NICE (06) 128 AVENUE DE FABRON - Alpes-Maritimes

Forages - Pénétromètres - Essais in situ - Laboratoire - Conseil en Mécanique des SolsSociété par actions simplifiées au capital de 72 000 Euros – SIRET 444 061 766 Immatriculée au RCS AIX-EN-PROVENCE – APE 7112B

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opqibiCERTIFICAT

N° 77 04 0008

NICE (06)

128 AVENUE DE FABRON

PROJET IMMOBILIER

RAPPORT D’ÉTUDE DE SOL PRELIMINAIRE

INDICE AFF DATE MISSION SUJET DE REVISION INGENIEUR VERIF.

0 49415 07/07/2017 G2-AVP 1ère Diffusion R. FAURIEL /gd/sr J.M.A

AFF. 49415 Rapport G2-AVP 07/07/2017 Page 2 sur 13NON REPRODUCTIBLE

SOL-ESSAIS

TABLE DES MATIÈRES

I – CONSISTANCE DE LA RECONNAISSANCE 3

II – RÉSULTATS 3

II.1 – FORAGES DESTRUCTIFS ET ESSAIS PRESSIOMETRIQUES 4II.2 – CONTEXTE GEOLOGIQUE ET GEOTECHNIQUE 4

III – PREMIERES CONCLUSIONS 8

III.1 – FONDATIONS 8III.2 – TERRASSEMENTS 9III.3 – DRAINAGE 12III.4 – REGLES PARASISMIQUES 12

IV – ANNEXES 13


SOL-ESSAIS

La SNC MARIGNAN RESIDENCES a confié à la société SOL-ESSAIS lareconnaissance de sol et l’étude géotechnique préliminaire destinées àorienter le choix des principes généraux de fondations d'un ensembleimmobilier dont l'édification est envisagée sur un terrain situé 128 Avenue deFabron à NICE (06).

I – CONSISTANCE DE LA RECONNAISSANCE

Compte tenu des difficultés d'accès sur le terrain à l'heure actuelle, notreintervention a dû être limitée à la juxtaposition d'un forage destructif avecenregistrement continu des paramètres et d'un forage carotté de corrélation.

Le forage destructif a été descendu vers 15,10 m de profondeur et a permisl'exécution de 5 essais pressiométriques répartis dans les différentes couchestraversées en vue d'apprécier leurs qualités de compacité et d'homogénéité.

Le forage carotté a été descendu à 15 m de profondeur et a permis lareconnaissance visuelle des terrains traversés avec prélèvement de 2échantillons intacts notamment vers 12,50 m et 13,50 m de profondeur.

Le forage a ensuite été équipé, jusqu'à 15 m de profondeur, avec un tubepiézométrique crépiné, permettant d'évaluer le niveau des circulations d'eausouterraines éventuelles.

Notre intervention s'inscrit dans le cadre d'une mission de type G2 AVP, selonla norme NFP 94-500.

II – RÉSULTATS

On trouvera en annexe :

le graphique de forage destructif 49415 FP1, ainsi que les résultats d'essaispressiométriques s'y rapportant,

la coupe du forage carotté 49415 F1,

un plan d'implantation des sondages 49415-1 sur fond de plan de masse.


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Les cotes de départ des sondages ont été rattachées au nivellement du plande géomètre qui nous a été communiqué.

II.1 – Forages destructifs et essais pressiométriques

FORAGES DESTRUCTIFS

Les forages destructifs ont été réalisés avec un enregistrement continu desparamètres de foration, à l’aide d’un appareil de type LIM-5G.

Sur le graphique n° 49415-FP1, on peut lire, de gauche à droite :

. La vitesse instantanée d’avancement (VIA), graduée de 0 à 300 m/h ; ceparamètre traduit la compacité et la cohésion des matériaux ; il permetégalement de déceler d’éventuels vides ou zones de frottementdécomprimées ;

. La pression d’appui sur l’outil (PO), graduée de 0 à 100 bars ; cette pressionest normalement maintenue constante ; ses variations éventuelles servent àcompenser les vitesses d’avancement ;

. La pression du fluide d’injection (PI) graduée de 0 à 30 bars ; ses variationstraduisent la cohésion du matériau ; son augmentation correspond souvent àun faciès argileux ou marneux ;

. Le couple de rotation (CR), gradué de 0 à 200 bars.

