron Renault a Simoun » de tou-risme de 120 Cer, tel Oct le prohlerrmque s'est posé mareel Doret, lat deVmrobatie aérienne détenteur de nom-breux records mondiaux.

C'est dom une lutte contre la montreque le célrbre pilote va engag00 en ten-tant de Crurrir près de 18.000 kilomè-tres, en trois jours et demi.

LA DEFENSE AERIENNÉDE L'ALLEMAGNE

A LA FRONT1ERE DE L'OUESTBerlin, 10 janvier.

Le commandant en chef de la dolenteaérienne dans les régions frontières dePoueSt de l'Allenlagne vient de publierun arrête tendant b compléter l'instrartien des femmes en matière de défenseaérienne. Pour ces cas d'attaque aé-rienne, tiouteruis, il imper'. que Ce nom-bre soit augmenté, car, en cas de mo-bilisation, les femmes desTont, Sortégard, remplacer as hommm dans laproportion de 70 av.

Ou voyage d'étude de M. Daladier

au Maroc est retardé

Rabat, r janvier. - M Edouard 105-ladier, mintstra de la Défense fauc-her, avait tait oonnette son intentiondote rendre au Marx. Mais lb a pré-verni Irréel.. générale qu'il m pou-nait P49 accomplir actuellement le M.-placement envisagé qui se trouve ainsiretarde.

Encore une tins, lin jeune hommt,se suicide en sautant d'un avion

Cdl.ogne, 9 janvier. - un paesagerD'eut culeldn eu se jetaut de l'avion Co-granesIGIMelte UQaL PSI Oc an',

Amédée DUNOIS

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Auch se défendit courageusement maisses avants furent largement battue rima tejou ouvert par le brio des avants catalans.

A 8E21MS. - F, C. de Grenoble batA. S. Biterroise p. 3 à 0.

Les Biterrois ne jouèrent p. leur (eudabituelr ils furent d'ailleurs lominfo enlianes arrières.

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Curan-Mestras par 41 à IA VIENNE. -C. S. de Vienne et F. C.

Lésignanais font match bul, 010,La hem d'ayants audoise fit un houle

formidable et annilhila toutes les et.quesviennoises.

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POULE PA TARBES. - Stadeseste bat Iteue.m.

Stade par 9 5 0.A CARCASSONNE. - A. S. C. bat

Stade Poitevin ar 17 1 O.Carcassonne a ,eagné en grande équipe

del-einem en tomes ses lignes. 12s a étééblemissant. Les Poitevint se sont Deo dé-fendus et ont lutté jusqu'au bout coura-

POULE 0 .

0,,cc u dsu,urd,. 1) aLnd ei001toutun mn, sph,ndide, et ensuite l'appât

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I

12 heures, - Orchestre viennois.12h, 15. - Airs d'opérette,12 h. 40. - Le quart d'heure don

ahonn13 h. 10. - Fantaisie Mali:Mem«

que 1 e A la Ronde m .

13 h. 40.- Marches militaires,17 h. 45. - Musique do danse.18 h. 5. - Orchestre symasonique.18 1.. 15. - Mélodies.18 h. Al. - Orchestre musette.19 hetbrea, - Orchestre de salon.19 h. 15. - Concert varié.20 II. 10. - Chantent, moderne.20 h, 80. - Concert varié. t20 h. 95. - Orchmtre de salon. !

21 h. 10. - Fantaisie radiophonisque i e Lettre bmoo parrain n.

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!sonnais bat F. C. Connais par 3 à 0, Deanl un long moment, le jeu apparaltsi l'équipe d'Ototon récet p,é,,ontéc dans confus, beurté, pas joli; l'arbitre distribue

sa formetion la meilleure, par contre le des coups francs et les deux lianes deRecing.C1. Narbonnais était handicapé der-quarts tem assaut de maladresseo,per les absence. de Boniches, Escadre et Cependant les Agenais qui ont le bal/ ensurtout Marcel Rarrnand, Cd3164 dominent I mars /sure attaquas

Pendant le premier times, ce fut un maommt oe outre de vitesse.lovaGrâce 5 deux hors-jeu des Mimée, inchiale pour l'un dee deux qui..., ,,nin spee panaient Mei à ao dégager, et semquelques éclairs de lord, Lornhart et onoctotmillouo de Albe, bah. loi ohlsoe

Rodrigue. du -.lé narbonnais pennfirent le bulle, ouvre et Geilleguet .4.6 sur laiee Irai, Iee nff dg ses tmo passe à gagé qui marque, Stade, 3,

Muse. ne b; sent pa, concrétisés I la Et le Jen rearend monotone. fortInarque. gement coupé par les tenvoE magulquee

lut demr1ème mi-temps fut la réédition de Sohm. Il pleut dm mués Mecs. Lede la première; los champions de Fran. Shdo puma meimenont plus dm:germaOeso,ivaue in gosoggs,,dg,p, des apéremue deux de ses attaques, !men al-tienne, sertletioaèonoldonat,0000v005eos000000et bas- Aoppées par Agen qui défend sévèrement,que, meis si les avants procuraient géné- Une belle &bal:rade de Maneehremanient le ballon eus lignes arnéres, Mem./ terminée, et c'eet la mi-tempo,celles-ci se monasime incopabloe de con- Oit la reprise, dix bonnes Mine. da.dure: parties cent fois à l'attaque, cent tant les Agenais out mage fossilisas etfnin enec éam dmthem ,S9 7alliamll. jouent dans les 15 Mètres staMstes erre-

gement à l'ouvrage. Seudahr, changementde tableau.V,tlsoe s'échappe.asseDacesLeugere qui marque; l'arbitre n accord

malle cailles.. mus se Oremamimie Stade, 6,

Le Stade dès Inrs a trouve' la bonne ers,buretioe, comme on dit à la Compagniedu Gae. Le ballon vole de mains en.rine. Cadiaguet expédie à tG,auaa,revient à Gliagnet qui envoie à Cribléc'est le troisième essai.

Lo Stade a la partie en rs,r.e. il exécutedes départs magnifiques qui soulèvent leiapplaudissements du PebEc. eleto oie 1.1Agenais se désunissent vhiblenent. Deuxesses sont râtés d'un rien par len rougeet noir.. ou plutlo refusés par ilebitre,Le Stade décidément u allumé le feu d'ar-asée. Cammens marque sur rouée le qua-trième essai. Et voici une &lem.e dehand bai/ sous les yeux ahuris des visiteursnui évitent encore deux emais par chance.

L'arbitre d0 le fin, cependant que lepublic is'écou/e ravi de cette fin de partie.

Les Agenais tinrent parfaitement le couprot ,reraière ini.teMps. sentant la ballon,jouant bien la muet. P. coutre dunsdernière domiebeure du mach, ile fmentnatter.. battus. Les trois-quarts quimontrgrent une asseg jolie défense dolene

au début se relâchèrent par la mite, Leursattaques manquèrent d'ailleurs de variétéet de perçant. Duniach. Dagan. et Ear-rière Alba fureal les meilleurs.

La lizne d'avants stadiste n00000 00beau courage et... le ballon en deuxiè-ne ,mLtems. Mais pourquoi dom truquer

milieu de fi7turr "Deux arec ete joueurs rl.e cette Egne

Sergé et Carné: en revendo. deux boni-mcs qui n ont pas en ce moment lenspince.

Partie active de Vilher qui a le Mdcependant de ne plue s'occuper du ballonquand Il lui échappe. Très sdroit Voaid,au demeurant retarde parfois l'attaque cen eut pee un imama de vitesse mais dee train., Au cemre, Csauseens'et surtout,Conflaguet par leurs attaques donnèrentsouvent du mordant è la lime. Jsernabs,blessé, n'apparat pan. Grange très décidé.Sehne fit une partie splendide; soulevaEenthousiaree du public. C'est ois gruedarrière... dommage seulement qu'il n'slitpas joué au centre. Meir comme il n'estlme le hen Dieu, il ne peut Ire partout.

M. Roqueben de Biarritz arbitrait. D.

A TOULON, -O. C. Toulonnais berU. O Thuirinoise par 11 15,

Thuir résiste magnifiquement et broultisle jeu,

Port détaillé adressé em-Murs derniersau procureur de la République deCorbeil qui effectuait la réouverture del'information judiciaire dans l'Altelin4gruse.

!ni UE. VENTM. Delgay et sen collaborateurt, fon.,

nis d'une commission mgatoire de M.Lévr-Valensin, Juge d'instruction autribunal dE Corbeil, procédaient u 'nu'ditMn r Caen (Calvados) du principalauteur do l'arrosai. d'Atids-Mens. Ille stuteealt dc nemme Gintorg Beruerd,né le 17 juillet 1906 u Paris, employécomme reanomme à la eldrerie Lem.

dem05050i, i, pue 11.00e-CalZ.ce individu, ruons de justice, sPie

cialiste du vol et du vagabendage leocial étet interdit de séjour. Longue-ment internogé par M. Delgay lot oom-miseuriat central de Cam, Ginberg,malgré toue log éléments de oulpaasitarelevés h son endroit, s'obstinait à nierSa participation à l'agression. Nen-moins, il était Bénoué sur mandat d'ai,rét délivré par le Pige d'instruction.

Sens désemerer M. Degas, ea mnretour a Parts, faisait espréhender lesecond criminel, Albert Dessons, Mi le6 avril 1910 h Yen...les-Sablons (S.-e0-111,), célibataire, vivant en garni, gr

rde;nreut/T'J'1".e'onL PeIU'gl:ena chantier de In région part Mune-

Desseins, interrogé dans les moindresMeade am con emploi du Muge eten fastuentation pausa binas dmasieUX eomplats, Indiquant quel avaitête sen 001e et relu! de Ginborg lordde regrets/g/1,a 'surie, Occlutltleao

greenDessous renomld que l'arme du vol.

me lui appartenait et qu'a 111 demandele Girhbarb 11 Pavas 4PP00I0 pour com-mettee la Mallette. Il affirma que, cerevotter, II Mn Mau deliarrassé.Parsuite, me le Mitant dans 10 Seine.

Amee ma diras Démens Oui da pitomaromas On medium/mou a ambcdmé. nuimdlial au DOM, aur man-de d'arret du Ilogo trimbale!. de Gor,bail.

ennounnuninenlelltuntininnernimusieuesenuninummenntenutruitiltel

La Vie Sportive

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

EDUCATION PHYSIQUE ET SPORTSNOTULES

Ici et là-- -En 1937. innovation &ou le Tour Ste

France. Pour da prentiére fois, les eov,rears participent 8 la Grande bouclematant autorisés d utiliser le change.osent 4e vitesse.

- Quoique certains ne paraissent pasn'ormet- cette décision, de pansegu'ene est fort intéressante et Que res.tai devait dire tente. Elle apporteratom aucun doute un suPp/éntent d'OS'Wei à l'épreuve et consacrer« défi.-«ventent la voeu des vélos 111.,a deO demultipliestions e. Et reeéridaceferait être faite

1*Voilà encore an nouvel exemple de

kt triste situation des sportifs mail-eant de ta rapitate. Après Ber-peurs,Duciane«. Oentill. etc, te stade de

Tron500rttùla porte den 107138 neDeparattra Ce club qui pratiquait ré.

ducatton phystque - t'ai Publie Ou«,ques Photos de rentralnemens des jan,nes de rn.E.T. et onntstatt un nom-bre étend de membres, va done se trou,ver démuni de tarratn.

Hans chercher aufounrhui la causede cette trouve. 8CW...fi,,o de stade,On peut bice dire qu'a est scandaleux- d l'heure- oil tous te mande partedentralnemot - de voir disperseraun terrain .nsaérd aux eserciees Ph>niques. sans Qu'il soit remptood aussi-tôt par des tostallatsons de superficiecorrespondante.

Ma« on ne comprend pas encore suf-fisammenten Fronce-et notamment dPorte, la valeur de la formule en 7300.fleur. outre-Raire, d l'époque do la ré.publique de Weimar a

u tilt stade et un gymnase remota-cent na hôpital.

11 serait pourtant temps que ron srpersuade de vérités aussi essentielles.La ganté du pays l'exige impérieusement.

Une Phase do MAt0/1 Marseille-Racing de Ranh

1111111111111111111111111151111,1111111111111111111111111111111111111d1111111111111011111111D11111

POULE FL CHAMPIONNAT DE LA LIGUEA BRIME, - C. A. B. bat Bègles par DU MIDI

il I il A SAINT-GAUDENS. - Boulogne bat

POULES D'HONNEUR St-Gaude. P., 5 bon à 0.A MUilET. - Mu. bat Revel par 2

A ALBI. -- Sporting.Club AlbigeoisA cAzEREnrutkaâ, bat Labastide

par 7 buts à 2.A LUCHON. - Luchon bat Monmuban

par 7 buts à L

Partie officielleCOMITE DES PYRENEES

seAsna.froden..ner.t.po.nts t3 ems, 2buts 'transfomes. I ut sur coup franc) à8 Il essai, 1 but, 1 but sur coup franc).

Très belle pante ott Albi a e,onfirmé leevéri.bles qualité., de ses lignes a trett.A Pmant Bousquet a bran...nu...ésa lilme. Rodao possède une balla équipa.mais toutefois moins méthodique

lies bon min.. d. M. Crémât..A casnus. - C. O. bat D...molle

par 72 à 3.Nette victoire des Castres qui dominé- GauAens, Segglend, Ltuilhe, Saute, Las

rent rake à leur man 07 50 brto d. quel- ri., Bayard. Lafforgue. Maury, Aurtsc,qttee mue.,e dent Ao,eud. Dain., Marty, Giraud, Paulhes, Hercher,

A LOURDZS. - Seint-Girone bat F. C. Blanc, Barloté,Lourdais par 340. Excusés t M.M. le Docteur Poussine,

Les aven. 5t-ceeme. egnérena te Eoyer, Aeoigs, Sort., Cobol, Galau, tamt-match. . teatn.

A QUILLAN. - U. S. Q. but Ville Le procès-verbal de la dernière séance enneuve par 3 d 0. adopté après lecture.

Nette silperioritt de Quit., qui avec un Correspondance. - De MM. Jean Touspeu p/us de chance aura" de I emporter ret, Henry Doubaud. et du Toulouse Amanettement. non Sport, adressaot leurs pour l'an-

A MAULEON. - S. À. M. bat F C. née 1937. Le Con,té adresse ses remercie.Cannausin par 23 à 0. menti aux intéressée.

Les Carmeusins furent dominés dans De réa S. de Larroque dtOimes &man-te.. t leurs lignes. . dont qu'une rencontre rte ...annale ou de

A BErGaRAC U. S. B. bat White finate soit jouée sur .n terrant. 11 ra.misperpignanais par 8 à 0. à la Commission des Calendrters Po. la

A MONTPELLIER - CavaillonMontpellier font match nul, 0 a B.

COUPE DES PYRENEESA PAMIERS. - Veillante Antilundenne

et Stade Beaumontois font, match nul,

sune a donner, le cas eche.").Du aié.eaudn Olympique et Grenade-

Sport réunis, demandant t I. l'eutoriAtionde se déplecer en auto-car à Béleeta le 10janvier courant ; 2. au sujet de ta désigne-non de I arbure pour ce. rencontre. Aa.

alcolaéro. cordé pote la première t Transmis à laA MONTREJEAU. - Il. S. nt bot CommiAion d. Arbitres pour le deuxième.

StadaMeesmémin par 13 à 0 Du Club Sportif Albigeois demandant r

A TOULOUSE. - Marengo bat Stade L Eauteriestion de se déplacer à Videra,"Cadurcien Per 3 I 0. en auto-car (accorcht3 t 2. au sujet de la

requalification du joueur Bonxon LMATCHES AMICAUX (Ce jonen, ne neet êtr utilisé en mucien.atchof-

A VALENCE-D'AGEN, -- Valence bet fifciel qu'a partir du 18 janvier 1937.S.d. Clermontois par 31 40. De PU. S. Bastidienne demanda. Leu.

-A MONTAUBAN. - U. S. M. bat torisation de se déplacer en auto-car à Au-Périgueux par 15 à 5.

-ao7---' RUGBY A TREIZE

CH"1=1,5,1L'A"OA BORDEAUX. - Bord.. 13 bat

Parie 13 par II outn. àA ROANNE. - Roanne 13 bat Lyon 13

par Il points à 7.A ALBI. - Perpignan 13 bat Albi /3

tenve. )Aocnedll.Du F. C. Carmausin adressant ses rentes

elements au Comité pour l'avance du prixcollectif qui lui a été consentie pour sonmatch da championnat de France à jouer àMauléon. eris note).

De l'Avenir St-Cyprien Toulousain de.mandant au Comité de reporter au 24 tau.vies I. match à disputer par son équipe

junior s le 10 janvier La date d. 00100.vie, est maintenue pour cette rencontre.

Homo/oaation des Matches. - Les résot,tats des matches joués le 3 janvier 1937sont homologués sous réserve des suites àlrtt. Po. u

M34.39,. 1.0e de ten ettyrertt A2bi .3 donner ...anone ar

Rert Psiu. 0e des"n't A LA COMMISSION DE DISCIPLINEde tels,adversair.. Albi a montré qu'ilpossède une nèti bonne équipe et qu'elle Paris. - La commission Al discipline

de joli ruey ame ou boa ami. de la F. F. R. s'est réunie .mediséance plénière. sous la présidence de M.

Jen.. avec lm peu plus de cran aurait Lenteirèaet a examiné divers dossiers

le score.n'entrateant aucune sanction sauf Pour les

augmente joueras Lope., Lacroix, Baillaud du Tou-loutse-0 E. C., qui ont été radiés pourfaite de profession.lisme, après enuoà,o

ASSOCIATION MM la plainte 'e l'A. S. %sonnais,Elle r. ensuite décidé de déléguer des

PREMIERE DIVISION membre. de la commismon aux diffemmea

Excelsier de Roubeix bat Sile, 3I 1. rencontres du championnat' de France.

- Olympique de Marseille bat R. L de A LA COMMISSOIN DESNouba, 4 à 1. - Olympique Lillols et REGLEMENTSRennes font match eel. 0 à - F.. L. Parie - La commmmon des reniement.Rouen bat Red-Star, 1 à .

