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Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

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Page 1: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Filiale Restau Rail

S.N.T.F

ESCLAVAGISME

AU XXI Siècle

EXPLOITATION DES AGENTS

LOI DU SILENCE – LA PEUR

ESCROQUERIE - HOGRA VIOLATION DES DROITS DES TRAVAILLEURS

BASTA

Page 2: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

CAS DES AGENTS VICTIMES DE

REPRESAILLES, DE SANCTIONS

INJUSTIFIEES, D’INTIMIDATIONS,

DE PRIVATIONS DE LEURS DROITS

Page 3: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Dans cet enregistrement, je conseille aux internautes de suivre

attentivement les aventures dramatiques que vivent au quotidien les

travailleurs de la filiale RESTAU RAIL, en citant des cas avérés,

documents à l’appui. Ces agents exercent dans la crainte de perdre

leur emploi, d’être sanctionné à la moindre revendication de leurs

droits ou de contestation de décision abusive. Ils vivent et travaillent

dans des conditions précaires, la peur au ventre.

Cela me rappelle la réunion que le ministre du travail Mohamed

BENMERADI avait animée au siège de son ministère, largement

commentée par la presse nationale le 02 Février 2014.

IL a eu le mérite de mettre à nu le dysfonctionnement de la gestion

du monde du travail caractérisée par des infractions à la sécurité

sociale, le régime indemnitaire, les salaires et les procédures de

recrutement, l’inobservation des lois sociales de 1990 etc…, ciblant

en particulier les entreprises privées.

Avant lui l’article du quotidien EL WATAN du 28 Juillet 2010 avait

déjà traité le même sujet. (consulter ces deux articles reproduits ci-

dessous)

Cette vérité je la traduis, je l’évoque en vous décrivant ce que

subissent les travailleurs de la filiale RESTAU RAIL, établissement

étatique, sous tutelle de la SNTF. En toute connaissance de cause,

je cite les cas avérés de certains agents incriminés à tort dans des

situations burlesques inventées de toutes pièces, des sanctions

abusives qui n’ont pas leur raison d’être, la privation de leurs droits,

qui relève d’une gestion abusive, la rétrogradation de grade sans

justification aucune. etc.. Je vous laisse le soin de découvrir ces cas

isolés en parcourant les documents que j’introduis à cet effet, dans

l’attente de vous faire découvrir d’autres cas dans le cadre des

investigations à envisager lors de la présence de la commission

d’enquête.

Pour peu que la Direction Générale de la SNTF ne fasse pas

obstacle. Jusqu’à présent elle a toujours conservé le silence aux

moult requêtes qui lui ont été adressées demeurées sans suite,

protégeant le PDG qui agit en toute impunité.

Page 4: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

C’est la raison pour laquelle je fais appel à monsieur le Ministre du

travail, le ministre des transports d’avoir l’amabilité de bien vouloir

nous recevoir au sein de leur ministère, afin de débattre de cette

situation qui porte un préjudice aux travailleurs, une situation qui

ternit l’image de la SNTF et trouver la solution idoine pour mettre

fin à une gestion colonialiste qui a trop duré au sein de la filiale

Restau Rail.

Page 5: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Articles de presse sur les travailleurs

victimes de « l’esclavage moderne »

Quotidien EL WATAN » du 28/07/2010

ET

Les chiffres de la honte du Quotidien

« LE CARREFOUR D’ALGERIE » du 02

Février 2014.

Ces articles reflètent exactement la situation cauchemardesque

que vivent au quotidien les travailleurs de la Filiale RESTAU

RAIL.

Je prie nos journalistes de prendre très au sérieux cette affaire,

en faire la une de leurs quotidiens afin que les ministres

concernés interpellés à maintes reprises sortent de leur

mutisme, de leur silence et arrêter cette hémorragie qui risque

de prendre des proportions dramatiques. gents fdiniront par se rendre justice ezux mêmes ava nt que les gents ne fassznt ezux m^meqs justiuce

Qu’ils accordent une attention particulière aux misères que

leur fait subir le PDG.

Page 6: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

D O S S I E R

El Watan - Mercredi 28 juillet 2010 - CONDITIONS DE TRAVAIL DANS LES ENTREPRISES PRIVÉES EN ALGÉRIE

Les victimes de l’esclavage moderne Un travail à risque dans des conditions lamentables

PHOTO : B. SOUHIL

Pas de contrat de travail définissant le statut ni la relation de travail entre l'employé et son

employeur, pas de sécurité sociale qui est pourtant un droit consacré par la loi algérienne.

Telle est la triste réalité du monde du travail en Algérie. De nombreux salariés travaillant

notamment dans des entreprises privées en souffrent. En dépit du «contrôle» exercé par les

agents de l'Inspection du travail, de nombreux employés, qui travaillent parfois dans des

secteurs à risque, continuent à trimer» dans des conditions lamentables. L'application de la

loi du travail exigeant des employeurs de déclarer les travailleurs demeure utopique. Les

travailleurs, eux, sont soumis à un régime d'exploitation renforcé par certains employeurs

avides d'un enrichissement rapide. Nous avons rencontré certaines victimes de cet esclavage

moderne. Le témoignage d'un jeune père de famille, que nous nommerons Kaci pour le

protéger, est édifiant. Père de trois enfants, Kaci subit de véritables supplices depuis une

année. Employé en tant que chauffeur dans une entreprise privée implantée dans un quartier

populaire de la banlieue d'Alger, cet homme ne bénéficie d'aucune couverture sociale. «Je

connais mes droits et je suis conscient du risque que j'encours chaque jour. Mais, je suis

contraint d'accepter ce travail. Je n'ai pas le choix. Je dois nourrir mes enfants», déplore-t-

il. Il n'est pas le seul à subir ce traitement. Notre interlocuteur nous cite les cas de ses

collègues. Dans cette entreprise d'importation et de distribution de produits cosmétiques où il

travaille, une vingtaine d’employés évoluent dans des conditions déplorables et sans aucune

couverture sociale. «On est trois chauffeurs. Aucun de nous n'est assuré. On parcourt des

milliers de kilomètres. On travaille de jour comme de nuit. Avec tous les risques qu'engendre

ce métier, notre employeur ne se soucie guère de notre situation», dénonce ce chauffeur

obligé d’accepter cette tâche, d'autant que le phénomène du chômage est de plus en plus

important en Algérie. Selon lui, le manque d'emplois permet aux employeurs de piétiner les

lois en vigueur auxquelles ils substituent leurs propres règlements. «Cela fait une année que

je suis dans cette Eurl. Mon employeur nous a promis de nos déclarer à la Sécurité sociale.

Nous avons même déposé des dossiers d'assurance. Mais jusqu'à présent, rien n'a été fait»,

lance-t-il. Côté salaire, c'est la catastrophe également. Selon lui, les employés de cette

entreprise perçoivent des salaires misérables qui n'atteignent même pas le SMIG. «Certains

travailleurs ayant plus de sept ans d'ancienneté sont payés 14 000 DA le mois. Mais ils

acceptent sans rien dire. Ils ne peuvent pas réclamer de peur de se retrouver de nouveau au

chômage», raconte notre interlocuteur. L'autre drame de cette catégorie de travailleurs est la

prise en charge des soins de leurs familles. N'ayant pas d'assurance sociale et pas

d'allocations familiales, ces pères de famille sont toujours dans l'embarras quand ils doivent

soigner l'un de leurs proches. Ce sont toujours des dépenses supplémentaires que leur maigre

revenu ne peut supporter. Le témoignage de notre interlocuteur est encore plus choquant.

Pour fuir la déclaration de ses employés à la CNAS, son patron recrute même des retraités en

quête d'un second revenu. Malgré leurs conditions précaires, les 20 travailleurs en question

ne comptent pas dénoncer leur employeur. «On ne peut rien faire. S'il (le patron) ose recourir

à ce genre de pratiques, c'est parce qu'il y a quelque part des personnes qui le couvrent »,

estime-t-il.

Djedjiga Rahmani

2e Article paru sur le quotidien « Le CARREFOUR D’ALGERIE du 02/02/2014 »

Page 7: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle
Page 8: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Chapitre 1

Requête des travailleurs de la Filiale demeurée sans suite

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Page 11: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Collectif d’agents roulants et sédentaires Alger, le 05 Janvier 2014

Filiale SNTF – RESTAU RAIL

Monsieur Le PDG de la Filiale

SNTF – RESTAU – RAIL

12, Avenue de L’ALN

HUSSEIN DEY

Objet / Revendication légitime de nos droits

Réfer / Notre requête du 10/12/2013

Monsieur Le P.D.G

Nous collectif, agents roulants et sédentaires de la filiale mère SNTF « RESTAU RAIL »

rappelons à votre attention notre requête citée en référence portant sur le volet social,

concernant principalement les indemnités auxquelles nous ouvrons droit et qui ne nous

sont pas mandatées conformément aux textes de la convention collective. Les barèmes et

les taux appliqués ne sont pas en droite ligne de ceux de nos confrères roulants des DRF.

(Direction Régionale Ferroviaire).

La discrimination et les mesures draconiennes dont nous sommes victimes que nous

imposent vos responsables administratifs, portent préjudice au déroulement de notre

carrière professionnelle. Ce qui nous amène à vous informer officiellement par le biais de

cette requête afin d’y mettre un terme et prendre les mesures appropriées.

Nous vous demandons à cet effet de vous y conformer scrupuleusement aux articles 1-

2-3 et 4 de la dite convention qui donnent des précisions nettes, claires et précises.

L’article 3 stipule notamment que les dispositions de la convention collective s’applique à

l’ensemble des travailleurs relevant de l’entreprise mère qu’est la SNTF, dont nous

faisons partie intégrante. Notre filiale est issue de la restructuration, réorganisation,

groupement, filialisation.

Cet article ne fait aucune distinction entre un travailleur d’une filiale et celui des autres

entreprises de la SNTF, qui doivent bénéficier des mêmes droits et avantages. Ce qui

n’est malheureusement pas le cas des agents de la filiale RESTAURAIL. En effet, non

seulement nous sommes pénalisés dans le taux de rémunération de la prime kilométrique

et autres primes assimilées par rapport à nos confrères roulants des autres

établissements, même les promotions qui doivent être prononcées dans les délais

prescrits par les instructions en vigueur, notamment celles de la Direction Générale

portant référence XP1. N° 28-05 /91 du 11/03/1992 ne sont pas appliquées pour nos

agents.

Faut-il vous rappeler que la prime kilométrique mandatée actuellement est insignifiante,

pour ne pas dire nulle et diffère considérablement de celle que perçoivent les roulants

des autres unités. Pourtant vous n’ignorez pas que nous sommes exposés à effectuer un

trajet plus long, pénible et astreint à de multiples contraintes. En conséquence de quoi,

nous revendiquons légitimement à ce que toutes les primes qui nous seront mandatées

(kilométrique – horaire – paniers – déplacement etc..) répondent à l’application sans

Page 12: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

réserve de la convention collective, et alignées à celles que perçoivent nos confrères

roulants des DRF.

Si l’on compare les salaires de base qui nous sont mandatés avec ceux des autres

confrères dans la même catégorie de grade, nous nous considérons comme des

travailleurs de seconde zone, des sous payés, effectuant pourtant les mêmes tâches.

Budgétairement, nous sommes pénalisés lourdement et cela se répercute sur les

conditions précaires que vivent nos familles dans la subvention de leurs besoins vitaux et

élémentaires.

Faut-il également vous signaler que lorsqu’un agent de la filiale adresse individuellement

une requête pour revendiquer un droit légitime, règlementaire, tel que prévu par le

règlement intérieur ou la convention collective, il est tout de suite indexé et exposé

directement ou indirectement à des exactions, des intimidations, à des changements

d’activités, qui s’apparentent à des sanctions machinées par votre chef de département où

il excelle en la matière. Cette manière de faire voulue, préméditée, consiste à freiner

toute contestation d’autres agents qui revendiqueraient la légitimité de leur droit. Il faut

que ces cabales cessent une bonne fois pour toutes et qu’il y ait lieu de prôner un

dialogue pacifique afin de trouver les solutions idoines et nous éviter des mesures

répressives.

C’est la raison pour laquelle nous vous adressons cette requête en anonymat dans

l’attente de vous remettre personnellement une autre requête explicite avec la liste

émargée, accompagnée éventuellement d’une délégation et des responsables syndicaux.

Cependant, copie de toutes les requêtes qui vous sont destinées seront communiquées à

qui de droit, y compris Monsieur le Directeur Général de la SNTF, les responsables

syndicaux de la filiale et de l’entreprise, sans omettre la presse, afin qu’ils prennent

connaissance des injustices que nous subissons. Victimes de disparités et d’inégalités

flagrantes dans les salaires perçus avec nos confrères d’autres unités exerçant les

mêmes tâches comme souligné ci-avant, nous sommes pénalisés lourdement.

Autres désagréments qui nous sont préjudiciables. La majorité, pour ne pas dire la

totalité des agents roulants et sédentaires ne sont pas dotés du règlement intérieur et de

la convention collective afin de nous situer sur nos droits et obligations. C’est ainsi que

des agents sont souvent sanctionnés sans qu’ils ne prennent connaissance du degré des

infractions commises et les modalités des recours à introduire.

Des licenciements et des sanctions ont été déjà prononcés à la première infraction

commise, sans qu’il n’y ait de récidivisme et sans donner la possibilité à l’agent

d’introduire le recours prévu par la législation du travail.

Compte tenu de ce qui précède, nous espérons que notre requête retiendrait

particulièrement votre attention, afin de lui accordiez la suite attendue, espérée.

Veuillez gréer, Monsieur le PDG, l’expression de nos salutations distinguées.

Signé : Le collectif des agents de la filiale RESTAU RAIL

Page 13: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Collectif d’agents roulants et sédentaires Alger, le 25 Janvier 2014

Filiale SNTF – RESTAU RAIL

Gare D’AGHA

Monsieur Le Ministre des Transports

Objet / Victimes de représailles et privation de nos droits

PJ / Trois (03)

Monsieur Le Ministre des Transports,

Nous collectif, agents roulants et sédentaires de la filiale mère SNTF « RESTAU RAIL », avons

l’honneur de porter à votre connaissance les conditions esclavagistes que nous subissons de notre

employeur, le PDG de la filiale RESTAU RAIL, ADJOUT Djamal.

Devant l’ampleur de son attitude dictatoriale, assimilée à une gestion despote en s’arrogeant et

s’autorisant le pouvoir absolu, arbitraire, semblable à celui d’un colonialisme qui impose la loi du

talion, faisant fi de la règlementation, de la convention collective de branche en vigueur et des lois

de République, nous vous adressons à cet effet, une première liste d’agents signataires qui

accompagne cette requête, en sollicitant dans son prolongement, une audience que nous vous

saurions gré de bien vouloir accorder à notre délégation qui sera composée de 3 à 5 éléments.

Nous allons démontrer et prouver sur place documents à l’appui et des explications avérées on ne

peut plus claires, les méthodes pénalisantes, discriminatoires, répressives, et disparités dont nous

sommes victimes, portant sur la rémunération de certaines primes mandatées, qui ne reflètent pas la

réalité et sont en violation des textes la dite convention collective élaborée conjointement, par le

groupe des activités ferroviaires, représenté par le Directeur Général LALAIMIA Abdelhamid et le

Syndicat du groupe des activités Ferroviaires, représenté par Monsieur DERRADJI Abdelhamid,

Secrétaire Général.

Cette convention collective de 232 articles que nous mettons à votre disposition, élaborée et signée

par ces responsables le 14 Janvier 2007 a été déposée pour application auprès de l’inspection du

travail qui l’a enregistrée le 21 Janvier 2007 sous le n° 02/2007 et le tribunal de Sidi M’hamed qui

l’a enregistrée sous le n° 22/2007 le 04 Avril 2007.

A titre d’information, nous portons à votre connaissance que le mandatement des primes que nous

percevons sont en violation des textes de la dite convention. Elles sont insignifiantes pour ne pas

dire nulles en comparaison de celles que perçoivent nos confrères qui exercent les mêmes fonctions

que nous et dont le déplacement kilométrique est réduit du tiers de ce que nous parcourons.

( Exemple : un agent roulant Restau Rail effectue seul le trajet ALGER-ANNABA, alors que les

agents relevant d’une Direction Régionale donnée, ce trajet est effectué par 3 trois brigades qui se

relaient ; ce qui rend leur parcours moins pénible et moins nuisant de ce que nous endurons au

quotidien. Exemple des parcours effectués par les agents d’une DRF : la première brigade réalise le

trajet Alger - Bordj Bou Arreridj – la 2e brigade prend le relais de BBA à Constantine et la 3

e

brigade entreprend Constantine - Annaba. IL y va de même pour les trajets Alger Oran – Alger

Constantine et Oran Béchar.

Nous mettons à votre disposition la convention collective de branche qui confirmera nos

revendications de droit.

Page 14: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Indépendamment des disparités et discriminations qui pénalisent lourdement nos salaires, à chaque

fois que nous revendiquons nommément nos droits afin qu’ils soient alignés à l’instar de ceux de

nos confrères, nous sommes victimes de mesures de représailles par des mises à l’écart de notre

fonction de roulant pour être affecté à des tâches parfois ingrates qui ne correspondent ni à nos

fonctions initiales ni à nos grades. Ces représailles sont suivies de sanctions qui relèvent de

l’imagination du PDG, où il excelle. Nous sommes en mesure d’apporter des preuves concrètes,

indiscutables.

C’est la raison pour laquelle nous sommes contraints de lui adresser sous pli recommandé nos

requêtes revendicatives par voie postale, sous forme d’anonymat, qui n’ont obtenu à ce jour

aucune suite favorable. (Ci-joint à cet effet, copies de nos deux dernières requêtes que nous lui

avons adressées récemment). Ce qu’il n’a pas apprécié et a désigné au contraire une équipe de

mercenaires soumis à sa botte qui entreprend une enquête discrète auprès de nos agents afin de

localiser éventuellement le ou les expéditeurs afin qu’ils soient réprimés comme il sait le faire.

Compte tenu de ce qui précède, nous osons croire que des mesures appropriées, adéquates soient

prises à l’encontre de ce monstre de PDG et de son chef de Département du personnel KECHIT,

responsables du mal qu’ils commettent à l’endroit des travailleurs, des pères de famille dont

certains d’entre nous exercent dans cette filiale depuis plus de 20 ans. Nous n’omettons pas de

signaler la présence de retraités comme ALLOUNE Fawzi, BOUZZA et autres qui n’apportent rien

de concret à la filiale, mais qui disposent néanmoins de voitures neuves qu’ils utilisent à des fins

personnelles, sous couvert de voitures de service. C’est des sommes évaluées à des centaines de

millions de centimes puisées de la trésorerie de la filiale qui auraient du servir logiquement au

mandatement dont nous ouvrons droit, ce qui n’est pas le cas.

Faut-il rappeler que les dernières instructions de Monsieur SELLAL premier Ministre, consistent à

la mise à l’écart de retraités, surtout lorsqu’ils ne sont d’aucune utilité aux intérêts de notre filiale.

Bien au contraire le PDG ADJOUT prend en considération tout ce que ces derniers lui suggèrent

comme répression, intimidation dont le seul objectif est d’annihiler toute velléité des travailleurs,

lorsqu’il faut réclamer un droit légitime et règlementaire.

Monsieur, Le Ministre des transports, nous espérons que vous accorderiez à notre requête la suite

que nous attendons qui sera pour nous une bouffée d’oxygène et la fin d’un calvaire, d’un

cauchemar, qui nous hante et constitue un stress permanent altérant notre santé.

Vous souhaitant bonne réception et dans l’attente d’une prompte réponse, nous vous prions d’agréer

Monsieur Le Ministre, l’expression de notre haute considération.

P/ Le collectif des travailleurs de la Filiale RESTAU RAIL,

Page 15: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Collectif d’agents roulants et sédentaires Alger, le 03 Février 2014

Filiale SNTF – RESTAU RAIL

Gare D’AGHA

Monsieur Le Ministre des Transports

Réfé / Notre requête du 25 Janvier 2014

Objet / Victimes de représailles et privation de nos droits

PJ / 11 (onze)

Monsieur Le Ministre des Transports,

Dans le prolongement de la requête que nous vous avions adressée le 25 Janvier 2014, dont ci-joint

copie, nous avons l’honneur de vous communiquer pour plus d’informations les requêtes adressées

respectivement au PDG de la filiale RESTAU RAIL, notre employeur et le Directeur général de la

SNTF, son responsable hiérarchique.

Comme vous le constatez à travers le contenu de ces dernières, nous avons mis en évidence, les

injustices, les mesures discriminatoires, les représailles, dont nous sommes victimes de notre

employeur par le fait d’avoir revendiqué nos droits dont il nous prive de son propre chef.

Monsieur Le Ministre, vos nombreuses interventions diffusées par les chaînes de télévision, allant

dans le sens des orientations de Monsieur Le Premier ministre, inhérentes aux préoccupations

réelles des citoyens en quête de justice et de préservation de nos droits lorsqu’ils sont justifiés, ne

nous a pas laissés indifférents et nous incité à vous informer des préjudices moraux et financiers que

nous subissons et qui nuisent considérablement à notre carrière professionnelle.

A cet effet, nous avons établi des listes provisoires de travailleurs avec leur émargement qui

sollicitent tout simplement l’application des textes de la convention collective de branche dans la

perception des primes et autres avantages au même titre que nos confrères roulants. Nous plaçons

en vous Monsieur Le Ministre, l’espoir de mettre fin à notre situation d’esclavagistes soumis à une

gestion despote et que nous soyons délivrés de ce joug qui nous rappelle le colonialisme,

L’ISTIHMAR.

Nous espérons que notre cas retiendrait votre attention afin que vous preniez les mesures

appropriées et nous accorder en parallèle une audience où nous vous prouverons sur place

documents à l’appui, les nombreux cas qui nous pénalisent, nous sanctionnent sans aucune

justification, alors que notre PDG continue sa gestion de despote en toute impunité.

Avec votre accord, nous constituerons une délégation de 3 à 5 travailleurs qui seront présents lors

de l’audience que nous attendrons avec joie.

Dans l’espoir d’une prompte réponse, nous vous prions de croire Monsieur Le Ministre, en notre

haute considération.

Pour le collectif des travailleurs

Signé :

Page 16: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

DOCUMENTS JOINTS

1 - Copie de la première requête que nous vous avions destinée du 25 Janvier 2014

2 – 3 Copies des réclamations adressées au PDG, datées respectivement des 10/12/2012 – 05/ 01 et

03/02/2014

3 – Copie de la lettre adressée le 03 Février 2014 au Directeur Général, lui demandant son

intervention afin de nous faire réta blir nos droits

4 – 6 Copies des listes émargées de nos travailleurs qui revendiquent les droits dont ils sont privés.

Page 17: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Collectif d’agents roulants et sédentaires Alger, le 03 Février 2014

Filiale SNTF – RESTAU RAIL

Gare D’AGHA

Monsieur Le Directeur Général de la S.N.T.F

Objet / Victimes de représailles et privation de nos droits

PJ / 03 ( trois)

Monsieur Le Directeur Général,

Nous collectif, agents roulants et sédentaires de la filiale mère SNTF « RESTAU RAIL », avons

l’honneur de porter à votre connaissance les conditions esclavagistes que nous subissons de notre

employeur, le PDG de la filiale RESTAU RAIL.

Devant l’ampleur de son abus, assimilée à une gestion despote en s’arrogeant et s’autorisant le

pouvoir absolu, arbitraire, de gérer comme bon lui semble, nous vous adressons à cet effet, six listes

d’agents signataires qui accompagne cette requête, en sollicitant dans son prolongement, une

audience que nous vous saurions gré de bien vouloir accorder à notre délégation qui sera composée

de 3 à 5 éléments.

Nous allons démontrer et prouver sur place documents à l’appui et des explications avérées on ne

peut plus claires, les méthodes pénalisantes, discriminatoires, répressives et les disparités dont nous

sommes victimes, portant sur la rémunération de certaines primes mandatées, qui ne reflètent pas la

réalité et sont en violation des textes de la convention collective élaborée conjointement, par le

groupe des activités ferroviaires, représenté par votre prédécesseur LALAIMIA Abdelhamid et le

Syndicat du groupe des activités Ferroviaires, représenté par Monsieur DERRADJI Abdelhamid,

Secrétaire Général.

