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ROMEO CASTELLUCCI Go down, Moses 25.10. – 28.10.2014 Salle Charles Apothéloz © SRS DOSSIER DE PRESSE THÉÂTRE VIDY-LAUSANNE AV. E.-H. JAQUES-DALCROZE 5 CH-1007 LAUSANNE Presse et communication Sarah Turin / Coralie Rochat T +41 (0)21 619 45 21/74 [email protected] [email protected] www.vidy.ch

ROMEO CASTELLUCCI - Vidy

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Page 1: ROMEO CASTELLUCCI - Vidy

ROMEO CASTELLUCCIGo down, Moses25.10. – 28.10.2014Salle Charles Apothéloz

© SRS

DOSSIER DE PRESSE

THÉÂTRE VIDY-LAUSANNEAV. E.-H. JAQUES-DALCROZE 5

CH-1007 LAUSANNEPresse et communication

Sarah Turin / Coralie RochatT +41 (0)21 619 45 21/74

[email protected]@vidy.ch

www.vidy.ch

Page 2: ROMEO CASTELLUCCI - Vidy

2ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN, MOSES

MISE EN SCÈNE, DÉCORS, COSTUMES,

LUMIÈRE :

ROMEO CASTELLUCCI

MUSIQUE :

SCOTT GIBBONS

TEXTES :

CLAUDIA CASTELLUCCI

ROMEO CASTELLUCCI

AVEC :

RASCIA DARWISH

GLORIA DORLIGUZZO

LUCA NAVA

STEFANO QUESTORIO

SERGIO SCARLATELLA

ET AVEC EMMANUELLE OHL

PATRICIA SCHILLACI

CLAUDE PENSEYRES

PIERRE IMHOF

JULES HOX

COLLABORATION À LA SCÉNOGRAPHIE :

MASSIMILIANO SCUTO

ASSISTANAT À LA CRÉATION LUMIÈRE :

FABIANA PICCIOLI

RESPONSABLE DE LA CONSTRUCTION DES

DÉCORS :

MASSIMILIANO PEYRONE

SCULPTURES EN SCÈNE, PROTHÈSES

ET AUTOMATISATIONS :

GIOVANNA AMOROSO

ISTVAN ZIMMERMANN

RÉALISATION COSTUMES :

LAURA DONDOLI

ASSISTANAT À LA COMPOSITION SONORE :

ASA HORVITZ

MACHINISTES :

LORENZO MARTINELLI

MICHELE LOGUERCIO

FILIPPO MANCINI

RÉGISSEUR SON :

MATTEO BRAGLIA

RÉGISSEUR LUMIÈRE :

DANILO QUATTROCIOCCHI

PRODUCTION :

BENEDETTA BRIGLIA

COSETTA NICOLINI

PROMOTION ET COMMUNICATION :

VALENTINA BERTOLINO

GILDA BIASINI

ADMINISTRATION :

MICHELA MEDRI

ELISA BRUNO

SIMONA BARDUCCI

CONSULTANT ÉCONOMIQUE :

MASSIMILIANO COLI

PRODUCTION DÉLÉGUÉE :

SOCÌETAS RAFFAELLO SANZIO

EN CO PRODUCTION AVEC :

THÉÂTRE DE LA VILLE AVEC LE FESTIVAL 

D’AUTOMNE À PARIS

THÉÂTRE DE VIDY

DESINGEL INTERNATIONAL ARTS CAMPUS/

ANTWERP

TEATRO DI ROMA

LA COMÉDIE DE REIMS MAILLON, THÉÂTRE

DE STRASBOURG/ SCÈNE EUROPÉENNE

LA FILATURE, SCÈNE NATIONALE- MULHOUSE

FESTIVAL PRINTEMPS DES COMÉDIENS

ATHENS FESTIVAL 2015, LE VOLCAN, SCÈNE

NATIONALE DU HAVRE

ADELAIDE FESTIVAL 2016 AUSTRALIA

PEAK PERFORMANCES 2016

MONTCLAIR STATE- USA

AVEC LA PARTICIPATION DE :

FESTIVAL TRANSAMÉRIQUE- MONTREAL

REMERCIEMENT POUR LA COLLABORATION À :

COMUNE DI SENIGALLIA- ASSESSORATO ALLA PROMOZIONE 

DEI TURISMI, MANIFESTAZIONI/AMAT

RÉPÉTITION ET CRÉATION À VIDY

DURÉE : 1H

ÂGE : DÈS 16 ANS

Page 3: ROMEO CASTELLUCCI - Vidy

3ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN, MOSES

ROMEO CASTELLUCCI Go down, Moses

25.10. – 28.10.

