Upload
others
View
3
Download
0
Embed Size (px)
Citation preview
2016… année VITROLLAISE
A l’heure des fêtes de fin d’année il est toujours
temps de faire un bilan des 12 mois écoulés, un
zapping, un bêtisier ( ?). Et 2015 fut une année
que nous qualifierons de « singulière » pour ne
pas commettre une platitude de plus sur l’échelle
des valeurs. Evidemment j’évoque ici,
incontournable, la terreur qui est venue marquer
le calendrier dès potron-minet au deuxième
mercredi pour reparaître un vendredi 13, onze
mois plus tard. Ainsi nous commençâmes et
finîmes l’année sur les terrains par des minutes
de silence. Ce n’est pas ici le fond du propos,
mais le monde du rugby en particulier, parce
qu’il se prévaut de valeurs remarquables, ne peut
se dégager de cette conscience qu’il y a à
contribuer au vivre-ensemble dans ses activités
associatives, sportives, sociales et éducatives.
Côté rugby, le VRC et l’équipe de France ont
failli être champions… (smiley de moquerie), et
le VITROLLES RUGBY CLUB a grandi dans
sa structure, son nombre, sa surface sociale, la
maîtrise de sa gestion, sa capacité formatrice.
Mais à l’heure des fêtes c’est aussi l’heure des
résolutions : 5 fruits et légumes par jour, plus
qu’une cigarette au café, ouvrir les M14, mieux
écouter les conseils de Christina Cordula,
monter en 1ère série, boire qu’une bière aux
troisièmes mi-temps, Novès fait le grand chelem
avec une équipe de minots, du boulot pour toutes
et tous, ouvrir la section féminine, apprendre à
faire les selfies, sauver la planète, faire du VRC
un « beau club » ; en 2016, être solidaires.
Site : http://vitrollesrugbyclub.clubeo.com/
http://vitrollesrugbyclub.clubeo.com/
Avant-dernier match VRC 45 - 7 Huveaune
Samedi 16 janvier
Plateau des écoles de rugby Moins de 8 ans / 10ans
A Pélissane : suivre les info site et JP
Venez voir jouer, les petits du VRC !!!
DIMANCHE 17 JANVIER 2016 à 15h stade de Fontblanche.
VITROLLES RUGBY CLUB vs VAISON-LA-ROMAINE
Venez nombreux soutenir le XV de Fontblanche
Championnat de Provence 2ème
série
2ème
série territoriale
PROVENCE
Oraison 10 14 VRC
VRC 33 16 Graveson
Uchaud 19 29 VRC
VRC 48 17 Gardanne
Beaucaire 5 38 VRC
VRC 45 7 Huveaune
Vidourle 24 19 VRC
VRC 17 jan Vaison
VRC 31 jan Oraison
VRC 7 fév Beaucaire
Gardanne 14 fév VRC
VRC 28 fév Uchaud
Graveson 3 mar VRC
VRC 13 mar Huveaune
Vidourle 3 avr VRC
Vaison 17 avr VRC
Classement clubs P J G N P 1 VRC 29 7 6 0 1 2 Vidourle 19 6 4 0 2 3 Uchaud 19 6 4 0 2 4 Gardanne 16 7 4 0 3 5 Huveaune 13 6 3 0 3 5 Beaucaire 13 6 3 0 3 7 Oraison 9 6 2 0 4 8 Vaison 5 6 1 0 5 9 Graveson 5 6 1 0 5
Dernier match Vidourle 24 - 19 VRC
Samedi 16 janvier
Plateau des écoles de rugby Moins de 12 ans
A Pélissane : suivre les info site et JP
Venez voir jouer, les petits du VRC !!!
N’oubliez pas le site internet du VRC !!! http://vitrollesrugbyclub.clubeo.com/
Samedi 23 janvier 14h30
VRC-Cohésion Sociale - Rugby de rue Le VRC pose un stade dans la rue pour un tournoi de
rugby-flag à 5, ouvert à toutes et tous de 8 à 15 ans.