Cette convention collective de 232 articles que nous mettons à votre disposition, élaborée et signée

par ces responsables le 14 Janvier 2007 a été déposée pour application auprès des autorités

territorialement compétentes « Inspection du travail qui l’a enregistrée le 21 Janvier 2007 sous le n°

02/2007 et le tribunal qui l’a enregistrée sous le n° 22/2007 le 04 Avril 2007.

A titre d’information, nous portons à votre connaissance que le mandatement des primes que nous

percevons sont en violation des textes de la dite convention. Elles sont insignifiantes pour ne pas

dire nulles en comparaison de celles que perçoivent nos confrères qui exercent les mêmes fonctions

que nous et dont le déplacement kilométrique est réduit du tiers de ce que nous parcourons.

( Exemple : un agent roulant Restau Rail effectue seul le trajet ALGER-ANNABA, alors que les

agents relevant d’une Direction Régionale donnée, ce trajet est effectué par 3 trois brigades qui se

relaient ; ce qui rend leur parcours moins pénible et moins nuisant de ce que nous endurons au

quotidien. Exemple des parcours effectués par les agents d’une DRF : la première brigade réalise le

trajet Alger - Bordj Bou Arreridj – la 2e brigade prend le relais de BBA à Constantine et la 3

e

brigade entreprend Constantine - Annaba. IL y va de même pour les trajets Alger Oran – Alger

Constantine et Oran Béchar.

Nous mettons à votre disposition la convention collective de branche qui confirmera nos

revendications de droit.

Page 18: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Indépendamment des disparités et discriminations qui pénalisent lourdement nos salaires, à chaque

fois que nous revendiquons nommément nos droits afin qu’ils soient alignés à l’instar de ceux de

nos confrères, nous sommes victimes de mesures de représailles par des mises à l’écart de notre

fonction de roulant pour être affecté à des tâches parfois ingrates qui ne correspondent ni à nos

fonctions initiales ni à nos grades. Ces représailles sont suivies de sanctions qui relèvent de

l’imagination du PDG, où il excelle. Nous sommes en mesure d’apporter des preuves concrètes,

indiscutables.

C’est la raison pour laquelle nous sommes contraints de lui adresser sous pli recommandé nos

requêtes revendicatives par voie postale, sous forme d’anonymat, qui n’ont obtenu à ce jour

aucune suite favorable. (Ci-joint à cet effet, copies des trois requêtes que nous lui avons adressées).

Ce qu’il n’a pas apprécié et a désigné au contraire une brigade soumise à sa botte qui entreprend

une enquête discrète auprès de nos agents afin de localiser éventuellement le ou les expéditeurs et

les réprimer comme il sait le faire.

Compte tenu de ce qui précède, nous osons croire que des mesures appropriées, adéquates soient

prises à l’encontre du PDG et de son chef de Département du personnel, responsables du mal qu’ils

commettent à l’endroit des travailleurs, des pères de famille dont certains d’entre nous exercent

dans cette filiale depuis plus de 20 ans. Nous n’omettons pas de signaler la présence de retraités à

Alger et ailleurs qui n’apportent rien de concret à la filiale, mais qui disposent néanmoins de

voitures neuves qu’ils utilisent à des fins personnelles, sous couvert de voitures de service. C’est

des sommes évaluées à des centaines de millions de centimes puisées de la trésorerie de la filiale

qui auraient du servir logiquement au mandatement dont nous ouvrons droit, ce qui n’est pas le cas.

Faut-il rappeler que les dernières instructions de Monsieur SELLAL premier Ministre, consistent à

la mise à l’écart de retraités, surtout lorsqu’ils ne sont d’aucune utilité aux intérêts de notre filiale.

Bien au contraire le PDG prend en considération tout ce que ces derniers lui suggèrent comme

répression, intimidation dont le seul objectif est d’annihiler toute velléité des travailleurs, lorsqu’il

faut réclamer un droit légitime et règlementaire.

Monsieur, Le Directeur Général, nous espérons que vous accorderiez à notre requête la suite que

nous attendons qui sera pour nous une bouffée d’oxygène et la fin d’un calvaire, d’un cauchemar,

qui nous hante et constitue un stress permanent, altérant notre santé.

Vous souhaitant bonne réception et dans l’attente d’une prompte réponse et la programmation de

l’audience que nous vous sollicitons, indispensable et urgente, compte tenu de ce que nous

subissons comme répression, intimidation, sanctions, suppression de droits légitimes et

règlementaires, nous vous prions d’agréer Monsieur Le Directeur Général, l’expression de notre

haute considération.

P/ Le collectif des travailleurs de la Filiale RESTAU RAIL,

Le porte parole ……………………………………………..

Signé :

NOTA :

Ci-joint en annexe, la liste des travailleurs

dont laquelle seront dégagés les 3 ou 5 éléments

qui composeront la délégation qui fournira les justifications

citées dans notre requête

Page 19: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

DOCUMENTS JOINTS

1 – 3 Copies des réclamations adressées au PDG, datées respectivement des 10/12/2012 – 05/ 01 et

03/02/2014

2 – 6 Copies des listes émargées de nos travailleurs qui revendiquent les droits dont ils sont privés.

3 - Liste des travailleurs désignés qui dégageront la délégation qui se déplacera au sein de la

Direction Générale

Page 20: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Collectif d’agents roulants et sédentaires Alger, le 10 Mars 2014

Filiale SNTF – RESTAU RAIL

Monsieur Le Directeur Général de la S.N.T.F

Objet / Victimes de représailles et privation de nos droits

Référence/ Notre requête du 03 Février 2014

Monsieur Le Directeur Général,

Nous collectif, agents roulants et sédentaires de la filiale mère SNTF « RESTAU RAIL », avons

l’honneur de rappeler à votre aimable attention notre requête du 03 Février 2014, dont ci-joint copie

par laquelle nous vous informions des conditions inhumaines auxquelles nous sommes confrontés et

que nous impose notre employeur en la personne de ADJOUT Djamal, PDG de la filiale.

En l’absence de réponse de votre part quant à nous faire part de la suite que vous comptiez réserver

à notre requête, nous avons jugé nécessaire de vous faire notifier la présente par huissier de justice,

avant que nous n’intervenions auprès de la presse écrite et éventuellement télévisée, afin de les

situer sur la situation rocambolesque que nous vivons au quotidien, du silence et de l’indifférence

que nous affiche notre tutelle. On n’exclut pas d’observer des SITIN et des marches pacifiques pour

nous faire entendre et faire aboutir nos revendicaqtions.

Dans notre précédente lettre nous vous avions communiqué la liste des agents susceptibles de

constituer la délégation qui représentera notre collectif en vue de l’audience que nous avions

projetée.

Entre temps nous avions pris contact avec monsieur SAIDI Mohamed ancien responsable de

RESTAURAIL qui jouit de toute notre confiance en lui suggérant de faire partie de notre délégation

restreinte en le dotant de documents utilisés par notre PDG dans les mesures arbitraires qui nous

sanctionnent et nous privent de nos droits. Il nous a donné son accord en nous faisant savoir qu’il

représentera sa fille, également victime de HOGRA au sein de la filiale.

Nous osons croire Monsieur Le Directeur Général que notre requête ne vous laissera pas indifférent

et que vous consentirez à nous accorder l’audience que nous vous réitérons.

Dans cette attente, veuillez agréer, Monsieur Le Directeur Général, l’expression de nos salutations

distinguées.

Pour le collectif des travailleurs

Signé :

Page 21: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Collectif d’agents roulants et sédentaires Alger, le 06 Avril 2014

Filiale SNTF – RESTAU RAIL

Monsieur Le Directeur Général de la S.N.T.F

Objet / Victimes de représailles et privation de nos droits

Référence/ Nos requêtes des 03 et 10 Mars 2014

Monsieur Le Directeur Général,

Nous collectif agents roulants et sédentaires de la filiale mère SNTF « RESTAU RAIL »,, vous

informons que nous déposons plainte auprès de l’Inspection du travail territorialement compétente

contre Monsieur ADJOUT Djamal PDG pour nous avoir privés des droits légitimes et des injustices

dont nous sommes victimes DE SA GESTION ESCLAVAGISTE.

Nous déplorons votre silence aux requêtes qui vous étiez destinées et c’est la raison qui nous

poussera à observer certainement des SITIN devant le siège de votre Direction Générale en

informant les médias de nos démarches.

Dans le prolongement de cette affaire nous vous informons que nous autorisons monsieur SAIDI

Mohamed, cadre retraité de la SNTF, ex responsable de cette filiale à nous accompagner et nous assister

auprès des instances saisies de cette affaire. (Inspection du travail, instances judiciaires, ministère du

travail, ministère des transports, Direction Générale de la SNTF, filiale RESTAURAIL etc..,)

Avec son accord, nous vous communiquons à toute fin utile, son numéro de téléphone pour un éventuel

rendez-vous ou audience que nous vous réitérons. Tél 0560 156 122

Veuillez gréer, Monsieur Le Directeur Général, l’expression de nos salutations distinguées.

Page 22: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Collectif d’agents roulants et sédentaires Alger, le 04 Février 2014

Filiale SNTF – RESTAU RAIL

Gare D’AGHA

Monsieur Le Ministre du Travail, de l’emploi

Et de la Sécurité Sociale

44, Rue Mohamed Belouizdad

Belcourt -ALGER 16600

Objet / Victimes de représailles et privation de nos droits

PJ / 14 (quatorze)

Monsieur Le Ministre du travail,

Les chiffres de la honte, consacré au pourrissement du monde du travail, tel est l’article sur lequel le

quotidien « LE CARREFOUR D’ALGERIE» du 02 Février 2014 s’est longuement étalé reprenant la

réunion que vous aviez présidé en présence de tous les acteurs activant dans cette sphère.

Cela ne nous a pas échappé et nous profitons de cette opportunité monsieur Le Ministre de travail, pour

vous adresser cette requête, en confirmant que certains aléas évoqués par la journaliste existent

également dans des structures et établissements relevant du secteur étatique.

Par conséquent, nous collectif, agents roulants et sédentaires de la filiale mère SNTF « RESTAU

RAIL », avons l’honneur de porter à votre connaissance les conditions esclavagistes que nous

subissons de notre employeur, le PDG de la filiale ADJOUT Djamal.

Devant l’ampleur de son attitude dictatoriale, assimilée à une gestion despote, en s’arrogeant et

s’autorisant le pouvoir absolu, arbitraire, semblable à celui du colonialisme qui impose la loi du talion,

faisant fi de la règlementation, de la convention collective de branche en vigueur et des lois de

République, nous vous adressons à cet effet, une première liste d’agents signataires qui accompagne

cette requête, en sollicitant dans son prolongement, une audience que nous vous saurions gré de bien

vouloir accorder à notre délégation qui sera composée de 3 à 5 éléments.

Nous allons démontrer et prouver sur place documents à l’appui et des explications avérées on ne peut

plus claires, les méthodes pénalisantes, discriminatoires, répressives, et disparités dont nous sommes

victimes. En citant comme exemple des sanctions arbitraires, la rémunération de certaines primes

mandatées, qui ne reflètent pas la réalité et sont en violation des textes de la convention collective

élaborée conjointement, par le groupe des activités ferroviaires, représenté par l’ex Directeur Général

LALAIMIA Abdelhamid et le Syndicat du groupe des activités Ferroviaires, représenté par Monsieur

DERRADJI Abdelhamid, Secrétaire Général.

Cette convention collective de 232 articles que nous mettons à votre disposition, élaborée et signée par

ces responsables le 14 Janvier 2007 a été déposée pour application auprès des autorités territorialement

compétentes « Inspection du travail qui l’a enregistrée le 21 Janvier 2007 sous le n° 02/2007 et le

tribunal qui l’a enregistrée le 04 Avril 2007 sous le n° 22/2007.

A titre d’information, nous portons à votre connaissance que le mandatement des primes que nous

percevons sont en violation des textes de la dite convention. Elles sont insignifiantes en comparaison de

celles que perçoivent nos confrères qui exercent les mêmes fonctions que nous et dont le déplacement

kilométrique est réduit du tiers de ce que nous parcourons.

( Exemple : un agent roulant Restau Rail effectue seul le trajet ALGER-ANNABA, alors que les

agents relevant d’une Direction Régionale donnée, ce trajet est effectué par 3 trois brigades qui se

relaient ; ce qui rend leur parcours moins pénible et moins nuisant de ce que nous endurons au

quotidien. Exemple des parcours effectués par les agents d’une DRF : la première brigade réalise le

trajet Alger - Bordj Bou Arreridj – la 2e brigade prend le relais de BBA à Constantine et la 3

e brigade

Page 23: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

entreprend Constantine - Annaba. IL y va de même pour les trajets Alger Oran – Alger Constantine et

Oran Béchar.

Indépendamment des disparités et discriminations qui pénalisent lourdement nos salaires, à chaque fois

que nous revendiquons nommément nos droits afin qu’ils soient alignés à l’instar de ceux de nos

confrères, nous sommes victimes de mesures de représailles par des mises à l’écart de notre fonction de

roulant pour être affectés à des tâches parfois ingrates qui ne correspondent ni à nos fonctions initiales ni

à nos grades. Ces représailles sont suivies de sanctions qui relèvent de l’imagination du PDG, où il

excelle. Nous sommes en mesure d’apporter des preuves concrètes, indiscutables.

C’est la raison pour laquelle nous sommes contraints de lui adresser sous pli recommandé nos requêtes

revendicatives par voie postale, sous forme d’anonymat, qui n’ont obtenu à ce jour aucune suite

favorable. (Ci-joint à cet effet, copies de nos requêtes que nous lui avons adressées, ainsi que celles

destinées au ministre des transports et le Directeur Général de la SNTF), les informant des injustices

dont nous sommes victimes. Ce qu’il n’a pas apprécié et a désigné au contraire une brigade que nous

assimilons à des mercenaires soumis à sa botte qui entreprend une enquête discrète auprès de nos agents

afin de localiser éventuellement le ou les expéditeurs et les réprimer comme il sait le faire.

Nous osons croire que les responsables hiérarchiques prendraient des mesures appropriées, à l’encontre

de ce monstre de PDG et de son chef de Département du personnel KECHIT Abdelkrim, auteurs du mal

qu’ils commettent à l’endroit des travailleurs, des pères de famille dont certains d’entre nous exercent

dans cette filiale depuis plus de 20 ans. Nous n’omettons pas de signaler la présence de retraités

encaissant de gros salaires qui n’apportent rien de concret à la filiale, mais qui disposent néanmoins de

voitures neuves qu’ils utilisent à des fins personnelles, sous couvert de voitures de service. C’est des

sommes évaluées à des centaines de millions de centimes puisées de la trésorerie de la filiale qui

auraient du servir logiquement au mandatement dont nous ouvrons droit, ce qui n’est pas le cas.

Faut-il rappeler que les dernières instructions de Monsieur SELLAL premier Ministre, consistent à la

mise à l’écart de retraités, comme ceux qui exercent dans notre filiale qui ne lui ne sont d’aucune utilité.

Bien au contraire le PDG ADJOUT prend en considération tout ce que ces derniers lui suggèrent

comme répression, intimidation dont le seul objectif est d’annihiler toute velléité des travailleurs,

lorsqu’il faut réclamer un droit légitime et règlementaire.

Monsieur, Le Ministre du travail, nous espérons que vous accorderiez à notre requête la suite que nous

attendons qui sera pour nous une bouffée d’oxygène et la fin d’un calvaire, d’un cauchemar, qui nous

hante et constitue un stress permanent altérant notre santé.

Vous souhaitant bonne réception et dans l’attente d’une prompte réponse à notre demande d’audience,

nous vous prions d’agréer Monsieur Le Ministre, l’expression de notre haute considération.

P/ Le collectif des travailleurs de la Filiale RESTAU RAIL,

Le porte parole ……………………………………………..

Signé :

NOTA :

Comme nous résidons dans des villages en dehors d’Alger, nous vous communiquons la liste de

quelques agents avec leur numéro du téléphone mobile, qui servira de contact pour nous indiquer la date

de réunion pour notre déplacement au sein de votre ministère

Page 24: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

DOCUMENTS JOINTS

1 - Les 2 copies de requêtes adressées au ministre des transports

2 - La copie de la lettre adressée au DG de la SNTF

3 – Les 3 Copies des réclamations adressées au PDG de la filiale

4 – Les 6 Copies des listes émargées de nos travailleurs qui revendiquent leurs droits.

5 - Liste des travailleurs désignés qui dégageront la délégation qui se déplacera au sein de la

Direction Générale

6 – Copie de l’Article du quotidien LE CARREFOUR D’ALGERIE

Page 25: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle
Page 26: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle
Page 27: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Collectif d’agents roulants et sédentaires Alger, le 03 Février 2014

Filiale SNTF – RESTAU RAIL

Monsieur Le PDG de la Filiale

SNTF – RESTAU – RAIL

12, Avenue de L’ALN

HUSSEIN DEY

Objet / Revendication légitime de nos droits

Réfer / Nos requêtes des 10/12/2013 et 05/01/2014

Votre note d’information non datée affichée à l’antenne d’Agha

Monsieur Le P.D.G,

Nous collectif, agents roulants et sédentaires de la filiale RESTAU RAIL, relevant de la

SNTF, confirmons nos revendications conformément à la convention collective de

branche que vous ne citez pas dans votre note d’information non datée, affichée à

l’antenne d’AGHA.

Aussi nous nous permettons d’apporter l’éclairage inhérent à l’existence de cette

convention qui s’adresse à l’ensemble des travailleurs, comme nous vous l’avions bien

précisé dans notre requête. En effet l’article 3 de cette dernière stipule que :

« Les dispositions de la convention collective de branche s’applique à l’ensemble des

travailleurs relevant de l’entreprise mère la SNTF, dont nous faisons partie intégrante.

Notre filiale est issue de la restructuration, réorganisation, groupement, filialisation. »

IL n’y a donc aucune discrimination, aucune distinction, aucune disparité entre les

travailleurs roulants qui doivent être traités sur le même pied d’égalité avec le même

taux de mandatement, concernant les différentes primes, notamment kilométriques et

horaires de trajet.

Faut-il vous rappeler et préciser que LA DITE CONVENTION COLLECTIVE DE

BRANCHE a été élaborée conjointement, par le groupe des activités ferroviaires,

représenté par l’ex Directeur Général LALAIMIA Abdelhamid et le Syndicat du groupe

des activités Ferroviaires, représenté par Monsieur DERRADJI Abdelhamid, Secrétaire

Général.

Cette convention collective de 232 articles que nous mettons à la disposition de qui de

droit, élaborée et signée par ces responsables le 14 Janvier 2007 a été déposée pour

application auprès de l’inspection du travail qui l’a enregistrée le 21 Janvier 2007 sous le

n° 02/2007 et le tribunal territorialement compétents, qui l’a enregistrée sous le n°

22/2007 le 04 Avril 2007.

A ce titre nous portons à votre connaissance que le mandatement des primes que nous

percevons sont en violation des textes de la dite convention. Elles sont insignifiantes

pour ne pas dire nulles en comparaison de celles que perçoivent nos confrères roulants

qui exercent les mêmes fonctions que nous et dont le déplacement kilométrique est

réduit du tiers de ce que nous parcourons.

Page 28: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

(Exemple du parcours des agents roulants Restau Rail effectuant ALGER-ANNABA en un

seul trajet, alors que les agents relevant d’une Direction Régionale donnée, le réalisent

en trois brigades qui se relaient comme suit : « Alger - Bordj Bou Arreridj » – BBA –

Constantine et Constantine – Annaba. Ce qui rend leur parcours moins pénible et moins

nuisant de ce que nous endurons au quotidien. IL y va de même pour les trajets Alger

Oran – Alger Constantine et Oran Béchar.

En citant le mandatement de la prime kilométrique perçue actuellement, elle relève de

l’imagination de celui qui la calcule. Si non comment expliquer que nos confrères

cheminots perçoivent le taux 28,00 figurant sur la rubrique « Nbre/Base », alors qu’on

nous mandate depuis Avril 2011, le taux de 1,80 qui ne représente rien et ne reprend

même pas le kilométrage réalisé. Ce que nous percevons est dérisoire, ne dépasse pas

les 300 DA/mois, alors que nos confrères parcourant un kilométrage inférieur au nôtre,

perçoivent plus de 10.000 DA.

Nous nous permettons de vous rappeler l’historique du taux de cette prime

kilométrique, En 1990, le taux était de 1800 applicable aussi bien chez les roulants

cheminots que les roulants RESTAU RAIL.

En 2010, ce taux a évolué à 2300 chez les cheminots, alors qu’il a stagné chez nous à

1800.

Devant cette discrimination pénalisante, injuste, nous vous avions adressé une requête

pour vous demander de nous aligner au nouveau taux de 2300, que perçoivent nos

confrères.

Alors que nous nous attendions à une compréhension de votre part, en guise de

réponse au réajustement attendu, vous avez supprimé le taux existant de 1800 qui nous

était mandaté pour le réduire à 1,80 depuis Avril 2011 sans aucune explication.

Nous considérons la manière dont vous aviez agi à notre requête revendicative et

légitime, d’autant qu’elle est dans le prolongement règlementaire de ce qui est accordé à

nos confrères cheminots, comme une sanction, une mesure répressive, parce que nous

avons demandé l’octroi d’un droit indiscutable et incontestable, qui va dans le droit fil

de l’article 3 de la convention collective de branche qui ne fait aucune distinction entre

les agents des différentes entreprises relevant de la maison mère SNTF.

Depuis Avril 2011, nous subissons ce préjudice moral et financier que nous assimilons à

une sanction de longue durée qui nous pénalise lourdement et réduit considérablement

notre bulletin de paye de celui de nos confrères.

Et vous, vous continuez d’insinuer que vous vous conformez à la règlementation en

vigueur, une réglementation que vous appliquez selon votre opinion, comme bon vous

semble.

IL y va de même pour les autres primes où nous sommes pénalisés vis à vis de nos

confrères. C’est ainsi que le taux de la prime horaire que nous percevons est de 35,00

alors qu’elle est de 58,00 chez nos confrères.

Pour la prime de transport qui leur est octroyée, elle s’élève à 1.900 DA/mois, alors que

la nôtre est de 900 DA/mois. La prime de panier subit le même sort, sans omettre la

prime de risque que nous ne percevons pas, octroyée à nos confrères, dont le montant

Page 29: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

est de 900,00 DA. Les salaires de base de nouveaux recrutés sont presque identiques

aux anciens qui ont plus de 10, voire 20 ans de présence.

Les disparités et discriminations ne s’arrêtent pas là. Nous sommes également

pénalisés dans les promotions qu’on ne voit pas venir depuis fort longtemps. Au

contraire vous avez procédé arbitrairement à des rétrogradations d’agents sans aucune

justification.

Afin de justifier la gestion moribonde de la filiale, vous mettez en exergue ses capacités

financières qui ne peuvent supporter certaines charges, en supputant sur des recettes

insuffisantes, qui ne font que refléter le suivi de la politique entretenue. Cependant

lorsque vous dotez de pseudos cadres et retraités de voitures à coût de centaines de

millions, des carnets de bons d’essence, leur accordant de gros salaires, vous faites

silence sur ces capacités financières.

Tout le monde sait que certains ne sont d’aucune utilité pour la filiale, si ce n’est pour

faire perdre à l’avenir des procès qui vous opposeront à des travailleurs déterminés, qui

ne supporteront plus d’être des esclaves du système actuel.

Que dire des cartes de circulations SNTF délivrés pour une certaine catégorie d’agents

et pas à d’autres. Quel est le règlement ou les instructions qui régissent cette

discrimination en privant la majorité de nos agents de ce droit indiscutable. Pourquoi

cela n’existe pas à la SNTF, qui ne fait aucune distinction pour en doter tous ses agents.

C’est vrai qu’à RESTAU RAIL nous sommes des sous-hommes , des hommes de seconde

zone, rien que cela.

Monsieur le PDG, nous n’avons pas oublié vos discours pleins de promesses lors de

votre avènement à RESTAU RAIL, en clamant haut et fort que nous serons mieux payés

que les cheminots. Non seulement vos promesses se sont évaporées comme neige au

soleil, non seulement on n’a pas été alignés aux droits que les cheminots perçoivent,

comme le stipule les textes de la convention collective de branche, même les uniformes

de travail dont nous étions dotés, identiques à ceux des cheminots ont disparu de la

circulation.

