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îSj'»! fia [ ?!■''«" asoi^i m Pmtûsæai h ^miét et le^ Emmanche. R édaetetfr ea ^ e f , w-.' =ÈÉ: et fe Dimandw;*^»?! " i*' ^ S O XT X3* X 2C 3 3STX S fiMiiij M . quj, ,-t.^ I Oiig*A»é««_»nx Btipeanx-dn jtranttl et d*B« tons cniuMwiH. I j^jgeggeœcàe poste.— L’aboBBement est p^ebl* üû M.«» “#1*’ . • xr. I fl*Tinrn nèi mntTiins (tn p^rin ifnrit jnrrn*Ti TT^gitim da- p s ofteqn»* .T»: C bSimÛX, . JS£?i(I.Xj» - .fil, n u e Je 'l II sS il Tari» ftl -..ajE s& xs! s. i .'t^J.-.-ii . »- »>^-* **• rouit». PSX2: ssëc.xxrssLSTxoisrs ; Rédazne^,. ■<»3! réclames, etc., SeniU, le tS Mai i908. it » le peTem On trouve, dans les professions de foi qui sont encore affltehées surnos mars,, l’exposé des moyens les plus divers et les plus certains peur rétablir sans retard Fordce et l’harmonie dans nos ttnaiiceS, tout en assurant en même temps le service de» ffeneura fetraites que les socialistes font miroiter depuis si loo^ti^ps aux.yeiBt iPufi peuple malbeürensémedt abusé.par lantde'premeéaa^aiia- deoses. La panacée universèîîe qui doit genne’tra de rfediser ce revoie CtÂmgœ t^ on rleaveesm:, ne a’i «KBne ^ vs^n jtfei d«s‘f% îSlB cmmOiihâ^ iriu pnoccsse, ecUs panacée uni- ■wtrwife qui doit tout guérir ét iSire régner l’harmoniB eUns 1« btM^eis, c’est l’impôt sur le revenu dofit, depuis trente cinq ans ah moins, on nous berce les Oreille». L’impôt mal réparti ne donne pas es qu’il doit produire et si on éta blissait poj’rdeboa l’impôt global, progressif ou dégressif sur le re\ ë- nu oj trouverait dés ressources plus assurées que le fameux mil^ liard des congrésations. On dirait que fimpôt sur le re- v.^nu n’exista pas en Franc» ; il èst Vrai qu'il n’est pas encore global, mais chacun sait, en ce qui le con cerne, faire le compte de tout ce qn’il paie k ce titre. Le calcul est aisé, il suffit de savoir faire une addition de quelques cli ffres. Les sources de revenus ne sont pas en effet si nombreuses pour qu’il soit difficile d’en faire ietotal; eiles peuvent, en France commé ddns tous les pays du monde, æ résumer comme suit : .Revenus d^prepriétés mobi- üa»»»bâties et non bâties.; Revenus du commerce et de Vinàustrie ; Revenus des valeurs mobibères. Ainsi' un commerçant proprié taire d’immeubles ou d’une exploi- tatien agricole, possédant en outre une partie de sa fortune placée en valeurs mobilières, n’a qu!à faine le total de trois sommes pour coanaitre es qu’il ne paie pas, il est vrai, sous le nom d’impôt ÿobal sur le revenu, mais qu’il verse en bons écus au Trésor sous la nom de contributions direct» etd’ihipôts sur les valeurs mobi lières. A. titre de commerçant, H paie tout d’abôrd, sous le nom de cou- trfimtion des patentes la taxe que Œtat prélève sur les j^dtdtb présumés de sou industne-; nous disons présumés, car Jiu’if Ifessé des bénéfices ou Sprouve des per^ tes. là chose est la même poimin^ h ooft payer au prorata; de soa kryei* une tvxé praportümnelie e* ura tas» fixe gradaée seleu la profession qu’il esserce; comme propriétaire, il paiera Fimpôt fon cier sur la vaienr des prêpriétés bâties ou non qu’il poKède;.&^ûtre de rentier, ilpaima-laiaas dv-À?OjÔ â-laqoelie sont assujetSss t» va leurs mobili.èrçs.^ .enfin spus le nom de conhnbutiaa personnelle ■labOière, il- paiera oa tant pour eeed »ur la aarenr loeativé de son habifttfou pênsomielle. La perceqdlou de ces diverses c a m w a s di’iiBpô-s n’a jamais, mànMt.wix leaap» troublés, ren- contrÆ de difficjilléâ.; en serait-il de mihfe le jmm ofi, renonçant â nos • 8t2Êhnes vieilles » de contri- bntipaniirectBs, eu les t-mn^dace- raît ptir; un imr ôt global basé sur RL^bcRtioa oés Contribuables ? Non» jpinsons qu’il est permis d’endcthef. Maïs àcesdiversescatégoriesdr revenus, les partisans de l’impdt #Qbaltvoiidç>^vt yajnuterles cré- qo» etanme tsotea tes autres vs- teurasuibirères, ererevAias viên- Keroître ceuA des coûtH- buables; oa ne petU niisr que te' revalu dès' rentes sur l’Etat ne- «nbtitnaqpsB ivl'-méiBà ao- croiisemant con;Mdér»bte dé la masse’des rsventts pub'irs. Leur montant s'àlkvâ annuelle- meut, rente perpétuelle et rente amortissable, à 799 ^.2 7 0 francs. Mais eommeot peut-on sqng«>r à soumettre tontes ces rentes à l’im pôt après les tronie=Së? formelles et réitérées (fe les y soustraire,? A chaque emprunt, à chaque créar- tion de rentes, la loi a tenu à rap-^ peler les principes pesés par là loi du 9 vendéSliaire an VI, décla rant que la rente sur l’Etat serait rxempte de t-Dute retenue présen- teou future. Sur la foi de Ces promesses, les capitaux n’ont jamais manqué d’affluer da"s les caisses du Tré sor. ; ils ont accepté de rStat des conditions d’autënt plus élevées que leurs possesseurs étaient as surés par la loi de n’avoir jamais à subir une réduction quelconque. Toute atteinte au principe posé par la tei (fe vendémiaire au.rait sûrement pour conséquence im médiate d’alîàibl fie crédit public. Les capitaüstes qui ont placé leurs fond» en rente sur 1 Etat ont conqité sur la fixité de leurs reve= DU», fixité qui-hur assüfe en mê me temps celle dè leurs capitaux. Supposons la rente a.i pair as- s qe.tie à l’impôt de 4 0, () (tes va leurs mobilières, non sealeme..t son capital diminuera du montant de l’impôt capita isé, mais de plus il auraâ subir la m< i is-value qui résultera certainement de la vio lât on du contrat passé entre i’E^ tat et scs prêteurs; Avec .’impù’tdèiü/O, tclqu’ilest appliqué en valeurs mobibères, soit 4 centimes par Êranc de ren tes, le G ^tal des rentes franeai- se» subirait une rédaction Consi- dé>Bbie> Et eicore, si on se bornait là ; meus Une fois entré dans l’angre- c8g», on sera malgré soi amené i mettre la rente fm ç ’iise sut la pied d’égalitôavec tes valeurs m o bilièreaet lui appliquer à el e aus si les mêmes droits de transmis sion qai les grèvent ÜToubîions pas que c« droit atteint environ 13 0,'() des revenus cette nature. La rente française au pair de 100 francs rapporte 3 OjO ; avec l’impôt de 4Ofé-, soit 0 fr. 04 par franc de r nt», elle ne rapporterji plu» que 2 fr.OS ; avec l’imoôt de 90 0 qui, endéfiers de 'a la.xe de 4 0/ltqni fiappulès. valeurs mèî>}- Pères, ne rapportera jfos.qite 2 fr. 60 équivalant à un capital (|e 87 francs. Ainsi le capital représenté les 799 249 2?0 fr. (^ç rèpfes isserf- te» an Grand' Livre de'’la %etje publique, calculé au p a ir ^(le- 33 fr. SS'par puft de rente est « 26.6^ 978 169Ü-. { Calculé au taux dq S7 fr., 29 fr. par franc derwle, ii se trou verait réifeît à 23. i'78.|28.830 fr. Soft une dtfferenôè'én mbiîis’(]i 3.460.769.339 fr. ^ i Près de 3 miUiards et demi 11^ Sans comÿâr la moias-valiK. qui atteindrait encore te.ei^m (i»nesj»nte»te.joar oiibn portv- rait att< inte aux prfvHëges u»ed- dès parla lofaax fastes sur moins value dîfffcife à évaTUBT, mais qui re predoira certaihai- mCTt, car on ne porte pas ünpt|- Q&fieat là màiii sur ce qui touche àu-ecâdiLpablte. Et nous lie tenons pa» compte de la perte que FEbst subira plus ijooasêripUons .élaiaîit coaïoqii(;;es hier: l« __ 1 j __ ____________ I deuscirconscriptiOlis-ae la Reunion ne le iacinl /inr» «rwit» 1n mr frôt été tssa aninm campie foM- laEoa m ëlim l 1903, anr le mân|e la MBaoVefle dans les tramé» sùamta ; CbKtbUnati m ’tate teKt pveédaik, '■ poartUoSi tm mtfhlioit ouverte dit eeertt 1 f*i*aiBeroist, araecâ, ei^^'etàtf àeetp^ itmmtB Ugmie, lai-pigutim mima de la- I lUgrUt: dei te -greme dattt tUa rendrmt Pixerdee ôapMtiéii^ te evmtUé proteete ésec. tfaateef plaa. d^fitergie- fd u n » imambna da^fouBmummt a prie Vtaiiik- “— pftar. lagaraniie de dtàrgeton bureau de itm àfte oêlh iu 'tilidniTin à tf- le prt dÊt-CètidiU, m aeùta de tafùeüm , et ^iadeiereiafmte-dh lui peur me ee- f Ptietdêrloi m'emm la fin e prompébeetU §ÊifʧblÊi€^jiittptÊêOtia f £tt-ce que te «mveraement étenit Ffetsnfioa œ ftniffisr aux de bi-prtelfse coin- üÀrès? ;-Hv, >—~— ( n m ;-—Ia-<3iani^ nainène. éàmme tellfe iteivél iesptr patawrre£pnâdrfi aat dépntésiSSScir- t»rJ sur les droits de successions qui frappent là rente comme les autres valeur.», droits établis sur le cours des rent=s; ce’ui-ci vient- il à baisser, le montant des droits - • perçus par le Trésor diminue d’au tant. .Quant à (iompréndre les revanus des créances hypothécaires ou chirographaires dans les cedules de l’impôt sur le revenu, c’est une chimère : d’une part, en raison des diiiîcui'és de percep'ion d’un impôt basé sur dès créances cfaL- rographaires. d’autre part,en rai son des charges qu’aurà’entàsubir les emprun'eiirs s’ 1 é’ait mis un i-npôt >ur les cri^nnces hypotécai res. Ce ne sort évidemment pas les prêt u"S qui supprcteront le poids de ces impôts, mais bel et bien les emprunteurs qui verront ainsi angnîehter ’eurs charges. En ma-ière d’impôt, oa l’a dit souvent, le meilleur est celui qui existe, celui qui a pris sa piacm dans les moBurs, durs les habi tudes de la vie pratiqué, celui enfin do"'t l’application a prouvé pendant de longues années qu’il était supporté et perçu sans diffi cultés. L’impôt sur le revenu eai excd’e.it en théorie, mais il ne se recommande que dans des pays neufs où il n’exi-^te encore que des rudiments d’impôts ; mais dans un vieux pays comme la Francs oh le régime fiscal date de plu? leurs sièc'es, il faut se con tenter de ce que l’on a, ou da moins ne procéder à la réforme de l’impôt que par dé^èvement et au moment s^èm ent où les ressources du budget permettent de le faire suas cromprsmettre les finances du pays. Nous n’èn som mes pas là. FOYOT. LE F S E ü D H a m n eT Une protestation du Syndicat de la Presse parisienne. La Syniirat da la Pressa parisisiiBe cous communi(iae la cola suivante : Saisi d’oca piainta de M Feron-Vrau, diravt»ur ûa la Croix-, au sujet des per- qùisitf'ns faites Ie2T avril dacsles burfeavx de es journal, i i’tmairimUê le romilé da Syadicat de la Pressa parvienne regretta int que pour le 27 mai, à raison des dé- ’lais de"pr(JîmïTgatiOTi. j j Les résultats généraus se décomposent ainsi : }• 427 de ces élections ont donné des résul-. tats définitifs et il y a i55 ballottages. ,i I Sont élus : > y} I 165 radicaux et radicaux socialialistcs, j j 53 radicaux de gmche. . ; j 33 socialistes unifiés. - ' I tl socialistes indépendants. '■ j 36 républicains progressistes. t I ité des différentes nuances d’opposition : nationaiistes. action libérale, droite. i Des 135 ballottages, 144 sonten faveur des candidats de gauche U des candidats de droite. i 17 députés progressiste sortants sont bat tus par des radicaux ou des républicains de gauche. Ce sont : MM. Bischolfshei.n. Sta nislas de Castellane, Félix Marot. Grosjean, Darblav.Bourlonde Rouvre.tterardi Vosges). Léon Gàuüer.coioncl Rousset. llaudricourt, Audigicr, Salles, Chevalier, Proust, liou- land. Berthonlat et Vîdeau. i 2 députés progressistes sortant sont bat- tus par des socialistes ; MM. Motte et Le Moigne. I 2 députés progressistes sortants sont bat tus par des royalistes : MM. Renault-Mor- lière et Déribére-Desgardes. j 7 députés nationalistes sortants sont bat tus par des républicatns de gauche ou des radicaux; ce sont : MM. Joseph Brisson, dë Beauregard. i ludrej, Genaize. Corrard des Essarfs. de Bênoist. d’.iubigny et Flonrens. 1 député nationaliste sortant est battu par un socialiste : M. Ernest R(K:he. | 7 députés monarchistes sortants sont bat tus par des radicaux ou des. républicains de gauche : MM. du Roscoat, La Chambre, de Saiut-Martiu. Fabien-Cesbron, de Maiissa- bré, de la Rtjchethulcn et Pain. | 8 députés républicains dé gauche ou ra dicaux Sinit battus du rcmplatrCs par des li* Itéraus; ce sont : MM. Pavie, (Jaly-Gaspar- rou. LâcomI5e,3às, Jehanin,Bichon, .tcliille, Fould et Gaze. -1 2 républicains de ^nche, MM (Gatalogne et Paul Oeiombre sont remplacés par de» naJionallsteSi . J Eiitin. un socialiste unifié, M. .4Ugé; est battu par un progressiste. < Les Élections dû 6 Mai Statfstiqne odicièlté Voici, avec les réserves d’nsage. la statis tique OTmaunttptàe par te ministère œ I Intérieur ; / Résultai; connus ; 381. Députes élus : 426, savoir : Conser.ateurs et libéraux. . . 77 Sationaiistes .......................... 28 Progressiîtes .......................... 39 Kéimbii'.-ins de gauche ........... 04 Radicaun................................. *1 Radicaux-- cialistes ............. 74 Socio'blti miiliés................. iS2 roda istfcs indépendants . . .. 10 Ballottages............................. 134 Gains ministériels : :5-3. — Pertes 11. j nx-- Les battotLages I n Va 36 dépirtéments où il nly a pa* de- ballDtlage g c* Bont le» sunantah Antgf. Ëalvadoa; Gantai, Corréze, ËiMeirdB-itord, Donbe, Eoœ^et-Lmr, Gers; Uâisrlniraieare, Lot, MaiaétOtrLoire,JIanclie.1iiuaintBiaiile9, JÊiyenna, Henrtfie-ebMosellé, ITease, IJme, TTon* DlvSW CS m A ma0(*nii»n;.AK :T Faits dive^ .... ,. .............. AtHïÊSSOUS DB1 PZU»C W DAc»av*rtinMts SCHt rocacai dÎTBCt et Oran. '3 , ^ ) Parmi les ootabilités en baiiotiage; on remarque : MM. Yves Gnyot, a n ^ minis tre Paul Dérouiède, générai lecriHon, Jbnrie, Mânûs ffijlin, tjfgsse, Aimond, Eourquerv'èfe Bbisserin, ViTianL Grons- Mer, iHIeniafle,"Marcel Habert; anciraisdé- potrâ : GhetifmSre, D^cdrae, HMéâore idiJen, Beinaeb; latioci, Oepaaa. I les Tolanis ~T irès les statistiques-que notu aeona ts..on. aurait compte dînianche dra- ',nier environ 8:960.000 votants, soit près de 800.000 d e p lu s (LU’en 1903": r {Leàradiatùt éfiadicatu-socia- T 1 :^liste5ânraient obtenu ....... ^lOO.ODO '■lira^^Mteàihs; 4 850.060 Les socialistes-.:-.^-..— . . . . 160.(00' Les socialistes unifiés ................... 960.000 Les pnfeXBBsOs..-. .-7.’ . . 1.170.060 Les liberanx. ^ i,^.(l60 Lé* coiiservalfettrs.................. ; ; ' soff.oee Les nationalistes............................. 380.000 i En comparant ces résultats à ceux de 1903, et en tenant compte de ce lait qu’à ce moment les socialistes et socialistes unifiés 'étaient classés ensemble, ôn voit que les ra dicaux et républicains ont gagné plus de 270.000. ; i Par contre, les progressistes ont perdu 270.900 voix, mais les partis de droite en ^,mt gagné 4()0.000. Le duel Millet}oge^e Nouilles i -A la suite des incidents qui ont été rapportés, une rencontre au pistolet a eu lieu, vendredi à deux heures, au parc des Princes, antre notre confrère M. Lu cien Miilevove et M. de Voailles. Las témoins de à . Miilevove étaient l’amiral N'abona et M. Emile Mâssard; ceux de M. de Noailles, M. J. Joseph-Renaud et le commandant .Aubrv. M. Emile Massard dirigeait le combat. Deux balles ont été échangées sans ré sultat. i Les adversaires ne se sont pas réconciliés. ÜÜ 8 fâMpe âs boinSes ' L'iastruction Paris.—Tout donne à penser quel'ins- Iruclion ouverte [Kir M. Flory, juge, au su jet de l’explosion rjni s’est pi-oduite nie des Plantes, semble devoir être rapidement ter minée. Dès à préseu!. le magisirat sanble convaincu qu ii s’agit de i'.icle d’un solitai re. jKirlisaa de la 'propagande par raction directe, et qu'il n'exi.-^ie aucun complice, en dehors des frèivj.s ilaliert eide Htincnard, déjà mis à la disposition de la justice. Dès que II. Flon' aura rei u le rapport de .M . Girard, sur la iiatura et la compasitiün des engins saisis, il reuverra les inculpés devant la police cori ectionHelle, sous I in culpation de détention et fabrication d’ex- plosits. Le bruit de l’arrestation d’un nouveau complice, quia couru mercredi soir.est dé menti. Il s’agit d’un .ami personnel de Botichard. (jui est connu comme un syndi caliste ardent, et qui auraitété simplement entendu. Ou dit également qu'un ancien patron de BouchartLM. liusser. rue Lasson (12' arron dissement), avait formellement reconnu ce dernier comme s’étant présenté chez lui il V a une huitaine de jours, à la tête de qua rante ouvriers grévistes qui Venaient e.s- saver de débaucher ses ouvriers, et comme l’agrant menoeé de « faire sauter son chan tier 3. (le propos a bien été tenu, mais .M . Hiisser ne petit pas affirmer qu'il l’ait été par Bouchard. i L*AFFAI eT e d r e Y FU S Paris. — L affaire Dreyfus v ie n to dev.-int la Cour dectissation daiis la deuxième quin zaine de juin. Rapport et réquisitoire rem pliront les tmdiimces des 18, 19 et 20 juin. Igi plaidoirie de M' Mornar»! et là délibé ration celles des 23. 26 et 27 juin i l’asseni- bléedes Chambres réunies ne siégeant que trois jours par semaine. ___ , Statistique tztsi/'actfre. L v rqin. dd parti raditaïdeUBeat “ 1 ^ . Bandon IQ.iSS Bonfiandean.. 6.845 Dalpierre 8.034 i H . 7,74 ! Batin . Choninst .... 6.361 j Paiir 3-3!3 / ] Celle* dn parti proeiessiste i MM. Charles Bran. 6.952 j Eandrirourt.. 6,485 i Daquescei... 8.804 • j Col. B ngon.. 41.296 1 *»•*». Audîgier 4.979 1 J. G.illard... 6.653 / j Celles du parti socialiste doimeat :. HK. Tréfeut 625 'i Compère-Morei 3.3as f -t. Grasgier 5* / SJW i Cosles 4 .437 \ 89- : — “ ■TCurann...... Parti radical .. -, g i Parti : i i — rntgressatete. 4 f ' r o i f i a l i s t e t • 5.7 47.8*6 > 47» ÎW ;’ i Si donc la llrp'ésentatioB praportiei^- jaelleaTait ex’sté .es arogres-istes ensm ^ eblecu 3 sièges et les radi< aux ainaieat.; ?n les 3 antres sièges, ce qui < st aisrz.i^ lionnel ruàque !e chiffre des scff-age* d»- parti iib.'trai est sensiblement égal à cetet du ptrii radical. i Ce que gagnent les D é p u ^ i ît parait que nos dépuiés oni au m àùm - une supériorité sur leurt confrères eya péenSf celle des opoointemenis. S cs Cÿtnf-- .hûnoraüUs$ont,de tous les honorablssLdm.- Vieux-Monde^ Us plus rh^rs. CUst jsmd-- siaiîsiique bien d'actualité q'ti nous firme. - > On sait que ces rr.fssUMrs lovcheni VasUe nuité coquette de 0 GOG ;>an'S par an.j 25francs par jour. C fxf le record despà^- ■ements européfrs. Après n x. Hongrois, qui ém>’rrjeni de 5.0QO frétés par an et /es Belges qui iouchcTct 320frvàt9^ par moiSy à titre d'indemnité, pour i€gÊ0. ceux qui n'kahiîènt pas BrvxslUs. om - membres du Reichstadi allenvind francs par an, mais, iis sont tenus d préssncs rigcureuss et astreirtts <*■ Wfe. amendes ieUet, en cas d absence, que (ains d'entre eux arrivent, à la fin^ffus* née^ non p'us à toucher, mais à rede^n^ la caisse publique. C'est un peu et passe, à Paris, dors certains petits Parmi les députes pagés à Vannée, cnitK encore ^es-membres dss Etais génireéss^^, HollandëfqiU touchent 2.500 iranes,^\ membres du Parlement /r Uéniqu», ; ' rVont plus que V'SOO francs et les Sim . qui émargeni de .a somme miniine ds TSOSf. francs, un peu plus de i francs par joàtt ^ Les autres sont aux pièces js dire à la séante. Lvs reprtsenicmts-^ém mains, bu gart-s si suisses iouehott.20f'flfi^ et les Autrichiens à peu près autant; îêt Xorcégiens ont 17 francs et Us 8 fr, 50 par séarce. À ce prix là, la ëiUÊ^ tion dés dépuus n'est plus ires azantrgu Il est orai que les Uor.orab'esdanoisentr foutuitement au théâtre et au ca fé cons,, mais cè^a ne constitue qu'un avantage .-i__ peu seeordaire. D'audrte, nousapprm té^ ont droit gratuitement aux médicamante^ et ils se rattrapent en faisant une gram^. cansommatisn de vins de quinmtin^M -m. autres apéritifs hygiéniques. Cela üâut- encore mieux éridemment que de to m i^ dis pois de cin. Seuls, Us parlementaires des Btaiê^Udiê sont mieux payes que les nôtres et tom h^f. '25 000 francs par an, plus certaines nités. Mais tout est si cher en Amériepm f Somme toute, on coit que lasitaaücmMh eustt'aire de nos députes est assez eneutÊbe,^ far comparaison. Et Von s'explique fW cette honorable corporation soit à peaptëé la stule dans laquelle il ne se produis jÿfr. mais de grére. — L. M. P rière à nos c o r r esponcla®#* de n’écrire qne d'jin côté fenilleN «Ha de faciliter le t T«il des eompcxifeort.. FwimjTOH go COmtSItRDMV^iAÊ (44) f ETITE FIFI TJtM. «eari 9 K U S 8 S . TRO^ESEE PARTffi rv LES AXGOISSES DB P®**TE FIBI («»**) lüette; BUS mot fire. avail endtjtté ce* costume*, surchar^s" d"e ruli^» et de tonfreljicliîsi ces corfnnie»,xjni ejis- 'seBt coixvBtii» à m e fillette dfuBe dou zaine (Tanodes — owi» hahiUaacuL M l Miette, dqi ^(undef . , E t puis, «es fedfajfias Im moins gnesa robetno&e, laquene" auHrt si bien a sa physbnasnie ao^ancofique. maaatne Bourufly «rvnit so- tisiaite, car l’enfant, ainm acitoutrée, hn OMtaeugHéiaDSisâgie! _ . De même, eüé avait fg^ qoeTgar^iit nese coiffit pln« çpaanae conyraa. ÇQBEtant,JCrtteâaitjqlteç®^ 8^ femdioiix,' g»* cocsdcatraiîL *k£cieBse- M ot^sM *iunt1irè9rli Mraas^BEllsB eelorisAo -e»' M /■ I T I I Ip M ■» W Jte ( MademoiseileGarraud avait fai* subir à Miette un: examen, pour se rendre compte, ezactemrait, de l'état d'avance ment de ses études; puis, elle s'était mise â l’oeuTre pour les achever. Elles étudiairâit jusqu'à midi ; elles déjeunaient, aprn quoi, elles ailairait se promener, à.pied oU ea voilure, jus qu’à daq heures. Elles rentraient à Thdtel ; ellœ tra vaillaient au piano jusqu'à sept heures ; elles dînaient et se mettaient au lit à neuf henres; aorès avoir bavardé, ami calement, pendaittuae heure.. Clh Icooatne Miette avait souffert pen dant lasoir-ée ou le Tout-Marseille avait défiM à l’hôtel ; comme elle avait souf fert, sraiie, dams sh petite chambre ar- taz— ...— ------------------ la cour, amenant ou emmenant les in vité» dé sa mère l B out la »nàb!e CB'ant, cette fêtæ donnée dans la maisoa où l on avmt mppsteté ihcadavre de son père, avait coM titiléaiie pi Donation, ôn sacrilège, et, le lendemain, mademoisvlle'Garraud avait eu toutes les peines du monde à la consoler. 1 J^en-msa d’anhres, adlez. ma chère esteoti asait dit la brave institn- corame je enaisà ces pauvres mraibles qui avoiênt entmiré taon ea- feiMMbdaiiale pwtneloigisdc mes ps- ceM . EbLhirai; A a fallu qoe je m'aa atooca; S • faUh cpie-jedeavraiBe ! Ooi, cm, nx>i, ma petite asM -yai feaàti, même, le Dt où ma mère était morte ! Comme j’ai pleuré, quand les mar chands ont enlevé ces objets familiers qu'il portaient s.ans souci de les dété riorer, ces chers meubies dont j'avais pris tant de soin, no i à cause de leur va leur, mais à eau -e des souvenirs qu'ils me rappelaéat! Miette, apitoyée, avait été ainsi dis traite ! Cette excellente fille, mademoiselle Garraud. avait trouvé, tout de suite, grâce aux suggestions de son cœur, le moyen de calmer la douleur de Tentant! — Comme * mon' papa 3 , avait dit petite Fiü, rêveuse et tout attendrie. Lui aussi.,.ii a dû vendre lœ meubles de ses parents. Il n'a gardé, comme sou venir du logis paternel, que la statuette (jUe je vous ai montrée : ma Vierge, qui m'est si précieuse. Une heure après cette conversation, Miette avait pris sa statuette et elle l'a vait portée dans la chambre de son père, où nul autre qu'elle ce pénétrait : on était si occupé, ailleurs! La, elle avait mis la 'Vierge sur le so cle où le père Bonrelly l'avait placée, jadis, * à la place d’honneur », tartp ir pié é religieuse que par piété fil-ale ! L'enfant était soctie de la chambre, apaisée, rassénérée, et, aussi, résignée, car, dans le grand 'ailénce de cette pièce close où a'arriyaient point les bruits ertérienrs, il hri avait semblé encore en t e n d la voix.qui articulait ces paroles : e Diealevéut! Rien n’rarrive, dans ce momte, sans son ordre et sans sa permission. > i^ n s la soiréra, madame Bourèlly avait fait appeler ’ jiademoiselle Garraull qu’elle avait reçag dans sa chambre pendant qu’elle essayait ses robes, et lui avait donné Tordre de préparer Miette à assister, le surlendemain, à la cérémonie. — Vous con^renez. mademoiselle, que je déire voir ma fille à mes cotés, en ce jour solennel. Prévenez donc « Fifi ».-Ausurpius. je la verrai demain: je suis trop occupée ce soir! En atten dant, c’est dit; parlez-lui de ces choses. Je compte sur vous, n'est-ce pas, made moiselle ? Naturellement, mademoiselle Gar raud sétait incliaée, et, douœment, avec toutes les précautions désirables, elle avait fait connaître, à son élève le désir de sa mère. Miette s'était indignée. — Non! Non! Certes! avait-elle dé claré, je n'assisterai pai à c;tte cérémo nie ! La s:éne avait été cruelle et terrible ! Pëndâiit plus d'une heure Tinstilutrice avait exhorté la fillette, et, enfin, eile lui avait dit : — Ma chère enfant, demain, priez vo tre Vierge dans la c'nambre de votre cher papa, et elle vous donnera la rési gnation! Alors, Miette s'était levée, comme ea délire, et, d’nne voix vibrante — au grraad émoi, à la grande stupéfaction de la bonne Melle Girraud — eile s'était écriée, en proie â une excessive exal tation: — Tirail Tirai ! Dûtes à ma < mère » (filé j’irai T Dieu le veut ! Rien n'arrive, dans ce monde, sans son or<fre ou sans sa permission. Puis, elle s’était calmée, et, bientôt, elle était rentrée dans sa chambre. — Etrange enfaat ! s'était dit 1insti tutrice. Positivement, elle est hallucinée par moments ! Elle souffre ! Pourvu que sou esprit ne se trouble pas ! (iuel dom mage le serait ; une eu'aot sibien douée, et qui. sans la mort, si ragique, de sou pauvre père, aurait été heureuse parmi les plus heureuses ! Le lendemain, Miette s'éta t levée de bonne heure ; puis, elle avait rejoint mademoiselle Garraud. Vers neuf heures, comme elles se trouvaient dans la pièce où elles pre naient leurs repas, petite Fifi, par ha sard, s'élait approchée de la fenêtre... et, soudain, elle avait tressailli. — C^u’avez-vous donc, mon enfant t dit Tinstitatrice, alarmée. —Je viens de « le voir » entrer dans Thùtel ! répondit Miette. (dut clone? -LUI! - Mademoiselle Garraud avait compris: LUI, c'était M. Tanala! 'Vite, la douce créature, voyant que Fifi était toute tremblante et craignant qu'elle n'eùt ime attaque de nerfs, s ef- lorça de la réconforter. Elle pensa qu elle n'avait rien de mieux à aire que d'user derechef, du moyen qui, la veille, lui avait si bien réussi, — Ma chère petite, lui dit-elle — elle- même frémissante, — avez vous suivi mon conseil, ce conseil que je vous ai doimé hier ? .Avez-vous prié votre Vierge? — Pas encore ! répliqua Miette, sou dain plus calme. Vous avez raison, ma demoiselle ! Elle me protégera! C'est la protectrice de notre maison, la conso latrice des ai'tl'ges ! Je v.;;s aller la yoir: je m'agenouillerai devant elle, et je la prierai avec ferveur, long emps. irè» longtemps ! V ous me le permettez, ma demoiselle ! — Je vous !e pe^ruets, certes, mon en- fant. Mais ne reste;-; pas t'op longemps dans ia chambre. O'i arriverait iTsi ma*-, dame votre mère venait i i à i impro» viste'f Elle me gronjerait, peut-être!_ Xon ma rr.ere » Cît cc'uptt, vous ie savez, mademoiselle . Mais, vous vo’us le rnppeiez, mon CT- faat. el'e doit vous vftir. aujourd huàî — Oh î pas ce in-iiin. bien sûrî nW mère se lève tard . D ■ isieurs, écou fe, mademoiselle; La chamb- e Je mon pam où j’ai porté ma \ erge, c>t à cotéde.ia mienne. \ ous pourr’e;: e cendre a'vçc rnoi. et V’ous uuri.i: • * bonté de m attéfiB> dre dans ma chamur-a- Vous seriez^ rrgTjjpig^ mademoîsel'e, s- vous vouBbz ^ire ce que je dema de’ ... Lame cA- serait tant de plaisir et je vous en?erw si reconnaissante ! .. Dans !e e^s ma < mère } voudrait me voir, Berç^- viendi'ait’ me chercher. Qu'en d tfe* vous i c Crt possi‘>îe. et ça arj-awt# tout. ' A suivre^

