Taux des sources * Ancrage avec données H. Indexes * Navigation J. Bibliographie ** Ancrage I....

Taux d’absentéisme = Nombre de jours (ou d’heures) d’absence pendantune période x / Nombre de jours (ou heures) théoriques pendant la même période

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14. La rédaction d'un travail

14.3 L'organisation d'un mémoireLes éléments les plus importants d'un écrit scientifique

Eléments Importance

Fonctionprincipale

A. Préface (avant-propos)

* Contexte personnel

B. Table des matières (etc.)

** Navigation

C. Résumé (abstract)

* Objectif, résultat et portée

D. Introduction *** Objectifs, démarche

E. Partie principale

** Développement

F. Conclusion *** Résultat et Portée

G. Liste des sources

* Ancrage avec données

H. Indexes * NavigationJ. Bibliographie ** AncrageI. Annexes * Ancrage avec

données

A. Préface (avant-propos)

La préface ne fait pas partie du travail

On peut l'utiliser pour:

remercier des gens dire pourquoi on s'est intéressé à la thématique s'excuser pour des choses que l'on n'a pas fait annoncer une suite, etc.

En bref, il ne faut pas confondre préface et introduction !

B. Table des matières (etc.)

Obligatoire pour un tout travail d'une certaine longueur.

o Dans certains livres on en retrouve parfois plusieurs,par ex. une courte pour la structure principaleet une longue avec toutes les sous-sections.

Normalement: au début et juste après la préfaceo car c'est l'endroit où on la trouve le plus

facilement. Correspondance des titres dans la table et du texte

o (maîtrisez votre traitement de texte!) Des tables pour les figures et tables sont moins

importantes,

o mais comme les gens aiment bien retrouver touteinformation synthétique il est utile d'en produire aussi.

C. Résumé (abstract)

souvent obligatoire pour les articles qui paraissent dans une revue

Pour un travail de séminaire ou un mémoire de licence/diplôme on peut l'inclure dans l'introduction (et la conclusion).

D. Introduction

L'introduction est (avec la conclusion) la partie la plus importante de votre travail sur le plan rhétorique.

o Les gens la regardent d'abord et décident ensuite s'il veulent regarder le reste

Le lecteur doit avoir compris au moins...

ElémentsLa question .... quelle question est

adressée ?.... avec quelles limites ?

Le langage utilisé

.... avec quels concepts ?, définitions

La démarche .... selon quelle méthodologie ?.... selon quelle structuration ?

En règle générale, l'introduction contient:

La problématique de rechercheet les questions de recherche qui en découlent.

Une discussion sur la pertinence et sur la portée du travail(y compris ce que ne vous faites pas)

Les hypothèses

o sinon vous le faites après ou pendant la discussion théorique dans la partie principale.

o Notez qu'il ne faut confondre "hypothèse" et "question". Une hypothèse a du sens dans une certaine tradition de recherche:elle prend la forme d'une explication (ou loi) qui doit être testée avec des données.

Les définitions les plus importantes

o notamment celles qui se trouvent dans le titre de votre travail.

Une discussion de la méthodologie (ou "approach")

Un petit guide de lecture

o aide le lecteuro en même temps vous lui montrez que vous ne

faites rien par hasard.

Une introduction de l'objet que vous étudiez,

o par exemple si vous étudiez une mise en oeuvre d'une loi, il faut résumer la loi.

E. Partie principale

o Curieusement c'est ici qu'il existe le plus de variété.

o Elle dépend fortement de l'approche méthodologiqueo Parfois il faut respecter un

certain agencement des chapitres.

Dans toutes les études empiriques, il faut:

discuter et analyser vos données se confronter au savoir qui existe dans le domaine mettre en rapport résultats et questions/hypothèses formulées au

début éviter de longement réciter des indices statistiques

o utilisez des tables et figures pour cela !o votre texte doit être lisible !!

Conseils pour la partie "théorique" d'un travail empirique:

o Souvent on sépare la "discussion de littérature" de la présentation de la rechercheproprement dite: légitime pour des raisons de clarté.

