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LES ANIMATIONS À VOIR ÉGALEMENT EN BAIE DE SAINT-BRIEUC Kieran Dodds (Écosse) Les îles Shetland : les colonies d’oiseaux marins en danger» Maison du festival Ruth McDowall (Nouvelle-Zélande) Malaiku, les anges Carré Rosengart Arianna Sanesi, (ITALIE) J’aimerais que vous puissiez me voir Maison du festival LES ÎLES SHETLAND, À LA LIMITE DE L’OCÉAN ATLANTIQUE ET DE LA MER DU NORD, SONT PEUPLÉES PAR DES COLONIES D’OISEAUX MARINS. UN ÉCOSYSTÈME AUJOURD’HUI MENACÉ PAR L’INDUSTRIE PÉTROLIÈRE. Chaque été, des centaines de milliers d’oiseaux élisent domicile sur ces falaises vertigineuses. Ces colonies bruyantes vivent dans un paysage naturel, s’y alimentent et s’y reproduisent. Leurs observations donnent beaucoup d’indices pour évaluer la santé de nos océans. Les Îles Shet- land disposent d’importantes réserves de pétrole et 20% des stocks encore disponibles au Royaume-Uni sont situés en mer. Le nouveau site de forage en eau profonde à 130 km constitue une réelle menace. Quelles seraient les conséquences environnementales en cas d’acci- dent ? British Petroleum se prépare à l’hypothèse de la plus grande marée noire de l’Histoire au cas où une catastrophe surviendrait... Le photographe explore ici un environnement naturel exceptionnel, paisible pour ces oiseaux, équilibre fragilisé par la présence de l’Homme, et met en lumière les problèmes et solutions posés par l’industrie pétrolière. UN LONG VOYAGE PONCTUÉS DE PORTRAIT SILENCIEUX DANS UN PAYS OUBLIÉ DE L’EUROPE : LA MOLDAVIE. C’est le pays le plus petit et le plus pauvre d’Europe, et qui fait face à un conflit silencieux persistant datant de l’occupation russe. Près d’un quart de sa population a émigré vers l’étranger en quête d’une vie meilleure. Ceux qui restent sont de moins en moins nom- breux. Ce sont les personnes âgées, fragiles ou les jeunes enfants. Des générations entières grandissent sans leurs parents, en raison de la pauvreté et du manque de travail. La Moldavie apparaît comme un no man’s land avec ses villages fantômes, ses écoles fermées, ses pay- sages isolés avec pour seule toile de fond de vieux barbelés… Dans la région entourant le Dniestr (fleuve séparant la Moldavie de la Transnistrie), on peut apercevoir les enfants dormant dans les champs pour protéger leurs récoltes. C’est également un lieu de refuge, de vacances, associant détente et fête pour les moldaves. Omar Havana a été un spectateur du tremblement de terre qui touché le Népal le 25 avril dernier lorsqu’il était basé à Kathmandu. Son projet veut donner une place à ceux qui sont en bas de la liste des prioritaires : les personnes handicapées. Le tremblement de terre a frappé le Népal et a dévasté le pays, détruisant sur son passage 500 000 habitations, laissant plus de 8 500 personnes décédées et des dizaines de milliers de blessés. Il faut à présent penser reconstruction à long terme, ce dont le pays a besoin est d’un plan viable, en s’assurant que les usagers handicapés puissent bénéficier de l’assistance dont ils ont besoin. Ce projet sera concentré sur le portrait de la vie des habitants handicapés pendant le tremblement de terre. La réhabilitation du pays sera égale- ment abordée ainsi que les efforts faits pour donner une chance à une partie de la population généralement discriminée dans ces situations. L’AFGHANISTAN, UN PAYS EN PERPÉTUEL CONFLIT. “La vie en temps de guerre” capte la résilience d’un peuple luttant pour donner du sens à sa vie dans le contexte d’insécurité et de violence sans fin qui afflige son pays depuis 40 ans. Malgré la violence, la pauvreté, la toxicomanie et le manque d’édu- cation, la vie continue en Afghanistan. Le peuple s’accroche à l’espoir de lendemains meilleurs malgré le manque de mesures humanitaires. Les femmes et les filles sont particulièrement vulnérables car les Talibans les ont pris pour cible. Ces derniers concentrent leurs attaques sur les écoles pour filles, ce qui explique un taux d’alphabéti- sation de seulement 12 % chez les femmes en Afghanistan. Depuis 10 ans je ne photographie jamais la guerre, mais la vie en temps de guerre. Je veux saisir ce qu’il faut d’énergie pour vivre et reconstruire leurs vies brisées. CE PROJET MET EN LUMIERE L’EXPLOITATION DE DONNÉES PAR DES SOCIÉTÉS DE SURVEILLANCE HAUTE TECHNOLOGIE ET LEUR COMMERCIALISATION AUX GOUVERNEMENTS POUR LE CONTRÔLE DES COMMUNICATIONS DE MASSE. UN ENJEU ÉCONOMIQUE MONDIAL MAIS PAS SEULEMENT... Lorsque nous évoquons les questions relatives à l’interception des données à grande échelle, nous pensons à Facebook, Icloud, Citizen 4... Mais il y a une autre industrie, qui génère plusieurs milliards de dollars avec des bénéfices 5 fois supérieurs à 2014 : la surveillance des communications de masse commanditée par les états. Véritable import-export de données, créé par des entreprises de haute technologie de surveillance mondiale, il s’agit d’une arme desti- née