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Vingt personnages de l'Histoire de France, plébiscités par les lecteurs d'Historia, sont présentés par les meilleurs spécialistes dans ce dossier exclusif.
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ALL 7.40 € / BEL 6.80 € / ESP 6.90 € / ITA 6.90 € / GR 6.90 € / PORT CONT 6.90 € / LUX 6.80 € / CH 11.80 FS / MAR 65 DH / TUN 6.9 TND / CAN 9.95 $ CAN / DOM 6.90 € / MAY 8.20 € / TOM/A 1650 CFP / TOM/S 900 CFP
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numéro 10 - mars-avril 2013
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grands personnages
de l’Histoire de France
les
sondage exclusif
3les grands personnages de l’histoire de francemars-avril 2013
avant-propos
Patricia CrétéRédacteur en chef
richelieu, jeanne d’arc, de gaulle… Napoléon, Jean Moulin, Catherine de Médi-cis… Vercingétorix, Jules Ferry, Robespierre…Non, ce n’est pas une ritournelle enfantine que l’on chanterait dans les cours de récréation. Mais bien les éléments d’un sondage exclusif que nous avons réalisé auprès de vous. Ces vingt personnalités, quelle importance leur
donnez-vous dans l’histoire de France ? Quelle note leur attribuez-vous ? Les résultats sont, vous le découvrirez au fil des pages, signi-ficatifs. Le trio gagnant – toutes catégories confondues – est éloquent : Napoléon, Louis XIV, Charles de Gaulle. De grands chefs qui ont sorti notre pays du chaos, lui ont redonné ses lettres de noblesse, ont rendu aux Français leur fierté. Nostalgie patriotique ? Sûrement. Hommes ou femmes, jeunes et moins jeunes, citadins ou ruraux… vous êtes tous d’accord. Alors oublions le politiquement correct et la langue de bois – comme Historia aime le faire. Et réjouissons-nous devant cette reconnaissance et ce respect unanimes. Nous avons demandé aux meilleurs historiens de présenter ces personnages, de les faire revivre, de vous montrer leurs bons et leurs mauvais côtés, mais aussi de revenir sur la manière dont ils sont perçus à l’étranger. Surtout, ne soyez pas déçus si vous ne trouvez pas dans ce panthéon votre héros – l’histoire de France est bien trop riche pour cela. Et c’est tant mieux.
Notre part d’héritage
sommairen o 10 mars -avril 2013
6 sondage exclusif 14 repérage 16 À qui doit-on ?
18 napoléon ier, le génie du conquérant� par Jean Tulard
24 charles de gaulle, la voix de la grandeur par Éric Roussel
30 louis xiv, la gloire rayonnant�e par Gonzague Saint Bris
36 charlemagne, le maît�re de l’europe par Bruno Dumézil
42 henri iv, la force de séduct�ion par Philippe Delorme
48 richelieu, éminent�e éminence par Françoise Hildesheimer
54 françois ier, le roi de la renaissance par Laurent Vissière
60 georges clemenceau, le tigre indompt�able par Michel Drouin
66 jeanne d’arc, résist�ant�e hors pair par Xavier Hélary
72 napoléon iii, le règne du progrès par Éric Anceau
78 clovis, le fils aîné de l’église par Anne Bernet
82 saint louis, la just�ice souveraine par Romain Telliez
86 jean moulin, héros immort�el par Pierre Péan
90 hugues capet, le père fondat�eur par Yves Sassier
94 catherine de médicis, la raison d’ét�at� par Janine Garrisson
98 robespierre, t�yran révolut�ionnaire par Olivier Coquard
100 jules ferry, le prix d’excellence par Denis Lefebvre
102 jean jaurès, au nom de l’humanit�é par Gilles Candar
104 vercingétorix, l’irréduct�ible gaulois par Catherine Salles
106 françois mitterrand, le sacre de la gauche par Thierry Pfister
108 notre sélection de livres par Véronique Dumas
À QUI DOIT- ON ?