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Pmtûsæai h miét e t le^ E m m a n c h e .R é d a e t e t f r e a ^ e f

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üû M.«» “#1*’. • xr. I fl*Tinrn nèi mntTiins (tn p^rin ifnrit jnrrn*Ti TT^gitim

da- ps ofteqn»*.T»: C

b S i m Û X , .

JS £ ? i(I .X j» - .f il , n u e J e 'l II s S i l T a r i» f t l - . . a j E s & x s !s. i .'t^J.-.-ii .

»- »> -* **• rouit».

P S X 2 : s s ë c . x x r s s L S T x o i s r s ;Rédazne ,.

■<»3! réclames, etc.,

SeniU, le t S M a i i9 0 8 .

it » l e peTemOn trouve, d a n s les pro fessions

de foi q u i so n t encore affltehées su rn o s m a rs ,, l’exposé d es m oyens les p lu s d ivers e t le s p lu s ce rta in s p e u r ré ta b lir s a n s re ta rd Fordce e t l’harm on ie d a n s nos ttnaiiceS, to u t en a s su ra n t en m êm e tem ps le service de» f f e n e u r a fe tra ite s que les soc ia lis tes font m iro ite r dep u is si lo o ^ t i^ p s au x .y e iB t iPufi peup le m a lb eü ren sém ed t ab u sé .p a r la n td e 'p re m e é a a ^ a i ia - deoses.

La panacée universèîîe qui doit genne’tra de rfediser ce rev o ie CtÂmgœ t on rleaveesm:, ne a’i

« K B n e ^ v s ^ n jtfeid«s‘f % îS lB c m m O i i h â ^ i r iu

p n o c c s s e , ecU s panacée u n i- ■wtrwife q u i do it to u t g u é r ir é t iS ire ré g n e r l’harm oniB eUns 1 « btM ^eis, c’e s t l’im pôt s u r le revenu dofit, d epu is tren te c inq a n s ah m oins, on nous b erce le s Oreille». L ’im pôt m al ré p a rti ne donne p as es qu ’il doit p ro d u ire e t s i on é ta ­b lis sa it poj’r d e b o a l’im pôt global, p ro g ressif ou d ég ress if s u r le re \ ë- nu o j tro u v era it dés resso u rces plus a s su ré e s que le fam eux m il^ liard des co n g résa tio n s.

On dirait que fim pôt sur le re - v.^nu n’exista pas en Franc» ; il èst Vrai qu'il n’est pas encore global, mais chacun sait, en ce qui le con­cerne, faire le compte de tout ce qn’il paie k ce titre. Le calcul est aisé, il suffit de savoir faire une addition de quelques cli ffres.

Les sources de revenus ne sont pas en effet si nombreuses pour qu’il soit difficile d’en faire ietotal; eiles peuvent, en France commé ddns tous les pays du monde, æ résumer comme suit :

.Revenus d ^ p re p r ié té s mobi- üa»»»bâties et non bâties.;

R e v en u s d u com m erce e t de V in àu strie ;

Revenus des valeurs mobibères.Ainsi' un commerçant proprié­

taire d’immeubles ou d’une exploi- tatien agricole, possédant en outre une partie de sa fortune placée en valeurs mobilières, n’a qu!à faine le total de trois sommes pour coanaitre es qu’il ne paie pas, il est vrai, sous le nom d’impôt ÿ o b al sur le revenu, m ais qu’il verse en bons écus au Trésor sous la nom de contributions d irec t» e td ’ihipôts sur les valeurs mobi­lières.

A. titre de commerçant, H paie tout d’ab ô rd , sous le nom de cou- trfimtion des patentes la taxe que Œ ta t prélève su r les j^ d td tb présumés de sou industne-; nous d iso n s présumés, car Jiu ’if Ifessé des bénéfices ou Sprouve des per^ tes. là chose est la même poimin^ h ooft payer au prorata; de soa kryei* une tvxé praportümnelie e* u ra tas» fixe gradaée seleu la profession qu’il esserce; comme propriétaire, il paiera Fimpôt fon­cier sur la vaienr des prêpriétés bâties ou non qu’il poKède;.&^ûtre de rentier, ilpaim a-laiaas dv-À?OjÔ â-laqoelie sont a s su je tS ss t » v a ­leurs mobili.èrçs.^ .enfin spus le nom de conhnbutiaa personnelle

■labOière, il- paiera oa tant pour eeed »ur la aarenr loeativé de son habifttfou pênsomielle.

La perceqdlou de ces diverses c a m w a s di’iiBpô-s n’a jamais, mànMt.wix leaap» troublés, ren- contrÆ de difficjilléâ.; en serait-il de mihfe le jmm ofi, renonçant â nos • 8t2Êhnes vieilles » de contri- bntipaniirectBs, eu les t-mn^dace- ra ît ptir; un im r ôt global basé sur R L ^bcR tioa oés Contribuables ? Non» jpinsons qu’il est permis d’endcthef.

Maïs àcesdiversescatégoriesdr revenus, les partisans d e l’impdt #Qbaltvoiidç>^vt yajnuterles cré-

qo» etanme tso tea tes autres v s- teurasuibirères, ererevAias viên-

Keroître ceuA des coûtH- buables; o a ne petU niisr que te' revalu dès' rentes sur l’Etat ne- «nbtitnaqpsB ivl'-méiBà u ü ao- croiisem ant con;Mdér»bte dé la masse’ des rsventts pub'irs.

L e u r m o n ta n t s 'à lkvâ a n n u e lle - m eu t, re n te perpé tuelle e t ren te am o rtissab le , à 799 ^ . 2 7 0 francs. M ais eom m eot p eu t-o n sqng«>r à so u m ettre tontes ce s re n te s à l’im ­pô t a p rè s le s tronie=Së? form elles e t ré ité rée s (fe les y soustra ire ,? A ch aq u e em prun t, à chaque créar- tion de ren te s , la loi a tenu à rap-^ p e le r le s p rin c ip es p e sé s p a r là loi d u 9 vendéS liaire an VI, d é c la ­r a n t q u e la ren te s u r l’E ta t se ra it rx em p te de t-Dute re te n u e p ré s e n - te o u fu ture .

S u r la foi de Ces p ro m esses, les cap itau x n’o n t ja m a is m anqué d’affluer d a " s les ca isse s d u T ré­so r. ; i ls o n t accep té de r S ta t des cond itions d’a u tën t p lu s élevées que le u rs p o s se sse u rs é ta ie n t a s­su ré s p a r la loi de n ’av o ir ja m a is à s u b ir u n e réd u c tio n quelconque. T oute a tte in te a u p rin c ip e posé p a r la te i (fe vendém ia ire au.rait sû re m e n t p o u r conséquence im ­m éd iate d’alîàib l f ie c réd it public .

L e s c a p ita ü s te s qui o n t placé leu rs fond» en ren te s u r 1 E ta t on t co n q ité su r la fix ité d e le u rs reve= DU», fix ité q u i-h u r a s sü fe en mê­m e tem p s celle dè le u rs cap itaux .

S upposons la re n te a .i p a ir a s - s q e .tie à l’im pôt de 4 0, () (tes va­le u rs m obilières, non sea lem e ..t son c a p ita l d im in u era d u m o n tan t de l’im pôt cap ita isé, m ais de p lus il a u r a â su b ir la m< i is -v a lu e qu i ré su lte ra ce rta in e m e n t de la vio­lât on d u co n tra t p assé en tre i’E^ ta t e t sc s p rê teu rs ;

Avec .’impù’tdèiü/O , tclqu’ilest appliqué en valeurs mobibères, soit 4 centimes par Êranc de ren­tes, le G ^ ta l des rentes franeai- se» subirait une rédaction Consi- dé>Bbie>

Et e ic o re , si on s e b o rn a it là ; meus Une fo is en tré d an s l’an g re - c8g», on se ra m alg ré so i am ené i m e ttre la re n te f m ç ’iise s u t la pied d ’ég a litô av e c tes v a leu rs m o b iliè re a e t lu i ap p liq u er à el e aus­si les m êm es d ro its d e tra n sm is ­s ion q a i les g rèven t ÜToubîions pas que c« d ro it a tte in t env iron 13 0,'() des revenus ce tte na tu re .

