Nexus 65 - Dogme vaccinal - Sauf qui peut (nov 2009)

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    Aprs la psychose entrete-

    nue par les mdias au deuxime

    trimestre, il est maintenant av-

    r que la grippe A nest quune

    grippette .

    De quoi les Franais ont-ils peur ?

    Du vaccin ! Non seulement, ils

    ont bien compris quune dan-

    gereuse mutation du virus ren-drait caduques les 94 millions

    de doses commandes (comme

    il faut refaire chaque anne le

    vaccin contre la trs mutante

    grippe saisonnire), mais ils en-

    trevoient surtout les dangers

    que recle un remde prpar

    la hte et qui pourrait savrerpire que le mal.

    Alors que nous mettons sous presse, il y a fort parier que la campagne vaccinale se soldera par unasco, moins quun paramtre ne revienne en force :la peur. En eet, dans un contexte conomique vacillant,les incertitudes du lendemain et langoisse de perdre sontravail pourraient tre les vritables dtonateurs dunebaisse collective de nos systmes immunitaires, prparant

    ainsi le terrain une potentielle pidmie.Il est curieux de remarquer que les deux remdes

    homopathiques majoritairement prescrits durant lagrippe de 1918 aux populations ananties par quatre ansde guerre sont Gelsemium et Bryonia, dont les symptmesmentaux collent bien la prsente situation : Tot mbl par comm i l cil nvoyait n pidmi por q totlhmanit pi librr d apprhnion t d prfac la cri conomiq, commente un homopathe via un

    billet post sur Internet. Avc Glmim (n 30 CH o 200 K),l apprhnion, la paralyi o la pr dntrprndr vont

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    p. 44 DrGirard : Une pidmie invente de toutes pices

    p. 46Adjuvants vaccinaux : ils sont partout !

    p. 48 Effets secondaires : qui sera responsable ?

    p. 50 Les non-vaccins seront-ils fichs ?

    p. 52Premiers vaccins, premiers dgts

    p. 55Les remdes qui marchent et quon nous cache auxmille ptales

    Dogme vaccinalSauf

    qui peut !

    fair plac la rnit t lprit dntrpri t avc Bryonia(30 CH o 200 K), c ra la pr d la pavrt qi ra fortmntdimin . On pourrait aussi ajouter Oscillococcinum,Inuenzinum et mme Inuenzinum Hispana (dilutionde la souche de la grippe de 1918, mais commander enSuisse !) pour complter le protocole. Face la Peur ,certains naturopathes penseront aussi immdiatement

    aux Fleurs de Bach spciques avec Mimulus (peurconnue) et Aspen (peur plus diuse). Face langoisse

    de la maladie, dautres remdes ne manqueront pasdapporter des solutions rassurantes tout en remplaantecacement les vaccins contre la grippe A, B C ou Z etdont on cherche toujours les tudes decacit !De fait, leur promotion par nos blouses blanchessapparente davantage une doctrine religieuse basesur la peur irrationnelle que lhomme ne peut se dfendre

    seul face dventuels agresseurs. Notre article en n dedossier montrera au lecteur quil nen est rien.

    Ralis par Pryska Ducoeurjoly

    AP Photo/Laurent Cipriani

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    Nexus : Dapr l ondag, la majori-t d Franai dit oppo la cam-pagn d vaccination d ma. Commnt -pliqr qajordhi lopinion ragi ?Marc Girard : Je crois quInternet y est pour beaucoup !En 1995, propos des dangers du vaccin contre lhpa-tite B, javais adress une lettre prophtique aux auto-rits sanitaires franaises1. Prsageant du scandale venir, elle est malheureusement reste sans rponse.

    Cette anne, jai crit une mise en garde similaire, maisje lai diuse sur Internet. Avec le relais des internau-tes, beaucoup plus actifs quil y a quinze ans, il sestpass un phnomne sans prcdent qui nest pas tran-ger, me semble-t-il, au recul du gouvernement !

    Vo pnz q l govrnmnt t n train d mo-difer ses positions ?Je suis persuad quune campagn obligatoir a trs s-rieusement t envisage. Lorsque le Jornal d Dimanchlche le mot, il sagit dune opration de test de lopinionpublique. Cest dailleurs ce moment-l que jai dcid

    dentrer dans le dbat parce que je pensais quon retour-nait la catastrophe, comme avec lhpatite B. Il sembleque mes interventions aient fait mouche puisque depuis naot dbut septembre, le gouvernement nen nit plus desemmler les pinceaux autour de cette question de lAuto-risation de mise sur le march (AMM) ! Le dbat a bascul.

    Qt-c qi cloch avc lAMM dan l ca prci dvaccin anti-H1N1 ?On na mme pas boucl la phase 2 quon est dj la phase 3.Bref, on met la charrue avant les bufs. Je mexplique : laphase 2, dans le dveloppement dun mdicament, cestdterminer le nombre optimal de doses auxquelles le pro-

    duit est ecace tout en veillant en valuer la tolrance.Elle dtermine les conditions de ralisation dessais surun plus grand nombre de patients. La phase 3, cest d-terminer si le mdicament est vraiment e-cace pour une population donne par rapportau traitement de rfrence. Cest le premierround de la pratique relle. Au terme de cettetape intervient la demande dAMM. Or, ici,on ne connat mme pas la dose et on armedj que la vaccination sadresse aux popu-lations les plus sensibles, exclues des essais, savoir les femmes enceintes et les nourrissons.

    Les autorits sanitaires sapprtent faire delexprimentation humaine grande chelle !

    Cest compltement illgal, mais cest ce qui sest passavec le vaccin contre lhpatite B : alors que les premierseets secondaires taient connus, ltat a assum la pour-suite des vaccinations en ces termes : La Commiion natio-nal d pharmacovigilanc ohait q lnqt rt ovrt,

    an dvaluer la scurit demploi des vaccins anti-hpatite Bchz l nfant t l norrion 2.

    Peut-on qualifer cette attitude de criminelle ?Au sens commun du terme, oui, cest criminel. Au sens p -nal et quoique je ne sois pas juriste, je pense quon pourraitsrieusement voquer la trompri et la mi n dangr dla vi datri . Pour le chef d homicid , il faudra attendrequil y ait des morts ce propos, passer commande pourle vaccin H1N1 des laboratoires dj mis en examen pourtromperie ou pour homicide, savoir GlaxoSmithKline etAventis, me semble tre un acte de conance inconscient !Placeriez-vous votre enfant dans un cours de piano dont le

    professeur est mis en examen pour abus sexuel sur mineur ?La prsomption dinnocence a aussi ses limites

    Vo ftigz ovnt l c d anti-vac-cinalit, pnz-vo q l vaccin contrla gripp aionnir oit millr ?Absolument pas, jai toujours t un faroucheopposant ce vaccin dont la neurotoxicit estreconnue. Cest lun des vaccins neurologique-ment les plus dangereux avec celui de la co-queluche et de lhpatite B. Il est par ailleursinecace : il sut de lire les rapports du Projet

    Cochrane, groupe de chercheurs indpendantsqui a analys toutes les tudes produites sur

    Derrire cegrand nimportequoi apparatsurtout la grandemisre delpidmiologiefranaise et sesincomptences.