16 LES GRANDS PERSONNAGES DE L’HISTOIRE DE FRANCE HISTORIA SPÉCIAL
À QUI
DOIT-ON ?ÀÀ QUI
DOIT-ON ?
À QUIDOIT-ON ?
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À QUIDOIT-ON ?
À QUIDOIT-ON ?
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L’ACADÉMIE FRANÇAISE ?
a. Richelieu b. Voltaire
c. Molière
ÀÀ QUIDOIT-ON ?DOIT-ON ?L’ACADÉMIEDES SCIENCES ?
a. Jules Ferry b. Richelieu c. Louis XIV
ÀÀ QUIDOIT-ON ?DOIT-ON ?
LA BANQUE DE FRANCE ?
a. Georges Clemenceau b. Napoleon Ier
c. Raymond Poincaré
ÀÀ QUIDOIT-ON ?DOIT-ON ?
LA PREMIÈRE « RÉSISTANCE »
FRANÇAISE ?
a. Jean Moulin b. Jeanne d’Arc
c. Louise Michel
ÀÀ QUI QUI
DOIT-ON ?
c. Louise Michel
À QUIDOIT-ON ?ÀÀ QUIDOIT-ON ?DOIT-ON ?
LA SÉCURITÉ
SOCIALE ?
a. Léon Blum b. Jules Ferry
c. Charles de Gaulle Richelieu Louis XIV
À QUI
DOIT
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QUI
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1
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17LES GRANDS PERSONNAGES DE L’HISTOIRE DE FRANCEMARS-AVRIL 2013
À QUIDOIT-ON ?À QUIDOIT-ON ?DOIT-ON ?
À QUIDOIT-ON ?
À QUIDOIT-ON ?
À QUIDOIT-ON ?
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LE FRANÇAIS COMME LANGUE OFFICIELLE DU ROYAUME ?
a. Saint Louis b. François Ier c. Philippe Auguste
À
À QUIDOIT-ON ?ÀÀ QUI
DOIT-ON ?DOIT-ON ?LE DROIT
DE GRÈVE ?
a. Jean Jaurès b. Georges Marchais c. Napoléon III
ÀÀ QUIDOIT-ON ?DOIT-ON ?
LA PREMIÈRE FORCE DE POLICE
MODERNE MOTORISÉE ?
a. François Mitterrand b. Napoléon III c. Georges Clemenceau
ÀÀ QUIDOIT-ON ?DOIT-ON ?
L’INVENTION DES
MINUSCULES DANS
L’ÉCRITURE ?
a. Charlemagne b. Gutenberg
c. Théophraste Renaudot
ÀÀ
À QUIDOIT-ON ?
ÀÀ QUIDOIT-ON ?DOIT-ON ?
LA MANUFACTURE DES GOBELINS ?
a. François I er b. Saint Louis c. Henri IV
a. François I
À QUI
DOIT
-ON ?
QUI
DOIT
-ON ?
DOIT
-ON ?
Réponses : 1b ; 2c ; 3a ; 4b ; 5c ; 6a ; 7c ; 8b ; 9c ; 10c.
6
7
8
9
10
Bonaparte passant les Alpes au Grand-Saint-Bernard, original du musée de Malmaison.
18 Les GRANDs peRsoNNAGes De L’histoiRe De fRANce historia spécial
La marche à suivre« Calme sur un cheval fougueux » : en 1801, le peintre Louis David met en scène le Premier consul dans cette version magnifiée de la campagne d’Italie, opérée l’année précédente. L’œuvre fait fi de la vérité historique pour l’ériger en guide de la nation et le rapprocher de ses prestigieux prédécesseurs : Hannibal et Charlemagne.