I I 0, _ sodasua bat peebee, de Ir F. R. a prie les décisions suivan-

31 I. - Mulbouse et Cannes tant Match

nul, I à I, - Strasbourg et Racing-ClubElle ecrardo la Iiceoct

de Paris font mem , 0 a R.

Le dassementI. Rouen. 2h p - Sochaux. e

envants Fagot, en faveur du Stade DI-jonnsis, Figue, 01s, Stade Bordelais:Winter, pour l'Olympia. de Marseille tGroco, pour le R. C. Courbevoie, Dausset,

- 3. bile, 24 P. - pour le Pontet.5. Mate, Marseille. 22 p. - 7. Strasbourg, D'eu, cool, in eeeerei,,ie, délinre le

Five, 21 p. -9. Sète, 20F - 10. Reck lice.a d'étrenner a. joueur Be- haver,

Stm. Excelsior, 18 p - 12 - Cen., en fente," d. 1. Section Patoise. Le esta

16 P. - le. Antibes. '5 p. - 14. Rochet," mildiou ennuie, ensuite. lnd000eodadc

2e 15. %nec. Il os. - 16. Mulhou- fle.te,iee oteols ',se le jqneur Chalesd. des

M. 10 n. ' Cleeenine, d'Onebee.

'AI publié, la semaine passée, la lis-

jtedes Auberg. de Jeunesse du

Centre laïque, pouvant accueillir lesfervents des sports de neige. Elle est

Inlposante, et /es skieurs n'ont que l'em-barras du choix. Vosges, Jura, Alpes,

Pard.nées. la moyenne comme la hautemonta., attendent nos jeun. camara-des disposant actuellement de quelquesloues de loisirs.

Cette énumération marque avec forceles progrès du Centre teigne, les effortsde son secrétariat. de ses clubs d'usa-gers. de tous ceux qui, un peu partotit,se sont faits les propagandistes de cettecréation tellement utile, et tittiattiourd'hui absolument indispensable.

Mais si l'on se bornait à l'indicationdes centres hivernaux des Al. Mecs,on n'aurait qu'une idée imparfaite de l'ae.tivite de ce groupement. Pour faire un-tentent le point, pour mesurer le cheminparcouru en peu d'années par le mauve-ment des Auberpes. pour apprécier sondéveloppement, feuilletons le Met, motra/ présenté à l'as.mblée générale dusta décembre. Il fut adopté à l'unanimitéaprès que le président, notre camaradeLapierre (des instituteurs), eut marqué,avec juste raison, tout ce que cette belleuvre doit t sa secrétaire générale, Mte.GrunebaumtBallin.

+De création récente. le Centre talque

est venu à son heure. En peu de temps.il a pris la tête du mouvement d'Auber-ges françaises, et c'est, actuellement, l'es.sociation d'A.J. la plus Importante de no-tre pays. Aussi, comme le dit fort juste-ment le secrétariat en téte de l'étude àmanuelle je me réfère, ledit rapport n'estpas un compte rendu, mais un bulletin devictoire. Qu'on en juge.

Cette année, to5 auberges ont étécréées. Depuis la parution du dernierguide - en juin - une soixantaine denouvelles réalisations ont été enregistrées.De nombreux projets sont à l'étude, quipermettent d'espérer, pour les prochainesvacmces estivales, de mèiuo relais d'et.

Des régions oui, jusqu'ici, n'avaientpas, nu peu d'auberges, s'équipent pourles aunes. L'Ouest notamment: Bretagneet Normandie. Les réseaux exisMnts déjàse développent et s'accroissent en Proven-ce. sur la Côte d'Azur et ailleurs.

L'idée des A.J. est lancée, a gris corps.Partnut des dévouements Se Présente..des tentatives s'amorcent. .4aatith",-et lesautres dépassent maintenant lé ladre dela Métropole. Après la Corse, voici LAI-aérle,e,em106; le Maroc qui vont avoirleurs Auberdeedu Centre talque. La loi.taire Indochine se met également sur les

,

+55 notta.,

II serait injuste de p.ser nous silencel'action des F0009 07 Mères Aubergistes.de ces dévoues qui veillent se nos aubesges. en assurent le ben fonctionnement,y créent et y maintiennent l'esprit de feu'lamelle camaraderie, de solidarité nui teltme notre Centre talque. Comme le dit lerapport moral, eux qui ont la charge de.Auberges considèrent leur rôle comme unvéritable apostolat, .nt des animateursincomparables de cette belle ouvre.

..5, côté, les clubs d'usagers des A.J.naissent et se dévelopent rapidement unpeu partout. Le premier en date, celui dela région parisienne fait preuve d'une a.tivité débordante. Groupant des centainesde camarades. tl orgartme regultérementdes sorties, des conferenc., des visitesde musées, d'expositions, une sensée art.tique, suivie de bal. Il possède des groupescycliste, motocycliste, de natation, de marale, d'édu.tion Physique, une ailtrileIl va mettre sur pied une section théâtrak.

51Naturellement, le nombre des nuits

d'hébergement progresse également, Ense33, en en cornet. to.000. Cette aanée, Il y en a dépt st.orto. Et il faudraajouter à ce chiffre respectable, le tom

deertro;Il

do,

d'usagers pendant ks tétes1 Jour de l'An, tant en Men.

tagne, pour les sports hivernaux, qu'auBord lets Méditerranée ensoleillée. Quel-ques tours avant l'assemblée générale da04 décembre, il n'y avait plus une placefibre dans les auberges du Midi ou montagnardes pour les fêtes de Non.

Aussi, envisage-t-on de multiplier cel-les de lutute altitude, en raison de l'atti-rance actuelle du ski sur la jeunesse.D'ailleurs, les fervents d'ascensions pnoflteront également de ces étape, dumetla belle saison. Cette extension de l'aevite du Centre dans les régions acciden.tees s'impose dam

Autre baromètre - sl le puis dire -du déve/oppernent du Centre Digue. Sonbulletin mensuel 7 « Le Cri des Auberges e. Le premier numéro, date de démembre me comportait 4 Pages et farthé à r.o. exemplaires. Actuellement.il n'a pas moins de té pages, les proche!ssen compteront sans doute m. Une dlpeine de milliers d'exemplaires appoMent.chaque mois, des nouvelles des A.J. àun nombre élevé de Camarades, avidesd'évasion, de grand air, d'exercice, d'hoanone nouveaux

11*SI t'action du Centre bague est annal-

dérabl e Fra si sovrdeaau d'A bges couvrant notre pays s'étend toujoursdavantage, crée sans cesse de nouvellesroutes, de nouveaux itinéraircr tourie-ques de eues, son influence à l'étrangergraedit de rame.

Plusieurs fédérations amies ont passédes accords mec le Centre. Celtes deSuisse - 20p freP7P<P-, de Tchécotilo-vaquie - nui en possède goo - reçoiventles porteurs de la carte d'adhérent des A.J. Nos Imre, cammaies ont égalementSecIs due ire lsuberesg beim dm Ite

LE MD/ SOCIALISTE

refuges d'Amis de la Nature en Belgique,en Hollande, etc.

Ainsi en très peu d'années, - gràee àdes divonemeMs inlassables, à l'appui dela C.G.T., de la fédération dm municipe-lités socialistes, de la ligue de I enseigne-ment, du syndicat des instituteurs, etc.loi, (qui furent les fondateurs de ce mou-vement) un outil merveilleux a été forgé.Il permet 41e jeunesse ouvrière, citadineet compagnarde, de voyager t bon compteItou notre pays et les nations voisines,de se retrouver aux vacances, eux heuresde détente, avec des .marades du mêmeâge, de milieux et d'idées semblables, ouà peu près. +5+

Que tous /es camarades qui profitent decette belle organisation, qui ont pu en ap-précier la valeur, la néce.ité, se fassentO leur tour les pionniers, /es propagants-tes, /es artisans du Centre laïque. Car a- -

celui-ci doit se développer sans arrett Sesinstallations douant devenir de plus enplus nombreus., de mérne que le nombrede ses adhérents, des usagers.

Et ceux 1007 1e jeunesse s'éloigne, ceuxqui n'ont patio /e bonheur - lors deleurs ao ans - de profiter de réalisatio.de cette sorte, ceux dont les raves de dé.part, de nuite bercé. par le roulementdu nain, de réveil d.s des contrées in-connues, sont restés sauvent teatisfaits.doivent aussi penser p lems cadets, auxIcones d'aujourd'hui, à ceux de demain.

Ce qui n'existait pas jadis vit maintenant et prospère. Il s'agit d'aide, l'ouvreà-progresser sans c.., à lui procurerdes clients et des auberges nouvelies.des concours toujours plus nombreux.

Parmi toutes les orgatilsattons destinéesaux jeunes Français, le mouvement d'Aitdu Centre teigne moto une importancecapitale.

Remercions ses animateurs d'avoir siBien réussi S ouvrir de pareilles perdra-bora pour /es losirs, pour les vacancesdes moue de 30 ans.

Pierre MARIE.

001 LI aISeS net t000eronO, On.lusVolVeP5000 11,11. "

rt) Ctons aussi tarint tes membresIms Asnia de l'En`ence ou-

niève a, ,e le Cercle universitaire .nter.natenal a, /a crter

taen munteimue du

l'ensetgnernent, les jeune...Maques etrôlmbhunmes, ta E.S.G.T., l'Union desVilles se France.

Médecine préventiveC'est d'abord le retour a cet. notion.

sin"la ocenme toutes les abuses Prt-monnaies, que /a ma/adie est le plussouvent entable et qu'a Importe avant

et de les respecter. Noue connels.nsla santé moine Sien que la maladie.

C,st le retour a une conception p/ueal,u et tilue sage de la façon de vi-vre, c'est une réaction manse tout l'a>titiste, de la vie dite 010111,0e, C'eet l'a-

t rsme Men

ï114'n'il:urt:neer'pri'74O'erl'eruts ralt;terrain.

P. Dmonn(Tende.as de la Médecine moderne)

Un gamin de 17 anstente de tuer son pèreLisieux, 9 janvier. - Tl y deux

ans, A la suite de cambriolages. le len.Luelen Jeanne, âge de 15 sme 05 Pà.

Poque. était placé par le tribunal dePont.l'Evaque, soue le régime de la li-berté srsvellièe et confie b sou pare,un ouvrier d'usine de Dives-sur-Mer.

Violent et buveur, Lucien Jeannemenu h gen père nue vie infernale.

Avanhlder, le malheureux pêne. Alemi assommé par son file, demandaitSon . dernier lui soit retire.

Le marne soir, Lucien Jeanne, que

10prIsli'egF,°Z.,Ve'L 'eeizrà. reJetait sur son per, tOI eflt poignet.dé. Bi d. voisins "tétaient accourue etne l'avaient désarmé.

L'enquéte ouverte par /a gendarme,rie a établi que le donne homme avaittenté d'empoisonner son pare. en ver.sont dans son verre un dangereux miidicament et, bien que n'ayant bu quegnelattes gorgées, 01. Jeanne avait tai,

'

nuLeuiettl,,,nrjytemirpeeml zona.

Notre élevage traontn en va. Maast

zrelz,;. rr:v.er,"zotteme, qu'un illustre phy.intlert

sait, en assistantla viol.. Indah.le ee3candidats tt aune de noseyO

mnt des rtatemas anhommesDr AL Ar».

il

L'Eyre de G. Hébert

vue par un synd ste

françaisBeaucoup 05 080 camarades connais-

lent H. Du brette, l'ancien secrèterte ansyndicat confédéré dee mécaniciens.Parti aux EtaM.Unis, Dubreuâttat'availlaions enflerontaa umnes pour y étudierla tayarisation des méthodes de tata-rail, A son retour, 10 publia a Sian-laniteoPUul fut. traduit en 7 langues.Puis s 000V0PIIP Standards D, « lesCodes de Hanterait a, e A chacun saMance a, e Employeurs et salarRs enFrau. s,e 0 Repubhque,illalustrieb

».Anjourd'hal, Grasset édile an nouvel

ouvrage de notre ami u L'exemple deBat'a o. Dubrcul nen( d'étudier, eneffet, Pentrepriiu géante des fahriqttesde chaussures de Tchécoslovaquie. Lesousditre de son volume u La libtrattonOis initiatives individuelles dans uneentreprise géante o marque dans quelesprit Dubrmil a Pourmivi son Mellite.1100010e l'effort, et t'effort Physique

IleI''neer 7v. i''adleerl'dtliet vae;f.Ptet. had 'Zn euneep.as'sage (Pages '3842331 qui a sa place dans cette rubrb

A prie 0007e cité le De CarIaIloi de reffort surtout doit tore obéie.Lu Inirere'e dcUerryt

ho l'aine

vclettile.eUesiazees.citiui coon,,blenut, ceoottrun

a Que mrs lot t'entent apprécier labeauté et la valeur de l'anion, et, Parconséquent du travail sereportent, pareXemple. Vuvre du commandant 11,bert, qui nous a donné une -defMitioncl logique da 1. s athlète complet a.

canant lm. on n avait du sportM'une sorte de conception artificielle,et, pour ainsi dire, en dehons de /a deatbastion naturelle de nomme. Mais 11

.Ce noi0u,oeneboneloisraiv ép nnantecofstatatir?â

supérieurs pour savoir distinguer deschoses gni devraient a crever lot YeuXde tons !

a Deng les temps modernes, c'est lecommandant Hébert oui as. rêvêlerdéfinir tes murées véritables de /a tontsntdna000u0000mntcte. C est luiMI a rappelé, aux tmvents de Isa cul.ture physique a que l'homme est faitPour marcher, courir, mem, grimper,lev, lancer, nager et se défendre.

e Mals ne peut-on remarquer que aces'aorte vaMes repreeentent a peu ara

l'ensembleuades actes principaux quetont homme accomplit qnd il rtevante, tout simplement, s'est â dire lors-que, de morne que 01. Jourdain faisait

le/a prose eans le savoir, Ilfait aussi

u spret sans te suants ? Le .mman.dant Hébert ne mangue pas, d'ailleurs,de contrtmer cotte observation, quandnoue montre la beauté des types Inamains dont le corps est mumis, sansqu'Ils y pensent. Bons diverses discipli-nes.

e Ce qui est vral pour le l'est- auget pour l'esprit et pour le caractèreL'homme enseveli dans une securitt

ers toqrsae, Mute'telrieulv;rn't rftreres eei000re. SIJugement est sans cesse mis à réer.ve, ses qualités viril. et Intellect./les se développeront comme les moelle,de l'athlète mures à toutes Ms rigueursde Emnrainement.

FI. DUBREUIL(L'eaemple de Bat'a.)

Constatation« Avant Pappltmtion ientrainemem

Phonique te. nos Moim an pour IOn dunes élèves avalent au mens une siennesPar mort mer cause de maladie ; mutl'hiver 1937.1916, le nombre d'absences

llleOta000s.luiurtoosé'ia 10350000e.

"

4.4ffl_v_04-vois

NOTULESEt toujours le football- d3tne73104 ',leude, Ces art

"téseerft..;u1';:treitt.all renonces

Ils vont bien messieurs les pros.pq det6AL: ereseve elli-fait cuiLde

don bsies Éey_eguieurs, ,

bation.rond pitrtét quelques-uns Pas pro clans la «tsPs de _France det.teeet ete.t. tac le ugue football. /galeuse d la disparation d.

" "."a". '" "a""' .4-ii,2oeleg,Aae,efe,octejs :et neor4t- ha potitatette.-- -

f0s tee 0e0v% elCal de 30000,

térét présente la Coupe classtgurpourles 000 00 600 clubS qui S'y engagentau début de la saison. La ...ore, len'"'"P0° "t iée-oea.."'"dune=vent un«..selueen...V.Ktg.drdant Ms in.

Mats tes dirigeants Italien. en me- tarets et ta Pte des dotale«eolèsent A la fictération. Laquelle viene P

01111111111111111111111111M1111111111111111111111111111111111111D11111111.1111n111111111./.

.. retenue pour l'eq.Pe rePsd.

sente«. langundocienne, W.( 50 aton p Les dirigeants. En rue, 74 heureasana le Match. Ai 0f clamèrent une r«&Maison plus élevée. La ligue fut for-as dt semantes. Elle ne p000.1 Miraautrement d la veille de la rencontre.botes s'ayissilts d'un match debienfa sanCe, au bénéfice des petitsclubs -régionaux.

POUR LA FEMMEGenirmoCornerotduropoorlee gens d'aujourd'hui répriment trop sou-

che main de Ou fiancêe ne tarde Pas. La allannastiQs0femmes de conditeon modeste. La Na. vent par snobisme.

»ris le maria., d St COPPPIP de durit. den, >mem de vue Ut doubte fonctionlong 1 la managera tee.. du marc. de 0 femme_ Elle lu preparera 8 Pon,tee bras lourdement chdrges; d la mai- a, a porter dans son sete es a porterton elle «Place les meuhlea Ire Mrt sur ses bras. Elle se lera per avance -

505 défae'Ises. de charbon, les enaredeee Neinee put attendent dans la me usePesants; d /a cuisine elle soulève les cerreet,pe

d'eau, les sacs de pommes de terre; les carpe ee.esa pat jais ar.e. Irae

Mors de lessive, elle porte des /mes de, vaux pOintes. itiantienaralinge humide Miette a frotte d'un mou.,.at, ga,ee ttepar eat e,tetetventent répéta de ses extenseurs. Le ente lamie de mare 9. ...rent 7.

soli.,50750030 01 rastequage <escient des Oral grand ad- et le mouvement

Mals le O porter sr reste 300000e «a pensent &Yi:stresse au lien de ïa fore.Elie se donner« 0o/nnte oit riêtee,

79inl3 1.t. 9.911.79. d...391_91 .9' et de /a Puissa.c. qui doivent r.teilla jeune fille par des exercices d'égal. E. LOISEL.«este biologique. feue done t'apanage du sexe masculin.

libre «tix différents déplacements ducentre de gravi. Que Al on/sssonS ses fe Les hases Peolsologigoes do 'Edo'Mettes et ses foutions dlver000. La- cationyhysique. 01sangle abdomt.Oe dot, être impeeca.ide si on ne veut pas rexposer d decdventrattons redouta/As. Les muscles "'-dorsaux et iOletbOirLS doivent être for.[ment exercés d faire centre-pat. d Les proportionsl'enfant qui, dans le puis 81Ie lesbras r.ternas, «P.a0 sur ie devant du du corps humaincorps.

