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Cécile Charrière
Trésorière et responsable des conférences (AMUN) 2014-2015
Bilan d’engagement étudiant
REMERCIEMENTS
Je me dois tout d’abord de remercier les personnes qui m’ont accordé leur
confiance et les responsabilités liées à un rôle dans le Bureau de l’association, alors
même que je n’avais initialement aucune expérience.
A ce titre, je remercie Andréa Zen, Président de l’Association, et Tanguy
Courtois (Trésorier d’Alpes MUN 2013-2014) qui ont pris le temps de m’expliquer le
fonctionnement d’Alpes MUN, de me familiariser avec toutes les procédures de
demandes de subvention, leur soutien tout au long de l’année fut indéfectible.
Je tiens également à remercier Célia Pellet (Secrétaire) pour son travail sérieux
et sans faille, sa grande rigueur et sa réactivité.
Merci aux membres de l’association, essentiellement étudiants en première
année, et qui ont fait le choix honorable de s’investir dans leur IEP dès leur arrivée :
Juliette Cochelin, Pierre Jothy, Lucie Naudé, Raphael Jean, Sabrina Salama ,Simon
Decarpigny-Barreau, Raphael Silvan.
Enfin et surtout, je souhaite remercier, au nom de tous les membres d’Alpes
MUN l’administration de Sciences Po Grenoble, pour son soutien qui fut aussi
indispensable et qu’indéfectible. Ainsi, nous remercions chaleureusement Monsieur
Froment, Madame Bernard, Madame Bonnefoy, Madame Tardy-Gaillard, ainsi que le
personnel du Comptoir Numérique, qui nous fut d’un soutien précieux pour
l’organisation des conférences.
2
Sommaire
R
EMERCIEMENTS
QUELQUES MOTS D’INTRODUCTION
I. ALPES MODEL UNITED NATIONS
a. L’association
b. Les motivations de mon engagement
II. QU’EST CE ETRE TRÉSORIÈRE CHEZ ALPES MUN ?
a. Mes appréhensions
b. Le rôle de trésorière
c. Une expérience enrichissante
III. L’ORGANISATION DES CONFÉRENCES : UN CHALLENGE
a. Les conférences organisées
b. Les difficultés rencontrées
CONCLUSION
Annexes
3
QUELQUES MOTS D’INTRODUCTION
A travers ces quelques pages, je vais tenter de vous présenter une vision
d’ensemble de mon expérience associative au sein d’Alpes MUN. A titre
d’introduction je tiens à préciser mon entière satisfaction quant à cet engagement et ce
que cela m’a apporté sur le plan humain, mais aussi universitaire. J’essaierai ainsi
d’expliquer en quoi mon engagement associatif m’a t’il permis de m’épanouir et
de quelle façon celui ci impactera mon futur.
Mon « travail » dans le cadre d’Alpes MUN fut double, dans un premier temps la
gestion des ressources et dépenses financières de l’association en tant que Trésorière ;
mais aussi la gestion de l’organisation des conférences en tant que Responsable du
pôle conférence. De plus, grâce à Alpes MUN j’ai eu l’immense chance de participer
à un Euro MUN à Maastricht du 29 avril 2015 au 3 mai 2015.
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I. ALPES MODEL UNITED NATIONS
a. L’association
Alpes Model United Nations (AMUN) est une association, crée en janvier 2009
par les étudiants en master Organisations Internationales de l’Institut d’Etudes
Politiques de Grenoble et qui a pour vocation de sensibiliser les étudiants aux
questions internationales ainsi que de les familiariser avec le fonctionnement et
l’esprit des organisations internationales. Pour cela Alpes MUN se veut à la fois un
lieu d’échange pour les étudiants du campus grenoblois sensibles aux questions
internationales, mais aussi un lieu de formation au vocable des négociations
internationales et de la diplomatie.
L’action d’Alpes MUN se divise en deux volets : le premier consiste à
organiser des simulations de négociations dans des institutions internationales
(Conseil de Sécurité de l’OTAN) et/ou européennes (Conseil ECOFIN). Ces
négociations se font entièrement en anglais et dans le respect des règles de procédures
officielles de ces institutions. Dans le cadre de ce premier volet AMUN permets aux
étudiants de l’IEP les plus motivés de participer à des Model United Nations en
Europe en assumant la charge financière de l’inscription à ces simulations de
négociation à grande échelle. Le second volet, qui m’est plus familier car je m’y suis
investie personnellement est l’organisation de conférences à Grenoble sur des thèmes
questionnant les Relations Internationales susceptibles d’intéresser les étudiant(e)s .