Il faut revenir sur la discussion de la littératuredans les parties plus "pratiques".

o L'omission est une erreur fréquemment observée. Si discuter une théorie ou d'autres travaux empiriques ne sert à rien pour votre recherche,il ne faut pas en parler !!

F. Conclusion

Rappelez les résultats principaux de votre recherche.

o on peut aussi être contre avec l'argument que cela entraîne un simplification qui peut faire croire que êtes peu différencié.

Discutez la porté des résultats à plusieurs niveaux, on peut:

o discuter la (les) validité(s) de vos résultats,

o mettre en avant des questions auxquelles vous n'avez pas répondu(et pourquoi),

o s'interroger sur la généralisation des résultats,o voire même formuler une théorie qui nécessiterait

d'autres travaux empiriques pour la tester et/ou développer.

Comparez vos résultats à ceux d'autres études empiriques

o dans le domaine et/ou avec les connaissances théoriques du domaine(si cela n'a pas été fait dans la partie principale)

Vous pouvez formuler de nouvelles questions.

o Souvent vous serez cités parce que vous avez mis le doigt sur des choses intéressantes qui n'ont pas encore été étudiées (qui par exemple peuvent devenir un sujet de thèse)

Vous pouvez discuter de l'utilité pratique de votre travail.

o (surtout si le travail n'a pas de vocation principalement pratique)

o si votre travail était pratique, rappelez encore une fois vos suggestions principales aux destinataires du travail.

G. Liste des sources

Indication de toutes les sources primaires

o (textes de lois, règlements, etc.) que vous utilisez

o peut faire partie de la bibliographie.

H. Indexes

Indexes d'auteurs et de concepts

o surtout lorsqu'il s'agit d'un travail importantsur le plan théorique.

o permettent à un lecteur pressé de mieux "surfer" votre travail

o (utile, mais pas obligatoire)

I. Annexes

Tout ce qui n'est pas nécessaire à la compréhension

o mais qui permet au lecteur de mieux reproduire et comprendre vos analyses empiriques.

o On peut pour des raisons de place pas y incluretout le matériel d'analyse (données, entretiens, textes primaires, etc.). Faites un choix ou éventuellement des résumés.

J. Bibliographie

doit contenir l'ensemble des textes scientifiques auxquels vous avez fait référence.

o Parfois les gens ont tendance à gonfler une bibliographie avec des ouvrages non cités. Cette pratique est inutile et mal vue

Respectez une certaine norme (vous pouvez choisir)et restez cohérents !

Il faut commencer à faire une bibliographie dès le début.

o A chaque fois que vous lisez un ouvrage ou article,insérez-le dans la bibliographie!

o Il existe des logiciels comme EndNotes

K. Citations

Respectez une certaine norme (à votre choix)

A. - Préface (avant-propos)B. - Table des matières (etc.)C. - Résumé (abstract)D. - IntroductionE. - Partie principaleF. - ConclusionG. - Liste des sourcesH. - IndexesI. - AnnexesJ. - BibliographieK. - Citations

Methodo - IDHEAP 98 - 20 Sep 1998

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Ensuite, nous remercions l’entreprise FUNHECE S.A d’avoir accepté de nous accueillir pour notre intervention, nous avons acquis beaucoup de connaissances et d’expériences, tant sur la vie sociale que sur la vie professionnelle.

Un grand merci à Madame Olivia RAKOTONARIVO RAKOTOARISOA de nous avoir permis de suivre la formation en Gestion des Ressources Humaines au sein de son établissement pendant ces deux (2) ans successifs, d’avoir été toujours là pour nous conseiller et nous guider dans nos démarches personnels et professionnels/

Les remerciements à Madame Stella RAVELONTSALAMA, Directeur des Ressources Humaines au sein de l’entreprise FUNHECE S.A, pour son encadrement professionnel et son assistance pendant notre intervention pratique en entreprise.

