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le journal de la ville de Colombes | février 2010 | www.colombes.fr | n o 14 Logement social Plus de transparence et d’équité p. 18 Environnement Le bruit à la loupe p. 12 Portrait Léa Messenie, bien- venue à la maison p. 35 À l’occasion de la livraison des 65 premiers logements du projet ZAC Île - Marante, tout ce qu’il faut savoir sur la transformation programmée de ce quartier. Rénovation urbaine Les travaux avancent p. 24

Rénovation urbaine Les travaux avancent

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le journal de la ville de Colombes | février 2010 | www.colombes.fr |no14

Logement socialPlus de transparence

et d’équité p. 18

EnvironnementLe bruit à la loupe p. 12

PortraitLéa Messenie, bien-

venue à la maison p. 35

À l’occasion de la livraison des 65 premiers logements du projet ZAC Île-Marante, tout ce qu’ilfaut savoir sur la transformation programmée de ce quartier.

Rénovation urbaineLes travaux avancent

p. 24

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2010, un budget

Chers concitoyens,

Je tiens à vous adresser mes meilleurs vœux 2010. Je pense à vous, à vos familles et à vos proches pour quecette année soit synonyme de santé, de joie, de partage.Une année solidaire, dans un contexte de crise sociale, de chômage de masse et de précarité galopante, une annéeoù notre ville, ses agents et ses élus seront aux côtés denos concitoyens, plus que jamais, au service de l’intérêtgénéral.

Démocratie, solidarité, écologie… comme nous nous yétions engagés, tels sont les trois axes qui ont dicté notreaction en 2009.La démocratie d’abord, avec nos conseils de quartier, larelance du Conseil communal des jeunes, la création duConseil local de la vie associative et notre premier bilanparticipatif.La solidarité ensuite, avec nos aides aux associationscaritatives, des locaux dignes pour les Restos du Cœur,notre politique envers les personnes âgées, le développementde nos aides dans le cadre du CCAS, le gel de nos tarifspublics municipaux.Et l’écologie enfin, avec le vote de notre Agenda 21 etses 25 actions qui vont changer à terme le visage de notreville et le cadre de vie de tous les Colombiens. Une année2009 riche en décisions, donc, en orientations, toujours établies dans la concertation.

Pour 2010, je veux insister sur quelques points qui marqueront les changements que nous entendons menerau bénéfice de tous nos concitoyens. D’abord, je souhaiteque nous avancions sur des questions concrètes qui ont

trait à notre cadre de vie dans tous les quartiers de notrecommune. Notre espace urbain, à la gare du Stade, auxVallées, en Centre-ville doit être amélioré. Il y aura aussi uneffort de rattrapage en ce qui concerne la rénovation, l’extension ou la construction de bâtiments scolairesdevant répondre à la poussée démographique que connais-sent certains quartiers.

Par ailleurs, nous devons continuer à faire du logementla marque d’un changement profond, tant en matière delogement conventionné, que pour ce qui concerne l’accessionà la propriété. L’année 2010 verra aussi l’établissement denos programmes de planification urbaine à travers notrePlan local de l’urbanisme (PLU) et notre Plan de déplace-ments (PDC). Nous allons également poursuivre la rénovation urbaine de nos quartiers (Petit-Colombes/Grèves, Fossés-Jean et Île-Marante) et débuterles travaux de notre éco-quartier de la Marine. Nousengagerons également les premières actions concrètes inscrites dans notre Agenda 21.��Nous poursuivrons notre travail avec les villes de la BoucleNord de la Seine en vue de construire une structure intercommunale dans un territoire porteur de sens entrePlaine Commune et la Défense.

Mais pour agir, pour investir dans l’avenir, pour changer le visage de notre ville, pour améliorer le quotidien de nosconcitoyens, nous allons devoir construire un budget de projets, un budget qui va financer nos grands choix demandature. Ce budget se fera dans un cadre contraint.Moindres recettes dues à la crise, réforme de la taxe professionnelle, transferts de charges non compensés parl’État. Le contexte nous oblige à la vigilance. Je désire quenotre commune, à travers notre projet municipal, démontrequ’une voie est possible pour faire vivre au plus haut notreidéal partagé. C’est ce à quoi, en tous les cas, je m’emploierai au cours de cette année et tout au long denotre mandature.��

Une nouvelle fois, je vous souhaite une très belle année2010.��

Philippe SARREMaire de Colombes

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Suezsita

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Tombe la neige…

Mon chat est malade. Normalavec toute cette neige qui nousest tombée dessus. Ces petitespattes fragiles n’aiment en effet,ni la neige, ni le sel ! Comme lecuir de mes chaussures d’ailleurs.J’en ai parlé avec un chausseurprofessionnel. Le verdict esttombé. Clair et net. Le cuir deschaussures de ville est allergiqueau sel déversé sur la chausséepour empêcher le verglas. J’enserai donc de ma poche pour unenouvelle paire de chaussures. Undommage collatéral de plus - auxcôtés des glissades en voiture,des retards de transports encommun, j’en passe -,conséquence d’une météo qui, sielle fait le bonheur des enfants,complique à loisir notre viequotidienne. D’ailleurs, j’ai mêmesongé à me faire rembourser meschaussures par la municipalité.Après tout, c’est vrai quoi ! Ilsn’ont qu’à trouver un systèmeplus intelligent pour déneiger…Et, puis après un échange rapideavec mon chat, je me suis ravisé,me disant que c’était fort malrécompenser le travail acharnéde nos cantonniers qui n’ontménagé ni leurs efforts, ni leurshoraires de nuit, pour nous offrirune ville praticable. D’ailleurs,cette histoire de chaussures,nous a (à moi et mon chat) inspiréune autre réflexion… Lamédiatisation dont cette météopeu clémente a été l’objet nousest finalement apparue pour lemoins exagérée. Il neige enFrance? La belle affaire ! N’yavait-il pas de sujets plusimportants à développer en cesmois de décembre et janvier ?Quand le drame, vécu par tant denos concitoyens en matière delogement, aura-t-il droit à la placequ’il mérite dans nos médiasnationaux? Quel rapport avec laneige me direz-vous? Aucun, sice n’est qu’en cette période hiver-nale, le sujet est évidemmentencore plus sensible. Maispourquoi donc, les efforts desassociations qui se battent avecacharnement pour faire bougerles choses, restent-ils lettre morteou presque? Bref, l’Abbé Pierrenous manque.

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atCourrierQuelque chose à dire? À partager? À propos du journal municipal?

Du site web de la ville? Ou plus généralement sur l’actualité de la ville? Nous publierons chaque mois dans nos colonnes un extrait de vos réactions.

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Écrivez-nous !Par mail à l’adresse suivante : [email protected] Ou par courrier : Mosaïque – Courrierdes lecteurs – Hôtel de ville – Place de laRépublique – 92701 Colombes Cedex

Conditions de parution :Tous les courriers sont lus avant parution. Les res-ponsables de l’édition du magazine municipal sontseuls juges du caractère publiable des textesproposés en courrier des lecteurs. Nous rappelonsà nos lecteurs quelques règles essentielles del’édition : bas les masques. Nous n’acceptons pasles textes anonymes. Soyez bref ! Nous recevons denombreux courriers et ne pouvons insérer desensembles de plusieurs pages.

La loi du nombreJe suis totalement consterné. L’après-midi du11 décembre, il a fallu pas moins d’une heure àdouze employés municipaux (sept équipéschacun d’une souffleuse, plus trois en charge duratissage et balayage, et deux camionsaspirateurs avec chauffeur) pour venir à boutd’un tas de feuilles mortes sur environ 100 m² depelouse, rue Saint-Denis. Avec la gêne decirculation et le bruit que vous pouvez imaginer.Il me semble que nos impôts locaux pourraientêtre mieux employés.

Jean-Claude Simon

Tous les ans, la ville effectue une opérationintitulée nettoyages d’automne. Cette opéra-tion qui dure 15 jours, consiste à mobiliserl’ensemble des moyens humains du servicesur une cité pendant une journée. La presta-tion que vous évoquez a mobilisé 4 véhicules,1 aspire-feuilles, 2 balayeuses et 27 agentsqui nous ont permis de collecter près de70m3 de feuilles et de déchets.

Le service Propreté

Soutien sans frontièresJe lis dans le dernier Mosaïque qu’il a étéproposé, lors du Conseil du 17 décembre, deverser une subvention à l’association Moradiaau Brésil. C’est très sympathique mais je ne voispas pourquoi l’argent des contribuables deColombes devrait être distribué à l’étrangeralors que la ville compte suffisamment de néces-siteux.�

Danielle Bonardel

Cette association est parrainée par leSecours Populaire de Colombes et est inter-venue dans les écoles. De plus, cette annéenous célébrons le 20e anniversaire de la créa-tion de la déclaration des Droits de l’enfant etnous voulions attirer l’attention sur ce thème.C’est pour ces raisons que nous avons pro-posé le versement d’une subvention de300euros. Par ailleurs, la ville apporte sonaide, à travers des subventions de fonction-nement ou d’actions, à des initiatives asso-ciatives en faveur des personnes en diffi-culté. Rappelons que, début 2009, nous avionsattribué des subventions exceptionnelles à4 associations colombiennes œuvrant dansce domaine pour un total de 20000 euros.

Chantal Barthélémy-Ruiz, adjointe au mairedéléguée à la Vie associative,

au Jumelage et aux Anciens combattants

Solidarité limitéeCertaines personnes en difficulté […] sont bénéfi-ciaires du RSA (Revenu de solidarité active). Ce« revenu» permet à des milliers de personnes depouvoir pratiquer formation, réinsertion, stages,et bien sûr de pouvoir toucher une pension de400 euros par mois. […] On rajoute 287 eurosd’APL (Aide au logement) ce qui faitapproximativement 687 euros d’aide sociale. […]Avec cela, chacun doit se débrouiller pour payerfactures, nourriture, vêtements, etc.Normalement, à chaque mois de décembre, uneaide supplémentaire de 200 € est accordée àchaque Rmiste. Or cette année, seul le Conseilgénéral des Hauts-de-Seine a refusé de donnercette prime […] Chaque jour, nos droits sont dimi-nués. Que restera-t-il dans quelques années?

DuKe

Il est juste de réagir au désengagement duConseil général en matière sociale alors quec’est sa première compétence. Non seule-ment la prime de Noël n’a pas été versée auxRmistes qui naturellement l’avaient inclusedans leur petit budget, mais l’enveloppe desaides financières n’a pas permis en find’année de soutenir les personnes seules endifficulté. En cela, les choix du départementrejoignent les choix nationaux qui consistentà démanteler le service public. En cettepériode de crise économique, il est injuste depénaliser encore plus les personnes en souf-france, et de couper la France en deux. Mal-heureusement, les budgets de la commune etdu CCAS ne peuvent pas absorber toutes lescarences départementales.

Michèle Etcheberry, adjointe au mairedéléguée aux Affaires sanitaires et sociales,

et au Handicap

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Dalkia

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La photo du mois

09Un nouveau cycle. Le Conseil communal desjeunes a tenu séance à l’Hôtel de ville.

Pour la majorité des trente-deux nouveauxédiles, c’est une première.

60 jours à Colombes

10Les événements des mois de décembre etjanvier, de la Corrida pédestre auconcert hommage célébrant les 100 ansde Django Reinhardt.

Actualités

12Le bruit à la loupe. Avec la cartographie dubruit, Colombes se donne les moyensd’identifier efficacement les sources denuisances sonores.

13Sauvons le « vieux clocher ». Un diag-nostic est en cours avant que ne soientprogrammés des travaux de rénovation.

14Contrat local de sécurité. Les premièresactions seront lancées avant l’été.

13Une SEGPA à Jeanne d’Arc : l’institution aouvert une Section d’enseignementgénéral et professionnel adapté, la pre-mière privée du département.

15Enfin un toit pour les Restos : endécembre, les bénévoles de l’associa-tion ont enfin pu s’installer dans leursnouveaux locaux du 133 rue GabrielPéri.

17Toujours plus de supporters pour le Racing.En cette période faste pour les «ciel etblanc», les clubs de supporters se multi-plient dans les travées d’Yves-du-Manoir.

Travaux

20Parcours fléché des chantiers et travauxactuellement menés sur la commune : gare

SNCF, T2, groupe scolaire Charles Péguy,voirie, éclairage public.

Sortir à Colombes

32L’agenda culturel et de loisirs de la villede Colombes.

Portrait

35Léa Messenie, bienvenue à la maison.Depuis deux ans, une retraitée colom-

bienne expérimente la cohabitation intergé-nérationnelle.

En direct du passé

371910, Colombes inondée. Il y a un siècle,Colombes connaissait une des plus

importantes crues de la Seine.

Carnet

38L’état civil et le top des prénoms.

Infos pratiques

39Numéros utiles. Contactez vos élus, ren-seignez-vous sur les services de la ville.Bilans participatifs : la

démocratie en action

22Faire le bilan de l’actionmunicipale après 18 moisd’exercice, être à l’écoute

des demandes et idées desColombiens: c’est le sens de lacampagne participative lancée à l’au-tomne dernier par le maire et les élus.

Logement social versplus de transparence

18En 2010, avec la mise enplace de nouveaux critèresd’attribution de logements

sociaux et la redéfinition des condi-tions d’accueil des demandeurs, laville mise sur plus de transparenceet d’équité.

sommaire

L’éco-journal de ColombesImpression sur papier recyclé.

Hôtel de Ville: 0147608000Direction de la communication: 0147608006Directeur de la publication : Philippe SarreDirecteur de la rédaction : Claude PiriouRédacteur en chef : Antoine ChaplaisJournalistes : Nicolas Lemâle, Christelle Prompt (stagiaire)Responsable du service photos : Laurent KaczorMise en page : Morgan NoguellouOnt collaboré à ce numéro : Myriam Midy, Fabrice Guillet,Sébastien Chambert, Raphaël Rimoux, Françoise Mel, LjubisaDanilovic, Nathalie Euvrie et la direction du Patrimoine.Régie publicitaire : CMP Espace multi-services 0164622600Impression : Desbouis-Gresil, partenaire certifié Imprim’VertPapier recyclé, traité sans chlore en provenance d’usinecertifiée qui respecte les normes environnementales.Tirage : 40000 exemplaires – Dépôt légal à parution

Vous pouvez retrouver le magazine entéléchargement sur le site Internet de la villewww.colombes.fr

en cassette audio, association«Donne-moi tes yeux » : 0147054030

En cas de non-distribution du journal,veuillez contacter Christophe au 0147608068

Zoom

Bilan

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Rénovation urbaineles travaux avancent

24Aller vers une vraie mixitésociale, accorder unevéritable place au

développement durable, redonnerune identité au quartier : tels sontles objectifs du projet Île-Marante.

Dossier

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Fordbioco

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La sécurité en débat. Lasécurité était au programme de ladernière réunion publique duconseil de quartier de l’Agent-Sarre. Sujet sensible que le maire,Philippe Sarre, a abordé sanstabou à l’école Victor Hugo devantune salle comble qui comptait prèsd’une centaine de riverains. Tousont pu échanger avec les repré-sentants des polices nationale etmunicipale et les membres duconseil de quartier, sur des problé-matiques aussi diverses que lasécurité des biens et des per-sonnes, les risques routiers, le sta-tionnement ou encore l’éclairagedes rues.

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Place aux lauréats. Comme chaqueannée, le Conservatoire de musique et dedanse de Colombes organise dans ses mursune soirée de remise de prix pour ses étu-diants lauréats. En 2009, 36 étudiants enmusique ont ainsi terminé un cycle (chacund’entre eux dure environ 4 ans), et obtenuun diplôme au cours de la soirée présidéepar Philippe Sarre et de son adjoint à la Cul-ture Dominique Frager.

décembre

Podium! Pour sa 2e édition, la Corrida Pédestre organiséepar la ville a attiré encore plus de participants. Plus de 1000coureurs, pour 665 personnes classées au final, se sont ainsidonné rendez-vous à l’Hôtel de ville, pour s’élancer sur les troisparcours proposés cette année (10 km, 3,3 km et 950 m pour lesenfants). Dans ces trois catégories, ce sont respectivementSadik Bahla, Laurent Ismael, et Yassine Abdelmoumen qui ontremporté la première place.