La ren te fran ça ise a u p a ir de 100 francs ra p p o rte 3 OjO ; avec l’im p ô t de 4 Ofé-, so it 0 fr. 0 4 p ar franc d e r n t» , e lle n e rapporterji plu» q u e 2 fr.OS ; avec l’im oôt de 90 0 qui, e n d é fie rs de 'a la.xe de

4 0/ltqni fiappulès. valeurs mèî>}- Pères, ne rapportera jfos.qite2 fr. 60 équivalant à un capital (|e 87 francs.

Ainsi le capital représenté les 799 249 2?0 fr. ( ç rèpfes isserf- te» an Grand' Livre de'’la %etje publique, calculé au pair (le- 33 fr. SS'par puft de rente est «26.6^ 978 169Ü-. {

Calculé au taux dq S7 fr.,29 fr. par franc derwle, ii se trou­verait réifeît à 23. i'78.|28.830 fr.

Soft une dtfferenôè'én mbiîis’(]i 3.460.769.339 fr. i

Près de 3 miUiards et demi 11Sans com ÿâr la moias-valiK.

qui atteindrait encore te .e i^ m (i»nesj»nte»te.joar oiibn portv- rait att< inte aux prfvHëges u»ed- dès parla lofaax fastes sur moins value dîfffcife à évaTUBT, mais qui re predoir a certaihai- mCTt, car on ne porte pas ünpt|- Q&fieat là màiii sur ce qui touche àu-ecâdiLpablte.

Et nous lie tenons pa» compte de la perte que FEbst subira plus ijooasêripUons .élaiaîit coaïoqii(;;es hier: l« __1 j ______________ I deuscirconscriptiO lis-ae la Reunion ne le

iacinl /inr» «rwit» 1n mr

frôt été tssa aninm campie foM- laEoa m ë lim l 1903, anr le mân|e

la MBaoVefle dans les tramé» sùamta ;C bK tbU nati m ’ tate teK t p v e é d a ik ,

'■ poar tUoSi tm m tfhlioit ouverte d it eeertt 1 f*i*aiBeroist, araecâ, e i^^ 'e tà tf àeetp^ itm m tB Ugmie, lai-pigutim mima de la- I lUgrUt: dei te -grem e dattt tUa rendrmt Pixerdee ôapMtiéii^ te evmtUé proteete ésec. tfaatee f plaa. d^fitergie- fd u n » imambna da^fouB m um m t a prie Vtaiiik- ■“— pftar. lagaraniie de

dtàrgeton bureau de i t m à fte oêlh iu 'tilidn iT in à tf- le p rt

dÊt-CètidiU, m a eù t a de tafùeüm , e t ^iadeiereia fm te-dh lu i peur m e ee- f Ptietdêrlo i m'emm la fin e prompébeetU §ÊifʧblÊi€ jiittptÊêOtiaf £ t t - c e q u e te « m v e ra e m e n t é te n it Ffetsnfioa œ ftniffisr aux

de bi-prtelfse coin-ü À rè s ?

;-Hv, >— ~— (n m ; -—Ia-<3iani^ nainène. éàmme

tellfe iteivél iesptrpatawrre£pnâdrfi aat dépntésiSSScir-

t» rJ s u r les d ro its de successions qui frappen t là ren te com m e les a u tre s valeur.», d ro its étab lis su r le cours des ren t= s; ce’u i-c i v ien t- il à b a isse r, le m o n tan t des d ro its - • perçus p a r le T réso r d im inue d ’au­tant.

.Quant à (iom préndre les revanus d es c réan ces h y p o th éca ires ou ch iro g rap h a ires dans les cedules de l’im pôt s u r le revenu, c’est une ch im ère : d’une part, en ra ison des d iiiîcu i'é s de p e rcep 'ion d’un im pôt basé su r dès créances cfaL- ro g rap h aires . d ’a u tre p a r t,e n ra i­so n des charges qu’a u rà ’e n tà su b ir les em p ru n 'e iirs s ’ 1 é ’ait m is un i-npôt >ur les cri^nnces hypotécai res. Ce ne s o r t év idem m ent pas les p r ê t u"S qu i su p p rc te ro n t le poids de ces im pôts, m a is bel et b ien les em p ru n teu rs q u i v e rro n t a in s i an g n îeh te r ’eu rs charges.

En m a-ière d’im pôt, o a l ’a d it souven t, le m e illeu r e s t ce lu i q u i ex is te , ce lu i q u i a p ris sa piacm dan s les moBurs, d u r s les hab i­tu d e s de la vie p ra tiqué , celu i enfin do"'t l’app lica tion a prouvé pen d an t de longues an n ées qu ’il é ta it supporté e t perçu s a n s diffi­cultés. L’im pôt s u r le rev en u eai e x c d ’e.it en théorie , m a is il ne se recom m ande que d an s des pays neufs où il n ’exi-^te encore que des ru d im e n ts d’im pôts ; m ais d an s un v ieux pays com m e la F ra n cs oh le rég im e fiscal date de plu? leu rs s ièc 'e s , il fau t se con­te n te r de ce que l’o n a, ou d a m oins ne p rocéder à la réform e de l’im pôt que p a r d é ^ è v e m e n t e t au m o m en t s ^ è m e n t où les re sso u rce s d u b u d g e t perm etten t de le faire su a s crom prsm ettre les finances du pays. N ous n’èn som ­m es pas là.

FOYOT.

LE F S E ü D H a m n e TU n e p r o te s t a t i o n d u S y n d ic a t

d e l a P r e s s e p a r i s i e n n e .

La Syniirat da la Pressa parisisiiBe cous communi(iae la cola suivante :

S a is i d’oca piainta de M Feron-Vrau, diravt»ur ûa la Croix-, au sujet des per- qùisitf'ns faites Ie2T avril dacsles burfeavx de es journal, i i’tmairimUê le romilé da Syadicat de la Pressa parvienne regretta

int que pour le 27 mai, à raison des dé- ’lais de"pr(JîmïTgatiOTi. jj Les résultats généraus se décomposent ainsi :}• 427 de ces élections ont donné des r é s u l- . tats définitifs et il y a i55 ballottages. ,i

I Sont élus : > y }I 165 radicaux et radicaux socialialistcs, j j 53 radicaux de gm che. . ;j 33 socialistes unifiés. - 'I t l socialistes indépendants. '■j 36 républicains progressistes. tI i t é des différentes nuances d’opposition : nationaiistes. action libérale, droite. i

Des 135 ballottages, 144 son ten faveur des candidats de gauche U des candidats de droite. i

17 députés progressiste sortants sont bat­tus par des radicaux ou des républicains de gauche. Ce sont : MM. Bischolfshei.n. Sta­nislas de Castellane, Félix Marot. Grosjean, Darblav.Bourlonde Rouvre.tterardi Vosges). Léon Gàuüer.coioncl Rousset. llaudricourt, Audigicr, Salles, Chevalier, Proust, liou- land. Berthonlat et Vîdeau. i

2 députés progressistes sortant sont bat- tus par des socialistes ; MM. Motte e t Le Moigne. I

2 députés progressistes sortants sont bat­tu s par des royalistes : MM. Renault-Mor- lière e t Déribére-Desgardes. j

7 députés nationalistes sortants sont bat­tus par des républicatns de gauche ou des radicaux; ce sont : MM. Joseph Brisson, dë Beauregard. i ludrej, Genaize. Corrard des Essarfs. de Bênoist. d’.iubigny e t Flonrens.

1 député nationaliste sortant est battu par un socialiste : M. E rnest R(K:he. |

7 députés m onarchistes sortants sont bat­tus par des radicaux ou des. républicains de gauche : MM. du Roscoat, La Chambre, de Saiut-Martiu. Fabien-Cesbron, de Maiissa- bré, de la Rtjchethulcn et Pain. |

8 députés républicains dé gauche ou ra­dicaux Sinit battus du rcmplatrCs par des li* Itéraus; ce son t : MM. Pavie, (Jaly-Gaspar- rou. LâcomI5e,3às, Jehanin,Bichon, .tcliille, Fould et Gaze. -1

2 républicains de ^ n c h e , MM (Gatalogne et Paul Oeiombre sont rem placés par de» naJionallsteSi . J

Eiitin. un socialiste unifié, M. .4Ugé; est battu par un progressiste. <

Les Élections dû 6 MaiS ta tfs tiq n e od ic iè lté

Voici, avec les réserves d’nsage. la statis­tique OTmaunttptàe p ar te m inistère œ I Intérieur ; /

Résultai; connus ; 381.Députes élus : 426, savoir :

C onser.ateurs et libéraux. . . 77Sationaiistes.......................... 28Progressiîtes.......................... 39Kéimbii'.-ins de gauche........... 04Radicaun................................. *1Radicaux-- cialistes............. 74S ocio 'b lti miiliés................. iS2ro d a istfcs indépendants. . . . 10Ballottages............................. 134Gains m inistériels : :5-3. — Pertes 11.

j — nx-- Les battotLagesI n V a 36 dépirtéments où il nly a pa* de- ballDtlage g c* Bont le» sunantah Antgf. Ëalvadoa; Gantai, Corréze, ËiMeirdB-itord, Donbe, Eoœ^et-Lmr, Gers; Uâisrlniraieare, Lot, MaiaétOtrLoire, JIanclie.1iiuaintBiaiile9, JÊiyenna, Henrtfie-ebMosellé, ITease, IJme,TTon* DlvSW CSmAma • 0(*nii»n;.AK:T

Faits d iv e ^ ....,...............AtHïÊSSOUS DB 1 PZU»C W DAc»av*rtinMts SCHt rocacai dÎTBCt

etOran. '3 , ^) Parmi les ootabilités en baiiotiage; on remarque : MM. Yves Gnyot, a n ^ minis­tre Paul Dérouiède, générai lecriHon, Jbnrie, Mânûs ffijlin, tjfgsse, Aimond, Eourquerv'èfe Bbisserin, ViTianL Grons- Mer, iHIeniafle,"Marcel Habert; anciraisdé- potrâ : GhetifmSre, D^cdrae, HMéâore id iJen , Beinaeb; latioci, Oepaaa.I le s Tolanis ~T

irès les statistiques-que n o tu aeona ts..on. au ra it compte dînianche dra-

',nier environ 8:960.000 votants, soit p rès de 800.000 de p lus (LU’en 1903": r

{ L e à ra d ia tù t é f iad ica tu -socia- T1 :^liste5ânraient o b te n u .. . . . . . lOO.ODO'■ li ra ^ ^ M te à ih s ; 4 850.060Les socialistes-.:-.^-..— . . . . • 160.(00'Les socialistes unifiés................... 960.000Les pnfeX B B sO s..-. .-7 .’ . . 1.170.060 Les liberanx. ^ i ,^ . ( l 6 0Lé* coiiservalfettrs.................. ; ; ' soff.oeeLes nationalistes............................. 380.000

i En com parant ces résultats à ceux de 1903, e t en tenant compte de ce lait qu ’à ce m om ent les socialistes et socialistes unifiés

'étaient classés ensemble, ôn voit que les ra­dicaux e t républicains ont gagné plus de 270.000. ;

i Par contre, les progressistes ont perdu 270.900 voix, mais les partis de droite en

^,mt gagné 4()0.000.

Le duel Millet}oge^e Nouillesi -A la suite des incidents qui on t été rapportés, une rencontre au pistolet a eu lieu, vendredi à deux heures, au parc des Princes, an tre notre confrère M. Lu­cien Miilevove et M. de Voailles. Las témoins de à . Miilevove étaient l’amiral N'abona et M. Emile Mâssard; ceux de M. de Noailles, M. J. Joseph-Renaud et le com m andant .Aubrv.

M. Emile Massard dirigeait le combat.Deux balles ont été échangées sans ré­

sultat.i Les adversaires ne se sont pas réconciliés.

ÜÜ8 fâMpe âs boinSes 'L 'iastruction

P a r is .— Tout donne à penser quel'in s- Iruclion ouverte [Kir M. Flory, juge, au su­jet de l’explosion rjni s’est pi-oduite n ie des Plantes, semble devoir être rapidem ent ter­minée. Dès à préseu!. le magisirat san b le convaincu qu ii s’agit de i'.icle d’un solitai­re. jKirlisaa de la 'propagande par raction directe, et qu'il n'exi.-^ie aucun complice, en dehors des frèivj.s ilaliert e id e Htincnard, déjà mis à la disposition de la justice.

Dès que II. F lon ' aura rei u le rapport de .M. Girard, su r la iiatura et la compasitiün des engins saisis, il reuverra les inculpés devant la police cori ectionHelle, sous I in­culpation de détention et fabrication d ’ex- plosits.

Le b ruit de l’arrestation d ’un nouveau complice, q u ia couru mercredi soir.est dé­m enti. Il s’agit d ’un .ami personnel de Botichard. (jui est connu comme un syndi­caliste arden t, et qui aura ité té sim plem ent entendu.

Ou d it également qu 'un ancien patron de BouchartLM. liu sse r. rue Lasson (12' arron ­dissem ent), avait form ellem ent reconnu ce dern ier comme s’étant présenté chez lui il V a u n e huitaine de jours, à la tête de qua­rante ouvriers grévistes qui Venaient e.s- saver de débaucher ses ouvriers, e t comme l’agrant menoeé de « faire sauter son chan­tier 3. (le propos a bien été tenu, mais .M. Hiisser ne petit pas affirmer qu'il l’ait été par Bouchard. i

L * A F F A I eT e d r e Y F U S

Paris. — L affaire Dreyfus v ie n to dev.-int la Cour dectissation daiis la deuxième quin­zaine de ju in . Rapport et réquisitoire rem ­pliront les tmdiimces des 18, 19 et 20 juin.

Igi plaidoirie de M' Mornar»! et là délibé­ra tio n celles des 23. 26 e t 27 ju in i l’asseni- b léedes Chambres réunies ne siégeant que trois jours par semaine. ___ ,

Statistique tztsi/'actfre.L v rqin. dd p a r ti rad ita ïd eU B ea t “

1 ^ . Bandon IQ.iSSBonfiandean.. 6 .845D alp ierre 8 .034 i

H . 7,74 !Batin .Choninst . . . . 6.361 jPaiir 3-3!3 /

] Celle* dn parti proeiessiste i MM. Charles Bran. 6.952j Eandrirourt.. 6,485i Daquescei... 8.804 •j Col. B ngon.. 41.296 1 * » •* » .

Audîgier 4.979 1J. G.illard... 6.653 /

j Celles du parti socialiste doimeat : .HK. Tréfeut 625 'i

Compère-Morei 3.3as f -t.Grasgier 5* / S JW

i Cosles 4 .437 \89- : — “■TCurann......

Parti radical .. -,g i Parti : i i — rntgressate— „ te . 4

f ' r o i f i a l i s t e t • 5.7

47.8*6 > 47»ÎW ;’

i Si donc la llrp'ésentatioB praportiei^- jaelleaTait ex’sté .es arogres-istes ensm ^ eblecu 3 sièges et les radi< aux ainaieat.; ?n les 3 antres sièges, ce qui < st a isrz .i^ lionnel ruàque !e chiffre des scff-age* d»- parti iib.'trai est sensiblement égal à cetet du ptrii radical.

i Ce que gagnent les D épu^i î t para it que nos dépuiés oni au m à ù m - une supériorité su r leu r t confrères e y a péenSf celle des opoointem enis. S c s Cÿtnf-- .hûnoraüU s$ont,de tous les honorablssLdm.- Vieux-M onde^ Us p lus rh^rs. CUst jsmd-- sia iîsiique bien d 'actualité q'ti nous firme. - >

On sait que ces rr.fssUMrs lovcheni VasUe nuité coquette de 0 GOG ;>an'S par an.j 25fra n c s par jour. C fx f le record d e s p à ^ - ■ements européfrs. Après n x .Hongrois, qui ém>’rrjeni de 5.0QO f r é té s par an e t /es Belges qui iouchcTct 320 frvà t9 ^ p a r moiSy à titre d 'indem nité, pour i€gÊ0. ceux qui n 'kah iîèn t pas B rvxs lU s. o m - membres du Reichstadi allenvind francs par an, m ais, iis son t tenus d préssncs rigcureuss e t astreirtts <*■ W fe. amendes ieUet, en cas d absence, que (ains d 'entre eux arr iven t, à la f in ^ f fu s * née^ non p 'u s à toucher, m ais à rede^n^ la caisse publique. C'est un peu e t passe, à P aris, d o rs certains petits

P a rm i les députes pagés à Vannée, c n i t K encore ^es-membres dss E ta is g é n ir e é ss ^ ^ , H ollandëfqiU touchent 2.500 iranes,^ \ membres du P arlem ent / r Uéniqu», ; ' rVont p lus que V'SOO francs et les Sim . qui émargeni de .a somme m iniine d s TSOSf. francs, un peu p lus de i francs p a r jo à t t

Les autres sont a u x pièces — j s dire à la séante. Lvs reprtsen icm ts-^ém m ains, bu gart-s si suisses iouehott.20f'flfi^ e t les A u trich iens à peu près a u ta n t; î ê t Xorcégiens ont 17 francs et Us 8 fr , 50 par séarce. À ce p r ix là , la ëiUÊ^ tion dés d ép u u s n'est plus ires a za n trg u I l est orai que les U or.orab'esdanoisentr fo u tu item en t au théâtre et au ca fé cons,,m a is cè^a ne constitue qu 'un avantage .-i__peu seeorda ire. D'audrte, n o u s a p p r m té ^ o nt d ro it gratu item ent a u x • médicama n te ^ et ils se ra ttrapen t en fa isa n t une g ra m ^ . cansom m atisn de vins de quinmtin^M -m . autres apéritifs hygiéniques. Cela üâut- encore m ieux éridem m ent que de t o m i ^ dis pois de cin.

Seuls, Us parlem entaires des B taiê^U diê sont m ieux payes que les nôtres et t o m h ^ f . '25 000 francs par an , p lus certaines nités. M ais tout est s i cher en Amériepm f

Som m e toute, on coit que la sita a ü cm M h eustt'aire de nos députes est assez eneutÊbe,^ f a r comparaison. E t Von s'explique fW ce tte honorable corporation soit à p e a p të é la stu le dans laquelle il ne se produis jÿfr. m ais de grére. — L. M.

P r i è r e à n o s c o r r e sponc la® #*d e n ’é c r i r e q n e d 'jin c ô té fen illeN «Ha d e fa c i l i te r le t T«il d e s e o m p c x ife o r t. .

FwimjTOH go COmtSItRDMV^iAÊ (44)

f ETITE FIFITJtM.

« e a r i 9 K U S 8 S .

T R O ^ E S E E P A R T f f i

r v

LES AXGOISSES DB P®**TE FIBI

(«»**)lüette; BUS mot fire . avail endtjtté

ce* costume*, s u r c h a r ^ s " d"e ru li^ » et de tonfreljicliîsi ces corfnnie»,xjni ejis- 'seBt coixvBtii» à m e fillette dfuBe dou­zaine (Tanodes — o w i» hahiUaacuL M l Miette, d q i ^(undef . ,

E t puis, «es fedfajfias Im moins g n e s a robetno&e, laquene" auHrt s i bien a sa physbnasnie ao^ancofique.

m aaatne Bourufly «rvnit so - tisiaite, car l’enfant, ainm acitoutrée, hn OMtaeugHéiaDSisâgie! _ .

De même, eüé avait f g ^ qoeTgar^iit nese coiffit p ln « çpaanae conyraa.

Ç Q B E ta n t,JC rtte â a it jq lte ç ® ^ 8 ^ fem dioiix ,' g»* cocsdcatraiîL * k£cieB se- M ot^sM *iunt1irè9rli

Mraas BEllsB eelorisAo -e»'M /■ I T I I I p M ■ » W J te (

MademoiseileGarraud avait fai* subir à Miette un: examen, pour se rendre compte, ezactemrait, de l'état d'avance­ment de ses études; puis, elle s'était mise â l’oeuTre pour les achever.

