J Radiol 2007;88:1484-1505© Éditions Françaises de Radiologie, Paris, 2007

édité par Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés

~r-------M-e-r-c-re-d-i-2-4-0-c-t-o-b-r-e

Séances de cours

Cours approfondi: Imagerie neurologique

IMAGERIE EN NEUROPEDIATRIE: PATHOLOGIEENDOCANALAIRE CHEZ L'ENFANTJF Chateil (1), C Adamsbaum (2), B Husson (3)(1) Bordeaux - France, (2) Paris - France, (3) LeKremlin-Bicêtre - France

Modérateur: Sandrine Molinier

gique du patient.Discuter les principaux diagnostics différentiels.Proposer un protocole IRM permettant d'optimiser cette démarchediagnostique.Messages à retenir: L'imagerie, quelle que soit la technique choi­sie, ne présente qu'un intérêt mineur pour établir le diagnostic positifd'infection du système nerveux central. De ce fait, elle ne conservedans ce cadre que de rares indications en urgence.En revanche, elle a un rôle majeur dans le bilan étiologique d'unetelle infection, optimisé par la réalisation d'une IRM.La connaissance du statut clinique et biologique du patient permet leplus souvent d'évoquer une gamme diagnostique étiologique devantl'existence de signes sémiologiques IRM qu'il faut savoir rechercher.

Mots clés: Système nerveux, infection - Méninges, infection­IRM

Durée: 45 minutes

Neuro-imagerie

08 h 30

5140

IMAGERIE DES INFECTIONS DU SYSTEME NERVEUXCENTRALSMolinier, V DoussetBordeaux - France

Objectifs pédagogiques: Rappeler le rôle de l'imagerie en cas desuspicion d'infection du système nerveux central.Préciser les gammes diagnostiques étiologiques à évoquer dans cecadre en fonction de l'âge, du statut immunitaire du patient et de sonbilan biologique.Décrire les signes sémiologiques radiologiques et plus particulière­ment IRM devant faire évoquer ce diagnostic.Proposer une démarche diagnostique étiologique à partir de chacunde ses signes sémiologiques, en fonction du statut clinique et biolo-

Durée: 45 minutes

Durée: 45 minutes

Rachis interventionnel

Modérateur: Philippe Brunner

08 h 30

5119

09 h 15

Objectifs pédagogiques: Décrire pas à pas les techniques d'infiltra­tions rachidiennes sous guidage scanner aux étages cervicaux, dor­saux, lombaires et sacrés.

RADIOLOGIE INTERVENTIONNELLE DU RACHIS DE A A ZA Gangi, X Buy, TMoser, JL DietemannStrasbourg - France

Objectifs pédagogiques: Connaître les différentes pathologies:pathologies du disque, pathologies de l'arc postérieur et pathologiesdu corps vertébral.Connaître les indications de traitement pour chacune de ces patholo­gies.Connaître les différentes techniques de nucléotomie.Messages à retenir: Traitement par nucléotomie pour les patholo­gies du disque.Traitement par vertébroplastie pour les tumeurs osseuses.

Mots clés: Rachis, radiologie interventionnelle - Vertébroplas­tie - Biopsie

Radiologie interventionnelle

TOUT CE QUE VOUS AVEZ TOUJOURS VOULU SAVOIRSUR LES INFILTRATIONS RACHIDIENNES SANS AVOIRJAMAIS OSE LE DEMANDERP Brunner (1), N Amaretti (2), ECazaux-Faugeron (1),PChevallier (2), SHoullier (3), P Niccolai (1), A Salihovic (1),JM Cucchi (1), A Gangi (4), MY Mourou (1)(1) Monaco - Monaco, (2) Nice - France, (3) Ajaccio ­France, (4) Strasbourg - France

Durée: 45 minutes09 h 15

Objectifs pédagogiques: Revisiter les méthodes d'exploration ducanal médullaire chez l'enfant.Indiquer les malformations les plus fréquentes actuellement rencon­trées, en incluant les données anténatales.Développer la stratégie diagnostique dans les principales pathologiesrencontrées chez l'enfant: tumeurs intra et extra-médullaires, trauma­tismes, pathologie inflammatoire.Messages à retenir: L'échographie constitue une technique d'ima­gerie importante chez le nouveau-né, avant un mois de vie; l'IRMest ensuite irremplaçable.La présentation des dysraphismes a été modifiée par le diagnosticanténatal ; chez l'enfant, les dysraphismes occultes sont actuellementles plus fréquents.Les tumeurs médullaires, rares, sont dominées par les astrocytomes,les épendymomes sont exceptionnels. La plupart des tumeurs extra­médullaires primitives chez l'enfant se rencontrent dans lesneurofibromatoses ; les métastases leptoméningées des tumeurs céré­brales (PNET) sont fréquentes. L'extension intracanalaire d'un neu­roblastome pararachidien est possible et parfois révélatrice.Chez l'enfant, le traumatisme médullaire peut être isolé, sans lésionosseuse patente.La pathologie médullaire inflammatoire n'est pas rare, le diagnosticétiologique parfois difficile. La réalisation d'une exploration conco­mitante de l'encéphale permet la recherche de lésions associées.

Mots clés: Rachis, malformation - Moelle épinière, tumeur­Moelle épinière, inflammation

1488