Inscription gratuite, goûter, animations rugby.
Place du BARTAS, quartier petite garrigue à Vitrolles Cette initiative est produite par le VITROLLES RUGBY
CLUB dans le cadre d’un partenariat avec la CP-d’Aix et la
Ville de Vitrolles. Elle sera conduite par les éducateurs du VRC
intervenant dans l’école de Rugby de Vitrolles, le périscolaire
et les collèges Claudel et Fabre.
http://vitrollesrugbyclub.clubeo.com/
Dans la cheminée du VRC…
Le samedi 19 décembre ouvrait les vacances de fin
d’année en même temps que les portes du Vitrolles-
Rugby-Club au Père-Noël. Les parents avaient apporté
leurs spécialités pâtissières à partager pour les enfants, tandis que pour les
plus grands on voyait même circuler des coupettes effervescentes… bref
c’était la fête ! Jean-Chri se battait avec la sono, le président avec le micro,
mais Flo, Marie, JP et Jean-Louis avaient bien préparé l’affaire et il ne
manquait pas une papillote. A 16h37 Jean-Chri trouva enfin le « petit Papa-
Noël » de Tino Rossi et il put enfin arriver suant, avec sa hotte sur le dos et à
son bras, la Mère-Noël. Chaque enfant reçu une tenue sweat et bermuda
marqués du blason du club, de quoi bien figurer dans les prochains plateaux
des écoles de rugby.
Le calendrier OVALIEN 2016,
unique au monde
et inventé à VITROLLES, est sorti.
Réservé à la diffusion aux commerçants dans sa version au format A3,
il reste disponible gratuitement à tous et dans la limite du stock
dans sa version A4. Le calendrier OVALIEN est l’outil indispensable
pour suivre l’année rugby : toutes les rencontres du VRC,
le tournoi des 6 nations, les tournées du XV de France et les tournoiss
olympiques Rio 2016 de rugby à 7.
Demandez-le au foyer…
SENIORS : VRC vs Huveaune / S’il y avait bien un rayon de soleil dans ce dimanche au champ chromatique gris-brun, ce fut bien au dessus de Fontblanche où venait en visite pour l’annuel derby des fleuves côtiers Cadière et
Huveaune, le Marseille des quartiers est. Le XV vitrollais se présenta certes décimé de quelques avants abîmés ou
collés, mais de nouveau armé de son 8 en titre enfin réparé des côtelettes flottantes qui lui rappelaient qu’il était le
capitaine à chaque fois qu’il toussait. Gieules en place et les dispositions générales de bonnes grâces, le pack
solidaire assura sa mission de manière remarquable et proposa un cadre de jeu de grand confort à ses lignes arrières.
La charnière avait mis de l’huile et ainsi la première demie-heure fut d’une fluidité rare. Pif paf bim bam ! Le ballon
vire-voltait de mains en mains, de culs-de-rucks
en pontes de mêlées et jusqu’à l’aile, Baptiste
Rapetto révélé, Ordisso Gouland, Bressy en
trains express du PLM roulèrent chacun jusqu’en
terre promise. Quant à Lacroix.Y et Malahieude,
au nom de la constance et vaillance de leurs
frères de meule, les dénommés Cuenca,
Reimund, Perick, Lacroix.G et alii, ils écrasèrent
aussi l’olive pour une taxe de 45#7.