Dans tous ses étals. Ruede la Liberté, le traditionnel salon«du vin et de la gastronomie» de

Colombes n’a pas désempli.Durant deux jours entièrement

dédiés aux plaisirs de la table, latrentaine d’exposants, conviée

par le service Commerces et mar-chés de la ville et l’association

Vins et gastronomie de France, apu faire découvrir au grand publicde véritables merveilles gastrono-miques. Un régal pour les yeux et

les papilles!

Îlot de campagne. Au son du BigBand du Conservatoire, le maire et les

élus ont inauguré les 31 chalets du mar-ché de Noël, proposant spécialités culi-naires et objets d’art… Autre temps fortde l’événement, la Ferme des animaux aconnu un vif succès. Dans les quartiers,les structures gonflables installées aux

quatre coins de la ville n’ont quant à ellespas désempli malgré le froid et la neige.

L’agenda du Père Noël. Le temps de troisreprésentations, les animateurs des accueils de loi-sirs ont tenté de répondre à l’éternelle question :

« Pourquoi le Père Noël ne passe t-il que le jour deNoël ? ». S’il n’a pas forcément apporté de réponse

véritable aux enfants, ce spectacle, présenté à l’Hôtel de ville, a conquis l’assistance.

Noël solidaire. Le CCAS de Colombes a, cette annéeencore, réitéré l’opération «Noël pour tous ». Ce sont plusde 1 900 enfants qui ont été conviés à l’Avant-Seine, pour

assister au spectacle « l’Île aux menteurs ». L’occasionpour eux de recevoir un cadeau des mains du Père Noël…

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Will’Slam. Mettre des baskets à Shakes-peare, il fallait oser ! C’est pourtant à cettescène improbable qu’ont assistée les Colom-biens venus découvrir à l’Avant-Seine la piècede Razerka Ben Sadia-Lavant : Timon d’Athènes,Shakespeare and Slam. Ce spectacle a séduitpar sa fraîcheur et la fougue vocale de ses inter-prètes réunissant sur les planches du théâtre deColombes, rappeurs, slameurs comédiens etmusiciens.

La solidarité célébrée. Commepour récompenser l’engagement de sesbénévoles et de ses partenaires, l’asso-ciation Europe Île-Marante (EIM), quiaide les jeunes du quartier à réussir leurinsertion professionnelle via des activi-tés éducatives et culturelles, a organiséau début des vacances sa traditionnellefête de la solidarité. Une soirée qui s’estdéroulée sous la forme, conviviale, d’undîner-spectacle dansant.

Ode à Django ! Le jazz manouche ainvesti l’Avant-Seine en janvier à l’occasiondes 100 ans de la naissance du maître dugenre, Django Reinhardt. Et quel hommage !Sur scène, le trio Rosenberg, le nouveau triogitan et Ninine Garcia ont offert au public unconcert inoubliable à la mesure de l’immensetalent de ce guitariste virtuose et improvisa-teur de génie. Comble et séduite par l’enthou-siasme et la qualité des prestations des jazz-men, l’Avant-Seine c’est sûr, en ce moisanniversaire, n’a pas boudé son plaisir. Quandle jazz est, quand le jazz est là…

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19 20 21 … 6 7 8 9 10 … 14 … 18 19 20 21

Visite surprise. En janvier, PhilippeSarre, maire de Colombes, et MichèleEtchéberry, élue en charge des Affairessanitaires et sociales, ont présenté leursvœux aux résidents du foyer YvonneFeuillard. Autour de la traditionnellegalette, ils ont échangé avec les pensionnaires de l’établissement notamment sur les projets de réfectionde la résidence.

janvier

Banquets. Cette année encore, lesretraités étaient au rendez-vous ! Plusde 2 200 d’entre eux ont ainsi eu la joiede partager, à l’Avant-Seine, les 9, 10,16 et 17 janvier derniers, l’un des qua-tre banquets festifs qu’avait organiséla ville en leur honneur, histoire de

fêter dans la bonne humeur et la convi-vialité la nouvelle année !

Marchés couronnés. Les mar-chés Marceau et du centre-ville ontfêté en janvier l’épiphanie. À cette

occasion, une dégustation gratuite degalettes a été organisée par les com-merçants et des bons d’achats ont été

offerts au public par tirage au sort.

Prise d’Elan. La venue surla scène de la MJC du groupeanglais Skaville UK devait êtrel’événement. Mais un retardrecord de l’Eurostar en auradécidé autrement. Ce sontdeux des finalistes du concoursde l’Elan Musical, Sly meetsKubix et Wolfgang, prévus enpremière partie, qui assurèrentfinalement le show.

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C’est l’un des inconvénients majeurs lorsque l’onvit en milieu urbain : le bruit, dû à la circulation,aux travaux voire aux avions passant au-dessus

de nos têtes. Mais pour toutes ces sources de nui-sances sonores plus ou moins acceptées, il y a un seuilau-delà duquel l’environnement devient invivable. Lesurvol de la commune est un problème sur lequel lamunicipalité ne peut directement agir, sinon via l’uti-lisation du logiciel Vitrail, qui sera bientôt activé. Maispour ce qui est du territoire, il existe désormais unecartographie du bruit à Colombes, qui sera dès cemois-ci disponible sur Internet et en mairie et per-

mettra à chacun de connaître le degré d’ex-position de sa rue au bruit moyen ambiant.

Acouphen Environnement, mandaté pourréaliser cette étude, a mené en octobre der-nier une série de mesures acoustiques surColombes et huit communes limitrophes,principalement auprès des sources de bruitroutier, ferroviaire, et industriel. Le résultat,qui met principalement en avant les nui-sances liées à l’A86 et aux voies ferrées(particulièrement au nord de la ville, où lesdeux axes se croisent), révèle entre autresque 31% des habitants de la commune sontsoumis à un niveau sonore considérécomme important (niveau sonore supérieurà 65 décibels).

Des « zone calmes » à préserverLa cartographie sert donc d’outil à la municipalité,pour lutter contre le bruit, et préserver des « zonescalmes ». Ainsi la mise en route de son PPBE (Plande prévention du bruit dans l’environnement), véri-table plan d’actions donnera la possibilité à la villede prendre des mesures concrètes pour réduire lebruit. Un chantier de longue haleine, mais néces-saire pour garantir aux Colombiens une meilleurequalité de vie au quotidien. p

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Avec la publication de la cartographie du bruit, la ville se donne les moyens d’identifier efficacement les sources de nuisances sonores.ENVIRONNEMENT

inter

view «La cartographie est

une première étape »

Pourquoi la commune a-t-elle commandé unecartographie du bruit ?Le but de cette cartographie réglementaire estd’avoir un état des lieux des nuisancessonores à Colombes. C’est une source d’infor-mations utile, mais aussi une première étapesignificative avant la réalisation de notre Plande Prévention du bruit dans l’environnement(PPBE), qui va impliquer tous les acteurs duterritoire colombien, sur des sujets comme lacirculation ou les implantations d’entreprises.La mise en place de ce plan était conditionnéeà la réalisation de la cartographie.

Celle-ci parle peu des nuisances aériennes…N’étant pas située dans le PEB (Périmètre d’ex-position au bruit), la ville ne dispose pas de cap-teurs sonores pour faire des mesures précises.Nous sommes pourtant très impactés par l’aé-roport du Bourget, qui donne régulièrement desdérogations d’atterrissage pour des appareils nerespectant pas les normes environnementales.La ville va toutefois s’équiper prochainement dulogiciel Vitrail, qui permettra de s’informer surchaque appareil survolant la commune.

CatherineBernard, adjointeau maire déléguéeà l’Environnementet à la Maîtrisedes énergies.

Cartographie du bruit cumulé(routier, ferroviaire et industriel).

Le Saviez-Vous ?L’échelle du bruit part de 0 décibel (seuild’audibilité) à 120 décibels (seuil de ladouleur), en sachant que les premières gênesréelles pour l’audition apparaissent à 85 dB.Les sons de la vie courante sont généralementcompris entre 20 et 70 décibels. À Colombes, à titre d’exemple, le bruit moyen à la CouléeVerte et au Centre Nature atteint les 55 dB.

Sources : Ademe.

85 dB : seuil de risque70 dB : automobile, grands boulevards

65 dB : salle de classe

60 dB : centre-ville

50 dB : secteur résidentiel

< 50 dB : cour intérieure ou campagne

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Le devoir demémoire d’Oriana

À la mairie de Paris, le 16 janvier dernier, Oriana ImasMiguel Kacimi, ancienne élève du lycée Guy deMaupassant, a reçu des mains de Maurice Gambert,président de la Fédération Nationale André Maginot(FNAM) le prix de la mémoire et du civisme. Aujourd’hui étudiante à la faculté de Saint-Denis, lajeune colombienne s’est distinguée parmi 15 000 élèves. Cette récompense salue son travail demémoire réalisé suite à un voyage scolaire à Auschwitzorganisé l’an dernier par l’établissement colombien.

EEn octobre 2009, des pierres de l’ancien transept* dela vieille église sont tombées. La pollution, le gel et lesvibrations dûes aux automobiles l’ont fragilisé. Des

pierres du haut de l’arche principale, située rue du Bournard,se sont détachées entraînant un risque pour la sécurité desusagers. Des fissures ont également été constatées. Pouréviter l’affaissement de l’édifice, une armature a été installéepar les «Charpentiers de Paris», contribuant à rééquilibrer les

forces de poussée et à stabi-liser les piliers.Un cabinet d’architectes dupatrimoine, mandaté par lamunicipalité, effectueactuellement un diagnosticde l’état du clocher. À l’issue de ce constattechnique, la ville soumettraun projet de réhabilitation au minis-tère de la Culture et à l’Inspectiondes monuments historiques. Unchantier qui, en raison de ces étapesobligatoires, ne se conçoit que sur lelong terme.

S’informer sur le chantierD’ici là, la commune prévoit dans les prochaines semaines, lamise en place d’un habillage détaillant, sous la forme d’unefresque graphique, l’histoire du monument et les futures réa-lisations techniques qui seront engagées par la ville. p

* Transept: nef transversale coupant à angle droit la nefprincipale d’une église, lui donnant ainsi la forme d’une croix.

La Cigale prend son envolEl Grillo est né en décembre dernier.Ce Club d’investisseurs pour unegestion alternative et locale del’épargne solidaire (Cigales) soutientla création et le développement depetites entreprises locales dont lesprojets sont respectueux, de la place de l’Homme dans sonenvironnement.El Grillo est constitué de 17 membres qui mettent en communune partie de leur épargne. Aprèsétude des dossiers des porteurs deprojets, les cigaliers investissentdans le capital des entreprisessélectionnées et les accompagnentpour une durée limitée dans letemps selon leurs statuts.Contact pour les porteurs deprojets : [email protected] d’infos sur :http://www.cigales-idf.org

SandwicherieInstallée depuis janvier sur lamezzanine de la place Henri Neveu,la sandwicherie « Espace Tropikal »,jusque-là exclusivement itinérante,propose un large choix de sandwichsaux saveurs exotiques, comme le« poulet boucané ». Tous les midis,son propriétaire, Pascal Brosseau,suggère à ses clients un plat du jourinspiré des Antilles françaises.Espace Tropikal, 15 place HenriNeveu, 0650372246

Restaurant

Repris depuis le début de l’année parMounir Achach, l’ancien restaurant« Chez Zaky », à proximité de la garede Colombes, propose désormais unecuisine « Cosmopolite », à l’image deson nom. Au menu : spécialités fran-çaises, italiennes et tunisiennes.Formule le midi.Le Cosmopolite, 14bis avenue del’Agent-Sarre, 01 56054538

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vieux clocher

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PATRIMOINE

Le futur chantier devrait concerner à la fois la consolidationdu sous-sol ainsi que celle des pierres de l’édifice.

Du 27 au 29 novembre, une délégation d’élusemmenée par le maire, Philippe Sarre, a répondu àl’invitation de Serge Frydman, responsable de l’an-

tenne départementale de l’AFMA (Association fondsmémoire d’Auschwitz), en se rendant en Pologne, pourune visite des camps nazis d’Auschwitz et Birkenau maisaussi du ghetto de Cracovie et l’usine Schindler qui ins-pira le film aux 7 oscars de Spielberg. Ce faisant, le pre-mier élu et ses adjoints ont suivi les traces des centainesde collégiens et lycéens colombiens ayant participé àl’un des 53 voyages organisés par Serge Frydman et sonépouse. Plus qu’un voyage, un devoir de mémoire pour ladélégation qui a également rencontré ses homologues àla mairie d’Oswiecim (Auschwitz en Allemand) puis cellede Cracovie.p

à AuschwitzMÉMOIRE

La délégation d’élus colombiens à l’entrée du camp d’Auschwitz.

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Au programme de la balade: l’avenird’Yves-du-Manoir et l’arrivée du T1.

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sContrat local de sécurité: premières

actions lancées avant l’étéRelancé en avril 2009 par une première réunion à l’Hôtel de ville,

le Conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance (CLSPD) est entré dans une nouvelle phase le 8 décembre dernier.VILLE

La réunion plénière du 8 décembre a rassemblé une nouvelle fois les repré-sentants des institutions, organismes privés et publics, et associationsconcernés par les questions de sécurité et de prévention. L’objectif est dés-

ormais affiché : un nouveau Contrat local de sécurité (CLS) sera lancé à la fin duprintemps, avec un éventail d’actions que la ville et ses partenaires applique-ront en étroite coordination.

Cinq thématiques fortesCinq groupes de travail planchent déjà sur les thématiques qui se sont dégagéesdes premières concertations entre les différentes institutions : amélioration del’accès au droit, actions contre l’occupation abusive des halls d’immeuble, aideet soutien à la parentalité, lutte contre les violences faites aux femmes, pré-vention de la déscolarisation. C’est à partir de ce travail commun que serontrédigées les vingt à trente fiches actions qui composeront le CLS : des engage-ments forts qui seront portés conjointement par la mairie, le conseil général, lapréfecture, le procureur de la République et les partenaires associatifs.p

Fruit du travail de concertation entre les acteurs du CLSPD, le Contrat local de sécurité sera lancé avant l’été 2010.

ColombesautrementUrbanisme

Àl’occasion d’une balade urbaine,premier rendez-vous de la concer-tation du Plan Local d’Urbanisme

(PLU), habitants, représentants desconseils de quartier, élus ettechniciens ont bravé le froid, destina-tion le Nord de Colombes. L’originalitéde la démarche était de permettre auxColombiens de prendre connaissancein situ des projets qui transformerontleur ville d’ici à 15 ans. En pointd’orgue de ce premier rendez-vous :l’avenir du stade Yves-du-Manoir, l’ar-rivée du tramway T1 et le réaménage-ment du parc Lagravère. Prochainrendez-vous pour une nouvelledestination, le 13 février. p

http://plu.colombes.fr

SegpaÉDUCATION

Permanences de la Halde

La Haute Autorité de Lutte contre lesDiscriminations (Halde) met en place dès ce mois-ci, deux permanences d’une demi-journée chacune,chaque mois. La première à la Maison du droit et laseconde au CSC des Fossés-Jean.

Informations et rendez-vous à la Maison dudroit : 18-20 place Henri Neveu 0147604133.CSC des Fossés-Jean : 11 rue Jules-Michelet0142428676.

L’institution Jeanne d’Arc a ouvert en sep-tembre dernier une Section d’Enseigne-ment Général et Professionnel Adapté

(Segpa), la première privée du département.Cette filière semi-professionnelle propose dèsla 6e, un programme adapté aux élèves engrande difficulté et offre, à partir de la 4e, uneprofessionnalisation dans des domaines préciscomme l’hygiène, l’alimentation, l’aménage-ment des espaces verts et l’horticulture. Lesélèves préparent ainsi le certificat de formationgénérale (CFG), l’équivalent du brevet des collèges.