Elles étudiairâit jusqu'à midi ; elles déjeunaient, a p rn quoi, elles ailairait se promener, à.pied oU ea voilure, jus­qu’à d aq heures.

Elles rentraient à Thdtel ; ellœ tra­vaillaient au piano jusqu'à sept heures ; elles dînaient et se mettaient au lit à neuf henres; aorès avoir bavardé, ami­calement, pendaittuae heure..

Clh Icooatne Miette avait souffert pen­dant lasoir-ée ou le Tout-Marseille avait défiM à l’hôtel ; comme elle avait souf­fert, sraiie, dams sh petite chambre ar-

taz—...— — ------------------la co u r , a m e n a n t o u e m m e n a n t les in ­v ité» d é s a m è re l

B ou t l a » n à b ! e C B 'ant, c e tte fêtæ d o n n é e d a n s la m a is o a o ù l o n a v m t m p p ste té ih c a d a v r e d e s o n p è re , a v a i t c o M tit i lé a i ie p i D o n a tio n , ô n sa crilèg e , e t, le le n d e m a in , m a d e m o isv lle 'G a rra u d a v a it eu to u te s le s p e in es d u m o n d e à l a c o n so le r. 1

J ^ e n - m s a d’anhres, adlez. m ac h è re e s t e o t i a s a i t d i t l a b ra v e in s t i tn -

c o ra m e j e e n a is à c e s p a u v re s m ra ib le s q u i a v o iê n t en tm ir é ta o n e a - feiM M bdaiiale p w tn e lo ig i s d c m e s p s - c e M . E b L h ira i; A a fa l lu q o e j e m 'a a a to o c a ; S • faU h cpie-jedeavraiB e ! O o i, c m , nx>i, m a p e tite a s M - y a i fe a à t i , m ê m e , le Dt o ù m a m è re é ta i t m o r te ! C o m m e j ’a i p le u ré , q u a n d les m a r ­

chands ont enlevé ces objets familiers qu'il portaient s.ans souci de les dété­riorer, ces chers meubies dont j'avais pris tant de soin, no i à cause de leur va­leur, mais à eau - e des souvenirs qu'ils me rappelaéat!

Miette, apitoyée, avait été ainsi dis­traite !

Cette excellente fille, mademoiselle Garraud. avait trouvé, tout de suite, grâce aux suggestions de son cœur, le moyen de calmer la douleur de Tentant!

— Comme * mon' papa 3 , avait dit petite Fiü, rêveuse et tout attendrie. Lui aussi.,.ii a dû vendre lœ meubles de ses parents. Il n'a gardé, comme sou­venir du logis paternel, que la statuette (jUe je vous ai montrée : ma Vierge, qui m'est si précieuse.

Une heure après cette conversation, Miette avait pris sa statuette et elle l'a­vait portée dans la chambre de son père, où nul autre qu'elle ce pénétrait : on était si occupé, ailleurs!

La, elle avait mis la 'Vierge sur le so­cle où le père Bonrelly l'avait placée, jadis, * à la place d’honneur », ta r tp i r pié é religieuse que par piété fil-ale !

L'enfant était soctie de la chambre, apaisée, rassénérée, et, aussi, résignée, car, dans le grand 'ailénce de cette pièce close où a'arriyaient point les bruits ertérienrs, il hri avait semblé encore en­t e n d la voix.qui articulait ces paroles :

e D iealevéut! Rien n’rarrive, dans ce momte, sans son ordre et sans sa permission. >

i^ n s la soiréra, madame Bourèlly avait fait appeler ’ jiademoiselle Garraull qu’elle avait reçag dans sa chambre

pendant qu’elle essayait ses robes, et lui avait donné Tordre de préparer Miette à assister, le surlendemain, à la cérémonie.

— Vous con^renez. mademoiselle, que je d é ire voir ma fille à mes cotés, en ce jour solennel. Prévenez donc « Fifi » .-Ausurpius. je la verrai demain: je suis trop occupée ce soir! En atten­dant, c’est d it; parlez-lui de ces choses. Je compte sur vous, n'est-ce pas, made­moiselle ?

Naturellement, mademoiselle Gar­raud sétait incliaée, et, douœment, avec toutes les précautions désirables, elle avait fait connaître, à son élève le désir de sa mère.

Miette s'était indignée.— Non! Non! Certes! avait-elle dé­

claré, je n'assisterai pai à c;tte cérémo­nie !

La s:éne avait été cruelle et terrible !Pëndâiit plus d'une heure Tinstilutrice

avait exhorté la fillette, et, enfin, eile lui avait dit :

— Ma chère enfant, demain, priez vo­tre Vierge dans la c'nambre de votre cher papa, et elle vous donnera la rési­gnation!

Alors, Miette s'était levée, comme ea délire, et, d’nne voix vibrante — au grraad émoi, à la grande stupéfaction de la bonne Melle Girraud — eile s'était écriée, en proie â une excessive exal­tation:

— Tirail Tirai ! Dûtes à ma < mère » (filé j’irai T Dieu le veut ! Rien n'arrive, dans ce monde, sans son or<fre ou sans sa permission.

Puis, elle s’était calmée, et, bientôt,

elle était rentrée dans sa chambre.— Etrange enfaat ! s'était dit 1 insti­

tutrice. Positivement, elle est hallucinée par moments ! Elle souffre ! Pourvu que sou esprit ne se trouble pas ! (iuel dom­mage le serait ; une eu'aot sibien douée, et qui. sans la mort, si ragique, de sou pauvre père, aurait été heureuse parmi les plus heureuses !

Le lendemain, Miette s'éta t levée de bonne heure ; puis, elle avait rejoint mademoiselle Garraud.

Vers neuf heures, comme elles se trouvaient dans la pièce où elles pre­naient leurs repas, petite Fifi, par ha­sard, s'élait approchée de la fenêtre... et, soudain, elle avait tressailli.

— C u’avez-vous donc, mon enfant t dit Tinstitatrice, alarmée.

— Je viens de « le voir » entrer dans Thùtel ! répondit Miette.

— (dut clone?- L U I ! -Mademoiselle Garraud avait compris:

LUI, c'était M. Tanala!'Vite, la douce créature, voyant que

Fifi était toute tremblante et craignant qu'elle n'eùt ime attaque de nerfs, s ef- lorça de la réconforter.

Elle pensa qu elle n'avait rien de mieux à aire que d'user derechef, du moyen qui, la veille, lui avait si bien réussi,

— Ma chère petite, lui dit-elle — elle- même frémissante, — avez vous suivi mon conseil, ce conseil que je vous ai doimé hier ? .Avez-vous prié votre Vierge?

— Pas encore ! répliqua Miette, sou­dain plus calme. Vous avez raison, ma­

dem oise lle ! E lle m e p ro té g e ra ! C 'e s t la p ro tec trice de n o tre m a iso n , la co n so ­la tr ic e des ai'tl'ges ! J e v.;;s a lle r la yo ir: je m 'ag en o u ille ra i d e v a n t elle, e t je la p r ie ra i avec fe rv e u r, lo n g em p s . irè» lo n g te m p s ! V o u s m e le p e rm e tte z , m a ­dem oise lle !

— J e v o u s !e pe^ruets, ce rtes , m o n en - fa n t. M ais n e reste;-; p as t 'o p lo n g e m p s d a n s ia ch am b re . O 'i a r r iv e ra it iTsi ma*-, d am e v o tre m ère v e n a it i i à i im pro» v iste 'f E lle m e g ro n je ra i t , p e u t - ê t r e !_

X o n m a rr.ere » C ît c c 'u p t t ,v o u s ie savez , m adem oise lle .

M ais, v o u s v o ’us le rnppeiez, m o n CT- fa a t . e l 'e do it vo u s vftir. a u jo u rd huàî

— O h î p a s ce in-iiin . bien s û r î nW m ère se lève ta rd . D ■ isieurs, écou f e , m ad em o ise lle ; L a cham b- e Je m o n p a m où j ’ai p o r té m a \ erge, c>t à c o té d e .ia m ien n e . \ o u s p o u r r ’e;: e cen d re a'vçc rno i. e t V’ous u u ri.i: • * bon té de m attéfiB> d re d a n s m a chamur-a- V o u s s e r i e z ^ rrgTjjpig^ m ad em o îse l'e , s- v o u s vouBbz ^ i r e ce q u e je dem a d e ’... L a m e c A - se ra it ta n t de p la is ir e t je vo u s e n ? e r w si re c o n n a issa n te ! .. D a n s !e e ^sm a < m ère } v o u d ra it m e v o ir , B e r ç ^ - viendi'a it’ m e c h e rc h e r . Q u 'e n d tfe* v o u s i c Crt p o ss i‘>îe. et ça arj-aw t# to u t . '

A suivre^

Page 2: it »le peTem te - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1906/bms_js_1906_05_13_MRC.pdf · La Syniirat da la Pressa parisisiiBe cous communi(iae la cola suivante : Saisi d’oca piainta

M o s d e l à ë s .JaiÉèt, b ttts jnsçpi'i l u i t .rarik, a été proelnni é’a 1«

>aTant-jBî^> Stm joimal, Vaumai tait ion nsméf* de lundi, 1'i i t iM fn iT à n ti :

L'JSUclion de Carmaiii. '^%trmaox, 6 m u . — Par suite des ieei-

tidents qui se sont prodrüs à Cannasx, le dipouiüementdu scrutin, dans cette ville a ‘a pu commencer que fort tard dans lu to ir^ .

A l’heure actuelle, dans i’enssmble des communes de la circonscription, Carmauz excepté, M. Jaurès est on minorité de 861 Toix, mais le résultat de Carmauz pour- (ait modifier la physionomie du scrutin.

Kt U s’est trouve des prestidigitateurs é Catmaui, q i est sorti des urnes 1300 voix de majorité an faT;;ur du battu de la vml- le, lé. Jiurè;. L’IIumanité dumardi? mai a enregistré ce tour de passe-passe en ces larmes :

Jgurès (st élu.Dans la nui td avant h er tandisquenius

euregistronsla victoire remportée p jrlaR ^ Mibliqueet le socialisme, nneaogoissenous •reiinait. Les journaux, dits degrandeiia- fcrmation, les feuilles les mieux rensei­gnées, comme elles s'intitulent modeste­ment, annonça’ent que Jaurès était ^ ttn i Cannaux. Nous savions — et les jour­naux qui l’annonçaient à oEze heures du soir le savaient — que la ciô ure du scru­tin dans'a ville deCarmaux, ne devMt s’effectuer q i’à minuit, par suite des vio­lences auaq telles t’étaient livrésloe agents du marquis d 9 So'anges dans lamafinée, la nouvelle de ne t e ami était fausse. Tout de même, et b’ea que nous connaissions, ■ersounellement, l'importanre de la supé­riorité numérique du Parti socialiste dans la cité miBière du Tarn, nous étions itnpa- tieuts de connaître le résultat déflciiif.Rouanet. , ,

. M. Jaurès préfère les voix q i on lui dop- né à celles qu’il tb'ient. Il est ainsi sur d’étre aussi souvent élu qu’il aura pour lui les Robirt Uoudia de Carmanx et de rAdministration. Et l’électeur laisse faire I

Pression Biocarded ’a p r è s u n B lo c a rd .

c o u s îru îte u rd ’aulom obiU s, M. D ar- la c a . été désigné p a r u n c o n g r ^po u r ê tre le can d ld a td a b’oc dan s la V* « rco n scrip tio n de Ch^iinbéry. M ais il dé­p la isa it au x blocards locaux , e t certa in m m istre désira it substitu er à sa candida­tu re c«l’c de M. T héodore R einach, ce qui

' lû t fait. M. D arracq a p ro tts lé en ces te r ­m es : . . IV

c J 'igno ra is en v enan t parm i vous, l e s uèce de féodalité poliüqu» qui détient ic la pouvoir éU cloral.

« J e supposais qu3 c h îc u n pouvait, ai *toute lib .rt^v sc p rononcer po u r le candi-

d a td e son ch^ix e t que la ^euîo a u to n té à re sp ec te r était le Congrès Jopaiem ent convoqué des répr^'SvUlants in d îic ilab ,es duparti répub l'ca in .

• J î m e tro m p a ’s.« A rinsligo tion d’v.n sén a e u r sa n s au

tr e m andat que sa fantaisie personnelle , le s décisions du C 'n g rô s , qu’il avait p r ^ sidé lui-m ém c, ç n t été volontairem ent m é­connues. , ,

c G iâce à des subliU lesinquaU llables, on * ch erché à vous faire ad m ettre u n e c a n ­d idatu re décfdée de longue date, m ais qû’on n ’avait pas osé ré v é le r au g ran d

; jo u r de ceC onf r 6 ^ ,« A u m ép ris d«‘s dccla^ct'ons m em es du

iCiOttvemement, u h ep ress io n venue de trè s .hau t, e t ouvertem ent obéi?, appuie ces in­trig u as.

. I l faut qu’u n e candidature no tp irem ent iropoFulairc, « a b o u tiise à tou t p rix ».

c Da te ls ag issem en ts f au com patibles * ftTec la hau te idée que je m e faisais du saf- - fTage un iv erse l, on t m is à u n e trop ru d e

épreuve ins digniié, m a d ro itu re ,m aloyau té ' r to u b lica in e . ,

« Ces m œ u rs ne so n t pas le s m iennes, et je ren d s, ju sq u ’à nouvel o rd re , celte

' ;C:-rconscript‘on à son proconsu l, à so n sy n - V dicat.

• Je m e r e t 'r e . » _Da r r a c q .

M. Darracq s’é'.ail fourvoyé.

ÉCHOS ^NOUVELLESH i p p i s m e .

Par uns laltre en date du 1" mai 1906,- 1« M inistre d e là G uerre a au to risé Mes-

l ie u r s 'e s officiers e t assim ilés à faire partie de la « F ra n ce H ippique asso — ;eiation d es p rop rié ta ires de chevaux de France e t des Colonies.

Cette association, sous là présidence de ■ M. le baron du Teil du Havé, président de la Société hippique française, a pour bld da grouper tous ceux et toutes celles qui

; jossèdont des chevaux, qui en vivent, qui s’en servent ou qui les aiment. Moyennant

' "h modeste cétisation de cinq francs par an . las sociétaires recevront :

1* La rev u e m en su e lle illu strée ;2- Des coEsuUitions gratuites sur toutes

las questions hippiques ;*0 lis pourront insérer, deux fois par

an, dans la revue, une annonce do ceaf- lettre».

Adresser les souscriptions au siège so- . dal, i , rue de la Bienfaisance. Paris, 8-

arrondissemen'.

Questions Militaires.L e s derafcT S

C*cst à p a rtir de d^m aîa e t ju s q u ’au 31 mai, que sero n t reçus les dcrc ie rs engagcm cnta TiserTCüs aux jeunes gens a \ a c t d ro it à l’une des dispea*tes p révues à l’artic le 23 de l’an*

->‘è{ciine loi m ilitaire.t.a m ise en v igueur de ra rrc lc du 13 avril

de rn ie r qu i a a u t‘>risé à litre absolum ent itxcep tionûel, ces cngagi*mccts ^péciauz sup- 'fprlo^s p a r erreu r, p a r M. H erteaux. soulève Je 'trcB vives p ro tes ta tio n s qui sem ble abso* i w n t fondées.• C e t a rrê té lim ite en effet, ainsi que nous Vavons d it, le d ro it de s’engager : 1" aux jcu-

. Àe» gens ay an t a tte in t d ix -hu it ans du IQ oc- ïob re 19(fô au 2t m ars i9C6 ;2° aux jeunes geas q n i,é u x m ois d ’octobre deriaier, s ’oo t pas

adm is à s’engager en ra ison de leur é ta t K l^sique. Or, cette lim ita tion , d isent les taR re ssés , e st en con trad 'c tion form elle avec l^^rûcfe 96 de la nouveUe loi m ilitaire qui dé-

îca €ngagcmtf*t% de trois cns retterent lîevmts au régime de Var.dc’ine loi militaire^

• ^ i iq u ’au jo v r de la mise en c'gucur de la loi ■ d e deux ana

'L a conséquence logique de cet article e st to u s les je u n es gecs qui, a r a n t ] e 2 l m ars

ü o ^ 're m p liss a is n t l’une des conditicns pré* . i ^ e s à l’article 23 de l accienne loi m ilitaire,' R iv e n t ê ’.re adm is sans re s tric tio n aucona à 'V àoéü^er une dernière i.>i3 des engagem ents •jp^c avx ré serv ;- aux dispensés.

' 3âr«ak^éiâiti£T>cette qaestioB qui, poux bcuaceap d* juuM s

'tetirét e a p it* J 5 * |!» W . ?^|kpoaT WWténéflclw d’uttU M ^aa- p c i l i <i d* qu’au «u ^ .uerrteuuBUen d* deux. - ;

. .■U.UCTMC.. a u x s s p e a T s - .™ . .— —l u r<ataMat,de -«•pcuti-poinpiftedb / f m »

risetTaç.ua c tM te nombre de plaenr A m ge- gH Toluutaiie*:de trois ans aux Jaouça fan s sachant Men conduire les ch erù n t ou le s voilures automobiles. Ces engagés volontai­res, qui devront adresser leur demande au coloneU auront droit l une haute paye pour la troisième année.

UflSIjlîlBTIIIESIRemerciements

de BI. Jtiles GaillardAux éleetewrs de la S— eiteonscnption

de SenlitPrécy-xar*Oisr, 8 mai 1906.

Met chers concitoysnt.Je Toui remercie bien sincèrement du

nouveau témoigmgeds confiance que vous venex de m’accorder. Vous vous étes_ une fois de plus montrés ailaehés aux idées d’ordre, de progrès et de liberté que je n’ai cessé de défendre et ce n’est pas seu­lement à la personne de celui qui vous re­présente depuis dix-septans que vous avez tÂmoigné votre attachement mais i la poli­tique qu’il a toujours soutenue d’accord avec vous, à une politique d’union et de concorde tntre les ôtoyens, à nne politi­que vraiment républicaine.

Je prie mes amis des Comités républi­cains démocratiques detrmtver ici l’ex­pression de ma reconnaissance pour leurs efforts et leur dévouement.

Quant è tous mes condtoyens, ils peu­vent être assurés qne comme par le passé ils auront eh moi un dlfenseur dévoué, qui continuera i se consacrer entièrement & la défense des intérêts de notre chère circonscription, '

JULIS GAILLARD.Député.

Constilltx général du canton de Creil.

' r-'-.W'nfrï-d e -feir d ’I a t é i ^ t

' . M . . H a u d r i c o o r ttux SKcXeurs de' la i*; circonseriptioh,

H. Ch Haudrieourt adresse aux élec­teurs qui lui ont, dimanche, accordé leurs suffrages, la lettre de remsrcnment dont voici le texte:

Mes chers Concitoyens,Aux 6,185 électeurs qui m’ont accordé

Une seconde feUleur confiance j'adresse mes remerciements les plus vifs et las plus sincères.

Les marques de sympathie et daffec tien que j’ai recueillies pendant tout le conrs de ma campagne électorale m’ont profondément touché, et je remercie spé­cialement ceux qui me les ont données.

J’ai toujours soutenu une politique nettement républicaine et démocratique et en même temps une politique d'union et d'apaisement, parce que je les considé­rais toutes deux comme nécessaires i la prospérité de mou pays et è la grandeur de la République.

Permettez-moi d’espérer et de croire qu’elles triompheront un jour !

Charles HAUDRICOURT

Remerciements du colonel Bougon

H . le Colonel bougon adresse aux élec­teurs la lettre de remerciements suivante :

Hee chers électeurs.Merci, detoutcoeir, pour les 11,299 suf-

rages que vous m’avez accordés ; merci, amis connus ou inconnus, pour tant de preu­ves de sympathie et de dévouement I

Nos adversaires se sont laissés leurrer par les grossiers mensonges d’une presse sans pudeur et le charlaUnisme de com­mis-voyageurs en promesses électorales irréalisables: ils les verront à l’œuvre.

Restons organisés, patients et solides au poste glorieux qne nous occupoas: la Garde du Drapsau ! Fiers du devoir ac- esmpli, plus avides d’honneur que d’hon­neurs, soyons prêts à marcher le jour eu la France aura besoin de tous.

Pour moi, vaincu mais non découragé, confiant qnand même dans les destinées de la patrie, je rentre dans le rang et reste auÿonrd’hui ce que j’étais hier, le soldat dévoué è la cause du Progrès, de l’Ordre et de la libmté.