Salle Charles ApothélozSamedi  25.10.  19h

Dimanche  26.10.  17h

Lundi  27.10.  20h

Mardi  28.10.  20h

Un personnage fascine Romeo Castellucci depuis longtemps: Moïse. Soit la figure la plus importante de la Bible hébraïque, recevant la Loi pour le judaïsme, préfigurant Jésus-Christ pour le christianisme et précédant le prophète Mahomet pour l’islam. Personnage mémoriel sans ancrage historique avéré, Moïse vit dans les écrits une existence emplie d’événements forts, symboliques, fondateurs: sauvé des eaux, confronté au mystère du buisson ardent, libérant son peuple de la captivité, recevant les tables de la loi après quarante jours passés sur le mont Sinaï, détruisant le Veau d’or façonné par son peuple… Il est celui à qui Dieu révèle une transcription de son nom, YHWH.

«Nous, hommes apparemment libres d’Europe, sommes esclaves. Il faut comprendre de quoi.»

Le metteur en scène italien a décidé de concevoir un spectacle avec ces fragments de vie, comme on pourrait plonger dans le cerveau d’un opéré sous anesthésie, qui rêve la vie de Moïse, ou qui rêve d’être un nouveau Moïse, pré-cognitif, dans un nouveau monde. Il y aura des failles dans l’espace-temps, à la fois des nœuds temporels et psychiques et de grands vertiges de civilisation. L’Opéra Bastille lui ayant commandé la mise en scène du «Moses et Aaron» de Schönberg pour son ouverture de saison 15/16, le metteur en scène est plongé aujourd’hui dans l’histoire débordante de significations et de paraboles du premier prophète.

Castellucci reprend un titre de Faulkner, lui-même emprunté à un chant d’esclaves noirs, en référence à la sortie d’Egypte. Il s’interroge : «Nous, hommes apparemment libres d’Europe, sommes esclaves. Il faut comprendre de quoi.» Dans «Go down, Moses», Romeo Castellucci engage son travail plastique et sonore dans une impasse justement établie par Moïse: l’interdit de l’image.

PRÉSENTATION© SRS

GO DOWN, MOSESEN TOURNÉE

2014

Théâtre Vidy-Lausanne25.10 – 28.10.

Théâtre de la Ville, Paris, FR4.11. – 11.11.

deSingel, Anvers, BE20.11. – 22.11.

2015

La Filature, Scène nationale, Mulhouse, FR21.3. – 22.3.

Le Maillon, Strasbourg, FR26.3. – 28.3.

Page 4: ROMEO CASTELLUCCI - Vidy

4ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN, MOSES

Ce travail transfigure les différents épisodes de la vie de Moïse, tels qu’ils sont racontésdans le Livre de l’Exode. Il y a, dans les aventures de cet homme, quelque chose qui estpropre à la substance même de notre temps. Comme pour le Moïse de Michel- Ange – évoqué dans les pages que Freud a consacrées à cette œuvre – le prophète du monothéisme est ici présenté comme un homme qui réagit aux épreuves que ce Dieu – sans nom et sans image – lui impose: l’abandon de son corps nouveau- né aux eaux du Nil, le mystère du Buisson Ardent, où se manifeste – dans le kabod – l’éblouissante et insoutenable splendeur de la gloire de YHWH, les quarante jours passés sur le Mont Sinaï où il reçoit les Tables de la Loi et enfin, à son retour, la découverte du Veau d’or façonné par son peuple pour être adoré.

Le personnage de Moïse se dissout dans la succession des scènes qui négligent la narration biographique pour mieux s’intéresser aux idées, aux sentiments et aux caractères qui annoncent une révélation agissante encore aujourd’hui, dans notre présent. Moïse est soumis au regard du spectateur, rendant plus concret chaque élément du spectacle, conçu comme une succession de tableaux et de fragments; vibrations psychiques qui émergent comme des altérations dans l’espace- temps de notre vie quotidienne obscurément perçue comme un exil.