Doriens« sont dos heures de comtats, Le corps humain, les bras tendus ho-Les heures de repos ne /a femme 10-

de braderas ou de fricot. Le des eam, en cmix, ahnsent à peele sternum enfoncê dalla radota.. vo,Ont bien vite la rang. dores travaux a.dire une l'envergure est pleMillede riaerre Qui traduisent le gode 0. le à le taille. 'ches l'homme, l'env.-

Ponsables de bien des grossesses Pêna 00 millimètres (Bertillon) on de 35énis de leur matana, mei4 eu., r93; sure dépasse, en moyenne, la taille de

bies, d'ac.nchmamils diltinifes el de mmètres (Manouvrier). Chu lanuaptitude, aujourd'hui si }reguarda me . motrice,

1". plus cOurte. sels. Manouvrier- elle dé- '

motavements respiratatr. aerépé,, . ra.1.... mar.....

',eue ,Z.r. sur au rythme vif, 79 93.9979333 d9 13.7.39compensent da vie d'intérieur, sedan-

.

-ete, te reeteeat.tte, ete t,tettitte do verge° n atteint pas la 15, 0, ce qatfere° e tee compétitio.. Tennis. ne- 9..9...9 5001000e 0001100e

00,001, mn indique 15 millimetres enkey, baskett et vollest-ball rentessentAdmirablement ce el, Leur variété et .1°,0s- Ne. 000es 0790., d3.3leur entrain sont en outre un puissant mopouaoe I en. .11h390799' 391.00et d0t,les homme, e plus 10 millimètresne fille aime l'impré.. le changement: rd°. lot Scmmoe.Ire surprises du jeu la f0011110 de ce Le buste représente en moyenne lesrire Irano et éclatant que les Jeunes 62 centièmes de la tell...Rte. Me,

renient plus leng chez la,rtspame dufait d'une proportion plus grande del'abdomen, nue ban tendance lymphe*que plus grenade et S 6es tentions ce.productrices... -

Le buste doublé donne 40 centimb,tres de plue que la taille chez le.

' hommes et 13 de plus chez les tomimea dans les moyennes établles parBertillon. Mode ne. Meg... -de tillftste rapportées à la taille sont forcé-ment inexactes quand on compare unsujet de petite taille à un sujet degrande taille, paree que, nous le tapapelons, l'accroissement de la taille nerésulte pas d'un agrandissement Prouportionnel des divers segments ducor.: Me et cou, thorax, abdomen,membres inférieurs. mais s'effectue engrande part par l'accroissement plusle,enence des membres inférieurs.

Or Paul CARTON.(Diaynot:t.iope«t.c,oeuaite des

Dme ie Joram./ de Médecine doParts e 0.9.11.36,, notre ami lapa Ber-geron, étudiant le Volume du Dr paeGuiliy, aur Embenne (de BoMognela.nad.paàe,een:r.qualol'yedinoie,ttLot.n ithyalqurd

a On en arrive au seul ouvrage diane-,tique de Ducheene (dl 'Botilognet-tuedes livres médicaux I. Pl05 rem.>quables, son che)-d'uvre, annuel 11 D'elvaille pendant 25 ana. et qu'il publia.tin de ai vie, en 1867. On csrà peine.cruttal,noMmioduvivessanrt,ilês. e,s,to,tuchuerer.à.,oce.ttei,

attirer l'attention sur les points lenples marquants ? La synergie d. manarameute, l'effort musenlaire dans la sta-lion, la coordination des mnuveMentS,

Si celte histoire vous amuse..des lois de la Plata/agie des Meuvesdéjà vue. Après avoir exposé les grenat-

men., l'auteur Pasaa en revue la pop'eiologie normale et pathologique desdifférents muscles en particulier. Untroisième partie traite- de le prothèsmu.ulaire physiologique. On aimerait.s'étendre sur ce Sujet et, en partions,'Iter, montrer la place que méritecuper Duchenne auprès de physiolPistes tels que Marey l..ct que Pau/Geu,millyttomet de

luiet 01 nou s

era de lm en faire I amica/ reaProche). 1:uvre de Duchen. merltraft, à cet égatd, d'Use mieux connvudane le monde. de.ltedneation physique

EN IIKET : Notre camarade Le-grand, un des champions cyclistes

On la F.S.G.T.

AU CENTRE o L'affiche de ton'tare /aigu des Auberges de Jeunesse.

CI-DESSUS : La curieuse positiond'un sonner au mars d'as match

récent.

...Qu'il s'agisse de l'U.F.R.A. on durugby rapetiseé, le Auto a est toujours-pomme par hasard - eerriûre lesManient-niers nul s'essaient b abattreune fédération indocile à ses sugges-tions. une grande fédération qui estrestée et restera grande malgrû les col-lusions d'intérêts extra sportifs qui s'a,charnent contre elle.

Peur M. Henri Deagrangesonna lui-même la charge. On sait ceWeil en advint. C'est maintenant Mar-cel Eger qui tient le clairon: on devinele qu'il en adviendra I Oslo maitre naPRS passé..

3

Duchtenne (de Boulogne)

00L'aAuto a, d'unepart, s'est engagée

avec beaucoup Lonstitutions, tempéramentsd'imprudence et à fond. En eas d'échec,il sera difficile de battre en retraite

guerre.Le C.E.E. sera plus encore gravement

atteint. Quelques-uns de ses membres,me rainorIté, étalent lear jeu, qui res.sembla beaucoup trop à celui de Pa Au-to ne y riaquent leur poste, ce quin'est rien ! ils engagent le prestIge deRuts ressortissants, ce 501 est plusgrave:

La Fédération de rugby, quant à elletient le bon bout Parce qu'elle s'ennuiesur la majorité des fédérations d'ordrewattmen/mn et strictement amateur.

Maurice BAU. (Toulon Sparts).

...Déjà, d'ailleurs, la médecine-Préf.,une attention nouvelle aux facteursreer' 'on top r1000, edàe000rtr4000le l'Innuffibasce De.Mto.psnertatique, résultantes/ fréquen-te des facteurs précédente, apparattnomme jouant un rôle capital. L'in,'pence bienfaisante du mouvement surla nutrition, hien oonnue de l'antiquité

Ltégp:dieee rtot:teeet:e"Cr:rra0,.1Zet tu notion de ntamdiea cle, a eileit.ils-

P. DELOPP. t-ao...pose . la médeal..

moderne.à

MARYSE BASTIE SE RENDo A BUENOS-AIRES iteleps

Mine Mary. B-sie, dont le re.rn iveproduit une très groese impression en

Amérique an sud, est autorisée pat le S CI A LISTEmittlet. V3-'7 . 793e" B'"".menue par Ai, s dosé,Ayr..Elle prendrn le départ très proohai-litenamt et fera plusieurs enales**aster sen amereA

Lei séragd DA.BRICAU

(1)

le masuirique developpemegt du Centre

laïque d'Auberses de jeunesse

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

4 uleellfflOgNee-"me..

LA FRANCEen convalescence

Midis de la première page)Mais maagré les absentéistes, tee hos-

tiles, lad boudeurs, la machine s'estremise h tourner, Et là force contrai-gne. dxx choses, le besoin de défen-dra sec intérêt. réintègrent P. à Pendans le circuit ceux qui pensaientpouvoir rester à l'écart, et ainsi en.rayer le mouvement do reprise

Ce mouvement de reprise se dévelo.ne. Il s'accélère. Nous avons délit pu-blié à ce sillet bien des ren.igneruents,

-Men des chiftres qui l'attestent, (eaux'lignent.

Ii nous auffiralt au surplus, Pourl'édifier un pu plus, de renvoYer lelecteur à. l'enquête que le Pope/taire ademandé à Louis Lev, d'entreprendrek travers /a France ou au reportageae Pierre Bidet cor les résultats de la

'Politique agriolie du gouvernement quenous publions alicurd'hui même enquatrième page.

Les impreseims nattes sur P/.a lea.nstatations faites par les commer-çant& 1. PaYeans et lm industriels.viennent encore rmforeer le langagesatisfaisant de la statistique.

L'opinion de la presse_étrangèreMale n est des témoins impdrtiaux,

non confrèrre de la- presse étrangère.Caies ceuxei, l'opinion est unanime

Es s'adoordent en stout la reconnaîtreMM la France -est en train de sortir

.do ta estes et qu'elle retrouve, Joureanta-fionomique, condi,

lion essentiel/a ne /a nonto financière.Mais . Jugement &air de la presse

étrangère ne fait pas l'affaire de toutle Monde C'est ainsi Ouiller M. Rall-ie prenait dans le Jeter dvi airs olien.sés parce que le Times avait impriméque les signes de la reprise coïncidaientavec une consolidation du gouvernement-dePliint Popu/aire.

Eh oui! Et n'en déplaise b M. Balle,lien à faire ln-contre: les faits sontles laite.

On l'a d'aillemt plusieurs foie indiVOCUrre du gouvernement Léon

Blum et l'effort du rare mur ne lib&ler dee diffiétaltés qui l'enserraient sontLion plue justement appréciés par l'apiMon publique étrangère que par notreMons° p.see.

Il est vrai qu'une grande partie decette dernière on le sait depuis, long.temps nuncue de liberté d'espritat se laisse entrainer par la PaeSionpanUsane.

Que/ques extraite de Jeurnaux etre.gers permettront d'ailleurs à nos lec?mare de procéder à d'utiles comparai

Le gouvernement de M. Léon Blums'est mie en devoir, dei son origine,d'appliquer le programme N co.prébensif et le plus audacieux de tousnom plut 01. été annulas drpole t.'ptierre par Me démocraties europdennee,Preeramme dont d'auteurs la Pl.P.rtIdes points sont familiers aux Anglais e,

éclareTlieplionsist.Le Financial News lui, use d'une for.

'Mule .isiesants, Mouvement de s rér+génération nation. X,'

Lê Timm et cita fait observer queles meaou thésaurisée recommen.

Nent â 5'ai/M/08.r car les principauxImarchés et notamment à la Hourceet Il conclut que /es s perspectives>ançaises sont plus feserables qu'ellesNe Pavaient été depitteriongtemps.

Le Morning Post est d'une grandeNetteté. « La France est en pleine .n.x 'le... remarque-t-il.

L'optimisme justifié par l'observation

e.to de la réalité, de cm différant.litions, en est en lui.même

itant, trotte .rublen il est paradoxal,lainai que Va dit Vincent Auriol, que le'orédit de l'Etat français soit moinelimé en France qu'a l'étranger,

Il serait emnialtable que 1m apprbtintions qui précèdent Militent les Franlais à s'abstraire pour juger la situa.tion économique et financière de leurPace des diverge.ee d'ordre politique.1 les, séparentMM. Caillaux et Abel

Cardes'Au surplus, rejoignent eas Jugement

de l'extérieur, lac paroles qui ont éteprononcées au Sénat par Wad. Cailla.et Abel Gardey méritent d'être nippeMes.

Le président de la commission desPitances du Sénat a en efiet déclar(Me la reprise économique était un desêléments qul permettraient de trompensen en partie le déficit.

La reprise, M. Caillaux a cru décelé,qu'elle était commentée avant l'avénetuent du Front Populaire. Mais il es/convenu volontiers au selle s'est devetoppée devais la formation e du mi./listes actuel. Et il a ale. qu'il étaittrès normal que, fina.neiérement par.tant /e gouvernement enoomptat « cerenouveau P.

M. Abel Gardey lu?, a posé UnA mies.lion dont les termes recèlent une co..tatatIon

44 Toute la question, at-il interrogé,en ce moment, est de savoir et, mmmiSiona- le .nhaitons ardemment, TéItvomie de ce Paya pourra. en dèlit desFattlelita un dltligrève, profffer is lafois de la reprier mondiale et des dr-co.tances faverablis qui découlentmabgré tout, de la dévaliation.

Et de répondre:« Des symptômes favorables existent

inoontestablement te déaéquilibre deeCrie de gros et des prix de détail s'estatténué. De ieuvirr à nove/Mare 1936 lec

Premiers ont attalnellta de 36,7 p. 100.

tendis que les autres n'augmentalenlMe de/7,6..11XL Cependant, cette oon.

Un million de francspour la Faix

Rien ne monWe mieux l'envergurede l'effort fourni en faveur de la PaixerY1936 que le bilan financier du Co.mité Français du s RassenablementUniversel pour la Paix

Au cours d'une campagne Tune du-rée de dix mois, le Comité Français arecueilli un million dé lianes,

Joncture, améliorée encore pat les com-mandes militaires n'est pas pleinementoaploitée.

il.Ainel chine, chez nous, Inc techniciens

les plus sévères, les Ptus exige..0 en-registrent une amélioration sensible deta eituation.

Et comme on ne peut 1m soupçonnerde partialiM t l'égard du gouvernementleur avis n'en a que plia de poids.

Cette amélioration, la pre.e éteal,gère La note, elle aussi, avec probitéet. sympathie.

Il ne me trouve que IS presse fran.Mdm de réaction pour la nentester. Maleelle contesterait la réalité soiaire ai cliaPouvait nuire au gouvernement.

Un conseil cependant, ses lecteurssont comme les tem., des travailleurs,des paysans, des commerçante, don In-dustriel. Et à lire tous les loure Paneleur Journal que ça va plus mal, aloretells volent de leurs propres yeux quena va beaucoup mieux, Ils pourraientbien finir par se demander pour qui onlt,s prend..,ftwor...01qua--...n.

Subv.tiens de munici-palités et organisalle.,dons de personnalités... 80.454 00

Dépenses 937,517 701Puni (

Frais de propagande t

(Journée Nationale de laPaix, Congrès, conféren-ces,fêtes éditions) ...... 738.799 70

Frainlénérnua 177.063 25Puni 112.811 40 d'indernités de collaborationteehniuxm et d'admin.-

fra ton.Dépenses particulières

(installation, etc) 20.774 75

En ce qui eo.ncerne les déPonseepour la propagande, JI conv.ent desouligner notamment les .mmes et.isolées aux manifestations de Saint.Cloud, Buffalo et aux différentes dé-monstrations et réunicn.s â Paris eten province, s'élevant é 233 898 65.

Les cotisations Tersées par le Coml.té Français au Secrétariat Jeunette.,vol MI R. U. P. s'élèvent à 67.551 80.

L'immenom effort du Comité Fran-çais du Il. U. P. n'a été possible quegrâce au soutien des grandes Orga-nisations el à l'esprit de sacritce dosmillions de petites gens de Mute laFrance.

Les efforts qui n'imposeront en 1937seront plus grands encore ( 1937 s'an-sniodresieetlnie, eïgnr d'rrmeoorn le Oct.

C'est pourquoi le Comité Fronçaisdu 13.1.1. P. alln d'alePter tout le PaYSpour la sauvegarde de la Paix, a éla-boré un pian d'action qui lui permet.ira de lancer au &bill du nouvel an,le « Sou de la Paix a..

Que Chaque Français et ChaqueFrançaise verse un sou par mois pourla PaiX, et il sera possible de créer unmouvement d'opinion, sana Pré.denticapable d'Imposer au faute.ev deguerre, la volonté d.es Amis de laPaix.

Une commissionconsultative

des loyers est crééeElle est chargée des questions

concernant (r louage d'immeubleet do problème de Ehabitalion

en général

Par décret paru à l'Officiai nier.une commission consultative dan, loyers

avoir recueilli à cet effet tous rensei-gnements utiles, les questimsnant le louage d'immeuble et le Probleme de l'habitation en général.

La commission délibérera sous la eé-eldenee d'un conseiller à la Cour decassation.

/nie désignera un rapporteur auxquestions dont elle est saisie et formu-lera sur Chacune d'elles, à la maioritédos voix, un avis motivé.

Voici in coonposlOon de cotte com-mission O Doux sénateurs; deux dépu-tes un représentant du ministère dela Justice, un représenta. du minletère des Finmces, un représentant dutranistére de l'Intérieur, en représea

, tant du ministère 0 Travail, un retar&sentant des ministères de l'Econotulenationale, du Commerce et de la Sentepublique, trois représentante des prdprie..e, trois représentants des leeataires.

I. président et les membres de lacommission sont design,. Per arrête doGarde des Sceaux, inMIstre de la Juslita

Voici quelques détails du bilan148.1411 95 L'AFFAIRE DU SANDJAK

Recettesdt ITALEXANDRETIE

Souscription, JourneeNationale, listes, inslines 3 1.112 15

Fêtes et colleeles, VIEN07'. soca-sec/atone d Etat aux' &Inn. duougéros.

littéraire '.l' 256.574 8

sel ..... 11.0

LE MIDI SOCIALISTE

937: L'EXPOS

r\r le gre,rotder:,1 le prunelle

Mars. l'Expos1tion aura respectirament 8 km. 100 et 1 km. 700, n ditder le « Ponnlaire .

Il était iMéresearit de parcourir cetImmense chantier. Je l'ai fait.

Un chantier ?Non t cinq cente, mille.Avec un guide précieux, nui connalt

l'histoire de ehamte pierre, j'ai vo luemultiples et changeants aspeits des ire,vaux : presque achev. itt en Pleineffort là, à peine ébauchée ailleurs.

on vals refaire cette prominede. Vol-lez-vous..compagner ?

Nom voici au Pont de Grenelle, anpied de la cocotte de la Liberté, répliqueParisienne de en sur de New-York.Quelque marches noxx amènent tiensiriS Ont Cygnes, que connaissent bienpêcheurs et baigneurs. L'Ile est longue,émoi.. Hé blen, pour la circonstance,elle a plus que quadruplé son étendue.

St;r a ber.... restaurant, surl'eau une peniolie du Touring.ClubCille loin la radia Protèdew. 1cc M1'fices construits dans inc bols élyséens',Pavillons de la femme, de l'enfant, dela famille, de l'assistance, de la mintla-lO

Eité, que

sais...ntrele Pn.ot Alexandre III et celuides Invalides se dressera 0m i

un pavillon du Froid. Derrière, dans lesdêpendanees du Grand Palais quia mn sera ans.ei Cl 00 50 demi,Isront de grandes Mies un jardin

floue le triangle avenue Victor-Em-manuel III, avenue Montai,. quis'appellera peut-être Cors Jean-Mormon

cours Albert ler, s'élèveront les pa-lais de la SereRee et de l'Art,

voue os.e pas trop fatiamS f Con-tinuo..