Vive la République!Cobnel BoueoH.

Chambre de Commercé de Beanvals et de l’OIae.

Nouveau tarif douanier espagnol.Le Président de la Chambre de Com­

merce de Beauvais et de l’Oise a l’hentenr d’informer Us industriels et les commer­çants de notre département, faisant des àffiires d’exportation en Espagne, qu’il vient de recevoir de M. le Ministre du eomm.acêlB nouveau tarif douanier es­pagnol.

Comme ce turif doit être mis en vigueur le 1"jnillet prochain, M. le Ministre de­mande à la Chambre de Commorce de loi faire parvenir, à br«f délai, le» observa- tioni qu’elle pourrait avoir è présenter.

Le tarif actuel, qui est deji es qu’on peut appeler un tarif de guerre, laisse en­core pauer la frontière à certains articles deluxe, mais le nouveau tarif ne laisserait plus une. seule maille é travers laquelle nos marchandises pussent pissm’.. Loi droits qu’il comportesontabsolument inac-- ceptabtes, la commission des douanes dé l’Espsgne ayant majoré les. estimations d'une façon fantastique.

Les industriels et commerçants intéres­sés sont donc priés de prendre connais­sance du nonvrau tarif en question déposé à f0 ; effet EU siège de la Chambre de Com- merre, i Boiurais, rneSadi-Caroot, 43, et d’y formuler leurs ob’e r’atious, afin que notre GouveTemant puisse présenter des contre-propositions de nature à taire ré- Uéchir le gouvernement espagnol.

♦Postes et télégraphes

M*"* Bm, employée en disponibilité, e t nommée emp'o)éa iH éru.

Mme Genet, employée à Compiégn», est nommée employée i Chaloni-sor-Marne.

l'ilia Dardé, employée à Saintes, est nommée employée à Compiégae.

I eiii Lagreje. postulante, est nommée employée i Chantilly.

M Nicolas, postulant, est nommé em­ployé à Nyon.

M LalTsille, surnuméraire sous las dra­peaux, e->t nommé surnuméraire à Beau­vais.

M Médard, postulant, e t sommé sur­numéraire é Beauvais.

l o c a l d d T D i a e . offieiel pnbli

comparatifs de^ de fer français; raya, pendant II

iées 1905 et 190i^<

^ lé b « R d e « à « > i * * t j a i f * l a *•

iiu<------

nÛgné d’Istrées-Saint-Dems i Fioissy (43 ki'ométras)..

Dépenses fi’établissmnent.an 30 a^tem- bre1905, 3.002.116 francs. — Recettes dn I " jtmvmt as 30 septembre, 79.957 francs ; d ip a S k de 90.925 francs ; udt une difféfenée en moins de 11.018 francs.

Recettes du 1«janvier au 30 septembre 1901,84.230 frauca ; dép.enses 92 458 fr.;; différence en moins, 8.228 francs.'

Ligne de Milly à Fonnerie :(31 klométres)

Ligue'de Noyon i Guiscard et embranche­ment sur Lassigny (27 kilom.)

Dépenses d’établissement pout-ces deux lignes, dont la longueur totale exp'oitée est de 58 kilomètres, au 30 sempterpre 1905, 4.957.998 francs. — Recettes du 1". janvier au 30 septembres, 120,351 foJutfZ dépenses, 125.097 fr. Différence en moins, 4.746 fr.

Du 1‘’ janvier au 30 septembre 1904 : recettes, 114,923 fr., dépenses, 121,443 fr. ; pertes 7,520 francs.

Ligne de Baisy A Ercheu (13 k'dom.)Dépenses détablissement an 30 septem­

bre 1905,967.713 francs. — Recettes du 1» janvier au 30 septembres, 21.250 fr. ; dépenses. 28.000 francs. Différence en moins, 6 750 francs.

Du 1" janvier an 30 septembre 1p04, dépenses d’établissement, 967,713 fr., re­cettes, 19.776 francs, dépenses, 28.000 fr. Différence en moins, 8.224 francs.

Ligne de Hermies à Baaumont-Persan (31 kilomètres).

Dépenses d’établiisement an 30 septem- (ffire 1905,2.427 082 francs. — Recettes du

1*'janvier au 30 septembre, 120,622 fr. ; dépenses, 75.000 francs, soit un bénéfice de 45,622 francs.

Dépenses d’établissement au 30 septeip- bre 1904. 2 429.082 francs. — Recettek, 448.436 francs, dépenses, 75 100 fr., béné­fices, 43.336 francs.

Ligne de M érui Labpsse (section de Mém au Mesnil-Théritus. —

22 kilomètres).Dépenses d’établissement an 30 septon-

bre1905,1.495.000 francs. — Recéttci'da 1" janvier an 30 septembre, 46 545 francs, dépenses, 49.077 francs. Différence an moins, 2.532 francs.

» «lUJILies C fu rm é lite s de C om p ièg n e»

Pèlerinage à Rome, __Le pape Fie X a fixé é la dernière se

maine de mai les cérémonies de la béatifi­cation des seize Carmél|tes du mouaslére de Compicgnegnillotf|ées m 1794, afin de oarmettre é tous les Catholiques libres é cette épeque de se rendre é Rome.

Pour faciliter le voyage, nn train spécial à marcha rapide é té prix spécialeman’ réduits est formé sous la présidence de Mgr Douais, évêque de Beauvais. Tous les diocèses de France soat conviés à s’y join­dre. Lee dames sont particulièrement in­vitées ; des p’aces sféciales leur seront ré­servées, ainsi qu’aux familles.

Le départ aura lieu le 22 mai. Le train s’arrêtera à Paris, Sens, Dijon, Bourg, etc. Des groupes se forment é Beauvais, Com- piégne, Chartres, Dÿon, Lyon, Montpel­lier, Rodez, Toulouse, etc.

Outre Rome, on pourra'visiter les grands sanctuaires et villes d'Italie : Assisbe, Le - ratte, Padoue, vallée de Pompéï, Naples, Florence, Venise, Milan.

Prix des places : Chemin de fer, voitu­res, hétels, etc.

De Beauvais ; 3* cl. 140 fr. ; 2* cl. 185 fr. ; I " cl. 275 fr.

De Paris : 3* cl. 136 fr. ; 2’ cl. 179 fr. ; 1 " cl. 266 fr.

Demander les prix des antres gares, ain­si que la circulaire détaiUée envoyée gra­tuitement soit & M. le chanoine Letellier, i Beauvais, soit directement é M. Maurice Junot, 9, rue de Rome, i Paris, chargé de la centralisation.

Routes NationalesAdjudication

Le jeudi 31 Mai 1906 12 h. 1/2 il sera procédé à la Préfecture de l’Oise A l’adju­dication publique de travaux de grosses réparations à exécuter sur les Routes Na- tienales n°’ 16. 31 et 32 dans les traverses de Chantilly, Arsy et Margny-les-Compiè- gne.

Renseignements à la Préfecture et dans les bureau de MM. les Ii^énieurs ordinai­res a Compiégne et Senlis.

------------- e 'La Fécoite des bettepa'vesi La température a été pluvieuse et froide

pour la saison pendant la plus grande par­tie de la dernière huitaine. Les journées de samèdi et dimanché ont été ensoleilléss et chaudes; lundi, le ciel a été souvent couvert avec menaces de pluie, mardi, il a fait beau et chaud. Il est urgent que le temps chaud et sec s’établisse, les cultiva­teurs en général rt ceux de betterave, en particulier, se plaignent vivement du re­tard de la végétation et des entraves appor­tées dans les semailles par l'humidité extrême et la température basse de ces dernières semaines.

Il est a no'.er qne les semis de betteraves tardifs soat, en régie générale, dans des conditions défavorables an point de vue du rendement eu'tural final. D'autre part, les jeunes plantes saecbariféres, lorsqu’elles soat en retard dans leur «roissance et dé­pourvues de vigueur, offrent aux insectes une pro'e facile. Sur ce point on S'gnale déjà des plaiates.

Dans les autres pays du contineat, la si­tuation de la réco'tv betteraviére est fort diverse : en Allemagne et en Autriche-Hen- grie, où la culture attache nne grande im­portance aux semis bâiifi, les ensemence- men s sont pour ainsi dire terminés. En Hollande, en Belgique, en Russie, il y a un certain retard. Ta^chant l’étendue pro­bable des essemeaceinents, le Central- blalt. de Magdebourg, l’évalue pour l’Eu­rope, A 7 à 8 o/p de diminution, en moy­enne, sur 1995.

(Journal des fabricants de suire).

Société d’agricultureR ap p e lo n s qu e c ’e s t M ardi p ro ­

ch a in 15 Mai q u ’a u ra lieu à d eu x h eu re s de l’ap rè s-m id i, la réu n io nm ensuelle de la Sociélé d’a g ric u l­tu re .

MM. le s cu ltiv a teu rs e t tous ceu x que les q u es tio n s ag rico les in té resse n t, à v e n ir le p lu s no m ­b re u x p ossib le p ren d re p a r t à cel­te sé an c s a u co u rs de laquelle se ro n t ag itées des q u es tio n s très im portan tes .

[de X m ; 'qpfitièl’.xBiîi'lldBgdbBi'dè']

a i

-;' A l a ^La mort die M. Leduc, qiie nous avons

annoncée dans notre dernier numéro,, a causé en 'Ville une douloureuse im­pression.

Depuis de longues années le défunt < aràit su, par de précieuses qualités, mériter l’estime et la sympathie des Senlisiens et on peut le dire, de la ré­ion dans laquelle il comptait beaucoup 'amis.Aussi est-ce au milieu d'un grsmd

concours de notre population, que les obsèques de notre regcetté concitoyen ont eu lieu, hier matin, à dix heures et 'demie.

La Compagnie des Sapeurs-Pompiers de Senlis, sous la conduite de son capi­taine M. Mahieux, venait se ranger vers dix heures, dans la rue de la République, près du domicile mortuaire. La foAle se presse, à ce moment, pour aller jeter l’eau bénite sur le cercueil disparaissant sous les couronnes, et présenter ses témoignages de sympathie, aux mem- bes de la famille, dont la douleur fadsait peine à voir.

A 10 h. 1/2 M. l’Abbé Dourlent, ar- chiprètrede Notre-Dame, vient, entouré de son clergé procéder à la levée du corps.

La foule salue respectueusement la dépouille mortelle de cet excellent con­citoyen.

Les clairons des pompiers sonnent < Aux Champs > et le cortège se met en marche dans l’ordre suivant : Les .tambours et clairons en tâte suivis des porteurs de superbes couronnes offertes par les délégations de la compagnie des sapeurs-pompiers de l’Oise, de la Com-

de tir à l’Arbalète, de la Société ecours-Jdutuels, etc.

-'Viennent ensuite le drapeau de lUnion départementale des pompiers porté, par le lieutenant Hènnequin, et celui de la compagnie de Senlis, dont les deux pelotons encadrent les délégations des o'fiders. 'Voici en«uite le corbillard, recouvert de fleurs et de couronnes, offertes par la famille et les amis. Sur le drap mortuaire, figurent, l’uniforme et les insignes du défunt qui était, on le sait, sous-lieuteaant de la compagnie de Senlis.

Les cordons du poêle sont tenus par MM. Odent, adjoint au maire, Fautrat, conseiller municipal, — président de la société de Secours mutuels, Cagny, secrétaire de l’Association pbilotecnni- que, Frigault, conseiller municipal, De- laporte. Dumoulin, lieutenant des pom­piers de Nanteuil et deux officiers de la fédération des pompiers de l’Oise.

Le deuil était conduit par M““ Leduc, ses deux enfants, le frèré, la mère du défunt entourés des membres de la fa­mille.

Dans la nombreuse assistance qui suivait la famille nous avons remar­qué notamment : M. Maxime Lecomte, sous-préfet, accompagné de son secré­taire, M. Faisant, président du Tribunal civil, M. Soualle, président du Tribunal de commerce, des membres du Conseil municipal parmi lesquels : M. Audigier, ancien député, Cultru, Lepetit, Michel Robert, etc., des délégations de la so­ciété de Secours-Mutuels, de la Société Musicale dont le défunt était membre honoraire, de l’Association Philotech- nique, de la Société d’Arbalète; des officiers du 2* Hussards, M. le Capitaine de gendarmerie, M. le Commissaire de police et ses Agents, et la plupart des fonctionnaires, des Notaires, Avoués et notables Commerçants de la Ville et de l’Arrondissement.

M. le Colonel Gouget de Landres s’était fait officiellement représenter par un Capitaine du 2* Husssu'ds.

Le Courrier de l'Oise était réprésenté par son directeur M. Loup Bertroz. La délégation des offiiciers de Sapeurs- Pompiers de l’Oise, dont nous parlions toute à l’heure se composait: de MM. Cazier, commandant de Creil, des Ca­pitaines Lanné de Cfépy, Perpette de Chantilly, Casset de Breteuil et de MM. les olficiers Lamotte, Delbée de Chan­tilly, Pécheux d’Auger, Haveline de Duyy, Vincent de Crépy, Boyenval de La Chapelle, Péçhon de Montlévéque, Menessier de Goirvieux. Compiégne de Fleurines, GrignondeFleurines, Tassin de Mortefontaine, Lécuyer d’Otry, Lugarde de Vineuil,Bourgeoisie Silly- le-Long, Pécheux de "Villers - Saint- Frambourg, etc.

A4VA» 1C9 V4CvAlAS9ii nef principale est bientôt remplie e foule recueillie et impressionnée.

A-I’CgUee.Pendant que le corps précédé du

Clergé est introduit dans l’Eglise, la compagnie des sapeurs-pompiers, forme lés faisceaux sur la place, la cérémonie funèbre est présidée par M. l’Archipré- tre, M. l’Abbé Hédouin, officie assisté de MM. les vicaires.

La d’uneAprès les chants funèbres accompagnés par le petit orgue, M. l’Abbé Dourlent, donne l’Absoute, et le cortège se remet en marche dans l’ordre que nous ve­nons d’indiquer, vers le cimetière ou des discours ont été prononcés par MM. Mahieux, capitaine commandant notre Compagnie de Pompiers, Odent, adjoint au maire, au nom de la muni­cipalité et de la ville de Senlis, Fautrat, conseiller municipal, président de la société des Secours-Mutuels, Cazier, commandant et président de la Fédéra­tion des pompiers de l’Oise, Delaporte au nom de l’Association philotechni­que, Perpette, au nom des officiers de la délégation des compagnies de l’arron­dissement.

L e s d is c o u r s iLes dernières prières des morts en­

trecoupées par dessanglots des membres de la famille que l’adversité frappe si cruellement, sont terminées ; voici le Capitaine Mahieux qui s’avance sur le bord de la tombe, et d’une voix émue, mais forte, adresse les paroles à son regretté lieutenant.

Discours de M. Mahieux.Mon cher et regretté Lieutenant,

Il y a quelques jours, à la manœuvre mensuelle, avec de vieiix camarades, nous nous rappelions le temps de notre première jeunesse où nous partagions nos honnêtes distractions, nous nous rap­pelions les soirs d’incendie où nous bra­vions avec une véritable ardeur les mêmes dangers.

Aujourd’hui, plus rien, tout est englouti dans la tombe, toi l’ami que nous aimions et tous les souvenirs affectueux que tu emportes dans le néant.

Et c’est à moi ton vieux camarade de

iÉ«iU<MiE«iini.. M e s d t t n s , f iiM M eèn l ^

4*des, .. JenesM isvie, quel cœar fi'moL,....C6VX ül^it SiflHiL dianf MB:.comme aussi'claiM son an tre i .chère Compagnie, anjourfbui en iarmss. et dans laquelle U n’a jamais compté que des amis. '

MaispourtanLlaiisex-moi voBsrsppeler avec quel dévouement, il sut remplir sa modeste carrière de soldat du devoir, depuis le grade de sapeur jusqtPà celui deLieutenant. --------- -

Il y a plusieurs années lorsque la Coih- pagnie traversa des mometntsfrèsdiiBcnei, ce fut Leduc, alors SergentTFourrierf dui avec une intelligents organisationspécisle, la remit d’aplomb et contribua à recons­tituer les escouades modèles qne nous avons aujourd’hui, i.. . j ■

11 ne montra p u moins d’ardeur dûis

Noos avoss la fonlc q û mà-*"l«co*viM r*--------' " ' *------

ibrcose, : ao l» av

laexcuser,!

que le dencxnbr

camarad lise, qui s’

-assister à la Dupuis, conseiller général de rOise et p ru d en t de l’Aæociation Philotechoi-

les CoDcenrs, o&itfitt tomovrîffilc’âievffl» ouvrière, solide été toute épreuve, coi nous en .avons eu l’exanqile A Senlis.

A notre Société de Secours Mutuels il resta l’homme du devoir et dn dévoue­ment, et aprte avoir mérité, la recon­naissance de sesconcitoyaas,il recueillait celle du Gouvernement de la République, qui lui décerna laôiédiffie de la Mutualité, et les palmes acad^Mques pour ses cours d’adultes.

'Voi'i Thômme que fut l’officier, que perd la Compagnie desSapeurs-Pompiers de Senlis.

Ce qui m’ap p a ^ n t ici, au champ du repos, c’est te vieil ami, c’est le collabo- rateurprécieuz,c’estle sapeur courageux et dévoué, sur lequel tous les hommes de la Compagnie peuvent puiser ' un bon exemple.

C’est A ce brave soldat du devoir, que le coe ir déchiré, je dis un é’.ernsl adieu, en mon nom personnel et aussi au nom de toute la Compagnie des Sapeurs-Pompiers de Senlis.

Et vous chère Madame Leduc et vous chers Enfants,

Rscevsz de l’ami de tous les jours de votre chsr disparu, l’hommage de mon profondrespect,etdssusincère affliction.

Encore une fois, mon char Eugène, adieu, adieu pour toujonra.

M. Odent, adjoint au maire, dit com­bien il lui est douloureux en cette pénible circonstance, d’accoœydir le devoir que remplirait M. de 'Waru lui même, s’il n’avait été empêché d’assister aux ob­sèques de M. Leduc. En quelques pa­roles émues, M. Odent, retrace dans ses grandes lignes, la carrièiu du défunt et montre avec quel dévouement, quel empressement il répondait A l’appel de tous ceux qui sollicitEiient son concours' Toutes les sociétés auxquelles il a ap­partenu lui témoignent aujourd’hui, plus que jamais, 1 expression de leur sincère reconnaissance. M. Odent ter­mine en adressant à la famille de notre regretté concit^en, au nom de la mu­nicipalité, du Conseil 'municipal et de toute la population, les plus vives et les plus sincères condoléances.

Le président de la Société de Secours Mutuels, l’honorable M. Fautrat pro­nonce ensuite un éloquent discours que nous regrettons de ne pouvoir donner in extenso. M. Fautrat, avec une pureté de Lngage qui lui est familière,rappelle, dans une chaude improvisation, les no­bles qualités indispensables A cette pha­lange de braves, mais modestes héros qu’on appelle les sapeurs pompiers qui savent faire leur devoir au mépris du danger et au mépris de leur vie. Ces vertus, ces sentiments de discipline, d’abnégation et de courage, M. Leduc les possédait, il en a donné les preuves.

Dans une péroraison d’une superbe envolée M. Fautrat, ajoute que si la mort brutale a confié prématurément la dépouille de ce brave dans cette fosse, sur laquelle nous pleurons, le souvenir de cette homme de bien restera gravé dans nos coeurs. Ses belles actions, ses qualités du coeur et de l’esprit seront le chemin du devoir qu’ils suivront en marchant ainsi sur les traces de leurs glorieux ainés.

En terminant, le président de la Société des Secours mutuels s’associe à la profonde douleur de la veuve, des enfants et de toute la famille à laquelle il apporte, au nom des nombreux amis du défunt l’expression d’une sincère affection et d’une vive sympathie.

M. le commandant Cazier, prend en­suite la parole et vient saduer use der nière fois au nom de l’Union départe­mentale des sapeurs pompiers de l’Oise ce camarade enlevé si brusquement à l’affection de sa famille et à la sympa­thie de ses concitoyens et de tous ses amis. M. Cfizier rappelle avec quelle joie les camfuades de fUnion applaudi­rent aux récompenses honorifiques que le gouvernement accorda à ce zélé édu­cateur de la jeunesse, à ce propagandiste ardent de la mutualité. Le président de la Fédération dit en termes fort simples mais touchants que M. Leduc a été un grand cœur, un bon et loyal sapeur- pompier dont le souvenir sera toujours vivant dans cette Compagnie, qui le pleure aujourd’hui, et dans laquelle il ne comptait que des amis.