Le titre évoque le célèbre spiritual des esclaves d’Amérique qui s’identifiaient au peuplehébreu, symbole prophétique de leur retour en Afrique. Les Israélites, capables d’échapperà l’exil de Babylone et – grâce à Moïse – de se libèrer de la captivité d’Egypte, étaient, en même temps, le symbole de la prochaine libération des esclaves d’Amérique, ainsi que maintenant le chant des esclaves en Amérique peut signifier l’état de notre esclavage incorporel, en exil de l’être.

Deux images en effet, conduisent et dirigent ce long spectacle, comme les deux côtés d’une même médaille: le Buisson Ardent d’une part, qui constitue l’image vraie, celle qui est la négation de toute représentation «je suis celui qui est», et d’autre part le Veau d’or qui, à l’inverse, constitue l’image fausse et le revers négatif de cette même phrase. Tout ce qui se trouve entre les deux est le sujet de ce travail.

TRADUIT DE L’ITALIEN PAR JEAN LOUIS PROVOYEUR

NOTE D’INTENTION

Images de répétitions © Luca Del Pia

Page 5: ROMEO CASTELLUCCI - Vidy

5ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN, MOSES

Images de répétitions © Luca Del Pia

Images de répétitions © Luca Del Pia

Images de répétitions © Luca Del Pia

Page 6: ROMEO CASTELLUCCI - Vidy

6ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN, MOSES

(...)Etes-vous hérétique ?

Je ne pourrais payer ce prix. Je suis lâche. Et je ne comprends plus toujours les limites de la liberté de l’artiste dans ce monde sans tabous où elles bougent tout le temps. J’ai un sentiment d’échec. La seule chose dont je sois sûr, c’est que, au théâtre, on n’a pas le droit de montrer la réalité. La vraie violence, le vrai sang. Au théâtre, l’interdit, c’est la réalité. Je ne crois pas au théâtre-vérité. Au théâtre, tout doit être faux. Le théâtre, c’est la pure fiction, l’impossible conjonction de l’espace et du temps, l’ailleurs. Car seul le faux permet le travail de l’intelligence, fait que le spectateur n’est pas l’otage de ce qu’il voit. Vous connaissez le fameux paradoxe des sophistes grecs: celui qui est trompé connaît mieux la vérité que celui qui ne l’est pas… La vérité fige, empêche le sens de rayonner, enferme dans la mort. C’est un poids dont il faut se libérer. Il faut cacher, voiler la vérité. Le plaisir du théâtre est obscur.

(...)Vous ne vous doutiez pas que «Sur le concept du visage du Fils de Dieu», avec ce père englué dans la merde et ce visage du Christ bientôt incendié, allait le susciter?

Je n’avais pas imaginé les réactions si violentes d’un public catholique intégriste. D’autant que je n’ai jamais souhaité me moquer d’une religion dont je suis proche. Je crois aujourd’hui que ce ne sont pas les excréments qui ont choqué, mais ce regard de Jésus qui fixe chaque spectateur. Il est insupportable. Nous, les voyeurs, qui nous repaissons aujourd’hui de tant d’images, nous voilà soudain mis à nu par ces yeux doux et tendres qui nous observent avec infiniment de mélancolie. On l’a un peu oublié aujourd’hui, mais le Christ, incarnation de Dieu sur terre, est le premier modèle de l’histoire de l’art, celui à partir duquel les peintres ont imaginé les premiers portraits, les premiers visages. Il est sans doute aussi le premier «acteur», celui que Dieu a «mis sur le plateau du monde», comme l’enseignent les Pères du désert. Et la croix n’est-elle pas le plus petit espace scénique possible? Mais le lien entre l’art et la religion s’est perdu en Occident au XIXème siècle. Quand l’Eglise, comme l’a expliqué le cinéaste et poète Pier Paolo Pasolini, a trop versé dans la communication, le spectacle. Quand elle a perdu l’esprit. Le religieux occidental est alors devenu stéréotypé, consolatoire. Pourtant l’art a toujours eu affaire avec la religion, ils sont nés en même temps, à l’intérieur d’une caverne, dans un rapport sororal.

Sororal ?