.T Io

III. De la statue de la Liberté à l'Obélisque, tout au !ong la Seine

Gbamps.Elysées, dace leur Vante boas& gokla En peu plue /Ex, s'ouvra lela mol. connue et, it mon humbM passage sou,errain créé pour faciliter

la circulation des voitures. aorte puesa.ge se dressera le pavillon de l'Aile.magne. Le Ille Reich propagande,PMpagande ! vent en taire quelquechose de « colossal e.

Cest un dee chantiers ott l'en s'affai-re /e plus. Les cadres dee ouvriers ontété choisis parmi les meilleursmagne. C'est une maison allemande midr.. les charpentes métaniquee. Onchuchote 00000e oharpenten retourne.roui, l'Exposition terminée, à leur Paysd'origine. ee uni est certMn, c'est queles ouvriers Francala au Allemande

travaillent toua dans des condbioustrès dures, t cause du .ractére argi.leux du terrains

Dec grues hydrauliques enfoncentdans le sol les sigantesquee poutrellesqui eoutlendronf le vaste bd !ment. Lestravailleurs qui s'affairent sont Ma.

Ce que

on a construit sur ses on.es d. plat.

ellhoorotte, rue001111eS mon.. sur miotm.

CnIene'>;:-1,ne,ne.'Me PMIie principale de ce centre ous'érigeront I. pavillons On noenies. Déjà sur les plates-formes, se dres.se me ha. et fine cl.pente elledeviendra te minaret de conte hautde 25 métres qui dominera le Pavielon de l'Algérie. En face, le pavillondu Cameroun est quasi terminé. Parla Martinique et la Buadmoup, pms

l'A.E.F., le Maroc et la TanSie °minez cete fantaisie né;Mique nous voici dans le Etdu totale.., rgo"ut ceD tu s n que lic tes.vaux de cette extrémité de Pile desCygnos ne eolént pas pius,avanc..,,,

La raison en est double. -Il a Mou aménager dans l'îie tonte

une organisation sanitaire, y amenerl'eau, le net, l'électricité. D. hocchesO Incendie, des a sorti. da secours e,sur le pont de chemin de fer qui .atraverse perpendiculairement, ont été

Male, al-je objecté, ce travail estterminé PourquOi 1.10101,10 et le Cai,znemun seuls voienbils leur, construbdons fort avancées ?

Vous l'avouerai-je ? C'est un rirenéral qui a répondu iOta naivelion Les plus indulgents l'ont expli.

Il faut éviter tes vouer 01 10 Seinsle mauvais temps. Et il faut que impart/loue, les décore, le a clinquant »,

blet tout soit frais, Praire, étineelanipmr l'ouverture... qui n'est qr. 1m letmai. Il y a des travaux qui ne serontdono volontairement comme.ic que hdernier mois avant cette dut,

Un travail gigantesqueDu pont de Passy à la gare des In.

rendes, Ms berges de la SsMe sont ps,rallaies au chemin de fer tout proche,dit e chemin de fer des luoniidsesxa

de Versaillrelietout eh il était b l'air libre, ou

ru couvert. Travail gigantesque mi plu.sieurs centaines d'ouvriers ont 011cupée nuit et jour pendant des ismal.nes. Travail qui demeurera certaine.ment après l'Exposition. Combien decharpentes colossales, combien de mil./iera de métres cohnx de béton, coMbien de pylônes eitil fallu amenerPour créer ainsi a m Mis un tunnei

'eVeltenec:tesse dans renées.

te Ir `'Toe,',,r.e.l.eàI:.,sn,,e,elranSur cette uvre 'énorme, s'érigeront

da. l'ordre, du 0000 0e Pasem dane ladirection du pont de /a Concorde I le

edix?erns"pa=nns' dee "pIro%°:e."1-1-.fonte, le Centre dccédifice .s étrangers dont plusieursGrande-Bretagne, Belgique, Suisse Ionfie, notamment auront leur piedMagne sur la berge du fleuve, le pavil.Ion de la femme et de la mode, ceM1d'un grand magasin, un restaurant, lespavillons de la Miouterle (on est àl'anale de la passerelle Debillyl, duministère de l'Agriculture, de ta maro.culnerie, du thermalisme. du tourlem(West maintenant le pont de t'Alma)Pals te passe rapidement deferronnerie, du gaz, des anciens combat,tente, dee transPoruc par air co pareau.

Derrière cela, un a centre des mnIncIse, une « section des lard,. e,divers a 501015e conduiront I una parc dee attractions e qui occuperaun vaste quadrilatère. Les jeux lesplus modern. l'habiteront. On en ditdéjà i.e merveilles. Bref, entre mirues de Constantine de WUniversitk

n.z"eueleA':,c,ar à,à;;.:drâattractions seront dressées, venantelles-ternes du monde eMier.

Le retourNons voici arrivée ft ln Cimiers des

Députes. Traversons la Seine. LaISSOntCancarde et ana ot u

Bifurquons d gauche. Ce sont IP

rmFee..--Ivregureula 5

sers à l'Exposition le pavillon de l'Egyptc.A droite de l'avenue de 1001mo tes Os de bottes d'égoutiers ce mi ne /es

erit's», d'et!: l'eeepriàciPahlr'd'ànnue: ieqU''àlelaPC'elelier0e1.0 Uns'n'Io" de000e

ra avende du Président.Wilson, face eu Les gruee ronronnent, les marteauxMusée Galliera, qui parait bien vieux, Meent, 00 0000000 aPPorte 000100000bien démodé. cee musées se partage- sur escale, je lis l'origine t Heidel.rent deux constructions, propriétés lai berg -

de la Ville, qui de Ibbat. C'est /h que La fin de ne chantier fourmillant est

Or CeUieelallaUuell:n Pene'telCiti "Ctie'ueUcec':ddenZ', reio. e,de Pologne. Des saliae out êtê amér.- de l'autre côté du pont, fera

non.nef's.rieucv're.'"D''iértg.'gr-elee'n.Ue'eidartseCevellult 1;:teeivescwee:Enee paraissent crevas- Et c'est le méme en:repreneur Bel-

Etal Velasta tit'CO2n0Pu'ire'ded.eelnee'-leet"- roxrej,r regairtle?:X!Marne qui fournit seule ce genre de mutlrtuoli passent pur ois d'un pavillonPlerree. voue ne le sertes nns 7 Moi b l'autre, se souciant peu des querellesnon p/.... avant, opposant les deUx Pais. .

,.CX.s rudeten eont achevés, vriiii'lietries? Le pavillon de eMnfonegrapiun Id les anciens jardlue,,...est finie et que les verrière, servant Trocadéro. Po. faciliter la construdtoit ont III posées. Et c'est l'essentieu non, quelques platanes ont été abattue:Quand ils un craignent plue la pluie, La Prliseasile droite en a conclu queles plâtres sèchent 1

on peut déjà Ira- Léon Einna démolissait Paris sur l'onveiller à l'aménagement Intérieur des domjdoa,kulnesec,%,%C.. etion,S fuitsalles, b leur decoration.

Mais redescendons sur l'aven. de Tirons l'échelle EsoletrIUTER.

LOTERIE NATIONALE

1 SEUL BILLETVOUS DONNE LA CHANCE D'ÊTRE PARMI LES

147.171 HEUREUX GAGNANTSQUI ONT A SE PARTAGER

L'économie libéralese meurt

Le 19 decembre denteler, le Fuh-nef et le général Goering ont fait âBerlin un exposé des questions sou-',rées par « le plan de quatremiro.

tonne son discours le généralnazi a notamment affirmé qxoo lesprincipes périmés de l'économielibérale n'ont plus aucune valeuren Allemaatée nt

Tous nos économistes officiels,les Colson et Cie dont on dit bonn.irmrot qu'ils sont « distingues yalors qu'ils sont simplement a fossi-lisés e, avaient déjà l'obsession duSocialisme destructeur de l'ordrebourgeois. Voilà que leur doctrineCC trouve même pas grâce devantHitler qui affirme vouloir sou-mettre l'économie allemande auxbuts politiques qu'il poursuit !

Il n'y a pluS que les aveuglespour ne pas apercevoir que, partoutla vieille économie bourgeoise semeurt

L'accroissement de

la preuction sidérurgiquemonlale

devoir 001e.tuner e e nICI"lit anez 1030 ee:oproduction sidérurgique. Le tab/eauci-après indique la production d'a-cier brut des p0000 P0010 PaYs del'Idxmope Oceidtntale au cours desonze premiers mois de l'année 1936,comparativement à celle des mêmesmois de l'année 1935 len mal.re detonnes).

Allemagne, y erria fa Ilità:0

r

Ion métallurgique est dû, en par-le, tme reprise générale de l'éco-nomie. Mais il est malheureusementdû surtout e'est l'évidence .àl'exécution précipitée Oct program-mes d'.mements établis par lesprincipaux Etats européens.

C'est de l'acier devenu plaque deblindage pour cuirassé, tank, auto-mitailleuse, canon, mitrailleuse,ob., fusil, grenade.., et qui doitfinalement se Rammer en croix debois.

Triste régime que celui quo noussubissons !

Si le Socialisme régnait sur lemonde, de la progre.ion des chif-fres d'une semblable statistique onne pourrait déduire que cem ( Lesinstruments de roduction td'échange se sont accrus et se sontaméliorés; les efforts musculairespourront être réduits et, pour teehommes, le bonheur de vivre seradonc encore p/us grand.

Jamais, depuis 1927

les hôtels n'ont été

aussi prospères

à cette époque

...répond le Syndicatdes Employés d'hôtel

à la campagnelu président du Syndicat

patronal parisien.. Le 001000,1 des Employés d'hôtelscofês, reslanrants, noue co,nunrouettet;:t1.Je,datgruis extrayons cet in

Ainnéo;1935 ( 14.978o78; .née 9a6err'an2de-13retagne ( Année 1255 onrat071;elleetebdoMitnee

a 9. 175; année 1936 : 10 849. ri3, s est' fait Ina tas ducaux Imola, artIclet , . nterviewer par diniô

Iini^.....nwii. si`.- ' 100 1011 : Année 199. ;

5 ( 5 701 tu' ' x

itn-,'n'

e te jou au d i ers 'au.w,s v0.' s iô anyée ;1996 ( 6.112. clarat1onsont étonnetoe 'mcei'

0'

mriunv rgrqz,..yelI B,,,,,,r.: AnnXe 1925 : 2.702; nt (net s:Iti paru an Cauranttle%0

141. SU . , o. . . . me o an« VICTOR MaSSE. FUIS an ? née t',. \ -.)'-' ' 2.S78.o d '1 dustrie hülilière uu

,

à Pari, nai s'entra/Mt d. ocabIème avec

.m....otos. ...LES

MEILLEURES Luxe bourg ( ,innee 1035 1, Jamais, dspuis 1027. les hôtels n'ont 11601 balla. 1936 : t795.i ... ...uor..... Cet tccroiesement de la produe- P4,,,r,',7jTi'al'arr;,..,, ,',,',,',.r,,Z ..

ANARCHISTE? FRANC-MAÇON?

C'est le duc Pozzo di Borgoancien bras droit de La Rocquequi anime l'organisation occulte

dénoncée par ce dernier!

Au sein du P.S.F. et des autres ligues fascinesse forment en silence des grumes de combat

soustraits à l'autorité de leurs chefs

r ^ SAUVEGARDER SON SIEGE, LA RO^QUEEST POUSSE A LA SURENCI IERE

ET A L'ACTION VIOLENTE

Peu 5m 0cm-me speic la dlasotuulnnde l'ancien Mouvement crolmde-fau, dovifs ineidents éclataient au eours duneréunion du Comité directeur de cetteligue factieuse Le quitus demande parM. de la Roeque lui était retend parde nombreux membres. Une violentediscussion mettait au prises le prêledent-général et le plus influent desmembres du Comité. M. le due Pus°dl Borgo, un des fondateurs des Croixde feu, et MÔME un de leurs premie1ebailleurs de fonds. Le Populaire avaitalors macoellil leS échoie de ce lavagede linge sale.

Le lé juillet, après de vainee tenta.titres de conciliation, la bombe éclataitpubliquement. Dans l'hebdomadaire faemate Choc, Pozzo di Borgo amenaitson départ Ove Ci-ois de feu en termesséréres pour La Rocque, qui n'avait« rien réalisé du programme a, malsavait 4 servi de ciment au Front porm.mObs tout 0 se prêtant aux pluslouches « combinaisons parlementai.ree .. M. Chia/Me avait en vain essayéd'arranger los choses (II devait serai.[ler entièrement è La Rooque more duson élection du Il., on 11 fut le candiint du POP.).

L'incident était grave L'autorité dePoszo dl Borgo risquait de provoquerune scission mortelle, Interrogé sur sesintentions, le noble due répondit

Fonder un paroi? Il y en a (MIStant ! Le soviétise. doit Aire combat,tu sur son propre terrain, par desgroupemente locaux. Ces grOupements,

base d'anciens éléments croix de foudoivent' réunir tous les éléments natinnaux, è nuolq. parti qu'Ils soient abtaches et sans aucune eschisivem

rens I Tiens !Commencez-vous à comprendre oe

Pent tant troubler le colonel et I'deMen frunenfie, toue deux si >Io. deleur autorité sur /eura Coup.?

Travail de sapeC'est qu'en effet Pozzo di tome et

ses amis n'en sont pas resWe aux me-naces, Des groupes ont été constituée,tendie que tout un travail de daboulomnage de (Amimie eoperalt méthodique,ment.

Nous avons OIS signal4 les elfseratelldémarches faites auprès tles command'.taire, auxquels on montrait allaRoàlne n'utilisait leurs fonds que poursa publicité et t'entretien de ses âmes0000100. sans jamais réussir à obtenirsur le plan pratique un seul avantage.On sait dans quelle mesure cette actiona été efficace et comment La RocailleOs répondu.

Tout un démarchage personnel est50851 effectué, tant auprès clesednikensrem, ,de, feu, eonsiddrés çnmespre et

natienabx-rà restés elidehors du P.S.F., qu'auprès de ceux ed sont «soreembrigadés sous les ordres de La Rue.eue. Les chefs 01 110 meilleurs étamentsOrs équipes de choc E.V.P. ou .cultessont l'objet de pressions toutes parti.culières. Te colonel, qui dispose 1térieur de son parti d'un réeenn demouchardage et d'informations trieserre, n'a Pse on Ignorer ce qui se paneait. n en est Tentant nias préocouPdqu'aucun indice ne lui permet de mesu.rer In profondeur da ce travail de cane.En ef fet, Inc agen. de Pose° recom.mandent à ceux me leurs ar.menteone torelas de conserver leur place dansI. P.S.F. et ee mire eux-mêmes de lapropagande dans leur entourage sansse trait, 2.

La Emque se dégonflera tonJontabon 01h 00 en sotet000r, Lo Imoment sera venu, nous nous charge000e de donner h en place l'ordre d'attaque. Cardez vos postes, gardez amiarmes et prMmrez-vone en silence, côteATate, avec tous les autres s nationaux X

Venant an moment précis oit déll10e mInI 0e Ioaverr000e Ouplaignent de la lenteur de Paoli:m. '1mPosée Pen leur chef, ce « plumage d,volaille alarme celuibi. Ceci bien na

rat'?'10t: tu Is,reh'r' rehri'leerlelien1adversaires, dans Inc milieux ultra-réacdonnait. oh lIe évoluent et noyautentn Met/me-quo les chefs réels de l'orgenisalion secrète gut e, développe rom

tee s001me un cancer dans ses meilleur. trou

OneseOneclolanges francs-maçons et des « policiers e..

Signalons pour mettre lei ohosmopoint nonne 5111000 des comités d'andon défensive vient de se constitue,44, rue de Lisbonne. On retrouve sansdoute ouelques,me de ces « anarchietes a.

Le irdeldent n'en °et pas inconnu denos lecteurs. Ceci le général Ilusegnou, dont, lors en était coloneld'aviation (avant de quitter l'arméepour entrer eu service de l'industrieaéronautique privée) nous avons en

ut y a une reprise três nette des af-faires dans Ihotelleria les perspeetl.ms pour 1911 sont três bo nes, l'Ex.positiou s'annonce comme devant êtreun succès 11 est pour le moins singuller que le président de la Chambre syndicale patro.le, dont la prio.cipale tâche devrait etre la défensedes Intéréts de l'hôtellerie française.vienne faire des déclaratione faisantsupposer qu'il va 10000'r des conflite.risquant ainsi de jeter /a panique par.mi les nombreux touristes étrangersnos l'Expesition ne manquera pas d'attirer ches nous. Il nous semble quece n'est pas en effraeant les touristesque pon défend les intérêts dm hôtel'ers, 01010e du pays.

Le Syndicat patronal voudrait taireblonde l'Exposition lolo n'agiraitp. autnemmt.

M. Mollard déclare b c que depuiseh 'mole les hôteliers font plus quese ruiner. Ils accumulent les dettes a.or la barème de salaires de tous les,0,910yée d'hôtels a été signé le 30Minet 1136 avec effet rétroactif au

A la suite de ,et accord, toue lespatrons hôteliers de Paris ont am.inenté 15001e de leurs chambres etdu restaurant. et en plus ont maimetoutes les notes de 15 p. len pour lesvMe des chambres, et de 12 p. 100en restaurant

teeresi' l'Urr7".teOse

rut(7"Pael1/eus personnel (en calculant sur lamoven. annuelle/.

de :e'leeirW,%uves.rmil'e=omdtl"pte'rs.boira ne leur a apporté aucune char.se nouvelle. L'argument du sktedi.tebiéral tombe à piaf,

dénoncer l'active mon..om croix defeu. Le vice.président, c'etat Poe., dl

On note à leurs côtés divers person-nages, dont un ancien délaguê généraldu francleme de Marcel Bucard, M. Ro.bert de La Salle. Parmi lee recruteursse trouvent des hommes comme /e com.mandant de Planant

Le silence de La Rocque et de PO°sur l'Identité des provomlieuredénoncent avec tant de véhémence sen.