Au nom de tous les Pompiers du dé­partement il lui adresse un suprême adieu.

M. Delaporte a succédé au Comman­dant Cazier, au nom de l’association philotechnique, il s’associe au deuil de cette famille éplorée et rend hommage aux services éminents rendus par un professeur que la mort vient de ravir inopinément à ses collègues et à des élè­ves qui le chérissaient.

Eofin, M. Perpette, capitaine des pompiers de Chantilly, prend le dernier la parole en prononçant l’allocution sui­vante :

Discours de M. Perpette,Mon char L efu c ,

A près le s d iscou rs q u e l’on v ien t de prononcer sur ta ch ère d ép ou ille , je n e p ourrais qu e red ire le s é lo g e s que tu m érita is, e t surtout d’av iver d’avantage la douleur de ta fam ille ép loree.

Au n om de la F édération des S a p eu rs- P om p iers F rança is , dont tu é ta is l’u n de n o s p lu s agréab les c a a a ra d es ,q n ’iIm e so it perm is d e te dire s eu lem en t qua tou s e e v x d’en tre n ou s qui Pont connu , con serveron t longtem ps le sou ven ir d e ton trop court p a ssa g e parm i nou s.

Je l’adresse «n leurs nonrs, la salul fra­ternel d’adieu,-celui que l’on airessêanx braves, ce que tu étais.

Mon cher Leduc, adie.u !Après ces discours qui ont produit

dans l’assistance nombreuse une poi­gnante émotion, les membres de la fa­mille ont reçu à la sortie du cimetière les témoignages de douloureuse sym pathie des personnes qui avaient tenu à accompagner A sa dernière demeure, celui qui jouissait dans notre ville de l’estime générale.

4)ue, u’est égtdemoit «ci n ^ so it^ p è i

.Q u’a ce com­

pte-rendu, forcément incomplet, d'ex- irimer A la veuve et A toute le famille.

[es sentiments de nos condoléances.

plus sincères

L. B .'

A Saint-'Vincent-Les-élèves de l’Institution Suint-'Via-

cent donnent, jeudi procbaûn, 17 mai, A 1 heure et demie du soir, unewMMp musicale et littéraire, sons la présia ia ra de H. le Chanoine Dourlent, Archi- prêtre de Senlis.

Nous ne doutons pas qu’elle obtienne comme chaque année, le plus brillant succès.

— — ■

Acte de probité.Le jeune Ernest 'Vérité, âgé de 7 ans,

demeurait place de CreU, a trouvé un porte-monaie contenant une certaine somme qu’il s’est empressé de rapporter au Commissariat.

Toutes nos félicitations à cet honnête enfEmt.

♦Etat civil de Senlla

As S au 11 mai 1906.Nedetcmem.

5. Connitre (Raué-Cliarlcs), 10, Rua As Baau-

7.11. U.

-vais.'Wabér (Jaanl. Champ Aa Fob*.

(Harcalfe), chemin de B ea-

Mda.9. Leduc (Eugine-Aleundre), marchaa As

v ia , 46 ans. Porte Comatêcne. *10. Reilly. (AaaiÇ, sceur t*B-

gieuac, 66 ans, place Sainv-Mautice, %. PablieqtteM A e a u n io f»

6. Entre M. Roi (Jean-Baptiéteil ém piaaé A* commerce, dèmauraiat è Crêpy-en-vulola e t dem o'M la Charticr (Rimhcl-jLjica-

6.Marthe), couturière, demenrémt A SaaHs.

Entre H . IIKoa (HUri-Tves), gtadonae Acheval et demoUella Chauve (Je Alphentiae), sans profeasiea,d*m eanat tous deux a Sentis.. .

Entre M. Compiégne .'(Charles ’- Eraaat), manouvrier e t dame Souverville (Frun- foise), veuve Doucèdè, m iaafère, tou s deux demeurant à Senlis.

indîTida m ea outra

P o lle e c o rrn n ti— nlln d« SeaU ftAudience du 7 mai i90S.

Rrlsideneu de M. Maurakgis, juge. Uinis'.éra publie de M. L u a im , lubitituL

J3arbei âgé de l mars deraier,tant des collets. • _ _________enfreint nn arrêté d’expnlsion pris contre lui, le 10 jenTîer 1899. — 11 est coaatm n èàS mois d’emprisonnement.

Boran. Le ISaTrilr Lienbray (PauI^Fran* çois), bi- ans, m an oo^ ert sans domicitae • outragé le garde* champêtre Framerj. <-» Comme cet agent le conduisait au Tiolon, Lieubraj a’eat rebellé e t a frappé le factenr Leclere qui était Tenu au secours dû garda. « . Eoieraiv au poste l’irascible L ieaoraj • tenté de s’érader en brisant le plafond. • • Ces exploits lu i rapportent 2 m ois etSJaura de prison.

Chantilly • Creil. — Soat condamné m u t braconnage, dans les hois araisindat C ^ n - tiUr et Creil :

r a ç e n . fLéopold), 47 ans. 1 mbis 15 journ de pruon 150 francs d’amende ; Sténoré ( Sté«Shane). 31 ans, à 2 mois de prison 50 francs

’amende ; Tempête (Louis}. 30 ans à 2 m ois de p m o n 100 francs d'amende Damicbs (Henri), 31 ans, à 2 m ois 15 jours de prisea ^ francs d'amende ; Dumont (Charles), 20 ans, à* 2*mois 15 jours de prison 200 frênes d’amende.

Chantilly — Le 13 aTril, le garde particulier Masson, en arrlTant dans les bois confiés à sa surreUlance, constata la disparition ds deux auges e t quatre thermo-arphons ea z i n c . A u cours de son enquête la gendar* merle apprit qne le nommé Rousseau (Hra- cinthe), âgé de 41 ans, ayait rendu des débris de zinc au sieur Fougeroux, brocanteur 4 Cfaantillj, qui furent reconnus par le garda Masson, comme prorenant des auges déro­bées. — Rousseau qui est resté introurable, récolte par défaut, 2 mois de prison.

Le 17 A rril, les gendarmes de ChantiUr. se trourant au bois des Bourgognes, ont sur­pris Pinçon (Léopold), 47 ans. risitant des collets. — Cet^indiridu n’ajan t pu jostlfisf d'un domicile, n i de moyen de subsistancs autre que le produit de braconnage, fnt arrê­té comme ragabond. — H est condamné à 15 jours de prison e t à 5 ans d'interdiction ds aéjjour.

cVta-fes-Jdiriio.."» Poursuiri pour chassa sur autriii, à la requête du sieur Cloche, pro­propriétaire à Paris, Balny (Adelphe). 2Saua, demeurant à I.a VilleneuTe, est condamné 4 16 francs d’amende arec sursis e t à 1 ^ u c de dommages-intérèts.

Crepy en-Valoîs. — Dans les premiers jours d’%yril, Pautre (François-Hippoiyte), 35ouîirier peintre à Crépy, aÿânt' pénétré pi escalade, dans la propriété de M*« Crosilli. y a dérobé un tapis d’uns yaleur d'snyiron 30i francs, qu’il a yeadu quelques jours après au sieur Cartel, hôtelier* en disant qu’il lui ayait été. donné dans un déménagement. Pautrs est condamné à 3 m ois de prison et obtient la loi Bérenger.

Breuit. — Conyaincu d'ayoir trouyè et csn- seryé une somme de 300 francs, que la d«me Maillard d’Ercuis, ayait perdue le 29 ayril ds l’année dernière, la fille Lantez Georgina àaés de 19 ans e t son 'coacubln Lecomte Charieâ, 39 ans, repris comme complice, s ’entendent octroyer cnacun 6 mois de prison, arec béné* fice de la loi de sursis.

Fentainc-let-Corpe^Knd». — Le 6 mars, l'ou- yricr belge, Duprez (Léopold), qui ayait fait de nombreuses yisites chez les> débitants de Fontaine, s’endormit sur les bords da- la route. — Ses compatriote Stoop (François) e t Stoop (Auguste), qui ayaient bu en sa com­pagnie, le soulagèrent ds son porte-monnaie contenant enyirou 60 francs, et l’abandonnant ils reyinrent à la chambre qu’ils occupaient en commun et s ’emparèrent de tous ses yètc- ments et de ses sa montre. — Ces deux peu scrupuleux Popols, récoltent chacun un mois de prison.

Neuilly-tn-Ttlle. — Un m ois de prison et 100 francs d’amende, à Galant (Constant). 59 ans, m sfiouyner, sans domicile, pour arotr les 13 et 14 ayril, tendu et y isité des collets.

Senlis. ->Au cours d’un corps à corps, la 16 ayril dernier, Chartier (Joseph), 30 ans, ma- nonyrier à Senlis, a mordtt Leroy (Albert), âgé de 16 ans, lu i occasionnant une blesauie à la lèyre. qui l’obligea a se faire admettre 4 l’hôpital de Senlis, où U resta pendant trois semaines en traitem ent.—Par défaut Cbertier est gratifié de 3 m ois de prison et 16 francs d'amende.. — 6 jours de prison â Derquenne (Druon), 5S ans, e t 2 m ois à Michel (Merico), 54 aas, arrêtés comme yagabonds à Senlis.— Le 22 ayril, jour de la Ca-aMcede, Jules

Nouveau, 20 ans, se disant mardtaBd forain, a été pincé par le. w d e -d m m p è û n Lemaire, au mom ent où u s e ü yra it sur les prbmenades au jeu de bonneteau. — Nouyeau qui est un professionnel, s ’entend infliger 2 m ois de prison.

________ - , - - qui i_ ..saient de lui donner^ fera 6 jours de prison.

U

liproehxul

ret réa i' Mti la pn ts lle r ta y CBanusati Bois « t u I

— A u oriEioaird de Paris, 1 «açabofld B lio.E t ' t c io ill

NaUfcn — 12 : Na rnUn An Julta JuIk^ "‘ uhl Cad lard Edoû rant à Sel) à Creil, i (Saône et*J nia-Rosalf Nogent-le

Ë itre M demeuroii moiseUe \ fessioo dq

Entre î maréchal*! sans profil

Entre : I primeurs.1 oemoiselif riè.re, den

Entre : | e t demoii tou s dtud

A foria ço<s Alb à Paris, 1 B ertbe ; i

Décès, -i 20 iou.-».83 ans chsrrr

Ivres \ e t aux ffi BroyardI Vanguer 50 a n s ,] Mbért, f qui parai sieurs lé ne por-

A 2 . B uU ot1SîCw» 1

A S fr] ç >'8-J »s ans. i „

V 2 f3 53 ans

Tap d 'am eo l 2 f r Oo Oc d e r qu'il é t l Or. il é |

VioLj 'urnéd r ir .p o i < -retu ; | exerc^tor, 32) H ^ iss.de Gou ▼iolenq hU ; ( l e ic c s j Drriddf aoTera asercéLÎibiRe.| 1er Ju

ce* e x l M argol St-Ms f mo_I#« rei.■ J ’ai t

Trofi

R ip c _ nec. l{ ▼rc'L, Troitd

A 2 | c c ' cj d e n b a pailan t I

(Eugéoe)^ - tant des collets. — Cout 50 frases d*amende.

2 m ois de prison

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Dé d’au Feud coisJ Peq"

21 ILrc

Page 3: it »le peTem te - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1906/bms_js_1906_05_13_MRC.pdf · La Syniirat da la Pressa parisisiiBe cous communi(iae la cola suivante : Saisi d’oca piainta

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&tÜÉ> # 4 »w t'« i* ià . — iâ ,, ^

FAITS J j ^ p xB A lU ^ -S a A a M P ic rM . — Cwrs

irB U ssrus- — Diwnc&t d a a te s eea- n» t, U n a w IriM t BaoMfTNr, pâsnit m i a x k w « s4 « asIa n w d H C svta- iM. lenas’ii fitla rencastr* da d « « da act f.m3iT»j« doal l’OBi U toüa d’oM altar- eatioa la fn ;p a « tw an in stn n m t tran- fhast loi fa'sant vna assez ^énansa blas- snredacs le des, et de cembreoses egrati-Êtares as r is^ e . lesueor a porté plainte a

I b?ndarmerta qai a oarert one enqaéte. CbiHrfflly* — IU lits F arn . — Le

procb j* draf da Chaaàlly anra lien mar­di prorhain <5 mai i 3 benre* tar la place da rK|Use de PontsAné. Les detu derniè­res réasioiis iTaiect en lien Is 3 et le r Msi la première sar le t'-rritoire de Oye, La Moritye, l’ant-e dn rété de Leztrches, rbeamantelarecréceptiaiuanllgnlûi da Sois et an MmiUn de Lnzarehes.

?iK>ÀiiT son soeniL. — Le Î9 an il dernier, dans la s iréann nommé L..,. enploté an rhemia de fer. se sentant ftti- gaé. est allé se repeser dans nn wafan- écvâe qni staiionnéit i la p re . on-il s’est endo' n i profondément. A son réreil, qn’elle M fat pas sa snrprise de constater que scn po'te-Boanaie contenant noe fomme de 4 ’8 fr., loi arait été sonstrait.

Les rechercbps ont abonti i déconnir les antears de ce roi. deux jeunes p n s nemarts Pierre Lneeaet Jaliett ■areel ig it de 46 et l i ars, palfrenîers cbez on mt-'siaeer de Gonneax. Ts araient pro­fité dn sommeil da nommé L... penr mon­ter dan« le wifon et fouiller dans ses po- eb's, on se troorait le perta-msnEaie eo qnestioo et dont ils se sont emparé.

Bn po ssssioa de cette somme, ils ont pris le train poor Paris et si»t reraans le ssir même ayant déjidéMnsé 45 francs.

Ktast rereaae le leansmain dans les mêmes parages, les tonpcoas se o n t por­tés contre eez. ils n i été arrêtés par les geodarmes, q ü les ont fecillés et otT éü Iran ré pertear da .ifit perte monnaie. Pro­cès, w b a t a < tAdn ssé centre ces desz jeu ne< fitoui.

G re il- — ÀTTiMissixsnTd'uh B â ­ton. — Dimancheaprès-mii^ vers cii q bMrai. le ballon le c Umonsm >, monte- par KV. A. Ba'tier, Alfbed Leblanc, An-* m te Mcellean et Monjardei, part dn pa-r de l'Aéro-Cl ^b, est Tenu atterrir près de freil. dans la propriété du biron de Rot- srbiid.

— éairsTinon. — Ua sienr llabon. originaire de Perenne (Somme). Tenant de Pa-is, a été arréié rendredi matin poor Tuabottdage et condeil 4 Senlisle lende­main.

E t't civil de C re ild u il avril eu 4 mat 1906.l^aitfcnc s. — 10 : Thé-renin Robert Renf.

— 12 : V a n l ty C lâQ 4'n«-E iaé4ie. ^ 3 ’ F rao - ri> in A m tB â-M arcel. — 30 : V«nderr<«kJuli» J jtv e . ~ 3 : F -aB co !ia T io lett«> Jeénae.

Puhl eatîont de msri^ge. — Eotre : M Gkil tard Edouard, ajustear^mécaDicies, demeu­rant à Saint'Ouea (Seine), et précidemmeot à Creil, mais de droit à CbâJona sor Saôoe ,StOne et-Loire) etdemoisplle Breton Aoto* Bîa-Rosalie, sans profession demeurant à Xogent-Ies*Tierges (Oise).

lâitTe M. Descarpentnes Jules, comptable, demeurant à Yillers Saint-Paul (Oise, et de­moiselle Leinen Mathilde-Joliennef sans pro- iefsioo demeurant à Creil.

EatreM. DucbatelCïeorges-RœilienRapbsël, marécbal-ferrant e t demoiselle Parent Lucie, Mns profession tous deux demeurant ù. Creil.

Entre : M. Audré-Fréderic, mamhand de pdm curs, demeurant à Yem cuil (Oise) et dcmoiaelle Bridoux Jeanne-Bianche, coutu­rière. demeurant à CrdL

B^tra : U Atron Andrè-Louis, comptable, et demoiselle Hinart Anna, sans profession, tous deux dom iciliés à CreiL

Mariagta. — Du 28 : Entre M. Joseph*Frau- Ç-éTs Aibert-Aufuste, méceniciea demeurant à Paris, rue 31arcadet. 93 e t demoiselle Beber Bertbe ; sans profession demeurant à Creil.

Dfce*. — 1** ; Jémants Julienne-Luciesne, ro jou i. — 1** : Tribo'et Alphonse, tréfilsu^,33 ans (bûpita^) — 3 : Guassion François, charretier. 51 ans 'bôpîta’)

Tribunal de stmpZc pelice,A ud euce du 4 mai.

ItfTes-e. — Son condamnés à I fr. d*smende et aux frais : Gaulier, 25 ans, Chili E igène, Breyard Kléber, 19 ans. Abraham PauUo. Van^guerdacle Louis, 20 ans, Boaoard Paul.SO ans, joum alier à C ra m o ^ . e t Collias Ph>> libert. 3 7 ans, de Beaulieu itaron. Ce dernier, qui parait un peu ému, dit aojuge : » Mes* steors les gendarmes (sic), ma cese judiciaire ne po*te pas de coedamoatioB »

A 2 £r., par défaut : Lberminier Albert, RuUot U lr iu , 34 aaa, maDourrier à Creil, et Stcws Marin, manouTrier à Cramoisj.

A S fr., par défaut : Marbeau Fleory Frao* ç ) s-J ts^pb, de Lüla, e t Galand Eugène, 30 ans, réciaiTiste.

V 2 fo 2 fr., par défaat : Iftaeane Antoine,•3 ans, charpentier à Creil.

Tapage uoetunu. — condamné à 1 fr. d’smeode e t aux frais : Brojard K^ébar : A t fr Gobin Cloris. A 3 fr. ; Besserct Loui«.Ce dernier donne excu e « quMI ne saTsit pas qu'il étah si tard, se montra étant arré'ée » ! Or. il était l heure du matin.

Tiolaeet» légèrea, Sont condamnés à 1 i «ornée de traTuil e t aux frais : Ssuxos Ma* rir, pour e ie leaces exercées enrera la is u e e <*r*eRi : Crem Adrien 51 ans, pour Tiolences axercte cuTers Sauros Marin : Lanctot Tic- tor, -3Staas. pour Tioiencea exercées aneers H ïrissoa Léon, 48 ans, conducteur d'omnibus, de G'iaTtaux ; Delafraye Albert, 28 ans, pour Tiolences exercées envers Chambreiant Aima­ble ; Chembrelaut Albert^ 17 ans, pour tîo* leices exercées euTers Delafraye Albert ; IVrddtr Alphonse, peus T io la c es exercées rorers Ach*z ; B arillet Rosa, p<râr Tiolenees •xercées ecTers Oliu JeM se ; B etssa Jo^> ph^ne. pou* ▼iolence exercées envers Thuil* lier Jul«s, 6 ans ; Gobin d o e is , pour xiM es- ce- exercées cnrars la dsm e Leder ; Plazaoet M^rcuerite. Teore D.. 72 ans, ménagère à St-Msxinun. e t Serclassissen llar>e*Z«Ke; f mise B.. 32 an», p o u rT t^ e ac e s réciproaues. !.« ▼«usa I).. se p la in t d*avo:r é té m ordue :■ J'ai encore les • morduces > (sic), d it ellé •.

Trotter Richard Dick. palefreaierà Lsm or- Hre. pour violences exercées euTers Lanson K irè^e, 16 ans, charbonnier à Coye ; Leguen* cec. 19 ans, e t Graux Gaétan, 20 ans, manou- v re's û C oje, pour vioU nces exercées envers Trntter Richard Dick.

A 2 journées : Lanson Eugène, pour Tiolen* cc' rxsrcées enrers trotter Richard Drck, ce de Dier..qui aA’aU u n e t la nom. sjixlai% n'en, a pas lé laagage ; mélancoBques il dît, par* lanr de Legûennec et de l«anson : • si j'ieur

« s riocé la i'm’aurazt pas tombé«iTrtp. V

‘■•'•saeé sur «u terrain préparé è Ten' m’mcement. Sont condam ate à I franc tfaw ad â et aux frais : Guy Hunxî, 48 ans, e t to i la Louis Axuiré Georges, de Gouvieux.,

Ch«ea san # coU*er : Sont cendamnés à I fr. d'amende e t aux frais, par défaut : Çré Zfiia, ▼euruL,, e t Bertraad Hippolyte.