    Dr Marc Girard :Ancien expert judiciaire impliqu dans de

    grandes afaires de sant publique (hormonede croissance, vaccin contre lhpatite B,

    Distilbne, thers de glycol),le Dr Marc Girard tire la sonnette d'alarme

    propos du vaccin contre la grippe A.

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    la grippe depuis quarante ans [voir notr prcdnt nmro,ndlr]. Sa neurotoxicit est connue depuis longtemps. Cenest qu partir des annes 2000 que le sujet, auparavantnotoire, est devenu tabou. Cest aussi partir de ces annesque les bnces pour les laboratoires ont t plus dici-

    les. Leurs bnces ont t menacs par lpuisement desgrands brevets et cest alors que les vaccins (peu onreux dvelopper) sont devenus un enjeu commercial.

    La command d 94 million d do rait-ll nmoyn d otnir lindtri pharmactiq ?Cest tout fait possible. Aventis est notoirement dans unesituation dlicate. On a invent de toutes pices une pid-mie qui nexiste pas : le nombre ociel de victimes variechaque semaine entre 5 000 et 20 000 ce qui reprsente unnorme cart, o lon fait par ailleurs volontiers lamalga-me avec la grippe classique. Les tests rapides ne sont abso-lument pas ables et celui bas sur la technique PCR cote

    bien trop cher pour tre manipul en routine. Derrire cegrand nimporte quoi apparat surtout la grande misre delpidmiologie franaise et ses incomptences. Ensuite, ona bien le droit de souponner une subvention dguise lun de nos gants pharmaceutiques en dicult3. Depuisla n des annes 90, on sait que cette industrie a besoin desvaccins pour se refaire une sant.

    Commnt fair alor por limitr c lobbying ?Cest hypocrite de limiter les critiques au secteur phar-maceutique. Dans cette aaire, il y a plusieurs verrous quidevraient fonctionner : lAfssaps, les mdecins, et les orga-

    nismes de remboursement. Tous sont complices des drivesdune politique coteuse au contribuable et inecace, qui

    exclut le dbat sur les eets secondaires au nom de la pr-vention. ce titre, je suis contre la prvention !

    Vo nt mm pa por n ptit vaccin anadjvant ?

    Je me me aussi de celui-l ! Baxter est le premier avoirannonc sa mise au point en faisant valider un nouveauprocd de production virale sur des cellules de singe etnon duf. Cest extrmement risqu ! Par rapport unemodication aussi considrable, les tudes auraient dprendre des annes avant dobtenir une autorisation. Si ondevait me vacciner de force, je prfrerais encore un vaccinavec adjuvants !

    Propos recueillis par Pryska Ducoeurjoly

    Notes1. Adresse en mai 1995 au Blltin pidmiologiqHbdomadair(le journal de lInVS), lettre disponible sur le sitede Marc Girard sous le titre Un prcdent inquitant mais pas

    imprvisible 2. Commission nationale de pharmacovigilance. Extrait du procs-verbal de la runion du 12/10/953. Il y a un an, Grard Le Fur, le PDG de Sano-Aventis, taitremerci pour mauvais rsultat, aprs lchec de lAcomplia, lapilule anti-obsit, retoque en juin 2007 par les experts de la Food& Drug Administration au vu des troubles dpressis quil pouvaitprovoquer. Le cours de lentreprise ranco-allemande a perdu 30 %en trois ans.

    propos de lauteurMarc Girard vient de publier Alrt grippal, comprndrt choiir, chez Dangles. Mathmaticien de ormation, il advelopp, en France, la premire activit librale de conseil enpharmacovigilance (tude des eets secondaires des mdicaments)et en pharmaco-pidmiologie (application des mthodes

    pidmiologiques lvaluation des eets mdicamenteux, quilssoient bnques ou indsirables). Son site : www.rolandsimion.org.

    Une pidmie inventede toutes pices

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    La polmique autour du vaccin contre lagrippe A a relanc le dbat au sujet de

    lutilisation des adjuvants. Les inrmires ontcommuniqu leur mance propos du vaccinantigrippe A, 70 % dentre elles refusant la vac-cination : L vaccin H1N1 t particlir (fabriqrapidmnt dan n cadr rglmntair drogatoir,avc prnc dictabl dn adjvant) , expliqueThierry Amouroux, le secrtaire gnral du Syn-dicat national des professionnels inrmiers SNPICFE-CGC (communiqu du 17 septembre 2009).Fait trs surprenant pour des professionnelsde sant, le syndicat ignore visiblement quetous les vaccins en contiennent ! Cette in-

    formation nest pourtant plus un scoop, sur-tout pour les victimes des vaccinations.Plus dconcertant encore : No timon nc-air d fair vaccinr contr la gripp aionnir,car cla prmt d ralir rapidmnt n diagnoticdirentiel : une personne vaccine qui prsente unyndrom grippal arait a priori n gripp H1N1, tpourrait tre mise rapidement sous Tamiu . Outrele fait que le Tamiu soit inecace (lir notrprcdnt dition), cest oublier que lun des vac-cins contre la grippe saisonnire, le Gripguard*non seulement contient dj une souche H1N1

    en plus de la H3N2 (sans que le risque de croi-sement viral inquite vraiment les autoritssanitaires), mais contient galement le mmeadjuvant que celui utilis dans au moins deuxvaccins pandmiques H1N1, le fameux squalne.

    Parcours du combattantVu leur niveau dinformation, peut-on avoirconance en nos professionnels de sant pourbncier dun consentement clair, quel quesoit le vaccin ?Pour y voir plus clair sur les tiquettes, Nexuspublie une liste (non exhaustive !) des substances

    incorpores dans les vaccins. Que penser du cu-mul des doses auxquelles sont soumis les jeunesenfants si lon respecte le calendrier vaccinal ?Dix injections de 0 9 mois, dix-huit au totaljusqu 6 ans, soit une injection tous les quatremois, un vrai parcours du combattant ! voir la raction des Franais propos du seulvaccin H1N1, nul doute quils deviendraient su-bitement anti-vaccinalistes si les mdias leurmartelaient toutes ces donnes parfaitement v-riables avec le mme zle dont ils font preuvepour le H1N1...

    Adjuvants vaccinaux :Le vaccin contre le H1N1 nest pas la seule injection potentiellement dangereuse...

    Note*Aussi appel Fluad (AMM accorde Novartis), qui adj t inject 45 millions de personnes en Europe.

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    ils sont partout !

    Source : LCorrir dAli, n 67, paratre en dcembre, revue de lAssociation Libert Inormation Sant (sur abonnement : www.alis-rance.com).Pour approondir la question, Nexusencourage la lecture de ce site. Voir galement www.inovaccin.r/composants.html

    Composition, excipients & eets indsirables Vaccins

    Les adjuvants de l'immunitMF59 ou AS03 (squalne mulsionn)Contient notamment du polysorbate 80 (voir mlifant)Bien que le squalne soit une substance naturelle du corps, son injection provoque lacration danticorps contre le squalne. Les mmes anticorps ont t retrouvs chez les

    porteurs du syndrome de la Guerre du Gole, vaccins avec certains lots du vaccincontre lanthrax contenant du squalne (eprimntal and molclar pathology2002Aug ; 73(1):19-27, Antibodies to squalene in recipients o anthrax vaccine .)Ce syndrome se manieste par des problmes rnaux et respiratoires, des cancers, desatteintes du systme nerveux, des leucmies, des ruptions cutanes.