ESSAIS PRESSIOMETRIQUES

. La pression limite (Pl) et la pression de fluage (Pf), graduées de 0 à 10 MPa.

. Le module pressiométrique (Em), gradué de 0 à 300 MPa.

II.2 – Contexte géologique et géotechnique

Le terrain concerné par le projet est situé dans une zone où prédomine,normalement, un substratum conglomératique ou marneux d'âge Pliocène,caractéristique des collines de NICE, mais ces formations sont généralementsurmontées par des produites meubles de couverture et d'altération diversainsi que par d'éventuels remblais consécutifs à l'aménagement du site.


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Ces dispositions générales sont bien confirmées par les résultats dessondages.

Au droit du forage F1, on constate en effet la présence, au moins jusqu'à1,50 m de profondeur, de matériaux à faciès sablo-caillouteux contenant desdébris divers et qui semblent pouvoir être rattachés à des remblaisanthropiques.

Ces formations se traduisent, en forage destructif, par des vitessesd'avancement irrégulières et surtout très rapides pouvant atteindre plus de200 m/h.

Ces horizons ont été détectés en FP1 jusqu'à 2,80 m de profondeur environ.

Au-delà, on enregistre une assez nette diminution des vitesses d'avancementenregistrées mais ce paramètre reste néanmoins toujours très irrégulier avecdes augmentations locales correspondant à des passées pulvérulentes etvraisemblablement plus résistantes.

De telles zones sont notamment détectées vers 4 m ainsi que vers 5,50 m à6 m de profondeur.

Ce type de terrain semble particulièrement hétérogène ainsi qu'entémoignent les observations visuelles qui ont pu être effectuées au droit duforage carotté F1.

Au niveau de ce sondage, les matériaux recoupés entre 1,50 m et 11 m deprofondeur apparaissent en effet constitués d'un ensemble hétérogène dematériaux sablo-graveleux à caillouteux entrecoupés de passées plus fines.

Ce point semble notamment validé par l'examen du graphiqued'enregistrement du forage destructif et plus précisément par la variation dela pression d'injection du fluide de forage.

Ce paramètre augmente en effet de manière plus ou moins marquéecorrespondant vraisemblablement aux passée fines à faciès limoneux àlimoneux argileux décrites ci-dessus.

Les caractéristiques pressiométriques mesurées dans ces formationsapparaissent également assez irrégulières mais restent généralement élevées.


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Dans les zones les plus altérées, présentant vraisemblablement une structurefine prédominante, la valeur de pression limite mesurée notamment vers7,50 m de profondeur, atteint 2,3 MPa pour un module pressiométrique del'ordre de 25 MPa.

Dans les zones à structure plus grossière, les caractéristiquespressiométriques mesurées augmentent sensiblement, atteignant une valeurde 3,7 MPa vers 6 m de profondeur, pour un module pressiométrique de 72MPa mais, si la compacité moyenne de ces formations apparaît généralementélevée, leurs degrés de cimentation semblent particulièrement variables et,au moins localement, très faibles.

Ce point semble d'ailleurs validé par les observations visuelles qui ont pu êtreeffectuées au niveau d'affleurements de conglomérats mal cimentés enpériphérie de la zone d'intervention.

Dans les zones conglomératiques, dont le degré de cimentation varierapidement, on obtient néanmoins des caractéristiques pressiométriquesrelativement élevées s'accompagnant de pressions limites supérieures à4 MPa pour des modules pressiométriques le plus souvent supérieurs à100 MPa.

A partir de 11 m de profondeur, l'examen du forage carotté F1 révèle laprésence de matériaux à faciès sensiblement différent présentant unestructure fine prédominante de type argileux à argilo-silteux.

Ces horizons, reconnus jusqu'à 15 m de profondeur, ne semblent pas setraduire, en forage destructif, par une modification significative des vitessesd'avancement et la pression d'injection du fluide de forage restegénéralement assez élevée en profondeur.

Ce point n'a cependant pas pu être contrôlé par l'exécution d'essaispressiométriques dans la mesure où ce type d'essais n'a pu être réalisé dansles terrains recoupés en profondeur en raison de l'irrégularité des parois dutrou de forage.

