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T R O U S S E M É D I A S 2 0 1 9
L’ACTUALITÉ TROUSSE MÉDIAS 2019 | 2
L’actualité est le magazine d’affaires publiques n° 1 au QuébecL’actualité est le seul magazine d’affaires publiques en français au Canada. Ses reportages créent souvent l’événement et ses journalistes et chroniqueurs remportent régulièrement des prix d’excellence nationaux.
D’intérêt général, le magazine rend compte de l’actualité québécoise et canadienne tout en explorant le monde avec un regard aiguisé, à la recherche de tendances marquantes. Que ce soit en version numérique ou imprimée, le magazine plaît aux lecteurs exigeants qui recherchent la rigueur et l’excellence.
Au cours de son histoire, le magazine a récolté plus de 500 prix d’excellence à l’échelle canadienne et québécoise.
En 2018, L’actualité a été sélectionné 17 fois par la Fondation des prix pour les médias canadiens (FPMC) et a remporté 7 prix, dont celui du meilleur magazine d’intérêt général.
L’ACTUALITÉ TROUSSE MÉDIAS 2019 | 3
Des journalistes reconnus
C A T H E R I N E D U B É
J E A N - P H I L I P P E C I P R I A N I
A L E C C A S T O N G U AY
Des sujets d’intérêt qui font parler
38 %*
35 %* 27 %*
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* Taux d’efficacité
L’ACTUALITÉ TROUSSE MÉDIAS 2019 | 4
XXXX
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moyen
53 ansâge moyen du
lecteur ( imprimé)
43 ansâge moyen du lecteur
(numérique)
79 % ont une
éducation postsecondaire
24 %sont MOPE*
961 000Lectorat total
85 364Diffusion
totale
711 000 Lectorat imprimé par mois
324 000 Lectorat numérique, dont 74 000 personnes l isent L’actualité en papier et en numérique
42 %femmes
* Directeurs, propriétaires, professionnels et entrepreneurs. Source : Vividata, hiver 2019 (Canada 14+)
58 %hommes
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S I T E W E B
B A L A D O S
V I D É O S
R É S E A U X S O C I A U X
DEPUIS 2018, LE MAGAZINE OFFRE DES BALADOS COMPLÉMENTAIRES AUX GRANDS DOSSIERS OU SUR DES SUJETS D’ACTUALITÉ.
33 000ABONNÉS
45 %TAUX D’OUVERTURE
21 %TAUX DE CLICS
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DEPUIS 2018, L’ACTUALITÉ PROPOSE DES VIDÉOS COMPLÉMENTAIRES AUX GRANDS DOSSIERS OU SUIVANT UN THÈME BIEN PRÉCIS.
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Le lectoratUne marque multiplateforme
55 000 abonnés
L’ACTUALITÉ TROUSSE MÉDIAS 2019 | 5
sources n’est pas celle des quartiers branchés de Montréal
ou de Québec. En Abitibi, l’élue de 26 ans, mère d’une fil-
lette de 16 mois, est entourée de députés de la CAQ.
Avant de rallier QS, Émilise Lessard-Therrien était
conseillère municipale à Duhamel-Ouest, petite ville de
moins de 880 habitants. « Mon coin est très agricole, et sur
le terrain, bien des gens pensent que nos positions ne sont
pas réalisables », dit-elle, sans se montrer découragée pour
autant. « On doit déconstruire ces préjugés. Il y a de la
place pour un parti de gauche assumé, même dans les
régions éloignées. »
Il y a un an, en janvier 2018, Gabriel Nadeau-Dubois et
ses conseillers évaluaient les chances de victoire du parti
dans les différentes circonscriptions — la « liste A » —, et
Rouyn-Noranda–Témiscamingue figurait dans les gains
possibles. Mais voilà, le candidat local lors des trois précé-
dentes élections, Guy Leclerc, un architecte dans la soixan-
taine, était un militant de la première heure qui n’avait
aucune envie de siéger à l’Assemblée nationale. « Je lui ai
dit : “Guy, veux-tu devenir député ? Parce qu’on va s’arran-
ger pour gagner Rouyn.” Il m’a dit non, alors on a cherché
ensemble une candidate pour prendre sa place », raconte
Gabriel Nadeau-Dubois.
Lors du conflit étudiant de 2012, Émilise Lessard-
Therrien, alors âgée de 20 ans, avait organisé un sit-in de
200 personnes pour bloquer le seul carrefour avec feux de
circulation de Ville-Marie, municipalité de 2 500 habitants
près de Duhamel-Ouest. « Les policiers nous regardaient
avec un grand sourire ! » se rappelle-t-elle.