Ces conférences sont gratuites et ouvertes à tous.
Afin d’assurer une gestion des différentes activités de l’association, le bureau,
dont je fais partie, a décidé d’organiser pour l’année universitaire 2014-2015
l’association comme ceci :
- Le Bureau, qui se charge de la gestion quotidienne de l’association et
qui assure un suivi global de l’ensemble des projets de l’association. C’est le bureau
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qui est aussi chargé des relations entre l’ensemble des membres de l’association, de la
communication entre les différents pôles, des relations inter-associatives et des
relations administratives et institutionnelles. Mon rôle particulier au sein du bureau a
été celui de trésorier : cela comprend la gestion des fonds de l’association et des
demandes de subventions, le financement de l’association, la gestion des budgets ainsi
que la gestion des opérations courantes de trésorerie.
- Le pôle simulation : ce pôle a pour finalité la gestion des simulations
de l’association : envoi de délégation à l’international, mise en place de simulation à
Grenoble, formations aux règles de négociations onusiennes.
- Le pôle conférence: ce pôle assure l’organisation et la gestion des
conférences de l’association Alpes MUN. Cela implique de trouver des intervenants,
de l’organisation de leurs trajets et de leur déplacement à Grenoble, ainsi que de
l’organisation technique et logistique de la conférence. Ce pôle a aussi la charge de
l’organisation des conférences, de leurs formats et des thèmes abordés.
- Le pôle communication : la charge de la communication est
extrêmement importante. C’est ce pôle qui gère les campagnes de communication
relatives aux différents évènements, en fonction des souhaits émis par les différents
pôles ainsi que le bureau. L’ensemble des pôles est géré par un « chef de pôle » qui
permet l’animation de ceux-ci et qui a pour tâche d’organiser et de rendre compte de
l’organisation des évènements aux entre membres de l’association.
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b. Les motivations de mon engagement
Depuis ma première année à l’IEP j’ai toujours pensé que l’association Alpes
MUN était l’unes des plus intéressante et stimulante intellectuellement. Mais étant
inscrite en parallèle à la faculté de droit j’étais persuadée qu’il me serait impossible de
gérer un engagement étudiant en plus de ce double cursus. Cependant, au début de
l’année lorsque Andréa Zen me fit partager son inquiétude quant à l’absence de
« relève » dans le bureau de l’association du au fait du double départ des 2A et des 4A
j’ai pris la décision de m’y investir et de faire en sorte de faire vivre cette association.
Au moment de mon engagement j’avais dans l’idée de postuler pour le master
Pratiques et Politiques des Organisations Internationales dans le but de devenir avocat
ou juriste en droit international et de travailler dans une Organisation Non
Gouvernementale ou Intergouvernementale. Ainsi, Alpes MUN était en totale
adéquation avec mon projet professionnel et touchait à toutes les thématiques qui
stimulaient le plus mon intérêt.
De surcroit, le simple fait de m’engager dans la vie associative m’a paru
quelque chose de nécessaire pour compléter mon cursus universitaire. En effet, il me
semble que s’investir dans une association est tout aussi important que de faire des
stages ou de travailler quelques mois en été. Le fait de travailler bénévolement à
l’accomplissement d’un projet à but non lucratif dans lequel l’on croit et l’on a envie
de s’investir afin de faire vivre la vie associative de son école est une expérience
unique et sans égale. Je pense en effet que l’engagement dans une association
étudiante s’apparente à une « école de la vie », car il faut apprendre à travailler en
groupe, être capable de prendre des initiatives tout en sachant faire des compromis,
s’efforcer d’être rigoureux mais aussi tolérer ceux qui le sont moins ; ou encore
accepter et même utiliser les critiques pour s’améliorer.
a.