«Redonner le goût d’apprendre»« Nous souhaitons redonner le goût d’ap-prendre à ces collégiens, souvent mis decôté. Notre objectif est de les mettre ensituation de réussite, pour qu’ils puissentpréparer leur avenir », explique SébastienPerrotel, directeur de cette Segpa. Jeanned’Arc accueille cette année six élèves de 6e,sur les dix places disponibles. À chaque ren-trée, un niveau supplémentaire va être créé,jusqu’à la 3e en 2012. Pour accueillir ces nou-veaux élèves, des locaux financés par le Conseilgénéral ont été inaugurés le 21 novembre der-nier par Philippe Sarre, maire de Colombes. p

Institution Jeanne d’Arc, 9 boulevard Valmy0155669100 - www.segpa.jacolombes.com

Les nouveaux locaux de la Segpa accueillerontà terme 40 élèves de la 6e à la 3e.

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Mobilisationpour HaïtiPour faciliter la campagne desolidarité en faveurs des sinistrésdu séisme à Haïti, la ville a misen place une urne destinée àrecueillir les dons desColombiens. Vous pouvez dès àprésent vous adresser à l’accueilde l’Hôtel de ville pour déposervos dons. Ces derniers se fontuniquement par chèques, libellésà l’ordre de la Croix-RougeSéisme Haïti. L’ONG a besoin defonds, particulièrement pouracheter des kits d’abri et mettreen place un hôpital de campagne.

Hôtel de ville, 0147608000.

Opération réussie pour le Téléthon2009. Réunies, pour la secondeannée consécutive au sein d’un

collectif, les associations colom-biennes et leurs partenaires ont collecté cette année près de11 500 euros. « C’est presque deuxfois plus que l’an dernier (7 500 eurosen 2008) », souligne Elizabeth Choquet, conseillère municipale et

membre du collectif. Et d’ajouter :«On peut souhaiter que cette mobili-sation permette enfin au Téléthon debénéficier d’une vraie reconnais-sance dans notre ville et participe àce que le regard sur le handicapchange…».

Des enchères en point d’orguePendant 30 heures non-stop, le publica ainsi été invité les 4 et 5 décembrederniers à s’initier à des activitéssportives, des ateliers créatifs maisaussi à assister à un défilé et à des concerts. Point d’orgue de l’événement, la vente aux enchèresthéâtralisée d’objets recyclés, issusde l’exposition « la Récup’ des tour-nées », a conclu de fort belle manièrece week-end festif et solidaire. p

Téléthon: 11500€ récoltés

Inaugurés par Philippe Sarre aux côtés de Jean-Louis Macé, responsable du centre deColombes, les Restos du Cœur ont ouvert leurs portes en décembre rue Gabriel-Péri.

Bonne nouvelle ! L’appel des Restos du Coeurcolombiens a été enfin entendu. Depuis septembre, àl’orée de la nouvelle campagne de l’association, les

bénévoles ont enfin pu s’installer dans leurs nouveauxlocaux au 133 rue Gabriel-Péri.Ce bâtiment de 300 m2 mis à la disposition par la ville etréaménagé durant l’été a été inauguré par Philippe Sarre,le 10 décembre dernier, en présence des responsables etde nombreux bénévoles de l’association. En effet, dès sonarrivée, la municipalité s’était fixée comme objectif detrouver une nouvelle adresse pour l’association fondée parColuche qui comme le souligne l’un de ses responsableslocaux : «Survivait rue des Renouillers, dans des locauxinsalubres et indignes de recevoir du public ».

170 000euros de subventionsLa ville, qui rappelons-le verse une subvention annuellede 170000 euros, ne pouvait rester sans agir. Unesolution fut donc trouvée au printemps dernier.Ainsi depuis décembre, une vingtaine de bénévolestravaille pour délivrer plus de 30 tonnes de nourriture parsemaine et permettre ainsi à 560 familles de s’alimenterquotidiennement. Des chiffres de fréquentation encroissance de 20% cette année qui nous rappellemalheureusement qu’en situation de précarité, ils serontencore nombreux cet hiver à faire appel aux Restos. p

Les Restos du Cœur, 133 rue Gabriel Péri, Accès : bus 378,167 et 367.

CactifTV sur la toileFin décembre 2009, le Comitéd’animation tropicale Ile-de-France(Cactif) a lancé sa télé sur le Net. LaWeb TV, mobilisant une vingtaine dejeunes du quartier des Grèves, met enlumière les évènements culturels,sportifs et de loisirs qui font l’actualitéde la commune. Rendez-vous sur:www.cactiftv.com

Appel au bénévolatVous avez des compétences en infor-matique et souhaitez les fairepartager ? Devenez formateurbénévole au sein du clubinformatique pénitentiaire à lamaison d’arrêt de Nanterre. Offrez unpeu de votre temps à des personnesincarcérées pour les initier aux outilsbureautiques. Disponibilitésouhaitée : deux demi-journées parsemaine (hors week-end).Plus d’infos - [email protected] www.assoclip.org.

Centre natureL’association du Centre nature propose:- Une séance d’œnologie avec unspécialiste, sur les principaux cépagesblancs, vendredi 12 février, entre 10het 12h,- un «parcours-découverte nature et his-toire», samedi 13 février, de 10h à 12h,- une conférence «Le Café et sa dégus-tation», dimanche 14 février, à 15h,- une conférence «Queyras : le pays oùles coqs picorent les étoiles»,dimanche 21 février, à 15h.Centre nature, 16 rue de SolférinoInfos sur http://centrenature.fr

Champions de futsalL’association Colombienne des« Petits pains futsal club » aremporté l’édition 2009 du tournoiAccess Club de football en salle. Lacompétition qui se déroulait endécembre dernier à Villeneuve-la-Garenne réunissait 16 équipes dontles très redoutés joueurs du Red Staret de Parmain, équipe évoluantactuellement en division d’honneur(DH).

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en d

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des

ass

osEnfin un toit pour les RestosASSOCIATION

La mairie a vécu au rythme desenchères du commissaire-priseur.

SOLIDARITÉ

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Mairie de proximité

ARAGON20 place Louis Aragon

01 41 19 49 80

Marie de proximité

EUROPE34 avenue de l’Europe

01 41 19 43 70

Mairie de proximité

FOSSÉS-JEANSTADE

107 avenue de Stalingrad01 41 19 48 70

Mairie de proximité

WIENER19 rue Jean Wiener

01 41 19 49 60

Démarches administratives ?Pensez aux mairies de proximité !

> Enfance> Affaires générales> Logement> Etc.

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Les rendez-vous de l’athlé

La Fédération Française d’Athlétisme organise au Palais Omnisports deParis Bercy les 27 et 28 février ses Championnats de France d’athlé-tisme en salle. Les Colombiens, Julien Vrielynck au lancé du poids et

Gary Lemony au saut en hauteur, tous deux licenciés au Racing Club deFrance, seront au rendez-vous. Ils tenteront à cette occasion d’obtenir leurqualification pour les Mondiaux 2010 à Doha. p

Séjours printemps: inscriptions

Cette année, àl’occasion desvacances de Pâques,

la ville propose deuxséjours aux enfants etadolescents colombiens.Au programme du 19 au28 avril : Sainte-Marie-sur-Mer pour les 7-12 anset l’Ile de Groix pour les11-15 ans. Inscriptions enmairie au Service accueil,du 8 au 20 février.p

Renseignements au01476083 18 - 01 47608340.

Des travées remplies de fans auxcouleurs de leur équipe, uneambiance brûlante assurée pen-

dant 80 minutes : parvenir à cettecommunion entre joueurs et suppor-ters, c’est l’ambition affichée par leRacing-Métro 92. Logique pour unclub qui, depuis son arrivée dans leTop 14, n’en finit plus de surprendre,et qui accueille en moyenne à chaque

rencontre à Yves-du-Manoir 9 000spectateurs. « Il y a trois ans, on étaità peine 300 spectateurs dans les tri-bunes. Aujourd’hui nous avons aumoins un millier de supporters, habil-lés comme les joueurs et suivant leuréquipe partout en France », noteJacky Abraham, supporter de longuedate devenu responsable de ce sec-teur au sein du club. Certains accros

au ballon ovale ont mêmefait 1 000 kilomètres cetteannée pour aller soutenirl’équipe de Pierre Berbizier àPerpignan.

Sept clubs pour soutenirl’équipeCet engouement populaire, s’il n’estque naissant, explique la multiplica-tion des clubs officiels : on en dénom-bre sept aujourd’hui, dont l’historique« Les anciens du Manoir », ainsi que«Génération Yves-du-Manoir », « Lespoulbots du Métro », « LégendeR a c i n g »… D e s c l u b s n é s àColombes, mais aussi dans les villeslimitrophes. Il n’est désormais pasrare de voir ces derniers sur la placedu marché, pour distribuer les tractsannonçant les prochains matches…et ainsi attirer, pourquoi pas, defuturs porteurs de drapeaux ciel etblanc ! p

L’act

u en

bre

f Recensement 2010L’Insee réalise, à l’occasion durecensement 2010, une enquêtepilote sur la famille et leslogements. Celle-ci a pour objectifd’étudier les familles d’aujourd’hui,leurs différents lieux de résidence,et l’évolution de leurs situations.Les questionnaires vont êtredistribués et collectés par l’agentrecenseur, selon la mêmeprocédure et en même temps queles bulletins de recensement.L’Insee et la mairie vous remercientpar avance de votre participation.

La patinoire changed’horaires

En 2010, la patinoire change leshoraires de ses séances publiques.Elle vous accueille :- Hors vacances scolaires : mer-credi de 14h à 17h, vendredi de 21hà 23h30, samedi de 14h30 à 16h45et de 21h à 23h30, et enfin ledimanche de 10h30 à 12h30 et de14h30 à 16h45.- Pendant les vacances : dulundi au jeudi de 14h à 17h,vendredi et samedi de 14h à 17h etde 21h à 23h45, et le dimanche de10h à 12h et de 14h à 17h.Patinoire – Parc Pierre Lagravère0147819009 ou 014760 1573.

Un accueil amélioré à la CPAMAccessibilité améliorée pour leshandicapés, nouveaux guichetsautomatiques, bureaux assurant laconfidentialité des entretiens, lecentre de la CPAM, situé au 87-89rue Saint-Denis accueille le publiclibrement du lundi au vendredi, de8h30 à 17h30. Celui situé rue deChatou reçoit uniquement surrendez-vous, pour des entretienspersonnalisés, en appelant le 3646 (prix d’un appel local).

Toujours plus de supporters pour le Racing

Tandis que le Racing Metro 92 collectionne les bons résultats et peut rêver d’une place

sur le podium du Top 14, les clubs de supporters des « Ciel et blanc » se multiplient.

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À l’occasion des rencontres du Racing, Yves-du-Manoir accueille,en moyenne, 9000 spectateurs dont un millier de supporters.

sport

SPORT

JEUNESSE

2 tonnes de sapinscollectéesLes mardi 5 et mercredi 6 janvier,le service propreté de la ville aorganisé une collecte dédiée auxsapins de noël naturels des parti-culiers. La campagne a étéproductive puisqu’à cetteoccasion, 2,4 tonnes de résineuxont été ramassées, représentantenvirons 7 000 ménagesparticipants. Les sapins ainsirécupérés ont été acheminés surune plate-forme spécifique où,mélangés à d’autres végétaux, ilsseront transformés en compost.

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Avec une pénurie constante de l’offre et une demande de logements qui n’a decesse d’augmenter (près de 3 000 dossiers sont actuellement en cours d’ins-truction à Colombes), il était urgent d’engager une véritable politique du loge-

ment social.

D’ici à 2014, la municipalité s’est ainsi fixée pour objectif de relancer de manièresignificative la construction de logements conventionnés sur son territoire. Un enga-gement fort qui s’accompagne également de mesures fédératrices, comme le ren-foncement de la concertation avec les habitants notamment dans le cadre des pro-jets de requalification urbaine, la lutte contre l’habitat indigne, ou encore l’obligationpour les constructeurs et promoteurs de produire un habitat éco-responsable.

Les démarches à effectuerLors d’une première demande de logement social à Colombes, il faut vous présenter auservice du logement ou en mairie de proximité. À cette occasion, il vous sera remis unformulaire de demande ainsi que la liste des pièces à fournir en fonction de votre situa-tion. Un rendez-vous sera alors fixé pour le dépôt du dossier. À noter que si vous habitezdéjà dans le parc de Colombes Habitat Public et que vous souhaitez changer de loge-ment, votre demande doit être préalablement adressée à votre bailleur.

Lundi, mardi, jeudi et vendredi de 8h30 à 12h30 - Mercredi de 14h à 17h30

24 rue de Maréchal-Joffre - 0147608140.

Les nouveaux critères d’attribution ont notamment pour objectif de favoriser la mobilité au sein du parc social.

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Logement social : des critèresd’attribution plus transparents

En 2010, avec la mise en place de nouveaux critères d’attribution de logements sociaux et la redéfinition des conditions d’accueil des demandeurs,

la ville mise sur plus de transparence et d’équité.

En d

étail

s Les nouvelles règlesd’attribution des logements sociauxAu 1er janvier 2010, de nouvelles règles relatives auxmodalités d’attribution des logements sociaux entrenten vigueur. Ainsi tous les dossiers disposeront d’unecotation au titre de l’ancienneté, qui reste un critèreprioritaire, et de la situation des demandeurs au regardcette fois des orientations fixées. Un barème de pointsallant de 5 à 50 par ordre de priorité sera donc attribué :

Pour les demandeursuaux ménages dont l’un des membres est handicapéet dont le logement nécessite une adaptation(mobilité réduite, sourds et muets, enfantslourdement handicapés…)

uaux demandeurs âgés de moins de 30 ans lors dudépôt du dossier. Il s’agit là de prendre en compte lesjeunes souhaitant par exemple «décohabiter » dechez leur parents y compris ceux résidant dans leparc privé,

uaux locataires du parc privé dont le montant du loyerest supérieur à 40% de leur revenu,

uaux ménages monoparentaux,uaux salariés résidant dans le parc privé et acceptantune proposition en ZUS avec l’idée d’encourager unemixité sociale dans les quartiers prioritaires,

uaux employés communaux, les salariés du CCAS etde Colombes Habitat Public, au titre de l’employeur,

uaux salariés d’entreprises colombiennes n’habitantpas Colombes ni dans son environnement proche.

Afin de favoriser la mobilité au sein du parc :uaux locataires du parc social manifestant le souhaitd’un logement plus petit,

uaux locataires HLM ayant besoin d’un logement plusgrand, afin de permettre l’accompagnement duparcours résidentiel au sein du patrimoine social etgérer la « suroccupation» constatée dans leslogements. L’âge des enfants sera également pris encompte afin de restreindre cette priorité auxménages ayant des enfants mineurs.

À noter également que des points seront soustraitslorsqu’un refus sera qualifié d’injustifié par lacommission d’attribution.

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Le processus d’attribution des logementsContrairement à certaines idées reçues, il faut savoir que l’attribution de logements se fait de manièrecollégiale et dans le respect de certaines règles. Au sein des commissions d’attribution, siègent lesadministrateurs des bailleurs sociaux, un mandataire de la CAF, un représentant des associationslocales qui œuvrent pour le logement social, un représentant des locataires et dans le cas de ColombesHabitat Public, d’élus de la ville.

Les financeurs du logement social (État, ville de Colombes, entreprises qui cotisent au 1% logement,département, région et Caf) ont chacun un contingent de logements « réservés » et proposent aumoins trois candidats pour un logement. L’attribution est donc très cadrée et le respect des règlesrépond au Code de la construction et de l’habitation.