Nos remerciements à Madame Andoniaina ANDRIAMAHARO, encadreur pédagogique, de nous avoir soutenu pendant ces deux (2) ans, denous avoir été une guide, une conseillère, pour notre formationet l’élaboration de notre ouvrage

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ENTREPRISES

Comment gérer l'absentéisme ?Virginie Hofman, Caractère, le 06/03/2007 à 07h00

Les entreprises confrontées à l'épineux problème desabsences ont dû s'adapter et trouver des solutions pour remplacer leurs salariés manquants. Mais les résultats ne sont pas toujours concluants.

« Tiens, Tony est absent aujourd'hui. Il doit avoir mal au doigt. » Qui n'a pas déjà entendu de telles railleries à propos d'un salarié absent. Car en France, l'absentéisme s'est tellement développé ces dernières années - et surtout, il y a eu tellement d'abus - qu'il est devenu la traduction la plus visible et la plus mesurable du comportement de « tire-au-flanc » .

En 2002, un rapport de la Cour des comptes estimait que les ANPE flirtent avec les 8 % d'absentéisme, certaines grandes villes affichant des scores à deuxchiffres. Mais tout le monde n'est pas égal, face à l'absentéisme. En effet, selon une étude Gras Savoye, un agent de mairie s'absente en moyenne 22 jours par an. Dans la fonction publique d'État, il est de 10,9 % et pour les entreprises privées, ce

taux est estimé à 5,8 %. Ainsi, pour les salariés bénéficiant d'un statut protecteur, l'absence à moins d'incidence sur le portefeuille. Mais c'est loin d'être le cas du salarié lambda, qui ne perçoitaucune indemnisation pendant les trois premiers jours d'arrêt - c'est ce qu'on appelle le début de carence - et ne reçoit ensuite que 50 % de son salaire.

Au travers des analyses et des entretiens, réalisés dans ce dossier, on verra à quel point l'absentéismecoûte cher et qu'il peut être inquiétant.

En effet, en France, on estime en général que 1 % detaux d'absentéisme coûte 1 % de la masse salariale. Son coût pour la collectivité dépasserait les 25 milliards d'euros. Alors, que peuvent faire les chefs d'entreprise pour limiter le fléau ? Car dans les petites imprimeries, l'absentéisme est une véritable angoisse, comme nous le confiait Gérard Davy, le dirigeant de l'Imprimerie Giennoise (Gien, 45). « Quand quelqu'un est absent, dans une petite équipe comme la nôtre, c'est 15 % de l'effectif global qui manque » , assure-t-il.

Quelles sont les solutions pour lutter contre ? « Tout d'abord, il faut analyser cet absentéisme. En effet, ilen existe de plusieurs types. Le ponctuel, occasionnel, qui peut être dû à une maladie bénigne, mais qui est gérable, malgré son caractère imprévisible. Celui de plus longue durée, qui peut être dû à une maladie ou à un stress trop important, est un cas plus difficile à contrôler et à gérer » , explique Michèle Laporte, fondatrice et directrice de Médicat-Partner, un organisme de contre-visite médicale. Cet organisme, auquel peuvent faire appel les employeurs afin de savoir si l'absentéisme de leurs salariés est justifié ou non, peut être une solution pour lutter contre l'absentéisme abusif.

« Depuis la loi sur les 35 heures, l'absentéisme s'est fortement développé. Les maladies psychologiques se sont aussi ajoutées aux problèmes physiques. Et certains salariés ont abusé des arrêts maladie. Pour lutter contre ces absentéismes illicites, les employeurs peuvent faire appel à nous. Nous vérifierons la véracité du certificat d'arrêt de travail. Si celui-ci s'avère non indispensable, l'employeur peut suspendre le versement du complément de salaire qu'il doit à son

salarié lorsqu'il est absent » , ajoute Michèle Laporte.

Des solutions diverses

Mais cette stratégie n'est pas forcément la meilleure : avoir recours systématiquement à ce genre de méthode pur lutter contre l'absentéisme peut entraîner un climat de suspicion dans l'entreprise. En outre, dans le cas où le salarié est vraiment malade, cela ne risque-t-il pas de faire naître un sentiment de culpabilité, qui pourrait aggraver sa maladie ?