Deux échantillons intacts ont pu être prélevés dans les matériaux argilo-silteux en profondeur, notamment vers 12,50 m et 13,50 m de profondeur.

Des essais d'identification et de cisaillement sont actuellement en cours enlaboratoire sur ce type de matériaux et leurs résultats feront l'objet d'unediffusion ultérieure.


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Le forage carotté F1 a été interrompu vers 15 m de profondeur au sein de ceshorizons, présentant, vers la base, un faciès plus sableux.

Un niveau d'eau, non parfaitement stabilisé, a pu être relevé vers 11,85 m deprofondeur dans le tube piézométrique installé en F1.

Ce niveau peut correspondre à l'eau résiduelle utilisée pour l'exécution duforage qui se dissipe lentement dans les matériaux plus fins en profondeur.

S'il n'existe pas de nappe phréatique au sens habituel du terme et à faibleprofondeur dans ce type de terrain, on ne peut cependant exclure la présencede venues d'eau localisées s'effectuant au sein de passages préférentiels plusperméables notamment à la suite d'épisodes pluvieux importants.

Ces venues d'eau peuvent varier saisonnièrement de façon importante aussibien en intensité qu'en répartition et peuvent, au moins localement,présenter un caractère permanent (sources).

Un suivi piézométrique de longue durée pourra, à notre sens, permettre depréciser utilement cette hypothèse.


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III – PREMIERES CONCLUSIONS

Selon les premiers éléments d'information qui nous ont été communiqués, leprojet doit comporter la construction d'un ensemble immobilier composé debâtiments de hauteur moyenne mais en grande partie encastrés dans leversant actuel.

III.1 – Fondations

L'adaptation au sol du projet, comportant une excavation de déblais degrande amplitude, devrait normalement permettre de recouper, au niveau dufutur fond de fouille, le toit des formations conglomératiques plus ou moinsbien cimentées ou à faciès argilo-marneux ou argilo-silteux, identifiépratiquement dès 1,50 m de profondeur en F1 et 3 m environ en FP1.

Dans ce type de matériaux, la contrainte admissible pour le dimensionnementdes fondations peut atteindre une valeur de l'ordre de 0,45 MPa (contrainteELS), au prix d'un encastrement à pleine fouille sur au moins 0,50 m dans lescouches en place.

Afin de conserver une assise homogène pour l'ensemble du projet, ilconviendra bien entendu que les fondations soient partout établies dans cetype de matériaux ce qui pourra, au moins localement, nécessiter desadaptations particulières.

Le niveau d'assise des fondations pourra ainsi être utilement précisé lorsqueles conditions d'accès sur le site permettront la réalisation d'une campagned'investigations à mailles plus serrées.

Ces sondages permettront notamment de préciser la position du toit descouches d'assise, leurs qualités mécaniques ainsi que leur continuité enprofondeur.

Entre les bases de fondations voisines établies à des cotes différentes, onrespectera une pente au plus égale à 3/2 (3 à l'horizontale).

Une condition de ce type sera également vérifiée pour les fondations prochesd'un talus ou d'un ouvrage de soutènement.


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Le respect de cette condition implique, bien entendu, de débuter les travauxpar la zone où les fondations sont, a priori, les plus profondes.

La présence possible de matériaux plus altérés sous l'emprise des futursfondations pourra, au moins localement, nécessiter des adaptations telles quepurges de zones peu compactes et substitution par des épaisseurs adaptéesde gros béton de rattrapage.

Ces zones, de faibles résistances, sont notamment caractérisées par desaugmentations locales de vitesses d'avancement à l'image de celle qui a étédétectée vers 4 m de profondeur environ en FP1.

Lors des travaux, on portera donc attention à toutes variations de faciès ouanomalies pouvant justifier des adaptations particulières.

III.2 – Terrassements

Un des problèmes essentiels de ce projet apparaît ici lié à l'exécution deterrassements de déblais de grande ampleur recoupant des formations dequalités mécaniques irrégulières et souvent médiocres avec présence d'unenvironnement sensible.

La prise en compte du plan de zonage de l'aléa "mouvements de terrainsnaturels" conduit également à prendre en considération la classification de lazone de construction avec une partie correspondant à une zone rouge pourl'aléa "ravinements" et une partie en zone bleue "éboulements -ravinements".