En chiffres110002800

c’est le nombre d’entretiens comptabilisés par le service logement en 2008.

c’est le nombre de courriers de demandeurs traités par an par la ville, soit unemoyenne de 233 par mois.

inter

view

Véronique Monge,adjointe au maire encharge de l’Habitat etdu Logement

«Ne pas laisser se développer un

sentiment d’injustice»

Pourquoi est-il nécessaire de mettre en place descritères d’attribution des logements sociaux àColombes ?La France traverse une grave crise du logement.Colombes, malgré un parc social important (33%soit environ 10 000 logements) n’est pas épar-gnée par cette crise. Un contexte qui rend doncplus que jamais nécessaire la définition de nou-veaux critères d’attribution. En effet, dans cecontexte de pénurie, tous les besoins ne peuventêtre pris en compte. Les attributions de loge-ments sociaux en deviennent alors vite sus-pectes. Les demandeurs de logements pensentqu’il y a des passe-droits, de la discrimination…Nous ne pouvions laisser se développer ce sen-timent d’injustice.

À travers la mise en place de ces nouvellesrègles, quel est l’objectif poursuivi par la muni-cipalité ?De la transparence, une plus grande équité etune forme de vérité que nous devons à nosconcitoyens. Il y a aujourd’hui un fossé certainentre l’offre et la demande. Près de 3 000ménages colombiens sont en attente d’un loge-ment social contre seulement, et ce malgré tousnos efforts, à peine 300 attributions par an. Laréalité est là et il est important qu’elle soitconnue de tous. Désormais, les dossiers seronttraités au regard des priorités fixées par la muni-cipalité et en tenant compte de l’ancienneté.Comme nous nous étions engagés, nous prenonsnos responsabilités au niveau local. Mais celane suffira pas et il est impératif de poursuivreune action collective en faveur du logementsocial pour que l’État mette en place une poli-tique du logement à la hauteur des enjeuxsociaux de notre pays.

Ces nouveaux critères vont s’accompagner égale-ment de nouvelles modalités d’accueil du public.Pourquoi ?Pour assurer un service de qualité et une meil-leure prise en charge des dossiers des deman-deurs. En effet, on recense plus de 11000 entre-tiens chaque année au service logement. Sicertains font confiance au service public et neviennent qu’une fois par an, en général à la datede renouvellement de leur dossier, d’autres enrevanche se déplacent beaucoup plus régulière-ment, 3 fois, 4 fois voire plus. Une situation quipour des raisons d’organisation et de rendementévidents ne pouvait perdurer.

Transparence et équitéL’autre priorité de la ville en lamatière est de garantir auxdemandeurs une « totale trans-parence » et « objectivité » dansl’attribution des logementssociaux. C’est pourquoi la muni-cipalité, comme elle s’y étaitengagée, a procédé l’an dernierà la refonte des critères d’attri-bution des logements. L’analysedu mal-logement à Colombes aen effet conduit la municipalité

à chercher des solutions pour répondre notamment à la sur-occupation des logements. Comment ?En favorisant par exemple les demandes de dé-cohabitations des jeunes en recherche d’un pre-mier logement ou encore en encourageant la mixité sociale et la mobilité des locataires HLM ausein du parc (voir critères ci-contre). Entrées en vigueur au 1er janvier 2010, ces nouvelles moda-lités se présentent sous la forme d’un barème de points qui permet de hiérarchiser objective-ment les priorités dans un contexte d’importante pénurie de logements.

De nouvelles conditions d’accueilLa mise en application de ces nouveaux critères s’accompagnera dès février d’une redéfinition desconditions d’accueil du public au sein du service logement. En effet, la ville a fait le constat suiteà un diagnostic de fréquentation que deux tiers des déplacements des usagers au service loge-ment ne se justifiaient pas (soit 6 000 visites sur les 11900 recensées en 2009). Plus grave, cesrencontres trop nombreuses avec l’administration, pénalisent le traitement global des dossiers etgénèrent trop souvent un climat de confusion et un sentiment d’exaspération chez le demandeur.En limitant son ouverture au public aux seules demi-journées et en privilégiant la prise de rendez-vous, la ville souhaite, dans un souci d’équité, assurer un accueil personnalisé et de qualité. Cetteévolution des conditions d’accueil permettra ainsi aux équipes du service logement de mieuxrépondre aux attentes des Colombiens, en consacrant notamment plus de temps au traitement desdossiers et aux réponses aux courriers. À noter également la mise en place pour les demandeursd’un nouveau dossier plus détaillé. L’accueil téléphonique sera quant à lui maintenu de 8h30 à12h30 et de 14h à 17h30, et les mairies de proximité continueront dans les mêmes conditions àtransmettre les dossiers qui leur seront déposés. p

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En privilégiant la prise de rendez-vous, la ville sou-haite assurer un accueil personnalisé et de qualité.

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Trav

aux

Les travaux Parcours fléché des grands projets et travaux actuellement menés sur la commune.

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Ehpad

rue Branly

rue AlcimeAlbert

rue

rue Godon

rue Paul Claudel

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Î le-MaranteLes 65 premierslogements (sur les 420prévus) vont être livrésen février. Au total, 162logements doiventcomposer la premièretranche des travaux,prévus pour durerjusqu’en 2013.

Rénovation urbaineLa ville procède actuel-lement à la démolitiond’habitations vétusteset insalubres au 6 de larue Champy.

Île-Marante

École Charles-Peguy

rue de Champy

Gare centrale SNCFEn raison de problèmes d’étan-chéité, de nouveaux travaux sontactuellement engagés par la SNCFdans le hall principal de la gare cen-trale. Pour des raisons de sécurité,la mise en service du nouvel ascen-seur a été retardée au printempsprochain. Rappelons qu’à l’automnedernier, il a été procédé aux pre-miers travaux de réaménagementde l’espace public de la gare avecl’élargissement par le Conseilgénéral du trottoir côté « accèssud ». Les aménagements desespaces extérieurs du futur pôled’échanges de la gare sont quant àeux programmés dans le courant dupremier semestre 2010.

École de la Tourd’AuvergneÀ l’école de la Tour d’Auvergne élé-mentaire, il sera procédé pendant lesvacances scolaires de printemps auremplacement des portes et des fenê-tres de l’établissement, côté cour. Cestravaux de réhabilitation se poursui-vront jusqu’à l’été.

Requalification urbaineÀ l’ouest de la ville, et avant la pro-grammation d’aménagement dansle cadre du projet de requalificationdu boulevard Charles-de-Gaulle, laville procède à la démolition d’habi-tations vétustes et insalubres au 6 de la rue Champy.

Groupe scolaire Henri MartinDes travaux de démolition, visantà l’agrandissement du terrain dejeu de l’accueil de loisirs HenriMartin, sont en cours à l’angle dela rue Henri Dunant et de l’avenueTrasbot.

Groupe scolaireCharles PéguySuite à l’incendie en juillet du RASED(Réseau d’Aides Spécialisées auxElèves en Difficulté) de l’écoleCharles Péguy, des travaux prépara-toires (déblayage, fondations…) àl’implantation d’un nouvel équipe-ment sont en cours. Programmé auprintemps prochain, un chantier deréhabilitation verra alors la créationde trois classes et d’un bureau admi-nistratif.

Aires de jeuxAu 5 de l’avenue d’Orgemont, dansla cité des Fossés-Jean sud, la villeva procéder au remplacement de laclôture entourant l’aire de jeux.

Espaces VertsSur la dalle de la ZAC du Bournardsont programmées la replantation desespaces verts ainsi que la fermeture àl’aide de portails des quatre coursivesdu site. Les espaces verts situés ausein de la résidence d’Estienned’Orves, côté rue Gabriel Péri, ferontl’objet de chantiers de plantations(gazons et arbustes…) qui s’accom-pagneront de la pose de clôtures enlisse béton.

VoiriesRue de l’Industrie, la réfection totale dela voirie entre l’avenue Henri Barbusseet de la rue de Varsovie est en cours.Rue des Champarons, des travaux d’as-sainissement sont en cours. Fin duchantier prévue en mai 2010.

Éclairage publicRues Branly, Alcime Albert, Serpente,Marcelin Berthelot (entre la rue Ken-nedy et le boulevard Gambetta), desChamparons, Godon et Paul Claudel,il sera procédé à la réfection del’éclairage public et au changementdes candélabres. Fin des travaux pro-grammée en avril 2010.

École Tour d’Auvergne

Accueil de loisirs Henri-Martin

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rue J.F. Kennedy

rue Serpente

rue MarcelinBerthelot

rue desChamparons

Cité Fossés-JeanMichelet

Résidenced’Estienne d’Orves

Légende

Aires de jeux

Travaux dans les écoles

Rénovation de bâtiments

Travaux de voiries et d’éclairage

Neige et verglasEn décembre et janvier, Colombes a connud’importantes chutes de neige. Pour faire faceaux conditions de circulation rendues difficilespar les intempéries et des températures sou-vent négatives, les services de la ville ont étéà pied d’œuvre pour saler et déblayer les ruesde la commune. Au total, 120 tonnes de sel etde sable ont été répandues par trois saleuseset dix agents du service Propreté.

Qui déneige où ? La ville est chargée de la voirie. Mais lestrottoirs doivent être traités par les rive-rains. Chacun doit donc déneiger en façadede son domicile. Pour les voies privées,leur viabilité est placée sous la responsa-bilité de leurs propriétaires.

Démolition/construction de bâtiments

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Henri MartinDes travaux dedémolition visant àl’agrandissement du ter-rain de jeu de l’accueilde loisirs Henri Martinsont en cours.

Gare SNCF

rue del’Industrie

Rue de l’IndustrieDes travaux de réfectionde la voirie sont encours.

Gare centrale SNCFEn raison de problèmesd’étanchéité du hall de lagare, la mise en servicede nouvel ascenseur aété retardée auprintemps prochain.

Visite de chantier

Le prolongement de la ligne T2 du tramwayavance à grands pas. Alors que sa mise en service est attendue pour 2012, les élus deColombes et du département ont passé enrevue le 11 décembre dernier les différentstravaux d’aménagement en cours. Le maire,Philippe Sarre, accompagné du président duConseil général des Hauts-de-Seine, PatrickDevedjian, a notamment pu découvrir la passe-relle Charlebourg, qui sera dédiée auxcirculations douces, ou l’emplacement du futursite de maintenance et de remisage.

Le point sur les travauxCarrefour rue d’Estiennes d’Orves et boulevard Charles-de-GaulleDate : jusqu’à fin févrierRestriction : les véhicules arrivant de Nanterrepar la rue d’Estiennes d’Orves ne peuvent pascirculer en direction de Bezons. Une déviationest mise en place.

Carrefour rue des Gros-GrèsDate : jusqu’à la mi-marsRestriction : le carrefour sera fermépour la seconde phase des travaux.

Entre les rues de Sartrouville et Gabriel PériDate : jusqu’à fin marsRestrictions : limitation du nombre defiles de circulation

Boulevard Charles-de-Gaulle, entre les rues Gabrie-Péri, de la Cerisaie et del’AgricultureDate : jusqu’à maiRestrictions : réduction temporaire dunombre de files de circulation.

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bilan

Nous serons à leur écoute et dans le dia-logue. C’est notre méthode ». Cet enga-gement des élus, pris lors de la cam-

pagne des municipales, a prévalu entre le17 octobre et le 19 décembre, au cours desdifférents rendez-vous que l’équipe munici-pale a fixé aux habitants. Des rencontresinformelles, en extérieur, tournant autour del’action de la ville, de ce qui a été entrepris,et de tout ce qui reste à réaliser au cours dece mandat.

Cette démarche résolument citoyenne n’estpas la première opération sur le terrain,lancée depuis 2008 (voir encadré). Mais pouratteindre son but, à savoir informer lesColombiens de l’action municipale et être àl’écoute de leurs attentes, celle-ci se devaitd’être cadrée. En conséquence, trois thèmesforts, la démocratie locale, la sécurité et lasolidarité, ont été au cœur des échangesentre élus et habitants, puis du blog dédiéhttp://parlons-en.colombes.fr.

La démocratie locale dans les faitsComme un symbole, les bilans participatifsont débuté avec la démocratie locale, pierreangulaire de la politique menée par la muni-cipalité. L’occasion de faire connaître lesactions clés menées par la ville (installationdes conseils de quartier, mise en place duconseil consultatif local de la vie associa-tive, élections du CCJ et Agenda 21), etmême de présenter auprès des citoyens, leconcept, encore peu connu, de démocratielocale.

Les bilans ont permis en retour de pointer dudoigt les chantiers qui devront occuper lesélus dans les années à venir : une meilleureintégration des initiatives et demandes desconseils de quartiers à la vie politique ; untraitement plus approfondi, et égalementplus rapide, des courriers et des demandesd’interventions.

La sécurité, une préoccupationdu quotidienSur le sujet de la sécurité, les Colombiensrencontrés en novembre, comme les partici-pants au blog, ont logiquement mis en avantles préoccupations qui concernaient leurcadre de vie immédiat : cambriolages cibléssur un quartier, vols de vélos à la gare desVallées… De fait, le thème interpelle et inté-resse, quotidiennement, chaque habitant.Dans ce domaine, la mairie n’a pas ménagéses efforts au cours des derniers mois, réor-ganisant en profondeur la direction Préven-tion et sécurité, et votant le maintien et laremise aux normes de la vidéo-surveillance.Toutefois, difficile de ne pas rappeler quemalgré cette volonté affichée de ne pas« baisser la garde », c’est avant tout à l’Étatd’assurer la sécurité de ses concitoyens, viaun renforcement des effectifs de la Policenationale.

Solidarité et handicap, axes forts de l’Agenda 21Autre axe fort de la politique municipale, lasolidarité a clos cette première salve dedébats, avec une mise en avant des nom-breuses actions destinées à renforcer le liensocial et lutter contre les inégalités : baissedes quotients familiaux, gel des loyers deslogements sociaux, soutien accru au CCAS età l’intergénérationnel. Là encore, les habi-tants se sont à la fois exprimés spontané-ment, en direct et sur Internet. Combattrel’isolement des personnes âgées, favoriserl’intégration (sociale mais aussi profession-nelle) des handicapés : autant de requêtesremontées aux oreilles des élus, qui se sontdéjà engagés à les traiter – ainsi que le men-tionne l’Agenda 21. D’ici la rentrée prochaine, les bilans participatifsferont leur retour, sur trois nouveaux thèmes :le développement durable, la vie de la cité,l’aménagement urbain. Trois domaines danslesquels les questionnements et les initiativesseront à n’en pas douter très nombreux.p

Sur les marchés, dans les quartiers, les élus sont venus à la rencontre desColombiens pour entendre leurs demandes et présenter le bilan de leurs actions.

Bilans participatifsla démocratie en action

Entre les mois d’octobre et de décembre, les élus ont souhaité venir à la rencontre des Colombiens, pour présenter le bilan de dix-huit mois de travail,

et connaître leurs attentes. Un exemple emblématique de la «revitalisationdémocratique» souhaitée par l’équipe municipale.

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Aissa Ben Braham, adjoint aumaire délégué à la Démocratielocale, la Vie des quartiers et laCitoyenneté

Ce qui a été apprécié par les habi-tants, c’est de discuter dans leur lieude vie avec le maire et les élus.Cette possibilité d’échange a étéperçue comme un point très positif.

Souvent, les sujets abordés n’étaient pas en lien avec lethème du bilan participatif, mais ancrés sur des préoccupa-tions plus personnelles et importantes comme le logement,le stationnement et la propreté. Sur le blog, la majorité descontributions ont été axées sur la démocratie locale et surl’installation et la vie des conseils de quartier. Nos conci-toyens nous ont permis de mesurer le travail qu’il reste àaccomplir dans ces domaines.