Attende., maintenant que nousavons mis les pieds daos le plat, lesréactIone de cee messieurs. Il Mu 'ra

tniVion'dsa";:ro;,01;:e°-qaae 4.

Male toutes cas petitne manuvresne nous intéressent un seul pointOn vue. Quelies peuvent en étre lesrépercussions stur la paix intérieure denotre Dai,. Sur l'existence de nos lbbertés

Si l'opPosIdon arrive à triompher deLa Rocque, OSae sera qu'on prixformidable scandale ou d'un chaMsee.Jamais La llooque ne s'en ira de Mi-mée.: Il préférerait conter avec luison perd. See anciens comnlIces ros-sûdenbils des armes euffteantes pour lefaite céder ? On le verra hien Leurtriomphe serait celui des élémente lesPhis violents, les plue décidés à la suer.

110115, et serait rapidement BUIrt desévénements les plus graves.

Main même si Fêtst de Mosee actuelse maintient la pression exercée à Pimtérieur du parti P. las s Cagailei.lela crainte de la concurrence, viennentencore s'ajouter aux causes que nousavons analysées et mi poussent LaRoenne â envisager une action violenteavant le réussite totale de l'expériencedu Front populaire.

Le 0o11001 ne défend son siège qu'enlhohent du lest.

n n'est que temps de mettre fin h desrivalités de chefs de bands, qui ne dltentent que sur ta sauce h laquelle noulusa ce

Jean.Maurice HERRMANN.

La nouvel.e affaireSimpson

La nouyette affaire Simpson menti-

' "/,' 'etIroost de la fiancée de fer-EdouardV.In nolai adresse, 001(0005e d 11001mde M. Noeboki

'aR'épon' dant à-Une'dé%par Ma Wallis W. Simpson, conne,

, mat la parution dans certain. jour-

Islfil d,iis

arte'?osaieket'SC:Ou% 0000e, l'auleoO

e i evo r pmieslee

el't"Q'Teerlendo articies auraient étédut. à la demande expr.. d. Mes

mzu ainsi qu'a celle de l'ex-rotCette affirmation est radicalement

M. Noym avait, au contraire, monnasfj,ormmellement de ne pas IllerltiOnnelt le

d0 du c de Windsor dans les alti-I mes qu'il devait écrire

etgul devaient

I concerner exclusivement et. personnel.

.5 ht, Noyes prétena que 1m faitscontenue dam ses articles sont vrais.

Mrs Simpson répond simplement que000100,Ot bleO cer-

tains faits et dates exacts mais 005 essfaits et dates sont entoures d'une forbulation Parfaitement fantaisiste.

M. Noyes s'étonne que Mre Shan-Son n'ait pas protesté plus tôt contre!re publications de M. Noyv, dans les

mer ce ne et européens.MOI Simpson Coi s'est retirée dans

une maison d'amis, affirme m'elle n'apria connaissance du roman-feuilletoaécrit par M. NIQUE ilub Ie.,. de nom-breuses lettres indignées qui lut 001090adressées de Mus côtés. Ede fut ainsiamenas it réagir contre l'impressiondéfavorable c.05 par les publicationsde Noyes et à envo er une mise anPoint aux directeurs des Journaux eu-.

wlesde M. NeWbold NoVes.

Bvpdrons que cette mise au point ter.minera an Mcideat dont le moins emonpuisse dig:,(est que Paris.soir ne sortloIs

Le duc de Windsordément à son tour

L'homme d'affairee du due de Wind-sor no. ci également fait parvenir lecamard,00 suivant

SA, IL 00015e de Windsor nie fer-

;eirb011ed"'N'ay;Ces; al0'11?tnar'laeletiçoin"0dIeringeai rRe.nsodlot.51 son .mpte.son soliciter. M. A. 0.drIlererLItgm,,,,,, lias Izronacx intéressé.

21

UNE AFFAIREDE FAUX TESTAMENTS

Mme Bailly, amusée d avoir établien sa faveur un fana test/in:oit,

devant les jurée de la Seine.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

UN MINISTRE DANS LA NEIGE

à l'amimie insistance des sportifstravaillistes toulousains, a bienvoulu passer h heures dans laperle des Pyrénées.

Dès que la venue ministérielle 41été officiellement co.ue, muni.petitS eyndicata d'initiatives de larégion, groupements di Airs, ont ri-valisé d'ingéniosité puer assurer ànotre Camarade nue réception di-gaie de lui et du gouvernement qu'ilreprtgente.

Donc, hier matin, en compagniede quelques amis, Berl., députeValets; D. Rien, adjoints au mairede Tante.° et de plusieurs conseil-lera municipaux de cette ville, noussommes allés cueillir le camarade1..8Mo à son hôtel.

Aussitôt suietst un programmeetwarasnient organisé, les visites of-ficielles commencent.

C'est d'abord mus la conduitedis docteur Canula Gamelsy, l'inau-irtiration de la pleine sportive ins-tillée à proximité des terrains degolf et de tenni.

Vient enanite /a ohne an Varie-rai.nm et aux Thermes. Le docteurMOlinery donne au cortège officielMutes explications utile sur laenduite des sotircee el les bienfaitsdo thermalisme.

Léo Lagrange signe le livre d'orde l'établissement thermal et enTante pour le anglet

« ClirdeltAVInlifEPar la route si longuement dé-

slidte Alang.laanclatiandes ken. duTour de France, nous montons vers-Peyret..d.

Dix-huit cents mètres avant lecol fammix, sur mi piton situé àdroite de la route, le châle.t.Mose fièrement.

Par la description que nous enavons faite dans nos colonnes, noslecteurs le connaissent dans seMoindres détails. Noue ne le dépein-drons pas à neuve..

Mais ce que nous voulons hertresent la chaleureuse atmosphanequi n'a cessé de se dégager de 2a..ifestation.' Un soleil eatiraan a fait fondre'Me grande partie de la neige. Gesera la première fois à pareilleépoque et cela a vivement nond-a-te les organisateurs. Mars s il y'peu de neige, par contre, il y aneaucoup de camarades venus là,témoigner par leur présence, leur'désir de goûter aux délassementsjlisqucici res.vés aux riches, etleur reconnaissance à J'ami qui atendu ses efforts vers la réalisa-tion de ces désirs.' Dune, le soleil jette sur tout ce

qu'il touche, sa note joyeuse, mê-lant l'azur au mauve et te rougesu violet. Plus de deux cents casmarade sont massés sur les peu-.° du piton. Un escalier y a étéaménage ; un pick-up installé.

Quand les voitures officielles ar-rivent, les skieurs et skieuses ali-gnés sur la pente font une voûtede tenta bétons de skis, sous la-quelle passera le cortège.

Beaucoup d'amis dévoués n.sAttendent sur la terrasse du chalm. --°e° Peur .° decl.enaere.t.ta.

R.

Gon._ Lorsque no. aurons ainsi asan-a... ré le logement. de tout se jeune

raecretaire général du C. du Midi; v, nd qm s'eturle dans les villesnédon secrétaire sportif ; Talamm alors que nous avons Ici tant d'oxy-

gène;nous entreprendrons, grâce

aux subventions que votre gouver-nement va nous donner, la réali-sation d'un vaste programme d'é.

Mais il yen également nos cama- (mûrement touristique.-rades Berlia3 deputé de la Haute-Garonner Elles Prévot, maire deToulouse: Dominique Rira, adjointet cornant. général ; Valets, ad-joint Galibert ; Henri Desbals ;Grabie, conseillers municipe. ;Roques, maire et conseiller géné-ral d'Auterive ; Paul Berthe, mire-tsar de la Coopérative des grandstravaux du Suct-Oueet ; Soulé, du%millet d'Initiative de Luchon etMM le docteurs Soula, Cartile, Ge- Quand les bravos se sont apaisésMolay, Arien P s le deeteur Germes parle au nom dudate, Germés, maire de Luchon; les Conseil général.maires des villages des anvirons et gscouRsenfin le Préfet de la Haute-Garon-ne et le Sous.Préfet de Saint- A son tous le maire de Luchon,Leude.. conseiller général du canton, salue

Après la visite du anglet et la et remercie le ministre qui, dit-il,5,IGnature .de nos camarades Léo est venu inaugurer ici, une èretragrange et Madame, sur le livre nouvelle commençant pour les pay-d'or, notre and Soulé prend place sans de la vailée du Larbotodevant le nuero. Il rend à Soule les politeses que

celui-ci a bien voulu /H décerner etDISCOURS DE LOUIS SOULE après un vif éloge du sport, il affir-

me que les citadins viendront tom

resreiébr cerI. faifILFZ;l:tagne pyrénéennes.

Et voici le représentant du Clubtravailliste, notre excellent et sidévoué camarade René Talasse.DISCOURS DE RENE TALAZAc

Au nom du C. A. T., il a l'agréa-ble mission de remercier tous ceuxqui par leur présence et leur bien-veillant concours ont permis au

A 1.400 mètres d'altitude, au col de Peyresourde,noire comarade Léo Lagrange, ministre des Sports et Loisirs,inaugure un refuge érigé par le sport travailliste toulousain

Après la cérémonie d'inaugurationplusieurs manifestations ont eu lieu à Luchon

10111111111111/111111111

Luchon 10 janvier. (De notre envoyé spécial)'.

La reine des Pyréném est en ont fait cortège t au préfet de lia, C. A. T. de les recevoir dans lefête. Elle reçoit un ministre. Haute-Garonne aux parlementai- premier chalet-refuge de la Vallée

11n ministre socialiste. ses présents ou excuses, au pret du LerboustL'événement vs t considérable dent du Conseil général, au moire

dans cette région qui, si elle a déjà de Toulouse, notre ami Ellen Pré-vu des ministres ou des personne- vat; à l'inspecteur d'Académie, M.lités marquantes, ne les a jamais Pradères; aux membres de Ilni-retstraceseLtt incorea.rrtlgeofefi

cédantversité et du corps enseignant; anxprésidents des épreuves sportives;arfx É velaux a des Hautes-Pyré-nées; aux ingénieurs des Ponts-et-Chaussées et du Service vicinal desdeux départements ; au présidentde la Fédération Française de Ski;au Docteur Artaud, président deIn Fédération Pyrénéenne; au pré.aident de la Section des PyrénéesCentrales du Clup Alpin Français;à. M. le Docteur Cazal-Gamelsy.président du Syndicat d'Initiativede Luchon; au président de la So-ciété c Luchon - Superbagnères-Sports d'Hiver e, tans, au mêmetitre, .inniterna avertis et pas-sionnés de l'activité pyrénéenne.

Il remercie également nos ca-marades clos Sports Travaillistes,nos amis du Conseil municipal deToulouse, tous ceux qui ont si ai-mablement répondu à l'invitationdm organisateurs.

Il remercie à part la ville de Lu-chon et son maire et réserve unemention spemale a notre ami Paul Il n'aurart garde d'oublier deuxBarthe, directeur de la « Société de nos amis qui furent les féesCoopérative des Grands Travaux bienfaisantes entourant /e berceaudu Sud-Ouest a, à le générosité du- du C. A. T. : Paul Berthe dis.-quel on doit ce premier refuge teur de /a Soute Coopérative desconçu et réalisé poile permettre â Grands Travaux du Sud-Ouest, etla classe ouvrière de jouir un peu, Lou. Soule', président du Syndicatà son tour, des bienfaits de la vie d'Initiative Luchon-Peyresourde.an grand air.

Il adresse enfin à Mme Léo La-grange, dont on Salt qu'elle est, auMi/listés° comme dans la Vie spor-tive, la principale collaboratrice deson mari, l'expression de son res-pect et l'hommage de sa gratitude.

Après ces protocolaires homma-ges, norateosc présente heuvre

a Nous dit-U, ni gra-dins pour les supporters, ni en-trées payantes pour les badauds.Vous n'y verrez d'ailleurs ni ba-dands, ni supporters.

Nos champs de neige sont à toutle mande. Ceins mêmes clut Par na' armes et de clameurs de haine, desand Y M'enflant en ...leua anur ce chalet ne s'élèveront que desobligés s'anveulent seulemen t met - chants joyeuX célébrant h paix ettre un pled devant l'autre de se Io edidet.ité hor000te.livrer à de véritables exercice dé-ducat physique.

i>erddtt;blcluarrecan;du Club Athlétique

MMOU, mem-

Trummegin, propriétaire du chalet;33'tcltata, de ru. F. 0, L. E. P.

S'adressant au ministre, il de.clore tout d'abord que « dans cecadre et â cet, altitude, il ne Con,mettra pas 1- mute de prononcerun long disco s

Au nom du 'Syndicat d'Initiativedu Larboust Set-à-dire au nomde toute la portion, il

Lésouhaite

o Lagran e la plue respec-tueuse et, à la bic, la plus cordialebienvenue.

flocule non r;;1""r.i

« Nous sommes des montagnardsNous n'avons pas l'habitude de

re-cevoir des ministres; man; on ditque nous savons pratiquer lu cultede l'hospitalité.

« Quand vous reviendrez, moncher Ministre, nous saurons pra-tiquer aussi celui de la reconnais-Sance h.

a Notre reconnaissance, s'écrie-

tvlae gianbi Ygre ore; unau:sieurce, vous nous apportez le plus pré-cieux des encouragements et la ré-compense la plus grande, celle de

't;?..,..r.e.:0%.r:neoà%nduosnaéclatant, puisque voua avez bienvotre haute sollicitude a.

D salue ensuite le préfet Atger,en qui il a trouvé les meilleurs emcouragements et un esprit avertides bienfaits qu'apportent lessports.

La pratique raisonnée des sporeredonne, en effet, l'élasticité, lasouplesse, le fonctionnement har-monieux des organes, en un niot lasanté et l'équilibre vital.

Il tient à remercier aussi les sésnateurs et députés, le conseiller gé-néral et maire de Luchon, le marrede Toutou., les municipalités dePortet-de-Luchon et tarin, ainsique son collègue et ami M. Verdet-le, président du Larboust-Peyressourde-Sports d'Hiver.

Talasse dit .suite sa fierté devoir que le premier abri de cettevalée marque la place du Sporttravailliste dans la station popu-laire de Peyresourde. Son but, etcelui du Sport travailliste, glue re-présentent les eamarad. G. Gull-hem et Féd., est d'attirer à peude frais, sur ces champs de neige,air-Mmes/3e laberieuse qui jusqu'àaujourd'hui était privée d'un plai-sir réservé à quelques privélégiés.

Le Sport travailliste rave, targued'être une école de fraternité-et debonne humeur. Au moment oùl'Europe retentit du cliquetis des

Ors applaudieementS nourrissaluent le beau discours du jeuneprésident.

Dans l'immensité silencieuse, lesilence se fait plus grand encore.

C'est cple la MileSante carrure duministre, impeccablement mouléedans un costume de ski, vient d'ap-paraître devant le diffuseur, pen-dant que tournent les caméras.

Jusqu'ici, néanmoins, le prolétmgouement pour ces sports a.quelsle 'snobisme, le prix élevé des dé-placements et de l'équipement, l'o-bligation de descendre dans despalaces ou de monter dans des fu-niculaires avaient forcément don-né un caractère aristocratique.

Notre préoccupation a éte de lesdéeicarntlser.

C'est dans ce but qu'au lieu dé - Dle.siOURS DE LEO LAGRANGE(lifter des hôtels. des casinos ou deedancings que l'industrie privée C'est dans l'éblanissement dechargera, si nous n'y prenone para Meuvre réalisée et du soleil éela-garde, de nous imposer tôt ou tard, tant, commence le ministre, que jenoue avons préconisé la constrne. veux dire à tous ceux qui sont remdon de « châlets-refuges o démon. nB ici, sous le signe de l'amitié,

ma joie et Mon admiration pour latables, réservée des collectivitéseportivee, touristique ou universi- magnifique réalisation que nous

inaugurons.taiZt;ro proprovonio eo prévoit mir Elle doit être le signe avant-vingtaine qui seront éparpillés ....et.' de nt gronde eut're humai-da. tous les °oins de la' vallee et ne que nous voulons réaliser.qui Besant ouverts toute Vannée, Dasa ce châlet, les jeunes serontl'été pour le tourisme, l'hiver pour réants ; ire connaîtront les MIes desles sports de neige. exercice en plein air, des descentes

pioriourii_oro serontrtiort,,,"

vertigineusee, les joies des repaspris en comm..

Liceuvre que nous mu.na réali-ser en accord avec vous, c'est cellequi doit donner aux jeunes travail-leurs, comme ELIlle jeune oisif s for-tune, les mêmes moyens de jouirdes bienfaits des suris d'hiver.

Dont les chalets que nous a/lonscréer, les jeunes ouvriers. paysans,intellectuels, apprendront à semieux connaître et à mie. s'aimer.

Nous voulons peupler /a Francede ove auberges de la jeunesse quiseront autant de petits temples oùrégneront en maîtresses absoluesIn fraternité et la joie.

Ce que vous avez fait, travaillis-tes torras.aina, est ce qui pouvaitêtre fait de mieux pour la aantémorale du Pays.

&devant le débat, notre camaradepourraiit en indigunt que le gou-vernement de Front Populaire fa-vorisera avec toute l'ampleur dési-rable, la construction de stades, depiscines, etc... Ce sera là une partiede sa grande couvre humaine.

Après avoir indiqué qu'il n'y apas de meilleur moyen de délasse-ment clan les joies de la glissade enplein air, Léo Lagrange conclut

« Vous avez ouvert la voie. Vousavez équipé le navire. Nous feroneen sorte, qu'à travers les Pyrénéce,il y ait des multitudes de petite na-vires portant les espoirs de /a jeu-nesse de notre pays. a

Une véritable ovation salue Po-rateue qui a fait entendre 0m lan-gage inconnu s ce jour et quen'oublieront pas eux qui ont as-sisté a cette magnifique cérémonie.

On absorbe un verre de vin go-nesetu et en route pour Luchon oùo lieu le banquet offert pas ta mu-nicipalité.

LE BANQUETIl est présidé par Léo Lagrange

qu'entourent le préfet de la Han-te-Garonne, M. Saint séante.,Ducos député, Mine Ellane Brandirectrice des Servies d'informa-tion du Ministère du Commerce,Saint-Martin député du Gers, leProfeseur Dieulafé, le maire de Lu-chon, Mme Léo Lagrange, Berlindéputé de la Haute-Garonne, Do-minique Rieu représentant la villede Toulouse.

