Upload
smcfrance
View
755
Download
0
Embed Size (px)
Citation preview
L'audiovisuel investit le foyer connecté
1. « Dans les médias, on est toujours en train de se demander si c'est le content, le software, ou le device qui est leader. Eh bien Google dit que personne ne l'est, que c'est l'imbrication des trois, agrémentée d'intelligence artificielle, cette dernière donnant le coup de pouce décisif pour créer une interface vraiment efficace ».
2. Shane Smith, le patron de VICE Medias, prophétise un « bain de sang » dans les média s'ils n'arrivent pas à capter l'attention des nouvelles générations.
3. L'évolution des usages va de pair avec la montée en puissance du foyer numérique et connecté : si la télévision n'y est pas au centre, qui le contrôlera ?
4. La multiplication des supports dans la ville et le foyer connecté annonce l'importance des interfaces, mais surtout de l'intelligence artificielle.
IBC, IFA, Édimbourg : les grandes tendances à retenir
Avec :
NEX
TGEN
TV
Bernard FontaineDirecteur de
l'Innovation chez France
Télévisions
Eric SchererDirecteur de la prospective chez France Télévisions
Jean-Dominique Séval Directeur général adjoint chez IDATE Digiworld
Lire le compte-rendu complet de cette session
Comment les chaînes d’info continue s’adaptent au débordement de l’info ?
1. Les journaux télévisés font face à une érosion et un vieillissement de leur audience sans précédent. Pourtant, la France n’a jamais eu autant de chaînes d’info continue sur la TNT depuis l’arrivée de Franceinfo en septembre 2016.
2. Franceinfo ouvre une nouvelle ère en donnant la priorité au web et en rompant avec la chronologie des médias des médias : « L'objectif est d'aller chercher l'audience là où elle est. Or, cette audience se trouve sur mobile. Donc nous allons la chercher sur le téléphone.» (Germain Dagognet)
3. « On n'a pas été pensé pour le web, on préexistait à l'importance qu'a prise le web. » (Frank Moulin, BFM TV) La chaîne offre pourtant de belles performances sur le web, où 70% des visiteurs viennent du téléphone mobile.
Les chaînes d’info à l’heure du numérique
Avec :
NEX
TGEN
TV
Frank Moulin Directeur adjoint de la rédaction de
BFMTV
Germain Dagognet
Directeur délégué à l’information chez
France TélévisionsLire le compte-rendu complet de cette session
Quel rôle pour la science fiction à l’heure de l’accélération de la technologie ? _ Session publique du 23.11.2016
« Nous mourons tous dans un pays étranger : l’avenir » John Brunner (1934 - 1995)
1. L’accélération technologique dont nous sommes témoins inaugure une période d’incertitude dans laquelle les entreprises et les institutions font de plus en plus appelle à la prospective pour identifier les points de rupture dont elles peuvent tirer profit (ou, au contraire, dont elles peuvent souffrir).
2. « La prospective se nourrit de plus en plus de l'univers science fictionnel. La science fiction d'aujourd'hui ne reflète pas seulement les craintes de nos sociétés contemporaines, mais inspire très fortement notre futur », Aurélien Fache Makery L’embauche de Neal Stephenson, auteur de SF, comme “futuriste en chef” par Magic Leap, une start-up qui prépare l’après smartphone, est symbolique de ce mouvement.
3. Parallèlement, le spectre de la dystopie plane sur notre vision du futur. La dystopie, un « aiguillon » pour Thierry Keller (Usbek & Rica), une démonstration littéraire pour Gérard Klein, n’en finit pas d’interroger notre vision du futur.
La science-fiction est-elle une science prospective ?N
EXTG
EN T
V
Avec :
Gérard KleinAuteur de science fiction
français, éditeur et directeur de collection
emblématique chez Robert Laffont
Aurélien FachePionnier de l’internet
français, passionné de science fiction et héraut
des réalités artificielles ex-directeur d’OWNI
Thierry Keller Fondateur et directeur des rédactions d’Usbek & Rica,
le « média qui explore le futur »
Lire le compte-rendu complet de cette session
Le retour d'expériences des quotidiens français lancés dans l'aventure Discover
1. C’est une « temporalité proche de celle d'un média papier », Jean-Guillaume Santi (Le Monde) puisque le format Discover impose un rythme que l'on pensait fini : conférence de rédaction, chemin de fer et bouclage.