Compte tenu de ce qui précède, nous avons jugé nécessaire d’informer la Direction

Générale de la SNTF qui est MERE de notre filiale ainsi que les pouvoirs publics, de

toutes les requêtes que nous vous transmettons qui sont demeurées à ce jour sans suite

favorable. Nous vous confronterons en temps opportun, s’il le faut en leur présence,

avec les documents avérés à l’appui, que nous exhiberons afin d’attester la gestion

anarchique qui nous est imposée, les mesures de représailles que nous subissons, les

droits dont nous sommes privés, en espérant leur réinstauration et avoir un peu plus de

considération à l’avenir, à l’instar de nos confrères roulants.

Signé : Le collectif des agents de la filiale RESTAU RAIL

Page 30: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Copies à communiquer :

Ministère des Transports :

La copie de la requête adressée le 25/01/2014

La copie de la requête adressée au D.G

Les 3 copies des requêtes adressées au PDG

Les 6 listes d’émargement

La liste des gents à contacter

Ministère du Travail :

Les copies adressées au Ministre des Transports

La copie de la requête adressée au D.G

Les copies des requêtes adressées au PDG

Les 6 listes d’émargement

La liste des gents à contacter

Le Directeur Général :

Les 3 copies des requêtes adressées au PDG

Les 6 listes d’émargement

La liste des gents à contacter

Le PDG RESTAU RAIL :

Sans pièce

Le Secrétaire de l’union locale :

Copie des articles 1 à 4 de la convention collective de

Branche – Les 2 dernières requêtes adressées au

PDG et celle adressée au DG - Les 6 listes

d’émargement – La liste des gents à contacter.

Le Secrétaire du Syndicat Restau Rail :

Copie des articles 1 à 4 de la convention collective de

branche – Les 2 dernières requêtes adressées au PDG

Les 6 listes d’émargement ( à voir )

La liste des gents à contacter. ( à voir )

Madame Louisa Hanoune Secrétaire Général du P.T

Les 2 copies des requêtes adressées au ministre des transports

Copie des articles 1 à 4 de la convention collective de branche

La copie de la requête adressée au D.G

Les 3 copies des requêtes adressées au PDG

Les 6 listes d’émargement

La liste des gents à contacter

Page 31: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Monsieur Sidi Said Abdelmadjid Secrétaire Général UGTA

Les 2 copies des requêtes adressées au ministre des transports

Copie des articles 1 à 4 de la convention collective de branche

La copie de la requête adressée au D.G

Les 3 copies des requêtes adressées au PDG

Les 6 listes d’émargement

La liste des gents à contacter

Monsieur DERRADJI Abdelhamid Secrétaire Général S.N.E

La copie de la requête adressée au D.G

Les 3 copies des requêtes adressées au PDG

Les 6 listes d’émargement

La liste des gents à contacter

Page 32: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Collectif d’agents roulants et sédentaires Alger, le ……………………………………..

Filiale SNTF – RESTAU RAIL

Monsieur Le PDG de la Filiale

SNTF – RESTAU – RAIL

12, Avenue de L’ALN

HUSSEIN DEY

Objet / Dissolution de la section syndicale actuelle

Monsieur Le P.D.G,

Nous, agents roulants et sédentaires de la filiale RESTAU RAIL, relevant de la SNTF,

nous dénonçons la section syndicale actuelle minoritaire par sa composante de 3 agents

d’Alger qui n’a pas de représentants dans les structures de la filiale se trouvant à

Constantine – Annaba - Oran et Béchar.

Nous avons estimé qu’elle ne défend pas les cas des agents lésés dans le déroulement

de leur carrière et son inaptitude à répondre aux attentes des requêtes que les

travailleurs ont adressées à l’administration pour trouver des solutions adéquates à

leurs revendications. Dans la prochaine composante, il y aura des travailleurs exerçant

dans les établissements cités ci-dessus.

Par conséquent dès réception de cette requête notifiée par Huissier de justice, cette

section syndicale ne sera pas reconnue par les travailleurs qui ont émargé la liste

jointe en annexe, dans l’attente de former une nouvelle section élue démocratiquement

selon les procédures règlementaires. Vous serez informé dès la mise en place de la

commission chargée de recueillir les candidatures.

Veuillez agréer, monsieur le PDG, l’expression de nos salutations.

Page 33: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Requête initiale corrigée par les travailleurs de la filiale en introduisant la requête ci-après.

Page 34: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Réponse de ADJOUT qui intimide les agents en voulant leur endosser des déclarations

qui répondent à ses subterfuges, ciblant les dix signataires pour les sanctionner comme

à son habitude.

Page 35: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle
Page 36: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Alger, le ……………………2014

Réponse à la demande de renseignements, référencée n° 41/2014 du 18/03/2014

Monsieur le PDG, Filiale RESTAU RAIL

Votre demande de renseignements ne répond pas à nos requêtes qui vous ont été

adressées respectivement les 10/12./2013 – 05/01/2014 et 3/02/2014 portant sur nos

revendications légitimes inhérentes d’une part au mandatement des primes

kilométriques, aux horaires de travail des trajets réalisés conformément aux textes de

la convention collective de branche, signée conjointement par le Directement Général et

le Secrétaire général du syndicat national de l’entreprise.

Faut-il vous rappeler que cette convention a été déposée et approuvée

POUR APPLICATION, par le tribunal et l’Inspection du travail territorialement

compétents.

Vous n’ignorez pas que nous sommes victimes de disparités dans le mandatement de

ces primes ainsi que celles de transport et paniers. Tant que nous ne sommes pas

alignés à l’instar de nos confrères roulants comme l’indique la dite convention collective

de branche qui ne fait aucune distinction dans l’octroi de ce droit, nous ne pourrons

tolérer cette injustice qui nous pénalise et nous serons solidaires dans cette

revendication pour déposer en temps opportun une plainte collective auprès de qui de

droit.

D’autre part vous n’avez pas donné les explications attendues inhérentes aux

promotions auxquelles on ouvre droit et qui n’ont pas été concrétisées depuis fort

longtemps.

On tient à vous préciser par ailleurs que les signataires de la requête du 09./03/20104

ne représentent pas la section syndicale comme vous l’insinuez. C’est une composante

d’agents approuvée par la liste des travailleurs que nous détenons, qui s’occupera le

moment voulu des formalités de commission de candidatures et d’élection démocratique

de la cellule syndicale qui représentera la filiale dans les régions CENTRE –EST et

OUEST, contrairement à celle existante composée de 3 éléments issus du centre.

Nous estimons et nous tenons à le rappeler qu’à chaque fois que des travailleurs vous

adressent des requêtes émargés, vous utilisez des moyens de pression et d’intimidation

en leur posant des demandes de renseignements. Cela ne nous démarquera pas de nos

démarches que nous continuerons d’entreprendre dans un cadre légal et règlementaire.

Nous exhiberons tout cela aux responsables, destinataires de nos futures requêtes.

Nom………………………

Prénom…………………..

Matricule…………………..

Grade ………………………

Région………………………

Signé :

Page 37: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Spécimen de requête individuelle adressée au PDG.

Monsieur…………………………… Alger, le …………………………2014

Mle………………………………… .

Antenne Restau Rail

AGHA

Monsieur Le PDG de la Filiale

SNTF – RESTAU – RAIL

12, Avenue de L’ALN

HUSSEIN DEY

Objet / Dépôt de plainte auprès de l’Inspection du Travail

Revendication légitime de mes droits

Réfer / Nos requêtes collectives des 10/12/2013/ - 05/01/2014 et 03/02/2014

Votre note d’information non datée affichée à l’antenne d’Agha

Monsieur Le P.D.G,

Par les requêtes rappelées ci-dessus, nous avons sollicité l’application des textes de la

convention collective de branche afin de bénéficier des mêmes taux inhérents au

mandatement des primes kilométriques et des horaires de travail réalisés au même titre

que nos confrères agents roulants.

Je tiens à vous rappeler que la dite convention collective de branche s’adresse à

l’ensemble des travailleurs, y compris ceux issus de la filialisation à laquelle

j’appartiens.

Je demande également l’alignement de mes primes de transport et de panier, de femme

au foyer à celles de mes confrères.

Jusqu’à présent, je n’ai pas bénéficié d’avancement en grade dans les délais prescrits

par la règlementation en vigueur.

Devant le silence que vous affichez aux requêtes qui vous étaient destinées, je vous

informe que je dépose plainte auprès de l’inspection du travail territorialement

compétente, dans le cadre de la revendication de mes droits.

Dans le prolongement de cette affaire je porte à votre connaissance que je fais appel à

Monsieur SAIDI Mohamed, cadre retraité SNTF et ex responsable de cette filiale à

m’accompagner et m’assister devant toutes les instances saisies de cette affaire.

(Inspection du travail, instances judiciaires, ministère du travail, ministère des

transports, Direction Générale, filiale RESTAU RAIL. etc..,)

Veuillez agréer, Monsieur Le PDG, l’expression de mes salutations distinguées.

Signé :

Page 38: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Couverture de la convention collective de branche de l’Activité Ferroviaire qui s’applique

à l’ensemble des entreprises relevant de la SNTF

Page 39: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Les principaux articles qui mettent sur le même pied d’égalité les travailleurs des

entreprises relevant de SNTF, comme c’est le cas de ceux de la filiale RESTAU RAIL

Page 40: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle
Page 41: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle
Page 42: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Plateforme revendicative des travailleurs de la filiale conforme à la convention collective

de branche

Page 43: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle
Page 44: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Réponse du PDG ADJOUT qui a toujours utilisé mensonges et subterfuges et qui est en

contradiction totale des textes de la convention collective de branche (voir la requête du

8/10/2014 faite par les travailleurs qui lui mettent les points sur les i)

Page 45: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle
Page 46: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

U.G.T.A

Union locale de Sidi M’hamed

Section Syndicale de la Filiale Restau Rail

AGHA

Alger, le 08 Octobre 2014

Monsieur Le PDG de la Filiale

SNTF – RESTAU – RAIL

12, Avenue de L’ALN

HUSSEIN DEY

Objet / Revendication du contenu de notre plateforme du 29 Juin 2014

Réfer / Nos requêtes collectives des 10/12/2013/ - 05/01/2014, 03/02/2014 et 29/06/2014

Votre réponse EPE/SPA/R.R/N° 248-2014 du 22/09/2014

Monsieur Le PDG,

IL est regrettable de constater que vous ne répondez jamais d’une manière directe, objective

aux revendications contenues dans nos requêtes, particulièrement celle du 29/06/2014 qui

renferme explicitement les points essentiels de la plateforme revendicative sur lesquels vous

restez muet en extrapolant sur des réponses évasives qui ne reflètent aucune réalité et ne

répondent pas aux objectifs de nos préoccupations réelles, telles qu’elles vous sont

communiquées.

A chaque fois que nous vous demandons de respecter et de vous a ligner aux textes de la

convention collective de branche dans le cadre de l’application de son contenu qui vont dans

le sens des avantages à octroyer aux travailleurs, vous n’en faites pas cas et vous la

contournez en faisant ressortir que c’est une convention qui s’applique exclusivement à

l’EPIC SNTF, phrase qu’on ne trouve dans aucun article de la dite convention. C’est à croire

que c’est vous qui ne maîtrisez pas la langue de Molière en déformant les articles de cette

convention collective de branche selon votre propre interprétation qui n’engage que vous.

Vous nous faites ressortir la convention collective de RESTAU RAIL qu’on respecte, mais

qui doit s’inspirer et se conformer elle aussi aux articles de la convention collective de

branche qui est reconnue de rang supérieur à celle de la filiale comme le définit, le décrit,

l’article 122 de la loi 90-11 du 21/04/1990 et aussi par les articles 3-4-231 et 232 de la dite

convention collective de branche et non convention de l’EPIC SNTF comme vous l’insinuez

en voulant nous faire croire vos aberrations. Pour votre gouverne, je reprends textuellement

l’article 3 de la convention collective de branche qui dit ceci :

« Les dispositions de la présente convention s’appliquent à l’ensemble des travailleurs

des entreprises nées de la restructuration, réorganisation, groupement, filialisation et

de la fusion relevant de la branche hormis les cadres dirigeants d’entreprise, les

apprentis et les travailleurs régis par des dispositions règlementaires particulières »

Page 47: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

C’est aussi claire que l’eau de roche et les travailleurs de la filiale font partie de ceux de

l’entreprise nées de la restructuration, de groupement, de la filialisation etc.., sans pour autant

maîtriser la langue de Molière comme c’est votre cas pour savoir que nous faisons partie des

agents bénéficiant des points cités dans notre plateforme de revendication.

Trouvez vous normal, monsieur le PDG de la filiale qu’un agent roulant d’une unité donnée

perçoive une prime kilométrique de 23.699,2O DA pour avoir effectué 6.800 km de trajet,

alors qu’un agent de la filiale Restau Rail qui fait 10.517 km se fait mandater 189,30 DA.

Avez-vous la conscience d’un responsable qui défend les droits de ses agents. Trouver la

réponse vous-même.

Par ailleurs j’ai appris que monsieur KECHIT votre chef de département s’est rendu à ORAN

par train B9 du 06/10/2014/ faire une campagne d’intox auprès de nos agents, dénigrant les

activités de la section syndicale en déversant un flot de mensonges, entre autres que nous

refusons l’établissement de cartes de circulation au profit de nos travailleurs et avoir

transmis des correspondances avec un contenu imaginé qui engagera la responsabilité de la

filiale dans d’éventuelles poursuites judiciaires pour diffamation. Le comportement de ce

responsable ne fait que ternir davantage l’image de la filiale et celui de la SNTF en

particulier. La section syndicale ne baissera pas les bras et continuera le combat qu’elle mène

pour faire aboutir nos revendications et prouver que la cabale fabriquée du chef de

département ne fait que renforcer le combat que nous menons contre une gestion qui ne cesse

de nous pénaliser et de porter préjudice à notre carrière professionnelle. Nous avons

constaté que depuis l’élection de la nouvelle section syndicale vous nous avez marginalisé,

jeté en pâture à Kechit qui fait de nous ce que bon lui semble et ne remplit pas comme il se

doit sa fonction de responsable.

Nous informerons monsieur le Directeur général de cette gabegie ainsi que, nos travailleurs

qui ne doivent pas tenir compte des informations diffusées par d’autres personnes qui sèment

la zizanie et de ne s’en tenir qu’aux informations publiées par la section syndicale portant

émargement de son secrétaire général.

Pour revenir sur le point inhérent aux cartes de circulation sur lequel vous jouez sur les

sentiments des travailleurs, sachez que c’est la section syndicale qui a toujours revendiqué

cet aspect fondamental et que notre revendication touche l’ensemble des agents (roulants et

sédentaires) et non pas seulement une partie comme vous le signalez dans votre réponse du

22/9/2014. L’ensemble des travailleurs de la Filiale sont égaux et doivent par conséquent

avoir les mêmes droits et soumis aux mêmes obligations. Nous ne faisons pas de

discrimination entre les catégories. Et c’est sur cette égalité des droits que nous continuerons

notre lutte.

Signé : Le secrétaire Général du Syndicat d’entreprise de la filiale

Page 48: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

U.G.T.A

Union locale de Sidi M’hamed

Section Syndicale de la Filiale Restau Rail

AGHA

Alger, le 08 Octobre 2014

Monsieur Le Directeur Général de la SNTF

21/23, Boulevard Mohamed V – ALGER -

Objet / Revendication du contenu de notre plateforme du 29 Juin 2014

Réfer / Nos requêtes collectives des 03/02/2014- 10/03/2014 et 06/04/2014

PJ / 02 (Copie de la requête du 10/10/2014 adressée au PDG et celle de la plateforme de revendication)

Monsieur Le Directeur Général,

Nous avons l’honneur de vous informer que par lettre du 08/10/2014 dont ci-joint copie,

nous avons rappelé à notre PDG monsieur ADJOUT Djamal les requêtes antérieures que

nous lui avons transmises portant sur la revendication de nos droits et principalement celle du

29 JUIN 2014 qui renfermait onze points constituant la plateforme revendicative sur

l’augmentation des salaires et régimes indemnitaires.

Nous avons insisté sur le respect et l’application de la convention collective de branche qui

s’adresse à l’ensemble des travailleurs des entreprises nées de la restructuration,

réorganisation, groupement, filialisation et de la fusion relevant de la branche hormis les

cadres dirigeants d’entreprise, les apprentis et les travailleurs régis par des dispositions

règlementaires particulières »

Les travailleurs de la filiale Restau Rail font partie intégrante de ce personnel et doivent

bénéficier des mêmes avantages que les autres travailleurs, sans que nous soyons victimes

d’inégalité, de disparité ou de ségrégation comme le cas que nous impose notre PDG. Nous

lui avons illustré l’exemple de l’agent d’une direction régionale avec la perception de

l’indemnité kilométrique qui diffère fondamentalement de la nôtre. Et monsieur ADJOUT

trouve normal que l’agent de cette Direction se fasse mandater 23.699,20 DA par mois pour

avoir effectué 6.800 km de trajet, alors qu’un agent de la filiale Restau Rail qui fait 10.517

km, presque le double perçoit la somme dérisoire pour ne pas dire insignifiante de 189,30

DA. Comment réagirait notre PDG en se mettant dans la peau de son agent avec cette

énormité. Trouvera-t-il normal qu’il se fasse ridiculiser de cette manière.

Ce qui est impardonnable et condamn able c’est le comportement du chef de département

KECHIT Abdelkrim qui s’est déplacé à Oran par le train B9 du 6/10/2014 en se permettant

de dénigrer auprès des agents de la filiale les actions de notre section syndicale, d’inventer de

grossiers mensonges comme étant l’œuvre de notre section, ce qui n’est p as vrai lorsqu’il

déclare notamment que nous refusons l’établissement des cartes de circulation au profit des

agents alors que nous sommes ceux qui avons toujours œuvré pour la possession des cartes

pour l’ensemble de nos agents, contrairement à sa démarche où il a ciblé seulement les

agents roulants, ce que nous contestons car on ne veut pas qu’il y ait 2 poids et 2 mesures qui

serait sujet à un clanisme et une division entre les gents. Tout le monde doit bénéficier de

cette carte, car les droits et les devoirs sont indissociables et vont ensemble, ce qui n’est pas

de la politique de notre PDG qui a toujours avantagé ceux qui sont destinés à exécuter des

basses besognes.

Page 49: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

C’est la raison pour laquelle nous sollicitons votre intervention, votre impartialité en

désignant dans les meilleurs délais possibles une commission d’enquête qui découvrirait les

tenants et aboutissants d’une gestion que nous qualifions d’esclavagiste, de terreur de

soumission, d’exploitation des travailleurs. Nous avons des preuves, nous avons des

documents avérés à exhiber à qui de droit.

Nous insistons à ce que cette commission soit dirigée par des représentants de la Direction

Générale, du Ministère des Transports, du Ministère du travail, avec la présence des

responsables de la section syndicale tout en souhaitant celle de monsieur SAIDI Mohamed,

cadre retraité de la SNTF, ex responsable de la filiale qui a été sollicité à deux reprises par la

Direction de l’exploitation et la Direction générale afin de redresser des situations

alarmantes.

D’abord en 1982 où il a été sollicité par la Direction de l’exploitation pour pallier au départ

de l’ex Directeur D’unité. IL a restructuré les services avec autorité et instauré une discipline

de travail qui a permis l’amélioration des prestations de services et avoir été le seul à chasser

les vendeurs clandestins et rassurer les serveurs receveurs pour qu’ils ne soient plus menacés

par ces individus.

Ensuite en 1997, sollicité par la Direction générale pour apporter son savoir faire, créer un

dynamisme au sein des différentes structures qui souffraient d’incompréhension et de

laxisme de certains dirigeants. Les agents le regrettent car après son départ plusieurs services

et chantiers ont été cédés aux privés, chose qui ne s’est pas produite durant la présence de

monsieur SAIDI qui s’est opposé fermement au bradage convoité et prémédité.

C’est ce qui nous a poussés à solliciter ce personnage pour nous aider, nous assister et nous

accompagner dans nos démarches. Grâce aux documents en sa possession il a décelé des

insuffisances, des infractions commises par notre filiale que nous agents n’avons pu localiser,

par naïveté, par méconnaissance des lois et règlements.

Il nous accompagnera durant nos démarches auprès des médias (Télévision et presse écrite)

ainsi qu’auprès des ministères concernés et personnalités politiques.

Nous osons croire que notre requête sera prise en considération, qu’elle requiert votre

attention afin que vous consentiez à nous accorder une audience et nous faire connaître la

suite que vous comptez lui réserver. Un arrêt de grève n’est pas exclu et sera enclanché dans

les conditions légales et règlementaires.

Dans l’attente d’une prompte réponse, veuillez agréer Monsieur Le Directeur Général,

l’expression de nos salutations distinguées.

Le Secrétaire Général du syndicat de la filiale

Page 50: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

U.G.T.A

Union locale de Sidi M’hamed

Section Syndicale de la Filiale Restau Rail

AGHA

Alger, le 08 Octobre 2014

AVIS D’AFFICHAGE POUR LES TRAVAILLEURS DE LA FILIALE

VIGILANCE –VIGILANCE – VIGILANCE. C’est en ces termes que les

membres de la section syndicale que vous avez élus et qui vous représentent

s’insurgent devant le comportement condamnable, intolérable de certains

responsables qui se déplacent pour dénigrer auprès des travailleurs de notre

filiale les activités de la section syndicale et porter atteinte à sa crédibilité, à

notre intégrité.

ILS tentent par des déclarations mensongères qui n’engagent que leurs

auteurs pour nous discréditer, pour créer des clans en notre sein, créer la

division et continuer à nous exploiter avec un climat esclavagiste, continuant

d’instaurer la peur et la soumission, ce que nous ne tolérerons plus.

Vous avez pris connaissance de notre plateforme de revendication sur

l’augmentation des salaires et régimes indemnitaires. Nous l’avons transmise

au PDG pour application conformément à la convention collective de branche

de la SNTF qui assimile nos travailleurs à ceux des autres régions et unités

dans l’octroi des avantages liés à la rémunération.

Pour remettre les pendules à l’heure à la réponse négative du PDG, un

courrier explicite lui a été transmis. Une requête a été adressée au

Directeur général donnant des explications on ne peut plus claires sur la

nature des démarches de notre section.

Vous n’avez qu’à lire son contenu qui est affiché et la réponse faite au PDG

pour avoir un aperçu sur nos revendications qui sont également les vôtres.

NOUS DEVONS ËTRE UNIS COMME LES DOIGTS D’UNE SEULE MAIN

DANS LE COMBAT QU’IL FAUT MENER. C’est la lutte de tout le monde et

avec votre détermination qui est la nôtre nous espérons atteindre le but que

nous recherchons ensemble INCHALLAH. N’écoutez pas ceux qui cherchent

à créer la division des agents, à semer la ZIZANIE. C’est des colporteurs à la

solde de ceux qui les utilisent à de basses besognes. ILS finiront par le

regretter mais ce sera trop tard. Des cadres retraités de la SNTF nous

assistent et nous accompagnent dans nos démarches. Nous ne nous

arrêterons pas. La presse écrite et télévisée font partie du lot de ceux que

nous allons contacter. Des vidéos sont déjà introduites dans YOUTUBE.

D’autres suivront et seront portées officiellement à la connaissance des

pouvoirs publics. Vous serez informé bientôt pour en prendre connaissance.

Le secrétaire Général du syndicat de la filiale

Page 51: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

U.G.T.A

Union locale de Sidi M’hamed

Section Syndicale de la Filiale Restau Rail

AGHA

Alger, le 08 Octobre 2014

Monsieur Le Secrétaire Général de l’union locale

SIDI M’hamed.

Objet / Assemblée des travailleurs.

Monsieur Le Secrétaire Général

Je vous prie de bien vouloir programmer dans les meilleurs délais une assemblée des

travailleurs de la filiale RESTAU RAIL dans le courant de la semaine prochaine, à partir

du12/10/2014. Cette assemblée est motivée du fait que des responsables de la filiale

sont en train de mener des campagnes d’intox auprès de nos travailleurs afin de dénigrer

les activités de notre syndicat en propageant des mensonges qui ne reflètent pas les actions

que nous menons, touchant principalement la revendication de la plateforme des salaires et

régimes indemnitaires. Nos démarches dérangent ces responsables qui refusent

l’application de la convention collective de banche et nous discrédite pour nous faire

endosser les insuffisances qui les impliquent dans ce cadre précis.