1CLasseMent nationaL
• 2e chez les femmes• 2e chez les – de 35 ans
er
19Les GRANDs peRsoNNAGes De L’histoiRe De fRANcemars-avril 2013
Par Jean Tulard
Successeur de César et d’Alexandre,� sous la plume de Stendhal, « Prométhée moderne », d’après Victor Hugo et les romantiques… Sa légende s’est écrite de son vivant. Deux siècles après sa mort, l’héritage qu’il nous a laissé est impressionnant.
NApoléoN le génie du conquérant
«Sauf pour la gloire, sauf pour l’art, il eût mieux valu qu’il n’eût pas existé. » Ainsi Jac-ques Bainville conclut-il en 1931 sa biographie de
Napoléon. Et d’expliquer que l’Empire, qui continue la Révolution, se termine sur un « épouvantable échec ». « Tant de victoires, de conquêtes, pourquoi ? Pour revenir en deçà du point où Louis XVI avait laissé la France. » Dans la lignée de Chateaubriand et de son De Buo-naparte et des Bourbons, Bainville, journaliste à L’Action française, estime que Napoléon n’a laissé qu’un champ de ruines en Europe et ne fut qu’un météore dans le ciel de la France. On ne peut que lui donner tort.
Dès le 14 juillet 1789, les observateurs les plus lucides prévoient que la Révolution sera terminée par un militaire. Le maréchal de Bro-glie croit être celui-là, avant de choisir l’émi-gration. La Fayette en 1792, Dumouriez en 1793, Pichegru en 1797 échouent à leur tour, laissant le courant révolutionnaire s’emballer un peu plus. Hoche, Marceau et Moreau ont quelques velléités sans lendemain. Alors que Bonaparte est prisonnier de sa conquête
au Caire, Talleyrand et Fouché pensent trouver un sauveur en la personne du général Joubert, héros de Rivoli. Hélas ! Joubert est tué à la bataille de Novi le 15 août 1799. Bonaparte, rentré d’Égypte en octobre, est donc celui qui va réussir, après dix ans d’attente, à pacifier une France déchirée et meurtrie.
UNe fraNce ceNtralisée et UNifiéeL’œuvre du Consulat a été comparée à celle d’Henri IV. Au sortir de guerres civiles épou-vantables, un homme d’État apaise les conflits et rétablit la prospérité. Une nouvelle France se dessine entre 1800 et 1804 ; une France cen-tralisée et unifiée grâce à l’action des préfets dans les départements et à une nouvelle hié-rarchie judiciaire ; une France redevenue riche où, pour la première fois depuis une décennie, le paiement des rentes se fait en numéraire ; une France apaisée sur le plan religieux grâce au concordat passé entre Paris et Rome ; enfin, une France en paix avec l’Europe après le traité d’Amiens signé en 1802 avec l’Angleterre. Bilan admirable qu’il ne faut pas toutefois mettre entièrement au crédit du Premier consul. Ce serait oublier l’œuvre des Thermidoriens.
1799À 30 ans, il s’empare du pouvoir après le coup d’état du 18 brumaire.
1804il est sacré empereur par Pie Vii à Notre-Dame de Paris (2 décembre).
1815la défaite de Waterloo sonne le glas de l’empereur, exilé à sainte-Hélène.
184O15 décembre : dix-neuf ans après sa mort, son cercueil est déposé aux invalides.
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66 Les grands personnages de L’histoire de france historia spécial
Prédestinée au combatÀ son procès, la jeune fille doit expliquer l’origine de son « uniforme » : son armure a été offerte par le roi, tout comme son étendard blanc. Quant à l’épée, Jeanne en a eu la « vision ». Sur ses indications, un armurier de Tours est envoyé dans l’église Sainte-Catherine de Fierbois. Il la découvre, toute rouillée, derrière l’autel.
Son portrait par Albert Lynch (1897).