Avant de se lancer dans ces pratiques radicales, on peut déjà mettre en place des entretiens d'absentéisme. Le principe est simple : systématiserune rencontre avec le DRH ou le supérieur hiérarchique pour toute personne revenant d'un arrêtde travail. Une façon de débanaliser la chose tout en marquant le coup.

Former le personnel

Face à la recrudescence des maladies psychologiques (stress, dépression, anxiété, etc.) qui engendrent un taux d'absentéisme élevé, les entrepreneurs ont dû revoir leur copie et surtout, réaliser une étude approfondie de leur entreprise. À l'instar de Goubault Imprimeur, qui investit pour améliorer les conditions de travail de ses salariés. « Outre le vaccin contre la grippe, nous fournissons des chaussures de sécurité, des bouchons d'oreilles. Par ailleurs, nous sommes sur l'annualisation du temps de travail. Si une personne veut prendre une journée pour telle ou telle raison, elle peut le faire » , confie Dominique Goubault, le p.-d.g. de l'imprimerie éponyme.

Pour régler l'absentéisme le plus important, cet entrepreneur, tout comme son confrère Fabrègue, a mis en place des formations en interne qui permettent à certains salariés de travailler sur plusieurs machines. « Quand on n'est pas sur Paris ou en régionparisienne, on ne peut pas compter sur les agences d'intérim. Il faut donc trouver d'autres moyens pour remplacer les personnes absentes. On a donc décidé de jouer sur la pluridisciplinarité » , explique Emmanuel Fabrègue, codirigeant de l'entreprise

familiale Fabrègue.

Pour les imprimeurs franciliens, qui disposent de nombreuses agences d'intérims spécialisées, l'absentéisme, quel qu'il soit, peut être plus facilement géré. Pour les autres, trouver des solutions rime trop souvent avec heures supplémentaires.

Ainsi, bien que l'absentéisme soit un problème de gestion délicat à résoudre, il est essentiel de s'y attaquer en établissant un plan de travail résultantd'une analyse globale de l'entreprise. Au final, on constate qu'il n'existe pas de recette miracle, maisqu'une approche globale devra être appliquée, touchant notamment à la culture de l'entreprise.

L'essentielÉtablir un diagnostic global de son entreprise

Mieux vaut prévenir que guérir. L'entrepreneur qui connaît bien sa société pourra plus facilement régler le problème de l'absentéisme.Motiver ses salariés

L'employeur doit s'efforcer d'intéresser ses salariés àl'entreprise. Plus un employé est concerné et motivé, moins il sera tenté de se mettre en arrêt maladie.Savoir détecter un absentéisme injustifié

L'employeur doit faire comprendre qu'il sait quand une absence est justifiée ou non. En dernier recours, il peut faire appel à un organisme spécialisé.Ne pas accabler les absents

Dans tous les cas, l'employeur doit trouver des solutions pour lutter contre l'absentéisme, mais aussi pour éviter les récidives, génératrices de mauvaises performances pour son entreprise.

Les principaux problèmes soulevés par l'absentéisme

Sept millions d'arrêts de travail et plus de deux centsmillions de journées indemnisées. C'est le bilan de l'absentéisme en France. Et le principal problème soulevé par l'absentéisme est son coût. En 2003, il a atteint 7,4 milliards d'euros, dont 5,4 à la charge de l'Assurance-maladie. Selon l'INRS (Institut national dela recherche sanitaire), le coût de l'absentéisme dû austress en 2000 était au minimum de 370 millions d'eurospour les entreprises.Selon l'ANDCP (Association nationale des directeurs et cadres de la fonction publique), la majorité des entreprises maintient la rémunération pendant et au-delà du délai de carence. Sans parler de la gestion du personnel qui devient problématique, car il faut envisager des remplacements et des formations. Tout cela engendre une perte de productivité, de qualité de compétences dont il est difficile de quantifier le réelpréjudice pour les entreprises.Son poids en chiffres Coût : 60 % 

Gestion du personnel : 28 % 

Problèmes sociaux : 13 %

« Nous insistons beaucoup sur la pluridisciplinarité » 

Emmanuel Fabrègue, codirigeant de Fabrègue (87). 