    Gripguard ou Fluad (grippe), quicontient la ois la souche saisonnireet le H1N1 (AMM 5/02/2001 puisaot 2009).Vaccins contre la grippe A (Pandemrix

    et Focetria).

    Aluminium (hydroxyde ou phosphate ou sulate amorphe dhydroxyphosphate)Impliqu dans les maladies dAlzheimer, de Parkinson, dans la sclrose latraleamyotrophique (SLA) et autres dgnrescences neurologiques.Selon limmunognticien Herman Hugh Fudenberg, spcialiste de lautisme, un individuayant reu 5 vaccins conscutis contre la grippe a 10 ois plus de chances davoirune maladie dAlzheimer quun non-vaccin. Le Pr Gherardi attribue aussi laluminiumvaccinal la myoasciite macrophages . Pour en savoir plus sur laluminium, lireltude ralise par le Dr Jean Pilette et qui se trouve dans la rubrique Documents du site www.alis-rance.com

    Avaxim, Boostrixtetra, Inanrixtetra,Inanrixquinta, Inanrixhexa, repevax(diphtrie, ttanos, poliomylite,coqueluche voire hpatite B), Gardasil(papillomavirus), la plupart des vaccinscontre la mningite et contre lhpatiteB et A, entre autres.

    Les agents de conservationPhnoxythanolther de glycol reconnu hautement toxique. Il sert de solvant dans de nombreux produitscourants (peinture, cosmtiques, produits mnagers, etc.). Cest aussi un allergneresponsable dallergies cutanes et de troubles neurologiques. Paradoxalement, aucunetude de toxicit na t mene au niveau des vaccins, il nexiste pas dtudes sur lesrisques cancrognes.

    Avaxim, DTPolio Sano Pasteur MSD,Havrix, Imovax Polio, Inanrixtetra,Inanrixquinta, Inanrixhexa, Pentavac,Repevax, Revaxis, Tetravac-Acellulaire,Twinrix, Tyavax (hpatite A, typhode)

    Les drivs mercuriels (Thimrosal ou Thiomersal ou encore Mercuthiolate).Le mercure est un neurotoxique bien connu. Une ois absorbs, les sels de mercuresont susceptibles de saccumuler dans certains organes : oie, globules rouges, moelleosseuse, rate, reins, intestins, poumons, peau, systme nerveux central. Ils entranenttoute une cascade de dysonctionnements neurologiques et sont lis laugmentation

    exponentielle des syndromes autistiques (nombreuses tudes). En 2000, lAgenceeuropenne dvaluation des mdicaments (EMEA) a recommand que les vaccinscontenant du mercure ne soient plus administrs aux nourrissons et aux jeunes enants.Nanmoins, les vaccins contre lhpatite B ont contenu du mercure jusquen 2002.

    Engerix B, Fluarix, Fluvirine, Infuvac(grippe), Spirolept (leptospirose),Twinrix.Le vaccin H1N1 en contiendra :Pandemrix et Focetria notamment.

    Les stabilisantsGlatinePlusieurs tudes ont montr les trs nombreuses allergies (y compris chocs anaphylactiques)provoqus par la glatine (Allergy Clin Immunology, 1999, vol 103 : 321-325).

    Dans pratiquement tous les vaccins

    AlbuminePossible risque dallergie et de choc anaphylactique.

    Imovax rage, Inanrix, ROR, DTP,Varilrix...

    Les mulsifantsPolysorbate 20 ou polysorbate 80, sorbitol, glycine, lactose, sucrose, saccharose,aspartame, glutamate et dextran (polymre du glucose).Tous ces produits ont des eets secondaires sur certaines personnes sensibilises etallergiques. Le dextran (ou dialdhyde), utilis comme xateur nest prsent que dansle BCG et le Rotarix. Il a donn des chocs anaphylactiques relats dans la littraturemdicale ainsi que des ractions dhypersensibilit chez les nouveau-ns. Les Japonaisont montr quil augmentait le stress oxydati et diminuait le taux de glutathion. Autrementdit, il achemine le vaccin, surtout sil est jeune, sur le terrain de lautisme.

    Pratiquement tous les vaccinscontiennent un ou plusieurs de cesproduits. Havrix (hpatite A), Agrippal,Boostrixtetra (diphtrie, ttanos,poliomylite, coqueluche), Fluarix,Gardasil (papillomavirus), Imovax Polio,Infuvac, Previgrip, Repevax, Rotateq(gastro-entrite rotavirus), Tyavax,Genhevac B.

    Les contaminants et impurets des vaccinsLes virus ou les bactres doivent tre cultivs sur des substrats an den obtenir degrandes quantits pour une production industrielle de masse.Dans un rapport technique de 1987, un groupe dtude de lOMS crivait : un d

    grand problm olv t l riq d malignit q porrait prntr long trmn ADN contaminant htrogn C point t rllmnt proccpant .

    Possible prsence dans tous les vaccinsExemple : on a retrouv le virus de ladiarrhe bovine dans le vaccin ROR etun vaccin contre la grippe en Europe,

    aux tats-Unis et au Japon (VtrinariaItaliana, Vol 44, n 2, p. 319-345,2008).

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    En cas de gros ppin aprsla campagne de vaccina-tion massive organise par legouvernement, les ventuellesvictimes pourront-elles atta-quer les laboratoires ou ltat ?

    Rien nest moins sr. Les labo-ratoires, au mme titre que lespraticiens de sant, bncientdune immunit grce larti-cle L3110-3. Si quelques mdiasont parl de limmunit deslaboratoires aux tats-Unis, ilsont totalement pass sous si-lence cette loi franaise. L fabricant dn mdicamnt npt tr tn por rponabl ddommag rltant d ltiliation

    dn mdicamnt n dhor d indication thraptiq o dcondition normal dtiliation prv par on atoriation dmi r l march o on atoriation tmporair dtiliation,o bin d cll dn mdicamnt n faiant lobjt dacn dc atoriation, lorq ctt tiliation a t rcommand oig par l minitr charg d la ant n application d larticlL. 3110-1. Il n va d mm por l titlair d latoriation dmi r l march, d latoriation tmporair dtiliation o dlatoriation dimportation d mdicamnt n ca. L dipoi-tion d prnt alina n l onrnt pa d lngagmnt d lr

    rponabilit dan l condition d droit commn n raion d lafabrication o d la mi r l march d mdicamnt . moins de prouver que les laboratoires ont intentionnel-lement mis des poisons dans leurs vaccins, ce qui est extr-mement dicile, il sagit dune voie juridique sans issue. Ilest curieux de noter que les fabricants de mdicaments nepossdent cette protection que depuis la loi n 2007-248 du26 fvrier 2007 portant diverses dispositions dadaptationau droit communautaire dans le domaine du mdicament.Larticle L3110-3 se limitait alors aux seuls professionnels

    Effets secondaires :Pourra-t-on attaquer les laboratoires en cas defets secondaires

    aprs la vaccination contre le H1N1 ? Ce nest pas sr car,depuis 2007, ils sont protgs par le Code de la sant publique.