Dans b salle, nous avons noté lapresence de nes aMis précédem-metn cltés.

A l'heure des toasts prirent laParole te préfet, le maire de Lu-chon et le président de Luchon-Superbagnères Sport d'hiver.

Parant au nom de la municipe-lité toulousaine notre camaradeDominique Rima, remercia la villede Luchon de son aimable invita-don.

Jamais il n'a regretté avec au-tant de fore de ne pas être ro-mancier ou poète car c'mt avec unMani plaisir qu'il aurait chantéLuchon et ses montagnes,

loue ceux dont ia dévouementa fait de la Reine des Pyréné.un Joyau dont la France est gère,

/1 termine en levant son verre audéveloppement ininterrompu de leMathan

LEO LAGRANGEParvenu au terme d'un trop

court voyage, 1/ tient à remercierla ville de Luchon de l'accueil ana-le.eux qu'elle lui a réserve,

Résantant rapidement ce qtri/ aappris II indique que la redieusenature qui Pa relu lui a fait com-prendre tout ce Mil reste à fairesur le plan tOuristique et Sportif aLuchon.

Il a compris qu'il n'est pus demeilleur endroit pour conduire lajeunesse que dam ce Montagnessous ce soleil éclatant.

Il félicite tous ceua qui ont com-pris que le ski doit être le moyenpour les jeunes de conquérir dansles conditions --lera meilleures lajoie et la santé indispensable b laMe moderne.

En i.unurant l'abri, il a penséque l'effort commun doit tendre àpeupler les montagnes de chMetset d'auberges de la jeunesse véri-table moyen de créer l'unité nui-me des Jeunes.

Dès son arrivée au gouverne-ment il a voulu marquer tout l'in-eu

qu'il porte aux eports d'hiverlui allouant la majeure partis

des subventions dont il disposait.Mais la pratique n'est pas la

seule façon dont notre ami Veutartisager l'aide b Luchon. Il veutfaire connaltre à l'étranger les techemes touristiques de notre terredo France, Car le peu de P.i.-gande Mite en ce seus est vrai-

.

On a raison de faire de grandsefforts. Ils sont nodmeux et légiti-mes. Gant pour Lagrange l'occa-sion de mettre en lumière l'intelli-gente coMpréhension de Vincent

L'orateur VerMine en assanantles convive de toute sa sollicitudepou ria jeunesse. Elle représentel'arenfr de notre Part. C'est autour.cnolle,que no. deVe. annssériantes. C'est peur elle que nousderaons créer ces longues promena-des en plein air sous le gai soie.Nous ne vouloae pas lui imposerune discipline mais l'élever dans ladignité.

Notre peuple n'est pas mustn'est pas fiai. Il petit encore éton-ner le monde par son intelllgeneeet sa raison.

Nous voulons forger une jeunes.saine et libre.

C'est dans cet espoir que le re-présentant du gouvernement lèveson verre à Luchon, à ses paysages,à. la jeunesse fronçai..

Les ch.teurs luchormais et laFanfare Luanonnaise font enten-dre les meilleurs morceaux de leurrépertoire et clôturent la fête,

bans la nuit criblée d'étoiles Léoet Madeleine Lagrange reprennent/e chemin de la cite rose escortéede tom Ceux ayant tenu par leuryxésence à leur apporter l'homma-ge affectueux dm socialistes tou-lousains.

Jules BLANC.arsa-A la Salle des Illustres

Vers 19 heures la caravane mi-nistérielle franchissait les portesdu Capitole et le ministre avec sesuite gravissait le grand es.11.eed'honneur accueilli en bas parJaurès les bras tendus, en haut parle Conseil municipal, et les orga-nismes fédéraux et I.aux du parti

je.esses, Sport Travail-liste).

Le maire reçoit ses Invités avecson habituelle urbanité et s'expri-me en con termes :ALLOCUTION LyELLEN PREVOT

Monsieur le Ministre,Madame,Chers camarades,

Il y a quelques heures à peine,à 150 kilomètres de Tonione, alorspue noua noUS trouvions ensemblea 1250 Mètres d'altitude, en pleinesPyrénées et presque en pleine neige,nous avons pris, Madame Lagrange,vous, M. le Ministre, et moi, unegrave détermination 2 celle debousculer le protocole. Fois de lajaquette ou du vestin dit habillé !

Il nous a paru que le Maire d'unecapitale regionals des sportscomme Toulouse ne pouvait rece-voir qu'en tenue de sport le minis-tre des sports et des loisirs et quele ski étant /e sport d'hiver parexcellence, vous deviez, ministreskieur, être acceui/li dans ce salond'honneur par un maire qui, skieurdepuis de nombreusee années, de-vait se faire honneur de vous rece-voir en terme de ski...

Souci de couleur locale ou saison-nière, dira-bon. Hélas, en cette find'après-midi, j'envie mon excellentcollègue Jaune Sastrade maire dpPortet-de-Luchon, qui, °anse d'ad-ministrer une commune de 70 balai.tatous, a pu, lui, vous offrir uncadre naturel digne de vous. Vousoves prononcé tout à l'heure, eninaugurant le châlet-refuge de laSection des Sports de Montagne duComité régional travailliste du Midi,dl aux initiatives conjuguées etbienfaisantes de nos an. Lou.

vous demander le concours de votreautorité et peut-être celui de votregénérosité, pour que nous puissionsmener à bien, dans cette ville, qui,comme toutes les grandes villes,connaît de graves difficultés finamMères, les projets locaux, à l'abou-tissement desquels est attaché,selon nous, le souci primordial duperfectionnement de la race et lanéceesité du progrès de la santé etde l'hygiène publiques.

Toulouse, ville des lettres, dessciences, des beaux-arts, de la mu-sique, patrie des peintres, des sculp-teurs, des architectes et des chan.teurs, ambitionne de devenir aussi,dans l'intérêt même de /a patriefrançaise, capitale pyrénéenne deromnisport Il noue serait Infini-ment agréable, Monsieur b Minis-tre, qu'en cette soirée de janvier,ou nous avons le très grand ho.neur de vous recevoir au Capitole,quelques semaines après que nousy avons accueilli notre grand, amiLéon Blum, votre nom et le souve-nir de vos bienfaits devinssent insé-parables de la joint que nous auridonst

edtareeturdele tuas, s,de noter idéal

garaettt °surit], itt,,loatt her, qvuoet,redèLette.

neur, et pour notre honneur, sousle signe de la bienveillance toute

voulu accepter pend.t les derniè- eae neve eepplione ma.res heures d'un trop court aéjour, dame Lagr.ge de demander à sonl'invitation qui vous a été adressée. mort qu'il veuille bien, dans sa

pense, en nous né/Mosane> ncltitO sentir à témoigner à ses camaradesNous ne blessons gerttenne, je toute-puissance ministérielle, con-

clut "'T.° iatnata ...han°. de municipalité toulansai.notre ermemma emr° dea can...1 son modeste confrère en Ski, ledes de la Section et de la Fédéra- moire de Towouee.don qui ont eu l'immense méritede créer et d'entretenir l'activitésportive des jeunes gens qui ontété séduits par nos idées, en nousréjouissant de voir un socialiatemettre au service de toute la jeu-nesse de Fran00 son talent de pro-pagandiste passionné et son expé-ri.ce d'ornmsportif. Plus modeste- A 21 heures en rebattent dement dans cette ville, où la prati- notre camarade Bonnafolls, placeque des sports, déjà .cie.e, a Duany, le Cumil municipal, lespris, dans ces dernières années, im emunissioou adannistratives fédé-développement extraordinaire, nous cale et 1.ale rmeiralent nos mannous ingénieos pourtant à mettre Léo et Madeleine Lagrange en unà la disposition des dizairies de mil- dîner intime,tiers de jeunes gens qui nous de-mandent de facl ter le désir qu'ilsont de devenir de vigoureux et no-bles citoyenu, toutes les %stalle-tions sportives que Toulouse nepossède pas encore. Je sais M. leMinistre que vorts connaissez cegus ex1ste déjà chez note et quevo. avez bien voulu en dire quel- enmnoudm et naturellement par leque bien. Puis-je Me permettre de préfet.

Il pareil du Cercle laïque Pinel-Deltom, semer,

!cm

vivement les personnalités Présen-tes excusa . Fant, adioint eu

qu on surveille les prix.M

rimfetteitslm m'Ointm de tear rantnéreus consoles et adressa au mec,Voici comment au nem du cerne. ses saures

de ben. et hernieuse année. termine.n Murent expocé en louant sans ré.

Le Comité dépmtemen1al de Orteil- serre les nshbres du eonse einetantantance des prix s'est réuni le samedi y dont le sollantude et le dévouement nejanvier à la Préfecture. sont lamais en vain sellier..

klee Toulous, s ovil de emme ratrier t,te:ttittes frifeandiieese.%uretremntezffegat:tA.,:tettisn,asagunanceé , <21:s coz.eznagértsdme uhntejon:rarm,lt:

avaient été .nvoqués. des membres du 'Coneeil d'administrasAprès avoir entendu les explimtionedes intéressés le Comité départemen-loi juil:,,senàm..eilioladnece20doesprix a 1,aridt:eossrté 'si: uneMhbiando17 -ort' monts 110011 de I ecole maternelle Armand-Ley-

. =joyeuse, la tète annuelle de l'Arbre de

ôté cités à comparaihre ri-24 avertis. tdee reen. !Ien Ph'ons pion agréable sousements orit été venir.

Soule et Paul Berthe, un admira-ble et poétique discours sur la jeu-nesse, sur les sports, sur les toiseset sur la joie de vivre, devant uncirque de montagnes couvertes deneige, sous un soleil éclatant, ap-plaudi par une aesistance enthou-siaste, transformé soudain, grâceau cadre exceptionnel et à votretalent éminent de paroles en unesono de prophète bâtisseur del'avenir de dignité, de liberté et dejoie de toute la jeunesse du paysde France. Je vieus trop tard, moi,après Sastrade, qui n'ai pas commelui /es Pyrénées à mon service, jeviens trop tard dans la journée quevoue venez de vivre, et je vous en-ferme, le Conseil municipal moere-liste, /es camarades de b Fédéra-don et de la Section locale vousenferment avec mol, dans cettesalle d'honneur où une lumière quin'est hélas ! qu'artificielle éclairepourtant nos visages joyeux etvous permet, j'imagine, d'apercevoir ce qu'il y a de sincère et despontané, de déférent à la fois etd'affectueux dans Paccuell que nousréservons à la grâce de MadameLagrange et à la vigueur touted'allant et d'activité. réalisatrice denotre camarade ministre de Forge-nisation des loisirs et des sports.

Soyez done remercié d'avoir bren

De ruine, en ce qui concerne1mlivraisonspas. wagon ou par grasse

111111111111111111111111111111111111111m111111111

Nouveaux bureauxde poste

L'Administration d. P. T. T. signa-le au public la mise en activité d'unerecette auxiliaire au 5,112 de la Côte-Pavée et d'un établissement analogueas 0.55 de la route de Balme.

Ces bureaux effectuent la Plupartdes opérations postales dévolues auxrecettes de plein exercice.

1111111111111111011111111111MIDEDIDDIMDID

Les uvres LaquesFE7E DE L'ARBRE DE NOEL DE

L'ECOLE MATERNELLEARMANEPLEYGUE

Dbinanche dernier, se déroulait, dansla grande salle du Conservatoire, lalite annuelle de l'Arbre de Noel dePénale maternelle Armand-Legal.

Organisée sous le patronage du Cer-cle Laïque Pinel-De/tour, avm le en-cours de l'Indépendante Laique Artisti-que, cette manifestation enfantine ob-tint le plussaern°

Parmi le nombre. Public Md oveitrépondu l'appel des organisateurs, mnotent la présence de MM. mien Prevotmaire de Toulouse; Jeancolrn,ira de l'Enseignement primaire; Ma-dame Gerbert du Cercle langue Ana-tole-Prance; Beenze, du Patro-mec laïque du Doetemx.chr Moles,du Cercle laïque Dorrat-Calviiinaor Fox,du Gerrie laïque des écoles du Centrerboy, du Cercle laïque Monge-Marengo;Germa, du Cercle laïque Fabre: lesmembres du comet d'administrationdu cercle laïque Pinel-Deltour et leurfamine: les martres et maltressesarniMe scolaire Anund.LeYgne ero.

A rentrante d'une partie de concertparticullerement brillant, exeernée parles IiIndépentlanie satani-que Laïque et inc l'orchestre sympho-nique Robertson; m. Fume, présidant

Remerciements de LagrangeXprime son admiration, aperien Mute pour le reataur.t.

uiet

Pas de discours, mais des chanteet. des dr. qui lisent que nos ou-marades du gouvernement se reti-rèrent cOntents et charmés de l'ae-eneil dm s.ialistes toulousains.

A 23 h. 20 nos amis reprenaientParis 1 - us

A ln suite de revis exprimé par les

f11111111111/11111/1111111111111111111111111111111

Comité départemestet de curvedience EMISS/ON D'OBLIGATIONS DI1 TRESORSes prix, le Préfet de la Haure-Garomce a pris un arrêté abroge.t celuidu 12 février 1930, mncernent la ven-te du combustible.

Aux termes des nouvelles disposi- Souscription ouvertetions, les faetet. 011 livreurs de du tr décembre 1530 as 31 jasai. ii./charbons ou de bois do chauffage de-

31/2 et 41. 1936

amont toujours être on mesure de MM-séance â Mute réttuieirion des menit 1 La Recette Municipale de Tomde l'autorité le bon de livraison cu la lause (m Capitole) reçoit les sous-faetme detinée client indic-trent crie». aux obligations de la nié-tes nom et adresse du destina a re et pane B (en bons du Trésor 1935!du marchand, les quantités neiths et six mois 010e ant Interna 4 Te. hem-lia dénomination sonate da camasses. j boursaban à 140R de leur valeurble à livrer. I nominale le là décembre 1915. Oblige-

Sous en coupures de 200, 500, 1.000,10..0 et 1011000 francs.

quantité de la gare, du buten ou de Reprise des Bans du Trésor à leurPentrepoh à un seul client, chantre valeur nominale quelle que soit lachargement devra être accompagné date d'Une.tc,d'un bulletin de pesée destinée auclient indigent le poids brut la taredu véhicule, le poids net, l'origine ntla dénomination exacte du combusti-ble vins destination,

11111111111111111111111111111111/1111111111111111i

UNE CONFERENCEDU DOCTEUR BADIN

A LA SOCIETE NATIONALEANNA DE NOAILLES

M. le docteur Badin, retour d'unvoyage en II. R. S. S., a fait leJeudi 7 janvier soue les auspice dela Société Padane. Anna deNoall/es, une conférence d'un Mesgrand intérêt sur ou L'évolutionculturelle du peuple Russe s.

Le d.teur Badin, qui s'estrendu compte par lui-même druprogrès immen.s réalisés tant aupoint de vue économique qu'aupoint de vue culturel, en a fait unexposé d'une remarquable netteté,et d'auten plus précieux qu'il étaitimpatial.

L'impression majeure que Ponressent, n000-11, dés qu'on a panséIn frontière, est celle d'entrer da.un Monde nouveau. Sur quelles

'esu? trebrsjetes con-voies évidemment. Une cies princi-pales caractéristiques de la vie est,par exemple, l'absence de la notiona gain a, et /e défaut de concur-rence. Tout est tarifé, les prixfixés par l'Etat, et nul ne peutn'enrichir sur le dus de mn volarn.Heureux pays t NU. S. S. S. estaussi le pays du machinisme à. ou-trance. Mors qu'an les ouvrierssont poussés par le chômage à vou-loir réduire le nomore ne machi-nes, là-bas au contraire, on aug-mente es nombre toujours davan-tage, car Il n'Y a Pas ra.Prodac-don, et que la machine épargne letravail humain. Mais .11.seralt troplong d'énumérer Mus les farts,tontes les nouveautés qu'a recueil-lis en Russie le très distingué con-férencier II s'est êtendu longue-ment sui; les progrès réalisés quant5

In manure de l'Individu.a L'évolution culturelle du peu-

ple rus., a-t-il dit, repose mur trois

grands-principe-É respect de Pen-fance namencipetion de la fefinme;organisation des loisirs du travailsleur. o

L'enfance est protégée en G. R.S. S. plu que datis tout antre paysdu monde. Le travail de la femmen'atteint en rien le bien-être del'enfant qui est confié à des gardesspéciales. Ceci, précise le docteurBadin, mt préférable que -de con-fier, comme on le fait trop enFrance daas la bourgeoisie, les me

j guets a dm bonnes inexpérimentées

lou

négligentes.L'avortement qui avait ôté, non

seulement autorisé, mais préconisé'clans les premières années qui sui-virent la révolution, est mainte-

inant beaucoup plus sévèrement ré-glementé, mais il est toujours léga/.Quant à la mortalité infantile, elle

, est réduite au minimum 113 % en11936 contre 24 % en 19131.1 L'instruction de la je.esse estparticulièrement surveillée. Ensei-gnement obligatoire, conditionsspéciales faites aux étudiants, amé-nagement des loca...scolaires -etdes universités, tort concourt àl'éducation sise masses. Pour lesadultes enfin, il y a des Centres deperfectionnement . da. les villes,les campagne, à l'armée, jusquedans les prisons. Et, pendant ses

le iragoilleum muaoel pontencoré s'instruire en fréquentant/es pares de cult.e et les

moisadepionniers,Après avoir répondu à plusieurs

questions du public, car- la confé-roue était contraclandre, le doc-teur Badin hennius en soananentavec quelle sympathie en devaitsuivre l'effort de PU. Si. S. S. pourle bien-être do peuple1 Sut Liman'.tialité, aut.t qire son talent dora-teur furent très appréciés de l'au-ditoire qui tapplandit" viVernent àplusieurs reptiles.