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Priorité à la concertationAinsi que lementionnait uninternaute sur le blogofficiel des bilansparticipatifs, « ladémocratie se mesureen fonction de la placequ’on accorde à sescontradicteurs ». Uncredo que lamunicipalité met enpratique depuis 21

mois, en privilégiant la concertation, l’écoute et la proximité avec les Colombiens.Cela passe d’abord par les réunions publiques, qui ont concerné des sujets aussidivers que le Projet de rénovation urbaine, les Restos du Cœur ou le chantier ducollège Paparemborde.Les visites de quartier, ensuite, en présence du maire et des élus : 67 rendez-vousont ainsi été honorés sur le terrain, suite aux sollicitations des riverains, parfoissur des thèmes précis (sécurité routière, nuisances sonores, voiries,aménagement…). Plus traditionnels, enfin, les « cahiers de doléances » ouvertspar les élus, présents chaque week-end sur les trois marchés de la ville, ont enre-gistré 592 contributions et remarques au premier semestre 2009.

En chiffres

Les lieux de rencontre

mesurerle travail

Julien Gautier, conseillermunicipal en charge de laSécurité et de la Préventionauprès du maire.

participation des habitants

Michèle Étcheberry, adjointe aumaire déléguée aux Affaires sani-taires et sociales, au Handicap età l’Intergénérationnel

Les habitants ont beaucoup appréciécette forme de communicationdirecte, beaucoup ont souligné lesproblèmes de logement (privé ou

public) et d’emploi. Au-delà de ces points récurrents, les soucisde cheminement sur les trottoirs sont souvent invoqués (sta-tionnements illicites, objets encombrants…) : la commissioncommunale en est consciente et va les résoudre petit à petit.L’action du Clic, et du service Intergénérationnel, sont appré-ciés, mais la solitude et l’isolement sont une inquiétude pourles personnes âgées, tout comme le côut des maisons deretraite, sachant que le Conseil général refuse tout nouveau litau bénéfice de l’aide sociale. Une autre remarque doit attirer, àtous, notre vigilance : le sentiment que la ville se vit par quar-tier, avec ceux qui sont favorisés et ceux qui se sentent oubliés.

cette forme de communication

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C’est le nombre de pages vues sur le site Internet http://par-lons-en.colombes.fr, depuis son ouverture en octobre 2009.

C’est le nombre de rencontres thématiques organisées dansle cadre des bilans participatifs, où les élus sont venus à larencontre des Colombiens, aux quatre coins de la ville.

3 C’est le nombre de thèmes de travail (démocratie locale,sécurité et solidarité) choisis pour être abordés auprès deshabitants à l’occasion des « bilans participatifs ». Trois autresthèmes seront au programme de la rentrée 2010.

Thématiques abordéesDémocratie locale (octobre)

Sécurité (novembre)

Solidarité (décembre)

La multiplicité des interventions,conforte le choix du Maire deprendre en charge la délégation dela sécurité, et de rendre plus efficacela police municipale et la vidéopro-

tection. Autre constat, face à l’exaspération créée par une vitrebrisée ou un sac volé, les demandes se portent vers le Maire :il ne peut pourtant, seul, et en tous les cas pas à la place del’État, apporter toutes les réponses. C’est le sens du travailpartenarial entamé dans le cadre du CLSPD. Enfin, la partici-pation des habitants à l’élaboration des actions de sécurité etde prévention se révèle indispensable. Elle justifie les rencon-tres du Maire avec les conseils de quartier, et l’ouverture pro-chaine des postes de police Aragon et Fossés-Jean.

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Aller vers une vraie mixité sociale, accorder une place au développement durable,redonner une identité à un quartier en pleine mutation : tels sont les objectifs affichés

par la municipalité, dans le cadre de la rénovation de la ZAC de l’Île-Marante.

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Des trois chantiers de rénovation urbainelancés à Colombes, celui du quartierEurope/Île-Marante est actuellement le plus

avancé. Au mois de février, la première tranchedes travaux de reconstruction de la ZAC (Zoned’aménagement concerté) sera en partie achevée,avec la livraison par la société Immobilière 3F d’unimmeuble de 65 logements. Une première phasequi va amorcer la renaissance de ce quartier, dontle bâti se démarquait par sa vétusté.

Une nouvelle dynamique

Ce chantier d’envergure, l’un des trois projets Anru(Agence nationale pour la rénovation urbaine) encours à Colombes1, mené de concert par la ville etson aménageur la Codevam, a l’ambition deredonner du dynamisme, et de la cohérence auquartier. D’une part en favorisant la mixité sociale(la ZAC de l’Île-Marante compte 36% de logementslocatifs sociaux, ainsi que des logements en acces-sion sociale, et en accession libre –

34 d’entre eux étant à prix maîtrisés), et d’autre parten assurant, dans l’aménagement de ses 43420m2,une liaison ouverte avec l’ensemble du quartierEurope. Les différentes tranches de la ZAC consti-tuent ainsi autant d’îlots, indépendants les uns desautres, ce qui permet à terme une meilleure circu-lation, des véhicules comme des personnes.

Un projet plus écologique

Cette optique prévaut également pour l’accès auparc Lagravère, totalement repensé dans ce nou-veau projet municipal. La liaison vers le parc dépar-temental va être réaménagée, avec une nouvellepente douce, ainsi qu’un belvédère qui permettra,d’ici à la fin des travaux, de jeter un regard d’en-semble sur la nouvelle réserve naturelle. L’ancienbassin de rétention sera en effet transformé enespace dédié à l’environnement à vocation péda-gogique, et donnera un tout autre visage au quartier,elle-même traversée par une allée jardinée garnie,entre autres, d’espaces de jeux pour les enfants.

Sur le plan environnemental, les îlots de bâti dontla mairie a la charge, respecteront les normes BBC(Bâtiment basse consommation), qui permettent dediminuer de 50% les consommations d’énergie.Inciter de nouveaux habitants à choisir Colombescomme lieu d’habitation n’aurait enfin pas desens, si ces nouvelles constructions ne s’accom-pagnaient pas d’une ouverture d’équipementsmunicipaux : la construction d’une résidencesociale avec 100 logements autonomes et d’unEHPAD (Établissement d’hébergement pour per-sonnes âgées dépendantes), dont la livraison estprévue en 2010, la création d’une structure multi-accueil dédiée à la Petite Enfance, et l’ouverturede trois nouvelles classes à l’école Tour d’Au-vergne sont partie-prenante de ce projet majeur,pour lequel les derniers coups de pioche devraientêtre donnés en 2013. p

1 Les deux autres secteurs concernés par lapolitique de rénovation urbaine, bénéficiantd’une enveloppe totale de 265 millions d’euros,sont les Grèves/Petit Colombes, et les Fossés-Jean/Bouviers.

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Le saviez-vous?Le PPRI (Plan de Prévention desRisques d’Inondation) impose descontraintes strictes pour lesconstructions en zones inondables,comme c’est le cas à l’Île-Marante.Aucun des immeubles d’habitationne contiendra par exemple delogement en rez-de-chaussée,laissant par là-même, la place auxaménagements de parkingscouverts. De même, l’allée jardinéequi traverse le quartier comporterasur ses deux côtés des fossés derécupération des eaux de toiture,qui seront dirigéesautomatiquement vers la réservenaturelle. Celle-ci fera office debassin de récupération des eauxpluviales pour tout le quartier.

Recettes foncières : 13%

Bailleurs et opérateurssociaux : 53%

Ville de Colombes : 3%

Montant total : 97 693 285 €

Conseil général desHauts-de-Seine : 10%

Conseil régional d’Île-de-France : 4%

Agence nationale de rénovationurbaine (Anru) : 17%

Les chiffres clefsLe projet de rénovation de l’Île-Marante, c’est 420 nouveaux logementsconstruits (dont 160 locatifs sociaux) contre 380 dans le projet initial. Lequartier sera composé à 36% de logements sociaux, et comportera une crèchede 60 places, pour un chantier qui prendra fin en 2013. Le coût global de cetteopération majeure est estimé à 62 millions d’euros.

GraphiqueFinancement prévisionnel du projet de rénovation Europe/Ile-Marante

Le financement présenté comprend l’avenant au projet – extension dela capacité de la future crèche, ouverture de nouvelles classes à l’écoleTour d’Auvergne -, en cours de négociation auprès des partenairesfinanciers.

Le coût seul des travaux sur le périmètre de la ZAC Ile-Marante (horsopérations de logements privés) s’élève à 62 millions d’euros. Cemontant comprend l’aménagement des équipements et espacespublics, qui représente 20 millions d’euros, et auquel la ville participede manière importante (10%).

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Depuis l’année 2003, et le début de la concertation avec leshabitants de l’Île-Marante en prévision de leur relogement,de multiples esquisses présentant le futur visage du site

ont été réalisées. Entre 2007 et 2009, période à laquelle les tra-vaux de construction ont pris une véritable ampleur et où la nou-velle équipe municipale a repris le projet en main, le programmea connu des changements majeurs.p

Le nouveau visagede l’Ile-Marante

Projet au long cours, la rénovation du quartier de l’Europe/Île-Marante a connu plusieurs évolutions au fil des années.

Revue en détails des améliorations apportées à un chantier très attendu.

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Un meilleur accès au Parc LagravèreEn lieu et place du kiosque àmusique initialement prévu, c’est unbelvédère offrant une vued’ensemble sur la réserve naturellequi s’élèvera en bordure de lanouvelle passerelle. Accessible auxvélos et aux handicapés, celle-cipermettra un meilleur accès au parcdépartemental.

Une nouvelle alléejardinéeL’option du canal artificieltraversant la ZAC de part enpart a été mise de côté auprofit d’une allée jardinéedédiée à la circulationdouce, pensée pour la récu-pération des eaux pluviales,et contenant plusieursespaces de détente pour lespetits et les grands. Cetaménagement, qui mènerale passant vers la réservenaturelle, va dans le sensd’une vision du quartier oùl’environnement prend unegrande importance (voirencadré).

Du logement socialrépondant à lademande desColombiensLes premières esquissesavançaient le chiffre de 150logements sociaux locatifs,chiffre ensuite descendu à100. La future ZACreviendra finalement à cettepremière idée, avec unpourcentage de logementssociaux de 36% surl’ensemble du quartier. Laville travaille en parallèle àla réalisation des 60logements sociaux prévuspour le relogement quirestent à livrer sur la ville.

Une crèche plus sécuriséePrévue au départ avenue del’Europe, la structure d’accueildédiée à la Petite Enfance a étédéplacée rue de Frankenthal, àl’angle de la rue Schuman, surla nouvelle place publique de laporte du parc Lagravère. Lespetits de 0 à 4 ans y serontdonc accueillis avec plus desécurité, éloignés des grandesvoies de circulation, et dans unespace sensiblement agrandipar rapport aux premièresesquisses (60 berceaux contre40 à l’origine).

Un maillage routier plus ouvertLes esquisses de 2007 avaient laparticularité de présenter une alléede l’Île-Marante se terminant enimpasse, par l’effet d’un rond-pointfaisant circuler les véhicules dansune seule partie du quartier, etcompliquant la circulation des pom-piers. La version finale du projetprofite d’un maillage routier plusouvert, la future allée, classée zone30, communiquant désormais avecla rue de Frankenthal.

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À quels besoins répond la construction de loge-ments à l’Île-Marante ?Le but de la ZAC est triple : poursuivre l’amélio-ration du cadre de vie du quartier de l’Europe,renforcer la mixité sociale, et répondre à la fortedemande des Colombiens en matière de loge-ment. Il n’y a pas eu de nouvelle construction delogements sociaux sur la ville depuis huit ans,c’est la raison pour laquelle nous avons légère-ment augmenté le nombre de ces logements parrapport au programme initial. Mais nousessayons aussi de diversifier les types de loge-ments, en proposant de l’accession sociale, dulocatif libre, du collectif comme de la maison deville, le tout à des prix accessibles. Cettedémarche, nous la généralisons dans toute laville. Il faut faire fonctionner le parcours rési-dentiel, qui est bloqué actuellement, car laflambée des prix dans l’immobilier repousse lesclasses moyennes de plus en plus loin de la ville.Notre réflexion porte sur tout le quartier Europe :nous voulons lui redonner du liant, travailler surle bâti, la circulation, avec l’arrivée du tramwayT1, ce qui rejoint les objectifs du PLU (Plan locald’urbanisme). La ZAC de l’Île-Marante, commecelle de la Marine au Petit-Colombes, représentele court terme, mais nous réfléchissons aussi surle long terme.

De nombreux changements ont été apportés aufil des années à ce projet…Nous n’avons pas voulu remettre en cause, parprincipe, l’ancien projet. Nous avons repriscelui-ci sans parti pris : nous l’avons analysépuis modifié, en suivant nos objectifs : plus delogements sociaux, promotion des circulationsdouces, obligation de suivre les normes BBC(Bâtiment basse consommation), qui serontobligatoires dès 2012. Malheureusement sur cepoint, l’opération était trop engagée par l’an-cienne municipalité pour aller au maximum dece qui était possible.

Quelles sont les grandes modifications déci-dées par la municipalité ?Un espace vert, peu accessible au public, a étéamélioré pour en faire un jardin public plusattrayant pour les familles et les personnes àmobilité réduite. Nous avons supprimé des élé-ments peu écologiques, coûteux en terme d’in-vestissement puis de gestion comme le faux« canal » - en fait un filet d’eau - ou le mur d’eauprès de l’autoroute, tout en faisant évoluer laréserve naturelle pour lui conférer une vocationpédagogique.Alors que le projet était complètement refermésur lui-même, nous avons amélioré sa mise enrelation avec le parc Lagravère avec le réaména-gement de la passerelle et avec la rue Franken-thal en l’ouvrant sur le quartier et en organisantmieux les circulations, y compris pour les vélos.Le nombre de berceaux dans la crèche, enfin, aété augmenté, il y a désormais 60 lits, et pour plusde sécurité et de tranquillité, elle a été déplacéede l’avenue de l’Europe vers l’intérieur de la rueFrankenthal. L’Île-Marante comprenait, jusqu’àson inscription pour démolition dans le périmètrede l’Anru, deux immeubles totalisant 300 loge-ments sociaux, et il a été décidé à l’époque de ne

reconstruire sur place qu’un tiers de ces loge-ments, ce qui a d’ailleurs provoqué de fortes cri-tiques. Nous avons pris plusieurs engagements,en premier lieu, celui de rajouter 50 logementssociaux au projet. Quelques-uns nous accusent devouloir densifier ce quartier, mais ce principe étaitdéjà avancé dans les premières esquisses.Malgré tout, nous perdons 150 logementssociaux ; 86 ont déjà été reconstruits ailleurs surla ville, mais nous veillerons à les reconstituer enintégralité dans les années à venir.

Quelle place les habitants du quartier ont-ilspris dans cette réflexion ?Le temps de la concertation est important à nosyeux. Nous avons toujours dit publiquement ceque nous faisions, il y a eu une première réunionpublique au cours de laquelle la municipalité aprésenté les premières hypothèses de modifica-tion du projet de l’Île-Marante. Nous n’avions pasde marge de manœuvre pour effectuer des modi-fications sur la 1re tranche de travaux. Mais, avecle conseil général, nous participons à un syndicatmixte qui initie cette opération, et nous allonsfaire des réunions publiques et engager uneconcertation sur les tranches suivantes.

e 2010 : livraison de 162 logements répartis sur deux ensemblesr2011 : livraison de 20 logements, aménagement d’une partie de l’allée de l’Île-Marante

t2012 : livraison de 190 logements répartis sur trois ensembles, de la crèche,aménagement de la réserve naturelle et du belvédère

u2013 : livraison de 45 logements, réaménagement de la rue Frankenthal

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«Obtenir une vraie mixité sociale»

L’amélioration du cadre de vie dans le quartier de l’Europeest la base du travail qu’a effectuée la municipalité sur

Île-Marante. Patrick Chaimovitch, adjoint au mairedélégué à l’Urbanisme et à l’Aménagement revient sur les

changements apportés au projet.

«Aucun logement social n’a étéconstruit en 8 ans. C’est pourquoi

nous avons augmenté leur nombredans le projet».

Les phases du chantier

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Les habitants de l’Î le-Marante se souviennentLa démolition en2006 des HLM del’Île-Marante alaissé les habitantsle cœur serré, carmême obsolètes,ces tours étaientpour eux synonymede souvenirs,représentant unebonne partie deleur vie. C’est à leurdemande, durantcette période charnière, que l’opérateur immobilier I3F a été sollicitépour publier dans un livre ces histoires de famille qui, mises bout àbout, dessinent le portrait d’une communauté solidaire, attachée à soncadre de vie et appréhendant différemment l’étape du relogement.