à préserver le pouvoir en place en portant atteinte à la vie privée de ceux qui s’opposent à l’état (entre autre). L’insertion de virus dans nos ordinateurs, téléphones mobiles servent d’interface entre le serveur et l’utilisateur. Sur la toile désormais, nos moindres faits et gestes sont traqués, utilisés. Ce collectage de photos concerne 15 pays différents, regroupe du matériel promotionnel inédit, des tickets de support client, un dossier de correspondance entre l’artiste, les entreprises, et les entités étatiques. Projet réalisé en Afrique du Sud sur le quotidien des jeunes du peuple Xhosa, nés après l’Apartheid, qui vivent dans des zones rurales du Cap Oriental. À travers ses images en noir et blanc, Carla Kogelman nous renseigne sur leurs histoires, leurs craintes, leurs rêves et soulève une question cruciale : quel regard cette génération porte-t-elle sur l’Apartheid ? D’un point de vue esthétique, une place importante est accordée à l’imagination, à l’interprétation et à la mise en scène. Ainsi, elle souhaite montrer un monde sans impasse où l’espoir est permis. Une histoire pleine d’optimisme et de créativité. ENLÈVEMENT DES JEUNES FILLES DANS LE NORD DU NIGERIA PAR LE GROUPE ISLAMISTE BOKO HARAM, DEPUIS 2009. « Je suis accueillie à bras ouverts par trois jeunes filles qui courent vers moi m’appelant tante Ruth ». Durant ces 5 années passées dans le nord du Nigéria, je suis allée à la rencontre de celles qui ont survécu aux enlèvements. Jusqu’à 500 filles ont perdu leur innocence et connu la face la plus sombre de l’humanité. Ce reportage axé sur les portraits attire l’attention sur les abus et les violations des droits de l’Homme. Je questionne les enjeux plus larges et plus profonds des enlèvements en suivant l’évolution de ces jeunes filles et la manière dont elles font face à leur traumatisme, leur réhabilitation ou absence de réhabilita- tion. Ces survivantes nous livrent un aperçu intime de leur existence remplie de force et de résilience. Si certaines ont pu s’échapper, d’autres sont encore captives… UN PROJET SUR LES FÉMINICIDES ET DISPARITIONS DE FEMMES DANS L’ITALIE CONTEMPORAINE. De 2005 à 2013, ce sont au total 1036 femmes qui ont été assassinées en Italie (134 en 2013), la plupart sans laisser de trace, par des maris ou personnes “aimantes”. Jalousie, rage, préméditation. Face à l’inaction du gouvernement, l’ONU à déclaré le féminicide en Italie comme “Crime d’État”. Ce projet est une enquête visuelle visant à interroger, éveiller des consciences et combattre les clichés galvaudés. En effet, l’Italie donne à voir une image des femmes tantôt sexy et libérées, tantôt mères rassurantes. Ceci contribue à consolider des malentendus concernant le statut réel des droits de la femme. Dans l’impossibilité de montrer les victimes, la photographe a abondamment recours au “storytelling”. Elle suggère visuellement et fait allusion à ces drames. Derrière la féminité, l’amour et la famille, se cache une autre facette inquiétante de notre société. Åsa Sjøstrøm (Suède) Silent land Carré Rosengart Omar Havana (Espagne) Tremblement de terre au Népal Carré Rosengart Majid Saeedi (Iran) La vie en temps de guerre Carré Rosengart Mari Bastashevski (Danemark) Rien de personnel Maison du festival Carla Kogelman (Pays-Bas) Je suis l’Afrique du Sud Maison du festival UN REPORTAGE SUR L’ADOLESCENCE, SES RÊVES, SES ÉMOTIONS,SON QUOTIDIEN. Jusqu’où l’adulte peut-il s’avancer sur ce territoire secret ? Devant l’objectif, quelle réalité se joue, s’invente, se déguise et se dérobe ? Que souhaite-t-on montrer de soi-même ? «Regardez-moi», semblent dire ces adolescents « je vous offre une image, à vous d’en résoudre l’énigme. » En partenariat avec Itinéraires Bis, le Conseil Départemental des Côtes d’Armor et le Festival Photoreporter, la photographe sillonne le terri- toire à la rencontre d’adolescents. Elle a été accueillie en résidence dans des établissements scolaires (Collège Racine à Saint-Brieuc, Collège Diwan à Plésidy ou Jean XXIII à Quintin) la photographe est aussi allée sur les plages, dans des quar- tiers ou dans des MJC pour rencontrer ces jeunes. Ainsi, à travers ces échanges privilégiés, Isabelle Vaillant leur donne la parole, elle inter- roge les adolescents sur leurs rêves, leurs peurs ou leurs émotions. Isabelle Vaillant (France) Des adolescents Carré Rosengart PLUS D’INFOS SUR : WWW.FESTIVAL-PHOTOREPORTER.FR TWITTER : @BSBPHOTO #FPR2015 « LE MONDE S’INVITE À SAINT-BRIEUC, SAINT-BRIEUC INVITE LE MONDE » Chaque année, le festival International PHOTOREPORTER concrétise l’ambition d’informer le grand public par des photoreportages sur des sujets du monde entier. En réponse à un appel à projets lancé par le Festival en début d’année sans thème prédéfini, 250 à 300 dossiers de photoreporters français et étrangers sont étudiés par un jury qualifié. Chaque automne, le public peut découvrir une dizaine de reportages exclusifs sur