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n°2 Journal périodique du Parc naturel régional Septembre 2010 Charly Sierro   Membre du comité d’Aqua Nostra VS Membre du comité de Chasse Suisse (2004- 2010) Pourquoi la chasse n’a-t-elle pas à craindre  d’un  parc naturel régional? Un des buts principaux d’un parc naturel régional consiste à promouvoir et renforcer un développement économique durable en utilisant les particularités locales. Contraire- ment aux exigences posées pour la création d’un parc national, l’ordonnance fédérale sur les parcs ne prévoit pas de zone centrale, pé- riphérique ou de transition. La chasse s’inscrit typiquement dans la notion de développement durable. Nécessaire, elle doit être considérée comme une activité socio-économique. Le chasseur, le premier, a démontré que les voies de sa survie étaient le maintien de la diversité et de l’équilibre des espèces, l’entretien des biotopes et le prélèvement réglementé du gibier. L’esprit d’un parc naturel régional va dans le même sens. Les initiateurs du parc régional naturel du Val d’Hérens, les prési- dents des communes concernées et la plupart des hérensards, ont une affectivité particulière pour la chasse. Ils ont garanti la durabilité des activités locales par l’établissement d’une charte qui assure le maintien du pouvoir décisionnel indigène. La législation cantonale sur la chasse demeure réservée. Ce contexte témoigne que la chasse reste totalement com- patible avec un parc naturel régional. Chasse aux idées reçues Les produits Les gens Le patrimoine Le mémento Les défis du parc Le parc p 02 p 04 p 05 p 06 p 07 p 08 Sommaire L’invité Parc naturel régional, rue Principale 13, 1982 Euseigne, tél. 027 281 28 15, [email protected], www.valdherens.ch

Journal du parc septembre 2010

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Journal du parc septembre 2010

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n°2Journal périodique du Parc naturel régionalSeptembre 2010

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Charly Sierro  Membre du comité d’Aqua Nostra VS Membre du comité de Chasse Suisse (2004-2010)

Pourquoi la chasse n’a-t-elle pas à craindre d’un  parc naturel régional?Un des buts principaux d’un parc naturel régional consiste à promouvoir et renforcer un développement économique durable en utilisant les particularités locales. Contraire-ment aux exigences posées pour la création d’un parc national, l’ordonnance fédérale sur les parcs ne prévoit pas de zone centrale, pé-riphérique ou de transition. La chasse s’inscrit typiquement dans la notion de développement durable. Nécessaire, elle doit être considérée comme une activité socio-économique. Le chasseur, le premier, a démontré que les voies de sa survie étaient le maintien de la diversité et de l’équilibre des espèces, l’entretien des biotopes et le prélèvement réglementé du gibier. L’esprit d’un parc naturel régional va dans le même sens. Les initiateurs du parc régional naturel du Val d’Hérens, les prési-dents des communes concernées et la plupart des hérensards, ont une affectivité particulière pour la chasse. Ils ont garanti la durabilité des activités locales par l’établissement d’une charte qui assure le maintien du pouvoir décisionnel indigène. La législation cantonale sur la chasse demeure réservée. Ce contexte témoigne que la chasse reste totalement com-patible avec un parc naturel régional.

Chasse aux idées reçues

Les produitsLes gensLe patrimoineLe mémentoLes défis du parcLe parc

 p 02 p 04 p 05p 06

 p 07 p 08

        Sommaire

   L’invité

Parc naturel régional, rue Principale 13, 1982 Euseigne, tél. 027 281 28 15, [email protected], www.valdherens.ch

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Notre bois mieux valorisé grâce au Parc NaturelLes forêts du Val d’Hérens donnent leur empreinte au paysage de toute la vallée. Elles portent depuis tout temps la signature des activités humaines et sont marquées par les cicatrices de la violence de nos montagnes.

Le forestier, lui, évolue dans ce contexte multiple, tantôt gestionnaire du patrimoine économique et naturel des bourgeoisies, tantôt policier, tantôt médecin de la forêt lorsqu’il lutte contre le bost-ryche. Il est cependant essentiellement le garant de la fonction de protection des forêts contre les dangers naturels qui nous menacent, avalanches, chutes de pierres, glissements, érosion.