    9,5milliardsdEuros

    25 %

    25 %

    17 %

    15 %

    7 %

    6 %

    5%

    Merck(tats-unis)

    Wyeth(tats-unis)

    Sano Pasteur Merck(France/tats-unis)

    Novartis(Suisse)

    Autres

    Sano Pasteur(France)

    GSK(Grande-Bretagne)

    Le march mondial des vaccins : plus de 80 % entre les mains de quatre industriels.

    6 %

    Le Comit technique desvaccinations (pour le Haut

    conseil de la sant publique)est charg dtablir des avissur les priorits sanitairesdutilisation des vaccinspandmiques.Cest au CTV que lon doitles recommandations sur lavaccination des personnels desant, des emmes enceintes etdes jeunes enants. Or, sur vingtmembres, seuls cinq nont pas

    travaill, de prs ou de loin,avec des laboratoires. Sur lesquinze membres ayant exerc

    une activit de conseil, detravaux scientiques, de rapportdexpertises ou de conseilscientique, quatorze lont aitavec des laboratoires qui vontcommercialiser le vaccin H1N1.Parmi ces scientiques, celuiqui dtient le nombre recordde collaborations prives nestautre que le prsident de cecomit (Sano-Pasteur, Wyeth,GSK) ce qui lui a valu denombreux voyages en 2008

    (Autriche, Islande, tats-Unis,sur invitation). Largementde quoi de douter de

    limpartialit du CTV.Le Canard Enchan a lui aussipingl les experts dun autreorganisme : le Comit de luttecontre la grippe. Ce dernierrassemble plusieurs experts duCTV, mais galement dautresspcialistes dont plusieurs ayantdes liens avec le abricant duTamifu, en tant quexpert oumembre du conseil scientiquede Roche. Par ailleurs, leCanard a rappel que la

    reprsentante de la France lAgence europenne dumdicament travaille elle aussi

    pour Roche depuis 2006, etconseille contre rmunrationMSD, GSK, Wyeth et Baxter,tous abricants de vaccins.Quant au directeur de lcoledes hautes tudes en santpublique, il ait aussi tat, dansses dclarations dintrts,de collaborations rcentesavec les laboratoires Sano-Pasteur et Sano-Aventis.Concidence, son pouse, entant que directrice mdicale

    pour le syndicat des industriespharmaceutiques, sige laCommission dautorisation de

    .Trop dexperts rmunrs par les laboratoires

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    de sant (premier paragraphe de larticle remani). Il sem-ble que lpisode grippe aviaire de 2006 les ait aids obte-nir cette avance .

    Ni les labos ni ltatExit donc la responsabilit des mdecins et des labora-toires dans le cadre de la campagne de vaccination demasse. Pourra-t-on ds lors se retourner contre ltat ? Lencore, rien ne le garantit. La jriprdnc montr clai-rement, notamment dans laaire du vaccin contre lhpatite B,

    q ct contr l laboratoir q lgn doivnt rtornr lorqil nagit pa dn obligation vaccinal. un

    vaccination, mm fortmnt rcomman-d par l povoir pblic, t coni-dr comm n act volontair , pr-cise Jean-Marie Mora, prsident de laLigue nationale pour la libert des vac-cinations (Alis).Par ailleurs, le fonds dindemnisationdes victimes des vaccinations ne peuttre saisi que dans le cas dune vacci-nation obligatoire. Celle-ci ne demeureque pour le DTP. Or, le DPT est dsormaisvendu avec une ou plusieurs souches

    ajoutes, qui elles ne sont pas obligatoires. Actuellement, enFrance, il est donc matriellement et juridiquement impos-sible dtre reconnu comme victime dun vaccin (sauf pourles personnels mdicaux avec le vaccin contre lhpatite Bobligatoire). Dans le cas du vaccin contre la grippe A,plus que tout autre, les laboratoires ont donc de nom-breuses annes devant eux pour prparer leur dfense.Contact par la rdaction, le ministre de la Sant na passouhait rpondre la question pineuse des responsabili-ts. Embarrass ?

    qui sera responsable ?En France,il est doncmatriellementet juridiquementimpossibledtre reconnucomme victimedun vaccin.

    WilliamTaufc/Corbis

    mise sur le march (celle quidonne son eu ver t aux vaccins).

    Confits dintrtLes hommes politiques sont-ils plus neutres ? Le sitePharmacritique rappelle queRoselyne Bachelot a pass aumoins douze ans au servicede lindustrie pharmaceutique.Ce parcours proessionnelnest malheureusement passignal sur son CV (site du

    gouvernement). Doctr npharmaci, Rolyn Bachlota occp, avant dntrr

    dan la politiq a dbtd ann 1980, l potd dlg linormationmdical a in d laboratoirICI Pharma (dvn AtraZnca dpi) t chargd rlation pbliqchz sogipharm . Depuis,ICI Pharma est devenu lamultinationale Astra Zenecaqui a des intrts dans lacommercialisation du Gardasil,vaccin contre le cancer du col

    de lutrus, un vaccin activementpromu par le ministre de laSant. Certes, ces liens sont

    anciens, mais ils entachentmalgr tout limpartialit dela ministre.La amille du prsident de laRpublique gravite aussi dansla sphre pharmaceutique,comme le rappelle le Figaro(16 avril 2008).Franois Sarkozy, rre deNicolas porit dan lombrn parcor an at dan laant. (...) il vint d prndrla pridnc dAeC Partnr,

    important cabint vrant danl domain d la ant, dontil t aoci dpi 2001.

    et il prpar ai lancr,l 22 avril, () LongviTV,prmir WbTV magazinddi lanti-g. LongviTVa dj dr d ponorcomm Ntl, sanof Avntio HsBC Aranc. Franoisarkozy t ai dpi 2005vic-pridnt d conild la ocit d biotch cotBio Allianc Pharma .Ce nest donc pas de cect-l que le prsident de

    la Rpublique trouvera un pointde vue contradictoire auxintrts des laboratoires.

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    Des projets de textes modiant lorganisation et lefonctionnmnt d la jtic ont t tranmi, danl pl grand crt, a chf d cor n jillt 2009 , a d-nonc le Syndicat national de la magistrature, en septem-bre dernier, qualiant lensemble de ces mesures de di-poitif librticid . Sous couvert de protger la populationcontre une ventuelle pidmie de grippe A, les pouvoirspublics ont donc montr quils taient prts mettre en

    place des mesures dignes dun tat dexception.La volont de traabilit individuelle, assez nouvelle enFrance, invite aussi la vigilance. La ncit dn traabi-lit individll ytmatiq li a ignc d la pharmaco-vigilanc , est bien rappele dans le document ministrielintitul Planication logistique dune campagne de vacci-nation contre le nouveau virus A(H1N1) . Le gouvernementse garde bien de parler de chage , mais cest pourtantce quon peut lire entre les lignes des di-rents arguments avancs : Il t indipna-bl d garantir q l d injction frontavc l mm vaccin. Por n vaccination d

    ma, avc n vaccin nova, l ignc dla pharmacovigilance sont majeures. Enn, la tra-abilit individll ra galmnt tili porarr n ivi d ta d covrtr d la po-plation par lIntitt d vill anitair (InVs) .