Un quartier immortaliséCet ouvrage, « Il était une fois… l’Île-Marante», réalisé entre 2006et 2008, a été officiellement remis à des habitants émus le 9 décembredernier par le maire, Philippe Sarre, en présence de l’auteur et historienJacques Sélamé et de la photographe chargée d’immortaliser lesderniers instants et la démolition des bâtiments, Maria-Letizia Piantoni.Preuve du regard positif porté sur ce pan d’histoire de la commune, lelivre est dédicacé «à tous les habitants qui ont vécu à l’Île-Marante…et à tous ceux qui s’y installeront ».

L’environnement

Parmi les multiples évolutions qu’a connuesle projet de l’Île-Marante, l’importance dudéveloppement durable est l’une des plus

remarquables. La promotion des circulationsdouces fait bien sûr partie intégrante du projet(trames de cheminement piéton transversales,zone 30 sur toute l’allée de l’Île-Marante…). Lerespect des normes HQE les plus exigeantes,ainsi que des normes BBC (bâtiment basseconsommation) dans chacune des constructions– exceptées celles de la première tranche, débu-tées sous la précédente mandature – est égale-ment une priorité.

Promouvoir la biodiversité

Mais ce qui frappera le plus, d’ici quelquesannées, les Colombiens, sera sans doute l’amé-nagement paysager du site, imaginé par la Com-pagnie du Paysage. Depuis l’avenue de l’Europe,une allée verte, mènera le passant vers uneréserve naturelle. Situé tout près de l’A86, l’an-cien bassin de rétention sera en effet, bientôtchangé en espace de biodiversité accueillant denombreuses espèces végétales. Cette zone

humide, qui sera alimentée par les eaux depluies, sera dans un premier temps réservée auxactivités pédagogiques, pour initier les élèvesaux problématiques liées à la biodiversité.

Malgré tout, elle sera fermée au public (maisobservable depuis le nouveau belvédère), avantde pouvoir être ouverte au public dès l’installa-tion de la flore et la faune. p

La réserve naturelle, sera dans un premier temps réservée aux activitéspédagogiques, fermée au public, mais visible depuis le belvédère.

Le projet de ZAC présenté au publicLes contours de la nouvelle ZAC de l’Île-Marante avaient déjà été présentés en 2009lors d’une réunion publique. Entre-temps, il estapparu que la délibération de 2006 approuvantla réalisation du projet de ZAC, entérinée parla ville, n’était pas valable, le projet devantavoir pour maître d’ouvrage un syndicat mixte,celui des Quartiers Nord, en l’occurrence.Pour ces raisons juridiques, le projet et lesmodifications qui y ont été apportées (notam-ment l’augmentation du nombre de berceauxdans la future crèche, ou l’extension de l’écoleTour d’Auvergne) feront à nouveau l’objetd’une concertation avec les habitants durantle premier semestre.

Une réunion publique se tiendra donc très pro-chainement à Colombes, suivie de l’ouvertured’un registre d’observations en mairie. Leshabitants sont donc invités à donner leursremarques et idées sur la conduite de ce vastechantier, qui se poursuivra en parallèle de laconcertation.

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sorties du mois de févrierThéâtre, expositions, musique, loisirs

En février, à travers trois expositions, la villerevient sur la crue centennale de 1910.

À ne pas manquerL’inondation de 1910 déborde du cadre

Àl’occasion du centenaire de l’inondation de janvier 1910, lesArchives municipales et la bibliothèque Prévert s’associent, enpartenariat avec l’Amicale philatélique et le Cercle

généalogique, en programmant une série d’expositions sur cettecrue centennale qui plongea Colombes sous les eaux de la Seinependant près de dix jours. À découvrir donc, trois expositions : à l’hôtel de ville jusqu’au 9 février, à la bibliothèque Prévert jusqu’au10 février, et pour la première fois sur le site Internet de la ville… À noter également que cet anniversaire sera relayé par l’opérationdépartementale « La science se livre» qui se déroulera sur le thèmede l’eau jusqu’au 7 février dans les trois bibliothèques de la ville.

M, Au café L’Esperluette36 rue des vallées09 53 20 34 45Ce mois-ci, c’est ValérieBétoulaud qui expose sestoiles au café L’Esperluette.Cette Colombienne touche àtoutes les formes créatives,et renouvelle sans cesse sonunivers vif et coloré.

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M, À la MJC96 rue Saint-Denis01 56 83 81 81

La peinture de Yerichéévoque le mouvementperpétuel. C’est un travail àl’état brut qui laisse la visionde la «naissance» de latoile. Enduit, crayonnés, il neveut pas les effacer. Ils fontpartie du tableau, etd’ailleurs ils évoluent aveclui. Jamais fixe, le travail deYeriché est un tourbillon.

M Au CSC des Fossés-Jean11 rue Jules Michelet01 42 42 86 76Cette exposition fait suite auconcours de photographies,organisé par le musée, sur lethème des quartiers deColombes. Le CSC desFossés-Jean propose devenir admirer ces photos dulundi au vendredi, de 8h30 à12h et de 13h30 à 21h30.Entrée libre.

, Au théâtre du Peuplier Noir à 20h30 (le 7 à 15h30)3 avenue Saint-Saëns01 47 75 94 90

Elles sont 103 femmes à êtredéportées au bagnebritannique d’Australie. Dansune cellule à fond de cale,six d’entre-elles apprennentà vivre ensemble et à

supporter les conditionspénibles d’une traversée decinq mois. Malgrél’oppression, une forme defraternité les unit dans lalutte pour la survie.

, À la MJC, à 20h3096 rue Saint-Denis01 56 83 81 81Dans un monde qui larejette, Jbara n’a qu’un inter-locuteur : Allah. La bergèredes montagnes lui racontesa vie, ses misères. Leshommes qui la traitentcomme un objet, laprostitution, la prison. Cesconfessions tracent leportrait d’une jeune femmerésolue à exister par elle-même, qui ne se soumettrapas aux conventions et àl’oppression.

Transports de femmesLes 4, 5, 6 et 7 février

ThéâTRE

Confidences à AllahVendredi 5 février

ThéâTRE

Colombes, cœur dequartierJusqu’au 6 mars

ExPOSITION

Valérie Bétoulaudjusqu’au 27 février

ExPOSITION

YerichéJusqu’au 1er mars

ExPOSITION

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, Au Conservatoire, à 20h25, rue de la Reine-Henriette01 47 85 65 59

Giovanni Mirabassi,pianiste de renomméeinternationale, faithonneur à ColombesJazz en venant jouerdans l’auditoriumChristian Jous duConservatoire. Cetautodidacte a collaboréavec les plus grands etremporté de nombreuxprix, dont les Victoires duJazz en 2002.

, Au Caf’Muz, à 19h31 rue Jules Michelet01 46 49 05 54

Pour cette soiréespéciale pop rockfrançaise, le Caf’Muzreçoit le groupe Mad InRock qui fait son grandretour sur scène. Legroupe Ilis seraégalement de la soirée etprésentera son nouvelalbum. Entrée libre.

M Au Conservatoire, à 14h3025 rue de la Reine Henriette01 47 85 65 59«Un logement pour lescheminots», par PatrickKamoun, conseiller àl’Union Sociale pour l’Ha-bitat et professeur àl’Université d’Orléans.

, Au Hublot, à 20h3087 rue Félix Faure01 56 05 00 76

Après 25 ans d’absence,Kaci rentre au pays, à larecherche d’une épousepour son fils, fervent pra-tiquant. Bloqué àl’aéroport, il organise desrencontres avec dejeunes femmesmusulmanes. Desrencontres qui vont leplonger dans lessouvenirs de sa jeunesseen Algérie. Une créationde la Compagnie LeTemps de Vivre.

, À la bibliothèque JacquesPrévert, à 20h306 passage Jacques Prévert 01 47 84 85 46En partenariat avec laMJC et les bibliothèquesmunicipales de Colombes,la prochaine séance duCafé citoyen du CEIC abor-dera la problématique del’eau. Attention, la séanceaura lieu à la bibliothèqueJacques Prévert et non àla MJC.

, À l’Avant-Seine, à 20h3088 rue Saint-Denis01 56 05 00 76Stuart Seide, directeurdu Théâtre du Nord et dejeunes comédiens, s’em-parent de trois courtespièces de Dario Fo etFranca Rame. Réuniespour un soir, «Alice auxpays sans merveille »,«Je rentre à la maison»et «Couple ouvert à deuxbattants» sont trois tragi-comédies qui s’attardentsur la question duféminisme.

, A l’Avant-Seine, à 20h3088 rue Saint-Denis01 56 05 00 76Fidèle de l’Avant-Seine,Jean-Louis Trintignantrevient à Colombes pourun voyage au cœur de lapoésie. Cette fois-ci, ilexplore les textes detrois grands poètes liber-taires du XXe siècle :Jacques Prévert, BorisVian et Robert Desnos.

, Au Conservatoire, à 20h25 rue de la Reine Henriette01 47 85 65 59

Pour la quatrième éditionde son festival, le ForumVoix étouffées fait uneétape à Colombes. Fondéen 2003, ce collectif apour objectif deretrouver et rendrehommage auxcompositeurs victimesdu nazisme entre 1933et 1945 en jouant leursœuvres et ensensibilisant le grandpublic. Un travail deréhabilitation qui ne faitque débuter.

M Au Conservatoire, à 14h3025 rue de la Reine Henriette01 47 85 65 59Avec «Tanis, un chantier defouille dans le delta du Nil»,Philippe Brissaud,égyptologue, exposera lefonctionnement et les résul-tats du chantierarchéologique qu’il aconduit depuis plus de 20ans, sur le site de Tanis.

Giovanni MirabassiVendredi 5 février

CONCERT

Pop rock françaisSamedi 6 février

CONCERT

Alger Terminal 2Du 8 au 13 février

ThéâTRE

Café citoyenMardi 9 février

CONféRENCE

Alice et ceteraLes 9 et 10 février

ThéâTRE

Jean-Louis TrintignantVendredi 12 février

ThéâTRE

Les voix étoufféesVendredi 12 février

CONCERT

Logement desCheminotsSamedi 6 février

CONféRENCE

Egypte : TanisSamedi 13 février

CONféRENCE

Mercredi 3févrierSherlock Holmes, de Guy RitchiePlanète 51, de Jorge BlancoLa princesse et la grenouille, deRon Clements et John Musker

Oceans, de Jacques Perrin et Jacques CluzaudA serious man, de Joel CoenIn the Air, de Jason Reitman

Mercredi 10févrierPercy Jackson, le voleur defoudre, de Chris ColumbusL’autre Dumas, de Safy NebbouTsar, de Pavel LounguineSherlock Holmes, de Guy Ritchie

La princesse et la grenouille, de RonClements et John MuskerPlanète 51, de Jorge BlancoOceans, de Jacques Perrin et Jacques CluzaudPierre et le loup, séance ciné-goûter

Mercredi 17févrierHors de contrôle, de Martin Camp-bellValentine’s Day, de Garry MarshallLe Mac, de Pascal BourdiauxFrom paris with love, de Pierre

MorelLoup, de Nicolas VanierL’autre Dumas, de Safy NebbouPlanète 51, de Jorge BlancoPercy Jackson, le voleur de foudre, de ChrisColumbus

Mercredi 24févrierShutter island, de Martin ScorseseEnsemble c’est trop, de LéaFrazerValentine’s Day, de Garry MarshallFrom paris with love, de Pierre

MorelHors de contrôle, de Martin Campbell

Cinéma Les 4 Clubs35, rue du Bournard - 92700 ColombesTél. : 08 92 68 01 22 - Fax : 01 47 84 11 52

Les salles 2 et 4 sont accessibles aux personnes handicapées.

Attention. Les films et animations programmés peu-

vent être modifiés en fonction de l’actualité par les

diffuseurs ou la direction du cinéma Les 4 Clubs.

salle accessibleaux personnesà mobilité réduite

ciném

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La Naufragée des amazones, Jean Godin des Odonais,Édition Nicolas Chaudun, 2009Ce texte est la réédition du récit de l’épopée de MadameGodin retranscrite par son mari et éditée en 1775. Cetouvrage d’une écriture précieuse, nous permet d’appréhenderà la fois le périple d’une naufragée de la jungle amazonienneet le contexte politique. Les difficultés d’obtention d’un

passeport sont à l’origine de la séparation du couple qui se retrouve après uneodyssée d’une vingtaine années. Un petit bijou littéraire.

La parole de Fergus, Siobhan DowdÉdition Gallimard 2009Irlande du Nord 1981, Fergus a 18 ans mais il a surtout unfrère membre de l’IRA emprisonné. Dans ce quotidien dominépar la guerre et la peur, Fergus découvre un corps dans latourbe, vieux de 2000 ans. Aux côtés d’une archéologue et desa charmante fille Cora, il va tenter de découvrir l’histoire de

cette mystérieuse personne. Un roman passionnant qui mêle habilementintrigue et histoire.

Le coup de cœur des bibliothèques

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Léa MessenieDepuis deux ans, Léa Messénie et son mari expérimentent un concept original

dans l’air du temps : la cohabitation intergénérationnelle. Ou comment partager son logement avec un étudiant.

Théâ

tre Spectacles à domicile

Le hublot s’invite chez vous

À lir

eEt

touj

ours Gares à Lisch

Jusqu’au 13mars

« Gares à Lisch, l’épopée d’un architecte ferroviaire – 1828-1910 » retrace lavie et les travaux de Juste Lisch. Juste Lisch est une figure incontournablede l’architecture française. Il a créé de nombreuses gares du réseauferroviaire français et notamment la gare Saint-Lazare.

Au musée d’Art et d’Histoire - 2 rue Gabriel-Péri -0147863885.

, Au Caf’Muz, à 20h3031 rue Jules Michelet01 46 49 05 54Les chanteurs etmusiciens de Tu ShungPeng, The Aquatics et SlyMeets Kubix ont décidéd’enflammer la scène duCaf’Muz pour une soiréereggae roots dans lequartier des Fossés-Jean.

, Au CSC des Fossés-Jean, à20h30 - 11 rue Jules Michelet -01 47 82 85 88Leyla et l’équipe du CSCdes Fossés-Jean vousconvient à une soiréeCabaret Jazzy. Danse etambiance seront de lapartie. Réservation obliga-toire auprès du CSC.

, À la MJC, à 20h3096 rue Saint-Denis01 56 83 81 81Lalo Zanelli, pianiste,compositeur et arrangeur, afondé le groupe Ombu en1992. En 2008, il met sur piedune nouvelle formation, unquintet, qui repart à l’assautdes salles. Arbre mythiquede la pampa argentine,l’Ombu abritait les poètes etles «payadores» (chanteursde tango) sous son feuillageimmense.

M, À la Cave à Théâtre, à20h30 (le 13) et 17h (le 14)58 rue d’Estienne d’Orves01 47 80 92 19Monsieur72 se produit à laCave à Théâtre àl’occasion d’un concertintimiste.

M À l’Eglise Saint-Pierre/Saint-Paul, à 17h11 Rue Beaurepaire�0142 42 14 51Maurizia dalla Volta etValério Fasoli à la flûte,Philippe Gaillard aubasson et Claire Pradel auclavecin, interprètent desœuvres de Joseph BodinBoismortier, FrançoisDevienne, Jean-PhilippeRameau et Raymond Guiot.

,d À l’Avant-Seine, à 20h3088 rue Saint-Denis01 56 05 00 76

Écrit en 1934 par l’anticon-formiste russe EvguéniSchwartz, Le Roi nu estlibrement adapté de troiscomptes d’Andersen : LePorcher amoureux, LaPrincesse sur un pois etLes Habits neufs del’empereur. Interdite parStaline, la pièce estaujourd’hui reprise par laCompagnie du Feu Follet.