Nous vous communiquons à cet effet, copie des requêtes adressées respectivement au

Directeur général de la SNTF et du PDG. Nous avons également informé nos agents par la

diffusion d’un avis d’affichage en leur disant de ne pas se fier à cette campagne colportée

par ceux qui sont derrière des opérations de basses besognes.

Nous insistons également sur l’interdiction aux responsables administratifs dont la

présence n’est pas tolérée par les statuts de L’UGTA.

Pour mémoire nous vous rappelons l’incident créé par le PDG, lors de l’assemblée

générale de renouvellement de la section qui a valu une sanction injustifiée à notre agent

TOUAG Salem qui vous a informé de cette affaire portée à votre connaissance.

Veuillez agréer Monsieur Le secrétaire général, l’expression de nos salutations

distinguées.

Signé : Le secrétaire Général du Syndicat de la filiale

Page 52: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Chapitre 2

FILIALE RESTAU RAIL

S.N.T.F ESCLAVAGISME

EXPLOITATION DES AGENTS

LOI DU SILENCE – LA PEUR

ESCROQUERIE --- HOGRA

VIOLATION DES DROITS

DES TRAVAILLEURS

BASTA

Page 53: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

La SNTF EST-ELLE

complice de l’exploitation

des travailleurs de la Filiale

Restau Rail qui est sous sa

tutelle, de l’esclavagisme qui

leur est imposé

(Les requêtes des travailleurs adressées au Directeur

Général restées sans réponse ?????, les sanctions

infligées à tort, les rétrogradations de grade

injustifiées, la non déclaration à la CNAS, le salaire de

base amputé, défalcation abusive sur solde

etc..etc.. )sont autant de cas avérés insérés qu’il faut

retenir pour venir au secours de ces travailleurs.

Page 54: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Assemblée Générale des travailleurs pour le

renouvellement de la section syndicale. Le PDG

s’implique avec des sanctions

Les travailleurs de la Filiale Restau Rail, ne pouvant plus supporter une gestion

qui leur cause des préjudices nuisibles à leur carrière professionnelle, sans obtenir

les avantages auxquels ils ouvrent droit en donnant le meilleur d’eux mêmes, ne

pouvant plus supporter d’être des victimes résignées, subissant les pires

humiliations de leur hiérarchie, ont saisi officiellement l’union locale de la wilaya

d’Alger à l’effet de renouveler l’ancienne section syndicale restreinte de trois

agents et de composer une autre section en mesure de représenter les régions EST

– CENTRE et OUEST à même de répondre à leurs attentes et de mieux défendre

leur cause.

Le secrétaire général de l’union locale de la wilaya d’Alger, a présidé cette assemblée

générale des travailleurs qui s’est déroulée à Hussein Dey le 23 Avril 2014 en ayant à

ses côtés le PDG de la filiale qui a imposé sa présence, en violation des textes portant

sur les modalités pratiques des assemblées des travailleurs. Ce qui n’a pas empêché

les nombreuses interventions des agents critiquant la gestion désastreuse des

responsables qui les lèsent sur plusieurs paramètres inhérents aux promotions, aux

avancements en échelon, sanctions infligées à tort, à la discrimination dont ils sont

victimes au regard de leurs confrères roulants dans le mandatement de primes, des

défalcations abusives des sommes d’argent sur leur fiche de paye sans qu’elles ne

soient justifiées, des rétrogradations injustifiées, etc...

Le PDG n’a pas apprécié la vérité qui sort de la bouche de ses agents qui ont bravé

pour une fois la peur qui les a toujours habités en s’exprimant en toute liberté, en

toute démocratie dans une assemblée qui se veut transparente, en dénonçant la

HOGRA qu’ils ont toujours subi, les mensonges des responsables de la filiale qui ne

se distinguent que par des mesures de représailles, lorsqu’ils réclament un droit ou

dénoncé l’injustice dont ils sont victimes.

En dépit d’une présence qui ne se justifie pas, donc hors la loi, le PDG n’a pas failli à

ses méthodes dictatoriales. A l’issue de l’assemblée générale, il aborde l’agent

TOUAG Salem lui reprochant de lui avoir manqué de respect et l’invite à lui

présenter des excuse par écrit, ce que l’agent a refusé, jugeant qu’il n’a prononcé

aucune parole malveillante, si ce n’est une intervention revendicative en déplorant

une gestion qui l’a lésé à plus d’un titre. Le lendemain 24 Avril 2014, le PDG met son

plan à exécution et donne instructions à son chef de département KECHIT

Abdelkrim, de lui poser une demande d’explications, en guise de représailles, suivie

de sanction. Cette affaire sera commentée en détails avec celle des autres agents, dans

une vidéo à part en introduisant les documents fabriqués par l’administration qui

sait s’illustrer dans l’imaginaire.

Ils camouflent leurs bévues, leurs carences, les infractions dont ils sont eux-mêmes

responsables en s’acharnant sur des agents naïfs et peureux parce qu’ils ont eu tort

d’avoir revendiqué leur droit ou contesté une décision abusive qui ne se justifie pas.

Page 55: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Faut-il rappeler que le PDG a reconnu devant l’assemblée générale des travailleurs

que sa présence était de trop et non conforme au statut UGTA mais a tenu à y être

pour des raisons inavoués.. La question demeure posée au responsable de l’union

locale qui a toléré l’intolérable, sans avoir informé les travailleurs d’une présence

perturbatrice. Monsieur Abdelmadjid Sidi Said, le patron de l’UGTA sera informé

en lui communiquant toutes les vidéos pour information et intervention.

Dans une de mes vidéos, j’ai fait allusion à la convention collective de branche que le

PDG ADJOUT n’applique pas aux travailleurs de la filiale RESTAU RAIL en les

privant des avantages auxquels ils ouvrent droit.

Des confrères m’ont remis une copie et j’en profite pour l’exhiber et donner lecture

de certains articles qui visent l’ensemble du personnel de l’entreprise.

Je ne vais pas lire les 232 articles qui la composent, je me contente d’évoquer ceux

qui sont primordiaux.

Lire les articles 3-4-231 et 232 et montrer la page « inspection du travail et sdu

greffier du tribunal »

Pour le PDG ADJOUT, il trouve normal qu’un agent roulant d’une unité donnée

effectuant le trajet Alger CHLEF, perçoit une prime mensuelle kilométrique entre

10 et 15 000 DA, alors qu’un travailleur de la filiale effectuant le trajet ALGER

ANNABA, perçoit une misérable prime de 180 à 250 DA. IL y va de même pour

l’octroi d’autres primes, entre autres la prime horaire de trajet pour les travailleurs

effectuant les déplacements, les primes de panier, de transports, de femme au foyer

etc…où les écarts sont importants. La question demeure posée à ceux qui sont censés

combattre les inégalités et faire respecter les instructions on ne peut plus claires

entérinés par l’inspection du travail et le tribunal territorialement compétents pour

leur application.

Quelle sanction infligée aux responsables qui les empiètent en pénalisant et

sanctionnant d’honnêtes travailleurs. Je reviendrai sur ces affaires, car je ne

m’arrêterai que lorsque justice sera faite.

Alors que je m’apprêtais à clore cet enregistrement, je reçois un coup de téléphone

m’informant que des responsables de la filiale sont en train de faire pression sur des

travailleurs afin qu’ils votent pour X et Y, dans le cadre du renouvellement de la

section syndicale, sous peine de voir leur contrat de travail résilié

Ces agents ne sont pas dupes et ne veulent pas rater l’occasion qui leur est offerte

pour voter sur des agents en mesure d’apporter le changement radical qui s’impose

pour une meilleure représentativité. Ils se sont solidarisés et ont porté leurs voix sur

ceux qui prônent le changement et instaurer la stabilité de la filiale.

D’ailleurs je vais enregistrer d’autres vidéos à l’attention de la presse écrite et parlée,

pour sensibiliser les journalistes à recevoir et écouter les travailleurs de la filiale qui

seront munis de documents qui attestent les misères qu’ils subissent. Je les

accompagnerai et les assisterai dans leurs démarches.

Toujours est-il que ces enregistrements quand bien même présents sur YOUTUBE,

seront remis par voie officielle à la présidence de la République, au premier ministre,

aux ministère des transports, du travail, au ministère de la justice, à la Direction

générale de la SNTF déjà destinataire de 4 vidéos, à des partis politique afin qu’il y

ait une intervention urgente, dégager une commission d’enquête à l’effet de mettre

Page 56: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

un terme à une gestion despote qui a trop duré et d’envisager des mesures

appropriées à l’encontre de ceux qui commettent du mal dont souffre la filiale et ses

travailleurs. Les agents de cet établissement insistent à ce que je sois parmi les

membres de la commission, étant celui à même d’apporter l’éclairage nécessaire,

voire indispensable aux nombreuses zones d’ombres existantes, difficilement

repérables lorsqu’on ne connait pas les rouages de cette filiale.

Pour mémoire, je rappelle que j’ai été sollicité en 1982 et en 1997 au sein même de ce

service, devenu filiale, afin d’apporter mon savoir faire, (discipline, organisation,

restructuration, amélioration des prestations et rendre confiance aux travailleurs

découragés par des comportements irresponsables de ceux qui sont censés les gérer.

J’ai même inséré un article sur le quotidien EL MOUDJAHID du 08/11/1999 où je

dénonce la mauvaise gestion de cette filiale, gérée selon l’humeur de celui qui la

dirige.

JE DIS BASTA, Y EN AMARRE. Jusqu’à quand le laxisme et l’indifférence que

manifeste la SNTF, les pouvoirs publics à l’égard de ces pauvres malheureux, de ces

incompris.

Page 57: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Cas de l’agent TOUAG Salem

Sanctionné arbitrairement, parce qu’il a

osé dénoncer lors de l’assemblée générale

des travailleurs du 24/04/2014, que les

responsables de la filiale l’ont lésé dans le

déroulement sa carrière professionnelle en

exprimant sa colère d’agent indigné, spolié

de ses droits légitimes.

(Pas de promotions, mandatements de primes non

conformes à la convention collective de branche,

fonctions non conformes au grade et vice versa etc..)

Vous remarquerez sur la demande d’explications

posée par le chef de département de l’administration

KECHIT Abdelkrim le 24/04/2014, que je reproduis

ci-dessous, il a précisé que TOUAG Salem a tenu des

propos désobligeants envers le PDG, lors de

l’assemblée générale des travailleurs, tenue à

HUSSEIN DEY le 23/4/2014.

Page 58: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Sur la réponse de l’intéressé que je reproduis

également dans son intégralité, je reprends un de ses

paragraphes où il précise au PDG ceci.

« Dois-je comprendre que cette demande d’explication converge vers la politique

d’intimidation que la filiale utilise à chaque fois que les travailleurs revendiquent

leurs droits que vous-même, reconnaissez en argumentant que la filiale est à court de

budget pour répondre à nos préoccupations, ce qui n’est pas du ressort des

travailleurs, mais bien de la politique des dirigeants de la filiale.

Vous reconnaissez aussi que lors de cette réunion initiée par le secrétaire général de

l’union locale, votre présence ne se justifiait pas. Nous avions compris que vous vous

êtes imposé à cette réunion à des fins autres que celle qui se veut avec un débat

transparent, démocratique et la liberté d’expression, cette liberté d’expression qui

permet aux travailleurs d’exprimer leur ras le bol d’une gestion qui nous lèse à plus

d’un titre. »

___________________________________________________________________

Sur la notification de sanction où il inflige abusivement 4 jours de mise à pied à

TOUAG, KECHIT prend soin de ne pas mentionner sur le MOTIF que :

« les propos désobligeants aient été tenus au PDG alors qu’il assistait a l’assemblée

générale des travailleurs. Ce qui rendrait caduque et de nul effet la sanction et

culpabiliserait le PDG de s’être introduit dans une réunion où sa présence est

indésirable et en violation des statuts de L’UGTA. »

Le travailleur TOUAG Salem va introduire officiellement auprès de la filiale une

demande d’annulation de cette sanction qu’il n’aurait jamais encourue, informer le

Directeur Général de cette bévue monumentale aux fins d’intervention à son niveau

pour qu’il confirme l’annulation et prendre des mesures nécessaires afin d’éviter

pour d’autres agents de pareilles mésaventures, la porter également à la connaissance

de l’union locale et de la centrale UGTA pour information et intervention.

Bien entendu les agents de la filiale RESTAU RAIL vont entreprendre des

démarches auprès de la presse pour évoquer la situation traumatisante qu’ils

endurent.

Page 59: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Voici copie de la demande d’explications posée au travailleur TOUAG Salem Sur cette demande, observer les fautes d’orthographe commises par le chef de département

« L’assemblée générale tenu sans le (e) et propos désobligeant sans le (s) et la mention tenu répétée

dans une phrase de deux lignes

Page 60: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Voici la réponse de l’agent TOUAG Salem qui a mis dans l’embarras le PDG pour lui avoir dit que

sa présence est illégale et contraire aux statuts de l’UGTA, dans une assemblée générale réservée

exclusivement aux des travailleurs dans le cadre du renouvellement de la section syndicale avec

débat sur les conditions difficiles qu’ils vivent face à des exactions, de privations de droits etc.. .

Monsieur Le PDG,

Comme indiqué sur la demande d’explications posée par le chef de département,

c’est bien précisé qu’il s’agit d’une assemblée générale des travailleurs qui avait

pour objectif le renouvellement de la section syndicale et de débattre des conditions

difficiles que vivent ces mêmes travailleurs lésés et privés des avantages auxquels ils

ouvrent droit.

C’est dans cette optique que je suis intervenu en affirmant que je suis un de ces

travailleurs lésé de mes droits que la filiale m’en prive sans fournir de justifications.

Je suis surpris de constater que le chef de département m’accuse d’avoir proféré des

propos désobligeants sans qu’il ne m’indique lesquels, envers votre personne, ce que

je conteste fermement.

Dois-je comprendre que cette demande d’explications converge vers la politique

d’intimidation de la filiale qu’elle utilise à chaque fois que les travailleurs

revendiquent leurs droits que vous-même reconnaissez, en argumentant que la filiale

est à court de budget pour répondre à nos préoccupations, ce qui n’est pas du ressort

des travailleurs, mais bien de la politique des dirigeants de la filiale.

Vous reconnaissez aussi que lors de cette réunion initiée avec le secrétaire général de

l’union locale, votre présence ne se justifiait pas. Nous avions compris que vous vous

êtes imposé à cette réunion à des fins autres que celle qui se veut avec un débat

transparent, démocratique et la liberté d’expression, cette liberté d’expression qui

permet aux travailleurs d’exprimer leur ras le bol d’une gestion qui nous lèse à plus

d’un titre.

Des confrères sont là pour témoigner que je n’ai prononcé aucune parole

désobligeante. La copie de la demande d’explications et ma réponse seront

communiquées à l’union locale pour information et éventuellement à qui de droit

pour attester comment les travailleurs subissent la HOGRA lorsque nous évoquons

des injustices qui pénalisent nos carrières professionnelles.

Page 61: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Sur la notification de sanction, le PDG prend soin de ne pas mentionner que les propos désobligeants

auxquels il fait allusion, lui sont tenus lors de l’assemblée générale des travailleurs, ce qui le culpabilise

d’une présence illégale et contraire aux statuts de l’UGTA. L’agent TOUAG, dans sa réponse lui a mis

les points sur les « i », ce que le PDG n’a pas apprécié en maintenant une sanction qui relève de la

dictature, d’une décision abusive, mais caduque et de nul effet, compte tenu de la grosse bévue

commise par le PDG, en imposant sa présence dans un endroit qui lui était interdit. Observer La faute

d’orthographe propos désobligeant sans(s) commise par des responsables gestionnaires

Page 62: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Démarches que l’agent TOUAG

Salem a entreprises pour manifester

son indignation à la suite de la

demande d’explications reçue qui

est illégale et mensongère.

Page 63: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Monsieur TOUAG Salem

Antenne D’AGHA

Alger, le 27 Mai 2014

Monsieur Le PDG de la Filiale RESTAU RAIL

12, Avenue de L’ALN – HUSSEIN DY - ALGER

Objet / Sanction du 23 Avril 2014 infligée à tort

Monsieur Le PDG,

Je rappelle à votre bon souvenir qu’en date du 23 Avril 2014, s’est tenue une assemblée

générale, portant sur le renouvellement de la section syndicale de la filiale. Cette assemblée

présidée par le secrétaire de l’union locale était réservée exclusivement aux travailleurs.

Vous aviez assisté sans l’avis des travailleurs, en imposant votre présence, en violation des

statuts de l’UGTA.

Au cours des débats qui ont suivi, des travailleurs avaient exprimé leur colère sur les droits

dont ils ont été privés et les injustices dont ils sont victimes. J’ai soulevé mon pour

manifester mon mécontentement sur les promotions qui devaient m’être octroyés et que je

ne voyais pas venir, en faisant ressortir que la filiale nous a toujours bernés par des

mensonges au lieu de répondre à nos attentes légitimes.

A l’issue de la réunion, vous m’avez abordé à l’extérieur en me disant de vous présenter des

excuses par écrit, faisant allusion à mon intervention légitime et revendicative que vous

aviez considérée comme propos désobligeants.

Je vous ai répondu poliment qu’à aucun moment je n’ai proféré des propos désobligeants à

votre encontre, ce n’est pas de mes habitudes. J’ai refusé de vous présenter des excuses, ce

qui aurait légitimé la demande d’explications qui m’a été posée le lendemain 24/4/2014 par

votre chef de département Kechit Abdelkrim.

Je crois avoir été très clair dans ma réponse en confirmant que je ne vous ai pas tenu de

propos désobligea nts et que la demande d’explications relève da la pure machination. Des

confrères présents dans la salle pourront témoigner de ma bonne foi, en c as de nécessité.

Quand bien même les explications fournies et ma bonne foi dans cette affaire, vous

m’infligez abusivement, arbitrairement 4 jours de mise à pied en faisant volontairement

abstraction, sur le libellé de la sanction que les sois disant propos désobligeants aient été

prononcés en assemblée générale. Ce qui vous aurait embarrassé de votre présence illégale.

Compte tenu de ce qui précède, je vous demande de revoir ce cas aux fins d’annulation de

la sanction qui n’a pas sa raison d’être.

Toujours est-il que pour faire valoir le bien fondé de ma revendication et être réhabilité

dans mon droit, je porterai cette affaire auprès du secrétaire général de la section syndicale

de la filiale, du secrétaire de l’union locale, du Directeur Général de la SNTF, de

l’Inspection du travail, des médias et des pouvoirs publics pour information et intervention.

Signé : TOUAG Salem

Page 64: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Monsieur TOUAG Salem

Antenne D’AGHA

Alger, le 27 Mai 2014

Monsieur Le Secrétaire Général du Syndicat

National de la Filiale Restau Rail - AGHA -

Objet / Sanction du 23 Avril 2014 infligée à tort

PJ / (1) Copie de la requête adressée au PDG

Monsieur Le Secrétaire Général,

Je porte à votre connaissance que je suis victime d’injustice du PDG de la filiale ADJOUT

Djamal en m’infligeant à tort la sanction de 4 jours de mise à pied, une sanction qui relève

de la machination fabriquée par le PDG et son chef de département de l’administration

Générale KECHIT Abdelkrim.

Le PDG me reproche de lui avoir tenu des propos désobligeants durant l’assemblée

Générale des travailleurs tenue le 23 Avril 2014 à l’occasion du renouvellement de la

section syndicale, alors que je n’ai fait que revendiquer les promotions auxquelles j’ouvre

droit. Je n’ai pas manqué de dénoncer les mensonges de la filiale qui nous promet de faire le

nécessaire sans qu’elle ne réponde aux attentes des travailleurs qui y sont bernés. Faut-il

rappeler à cet effet que le PDG a imposé sa présence qui n’est pas tolérée dans pareille

assemblée générale.

Les nombreux camarades présents sont prêts à témoigner que je n’ai tenu à aucun moment

les propos qui relèvent de l’imagination de ce responsable. Je viens de lui adresser la

requête dont ci-joint copie pour lui demander d’annuler la sanction infligée à tort.

Je vous communique pour information copies de la demande d’explications, la réponse

introduite pour justifier ma bonne foi dans cette machination concoctée à des fins de

persécution et d’intimidation qui consiste à étouffer toute velléité de travailleurs qui

oseraient revendiquer des droits que le PDG transforme comme bon lui semble en infligeant

des sanctions concoctées. Je transmets également une requête auprès de l’inspection du

travail pour déposer plainte afin d’être rétabli dans mon droit et dédommager du préjudice

moral subi. Le Directeur Général de la SNTF sera informé pour intervention afin qu’il

prenne les mesures appropriées.

Accepte mes sincères salutations.

Signé : TOUAG Salem

Page 65: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Monsieur TOUAG Salem

Antenne D’AGHA

Alger, le 27 Mai 2014

Monsieur L’Inspecteur du travail

- AIN NAADJA -

Objet / Sanction du 23 Avril 2014 infligée à tort

PJ / trois (3)

Monsieur L’Inspecteur du travail,

J’ai l’honneur de porter à votre connaissance que je suis victime d’injustice du PDG de la

filiale RESTAU RAIL ADJOUT Djamal qui m’a infligé à tort la sanction de 4 jours de

mise à pied, une sanction qui relève de la machination fabriquée par le PDG et son chef de

département de l’administration Générale KECHIT Abdelkrim.

Le PDG me reproche de lui avoir tenu des propos désobligeants lors de l’assemblée

Générale des travailleurs tenue le 23 Avril 2014 à l’occasion du renouvellement de la

section syndicale, alors que je n’ai fait que revendiquer les promotions auxquelles j’ouvre

droit. Je n’ai pas manqué de dénoncer les mensonges de la filiale qui nous promet de faire le

nécessaire sans qu’elle ne réponde aux attentes des travailleurs qui y sont bernés. Faut-il

rappeler à cet effet que le PDG a imposé sa présence qui n’est pas tolérée dans pareille

assemblée générale, en violation des statuts de L’UGTA.

Les nombreux camarades présents sont prêts à témoigner que je n’ai tenu à aucun moment

les propos qui relèvent de l’imagination de ce responsable. Je viens de lui adresser la

requête dont ci-joint copie pour lui demander d’annuler la sanction infligée à tort.

Je vous communique pour information copies de la demande d’explications, la réponse

introduite pour justifier ma bonne foi dans cette machination concoctée à des fins de

persécution et d’intimidation qui consiste à étouffer toute velléité de travailleurs qui

oseraient revendiquer des droits que le PDG transforme comme bon lui semble en infligeant

des sanctions concoctées. Dans le prolongement de cette requête, j’informe le Directeur

Général de la SNTF, tutelle de cette filiale pour intervention. Cette plainte a pour objectif

d’être confronté avec le PDG et son chef de département de l’Administration Générale, aux

fins d’annulation de la dite sanction et porter cette affaire auprès du tribunal territorialement

compétent pour paiement des dédommagements pour préjudice moral subi.

Veuillez agréer Monsieur L’Inspecteur, l’expression de mes salutations distinguées.

Signé : TOUAG Salem

Page 66: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

DOCUMENTS JOINTS

1 / Copie de la Demande d’explications

2 / Copie de la notification de sanction de 4 jours de mise à pied, infligée à tort

3 / Copie de la requête adressée au PDG

Page 67: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Monsieur TOUAG Salem

Antenne D’AGHA Alger, le 27 Mai 2014

Monsieur Le Directeur Général de la SNTF

21/23, Boulevard Mohamed V - ALGER -

Objet / Sanction du 23 Avril 2014 infligée à tort

PJ / trois (3)

Monsieur Le Directeur Général,

J’ai l’honneur de porter à votre connaissance que je suis victime d’injustice du PDG de la

filiale RESTAU RAIL ADJOUT Djamal qui m’a infligé à tort la sanction de 4 jours de

mise à pied, une sanction qui relève de la machination fabriquée par le PDG et son chef de

département de l’administration Générale KECHIT Abdelkrim.