    Flacon la poubellePour sassurer dun taux de vaccins susant , ltat aurait tout aussi bienpu choisir une comptabilit anonyme,comme dans le cas du recensement d-mographique. Les vaccinateurs auraientalors dlivr un reu avec les donnes

    ncessaires au suivi conforme des rap-pels vaccinaux, tandis quun numro vert disposition des mdecins de ville auraitpermis le signalement des eets secon-daires. Le simple fait de vacciner dans descentres spcialiss (et non dans le cadredune consultation mdicale habituelle),permet de savoir, via le numro de scuri-t sociale ou la carte vitale, qui est vaccinet qui ne lest pas. Ce dispositif exclut defait tous les mdecins opposs la vacci-nation, et ceux qui auraient t tents de

    coller ltiquette Vaccin tout en ayantjet le acon la poubelle

    Les non-vaccins doivent-ils avoir peur dtre chs ? Tantque le vaccin nest pas obligatoire, ils peuvent tout au plustre incommods par de nombreuses lettres de rappel. Maisen cas dalerte sanitaire grave, quelle soit naturelle ou bio-terroriste (une menace de plus en plus voque), lobligationvaccinale peut nanmoins revenir dans lactualit. Dans unscnario du pire, la mi n plac d chckpoint t n po-ibilit. Il porraint itr r d a rotir. L gn d-

    vraient alors montrer leur certicat de vaccination, faute de quoiil raint arrt t plac n qarantain , dclare le journa-liste, Mike Adams1. Mai j n pn pa q l gn vodrontportr d braclt RFID, a fait n p Allmagn nazi, t an plat pa. Totfoi, il t pl prdnt dacqrir l pl vitpoibl la prv d ctt vaccination , conseille Mike Adams.

    Exprience de BostonAussi farfelu quil puisse sembler, ce scnario sins-pire de faits rels. Il y a un an, une expriencemene Boston2, parmi des volontaires, a permisdquiper des centaines de personnes vaccines

    contre la grippe saisonnire avec des braceletsportant un code identiant unique. But de lopra-tion : permettre la traabilit des vaccins et crerun registre communal. La carte permettrait ainsiune intervention rapide dans des quartiers vuln-

    rables. Devant une attaque bioterro-riste ou une pid-mie mondiale degrippe, le registre

    pourrait tre utilispour surveiller qui a reu

    un vaccin ou lantidote un ger-me mortel. Ou alors pour savoir qui

    est porteur du virus ou pas, grce une technologie nouvelle.Sur ce dernier point, la technologieRFID3 a bien avanc. VeriChip, socit

    amricaine leader sur le marchdes puces-implants, a annonc

    en mai dernier quelle taiten mesure de fabriquer desimplants radio-frquencecapables de dtecter des vi-rus comme le H1N1 ou le sta-phylocoque dor. VeriChip et

    Receptors ont publi un livreblanc intitul sytm d cap-

    Les non-vaccinsMise en place au nom de la scurit sanitaire,

    la traabilit individuelle sera-t-ellevraiment place entre de bonnes mains ?

    Aussi farfeluquil puisse

    sembler,ce scnariosinspirede faits rels.

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    tr intgr por la dtction d bio-mnac, d pandmi aBiotrrorim4. Ces innovations permettront de dvelopper court terme un nouveau test de dpistage du H1N1 ( partirdun chantillon) ou de crer des implants sensibles au H1N1,capables dmettre et de recevoir des informations. Ellesnattendent plus quun march, les brevets tant assurs.En admettant quun rseau de lecteurs de puces soit rapide-ment mis en place, comme on le voit dj dans la traabilit

    des marchandises et dans les codes-barres, il serait doncpossible dinterdire ou dautoriser laccs certains lieux,en fonction du statut dimmunit des passants. Quandon sait que la loi sur la Sant publique au Qubec permetdisoler de force et pendant trente jours toute personnenon vaccine en cas de campagne obligatoire5, on se ditquun tel systme serait un bon moyen de reprage desindividus risque. Fiction dinspiration conspirationnisteou proche ralit ?

    seront-ils fichs ?

    Notes1. Swine fu vaccine recipients could be tracked with RFID braceletsusing Big Brother medical technology, www.naturalnews.com.2. Boston launches fu shot tracking , 21 novembre 2008, BotonGlob.3. La radio-identication plus souvent dsigne par le sigle RFID(de langlais Radio Frequency IDentication) est une mthode pourmmoriser et rcuprer des donnes distance en utilisant desmarqueurs appels radio-tiquettes . Ce genre de technologie estdj utilis, par exemple, pour le marquage du cheptel bovin4. www.verichipcorp.com. VeriChip Corporation (Delray Beach,Floride), a dvelopp le systme VeriMed. Pour rapidementidentier les personnes qui arrivent aux urgences, ce systme utilisela premire micro-puce humaine implantable et passive RFID etun disque de sant personnel correspondant. Ses systmes deprotection inantile de Hugs et HALO servent galement viterles kidnappings denants. http://r.wikipedia.org/wiki/VeriChip5. Article 109, 123 et 126, L.R.Q., chapitre S-2.2, disponible surle site du ministre de la Sant du Qubec, www.msss.gouv.qc.ca.

    lmplant sensiti, ici pourle glucose, comprenant

    un systme intgravec transduction de

    signal et capacit decommunication RFID(source : VeriChip).

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    Premiers vaccins,

    Cest la variole que lon doit linvention de la vac-cination par le mdecin anglais Jenner. En 1810,Th London Mdical Obrvr signalait, aprs la vaccina-tion, 535 ca d variol, 97 dc t 150 ca d grav acci-dnt, dont 10 parmi d mdcin . Jenner supprima alorsles tudes qui montraient que sa trouvaille causaitdavantage de morts quelle ne sauvait de vies.En 1871, en Bavire, sur 30 472 cas de variole 29 429taient vaccins. La mme anne, le Privy CouncildAngleterre demanda une enqute sur la vaccinationimpose en 1867, car 97,5 % des gens morts de la varioleavaient t vaccins contre la maladie.

    Le 26 janvier 1909, le Nw York Pr publiait un rap-port du Dr W.B. Clark qui armait : L cancr tait pra-tiqmnt inconn avant la vaccination contr la variol.Jai obrv 200 ca d cancr, t j nn ai jamai v nl chz n pronn non vaccin. Un demi-sicle plus tard, le Dr Albert Schweit-zer (prix Nobel en 1952) aurait partag ceconstat, car il avait remarqu que les premierscancers en Afrique taient apparus cinq ans aprsles premires campagnes vaccinales.

    La barrire des espces ranchie

    En outre, le vaccin de Jenner a permis de fran-chir pour la premire fois la barrire despceen introduisant directement dans le corps humaindes gnes provenant dun animal et qui plus est, dunanimal malade. Ds cet instant, lhomme a bouleverslcosystme en facilitant le passage de micro-orga-nismes dune espce une autre, ce qui nest jamaispris en considration par les scientiques alors celainitie tout un ensemble de phnomnes contre-nature, dont nous commenons mesurer tou-tes les consquences avec les grippes actuelles.On retrouvera plus tard cette animalisa-tion avec le vaccin BCG prpar partir dune

    souche attnue de bacille tuberculeux bovin.De nos jours, on ne cesse de rpter que la dispa-rition de la maladie est due la vaccination, cequi est totalement faux, car en 1962, lOMSlanait lchelle mondiale une dernire cam-pagne dradication , dont les dbuts fu-rent catastrophiques, des pidmiesse dclarant dans des populationsvaccines 95 %, notamment enInde et au Brsil. LOMS prconisaalors dabandonner la vaccinationde masse au prot dune strat-

    gie dite de rvillanc-ndig-mnt , cest--dire lisolement

    des malades et leur traitement. En quelques annes, cesdeux pratiques dhygine lmentaire ont triomph de lamaladie en interrompant la chane des transmissions, l ola vaccination avait ostensiblement chou.