Le travail du garde-forestier est essentiel et s’ap-parente à celui d’un chef d’entreprise. En effet, il doit assurer la commercialisation de ses produits, gérer le patrimoine forestier des bourgeoisies, son personnel (38 places de travail pour les 3 triages), les investissements, les infrastructures et les équipements. De plus, il veille au bon état sanitaire des forêts.

La valorisation du bois de notre régionProducteur de bois et donc d’énergie, le lien avec le projet du parc s’est imposé aux trois gardes forestiers de triage, MM. Olivier Bourdin, Philippe Largey et Frédéric Pralong, qui ont proposé un volet forestier basé sur le bois comme éner-gie verte et renouvelable. Ainsi les 3 triages forestiers, coachés par le service cantonal des forêts, ont mené un inventaire sur les quantités de bois répartis selon les différentes espèces disponibles sur le territoire du Parc. Le but de cette démarche vise à une valorisation du bois. Celle-ci passe par une information à un large public et à une consommation locale accrue.

Un succès prometteurCet été plus de 350 élèves ont arpentés le Val d’Hérens répondant ainsi favorablement aux offres lancées par le Parc Natu-rel en collaboration avec les Offices de tourisme locaux. La moitié des enfants provenaient des écoles du Val d’Hérens, leur donnant ainsi la possibilité de découvrir leur Vallée. Le bilan est positif et l’expérience sera reconduite l’année prochaine.

Les produits

  Courses d’écoles

        Nos forêts

Olivier Bourdin Philippe Largey

Frédéric Pralong

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La gestion de la forêt dans le périmètre du Parc, c’est :Les bourgeoisies se sont regroupées en triage pour rationaliser la gestion de leur forêt. La vallée compte ainsi plusieurs triages, Evolène, le Cône de Thyon et une partie du Vallon. La gestion forestière en quelques chiffres :

- 6500 hectares de forêt, essentiellement bourgeoisiales,

- une diversité des essences, des feuillus de plaine aux mélèzes et aroles de haute montagne, avec une prédominance de l’épicéa,

- 12’400 m3 de bois commercialisé en 2009,

- 38 places de travail, 5 places d’apprentissage

 Le côté fun

L’avis du spécialiste

Journal périodique du Parc naturel régional

Y aura-t-il plus de zone protégée (réserve forestière) dans la région du val d’Hérens avec un parc que sans?Les réserves forestières constituent un des objectifs de la Confédération pour la biodiversité en forêt. Qu’il y ait ou non un parc ne change rien du tout à cette problématique.

Voyez-vous de nouvelles contraintes au niveau de l’exploitation de la forêt avec  un parc naturel?Non, le Parc n’amène aucune nouvelle contrainte sur la gestion de la forêt. Celle-ci continuera à être menée par les bourgeoisies dans le respect des législations cantonales et fédérales. Ces dernières sont déjà des plus performantes et exemplaires en comparaison internationale.

Quels sont les apports que peut bénéficier la région avec un Parc naturel?Tout d’abord en termes d’images, la région sera beaucoup plus visible. Et ensuite, plus spécifiquement pour la gestion des forêts, le Parc a permis de réunir les triages forestiers autour de problé-matiques communes et de mener une réflexion sur la valorisation du bois. Sans le Parc cette réflexion ne se serait pas faite. C’est donc un projet fédérateur de ce point de vue là!

Vol au-dessus du Val d’Hérens«Si vous deviez ne découvrir qu’une seule vallée en Suisse, ce serait à coup sûr le Val d’Hérens.»

Voilà le grand titre du magazine français de référence du parapente. Classés parmi les 60 plus beaux sites de vol d’Europe, le para-pente dans le Val d’Hérens a sans contexte une place importante. Tant de beautés reconnues à l’étranger devraient pouvoir être mises en valeur par un label de Parc naturel régional.

Au départ de Béplan, surplombant le village d’Evolène, les parapentistes peuvent admirer les 4000m de la Vallée, les forêts de mélèzes et cette nature sauvage. L’atteris-sage se fait confortablement sur un vaste terrain à la sortie du village d’Evolène.

Ainsi 1020 mètres auront été dévalés avec des souvenirs pleins la vue et une seule envie... recommencer.