CA 2006 : 46 millions d'euros. 

Effectifs : 450 salariés.« Il faut bien connaître le marché et l'évolution de l'emploi dans sa région » 

Philippe Simermann, dirigeant de Demarets (84). 

CA 2006 : 800 000 euros. 

Effectifs : 12 salariés.« L'absentéisme coûte cher et notre région est victime d'une pénurie d'agences d'intérim spécialisées » 

Alain Mossé, p.-d.g. d'Hémisud (83). 

CA 2006 : 3,1 millions d'euros. 

Effectifs : 26 salariés.« Il faut effectuer une réelle analyse de son entreprise et prendre des mesures de prévention » 

Dominique Goubault, p.-d.g. de Goubault Imprimeur (44). 

CA 2006 : 5 millions d'euros. 

Effectifs : 42 salariés.« Pour atténuer le problème, nous mettons en place des entretiens individuels » 

François Lehmann, p.-d.g. de Publitex Offset (29). 

CA 2006 : 1,5 million d'euros. 

Effectifs : 15 salariés.

dans le même dossier : Comment gérer l'absentéisme ? (3 articles)

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L’absentéisme au travail: une perte financière pour l’entrepriseComparez: les prix  Rubriques: Logiciel de gestion des absences

Une entreprise est continuellement amenée à devoir gérer lesnombreuses absences de son personnel. Qu’il soit question demaladies, d’absences injustifiées, de vacances ou encore deRTT, un manque d’organisation de ces absences peut avoir desconséquences importantes sur l’entreprise. En effet,l’absentéisme affecte le moral des équipes et perturbent lesautres salariés dans leur travail. Il a donc un impact directsur la productivité de l’entreprise et son profit.

/

L’absentéisme: l’ampleur de ses conséquences

L’impact financier

Les absences, qu’elles soient planifiées ou non, engendrent uncoût financier. Celui-ci représente environ 20% de la paie. Cetimpact financier peut être divisé en 2 types de coûts:

Les coûts directs: la rémunération des salariés absents Les coûts indirects: la perte de productivité et le recours à

des salariés intérimaires

L’impact sur la productivité

Les absences, planifiées et non planifiées, constituent uneperte nette de productivité de 21% par jour. Cette perte deproductivité s’explique par plusieurs facteurs:

Le salarié absent ne peut pas effectuer son travail. Celui-ci est donc inachevé.

L’intérimaire engagé peut être moins efficace car il ne connaitpas aussi bien l’organisation de l’entreprise et n’a pas nécessairement les mêmes compétences.

Le retard engendré par le salarié absent peut se répercuter surle travail des autres employés.

Les effets d’une mauvaise gestion des absences

Si une entreprise ne suit pas les absences avec assiduité, ellerisque de transgresser les conventions collectives et lesréglementations du travail. Par exemple, elle peut ne pas payerle bon salaire car elle n’a pas un compte correct des jours detravail où le salarié était présent. Elle peut également fairedes erreurs dans le calcul des congés restants.

La solution: le logiciel de gestion des absences

Il est possible de minimiser les impacts de l’absentéisme surla productivité des entreprises. Pour cela, il est important desuivre les absences, de récolter l’ensemble des données qui ysont liées et d’en tirer les bonnes tendances. Un outil estcapable de répondre à tous ces besoins: le logiciel de gestiondes absences.

Ce logiciel permet de regrouper en un fichier unique, lesinformations relatives aux absences. Il vous sera alorspossible de déterminer en un coup d’œil:

Les indisponibilités et donc, potentiellement, le travail à répartir

Le nombre de congés restants pour chaque salarié Les salariés qui comptabilisent des absences répétées Le coût de ces absences …

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