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Livre Blanc
Comment
optimiser le ROI de
votre Centre de
Contacts grâce à
la gestion des flux
Étude de cas
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Dans un contexte de digitalisation croissante et de
mondialisation, l’interconnexion du monde s’est
illustrée de façon physique et virtuelle : d’un côté par
la multiplicité des canaux de communication et de
l’autre, par le développement d’un immense réseau
d’entreprises. Afin de se démarquer et de survivre dans
cette jungle entrepreneuriale particulièrement
concurrentielle, il devient essentiel de maximiser son
ROI et de s’adapter aux changements sociétaux
grâce à une stratégie multicanale.
Cependant, toutes les entreprises n’ont pas les
ressources nécessaires à la gestion de ces nombreux
flux (appels, e-mails, fax, réseaux sociaux, etc.) qui
convergent en leur sein et il en résulte parfois une perte
de ROI importante. Afin de mieux comprendre les
problèmes auxquels nombre d’entre elles se heurtent,
nous étudierons l’exemple de la société X.
Contexte
3
Les facteurs
de perte de
rentabilité
pour une
entreprise
1.
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La société X emploie 15 télé-commerciaux (dont 2 stagiaires) et souhaite améliorer le
traitement des demandes de ses clients par le Service Client. Après étude de son
fonctionnement par la société CRC Expertise, il a été constaté plusieurs facteurs de perte
de rentabilité :
a. Perte de temps
Le numéro de téléphone du standard étant souvent saturé, les clients prennent l’habitude
d’appeler directement les télé-commerciaux. On observe donc une perte de temps liée,
d’une part, à l’identification du client par l’hôtesse et d’autre part, à son transfert au télé-
commercial qui lui est rattaché (le client se voit attribuer un commercial dédié auquel il
aura toujours affaire).
En effet, lorsque la société reçoit un appel, le client est identifié via son numéro client, via
son numéro de téléphone ou via le nom de son entreprise. À partir de ces trois données,
l’hôtesse peut effectuer une remontée de fiche afin de connaitre le télé-commercial
associé et s’il est disponible, lui indiquer oralement le numéro du client. Ainsi, après
plusieurs jours d’observation, CRC Expertise a pu remarquer que, sur une dizaine d’appels,
l’identification du client dure de 10 secondes à 3 minutes.
Il a également été observé que la connexion entre le CRM de l’entreprise et la solution de
téléphonie n’est généralement pas optimale car la base client n’est pas mise à jour
régulièrement. Il en résulte donc une perte de temps assez conséquente liée à la
recherche d’informations complémentaires (les numéros de fixes sont-ils à jour ? Les
numéros de mobiles sont-ils toujours renseignés ?) afin d’identifier le client et de remonter
sa fiche manuellement.
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Par ailleurs, la recherche peut parfois se complexifier lorsque les clients sont rattachés à
des centres différents. Il faut donc chercher leurs coordonnées dans les nombreuses bases
de données de l’entreprise.
Enfin, lorsqu’un client doit être rappelé par l’entreprise, le numéro du client est saisi
manuellement sur le clavier téléphonique, ce qui augmente encore la perte de temps
liée à la gestion des appels.
b. Temps d’attente trop élevé
Les appels entrants sont distribués à n’importe quel télé-commercial. On constate que
seuls 16% des appels des clients sont distribués aux télé-commerciaux dédiés. En effet, les
clients ont un temps d’attente téléphonique assez conséquent (souvent supérieur à 1
minute) et les télé-commerciaux ne décrochent que 13% des 16% d’appels. Parfois, les
clients attendent même lorsque les télé-commerciaux sont disponibles.
Pour un télé-commercial, seuls 3 appels sur 15 sont décrochés. Cela résulte parfois d’un
manque de sensibilisation à son travail. Actuellement, les appels téléphoniques des clients
sont souvent présentés sur un premier poste téléphonique (qui va sonner) puis dix
secondes plus tard sur un deuxième, puis dix secondes plus tard sur un troisième avant
d’être décroché.
Lorsqu’un appel n’est pas pris par les deux premiers télé-commerciaux, cela signifie que
le client a déjà attendu environ 25 secondes sans la moindre justification. Or, chaque
seconde d’attente téléphonique augmente le risque que le client raccroche et appelle
un distributeur concurrent.
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Enfin, lorsque le standard a un client au téléphone, si le télé-commercial dédié est
occupé, le standard lui envoie un message lui indiquant de rappeler le client (même si
d’autres télé-commerciaux sont disponibles). Il arrive que le télé-commercial oublie et ne
rappelle jamais.
Certains clients ne sont donc pas pris en charge, qu’il s’agisse de clients importants ou
non, et certains d’entre eux, regrettant que le temps d’attente soit trop élevé, se tournent
vers des concurrents. Étant donnée la valeur de certains clients, le fait de ne pas prioriser
les appels peut provoquer une perte importante pour l’entreprise.
c. Perte de statistiques
Afin de permettre à certains clients de les joindre plus facilement, des télé-commerciaux
leur ont communiqué leur numéro direct : si l’intention est louable, il s’avère que ces
appels sont exclus des statistiques du centre d’appels. Il est donc impossible de mesurer
la qualité du service client (taux de réponse, délais, etc.)
Ces pertes (de temps et de statistiques) et ces temps d’attente impliquent, pour
l’entreprise X, une baisse de rendement et d’optimisation des flux de communication pris
en charge, ainsi qu’une perte potentielle de clients. De plus, il est difficile d’évaluer les
prestations et donc la qualité du service client sans statistiques précises appliquées aux
appels, emails et fax. Dans ce contexte, il est essentiel pour l’entreprise de trouver un
moyen de remédier à ces pertes et de maximiser ainsi son ROI.
Conclusion
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