SENIORS : Vidourle vs VRC / Parce qu’il est important de rester aussi digne dans la défaite qu’humble dans la victoire, il faut ce soir écrire cet article sur le premier faux-pas des vitrollais dans ce championnat. Devant une
équipe de Junas sérieuse et bien organisée dans son antre champêtre posé au creux d’un vallon accueillant vignes,
chevaux et taureaux camarguais et d’où l’on entend presque le grognement de sangliers par-delà les bois
environnants, les jaunes et rouges ont balbutié leur rugby, manqué d’imagination, d’engagement, de rigueur, de
lucidité… Si bien que cela pouvait confiner au manque de loyauté envers le jeu de rugby dont ils sont d’ordinaire
capables. Bref pendant ce temps les gardois, sans imagination débordante, enfilaient les pénalités, car avec un
nombre pléthorique de fautes vitrollaises et un terrain aux dimensions réduites d’au moins huit mètres à cause du
parc installé là, à proximité, pour des moutons de retour de transhumance, le talentueux botteur de la Vidourle se
trouvait en position de tenter les 3 points à presque chaque coup de sifflet. On se serait cru dans un vieux France-
Angleterre au temps de Sir Carling. Le talentueux botteur du VRC aussi visa juste, mais moins souvent que son
vis à vis. Le seul essai du match fut néanmoins marqué par Vitrolles en la personne de Rapetto Baptiste. 24#19 à
la sirène, une déception partagée qui rappelle à bon entendeur que le chemin vers une finale n’est pas un long
fleuve tranquille, et qu’elle appelle à une mobilisation, une camaraderie et une solidarité de chaque instant. Le
buffet de la réception d’après-match fut d’exception et à cet endroit Vitrolles brilla. Le VRC rentre à Fontblanche
avec quelques boules pour accrocher au sapin mais quand même 7 points d’avance sur son poursuivant au
classement. Bonnes fêtes au chaud, place à la dinde !
Boxing day à Fontblanche…
La noblesse du Tamalou sur le pré.
En cette veille de Noël, il revenait aux redoutables Tamalous
(équipe loisir du VRC, M77 – moins de 77 ans)), l’insigne
honneur d’affronter pour un match de gala les vice-champions
en titre de Provence 2ème
série.
Les choses furent dites dès les vestiaires. Les anciens avaient
mis le maillot rouge, celui réservé aux grandes occasions et qui
équivaux chez les Blacks au « Kapa o Pango », cette version
du Haka qui promet les pires misères aux adversaires dont ils
portent déjà le deuil. Le discours d’avant match rappela à
chacun l’importance qu’il y aurait à être digne dans le combat,
dans le dépassement de soi et les souffrances qui allaient venir
face à cette jeunesse arrogante qui était assurée de marcher sur
le pré. Bref pour les Tamalous l’objectif était clair : tenir 10
minutes. La horde, cheveux blancs mais au vent, sortit alors
fumante de là où quelques secondes
auparavant, Akim, son préparateur
physique, avait remis avec émoi les
tuniques couleurs de gueule. En rang
serré, façon bisons, ils se rendirent au
centre du terrain défier l’insolence de
l’équipe titrée. La tribune sentait bon
le vin chaud, la brume de nuit se
levait, et à 30, puis 29, contre 16, les
Tamalous arrachèrent un score de
parité grâce à un essai fulgurant de
Carlos Falourd trouvant la faille
grâce à ses jambes restées quant à
elles, vingtenaires. La raclette
d’après match fut débordante.
Joyeuses fêtes !
…Chant de Noël ! L’équipe de rédaction de cette noble gazette s’honore une fois de plus de servir les
Belles-lettres quand ici encore elle évoque « la Boiteuse ». Car nous le disons, si
Chartres a sa cathédrale, Paris sa vieille-dame du champ de Mars, le rugby donne
aussi sa part de patrimoine culturel à la nation en la personne de cette bonne « Boiteuse ». Car si ce
chant est un monument de distinction et de misogynie, l’anonyme chaloupante est un socle commun, un
ciment social, un hymne à l’amour, Edith Piaf en crampons, une Marianne de l’ovalie, la Joconde des
22, un défi à toutes les kalachnikovs, « Je suis Boiteuse », un pilier du VIVRE-ENSEMBLE. Au rang de
l’art gothique et de l’œuvre de Gustave Eiffel, elle traverse le temps, presque inaltérable comme la voix
de Colette Renard qui en enregistra en 1967 une version au verbiage de matelot breton. Elle se chante
aussi au rythme de tous les animaux de la basse-cour qu’elle charge dans son panier à chaque couplet,
c’est alors aux chœurs de la taverne de reprendre des « Meuh », des « miaou » ou des « coin-coin ». Elle
devient enfin ce trésor de paillardise (cadres jaunes) quand de Lézignan et remontant la Route
Nationale 113 via Pézenas, elle vint un jour se baigner dans l’étang et oindre son corps d’huile de
mazout pour se protéger des UV. De son séjour à Vitrolles pourtant mémorable, la célèbre boiteuse
laissa sur l’air du Tradéridéra, trois couplets méconnus (cadres rouges), exhumés il y a peu des archives
de Fontblanche : « Mùsica ! »
Quand la boiteuse s’en va au marché (bis) Elle n’y va jamais son panier (bis)
Et elle descend, le long de la rivière
Tortillant du cul, des fesses et du derrière.