des sujets dont on parle peu ou pas dans les médias traditionnels. Le festival se positionne en cela tel un media d’informations grâce auquel il est possible de prendre le temps d’observer, de lire les légendes, de comprendre au fil des photographies des situations qui se déroulent à deux pas ou à des mil- liers de kilomètres de chez nous. Véritable fenêtre sur le monde, le festival propose au public de tout âge un nou- veau rapport à la photographie par des rencontres avec les photoreporters, par une approche de l’expo photo qui mêle esthétisme et apport de connaissances sur des thèmes qui animent diverses régions du monde. L’originalité du festival repose également sur son mode de financement. Si l’évènement est financé par Saint- Brieuc Agglomération et le Conseil départemental des Côtes d’Armor, la production et la réalisation des photoreportages exclusifs sont financés grâce au premier fonds de dotation des Côtes d’Armor. Il unit une trentaine de partenaires privés qui soutiennent le Festival et son leitmotiv : proposer un évènement photo- graphique qualitatif en termes de contenus qui assure le rayonnement et l’attractivité de la Baie de Saint-Brieuc. Nous remercions tous les mécènes du Festival pour leur engagement en faveur de la production de photorepor- tages inédits. © Claudine Doury / Agence VU'/ Cibles et Stratégies Port du Légué Barrage du Gouët Campus des métiers et de l’artisanat Zoopôl e Gare Équinoxe Cap entreprises Campus Mazier Plage des Rosaires PORDIC TRÉMÉLOIR PLÉRIN TRÉMUSON LA MÉAUGON PLOUFRAGAN YFFINIAC HILLION LANGUEUX ST-BRIEUC ST-JULIEN TRÉGUEUX PLÉDRAN ST-DONAN La Maison du Festival 1, rue de la Gare - Saint-Brieuc Ouvert du lundi au dimanche de 10h à 19h - Kieran Dodds (Écosse) «Les îles Shetland : les colonies d’oiseaux marins en danger» - Arianna Sanesi (Italie) «J’aimerais que vous puissiez me voir» - Mari Bastashevski (Danemark) «Rien de personnel» - Carla Kogelman (Pays-Bas) «Je suis l’Afrique du Sud» 3 octobre au 1 ER novembre Baie de Saint-Brieuc DÉCOUVREZ LES SITES D'EXPOSITIONS Le Carré Rosengart Saint-Brieuc - Port du Légué Ouvert du lundi au dimanche de 10h à 19h - Ruth McDowall (Nouvelle-Zélande) «MALAIKU, les Anges» - Åsa Sjøstrøm (Suède) «Silent land» - Isabelle Vaillant (France) «Des adolescents» - Omar Havana (Espagne) «Tremblement de terre au Népal» - Rodolphe Marics (France) «Peuple des dunes» - Majid Saeedi (Iran) «La vie en temps de guerre» LE FESTIVAL OFF Retrouvez tout le programme des expositions du Festival OFF sur www.festival-photoreporter.fr Rubrique > le festival off Fréderic Le Chevanton : Centre Commercial Carrefour de Langueux Yannick Gauthier au Leclerc- Plérin Jean-Jacques Flach Hôtel Ibis à Saint-Brieuc Vincent Jacquenet à la librairie Le Pain des rêves Didier Thomas à La Nouvelle librairie Mais également : Didier De Nayer à La Gambille Robien Franck Perrin au Crédit mutuel de Bretagne place Duguesclin Gaël Turine au centre Emmaüs Haude Cursin à l’ Épi -tête, 11 rue Pierre le Gorrec Jean-Pierre Pariset à la brasserie Les Champs Emmanuelle Rodrigue au bar Le Fût chantant Seiko cat au bar 1701 Nicolas Bleteau au bar La Cigale Zoude Gwentasia au Forum des Champs Catherine Gaffiero au bar Le Soupçon R. Bedouet & Catherine brassard chez Lebreton opticiens Mickael Moreau chez Optic 2000 Jean-luc le Tortorec à L’Arbalaise Adrien Leguay au bar le Michelet Ozlightpicsmarkez au centre commercial Les Champs Alexandra Lacorne à la Galerie du Passe Partout Dan le boedec au U express Saint-Benoit Hervé Drouot au Jardin d’hiver de la Mairie de St-Brieuc Sylvie Tachot-Goavec au centre commercial Géant – Les Villages Olivier Fleury à la pizzeria Del Arte Stéphanie Pommeret au centre André Malraux Jacques Rouquette au centre commercial Les Champs Fabienne Morry au centre commercial Les Champs Céline Diais au centre commercial Les Champs Bernard Liscouet au centre commercial Les Champs Martial Coquio à la brasserie Breizh Toma Swan chez Caramel et Compagnie Collectif de photographes costarmoricains au Réseau Solidarité Internationale Armor FESTIVAL PHOTOREPORTER 2015 BAIE DE SAINT-BRIEUC DU 3 OCTOBRE AU 1 ER NOVEMBRE WWW.FESTIVAL-PHOTOREPORTER.FR TWITTER : @BSBPHOTO © D’après une photographie de Claudine Doury / Agence VU’. PROGRAMME ENTRÉE LIBRE LA BRIQUETERIE À LANGUEUX : Située dans un écrin de verdure, le long des grèves, en baie de Saint- Brieuc, la Briqueterie vous invite à partager une fabuleuse histoire humaine, du 10 ème au 19 ème siècle. Parc de Boutdeville, Langueux-les- Grèves LA MAISON DE LA BAIE À HILLION : La baie de Saint-Brieuc est la cinquième au monde pour l’amplitude de ses marées. Véritable mosaïque de milieux naturels, elle abrite une Réserve naturelle où près de 40 000 oiseaux viennent séjourner. Idéalement implantée au coeur de la baie, en bordure des sentiers de randonnée (GR), la Maison de la Baie offre une vue panoramique sur un environnement remarquable. Site de