9eCLASSement nAtionAL
• 10e chez les femmes• 9e chez les – de 35 ans
67Les grands personnages de L’histoire de francemars-avril 2013
Tout bien pesé, ce qui frappe le plus dans sa personnalité, c’est sa force de conviction. À Vaucouleurs, en janvier 1429, elle convainc le capitaine de la place, Robert de Baudricourt, de lui fournir une
escorte et une lettre de recommandation au roi. À Chinon, où elle arrive le 23 février, elle impressionne suffisamment Charles VII pour que celui-ci la confie à une commission de théo-logiens, qui l’examine à Poitiers dans le courant du mois de mars. Devant ces savants universi-taires, pas forcément bien disposés à son égard, la jeune paysanne illettrée se montre sûre d’elle et de sa mission, tout en sachant manier l’iro-nie, y compris au détriment de ses interlocu-teurs. Le verdict de la commission est favora-ble : le souverain peut se fier à Jeanne d’Arc.
En quelques semaines, cette toute jeune fille, née à Domrémy vers 1412, a donc triomphé de tous les obstacles. Désavantagée par son sexe, son âge et son statut social, elle est parvenue à convaincre les gens de guerre, les théolo-giens, le roi lui-même. La situation de Char-les VII, il est vrai, n’est pas très bonne : avec leurs alliés bourguignons, les Anglais tiennent tout le nord du royaume. À l’automne 1428, ils
ont mis le siège devant Orléans. Un verrou sur la Loire : sa chute ouvrirait à l’envahisseur la route de Bourges, la capitale de Charles VII.
Au Moyen Âge, il n’est pas rare que des hom-mes ou des femmes se disent envoyés par Dieu. De ce point de vue, Jeanne d’Arc est à replacer dans une série assez fournie de jeunes filles inspirées et prophétesses, qui toutes ont dû se frayer un chemin jusqu’aux puissants qu’elles cherchent à éclairer de leurs révélations. Que le roi ait reçu Jeanne n’est donc pas si étonnant. Mais, par le rôle qu’elle va effectivement jouer, dans les domaines politique et militaire, elle est incontestablement à part.
elle menace henri Vi d’angleterreUne fois connu le résultat de l’examen de Poi-tiers, tout s’enchaîne rapidement. Dès le 22 mars 1429, avec aplomb, elle dicte une let-tre au roi d’Angleterre, qui se dit aussi roi de France, à l’oncle de celui-ci, le régent Bedford, et aux capitaines de l’armée qui assiège Orléans : qu’ils quittent immédiatement la France ou il leur arrivera malheur.
Quelques milliers d’Anglais sont devant Orléans depuis six mois. Ces effectifs ne suffi-sent pas à encercler complètement la ville, et
Par Xavier Hélary
Chef de guerre et faiseuse de roi. Le moindre des mérites de la Pucelle n’est pas d’avoir repris Orléans. C’est d’avoir espéré qu’en poussant un dauphin indécis à devenir un véritable souverain, elle pourrait canaliser les énergies pour chasser l’occupant anglais.
jeanne d’arC résistante hors pair
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1412elle naît à domrémy, dans le duché de Bar.
1429est présentée à charles Vii, à chinon, le 23 février. S’empare d’Orléans.
1430capturée le 23 mai, alors qu’elle tente de libérer compiègne.
1431est brûlée vive, à rouen, le 30 mai, dans sa 19e année.
RobespieRRe
Robespierre,� de Joël Schmidt (Gallimard, « Folio biographies », 2011, 352 p., 8,60 euros).
Robespierre,� derniers temps,� de Jean-Philippe Domecq (Gallimard, « Folio histoire », 2011, 480 p., 9,60 euros).
L’Homme Robespierre : histoire d’une solitude,� de Max Gallo (Perrin, « Tempus », 2008, 414 p., 9,70 euros).
Robespierre ou l’impossible Filiation,� de Jean Artarit (La Table Ronde, 2003, 543 p., 29 euros).
Louis XiV
Louis XiV. L’homme et le roi,� de Thierry Sarmant (Tallandier, « Biographies », 2012, 608 p., 27 euros).
Louis XiV,� de François Bluche (Hachette, « Pluriel », 2012, 1 056 p., 13 euros).