Le PDG me reproche de lui avoir tenu des propos désobligeants durant l’assemblée

Générale des travailleurs tenue le 23 Avril 2014 à l’occasion du renouvellement de la

section syndicale, alors que je n’ai fait que revendiquer les promotions auxquelles j’ouvre

droit. Je n’ai pas manqué de dénoncer les mensonges de la filiale qui nous promet de faire le

nécessaire sans qu’elle ne réponde aux attentes des travailleurs qui y sont bernés. Faut-il

rappeler à cet effet que le PDG a imposé sa présence qui n’est pas tolérée dans pareille

assemblée générale, en violation des statuts de L’UGTA.

Les nombreux camarades présents sont prêts à témoigner que je n’ai tenu à aucun moment

les propos qui relèvent de l’imagination de ce responsable. Je viens de lui adresser la

requête dont ci-joint copie pour lui demander d’annuler la sanction infligée à tort.

Je vous communique pour information copies de la demande d’explications, celle de la

réponse introduite pour justifier ma bonne foi dans cette machination concoctée et de la

sanction.

Le comportement de ce responsable qui ne sait s’illustrer qu’à travers des sanctions

infligées à tort, des mesures de représailles, de privations des droits des travailleurs, sont

largement commentées dans des vidéos introduites sur YOUTUBE par Monsieur SAIDI

Mohamed, cadre retraité de la SNT et ex responsable du service restauration hôtellerie qui a

beaucoup contribué à la bonne marche de cette filiale. Les travailleurs le soutiennent dans

toutes les démarches qu’il entreprend pour la sauvegarde de notre la filiale et la

préservation de nos droits.

Compte tenu de ce qui précède, je vous saurais gré Monsieur Le Directeur Général de bien

vouloir intervenir auprès du PDG, afin d’annuler la dite sanction, et prendre les mesures

appropriées, afin qu’il cesse ses méthodes esclavagistes.

Veuillez agréer Monsieur Le Directeur Général, l’expression de mes salutations

distinguées.

Signé : TOUAG Salem

Page 68: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

DOCUMENTS JOINTS

1 / Copie de la Demande d’explications

2 / Copie de la notification de sanction de 4 jours de mise à pied, infligée à tort

3 / Copie de la requête adressée au PDG

Page 69: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

CAS D’EXACTIONS SUR D’AUTRES

AGENTS A L’ISSUE DE

L’ASSEMBLEE GENERALE DES

TRAVAILLEURS

Page 70: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Il déverse sa méchanceté, sa haine sur d’autres travailleurs, les privant de

puce de service utilisée pour les besoins de leur travail, leur interdisant

l’utilisation du frigidaire et la cuisinière mises pourtant à leur disposition et

envoie ses mercenaires dans certaines structures exécuter de la basse

besogne, pour faire pression sur des travailleurs qu’ils risquent le

licenciement en prétextant que les chantiers de nettoyage et lavage dans

lesquels ils exercent, seraient versés aux DRF (Direction Régionale

Ferroviaire ) s’ils ne voteront pas pour les candidats désignés par

l’administration lors du renouvellement de la section syndicale.

A cet effet, je rappelle au bon souvenir de la Direction Générale de la

S.N.T.F que les chantiers de nettoyage, lavage ont toujours fait partie

intégrante des structures du service RESTAURATION HOTELLERIE

depuis 1979, année de sa création.

Personnellement je suis prêt à porter ma contribution, confirmer mes

déclarations sur l’existence de ces chantiers. Je suis prêt à participer au

redressement qui s’impose dans cette filiale comme je l’ai toujours fait

durant ma présence aux chemins de fer.

Page 71: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

CAS DE L’AGENT BOUZEROURA ABAS,

PRIVE DE SES DROITS,

SANCTIONNE ARBITRAIREMENT,

RETROGRADATION ABUSIVE

SOUMIS A DE FORTES PRESSIONS

Page 72: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

J’évoque le cas du travailleur BOUZEROURA Abas, parce qu’il fait partie des

anciens qui ont participé la bonne santé de la Filiale et l’ayant connu personnellement

en 1997, lorsque la Direction générale m’avait fait appel pour sortir la Filiale de la

zone de turbulence où elle agonisait.

Bouzeroura et d’autres agents m’ont aidé dans ma tâche pour redresser une situation

au bord du K.O, le K.O dans lequel végète actuellement cet établissement.

IL fait partie des travailleurs qui se sont déplacés à mon domicile pour solliciter mon

aide, dans la mesure où je peux faire quelque chose pour eux, pour la filiale, afin de les

sortir de l’impasse où ils se trouvent.

Documents avérés à l’appui, je vais prouver que lorsqu’un bon élément fait

correctement son travail, revendique des droits qui doivent lui être octroyés dans le

droit fil des lois de la République et de la règlementation de la société, lorsqu’il veut

prouver que la filiale le freine dans sa carrière professionnelle, ce qui est légitime, le

PDG ADJOUT Djamal en fait un ennemi et utilise tous les subterfuges, tous les

stratagèmes pour le briser, l’humilier, le pousser au départ ou trouve le moyen de le

licencier, comme il l’a déjà fait avec d’autres travailleurs.

Dans le cas de Bouzeroura, il le sanctionne à deux reprises, lui collant 2 infractions

dans une seule affaire, le rétrograde et le met en congé d’office sans solde. Du jamais

vu durant mes 34 années d’exercice à la S.N.T.F.

Bouzeroura avait assuré en aller – retour le train A.T/T.A sur ANNABA du 11/08 au

13/08 2010.

Aussi bien à l’aller qu’au retour le Procès Verbal de réception et d’Armement n’a fait

l’objet d’aucune réserve entre les deux parties « Bouzeroura et l’agent chargé de la

réception et de la passation du matériel se trouvant à bord des voitures couchettes.

Aucune réserve n’a été mentionnée dans la colonne prévue à cet effet.

Le PDG de la filiale pour des raisons que lui seul connait a engagé une procédure

disciplinaire à son encontre, lui reprochant un manquant de 17 draps jetables, appelés

dans le jargon de la filiale KIT.

Malgré les explications fournies par l’intéressé, appuyées par le Procès Verbal de

réception et d’armement du matériel qui n’indique aucune mention sur la colonne y

afférente, réservée à cet effet, le PDG trouve le moyen de lui imposer le manquant en

question et de lui infliger 2 sanctions, portant la même date du 13/08/2010 qui

correspond à la date du retour du train en provenance d’ANNABA.

La première sanction c’est la rétrogradation avec affectation au service des wagons

bars, en se basant sur le motif du détournement des biens et moyens de l’entreprise à

des fins personnelles.

La 2e sanction c’est 6 jours de mise à pied avec comme motif, négligence dans

l’exécution des tâches inhérentes au poste de travail sans indiquer de quelle négligence

il s’agit.

L’intéressé a introduit un recours en donnant des explications convaincantes et de

rappeler qu’en 20 ans de loyaux services, il n’a pas fait l’objet d’un tel complot qu’il

qualifie de machination.

Page 73: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

L’affaire a été introduite auprès de l’Inspection du travail et du tribunal

territorialement compétents. Ce dernier a par décision n° 11/01319-11/02642 du

18/05/2011 statué en faveur de Bouzeroura.

Munie de la décision de justice qui reconnait le bien fondé de BOUZEROURA, celui-ci

a adressé à la filiale une requête qu’il a rappelée afin d’être rétabli dans ses droits

spoliés. Annulation des sanctions et rétablissement de son grade d’origine,

remboursement des mises à pied, ce que le PDG n’a jamais appliqué à ce jour.

Je rappelle au PDG que même s’il y avait cumul d’infractions au train AT du même

jour et à la même date, ce qui n’est pas le cas, il ne peut y avoir deux sanctions

différentes. Quand il dit, détournement des biens et moyens de l’entreprise à des fins

personnelles, c’est encore trop fort, puisque les kits c’est des draps jetables que

personne ne peut utiliser à des fins personnelles et détournement des biens de

l’entreprise.

Dans le cas de la rétrogradation prononcée, il ne cite pas le grade qu’avait l’agent et le

nouveau auquel il le destine dans le cadre de la sanction.

ADJOUT a montré son abus et son incompétence de gestionnaire de Ressources

humaines, où on lui fait avaler n’importe quoi.

J’assisterai BOUZEROURA dans la prise en charge de cette affaire en intervenant là

où il faut en informant la Direction Générale de la SNTF sur l’utilisation de pseudos

gestionnaires qui ne sont que des tortionnaires et que leur place n’est pas au sein de la

filiale qu’ils clochardisent et salissent l’image de la S.N.T.F. L’inspection du travail, le

ministre du travail, le ministre des transports et autres responsables seront également

informés par requête et envoi des vidéos.

IL faut que ADJOUT Djama l – KECHIT Abdelkrim et ALLOUNE Fawzi, le trio

tortionnaire, les bourreaux de la filiale, comparaissent devant l a justice, confrontés

à BOUZEROURA, TOUAG et les autres ayant subi les mêmes sévices afin qu’ils

paient de leurs méthodes esclavagistes, colonialistes. Nous y tenons à ce que notre

justice fasse correctement son travail. Elle sera informée par requête et l’envoi des

vidéos pour une meilleure prise en charge de ce lourd dosser.

Page 74: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

VOICI DANS L’ORDRE LES DOCUMENTS

SCANDALEUX QUI BRISENT LA VIE D’UN

TRAVAILLEUR, D’UN PERE DE FAMILLE

QUI EXERCE DEPUIS PLUS DE 20 ANS DANS

LA FILIALE.

Page 75: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Convocation non datée, comportant des fautes d’orthographe et une rédaction de

débutant, signée par un cadre dirigeant.

Page 76: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

La lettre avec pour objet mesure conservatoire, qui a pour signification, le but de

conserver un droit, un droit qu’on renie, qu’on refuse à BOUZEROURA. Son contenu

n’est que mensonges comme je l’ai démontré précédemment et explicité sur les

sanctions infligées.

Page 77: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Le Procès Verbal de réception et d’armement du matériel, document officiel qui

n’indique aucun manquant à l’arrivée du train AT/TA du 13/08/ 2010. Sur la colonne

de droite, aucune mention sur le manquant n’a été portée par l’agent réceptionniste. Le

sois disant manquant relève de l’imagfination de celui qui impute à tort et

arbitrairement 17 draps jetables qu’on ne peut même pas utiliser chez soi.

Page 78: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

La sanction infligée à Bouzeroura relève d’un abus d’autorité et n’a pas sa raison

d’être. Le manquant que le PDSG lui impute n’a pas fait l’objet de réserve sur la

colonne adéquate du PV de reconnaissance contradictoire, document officiel. Si

manquant il y avait, il ne s’agit pas d’un détourenement des biens et moyens de

l’entreprise à des fins personnelles. A moins que le PDSG ne sache pas discerner la

signification de ces mots ??

Page 79: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Même s’il y a eu infraction, elle aurait du faire l’objet d’un cumul, puisqu’il s’agit du

même train. La négligence n’existe pas, le PDG ne mentionne pas sa nature. Si le

PDG fait allusion à l’absence d’un travailleur, elle est du ressort du chef

hiérarchique, seul habilité à faire de tels constats et non de Bouzerroura.

Page 80: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Le recours introduit par l’agent BOUZEROURA n’a pas eu de suite, même négative.

Page 81: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

AUTRES CAS – AUTRES ATTENTES

IL Y A D’AUTRES D’AGENTS QUI SONT VENUS ME VOIR, SE PLAINDRE DES

AMPUTATIONS INJUSTIFIEES SUR LEUR SALAIRE, FICHE DE PAYE

EXHIBEE ET DE RETROGRADATION JUSQU'A 2 NIVEAUX, SANS AVOIR

COMMIS LA MOINDRE INFRACTION ET SANS RECEVOIR LA FAMEUSE

DEMANDE D’EXPLICATIONS. « 7 P1 »

PAR CRAINTE DE REPRESAILLES ILS NE VEULENT PAS QUE JE DIVULGUE

LEURS NOMS. JE RESPECTE LEUR CHOIX.

ILS LE FERONT EN PRESENCE DE LA COMMISSION CHARGEE

D’ENQUETER SUR LES ZONES D’OMBRE QUI ONT OBSCURCI LE SITE DE

LA FILIALE.

UN CAS AUSSI IMPORTANT QUE LES AUTRES QUI

MERITE UNE ATTENTION PARTICULIERE

IL S’AGIT D’UN AGENT QUI A EXERCE EGALEMENT DU TEMPS DE MA

PRESENCE AU SEIN DE LA FILIALE QUI M’A REMIS COPIE DE LA

DEMANDE D’EXPLICATIONS QU’ON LUI A POSEE SUIVIE DE LA LOURDE

SANCTION INFLIGEE A TORT.

UNE SANCTION ARBITRTAIRE QU’ON LUI A COLLEE POUR MASQUER LE

MENSONGE DU VERITABLE AUTEUR DE L’INFRACTION ET DE

L’EMBARRAS DU POSEUR DE LA DEMANDE D’EXPLICATIONS LORSQUE

LA REPONSE DE L’AGENT A DEVOILE LA VERITE.

D’ailleurs le libellé de la sanction ne correspond pas du tout à l’infraction

reprochée.

Je ne donne pas de détails sur cette grave affaire qui peut a mener leurs auteurs à la

masquer, c’est des spécialistes en la matière. Je laisse le soin à la commission

d’enquête que j’aiderai pour découvrir ce subterfuge qui fait honte à la filiale et à la

S.N.T.F en particulier.

Cet agent y tient particulièrement à ce que son cas qui l’a lourdement pénalisé et

traumatisé, soit traitée avec rigueur et détermination qui lui permettra de rentrer

dans ses doits et être réhabilité.

Page 82: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

CAS DE MADAME BACHIR Houria

Cas de Madame Bachir Houria rétrogradée à tort de 2 niveaux suite à la demande de

mise en disponibilité d’une année sollicitée en Avril 2009, consécutivement à sa maladie

qui nécessitait des soins particuliers. Sa demande lui a été accordée sans réserve et à

l’issue de laquelle le PDG l’a rétrogradée de 2 niveaux sans aucune justification.

Malgré les requêtes transmises pour qu’on lui redresse sa situation, aucune suite ne lui a

été donnée et demeure privée arbitrairement des 2 niveaux.

Ci-dessous les fiches de paye qui attestent la suppression des 2 niveaux et copie des

requêtes adressées au PDG demeurées sans suite.

Les 2 fiches de paye ci-dessous attestent la suppression de 2 niveaux. Avant sa disponibilité, elle était à

E4, ensuite rétrogradée à E2 à sa reprise de service sans aucune justification

Page 83: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle
Page 84: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle
Page 85: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle
Page 86: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle
Page 87: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle
Page 88: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle
Page 89: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Je reproduis l’article que j’ai fait insérer sur le quotidien EL MOUDJAHID du

08/11/1999, en dénonçant l’arbitraire qui se passait déjà dans cette filiale, prouvant

que j’ai toujours défendu la cause des travailleurs victimes d’injustice, même en étant

en retraite.

Page 90: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

CAS DE MA FILLE SOUMIA

Cas de ma fille Soumia qui continue de souffrir du traumatisme que lui a causé son

licenciement arbitraire, abusif, en violation de la loi 90-11 du 21/4/1990. Je rappelle

que cette affaire a fait l’objet d’un dépôt de plainte auprès de l’inspection du travail

qui a établi le PV de non conciliation, prenant soin de noter que son employeur s’est

abstenu à se présenter dans ses services faisant fi aux 2 convocations d’usage qui lui

étaient adressées, sachant qu’il n’a aucun argument valable à faire valoir.

Le tribunal territorialement compétent, chargé d’instruire ce dossier a statué par

décision n° 2135/01 du 13/11/2002 en faveur de ma fille sur sa réintégration et

indemnisation pour préjudice moral subi.

Quand bien même cette décision, le Directeur Général Lalaimia Abdelhamid avait

opposé son véto à la réintégration de SOUMIA. IL a agi par mesure de représailles,

suite aux révélations que j’ai faites sur la corruption et dysfonctionnement de la SNTF

en l’impliquant. IL a fini par être relevé comme un malpropre en Mars 2008, sorti par

le trou de la serrure de son bureau. Je ne m’étalerai pas sur ce sujet sur lequel je

reviendrai longuement sur un autre site en introduisant tout un arsenal de vidéos et

documents y afférents.

Ce qui est intéressant pour ma fille c’est de continuer la lutte que je mène contre le

PDG ADJOUT Djamal afin de la faire rétablir dans ses droits et démontrer dans la

continuité la HOGRA, l’injustice, le mépris, l’escroquerie, l’abus d’autorité,

l’esclavagisme, le mensonge, dont se sert ce PDG pour briser, anéantir, humilier,

licencier, utiliser tous les moyens illégaux pour assouvir ses basses besognes à l’endroit

des travailleurs qui revendiquent un droit légitime et règlementaire ou contester des

décisions qui sont en violation des lois de la République et de la règlementation en

vigueur. J’ai mis en relief les précédents cas qui ne sont que des échantillons, tellement

ils sont nombreux et qui seront dévoilés INCHALLAH par la commission d’enquête

que j’aiderai dans ses investigations.

Pour revenir au cas de ma fille, le PDG ADJOUT a reçu des instructions du nouveau

DG BENAMEUR Mourad qui a remplacé Lalaimia, afin de la réintégrer en

appliquant la décision de justice. LE PDG a fait la sourde oreille jusqu’à ce que je lui

adresse un courrier pour lui demander de m’indiquer le motif de son refus. C’est à

partir de là que ce responsable a commencé à déblatérer, à bâtir sur du mensonge en

refusant jusqu’à ce jour le rappel des salaires auxquels elle ouvre droit. « De la date

du licenciement abusif jusqu’à celle de son retour effectif. »

C’est ce qui m’incite à introduire des vidéos et autres requêtes afin de les porter à la

connaissance des internautes et qu’ils constatent de visu l’entêtement du PDG qui

refuse d’exécuter les lois de la République, les instructions du chef du gouvernement et

celles de la centrale UGTA qui l’invite à leur application.

La Direction Générale de la S.N.T.F, informée de la gabegie de ce PDG n’a pas réagi

aux nombreuses requêtes qui lui étaient destinées. Dois-je comprendre que le PDG

jouit de protection et d’impunité du DG qui le laisse gérer comme bon lui semble,

continuant sa politique de colonialiste, d’exploiteur de travailleurs. Nous ne pourrons

plus tolérer d’être considérés comme des esclaves et le PDG l’apprendra à ses dépens,

tôt ou tard.

Page 91: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Le PV de non conciliation de l’Inspection du travail qui précise l’absence de l’employeur aux

convocations d’usage. Celui-ci ne pouvait se justifier d’aucun argument attestant le licenciement

abusif dont a été victime ma fille. IL a préféré s’abstenir pour éviter la confrontation qui l’aurait

embarrassé.

Page 92: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

La grosse de la décision de jugement n° 2135/01 du 13/11/2001 statuant réintégration et

indemnisation que l’employeur a refusé d’exécuter

Page 93: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle
Page 94: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle
Page 95: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Lettre de son avocat qui précise à ma fille que le tribunal d’Hussein Dey a statué par la décision n° 2135/01 du

13/11/2002 sur la réintégration et 10.000,00 DA au titre d’indemnisation

Page 96: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Notification d’exécution de la décision de justice n° 2135/2001 du 13/11/2002,

remise à l’employeur le 27/01/2003, contre accusé de réception, son cachet faisant

foi, alors que le PDG avance que ma fille ne s’est jamais manifestée depuis

2002. Quelle honte pour un PDG d’avancer de telles aberrations !!!

Page 97: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Notification de non exécution de la décision du tribunal établie le 16/02/2003, donc

bien après 2002, par l’huissier de justice qui atteste le refus de l’employeur de

procéder à la réintégration de Soumia. Et dire que le PDG ADJOUT Djamal

cherche à endosser la responsabilité de ma fille, en écrivant noir sur blanc qu’elle

n’a pas manifesté sa volonté de réintégrer son service. Autre gros mensonge

Page 98: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Article de Journal qui reprend les déclarations du chef du gouvernement Ahmed Ouyahia

portant sur les conditions de réintégration des travailleurs munis de décisions de justice

statuées en leur faveur. Ce que le PDG Adjout Djamal refuse d’appliquer, faisant obstacle aux

instructions du chef du gouvernement.

Page 99: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Lettre de la centrale UGTA adressée le 11/11/2003 au DG/SNTF lui rappela nt les

textes de la constitution, les circulaires du Chef du Gouvernement, portant sur la

réintégration des travailleurs en possession des décisions de justice, l’invitant à

réintégrer Soumia et régulariser ses salaires avec effet rétroactif. Et dire que

ADJOUT Djamal en possession de tous ces renseignements, débite des mensonges

aussi gros que la filiale qu’il gère en continuant de maintenir son VETO.

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Page 101: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Instructions de la note de la Direction des Ressources Humaines- Département Réglementation référencée

XRH-XP1-CX N° 22-02/2005 du 05 Février 2005 qui précise que toutes les décisions de justice rendues en

dernier ressort, deviennent exécutoires et suivies d’un pourvoi en cassation, ce qui n’a pas été respecté par

l’employeur, en ce qui concerne ma fille

Page 102: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Dans le prolongement des instructions de la DRH J’ai adressé le 10/3/2005 au DG/SNTF la

requête ci-dessous lui demandant leur application qui, malheureusement n’ont pas été respectées.

Page 103: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Attestation de non opposition établie par le tribunal d’Hussein Dey le 26/05/2005, alors que l’employeur

se cantonne dans son refus à la dite réintégration.

Page 104: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Attestation de non appel qui atteste que l’employeur n’a pas contesté la décision de réintégration mais

maintient son refus entravant les instructions fermes des pouvoirs publics, portant sur la réintégrations

des agents en possession des jugements prononcés en leur faveur.

Page 105: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Monsieur SAIDI Mohamed Alger, le 02 Août 2008

Cité des Eucalyptus, Bât 5, esc. C

Rampe Louni Arezki

16017 Haute Casbah ALGER

Télé : 0560 15 61 22

Monsieur Le Directeur Général de la SNTF

Objet/ Réintégration de ma fille Saidi Soumia

Référ / Mes requêtes des 13 Avril – 05 Mai et 14 Juillet 2008

Monsieur Le Directeur Général,

Par mes requêtes des 13 Avril et 05 Mai 2008, je vous ai fait part de la genèse des revendications

inhérentes à nos situations socio professionnelles, la mienne et celles de mes enfants KARIM et

SOUMIA, dans le cadre de la régularisation de mon cas, du repositionnement de Karim et de la

réintégration de Soumia.

Karim vient de constater sur sa fiche de paie de Juillet 2008, son repositionnement au niveau C4,

conformément aux instructions de la DRH et de la décision de justice, dans l’attente de percevoir

son autre dû prochainement. Je crois que sans votre sagesse et la compréhension dont vous aviez

fait preuve dans ce triste dossier, l’affaire serait toujours en justice, quand bien même son

aboutissement est le reflet de la décision du CDE.

En parallèle, par requête du 14 Juillet 2008, je vous ai fait part d’envisager en deuxième temps la

réintégration de ma fille SOUMIA, dans le droit fil de la décision de justice du tribunal de Hussein

DEY qui avait statué sa réintégration et une indemnisation de 100.000 DA pour préjudice moral

subi.

Lalaimia s’est contenté de lui octroyer l’indemnisation des 100.000 DA en prétextant qu’il

s’agissait de l’indemnité de fin de contrat, interprétation, qui n’engageait que lui, puisque les

conclusions du jugement sont claires, et confirmées par la grosse de jugement datée du 25 Juin

2008 confirmant et notifiant la réintégration.

Faut-il rappeler que ma fille avait été licenciée arbitrairement, abusivement sur injonction de

Lalaimia alors qu’elle se trouvait en situation de maladie, bulletin de visite médicale délivré par

son service et les arrêts de travail obtenus auprès du médecin du réseau. La genèse a été explicitée

dans mes requêtes antérieures.

Afin de prouver la revendication légitime, portant sur la réintégration de ma fille, je vous

communique ci après, les documents de droit qui attestent le bien fondé de ma requête.

- Notification du jugement de réintégration remis à la filiale RESTAURAIL

- Notification de non exécution et carence de la SNTF, en violation du jugement rendu

- Attestation de non opposition délivrée par le tribunal de Hussein Dey qui prouve que la

SNTF ne s’est pas opposée au dit jugement

- Attestation de non appel établie par la Cour D’Alger qui prouve également que la SNTF

n’a pas fait appel pour contester le dit jugement

Page 106: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

- La lettre de la centrale UGTA, adressée à Lalaimia par le Secrétaire National chargé des

conflits qui lui rappelle de se conformer aux décisions de justice et de respecter les lois de la

République ainsi que les orientations du Chef du Gouvernement et que nul ne doit être au dessus

des lois de la République

- La lettre de l’avocat Nabil Beloula qui informe ma fille de la décision de justice ayant statué à sa

réintégration.