Dans ce contexte, il convient donc de proscrire absolument toute ouverturede fouille en grande masse, à l'avance et sans précautions particulières auprofit d'un terrassement effectué à l'abri d'ouvrages de soutènementconvenablement dimensionnés et drainés, pouvant par exemple êtreconstitués par des parois de soutènement de type berlinois.

Ces ouvrages seront notamment constitués d'éléments verticaux de forteinertie scellés dans des forages réalisés à l'avance et stabilisés à l'avancementdes terrassements par des tirants d'ancrage, si le voisinage le permet, ou pardes systèmes de butonnage interne.


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En attente des résultats d'essais de laboratoire actuellement en cours, noussuggérons de tenir compte, pour la conception des ouvrages de soutènement,de la stratigraphie et des caractéristiques géomécaniques de masse moyennessuivantes, en fonction des résultats des deux sondages réalisés sur le terrain :

Couche n°1 : remblais et terrains meubles de couverture (ép. moyenne 2 m)

- poids volumique humide 20 kN/m3

- cohésion nulle- angle de frottement interne maxi 30°

Couche n°2 : conglomérat sablo-caillouteux souvent mal cimenté (ép.moyenne 10 m en F1)

- poids volumique humide environ 23 kN/m3

- cohésion à court terme maximum 5 à 10 kPaen l'absence de venue d'eau d'infiltration

- cohésion à long terme nulle- angle de frottement interne à court terme environ 28 à 30°- angle de frottement interne à long terme environ 34 à 36°

Couche n° 3 : formations argilo-silteuses à marno-sableuses

- poids volumique humide environ 22 kN/m3

- cohésion à court terme environ 10 à 15 kPaen l'absence de venue d'eau d'infiltration

- cohésion à long terme maximum 5 kPa- angle de frottement interne à court terme environ 28 à 30°- angle de frottement interne à long terme environ 32 à 34°

Ces caractéristiques correspondent à un comportement d'ensemble drainé desterrains soutenus et devront donc être précisées par l'exécution d'investigationscomplémentaires dès que les conditions d'accès sur le site le permettront et aumoyen des résultats d'essais de laboratoire actuellement en cours.

Par ailleurs, elles pourront être utilement validées par l'exécution des travaux defondations spéciales qui devront être considérés comme des reconnaissances desol complémentaire à l'avancement.

Il est également nécessaire de prévoir l'auscultation du comportement desouvrages de soutènement conformément à la méthode observationnelle décrite àl'Eurocode n° 7.


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Cette instrumentation reposera notamment sur la mise en place de ciblestopographiques sur les ouvrages de soutènement ainsi que sur les constructionsavoisinantes, complétée par une auscultation inclinométrique du comportementdes parois.

En cas d'anomalies, le projet devra être adapté.

Le recours à la mise en place d'éléments de type tirants d'ancrage, nécessitera lescellement de ces derniers dans les couches conglomératiques plus ou moins biencimentées en prévoyant la mobilisation d'un frottement latéral limite Qs del'ordre de 120 kPa, mais cette valeur, qui correspond à une injection descellement de type IGU, devra cependant être précisée par l'exécution d'essais detraction préalables à longs paliers de fluage poussés à la rupture.

La classification du site, au regard de l'aléa "mouvements de terrains naturels" etla sensibilité des matériaux conglomératiques souvent mal cimentés quiprédominent dans la zone de construction, imposent, à notre sens, la réalisationsystématique d'ouvrages de soutènement dans toutes les zones où sont prévuesdes excavations de déblais.

Une vérification de stabilité au grand glissement de la zone de construction devraégalement être prévue intégrant l'ampleur des excavations projetées et lessoutènements prévus à cet effet.

Enfin, il conviendra également de proscrire la mise en place de remblais épais parsimples déversements afin de ne pas compromettre la stabilité d'ensemble dusite.

L'exécution des terrassements de déblais peut cependant conduire à recouper, aumoins localement, des zones de conglomérats mieux cimentés pouvant nécessiterl'emploi de moyen lourd de déroctage.

Ces techniques devront bien entendu rester compatibles avec l'environnementurbain dense du chantier et nécessiteront donc la mise en place, après exécutionde planches d'essais, d'une auscultation spécifique au moyen de capteurs devibrations installés sur les constructions situées dans la zone d'influence du projet.