CERCLE D'ETUDESCHARLES ISEGUY

Aujmad'hui 11 janéiso h 21le Cercle Charles Péguy, 3, rue de IaMarteler. ouvrira la dimuselonaLaTurquie NcinveItra --

Itapportur I Taha D.arrim.Entrée libre ot gratuh,m. Libertés

abmiue de discussion,

A LA SdClEit DiAGRICULUIRth8Demain lundi è14 h. 30, h sou siée

social, 9, rue °Senne, eette associanteapres procede ô I mstal atoon de sonbureau et de sou oonseil d'administre-fion pour 1137, entendre une Commu-nication de e Chelle, prcheaeuragrégé à l'Iode Ne'ionele Vétérinairesur a Panmentabon minérale des ani-maux domestiques

FACULTES DES LETTRESDE L'UNIVERSITE DE TOULOUSE

Cours publieaSemaine du 11 eu 17 envier.

Mardi, 12 janvier, â 17 h. 15, M.Marsan, dayen, professeur de litteretore fronçai. ; Villiers de Plste-Adam a Du romantisme à Pidéclisme

Jeudi 14 janvier, è 17 h. 15, II. Itey,professeur d'archeolegira,,iloyen-Age et d'histoire de l'aM mine 2Le statuaire du XIIIo signe et 114.1-monisme gothique.

DUNOIS" urr.,,,resAujourd'hui à 17 h. 300usana Inen

dune le grand amphithéâtre de la lé5mité des Lettres, la troisième conté.renom du cycle des u Lundis Littera..res a organisés par l'Amuie/4mi la°spénale des Etudlants.

00 H. Duperton, avocat b la Coter,dont le puMic n'a pas oublié Mutées.mnte étude qu'il fit Pann.60 dermièreé la même tribune de .2 La Jeunesseet les temps difficilm a, traitera cettefois le sujet mitant : s L'apprentisorcier, el duel de l'homme et de lamachine a.

La salle sera chauffée. La lomilenest ouverte à la Librairie Soubiron,rue de la Ponte. Entrée générale, 3 fanEuhir gratuite aux membres de IA.idglimiguigummilmigg llll g lll g l m g lll

EXAMENS ET CONCOURS

UnIsersité de Toulouse

FACOLTE DES LETTRESDIPLOME D'ETUDES SUPERIEURE-g,

Série I Histoire et GéographieM. Manet Roide, subira les épreuves

du dinaroo dcluidan supérieures d'histoiret g' g ph' I d' 12 I ' , ' 9 h..

à la Faculté, es, le sujet mirant MM-Mai rural dans la mirée de la Canonne deEmoeue à Grenade.,

M. Maurice Petit, subira les épteuvesdu diplôme d'études supérieures d'histoireet géographie le mardi 12 iransiet, à 9 A.,à lu Faeoloi, eur le mies suivant u a terégion liasigue cle nanan. o

111111 lllll 1111111111111111111111111111111111111I

_krhe LA 8/10VOL D'AUTOMOBILE

M. hm Fabre, 32 ans, ingénieur,domicilié à Mentbasin (Aveyron), depassage à Toulouse, a porté peinterentre inconnu pour vol de son anhomobile ?Citroën 7 CV Me., immotriculée 3907-YS-I.

1 Le vol a été commis la milt dernièce entre minuit et g. heurn du matin.Il y avait environ 10 Lires d'esseuedans le réservoir. L'auto valait 10.000fr. environ.

Mais l'autou étn retrouvée peuaprès.

DEUX CAMBRIOLAGESDANS LA MEME NIXE

Dans le courant de la nuit dernière,un pou murés I heure an... desmalfaiteurs 5e 0001intraluils, par ef-fraction, dans un bar garé par M. Al-PhOnse Drueilhe, 28 an, allées des nê-Pans, 3. On lui a volé dans mn comp.Mir 20 paquets de eine et es et 25 fr,de monnaie. Un disiribuleur de 1e-tons n été fracturé et un P5 pria 81)francs environ.

Surpris par ?arrivé,' de III, Dneui-lite, los malfaiteurs orn pris la fuite.Il a porté plainte ccn,r inconnu.

Dans la soirée d'hier egolementon s'est introduit, en fracterant la

LE MIDI SOCIALISTE 5

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

IMM 6porte d'entrée de la chambre occupée 8 h, 06, 13 h. 06; Bruguière, 8 h.1500M. François Bousqnet, 59 ans, ou- 16, 13 h. 16; Saint-Alban, 8 h. 22,Vrier eusine, route de Paru, I la vo. 13 h. 22; pont Matabiau, 0 h. 38,lade. On a raté dans son armoire 13 h. 38, Toulouse T. E. D.; arri-

vée, 8 h. 40, 13 h. 40.Retour Toulouse T. E. D., 11 h.

10, 17 h. 05; pont Matabiau, 11 h.13, 17 h. 08; Saint.Alban, 11 h. 28,17 h. 23 ; Bruguières, 11 h. 34,17 h. 29; Boulon, 11 h. 08, 17 h. 41Fronton, 11 h. 56, 17 h. 51; Villau-dric, 12 h. 05, 18 h.; Vinera., ar-rivée, 12 h. 20, 18 h. 15.

cent à. M. Jean Bort, 80 ans, qui y lo- Les dimanches et jours fériés, legeait. Le feu a été rapfiemeint éteint service partant de Toulouse àper les pompiers de la caseras ce-re 1.7 h. 05 est retardé de 55 Minutestraie. Les dégàts sont couverts par sur tout son parcours.une alsuraneo. 4. Foires et marchés à Fronton

Une enquête est ourerte. En supplément des services ré-

TOUJOURS LES VOIS DE VELO Ultitti:rSaect-erernut.,%1':foesaeestsrryst:;

Hier, vers 15 heures, Mine Adrienne par les reamees speeraux chairesLaeourt, 3, chemin Saint-Roch a Porté

1,000 francs et 2 kg. de sucre.M. Bousquet a constaté le vol en

rentrant che Cui, vers 1 heure do ma-tin. Une enquede est ouverte.

INCENDIEVers 8 h. 30, hier matin, un incen-

die se déclarait dans une .bare si-tuée repasse Rochefort et apparie-

a) De Toulouse à Fronton. Dé-

Plainte pour vol de sa igerelet, parts Toulouse T. E. D., 9h. 10,pont Matabire, 9 h. 13; Croix-Dau-

TIN TROISIFME CAMBRUMAG" rade, 9 h. 19; Louas et, 9 h. 27;Hier, vers 16 heures, M. Domitneue Pechboreieu, 9 h. 33; klontberon,

'Grau, demeurant, 17, ne Alfred-1/u- 9 h. 35; Labastide, 9 h. 43, Ger-

méril, a constaté qu'un ou des mollet- gaS, 9 h. 51; Les Croustets, 10 h.

items s'étaie, introduits dres spi,- 01; Bouloc, 10 h. 12; FrontOn, ar-parlement situé au rez-derre.sée. rivée, 10 h. 20.

Une valise contenant du linge h été Retour t Fronton, 15 h. 45; Sou-

frent.. lise 15 h. 55; Les Croustets, 16 h.Dam l'armoire, qui n'était pas fer- 04; Gargas, 16 h. 14; Labastide

de 150 francs, composée de pièces de 16 h. 22 ; Montberon, 16 h. 27 ;francs, de 10 fr. et de 1 franc& rode, 16

,1.11,;u12.9,;.,eCr,i.OiErr:Dau-D.,

INTOXICATION PAR GAI arrivée, 16 h. 55.D'ECLMRAGE b) De Villemur à Fronton. Dé-

part t Villemur, 10 h. 55; Vfilau-dile, 11 h. 20; Fronton, arrivée,11 h. 27.

Retour : Fronton, 14 h, 50; Vil-.

Hier, vers 19 heures, un voisin sur-pris de ne pas voir M. Bertrand DO.ratage, 76 ans, 18, rue Traversière-St-Georges est allé alerter la permanencede palice.

Le commi.aine s'est transpreté surkt, lieux 0reomPa500j du docte." Pe-rés.

Dorange a été trouvé sur son litsalant et sans connaissance, les robtO du réchaud à gas étaient ouverts,. un arrêt au. également lieu au

1)es constatations effectuées, il t neat Matabiau mais la gree de

suite 4. le viellera avait l'interdirede mettre fini ses Murs.

M. Dreange a été hospitalisé l'HM

tel Dieu 'ENCORE UN VOL D'AUTO petite vitesse. - Les exneditions

Hier, 'yens 18 heures, M. Henri ou arrivages de marchandises lm-Monge, figé de 44 ans, expert-compta- tite vitesse auront lieu à la station

ble, e, rue Ringand, a constaté fia de pont Matabiau et ne seront plus

disparition de sa voiture qu'il avait acceptées à la gare Bonnefoy.

aàlà"e eustek00""t place1111111111111111111111111111111111111111011111Scarbe.

Une enquête est ouverte.

PARURES DE MARIEESO. COSTES, 25, rue île Renan a

Il llllllllll IIIIIIII11111111111111111lllll 111111,

Horaires du Sud-Ouest

COMPAGNIE DES CHEMINSDE FER DU SUD-OUEST

CENTRE FAMILIAL MENAGERDE TOULOUSE

2, rue Chevreul, 2Proehaine ouverturedes Cours gratuits

LIGNE DE TOULOUSE Le Centre Familial Ménager vaA VILLEMUR donner, du 3 avril au 5 juin 1937,

La Compagnie des Chemins de une Série de cours d'Enseignement

Fer du Sud-Ouest a l'honneur d'ire Ménager.former le public qu'a dater du 11 Ces cours sont deStinés aux ;jeu-janvier 1937 l'exploitation ferro- nes femmes et aux jeunes filles.

T'de Toulo4h

imée sur la ligneVinornur et rempla-

cée per, 8e8 Services automobiles.La deSserte decette ligne sera

assurée, ilaa trois itinéraires diffé-rents de' Mare à donner complètesatisfactidn aux populations des

. , Villemne,vée, 75 h. 15.

Obsenutions. - Les départs etles arrivées à Toulouse ont lieu ànla gare des Autobus Déarteme

. . , , Potonne

Bonnefoy ne sera plus desservieMessageries. - Les expéditions

de messageries /mireront avoir lieusoit à la gare des Autobus Dépar-temental., soit an pont Matabiau.

In ont pour bot de les aider h OsAsface aux difficultés matérielles etmorales qui se présentent dans /avie de chaque jour et qui sont, àl'heure actuelle, plus nombreuses etplus sensibles que jamais.

Il est donc de l'intérêt de touterepeins i500reosces . jeune femme on jeune fille, déni-

is: TowelLee à Villemur, par relise de se perfectionner dans leMontluc:ro», Labastide, Harare, rôle de ménagère, de Suivre lesFrOnton e Cours du Centre Familial Ménager.

Départs s Toulouse T. E. D., Ces cours sont gratuits.fi h. 30, pont Maitabiau, 6 h. 33; Aurelle condition n'est exigée.Launaguet, 6 h. 48; Pechbonnieu, Pour tous renseignements, s'a-

h. 55; Montberon 6 h. 58; Laban- dresser 2, rue Chevreul, l'outre/te,

tide-Saint-Sernin, T h. 04; Gare% tous les jours, de 9 heures is

'7 h. 12; LeS Croustets, 7 h. 21: 18 heures, sauf le dimanche et leBoul., 7 h. 29; Fronton, 7 h. 37; jeudi.Villaudrie, 7h. 45; daller., ami- POUR LA CAISSE DES GROLESsrées, 7 h. 59.

Retour e Vinera., 18 h. 16; Vol. A roceusian du mariage de M. Ivanlaudric, la h. 31; Fronton, 18 h. 39 Berthe avec Mlle Gilberte Delhi., uneBrelre, 18 h. 47; Les Croustetas sorene de 116 francs a été remise

18 h. 51; Gargas, 19 h. 04; Labas- M Taché, adloint au ntaliretpare être

berna, 19 h. 18; Pechbonaieu,'1921; Launaguet, .tabiau, 19 n. 43; Toulouse T. Et. D. _ u'à-Tioge d° M.

Arrivée, 19 h. 45.bre ard Chavanon avec Mlle Blanche

De à Toujou, p.. Banian, une somnie de 65 fr. 95 a Me

Vacquiers, Labastide, Cépet, (Ira-rem,. 0 M. BYre, adjoint re ma

ent

ire,pour être affectée à la Caisse des

ourDéparts VilleMur, 8 111,1 13 h.; Me."'

h 18. Les adjoints au maire ont vivement'

tide-Saint-Sernm, 19 h. 12; Mon - affectée à la Caisse des &mies.

FEUILLETON DU MODE

N'était-ce pas le dénouement ren-t en d'une histoire d'amour telle

q 'aucune fereue, peut-Mer, n'en avait

i niais connue de pareilleN'était-ce pas le réveil douloureux

d un rêve qui l'avait tenue délicieuse-

ment enfiévrée, dormeuse éveillée qui

e demandait qu'a prolonger le renge

captivant 7Josette n'était qu'une femme, Sen

parer connaissret oes contradictions

gas, 8 h. 33, 13 h.33; Labastide- 1.17..11". '1111 de 1 ààuTi'à "à"-,

Saint-Sernin, 810. 41, 13 h. 41; CA. maire, les donateurs pour leur gestede haute philanthropie.

CHAMBRE DE COMMERCEDE TOULOUSE

Emploi obligatoire de aresioaresde guerre

pet, 8 h. 47, 13 h. 47, Gratentour,8 h. 52, 13 h. 52; pont Matabiau,9 h. 13, 14 h. 13; Toulouse T. E.D.; arrivée, 9 h. 15, 14 h. 15.

Eetua e Toulouse T. E. D., 11 h.44, 17 h.; pont Matabiau, 11 h- 47,17 h. 03 Gratentour, 12 h. 08, La Chambre de Commerce de Tou-

17 h. 24; Cépet, 12 h. 13, 17 h. 29, lause rappelle de nouveau à ses res-

Labretide-Samt-Sernin, 12 h. 19, sortissant que les commerçants et in.

17h. 35; Gargas, 12 h. 27, 17 h. 43dustriels assujettis à la 101 40 26 avril

Vacquiers, 12 h. 42, 17 h. 58; Vil. 1924 relative, à l'emploi obligatoire

lemu, arrivée, 12 h. 59, 18 h. 15. des pensionnés de guerre, doivent,

1. De Villemur à Toulouse, par par lettre recommandee avec accuse

Fronton, Boutre, Bruguières de rreeption, adresser au Préfet la

Départs e Villemur, 7 h. 30, 12 h. liste des pensionnés qu'ils ont occupé

30; Villaudric, 7 h. 47, 12 h. 47; l'année Prikkillente et signaler au ditFronton, 7 h. 57, 12 h. 57; Boul., Irecteur de l'Office départemental de

Placonent les emplois resserves auxPensionnés de guerre, dans le cas oule pourcentage fixé par la loi ne se-ai p s efteiat, tirs enploitatioos

sujetties à la loi doivent justifier avoiratteint le pourcentage requis; mimesi elles nMnt pas eu de vacaree d'em-loi, elles doivent, si ce poureentage'est pas atteint ,faire des offres ou,

à défaut, payer la redevance.ALLOCATIONS PMU:LIAI:Es

Le Caisse de Compensation du Com-merce, al. rue Antonin-Merci, à Tou-louse, croit devoir rappeler aux inté-r.s. que /a loi du 11 mars 1932 sur lesallocatiorm familia,ee est devenue obli-gatoire depuis le ler janvier 1937, damtous les établissements rinunerciauxsans exception occupant du personnel.

En conséquence, les commerçanm detoutes professions doivent se faire ins-crire saos delai comme membres de laCaisse de Compensation, chargée deverser les allocations réglementairesaux employés chefs de famine et de ré-

PsZtattreeer7pose ''erfeeer:Pnley=r1des centraventions.

AU BENEFTCE DES PETTTSTOULOUSAINS ALIX PYRENEES

Notu recevons les amilloures nouvel-les de la soirée qui se prépare en ce mo-ment avec une fiévreuse activité. Lesdames de conseil doiministrationdu comité s'emploient à se mettre aupoint les détails som la vive impulsionde Mme Atget.

Il faut souhaiter que tant de bonneavolontés et de gracieux dévouementsoient remompenres, cmat ce que nousfaisons de tout coeur en invitant le pu-blic à retirer au plus vite ses place, 71.

Section Toulousaine

GROUPELOUIS.ANDRIEU AUCOUTURIER

Ameud-Bemard. Concord, Matebiau,Bayard

La réunion du houpe au:a lier le mardi12 janvier à 21 heures pKo es, au ahre,Café du Nord. 15, sac de Toul.

Cidre du jour : Adhisious; cotisations:renouvellement du bureau, causerie édu-cative par notre camarade Delpech sur unsuie d remake.

Présence indispensable de tous les- Le secrétaire : Lagarde.-0--

Jeunesses Socialistes

GROUPE 3.-000E501.Commission de propagande

Les camarades dont les noms suivent,sont convoqués aujoard'hui lundi, à

18 h. 30eme .iège. Café Lépine, plaire dela

.

Abadie. Cabot, Cassa. Coll Cl..mont, Merl, taret, oha;ba. - aaaé-

taire J. C.SECTION TOULOUSAINE

Commission d'étudeLes affinkredes Rcudière, Cayagnol, Sem-

Bérducrz, Lagardolle Cam. .ntsouconvoqués au Foyer du Peuple. - Le se.crashe.01111

muisrEBASKET

Ie..luilespfruelli,bat Pont des Demoisel-

Jules-Julien a tin Pont des Demoi-selles 2, Par 25 b 19.

LIUSC,roscts country. - Une 'section qui

Hier drnanche, 10 janvier, ITEilletRouge S'usait disputer dans les maga,armes corsa. de 'Moscou, ses challen-ges annuels de cross en seniors et ju-

.Notre vaillante équipe de Paires pre-

nait place parmi les 29 partants et ré-pondait présent 5 l'appel du camaradeMassonnier. Au e partez e du cama-nide Belbéme, la laisse fut tachée arsjeunes e leaders » qui s'élancèrent àl'assaut d'un magnifique challenge, àtravers des terraivs de toutes natures.

A l'arrivée, coinm minutes plus tardnous enregistrent avec plaisir et aressurprise les noms des camarades : Pa-nez, qui se classe Ire de l'Iris et Se duclassement général; Gallèpe, 5e; Ah.Ge, perrihs, 7e; Hégire, 10e; et Favier,15e; cette brillante société enlevait le

MONSIEUR PERSONNEGrand roma» 'nad

Par

Marcel ALLAIN

subtiles qui sont, pour les hommes,d'effarants et séduisants naystre....