Lorsqu’elle voit Gabriel Nadeau-Dubois débarquer chez
elle, en février 2018, sa fille Solène a à peine six mois. Son
conjoint et elle viennent tout juste d’acheter un moulin
pour produire de la farine bio. « Mauvais timing ! » dit-elle
au co-porte-parole de QS. N’empêche, elle plonge dans
l’aventure, ayant bon espoir qu’elle ne sera pas laissée à
elle-même par les dirigeants de QS.
Dès le printemps, des mois avant le déclenchement de la
campagne, la candidate a commencé à recevoir l’aide du
parti, comme dans les 10 autres circonscriptions figurant sur
la « liste A ». Un agent de liaison d’expérience a été mandaté
pour l’épauler. Manon Massé et Gabriel Nadeau-Dubois se
sont rendus dans sa région chaque mois, prêtant une atten-
tion particulière aux cégeps, aux universités et aux centres
de formation — ils se rendront 11 fois dans Rouyn-Noranda–
Témiscamingue pendant les six semaines électorales.
Au cours de la campagne, Québec solidaire a déployé une
équipe volante de super-bénévoles expérimentés qui s’ame-
naient en renfort dans les circonscriptions serrées pour
aider à organiser des activités, accélérer le porte-à-porte et
gérer le pointage téléphonique, notamment. Tous étaient
d’anciens organisateurs de la Coalition large de l’Association
pour une solidarité syndicale étudiante (CLASSE) lors du
mouvement de grève de 2012. « Ils avaient une expérience
de mobilisation unique », souligne Gabriel Nadeau-Dubois.
L’un de ces super-bénévoles était Maxime Larue, un
ex-lieutenant de Gabriel Nadeau-Dubois dans la CLASSE,
qui a aidé celui-ci à remporter son élection partielle dans
Gouin en 2017. Pendant les deux dernières semaines de
la campagne, il a été dépêché dans Rouyn-Noranda–
Témiscamingue pour le sprint final. Lui et son équipe ont
parfois fait plus de 30 minutes de voiture dans les rangs de
campagne pour aller cogner à la porte d’un électeur indé-
cis et le convaincre de voter pour QS. Le 1er octobre, Émilise
Lessard-Therrien l’a emporté par 506 voix.
Ce soir-là, sur les 11 circonscriptions de la « liste A »,
QS n’a échappé que Maurice-Richard, à Montréal… par à
peine 530 votes.
Toute la structure de QS transpire le printemps étudiant
de 2012. Sa percée aux récentes élections, c’est aussi le
débarquement officiel dans le monde politique de ces
élèves contestataires. Des anciens de la CLASSE occupent
des postes clés à la direction ou à l’organisation du parti,
devenu le véhicule politique de la frange pragmatique de
cette association étudiante souvent décrite comme la plus
radicale à l’époque.
« C’était la suite logique, parce que bien des militants se
reconnaissent dans QS, autant dans les positions que dans
la façon de fonctionner. On n’allait pas rester chez nous à
ne rien faire ! » lance en riant Renaud Poirier St-Pierre, ami
et conseiller de Gabriel Nadeau-Dubois depuis des années.
Lors de la dernière campagne, il était le stratège en com-
munication de Manon Massé.
En 2012, nombre de leaders étudiants ont été déçus de la
tournure des événements, alors que des mois de mobilisa-
tion n’avaient pas réussi à faire plier le gouvernement libéral
de Jean Charest. « On a frappé le mur du pouvoir. On s’est
dit que si on voulait vraiment changer le Québec, il fallait
aller en politique », explique Gabriel Nadeau-Dubois.
Si QS a survécu et a même accéléré sa croissance, malgré
le départ de ses deux fondateurs, Françoise David et Amir
Toute la structure de QS transpire
le printemps étudiant de 2012. Sa percée
aux récentes élections, c’est aussi
le débarquement officiel dans le monde
politique de ces élèves contestataires.
36 | L’ACTUALITÉ | FÉVRIER 2019
Depuis les dernières
élections générales
le 1er octobre 2018,
comment a évolué
votre opinion
de Québec solidaire ?
Mon opinion s’est
améliorée
Mon opinion
n’a pas changé
Mon opinion s’est
détériorée
Ne sait pas,
ne répond pas
Selon vous, de quoi Québec
solidaire a-t-il besoin pour
continuer de croître ?