Les premières divinités représentées sont des femmes, des déesses mères aux seins lourds. Et on peut imaginer, comme certains paléontologues réputés, que les premières peintures des cavernes ont aussi été réalisées par des femmes qui attendaient le retour des hommes de la chasse. Pour moi, la science du corps, la grâce du corps, du geste, sont purement féminines, et la femme représente l’absolu de l’image. Il n’y a que des femmes dans «The Four Seasons Restaurant».

La foi nourrit-elle toujours votre travail ?

Je n’oserais pas dire que je suis chrétien, les responsabilités qui s’attachent à ce mot sont lourdes; et je n’aime guère la consolation que certains chrétiens attendent de leur religion. Je me sens davantage «christique», portant en moi les blessures du Christ. Car il vaut mieux être blessé que consolé. Le devoir de l’artiste est de rajouter des questions, des problèmes. On a besoin de ces problèmes qui nécessitent des choix. Aujourd’hui, dans ce monde débordant d’informations, d’images, où on est spectateur tout le temps, de tout, nous sommes obligés de choisir. Or on choisit mieux face à un problème. Le problème devient ainsi une espèce de bonheur.

ENTRETIEN AVEC CASTELLUCCI

Page 7: ROMEO CASTELLUCCI - Vidy

7ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN, MOSES

(...)Vous dénoncez les images, mais vous faites pourtant un théâtre d’images, presque sans mots ?

C’est vrai. Ça pourrait sembler un paradoxe… Sauf que les images que je défends ne sont pas à deux dimensions comme celles de la publicité, mais à trois. Et la troisième dimension, c’est le temps de la représentation. Qui change tout à la perception, l’approfondit, la densifie. Pourtant, au théâtre, une image n’est puissante que lorsqu’elle échappe, lorsqu’elle est fragile. Une vraie image doit être à l’abri des regards. Pour mieux pousser du visible à l’invisible. C’est cette tension qui fait sa force. Ainsi une image «forte», au théâtre, est une image qui dépasse la question même de l’image, qui incite au silence, au recueillement. Par exemple, quand je travaille un spectacle et règle sur le plateau, disons, deux «images» A et B, c’est ce qui se passe entre elles, soit C, qui m’intéresse. Soit l’image qui manque et que vont créer, s’imaginer dans leurs têtes, les spectateurs.

Comment viennent les images spectaculaires et terribles de vos spectacles ?

Généralement avant les mots; mais toujours de manière périphérique. Comme des rayons qui passent. Il faut être attentif. J’ai constamment un cahier de notes sur moi. Car les images surgissent n’importe quand, lorsque je téléphone ou regarde n’importe quoi. Après, il faut vérifier leur nécessité. Le temps est pour ça un outil extraordinaire. Au fur et à mesure, j’enlève, j’enlève, comme un sculpteur. La discipline qui m’est la plus proche est la sculpture. Une image est un point qui doit briller dans le temps. Un temps ni trop long ni trop court. Il faut en trouver le rythme, c’est un travail quasi musical: écrire le temps…

D’où vous est venu le goût de l’image ?

Sans doute des livres d’histoire de l’art de ma sœur aînée, qui étudiait aux Beaux-Arts de Bologne. Je faisais, moi, des études d’agriculture. Quand je regardais ces bouquins-là, j’étais fasciné par ce monde irréel. J’aurais passé ma vie devant pareils tableaux. D’autant qu’en Italie on est très jeune initié au beau: le moindre village possède une église où sont exposées des toiles superbes. Chacun peut en faire l’intime expérience. Même quand on appartient à un milieu modeste comme était le nôtre. Père émigré en Belgique pour y être mineur et mort très jeune de la silicose, mère institutrice. Je n’ai jamais quitté la petite ville de Cesena, en Emilie-Romagne, près de Bologne, où j’ai grandi. J’y travaille avec ma sœur, ma femme, quelques-uns de mes enfants.

(...)Comment vous sentez-vous dans l’Italie d’aujourd’hui ?

Il faut tout reconstruire. Pendant vingt ans, nous avons vécu dans un désert culturel, le maillage socio-culturel a été détruit, notre patrimoine, abandonné. On n’a eu que la télé. Tout était mort. Mais je déteste les lamentations. S’ils ne sont ni prophètes, ni philosophes, ni sociologues, les artistes doivent créer des taches d’opacité dans cette société prétendument transparente et mettre du poison dans le circuit. C’est leur plus beau cadeau à la société, pour la faire réagir. Moi, j’ai besoin d’ombre, de nuit. Pour mieux brûler sur scène avec les acteurs. Etre une torche vive. Et disparaître, m’effacer.