Ah ! Plus jamais on a vu n’a jamais vu
Un si beau cul que celui de la boiteuse
Ah ! L’on ne verra plus, ne verra plus
Une boiteuse avec un si beau cul !
Sur l’air du tralala (bis)
Sur l’air du tralalalalalalalala !
Quand la boiteuse s’en va au rrrrugby (bis)
Elle n’y va jamais son demi (bis) Refrain !
Quand la boiteuse vient à Lézignan (bis) Elle montre son oignon à tous les habitants (bis)
Refrain ! Quand la boiteuse va faire la férià (bis)
On voit son tafanari dans tous les bodégas (bis) Et elle fait le tour de toutes les terrasses
Tortillant du cul, des fesses et des gambasses. Refrain !
Quand la boiteuse vient à Pézenas (bis) C’est pour se confesser au curé de Conas (bis)
Et elle descend le long de la 113 Tortillant du cul, des fesses, de la prothèse.
Refrain !
Par Colette Renard 1967
Quand la boiteuse va-t-au marché
Avec son beau petit panier
Elle emmène aussi son gabier
C'est lui qui la fait manœuvrer
Elle s'en va rouli-roulant
Ah, Maman ne pleurez pas tant !
Ah, ma doué, quel trésor
D'avoir épousé, d'avoir épousé
Ah, ma doué, quel trésor
D'avoir épousé un cul tout en or !
Sur fond de plumes la fait mouiller
Lui prend deux ris dans son tablier
Et sa cotte lui fait carguer
Sa chemise lui fait serrer
Puis à courir le beau gabier
Lui guinde un gros mât de hunier !
Alors elle se met à crier :
" Tu m'démolis mon petit panier !"
J'étais pourtant dépucelée
Par un gros vit de canonnier
Mais toi, tu m'as dérelinguée
Tu m'as tossé jusqu'au gésier
Quand la boiteuse vient du marché
Qu'apporte-t-elle dans son panier ?
Un petit mousse sur chantier
Avant dix mois sera lancé
Le roi des vits toujours paré
Qu'est le plus grand, le mieux équipé
Pour saborder tous les paniers
C'est le vit du matelot gabier
Quand la boiteuse descend du Roucas (bis) C’est pour se cuiter au Margnat la vinasse (bis) Et elle descend chaloupant la culasse Vrillant sa carcasse comme une vieille estrasse. Refrain !
Quand la boiteuse prend le bain dans l’étang (bis) On sort les canadairs et les petits enfants (bis)
Et elle s’étend comme une vieille moule Se bronzant les plis, les rides et la favouille.
Refrain !
Quand la boiteuse s’en va à Fontblanche (bis) C’est pour voir le XV jouer comme des tanches (bis) Et elle s’en va le long de la Cadière Lorgnant les bijoux des piliers, des arrières.
Refrain !
………………………………………………… De notre envoyé permanent dans les Corbières ……………………………
Billet tannique d’Appellation-Ovalienne-Contrôlée écrit à la plume de canard et transmis depuis le val d’Orbieu par signaux
de fumée de sarments, dans la plus pure tradition audoise. Lézignan le 31 décembre 2015, 23h58 G.M.T.