l’Etoile, Hillion LES AUTRES RENDEZ-VOUS CULTURELS : BANCS PUBLICS DU MERCREDI 21 OCTOBRE AU DIMANCHE 25 OCTOBRE 2015 : Banc Public, c’est quoi ? Artistiquement novateur, lu- dique, surprenant, musical, Banc Public surprend la ville, les curieux, les amateurs de nouveautés... Tous les soirs investissez le Balluche pour les DJ set et venez danser au Bal du 25 octobre. Programmation complète sur www.bancpublic.org MUSÉE D’ART ET D’HISTOIRE DE SAINT-BRIEUC : Horaires d’ouverture : du mardi au samedi de 10h à 18h, le dimanche et les jours fériés de 14h à 18h (fermeture des galeries permanentes de 12h à 13h30). Entrée libre. Accès aux personnes à mobilité réduite et visites spé- cifiques proposées aux personnes en situation de handicap. Plus d’infos sur www.saint-brieuc.fr SORTIES, ITINÉRAIRES, RESTAURANTS, HÉBERGEMENTS… le plein d’idées sur le site de l’Office de tourisme de la Baie www.baiedesaintbrieuc.com Application « Baie de Saint-Brieuc » gratuitement disponible pour iPhone et Android Pour aller plus loin, retrouvez une sélection d’ouvrages de l’association RESIA - Réseau Solidarités Internationales Armor - sur les sujets des expositions présentées. Permanences durant le Festival : - Tous les samedis matins à la Maison du Festival de 10h à 12h30 les 10, 17, 24 et 31 octobre. - Tous les mercredis après midis au Carré Rosengart de 14h à 17h les 7, 14, 21 et 28 octobre EXPO «FAITES LE MUR» D’ISABELLE VAILLANT DU 3 OCT. AU 1 ER NOV. 2015 Un travail d’action culturelle a été réalisée avec des jeunes du Quartier Croix Saint-Lambert à Saint-Brieuc autour d’une thématique «Faites le mur». Ce travail sera exposé pendant le Festival Photoreporter. En partenariat avec le Cercle et le Conseil Départemental et Itinéraire Bis. Samedi 17 Octobre à 18h00 : diffusion officielle du film documentaire «Des adoles- cents». Carré Rosengart Carré Rosengart 16 Quai Armez, 22000 Saint-Brieuc Horaires d’ouvertures : - Mardi : 12h30-18h30 - Mercredi : 10h-12h30 et 13h30-18h30 - Jeudi : 13h30-18h30 (Espace Jeunesse à partir de 16h30 en période scolaire) - Vendredi : 13h30-18h30 - Samedi : 10h-12h30 et 13h30-17h30 LA SÉLECTION 2015 INFOS PRATIQUES : Direction du festival : Alexandre Solacolu Direction de la communication : Lénaïck Hémery communication@saintbrieuc-agglo.fr www.festival-photoreporter.fr www.facebook.com/festival. photoreporter @bsbphoto #FPR2015 DEVENEZ PRODUCTEUR D’UN PHOTOREPORTAGE ! Le festival Photoreporter lance sa plate-forme de finance- ment participatif ! Plus qu’un don, vous financez le sujet du photoreporter OLIVIER JOBARD. Si ce dernier est vendu pour parution dans la presse ou sur Internet, vous empochez une quote-part des recettes générées. «Nounous, femmes de ménage, employés domestiques à bas prix… Elles seraient 50 000 travailleuses domestiques philippines en France, la moitié irrégulière. Que se cache derrière leur discrétion ? Ce reportage entre les Philippines et la France, raconte l’histoire de femmes qui ont quitté mari et enfants pour subvenir à leurs besoins.» Le festival se lance donc dans un nouveau projet de finance- ment du photoreportage via une plate-forme de Crowdin- vesting intitulée MY PHOTOREPORTER en partenariat avec la startup WE DO GOOD. Plus d’infos > https://www.festival-photoreporter.fr Pour financer le projet : «Migration : PARIS - MANILLE, nounous à tout prix» par Olivier Jobard, plus d’infos > wwww.festival-photoreporter.fr Rubrique : my Photoreporter LES PARTENAIRES AU LARGE DE LA BAIE DE LANNION, UNE DUNE SOUS-MARINE DEVIENT UN ENJEU ÉCONOMIQUE AVEC LE PROJET D’EXTRACTION DE SABLE COQUILLIER. Celle-ci est située à moins d’un kilomètre d’une des deux zones classées Natura 2000, dont celle de la réserve des Sept Îles, sanctuaire d’oi- seaux marins. L’association “Peuple des Dunes” en Trégor (Côtes d’Armor) avait jusqu’à présent réussi à repousser l’implantation d’un projet d’exploitation de la Compagnie Armoricaine de Navigation (CAN), qui a pour but d’utiliser ce sable pour l’amendement des terres agricoles. La demande de la CAN fait suite à l’interdiction faite par l’Europe de l’extraction du “maerl” afin d’éviter la destruction de la biodiversité marine. Cette zone convoitée abrite de nombreuses espèces marines et animalières. Les activités de pêcherie professionnelle et de plaisance y occupent une large place. Or, récemment, la demande de la CAN a été accordée par l’État (avec des conditions revues à la baisse sur le volume d’extrac- tion, arrêt pendant la période estivale…). Dès l’instant où l’on attaque la dune, quel que soit le volume d’extraction, c’est tout l’écosystème qui est menacé. À Lannion, l’inquiètude est grandissante face à l’échéance toute proche. Il existe d’autres projets d’extraction de sables coquilliers, comme celle de la Horaine, au large du Cap de Bréhat. Rodolphe Marics (France) Peuple des dunes Carré Rosengart Ouvert du lundi au dimanche de 10h à 19h / ouvert le 1 er novembre