FABIENNE PASCAUD, «TÉLÉRAMA», N°3260

Page 8: ROMEO CASTELLUCCI - Vidy

8ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN, MOSES

ROMEOCASTELLUCCIRomeo Castellucci est certainement un des artistes les plus libres et les plus novateurs de notre temps. Avant de fonder en 1981 la Socìetas Raffaello Sanzio avec Chiara Guidi et Claudia Castellucci, Romeo Castellucci a fait les Beaux-Arts de Bologne. Ce n’est donc pas un hasard si le théâtre qu’il invente se fabrique tout autant avec des acteurs et des danseurs qu’avec de la musique, de la lumière, des références picturales, des images et des machines complexes. Un travail d’une grande sophistication, qui fait appel à l’artisanat théâtral traditionnel comme aux nouvelles technologies les plus performantes. Un art de la scène qui entend produire du sens aux yeux du spectateur, auquel il est demandé d’être un partenaire privilégié, indispensable pour que se développe un véritable partage de cette expérience d’une perception visuelle et auditive intense.

Persuadé que les mots ont «un poids spécifique plus lourd que les objets et les images», Romeo Castellucci est très attentif à leur emploi. Ce qui n’empêche nullement la compagnie de s’intéresser aux grands textes dramatiques et littéraires, tel ceux tirés du théâtre grec, toujours comme fondement d’une recherche plutôt que comme élément hégémonique de la représentation.

Après «Hamlet», «Hänsel et Gretel», «L’Orestie», il se penche en 1998 sur «Jules César» de Shakespeare pour un premier spectacle présenté au Festival d’Avignon. S’y succéderont «Voyage au bout de la nuit» en 1999, «Genesi» en 2000, quatre épisodes de la «Tragedia Endogonidia» donnés entre 2001 et 2005, ainsi que «Hey Girl !» en 2007. Sans oublier les trois parties de la «Divine Comédie», inspirées de Dante et créées en 2008 alors que Romeo Castellucci était l’un des deux artistes associés de l’édition, et «Sur le concept du visage du fils de Dieu» joué en 2011.

© Luca Del Pia

Page 9: ROMEO CASTELLUCCI - Vidy

9ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN, MOSES

LES CRÉATIONS DE VIDY EN TOURNÉE SAISON 14-15

LES PALMIERS SAUVAGES

EN TOURNÉE

2014

Théâtre Vidy-Lausanne25.9. – 12.10.

Nouveau théâtre de Montreuil, Montreuil, FR 

1.12. – 12.12.

IDIOT! PARCE QUE NOUS AURIONS DÛ NOUS AIMER

EN TOURNÉE

2014

Théâtre Vidy-Lausanne11.9. – 21.9. 

Théâtre de la Ville, Festival d’Automne, Paris, FR1.10. – 12.10. 

La Criée – Théâtre National de Marseille, FR 

17.10. – 19.10.  

Nanterre-Amandiers, Centre dramatique national, Festival d’Automne, Paris, FR 

4.11. – 14.11.   

le lieu unique, Nantes, FR 

19.11. – 21.11.   

Bonlieu Scène nationale, Annecy, FR 

26.11. – 27.11.

DAS WEISSE VON EI (UNE ÎLE FLOTTANTE)

EN TOURNÉE

2015

Théâtre Vidy-Lausanne28.11. – 17.12.

Le Théâtre national de Toulouse Midi-Pyrénées, Toulouse, FR 

6.1. – 9.1.  

Le Parvis Scène nationale Midi-Pyrénées, Tarbes, FR 

14.1. – 15.1.   

La Comédie de Reims, Reims, FR 

21.1. – 24.1.

De Singel Campus des Arts International, An-vers, BE4.2. – 6.2.

Onassis Cultural Centre, Athènes, GR13.2. – 15.2.

Bonlieu Scène Nationale, Annecy, FR25.2. – 27.2.

Odéon Théâtre de l’Europe, Paris, FR11.3. – 29.3.