M À la Coulée verte107 bis rue des Monts Clairs01 47 84 91 61Les wagons de la Couléeverte accueillent unenouvelle exposition photo,dédiée à Dame Nature,Fleurs sauvages, insectes,herbes folles, à sa manièrela nature nous parle. Unlangage silencieux quedévoilent ces photos.

Le Roi nuMercredi 17 février

ThéâTRE

Éclats champêtresDu 22 février au 5 mars

ExPOSITION

OmbuLalo ZanelliSamedi 13 février

CONCERT

Musique baroqueDimanche 14 février

CONCERT

Soirée Cabaret JazzySamedi 13 février

CONCERT

Soirée 109Samedi 13 février

CONCERT

Monsieur72Les 13 et 14 février

CONCERT

Une troupe de théâtre dans votre salon,un concert dans votre hall d’immeuble,grâce aux spectacles à domicile duthéâtre du Hublot, à Colombes, c’est uneréalité ! Pour la cinquième saisonconsécutive, le Hublot et Colombeshabitat public s’associent pour permettre

aux locataires des logements sociaux de la ville mais aussi à certainsrésidents de pavillons d’accueillir gratuitement à domicile des spectacleshabituellement programmés sur la scène du théâtre de la rue Félix Faure. Auprogramme cette année : La Reine des Neiges (spectacle visuel et demarionnettes) de la compagnie La Cavalière bleue, Nunzio de la compagnie duThéâtre de paille et La Peau (concert de jazz décalé et minimaliste).

Théâtre du Hublot, 87 rue Félix Faure - 0147601033 ou Colombeshabitat public – 0141191440.

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Léa MessenieDepuis deux ans, Léa Messénie et son mari expérimentent un concept original

dans l’air du temps : la cohabitation intergénérationnelle. Ou comment partager son logement avec un étudiant.

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Repèresp2008 : début de l’expérience de colocation pour

Léa.p2009 : arrivée de Jack Feraday, étudiant anglais.

Le chiffrep3 : le nombre d’étudiants accueillis

successivement par le couple Messenie, dans le cadre d’une colocation.

Sa phrase:« Il n’y a rien d’exceptionnel à loger un étudiantquand on en a la possibilité. »

En 2008, une amie demande à Léa si ellene veut pas louer une chambre de samaison à des étudiants. Depuis le décès

de sa mère qui vivait avec eux, elle occupe eneffet avec son mari une maison qui pourraitaccueillir davantage de vie. Conscient des dif-ficultés que rencontrent les étudiants pour seloger en région parisienne, le couple accepte.C’est le début d’une grande aventurehumaine !Après une première colocation de trois moisavec un étudiant libyen qui achève un stage àl’Institut français du pétrole, Léa accueilledurant neuf mois un jeune universitaire algé-rien. Un étudiant avec qui le couple colombiencontinue, malgré son départ en Algérie, àgarder contact.

L’étudiant anglaisEnthousiastes après ces deux rencontrespleines d’enseignement, Léa et son mari déci-dent de poursuivre l’expérience. Lorsque laplace se libère, Léa effectue donc desrecherches sur Internet et est interpellée parl’annonce d’un étudiant anglais en quête d’unlogement accessible pour ses maigresmoyens financiers. «Même un canapé dans

un coin me suffirait », déclarait Jack sur lesite. Amusée par ce texte, Léa va faire elle-même la démarche de le contacter pour luiproposer son logement.Le premier rendez-vous se passe bien. Jackest parfaitement bilingue et peut communi-quer naturellement avec ses hôtes. Les règlesde vie commune, ou de bon voisinage, sontinstaurées : pas de musique forte, ne pasoublier de fermer la porte de la maison en par-tant… Un respect mutuel se met aussitôt enplace, permettant ainsi une cohabitation entoute confiance. Aujourd’hui, l’entente esttoujours cordiale entre le couple et l’étudiant.Jack dîne régulièrement avec ses hôtes et nemanque pas les soupes préparées par Léa.

Rencontre entre lesgénérationsUne formule certes originale mais pour laquelleles deux parties militent. Le jeune anglaisestime en effet que «cela fait du bien de pou-voir discuter avec des gens plus mûrs, quandon passe la semaine à la fac ». Léa, pour sapart, apprécie cette rencontre «enrichissante»,avec Jack, qui échange avec eux «son point devue». Pour le couple, c’est le ciment de vérita-

bles relations humaines. La retraitée insiste surle plaisir «d’avoir de la vie et du mouvementdans sa maison. Cela permet de ne pas êtreisolés». Cette présence supplémentaire peutégalement rendre de menus services, comme«nourrir le poisson rouge quand nous nesommes pas là», sourit Léa.

Pourquoi pas vous ?Pour les uns comme pour les autres, l’écart degénération n’est pas un problème. «Certainscopains m’envient même parce qu’ils entre-tiennent des relations difficiles avec leurscamarades avec qui ils cohabitent », préciseJack. Ce que confirme Léa : «On ne s’entendpas forcément mieux avec des gens de sonâge ».Estimant ne rien faire d’exceptionnel, laColombienne espère que cet exemple feraboule de neige et que d’autres retraités selanceront dans l’aventure. «Un bain de jou-vence en somme », comme le souligne enriant Léa. p

Propriétaires ou locataires du parc sociall’initiative vous intéresse, contactez leService Intergénérationnel, 01 47 84 21 94 ou06 22 72 32 58.

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un j

our de février

à Colombes

1910, Colombes inondéeIl y a tout juste un siècle, la région parisienne connaissait une des plus importantes

crues de la Seine. Colombes, cette année-là, ne fut pas épargnée…

Les archives remontentle temps

Selon un récent communiquédes Archives départementalesde Nanterre, Colombesdétient la plus bellecollection de recensementsdu département. Jusqu’àprésent, seuls les registrespostérieurs à 1881 étaientcommunicables en raison dela trop grande fragilité desdénombrements transcrits surfeuilles. Grâce à unecampagne de micro-filmage,tout ce fonds (à partir de 1812et jusqu’en 1954) estdésormais accessible augrand public.

L’act

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Le 6 février 1906 La bibliothèque de Colombes créel’événement le 6 février 1906, enprojetant pour la première fois un filmen couleurs. On pouvait lire « placardé »dans la ville : « Une attraction exception-nelle qui a fait le tour d’Europe ; Retenezvos places, la salle sera trop petite ! ». Ilfaudra cependant attendre 1912 pourqu’un cinéma ouvre ses portes àColombes.

La rue Labouret est, en janvier 1910, uniquement accessible en barque.

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Commune bordée par la Seine, Colombessubit depuis toujours ses caprices. AuMoyen Âge (selon certaines sources), des

canaux furent creusés, non pour contenir lesinondations, mais pour faciliter la décrue. Cescanaux, situés sur des terrains appartenant àl’Église, ne furent plus entretenus après laRévolution française, en raison de la confisca-tion de ces terres et de leurs reventes à demultiples propriétaires privés.Le problème des crues persistait donc. Laconstruction d’une digue sur l’ensemble de lafaçade fluviale de Colombes, soit environ3,7 km, aboutit en 1838. Cet ouvrage impor-tant, haut de 4mètres et large de 14 mètres àsa base, se poursuivait sur Gennevilliers.Jusqu’à la fin du XIXe siècle, la digue remplitson effet. Même lorsque celle-ci était sub-mergée, seules des pâtures étaient envahiespar les eaux (cette digue fut rasée dans lesannées 1960 pour la construction d’une rocade,l’actuelle A86).

Surpris par la SeineQui l’eût « crue»Mais début 1910, la situation a changé. Depuisla Révolution industrielle et l’arrivée du cheminde fer à Colombes, la ville connaît un fort déve-loppement, et les terres agricoles du bord deSeine sont peu à peu urbanisées. Le 22 janvier1910, la cote d’alerte de la Seine est dépasséeet le niveau monte rapidement. La digue joueson rôle de retenue jusqu’au 26 janvier dans lasoirée, où elle vient à disparaître sous l’eau quigagne alors brutalement des quartiers entiers.La situation des habitants semble étrangementd’actualité à la lecture du rapport du 27 janvier1910, rédigé par le capitaine Vaux, pompiercommandant la compagnie de génie :«Quelques habitants n’ayant pas quitté leur

demeure, les uns par mauvaise volonté de leurpart, les autres ne croyant pas être envahis parles eaux, sont retirés de leur critique situationà l’aide de radeaux manœuvrés avec difficulté,le courant étant très rapide. De plus, l’accèsdes pavillons étant arrêté par les murs des clô-tures, grilles, treillages, etc., les hommes sontobligés de se mettre à l’eau et de ramener surleur dos les sinistrés. Les sauvetages sontarrêtés vers la nuit. Environ 50 personnes,vieillards, femmes et enfants sont retirés ettransportés en lieux sûrs ».

Sous l’eau et… la neigeDans les jours qui suivent, près de 1 000 mai-sons sont touchées, 5 000 habitants sur unepopulation totale de 22 000 sont évacués. Legaz, l’eau et l’électricité sont coupés. Onestime que la crue a couvert le quart du terri-toire communal : 81 rues sont inondées. Réunien urgence le 26 janvier, le conseil municipalvote à l’unanimité des secours aux victimes del’inondation. Car les dégâts sont immenses etles habitants évacués brutalement de leurdomicile sont sans ressources.La décrue s’amorce lentement à partir de débutfévrier. Certains Colombiens ne pourront tou-tefois rejoindre leur maison qu’à la fin du mois.Habitations qui nécessitent nettoyage et dés-infection, les autorités municipales et préfec-torales craignant la propagation de maladies.Le début du mois de février est égalementmarqué par une vague de froid et la neige. Cequi donne des images insolites de quartiersentiers de Colombes, les toits couverts deneige et les pieds dans l’eau ! p

Sources : G. Massault, Colombes « l’inondationde 1910 », 1994, Archives communales deColombes et musée municipal d’Art etd’Histoire.

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Ils nous ont quittés

bienvenue

ils se sont mariés, Boris ADAM et Nathalie CHEMIN, Achille BIBAYE et Julienne EPETI MOTTO, Nordine CHAOUCHI et Houyam EL GAMANI,Serge CLÉRICE et Hafida KASSI, Abdellatif EL HAIL et Alexandra TAILLEFESSE, Mohammed ELAIAB et Franziska RODER-BURG, Kunrui LIU et Xiaojie WU, Belhassen OURIMI et Soraya KOUFI, Mohamed TAHAR et Souhila ZERBOUT, Jamal YAQINIet Ahlam MEDKOUR, Serge BARBAZANGES et Corinne QUERCY, Jacques COURTOIS et Rosa GARCIA, Saïd MAKHLOUF etFatma YAHIAOUI, Omiende-Ibobi NGUESSO et Mbungu PELENDA NZUMBA, Jamal OUISSA et Laïla LAHOUAD, AlexandreRABIAU et Myriam EL BARROUDI, Santos SEMEDO MONTEIRO et Sandra PEREIRA SEMEDO.

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La démographie depuis Janvier 2009

Jean-Jacques ALBIN, Geneviève ALMAZOF épouse HANIN, Micheline AMAND-JULES, Suzanne ASSOUN épouse AOUI-ZERATE, Alwine BARTH épouse DELORMEL, Fadila BELKACEM épouse BOUCHELAGHEM, Hadda BELKADI épouse BEL-KACEMI, Dahbia BENAMEUR, Roger BESSE, Saadia BISKR épouse BOUABBACHE, Marie BLANCHART épouse REBAÏ,Loïc BODIN, Andrée BOILOT épouse LEQUEUX, Mimoun BOUKADDOUR, Paulette BOURGUET épouse LAOUT, Irène BOX-BERGER épouse MARTIN, Jacqueline BRION épouse DELOEIL, Gabriel BUTHOD, Juliette CHUQUARD épouse ANTIMÈS,Pascal CLAISSE, Ali DEHLOUZ, Jacqueline DENIS épouse VERNEUIL, Madeleine DERIBAUCOURT, Odette DEVIENNE,Marcel DOUCHIN, Jeanne DUCROCQ épouse SIMONNET, Ahmed DUIRI, Marcel DURKHEIM, Jean-Paul DUVALLET, MarcelELIE, Simone FAUCET épouse LETILLY, Jacques FERGON, Guy FOLLIN, Gérard FORTERRE, Christian FOUCAULT, EmmaGARBAN, André GENTIL, Rosa GRABINA épouse GALLAUX, Meriem HAMZA épouse ROBERT, Rolande HERANVAL épouseCOUTEAU, James HIRSCHLER, Cassien HORTENSIA, Pierre JOLIVET, Jean-Pierre KIENY, Jean-Pierre LAGAUCHE, MichelLE BRIS, Henriette LE GAL épouse LE COURTOIS, Gilberte LECOMTE épouse BAPTISTE, Camille LECOMTE épouse GAST,Jacqueline LEGROS épouse BONNET, Madeleine LEJEUNE épouse GUYARD, Eliane LEMIRE épouse HOFFMANN, EdmondLEROY, Gilbert LORENT, Marie LUCAS épouse LEVASSEUR, Mireille MABILLOT épouse LE LAPOUS, Marc MALGOIRE,Pierrette MARIE épouse RIOPEL, Suzanne MASSON, Marc MATHIAU, Ginette MICHEL épouse NÉGRERIE, Fernande MIS-SONNIER, Raymonde MONNIER épouse COGNET, Monique MOREAU épouse PETIT, Jeanne MOUTILLET épouse SOULARD,Yves MOUTON, Denise MULLER, Jacqueline OLIVIER, Mauricio ORDONEZ ALMARCHA, Monique PEREZ, Jacques PERNOT,Jean-Claude PERSIN, Marcelle PEZÉ, Max POTTIER, Mekki ROUAG, Marie-Françoise SAVIGNAC, Gnénémouka SEGNEBRE,Hanifa SENADJKI épouse SOUAS, Grazyna SIEMBIDA épouse JANIEC, Moloud SOLIMANI, Jacqueline STÉCLEBOUTépouse BERRY, Claude TADJINE, Laura VALLS VALLS épouse GOMEZ SAINZ, Chiu-Kau YAM épouse LAM.

Mairies de ProximitéLieux de permanence offrant de nombreuxservices, les quatre mairies de proximité deColombes vous permettent de réaliser, juste àcôté de chez vous, vos démarchesadministratives, que ce soit dans le domaine dusocial, de l’enfance, du logement, ou desdemandes de cartes d’identité. À noter que lesmairies Wiener et Fossés-Jean peuvent réaliserdes passeports biométriques. Celles-ci sontouvertes le lundi de 13h30 à 17h30 et du mardiau vendredi de 9h à 12h et de 13h30 à 17h30.

Adresses mairies de proximité :- Aragon, 20 place Aragon. 01 41 19 49 80- Europe, 34 avenue de l’Europe. 01 41 19 43 70- Fossés-Jean/Stade, 107 avenue de Stalingrad.01 41 19 48 70

- Wiener, 19 rue Wiener. 01 41 19 49 60

Àsa

voir

Le top des prénoms de ces 12 derniers mois à Colombes

Garçons1. Adam2. Mohamed3. Amine4. Gabriel5. Ilyes6. Raphaël7. Théo8. Maxime9. Rayan

Filles1. Inès2. Lina3. Sarah4. Jade5. Chloé6. Emma7. Yasmine8. Léa9. Léna

Décès d’André Guillier

La commune se joint à la douleur de lafamille d’André Guillier, décédé d’unarrêt cardiaque, le 29 décembre 2009.Pionnier du badminton, il avait créé lepremier club local en 1958 au sein del’Etoile Sportive Colombienne. Il futégalement l’un des fondateurs de laFédération Française de Badminton,en décembre 1978. À 86 ans, ils’adonnait encore à cette discipline,dont il fut le serviteur tout au long desa vie. Ses obsèques ont eu lieu lemardi 5 janvier, en Vendée aux Sablesd’Olonnes, son lieu de résidence.