LA LES SÉLEcTION - Festival Photoreporter en Baie … · fête pour les moldaves. ... “La vie en temps de guerre” capte la résilience d ... Projet réalisé en Afrique du Sud

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Page 1: LA LES SÉLEcTION - Festival Photoreporter en Baie … · fête pour les moldaves. ... “La vie en temps de guerre” capte la résilience d ... Projet réalisé en Afrique du Sud

LESANIMATIONS

À VOIR ÉGALEMENTEN BAIE DE SAINT-BRIEUc

Kieran Dodds (Écosse) Les îles Shetland : les coloniesd’oiseaux marins en danger»Maison du festival

Ruth McDowall (Nouvelle-Zélande) Malaiku, les angescarré Rosengart

Arianna Sanesi, (ITALIE) J’aimerais que vous puissiez me voirMaison du festival

LES ÎLES SHETLAND, À LA LIMITE DE L’OCÉAN ATLANTIQUEET DE LA MER DU NORD, SONT PEUPLÉES PAR DES COLONIESD’OISEAUX MARINS. UN ÉCOSYSTÈME AUJOURD’HUIMENACÉ PAR L’INDUSTRIE PÉTROLIÈRE.

Chaque été, des centaines de milliers d’oiseaux élisent domicile sur ces falaises vertigineuses. Ces colonies bruyantes vivent dans un paysage naturel, s’y alimentent et s’y reproduisent. Leurs observations donnent beaucoup d’indices pour évaluer la santé de nos océans. Les Îles Shet-land disposent d’importantes réserves de pétrole et 20% des stocks encore disponibles au Royaume-Uni sont situés en mer. Le nouveau site de forage en eau profonde à 130 km constitue une réelle menace. Quelles seraient les conséquences environnementales en cas d’acci-dent ? British Petroleum se prépare à l’hypothèse de la plus grande marée noire de l’Histoire au cas où une catastrophe surviendrait... Le photographe explore ici un environnement naturel exceptionnel, paisible pour ces oiseaux, équilibre fragilisé par la présence de l’Homme, et met en lumière les problèmes et solutions posés par l’industrie pétrolière.

UN LONg vOYAgE PONCTUÉS DE PORTRAIT SILENCIEUX DANS UN PAYS OUBLIÉ DE L’EUROPE : LA MOLDAvIE.

C’est le pays le plus petit et le plus pauvre d’Europe, et qui fait face à un conflit silencieux persistant datant de l’occupation russe.Près d’un quart de sa population a émigré vers l’étranger en quête d’une vie meilleure. Ceux qui restent sont de moins en moins nom-breux. Ce sont les personnes âgées, fragiles ou les jeunes enfants. Des générations entières grandissent sans leurs parents, en raison de la pauvreté et du manque de travail. La Moldavie apparaît comme un no man’s land avec ses villages fantômes, ses écoles fermées, ses pay-sages isolés avec pour seule toile de fond de vieux barbelés… Dans la région entourant le Dniestr (fleuve séparant la Moldavie de la Transnistrie), on peut apercevoir les enfants dormant dans les champs pour protéger leurs récoltes.C’est également un lieu de refuge, de vacances, associant détente et fête pour les moldaves.

Omar Havana a été un spectateur du tremblement de terre qui touché le Népal le 25 avril dernier lorsqu’il était basé à Kathmandu. Son projet veut donner une place à ceux qui sont en bas de la liste des prioritaires : les personnes handicapées. Le tremblement de terre a frappé le Népal et a dévasté le pays, détruisant sur son passage 500 000 habitations, laissant plus de 8 500 personnes décédées et des dizaines de milliers de blessés. Il faut à présent penser reconstruction à long terme, ce dont le pays a besoin est d’un plan viable, en s’assurant que les usagers handicapés puissent bénéficier de l’assistance dont ils ont besoin. Ce projet sera concentré sur le portrait de la vie des habitants handicapéspendant le tremblement de terre. La réhabilitation du pays sera égale-ment abordée ainsi que les efforts faits pour donner une chance à une partie de la population généralement discriminée dans ces situations.

L’AFgHANISTAN, UN PAYS EN PERPÉTUEL CONFLIT.

“La vie en temps de guerre” capte la résilience d’un peuple luttant pour donner du sens à sa vie dans le contexte d’insécurité et de violence sans fin qui afflige son pays depuis 40 ans.Malgré la violence, la pauvreté, la toxicomanie et le manque d’édu-cation, la vie continue en Afghanistan. Le peuple s’accroche à l’espoir de lendemains meilleurs malgré le manque de mesures humanitaires. Les femmes et les filles sont particulièrement vulnérables car les Talibans les ont pris pour cible. Ces derniers concentrent leurs attaques sur les écoles pour filles, ce qui explique un taux d’alphabéti-sation de seulement 12 % chez les femmes en Afghanistan.Depuis 10 ans je ne photographie jamais la guerre, mais la vie en temps de guerre. Je veux saisir ce qu’il faut d’énergie pour vivre et reconstruire leurs vies brisées.

CE PROJET MET EN LUMIERE L’EXPLOITATION DE DONNÉESPAR DES SOCIÉTÉS DE SURvEILLANCE HAUTE TECHNOLOgIEET LEUR COMMERCIALISATION AUX gOUvERNEMENTSPOUR LE CONTRÔLE DES COMMUNICATIONS DE MASSE.UN ENJEU ÉCONOMIQUE MONDIAL MAIS PAS SEULEMENT...

Lorsque nous évoquons les questions relatives à l’interception des données à grande échelle, nous pensons à Facebook, Icloud, Citizen 4... Mais il y a une autre industrie, qui génère plusieurs milliards de dollars avec des bénéfices 5 fois supérieurs à 2014 : la surveillance des communications de masse commanditée par les états.véritable import-export de données, créé par des entreprises de haute technologie de surveillance mondiale, il s’agit d’une arme desti-née à préserver le pouvoir en place en portant atteinte à la vie privée de ceux qui s’opposent à l’état (entre autre). L’insertion de virus dans nos ordinateurs, téléphones mobiles servent d’interface entre le serveur et l’utilisateur. Sur la toile désormais, nos moindres faits et gestes sont traqués, utilisés. Ce collectage de photos concerne 15 pays différents, regroupe du matériel promotionnel inédit, des tickets de support client, un dossier de correspondance entre l’artiste, les entreprises, et les entités étatiques.