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I. ETRE TRÉSORIÈRE CHEZ ALPES MUN
a. Mes appréhensions
Initialement, j’étais inquiète à l’idée d’être trésorière d’une association car je
n’avais jamais fait de comptabilité et qu’un bilan financier m’était quelque chose de
totalement étranger. Partagée entre l’inquiétude de ne pas être à la hauteur et la fierté
de me voir proposer de telles responsabilités j’ai rapidement décidé d’accepter ce rôle
au sein du Bureau d’Alpes MUN.
b. Le rôle de trésorière
Tanguy Courtois et Andréa Zen m’ont confié le classeur ou tous les papiers
officiels relatifs à l’association étaient confinés, ainsi que des dossiers de demandes
de subventions des années précédentes ; j’ai alors passé beaucoup de temps à étudier
ce classeur.
A partir du mois de septembre il a fallu renouveler toutes les demandes de
subventions et c’est là que le défi a été difficile à relever pour moi car tout était
complètement nouveau, notamment toutes les procédures administratives qui
m’étaient encore alors à peu près inconnues. Grace à l’aide de l’ancien trésorier
(Tanguy Courtois) et du Président de l’association, mais aussi grâce à la gentillesse
des personnes responsables des relations avec le monde associatif dans les institutions
auxquelles j’en ai fait la demande, j’ai pu rapidement comprendre le fonctionnement
de ces procédures. J’ai monté des dossiers de demandes de subvention à l’attention de
l’IEP, de l’UPMF, de la Ville de Grenoble, du Crous, et d’Université Grenoble Alpes.
Monter ces dossiers m’a demandé beaucoup de temps et de rigueur ; il faut maîtriser
bien entendu les aspects financiers de l’association, mais aussi et surtout les projets
qui verront le jour grâce aux subventions accordées. J’ai du présenter à de multiples
reprises l’histoire, les fondements de l’association, ainsi qu’expliquer le rôle et
l’influence que veut avoir Alpes MUN à l’IEP et sur le campus, en général. J’ai
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également appris comment établir un budget prévisionnel en fonction des bilans
financiers des années précédentes, avec l’aide de l’ancien trésorier.
C. Qu’est ce que le rôle de trésorière m’a apporté ?
Etre trésorière d’Alpes MUN m’a beaucoup appris car comme je l’ai précisé
précédemment je n’avais aucune compétence dans ce domaine. J’ai pu me familiariser
avec les procédures administratives, j’ai appris à monter des dossiers de subventions,
établir des budgets prévisionnels, gérer les dépenses de l’association.
Ce qui m’a le plus plu a été d’être en contact avec les personnes en charge des
organisations étudiantes. J’ai notamment rencontré Julien Vaccari, Chargé de projets
Culture et Initiatives étudiantes à Université Grenoble Alpes, Diera Radafiarijaona
Délégué culturel au CROUS de Grenoble et Julie Cuchet, Responsable du Bureau de
la Vie étudiantes à l’UPMF ; ces trois personnes m’ont marqué par leur patience et
leur grande dévotion quant à leur travail.
J’ai été touchée par le fait de rencontrer des personnes dédiant leur vie au bon
fonctionnement du monde associatif étudiant, et passant leurs journée à étudier la
faisabilité de projets culturels associatifs. Ils m’ont donné de précieux conseils, que je
tacherai de transmettre à le/la prochaine trésorière d’Alpes MUN, et nous on proposé
leur aide quant à la communication de nos conférences sur l’ensemble du campus.
De plus, je me réjouis du fait que tous les dossiers de demande de subvention
que j’ai déposé aient reçu des réponses favorables, c’est pour moi une grande
satisfaction.
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II. L’ORGANISATION DES CONFÉRENCES : UN CHALLENGE
Etre responsable du pôle conférence dans lequel nous étions quatorze étudiants
en tout fut un défi différent de celui d’être trésorière. Néanmoins, j’avais déjà
organisé une conférence il y a deux ans (j’avais invité l’historien Daniel Lefeuvre)
dans le cadre d’une campagne BDE et j’avais apprécié cette expérience.
a. Les conférences organisées
Deux conférences ont eu lieu cette année à l’IEP, organisées par Alpes MUN.