- Articles de presse, portant sur la réintégration des agents ayant fait l’objet de suspension

Ces documents devant être notifiés par Huissier de justice, mon avocat m’a conseillé de les

transmettre personnellement afin de m’éviter des frais inutiles.

Comptant sur votre sens d’équité quant à rétablir dans leurs droits les agents victimes d’injustice,

de Hogra durant l’ère dictatoriale de Lalaimia, je suis persuadé Monsieur Le Directeur Général,

qu’en présence de la réalité, de la vérité reproduite par les documents ci-annexés, vous prendriez

la même décision qui a permis à mon fils Karim de rentrer légitimement dans son droit qui lui a

été dénié auparavant.

Dans cette attente, je vous prie de croire, Monsieur Le Directeur Général, à l’expression de ma

haute considération.

Signé : SAIDI Mohamed, retraité SNTF

Page 107: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Requête adressée au PDG RESTAURAIL, remise contre accusé de réception de son

secrétariat. « à noter que le N° de télé et mon e mail ont changé »

Page 108: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Réponse du PDG non datée, non référencée, notifiée par huissier de justice. Le PDG

s’articule sur des mensonges, sans éprouver aucune honte.

Page 109: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Les requêtes qui lui sont adressées démontrent le contraire de ses mensonges et sont

demeurées à ce jour sans suite.

_______________________________________________________________________

_

Monsieur SAIDI Mohamed

Cité des Eucalyptus, Bat 5, esc. C

Rampe Louni Arezki

16017 Haute Casbah ALGER

Tél 0550 14 64 90 Alger, le 10 Mars 2009

Monsieur Le Président Directeur Général

De la Filiale RestauRail

12, Avenue de L’ALN Hussein Dey

Référence : - Votre lettre remise par Maître ZEGHLOUCHE Lamia Huissier de Justice

- Ma lettre du 07 Février 2009

Monsieur Le PDG,

Consécutivement à votre lettre adressée à ma fille Soumia remise par l’huissier de

justice le 21 Février 2009, l’invitant à la reprise de ses activités sous huitaine, elle

s’était présentée à vos services le 1er

mars 2009.

L’ayant accompagnée nous avions été reçus par vos collaborateurs Messieurs

ALLOUNE et BOUZZA qui nous ont fait part de votre absence pour mission et que sa

réintégration se fera en votre présence. Monsieur ALLOUNE Fawzi, lors de notre

entrevue téléphonique du 08 Mars 2009 me fait part de la réintégration de Soumia le

Samedi 14 Mars dans l’après midi.

Inutile de vous dire monsieur le PDG que votre lettre portant réintégration de ma fille

dans le droit fil de la décision de justice, nous comble de joie. Cette nouvelle que nous

considérons comme une bouée de sauvetage, lui redonne cet espoir de retrouver la

sensation de se remettre au travail, espoir que nous avons toujours entretenu après la

cabale criminelle fomentée par Lalaima dans la préméditation de la résiliation de son

contrat de travail, alors qu’elle se trouvait en position de maladie.

Je constate cependant à la lecture de votre lettre, que vous ignorez les tenants et

aboutissants de la machination dont elle a été victime, lorsque vous lui déclarez qu’elle

n’a jamais manifesté la volonté de réintégrer son poste de travail, après son

indemnisation en 2002. Permettez moi de faire la mise au point suivante.

La section sociale du tribunal de Hussein Dey a, par jugement n° 2135/01 du

13/11/2002 statué

A/ d’une part à la réintégration de Mademoiselle SAIDI Soumia à son poste de travail

B / d’autre part à l’indemnité de 100.000 DA pour préjudice moral subi

Ce jugement a été notifié le 27/01/2003 par huissier de justice à l’employeur qui l’a

sciemment violé et amputé dans son application intégrale en lui donnant une

Page 110: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

interprétation comme l’entendent ceux qui sont derrière la machination monstrueuse

fabriquée honteusement.

C’est ainsi que l’employeur a décidé d’appliquer partiellement et unilatéralement la

décision du dit jugement par le seul paiement de l’indemnité du préjudice moral que

vous préconisez comme étant l’indemnisation qui lui est due. Ce qui est totalement

aberrant, d’autant que le même huissier devant cette violation de droit

constitutionnel, nous a fait parvenir ensuite la notification de non exécution du

jugement portant refus de l’employeur d’obtempérer à la réintégration, élément

de référence auquel, vous ne faites pas allusion dans votre réponse.

Devant la notification de refus établie le 16/02/203 par un homme de droit, un

commis d’état assermenté, qui dicte une décision abusive de l’employeur qui refuse la

réintégration de droit à l’emploi, en violation de la décision de justice, je m’interroge

sur la crédibilité de ce que vous avancez en insinuant que ma fille n’a pas

manifesté son désir de reprendre ses activités en 2002, en contradiction des éléments

de référence de la notification de refus ci avant.

Détenez-vous un document officiel qui prouve ou atteste vos déclarations, Monsieur Le

PDG ?? Etes vous en possession d’un accusé de réception de la lettre avec envoi

recommandé ou un accusé de réception de la notification de l’huissier de justice

signifiant à ma fille la reprise de ses activités, auxquels elle n’a pas obtempéré. ???

Depuis le 03/10/1999, jour de son licenciement arbitraire, elle n’a reçu aucun courrier

semblable de l’employeur, si ce n’est le votre lui annonçant la nouvelle qui l’a réjoui et

à laquelle elle s’est empressée de répondre favorablement.

C’est la triste réalité monsieur le PDG. Oui, on vous a caché la réalité, la vérité qui finit

toujours par triompher au profit du justiciable, lorsqu’on détient les documents de droit

qui attestent on ne peut mieux une situation claire, nette et précise.

Oui, c’est ces documents de droit « Décision de justice + Grosse de jugement

portant réintégration à son poste de travail remis à l’employeur, notification de

non exécution du jugement, attestation de non appel, attestation de non opposition

constituent autant de paramètres plaidant la juste cause en faveur de ma fille. »

Faut-il souligner également l’envoi de la lettre de la centrale UGTA à l’ex DG lalaimia

dans laquelle le Secrétaire National chargé des conflits, Monsieur Boualem BOUZIDI

l’invite au respect de la décision de justice lui rappelant notamment :

A / les articles 141 et 145 de la Constitution Algérienne,

B / les circulaires n° 69 et 04 des 15/01/96 et 11/09/03 du chef du Gouvernement

C / l’instruction n° 11 du 04/09/99 du chef du Gouvernement, portant d’une part sur le

respect des droits des citoyens, d’autre part sur la réintégration des travailleurs munis

de décision de justice en lui précisant que nul ne peut se placer ni au dessus de la loi, ni

encore moins sur le chemin des décisions de juridiction. Cette lettre dont je détiens

copie, que vous pourrez consulter est au niveau de la DG/DRH/CX.

Par conséquent c’est dans le droit fil de la décision de justice et des instructions

suscitées que ma fille retrouve son travail avec tous les avantages pécuniaires de

ses arriérés auxquels elle ouvre droit. Et ce n’est que justice.

Page 111: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Je n’oublierai pas non plus la compréhension et la sagesse du Directeur Général

Monsieur BENAMEUR Mourad et du DRH monsieur DEKHLI Nour Eddine qui ont

facilité le règlement des cas de mes enfants. Que dieu les garde et leur préserve la vie.

Votre assentiment dans la reprise de service de ma fille au sein de la filiale que vous

gérez dénote également votre prise de conscience d’un responsable loin de toute

animosité qu’un groupuscule d’individus avait colporté pour nuire à ma progéniture.

Vous ne devez pas ignorer que mon fils Karim a mis près d’une décennie, pour obtenir

gain de cause dans le repositionnement de sa situation administrative avec effet

rétroactif, alors que l’unité du Hamma et la DG sous l’ère de lalaimia ont tout entrepris

pour le lui refuser.

Aujourd’hui, c’est au tour de ma fille de jouir et de bénéficier ce que la justice lui

reconnaît. Je vous prie par conséquent de la faire rétablir dans ses droits fondamentaux,

légitimes et réglementaires que défend la constitution Algérienne, la décision de justice,

la réglementation SNTF et les instructions des pouvoirs publics en de pareilles

circonstances. Faut-il rappeler que la résiliation de son contrat de travail, assimilée

à un licenciement arbitraire, abusif, remonte au 3/10/1999 et que ses droits doivent

être rétablis à partir de cette période. Sans omettre également les avancements de

niveau « A » auxquels elle ouvre droit à dater de 1999, sa position d’agent

d’exécution le lui permet, les délais à respecter vont entre 1 et 2 ans tel que le préconise

la nomenclature prévue à cet effet. Tout licenciement arbitraire est subordonné au

respect d’une réinsertion normale dans le cadre du processus de l’effet rétroactif dans le

recouvrement des droits suspensifs. Je vous remercie de votre compréhension et de

l’intérêt particulier que vous accorderiez au règlement de sa situation.

IL est vrai monsieur le PDG que je suis assez peiné de constater que vous héritez d’un

cas embarrassant auquel vous devez faire face, en réparant le mal que des individus

sans foi ni loi vous lèguent.

Je suis d’autant plus peiné que je n’oublie pas la période durant laquelle on a exercé

ensemble dans la même unité avec des liens de camaraderie qui nous ont uni et dont je

garde un bon souvenir qui s’est effrité il me semble avec la remarque désobligeante que

vous m’aviez faite au cours d’une de nos discussions, remarque que j’ai toujours en

travers de la gorge, dès lors que je n’arrive pas à situer cette discorde qu’on a tissé

volontairement pour briser notre amitié.

Afin d’éviter toute éventuelle friction ou malentendu dans nos relations qui seraient

sujets à porter un préjudice ou à défavoriser le bon déroulement de la reprise de service

de ma fille au sein de la filiale, je me suis entendu avec le DRH afin de projeter avec

votre accord, à un mouvement de mutation vers la DRFA .

Espérant avoir été clair dans ma démarche, en vous remerciant par avance de votre

compréhension quant à la reprise de ma fille au sein de la filiale et tout en me tenant à

votre entière disposition pour un éclairage complémentaire, je vous prie d’agréer

Monsieur Le PDG, l’expression de mes salutations distinguées.

Signé : SAIDI Mohamed

Page 112: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Décision de Réintégration N° 019/2009 du 10/3/2009

Page 113: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Djamel cher ami Bonjour,

Ce week-end, j’ai reçu la visite de ma fille qui avait l’air très relaxe et contente de m’exhiber son contrat de

travail indéterminé qui ne fait que la conforter dans ses activités.

Comme je conserve toujours des exemplaires chez moi, j’ai fait la genèse de sa situation en parcourant le

courrier en ma possession.

Dans le dernier paragraphe de ma précédente lettre que je t’avais adressée par Soumia, je te disais de t’assurer

de la véracité, de la conformité de ce que tes collaborateurs porteraient sur tout document ayant trait à la

régularisation de sa situation, soumis à ta signature.

A la lecture du contrat de travail, j’ai observé des anomalies qu’un responsable des Ressources humaines ou

juriste n’aurait jamais du laisser passer, tellement c’est flagrant comme « bêtises »

Les remarques que j’ai relevées sont les suivantes.

A / Elle n’est pas née à Kouba mais à ALGER

Art. 1

B / Elle n’est pas recrutée le 14 Mars 2009, comme indiqué également sur l’attestation de travail qui lui a

été délivrée le 04/04/2009.

C / IL est mentionné « ce recrutement » est réalisé conformément aux dispositions de l’article 12 etc… Il ne

s’agit pas d’un recrutement

IL fallait mettre « la réintégration s’est opérée conformément à la décision de justice n° 2135 du

13/11/2002, confirmée par la décision n°019/2009 du 10/3/2009 que tu avais signée toi-même.

Cette décision indique que la réintégration prend effet à dater du 10/3/2009 qui doit correspondre à la

date de réintégration qu’il faut officialiser sur les documents de Restaurail, susceptibles de servir de

référence à l’avenir et éviter toute mauvaise interprétation.

Par ailleurs, si tu te réfères à ta correspondance remise par huissier de justice le 21//2/2009, ainsi que ta

décision ci avant, il est mentionné et précisé sur ces deux documents REINTEGRATION, terme qui ne

souffre d’aucune ambiguïté.

Dissocier recrutement et réintégration qui sont diamétralement opposés et faussent les données du déroulement

de carrière du travailleur.

Article 2 /

Au lieu de recruter, mettre réintégrer

Eu égard de ce qui précède, je te prie de bien vouloir lui faire établir le contrat en tenant compte des

modifications apportées.

Pour ce qui est de l’article 8, perte d’outillage etc…, bien qu’il ne concerne pas ma fille, je te suggère en 2

articles les libellés suivants qui seraient conformes aux yeux de la loi :

Restitution de matériels ou fournitures remis par RestauRail

En cas de résiliation de contrat, quelque soit le motif, (démission, licenciement, fin de contrat etc…..)

l’employé est tenu de restituer impérativement les outils et objets qui lui étaient remis contre émargement,

pour utilisation de nécessité de service. En cas de refus d’obtempérer à cette restitution, l’employeur réduira

du solde de tout compte l’équivalence des montants des objets non restitués.

Perte des outils ou autres objets

En cas de perte d’un outil ou autre, confié par RestauRail à l’employé dans le cadre de ses fonctions, il lui est

soustrait de son salaire, le montant équivalent de l’objet perdu « et non pas 3 fois son prix, chose non

réglementaire et illogique; ce qui serait de l’arbitraire et abusif ».

En m’excusant de ce contretemps, reçois cher ami, mes sincères salutations, tout en projetant une visite dès

que possible.

Mohamed SAIDI

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Contrat de travail indéterminé « de recrutement » élaboré par le PDG, alors qu’il s’agit d’une

réintégration. L’art. 12 de la loi 90 -11 ne s’applique pas au contrat indéterminé, mais aux

périodes déterminées. (Voir lettre explicative que j’ai adressée au PDG afin qu’il apporte la

modification nécessaire)

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Contrat de travail à durée indéterminée qu’il a rectifié comme je le lui ai indiqué qui conforte la décision de justice

de réintégration mais que le PDG n’applique pas dans le cadre du rappel des salaires antérieurs auxquels elle ouvre

droit.

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Monsieur ADJOUT, cher ami

Je pense que les choses rentrent dans l’ordre d’une manière progressive, avec la satisfaction des deux

parties. Soumia qui réintègre son travail, grâce à la volonté et à la compréhension dont tu as fait

preuve, bien que messieurs BENAMEUR et DEKHLI sont à féliciter dans ce dénouement heureux.

Elle retrouve la joie de vivre et cela se ressent dans l’harmonie de son foyer qui s’épanouit et c’est tant

mieux. Elle s’est tout de suite adaptée à son travail et donne satisfaction de son rendement, ce qui est

commun et propre aux SAIDI, qui est une référence en soi.

Maintenant j’aborde le sujet final pour clore en apothéose ce dossier. Il s’agit comme tu ne doutes pas

de la régularisation de sa situation antérieure. Pour cela et selon mes habitudes, je te donne les

explications, on ne peut plus claires qui plaident en faveur du règlement à l’amiable et qui se situe dans

le droit fil du cadre réglementaire et juridique.

En annexe, je te joins copie de l’article 73-3 de la loi 90-11 du 21-04-90, qui met en exergue celle de

91-29 du 21-12-91, qui porte sur le licenciement individuel en violation des dispositions de ces lois,

impliquant la responsabilité de l’employeur, dès lors que lalaimia n’a pu présenter d’arguments

justifiants sa position. D’où le paragraphe de l’article 73-4 souligné au marqueur qui indique la

responsabilité de l’employeur dans le licenciement abusif. Ce qui a permis à la justice de se prononcer

sur la réintégration de l’employé, lequel jouit de facto de ses avantages acquis.

Toujours en annexe, je te communique des extraits des dispositions de l’édition BERTI année 2006,

portant sur le droit et le travail, qui donne des explications claires, nettes et précises sur le licenciement

abusif, nécessitant la réintégration de plein droit de l’employé avec tous les avantages acquis. La

prescription 22 précise que : L’employé regagnera les avantages et les droits liés à son poste de

travail ainsi que le salaire dû à la période pendant laquelle il a cessé de travailler, par la faute de

l’employeur

Ce qui est le cas de référence de ma fille, faut-il le rappeler, victime de l’arrêt abusif de ses activités

depuis le 02 Octobre 1999, jusqu’à la date du 10 Mars 2009 date de sa reprise portée sur la décision

de réintégration que tu as signée .

Bien entendu lorsqu’on parle d’avantages, sont exclues les primes de paniers et transport, mais les

autres, liées au salaire de base sont comprises dans les avantages à mandater, sans oublier le

réajustement des avancements en grade dont elle ouvre droit, touchant la catégorie d’agents

d’exécution, qui se fait généralement dans un délai ne dépassant pas 2 ans, jusqu’à à un certain seuil..

Je te laisse le soin d’échelonner en ton âme et conscience, ce réajustement de la période du 03/10/99

au 09/03/2009.

Tu as la légitimité de faire endosser ce rappel par la Direction Générale qui doit en assumer l’entière

responsabilité.

Je crois avoir été persuasif dans les arguments avancés, commentés il faut le dire, avec les instruments

de l’appareil judiciaire. Je pense que la présence du tatami ne s’impose pas, mais que l’on peut discuter

convivialement autour « d’un jus » si tu me le proposes.

Bien qu’occupant la fonction de D.A.G, dans un complexe touristique privé, ce qui me retient de ne

pouvoir venir, te dire bonjour, n’hésite pas à solliciter, si tu l’estimes nécessaire, mes modestes

connaissances et mon potentiel expérience de ma présence au sein de cette filiale où j’ai exercé durant

près de 3 ans, (82-85) si mes souvenirs sont bons en obtenant l’une des meilleures gestions, si ce

n’était la meilleure. ALLOUNE et CHIKH LOUNIS pourraient te le confirmer. Même durant ma

brève réapparition dans cette filiale de mars 97 à Décembre 97 en tant qu’assistant PDG, avant mon

conflit avec lalaimia, j’ai été à l’origine du changement opéré dans les différentes structures, surtout

commerciales pour une meilleure rentabilité et une discipline rigoureuse de gestion.

Sur ce, reçois cher ami, mes sincères salutations.

Mohamed SAIDI

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La réponse que lui fait le PDG où il a le culot de dire que l’examen de sa situation

administrative ne fait ressortir aucune irrégularité, ni retard dans le paiement de ses

salaires, sans qu’il n’indique le montant des sois disant salaires régularisés, les

promotions octroyés, l’IEP redressée etc…

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Requête que ma fille a adressée au DG BENAMEUR Mourad, restée sans réponse

Madame TAGRAST Soumia, Née SAIDI

Cité des Eucalyptus, Bât 5, esc. C

Rampe Louni Arezki

16017 HAUTE CASBAH ALGER

Alger, le 07 Juillet 2009

Monsieur Le Directeur Général

OBJET / Requête pour rétablissement de mes droits

Monsieur Le Directeur Général,

Je suis la fille de Monsieur SAIDI Mohamed, cadre retraité de la SNTF, victime d’injustice du DG

Lalaimia dans le licenciement abusif qu’il avait décidé unilatéralement, consécutivement au conflit

qui l’opposait à mon père qui l’avait impliqué dans la corruption de la SNTF.

IL serait inopportun de revenir sur ce passé, dès lors que vous aviez pris l’initiative et la décision

sage de faire appliquer la décision de justice qui statuait ma réintégration, une décision que toute ma

famille avait apprécié à sa juste valeur et qui vous honore.

Quand bien même le refus exprimé par Monsieur ADJOUT, le PDG de la Filiale qui avait émis un

avis défavorable à ma réintégration, il avait fini par revenir à de meilleurs sentiments, suite à vos

instructions et celles de la DRH, qui ont contribué à l’heureux évènement qui avait comblé mon

bonheur.

N’était ce l’entêtement de notre PDG qui continue de me dénier mes droits légitimes statués par la

décision de justice, j’éprouve une gêne de relancer cette affaire à votre niveau pour solliciter encore

votre arbitrage auprès de monsieur ADJOUT, à l’effet de lui faire comprendre qu’une décision de

justice doit s’appliquer en toute impartialité, sans à priori.

En dépit de toutes les correspondances que mon père lui a transmises pour le convaincre, avec des

arguments, on ne peut plus clairs, quant à me faire rétablir dans mes droits légitimes et

réglementaires, le PDG veut se couvrir derrière un écrit qui lui dicte et confirme ce que la justice a

décidé.

Sans rentrer dans les détails qui vous sembleraient fastidieux, je vous communique, copies des

différentes correspondances très explicites que mon père avait transmises antérieurement à Monsieur

Le PDG.

Faut-il rappeler que mon frère KARIM des ateliers du Hamma, lui aussi victime du pouvoir

dictatorial de Lalaimia, a fini par recouvrer ses droits grâce à votre générosité dans l’application de la

décision de justice en sa faveur.

C’est dans ce cadre précis, Monsieur Le Directeur Général que je sollicite votre intervention dans cet

ultime recours afin de faire appliquer par Monsieur ADJOUT, les dispositions particulières de la loi

90-11 du 21/04/90, notamment en son article 73-4 , paragraphe où il est clairement indiqué que :

L’Employé, objet d’une réintégration, regagnera les avantages et les droits liés à son poste de

travail, ainsi que le salaire dû, à la période pendant laquelle il a cessé de travailler par la faute

de l’employeur. (ci-joint copies des articles de cette loi)

Je suis persuadée Monsieur Le Directeur Général qu’une fois de plus, vous userez de votre influence,

de votre autorité, aux fins de me faire réhabiliter dans mes droits légitimes et me dispenser de

recourir à l’inspection du travail et la justice qui ne fera que raviver l’image ternie de la SNTF du

temps de Lalaimia, qui retrouve ses marques depuis votre retour, apprécié par la famille des

cheminots.

Veuillez agréer, Monsieur Le Directeur Général, l’expression de ma haute considération

Madame TAGRAST, Née SAIDI Soumia

Page 125: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle
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Le PDG ADJOUT Djamal , a assouvi sa haine en ne déclarant pas Soumia à la CNAS

durant plus d’une année, comme le confirme cet organisme dans l’attestation remise à

ma fille.

Page 127: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Lettre de réclamation de Soumia faite au PDG pour lui signaler sa carence.

Page 128: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Autre Hogra, injustice. Le PDG ne lui mandate pas la prime de scolarité de l’exercice

2009/2010 de son fils. Il ne le fait que 4 années plus tard, après intervention personnelle

auprès du secrétaire général de la section syndicale. Bien que sa réclamation date de

2011, il ne consent à la lui mandater qu’en 2013. Voilà comment réagit le PDG,

lorsqu’un travailleur revendique son droit légitime. IL ne le fait que lorsqu’il y a

pression sur lui et quand il le veut, en mettant son grain de poison.

Madame TAGRAST Soumia, Née SAIDI

Mle 192156G

Antenne Exploitation Alger

Alger, le 27 Décembre 2011

Monsieur Le Président Directeur Général

Filiale - RESTAU RAIL

Hussein Dey ALGER

Sous Couvert de la Voie Hiérarchique

OBJET / Rappel de non perception de la prime de scolarité de l’exercice 2009/2010

Référ : Ma lettre du 09 Novembre 2009

Monsieur Le Président Directeur Général

Par ma lettre dont ci-joint copie, j’informais le Secrétaire Général de notre section syndicale

de la non perception de la prime de scolarité de mon enfant RACIM. Je vous rappelle que

le certificat de scolarité y afférent a été joint à ma demande, attestant sa scolarité durant la

période 2009/2010.

Afin de rentrer dans mon dû et ne pas être pénalisée d’un droit légitime et réglementaire,

quand bien même qu’il remonte à l’exercice écoulé, je vous prie de bien vouloir instruire les

services concernés aux fins de mandatement de la dite prime sur prochaine solde.

Dans cette attente, Veuillez agréer Monsieur Le Président Directeur Général, l’expression

de mes salutations distinguées.