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III.3 – Drainage

Ce point prend ici une importance prépondérante.

Toutes les venues d'eau qui pourraient apparaître en cours de travauxdevront être soigneusement captées et reliées au système général dedrainage et d'évacuation qui, en phase provisoire comme en phase définitive,protégera l'ensemble des parties enterrées du projet.

Ces dispositifs drainants seront convenablement maillés et posséderont desexutoires suffisants implantés de manière non dangereuse pour le projet etson voisinage.

Dans le cas où des venues d'eau persistantes seraient constatées en cours detravaux, on prévoira la mise en place de dispositifs drainantscomplémentaires tels que drains forés par exemple.

L'incidence de la mise en œuvre de tels éléments sur les aménagementsvoisins devra cependant faire l'objet d'une analyse préalable.

III.4 – Règles parasismiques

En application de la norme NF EN 1998-5, la prise en compte des résultats desinvestigations géotechniques et les recommandations qui en découlent enterme de choix de fondations, nous conduisent à proposer le classement dessols d'assise du projet dans la catégorie « B ».

Biot, le 7 juillet 2017

Roger FAURIEL


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IV – ANNEXES

Graphique de forage destructif 49415 FP1, ainsi que les résultats d'essaispressiométriques s'y rapportant

Coupe du forage carotté 49415 F1

Plan d'implantation des sondages 49415-1 sur fond de plan de masse

FP1

NICE


Remarque :

Destructif avec essais pressiométriques

78,20 mZ : 23/06/2017Date :

0,00 mDébut :

15,12 mFin :

1 / 100Echelle :

X :

Y :

1 / 1Page:

N° Affaire : 49415

Type :.

VIA(m/h)

0

1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

11

12

13

14

15

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18

19

20

0 15

0

30

0

PO (bar)

0 50

10

0PI (bar)

0 15

30

CR (bar)

0 10

0

20

0

PF (MPa)

0.0

1.0

2.0

3.0

4.0

5.0

6.0

7.0

8.0

9.0

10.0

11.0

12.0

13.0

14.0

15.0

16.0

17.0

18.0

19.0

20.0

3.82

2.79

> 2.32

> 4.89

> 4.88

PL(MPa)

0 5 10

> 4.74

> 3.75

> 2.32

> 4.89

> 4.88

Em(MPa)

0 15

0

30

0

109.

872

.125

.3

265.

3

188.

8

Em/Pl

<23.16

<19.23

<10.90

<54.25

<38.70T

ubag

e ø

95

LS à

12m

00T

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SOL-ESSAIS 460 Avenue Jean Perrin - 13851 AIX EN PROVENCE Cedex 3

NICE

Tél. 04 42 39 74 85 - Télécopie 04 42 39 73 91 - e-mail : [email protected]

FORAGE CAROTTE


COTE DE DEPART :

CO

TE

S

PR

OF

ON

DE

UR

EPA

ISS

EU

R+78,35

NATURE DU TERRAIN

Date : 19-20/06/17 N° : 49415

Récupération(%)

F1+Piézo.

Symboles OBSERVATIONS

20 40 60 80

+76,85

+67,35

+63,35

1,50

1,50

11,00

15,00

9,50

4,00

Remblais sablo-caillouteux grisâtre à beige avec débrisdivers à la base.

Ensemble hétérogène de sables fins beige crème à grisâtre,avec passées de galets et graviers roulés mal récupérés.Quelques passages limono-argileux beige crème vers4m60, 5m10, 6m80, 7m80, 8m60 et 10m60 sur desépaisseurs de l'ordre de 0,10 à 0,20 mètre environ.

Argile limoneuse à silteuse, beige crème, assez plastiquenotament en tête avec quelques galets épars.Ensemble plus homogène et mi-consistant à partir de11m60 environ.Passée plus sableuse vers 14m30.

Tracé le 05/07/2017

Pié

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ø 5

2/6

0 à

15m

00 -

cré

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0m

00 à

15m

00 a

vec

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eau à 11m85

le 04/07/2017

RF / AD Fin de forage carotté à 15m00 - 15 caisses

Tub

age

ø 1

40 à

12m

00

EI 1 de 12,50 à 12,75

EI 2 de 13,50 à 13,80

Documents

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