VINCENT MACAIGNE SÉVERINE CHAVRIER CHRISTOPH MARTHALER MATTHIAS LANGHOFF

CINÉMA APOLLOEN TOURNÉE

2015

Le Théâtre Vidy-Lausanne17.1. – 7.2.

Comédie de Genève, avec le Théâtre du Loup et le Théâtre St-Gervais13.2. – 22.2.

L’Hippodrome, Douai11.3. – 13.3

Espace Jean Legendre, Compiègne21.4. – 22.4.  

L’apostrophe, Cergy5.5. – 6.5.  

Le Théâtre national de Toulouse Midi-Pyrénées28.5. – 30.5.

HEINER GOEBBELS

STIFTERS DINGE

EN TOURNÉE

2014

Festival Musica en partenariat avec le TJP, Centre Dramatique National d’Alsace-Strasbourg, Théâtre de Hautepierre, FR25.9. – 26.9.

MAX BLACK

EN TOURNÉE

2014

National Drama Theater, Vilnius, LT9.11.

Page 10: ROMEO CASTELLUCCI - Vidy

10ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN, MOSES

CALENDRIER DES TOURNÉES SAISON 14-15

MATHIEU BERTHOLET

DERBORENCEEN TOURNÉE

2014

Le Godey, Derborence, CH15.8. – 17.8.

Place Maurice Zermatten, Sion, CH21.8. – 14.9.

Théâtre du Crochetan, Monthey, CH21.8. – 14.9.

Théâtre Nuithonie, Villars-sur-Glâne, CH15.10. – 16.10.

2015

Théâtre Vidy-Lausanne7.5. – 13.5.

Théâtre du Galpon, Genève, CH1.6. – 7.6.

ROMEO CASTELLUCCI

GO DOWN, MOSESEN TOURNÉE

2014

Théâtre Vidy-Lausanne25.10 – 28.10.

Théâtre de la Ville, Paris, FR4.11. – 11.11.

deSingel, Anvers, BE20.11. – 22.11.

2015

La Filature, Scène nationale, Mulhouse, FR21.3. – 22.3.

Le Maillon, Strasbourg, FR26.3. – 28.3.

HALLOEN TOURNÉE

2014

Théâtre Vidy-Lausanne4.11. – 22.11.

Le volcan, scène nationale, Le Havre, FR16.12. – 19.12. 

2015

La Filature, scène nationale, Mulhouse, FR 

7.1. – 9.1.  

Le Merlan, scène nationale, Marseille, FR 

22.1. – 25.1.   

Maillon-Wacken, Strasbourg, FR 

3.2. – 5.2.   

Maison de la Danse, Lyon, FR 

8.4. – 10.4.

Théâtre de la Ville, Paris, FR 

16.4. – 29.4.

Espace Jean Legendre, Compiègne, FR 

19.5. – 20.5.

Châteauvallon, CNCDC, Ollioules, FR 

3.6. – 5.6.

Les Théâtres de la Ville de Luxembourg, Luxembourg, L 

18.6. – 20.6.

MARTIN ZIMMERMANN

BORIS CHARMATZ

MANGEREN TOURNÉE

2014

Théâtre Vidy-Lausanne6.11. – 7.11.

Ruhrtriennale International Festival of the Arts, Bochum, ALL23.9. – 27.9.

Steirischer herbst festival, Graz, AU16.10. – 18.10

Théâtre de la Ville, Festival d’automne, Paris29.11. – 3.12.

EN QUOI FAISONS-NOUS COMPAGNIE…EN TOURNÉE

2014

Théâtre Vidy-Lausanne4.11. – 7.11.

Le Tarmac, scène internationale francophone, Paris, FR 

13.11. – 5.12.

MARIELLE PINSARD

MASSIMO FURLAN

UN JOUREN TOURNÉE

2014

Théâtre Vidy-Lausanne1.10. – 12.10.

Théâtre de la Cité Internationale, Paris, FR16.10. – 18.10

Les Théâtres de la Ville de Luxembourg, Luxembourg, L12.11. – 13.11

Comédie de Clermont-Ferrand, FR3.12. – 4.12

Page 11: ROMEO CASTELLUCCI - Vidy

11ROMEO CASTELLUCCI GO DOWN, MOSES

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