  Courses d’écoles

Septembre 2010

Jean-Christophe Clivaz, ingénieur gestion des forêts 

à l’arrondissement du Valais central

Page 4: Journal du parc septembre 2010

Pascal Vuignier : La gestion de la faune de-vra s’adapter aux nouvelles problématiques qui se présenteront à elles comme l’appa-rition de grands prédateurs ou l’augmen-tation des dérangements liés aux activités humaines. Le Parc naturel n’influencera que peu l’évolution des espèces pour autant que les décisions concernant sa gestion restent du ressort des milieux concernés et que le développement des infrastructures et des activités de loisir se fasse dans l’intérêt de la faune et de son biotope.

Pascal Vuignier : La présence du loup est un réel problème pour l’équilibre de notre faune ainsi que pour la survie de notre agricul-ture de montagne. La pression effectuée par ce prédateur aurait des conséquences négatives sur la quantité et la diversité des espèces animales présentes. Le Parc naturel risque de devenir un alibi pour les défenseurs du loup pour que cette zone de-vienne un énorme garde-manger et un lieu de repos paisible pour ce prédateur. A nos élus et aux responsables du projet de rester très attentifs sur ce point …

Pascal Vuignier : Les chasseurs ont de tout temps été plus présents là où le gibier était le plus abondant et où la pression de régulation devait être la plus forte. Ce n’est à mon avis pas le Parc Naturel mais plutôt la quantité de gibier qui va définir le va-et-vient des nemrods de St-Hubert.

Narcisse Seppey : Les récents évènements dus au loup ne font que confirmer mes vues. Pas de problèmes pour les bovins? Encore moins pour les humains? Attrait touristique pour les promeneurs chatouillés par les patous bientôt présents sur tous les alpages? Les thèses des promoteurs s’en trouvent bien écornées! Le parc constituera un levier supplémentaire de pression contre la gestion du loup par l’homme. Mais les décisions n’en seront pas influencées pour les autorités hérensardes du parc.

Narcisse Seppey : Sans modification de régime de chasse, les chasseurs ne chan-geront pas leur comportement. Le parc n’est pas de nature à modifier le volume de faune sauvage et la chasse se pratiquant hors de la haute saison touristique n’en sera pas sérieusement affectée.

Narcisse Seppey : Jusque dans les années 70-80, le public en général considérait que les animaux sauvages étaient l’affaire des chasseurs. Le même public réclame aujourd’hui un titre de propriété sur les animaux sauvages. Dans le respect de la charte de base du parc naturel réservant le domaine de la chasse à son statut juridique cantonal, la chasse ne devrait pas en subir une modification significative. On voit mal en effet les autorités du parc ignorer les vues des 400 membres de la Diana d’Hérens.

 La recette

          Nos chasseurs : rencontre

La présence du loup en Valais vous inquiète-t-elle et est-ce que le parc aura une incidence sur sa gestion?

Craignez-vous voir débarquer trop de chasseurs dans le parc naturel?

Rillettes de biche

Restaurant Au Chasseur Gourmand à Loye, Bruttin Bernard et Arnaud Ingrédients1 kg de saindoux200 gr de lard fumé1 kg de ragoût de biche dégraissé1 bouquet garni, sel et poivre3 cuillères à soupe de gelée de groseille

PréparationFaire fondre le saindoux, ajouter le lard fumé et le ragoût puis le bouquet garni.Assaisonner avec du sel et poivre et cuire à feu doux pendant 1 heure puis retirer le couvercle et laisser mijoter jusqu’à ce que la viande puisse être écrasée à la four-chette. Ajouter la gelée de groseilles et le cognac et bien mélanger. Dresser dans un moule chemisé de papier cellophane et laisser refroidir 24 heures au frigo. Démou-ler, découper en tranches et servir avec une salade.

Les gens

Pascal Vuignier Narcisse Seppey

Le Parc naturel à l’écoute des gardes-chasses :Les gardes-chasses emmenés par Narcisse Seppey se sont rencontrés plusieurs fois dans le cadre du Parc naturel. La gestion de la faune a été longuement abordée, et le dialogue ainsi noué. Il n’a point été question de nouvelles surfaces de tranquillité mais plutôt d’une valorisation de la faune. Celle-ci passerait par la création de nouveaux postes d’observation et de parcours nature afin de pouvoir présenter à un large public la richesse faunistique. A suivre donc.