Selon vous, dans quelle situation
se trouvera le parti politique
Québec solidaire dans 10 ans ?
Une lente progression
13 %
64 %
11 %12 %
Le parti
n’aura pas
changé de
statut et
fera élire
une dizaine de
députés ou
moins chaque élection
Le parti
aura continué
de grandir
et aura pris
le pouvoir
ou sera aux
portes du
pouvoir
Le parti
aura disparu
Ne sait pas, ne
répond pas
Recentrer le parti et adoucir certaines positions,
notamment sur le plan économique
40 %
20182016*
Renoncer à la souveraineté du Québec33 %
Rester fidèle à ses positions, même si elles paraissent
radicales aux yeux d’une portion de la population18 %
Changer le mode de scrutin11 %
Changer de porte-parole12 %
Ne sait pas, ne répond pas18 %
Ce sondage SOM-L’actualité en ligne a été mené du 2 au 5 novembre 2018 auprès de 1 410 adultes.
La marge d’erreur maximale pour l’ensemble des répondants est de 3,4 %, 19 fois sur 20.
* Ces chiffres proviennent d’un sondage Léger-L’actualité mené en ligne du 25 au 28 avril auprès de 1 000 répondants.
40 %
20 %
14 %
26 %
38 %
10 %
26 %
26 %
FÉVRIER 2019 | L’ACTUALITÉ | 37
L’actualité — multiplateforme
par Alec Castonguay photo de Christian Blais
32 | L’ACTUALITÉ | FÉVRIER 2019
La bande des dixComment faire grandir un parti peu enclin aux compromis ? Telle est la question pour Québec solidaire et ses députés. FÉVRIER 2019 | L’ACTUALITÉ | 33
L’ACTUALITÉ TROUSSE MÉDIAS 2019 | 6
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Quel est le plan?
Planification du patrimoine
Efficacité fiscale
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Retraite
Gestion du risque
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Quel amateur de viande n’a pas un « oui mais » convaincu à objecter à un végane qui lui explique son choix de vie ? « Oui, mais on a toujours exploité les animaux », « oui, mais ils ne souffrent pas tant que ça », « oui, mais il faut bien prendre nos protéines quelque part », « oui, mais je ne pourrais pas me passer de fromage »... Dans son livre, Martin Gibert, philosophe de formation et féru de psychologie morale, s’est amusé à décons truire un à un ce qu’il appelle des alibis. Il a luimême usé de certains de ces raisonnements avant sa transition vers le véganisme, il y a une dizaine d’années, ditil avec un sourire, devant une assiette de falafels au restaurant végétalien La Panthère verte, à quelques coins de rue de l’université.
Croire que les animaux sont trop bêtes pour que l’on ait à se soucier d’eux s’avère un des plus puissants antidotes au paradoxe de la viande, expliquetil (lecteurs carnivores, on est dans l’inconscient, ici). Une expérience réalisée par le chercheur britannique Steve Loughnan semble le confirmer : si une personne vient de consommer de la viande, elle minimise les capacités cognitives des animaux davantage qu’une autre à qui on a fait manger des légumes et des graines.
Martin Gibert était de ceux qui salivent devant un plateau de fromages ou quand leurs narines sont titillées par des effluves de viande grillée. Mais les considérations éthiques ont fini par l’emporter sur le
plaisir gustatif. Avec le temps, il a trouvé une autre forme de plaisir dans la gastronomie végane, assuretil. « S’il est possible de vivre sans infliger de souffrance aux animaux, nous devrions le faire », ditil sobrement. Pas qu’il aime particulièrement les bêtes. Les recherches récentes en éthi que animale et environnementale sont tout simplement trop sérieuses pour être ignorées, croitil.
Deux événements ont galvanisé les véganes ces dernières années. En 2012, une douzaine d’éminents chercheurs des sciences cognitives ont signé la Déclaration de Cambridge sur la conscience, qui atteste que « les humains ne sont pas seuls à posséder les substrats neurologiques de la conscience ». L’ensemble des mammifères et des oiseaux ainsi que de nombreuses autres espèces, telles que les pieuvres, les possèdent également. L’Institut national de la recherche agro nomique, en France, a enfoncé le clou en 2017. « Les animaux d’élevage, comme les volailles, les cochons et les moutons, font preuve de comportements impliquant des niveaux de conscience qui étaient encore récemment considérés comme l’apanage des humains et des primates », écrivent la vingtaine de scientifiques et auteurs.