(NDLT : « three christmas rosbeefs for PageLLes. »)
Les lecteurs assidus de ce remarquable périodique rubystico-vitrollais l'auront sans doute compris à
quelques modestes détails et à de légers indices dont je parsème discrètement les billets d'humeur
que je soumets régulièrement à leur lecture bienveillante, j'habite une région de vin et de rugby dont
les journaux quotidiens principalement lus sont Le Midi Libre et, surtout, L'Indépendant. J'ajouterai,
pour conférer aux réflexions qui vont suivre la précision qu'elles méritent, qu'il peut parfois
m'arriver de parcourir l'édition catalane d'icelui afin de suivre les exploits de l'Entente du Haut-
Vallespir qui, il y a quelques années, forma l'impressionnant Guilhem Guirado, futur capitaine de
l'équipe de France version Novès. C'est donc à la lecture du fameux « Indépendant Catalan », qui est
à la presse écrite ce que le resto-routier de Maureillas où on trouve les bolas de picolat à moins de
10 € en semaine est à la gastronomie française, que je trouvai dernièrement nouvelle matière à me
désespérer de ce qu'est en train de devenir notre rugby hexagonal et, même pire, régional. Je
m'explique : l'article principal de la page des sports du journal sus-nommé explique avec force
détails, précisions et même conseils diététiques, les écarts auxquels les rugbymen auront droit à
l'occasion du repas de Noël en vue du fameux « boxing
day » du dimanche 27 décembre. « Ils ne pourront pas
prendre plus de deux kilos par rapport à leur poids moyen
et on leur a indiqué un programme de remise en forme. »,
affirme un manager dont je tairai l'identité pour ne pas faire
de publicité à cet odieux gastronocide. Voilà où nous mène
l'inacceptable importation sur nos terres gauloises de cette
déplorable tradition toute anglo-saxonne qu'est le « boxing
day » dont les medias nous rebattent les oreilles depuis des
années ! Il est absolument évident que les britanniques
peuvent jouer une journée de calendrier sportif entre les fêtes. En effet, qui connaît la gastronomie
britonne ne s'étonnera pas que le premier footballeur ou rugbyman venu préfère continuer à manger
les menus préparés par le diététicien du club plutôt que les plats suspects à base d'estomacs ovins
farcis, de gelée de menthe ou de pudding nauséogène confectionnés par les grands-mères à crochet
de ces contrées pluvieuses. Dans ces conditions, tout le monde serait capable d'assurer
l'investissement physique d'une rencontre de haut niveau le 27 décembre. Mais imposer une telle
ascèse à nos Basques, à nos Catalans, à nos Tarn-et-Garonnais, Lot-et-Garonnais, ou tout autre
occidento-méridional, relève, au mieux du forfait anti-culinaire, voire, au pire, du crime de lèse-
gastronome le plus sévèrement condamnable ! Peut-on imaginer un seul instant le redoutable Garuet
ou l'impressionnant Dospital, refuser une troisième cuisse de pintade en salmi ou un quatrième
homard à l'américaine au motif que son préparateur physique lui avait conseillé, avant les fêtes, de
ne pas dépasser son poids moyen de plus de deux kilos ? D'abord, nos grands anciens n'avaient pas
de balance. Ils n'en avaient nul besoin car ils savaient que leur poids de forme était celui qui leur
permettait de faire reculer la première ligne anglaise, ni plus, ni moins. Point de technologie de
pointe en ces temps, point de gps pour l'entrainement, point de machine électronique à mêlée ! Un
sac de blé, une corde et une poulie pour le physique et on préparait les matches de janvier au foie
gras et au Jurançon ! Hélas, c'en est fait de toutes ces belles traditions, l'anglo-saxon n'ayant pas
totalement réussi à nous imposer halloween, le voilà qui nous envahit de son funeste et diététique
« boxing day », entrainant avec lui dans sa décadence fatale, les réveillons éthyliques et hépato-
lipidiques qu'ont connus nos anciens. Hélas, disparus sont les temps où, après avoir farci la dinde
avec des marrons, on attendait janvier pour en distribuer d'autres...
* * Contient des Sulfites.