Projet réalisé en Afrique du Sud sur le quotidien des jeunes du peuple Xhosa, nés après l’Apartheid, qui vivent dans des zones rurales du Cap Oriental.

À travers ses images en noir et blanc, Carla Kogelman nous renseigne sur leurs histoires, leurs craintes, leurs rêves et soulève une question cruciale : quel regard cette génération porte-t-elle sur l’Apartheid ? D’un point de vue esthétique, une place importante est accordéeà l’imagination, à l’interprétation et à la mise en scène.

Ainsi, elle souhaite montrer un monde sans impasse où l’espoir est permis. Une histoire pleine d’optimisme et de créativité.

ENLÈvEMENT DES JEUNES FILLES DANS LE NORD DU NIgERIA PAR LE gROUPE ISLAMISTE BOKO HARAM, DEPUIS 2009.

« Je suis accueillie à bras ouverts par trois jeunes filles qui courent vers moi m’appelant tante Ruth ». Durant ces 5 années passées dans le nord du Nigéria, je suis allée à la rencontre de celles qui ont survécu aux enlèvements. Jusqu’à 500 filles ont perdu leur innocence et connu la face la plus sombre de l’humanité. Ce reportage axé sur les portraits attire l’attention sur les abus et les violations des droits de l’Homme. Je questionne les enjeux plus larges et plus profonds des enlèvements en suivant l’évolution de ces jeunes filles et la manière dont elles font face à leur traumatisme, leur réhabilitation ou absence de réhabilita-tion. Ces survivantes nous livrent un aperçu intime de leur existence remplie de force et de résilience. Si certaines ont pu s’échapper, d’autres sont encore captives…

UN PROJET SUR LES FÉMINICIDES ET DISPARITIONS DE FEMMES DANS L’ITALIE CONTEMPORAINE.

De 2005 à 2013, ce sont au total 1036 femmes qui ont été assassinées en Italie (134 en 2013), la plupart sans laisser de trace, par des maris ou personnes “aimantes”. Jalousie, rage, préméditation. Face à l’inaction du gouvernement, l’ONU à déclaré le féminicide en Italie comme “Crime d’État”. Ce projet est une enquête visuelle visant à interroger, éveiller des consciences et combattre les clichés galvaudés. En effet, l’Italie donne à voir une image des femmes tantôt sexy et libérées, tantôt mères rassurantes.Ceci contribue à consolider des malentendus concernant le statut réel des droits de la femme. Dans l’impossibilité de montrer les victimes, la photographe a abondamment recours au “storytelling”.Elle suggère visuellement et fait allusion à ces drames. Derrière la féminité, l’amour et la famille, se cache une autre facette inquiétante de notre société.

Åsa Sjøstrøm (Suède) Silent landcarré Rosengart

Omar Havana (Espagne)Tremblement de terre au Népalcarré Rosengart

Majid Saeedi (Iran)La vie en temps de guerrecarré Rosengart

Mari Bastashevski(Danemark)Rien de personnelMaison du festival

carla Kogelman (Pays-Bas) Je suis l’Afrique du SudMaison du festival

UN REPORTAgE SUR L’ADOLESCENCE, SES RÊvES, SES ÉMOTIONS,SON QUOTIDIEN.

Jusqu’où l’adulte peut-il s’avancer sur ce territoire secret ? Devant l’objectif, quelle réalité se joue, s’invente, se déguise et se dérobe ? Que souhaite-t-on montrer de soi-même ? «Regardez-moi», semblent dire ces adolescents « je vous offre une image, à vous d’en résoudre l’énigme. »En partenariat avec Itinéraires Bis, le Conseil Départemental des Côtesd’Armor et le Festival Photoreporter, la photographe sillonne le terri-toire à la rencontre d’adolescents.Elle a été accueillie en résidence dans des établissements scolaires (Collège Racine à Saint-Brieuc, Collège Diwan à Plésidy ou Jean XXIII àQuintin) la photographe est aussi allée sur les plages, dans des quar-tiers ou dans des MJC pour rencontrer ces jeunes. Ainsi, à travers ces échanges privilégiés, Isabelle vaillant leur donne la parole, elle inter-roge les adolescents sur leurs rêves, leurs peurs ou leurs émotions.

Isabelle Vaillant (France)Des adolescentscarré Rosengart

PLUS D’INFOS SUR :

www.FESTIvAL-PHOTOREPORTER.FRTwITTER : @BSBPHOTO#FPR2015

« LE MONDE S’INVITE À SAINT-BRIEUc, SAINT-BRIEUc INVITE LE MONDE »

Chaque année, le festival International PHOTOREPORTER concrétise l’ambition d’informer le grand public par des photoreportages sur des sujets du monde entier.

En réponse à un appel à projets lancé par le Festival en début d’année sans thème prédéfini, 250 à 300 dossiers de photoreporters français et étrangers sont étudiés par un jury qualifié. Chaque automne, le public peut découvrir une dizaine de reportages exclusifs sur des sujets dont on parle peu ou pas dans les médias traditionnels. Le festival se positionne en cela tel un media d’informations grâce auquel il est possible de prendre le temps d’observer, de lire les légendes, de comprendre au fil des photographies des situations qui se déroulent à deux pas ou à des mil-liers de kilomètres de chez nous. Véritable fenêtre sur le monde, le festival propose au public de tout âge un nou-veau rapport à la photographie par des rencontres avec les photoreporters, par une approche de l’expo photo qui mêle esthétisme et apport de connaissances sur des thèmes qui animent diverses régions du monde. L’originalité du festival repose également sur son mode de financement. Si l’évènement est financé par Saint-Brieuc Agglomération et le Conseil départemental des Côtes d’Armor, la production et la réalisation des photoreportages exclusifs sont financés grâce au premier fonds de dotation des Côtes d’Armor. Il unit une trentaine de partenaires privés qui soutiennent le Festival et son leitmotiv : proposer un évènement photo-graphique qualitatif en termes de contenus qui assure le rayonnement et l’attractivité de la Baie de Saint-Brieuc. Nous remercions tous les mécènes du Festival pour leur engagement en faveur de la production de photorepor-tages inédits.