L’intitulé de la première était « Amérique Latine : gouvernance féminine,
société machiste, réflexions sur un paradoxe contemporain » elle a eu lieu le mercredi
11 mars. Notre présentation était la suivante : « En 1974, en Argentine, pour la
première fois dans l’histoire du monde une femme est élue présidente, aujourd’hui
l’Amérique Latine compte plus d’un tiers des femmes présidentes dans le monde.
La problématique de la conférence était : Ne vous êtes vous jamais demandé
comment dans des pays ou machisme et misogynie sont monnaie courante des
femmes ont-elles pu accéder à la Présidence ? »
Nos intervenantes étaient Marie Elena Galoppo enseignante et activiste
engagée (née en Argentine) et Antioneta Pardo Chilienne et française, élue en charge
de la politique culture et de l'égalité femme/homme (2008-2014), formatrice et
intervenante sur le Droit culturel (Art 27 de la DUDH), les femmes et les conflits de
masse, les commissions de vérité et de réconciliation (CVR).
J’ai proposé le thème des femmes en Amérique Latine car l’année précédente
l’association s’était beaucoup concentrée sur les thématiques du type
Moyen-Orient/Islam .... Madame Galoppo s’est imposée dans mon esprit comme étant
une intervenante parfaite car d’origine Argentine et très engagée pour les droits des
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femmes. De plus, j’ai suivi ses cours d’espagnol et je connaissais son charisme
naturel. Antonieta Pardo est unes de ses collègues, féministe engagée, qui fut très
éloquente.
Dans l’organisation de cette première conférence je me suis occupée de la
communication, du déroulement de la conférence et j’ai adopté le rôle de modératrice
durant le débat.
La seconde conférence eu lieu le mercredi 8 avril, l’intitulé étant « De l’état
actuel de la radicalisation Islamique en France; illustrations cliniques et perspectives
conceptuelles ». Ci dessous la description de notre événement :
« Quels processus de radicalisation ? Quelles formes de radicalités ? Pourquoi de jeunes Français, qui ne sont pourtant pas de culture musulmane, veulent-ils se convertir à l'Islam et se radicalisent ils parfois ensuite? Quelles sont les techniques de propagande utilisées par les djihadistes ?
Dans le contexte d’une inquiétante radicalisation chez certains musulmans et convertis, l’association niçoise Entr’Autres tente de comprendre les raisons du départ de jeunes pour le djihad, à partir d'un travail soutenu de terrain (auprès des familles, des Services de renseignement, de la Justice, de la préfecture, des gendarmes, des imams, des mosquées, des associations de quartier, des travailleurs sociaux, etc.)
Quelques mois après de l’attentat visant Charlie Hebdo, Alpes MUN invite quatre membres d’Entr’Autres à Sciences Po Grenoble, ce mercredi 8 avril à partir de 17h dans le cadre d’une conférence s’appuyant sur des témoignages concrets, qui sera suivi d’un débat.
Nous sommes fiers d’accueillir ;
Patrick Amoyel, Philosophe, Psychanalyste, Vice-Président de la Société Méditerranéenne de Psychiatrie, Président de l'Association Entr'Autres, Professeur Master 2 "Psychopathologie interculturelle, clinique du lien social, des traumatismes et des situations de crise", Université de Nice Sophia-Antipolis
Brigitte Erbibou, Psychanalyste, chargée de cours Master 2 "Psychopathologie interculturelle, clinique du lien social, des traumatismes et des situations de crise", Université de Nice Sophia-Antipolis
Amélie Boukhobza, Psychologue clinicienne, Doctorante en psychopathologie clinique sur les faits identitaires, Université de Nice Sophia-Antipolis.
11
et
Karim Bouda, membre d'Entr'autres et consultant du Président de l'association »
Concernant cette conférence, l’idée du thème, et des intervenants venait de
Lucie Naudé, membre active de notre association. Elle est restée en contact avec eux
durant tout le temps précédent la conférence. Je me suis occupée de la logistique, du
paiement des transports de nos intervenants depuis Nice ainsi que de la « campagne
de communication » (affiches, évènement Facebook…).