Défaut die guides : Sont condamnés A 2 fr. d'amende e t aux frais : Ihtfaur Alfred et Feuillet Paul, par défaut, e t Couvreur Fran- çoti. 47 ans, charratiur. A 3 fr. : Y andsK ock F erre, 48 ans, âb*jet b^geg charretier à Gou- ^leaz» réddfrinta.

B l^ d ette s : Ciraulation sur trottoir : Sont «’ondamnés à i fr. d'amende e t aux frais ; Nrwy Robert. 17 ans, em ployé dé commerce à ^haatiUr. Gris Eagèae*Adrien ; Trébuquet h a r io set Lévy lM l|^pe, défaut;L cien 2t ans, ajusteur, et Denant E i^ o a d , 2t »os, dessieateur, de Nogent-Ies-Tiarges, L^chowekr Léon et PouvUlon. Josph.

Défaut de Plaqua : L évj Philippe est cou* éamné à 1 fr.

ZM teliarégaliàre : I fév y Xohcrt est damne à I fr. .

. li^ux Lêoo, 34 ,est condamné à Y n is

— CXUR «IW»àst ~ Mmm ippriiiOT» tr«e ptai i- q a leBaiiaga Ba Mtra syiB?atfa’qna eenci iqyaa a GtoOBrilia ai«e H»* C A te Datiritf,.*cirA.cÂSbré le 47 maI.Mil’E< i*a de R ^y-^ratnaT .

ifeW frtaif *b»jeiB«s funcés d’agré-r 1 ^ t o n i&jtèipii do Courrier dt l’Oise

—.B i ’AbC. — Ainsi q-ianons l’aTions asBMKé Cltelatsaaa de It 4* Cie d’Arc da C'ény qui darsit f e frire le dimanche Si&rriiaTaUéié.raaetté 4 une date nDé- rienra. C'est sjoard’iiai 43 qu'anralien cet abat oisean.

— Succès. — Non» arp-enons que HMP“ Banden Dnral et S. Lanné. élères daV 'Lecler, Tiennent de subir brillam­ment las èprenTes dn b-eTet simple, ü -js sinrères fhicitatiors anx laoriates et 4 lanrs familles.

— AccmxHTS n i ibatao,. —Le 4 mai, la terrassier üucollat a en ie daigt pris entre denx trarerses ; la D' Gadard. da Corn piègna a prescrit 42 jonrs de repos.

— Le 5 mai. par suite de la mptura de 'a cheTilIe de Tarant train de sa Toiture et Tempartment da sou rbeTaL le ccch -r Girad a été assez tériensament blasié anx ïambes, 45 jonrs ila repos, soins dn D' Caillenz.

— Lamémejinr, le n mmé Ifary, on- Trier i 111x100 Clair, s'es: donné un conp da cisean an d^ageant nn tenon. La D' Caillenx a ^eserit 8 jonrs de repos.

— Drvias — Pharmacie onrerfe an- jaard'bni. Dams, rue Nitionnale.

eo Q T ie n x . — Ls concizT n i lx Th ibâu. — La Sociélé chorale de Gon- T.enx « La Fn temelle > a offert son con­fort annuel 4 sas membres honoraires la <9 arril demiR, salle de H** Onpnis. La Composition è t pnwramme était une gi- rm t’e de réimsite ; il a obtenu auprès des soffibrenz amis de l’orokè» et de tons ceux qsi apprédentie charma d’une soirée de <-e goura tout la succès qu’il méri'ait. La PraternelU dir%|ta par la sympathique V. Dopant a piaifaitiBaat rtaa tè les deux ccenrs psrtés an programme : Sur las Rampa-ts ; — Chœurs d t 2* acte de Lucie de Lzmarmoor< (accompagniment d’or- :hastre>. nous adrùsons aux orphéonisies

ainsi qu'4 leurs diToué directeurs, nos sincères ftlbitatioss, et nous sonhaiisns 4 cette société qu'elle puisse consHTor long­temps OB tel’chef.

Pa-mi les artistes nous signalons Urne Blanrbe de Ronnerille de Parisiana qui

fait r siortir son talent adm r-'b *. La sonp 8 ss de la roii. la dé'ie>tes e de la tlietiou si fin*et artistique valurent 4 cette chaînante rhanleuso let j l is chaleureux applandissoBOttls.

L.H C lia p e lle « c a - '^ e r ra l. — La BAGx cnopiaiiTiSTZ — ü • de nos Jecisors con= fait ron=ai..-« jasju’i ù allait la gros- v‘éreié des parti.«afis de Cbepinet 4 La Chapell» au Servil. Pn-fi ani des ténè­bres, ils ovIUieni sur Ips njur.? et sur les .ffi lias da U Aa iigiec desrravure- li-oo- siensa proc/d4 rogaire. digne de gens sans éducation, et qui a ron'eré i’indigua- tion de< honnêtes gens de ce pays.

Ce n’est p s senlementà La Chapelle que ces façons d'.’girontétéobsenrîes, elles méritent d’étre détriet et lanrs auteurs — pres-iBo partout comnns — devraient se rappeler qu’ils sont passibles de denx pro- c'v. nonr mutilahoird'afdehes et défaut da timbres.

L A m o slay e . — Fêr* PATnOîtALl. — Programnte. — Le dimanche 43, 4 deux heures et demie, grand concert Tocalet nstmmental, par ta Fanfare de Coye, avec le concours d’artistw da Paris; 4 neuf heures dnseir.bal 4 grand orchestre, sous la tpnta de Jf. Pelletier.

Le lundi 4 4,4 deux henrA, sons la tente du bal, tizago db la tombola, plus de 400 lots gsgnantr: (armoire 4 glace, grande g’ace, garniture de cheminée, sernce de table, suspension, etc., etc.), aussitôt le lirage de la tombola, distribution des lots,4 la mairie.

La mardi 45. 4 deux heures, jeux pour l's enf.nts. jeunes gens et demoisel es ;4 quatre heures et demie, bal d’enfants.

l.e lu-ldi ot le mardi, bal comme le dimaaehA.

M o n ta ta ip e .—AnusTRtons — Ont étéarréiés penr Tagabtmdage les simirs Vande^brouck Napoléon. 59 aiu originaire 4e Watrcii s ( Nord ), et Bûllenl Napo’éon,56 sns'. originaire de Roubaix, journaliers.

Declereq Lnles, 95 ans, a été ^ e m e n t arrêté, en Tm*n d’pn extrait da jngemer t. Ces3 iadiTidns«tété condiiti 4 Senlis.

— Co u p s . .— Surent pourstiiTis: Léger Georges, 29ans, pmu cospr portés 4 Uiéze Georges. 24 ans ; eO denier et Follet Ln- eien, 29 ans. pour éoûps réciproques ; Du- mont Dm ri. 50 ans, ouvrier d’usans, pour coups purtép-4 la liatEO Duchltel Anrélie, 47 ans. ménagère, sa femme

Dimont sera dep’us repris pour iTTOSss.— PoLics DD ROüiAGa. — Procès-Torbil

a été dressé contre le charretier Jn li« , de Creil, par défrnt.do guides.Ptai cioi! de MorUataire du 4 au H mai

^a ù esn ee» .^ 5* Vernchnere Charles Emile;6. Ssvrenx Gtrmaina Jeanne ; 8. Carpeolier Gaston ; 8, Esnnolt Paol; 8, Gaichard Gilbert ;9. Jorieux André Cénor ; 9, Leroy Lèene Marie Gco'gette.

IVeniU T>eii> 'rhelle. — Le garda Framery fe Nenüly en-Thelle a dres; è dcux-ceatraTontieBS au sienr Galant Cons­tant ouTr er de batteuse 4gé da 50 ans, qu’il a surpris par deux fois tendant des callets aa bois d’Oln.

— Luadi dernier a eu lieu 4 Ntuilly la foire d'Auril. Contrairement i Th^itude un temps asatzbeau e>t venu favoriser les marchands foridns qu'elle attire chsque siiTié*Li ** rwdr* F'"* las pro-tnecenrs des enrutins.

O p p « ay . — Dass L’xaeasHASS ns sa KACHitiK- — Le dtauffaiff Lantou Léon.au serrieo de K. Tor ier. mfreprenenr de sciage, s’est frit prendre la main dans en eBgreegedo sa machiua. La D' Résibiris

' aassita p ré ra u zecounnt on èerasomeni 'da ^ e e o t d e l’index droit et procéda l'raspurêâepdellBdsxetdelat'* phalan­ge du poâee atteint. Nous espérons que It Tirtm e'di cet acCii«t sera bien'ôt rétarâe .

— A can m s i i travail . — L’ouvrier aàrlatui J..-s’est tOnpé profondéomat au poig '.et gtufihe arec une serpé. 8 jours de

Le iivrear G cb ^ ^ e chez D. Bailly, êpieiarw gros 4 Cm y, en poosssnt sa voituiete Dnaisoa sur une route nouvel loiiumt rechargée a éprouvé im fort tlrail- imMnt masca’aire. 5 jours de repos.

.S t .V a s r e t i le m M r H o , — Ife -A É ti rzèou — S e r fr T ie lie r m ts -A S t-T a a s t à i im ta ta iie , a e moi^tre 4 rrmontoir, M m gent. perlant la n° 47.454.

La rapport r 4 la mairie dé St-Taast, mompesse.

M llr-le -L o iiK . — Ekcorc un cains Mi.tTRSSSE —Ausniied'une .Téri.abe orgie d'absinthe, un manouvrier de Silly- 'e-Long. Jules Prienx a tiré un roip de 'fusil sur sa sœur Harie-Loulse. 4gée di 43 snt. La malheureute Glletto, qui a é é bleS'ée an bras et 4 la jambe, a é'é tracsportéa 4 Thôpital da Nacteui'.-Ie ■ n 'udoiu. Le msurtrier a été arrêté.

R a r s y . — F ê t e p a t r o n a l e . — La féte p tronale de Raray. dite de Saint- Nioola.s d'été, a ra lieu dimaucheprothain 43 mai E'pérsns que le 'empv sera favo- r: ble ; parmi les aitractiocs et jeux divers, nous cderens : marèga de chevaux de bo’s, coufiseries, jeux divers, etc.

On troavera chez MM. Rollet et Trocb, marchand! da viu, des raf aîih'Sîemfn's et des pâtisseries 4 des prix t êi-modérés,

T ru m U ly . — VoL nx i a p i k s . — Dans la cuit du 5 au 6 courant, an malfaiteur s’ist iitroduit chez M. Birgs'ou Henri, suis!ur 4 la fabrique de su.-rede Beanrain, et lui a sonitrait 41 lapins estimés 39 fr. L’auteur de ce larcin est iuconun.

"V erb e rie . — O b s è q c i s . — Lundi dernier 7 mai 4 eczs heures d i matin ont en lieu en l'Eglise da Verberie an milieu d'une a'Butnee corsifé-rble lesobsèq-es do lt“* Engèn'e Wargt:i< r. fiTe de M. Wargnier, b .nquier 4 Verbsrie. décfriée dans sa 34** antéa 4 fa suite d'nnedou ’ loureuse opération. Suivant nn dernier vœu de M"* Wargnier, une çpmme de cent francs a été distrbaée en ton nom anx pauvres de la.vl e

iVous adressoBi 4 la famille si cruelle­ment éprouvée l’expression de nos vives etsûcéres condoléascer,

— NrcsoLOOiK. — Nous apprenons ia mort de Billoy Paul-Félix-E tonart, anci« secrétaire de la Mairie de Vsrberie, décé­dé mercredi dernier 9 mai daim la 73* àniée, srs obsèques aurunt lipu samedi 12 courant.

Nous offrons 4 la fimille d t H..-Billoy, nos sincères condoiêancet.

— Abu s b b ciwfiarcb. — Un sienr WtsteriiB Chartes âgé de 30 ans, qui lo geait dans une chaïubre garnie cbez Mme veuve Leclerc, a quitté furtivement son local dans la nnit du 3 au 4 courant en emportant on drap et une taie d'oreiller estimés 6 francs. k “* Leclerc a dépo.é une plainte 4 lé gendarmerie.

— Ac c id e v t d u t ravail . — Le 24 avril demie-', vers cinq heures da soir, nn acri- devt s'est produit 4 la scierie do M. Boitel indns riel à Verbari<. Un ourriar. Létril- la-d âlfreè, âgé de 21 ans, .deuHurant 4 Siiotioes, en c'iaigia> t des pUnches s’est coEXUsioané aux r^ias. Résultat : fo te eontutitn, incapacité de travail d'une

:z ine de jours.E ta t civil pour le m cit cTAvril,

— Nairsunces, — Du 3 : B.istemp-v A ndré- L uriec . Do 5 : D ew 's E ugén 'e-Paoline Du 10: P e tit R nhert-U lodom ir-V m im e. Du U : Leclere M arce’-Féllx. Du 17 : P inchoir < h»r- les-A ndri. Du23 : H ottée EnivUen. Du 25: Bocabut S uzanne-R etée . Du 27 : ■W .sterlain Pierre.

M ariageo .- Do 3 : M. T h ién srd P ierre e t SSII. V asicu r Claire Jalie-Eugénie. Du 17 : M. Hénoaiie - L éon-L uccn e t Al"- R o ttée Charlotte-Bleuche.

Décès — D u 2 : Décè» d ’un iccoucu . D a 4 : D evaux M arie Colombine. D u 9 : Touclie Suzaene-A raunde . D u 12 ; A ilhaud M arie- E 'isab e ’h. D u 15 : Lefèvre Jean-L ouis. D u 20 : L uc Catherine-CIctilde.

V ersijsn y - — M i ü l s s ixCBKDiiis. — Dimanche, vers dix heu.-es da soir, un

incendie éclatait dans un groupe de meules apparunant 4 H. Lhaste. cultÎTateur 4 Venigny, situées près le vilUge.

Malgré Iss secours organisés avec la p’ns grande rapidité, et en raison dn vent qui soufflait, les cinq meules qui compo­saient la gréupe furent vita embrisées et ' fut impassible de rien préserver.

Ces meules da paille d’une valeur do 000 francs, étaieut assurées â la Compa­

gnie l'Abeille.La causa du sinistre est inconnue, mais

ily atoutlieudisupposer que des rôlsurs, qui circuliat en ce moment autour de la commnne. ra t commis le méfait soit par malveillance, soit par imprudence.

Im treai N* 484, partant éa iM ip u è t | tin,B«a anBcé dâlMÉidbM611.59matin,

départ dn Beuarent et sera d’rsstL'M s ^ « W dn 4** H a î-u 45 .OcMire, « f r » BcM tt «t Paris ou Q arriüen é 7 bs CI d* l la t îa u f im d B S lL i^ b li i im la train N* 494 cnatinuera a ienm nJ* service des stations inlmaédianwz eêM B aciuellé- ment et. s « arrivée i Paris sent fixée 4 7 h 59.

Comme conséquence il sera créé un nouveau train, ensema’ne,entra Paris- Esonen et retour dn f 'M a îàn 45 Octobre.

A Tallsr, ie train N* 489 partira de Pa­ris à 6h. 35 matin et arrîTara à Eeonen 47 h. 08 matii ; au retoàr, la train N* 484 quittera Ecouen 4 7 h. 35 matin et arrive­ra 4 Paris 4 8 fa. 94.

En outre; il sera créi. le soir, entre Ecouen et Paris et reteur. on nouveau train qui. 4 TaDer, partira d'E lonen 4 6 h. 47 eo;r et arrivera Paris4 6h. 44 retour, il partira de Paris 4 8 fa. 22 pour arriver 4 Ecouen 4 8 h. 56 soir.

Letcain N* 400 partant actneHemnt de BeaoflôaoBt 4'i5 h. 22 mafili, sara avancé, en èté,.c'est 4-dire dn 4" Mai an 45 Octobre, deûm inutes au départ de Bsacmont ; 9 arrivera 4 Paris 4 6 h. 05, an lieu de 6 k. 28.

Enfin, imnouve» tram N* 490 sera mis en marche les dimanAes et fêtes, da 4* Mai an 30 Septembre u tr e Bsanmont- Mentibnlt et Paris, fl partira de Beaumont 4 40 h. 05 et arrivera 4 Paris 4 41 h. 45 soir.5* Voire Paris et Creil, par Chantilly.

Le train K*542 circulant les dimanches et fêtes entre Gonesse et Paris sera mis « marche tonales jours. Départ de Goaesse 4 5 h. 25 et arrivée 4 Paris 4 5 h. 48 soir.

Let)^inN*3l9partuitdeParis4 8 h. 20 soir ne se gareraBlns4HUien-le-Bel ; il arrivera 4 Creil 4 9 h. 4 9 aa lieu te 9h. 51. '6° Entre Paris, Aulnay, Gargan et Dam •

martiu. ,Le train N* 245, pariant de Paris 4 7

heures soir, sera rmdn direct jusqu’au Bunrget.

Comme conséquwce, U sera: mis « marche « nouveau train qui partira de Paris 4 6 h. 43 et arrivmra 4 Aulnay 4 7 h.45 soir.

Les trains 206 et 208 arrivant 4 Paris respecfivement 4 T’a. 27 et 8 k. filnedes- sarviroat pins La Plaias ; cette station se­ra testervie 4 6-minutes plus tard par le train N* 274, arrivant 4 Paris 4 8 h. 52.

D’accord avvc la Compagnie de TEst, nn Bouveau train sera mis « marche mtre Paris, Aulnay et Gargan et retour. A l’al­ler le trainK*269 partira de Paris45h. 40 matin et arrivera 4 Gxrgan 4 5 h. 43 ; an retour, le train 270 pariira de Gargan 4 6 h. 06 matin et arrivera à Paris 4 6 h. 30.

Le train 272, partant de Gargan 4 7 h.42 matin, sera avancé de 9 minutes au dé­part de Gargan et sera modifié jusqn’4 Pa­ris on il arrivera 4 7 h. 42 an lieu de 7 h. 50.

7° Entre Creil et Beautais.Le train N* 1005, parlant actnellemMt8 h. 42, sera re ardé de 49 minutes an

départ da Creil eû il relèvera la corfes- poadance de Teipress 4 08 venant de la di­rection de Comp'-ègne. Par suite la train 4005 ne dossemra plus les P. A. des For­ges de Montatairr, Villers Saint-Sépaicre; Mouireuil et Therdonne.

8" Entre Creil et Amiens Le train N° 44, vsnant de Boulogne et

arrivant 4 Creil 4 4 heures soir, n’arrêtera 4 celte gare que pour descendre des voya­geurs.

Le train N” 53, partant de Crml 4 5 h.42 matin, sera prolongé jnsqu’4 Saint- Jnst cù il arrivera 4 5 h. 54.

11 sera mis en marche un nouveau train entre Creil et Clermont et retour qui sera spécialement affecté aux abonnés hebdo­madaires qui ne seront plus admis dans le train 24 partant de Creil 4 6 h. 49 ni dans le train 332 partant de Clermmt 4 7 h. 47 soir.

Ce nouveau train pxrtira de Creil 4 6 h.53 pour arriver 4 Clermont 4 7 h. 47 s}ir : au retour, il quittera Clermont 4 7 h. 27 et arrivera 4 Creil 4 7 h. 57 soir. — Ces deux trains desserviront Laigneville et lianconit.

3^ “ __'fruBniHâmrf-

ritosptstejnijmi;4

C heinlix d e F e r d a X o rd . Modifications apportées an Service des

Trains te Banlieue 4 partir du 4** mai 4906.

4<f Entre Paris, Erment et .irgenteuîl.Le train N* 894 partantde Paris 4 7 h. 4 8

du soir stra prolongé jnsqu'4 Sannojs ; il desservira Erghien et Ermont.

Le train K* 844, partant d’Argenteuil 4 u h. 27 du matin, sera prolongé, du l ” Mai au 4 5 Octobre inclus, de Sannois 4 Er- moat où il corre^adra avec le train 702 vers Paris^ord.

Les voyageurs seront admis dans le train 884 partant d’Epinay 4 6 b. 52 du matin qui jusqu’ici circulait 4 vide d'Epi- nay 4 Saitt Denis.