    Pasteur, le mythe ait toujours rageDs lcole, nous apprenons que Pasteur qui est ociel-lement le pr d la vaccination a sauv le petit JosephMeister, mordu la main par un chien enrag. Or, il nexis-te aucune certitude que le chien tait enrag, car il mor-dit dautres enfants du village qui ne manifestrent pas la

    maladie. De plus, le risque pour le jeune Meister tait

    inme, car un animal rellement enrag ne trans-met la maladie que dans 5 15 % des cas.douard Rouyer, un autre enfant dont on parle

    beaucoup moins, fut la malheureuse victime dePasteur. Il fut mordu le 8 octobre 1886 par

    un chien et Pasteur lui inocula son vaccin.Le 26 octobre, lenfant mourut et fut o-

    ciellement dclar mort drmi .Ces mensonges concernant le vaccin contre la ragesont une rdition des mensonges concernant levaccin contre la variole, et lexemple mme desmensonges de Pasteur, qui ont t tellement r-

    pts et introduits dans la mmoire collectivequils sont devenus des vrits inattaquables.Autre mensonge, le vaccin antirabique ne fut pascr par Pasteur, mais par Henri Toussaint, pro-fesseur lcole vtrinaire de Toulouse, dontle nom a t oubli par lhistoire. Le vaccin crpar Pasteur, base de moelle dessche, taittrs dangereux, au point quil fut bien vite aban-donn. cette poque, 40 trangers et 34 Fran-ais taient dj morts cause de Pasteur. Le PrMichel Peter, membre minent de lAcadmiede mdecine, concluait : Monir Patr ngrit pa la rag, il la donn ! son tour, lcri-

    vain Lon Daudet sleva contre ce quil appela la novll morticoli et publia une srie dar-

    ticles sur le sujet.Pasteur a maquill les rsultats des ex-priences qui ne lui taient pas favo-

    rables comme laurait fait un vraifaussaire, mais en France, il

    est intrdit de critiquercet homme idoltr cartoute lindustrie du vac-cin repose sur ses recher-ches et ses cc . Tous

    les dfenseurs acharnsde Pasteur devraient lire

    Il est videmment bien triste que

    lun des plus grands hrosdes Franais soit un imposteur

    Le grand public ignore les checs despremiers vaccins, comme celui de la variole,

    et les accidents quils ont engendrs.

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    premiers dgts

    les ouvrages du Dr Philippe Decourt, de Xavier Raspail,dEthyl Douglas Hume, ou de Gerald Geison, professeurdhistoire des sciences et de la mdecine de luniversitde Princeton, qui rapportent tous des faits parfaitementauthentis qui devraient sure faire tomber ce per-sonnage de son pidestal. Mais le mythe pasteurien esttellement ancr dans lesprit populaire, il a cr unetelle idologie, que rien na encore pu lbranler. Et en

    fvrier 1993, le trs srieux magazine scincdnona limpotr patrinn , mais enFrance, personne nen a entendu parler.Il est videmment bien triste que lun desplus grands hros des Franais soit un im-posteur, dautant quil inaugura une cer-taine forme de mensonge qui rgne actuel-lement sur linformation scientique etparticulirement en ce qui concerne les vaccins.

    Quand la polio rencontrait le virus simienEn 1923, Gaston Ramon, vtrinaire lInstitut

    Pasteur, cra les premires anatoxines contrele ttanos et la diphtrie. Alors que 63 249 casde diphtrie furent traits par lantitoxine,plus de 8 900 dcdrent, soit une proportionde 14 %, alors que sur 11 716 autres cas nontraits par lantitoxine, 703 moururent soitseulement 6 %.En 1954, le vaccin Salk contre la poliomyliteprovoqua immdiatement une pidmi decas de polio. Ainsi, ltat du Vermont signalaune augmentation de 266 % des cas, le RhodeIsland de 454 %, et le Massachusetts de 642 %.

    Les cas de polio ne cessrent daugmenter etlon commenait savoir que les mdecinsqui faisaient partie du personnel des institu-tions de sant vitaient de vacciner leurs pro-

    pres enfants. En 1956, le gouvernement octroya53,6 millions de dollars pour aider les tats vacciner gra-tuitement les moins de 20 ans, alors que le Dr Peterson,directeur de la Sant de lIdaho, signalait que la maladiene touchait que les enfants vaccins dans les districts oaucun cas ne stait produit depuis lautomne prcdent.Dans 90 % des cas, la paralysie concernait le bras dans le -quel le vaccin avait t inject. Ds lors, on appliqua la cen-sure aux rapports daccidents causs par ce vaccin.

    Alors que la campagne de vaccination contre la grippesaisonnire a commenc en France le 25 septembre,selon les rsultats dtudes prliminaires conduites au Canada,ce vaccin pourrait augmenter le risque de contracter la grippeporcine (dite A pour ne pas blesser les marchands de cochonsde batteries).Ces inormations sont issues de quatre tudes canadiennesauxquelles ont particip environ 2 000 personnes.Les chercheurs ont dcouvert que les personnes qui avaient reule vaccin contre la grippe saisonnire dans le pass taient plus

    susceptibles dtre inectes par le virus H1N1. Une tude a tsoumise pour publication. Ses principaux auteurs, le Dr DanutaSkowronski, du Centre de contrle des maladies de Colombie-

    Britannique, et le Dr Gaston de Serres, de luniversit Laval(Qubec), ont dclin toute interview.Au Qubec, o les autorits sanitaires avaient prvu de vaccinerdans un premier temps contre la grippe saisonnire, puis contrela grippe A (H1N1), cette dcouverte a chang le nouveaucalendrier des vaccinations. Le 25 septembre, le Dr HoracioArruda, du ministre de la Sant, a dcid dinverser lescampagnes de vaccination ; celle contre la grippe A (H1N1)dbutera le 15 novembre, tandis que celle contre la grippesaisonnire est reporte janvier 2010. Exception cette rgle :

    les populations risque recevront le vaccin saisonnieren premier, avant le 15 novembre.Sylvie Simon

    .Le vaccin de la grippe saisonnire augmenterait le risque de H1N1 !

    Par Sylvie Simon

    Vaccination contre la variole par un mdecin de campagne en France en 1955.

    Bettmann/CORBIS

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    En 1960, Bernice Eddy, chercheur sala-rie par le gouvernement amricain,dcouvrit que le vaccin contenait un vi-rus qui gnrait des sarcomes chez sescobayes de laboratoire et en parla lorsdune confrence sur le cancer. Elle futimmdiatement dmise de ses fonctionset interdite de laboratoire.Cette anne-l, Benjamin Sweet et Mau-

    rice Hilleman isolrent le virus incriminqui fut appel SV40 car il tait le quaran-time virus simien dcouvert dans cesconditions. Des expriences ont dmontrque des cultures de tissus humains se can-crisaient au contact de ce virus (cf. Nwengland Jornal of Mdicin, 9-4-92).Malgr ces nouvelles plutt inquitantes,la commercialisation du vaccin cultiv surces cellules empoisonnes fut poursuivie. Cest alors que levaccin oral Sabin fut mis au point, et la campagne dimmu-nisation avec ce vaccin commena en 1961. Les candidats

    la vaccination avaient ds lors le choix entre deux vac-cins, tous deux infects par le virus simien SV40.