Indépendamment du label de Parc naturel, comment va évoluer la gestion de la faune?

Regards croisés entre deux générations

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 Le bâti

La transformation des ruraux : les ouverturesDans le premier numéro, nous avons présenté les différents types d’habitations. Toujours en suivant les conseils édictés dans le livre publié par Patrimoine Suisse, nous abordons aujourd’hui le thème des réfections des ruraux. Pour commencer, attardons nous aux principes fondamentaux des ouvertures.

Les principaux conseils pour les fenêtres - Exploiter les ouvertures existantes et, dans

la mesure du possible, ne pratiquer aucun nouveau percement dans les façades de madriers.

- S’il faut absolument faire une ouverture, limiter sa taille au maximum et si possible concevoir dans le sens de la longueur et de la hauteur d’un, voire de deux madriers au maximum (la hauteur habituelle d’un madrier est d’env. 25 cm.)

- Eviter une répartition symétrique des ouver-tures

- Pour les nouvelles ouvertures, vitrer la to-talité de la surface sans croisillons et, dans la mesure du possible employer des verres antireflets (1 vantail)

- Pas d’encadrements massifs ; pas d’embra-sures, ni de meneaux massifs.

- Pas de faux cadres ou de revêtements (extérieurs). Poser des tablettes de fenêtre qui ne dépassent pas l’épaisseur du madrier.

De plus on obtient un bien meilleur effet encore, lorsque les cadres des fenêtres sont cachés. Les ouvertures se fondent ainsi quasiment dans la structure en bois des façades.

Les principes fondamentaux des portes : - Conserver les portes existantes en place et

ne pas en modifier les dimensions.- Vitrer l’ouverture existante de la porte afin

de gagner de la lumière complémentaire tout en conservant cette dernière comme volet.

- Réaliser les nouvelles portes en planches brutes de sciage verticales et épars.

Extraits : Mutations du bâti et de la vie rurale, patrimoine suisse section Valais romand, première édition, novembre 2009

ContactPatrimoine Suisse, section Valais romand, rue de Lombardie 10, 1950 [email protected]

Journal périodique du Parc naturel régional

Tour Tavelli : qui es-tu ?Tout château a ses légendes. La Tour Tavelli n’échappe pas aux siennes. On raconte qu’un baron possesseur de la Tour, un vrai tyran, imposait un lourd droit seigneurial. Un jour, un hérémensard ne voulant pas se soustraire, l’aurait abattu d’une flèche. Voilà pour la légende, pour le reste, on ne sait que peu de choses sur cette tour. Elle est de forme octogonale qui fait son originalité et date du 13ème siècle. Edifiée par la Seigneurie d’Ayent, elle devient propriété de la famille Tavelli de Granges en 1351. Sa destruction est vraisemblablement due aux conflits entre les partisans de Savoie et ceux de l’Evêque de Sion vers 1417. Cette tour a favorisé la rencontre avec la Valpelline et plus particulièrement le village d’Oyace. En effet beaucoup de similarités ont été recensées entre les 2 villages dont……..une tour octogonale. Celle d’Oyace se nomme La Tornala. Autour de cette particularité commune, un jumelage a eu lieu entre les communes d’Oyace et de Vex lors de la fête villageoise à Vex du 28 août dernier.

Le patrimoineSeptembre 2010

 Le saviez-vous ? 

Page 6: Journal du parc septembre 2010

Adhérez au projet et devenez membres Membre individuel 50.-/an Entreprise 80.-/an Membre collectif (association, groupement, 100.-/an)

Date et signature

Vos coordonnées

Nom

Prénom

Adresse

Tél.