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LA MÉAUGON

PLOUFRAGAN

YFFINIAC

HILLIONLANGUEUX

ST-BRIEUC

ST-JULIEN

TRÉGUEUX

PLÉDRAN

ST-DONAN

La Maison du Festival 1, rue de la Gare - Saint-Brieuc Ouvert du lundi au dimanche de 10h à 19h

- Kieran Dodds (Écosse) «Les îles Shetland : les colonies d’oiseaux marins en danger»

- Arianna Sanesi (Italie) «J’aimerais que vous puissiez me voir»

- Mari Bastashevski (Danemark) «Rien de personnel»

- Carla Kogelman (Pays-Bas) «Je suis l’Afrique du Sud»

3 octobre au 1ER novembreBaie de Saint-Brieuc

DÉCOUVREZ LES SITESD'EXPOSITIONS

Le Carré RosengartSaint-Brieuc - Port du LéguéOuvert du lundi au dimanche de 10h à 19h

- Ruth McDowall (Nouvelle-Zélande) «MALAIKU, les Anges»

- Åsa Sjøstrøm (Suède) «Silent land»

- Isabelle Vaillant (France) «Des adolescents»

- Omar Havana (Espagne) «Tremblement de terre au Népal»

- Rodolphe Marics (France) «Peuple des dunes»

- Majid Saeedi (Iran) «La vie en temps de guerre»

LEFESTIVAL OFF

Retrouvez tout le programme des expositions du Festival OFF sur www.festival-photoreporter.fr Rubrique > le festival off

Fréderic Le Chevanton : Centre Commercial Carrefour de Langueux

Yannick gauthierau Leclerc- Plérin

Jean-Jacques Flach Hôtel Ibis à Saint-Brieuc

vincent Jacquenet à la librairie Le Pain des rêves

Didier Thomasà La Nouvelle librairie Mais également : Didier De Nayer à La Gambille Robien

Franck Perrin au Crédit mutuel de Bretagneplace Duguesclin

gaël Turineau centre Emmaüs

Haude Cursin à l’ Épi -tête, 11 rue Pierre le Gorrec

Jean-Pierre Pariset à la brasserie Les Champs

Emmanuelle Rodrigueau bar Le Fût chantant

Seiko catau bar 1701

Nicolas Bleteauau bar La Cigale

Zoude gwentasiaau Forum des Champs

Catherine gaffieroau bar Le Soupçon

R. Bedouet & Catherine brassardchez Lebreton opticiens

Mickael Moreau chez Optic 2000

Jean-luc le Tortorecà L’Arbalaise

Adrien Leguayau bar le Michelet

Ozlightpicsmarkezau centre commercial Les Champs

Alexandra Lacorneà la Galerie du Passe Partout

Dan le boedecau U express Saint-Benoit

Hervé Drouotau Jardin d’hiver de la Mairie de St-Brieuc

Sylvie Tachot-goavecau centre commercial Géant– Les Villages

Olivier Fleuryà la pizzeria Del Arte

Stéphanie Pommeretau centre André Malraux

Jacques Rouquetteau centre commercial Les Champs

Fabienne Morryau centre commercial Les Champs

Céline Diaisau centre commercial Les Champs

Bernard Liscouetau centre commercial Les Champs

Martial Coquioà la brasserie Breizh

Toma Swanchez Caramel et Compagnie

Collectif de photographescostarmoricainsau Réseau SolidaritéInternationale Armor

FESTIVAL PHOTOREPORTER

2015BAIE DE SAINT-BRIEUC

DU 3 OCTOBRE AU 1ER NOvEMBRE

www.FESTIvAL-PHOTOREPORTER.FRTwITTER : @BSBPHOTO

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PROGRAMME ENTRÉE LIBRE

LA BRIqUETERIE À LANGUEUx :Située dans un écrin de verdure, le long des grèves, en baie de Saint-Brieuc, la Briqueterie vous invite à partager une fabuleuse histoire humaine, du 10ème au 19ème siècle. Parc de Boutdeville, Langueux-les-Grèves

LA MAISON DE LA BAIE À HILLION :La baie de Saint-Brieuc est la cinquième au monde pour l’amplitude de ses marées. véritable mosaïque de milieux naturels, elle abrite une Réserve naturelle où près de 40 000 oiseaux viennent séjourner. Idéalement implantée au coeur de la baie, en bordure des sentiers de randonnée (gR), la Maison de la Baie offre une vue panoramique sur un environnement remarquable.Site de l’Etoile, Hillion

LES AUTRES RENDEZ-VOUS cULTURELS :BANcS PUBLIcS DU MERcREDI 21 OcTOBRE AU DIMANcHE 25 OcTOBRE 2015 :Banc Public, c’est quoi ? Artistiquement novateur, lu-dique, surprenant, musical, Banc Public surprend la ville, les curieux, les amateurs de nouveautés... Tous les soirs investissez le Balluche pour les DJ set et venez danser au Bal du 25 octobre. Programmation complète sur www.bancpublic.org

MUSÉE D’ART ET D’HISTOIRE DE SAINT-BRIEUc : Horaires d’ouverture : du mardi au samedi de 10h à 18h, le dimanche et les jours fériés de 14h à 18h (fermeture des galeries permanentes de 12h à 13h30). Entrée libre. Accès aux personnes à mobilité réduite et visites spé-cifiques proposées aux personnes en situation de handicap. Plus d’infos sur www.saint-brieuc.fr

SORTIES, ITINÉRAIRES, RESTAURANTS, HÉBERGEMENTS… le plein d’idées sur le site de l’Office de tourisme de la Baie www.baiedesaintbrieuc.com Application « Baie de Saint-Brieuc » gratuitement disponible pour iPhone et Android

Pour aller plus loin, retrouvez une sélection d’ouvrages de l’association RESIA - Réseau Solidarités Internationales Armor - sur les sujets des expositions présentées.