Pouvait-elle aimer s Nionsieur Per-sonne s? La question De supportaitaucune réponse I L'idée, même, enétait stupide I._

Et cependant 7El cependant, à l'instant où elle en-

tendait Marchand arrêter le o Comtede Trégrec s, Josette avait le senti-ment cruel d'un écroulement. d'un

anéantissement, comme si quelquechose, dans son rieur, se mourait, ir-rémédiablement; quelque chose, pou,tant, qu'elle n'avait pas su existe,dont elle aurait ,pcut-étre, nié, debonne fo, la vente, et qui etart., sonamour !

Hetes I un homme comprendra-t-ilremis de tell. subtilités 7 Et ne

soreellea pas, cependant, transparen-tes et simpl., ces contradictions pouroutes les femmes ?

_Josette n'avait point perdu oneseule dm répliques qu'échangeaientCharles Préval et le Comte de Are-Once, Elle avait, à merveille, pressen-ti la veree de Marchand, cornetsqu'une arrestation était inévitable,

s Monsieur Personne aussi bienn'ovule pas maison?

11 s'était fait arréterC'était volontairement qu'il venait

de se faire PrendraVolontairement ! pourquoiLe goût de souffrir est enclos dans

a volupté d'aimer.Josette, à cet instant, eut lare nneh

e était sans force que le moindre

LE MIDI SOCIALISTE

challenge avec 21 points devant Mos-

cou qui totalisait 38 Preres.On se souvient que delà le 12 décria

bue notre reliante équipe de crossmenenlevait le challenge st Salengro p. ellepromet dore de refaire parler dMIle. encours de saison et de ne P. s'arrêter

En seniors. Limbert et Castrearet,prenaient seuls le départ et défendaienttout en étant hors challenge. hre.roMe-ment nos couleurs en se classant 9 et10m,

Nous ne devons donc pas hésiter defliciMr tous ces jeunes athlètes, ainsique leur manager, le camarade Dou-aiac. en leur souhaitant le même résul-tat dam les aompétitions a venir. - Ft.

Dreuelllll

A VIEPORTIVE

GRAND MATCH MILITALREAU T. O. E. C.

500rdi prochain 12 fitavire unegrande rencontre mre,aviation mettraen plêsence Ls Base Aérienne 101 deTououse rentre les aviateurs d'Avord.La grande foule qui suit habituellementma matches si pais:Mohs sem mimée,Putsquielle est sûre de recommitre nom.bre de ces favoris, parmi les a volantsde notre région, sot Delort, Bladou,Momie Guenot, excellents huards duT. O. E. c., Michaut, Cazaubon, pré

ceusleir":1=intr =',SF}sille,Bulle, du Stade Toulousain; Dalhez,talonneur de Perpignan; Batut, le fa-meaura aimer de l'A. a Biterroise. Ce

Coup d'envoi, à 14 h. 90.Entrée géthree : 9 francs Entrée

gratuite Pour les militaires.-o- Demande de match. - L'équipe

deuxième du T. O E C se Mreaceraitdimanche 17 jrevier. Faire offres etce/mitions au secrearlat 12, Arcadesdo Capitole. Téléphone, 02150.

COURONNES MORTUAIRES0 Castra vs rue rte stnunner

Choisdomicile - Téléphone 205,te

AVIS DE DECES

rue dnt Tunu, pour 10 erpréertttavuae quinze complet qui jouera pour la pro

st Ro. de France a, le samedi le am_ niAyieorerd, fdooniss eos,pâre scom,a,iirrtglIserbrildi.ev,nzt

vlêit1111111111190111J1111111111111111111111111it"" rihamP""titmilitaire

Madame Maurice NICLOUX née LA-CROIX et Monsieur le docteur MauriceN1CLOUX, professeur à la Faculté deMédecine de Stras. Mou,sornr leskateur FrelPPe LiSCROix et MadameLACROIX; Monsieur et Madame Char-isa MOREL et leur fi.s; Monsieur etMadame Omorg. STADLER; Messieurs

'Philippe et drue-Loua; NICLOuxMonsieur Henri LACROIX et Mademoi-selle Monique LAGROLX; MonsieurPierre 1300; Madame Emmanuel DOR,ses enfants et petits-enfants; monsieurToussaint VIEIL, ses enfants et petits-mfants; ma familles LACOSTE, DAR-GASSIES MIEGEVILLE, DOR, OL.E.mENT, VIEIL; mademoiselle EmestinecAsTELBoU, sa gouvernante dévouée;Monsieur et Madame Jean-Marie GOM-MIER, ms fidèles régisseurs; le person-nel de 10010e LACROIX, parents, alliéset amis, ont la douleur de votu fairepart de la perte °entelle qu'ils viennentd'éprouver en la personne de

Monsieur Louis LACROIXDoeteur en médecine

AnaleOfficier de l'Instruction Publique

leur père, beau-père, grand-père, arrièregrand-père, beau-frère; oncle, cousin, pa-rent, mu et ami, pieusemént décédé à,Toulouse, le 10 janvier 1917, clans'Ume année muni des sareemeats del'Eglise et vous prient de vouloir bienassister à les obreues oui auront lieu lemercredi 13 janvier :117, h dix heures,en ea, Cathédrale Saint-Etienne.

On se réunira à. la maison mortuaire,le sue du Languedoc.

On ne revoit pas. On s'inserit.inhume:Mn au cimetière de Terre.

Creade, dans le caveau de famille.

Pompes Funsar-J Générales, 7, rueLafayette. Téléph, 210.3e

Madame retenir. RENOUS, née LA.VALETTE; Monsiere Charles REMOUS,Madame veuve PEWRANNEs, née LA.VALETTE; 1. familles ESCANDEVENCENT, LAPORTE, ROUFFIAC etFOURNIE, ovula douleur de vous fairePart de la perte cruelle qu'ils viennentd'éproreer m la personne de

Monsieur Antonin RENDUSHarles.

leur époux, père beau-rrère, et cousin.Pieusement décédé à Toulouse, le lajanvier 1937, muni des sacrements del'Eglise, et vous prient de bien vouloirassister à ses obsèrees qui auront lieumardi 12 janvier 1937, à quatorze heu-re, en Ihglise de l'Immaculée °mem-Mon (Faubourg Bonnefoy).

On se réunira à /a maison mortuaire.B. avenue de Lyon.llll s

Ni fleura, rit couronn..

Pompes Ffirrèbres Générales, 7, rueLafayette. Teléph. 21030.

menvement lui demeurait repos,- Depuis l'instant qu'il avait passé leshie, que toute pensé, même, mata in- menottes à son prisonnier, il n'étaitterdite à sa pauvre âme accable,- plus le même homme.

Et puis, elle se trouva sur le scui/ du Le triomphe lui montait à la tête. /1salon, regardant de ses yeux rends se sentait important, maitre d'une si-cle larmes, cet hors,me pro 100 ettsMe.niait, et torturée du désir., du besoin, - Et bien !Madame... je vous érzu-de la soif de savoir ce qu die ignorait te I &enduros., emmenez ce bonhom-enco _ me au jardin. Et l'ceil ouvert, hein 7

IEure.e apPe a d'une 'voix qu'elle Marchand dans sa fièvre, ne re-tonna, elle-même ifentedlre aresqt e marqua pas mère le long regard dont.surée Josette accompagnait la sortie du pri-

- Monsieur' ifieremi ? .. MonsieurMarchand 1. s -

La main toujours 0PPesantie sur Pà'à 10 Ourse rever,a, oa entrevoyaitt'8 ai de e SI o.ieur Personne sPolicier vomit de lancer un coup go eotbaomé, locale ta fétu de la natore,

sifflet strident, et, sortant des cachet-tes où il les avait embus/niés, des gen-darmes l'entouraient. 11 se retourna

- Madame I questIonnal dl.- Je voudrais vous dire un mot...- A vos ordres, Madame I Le temPs

d'ezb,aller te gaillard-lb et je suis

- Non I non ! il faut que je vresparle tout de suite

rEco hli a 'bd' h-ési

LE LAIT DE LEP RGNE

THEATRESTHEATRE DU CAPITOLE. - Demain

mardi 12 janvier et meroredi 13 Mame,reluite pour gc 'tirions de Rorz deFrance - Jeudi 14, en soirée. « Le Paysdu Soutire & avec la divette Renée Pageet le ténor Lenri. - Samedi 16 janvier, enhuée, création à Touloase au bénéfice deahane Ire Petits Toulousains aux Pyré-nées, de « Rose de France - Dimanche17, en matinée et en soirée, Rose deFrance s.

CINEMASNOUVEAUTES. - 14 fi. 30 et 20 h. 30:

An 1C en a P aterze tafemme ..

GALLIA-PALACE. - 14h. Nu 21 h.:o LA Bataille s.

GAUMONT. - 14 h. 30 et 21 h. r

s Hélène s.OLYMPIA. - 21 h. t s Seconde Tek

nesse s et « Debout, là,dedors I.PARAMOIJNT. - Permanem de 14 h.

à 19h sali h.: « Notre-Dame d'Amour s.

TRIANON. - 14 h. 30 et 21 h.Un de la Légion s. peuxièree semaine).

VARIETES. - 14 h. 30 et 21 h.Céhe s. (Troisième semaine/..- c -1

AUX NOUVEAUTÉSdernier jour

ANNA KARENINEavec GRETA GARBO etPOSTE-MOI TA FEMME

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Enfants t 2 francs.Soirée à 21 h. Prix 13,leIIIr.

ROSE-MARIEavec JEANETTE MAC DONALD

et NELSON EDDYActualités en Ire semaine

Tels beau complément

M1111111111111111111111101110111 lllllllllllll

OCIETÉS-A VIE DES -111

ASSOCIATION DES COMPTABLES- 15, rue Crx-Baragnon, a 20 h. 45.

Mar. 12 courant, cours de comptai.lité et d'arithmétique commerciale pre-pendoir. aux certificats de teneur derenies (S. C. F.) et d'aptitudes profes-sionnelle Obi Astiere

Mercredi L3 t Causerie conférence surle 5250a.,05mmermal.

Vendredi 15 t Cours de comptabilitépreparafoire au diplôme de nOmptableta. C. FO et au brevet prpfeasonnelcomptable sanctionné par l'enseigne-ment technique.

AMICALE] DES SPORTS ET JEUXREUNTS,-- Assemblée générale Jeudi19 janvier, Café des Négociants, pio,anisation peur 10 Matité de la société,

nouveaux membr., soiree. du mardi.gras

CRORALE DES MINIMES. - Cemir lundi, à, 20 h. 30, répétition d'en.semble; étude de nouveaux chceres.

TOULOUSE CHEMINOTS MA-RENGO SPORTS. - L'assemblée géné-rale annuelle de la société aura lieu lemercredi 13 janvier 1937, h 20 h. 45, ruede Periole, n. 2, an,grde rue Maren,gides

Tous les ociétai (membres i,sont priés de pren e leurs dispos ionspour assister k cette régnion 00 il leursem rendu compte de l'activité de lasociété pendant l'année écoulée.

Le Onm:td ospere que mette aueembbéegroupera les nombreux cheminots s'in-téressant aux sports, pour eux-mêmeset Peru leurs familles, et qu'elle seral'occasion de redoubler de prePagandepour entrainer de nouveaux adhérentset augmenter la vitalité de nos diverses

CHEMINOTS ANCIENS COMBAT-TANTE mirPP ce.-MIDI. - Réreion Séné-rate te mereredl as courant à fl) hemes, au siège, 11, rue Alexandne-Fourta-nier.

Ordre du jour : Fête de la section.Les cartes perle la mirée dansante et

artstique do 05 200vlmela Bourse du Travail, seront distribuéesau coins de cette réunion.

Il sera tait en outre, le compte-rendudu conseil d'administration du 10 San-nier, tenu à Brétigny.

La présence de tous est de rigueur.BOGIES-g DES PECTIEURS A LA LI-

GNE DE LA HAUTE GARONNE -Assemblée générale.

Il est rappelé aux membres de la sa-leté des pêcheurs à1.1. ligne de la Hte-

t 0010 sera art, on l'aurait cru, in-finiment triste à Josette-.

Qu'elle était pâle I Qu'elle tremblait.Elle fit, dans un enuchotlement- Vous êtes rertain que le comte

de Tregunc...- Est Monsieur Personne 7 Oh 1

certain, madone I- Il a donc avoué?- Eh I je me fiche pas mal de ses

aveux ! Je le tiens ! Votre ami, M.

EN CARAFES

ne pusses pas un sera laver sans

emee:Îl'ade':'e's'e'tutcne'e'' pleoePurE'isemP':Ing'rp'tesifire;

mon ménape. Depuis gus je prends du1,an eFraeuse Je me sensforte e/ ne

fescglorsipp'efs7 egn'fid en irieeusr' eu;mes et Frerzeic..neRue de Vincennes, Bordere,

Le arm de Frileuse, ardue à ses propriétés. est unCréaieur de globules rouges. il donne de raPpéilL unsang vif et des nerfs solides.

Le Vin de Frileuse est le moins cher des fortifiants à based'Uvaria. C'est un apéritif médicalement composé que vousfaites vous-même, d'ree amertume tonique dans dtt vin rou s,doux et délicieux dans du vin blanc sucré à votre gain,

Interroges votre pharmacien surin PUIBSCIRCO du Vin

de Frileuse. Demandes-lui conseil. Quand vous Miressuivi une cure de Vin de Fribus, vous comprendresrenihousiasmegueProvogue, désauvnrt. médi.d.Le Vin de Frileuse eut en vente ch. votre pnannucien

au prix de 6 Francs seulement.

fe plus lort, desGaronne que la réunion générale auralieu dans la sale de l'amphithéâtre del'ancien. Faculté d. Lettres, 17, ruede Remuait, le samedi 10 janvier 1937,à 2: heures.

Ordre du jour : Allocution du errai-dent; compte rendu financier; renouvel-lement partiel du conseil d'administra-

U'Le's risoc'lie't'citn'iresdivqeurvoudralent fairepartie do 00005al dgiadm, inistratit onq

1dentrioue:

'forint uler dnestishes à Mire sou-

mis. à l'assemblée générale mat Priésinformer le presfilent par cour-

1111111111111111111111111.111111111111111I11111/

DANS LE DEPAR1ENIEN1

SAINT-GAUDENSLISTE LLECTORALE. - Le maire de

Saint-Chudens rappelle à ses administresque toutes reclonations en matière licousrale : demandes d'inscription ou de radia-don doivent être faite. jusqu'au 4 févrierà minuit. au secrfuriet de h matou, ohun maigre est ouvre à cet effet.

RECENSEMENT DES CLASSES 1936lb _IONJ.Eil;..192?.s.-7 N.fatch.t

aie des classes 1936 Ce fraction) et 1937,ou à défaut hueras ou tuteurs, hotinvités à se présenter à la mairie à date:du jeudi '14- janvier 1937, pour la rédactirzde lame amiea individuelle avec toutes Si.donations ou demande. y afférentes :

demandes 4, sursis, arze demandée, alio-cation journal., s'a lieu_

Les. intéreués devront autant que posalble âtre porteurs de pièces d'identiténeat de famille des parents de préférence.P.8¢ ce délai d'un mais à dater du pré..sent avis et faute de s'être présentés, ils

seront passibles des poursuite, prévues parlu loi,

ETAT.CIViL DU las AU 7 JANVIER1937. - Décès Berrznd Moreeirand, 57

lb ana.

min Bore, 67 are boulevard de l'Oses&Ranh, Capdasi.., 90 arz. :mese sajd.,,,Ion, quartier de Pilus

NOÉ

UNE FILLETTE ECRASEE PARAUTO,UNE - Ilion, ores 17 h. 50,

hameau dit le Gaillard-du-Port, ureenfant de 3 ans, Annie Clades, a étérenversée par une automobile con-duite par M. V... de TeolOuse, se di-rigeant vers cette ville.

L'enfant, voulant rejoindre sa mère,traversa brrehruement La route et leoonducteur, malgré un violent coal:de frein, ne put l'éviter.

L'enfant eut les deux caisses frac-turées et de nombreus. ecchymose&

Préval, l'a d'ailleurs Pria qaosiirseulla main dans le sac I-.

- La main daoa le sac I répéta'Josette.

Toutes ces pareles loi faisaie.ntMal !

Le drame devenait vulgaire. 15500e.n'était- phis qu'an argo.sim

Du dégoût se levait dans le cor00 dela jrene femme .

Oui Madame I poursuivait cepen-dant le policier. Ah I il n'a pas mê-me essayé denier.,, D'ailleurs c'est00tgaillardiqui. aime chker... .Maison le dressera I... Vous vouliez medire quo, exacteemnt, Madame 7

le you mus toi parler-.- Comment 1... h Monsieur Per-

sonne 7- Oui !

Mais il va vous insulter 7... Je ne pense qu'à moi... LI fors

des aveux.-- Oh I ça I...Le visage de Marchand trahissant

une absolue incrédulité. Et cependant.Le policier songea f- Nxturellement, des aveux, ça

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35-3S, me Roquelaine

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Je vous adresse abinclus ree Photsgraphie poua agrandissement avec cadrevue cous voudrez bien m'adresser muststôt exécuté à l'adresse suivan

Cbjelat un mandat de IN frimai

ne .raiit pas mauvais , &f.a ...pa àtrete difficulté I Enreite...

Marchand interrogea- Vous croyez eUvOir le fere par-

- J'en suis certaine I

Bon 1... Alors-, dans ce cre...Vous voulez lui parler seule I seul ?

Oui I Sans (Ain..- Eviderenent I Sans mol, Il Fe

taira 7... Et bien !... Venez MadoneJe vais arrangea cela.-

Il devenait de plus en plus imPor.tact,

N détait-il pas oretaiuidesiictoire,

me.e.7.econde ne I ave ntovAil pas

pinsComme elle était émue, cette Mada-

me Josette !Eh I Eh I il convenait de la men.

ger, 400e réserver ses brumes grâces.suivre).

HémorroïdesCsletSes,segeus 5e' 5e SeslIRssinSFichu» se ans de sures. cor. FI MN

ESTPUR,, SAIN,

CACHETÉES HYGIENICIJE

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