Le terme « conscience » étant sujet à débat, certains chercheurs dans le monde lui préfèrent celui de « sentience », soit la capacité de ressentir subjectivement une expérience. Les animaux ressentent la douleur, le plaisir et diverses émotions, comme la
Déjà 18 % de la populationcanadienne se dit opposée àl’idée de manger des animaux.De quoi laisser songeur, puisquec’est deux fois plus que laproportion de végétariens etvégétaliens au pays.
28 | L’ACTUALITÉ | fÉvrIer 2019
1250, BOULEVARD ROBERT-BOURASSA(COIN CATHCART) MONTRÉAL (QC) H3B 3B8
438.386.9088
R E S TA U R A N T S I A M . C O M / @ S I A M R E S T O T H A I
9130 BOUL. LEDUC, LOCAL 210 (2E ÉTAGE) BROSSARD, (QC) J4Y 0L3
450.445.4141
BROSSARD, QUARTIER DIX30 MONTRÉAL, CENTRE-VILLE1325 BOULEVARD RENÉ-LÉVESQUE O,
MONTRÉAL, (QC) H3G 0A4514.393.8188
E A S T PA N A S I AT I Q U E . C O M / @ E A S T PA N A S I AT I Q U E
S AT O R I S U S H I B A R . C O M / @ S AT O R I S U S H I B A R
290 BOULEVARD SAINT-LUCSAINT-JEAN-SUR-RICHELIEU (QC) J2W 2A3
450.348.0667
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L e G r o u p e S a t o r i e s t c o m p o s é d e q u a t r e r e s t a u r a n t s s p é c i a l i s é s e n c u i s i n e a s i a t i q u e s i t u é s s u r l ’ î l e
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RÉALISATION : DOMINIQUE DEPATIE Radio-Canada.ca/catherine
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Rédacteur en chef Charles GrandmontRédactrice en chef adjointe Claudine St-GermainDirectrice artistique Amélie ChamberlandChef du pupitre numérique Mathieu CarbasseChef du bureau politique Alec CastonguayReporters Jean-Philippe Cipriani, Catherine Dubé, Marc-André SabourinRédactrice-réviseure Josée DésaulniersChef du pupitre linguistique Lucie DaigleRéviseure-correctrice Karine PicardDirectrice artistique adjointe Edith PelletierCoordonnatrice à la rédaction Julie DuguayGestionnaire des réseaux sociaux Élise Tardif-TurcotteCollaborateurs Michel Arseneault (Paris), Julie Barlow, Marie-France Bazzo, Valérie Borde, Mathieu Charlebois, Jocelyn Coulon, David Desjardins, Simon Diotte, Julie Dufort, Pierre Fortin, Nadia Fournier, Jacques Godbout,
Isabelle Grégoire, Chantal Hébert, Maxime Johnson, Claudia Larochelle, Danielle Laurin, Gary Lawrence, Anne-Marie Luca, Stéphane Mailhiot, Tristan Malavoy, Noémi Mercier, Jean-Benoît Nadeau, Annick Poitras, Martine Roux, Guillaume Roy, Mathieu-Robert Sauvé, Alain Vadeboncœur
PRODUCTIONDirectrice Julie LafrenièreCoordonnatrice à la production Sophie PrivéProduction Web Sébastien Groleau, Maxime Larrivée-Roy, Emmanuel LaverdièreInfographiste René DesparsCoordonnateur technique Frédéric Sauvé
DIFFUSION ET MARKETINGDirectrice, Marque et Marketing relationnel Kim PépinChef Marketing, Diffusion et Relationnel Alexandra CandetSpécialiste Marketing, Communication et Marque Benjamin Riousset
VENTES PUBLICITAIRES RÉGIONALESSpécialiste, Solutions de contenu et Créativité média Olivier GuindonConseiller médias aux comptes majeurs Samuel FaubertCoordonnatrice aux ventes Karyne DutrembleConseillers médias Lucie Bernier, Miriam Bérubé, Céline Lebrun, Suzie Plante, Yann Thériault
VENTES PUBLICITAIRES NATIONALES (ROGERS)Bureau de Montréal (est du Canada)Coordonnatrice Céline GauthierBureau de Toronto (centre-ouest du Canada et É.-U.)Directeur principal Mike Lambe Coordonnatrice Terry Smith
ADMINISTRATION Président- directeur général — Mishmash Média Nicolas MarinDirectrice, Finance et Administration Caroline AlaryComptable principale Marie-Ève BesnerGestionnaire, Technologie et Innovation Edouard Joron
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Nous reconnaissons l’appui financier du gouvernement du Canada.