Le Versailles de Louis XiV,� de Mathieu da Vinha (Perrin, « Tempus », 2012, 520 p., 11 euros).
Louis XiV,� de Jean- Christian Petitfils (Perrin, « Tempus », 2008, 775 p., 12,20 euros).
Louis XiV,� de Max Gallo (Pocket, deux tomes ; tome I : « Le Roi-Soleil », 424 p. ; tome II : « L’hiver du grand roi », 344 p. ; 2009, 7,20 euros pièce).
RicHeLieu
Richelieu,� de Françoise Hildesheimer (Flammarion, « Grandes biographies », 2011, 590 p., 25,40 euros).
L’Homme rouge ou la Vie du cardinal de Richelieu,� de Roland Mousnier (Laffont, « Bouquins », nouvelle édition 2009, 905 p., 30,50 euros).
Richelieu,� de Philippe Erlanger (Perrin, « Tempus », 2006, 857 p., 12,20 euros).
HenRi iV
Henri iV et la France réconciliée,� de Gonzague Saint Bris (Le Livre de Poche, 2012, 345 p., 7,60 euros).
Henri iV,� collectif (Larousse, « Les mini-Larousse », 2011, 90 p., 3,50 euros).
Henri iV. Les réalités d’un mythe,� de Philippe Delorme (L’Archipel, 2010, 418 p., 22,35 euros).
Qui a vraiment tué Henri iV ?,� de François Per-not (Larousse, « L’histoire comme un roman », 2010, 288 p., 18,25 euros).
Henri iV,� de Jean-Pierre Babelon (Fayard, 2009, 1 120 p., 34,50 euros).
Hugues capet
Hugues capet,� de Georges Bordonove (Pygmalion, « Les rois qui ont fait la France », 2011, 320 p., 22,30 euros).
Hugues capet,� d’Yves Sassier (Fayard, 1984, 357 p., 26 euros).
cHaRLemagne
charlemagne,� de Jean Favier (Tallandier, « Texto », nouvelle édition 2013, 784 p., 12 euros).
charlemagne,� guerrier et conquérant,� de Bruno Dumézil (Le Figaro éditions, 2012, 376 p., 9,40 euros).
charlemagne,� d’Edward Gibbon (Payot, « Petite Bibliothèque Payot », 2012, 144 p., 7,50 euros).
charlemagne,� de Georges Minois (Perrin, 2010, 715 p., 26,50 euros).
charlemagne et la Dynastie carolingienne,� de Phi-lippe Depreux (Tallandier, 2007, 175 p., 13,20 euros).
charlemagne,� d’Arthur Kleinclausz (Tallandier, 2005, 560 p., 4,90 euros).
VeRcingétoRiX
Vercingétorix,� de Camille Jullian (Tallandier, « Texto », 2012, 398 p., 11 euros).
Le Dossier Vercingétorix,� de Christian Goudineau (Actes Sud, « Babel », 2009, 466 p., 9,70 euros).
Vercingétorix : le politique,� le stratège,� de Paul M. Martin (Perrin, 2009, 263 p., 21,50 euros).
cLoVis
clovis,� de Michel Rouche (Hachette, coll. « Pluriel », 2013, 640 p., 11,50 euros).
Le clan clovis,� une saga familiale au cœur de la violence,� de Marylène Vincent (L’Harmattan, 2011, 212 p., 19,95 euros).
clovis 484511,� père de clotaire ier,� de Georges Bordonove (Pygmalion, coll. « Souverains et souve-raines de France », 2009, 318 p., 22,30 euros).
Le baptême de clovis,� d’Ivan Gobry (Bernard Giovanangeli éditeur, « Histoires de France », 2008, 999 p., 20 euros).
clovis,� le fondateur,� de Godefroid Kurth (Tallan-dier, « Figures de proue », 2005, 625 p., 25,50 euros).
Par Véronique Dumas
108 les grands personnages de l’histoire de france historia spécial
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