    Des millions denants vaccins jusquen 1963En 1962, le volume 48 des Rapports de lAcadmie nationaledes sciences des tats-Unis dmontrait que les mtamor-phoses cellulaires induites par ce virus entranaient enparticulier des anomalies la fois dans la leucmie my-lode chronique et dans le mongolisme chez lhomme, ainsiquune recrudescence des leucmies de tous types chezles enfants mongoliens. On a pourtant continu inocu-ler les vaccins anti-polio infects des millions denfants travers le monde en garantissant leur innocuit jusquen

    1963, o, ne pouvant direr lannonce de la contamina-tion du vaccin par ce virus du singe rhsus, on suspenditenn sa commercialisation. Le Dr Heinonen, qui eectuades recherches sur le taux de cancer des enfants dont lesmres avaient t vaccines contre la polio au cours de leurgrossesse entre 1959 et 1965, trouva un taux de tumeurs c-rbrales treize fois plus lev chez les enfants ns de mresvaccines que chez les autres1. cette poque, les pouvoirspublics nont cess de rpter sur tous les tons quil taitpratiquement certain que ce virus ne provoquait pas le can-cer. prsent, la recherche a pu dmontrer la faon dontle SV40 contribue lapparition de cancers2.

    Ainsi, il est possible dintroduire un virus dans des mil-lions de doses de vaccin par mgard , comme lavouait

    alors lOMS, et il est trs inquitant de constater quecela na pas entran un scandale mondial, dautant que,durant trois ans, on connaissait son danger.

    Mais ce scandale na pas altr la foi des mdecins en laprobit et la comptence des laboratoires. Et en mars 2009,nous apprenions que la compagnie pharmaceutique BaxterInternational a fabriqu un vaccin exprimental qui a acci-dentellement t contamin par le virus H5N1 de la grippeaviaire, ce qui na pas gn les pays qui lui ont commanddes milliers de doses de vaccin contre la grippe A.Dautres scandales ont t mis au jour ensuite, particuli-rement avec les vaccins contre lhpatite B, le ROR ou leGardasil, mais nous navons pas la place de les citer ici et leferons dans un autre numro.

    Notes1. Intrn. J. epidm. vol. 2 n 3 1978.2. On prtend prsent que la poliomylite est radique alorsquil y a des fambes pidmiques aprs des vaccinations massivesdans le monde. Et depuis la disparition de la polio, ces cas sont

    prsent classs sous la rubrique des mningites virales qui ontexplos. Voil comment on radique certaines maladies et lonausse totalement linormation, grce lindustrie du mdicament.

    Linstitut Pasteur dans les annes 60.

    propos de lauteureSylvie Simon est journaliste, auteuredes Di pl gro mnong rl vaccin (d. Dangles), et deC qon no cach r l vaccin(d. Delville), et de Vaccin, mnongt propagandaux ditions ThierrySouccar.

    Il est possibledintroduire unvirus dans desmillions de dosesde vaccin par

    mgarde

    PaulAlmasy/CORBIS

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    Pourquoi les mdias ne produisent-ils pas plus de su-jets sur la prvention naturelle et sur les traitementsalternatifs en cas de grippe ? Presse, radio, tlvision nousvantent les mrites des vaccins et des antiviraux comme leTamiu. Sans ces remdes, point de salut ?

    Rien nest moins vrai en ralit. Ds la fameuse pidmiede 1918, larsenal thrapeutique tait bien plus dvelopp.douard Prouvost, dans ses Rmarq Cliniq t Thra-ptiq r lpidmi d gripp d 1918 (paru en 1919 chezJouve Cie), saluait ainsi les trs bonnes performances enintraveineuse de largent collodal (un remde millnaire)et lecacit des abcs de xation comme draineurs destoxines1. Le vaccin navait pas vraiment fait son apparition,malgr quelques administrations de srums qui faisaientdavantage oce de tests que de rels remdes. Sur ce point,le jeune Prouvost, alors interne dans un hpital militaire,avoue dailleurs ne pas avoir obtenu de rsultats signica-

    tifs. Il documente davantage les eets de largent collodal(lir notr ncadr p. 56).

    Dans la psychose H1N1, on oublie galement que la mde-cine dispose aujourdhui des antibiotiques, une solution encas de surinfection que ne connaissait pas douard Prouvost !Cest un atout de poids en cas de complications, plus eca-ce sans doute que le Tamiu. Mais pas dantibiotiques sans

    probiotiques ! Ces derniers aident prserver la ore intes-tinale, garante elle aussi de limmunit. Mais ce ne sont pasles seules solutions notre porte, dautres remdes ont tdcouverts depuis 1918, dont lecacit met mal la doc-trine du tout vaccin . Il est urgent de leur redonner uneplace de choix dans la pharmacie familiale.

    Contre la polio, la grippe, le cancer, etc.On doit au professeur Pierre Delbet (1861-1957) de nom-breux travaux sur les bnces nombreux du chlorure demagnsium2. Mdecin, chef de clinique, chirurgien deshpitaux et membre de lAcadmie de mdecine, il fut ob-

    sd, durant son internat, par la nocivit des antiseptiquesutiliss son poque pour nettoyer les plaies. La guerre de

    Les remdes qui marchentet quon nous cache

    Si les proprits du chlorure de magnsium avaient treconnues en leur temps par lAcadmie de

    mdecine, plusieurs vaccins seraient sans doute inutiles.

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    14-18, au cours de laquelle il est mobiliscomme chirurgien, lui permet de constaterque la solution de chlorure de magnsium(MgCl2) donne des rsultats extraordinai-res. Pour les blesss, il va faire lexpriencede lecacit du MgCl2 par voie interne comme dynami-sant cellulaire. Plus tard, il fera la relation entre la rapideaugmentation des cancers et la carence gnralise en ma-gnsium. Il crira ce sujet deux livres : Politiq prvntivd cancr, dans lequel il dmontre lincidence de la carenceen magnsium dans le dveloppement de cette maladie, etLagricltr t la ant, en collaboration avec dautres sp-cialistes, o il montre que les modes de cultures intensifs etle ranage carencent les aliments en Mg.

    Des rsultats spectaculairesCes deux livres nont gure suscit lintrt de lAcadmie

    de mdecine, pas plus que les travaux de son successeur, leDr Neveu, sur le traitement de la diphtrie (ds 1932), du t-tanos et de la poliomylite avec le chlorure de magnsium.Le Dr Neveu a expos dans L traitmnt cytophylactiq d lapoliomylit par l chlorr d magnim quinze cas victorieuxde maladie. Or, il arme avoir obtenu des rsultats probantsnon seulement en appliquant immdiatement le traitementau dbut de la maladie, mais encore nota des amliorationssur des patients traits par les mdicaments allopathiques ettant dj atteints de paralysies tendues et parfois totales.On doit aussi au Dr Neveu ce constat durant lpidmie degrippe svre de lhiver 1934-35 : L viillard frnt p

    pr to contamin t to n tirrnt par la ol-tion d chlorr d magnim. C mdicamnt lrcoupe la vre . Bon savoir !Malheureusement, ces travaux nont pas fait lepoids face lorientation de la recherche vers

    les vaccins, en plein dmarrage. cette poque, les premiersvaccins commencent sortir de lInstitut Pasteur et la mde-cine de terrain nest pas la bienvenue. Aujourdhui, le chlo-rure de magnsium, vendu environ 2 euros en pharmacie,concurrence directement le vaccin DTP Est-ce pour celaquon nen entend pas parler ?