Illyan ABDEDDINE, Aymen ACHAHBOUNE, Marwa AHMED, Aïssa AÏDARA, Nour AÏT ETTALBA, Chahinez AKHCHINE, AmineAKRICHE, Rim ALAHYANE, Eva ALEXANDRE, Zayd ALI SOILIHI, Benjamin ALLIX, Ines ALVAREZ-SONGEONS, Abdel ANAJJAR,Kays ARABI, Suzanne ATIE, Amir ATIYA, Tom BACLE, Adam BAHRI, Chérine BAIA, Alexandre BARLET, Lucie BARLET, GustavBASSET-SORDET, Isaïa BASSOUAMINA, Ylhan BAYOUD-LORRAIN, Essyle BEL HACHEMI, Fahim BELMAHI, Aminedine BENHALIMA, Inès BEN M’BAREK, Youmna BEN SASSI, Lina BENAICHA, Ilyass BENCHEIKH, Yassine BENCHEIKH, Rida BEN-NAQOS, Sarah BENOUMECHIARA, Ylias BENSAADIA, Adam BERIBECHE, Maïssane BERKANE, Geoffroy BESSON, LiliaBETATA, Aïssa BINET, Maxime BLANCHARD, Chanel-Kelly BLANCHERY, Nayella BORDAS, Ismaill BOUAICHAOUI, MohamedBOUAZIZ, Celliya BOU-IRIG, Lyna BOULERHCHA-COCLIN, Naïm BOUROKBA-VIGOUREUX, Marwa BOUSSOUF, NissrineBOUTOU, Hanna BROUK, Alix BURGUIERE, Elsa CAFFIER, Joshua CANIAH, Eliot CEYRAT, Tony CHAGNY, Alice CHANDRA-SEKARAN, Anaé CHAPELIER, Mathis CHARLES, Syrine CHEKROUN, Naïl CHELLAT, Anna CHEVALLIER, Yuna CHOU, SimonCLAIRAND, Maxence COCHIE, Jeelan COLIN, Mama CONTÉ, Noëlie COUDRAY, Diané COULIBALY, Lamine DAGO, ChloéDELICE, Aymeric DELIENNE, Valentin DELL’AGNESE, Marouane DEMANE, Nelia DESCHAMPS, Bérénice DESGREES, KenzoDESLOIRE, Angèle DEVRED-THERET, Clémence DIOT, Teïcir DISSEM, Lina DJIDEL, Camélia DJILALI BENZIANE, Yélène DONASCIMENTO, Michelle DOUIN, Adam DOUROUNI, Cassien DRAKES, Telmo DUARTE, Eva DUFLOT-MORARD, Tali DUFOUR,Alexandre DUREY, Sarah EDDAHBI-WATEL, Sarah EDDAHBI-WATEL, Bilal EL MOUAHID, Fadi EL SABAROUT, Youssef EL-HADDAD, Mateo EMBER, Lilian ETOA, Justin FABRE, Soulaymane FARIH, Anaelle FERNANDES, Vadim FERNANDEZ, RyanFERRAH, Killyan FEUGAS-DALOZ, Ismaël FOFANA, Bradston FONTANNAZ, Alexandre FOVET, Chloé FRANCISCO DA SILVA-PINTO, Zakarya GADHI, Oyuna GASCHET-BAZART, Quentin GAY, Maxandre GOHOU, Sacha GREINER, Théo GRONDIN, Fay-rouz GUENDOUZI, Marwa GUENFOUD, Basma GUERRAB, Meissane GUESSOUM, Raphaël GUILLEM, Lizéa GUILLOT, LouiseGUILLOTIN, Adeline HALARD, Marwa HAMDAN, Lyes HAMRI-KHEDDAM, Anis HARIR, Arnaud HASTOY, Delphine HASTOY,Lucas HAUTOT, Marwan HECHAI, Moema HEGGEDAL-YAMGNANE, Alexis HENNECART, Kris HENRY, Adam HNIKI, SanaHOCINE, Mohamed HOUSNI, Soheil IABASSEN, Ilyan IACHOUREN, Sofia IBRAHIMI, Lou ICART, Arthur LCHYSHYN, IsmaëlINNOUR, Rihanna IWO, Nolia JACOPIN, Bilel JMIL, Tidjane KANE, Rania KASSOU, Léon KATALAY, Miled KHABABA, WassimKHECHEKHOUCHE, Wissam KHIAT, Daven KITUKA MALONGA DJAMBA, Katia KLALECHE, Christenvie KONDE MVUMBI,Maëlys KOPARANIAN, Mamadi KORA, Céleste KOWALEWSKI, Melvyn LABUTHIE, Shannel LACHEVRE, Mahone LAMON,Oscar LAPIERRE, Corentin LE BORU, Malo LE GOFF, Lily LEBRET, Antony LEPORI, Sacha LESUEUR, Augustin LÉVÊQUE, VictorLOCATELLI, Noé LOZANO, Clara LUNEAU, Kayna LYAZIDI, Mahamadou MACALOU, Tatiana MACEDO FREITAS, Gabin MAGA-GNOSC-GAILLARD, Lina MAHFOUD, Layal MAHMOUD, Louis MAHUZIER, Paul MAHUZIER, Inès MAISTO-RAMBLES, GaëlMAKANGOU-SENGA, Imane MAKHLAF, Najet MANSOURI, Ethan MARMOUGET, Benjamin MARTEAU, Aya MASAOUDI,Dylonn MAVOUNZA-GOUÉNÉ, Nouyman MAZOUNI, Nour MECHAKRA, Youssef MERIMI, Yasmine M’HAMED, AmélieMILLET, Morlyse MILONGO-TONDO, Aliya MILOUDI, Radwan-Adrien MOUSSA, Emma MOUSSAOUI, Pauline MUTIN, MaëvaNABAL, Méllina NAÏT CHALAL, Amir NAKES, Aaron NANA-MAMBO, Cameron NANA-MAMBO, Léna NDIAYE, AnthonyN’GBESSO, Princesse NIANZOU, Jasmine NINI, Léa NIRCHIO-DOS SANTOS, Nolan de Banega NKOUINDJEU LENDA, AfnaneNYADI, Sofia OUABDESSELAM, Mahéra OUALAA, Kessialy OUBLIÉ, Marwa OUCHANI, Aomar OULD LAMARA, Assiya OUT-TALEB, John-Keliv PAPA MOSENGO, Alya PELMONT, Paulo PEREIRA DA COSTA, Chloé PERROT, Sherina PIED, ClémencePINTÉ, Clara PINTO TEIXEIRA, Leigh-Ann PITOY DE CARVALHO, Antoine POLOMACK, Antoine PORRAS-ANDJI, MadalinaPRICOP, Corentin QUERALT, Malak RAHMOUN, Sabrine RAÏAD, Damian RAUZDUEL, Ayman REDJIMI, Mellina RIAHI, RonnieROGER, Antoine ROMANG, Liam ROQUE, Guillaume ROUMEAUX, Noé RUELLE, Issam SAAD, Ismaël SAHRAOUI, YamineSAID, Anas SAID, Alexis SAINT-PIERRE, Lina SAKOUAT, Kostia SAMSON, Oscar SAROUL, Haïtem SAYAH, Mahera SCRIPZAC-BEN AMAR, Adam SEGHOUR, Lina SEHILI, Lou SIMMEN, Julia SOMMA, Yaakoub SOUILAH, Ahmed STEING, BhoomikaSUNTHARALINGAM, Jordan SYLVAIN, Daniel TABET, Yassine TAIFOUR, Joris TASSEMBEDO, Yanis TATDJA SANDJONG, IyadTEBOURSKI, Léonie TERRIER, Maxence TEXIER, Colombe THIRIEZ, Sasha TOLEDANO, Rayane TOUATI, Abissiri TOURE,Nadiata TRAORE, Marie TURBOT, Selma TYZRA, Lenny VALLÉE, Éliott VERDE, Mathias VERDE BARBOSA, Pierre-AlexandreVERNHET, Luce VIOT, Eden VIRAPIN-ROMET, Djayson WLADO-SALOMOND, Aude YABA, Nabil YAHI, Fatima YAMUSA,Sanaa YASSINE, Jessica YU, Louna ZAHAR, Sarah ZAÏDI, Marwane ZAOUI, Jade ZEGGOU, Ayoub ZERROUKI-ABDICHE,Rayan ZIBOUCHE, Lina ZITOUNI, Sondos ZORAR.

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INFOS

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Les élus vous reçoiventsur rendez-vousMairePhilippe SARRE ......................................01 47 60 82 78

adjoints au maireMaurice LOBRY ......................................01 47 60 82 331er adjoint. Finances, budget et vie économique.Michèle FRITSCH ...................................01 47 60 43 61Affaires scolaires, restauration.Déléguée des quartiers Nord-Est.Patrick CHAIMOVITCH ..........................01 47 60 82 69Urbanisme et aménagement.Michèle ETCHEBERRY ..........................01 47 60 82 57Affaires sanitaires, sociales et handicap.Bernard DESTREM .................................01 47 60 43 61Travaux, voirie et bâtiments.Zineb AKHARRAZ ...................................01 47 60 82 55Petite enfance.Bernard DANILO .....................................01 70 72 18 85Personnel et Affaires générales.Véronique MONGE .................................01 70 72 18 70Habitat et logement.Alexis BACHELAY ..................................01 47 60 82 57Développement durable, transports et stationnement.Catherine BERNARD ..............................01 47 60 82 69Environnement et maîtrise des énergies.Édouard PHANOR ...................................01 70 72 18 67Jeunesse et nouvelles technologies.Évelyne BOUCHOUICHA........................01 47 60 43 61Enfance, centres de loisirs et de vacances.Kamel BOUHALOUFA.............................01 47 60 82 55Sport. délégué des quartiers Nord-Ouest.Martine ANTOGNAZZA .........................01 47 60 82 57Politique de la ville emploi et insertion.Dominique FRAGER................................01 47 60 82 69Culture et Patrimoine.Chantal BARTHÉLEMY-RUIZ ................01 47 60 82 55Vie associative, jumelage et ancienscombattants. Déléguée des quartiers Sud.Aïssa BEN BRAHAM..............................01 47 60 43 61Démocratie locale, vie des quartiers et citoyenneté.

Conseillers municipauxNicole MARLIAC ....................................01 47 60 43 61Concertation avec les habitants.Noël ARCEDIANO ...................................01 70 72 18 85Communication et événementiel.Christiane CHOMBEAU-SOUDAIS ........01 47 60 82 57Sécurité routière. Viviane LE GUENNEC.............................01 70 72 18 85Affaires générales.Philippe LE PREVOST ............................01 70 72 18 85Commerce et artisanat.Yahia BOUCHOUICHA............................01 47 60 43 61Logement et gestion de proximité.Philippe PATTIER....................................01 47 60 82 55Sport scolaire.Michelle MACÉ ......................................01 47 60 43 61Handicap.Catherine LAIGLE ...................................01 47 60 43 61Réussite éducative et Coup de pouce.Yaye Amy DIOP .......................................01 70 72 18 70Logement des personnes défavorisées.Élizabeth CHOQUET ...............................01 70 72 18 67Restauration.Kamel ESSAIED ......................................01 70 72 18 67Nouvelles technologies.Patricia PACARY ....................................01 47 60 43 61Centres de vacances.Habib BENBELAID..................................01 47 60 43 61VoirieFrédéric-Farid SARKIS ..........................01 47 60 82 69Économie sociale et solidaire.Nora DJEBBARI ......................................01 70 72 18 67Jeunesse.Julien GAUTIER ......................................01 70 72 18 85Prévention et sécurité.Christelle VÉTIZOUT ..............................01 47 60 82 57Démocratie locale – Gestion urbaine de proximité.Claire GAGNIERE....................................01 47 60 82 69Cadre de vie.Salem BELGOURCH................................01 47 60 82 55Jumelage et coopération décentralisée.

Mois de févrierDimanche 7 févrierPharmacie PITARD333 rue Gabriel Péri01 47 82 18 04

Dimanche 14 févrierPharmacie COHEN53 rue du Bournard01 42 42 09 09

Dimanche 21 févrierPharmacie DOASSANS15 place du Général Leclerc01 42 42 06 20

Dimanche 28 févrierPharmacie HORON132 avenue Henri Barbusse01 42 42 12 42

Dimanche 7 marsPharmacie AMZALLAG-BENDENOUN28 rue Saint-Denis01 42 42 32 77

Le maire dans les quartiersConsultez l’ensemble des visites du maire sur le site Internet :www.colombes.fr

Vos conseillers généraux sur rendez-vousBernard Lucas, conseiller général du canton nord-ouest vousreçoit sur rendez-vous à la mairie de quartier du Petit-Colombes,place Aragon - 01 47 29 32 20.Michèle Fritsch, conseiller général du canton nord-est vousreçoit sur rendez-vous à la mairie centrale, place de laRépublique - 01 47 60 43 61.Nicole Goueta, conseiller général du canton sud vous reçoitsur rendez-vous à sa permanence, rue Saint-Lazare ou à l’hôteldu département à Nanterre – 01 56 05 50 94� ou 01 41 37 13 88.

Des élus à votre écouteVos élus sont à votre écoute sur les marchés Marceau, Aragon etdu centre-ville. Vous souhaitez échanger ou faire part de vosremarques concernant la vie de la cité… Rendez-vous lessamedis et dimanches de 10h à 12h30 dans les chalets munici-paux. Chaque demande est adressée dès le lundi suivant aux ser-vices municipaux concernés.

UrgencesPompiers………………………………………………18Police secours ………………………………………17Urgences médicales …………………………………15Commissariat………………………………01 56 05 80 20Police municipale …………………………01 47 60 41 48Centre anti-poison …………………………01 40 37 04 04Urgences dentaires (jours fériés)……………01 47 78 78 34Urgences vétérinaires ……………………01 43 96 23 23S.O.S. médecins……………………………01 47 07 77 77EDF-Dépannage 24 h/24 ……………………0810 333 192GDF-Dépannage 24 h/24 ……………………0810 433 192Eau et force 24 h/24 …………………………0810 878 878S.O.S. propreté no vert ………………………0800 47 60 00S.O.S. cadre de vie no vert …………………0805 11 93 94Femmes victimes de violence 92 …………01 47 91 48 44Bureau d’aide aux victimes ………………01 46 49 78 45Écoute enfance 92 …………………………0800 009 292SOS femmes battues ………………………………39 19Drogue info service no vert …………………0800 231 313Accueil sans abri no vert ……………0800 306 306 ou 115Vous cherchez un médecin de gardetéléphonez au commissariat de Colombes…01 56 05 80 20

Santé publiqueService Hygiène Santé (contrôles sanitaires) :01 47 60 81 21 - 549 rue Gabriel Péri, ouverture du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 18h.Centre Municipal de santé0142424148 - 267 bis rue des Gros Grès. Consultations de médecinegénérale et spécialisée: radiologie, service dentaire. Du lundi au ven-dredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 19h, le samedi de 8h30 à 12h.Service prévention santé01 47 60 80 26 - 549 rue Gabriel-Péri. ouverture du lundi au vendredi de 9h à 12h30 et de 13h à 17h.Hôpital Louis Mourier : 178 rue des Renouillers - 0147606162.

Collecte des déchetsvolumineux«Ma déchèterie mobile » disponible de13h à 18h.- le lundi, rue Irène et Frédéric Joliot-Curie,- le mercredi, angle GambettaMénelotte,Ou contactez les encombrants au0800476000. Les encombrants doivent être sortis auplus tôt la veille du rendez-vous après21h et déposés devant l'habitation.

Conseil municipalLe prochain conseil municipal se déroulerale jeudi 4 février, à 19h30 à l’Hôtel de ville.

Hôtel de villePlace de la RépubliqueTél. : 0147608000 - Fax : 0147608085Horaires d’ouverture:Du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30sans interruption et le samedi de 9h à 12hAccès bus : 304, 166, 167, 367, 378, 566

Colomb’bus (366).Parking public. Entrée rue de la Liberté.

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Olé Bodega

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