Permanences durant le Festival :

- Tous les samedis matins à la Maison du Festival de 10h à 12h30 les 10, 17, 24 et 31 octobre.

- Tous les mercredis après midis au Carré Rosengart de 14h à 17h les 7, 14, 21 et 28 octobre

ExPO «FAITES LE MUR» D’ISABELLE VAILLANT DU 3 OcT. AU 1ER NOV. 2015

Un travail d’action culturelle a été réalisée avec des jeunes du Quartier Croix Saint-Lambert à Saint-Brieuc autour d’une thématique «Faites le mur».Ce travail sera exposé pendant le Festival Photoreporter. En partenariat avec le Cercle et le Conseil Départemental et Itinéraire Bis. Samedi 17 Octobre à 18h00 : diffusion officielle du film documentaire «Des adoles-cents». Carré Rosengart

Carré Rosengart16 Quai Armez,22000 Saint-Brieuc

Horaires d’ouvertures :- Mardi : 12h30-18h30- Mercredi : 10h-12h30 et 13h30-18h30- Jeudi : 13h30-18h30 (Espace Jeunesse à partir de 16h30 en période scolaire)- vendredi : 13h30-18h30- Samedi : 10h-12h30 et 13h30-17h30

LA SÉLEcTION 2015

INFOS PRATIqUES :

Direction du festival :Alexandre Solacolu

Direction de la communication :Lénaïck Hémery [email protected]

www.festival-photoreporter.fr

www.facebook.com/festival.photoreporter

@bsbphoto

#FPR2015

DEvENEz PRODuCtEuR D’uN PHOtOREPORtAgE !

Le festival Photoreporter lance sa plate-forme de finance-ment participatif !

Plus qu’un don, vous financez le sujet du photoreporter OLIvIER JOBARD. Si ce dernier est vendu pour parution dans la presse ou sur Internet, vous empochez une quote-part des recettes générées.

«Nounous, femmes de ménage, employés domestiques à bas prix…

Elles seraient 50 000 travailleuses domestiques philippines en France, la moitié irrégulière. Que se cache derrière leur discrétion ? Ce reportage entre les Philippines et la France, raconte l’histoire de femmes qui ont quitté mari et enfants pour subvenir à leurs besoins.»

Le festival se lance donc dans un nouveau projet de finance-ment du photoreportage via une plate-forme de Crowdin-vesting intitulée MY PHOTOREPORTER en partenariat avec la startup wE DO gOOD.

Plus d’infos > https://www.festival-photoreporter.fr

Pour financer le projet :«Migration : PARIS - MANILLE, nounous à tout prix»par Olivier Jobard, plus d’infos > wwww.festival-photoreporter.fr Rubrique : my Photoreporter

LES PARTENAIRES

JM.COLLET – V.ROUILLERSaint-brieuc

Plérin

Référence Pantone

P 301 C

P 185 C

P 7689 C

Référence Quadri

100 + 53 + 4 +19

0 + 100 + 83 + 0

77 + 25 + 6 +0

(Mêmes références pour papier non couché)

U t i l i s a t i o n s u r f o n d s p e r t u r b é s

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AU LARgE DE LA BAIE DE LANNION, UNE DUNE SOUS-MARINEDEvIENT UN ENJEU ÉCONOMIQUE AvEC LE PROJET D’EXTRACTION DE SABLE COQUILLIER.

Celle-ci est située à moins d’un kilomètre d’une des deux zones classées Natura 2000, dont celle de la réserve des Sept Îles, sanctuaire d’oi-seaux marins. L’association “Peuple des Dunes” en Trégor (Côtes d’Armor) avait jusqu’à présent réussi à repousser l’implantation d’un projet d’exploitation de la Compagnie Armoricaine de Navigation (CAN), quia pour but d’utiliser ce sable pour l’amendement des terres agricoles. La demande de la CAN fait suite à l’interdiction faite par l’Europe de l’extraction du “maerl” afin d’éviter la destruction de la biodiversité marine. Cette zone convoitée abrite de nombreuses espèces marines et animalières.Les activités de pêcherie professionnelle et de plaisance y occupent une large place. Or, récemment, la demande de la CAN a été accordéepar l’État (avec des conditions revues à la baisse sur le volume d’extrac-tion, arrêt pendant la période estivale…). Dès l’instant où l’on attaque ladune, quel que soit le volume d’extraction, c’est tout l’écosystème quiest menacé. À Lannion, l’inquiètude est grandissante face à l’échéancetoute proche. Il existe d’autres projets d’extraction de sables coquilliers,comme celle de la Horaine, au large du Cap de Bréhat.

Rodolphe Marics (France) Peuple des dunescarré Rosengart

Ouvert du lundi au dimanchede 10h à 19h / ouvert le 1er novembre

Page 2: LA LES SÉLEcTION - Festival Photoreporter en Baie … · fête pour les moldaves. ... “La vie en temps de guerre” capte la résilience d ... Projet réalisé en Afrique du Sud

© D’après une photographie de Claudine Doury / Agence VU’.

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