L’actualité, fondé en 1976, est publié 12 fois par année par Mishmash Média inc. 606, rue Cathcart, bureau 1007, Montréal (Québec) H3B 1K9
© 2019 Mishmash Média inc. Le contenu du magazine ne peut être reproduit sans autorisation écrite. Dépôt légal 3e trimestre 1976 — Bibliothèque nationale du Québec. Répertorié dans Canadian Periodical Index et dans Repère, ISSN-0383-8714.
L’actualité est membre de l’Association québécoise des éditeurs de magazines, Magazines Canada, Canadian Magazine Publishers Association, Vividata. Distribué par Messageries Dynamiques.
Convention de la poste-publications : N° 43362040.
VOIX CALME ET RASSURANTE, Genathan LeBel-Chouinard, 26 ans, traite chaque jour une soixantaine d’appels comme répartiteur au Ser-vice 9-1-1 de la Ville de Québec. Un métier méconnu, en croissance par-tout au Québec, qu’il a appris entière-ment en ligne tout en travaillant le jour comme ambulancier. « J’ai suivi les cours chez moi, trois soirs par semaine, et réorienté ma carrière sans accumuler de dettes d’études. » Cette formation de 765 heures offerte par le cégep Beauce-Appalaches avait pour lui un autre avantage : « Elle m’a permis de trouver un emploi sitôt diplômé », dit le jeune homme.
Genathan LeBel- Chouinard a emprunté le même chemin que les 26 400 adultes inscrits à la formation continue créditée par un cégep au Québec, dont près de 60 % suivent, comme il l ’a fait, un programme conduisant à une attestation d’études
collégiales (AEC), ces formations techniques qui sont des voies rapides vers l’emploi. « La plupart des étu-diants sont déjà sur le marché du tra-vail et ne veulent pas le quitter, mais désirent continuer d’avancer profes-sionnellement », observe Valérie Lavoie, coordonnatrice de la Com mission des affaires de la formation continue à la Fédération des cégeps. « Le travail-leur, c’est le nouvel étudiant ! »
En cette période de plein emploi, il n’est pas toujours facile d’attirer des étudiants. Certains programmes offerts de jour et à temps plein — sur-tout ceux ne débouchant pas directe-ment sur un emploi — ont moins la cote. Le réseau collégial, déjà touché par la baisse démographique, a donc revu sa copie : cours en soirée et la fin de semaine, formation à distance et même en entreprise…
La formation continue, qui se décline en quatre variantes (forma-tion créditée, services sur mesure aux
entreprises, reconnaissance des acquis et compétences, francisation des immigrants), plaît. Tout le monde y trouve son compte : elle contribue à diminuer la pénurie de main-d’œuvre dans certains secteurs, et sa popula-rité apporte aux cégeps une bouffée d’oxygène — vitale pour certains éta-blissements en région.
En misant sur les étudiants inter-nationaux depuis 2015, le Service de formation continue du cégep de la Gaspésie et des Îles, un établisse-ment bilingue, a trouvé sa voie : 1 500 Indiens et Chinois ont suivi l’automne dernier un programme d’AEC en anglais à son campus de Montréal ! C’est nettement plus que les 75 inscrits à ses AEC en région. En partenariat avec le collège privé mont-réalais Matrix, le cégep offre huit pro-grammes d’AEC (dont gestion du transport et logistique, program-meur d’applications mobiles et tech-niques d’éducation à l’enfance). Coût
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L’ACTUALITÉ TROUSSE MÉDIAS 2019 | 7
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L’ACTUALITÉ TROUSSE MÉDIAS 2019 | 8
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LE BRIEFING
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CONSULTER SOUS DIVERSES FORMES
Quelques municipalités ont déjà mis en place des mécanismes
de consultation et de participation.
Sainte-Julie : un groupe témoin stimule la participation
Sainte-Julie intègre déjà l’étape d’engagement des citoyens en amont d’un projet.
Ainsi, elle les a consultés avant une réforme du service, avant de réaménager un
parc de planch
e à roulettes et
avant de produ
ire sa planifi ca
tion stratégiqu
e. En
2016, la Ville a repoussé cette pratique avec des questionnaires électroniques
auxquels 527 personnes ont participé, ce qui a généré deux projets.
Rosemère : dialogue entre élus et résidents
Avec le Samedi du citoyen, un samedi par mois, de 9 h à 11 h, les résidents viennent
discuter avec la mairesse et un conseiller de sujets touchant la ville.