Signée : Madame TAGRAST, née SAIDI Soumia

Page 129: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Lettre remise le 16/02/2011 avec accusé de réception

Page 130: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Lettre au ministre des transports avec AR du Bureau d’ordre

Page 131: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle
Page 132: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Madame TAGRAST Soumia, Née SAIDI

Cité des Eucalyptus, Bât 5, esc. C

Rampe Louni Arezki

16017 HAUTE CASBAH ALGER

Alger, le 09 Novembre 2010

Monsieur Le Procureur de la République

Près le Tribunal d’Hussein Dey

OBJET / Requête pour rétablissement de mes droits

Monsieur Le Procureur,

J’ai l’honneur de vous informer que la section sociale du tribunal d’Hussein Dey a statué par décision de

jugement n° 2135 du 13/11/2002, sur la réintégration de mes activités dans l’entreprise RESTAU

RAIL, filiale de la S.N.T.F, « Société Nationale des Transports Ferroviaires »,et une indemnité de

100.000 DA pour préjudice moral subi, suite au licenciement abusif, dont j’ai été victime de l’ex

Directeur Général Lalaimia Abdelhamid, relevé de ses fonctions en Mars 2008.

Je rappelle que mon licenciement a été décidé par abus d’autorité par ce responsable, du fait que mon

père cadre dans cette entreprise avait révélé à la presse nationale le dysfonctionnement et la corruption

de cette société impliquant le DG.

Le licenciement décidé arbitrairement le 03/10/1999 est dicté par vindicte personnelle en guise de

représailles. L’affaire a abouti au tribunal d’Hussein Dey, où la section sociale a statué par décision sus

citée à ma réintégration qui a été refusée par le DG, empiétant sciemment les lois de la République.

Entre temps les démarches faites auprès de la justice m’ont permis d’obtenir les attestations de non

opposition délivrée par le tribunal d’Hussein Dey et de non appel par la cour d’Alger qui signifient que

la SNTF en tant que société, ne s’est pas opposée au jugement qui a statué sur ma réintégration.

Ce n’est qu’après que le DG Lalaimia fut relevé de ses fonctions que le nouveau DG BENAMEUR

Mourad, relancé dans mon dossier a ordonné à la Filiale Restau Rail de me réintégrer, conformément à

la décision de justice.

Ma réintégration s’est donc opérée le 14 Mars 2009, mais sans le rappel de l’effet rétroactif pécuniaire

auquel j’ouvre droit, conformément à l’article 73-4 de la loi 90-11 du 21/4/90 qui est très clair sur ce

point. Cet article précise dans son deuxième paragraphe que si, le licenciement d’un travailleur survient

en violation des dispositions de l’article 73 de la dite loi, il est présumé abusif. Le tribunal saisi, statue en

premier et dernier ressort, en précisant que lorsqu’il s’agit d’une réintégration acceptée par

l’employeur, le travailleur réintègre l’entreprise avec le maintien de ses avantages acquis. On

entend par avantage acquis le salaire de l’employé.

La réclamation faite à notre PDG en date du 27 Juin 2009, dans le sens de l’application de loi 90-11 du

21/04/1990, notamment en ses articles 73 à 73-4 qui indiquent la réintégration d’un travailleur avec le

maintien des avantages acquis, n’a pas eu l’effet escompté.

Le PDG fait allusion à l’indemnité du préjudice, comme étant le rappel de mes salaires et a donné à la

décision de jugement l’interprétation selon son bon vouloir.

Afin de l’en dissuader que cette indemnité ne représente en aucun cas les arriérés de mes salaires, je

vous prie de bien vouloir envisager un additif à ce jugement en précisant que les avantages acquis,

tels que l’indique la loi 90-11 du 21/4/90, concerne bien l’effet rétroactif des salaires du travailleur

auxquels j’ouvre droit.

Page 133: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Même mon père cadre retraité de la SNTF, spécialiste en ressources humaines et juridique a tenté une

démarche auprès de notre PDG pour le convaincre que la décision du jugement est conforme dans son

application et va dans le sens de la régularisation attendue.

En dépit de la grosse de jugement statuant réintégration et indemnité pour préjudice moral subi, suivie

des documents énumérés ci-après, notifiés par huissier de justice, notre PDG est restée sur sa position

qui s’apparente à une décision abusive et arbitraire, violant sciemment les textes de la loi et la

constitution Algérienne qui préserve et défend les droits des citoyens.

Détail des dits documents :

A / Exécution de la décision du jugement, notifiée le 27/01/2003, précisant réintégration et

indemnisation du préjudice subi

B / Attestation de non exécution de la décision de jugement, datée du 16/02/2003

C/ Attestation de non opposition du 26/05/2005 « la filiale n’ayant pas fait opposition au jugement »

D / Attestation de non appel du 06/06/2005 « la filiale n’a pas fait appel au jugement »

E / Lettre du Secrétaire National de L’UGTA, chargé des conflits, adressée à l’ex DG Lalaimia,

l’invitant au respect des instructions en vigueur, sur la réintégration statuée avec les avantages qui en

découlent.

Tous ces documents démontrent on ne peut mieux, la carence de la SNTF et de la filiale Restau Rail qui

empiètent les lois de la République, se retranchant derrière une position hors la loi, en me portant un

grave préjudice moral et financier.

Afin de ne pas subir d’autres mesures de représailles qui pourraient nuire à ma carrière professionnelle,

par le fait de revendiquer ce que la justice a tranché en ma faveur, je vous prie monsieur Le Procureur de

la République de bien vouloir prendre les mesures idoines afin que je puisse jouir de mes droits.

Veuillez agréer, Monsieur Le Procureur de la République, l’expression de ma haute considération

Madame TAGRAST, Née SAIDI Soumia

ci-dessous, la première page de la lettre adressée au Procureur avec AR

Lettre ramenée personnellement au Procureur, remise à ses services contre l’accusé de réception

n°10/010705 du 11 //11/2010. Je dois attendre d’être convoqué par la police de BEO pour entendre

Sonia sur la revendication décrite dans la lettre. En cas de retard, je peux solliciter les services du

procureur en leur communiquant cette référence. Ci-dessous le récépissé

Page 134: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle
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Page 136: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

DOCUMENTS JOINTS EN ANNEXE

1 - Grosse de jugement n° 2135 du 13/11/2002, statuant sur la réintégration et l’indemnité du préjudice

moral évaluée à 100.000, 00 DA.

2 - / Notification de l’exécution du jugement, notifiée à l’employeur le 27/01/2003, précisant

réintégration et indemnisation du préjudice subi

3 - / Attestation de non exécution de la décision de jugement, datée du 16/02/2003

4 - / Attestation de non opposition du 26/05/2005 établie par le tribunal d’Hussein Dey « la filiale

n’ayant pas fait opposition au jugement »

5 - / Attestation de non appel du 06/06/2005 établie par la cour d’Alger « la filiale n’a pas fait appel du

jugement »

6 - / Lettre du Secrétaire National de L’UGTA, chargé des conflits, adressée à l’ex DG Lalaimia,

l’invitant au respect des instructions en vigueur, sur la réintégration statuée avec les avantages qui

en découlent ;

7 - / Contrat de travail à durée indéterminé qui précise qu’il s’agit d’une réintégration laquelle

réintégration est sujette à l’effet rétroactif des salaires de la période de licenciement abusif.

8 - Décision de réintégration portant référence 019/2009 du 10/03/2009, où le PDG mentionne « Vu le

jugement n° 2135/2001 du 13/11/2002 ordonnant la réintégration de Mlle SAIDI Soumia à son

poste de travail » Si Mr. ADJOUT savait interpréter la décision de justice en sa possession, il

aurait su que la réintégration consentie, aboutit à la récupération des avantages acquis. Cependant,

par méconnaissance de la loi ou étant de mauvaise foi, il mentionne que l’indemnité de

100.000DAperçue à titre de dédommagement pour préjudice subi représenterait les 10 années de

salaires antérieurs, ce qui est loin de la réalité.

D’ailleurs la lettre ci-dessous que mon père lui a faite à ce sujet est on ne peut plus claire.

09 - / Lettre datée du 10 Mars 2009 adressée par mon père au PDG, suite à la réception de la notification

remise par Huissier de justice, m’invitant à la reprise de mes activités. Cette lettre explicite donne

tout l’éclairage au PDG quant à l’application de la loi 90-11 du 21/4/90 sur les conditions du

rappel à effectuer que le PDG a ignoré.

10 - / Réclamation du 27/06/2009 adressée au PDG, pour lui revendiquer le rappel des salaires de la

période de ma cessation de travail décidée abusivement par l’ex DG

11 - / Réponse de notre PDG du 30/6/2009 qui se contredit en déclarant que ma situation en matière de

salaires ne fait ressortir aucune irrégularité et que la décision de justice a été appliquée dans sa

conformité. La question demeure posée sur la compétence d’un cadre censé comprendre une

décision de justice et appliquer les textes de la loi 90-11, ce qui n’est pas évident du tout.

12 - / Copie des articles 73-3 et 73- 4 de la loi 90-11 ainsi que des extraits des dispositions de l’Edition

BERTI, année 2006 portant sur le droit et le travail réhabilitant les travailleurs victimes de

licenciement abusif, dans l’octroi des avantages acquis remontant à la période pendant

laquelle l’employé a cessé de travailler par la faute de l’employeur

Page 137: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Voici la énième réclamation du 12/5/2014, revendiquant la

régularisation de ses salaires portant sur la période du

licenciement arbitraire. Malgré la décision de justice,

malgré la lettre de la centrale UGTA, malgré les instructions

du chef du gouvernement abondant dans le sens du rappel

en question, monsieur le PDG Adjout Djamal ne reconnait

personne et persiste dans son refus diabolique à ne pas la

régulariser. Il ne lui répond même pas, sachant qu’il n’a

aucun argument à faire valoir.

Page 138: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Copie de la lettre du 12/05/2014 adressée au PDG avec AR

Page 139: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

La plainte qu’elle dépose au sein de l’Inspection du travail d’AIN NAADJA

Madame Tagrast, née SAIDI Soumia Alger, le 28 Mai 2014

Antenne RESTAURAIL Filiale – SNTF-

Gare D’AGHA ( Alger )

Monsieur L’Inspecteur du Travail

AIN NADJA - ALGER –

Objet/ - Dépôt de plainte contre le PDG ADJOUT Djamal de la filiale RESTAURAIL

PJ/ - (Voir liste jointe en annexe)

- Liste revendicative de mes droits

- Copie de la requête du 12/5/2014 adressée au PDG

Monsieur L’Inspecteur,

J’ai l’honneur de vous informer qu’à l’instar des travailleurs de la filiale RESTAURAIL,

je dépose plainte à l’encontre du PDG ADJOUT Djamal de la filiale RESTAURAIL dans

le cadre de la revendication de mes droits qu’il refuse de régulariser. (voir copie ci-jointe

du rappel de ma requête du 12/5/2014, que je lui ai destinée).

Ces droits consistent au non application de la loi 90-11 et de ses déclarations

mensongères.

D’une part sa lettre non datée et non référencée indique que je ne me suis jamais

manifestée pour reprendre mes activités, ce qui est faux et d’autre part, celle portant

référence N°172/2009 du 30/06/2009 où il cite que l’examen de ma situation ne fait

ressortir aucune irrégularité, ni retard dans le paiement de mes salaires et que la décision

de justice n° 2135/01 du 13/11/2002 a été appliquée par la filiale dans toute sa

conformité, sans aucune ambigüité.

Je veux qu’il prouve en votre présence ses déclarations qui attesteraient que je ne me suis

pas manifestée pour reprendre mes fonctions, qu’il indique le mode de régularisation de

mes salaires en précisant les années et le montant mandaté).

Qu’il prouve les modalités de régularisation de l’IEP en indiquant le montant et la période

régularisée, sachant que mon recrutement remonte au 03 Octobre 1998.

Ci-après, la réalité comme le démontre les documents que je joins à ma requête

1 / L’huissier de justice a notifié avec accusé de réception le 27/01/2003 à la filiale

RESTAU RAIL la décision de justice n° 2135/01 du 13/11/2002 que la filiale a refusé

d’appliquer, ce qui a motivé ce commis d’état à établir le 16/02/2003, l’attestation de

refus.

2 / Que la justice a établi des attestations de non opposition (28/05/2005) et non appel

(06/06/2005) qui démontrent que l’employeur n’a pas objecté à la décision de justice mais

refuse de procéder à ma réintégration.

Page 140: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

3 / Que la centrale UGTA a adressé le 11//11/2003 au Directeur Général de la SNTF la

lettre référencée n° 177/BB/AA/LG/03 l’invitant à me faire réintégrer conformément à la

loi 90-11-du 21/04/1990, portant sur l’exécution des décisions de justice avec rappel des

salaires de la période du licenciement abusif, lui citant entre autres l’article 145 de la

constitution, les circulaires n° 69 du 15/01/1996 et 04 du 11/09/2003 ainsi que

l’instruction n° 11 du 04/09/1999 du chef du gouvernement qui versent dans le même

sens.

4 / Que la Direction des Ressources humaines, service du contentieux par sa lettre

référencée XRH-XP1-CX N° 22/02 du 05 Février 2005 donne des instructions claires pour

indiquer que toutes les décisions de justice doivent être exécutées et suivies d’un pourvoi

en cassation, ce que l’employeur n’a jamais appliqué.

5 / Que mon père cadre retraité de la SNTF a rappelé au DG par requête du 10/03/2005,

l’entêtement de la filiale à ne pas appliquer les instructions ci-avant. Requête demeurée

sans réponse.

Avec tout cet arsenal de documents incontestés et incontestables, monsieur ADJOUT

Djamal, PDG de la filiale RESTAURAIL ose déclarer officiellement par sa lettre

N°172/2009 du 30/06/2009 que je ne me suis jamais manifestée pour reprendre mes

activités et maintient toujours ses déclarations mensongères.

- Dans le prolongement de son attitude grotesque, ses déclarations fabriquées, sa gestion

dictatoriale, ce PDG a supprimé sur mes salaires à dater de Janvier 2011, la somme de

1.155,00 DA qu’il me mandatait comme complément de mon salaire de base de 13.000,00

DA qui n’avait pas atteint le SMIG décrété par les pouvoirs publics à 15.000,00 DA. Le

salaire qu’il me mandate est de 14.155,00 DA au lieu des 15.000 DA arrêté par les

pouvoirs publics.

IL a pris soin de mentionner sur ma fiche de paye que les 1.155 DA représentaient une

indemnité compensatrice, qu’il s’est permis de supprimer lorsqu’il y avait augmentation

de 25% sur les salaires pour les travailleurs. L’augmentation a été opérée sur mon ancien

salaire de 13.000,00 DA au lieu du SMIG de 15.000,00 DA qu’il avait réduit à 14.155,00

DA, faut-il le rappeler. Je revendique la différence de 2.500,00 DA/Mois à partir de la

date d’application de l’augmentation (voir état descriptif de revendication)

Malgré la réclamation faite pour me restituer le complément en question, aucune réponse

ne m’a été faite à ce jour.

Par conséquent, je revendique l’application du SMIG de 15.000,00 DA à dater de son

application qui remonterait à MAI 2010, augmenté ensuite à 18.000,00 DA depuis Janvier

2012. Ce que le PDG Adjout Djamal n’a pas honoré.

- L’IEP que le PDG m’octroie date de mars 2009 qui correspond à la date de réintégration,

alors qu’il utilise le numéro de mon matricule SNTF d’Octobre 1998, année de mon

recrutement. D’où les annuités D’IEP doivent être calculées à dater de cette année. Ce que

le PDG n’as pas fait à ce jour, malgré réclamations et rappels qui lui ont été destinés. Je

considère cette façon de faire est de l’escroquerie.

Page 141: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

- Je suis victime de HOGRA, où j’ai été privée dé l’octroi de la prime de scolarité de

l’exercice 2009 de mon enfant RACIM. Malgré plusieurs rappels qui lui étaient destinés,

aucune suite ne m’a été donnée, n’était-ce l’intervention de mon père auprès du secrétaire

général du syndicat pour la percevoir en Novembre 2013, soit 48 mois plus tard, sans qu’il

ne mentionne qu’il s’agit du rappel, afin qu’il masque cette grave négligence en cas de

contrôle par une commission sur une réclamation éventuelle.

Je suis victime d’autres injustices comme par exemple depuis 1998 à ce jour je n’ai reçu

aucune promotion dans l’avancement de ma carrière professionnelle, ce qui me pénalise

lourdement. Appartenant à la catégorie d’agents d’exécution, les délais d’avancements en

grade sont tolérés à partir de 2 ans.

Comme autre injustice, le PDG ne m’a pas affilié à la CNAS, exerçant ainsi sans

couverture sociale. Je ne l’ai su que lorsque j’ai déposé un dossier de maladie le

31/01/2010 pour me faire rembourser les arrêts de travail obtenus, alors que j’ai été

réintégrée le 14/03/2009. (Ci-joint attestation de la CNAS)

A la reprise de mes activités, le PDG m’a établi le contrat de recrutement au lieu de

réintégration. La modification n’a été faite qu’après intervention de mon père. Le PDG a

mentionné sur le contrat de travail recrutement indéterminé qu’il est réalisé conformément

à l’article 12 de la loi 90-11 du 21/4/1990, lequel article s’adresse aux agents recrutés pour

des périodes à contrat déterminé. Alors que c’est l’article 14 qui donne la définition d’un

contrat à durée indéterminée.

Victime de l’esclavagisme de ce gestionnaire despote, je suis poussée à suivre l’exemple

de mes confrères dans le cadre de la plainte individuelle.

Je joins à la présente plainte, la liste des documents communiqués et l’annexe reprenant,

les revendications légitimes auxquels j’ouvre droit, dans le droit fil de la décision de

justice, rappelée par la centrale UGTA et les instructions du chef du gouvernement.

Veuillez agréer, monsieur l’Inspecteur, l’expression de mes salutations distinguées.

Signée : Madame Tagrast, née SAIDI Soumia

DOCUMENTS JOINTS.

Page 142: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

1/ Contrat de travail qui précise que mon recrutement remonte au 3/10/1998

2/ Lettre du 4/1/2003 de mon avocat qui me fait part de la décision de justice n° 2135/01

du 13/11/2002 portant sur la réintégration et l’indemnisation de 100.000 DA

3 / Lettre du 07/02/2009, adressée au PDG lui demandant le motif du refus de ma

réintégration.

4/ Lettre non datée et non référencée du PDG, indiquant que je ne me suis jamais

manifestée pour reprendre mes activités.

5 / Copie de la notification de la décision de justice n° 2135/01 du 13/11/2002 remise à

l’employeur le 27/01/2003 par huissier de justice. Ce qui dément les propos du PDG

qui avance que je ne me suis jamais manifestée pour reprendre mes activités.

6 / Copie de notification de l’huissier de justice du 16/02/2003 qui précise le refus de

l’employeur de me réintégrer

7/ Copie de la lettre de la centrale UGTA qui écrit à la Direction Générale de la SNTF

pour lui rappeler l’application des textes de la loi 90 -11 du 21/4/90 et les instructions

du Chef du gouvernement où il lui est précisé la réintégration et le rappel des salaires

antérieurs, chose que le PDG n’a jamais appliqué

8 / Copie de la lettre de la Direction des ressources humaines, service juridique, référencée

XRH-XP1- CX n°22 du 5/2/2005 transmise aux établissements pour inviter les

responsables à exécuter les décisions de justice de réintégration, ce que le PDG n’a pas

fait.

9/ Copie de la lettre du 10/03/2005 que mon père a adressé au Directeur Général lui

rappelant l’application des instructions de la DRH qui n’a pas eu la suite escomptée

10/ Copies des attestations de non opposition et de non appel du tribunal et de la Cour

D’Alger délivrés les 28/5 et 6/6/2005

11 / Décision de réintégration référencée 019/2009 du 10/03/2009 et lettre référencée

N°172/2009 du 30/06/2009 où le PDG cite que l’examen de ma situation ne fait

ressortir aucune irrégularité, ni retard dans le paiement de mes salaires, sans qu’il ne

justifie ses allégations.

12/ Copie de l’attestation CNAS qui m’informe que mon employeur ne m’a pas affilié et

copie de lettre du 31/01/2010 adressée au PDG, l’informant de cette grave négligence.

13/ Copies des lettres des 9/11/2010 et 27/12/2011 adressées au Secrétaire de la section

syndicale et du PDG les informant du non perception de la prime de scolarité.

14/ Copie des lettres des 05 et 21/02/2011, adressées au chef de département et PDG, leur

revendiquant le rappel de mes salaires et le mandatement du complément du salaire de

Page 143: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

base supprimé à tort. Aucune réponse ne m’a été faite à ce jour.

15 / Copie de lettre du 07/04/2013, revendiquant la perception de l’IEP à dater de l’année

de mon recrutement (1998) que le PDG refuse d’appliquer (ci-joint fiches de paye de

1998 et 2010 qui portent le même matricule)

16 / Copie des articles 73/4 de la loi 90/11 du 21/04/1990 et les articles 18 à 22 du livre de

droit des éditions BERTI qui précisent que lorsqu’il s’agit d’un licenciement abusif,

l’employé retrouve ses avantages acquis et le rappel de ses salaires à dater du jour du

licenciement jusqu'au retour effectif. Ceux de la constitution vont dans le même sens

17 / Copie des contrats de travail contradictoires et des articles de la loi 90-11 qui

distinguent les contrats à durée déterminée et indéterminé, ce qui échappe à la

gestion de la filiale

18 / Copie de la requête du 12/05/2014, adresse avec AR au PDG lui revendiquant la

régularisation de ma situation financière qu’il a refusée à ce jour.

Page 144: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Requête du 08/06/2014, notifiée au PDG par Huissier de justice

Page 145: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle
Page 146: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Madame Tagrast, née SAIDI Soumia

Mle 192156G Alger, le 08 Juin 2014

Antenne RESTAURAIL – SNTF-

Gare D’AGHA ( Alger )

Monsieur Le PDG de la Filiale RESTAU RAIL

12, Avenue de l’ALN – Hussein DEY- ALGER –

Objet/ Revendication de mes droits.

Réf : Ma requête du 12 Mai 2014

PJ : 4 – voir liste jointe en annexe

Monsieur Le PDG,

J’ai l’honneur de vous faire notifier par Monsieur L’huissier de justice la présente requête

en vous rappelant celle du 12 Mai 2014 par laquelle je vous indiquai que vous n’avez pas

encore régularisé mes salaires dans le droit fil de la décision de justice n°2135/01 du

13/11/2002, portant sur la réintégration avec rappel des salaires de la période du

licenciement arbitraire et indemnisation pour préjudice moral subi.

Je me permets de vous rappeler que vous détenez les documents qui plaident en la

régularisation de droit que vous refusez toujours d’appliquer.

Aussi, je tiens à vous les communiquer de nouveau par monsieur l’huissier de justice en les

énumérant comme suit :

1 / La décision de justice rappelée ci-avant, statuant réintégration et indemnisation.

Afin d’éviter toute autre interprétation de l’indemnité en question, celle-ci concerne

seulement le préjudice moral subi du 3/10/1999 date du licenciement abusif au

13/11/2002 date de délibération du jugement. Cette indemnité chiffrée à 100.000 DA m’a

été payée sans qu’elle ne soit suivie de réintégration, comme précisé sur la dite décision,

chose que vous n’ignorez pas et que la filiale n’a jamais appliquée.

2 / Dans le prolongement de la décision n° 2135/01, je vous communique copie de la

lettre de la centra le UGTA, référencée n° 177/BB/AA/LG/03 adressée le 11//11/2003 au

Directeur Général de la SNTF et dont vous détenez copie, invitant la filiale à me faire

réintégrer conformément à la loi 90-11-du 21/04/1990, portant sur l’exécution des

décisions de justice avec rappel des salaires de la période du licenciement abusif. Cette

lettre indique entre autres l’article 145 de la constitution, les circulaires n° 69 du

15/01/1996 et 04 du 11/09/2003 ainsi que l’instruction n° 11 du 04/09/1999 du chef du

gouvernement qui versent dans le même sens. (Voir aussi l’article de la presse qui

reprend les déclarations du chef du gouvernement allant dans le sens de la lettre de

l’UGTA)

Page 147: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

3 / Les instructions de la Direction des Ressources humaines, service du contentieux par

sa lettre référencée XRH-XP1-CX N° 22/02 du 05 Février 2005, donne des instructions

claires pour indiquer que toutes les décisions de justice doivent être exécutées et suivies

d’un pourvoi en cassation, ce que la filiale n’a jamais appliqué en maintenant son refus à

ma réintégration.