    Aliment pour la cellule nerveusePour les rcalcitrants au got amer du chlorure de magn -sium, et mme pour les autres, il est encore mieux dopterpour le Chlorumagne3 pour tous les usages internes. Cemdicament prescrit pour la constipation se transforme en

    chlorure de magnsium ltat naissant dans lestomac. Le DrMartin Du Theil, son grand dfenseur, crivait, aprs quinzeans dutilisation du produit: Il contit n vritabl alimntdpargn por la clll nrv dont il compn immdiatmntl dpn. L grand ympathiq [systme qui prside ltatdveil, ndlr], grc lnrgi aini conrv intact, maintintlorganim labri d la maladi n rndant vain tot attaqmicrobinn. Il nt pa d millr agnt prophylactiq [de pr-vention, ndlr] contr tot l maladi d natr infcti tct c titr q j conill dn fair n ag qotidin o dmoin az frqnt 4. Mais aussi : Il convint to l g, ilnirrit pa la mq inttinal .

    Largent collodalUtilis depuis lAntiquit, cest lun des remdes les plus utilissdans la premire moiti du XXe sicle. Depuis, les mdicamentsmodernes lont chass de nos ocines. Largent collodal est unesolution contenant de largent en suspension. On ne peut plusse le procurer en pharmacie (par quel mystre ?), mais on peuten trouver sur Internet ( terme, le mieux reste de le abriquer soi-mme, aprs un investissement denviron 200 euros).Ses usages sont multiples et ont t rappels par Frank Goldman,dans un Arm crt contr la maladi(2004, le Lotus dOr),un ouvrage malheureusement puis. Dautres rares remdes

    contenant de largent collodal ou du nitrate dargent sontnanmoins disponibles en pharmacie comme les cuivre-or-argentchez Oligostim. Cest davantage sous orme de pommadeque lon trouve largent collodal (en externe seulement donc).Nexusconsacrera prochainement un dossier plus complet surce remde qui obtient des rsultats absolument prodigieux surdes pathologies aussi complexes que le HIV, la malaria, lamaladie de Lyme, daprs de rcentes tudes eectues par deschercheurs, amricains notamment.

    Le MMSJim Humble est le grand vulgarisateur de lusage de ce quil aappel le Miracle Mineral Supplement. Il sagit en ait dunesolution de bioxyde de chlore, obtenue partir de chlorite

    de sodium, un produit couramment utilis comme dsinectant(piscine, aliments industriels, etc.) et quil a expriment depuisune bonne dizaine dannes en Arique (notamment pour la

    malaria). On lui doit deux ouvrages, dont le tome I, gratuit,raconte lhistoire de sa dcouverte. Humble explique pourquoice produit est, selon lui, le plus puissant tueur de germes jamaisconnu : l MMs n oign pa la maladi, mai il aid lytm immnitair .Lauteur prcise que, pendant quatre-vingts ans, des centainesde milliers de personnes ont ajout quelques gouttes doxygnestabilis leur eau de boisson, et lont bue pensant que celaapportait de loxygne leur organisme. Il nont pa raliq l bnfc vnaint d bioyd d chlor . Pour obtenirdirectement la production de bioxyde de chlore, Humble ajoute

    du citron une solution de 28 % de chlorite de sodium (le MMS).La posologie se ait videmment au goutte goutte ! De 2 30 gouttes par jour (mlanges avec le double de gouttes de jusde citron) en onction de la gravit du mal-tre.Selon Humble, ce produit utilis pour dsinecter les locauxamricains pendant les attaques de lanthrax convient doncparaitement en cas dattaque bactrienne ou bactriologique.Site ociel : www.mmsrancais.com

    Autres solutions naturellesLextrait de ppins de pamplemousse, les huiles essentielles(lavande, ravintsara, tea tree), les vitamines C (naturelle) et D(huile de oie de morue), les produits de la ruche (propolis,pollen rais congel et gele royale), bryonia et gelsemium en

    homopathie (lir notr introdction a doir, pag 42), ouencore lchinaca (en teinture mre, comprims ou en extraitde plantes raches standardises avec le Cyprs, EPS).

    . Remdes ignors se procurer

    Vendu environ2 euros, le chlorurede magnsium,concurrencedirectementle vaccin DTP...

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    Et la grippe ? Justement, le Dr Martindu Theil en parle dans son ouvrage.Son tmoignage mrite ici reproduc-tion : Jai commnc lappliqr dl moi d ptmbr 1918. Dmobili ctt dat, j i rvn Nilly amomnt o la fam gripp d 1918faiait on apparition. J f amn contatr, d l dbt, q l pron-n l pl rimnt attint taint, n gnral, d jnfmm, t jn compri bintt la raion. loign d lr mari,dpi aot 1914, c jn fmm vivaint dan n angoiprptll, dan lattnt d novll. Pi, la lttr dir l,lanit rvnait lid q l ignatair n vivait pt-tr djpl. Lr ytm nrv pi l avait lai an dfndevant lattaque microbienne. Sans hsitation, remontant de leet la cause, je concentrai tous les eorts sur le systme nerveux. () Le

    cc ft ai complt qil povait ltr,piq j la atifaction d navoir paun seul dcs constater. () Cette mthodema donn d rltat dan d maladiconidr comm d pl rdotabl,cest--dire la tuberculose et le cancer. (.)Dpi di an, j omt ytmatiq-mnt to m malad opr d cancr n traitmnt comportant lag, qo-

    tidin a dbt, d chlormagn, qil agi d ca ancin orcents lun deux date de n1918 dpi di an, di-j, jnai contatr qn lrcidiv , crit le mdecin enmars 1929. Inutile de prci-ser que ce remde convientaussi aux dprims!

    Notes1. Un abcs de drivation ou de xation , estun abcs provoqu, dans un but thrapeutique, parlinjection hypodermique dessence de trbenthine.Prouvost constate quil provoque une crise curativesalutaire dans les cas les plus atteints. La techniqueest aujourdhui (malheureusement) abandonne.2. Toujours disponible en pharmacie (sachet de20 g, dissoudre dans 1,5 litre deau, boire toutau long de la journe, par petites gorges. Unebouteille peut aire deux jours). Cest le nigari,

    en boutique bio. Prcautions ncessaires pour lesinsusants rnaux.3. galement en pharmacie ! Un quart de cuillre ca dans un verre deau, deux quatre ois parjour environ. Pas daction nocive sur le rein daprsle Dr Martin du Theil.4. Dans La Dn d ytm nrv, librairiescientique et mdicale Amde Legrand, 1933.Rdit plusieurs ois et que lon peut se procurer, enoccasion, sur Internet.

    propos de lauteure

    Pryska Ducoeurjoly,journaliste indpendante,est par ailleurs naturopathede ormation.Contact :[email protected]