Email

        La question vache

Maya Mont-Noble . Vernissage photographies animalières à l’Espace Mont-Noble 10.09.2010Exposition de photographies animalières 10.09.2010 au 24.10.2010Désalpe de l’alpage de Bouzerou 11.09.2010Exposition « l’Eau et la Santé dans le monde » 27.09.2010 au 17.10.2010(2 représentations prévues pour les écoles le 07.10.2010)Noël avec présence du Père Noël et vin chaud, messe à l’Eglise de Nax 24.12.2010

Mase  .Exposition à l’Ecurie des Chèvres de Chantal Kuonen et Christiane Junod, Peinture, du Ve au Di de 17h à 19h Vernissage 4.09.2010 à 17h 04.09.2010 au 26.09.2010

Vernamiège  .La Petite Trotte 21ème édition 18.09.2010Noël des Aînés 12.12.2010Vin chaud offert par le ski-club le Tzan 24.12.2010

St-Martin .Journée portes ouvertes et inauguration du local des jeunes à Suen 11.09.2010Rendez-vous des motards Racing Team Berclaz 11.09.2010Tournoi de tennis interne 13.09.2010 au 18.09.2010Vincent Baumann chante Balavoine 18.09.2010Apéritif offert par l’Amicale des Chasseurs de la Rive Droite 25.09.2010Loto de la Paroisse à St-Martin 24.10.2010Loto du Syndicat d’élevage de St-Martin 31.10.2010Cochonaille de la St-Martin à l’auberge d’Ossona 06.11.2010Fête Patronale de la St-Martin, Exposition les croix « signes » nos chemins 13.11.2010 au 14.11.2010

Evolène-les Haudères-la Sage- Arolla .Vide-Grenier à la Forclaz 19.09.2010Conférence le Valais au prochain âge glaciaire au cinéma Evolène 13.10.2010Contes tout public au musée d’Evolène 20.10.2010Soirée d’automne, brisolée royale en musique Les Haudères 23.10.2010Combat de génissons aux Haudères 24.10.2010Concert de la chorale du Brassus à Evolène 29.10.2010

Hérémence-Vex-Mayens de Sion-Thyon les Collons-Les Agettes .Thyon 2000 Music Odyssey Festival 04.09.201060e Anniversaire de l’Alouette d’Hérémence 04.09.2010 Patronale des Agettes 05.09.2010Théâtre « Revue » Hérémence 17.09.2010 au 02.10.2010Désalpe de Thyon, défilé du troupeau et animations 25.09.2010Racl’Agettes 25.09.2010Rallye International du Valais 28.10.2010 au 30.10.2010Loto des Brancardiers Hérémence 01.11.2010Téléthon à Hérémence 13.11.2010Loto SC Les Pyramides à Euseigne 13.11.2010Loto Fifres et Tambours les Aiglons à Hérémence 20.11.2010Fête Ste-Barbe à Mâche 04.12.2010Loto Gym la Gentiane à Mâche 04.12.2010Loto US Hérens à Vex 08.12.2010Loto Chœur St-Nicolas à Hérémence 12.12.2010Noël des Aînés à Hérémence 19.12.2010Arrivée du Père Noël, Les Collons et Thyon 2000 24.12.2010Fabrication et vente du pain au moulin FXB d’Hérémence 26.12.2010Happy New Year’s Contest 31.12.2010

Grône .Désalpe de l’alpage de Bouzerou avec défilé des reines et fête villageoise 11.09.201 Marché de Noël à Grône dès 10h à l’ancienne salle de gym 04.12.2010

             Devenir membre 

Le mémento

A renvoyer à l’Association du Parc naturel régional, rue Principale 13, 1982 Euseigne

 Les rendez-vous

Page 7: Journal du parc septembre 2010

Reinhard Schnidrig

        La question vache

Journal périodique du Parc naturel régionalLes défis du parc

News de l’Association Parc Naturel 

Le Parc naturel citoyen

  Les présidents de communes confirment : 

- séparer les deux processus de Parc naturel et de réserve Biosphère

- se consacrer prioritairement au Parc naturel

- soumettre la charte du Parc naturel aux Assemblées primaires

- introduire une clause dans cette  charte du Parc naturel stipulant  qu’en cas d’une éventuelle candida-ture Biosphère, celle-ci devrait faire l’objet d’une nouvelle décision des Assemblées primaires.

Le Parc naturel soutient  financièrement

- la réfection du toit du moulin à Nax aux conditions cumulatives suivantes :

1. la réfection doit se faire en utilisant  les savoirs-faire locaux

2. le bois doit provenir de la région

3. le travail est confié aux artisans     locaux.