Chacune des deux conférences fut un succès, environ 150 personnes sont
venues écouter nos intervenants en tout, majoritairement des étudiants de l’IEP, mais
aussi de la faculté de psychologie, d’histoire, de droit, des étudiants Erasmus
(Brésiliens, Chilien, Turcs, Argentins…) …
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c. Les difficultés rencontrées
Les difficultés que j’ai pu rencontrer concernant la première conférence
étaient liées aux soucis de santé de Madame Galoppo, qui a été hospitalisée. Nous
avons donc du reporter la conférence deux fois. Heureusement, Madame Galoppo
s’est rétablie, et elle est en pleine forme aujourd’hui. La conférence a finalement eu
lieu et ce fut un franc succès.
Concernant la conférence intitulée « De l’état actuel de la radicalisation
Islamique en France; illustrations cliniques et perspectives conceptuelles » les
difficultés ont été tout autres. En effet, l’affiche de présentation ayant été jugée trop
choquante et polémique (voire en Annexe) a été arrachée très rapidement partout ou je
les accrochais. Le personnel de la Bibliothèques de Droit-Lettres, a refusé que
j’accroche les affiches sur le tableau d’affichage. Alors même qu’il m’avait fortement
été conseillé d’élargir le champ de communication pour nos évènements afin de ne
pas toucher uniquement des étudiants de l’IEP. A la COREP, la responsable de
l’agence a refusé aussi que j’accroche mes affiches dans son agence sous prétexte
qu’elle risquait de créer des problèmes dans son établissement. A l’IEP de
nombreuses affiches ont été arrachées très rapidement aussi. Je ne comprends toujours
pas aujourd’hui pourquoi…
Néanmoins la conférence fut un succès, même si les intervenants étaient
fatigués après les sept heures de routes endurées depuis Nice le jour même.
13
Conclusion
In fine, cette expérience a été pour moi une opportunité formidable, qui m’a
permis de participer au bon fonctionnement d’une association aux buts que je trouve
louables. Je suis heureuse d’avoir contribué à la vie associative de mon école, mais
aussi satisfaite des apports sur le plan personnel dont j’ai bénéficié de cet engagement.
Le travail d’équipe s’illustre à travers de multiples formes :les tensions, les non-dits,
les malentendus ; mais aussi la solidarité, la gentillesse, la patience, la générosité ; j’ai
pu apprendre de tout cela et je n’en sors que grandie. Je suis persuadée que cette
année, d’une certaine façon, m’aura permis d’être un peu plus préparée pour une
future entrée dans le monde professionnel.
De plus, grace à Alpes MUN j’ai pu participer à une simulation de négociation
au niveau européen, un Euro MUN à Maastricht du 29 avril au 3 mai. J’ai représenté
pendant quatre jours la Russie au Conseil des Droits de l’Homme. J’ai rencontré des
personnes extrêmement intéressantes venant du monde entier, mais aussi établir un
lien plus fort avec les membres de mon association, ce fut une expérience
extraordinaire, très stimulante intellectuellement.
Enfin, je compte au premier semestre 2015 rester dans l’association Alpes
MUN pour aider la personne qui prendra le rôle de trésorier(e), ce qu’on appelle
« faire la passation ». Je compte déployer tous les efforts nécessaires pour qu’Alpes
MUN ne s’éteigne pas. Par ailleurs, j’espère pouvoir m’engager auprès d’Alternatives
IEPG car il me tient à cœur de pouvoir participer à la vie de mon école et il serait un
honneur pour moi de représenter les voix de mes pairs.
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Annexes
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17
Budget Prévisionnel AlpesMUN 2014-2015
Dépenses Montant Recettes Montant
AchatsFournitures 50
Frais bancaires exceptionnels
80
Communication générale
125
Sous-total charges 255
Simulations (initiations et envois de délégations)
Frais d’inscription (MUN européens) 1500 Part Subvention Crous 400Communication 50 Part subvention UPMF 500Repas et collations 40 Part subvention IEP 852
Frais exceptionnels 250 Part subvention Ville de Grenoble 500
récompenses matérielles 100 Part trésorerie 568,33
Sous-total charges 1940 Part Université de Grenoble 300
Conférences, cafés-débats et projections-débats
Transport intervenants 400
Hôtel intervenants 300
Frais repas intervenants et
buffets (conférences)75
Communication 150Sous-total charges 925
TOTAL CHARGES
3120 TOTAL PRODUITS
3120,33
18
19