2. Le Monde comme L'Équipe affirment ne pas changer radicalement leur contenu sur Snapchat, même si la titraille peut être plus décalée : « l'idée, c'est d'intercaler des contenus sérieux au milieu d'actus plus légères » (Jean-Guillaums Santi).
3. L'articulation entre Top Snap et Bottom Snap est primordiale pour engager une audience « Le Top Snap doit donner envie, interpeller, mais aussi communiquer clairement une information principale, grâce à une animation de qualité » (Emmanuel Alix).
4. Ce format semble trouver grâce aux yeux des annonceurs comme à ceux des médias, qui reconnectent avec une audience qu'ils avaient quelque peu laissé filer.
Snapchat Discover : l’art de raconter une histoire
Avec :
Thomas Deyries
Directeur de création chez
Upian
Emmanuel Alix
Directeur du pôle numérique
à L'ÉquipeSOCI
AL C
ON
TEN
T
Sylvain Weber
Fondateur de Kontest
Jean-Guillaume Santi
Responsable éditions Snapchat
au MondeLire le compte-rendu complet de cette session
Quel rôle les réseaux sociaux ont-ils vraiment joué dans la campagne électorale américaine ?
« Avec les réseaux sociaux, non seulement on veut choisir quel média nous informe mais aussi et surtout ce qu’il nous dit », Samuel Laurent (Les Décodeurs du Monde)
1. La bataille du reach : sur les réseaux sociaux, Donald Trump a davantage capté l’attention et suscité plus d’engagement de la part des utilisateurs (partages, commentaires, retweets)
2. L’iImpuissance du fact-checking dans un contexte de crise de confiance à l’égard des médias : le rapport à la vérité et aux faits se complique (viralité des fake, survalorisation de l’opinion, enfermement algorithmique)
3. Responsabilité des GAFA pour lutter contre la désinformation et modérer les propos haineux ?
Trump président : quel rôle ont joué les médias et les réseaux sociaux ?SO
CIAL
CO
NTE
NT
Avec :
Audrey FournierResponsable éditoriale
adjointe de la Matinale du Monde
Thierry VedelChercheur CNRS au
CEVIPOF
Samuel Laurent Responsable de la
rubrique Les Décodeurs du
Monde
Lire le compte-rendu complet de cette session
« On doit toujours chercher du sens avant de faire un classement »
1. Dès lors qu’un classement est public, et qu’il y a un intérêt économique derrière, la tentation sera très forte de manipuler les données à l’origine de ce classement et de biaiser les résultats.
2. Le rôle du datajournaliste est ainsi primordial dans la diffusion et la vulgarisation des classements social data : « on va voir nous-mêmes systématiquement les bases de données » (Marie Coussin). « On doit pouvoir identifier les biais » (Adrien Gaboulaud).
3. Si les classements social data peinent encore à s’imposer face aux enquêtes d’opinion classiques, du fait de leur coût, et de méthodologies qui ne sont pas encore standardisées, ils n’ont pas ni plus, ni moins de sens que les enquêtes d’opinion classique. Ils présentent d’autres biais.
Les classements Social Data ont-ils du sens ?
Avec :
Anthony Hammelle
Directeur de la création chez
Webedia
Marie CoussinDatajournaliste
chez Ask Média
SOCI
AL D
ATA
Adrien Gaboulaud
Journaliste à Paris Match
Lire le compte-rendu complet de cette session
« On ne sait pas si on arrive à prévoir l’avenir, ou si c’est le présent qui s’est accéléré », Camille Roth (Sciences Po)
1. Peut-on prévoir l’avenir avec la social data ? Les réseaux sociaux apportent des éléments à la mise en place de modèles prédictifs. Mais ils ne sont pas prêts de remplacer les sondage d’opinion.