Pour confirmer le bien fondé de la revendication légitime et règlementaire des rappels des

salaire inhérents à une réintégration sur décision de justice, je vous communique copie

des articles 73/4 de la loi 90/11 du 21/04/1990 et les articles 18 à 22 du livre de droit des

éditions BERTI qui précisent que lorsqu’il s’agit d’un licenciement abusif, l’employé

retrouve ses avantages acquis et le rappel de ses salaires à dater du jour du

licenciement jusqu'au retour effectif par la faute de l’employeur.

IL y va de soi qu’indépendamment de la régularisation des salaires, je revendique comme

précisé dans ma précédente requête, le redressement de mes s alaires de base et celui de

l’IEP conformément aux décisions y afférentes ainsi qu’aux promotions auxquelles

j’ouvre droit depuis 1998.

Dans l’attente de la régularisation escomptée, dans le droit fil des justifications énumérées

ci-avant, veuillez agréer monsieur le PDG, l’expression de mes salutations distinguées.

Signée : Madame TAGRAST, née SAIDI Soumia

Page 148: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Documents joints

1 / - Décision de justice n°2135/01 du 13/11/2002, portant sur la réintégration et

Indemnisation de 100.000 DA pour préjudice moral subi

2 / - Lettre de la centrale UGTA, référencée n° 177/BB/AA/LG/03 adressée le

11//11/2003 au Directeur Général de la SNTF et dont vous détenez copie, invitant la

filiale à me faire réintégrer conformément à la loi 90-11-du 21/04/1990, portant sur

l’exécution des décisions de justice avec rappel des salaires de la période du

licenciement abusif. Cette lettre indique entre autres l’article 145 de la constitution, les

circulaires n° 69 du 15/01/1996 et 04 du 11/09/2003 ainsi que l’instruction n° 11 du

04/09/1999 du chef du gouvernement qui versent dans le même sens.

3 / - Lettre référencée de la DG/DRH, référencée XRH-XP1-CX N° 22/02 du 05 Février

2005 qui donne des instructions claires pour indiquer que toutes les décisions de

justice doivent être exécutées, ce que la filiale n’a jamais appliquée.

4 / - Article de la presse qui reprend les déclarations du chef du gouvernement allant dans

le sens de la lettre de l’UGTA, précisant son application scrupuleuse sous peine de

sanction.

5 / - Copie des articles 73/4 de la loi 90/11 du 21/04/1990 et les articles 18 à 22 du livre de

droit des éditions BERTI qui précisent que lorsqu’il s’agit d’un licenciement abusif,

l’employé retrouve ses avantages acquis et le rappel de ses salaires à dater du jour du

licenciement jusqu'au retour effectif par la faute de l’employeur.

Page 149: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

LR/AR n° 001759 du 2/7/2014 au PDG Adjout

Page 150: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

LR/AR n° 001759 du 2/7/2014 au PDG Adjout

Monsieur SAIDI Mohamed

Chez AISSAOUI Messaoud

Cité CNEP – 1100 Logements Alger, le 01 Juillet 2014

Bât 23- Appart. 06

DAR EL BEIDA (ALGER)

Tél / 0560 15 61 22

Monsieur Le PDG de la Filiale RESTAU RAIL

12, Avenue des L’ALN – HUSSEIN DEY - ALGER

OBJET : Situation de ma fille non encore régularisée.

Référence : Mes lettres des 12/ 05 et 08/06/2014

Notification de l’huissier de justice remise à vos services le 10 Juin 2014

Monsieur Le PDG,

En date du 08 Juin 2014, je vous ai fait parvenir ma requête notifiée par l’huissier de justice à vos services

le 10 du même mois avec accusé de réception.

Cette requête était accompagnée notamment:

1 / De la décision du jugement n° 2135/01 du 13/11/2002 qui indique réintégration et indemnisation que

vous refusez d’appliquer dans son intégralité.

2 / De la lettre de la centrale UGTA qui s’adresse au DG de la SNTF, l’invitant à faire régulariser la

situation de ma fille avec rappel de ses salaires dans le droit fil des lois de la République, de l’article 145

de la constitution, des circulaires n° 69 du 15/01/1996 et 04 du 11/09/2003 ainsi que l’instruction n° 11 du

04/09/1999 du chef du gouvernement qui verse dans le même sens.

3 / De l’article de presse qui reprend les déclarations d’Ahmed Ouyahia chef du gouvernement, donnant

des instructions fermes aux responsables des entreprises afin de respecter scrupuleusement les décisions de

justice, allant dans le sens de la lettre de l’UGTA)

Faut-il vous rappeler que ma fille n’a pas cessé de vous indiquer que depuis sa réintégration opérée le 10

Mars 2009, sur instructions du Directeur Général Benameur Mourad, vous persistez dans votre refus de lui

régulariser sa situation de droit en violation de la loi 90/11 du 21/4/90, des instructions du chef du

gouvernement rappelée par la lettre de la centrale UGTA, documents qui sont en votre possession.

Devant votre silence quant à la régularisation revendiquée, j’ai introduit sur site INTERNET YOUTUBE

« Les travailleurs de la filiale Restau Rail exploités » les premières vidéos relatant votre façon de vous

conduire à l’endroit des travailleurs victimes de vos dépassements.

D’autres démarches sont en cours de concertation avec des travailleurs de la filiale venus me contacter

munis de documents qui les pénalisent injustement, dans le cadre des interventions médiatisées que

j’envisage de concrétiser à court terme dans la mesure où nos requêtes ne trouvent pas de suite favorable à

votre niveau. Ces requêtes seront éventuellement reproduites dans leur intégralité sur ce même site afin de

prouver au public et aux pouvoirs publics que je n’agis ainsi que dans le cadre de faire triompher la vérité.

J’ose croire que cette énième requête ne vous laissera pas indifférent et vous demande de me faire part de

la suite que vous comptez lui réserver. Faute de réponse dans un délai d’un mois, je serais contraint de

notifier par huissier de justice, la non exécution de la requête du 10/6/2014, aux fins d’autres interventions

de droit.

Dans cette attente, veuillez agréer Monsieur Le PDG, l’expression de mes salutations distinguées.

Page 151: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Monsieur SAIDI Mohamed Tél / 0560 15 61 22

Djamal,

Je t’ai fait parvenir par requête officielle, sous pli recommandé avec AR, ma énième réclamation

concernant SOUMIA. Comme tu ne l’ignores pas, elle était accompagnée de copies de certains de

documents officiels qui plaident en la régularisation sollicitée.

Malgré cela, tu continues de faire la sourde oreille, sachant que je défends un droit incontesté et

incontestable. Je persiste dans ma démarche jusqu’à son obtention, quand bien même ton entêtement.

Trouves-tu normal que je t’ai imploré pendant 5 longues années à te demander d’appliquer les lois de la

République dans ce cadre précis et à chaque fois tu me fais sortir des réponses loin de la réalité, ce que ne

peut tolérer davantage un père de famille qui protège les intérêts de sa progéniture.

J’ai attendu plus de 5 ans sans que tu ne consentes à régulariser une situation de droit et c’est toujours le

même refrain avec toi, allant jusqu’à rompre toute relation avec moi. J’ai pris cela avec philosophie, ce qui

ne m’a pas empêché d’avancer dans mes démarches.

Pourtant ce n’est pas de l’aumône que ma fille demande. Pourquoi tu t’acharnes dans un refus qui m’a

poussé à agir de la sorte jusqu’à introduire des vidéos et dénoncer tes caprices. Le grand public n’est pas

encore informé de cette situation. Il y a juste des agents de la filiale qui sont enthousiasmés de ce que

j’entreprends avec bien entendu la collaboration de ceux qui me documentent de dossiers incontestables

que je détiens et qui me serviront de preuves le cas échéant.

Je laisse passer la coupe du monde, le ramadhan pour réapparaître à ce moment avec les moyens audio

visuels qui permettraient la découverte d’une gestion abracadabrante d’une filiale censée appliquer la

règlementation intérieure, les lois de la République, les instructions des pouvoirs publics. Ce qui n’est

malheureusement pas le cas et je tiens à le démontrer, documents avérés à l’appui.

Tu ne pourras jamais deviner cette vérité, car pour toi c’est dans la logique des choses que tu interviens et

dans le droit fil de ce que tu penses être la règlementation et les lois de la République. Avec ALLOUNE

ET KECHIT, eux qui t’ont embarqué dans cette galère, je peux te prouver le contraire qu’ils t’ont induit en

erreur en te faisant commettre et signer des c…. qui portent préjudice à ton image de PDG et de la filiale.

En attendant il y a encore des agents qui me contactent et me fournissent des preuves de ta culpabilité de

tes décisions qui les pénalisent dans des infractions plus graves que certains agents pour lesquels tu fermes

les yeux, parce qu’il s’agit de travailleurs qui jouissent de ta protection et celle de KECHIT. Ce n’est pas

de la science fiction, c’est de la réalité. Si tu veux la découvrir, tu n’as qu’à me contacter pour en savoir

plus. Encore une fois, je te dis que je ne suis ni rancunier, ni haineux, je suis ouvert à toute discussion et si

j’ai agi de la façon la plus normale, c’est que tu m’y as contraint à défendre les droits de ma fille, en ayant

à ma portée des documents y afférents.

Comme il s’agit d’un courrier simple qui s’adresse à un ex collègue qui a partagé des moments de

camaraderie du temps où nous activions ensemble au HAMMA, loin de tout protocole, je te dis reçois mes

salutations et saha ramdhanec.

Mohamed SAIDI

Page 152: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Alger, le 30 Septembre 2014

Monsieur ADJOUT Djamal

PDG, Filiale RESTAU RAIL

12, Avenue de l’ALN Hussein DEY – ALGER –

Dans ma dernière lettre non datée que je t’ai adressée courant du Mois D’août, je te rappelai les

précédentes pour te demander de justifier ton refus à ne pas répondre aux énièmes requêtes que ma fille

SOUMIA t’avait transmises, revendiquant la régularisation de sa situation.

Ses suppliques revendiquaient d’une part le rappel de ses salaires antérieurs dans le droit fil de la décision

de justice N° 2135/01 du 13/11/2002, de la grosse de jugement portant les mêmes références,

conformément aux instructions des l’ex chef du gouvernement Mr. Ahmed OUYAHIA et d’autre part

d’opérer aux redressements du complément du salaire de base que tu lui as supprimé injustement, de la

prime IEP à laquelle elle ouvre droit depuis 1998, année de son recrutement comme tu le mentionnes sur

ses fiches de paye et non de l’année 2009 qui correspond à la date de sa réintégration, sans omettre de lui

indiquer, pourquoi elle n’as pas reçu de promotion depuis plus de 16 ans alors que son grade d’agent

d’exécution l’autorise à ces avancements dans le maximum de temps n’excédant pas 2 années.

La 2e notification d’exécution de la dite décision de jugement a été remise à tes services par huissier de

justice le 10/06/2014. Tu continues de faire la sourde oreille lorsque tu n’es pas en mesure de justifier ton

silence.

Je t’ai rappelé à maintes reprises que je suis déterminé à revendiquer la légitimité des droits de ma fille

jusqu’à leur obtention. Je suis en train de recueillir d’autres témoignages d’agents victimes de tes

agissements les privant à l’instar de ma fille des avantages de droit que tu refuses de leur octroyer suivis de

mesures répressives que tu leur imposes et infliges à chaque dois qu’ils les revendiquent.

J’entreprends les démarches nécessaires auprès des médias « Presse écrite et Télévision » afin d’informer

les pouvoirs publics et les citoyens de l’exploitation des travailleurs que tu soumets à ta botte en instaurant

un climat de peur, de terreur et leur imposant une gestion esclavagiste, moyenâgeuse.

Je te demande d’accepter ta présence et celle de ceux qui ont clochardisé la filiale, en confrontation avec

ceux qui subissent les pires humiliations de leur vie par ta conduite dictatoriale.

A toi d’exposer tes arguments pour défendre en toute transparence les nombreuses carences qui accablent

la filiale. Ton DG sera informé de cette lettre en lui communiquant copie afin que lui aussi puisse préparer

sa thèse dans le cadre de l’émission préconisée.

Je serai ponctuel en te transmettant d’autres lettres te rappelant ainsi que tu n’as pas encore accompli ton

rôle et que tu continues d’empiéter les lois de la République et les instructions des pouvoirs publics, dans

le cadre la régularisation de la situation de ma fille.

Signé : Mohamed SAIDI

Page 153: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Lettre du 03/06/2014, notifiée le 10/06/2014 au DG Bendjaballah par Huissier de justice

Page 154: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle
Page 155: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Monsieur SAIDI Mohamed

Chez AISSAOUI Messaoud

Cité CNEP – 1100 Logements Alger, le 03 Juin 2014

Bât 23- Appart. 06

DAR EL BEIDA (ALGER)

Tél / 0560 15 61 22

Monsieur Le Directeur Général de la SNTF

OBJET : Situation de ma fille non encore régularisée.

Référence : Mes lettres des 26/11/ 2013 et 12/05/2014

PJ/ Voir liste jointe en annexe

Monsieur Le Directeur Général,

Je vous adresse par notification de l’huissier de justice cette lettre de rappel en portant à votre

connaissance que le PDG Adjout Djamal perdure dans son refus à régulariser les salaires de ma fille

Soumia, portant sur la période de son licenciement abusif jusqu’à sa date de réintégration. ( 03/10/1999

au 10/03/2009)

Les quatre vidéos qui vous ont été communiquées par ma lettre du 12 Mai 2014 introduites sur site

YOU TUBE « Les travailleurs de la filiale RESTAU RAIL exploités » contiennent des renseignements

inhérents à la gabegie du PDG qui semble jouir de protection et d’impunité de sa tutelle, qui lui permet

de maintenir sa position dictatoriale.

Par lettre du 12 Mai 2014, ma fille adresse à ADJOUT une énième requête dont ci-joint copie pour lui

rappeler qu’elle n’a toujours pas été régularisée, en lui transmettant comme toujours les copies des

documents de droit qui lui permettent de rentrer dans son dû.

Ces documents bien qu’ils soient en votre possession, je tiens à vous les communiquer à nouveau pour

que vous constatiez de visu le bien fondé que réclame ma fille.

- La grosse de la décision du jugement n° 2135/01 du 13/11/2002 qui indique réintégration et

indemnisation que ADJOUT refuse d’appliquer dans son intégralité.

- La lettre de la centrale UGTA qui s’adresse au DG, l’invitant à faire régulariser la situation de ma fille

avec rappel de ses salaires dans le droit fil des lois de la République, de la constitution, sans oublier

l’article de presse qui reprend les déclarations d’Ahmed Ouyahia chef du gouvernement, donnant des

instructions fermes aux responsables des entreprises afin de respecter scrupuleusement les décisions de

justice, ce que n’a pas appliqué ADJOUT qui se conduit en HORS LA LOI.

- La note de la DG/DRH référencée XRH-XP1- CX n°22 du 5/2/2005 transmise aux établissements pour

inviter les responsables à exécuter les décisions de justice de réintégration, ce que le PDG n’a pas fait.

- Les deux réponses d’ADJOUT qui ne renferment que mensonges, qui sont sa spécialité où il excelle. Je

le défie en votre présence de justifier ses allégations.

- En complément des vidéos déjà en votre possession, je vous communique le CD/DVD qui renferme

trois autres qui portent sur l’assemblée générale des travailleurs inhérente au renouvellement de la section

syndicale, celle qui relate les dépassements du PDG et celle où je parle de son départ précipité qu’il

demande afin d’échapper à la tourmente qui l’attend dans le cadre des investigations de la commission

d’enquête que la nouvelle section syndicale exige afin d’apporter l’éclairage sur la gestion nébuleuse

d’ADJOUT.

Page 156: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

J’espère qu’avec cet arsenal de documents incontestés et incontestables, vous prendrez les mesures

appropriées afin que vous déclenchiez la régularisation que ma fille attend depuis des mois, pour ne pas

dire des années. La prochaine vidéo sera-t-elle, celle où je vous adresserai mes remerciements d’avoir mis

fin au stress quotidien de ma fille.

Toujours est-il que je suis déterminé de ne pas m’arrêter, jusqu’à faire triompher la vérité que d’aucuns

cherchent à camoufler en inventant moult subterfuges.

Je continuerai d’introduire ponctuellement sur YOUTUBE, des vidéos qui renfermeront les démarches

entreprises en ne cessant pas d’interpeller les autorités sur le laxisme, l’indifférence que nous affichent les

destinataires de nos requêtes.

Comme évoqué précédemment, je me rendrai disponible dans la mesure où ma contribution au sein de la

filiale RESTAU RAIL apporterait les améliorations et la stabilité qu’attendent les travailleurs. Faut-il

rappeler que sur sollicitation de la Direction Commerciale et la Direction Générale, j’ai géré cette filiale

en 1982 et 1997, afin d’apporter la solution idoine que l’on attendait de moi. «Discipline, organisation,

restructuration, amélioration des prestations, redressement de situations, stabilité et placer des

responsables qu’il faut à la place qu’il faut pour redonner confiance à des travailleurs maltraités,

marginalisés.

Eu égard de ce qui précède, je vous saurais gré Monsieur Le Directeur Général, de bien vouloir me faire

part de la suite que vous comptez réserver à ma requête, en espérant dans son prolongement que vous

m’accorderiez une audience, afin que nous discutions de vive de cette affaire qui a trop duré.

Veuillez agréer, Monsieur Le Directeur Général, l’expression de mes salutations distinguées.

Signé : Mohamed SAIDI

Page 157: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Documents joints

1- Copie de la requête du 12 Mai 2014 adressée par ma fille au PDG

2 - La grosse de la décision du jugement n° 2135/01 du 13/11/2002 qui indique réintégration et

indemnisation que ADJOUT refuse d’appliquer dans son intégralité.

3- Copie de la lettre de la centrale UGTA qui s’adresse au DG, l’invitant à faire régulariser la situation de

ma fille avec rappel de ses salaires dans le droit fil des lois de la République, de la constitution, sans

oublier l’article de presse qui reprend les déclarations d’Ahmed Ouyahia chef du gouvernement,

donnant des instructions fermes aux responsables des entreprises afin de respecter scrupuleusement

les

décisions de justice, ce que n’a pas appliqué ADJOUT qui se conduit en HORS LA LOI.

4 - La note de la DG/DRH référencée XRH-XP1- CX n°22 du 5/2/2005 transmise aux établissements

pour inviter les responsables à exécuter les décisions de justice de réintégration, ce que le PDG n’a

pas

fait.

5 - Les deux réponses d’ADJOUT qui ne renferment que mensonges, qui sont sa spécialité où il excelle

6 - En complément des vidéos déjà en votre possession, je vous communique le CD/DVD qui renferme

trois vidéos

Page 158: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

LR/AR n° 001612 du 30/6/2014 au DG Bendjaballah

Monsieur SAIDI Mohamed

Chez AISSAOUI Messaoud

Cité CNEP – 1100 Logements Alger, le 30 Juin 2014

Bât 23- Appart. 06

DAR EL BEIDA (ALGER)

Tél / 0560 15 61 22

Monsieur Le Directeur Général de la SNTF

OBJET : Situation de ma fille non encore régularisée.

Référence : Mes lettres des 26/11/ 2013 et 12/05/2014

Notification de l’huissier de justice remise à vos services le 10 Juin10 Juin 2014

Monsieur Le Directeur Général,

En date du 03 Juin 2014, je vous ai fait parvenir ma requête notifiée par l’huissier de justice à vos services

le 10 du même mois avec accusé de réception.

Cette requête était accompagnée :

1 / De la décision du jugement n° 2135/01 du 13/11/2002 qui indique réintégration et indemnisation que le

PDG de la filiale RESTAU RAIL ADJOUT refuse d’appliquer dans son intégralité.

2 / De la lettre de la centrale UGTA qui s’adresse au DG de la SNTF, l’invitant à faire régulariser la

situation de ma fille avec rappel de ses salaires dans le droit fil des lois de la République, de l’article 145

de la constitution, des circulaires n° 69 du 15/01/1996 et 04 du 11/09/2003 ainsi que l’instruction n° 11 du

04/09/1999 du chef du gouvernement qui verse dans le même sens.

3 / De l’article de presse qui reprend les déclarations d’Ahmed Ouyahia chef du gouvernement, donnant

des instructions fermes aux responsables des entreprises afin de respecter scrupuleusement les décisions de

justice, allant dans le sens de la lettre de l’UGTA)

Dans le prolongement de ma requête une autre a été également adressée à ce PDG, notifiée par huissier de

justice le 10 JUIN 2014, lui rappelant qu’elle n’a toujours pas été régularisée depuis la réintégration opérée

le 10 Mars 2009. Copie de cette dernière vous a été communiquée pour information.

Monsieur ADJOUT se comporte comme un véritable dictateur envers d’autres travailleurs de la filiale,

victimes d’injustices de toutes sortes. Ils sont venus me contacter pour leur venir en aide et m’ont sollicité

pour les assister et les accompagner dans leurs démarches afin d’être réhabilités dans leurs droits spoliés.

C’est ce qui m’a amené à introduire les premières vidéos sur YOUTUBE dans le combat qu’ils mènent

conjointement avec celui de ma fille.

D’autres démarches sont en cours de concertation avec ces travailleurs, dans le cadre des interventions

médiatisées que nous envisageons d’entreprendre à court terme dans la mesure où nos requêtes ne trouvent

pas de suite favorable à votre niveau. Ces requêtes seront éventuellement reproduites sur site INTERNET

pour montrer au public et aux pouvoirs publics que je n’agis ainsi que dans le cadre de faire triompher la

vérité, faut-il le rappeler et que les véritables coupables paient de leurs fautes.

J’ose croire que cette énième requête puisse vous sensibiliser afin de répondre à l’attente de ma fille et de

me faire part de la suite que vous comptez lui réserver. Faute de réponse de votre part dans un délai d’un

mois, je serais contraint de notifier par huissier de justice, la non exécution de la requête du 10/6/2014.

Vous souhaitant bonne réception, veuillez agréer Monsieur Le Directeur Général l’expression de mes

salutations distinguées.

Page 159: Filiale restau rail esclavagisme AU XXI Siècle

Alger, le 30 Septembre 2014

Monsieur Le Directeur Général de la SNTF

21/23 Boulevard Mohamed V - ALGER

OBJET : Situation de ma fille non encore régularisée.

Référence : Mes lettres des 26/11/ 2013, 12/05/2014 et 30/06/2014

Notification de l’huissier de justice remise à vos services le 10 Juin10 Juin 2014

PJ:/ 01

Monsieur Le Directeur Général,

Je vous communique copie de la lettre que je viens de transmettre à votre PDG ADJOIUT Djamal, lui

rappelant qu’il s’enferme toujours dans son mutisme à ne pas régler l’affaire de ma fille dans le droit fil de

la décision de justice, dans le droit fil de la loi 90-11, dans le droit fil de notre constitution, entravant même

les instructions de l’ex chef du gouvernement Mr. Ahmed OUYAHIA, portant exécution des décisions de

justice statuées en faveur des travailleurs.

IL est vrai que sans la complicité de la Direction Générale informée des tenants et aboutissants de cette

affaire, il se serait conformé à ces directives on ne peut plus claires.

Je vous ai interpellé à travers les vidéos en votre possession que je vous invite à révisionnel renfermant des

informations avérées « vérifiables » sur la gestion mafieuse, despote d’ADJOUT que vous ne semblez pas

prendre au sérieux en le laissant gérer comme bon lui semble, se confinant dans sa position de dictateur.

Comme je le lui ai indiqué, cela ne fait que renforcer ma détermination à faire triompher la vérité et que je

continue de recevoir des informations confirmant sa gestion catastrophique.

J’espère ne pas tarder dans ce travail qui me prend beaucoup de temps avant la médiatisation que je prépare

en présence des acteurs chargés d’animer cette émission. IL va des soi que la SNTF et la Filiale Restau Rail

seront invités pour la circonstance afin que chacun défende sa position en exhibant les documents qu’elles

détiennent.

Signé : Mohamed SAIDI

PORTABLE : 0560 156 122