Gatineau : l’interactivité au service de l’interaction
Pour la mise à jour de son plan directeur du réseau cyclable, Gatineau a recouru
à un site Web
afi n de consult
er ses citoyens
, en plus de pro
duire un sonda
ge
en ligne et une carte interactive. Ces derniers pouvaient, à l’aide d’épingles,
identifi er les e
ndroits à améli
orer, les liens c
yclables manq
uants, les inter
sections
problématiques, les pistes ou routes endommagées, etc.
Saint-Augustin-de-Desmaures : le pouls en continu
Saint-Augustin-de-Desmaures sonde ses citoyens toute l’année sur une foule de
thèmes : courtoisie et compétence du personnel, traitement des demandes, qualité
du suivi, nouveaux services, etc. Les résultats sont quotidiennement mis à jour sur
le site Web de la municipalité et sur des écrans à l’hôtel de ville.
Victoriaville : sonder et sonder encore
Par l’entremise d’un site Web, Victoriaville consulte ses citoyens sur une douzaine
de sujets : environnement, transport, relève agricole, aînés, nouveaux arrivants,
services de proximité, promotion de la région, etc. Ils peuvent y soumettre des
idées et consulter celles d’autres personnes.
Pour une meilleure
participation citoyenne
ˆ la vie municipale
L’Union des municipalités du Québec, dont les membres représentent plus de 80 % de la
population et du territoire, a pour mission d’exercer, à l’échelle nationale, un leadership
pour des gouve
rnements de pr
oximité effi cac
es et autonome
s et de valoris
er le rôle
fondamental des élus municipaux.
Pour plus d’information, consultez umq.qc.ca. | Suivez-nous sur Twitter @UMQuebec.
En vertu du pr
ojet de loi 122
, adopté
en juin dernier, les municipalités doivent
renforcer leurs processus de consultation
citoyenne et de participation publique
dans le cas de projets impliquant des
changements de zonage.
La législation reconnaît ainsi les municipalités
comme des gouvernements de proximité,
disposant des ressources nécessaires pour
répondre de m
anière proactiv
e et effi cace
aux besoins des citoyens.
Avec les élections dans des centaines de villes
et municipalités le 5 novembre prochain, cette
initiative renfo
rcera la confi an
ce entre citoye
ns
et élus. De plus, elle va accroître l’apport
des individus dans le développement de leur
communauté, tout en redynamisant partout
la vie démocratique locale.
L’UMQ EN ACTION
C’est dans ce contexte que l’Union des municipalités
du Québec (UMQ), en collaboration avec l’Institut
du Nouveau Monde, dévoilera bientôt un cadre
de référence à l’intention des municipalités en
matière de con
sultation publiq
ue. En plus de
moderniser les outils de consultation publique
et de favoriser une véritable synergie en amont
des projets, cet outil sensibilisera les élus et
gestionnaires municipaux aux principes de base
et aux pratiques exemplaires en matière de
participation publique. De plus, il aidera chaque
citoyen à prendre part de façon plus avisée aux
démarches participatives au sein de sa municipalité.
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reiustem simusdaes molupit
Nus dolorrum nisiminctur accum la ipsandi officia
temporerat intotatis dolor am remque pro della nis
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id min conetur eruptur, sitatio voluptasit modi
officiet acepe nos accae maxim faccuptat.
Bis in reium sam, serita quodi dit mi, quam nonse
sanda sam fugiaecabo. vollendus everis reritis aut
ommolut molore, offici aditionsedit eaquidus ipsam,
sequatur mos alit fuglique lacea devollendus everis
reritis aut ommolut molore, offici aditionsedit
eaquidus ipsam, sequatur mos alit fuglique lacea
debitat ibeatis s culparit, Bis in reium sam, serita
quodi dit mi, quam nonse sanda sam fugiaecabo.
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Fermeture 13 nov. 5 déc. 15 janv. 12 févr. 19 mars 16 avril 14 mai 11 juin 16 juill. 20 août 17 sept. 15 oct. des ventes
Tombée du 21 nov. 13 déc. 23 janv. 20 févr. 27 mars 24 avril 22 mai 19 juin 24 juill. 28 août 25 sept. 23 oct. matériel fina l
Mise en marché 5 déc. 9 janv. 6 févr. 6 mars 10 avril 8 mai 5 juin 10 juill. 7 août 11 sept. 9 oct. 6 nov. numérique (papier : + 2 jrs)
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