2. La détection de l’ironie et de la subjectivité des énoncés sur internet sont encore à résoudre pour avoir une vision exhaustive des énoncés en ligne. L’analyse automatique des émojis, est intéressante à plus d’un titre : « L'enjeu, derrière les émoticônes, contrairement aux mots, c'est qu'elles ne peuvent pas être détachées de leur locuteur : elles fournissent un indice très fiable de leur subjectivité. » (Pierre Halté, Université Paris Est Créteil).
3. Plutôt que de chercher à prévoir l’avenir grâce à la social data, l’enjeu se situe plutôt dans l’analyse des signaux faibles. « L'intérêt est d'utiliser les réseaux sociaux pour capter les signaux faibles. Mais, si on ne les passe pas au filtre d'autres méthodologies, ces signaux faibles restent du bruit. » (Simon Duhil, BVA) Le futur de la social data se niche plutôt dans l’analyse fine que dans l’analyse quantitative.
Les nouvelles frontières de la social dataSO
CIAL
DAT
A
Avec :
Camille Roth Professeur en
sciences sociales computationnelles à Sciences Po
Nicolas Vanderbiest
Assistant universitaire à l’Université
Catholique de Louvain
Olivier Wallyn
Consultant analytics chez IBM Watson
Simon Duhil Responsable
expérience client digitale chez
BVA
Pierre HaltéDocteur en sciences
du langage et enseignant-chercheur
à l’UPEC
Lire le compte-rendu complet de cette session
« Il faut changer notre façon de réfléchir, inventer de nouvelles méthodologies, créer de nouveaux outil pour pouvoir proposer de nouvelles expériences », Thomas Sabatier (The Chatbot Factory)
1. Dans un avenir plus ou moins proche, la relation client se dotera d’un nouvel outil grâce aux chatbots, animés par une intelligence artificielle.
2. En développant son propre chatbot via Facebook Messenger, Voyages-sncf.com a créé un nouveau point de contact avec ses clients qui semble séduire notamment les millenials.
3. Il existe encore un flou sur l’avenir de l’utilisation de cette nouvelle technologie et de nombreuses questions subsistent, notamment sur sa monétisation.
Les chatbots, futur de la relation client ?SO
LO
CAL Avec :
Michael PepinResponsable des
opérations Relation Client pour la France
chez Voyages-sncf.com
Thomas SabatierFondateur et
Directeur de The Chatbot Factory
Benoit VidalChief Digital Officer
chez MFG Labs
Lire le compte-rendu complet de cette session
La digitalisation doit lever les freins au déplacement et à l’achat en magasin
« Le e-commerce a ringardisé l’expérience en point de vente. Les consommateurs attendent le même service en magasin que sur le web », Jérémie Herscovic (Socloz)
1. 80 % des consommateurs déclarent continuer à vouloir aller en magasin (Sondage Viavoice pour Socloz)
2. Digitalisation du vendeur : faire évoluer son rôle et ses outils pour proposer la pré-réservation, la prise de commande, la livraison express et recentrer ses tâches sur le conseil
3. Digitalisation du consommateur : attirer et fidéliser en magasin avec des promos, des expériences uniques et du service
4. Freins à la digitalisation : des infrastructures techniques anciennes et rigides, et difficulté de la mesure d’impact
A quoi sert la digitalisation des points de vente ?SO
LO
CAL Avec :
Pierre Le BlainvauxFondateur de Digeiz
Jérémie HerscovicFondateur de Socloz
Thibaud FayardFondateur de Stimshop Lire le compte-rendu complet de cette
session
L’achat programmatique s’impose sur le marché du display
« La programmatique rend les plans médias de plus en plus complexes à piloter, les annonceurs et les agences doivent recruter de plus en plus d’experts », Hugues Templier (Teads.tv)
1. En croisant les 1st et 3rd party data, la programmatique permet un meilleur ciblage des campagnes publicitaires