- le Symposium Montagn’art de Thyon-Les Collons qui a comme objectif, entre autre, la valorisation du bois de notre région.

Septembre 2010

        Le coin des parrains 

Beaucoup de questions se posent sur le loup, sur la chasse et leur compatibilité avec un Parc naturel, nous avons ren-contré M. Reinhard Schnidrig, chef de la section Chasse,  à  l’Office fédéral de l’environnement (OFEV) pour aborder ce thème et surtout connaître les intentions de la Confédération en la matière.1. Est-ce-que des autorisations de tir du 

loup pourraient être données dans un Parc Naturel?Pour répondre de manière purement juridique, oui. Dans un parc naturel, les lois sur la chasse et la faune au niveau fédéral et cantonal sont sans restriction. Le concept du loup en Suisse est applicable à ces zones sans dispositions particulières. Mais ce n’est qu’un côté de la médaille. Pour exemple dans le Parc naturel d’Entlebuch l’an dernier, une autorisation de tir du loup a été donnée. Immédiatement après cette décision les médias ont ouvert le débat en rapport avec la labellisation Parc naturel. Les gens ne comprennent pas comment une telle chose est possible.

2. La Confédération envisage-t-elle des règles différentes pour les parcs naturels?Non, aucun règlement ne sera du ressort de la Confédération. Ce que feront les généra-tions futures est à l’heure actuelle difficilement prévisible. Le label Parc implique juste un traitement particulièrement attentif à la nature et à ses éléments.

3. Quelles sont les incidences concrètes d’une labellisation Parc Naturel en ce qui concerne la gestion de la chasse ?La pratique de la chasse est réglementée par les lois en vigueur. La chasse doit être gé-rée selon les critères du développement durable indifféremment des régions, Parc naturel ou non. Personnellement je pense qu’ un Parc Naturel serait certainement un atout pour la commercialisation du gibier local.

Plusieurs  personnalités soutiennent le parc, voici leur raison

Monseigneur Henry Schwery, bourgeois de Vernamiège : Si la gestion du Jardin d’Eden a été confiée à l’homme, ce ne peut être qu’un symbole qui me fait le devoir de collaborer à faire de ma vallée un domaine qui honore son Créateur et où il fait bon vivre

Jean Zermatten, natif de St-Martin  : Le projet de parc naturel du Val d’Hérens représente une occasion unique, pour toute une région dotée d’une unité géographique remarquable, de faire le bilan de ses richesses, de les préserver et les mettre en valeur, dans le respect de la tradition et l’intérêt futur des générations à venir. C’est un pari d’aujourd’hui avec des bénéfices à long terme. C’est également la reconnaissance de toute une population de sa responsabilité par rapport à un développement doux, durable et respectueux d’un environnement d’exception. C’est une grande chance.

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Nom : Parc naturel du Val d’hérens

Naissance : né en 2001 de l’Association Maya-Mont Noble

Surface : 430 km2

Nombre d’habitants : 8 500

9 communes : Les Agettes, Vex, Hérémence, Evolène, Saint-Martin, Mase, Vernamiège, Nax, Grône

3 axes de travail : - le développement économique- la sensibilisation et l’enseignement de l’environnement- la sauvegarde des richesses paysagères et naturelles

        Sommaire

Carte d’identité du parc

Le parc

Un espace à vivre :- on y travaille - on développe le tourisme - on exploite le potentiel hydro-électrique - on exploite la richesse des forêts - on chasse

dans le cadre d’un développement économique durable Le Parc naturel n’est pas :- un parc national- une réserve de biosphère

Vous avez des questions, des idées, des demandes : [email protected], 027 281 28 15

Le Parc naturel, c’est...

valoriser les matières premières de la région (p 2)

prendre en compte les points de vue de la population (p 3)

soutenir les associations locales (p 7)

soutenir la sauvegarde du patrimoine bâti (p 5 et 7)

 Oui au Parc, il permet de ...2009 Labellisation Candidat Parc Naturel Régional

Automne 2011 Présentation de la Charte aux assemblées primaires

Janvier 2012Demande de labellisation Parc Naturel pour 10 anssi acceptation du projet par la population

Parc naturel régional

Phase de création Phase d’exploitation