2* Entre Paris, Enghien et Ermont.En vue de faire frce anx déparis nom­

breux. vers la banlieue, les dimanches et fêles en été, dans la matiaée et immédia­tement après le déjeuner; il sera créé en­tre Paris et Ermont s'x trains nouveaux qui partiront de Paris à 9 h. 65, 40 h. 25, 40 h. 55 matin, I h. 20,4 h. 55 e l2h . 40 oir.

Entre Paris, Beaumont, Creil par Pontoise.

Par suila da prelongement du train 891, entre Saint-Dénis et Sannois, comme il est dit plus haut, la iraia N“ 627 partant de Paris 4 7. 30 soir ne s’arrêtera plus 4 Enghien.

Le train N* 775, partant de Parisâ à 6 h. 20 soir sera dédocblé par un train partant da Par s 4 6 h. 24 ; ce dernier ne dépas- se-a plus Vslmondois du 1“ Mai au 45 Oc- tob' e.

En sens inverse, le train K° 754 partant wtuellement 47 h. 33 matia. de Beaumont en semaine, ne partira pins queda yalmoa- dois ; Usera remplacé entre Beaumont et Va’mondois par un nouveau ira’u qui vien­dra de Creil et quittera Beaumont 4 7 h. 28 matin ; le train N* 754 partant da "Valmon- dois47h. 48 matin desservira Mériel.

Par suite du maintien tcu e Tannée du rain N* 858, pariant d'Ernaont 47 h. 36

matin, le train X» 654 arrivant à Paris 4 7 h. 44 matin n’arrêtera plus 4 Ermont, en semaine dn 4" Novemh-n au 31 Dé­cembre et du 4"’Janvier a-. I 'Avril.

Le train 626 partant ds i'onloiseeù il 4 5 h. 31 soir, sera retard i(l 6 minutes au départ da Pontoise relévar.'; a rorrespon- danœdu train exprès N-1 i ■ : nant de D ep pe. Par su te lacorre=ioo unce da train et Argentanil, sera repoT’.i'i; da tralu 873 626. vers Sannois(6 h û i ; sur le train 815(6 h. 40). ,------4° Entre Paris, Uontsou 'i et Beaumont

Revue Horticole.

 pfrsâ fr geriuéei?veir ce qùT tensfror ' cx'réarilé. d ^ e te u t^ M i, « pureyote, lesju léiiam teut » ê rsv w lau frit» tes InintL M r m enât cËns Mtre arbre uu loaB&èsfaraatefare sn ltn il ebsttcle .4 ia dût ibéiioa

Nos effo. tVdo-.vent éùssi tendiu i abin- tenir tes riunifieatieBs fructifères aussi courtes qwiH>?sibles;‘«t comme nous ven- ions alitBsntvr fo-temtet ro t fruits, ceux- ci devrout occuper te point terminal decre ram ficafiona.

Tous tes arbres frratiers ferment fenrs MgaMt de frnetificati« te la mémo f r ( « ; socs Tinfluvnca d’un«alim «‘a'ioa motiè- rée. et aussi, très probÉibleicent d une ali- maotatim de natnre particnlièn encore mtl connue; mais toaa n’arrivent pas u résultat fiual. tafloriirèn,aub«tduméme temps; ainsi, te poirier et 1e potSMiter met­tent raretrent moins de doux en trois an­nées pour organiser leurs houiens 4 fisurs ou mères 4 fruits, alors que te pé her et te rigue font iNjenrs ce travail dans Taspaee d’on^ sente annéfa.

Preaens le cas où les choses marchent lo plus lentement, il dévient plus facile de Iss snivra.

Sur 11 jeune ramifiatioB te poirier née au printemps dernier, âgée d’na an, par euBséqunt, nous trefavens dèjV les em­bryons dss ramifieatièBs fntares, < e srat tes yeux ou benrg oni Ceux do ces yeux qti ne reeenw t « ’om alimnifrti« modérée (ce ne sont ^ ceux placés vws Trxtrémilé, nous le savons) ne s’ouvri- roat pas; nous les iverroM seetoBMnt s'ostourm: de quelqndk fenilles, il sentele

^qae ces feuilles, cote rfrifluence d’nn Qtriairage fritente, l^nr èlaberent une nourritaru spéciale dént ils profitent di- ; Testament; au bout l'u n an. ces yeux restés < « neurriee ^ comme « dit ÿts- tement, se nuntreitt « peu plus éloignés da leur rameau; ils sdnt enx-mèines pl-is ^os. pins renflés i lé ir bise, teur-extré­mité Oit pointOT; 4 cet état, on les ^ipèHe ssavent des daris : appelons-les plùlôt yeux mixtes. i

l ’année suivante, tes venx mixtes ÿ û r e T i i iv t les mfiiiet èoncütions d’alimra- tiii-AU medérèe-e'MtoÉrènt eneere de non- veTas teeilleeali«li*nfiréU t'm lSÈtes ramiSeatieM, a^ nénuleeretrocrans, 4 te fin de l « r troisième anto'mae. coiuldéra- blernant transformés; gonflés, arrondis supérienrenMnt, te couleur brnne ; ce s u t alers les méros 4 fruit'quf cous donieroiit iaiariablemrat autant de bouquets de Sears.

C’est 14 le bnt, non ssuiem«t du rac- coiircissement dss rameaux que T « prati­qua aujourd’hui; mais toutes les opérations de :a taille. esUes d’été e t M lles d’hiver ; les pruniéres préparent. Iss secondes eoc- pléient.

P. PXKROItXX.'V.Agriculture de la Région du Nord).

in irfri.ilv M itte tneeun e r t e è g t e ë ^ f ; •'diedieçgrfienaeiaiweiiiiteB .reggpE uqwi^MsiM Begam te n n sM w S fB » - gfai^ B, H u e fi’kgMaBMu. o.iMNte |u r rmruiiiàfisufe a |i te l> - visiter ^

H O U D E C O T E L L E ^ ^ pI S ^

Sîiat-Hilaife-de-Voust (Vendée), 6 nc-veabre ISOÿ. Atteint depuis six ans de d o i i l e n r s d ’e » to m a e . j'avais essayé tous les remèdes sans qu'un seul n ’ait apporté de soulagement. Ayant eMendu parler des Pilules Suisses, je Isa ci immédiatement essayées. 2 boites «ôt suffi pour me guérir. François ChiOLLEAU (Sig. leg.), Sté Hertzog, 28, rue Gramont, P ans.

G u é r is sa d’o a avoag le d e 8 0 aeà.Devenu aveugle, M. Clovis Govin. an

r jn t de Metz (Somme), désespfrait de

U mnt mmB î ^ t e S B r i m i .

La surprxM te noi caeqpatrieles u. été grande CM’jèws é v i e r s « censising qu’une jeune fiUa ^ nous avions s o s te depuis de la in e s annérs venait te reeen- ’ vrer lubjteÉMnt te s « s t e Tente.

P résulte. « effet, t e no tre«quéle mm Mademoisefle Hermand. lasse de (onfBlr, avait éeritspmianéawtéPèris, auDuaè- teur de l’Dmtitut de te Surdité, 49 .rne te te Pteinière. qri loi envoya anssiiét gratuHe- ment le Journal la Médecine des sem expose te fraitonref da te -Surdité par TAùdipiieae invisâite ; ce journal est dn reste, cnve;^ tans frais 4 toutes tes p « - nmnes qui m frmt te denmde.

Après avoir fait lad ^pKestiens dn merveiltenxapifrnU éteetriqne et après quelques srinsspédanxrelativemeat 4 une maladie chiraiqM te te gorge qei anait. - précédé te shrdité, cette jem e fiTe c « s - frta avec bnfaeur que te perception des sons devenait meilteure.

Aujourd’hui ceux qui Teotonrant cote tasrveillés te te fic«de iit elle « tend le moindre brait et HademoiscTe Hermand est toute keinase d’u e guéritM fru teqaelte rite ne co n ta it plus. ’’

J. SEBERTArchitecte 4 Qrea,

Ftetéic d Sca/û fr murii ét 8 4 i 2 k. tl ée 2 à ( k 1 ,rno te teÀ riB 9C poihrndnC kM ^ Z

Le GétmU : SAjancx-ai.snnitAua. .

iSi^ I merieildutiaistnliveetCommuidala . »-4«.pteeeinraM ri4frTDte.:sialtk- ^

AMTOWai JDSICUniEI

AxnCLS le '1 •

Moniciirt 1m AetionaoirM de la « So* eidté ElfêCrigmê dé C k a ^ î ÿ pour U fafavieoâaa 4m «ceonnilatMns «t l'édoi n n des Tilles »» sont eonvoqués :

I. E n astemèîéê généraU ordmnir* pour le 30 Moi 1906 à trots heves d» relerée, i Paris, 52, Avenue de CUchj.

Oonaa vv jocb. :1* Rapport da Consoil d'adminisfro**

tiou sur les opérations sociales do l'e* xercice t9(S ;

2* Rapport da commissure sur les comptes du même exercice ;

3* Approbation, s’il y a liea, des comp* tes et du bilan de l'exercice 1905 et fixa* tien du dividende ; quitus aux admini^Irateors. "

4* Nominatiou d'un commissaire des comptes pour l’exercice 1906.

IL — E n astembUe générale extra~ ordinaire pour le même jour mercredi 30 Bfai lOCio, à trois heures 1/2 de rele*Tée, à Pari«, 52, Avenue de Clichy.

Obd&x fit; jotnt :1* Changement dn siège social ;2* Examen de la sitnaûon à ce jour ; ^3* Mesures à prendre en conséi^aence

et notamment dissolution ^ticipce de la Socié'é, nomination du liquidateur et détermination de scspouvoirs-

Aux termes de l’article SI | l*' des statuts, ont le droit da pirendre part à l'assemblée générale tous propriétaires de deux actions au moins, et ceux qui, par suite de g re i^m ent, réunissent ce chiffre d'acdons.

Les prepri^taires d'actions au porteur et les actionnaires qui usent du v o i t de groupement doivent déposér leurs titras et les pouvoirs cinq jours au moins avant rassemblée, 52, Avenue de Clichy (arti* de 31, des statuts.

iaS Conseil dZAiTnimstrationo

Société GénéraleiT favoriser te développemrat dn Com­

merce et te TlndostriecB France.

Assemblé» Générale annuelle du 30 mars é906.

Q a e lq a e s p r l a c i p e s g é n é ra n m d e l a ta iU e .

Les anciens jarliniars, dans lenr igno­rance des phénomènes physiotegiqaes, rap­porterait tint 4 la sève, et lenr grand prin­cipe éia’t celui-ci : La sève ccerche ton- jours 4 monter d’aplomb. Anjonrd’hai, nous lavons, qn’en réalité, te séra eiroote dans tout sens ; néanmoins, il est vrai que le principal cocrant sévrenx, celui qui dé- t-rmine Taccroiisement en longoenr u di­rige de bas en faaut et tend 4 te verticale-

La connaissance des principales condi­tions qui isfluent sur la vigueur des ramifi­cations est pour nous d’une importance con­sidérable. Voulons nous, par exemple, faire développer, stur nn rameau donné, des pousses vigourMiesf Pour at'eindre ce résultat, nous pouvons d’abord préparer le rameau en le plaçant dans la position verticale, en le dégageant de ses voisins, pour qu’il soit pins élevé qu’eux ; puis, nous réduirons le nombre des pousses, ne conservant que celles dont nous avons be­soin. et celles-ci seront toujours choisies aussi prés que possible do Toxtrémicé.

Dans le cas eù ees pousse» vigoureuses doiveal se trouver sur un autre point de rameau vers le milieu ou 4 la büe, nouî viendrons couper juste au-dessus de ce point, afin de le rerdre terminal, d’ifi faire a'tiflâellement une extrémité.

Voulons ECUS, aa contraire, des pous­ses faibles? Faisons Tinverse, cherchons à diminuer l’activité de Taccroissénent, dans notre rameau, en Tabaissant et en Técartant de la posiiiou verticale pmdant son développement; puis, laissons-lui toute» ces ramifications, nous choisirons ensuite coUo» dont la vigue r répond 4 ce que nous dem ndons; nons savons déjà qu’elle'- sa trou’'eroBt 4 une certaine distince de Ttx rém'tê.

Si ces pousies doivent être obtenues ailleurs, vers la base daramere, il nous faudra couper 4 une certaine distance au- dessus de ce priât.

Ce sont là, précisément, les denx prin­cipaux objectifs de te taille ; obtenir, 14 où elles sont atiles, soit des pousses vi- gouronses, une végétation active, soit des pousses faibles, uno-végétation modérée. Nous avons besoin des prtmitees reur ésaiblir rapidement et solitement te char­pente de Târbre ; d’autre part, il nous faut des. pousies faibles sur cette charpente, parce que ce sont ccfiles-ci seulement qui peuveat fabriquer des fruits.

La coupe d û rameatu doit sonvwt in- terveair parce que ces denx sortes de ramiflcatious deirent occuper de» peints déterminés pour la bonne réparlitim et 1a bonne ntilisatten du fravail de notre ma­chine végétale.

Les Actionnaires de la Société Ginéra'e se sont réunis « Assemblée générale, le vd.lredi 30 mars, pour recevoir commu- Bi ation des résnluts et statuer sur las ar.iptes de Texercice 4905.

Le rapport du Conseil d’adminlstrat'oa exoose que ees comptes marquent un nou- ve-ajcagrèa dans tefriouvemnt des epé- r^tlofs traitées par te Société Générale. L? movreme'tt ginénd de la Caisse s’est êl.»7 é 4 65 milliards, représentMtmnmie-' Tûtient m ^ « te 246 mUiioas par jotnr et usi> augm«tatian ds'44 milliards sur te mcavement général pradant Tannée pré­sidente ; celui du Portetenüla CMumcial »« en wmvelte aogmutation et passe da tf- à 29 nûlliards, représentés par pins de 46 'aillions d’effets ; les encaissements de CcLCons « t atteint 6fô milliou et-Ies Or­dres' de Bourse u e«qilaBt2.55ymilltens en aegmentations très sensibles s u las chiffres de Texnrdee antérieur. Le solde d >$ Compte de Chèques, au 31 décembre 49s». est de294.451.636 fr., représMtés par 438.238 cMnptes Le solde de ces mê­mes comptes, au 28 février 4 996, s’élève 4 3?'J.30ÿ 354 fr.Eafin, le montant des Dà- pr«.s 4 E -héance fixe se chiffre par plus de 433 millions de francs.

Le daut Texercice, la Société a eneere a2 £iq.euté son réseau de guichets par U C:iati« ; en prorince, d'une agence et te î ’ù bureaux’rattaché» ; 4 Pari», de. 5-hu- rf hux da quartisr, p’us un bureau da 4ian-

; et dans la banlieue de deux bureaux. 1,-j nombre total des guichets s’élève main- tîtant à tyS4. La plupart de ces gmchets sont pourvus d’un service de locafion de ccif'es fort!, da plus en piùs apprécié du pcb'ic et qui donne les msilleors résultats.

La Ssciété a participé, en 4 905, aux af­faires tes plus importantes qui se'sont traitées sur la place de Paris, notannnent au-x suiTanfes : émission des ObUgat ons du Gouvernffliext GéLéral de l’Algérie ; emprunt de là Ville do Pari» 4905 ; lijni- datka da la Cie du Canal Interocéanique de Panama èt émission du solde des Bons à lo u ; emprunt 4 4/2 6/0 du Gouverne­ment du Siam ; Actions du Chemin de Fer Electrique souterrain Nord-Sud de Paris ; conversion des Rentes 5 0/0 du Royaume de Roumanie ; emprunt ottoman 4 0/0

4904-4905 ; loterie des Associatiots de te Presse ; angmeatation du Capital te te Banque I- R- P. des Pays-Autrichiens ; emprunt 3 4/2 0/0 da Gouvernamot-te - llndo-Chine ; emprunt Japonais 4 9/0 49(B.

En ce qui concerne te Participation Gua­no et te port de Callao, aucun chaagemnt n’est survenu, depuis la dernière assem- hlée 'générale. Le port reste très fréquen­té et, comme les années précédentes, ses produits ont fbnnii un appoint au coé^tu de Profits et Pertes de te Société.

En résumé, le Conseil n’a qn’4 se touor des résultats financiers, ;de l’exercice al comme symptôme de teconfianea qu’ia^ im te Société G é i |^ s ,9 signala qte daS.OOO’ 4flàf904.temifinbredrêic»ioraanM mS.- fiM i 4 45.090 an 34 décembra 499Bï £h ' rapj^rt rappelle, 4ce s^eL que TAssmu- blén générale estraordiuindu 20 avril 4905 a autorisé le (tenseil 4 pwtar te capi­tal te te Société i^OtjfrdllieBSM unoionr plhsieurt fois.ilaprapére m rifiéteêiih- angmriifrfian à (te eflkctaée toènmi fM6 ; te seroxde sera réalisée incessamm«L

Lés bénéfices nets da 1a Société y c prit la prélëvemret sur te prime versée par les actionnairaa, de te tmnme dé 468.750 francs destinée 4 égriiser la jenis- sanceMtre lesactionsnou’velles e tw an- dennes, et |e reliquat du dernier exMCice, se.sont riavés 4 8:579.040 fr. 28 c., sur tes-- quels 3.125 009 frantt ontété payés aux actioBBafrM le 4*v octobre 4905.

Le Conseil a proposéte distribuer à par­tir du 4" avTü4906, Sfr. 75 c. netsparaC;^ tion, déduction faite de l’impôt sur te ra- v « u . et de mettre 424.483 fr. 44 c. 4 te réserve qui, en conséquence, te trouw a portée au chiffre de 26,727.984 fr. 63 c.

Les Censeurs-Commissaires, dans leurs rapport, exposent qu’ils ont suivi tories lia o;iératH«s de la Société, et que, durant toute Tannée, ils ont examiné les livres r i constaté la cancordance des écritures avec les différents postes du bilan. Ils déclarent, « terminant, que les propositions du Con­seil pour la répartition du solde bénéfi­ciaire leur paraissent devoir obtenir te pleine adhésion des actionnaires.

L’Assemblée a approuvé les comptas te Texerdce 4 905 et adopté la proposition du Conseil relaûve au dividende. Elle a ré^u administrateurs MX. Boùllat et Bourget ; nommé administrateur, m remplsêODent, de M. Crazannes, décédé, M. le cemte' René te Matharel, et nommé censeur X, Corné'is de Witfc

Ces résolntions ont été votées 4 l’unani­mité.

Ezlgez la s v les Billets S é r i é R o u g e e t J a u n e « i .- d e S t - P O L - s u P - I W F ®

I I S à fsa r Bnfasts Taiertultax, utms et iXjtm S e u l e «zxiJl •« tre t o » e e e g jrom la tm « o . :

la 14 AoO t pa'oehalm en un seol tirage.siJti4 0 0 .0 0 0 1 OKun; 2 5 0 .0 0 0 ,5 0 .0 0 0 ,2 0 .0 0 0 ü s» a )n > o 5 0 0 0 i1 f

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Page 4: it »le peTem te - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1906/bms_js_1906_05_13_MRC.pdf · La Syniirat da la Pressa parisisiiBe cous communi(iae la cola suivante : Saisi d’oca piainta

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qiMulroplc i 'Paris, le quatre loai 3ul neuf C| f s> «t W'00X3 sioû. £:.â.Çgferld receveur qui a perçu leadcoits.

M.:0 »riiA X .W B r, sen l^^ ras t re?- •ôniàMèTce'mêarant à Pari*, Roule - ard Denlin* a* 5< et :^ous'euc Lsaaa«i c*>-tn*upAUi BoB^ae-enr'M âr, 9, rueùfeS p in ^ oommanditrire.

•Oû » 3 ^ <y»^mnn accord, disfOus à partü^'dtrat jour quatre mai, )a gociéié exiâtant entr'ecx, deptiî* la moi* d* lùiUft,'iÂüiÂ*'nf eeat cmq, sou* lurai»' c

l 11 iiraitiirn ïïnriilfit Jai~iB*B.T • et ' I • , avec âège à la Chaprile-eo-S®r-

: l ex|doitatioa d'uoede course*

- KUwumé llouâieur LEVADB, Dinc- l i u r : ^ Ceateotieux k Paris^ m e Saiot yMgÿytîn B* W, avec les jpouvo'r* les* j la s amples et les plus éteodos.' Deux originaux dudit acte ont été

déposfts ^ ft««A tnai courant, ^ un au «effe du Tribunal de Gocoiuerce d» l^n lis et raatre k la Justice de Paix de

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