2. Chez SoLocal, on fait appel à de nouvelles compétences : développeurs, data scientist, SEA, et on forme les profils existants
3. Le droit, qu’il s’agisse de la protection des données à caractère personnel ou des aspects contractuels, est insuffisant en la matière
La programmatique : enjeux business et juridiques
Avec :
Hugues TemplierDirecteur du développement
commercial de la programmatique chez Teads
Frédéric DuflotConsultant en cybersécuritéSO
LO
CAL
Lire le compte-rendu complet de cette session
« Le RSE couvre des réalités différentes d’une entreprise à l’autre. On ne sait plus trop de quoi on parle. » - Ziryeb Marouf (Orange)
1. Les entreprises françaises sont de plus en plus nombreuses à vouloir leur propre réseau social d’entreprise (RSE), à la fois transverse, global, collaboratif et productif
2. Pour atteindre ce Graal, aucune méthodologie ni recette miracle n’existe encore. Rien ne vaut le test & learn, quitte à parfois commettre des erreurs
3. Un pré-requis semble indispensable à la mise en place d'un tel RSE : les entreprises doivent embarquer l'ensemble des collaborateurs dans ce projet en écoutant leurs doléances, leurs besoins et leurs ressentis
Les réseaux sociaux d’entreprise, entre mythe et réalitéSO
CIAL
HR Avec :
Zyrieb MaroufResponsable des nouveaux usages
au département RH du groupe Orange
Laura MathieuResponsable
opérationnelle de la communication
digitale interne chez Thales
Nicholas Vieuxloup
Co-président du Social Media
Club
Maud ClercResponsable du
digital et des médias sociaux à
HEC Paris
Antonin TorikianDirecteur de
l’institut FABERNOVEL
Lire le compte-rendu complet de cette session
EN B
REF 6
0
Un réseau de professionnels qui rend possible l’échange de best practices sur les thèmes structurants du numérique. Nous organisons chaque semaine des rencontres entre experts - à la fois "thinkers et doers" - confidentielles et conviviales, réservées à nos membres adhérents et animées conjointement par les coordinateurs de nos commissions et nos intervenants invités. Les sessions du SMC visent à propager un certain niveau de compréhension des enjeux et innovations numériques auprès des professionnels ; à favoriser le partage et les retours d’expériences entre pairs ; à diffuser les meilleures pratiques du web social pour faire progresser les usages et promouvoir leur adoption.
Le Social Media Club France
Depuis 10 ans, le SMC c’est :• Des tables-rondes privées réservés à nos membres adhérents• Des événements publics• Des workshops dédiés chez nos membres• De l’édition de contenus privilégiés pour nos membres (slides, synthèses…)• De l’édition de « cahiers » print de tendances annuels distribués à nos réseaux
Pour aller plus loin : • Le programme de l’association• Notre offre d’adhésion• Nos contenus en ligne• Nos membres• Notre équipe • Nos cahiers 2016 en PDF (30MO)
> Rosbeef!> Seevibes> SFR Régie> SJ Conseil> Smartcast> Smiling People> Société Générale> SoLocal Group> Synthesio> The Metrics Factory> Think-Out> TOTAL> Totem Expérience> Vigiglobe> Vinci> Visibrain> Wellcut> Wildmoka> Wiztopic
> Akio Spotter> Bouddha Consulting> Burson-Marsteller> Canal + Groupe> Conversationnel> Daily d’initiés> Digimind> Endemol> ERDF> Estimages> FABERNOVEL> France Télévisions> Goyaves Production> Human To Human> Louis Vuitton> Gingalab> Groupe Express-Roularta> GRDF> HEC Paris> ICADE
> INA> Influences> iWips> JKTV> La Netscouade> Lazagency> Les Comptoirs du Numérique> Linkfluence> Louis Vuitton> Madras Editing> Médiamétrie> Netino> Ogilvy PR> Opinion Way> Orange > Public Sénat> Publicis Consultants> Radio France> Research Web & Conseil> Resiliency
Les entreprises membres du Social Media Club France